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1. lt 7 Newsletter Ipsos Dom EEA d ET R eter end am au 20 y C e 7 m Fag y 4 ana i LS te ME F a f d 6 li M 2 ac j M 7 w ar Ees domiens et la sant TA Vous avez sous les yeux le quatri me num ro de Couleurs Outre mer la lettre d information dit e par Ipsos Dom destination de tous nos partenaires du priv comme du public Nous vous donnons rendez vous p riodiquement pour Dans ce quatrieme num ro vous informer des derni res tendances d opinion et de consommation dans les DOM traiter de probl matiques sectorielles conjoncturelles ou structurelles sur ces territoires vouS fournir des informations issues de nos sondages sur diverses th matiques Vous pr senter les outils les moyens mat riels et humains que nous s tenons votre disposition vous proposer une revue de presse et des donn es socio d mographiques pour mieux appr hender les sp cificit s de ces d partements Point conso Appr hender les grandes tendances de consommation pour une connaissance partag e du contexte conomique domien dans lequel nous naviguons telle est la vocation du point conso dont nous vous pr sentons E grandes tendances du 1 semestre 2005 pour la Martinique la Guadeloupe et la R union 1 semestre 2005 Ambiance Inqui tudes croissantes Grosses d penses timide reprise Achat plai2. 23 810 161 2 4 719 1 4 1
3. non la R union Les r sultats du r f rendum s av rent contrast s dans l outre mer Cette fois encore la mobilisation a t faible 36 2 bien qu en progression de 12 points sur le r f rendum de Maastricht en 1992 Sch matiquement le oui l emporte l o l abstention a t la plus massive En revanche la R union cr e la surprise avec une mobilisation de 54 des inscrits et un non 60 taux encore plus net qu en m tropole L observatoire du r f rendum sur ipsos fr La fiche de Fran ois Baroin nouveau ministre de l Outre mer sur le portail du gouvernement Soci t Martinique Les eaux de baignade sont de bonne qualit A quelques semaines des grandes vacances la DSDS publie une plaquette qui confirme la bonne qualit des eaux de baignade Dans sa derni re plaquette rendue publique la direction de la sant et du d veloppement social dresse le bilan sur les 48 zones de baignade Actuellement 90 des zones de baignade respectent les normes et sont class es dans la cat gorie A ou B ce qui signifie que ces zones sont respectivement des eaux de bonne et moyenne qualit conformes aux normes europ ennes Cependant la DSDS pointe du doigt cinq plages qui ont subi une l g re d gradation depuis l an dernier du fait des fortes pluies II s agit des plages de Madiana et du Lido Schoelcher de l anse l ne dans la commune des Trois llets et puis Trinit sur les plages R
4. que ce faux d bat entretient tort l id e qu une enqu te r alis e avant une lection constitue un l ment de pr vision du r sultat lectoral ce qu elle n est pas comme le rappelle Ipsos chacune de ses publications et surtout pas 10 jours du scrutin avec 28 d lecteurs ind cis et 25 de ceux ayant pris une d cision qui d clarent pouvoir encore changer d avis il pr sente l inconv nient de priver des enseignements objectifs que seule l analyse d enqu tes pr lectorales peut fournir Pour rappel dans le cadre de campagnes pass es o l lectorat a pr sent un caract re plus habituel de stabilit les enqu tes r alis es par psos ont montr leur capacit d crire de fa on fiable l tat de l opinion locale que ce soit l occasion des lections pr sidentielles en 2002 ou r gionales l ann e derni re Sortir de ce faux d bat permet donc de constater en quoi nous sommes en pr sence cette fois ci d un revirement tardif et massif de l lectorat r unionnais ph nom ne rare et donc passionnant qui nous interroge sur les enseignements en tirer tant sur le plan politique que social D abord ce que ces deux enqu tes permettent de constater premi rement six semaines du scrutin la R union part pour voter majoritairement oui 58 comme aura finalement vot le reste de l outre mer et ce contrairement la M tropole o le non est d j nettement e
