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Bulletin FAPEG

1. tre remis scrutin leurs parents six jours au moins avant la date du DEROULEMENT DU VOTE L lection des repr sentants des parents se fait par un scrutin de liste la repr sentation proportionnelle au plus fort reste En cas d galit des restes c est la liste ayant obtenu le plus de suffrages qui obtient le si ge restant pourvoir En cas d galit du nombre de suffrages le si ge est attribu au candidat le plus g Rappelons que les listes doivent comprendre au minimum deux noms et au plus le double du nombre de si ges pourvoir les listes des candidatures devant parvenir au bureau des lections au moins dix jours avant la date du scrutin APRES LE VOTE QUEL ROLE POUR LES PARENTS ELUS Au primaire les parents lus si gent au conseil d cole qui a pour attribution d adopter le projet d cole d tablir le projet d organisation de la semaine scolaire de voter le r glement int rieur et plus largement de donner son avis sur toutes les questions concernant le fonctionnement de l cole Au coll ge et au lyc e les parents lus participent au conseil d administration instance o sont d cid s entre autres le budget le r glement int rieur et les r gles d organisation de l tablissement Enfin autre attribution des parents d l gu s participent aux conseils de classe Elections 2012 Textes divers Nous attirons l attention de tous les pr sidents
2. court terme afin qu ils en comprennent la port e Ils vont r aliser une feuille qu ils vont d corer et qu ils remettront maman ce soir ce qui provoque chez eux de l entrain et du plaisir car ce soir on observera tout un c r monial pour remettre ce chef d uvre maman Ainsi la maman sent que l enfant a quitt la cr che et qu il est d sormais l cole que les petits travaux qu il r alise ont une finalit et un sens pr cis Le lendemain les enfants racontent alors l accueil que leur a r serv leur maman la suite de ce cadeau Ils disent comment ils ont v cu ce moment l Puis ce sont les activit s math matiques de d couverte par exemple d un petit animal de son environnement Ainsi les enfants d couvrent qu ils sont dans une cole qui est dans une rue o on ex cute des travaux et on va sur le terrain pour voir et interroger les ouvriers sur ce qu ils font L heure du repas la cantine constitue la coupure de la journ e et les enfants y sont pr par s car encadr s par la surveillante Le repas reste un moment ducatif dont la socialisation est le principal objectif se laver les mains avant et apr s le repas ne pas parler trop fort ne pas crier La sieste dont l importance n est pas d montrer ob it au rythme biologique des enfants qui ne peuvent tout de suite apr s le repas de midi se remettre au travail sans s tre repos s Le r veil qui se fait progressive
3. et bien loin de vous manquer les secours ext rieurs qui vous sont offerts ne peuvent vous embarrasser que par richesse et leur diversit Des philosophes et des publicistes dont quelques uns comptent parmi les plus autoris s de notre temps et de notre pays ont tenu honneur de se faire vos collaborateurs ils ont mis votre disposition ce que leur doctrine a de plus pur et de plus lev Rien ne prouve mieux le prix que l opinion publique attache l tablissement d une forte culture morale par l cole primaire L enseignement la que de la morale n est donc estim ni impossible ni inutile que la mesure d cr t e par le l gislateur a veill aussit t un si grand cho dans le pays C est ici cependant qu il importe de distinguer de plus pr s entre l essentiel et l accessoire entre l enseignement moral qui est obligatoire et les moyens d enseignement qui ne le sont pas Si quelques personnes au courant de la p dagogie moderne ont pu croire que nos livres scolaires d instruction morale et civique allaient tre une sorte de cat chisme nouveau c est l une erreur que ni vous ni vos coll gues n avez pu commettre Aucun livre ne vous arrive impos par l autorit universitaire Comme tous les ouvrages que vous employez et plus encore que tous les autres le livre de morale est entre vos mains un auxiliaire et rien de plus un instrument dont vous vous servez sans vous y asservir Les familles se m prendraient sur le carac
4. qu un directeur d cole peut retirer provisoirement l enfant de l tablissement si le comportement de l l ve est tel qu il compromet gravement la poursuite des activit s p dagogiques ou met en danger la s curit des autres l ves La directrice tait fond e ici demander imm diatement aux parents de l l ve en cause ne plus le pr senter l cole sans s en tre pr alablement entretenu avec eux et sans attendre l accord de l inspecteur de l ducation nationale L cole primaire Le texte de 1991 modifi aborde avec pr cision la discipline des l ves 1l envisage avec exactitude les fautes susceptibles de sanctions les peines et les situations Il est question de manquements au r glement int rieur de comportements dangereux pour l enfant ou les autres de difficult s particuli rement graves affectant le comportement de l l ve dans son milieu scolaire Lorsque les circonstances s av rent d licates l l ve peut faire l objet d un changement d cole selon la proc dure suivante 1 la situation est soumise l quipe ducative et dans ce cas la participation d un m decin scolaire et d un membre d un r seau d aide sp cialis e est obligatoire 2 une p riode probatoire peut tre arr t e 3 si l issue de cette phase rien ne se modifie dans le comportement de l enfant le changement d cole rel ve de la comp tence de l inspecteur de l ducation nationale apr s avis du conse
5. M Hollande veut redonner sa place l cole maternelle en allant rebours de ce qui a t fait pendant 5 ans Certes la France dispose d coles maternelles qui nous sont envi es dans le monde entier C est une invention fran aise la maternelle Celle ci a t attaqu e depuis cinq ans et peut tre m me davantage Le taux d encadrement sera remont de m me que le taux de scolarisation chez les enfants de moins de trois ans Il y aura une obligation d accueil pour le service public partir de 3 ans On se souvient qu il y a deux ans peine le recteur de l acad mie de la Guadeloupe avait d cid en application des instructions minist rielles de fermer le recrutement des l ves de moins de 3 ans Fin des valuations nationales S appuyant aussi sur des rapports nationaux notamment celui du Haut Conseil de l Education M Hollande annonce la suppression des valuations nationales de CE1 et de CM2 peu fiables qui aujourd hui accablent les professeurs et qui ne produisent que des statistiques et leur remplacement par une valuation ind pendante et incontestable D fense du coll ge unique Fran ois Hollande est aussi revenu sur un sujet important le coll ge unique Il pense qu il faut le maintenir le renforcer Garder le plus longtemps possible les l ves sur un tronc commun c est pour lui une question d quit Contrairement ce qui est dit ou pr tendu
6. connaissance Comme nous aimerions qu il soit entendu comme l poque a d tre entendu et bien compris celui qui le 25 Brumaire An XCII 17 novembre 1883 adressait cette fameuse Lettre aux instituteurs dont nous vous adressons ci dessous le texte presque int gral Lettre aux instituteurs Jules Ferry Quintidi 25 Brumaire An XCII 17 novembre 1883 Monsieur l Instituteur Des diverses obligations que le r gime nouveau vous impose celle assur ment qui vous tient le plus c ur celle qui vous apporte le plus lourd surcro t de travail et de souci c est la mission qui vous est confi e de donner vos l ves l ducation morale et l instruction civique vous me saurez gr de r pondre vos pr occupations en essayant de bien fixer le caract re et l objet de ce nouvel enseignement La loi du 28 mars se caract rise par deux dispositions qui se compl tent sans se contredire d une part elle met en dehors du programme obligatoire l enseignement de tout dogme particulier d autre part elle y place au premier rang l enseignement moral et civique L instruction religieuse appartient aux familles et l Eglise l instruction morale l Ecole Le l gislateur n a donc pas entendu faire une uvre purement n gative Sans doute il a eu pour premier objet de s parer l Ecole de l Eglise d assurer la libert de conscience et des ma tres et des l ves de distinguer enfin deux domaines trop lon
7. d cole Un trop grand nombre de d saccords surviennent du fait que trop souvent les parents mais aussi les professionnels de l ducation m connaissent le fonctionnement de l Institution dont nous dit on certains se croient seuls ma tres bord Nous voudrions alors rappeler tous que les repr sentants de parents d l ves peuvent avoir dans ces cas un r le de m diateur En effet dans les coles et tablissements scolaires les repr sentants des parents d l ves facilitent les relations entre les parents d l ves et les personnels Ils peuvent intervenir aupr s des directeurs d cole ou des chefs d tablissement pour voquer un probl me particulier et assurer ainsi une m diation la demande d un ou des parents concern s En toute circonstance les repr sentants des parents sont tenus une obligation de confidentialit l gard des informations caract re personnel dont ils peuvent avoir connaissance article D 111 11 du code de l ducation Au cas o une voie d entente n aurait pu tre trouv e avec le directeur ou le chef d tablissement ou que la demande soit rest e sans effet gt pour les coles maternelles et l mentaires ils doivent se rapprocher de l inspecteur de l ducation nationale de la circonscription dont rel ve l cole de l enfant ainsi que des services de l inspection acad mique du d partement gt pour les coll ges lyc
8. de commettre une fraude un acte f t il l ger de contrebande ou de braconnage vous n avez rien fait encore La le on de morale n a pas port Ou bien vous leur avez expliqu ce que c est que la Justice et la V rit en sont ils assez profond ment p n tr s pour aimer mieux avouer une faute que la dissimuler par un mensonge pour se refuser une ind licatesse ou un passe droit en leur faveur Vous avez fl tri l go sme et fait l loge du d vouement ont ils le moment d apr s abandonn un camarade en p ril pour ne songer qu eux m mes Votre le on est recommencer De ce caract re plus pratique de l ducation morale l cole primaire il me semble facile de tirer les r gles qui doivent vous guider dans le choix de vos moyens d enseignement Une seule m thode vous permettra d obtenir les r sultats que nous souhaitons peu de formules peu d abstractions beaucoup d exemples et surtout d exemples pris sur le vif de la r alit Ces le ons veulent un autre ton une autre allure que tout le reste de la classe je ne sais quoi de plus personnel de plus intime de plus grave Ce n est pas le livre qui parle ce n est m me plus le fonctionnaire c est pour ainsi le p re de famille dans toute la sinc rit de sa conviction et de son sentiment Est ce dire qu on puisse vous demander de vous r pandre en sorte d improvisation perp tuelle sans aliment et sans appui du dehors Personne n y a song
9. l ves et les enseignants Le mat riel de vote bulletins et enveloppes ventuellement accompagn s des textes de profession de foi des candidats est adress simultan ment l ensemble des parents Ces documents sont exp di s par la poste ou distribu s aux l ves pour LE VOTE PAR CORRESPONDANCE Si vous ne pouvez vous rendre le jour du vote au bureau des lections scolaires de l cole du coll ge ou du lyc e il vous reste la possibilit d exercer votre droit de vote par correspondance Pour cela il vous faudra utiliser l enveloppe retour qui fait partie du mat riel de vote qui vous sera transmis avant l lection Cette proc dure garantit la confidentialit Un conseil ne tardez pas renvoyer votre vote vous pouvez d ailleurs le faire d s r ception de votre mat riel de vote En outre comme il est indiqu dans la note de service concernant les lections des repr sentants de parents d l ves aux conseils des coles et aux conseils d administration votre vote par correspondance sous pli ferm pourra aussi tre transmis directement l tablissement scolaire par votre enfant Les 12 et 13 octobre 2012 les parents vont lire leurs repr sentants aux instances de gestion et de d cision des coles coll ges et lyc es Des lections qui rev tent une importance d terminante quant au r le essentiel que les parents d l ves tiennent au sein des tablissements scolaires
10. le coll ge unique permet aussi la diversit des parcours Ce n est pas un syst me o tous les l ves passent sous la toise Nous avons besoin d une structure commune tous les l ves l orientation ne peut pas tre trop t t sinon nous savons bien qu elle sera un d terminisme social lorsque nous regardons ce qui fonctionne le mieux en Europe et dans le monde eh bien le syst me ducatif qui a le plus de performance les meilleurs r sultats c est celui o il y a une importance et une dur e du tronc commun Formation des enseignants M Hollande annonce galement la refonte totale de la formation des enseignants dont tout le monde s accorde a dire que c est un dossier et chec majeur du pr c dent quinquennat Les syst mes ducatifs les plus performants sont ceux qui assurent une formation initiale et continue des professeurs de grande qualit L actuel gouvernement a d truit cette formation Nous apprenons que la formation initiale et continue des professeurs puisque d ores et d j est annonc e la cr ation d Ecoles Sup rieures du Professorat et de l Education Orientation nouveaux programmes Nous nous r jouissons galement de l annonce d une r forme de l orientation o le choix premier des l ves devra tre respect Louable car l orientation est un norme probl me dans l hexagone autant que dans nos d partements Mais il faudra songer former
11. organisation du suivi de l orientation est en cours de fa on permettre une plus grande r activit dans le suivi des flux d orientation Une premi re tape a t mise en place cette ann e A partir de la r ception des intentions d orientation l issue du second trimestre qui ont montr un taux acad mique de passage de troisi me en 2nde GT de 56 le taux acad mique attendu est de 60 Un courrier a t envoy l ensemble des principaux de coll ge un courrier sp cifique a t envoy aux tablissements pour lesquels le d ficit se traduit par au moins 4 orientations manquantes Les inspecteurs r f rents ont accompagn s ces chefs d tablissement Une r union de pilotage de l affectation en 2nde et premi re a t mise en uvre les places existantes suffisent accueillir les l ves orient s 2 Dispositifs de pr vention du d crochage scolaire a D veloppement des actions de pr vention dans trois dimensions L tablissement O Redynamisation des GAIN groupe d aide l insertion ou cellule de veille dans chaque tablissement En coll ge rep rage anticip des l ves d s le CM2 dans le cadre de la liaison En lyc e rep rage des l ves d s la seconde suivi en cellule de veille des cas d absent iste de la 2nde la terminale parcours individualis s alternance Il faut toutefois tre vigilant et ne pas stigmatiser l l ve Le bassin LCI Exp rime
12. re O Tuteur de l l ve des l ves ee renr DlaSS ele rh je d sireadh reralAPE PAPEG Id e Rd er den Je me propose comme parent O D l gu au Conseil de classe Oui O signature Falbar 4 les 2012 Guide synth tique d actions des parents dans l tablissement P riode Fr quence Actions D but septembre Pr paration de la R union de rentr e en d finissant les actions mener pour les l ves et les parents ceci avec les parents lus de l ann e pr c dente et les nouveaux invit s par diffusion d un mot et par affichage e I faut veiller disposer d un tableau d affichage et d une boite lettres Recensement de la situation de l tablissement en remplissant la fiche Premier Bilan selon les informations donn es par la direction ainsi rencontr e Une premi re formation est faite l attention des nouveaux parents A la r union g n rale de rentr e Forte pr sence de l quipe des parents pr c demment constitu e Prise de parole invitant les parents uvrer dans l tablisse ment dont il est expos bri vement les difficult s ou avantages en pr sentant un programme d actions envisag es sur l ann e Laisser des coordonn es t l phoniques pour permettre aux autres de vous tre joindre Diffusion du document de pr sentation de la FAPEG plus circulation de l imprim appel c
13. ce aux comptines ils apprennent les chiffres Ils comparent et trient des formes g om triques afin de d velopper leur logique Ils manipulent les objets touchent et m langent les mati res Ainsi leur curiosit s veille et leurs comp tences intellectuelles s affinent Que devient la glace quand on la chauffe En observant les r sultats de leurs exp riences les tout petits acqui rent m me des notions de physique Et apr s tout cela on osera dire qu on ne fait rien l cole maternelle Non On devrait tout simplement comprendre qu elle n est pas une cole comme les autres La Lettre de Jules Ferry aux instituteurs Dans une r cente d claration qu il a faite M Fran ois Hollande Pr sident de la r publique a propos un pacte ducatif entre la nation et l cole Je veux a t il dit une refondation Pas une restauration une refondation de l cole En effet il parle de valeurs d effort de respect de la cit d autorit fond e sur les qualit s morales et intellectuelles reconnues et sur l exemplarit de celui qui la d tient La culture a t il dit n est pas l apanage d une cat gorie sociale ou de quartiers La culture est disposition de tous les l ves Il n y a pas de culture lev e et de culture qui le serait moins Je ne n glige pas non plus le redressement moral Le savoir doit tre valoris L cole est faite pour transmettre de la
14. de la courtoisie de l effort avec des cadeaux cons quents pour motiver les l ves qui souhaitent pouvoir s exprimer et se valoriser Elle devra contribuer la promotion de la culture et du patrimoine guadeloup en Les relations avec le si ge et les autres tablissements constituant la section et la zone sont trait es ailleurs FEDERATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D ELEVES DE LA GUADELOUPE R sidence les Collinettes Esc 21 Appt 211 97142 Grand Camp Abymes amp amp Fax 0590 83 64 90 Courriel association fapeg orange fr Association loi 1901 Constitu e le 02 02 1986 ELECTION AUX CONSEILS D ECOLE ET D ADMINISTRATION DES 12 13 OCTOBRE 2012 Profession de foj La F A P E G premi re f d ration de parents d l ves en Guadeloupe a t cr e le 2 f vrier 1986 sous l impulsion d un groupe de parents volontaires d sireux d laborer un point de vue nouveau R fl chir par eux m mes sur les difficult s de l ducation en Guadeloupe Elle rassemble plus d une centaine d Associations de parents Durant toutes ces ann es de r flexion et de travail opini tre afin d amener les parents un meilleur accompagnement de leurs enfants et une plus grande mobilisation dans l action scolaire la F A P E G peut s enorgueillir d avoir secou en partie l inertie des uns et ouvert les esprits des autres pour une d marche plus solidaire vers le succ s
15. du plus grand nombre d l ves de la Guadeloupe en s appuyant sur les m mes principes de base D fendre les int r ts des l ves Encourager les parents s impliquer davantage dans le secteur ducatif tant scolaire que familial R duire les in galit s et militer pour un enseignement de qualit Depuis quelques ann es la FAPEG est la seule f d ration de parents d l ves s tre engag e activement aux c t s de partenaires institutionnels pour la mise aux normes parasismiques des b timents scolaires l accompagnement la scolarit des enfants dans les tablissements scolaires l information et la pr vention quant aux probl mes de sant publique qui se posent avec acuit dans notre soci t la poursuite des actions du REAAP R seau d Ecoute d Accompagnement et d Appui des Parents NOS OBJ ECTIFS POUR 2012 2013 Poursuivre la normalisation des relations entre parents administration et personnels des tablissements Veiller l application effective des nouveaux textes en faveur des l ves Veiller l application des mesures r glementaires favorisant l int gration et l insertion des enfants handicap s et en difficult Faire en sorte que les l ves r ussissent mieux Veiller l application des mesures de s curit PPMS s curit routi re formation aux gestes l mentaires de premiers secours amp Continuer notre action pour o
16. l aide n cessaire au suivi des d crocheurs Le dispositif entre dans sa pleine mesure la rentr e 2012 d Projets de r ussite ducative Dans le cadre des Contrats Urbains de Coh sion Sociale CUCS l acad mie s implique dans les axes suivants ducation et acc s aux savoirs sant et acc s aux soins lien social citoyennet et participation la vie publique citoyennet pr vention de la d linquance justice IPRE regroupant les coll ges Abymes Bourg et Alexandre Issac 1PRE s articule autour des coll ges de Kermadec et Front de Mer IPRE est en cours Saint Claude IPRE va tre port par le CCAS de la municipalit au coll ge Campenon Basse Terre ce coll ge fermant la rentr e 2012 Des projets sont cofinanc s CESC activit s culturelles et sportives action de pr vention de sant Certains coll ges et lyc es b n ficient d adultes relais e Perspectives Le rectorat doit tre particuli rement impliqu dans l axe 3 projets d aide aux devoirs PRE port s par des associations ou des municipalit s 3 Dispositifs de lutte contre l illettrisme a Plan de pr vention Au niveau national Plan lanc en 2010 Mobilisation de l ducation nationale priorit fix e par le Ministre Rentr e 2011 Le plan de pr vention de l illettrisme intervient d s l cole maternelle et se prolonge durant toute la scolarit l mentaire Les