5. s appelle France O depuis le 25 f vrier Diffus e d sormais 24 heures sur 24 au lieu de 9 heures par jour France O veut tre la vitrine r nov e de l outre mer pour les t l spectateurs de m tropole et apporter au groupe France T l visions sa dimension culturelle France O a pour vocation de tisser des liens entre les communaut s de cr er des passerelles entre les cultures de favoriser les changes entre les territoires diss min s travers le monde et pourtant profond ment unis entre eux 01 Mars 2005 Daniel Psenny LE MONDE Rapport annuel de l Agence Fran aise de D veloppement L AFD est un acteur majeur du d veloppement conomique et social de l Outre mer depuis pr s de soixante ans Grands axes prioritaires de son action Le partenariat avec les collectivit s publiques Le d veloppement de l habitat et le d veloppement urbain L appui aux petites et moyennes entreprises locales La promotion de l Outre mer dans son environnement r gional Le montant des engagements de l AFD dans l Outre mer s tablit en 2004 378 M tous secteurs et tous types de produits confondus auxquels il convient d ajouter 5 4 M de concours accord s par Proparco des entreprises dans les d partements d Outre mer Le rapport annuel engagements dans l Outre mer p 46 et 89 Bilan 2004 de l AFD la R union Un milliard d euros au b n fice des PME et des collectivit s Politique 60 de
6. ais avec l encore de fortes disparit s sur 10 000 habitants de l hexagone malgr la diminution r cente les derniers chiffres connus faisaient tat de 14 6 accidents pour 10 000 habitants A la R union on n en compte que 10 1 le chiffre est de 12 7 en Guadeloupe et 14 9 en Martinique mais atteint 37 5 en Guyane Nos tudes trackings montrent que la consommation de boissons alcoolis es est tr s sensiblement plus r pandue dans les Dom qu en M tropole sur les 4 derni res semaines nous comptons 40 de consommateurs d clar s la R union 61 en Guadeloupe et m me 66 en Martinique contre 31 en M tropole Les derniers chiffres AA e e disponibles traduisant cette forte consommation en quantifications des annuelles 6000 le pathologies alcooliques disponibles la R union r v laient une mortalit le par cirrhose et psychose dues l alcool pr s de 3 fois sup rieure la multi th matique moyenne nationale multi client l une tude en continu 361 jours sur 365 A l inverse nos m mes tudes montrent une consommation de tabac relativement faible 14 de fumeurs en Martinique et Guadeloupe en d pit d un prix au paquet beaucoup plus bas qu en m tropole jusqu ce jour aux Antilles 20 la R union en r gression depuis la hausse des prix il y a 5 ans contre 33 en M tropole Enfin s agissant de substances additives illicites la drogue on estime g n ralement q
7. aisiniers et l autre bord Les contr les se poursuivent en ce moment et pourraient faire l objet d une communication particuli re si la d gradation s intensifie R union La mouche blanche tend son emprise sur I le Les sp cialistes de la protection des v g taux tentent d radiquer la bestiole probablement introduite de l le Maurice par un voyageur Pour s en d barrasser les experts tablent sur des micro insectes pr sents en Martinique qui permettraient de neutraliser ces mouches blanches 340 kg de cocaine saisis en Guadeloupe Des garde c tes de Pointe Pitre en Guadeloupe ont saisi mardi 343 616 kilos de coca ne valeur estim e 14 millions d euros dans un bateau battant pavillon de Grande Bretagne et immatricul Gibraltar a annonc vendredi le minist re du Budget Les deux occupants du bateau taient un homme de nationalit polonaise g de 58 ans et une femme de nationalit slovaque g e de 26 ans C est la prise la plus importante depuis le 25 novembre 2004 359kg de coca ne d couverts dans un camping car Perpignan Culture Les messages festifs de D d Saint Prix Musiques du monde Fruits de la patience est un disque la fois de coups de gueule et d lans du c ur Traits de col re et sourires de bonheur Percussionniste fl tiste chanteur dont la premi re devise semble tre de faire partager sa ferveur joyeuse le Martiniquais D d Saint Prix a des messages transmettre da
8. cit s domiennes pourtant si difficiles souvent prendre en compte par les d cideurs politiques ou conomiques Cependant sans doute instruits par l exp rience ceux ci ont peu peu int gr les diff rences et admis que porter le foulard Saint Denis de la R union ne rev tait sans doute pas le m me sens qu Saint Denis 93 que l implication dans le d bat europ en ne pouvait tre la m me qu des milliers de kilom tres et que sur les lin aires des supermarch s m me si globalisation oblige l offre tendait de plus en plus se ressembler l assortiment de produits ne pouvait tre tout fait identique Qu en est il en mati re de sant publique de risques sanitaires et sociaux Entre Dom et M tropole la situation est elle semblable ou pour le moins Quelques tudes sant comparable Les Domiens ont ils conscience des priorit s induites Les r alis es par Ipsos dans pouvoirs publics ont ils la volont et savent ils adapter leur action la les DOM mesure des enjeux KABP DFA Ce sont l quelques unes des questions auxquelles Ipsos Dom s attache ENVEFF R union r pondre bri vement travers ce dossier Enqu te Sida Mayotte m Enqu te Paludisme M me lorsqu ils existent ce qui est loin d tre toujours le cas il n est pas vident de comparer des chiffres manant de sources tr s diverses avec des p riodes de r f rence et des modes de recueil de l inf
9. e plus vendu dans le monde Un dossier qui int resse au plus haut point les r gions de Martinique et de Guadeloupe o la banane repr sente une part pr pond rante de l agriculture et essentielle de l conomie dans son ensemble 08 Mars 2005 Fran ois Grosrichard LE MONDE Le bio l horizon de la Martinique L agriculture bio a un potentiel r el en Martinique confront e la fin probable des aides au secteur bananier en 2006 estime une tude de l Institut de recherche pour le d veloppement IRD L organisme pr conise un inventaire des terres indemnes de pesticides qui pourraient tre affect es des cultures bio forte valeur ajout e comme les fleurs les pices ou les plantes m dicinales 01 Juin 2005 Lib ration Le dossier sur le site de l IRD Bilan de la Foire de Paris 11 faut dire aux Parisiens que la R union l la Partenaires et entreprises exposantes sont revenues sur la pr sence r unionnaise la 101e Foire de Paris le mois dernier Son objectif tait double d velopper des d bouch s commerciaux et promouvoir l le intense aupr s des 750 000 visiteurs La Chambre de commerce et le comit du tourisme de la R union se d clarent satisfaits de l op ration Le r seau France Outre mer s appelle d sormais France Int gr dans le groupe France T l visions depuis juin 2004 R seau France Outre mer Sat RFO diffus en France m tropolitaine par satellite
10. es territoires ultramarins puisqu on ne peut r duire le r sultat r unionnais une hypoth se simpliste de mim tisme par rapport la M tropole les deux opinions tant en opposition de phase chacune des enqu tes r alis es et les rythmes des mouvements d opinion tant tr s dissemblables on ne peut donc qu en conclure un revirement massif des intentions de votes r unionnaises intervenu dans les derni res semaines de campagne et qui doit trouver son explication dans des causes locales de nature clairer cette situation singuli re tant par rapport la m tropole qu au reste de l outre mer Ce mouvement massif et tardif de revirement d opinion intervenu en grande partie mais pas seulement entre le 19 et le 29 mai qui prolonge et amplifie la dynamique du non r v l e par les deux enqu tes r alis es conduit en rechercher les causes dans les trois derni res semaines de campagne Un tel revirement d opinion s il pr sente un caract re exceptionnel n en reste pas moins naturellement du domaine du possible comme le montrent d ailleurs deux temps de la campagne nationale o le oui perd d abord 12 points en deux semaines entre le 4 et le 8 mars puis conna t nouveau une chute marqu e de 8 points en deux semaines galement entre le 15 et le 29 avril Revirement de grande ampleur constat initialement au sein de l lectorat du PCR dont les causes sont rechercher dan