17. l ann e scolaire Cette proposition de d caler d une journ e au mois de juillet le d part des l ves alors qu ils ne sont plus pr sents depuis plusieurs semaines dans les coll ges et les lyc es nous oblige de toute vidence relancer l application de la reconqu te du mois de juin C est un vaste champ de r flexion qui nous est offert Comme vous le constatez de grands chantiers sont en cours et la FAPEG plus que jamais a besoin d hommes et de femmes de bonne volont pour poursuivre sa mission car un certain nombre d entre nous n auront plus le statut de parent d l ves la rentr e et il faudra du sang neuf pour assurer la poursuite de la transmission de nos valeurs La FAPEG doit s immuniser contre la crise du lien social Expression abondamment utilis e dans les m dias sans tre vraiment d finie le lien social est ce qui permet aux individus de vivre ensemble et de faire soci t permettre celle ci de tenir Le lien social permet aux soci t s de perdurer Si l on devait utiliser une image on pourrait dire qu il est le ciment de la soci t c est dire l ensemble des relations des normes et des valeurs communes qui lient les individus les uns aux autres les rendent solidaires et assurent la coh sion sociale La FAPEG a besoin de ce ciment pour promouvoir et d fendre les int r ts des parents d l ves les aider remplir leur r le de parent En effet nous ne pouv
18. les bases philosophiques Vous tes l auxiliaire et certains gards le suppl ant du p re de famille parlez donc son enfant comme vous voudriez que l on parl t au v tre avec force et autorit toutes les fois qu il s agit d une v rit incontest e d un pr cepte de la morale commune avec la plus grande r serve d s que vous risquez d effleurer un sentiment religieux Vous tiez embarrass pour savoir jusqu o il vous est d aller dans votre enseignement moral voici une r gle pratique laquelle vous pourrez vous en tenir Au moment de proposer vos l ves un pr cepte une maxime quelconque demandez vous s il se trouve votre connaissance un seul honn te homme qui puisse tre froiss de ce que vous allez dire Demandez vous si un p re de famille je dis un seul pr sent votre classe et vous coutant pourrait de bonne foi refuser son assentiment ce qu il entendrait dire Si oui abstenez vous de le dire sinon parlez hardiment car ce que vous allez communiquer l enfant ce n est pas que votre sagesse c est la sagesse du genre humain c est une de ces id es d ordre universel que plusieurs si cles de civilisation ont fait entrer dans le patrimoine de l humanit Si troit que vous semble peut tre un cercle d action ainsi trac faites vous un devoir d honneur de n en jamais sortir Restez en de de cette limite plut t que de vous exposer la franchir vous ne toucherez jamais avec trop de scru
19. partement Sur ce qui changera la rentr e 2012 Comme on pouvait s y attendre le recteur et ses collaborateurs IA DAASEN et Dir CAB ont fait l impasse sur les deux premi res questions et prenant pr texte du blocage par des parents de l cole de l Ilet P rou Capesterre l un d entre eux a m me avanc que les parents taient ceux qui jetaient de l huile sur le feu Nous avons fait appara tre au contraire que bien qu inform e par nous de certains dysfonctionnements constat s dans les tablissements scolaires l administration s abstenait syst matiquement de donner suite aux courriers que les associations de parents d l ves voire la F d ration lui adressait comme si elle les consid rait come des quantit s n gligeables Nous ne nous lasserons pas de d noncer ce type de comportement qui manifestement montre que les parents doivent rester des consommateurs d cole ob issants et disciplin s sans esprit critique et sans voix d o la pertinence de notre question sur l application du d cret 2006 935 du 28 juillet 2006 et de la circulaire n 2006 137 du 25 ao t 2006 Nous nous sommes donc rendus cette r union et nous devons nos mandants de leur rendre compte de cette r union Aussi nous leur proposons ci dessous le texte de l intervention de l IA DAASEN au sujet de la politique mise en uvre par le rectorat depuis 2011 1 Politique de suivi de l orientation Une r
20. plus s rieusement les conseillers d orientation en les maintenant au fait des volutions du march du travail et articuler davantage les relations entre entreprises et cole La maternelle n est pas une cole comme les autres Cr es en 1881 les coles maternelles fran aises tr s inspir es par les r flexions des p dagogues de l ducation nouvelle ont souvent t cit es comme le fleuron du syst me scolaire fran ais Qu en est il cent trente et un ans plus tard l heure o beaucoup de pays europ ens s interrogent sur la qualit de leur enseignement pr scolaire o l on voulait remettre en question cette institution N a t on pas entendu un Ministre de l ducation Nationale d sormais au ch mage s tonner qu il faille assurer aux professeurs des coles une formation bac 5 pour qu ils fassent faire la sieste aux enfants de l cole maternelle Pourquoi au lieu de faire ces d clarations indignes ce ministre n est 1il pas rest au moins une journ e dans les coles qu il visite plut t que frimer devant les cam ras Il constaterait alors que la grande majorit des enfants de la petite section et de la moyenne section ont besoin d une sieste reconstituante la mi journ e et avec des visites renouvel es il aurait pu enfin appr cier l importance de l cole maternelle dans le d veloppement corporel et c r bral de l enfant Une tude aupr s des enseignants des parents des inspec
21. soumettre la mondialisation lib rale L cole doit imposer ses exigences intellectuelles et morales si elle veut rester lib ratrice L cole publique doit redevenir le creuset de la vie sociale adulte Diderot rappelait qu avoir des esclaves est grave mais qu il y a plus intol rable avoir des esclaves et les appeler citoyens Dans un monde domin par une pens e unique lib rale et hyper m diatis e les citoyens deviennent vite des esclaves qui s ignorent L Ecole publique la que est une grande ambition pour viter cela condition que nous arrivions faire entendre notre voix et faire partager la foi pour cette uvre de raison et de justice IL ETAIT UNE FOIS UN CANDIDAT A L ELECTION PRESIDENTIELLE Lors de la campagne pour les pr sidentielles et notamment dans son discours d Orl ans du 9 f vrier 2012 le candidat Hollande avait promis que l Ecole serait l une de ses premi res pr occupations en affirmant la n cessit de tourner la page ducative du quinquennat de M Sarkozy Le quinquennat qui s ach ve aura t celui de la discorde de la division entretenue du d sordre L cole a t d grad e L ducation est devenue une variable d ajustement sur le plan budg taire Nous h ritons d une dette ducative Au m me titre qu il existe une dette financi re une dette budg taire eh bien il y a une dette ducative Rythmes scolaires p dagogie formation mi
22. Bulletin FAPEG N FEDERATION DES ASS k si S PARENTS D ELEVES DE LA uwe re b 1p e Fu Mu F d ration des Associations de Parents d El ves de la Guadeloupe re Lu 211 R sidence Les Collinettes Grand Camp 97142 LES ABYMES a T l amp Fax 0 590 83 64 90 courriel association fapeg orange fr www fapeg org Sommaire Editorial Activit s de la F d ration e Conseil d administration du 30 juin 2012 la D sirade e Interventions de la FAPEG e Rencontre du 3 juillet 2012 avec le recteur R flexions e Le Forum des parents e La refondation de l cole o Il tait une fois un candidat l lection pr sidentielle e La lettre de Jules Ferry aux instituteurs e L cole maternelle n est pas une cole comme les autres Rentr e scolaire 2012 2013 e Orientation en fin de seconde ann e scolaire 2011 2012 e Quelques conseils pour r ussir sa rentr e au lyc e e La rentr e scolaire 2012 2013 la FAPEG e Guide synth tique d actions des parents dans l tablissement e Elections aux conseils d cole et d administration des 12 et 13 octobre 2012 e Elections scolaires des 12 et 13 octobre 2012 Profession de foi e Elections des 12 et 13 octobre 2012 Textes divers e Elections scolaires Mode d emploi e Flyer J aime mon enfant et je me pr occupe de son avenir Editorial Chers pr sidents Chers parents Nous ne le r p terons jam
23. ais assez nous sommes les premiers ducateurs de nos enfants et nous aspirons ce qu il y a de meilleur pour eux dans toutes les sph res o ils voluent C est cette fin que nous devons les consid rer dans leur globalit Il y a l un vrai d fi relever si nous voulons que nos enfants deviennent des adultes panou is et responsables Certes l enfant doit acqu rir l cole des savoirs des savoir tre et des savoir faire mais il doit aussi b n ficier d une coute de la part des adultes et des r ponses ses interrogations Pour atteindre cet objectif l enseignant doit adapter sa p dagogie aux l ves qu il a en charge sans oublier le contexte familial dont ils sont issus Une relation harmonieuse entre parents et enseignants est galement indispensable car c est en travaillant ensemble que nous pourrons am liorer la qualit des temps de vie de l enfant Ainsi la FAPEG a int gr le comit de pilotage du Projet relation Ecole Famille pour 2012 2013 en Education Prioritaire initi par le rectorat de la Guadeloupe Parmi les axes de travail de la mission Education prioritaire de l Acad mie de la Guadeloupe une action sp cifique en direction des familles a t envisag e La rentr e des parents Il s agira d accueillir et d informer les familles gr ce de courts d bats des rencontres avec des professionnels de l action ducative de reconstruire la confiance des parents dan
24. ais que c est une institution de l tat cela veut dire que celui ci doit garantir les objectifs et ce qui se fait dans l cole publique Si nous affirmons que les missions de l cole telles que nous venons de les noncer sont les missions d une cole laquelle nous croyons sinc rement parce qu elle seule est le premier maillon du n cessaire vivre ensemble alors comment comprendre cet abandon id ologique Allons nous accepter la marchandisation rampante de l cole Allons nous laisser s tablir dans les esprits que cette cole publique est disqualifi e et que seules des officines priv es sont m me d apporter des r ponses s rieuses aux inqui tudes de nos concitoyens Allons nous assister sans r agir la mise en concurrence des tablissements scolaires sous pr texte d obligation de r sultats Force est de constater que l enseignement priv et confessionnel se situe dans ce registre lorsqu il s agit de communiquer dans ce domaine Nous faisons tous le constat d une soci t de plus en plus individuelle sans communication v ritable entre ses diff rentes composantes o les seuls crit res d identification sont sociaux professionnels communautaristes alors que l cole est le lieu o le vivre ensemble harmonieux peut le mieux commencer s laborer Allons nous abandonner le dernier bastion commun tous les jeunes de ce pays pour nous adapter l air du temps et ainsi nous
25. andidature aux fonctions de d l gu s sur lequel les parents s inscrivent en indiquant leurs coordonn es t l phoniques notamment C est le document de recrutement des parents Annoncer les jour heure lieu de la prochaine r union Apr s la r union g n rale R union avec tous les parents et surtout ceux qui ont fait acte de candidature pour tablir d mocratiquement selon la disponibilit et la dur e que fera le parent dans l tablissement en fonction de la classe de son enfant la liste des d l gu s aux prochaines lections R alisation d un tract pour informer les parents du programme et des candidats FAPEG plus affichage avec contacts t l phoniques Constitution de l quipe pour participer aux lections campagne avec affichage bulletin d information tract d invitation voter permanence du bureau de vote d pouillement Le jour des lections Pr sence discr te mais efficace de l quipe des parents pour inviter les parents voter surtout si une r union rencontre parents professeurs est organis e ce jour Plus de 30 de votants est un indicateur de mobilisation r ussie e Participation au d pouillement calcul des si ges et nombres de d l gu s plus signature du PV relatif au scrutin en y inscrivant les ventuelles observations Apr s les lections R union de l quipe des parents pour r partir les t ches et responsabilit s Mise en appli
26. btenir la s curisation des abords des tablissements Parents engageons nous pour la r ussite de nos enfants Rejoignez la FAPEG Le 12 octobre 2012 Votez et faites voter pour la liste FAPEG FEDERATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D ELEVES DE LA GUADELOUPE R sidence les Collinettes Esc 21 Appt 211 97142 Grand Camp Abymes amp amp Fax 0590 83 64 90 Courriel association fapeg orange fr Association loi 1901 Constitu e le 02 02 1986 Elections scolaires Mode d emploi Depuis plusieurs ann es d j chaque parent a le droit de vote et peut tre lu Autrement dit les deux parents quelle que soit leur situation matrimoniale sont lecteurs et ligibles Ils disposent d une voix chacun quel que soit le nombre d enfants inscrits dans la m me cole Notons que les parents de nationalit trang re b n ficient des m mes droits que les parents fran ais Dans le cas particulier o les parents n exercent pas l autorit parentale la surveillance et l ducation de l enfant tant confi es un tiers seul ce dernier a le droit de voter et de se porter candidat moins que celui ci ne soit d j lui m me parent d un enfant inscrit dans l tablissement le cumul tant interdit AVANT LE VOTE Les modalit s de l lection doivent tre communiqu es aux parents d s le d but de l ann e scolaire notamment lors de la r union entre les parents d
27. cation du programme d action sur lequel les parents se sont prononc s Formation des parents d l gu s surtout aux Conseils de classe et CA ou CE e Rencontrer les enseignants et l ves d l gu s pour changer sur l tablissement Elaboration d un bulletin r gulier trimestriel d information des parents sur la vie de l tablissement en y donnant la parole aux l ves d l gu s notamment Les r unions mensuelles R union de tous les parents sur les questions de remplacement d enseignants remplacer d s les 2 premiers jours d absences de difficult s diverses des l ves de Conseils de classe pr parer par la d signation des d l gu s ou suivre avec les compte rendu et les synth ses par niveau afin de mesurer les ventuels probl mes de Conseil d cole ou d administration pr parer pour faire des propositions dans les d lais et avoir une position commune concernant les sujets trait s d interclasse d orientation pour les l ves concern s Proposer un th me par r union psychologie de l adolescent tenue alimentation s isme en plus des questions r currentes pour int resser les parents Sur l ann e e R alisation de l action forte de l ann e pour impliquer les parents et tisser des liens avec les autres acteurs de la communaut ducative Forum des m tiers Village de No l Distribution des prix dont prix de la camaraderie par classe
28. d APE et de tous les adh rents de la FAPEG sur la n cessit de bien se p n trer du contenu des documents ci dessous mentionn s Ils concernent les lections des repr sentants de parents pour la rentr e 2012 et 1l sera peut tre utile de les rappeler aux directeurs d cole et chefs d tablissement en cas de difficult pour l organisation de ces lections circulaire cavl 2012 pdf circulaire personnel 2012 pdf annexes circulaire personnels 2012 pdf circulaire parents 2012 pdf annexes circ 020712 parents pdf circ rel par en 2012 pdf circ nat parents 2012 2013 pdf J AIME MON ENFANT ET JE ME PREOCCUPE DE SON AVENIR Papas mamans Parents d l ves Soyons attentifs La FAPEG c est notre soutien Votons FAPEG Les 2 parents votent e CONSEIL D ECOLE e CONSEILD ADMINISTRATION e CONSEIL DE CLASSE C est vrai que depuis que nous y sommes repr sent s les choses vont bien mieux pour nos enfants REMPLACEMENT DES PROFESSEURS ABSENTS SURVEILLANTS POUR ENCADRER RESTAURATION POUR TOUS CLASSES NON SURCHARGEES Les 12 et 13 octobre VOTONS ET FAISONS VOTER FAPEG
29. de la maison Jai choisi les tout petits parce que cela me permet d tre disponible l apr s midi pour assurer mes taches de direction mais aussi parce que j aime les tout petits et qu il est important qu une enseignante chevronn e marque d une bonne empreinte le premier contact de l enfant avec l cole Il faut que l enfant d s son entr e l cole se sente accueilli dans une ambiance chaleureuse gaie qui les emm ne aimer l cole Lorsqu il arrive le matin l enfant est pris en charge par les adultes puis par ses camarades Les activit s ne d butent pas tout de suite D s que les enfants se sont install s et qu ils montrent qu ils se sentent bien nous commen ons progressivement les activit s par le dessin et les continuons avec les jeux Ils viennent aupr s de la ma tresse pour lui raconter ce qu ils ont r alis d poser leurs trouvailles ce qui les en confiance Apr s cela commence alors la journ e Les petits apprennent ranger les jeux qu ils ont utilis s Ensuite nous parlons ensemble de ce qu ils aimeraient faire dans la journ e tout en ne perdant pas de vue les objectifs de l cole maternelle qui est d abord l apprentissage et le d veloppement du langage apprendre mieux parler mieux s exprimer ES s couter soi m me couter et comprendre ce que dit l autre On va donc travailler sur un sujet pr cis puisqu il s agit des tout petits ce sera des projets
30. de reconstruire la confiance des parents dans l Ecole galement d expliciter aux parents les attentes de l cole et de leur proposer des moyens d investir plus efficacement la scolarit de leur enfant d offrir aux familles des occasions de s informer et d changer pour un meilleur investissement dans le parcours ducatif de leurs enfants Certes des actions sont localement d j initi es avec l aide de partenaires mais ne touchent pas tous les parents Nous nous r jouissons bien s r de la d marche du Rectorat de l acad mie de la Guadeloupe qui souhaite rencontrer les parents dans le cadre de ce qu il est convenu d appeler Le Forum des parents notamment en tant qu il affiche un objectif majeur celui de reconstruire la confiance des parents dans l cole Nous rappelons que la FAPEG F d ration des Associations de Parents d El ves de la Guadeloupe a toujours eu comme finalit la d fense de l cole publique de ses l ves et l accompagnement des parents d l ves qui trop souvent se voient exclus de l cole soit parce qu ils n y connaissent rien soit parce qu on s en m fie et qu il serait pr f rable de les tenir l cart ou qu il faut les remettre leur place pour reprendre une expression totalement inconvenante Il faut reconna tre que de nombreux enseignants directeurs et directrices d cole chefs d tablissement manquent parfoi
31. des familles qu au niveau des tablissements de faire diminuer le nombre de pr sentation d l ves devant le conseil de discipline LES RYTMES SCOLAIRES En ce qui concerne le deuxi me point de mon expos c est dire les rythmes scolaires vous avez entendu les termes de la conf rence de presse du Ministre de l Education dans laquelle il est question du calendrier scolaire Le communiqu qui en r sulte pr cise je cite Conform ment au vote exprim le 28 juin par le Conseil sup rieur de l ducation organe repr sentatif qui regroupe l ensemble des acteurs et partenaires de l cole le ministre de l ducation nationale d cide la modification du calendrier scolaire 2012 2013 Les modifications du calendrier scolaire 2012 2013 sont les suivantes e Les vacances de la Toussaint dans les trois zones d buteront le samedi 27 octobre et se termineront le lundi 12 novembre 2012 au matin e Une journ e est rattrap e au mois d avril ou au mois de mai les l ves auront cours soit le mercredi 3 avril soit le mercredi 22 mai Le choix sera arr t localement par les recteurs Lorsque des cours sont d j organis s le mercredi matin les l ves auront cours mercredi 3 avril et mercredi 22 mai apr s midi e Il est noter que les mercredis travaill s ont t choisis dans des semaines comportant un jour f ri Il n y a donc pas d alourdissement de la semaine de travail ni pour les l ves ni pour les enseig
32. e acad mie et nous disons encore une fois combien il est dommage qu il faille ces sortes d injonction pour qu ils acceptent de donner la parole ceux dont ils pensent au fond d eux m mes qu ils n ont rien dire sur l Ecole car l Ecole est un domaine qui sort de leurs comp tences Pourtant les parents d l ves FAPEG sont tout fait conscients que l cole est le reflet de notre soci t de toutes nos craintes et de tous nos espoirs Il est donc normal que nous fassions entendre notre voix la fois pour rappeler quelques constats et pour pr senter quelques propositions L cole d aujourd hui occupe une place importante dans la soci t Une soci t dans laquelle des mutations profondes in dites rapides et incessantes affectent toutes les dimensions de la condition humaine connaissances techniques relations sociales identit s morale conomie communications Ces mutations cr ent des situations incertaines contradictoires paradoxales et interd pendantes Elles engagent de nouveaux champs de responsabilit s pour tous les humains Cependant dans une soci t o les rep res se brouillent les peurs s insinuent l avenir est opaque l emploi change de nature et devient le plus souvent pr caire le repli sur soi s accentue les in galit s se creusent l ducation et l cole subissent de plein fouet les effets de cette crise La production des richesses le progr s des science
33. e de fa on verticale Par cons quent nous demandons aux parents s ils ne sont pas entendus au niveau le plus bas de s adresser plus haut dans la cha ne hi rarchique et nous leur proposons le sch ma suivant Les parents se plaignent d un dysfonctionnement directement son auteur et celui ci doit r pondre Les parents se plaignent au principal ou au proviseur ou l IEN celui ci doit solliciter le personnel mis en cause et leur r pond Les parents se plaignent l inspecteur d acad mie celui ci doit demander des comptes au chef d tablissement ou PIEN pour le 1 degr qui sollicite le personnel mis en cause et rend compte l inspecteur d acad mie qui fera une r ponse Les parents crivent au ministre ses services demandent des l ments de r ponse au recteur qui r percute l inspecteur d acad mie qui r percute au proviseur qui sollicite le personnel mis en cause et rend compte l inspecteur d acad mie qui rend compte au recteur qui rend compte au minist re qui leur r pond Malheureusement ce sch ma n est pas suivi dans notre acad mie et un trop grand nombre de personnes interf rent dans le traitement des affaires dont on constate que ce n est jamais dans le respect des droits des l ves et des parents C est pourquoi nous souhaitons vivement que soit respect ce fonctionnement vertical ou chacun devra assurer ses r les et comp tences Par ailleurs nou