11. ilippe Fabing 0262 20 90 00 8 permanents la Paris Cynthia Pachovski 01 41 98 95 75 Guadeloupe 2 permanents la R union 10 permanents et Paris D Les chantiers institutionnels Si Ipsos Dom r alise 75 de son activit dans les tudes Marketing Publicit M dia et Satisfaction 25 sont d di s aux tudes appui de projets institutionnels A titre d exemple Ipsos Dom a t r cemment retenu pour participer la r alisation des tudes sur appels d offre suivantes Aux Antilles CCIM tude sur le tourisme conomique ADEM CONSEI L R GI ONAL tude sur l industrie Martiniquaise CCI M Audit entreprise en difficult DDJ S CARIF OREF tat des lieux et analyse prospective des activit s de pleine nature en Guadeloupe DSDS COGES tude d valuation du Programme R gional de Sant alcoolisme COGES tude sur la formation des personnels du secteur de l ducation pour la sant CR tude typologique des client les touristiques de la Guadeloupe A la R union Pour une municipalit analyse des historiques lectoraux par bureau de vote DI REN Bilans sur la semaine du d veloppement durable Pour une municipalit barom tre de l action municipale ADIR d veloppement de l achat local A Mayotte DASS bilan de connaissances et post test de communication sur le Paludisme Caisse de S curit Sociale de Mayotte bilan sur l valuation des risques domestiq
12. influence majeure de ces medias comme outil de campagne et de communication politique s impose comme un fait de plus en plus net la R union t Br ves Des questions d attitude ou de comportement sont ponctuellement pos es aux domiens travers L 1 Allo maman L quipement en t l phone mobile des 8 14 ans R union 23 Antilles 30 W o photo St phan La Yu amp Notori t spontan e des marques Top of mind 1 citation R union Martinique Guadeloupe il 2 3 4 5 Notori t spontan e Total citation R union Martinique Guadeloupe il 2 3 4 5 Notori t spontan e Total citation R union Martinique Guadeloupe 1 2 3 4 5 Donn es d taill es disponibles sur simple demande Vagues Omnibus Express DOM Echantillon repr sentatif des 15 ans et plus Enqu tes r alis es en F vrier 2005 ih L actualit d i psos Dom gt Nouvelle vague Omnibus Mayotte I psos Oc an Indien lance sa troisi me vague Omnibus Mayotte en septembre Pour m moire ce sont 750 individus RE i quipe de 21 repr sentatifs des 15 ans et plus qui seront personnes Directeurs interrog s en face face D ores et d j au d tudes Charg s programme t l phonie m dia sant publique d tude Charg s de traitement et Chefs de terrains r partis entre c est aujourd hui une Contacts la Martinique la R union Ph
13. mais A m diatique retourne l opinion en fin de course avec dans les urnes un vote pro europ en qui manifeste avant tout dans un contexte de forte inqui tude la crainte de perdre l aide europ enne au d veloppement et de voir s aggraver la situation sociale Alors que le reste de l outre mer se mobilise peu et vote majoritairement oui la R union se distingue par un taux de participation lev proche de 55 et une victoire massive du non pr s de 60 des suffrages exprim s Contrairement la M tropole o la quarantaine de sondages publi s a permis de suivre jour apr s jour avant et durant toute la campagne le film de l volution de l opinion et de constater ses exceptionnels revirements dans l outre mer seule la R union dispose de deux enqu tes pr lectorales c est d ailleurs une premi re que d en r aliser deux r alis es par Ipsos pour le Journal de l le de la R union Ces deux photos de l opinion r unionnaise r alis es six semaines puis dix jours du scrutin apportent un clairage que le r sultat des urnes lui seul n aurait pas pu fournir Avant de se pencher sur les enseignements tir s de ces enqu tes sur l tat de l opinion objet minemment instable et fluctuant comme chacun sait il convient d examiner l in vitable d bat n de l cart entre la deuxi me enqu te r alis e 10 jours du scrutin et le r sultat des urnes Outre le fait
14. n avance avec 55 des intentions de votes deuxi mement dix jours du scrutin la seconde enqu te montre comme l crit Florent Cor e dans le Journal de L Ile de la R union que l cart entre le oui et le non se r duit consid rablement et que port e par une campagne tr s active cette dynamique du non se construit essentiellement gauche Le oui b n ficie encore d une fragile avance 52 5 contre 47 5 pour le non Comme le montre l analyse de l enqu te c est la bascule nette et massive des sympathisants du Parti Communiste R unionnais qui explique l volution de position du corps lectoral enregistr e entre les deux sondages Les autres groupes d affinit s politiques n ont pas significativement modifi leurs intentions de