34. e et implique le retrait provisoire de l cole La situation de l enfant est alors soumise l quipe ducative laquelle participent le m decin charg du contr le m dical scolaire et un membre du r seau d aides sp cialis es l issue de la r union le directeur d cole prend en accord avec l inspecteur de l ducation nationale une d cision apr s un entretien avec les parents La circulaire pr cise que des contacts fr quents doivent tre maintenus entre les parents et l quipe ducative de fa on permettre dans les meilleurs d lais la r int gration de l l ve dans le milieu scolaire Exemples Un petit gar on avait agress physiquement plusieurs reprises d autres l ves dans une cole maternelle La directrice de cet tablissement a estim apr s un incident grave o l enfant avait encore agress deux de ses camarades qu il pr sentait un danger constant pour les autres et que la surveillance particuli re impos e par son comportement se r v lait incompatible avec le fonctionnement de l cole Une mesure de retrait provisoire est alors d cid e Les parents ont port l affaire devant le juge administratif qui consid ra 1 qu il n est pas contest que l l ve avait plusieurs reprises agress physiquement d autres l ves d une mani re exc dant sensiblement ce qui est habituel et tol rable de la part d un enfant de son ge Tribunal administratif de Paris 1995 2
35. es corps d inspection 1 2 d charge 4 Pilotage des unit s d enseignement et des corps d inspection Deux grands axes de travail Am liorer la performance p dagogique du syst me ducatif en Guadeloupe Coordonner l action des personnels d encadrement pour une meilleure r ussite ducative et p dagogique dans l acad mie REFLEXIONS FORUM DES PARENTS OU LES VOIES LES VOIX DU DIALOGUE ET DE LA MEDIATION Lors de notre rencontre avec le recteur d acad mie le 3 juillet dernier il nous a t pr sent les contours d un projet intitul relation Ecole Famille pour 2012 2013 en Education Prioritaire De quoi s agit il pr cis ment De l avis du rectorat c est d abord parce que la r gularit et la qualit des relations construites avec les parents constituent un l ment d terminant dans l accomplissement de la mission confi e au service public de l ducation Ensuite parce que l obligation faite l Etat de garantir l action ducative des familles requiert de soutenir et renforcer le partenariat n cessaire entre l institution scolaire et les parents d l ves l galement responsables de l ducation de leurs enfants En fait tout le monde reconna t combien est difficile le dialogue entre l Ecole et les Familles qui selon les promoteurs de cette op ration se situerait entre incompr hension et manque d implication Il s agit alors
36. es g n raux et technologiques et lyc es professionnels les parents peuvent prendre l attache des services sociaux en faveur des l ves au sein de l tablissement de l enfant ainsi que des services juridiques du rectorat de l acad mie gt le m diateur de l ducation nationale et de l enseignement sup rieur de l acad mie habilit recevoir les r clamations qui proviennent des parents d l ves et des personnels peut tre saisi Il est regrettable de constater que dans notre acad mie la pression monte souvent soit parce que l administration n glige de r pondre aux courriers des parents m connaissant ainsi la circulaire Rocard du 23 f vrier 1989 relative au renouveau du service public rappelant la responsabilit qui est celle de l administration de r pondre aux courriers qui lui sont adress s soit parce que les parents s adressent parfois la mauvaise personne Aussi il nous parait important de rappeler qui est le chef de qui dans cette entreprise qu est l ducation nationale Le professeur de lyc e ou de coll ge est sous l autorit du chef d tablissement Le professeur des coles est sous l autorit de PIEN Le principal et le proviseur sont sous l autorit du Directeur des services de l Education Nationale dans le cas de notre acad mie monod partementale du Recteur Les recteurs d pendent du ministre de l ducation nationale L ducation nationale fonctionn
37. fants Malgr les nombreuses invitations remises et envoy es aux parents de la zone nous regrettons que seule une douzaine de personnes se soient senties concern es et se soient d plac es Qu cela ne tienne nous avons tenu un groupe de parole L change entre parents a t tr s fructueux et ils manifestent le vif d sir de participer d autres r unions de ce type Rencontre du mardi 3 juillet 2012 avec le Recteur Le mardi 3 juillet une d l gation de la FAPEG compos e de Fran oise GACE Bernard MELON Jacques F FORIER respectivement pr sidente pr sident de la zone Centre et Secr taire g n ral de la FAPEG a t re ue en m me temps qu un repr sentant de la FCPE et de l APEL pour nous faire le point sur la politique acad mique et r pondre aux questions qui nous pr occupent et dont nous avons adress les th matiques au moins deux semaines avant la date de la r union sa demande l autorit hi rarchique Nous souhaitions entendre le recteur nous r pondre sur la r elle application du d cret 2006 935 du 28 juillet 2006 et de la circulaire n 2006 137 du 25 ao t 2006 relatifs la repr sentation des parents d l ves et que soient pr cis s les contours du forum des parents pour s acheminer r solument vers un respect mutuel entre parents et enseignants entre parents et administration sur la n cessit d adapter les rythmes scolaires la r alit de notre d
38. gtemps confondus celui des croyances qui sont personnelles libres et variables et celui des connaissances qui sont communes et indispensables tous de l aveu de tous Mais il y a autre chose dans la loi du 28 mars elle affirme la volont de fonder chez nous une ducation nationale et de la fonder sur des notions du devoir et du droit que le l gislateur n h site pas inscrire au nombre des premi res v rit s que nul ne peut ignorer Pour cette partie capitale de l ducation c est sur vous Monsieur que les Pouvoirs Publics ont compt En vous dispensant de l enseignement religieux on n a pas song vous d charger de l enseignement moral c e t t vous enlever ce qui fait la dignit de votre profession Au contraire il a paru tout naturel que l instituteur en m me temps qu il apprend aux enfants lire et crire leur enseigne aussi ces r gles l mentaires de la vie morale qui ne sont pas moins universellement accept es que celles du langage et du calcul En vous conf rant de telles fonctions le Parlement s est il tromp A t il trop pr sum de vos forces de votre bon vouloir de votre comp tence Assur ment il e t encouru ce reproche s il avait imagin de charger tout coup quatre vingt mille instituteurs et institutrices d une sorte de cours ex professo sur les principes les origines et les fins derni res de la morale Les uns vous disent Votre t che d ducateur est impossible
39. il d cole et sur proposition du directeur 4 la famille obligatoirement consult e sur le choix de l tablissement d accueil a la possibilit de faire appel de la d cision En fait les sanctions prononc es ouvrent droit aux parents d en demander l annulation au tribunal administratif Les proc dures disciplinaires des l ves du premier degr restent rarissimes Elles sont plus nombreuses dans l enseignement secondaire et n ob issent pas aux m mes proc dures Nous ne reviendrons pas sur les proc dures disciplinaires dans les EPLE Nous en avons fait l analyse l ann e derni re lors de notre CA qui s est tenu Morne A L eau Mais nous voudrions insister sur le fait que parce qu il est inscrit parmi l ensemble des mesures ducatives le conseil de discipline ne doit tre ni proscrit ni banalis et tre utilis pour conserver son caract re ducatif quand d autres actions alternatives ont ant rieurement montr leurs limites Il doit participer l apprentissage de la citoyennet et permettre l l ve concern de prendre conscience de sa faute et de se rendre compte de son comportement face aux repr sentants de la communaut ducative d accepter les r gles dans une soci t d en conna tre les modes d laboration de ressentir la n cessit de les respecter pour se respecter lui m me En outre il doit permettre de retrouver le calme dans la communaut ducative perturb e par les agissement
40. l ves doivent ma triser la langue fran aise pour r ussir leur scolarit c est la premi re des priorit s Circulaire de rentr e Objectifs l cole maternelle pr parer tous les l ves l apprentissage de la lecture En CP et en CE1 apprendre lire tous Au cycle 3 d velopper les comp tences des l ves et pr parer le passage au coll ge Au coll ge suivre de pr s les acquis des l ves Le plan de pr vention de l illettrisme lanc en 2010 combine des actions nationales et acad miques formation des enseignants nomination dans chaque acad mie d un r f rent sur la pr vention de l illettrisme charg de l accompagnement de ces actions la mise disposition de ressources pour les quipes p dagogiques Au plan acad mique mise d un plan acad mique de pr vention et de lutte contre l illettrisme 2010 2015 Nomination de charg s de mission qui pilotent le dossier Illettrisme premier et second degr qui entre dans l action g n rale men e par la Mission acad mique intitul e Ma trise de la langue fran aise Cette mission acad mique s occupe entre autres des nouveaux arrivants et a contribu la cr ation d un CASNAV centre acad mique pour la scolarisation des nouveaux arrivants et des enfants du voyage b Perspectives D velopper un programme d actions sp cifiques dans le cadre de la cellule familiale Nommer un charg de mission illettrisme parmi l
41. l ves qui n ont pas d affectation la suite leur exclusion d finitive de leur tablissement scolaire Il pr cise qu un CAP a t ouvert au Lyc e de Pointe Noire Bouillante Sur 9 dossiers m dicaux 5 ont obtenu un avis favorable 1 a obtenu une priorit relative et 3 sont invit s largir leurs v ux L effectif par fili re L ES S STI ST2S STMG et par tablissement est donn Le constat la lecture du nombre d inscriptions du 1 v u fait apparaitre qu il y des tablissements et des fili res en tension et l inverse donc certains l ves devront choisir leur second v ux Cette commission est suivie de celle concernant les post 3 r union des Principaux de coll ge et ses membres sont invit s se joindre la Dans la base de donn s 8134 l ves sont pr sents are g n rale SEGPA ULIS DIMA et 2 redoublants la lecture des effectifs par fili re et par tablissement il n y aurait pas de soucis particuliers le 1 v u des l ves leur serait accord Compte tenu que J ai t pr venu tardivement je n ai pas pu assister compl tement cette deuxi me r union ayant d j pris par ailleurs des engagements professionnels BM RENTREE SCOLAIRE ANNEE 2012 2013 z FEDERATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D ELEVES DE LA GUADELOUPE AN F A P E G A 211 R sidence Les Collinettes Grand Camp 97142 LES ABYMES T l Fax 0 590 83 64 90 Courriel ass
42. l expression de ma consid ration distingu e Le Pr sident d Conseil Ministre de l Instruction Publique et des Beaux Arts Jules Ferry ORIENTATION EN FIN DE TROISIEME ET EN FIN DE SECONDE ANNEE SCOLAIRE 2011 2012 Cette commission compos e du CSAIO des Chefs d tablissements d accueil d un Directeur de CIO d un M decin scolaire et deux repr sentants des parents d l ves s est tenue le 22 juin 2012 au Lyc e G n ral et Technologique de PROVIDENCE aux Abymes La commission tudie les dossiers des l ves qui souhaitent une orientation en 1 mais dans une nouvelle fili re soit au sein du m me tablissement soit dans un autre tablissement Ces demandes de changement de fili re sont justifi es g n ralement par un rapport tabli par le m decin scolaire ou la suite des stages passerelles effectu s par l l ve apr s accord de l tablissement d accueil Tous ces changements d orientation sont tudi s et la commission donne son avis en fonction des capacit s d accueil disponibles Tout avis positif donne droit des points suppl mentaires qui font que l l ve devient prioritaire Le repr sentant du Recteur M Jos REIDOR responsable du CSAIO pr cise que l an dernier 70 l ves n avaient pas trouv d orientation et les CIO avaient la charge de v rifier les possibilit s d orientation Cette ann e 10 dossiers r currents sont pr sent s par les CIO pour des
43. lations m mes dont on a cherch exciter les inqui tudes ne r sisteront pas longtemps l exp rience qui se fera sous leurs yeux Quand elles vous auront vu l ouvre quand elles reconna tront que vous n avez d autre arri re pens e que de leur rendre leurs enfants plus instruits et meilleurs quand elles remarqueront que vos le ons de morale commencent produire de l effet que leurs enfants rapportent de votre classe de meilleures habitudes des mani res plus douces et plus respectueuses plus de droiture plus d ob issance plus de go t pour le travail plus de soumission au devoir enfin tous les signes d une incessante am lioration morale alors la cause de l Ecole la que sera gagn e le bon sens du p re et de la m re ne s y tromperont pas et ils n auront pas besoin qu on leur apprenne ce qu ils vous doivent d estime de confiance et de gratitude J ai essay de vous donner Monsieur une id e aussi pr cise que possible d une partie de votre t che qui est certains gards nouvelle qui de toutes est la plus d licate permettez moi d ajouter que c est aussi celle qui vous laissera les plus intimes et les plus durables satisfactions Je serais heureux si j avais contribu par cette lettre vous montrer toute l importance qu y attache le Gouvernement de la R publique et si je vous avais d cid redoubler d effort pour pr parer notre pays une g n ration de bons citoyens Recevez Monsieur l Instituteur
44. ment donne galement pr texte une s ance de langage expression parfois spontan e de l enfant j ai bien dormi j ai r v j ai eu un petit accident fait pipi Les ATSEM personnels compl mentaires de la ma tresse dans les coles maternelles ont plusieurs r les Comme la ma tresse elles doivent conna tre les enfants Elles veillent leur hygi ne les emm nent aux toilettes les chouchoutent les aident manger participent l organisation des jeux Comme on le voit la maternelle n est pas une cole comme les autres De la petite section la grande section les enfants se socialisent apprennent gr ce au jeu et testent leurs possibilit s cr atives intellectuelles et motrices Tout un programme que nous r sumerons comme suit En petite section priorit au langage Au contact des autres les enfants deviennent plus sociables et comprennent qu ils doivent partager ainsi la ma tresse ne peut pas tre disponible imm diatement pour chacun d entre eux en m me temps Ces exp riences leur permettent d affirmer leur personnalit ils d limitent d sormais leur territoire en poss dant par exemple leur casier et leur porte manteau et du m me coup apprennent respecter celui des autres En petite section tout est pr texte discussion pour permettre aux enfants de 3 ans d am liorer leur langage ils observent les plantes les animaux et en parlent abondamment Les s ances de
45. mique les CEMEA recrutement et avance de financement des ducateurs sp cialis s et jeunes du service civique les CUCS les CISPD les communes Exp rimentation 2 Relation tablissements Mission G n rale d insertion dans le Nord Grande Terre Objectif cr er un v ritable fil rouge qui doit permettre de favoriser en tablissement une r elle coh rence et en bassin d accompagner les tablissements sur le suivi des l ves rep r s Suivi des l ves pris en charge pendant 3 ans Mise en place de protocoles uniques pour le GAIN Prise en charge coh rente et globale du jeune face face professeur l ve hors de la classe pendant la restauration les interclasses les trajets apr s l cole dans la semaine pendant les weekends et les vacances Exp rimentation 3 Relation tablissements Mission G n rale d insertion Municipalit dans le Nord Basse Terre coll ges de Sainte Rose Lyc e de Sainte Rose Objectif rep rer et prendre en charge les l ves absent istes ou exclus Mise en place de documents navette entre tablissements et mairie pour signaler ces jeunes R union en commission pour la prise en charge conjointe et coh rente c Mise en place de la plate forme de suivi et de d crochage La structure de la plate forme est en place nous avons proc d aux recrutements n cessaires une assistante au charg de projet et 5 vacataires pour apporter au niveau du bassin
46. motricit o ils sautent courent et jouent au ballon sont l occasion d enrichir leur vocabulaire Ainsi des mots comme dessus dessous devant ou derri re prennent un sens concret L institutrice les r gale galement de comptines et les incite raconter leurs impressions autour des jeux d eau des ateliers de p te modeler ou de peinture Gr ce au dessin ils am liorent leur graphisme en tra ant des ronds des traits et des courbes En moyenne section la cr ativit avant tout A 4 ans les enfants apprennent maintenant reconna tre leur pr nom et le recopier Peu peu ils crivent de nouveaux mots comme papa maman ou les jours de la semaine Ils se familiarisent avec la lecture et commencent feuilleter des albums La ma tresse profite d occasions particuli res No l Carnaval P ques pour encourager leur cr ativit Au programme des ateliers de peinture o ils d couvrent diff rentes techniques ponge pochoir au doigt et la fabrication d objets pour s exercer coller d couper assembler Enfin les jeux chant s et rythm s permettent de s initier la musique tout en apprenant coordonner ses mouvements En grande section place au raisonnement Le cours pr paratoire approche Les enfants de 5 ans poursuivent leur d couverte de l criture et de la lecture les murs sont d cor s d affiches racontant leurs sorties des recettes de cuisine qu ils ont test es Gr
47. nants e Les vacances d t commenceront le samedi 6 juillet 2013 apr s la classe au lieu du jeudi 4 juillet Les vacances de la Toussaint sont ainsi port es deux semaines pleines pour permettre un v ritable repos au cours du premier trimestre dont la longueur est pr judiciable l attention des l ves Le nombre de jours travaill s dans l ann e et la dur e des vacances sont inchang s Le principe d une alternance r guli re entre les p riodes de cong et de travail inscrit dans les lois de 1989 et 2005 est ainsi mieux respect Cette d cision ajoute le communiqu a t prise dans le respect des proc dures de consultation La concertation sur les autres questions relatives aux rythmes scolaires temps de la journ e de la semaine et de l ann e se poursuivra dans le cadre de la consultation nationale sur la refondation de l cole Comme vous l aurez constat les d partements d outre mer les collectivit s d outre mer et la Corse ne sont pas mentionn s Mais le Ministre pr cise et je le cite que les recteurs vice recteurs et chefs de services de l ducation nationale ont comp tence pour adapter le calendrier national en fixant par voie d arr t pour une p riode de trois ann es des calendriers scolaires tenant compte des caract res particuliers de chacune des r gions concern es C est pourquoi tr s t t c est dire d s la nomination du Premier Ministre et l annonce de la com
48. nctionnement de l Ecole en Guadeloupe 26 ans plus tard La FAPEG est bien repr sent e dans bon nombre d tablissements scolaires et demeure la premi re f d ration de parents d l ves en Guadeloupe Elle participe aux travaux sur et autour des questions de l Education en Guadeloupe avec les instances acad mique r gionale d partementale communales et d autres partenaires NOS OBJECTIFS e D fendre les int r ts de tous les l ves e Accompagner les familles dans leurs diff rentes d marches e Encourager les parents s impliquer dans la scolarit de leurs enfants mieux s organiser et d velopper un esprit de solidarit LES OBJECTIFS POUR L ANNEE 2012 2013 Veiller l application effective des nouveaux textes en faveur des l ves Veiller l application des mesures de s curit PPMS s curit routi re formation aux gestes de premiers secours Programmer des r unions d information des d bats dans le domaine de l ducation scolaire et familiale ainsi que sur des questions de soci t O Poursuivre notre d marche de pr vention C est ensemble que nous r ussirons Plis nou k y plis nous k f NOU KA KONTE SI ZOT ZOT PE KONTE SI NOU BULLETIN D ADHESION Cotisation Ann e 2012 2013 20 famille NOM EP EINO TEA P AEE E PEE EEE E E E A EAE T E A E A A A TAE A E A EA ATE EEE EE T Adresse comple TR encens rene screen rai A EA AAE D Fe EPON enana ea a a E Mal ao a a a ES PL O P re O M
49. nt celle o les l ves redoublent le plus Nous souhaitons tous ces l ves une bonne rentr e et une bonne ann e scolaire LA RENTREE 2012 2013 A LA FAPEG FEDERATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D ELEVES DE LA GUADELOUPE 211 R sidence Les Collinettes Grand Camp 97142 LES ABYMES T l Fax 0 590 83 64 90 Courriel association fapeg orange fr Association loi 1901 Constitu e le 02 02 1986 PT S TONER ee Re Secr taire Nous vous invitons participer notre Assembl e G n rale qui se tiendra le ee SEPTEMBRE A H 00 PRECISES L ordre du jour est le suivant Pr sentation de l tablissement cole coll ge lyc e par le responsable d tablissement Lecture et vote du PV de l assembl e g n rale pr c dente Rapport d activit bilan financier et vote Renouvellement des membres du CA de l APE Pr paration des lections des d l gu s parents au Conseil d cole ou au CA de l tablissement Inscription des parents aux Conseils de classe Questions diverses QUI SOMMES NOUS Nous sommes une f d ration au service des parents Rappelez vous le 2 f vrier 1986 un groupe de parents d l ves cr e la FAPEG Cette d cision est motiv e par La sp cificit des probl mes se posant dans l ducation en Guadeloupe La volont de promouvoir un Etre Responsable l Enfant guadeloup en L urgence de pallier les insuffisances du mode de fo