votes durant cette p riode A dix jours du scrutin la R union ne vote toujours pas comme la m tropole o le non enregistre 53 des intentions de votes L volution intervenue entre la seconde enqu te et le jour du scrutin a confirm cette mont e en puissance du non qui finit la course avec un score proche de 60 Ce que r v lent donc les enqu tes r alis es puisqu on ne peut pr tendre que la R union a toujours eu l intention de voter massivement non l lectorat de l le pr sentant en d but de campagne une intention de vote majoritaire en faveur du oui dans une proportion proche de celle finalement constat e dans les urnes dans les autr
15. n trouve aux trois premi res pages outre une photo de Paul Verg s les titres suivants La R union fragilis e La R union aura moins de cr dits Le Non la seule fa on de conserver les cr dits europ ens La R union va perdre gros Une arme fatale contre la R union Les droits sociaux menac s Voil l Europe lib rale et concernant la fili re sucre Une menace mortelle pour le R union Est ainsi confirm e l analyse d velopp e par Ipsos d s la premi re enqu te r alis e reprise par le Journal de l Ile Dans ce contexte l Europe qui est peut tre plus loign e au sens institutionnel mais aussi peut tre plus visible la R union comme financeur du d veloppement semble constituer finalement une caution et un l ment de r assurance alors qu elle fait office de facteur anxiog ne et de sujet de rejet au national Comme on le voit la persuasion de l opinion r unionnaise sur le non se sera faite sur ce sujet en mettant en relation le trait constitutionnel et le risque de moindre intervention de l Europe la R union tant au plan financier qu au plan de la pr servation des r gles sociales Enfin dernier enseignement au plan de la communication politique le r le des m dias de masse presse t l vision et radio aura t outre une active campagne de terrain d terminant comme relais du message et des arguments de Paul Verg s L
16. ns sa musique C est une attitude une vocation pour cet ancien instituteur Sur sc ne dans un studio d enregistrement au sein d ateliers de stages de cours de percussions dans de nombreux projets pour faire vivre la musique martiniquaise 22 F vrier 2005 Patrick Labesse LE MONDE Actualit La page Actu de Wanadoo R union Les d p ches d agence sur la page Dom Tom de Yahoo Actualit s Clicanoo RFO Donn es statistiques DOM Population totale en 1999 Population de de 20 ans en 1999 Taux de natalit en 1999 o Nbre d enfants par femme 1999 Taux de ch mage BIT 2000 Taux de ch mage des 15 24 ans 2001 Population couverte par le RMI au 21 12 2001 Nombre de m nages 1999 Taille du foyer Esp rance de vie 2000 Taux de mortalit infantile 2002 Prochain num ro de Couleurs Outre mer Octobre 2005 Martinique 381 427 29 5 15 1 19 26 3 51 16 130 844 2 9 16 2 6 3 Guadeloupe 422 496 1 7 25 1 57 6 22 144 818 2 9 Guyane 157 213 43 2 31 Ra 25 8 33 4 23 46 173 3 3 129 10 4 R union 706 300 36 2 19 9 2 4 36 5 56 4 22 215 044 3 3 73 1 6 4 Couleurs Outre mer est une publication Ipsos Dom Droits de reproduction et de diffusion r serv s lpsos Dom 2005 M tropole 60 185 833 24 6 12 9 1 8 10 18 7 3 3
17. ormation tr s dissemblables quand une grande enqu te de r f rence avec une m thodologie rigoureuse et incontestable sur la Sant dans les Dom l image de ce que en collaboration avec Ipsos l ORS a entrepris sur le Sida ou encore l Enveff sur la violence l gard des femmes N anmoins et sous toutes r serves quant la pr cision des statistiques fournies quelques disparit s fortes semblent d ores et d j patentes Globalement dans les Dom l esp rance de vie demeure aujourd hui inf rieure celle de la M tropole de plus de 4 ans en Guyane et la R union En M tropole pour 100 000 habitants on d nombre 3 cas de Sida d clar La moyenne domienne est presque six fois sup rieure 17 cas Mais cette moyenne occulte de tr s fortes disparit s 5 cas sur 100 000 la R union mais 6 5 en Martinique 11 3 en Guadeloupe et 43 cas en Guyane De plus l exception de la R union la transmission du virus dans les Dom reste tr s majoritairement h t rosexuelle La pr valence du diab te est en M tropole d environ 5 Dans les Dom o l on se r f re volontiers au fameux mais mal connu Syndrome de Nauru elle est comprise entre 8 et la R union o le taux a plus que doubl en 10 ans 17 Les accidents corporels de la route restent globalement un peu plus nombreux en M tropole que dans les Dom o par contre les 2 roues sont beaucoup plus souvent impliqu s m