50. ntendre dire qu on n a pas vu ce qui s est pass lors d un accident dont est victime un l ve l int rieur de l tablissement Comment comprendre que des enseignants puissent interdire des enfants d aller aux toilettes en dehors des r cr ations ou comment admettre que les enfants se privent d y aller parce qu il n y a ni papier ni savon ni poubelle dans les toilettes alors que l Education nationale souligne le r le majeur de l cole en mati re de respect du corps et d apprentissage des r gles d hygi ne Pourquoi certains enseignants voire directrices ou directeurs au m pris de la Circulaire n 054 du 23 mars 2004 exigent ils de certains l ves des certificats m dicaux en cas d absence m me de courte dur e alors que les parents en ont fait conna tre le motif et que seules certaines maladies contagieuses num r es dans l arr t international de 1989 justifient une telle exigence quoi sert le conseil d cole qui n est pas vraiment cette instance d change et de concertation mais plut t un lieu ou directeurs et directrices s arrogent un pouvoir qu ils n ont pas pour faire imposer aux membres de ce conseil leurs propres d cisions Pourquoi certains directeurs et directrices d cole curieusement soutenus ou cautionn s par certains IEN refusent ils au m pris de la r glementation en vigueur de publier par affichage les CR ou PV des conseils
51. nttion de dispositifs partenariaux classes relais exp rimentation dans le Nord Grande terre et le Nord Basse Terre L acad mie C Mise en place de la CASA commission acad mique de suivi de l absent isme pilot e par l IPR EVS qui tudie tous les signalements d absent isme lourd et fait des recommandations aux tablissements et de propositions au recteur b Trois exp rimentations de dispositifs partenariaux Exp rimentation 1 Redynamisation des classes relais Partenariat actif entre l ducation nationale la protection judiciaire de la jeunesse les collectivit s territoriales conseils g n raux et communes le tissu associatif de proximit et les familles C est un dispositif essentiel reconnu pour pr venir le d crochage scolaire et donc l exclusion 8 classes relais 6 rattach es aux coll ges de Capesterre Belle Eau Satineau de Baie Mahault B bel Sainte Rose Petit Canal et Vieux Habitants et 3 classes relais implant e Saint Martin le public des jeunes de 13 16 ans issus des coll ges du bassin rep r s par les chefs d tablissements ou et suivis par la PJJ ou et b n ficiant d une AMO ou plac s pour un effectif maximal de 12 l ves les partenaires pour le rep rage le suivi le projet l valuation la Protection Judiciaire de la Jeunesse le Conseil G n ral le rectorat le financement et la logistique Direction du Travail FSE via la cellule europ enne acad
52. ociation fapeg orange fr Association loi 1901 Constitu e le 02 02 1986 Quelques conseils pour r ussir sa rentr e au lyc e Le passage du coll ge au lyc e repr sente un cap important dans la scolarit Les exigences des enseignants changent et il faut acqu rir de nouvelles habitudes En cours vous allez d couvrir la prise de notes Les enseignants parlent plus vite et vous devez apprendre ne pas tout inscrire mot pour mot retenir l essentiel et utiliser des abr viations Au d but de l ann e c est parfois d routant mais cela finit par devenir automatique apr s quelques semaines voire quelques mois Par ailleurs le lyc e exige une plus grande autonomie Les enseignants donnent beaucoup moins de consignes et ont tendance davantage consid rer les l ves comme des adultes en devenir La cl de la r ussite tient en une bonne organisation et une forte autodiscipline Par exemple lorsqu un enseignant donne un devoir rendre dans une ou deux semaines il importe de ne pas s y prendre au dernier moment et d taler son travail dans le temps en laborant un planning Enfin certains l ves ont du mal g rer la nouvelle libert offerte par le lyc e les all es et venues y sont moins contr l es qu au coll ge et ont tendance se laisser aller voire s cher quelques cours Nous vous recommandons vivement de ne pas prendre cette ann e la l g re car la classe de seconde est statistiqueme
53. on des l ves la citoyennet Une circulaire pr cise cet gard que l laboration du r glement int rieur de l tablissement scolaire son actualisation associent tous les membres de la communaut ducative Les l ves sont tenus au respect de ces r gles qui d terminent la fois leurs droits et leurs obligations Ils apprennent ainsi progressivement les responsabilit s qu ils auront assumer plus tard Une autre circulaire ajoute que la coh rence la transparence et l effectivit du r gime des sanctions sont des conditions indispensables de l acceptation par l l ve des cons quences de la transgression qu il a commise et l instauration d une valeur formatrice et p dagogique de la sanction qui s inscrit ainsi dans la mission ducatrice de l cole Il faut bien reconna tre que cette conception contemporaine n a pas toujours pr valu Qu elle s applique un colier ou un lyc en que la faute soit grave ou b nigne l application de la sanction implique le respect de certaines r gles incontournables La discipline dans l enseignement primaire Le r gime coercitif l cole primaire se traduit la fois par une souplesse certaine et par la pr cision des recommandations au niveau national C est la circulaire du 6 juin 1991 modifi e circulaire du 20 juillet 1992 et celle du 29 juin 1994 qui donne l inspecteur d acad mie directeur des services d partementaux de l ducation nationale de
54. ons oublier qu en tant que parents lus l avenir de notre Guadeloupe doit interpeller chacun d entre nous Voil Chers pr sidents et Chers parents ce que je souhaitais vous dire pour vous rendre compte du besoin de notre f d ration qui je souhaite de continuer travailler dans l int r t bien compris de tous les enfants de la Guadeloupe Fran oise GACE Activit s de la F d ration Conseil d Administration du samedi 30 juin 2012 Le 30 juin 2012 84 personnes dont 65 adultes et 19 enfants membres de la FAPEG et adh rents ont fait le d placement la D sirade pour participer au dernier Conseil d administration de l ann e scolaire 2012 Apr s une travers e sans encombre nous avons t accueillis par mesdames Anne Marie ROBERT et Suzie BEN DOUDOUH responsables de l association des parents d l ves de la D sirade qui avaient r serv pour ce faire la salle des f tes plus proche de l embarcad re alors m me que la Principale du coll ge Maryse Cond nous avait aimablement accord l usage d une salle au coll ge Apr s l allocution de Fran oise GACE la pr sidente f d rale Suzie BEN DOUDOU pr sidente de l APE de la D sirade nous a fait part des difficult s que connaissent parents et l ves au niveau de la poursuite des tudes du fait de la double insularit et plus particuli rement en ce qui concerne les orientations eu gard au probl me de l h bergement de ceux
55. position du nouveau gouvernement nous avons adress au Recteur de l acad mie de la Guadeloupe au Ministre des Outre mer et la Ministre d l gu e charg e de la R ussite scolaire un document dans lequel nous faisons part de nos analyses et de nos propositions pour notre acad mie propositions dont je rappelle qu elles avaient t formul es dans un des bulletins de la F d ration que vous avez tous eu en main et auquel vous devriez vous r f rer pour bien comprendre l opportunit qui est nous est offerte de faire prendre en compte les r alit s qui sont les n tres Interventions de la FAPEG Le lundi 7 mai 2012 le Secr taire G n ral de la FAPEG Jacques F FORIER a r pondu l invitation de l APE du Lamentin qui organisait une conf rence d bat sur la Violence en milieu scolaire Il tait accompagn de Bernard MELON pr sident de la zone Centre de la FAPEG M FORIER et M Michel DELAG conseiller technique du recteur en mati re de s curit ont pr sent chacun un riche expos sur les diverses situations de violence rencontr es dans les tablissements scolaires et les sanctions qui sont pr vues la fois par l ducation nationale et par les tribunaux Cette r union fort int ressante a t l occasion de prouver que la FAPEG sait et peut chaque fois qu il en est besoin d associer ses efforts ceux des autorit s acad miques pour faire passer des messages importants dans l in
56. pule cette chose d licate et sacr e qu est la conscience de l enfant Mais une fois que vous vous tes ainsi loyalement enferm dans l humaine et s re r gion de la morale usuelle que vous demande t on Des discours Des dissertations savantes De brillants expos s Un docte enseignement Non la famille et la soci t vous demandent de les aider bien lever leurs enfants en faire des honn tes gens C est dire qu elles attendent de vous non des paroles mais des actes non pas un enseignement de plus inscrire au programme mais un service tout pratique que vous pouvez rendre au pays plut t comme homme que comme professeur Il ne s agit plus l d une s rie de v rit s d montrer mais ce qui est tout autrement laborieux d une longue suite d influences morales exercer sur de jeunes tres force de patience de fermet de douceur d l vation dans le caract re et de puissance persuasive On a compt sur vous pour leur apprendre bien vivre par la mani re m me dont vous vivez avec eux et devant eux On a os pr tendre pour vous que d ici quelques g n rations les habitudes et les id es des populations au milieu desquelles vous aurez exerc attestent les bons effets de vos le ons de morale Ce sera dans l Histoire un honneur particulier pour notre corps enseignant d avoir m rit d inspirer aux chambres fran aises cette opinion qu il y a dans chaque instituteur dans chaque institutrice un auxiliai
57. qui sont admis en qui se pose avec acuit La FAPEG leur a promis d intervenir aupr s de l administration rectorale pour rappeler que lors du passage du Recteur la D sirade le 19 avril 2012 on les avait rassur s et promis que les l ves originaires de l le verraient leur 1 v u satisfait Proc s Verbal du 31 mars 2012 Le proc s verbal du CA du 31 mars 2012 qui avait t adress tous les membres du CA a t adopt l unanimit En l absence de notre tr sorier g n ral Alex CLAIRE notre camarade Maggy WILLIAM a pr sent un point financier adh sions cartes bulletins ce qui a permis a quelques APE en retard de r gler imm diatement leurs cotisations Dans le bilan qu il a pr sent pour l ann e scolaire 2011 2012 le secr taire g n ral Jacques F FORIER a tenu voquer deux sujets qui nous int ressent tous et nous interpellent la question de la discipline dans les tablissements et celle des rythmes scolaires I LA QUESTION DE LA DISCIPLINE Nul n ignore que la discipline des l ves l cole constitue un aspect important de la vie scolaire c est le respect des r gles d organisation de la vie collective Le conseil de discipline est l organe de l tablissement scolaire qui d cide des sanctions mais qui prot ge les droits des l ves par des directives tr s pr cises Actuellement les textes consid rent les proc dures disciplinaires comme un moyen d ducati