18. probl mes de Sant Publique les plus pr occupants R union Martinique Guadeloupe difiant galement le fait de trouver en fin de peloton les probl mes suivants 3 probl mes de Sant Publique les moins pr occupants R union Martinique Guadeloupe En effet on ne peut que noter que D cid ment malgr leurs ressemblances les Dom sont bien diff rents entre eux tant par la r alit des probl mes qui s y posent que par la Sondage t l phonique perception de leur population CATI p riodique Cette perception est bien s r guid e par les efforts diff renci s de partag entre plusieurs p dagogie et de pr vention des pouvoirs publics mais galement par de souscripteurs multiples autres sources d information non ma tris es du simple bouche 10 vagues par an aux a oreille aux divers medias dont le r le de caisse de r sonance mais aussi Antilles et la de prescripteur et de cr ateur de tendances est peut tre sous estim ou R union 2 en Guyane en tout cas peu contr l ou contr lable par ceux dont la fonction est l pr cis ment de pr parer hi rarchiser et diffuser l information sanitaire et Echantillon de 500 cas sociale par d partement repr sentatif de la Dans ce contexte certaines campagnes d montrent clairement leur population g e de 15 efficacit du moins en terme de prise de conscience sur les questions ans et plus d alcoolisme par exemple et dans une moindre me
19. r 365 18 000 interviews t l phoniques annuelles 6000 le tude multi sectorielle multi th matique multi client Le Bulletin de des questions M au Tracking des indicateurs centr s sur la consommation et le moral des individus des r sultats trimestriels une souscription annuelle par d partement 5 000 dans sa version compl te 130 indicateurs une souscription annuelle 3 DOM 3 000 dans sa version synth tique 30 indicateurs F Dossiers Pour cette nouvelle dition nous vous proposons a sant dans les DOM ce que les enqu tes d intentions de votes permettent de comprendre de la situation politique et sociale la R union A Sea sex and sucre la sant dans les DOM Dans l imaginaire collectif les diff rences objectives entre l hexagone et la France des tropiques sont fr quemment fond es sur quelques mythes mais aussi parfois r alit s o la trilogie sea sex and sun le dispute aux images color es de sable blond et cocotiers de torrents de lave rougeoyante de v g tation luxuriante ou encore de costumes traditionnels bigarr s et de plats exotiques pic s L omnipr sence suppos e de la musique et de la f te un style de vie qu on imagine volontiers nonchalant et le m tissage av r des cultures et des origines ethniques participent galement de ces clich s usuels conduisant g n ralement admettre les fameuses sp cifi
20. rs une mobilisation sociale d clar e tr s en retrait et en stagnation vs les deux autres DOM des intentions de grosses d penses de plus de 1500 en chute depuis le 4 me trimestre 2004 L analyse des intentions de consommation sectorielles r v lait en outre une tendance aux arbitrages de consommation un des rares postes se maintenir tait celui de l alimentation et des boissons de tous les jours Les mots d ordre jusque l en Guadeloupe pessimisme d mobilisation sociale et recentrage conomique Le deuxi me trimestre 2005 marque une rupture sensible de ces tendances de consommation en particulier la R union et en Guadeloupe o la situation tait des plus n gatives En effet si les inqui tudes persistent on assiste parall lement un ph nom ne de d tente g n ral vis vis de la consommation reprise de la fr quentation des GMS l g re reprise des intentions de grosses d penses reprise des intentions de d penses sectorielles en particulier des postes plaisir cadeaux loisirs sorties vacances hausse des quipements de haute technologie Effet de d tente li e la perspective des vacances ou tendance de fond A suivre C est une batterie de 10 questions int gr es l tude Tracking men e en continu dans les 3 d partements Vous sont ici pr sent es les grandes tendances de consommation observ es chaque trimestre une tude en continu 361 jours su
21. s les toutes derni res semaines de campagne L entr e personnelle de Paul Verg s en campagne dans la presse quotidienne r unionnaise deux semaines avant le jour du scrutin et sa participation des d bats t l vis s dans l avant derni re semaine de campagne voil qui semble pr senter l explication la plus plausible l exceptionnel mouvement d opinion r v l par les deux enqu tes et le r sultat de ce scrutin En effet il faut chercher l explication du r sultat la lumi re de ces deux constats les partisans du non ont r ussi convaincre sur le tard de fa on extr mement forte mais ils ont galement su mobiliser leurs partisans et les faire aller aux urnes couler leur bulletin Une telle capacit de persuasion et de mobilisation suppose au moins trois l ments une r elle force politique en termes de cr dibilit et de l gitimit une fin de campagne forte et impactante et bien s r un corps lectoral r ceptif En d autres termes le charisme de Paul Verg s dont l entr e tardive en campagne correspond avec le basculement du rapport de force entre le non et le oui d abord les arguments de la fin de campagne des partisans du non ensuite et l inqui tude d j indiqu e par Ipsos plusieurs reprises depuis deux ans d une partie importante de la population sur l volution de la situation conomique et sociale la R union enfin sont probablement parmi les l ments qui expliq
22. sir on se d tend et on profite un peu Tendance de conso reprise sensible pour la R union et la Guadeloupe Si les sujets de pr occupation et d angoisse sociale peuvent l g rement diff rer il n en demeure pas moins que le climat d opinion dans les trois les reste marqu par le pessimisme et des anticipations fortement n gatives qu elles soient micro conomiques volution du pouvoir d achat personnel ou macro conomiques volution sociale et conomique de chacune des les avec m me une nette reprise des inqui tudes sur le dernier trimestre observ 2T05 L ambiance de consommation se r v lait jusqu au premier trimestre en ligne avec ces anticipations Guadeloup ens Martiniquais ou R unionnais taient plus de 95 et toujours plus nombreux ne pas envisager d achat d un montant de plus de 1500 dans le mois venir Les intentions de d penses courantes se resserraient sensiblement par rapport au dernier trimestre 2004 dans les trois les mais restaient mieux orient es qu au troisi me trimestre 2004 Parall lement la fr quentation veille des circuits alimentaires continuait de reculer la R union et en Guadeloupe Ces constats de masse masquaient m me une situation sensiblement plus morose en Guadeloupe un bilan de la situation personnelle et un bilan g n ral de l le en chute depuis le 4 me trimestre 2004 des inqui tudes croissantes quant l avenir sur ces m mes indicateu
23. sure du diab te la R union cit comme pr occupant par 29 des personnes interrog es Toutes les questions quand d autres s av rent beaucoup moins performantes par exemple peuvent tre pos es dans le cas du cancer du tabagisme ou de l asthme sur tous les sujets opinion notori t image habitudes d achat ou de consommation tests d hypoth ses etc Enfin il semble clair que les probl matiques de sant per ues comme particuli rement aigu s par le grand public sont celles qui ont un retentissement social imm diat r el ou fantasm quand a contrario celles dont on imagine qu elles n affectent que les malades eux m mes inqui tent et ou concernent beaucoup moins Quelques exceptions toutefois la drogue la R union l usage r pandu du zamal on l a dit s inscrivant dans un contexte g n ral de tol rance sociale et judiciaire ou encore la violence envers les femmes et les enfants dont semblent peu s inqui ter les Martiniquais et les Guadeloup ens quand au contraire les R unionnais la placent au tout premier rang de leurs pr occupations Vagues Omnibus Express DOM Echantillon repr sentatif des 15 ans et plus Enqu tes r alis es en f vrier 2005 Non Intentions et vote des R unionnais au R f rendum du 29 mai Ce que les enqu tes d intentions de votes permettent de comprendre de la situation politique et sociale la R union Paul Verg s sur une campagne courte
24. ue la consommation de cannabis est d environ 30 sup rieure dans les Dom la moyenne nationale et plus encore la R union ou par ailleurs pr vaut une certaine permissivit La R union demeure largement pargn e par le crack et les autres d riv s coca niques alors que les soci t s antillaises n ont pu que constater le d veloppement rapide de la consommation de crack et de la d linquance associ e quand globalement dans l ensemble des Dom la consommation des autres drogues h ro ne notamment en d pit de la mont e en puissance probable de l ecstasy et des autres produits hallucinog nes en particulier champignons reste sensiblement plus faible qu en M tropole du moins dans ses zones urbaines Cons quence la morbidit li e ces substances n est pas la m me qu en M tropole par exemple si les transmissions du VIH ou des virus de l h patite B et C demeurent rares les pathologies psychiatriques tendent cro tre significativement Le point de vue des populations Nous avons profit de l Omnibus Express Dom pour dans le cadre de ce dossier demander aux Domiens de hi rarchiser partir d une liste fournie les 3 probl matiques les plus prioritaires et pr occupantes selon eux Nous laisserons aux sp cialistes le soin d analyser en d tail ces donn es disponibles sur simple demande mais m me pour le profane les r ponses apport es nous semblent particuli rement difiantes 3
25. uent le mieux le r sultat constat dans les urnes En ce sens ce que les enqu tes d opinion et elles seules peuvent nous apprendre l occasion de ce scrutin en ce qu elles seules permettent d identifier la fois le revirement d opinion intervenu mais aussi son caract re tardif et massif qui rend plausible l hypoth se de l influence de l entr e en campagne de Paul Verg s comme cause principale de ce revirement qui fait basculer environ 20 de l lectorat local et qui de ce fait inverse les intentions de vote initialement en faveur du oui pour 60 de l lectorat r unionnais premi rement le poids de Paul Verg s dans le jeu politique local a t particuli rement notable pour les femmes les jeunes 18 29 ans et les seniors 60 ans et plus les cat gories modestes et populaires deuxi mement le vote r unionnais contrairement au vote national o les camps souverainistes et d extr me droite repr sentent une partie significative du non n est pas teint de vote anti europ en il est au contraire tr s pro europ en et r v lateur de l inqui tude conomique et sociale d une partie importante de la population et de l importance attribu e l intervention de l Europe dans le domaine du d veloppement de l le A relire le dernier fascicule de 20 pages envoy par le PCR dans les foyers r unionnais intitul Pour redonner espoir et pour sauver l Europe le 29 mai votons NON o
26. ues et bilan sur les pratiques d hygi ne buccodentaire x Rep res Couleurs Outre mer vous propose des rep res conjoncturels et structurels compos s d un suivi de l actualit des DOM avec une revue de presse nationale d p ches en ligne liens utiles de donn es statistiques socio d mographiques issues des recensements Insee gt Presse et d p ches TA r LE F k t Mode d emploi Presse nationale ces articles sont disponibles dans les bases d archives payantes des sites des quotidiens Le Monde Lib ration et Le Figaro Quand l article est disponible gratuitement le lien vous conduira directement sur la page en question Presse en ligne d autres sources d informations sont disponibles gratuitement sur internet En particulier Yahoo France propose les d p ches des agences de presse AFP AP Reuters dans la page d di e l Outre mer Pour cette ressource comme pour les autres les adresses des pages sont mentionn es en regard de chaque info conomie Les planteurs de bananes antillais redoutent la concurrence des autres pays En 2006 les r gles d organisation du march seront modifi es permettant une ouverture plus large aux produits d Afrique Comme elle en avait l obligation la Commission de Bruxelles a adress au Parlement et au conseil des ministres un rapport sur l organisation commune du march europ en et son fonctionnement dans le secteur de la banane le fruit l
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