58. re naturel du progr s moral et social une personne dont l influence ne peut manquer en quelque sorte d lever autour d elle le niveau des m urs Ce r le est assez beau pour que vous n prouviez nul besoin de l agrandir D autres se chargeront plus tard d achever l ouvre que vous bauchez dans l enfant et d ajouter l enseignement primaire de la morale un compl ment de culture philosophique ou religieuse Pour vous bornez vous l office que la soci t vous assigne et qui a aussi sa noblesse poser dans l me des enfants les premiers et solides fondements de la simple moralit Dans une telle uvre ce n est pas avec des difficult s de th orie et de haute sp culation que vous avez mesurer c est avec des d fauts des vices des pr jug s grossiers Ces d fauts il ne s agit pas de les condamner tout le monde ne les condamne t il pas mais de les faire dispara tre par une succession de petites victoires obscur ment remport es Il ne suffit donc pas que vos l ves aient compris et retenu vos le ons il faut surtout que leur caract re s en ressente ce n est pas dans l cole c est surtout hors de l cole qu on pourra juger ce qu a valu votre enseignement Au reste voulez vous en juger par vous m mes d s pr sent et voir si votre enseignement est bien engag dans cette voie la seule bonne Vous leur avez parl par exemple du respect d la loi si cette le on ne les emp che pas au sortir de la classe
59. remplir Les autres Elle est banale et insignifiante C est placer le but ou trop haut ou trop bas Laissez moi vous expliquer que la t che n est ni au dessus de vos forces ni au dessous de votre estime et pourtant d une grande importance extr mement simple mais extr mement difficile J ai dit que votre r le en mati re d ducation morale est tr s limit Vous n avez enseigner proprement parler rien de nouveau rien qui ne vous soit familier comme tous les honn tes gens Et quand on vous parle de mission et d apostolat vous n avez pas vous y m prendre vous n tes point l ap tre d un nouvel Evangile le l gislateur n a pas voulu faire de vous ni un philosophe ni un th ologien improvis Il ne vous demande rien qu on ne puisse demander tout homme de c ur et de sens Il est impossible que vous voyiez chaque jour tous les enfants qui se pressent autour de vous coutant vos le ons observant votre conduite s inspirant de vos exemples l ge o l esprit s veille o le c ur s ouvre o la m moire s enrichit sans que l id e vous vienne aussit t de profiter de cette docilit de cette confiance pour leur transmettre avec les connaissances scolaires proprement dites les principes m mes de la morale j entends simplement de cette bonne et antique morale que nous avons re ue de nos p res et que nous nous honorons tous de suivre dans les relations de la vie sans nous mettre en peine d en discuter
60. s directives g n rales pour l tablissement du r glement type d partemental des coles maternelles et l mentaires Ce r glement type laisse toute latitude juridique aux inspecteurs d acad mie puis chaque tablissement scolaire pour adapter aux n cessit s locales la r glementation applicable en mati re disciplinaire Il est incontestable que ce qui anime les professeurs des coles autant en maternelle qu en primaire se caract rise par des mesures destin es assurer l ordre et la s curit mais surtout par le respect de l panouissement individuel de l enfant et de sa r ussite Certaines sanctions sont express ment exclues l cole ainsi tout ch timent corporel est interdit et par ailleurs un l ve ne peut tre priv de la totalit de la r cr ation titre de punition L cole maternelle L cole maternelle accueille les enfants de deux six ans qui cet ge appr cient mal la v ritable port e d une punition Aussi la circulaire de 1991 modifi e interdit elle le prononc de sanctions pour des l ves de ces cycles mais n emp che pas de prendre des mesures dites d isolement et de retrait provisoire de l cole L l ve momentan ment difficile se trouve seul et surveill jusqu ce qu il ait retrouv un comportement compatible avec la vie scolaire Si le comportement atypique perdure et perturbe la classe il traduit une inadaptation au milieu scolair
61. s d un l ve En est il vraiment toujours ainsi Certes nos tablissements ne sont pas feu et sang mais nous enregistrons tout de m me ici et l certains signes qui ne peuvent nous laisser indiff rents En effet eu gard au nombre de comparutions de plus en plus lev d l ves de coll ge et de lyc e devant le conseil de discipline de leur EPLE nous nous interrogeons sur l adaptation de ces jeunes au r glement int rieur et sur le climat de violence qui r gne parfois dans les tablissements scolaires Il semble que cette question int resse au plus haut point les autorit s puisque nous avons appris qu une enqu te statistique est conduite par le Rectorat de la Guadeloupe dans les tablissements du premier et du second degr qu elle doit tre cl tur e d ici la semaine prochaine et qu elle ne devrait tre publi e qu apr s validation par le minist re de l Education Nationale Bien que cette enqu te soit frapp e d embargo jusqu nouvel ordre je suis en mesure de dire que les questions pos es ont trait aux nouvelles proc dures disciplinaires et que les items portent pour chaque tablissement sur le nombre d l ves concern s par chacune des dispositions prises dans le cadre de la partie de la circulaire d finissant l chelle des sanctions Nous aussi parents d l ves nous devons nous sentir concern s et envisager les solutions qui nous permettront aussi bien au niveau
62. s la multiplication des informations ne semblent plus des promesses d mancipation faute d un partage quitable Si l cole remplit encore malgr les bouleversements sociaux et de plus en plus difficilement la plus grande part de ses fonctions elle n en est pas moins un tournant Elle est confront e des ghetto sations territoriales l extension de la pauvret des in galit s et des injustices aux souffrances des populations marginalis es ou exclues aux inqui tudes et aux interrogations des parents au mal tre d un nombre croissant d l ves au malaise d une partie des enseignants Sous l effet des incertitudes face au d veloppement des in galit s l cole est victime d une perte de sens Elle est remise en question par une marchandisation rampante y compris interne par la concurrence d officines parascolaires priv es qui se nourrissent de l angoisse et de l chec par les attentes multiples des parents les exigences contradictoires qui lui sont assign es la s gr gation interne qui se renforce L cole en trop d endroits est menac e de disqualification d implosion ou d explosion Attach s notre id al d humanisme fait de fraternit universelle et de justice sociale nous ne pouvons accepter ce constat Il est temps de nous exprimer Nous devons tre les initiateurs d une volont citoyenne de faire que l cole redevienne le pilier essentiel de la R publique cet
63. s de formation administrative souvent de formation en sciences humaines ce qui les conduit lorsque survient un probl me prendre des positions extr mes qui ne vont pas en faveur d une solution qui aille dans le sens du droit et de la raison Nous ne reviendrons pas sur les nombreux cas port s notre connaissance tout au long de l ann e qui vient de s couler Mais nous voudrions rappeler qu il y a souvent de la part des fonctionnaires qui constituent ce qu on appelle la hi rarchie de l ducation nationale dans cette acad mie un profond m pris sinon une certaine condescendance pour les parents d l ves Malgr cela et surtout cause de cela nous avons t sommes et serons toujours pr sents d s lors qu il s agira d am liorer le fonctionnement de l ducation nationale et faire en sorte que nos enfants r ussissent mieux C est pourquoi parmi les nombreuses questions que nous aimerions voir traiter et qui rel vent du droit nous posons prioritairement celles qui suivent Que faire quand les cours ne sont pas assur s Comment faire respecter le principe de gratuit par les directeurs et directrices d cole notamment en r f rence aux articles L132 1 et LA312 2 du code de l Education Comment faire admettre aux enseignants que la fonction de surveillance est rattach e la fonction d ducation comme indiqu dans l article L 911 4 et qu il n est pas normal de s e
64. s insistons pour que la hi rarchie rappelle tous les acteurs du syst me ducatif l importance l obligation m me de lire les textes et de se p n trer de ce qui constitue le Code de l Education qui il faut le souligner vise instaurer l cole le respect des principes g n raux du droit qui s appliquent notre soci t La FAPEG a toujours pr n le dialogue et la n gociation qui permettent normalement tout un chacun de faire valoir ses droits sans avoir entreprendre une quelconque proc dure judiciaire Comme l a dit un ancien recteur l Ecole est la terre des gens sans terre il appartient chacun de nous de tout mettre en uvre pour que tout rentre dans l ordre et que les r gles de fonctionnement d cid es par l ducation nationale soient nouveau respect es pour le bien vivre ensemble des l ves et des enseignants dans le respect mutuel En ce qui nous concerne nous prendrons toute notre part ce projet et la FAPEG ne manquera pas de se faire repr senter aux diff rentes r unions organis es dans ce sens Le public vis tant les parents d l ves des coles primaires et coll ges des r seaux de l Education Prioritaire ECLAIR et RRS l objectif tant d offrir aux familles l occasion de s informer et d changer pour un meilleur investissement dans le parcours ducatif de leurs enfants nous avons d ores et d j envisag de d signer des responsables au
65. s l Ecole de faire d couvrir et comprendre les enjeux et les finalit s de l Ecole Notre F d ration riche de sa diversit nous permet de partager nos exp riences et nos actions de terrain C est donc gr ce ces changes et r flexions que nous avons mis au point et adress au Rectorat notre contribution intitul e Parents et enseignants est ce la fin d une ternelle incompr hension Nous devons en effet contribuer am liorer le syst me ducatif notamment par l am nagement des rythmes scolaires quotidiens hebdomadaires et annuels dans notre r gion Nous assumons ainsi notre r le de force de propositions et nous nous mobilisons pour que les rythmes de vie scolaire impos s aux l ves soient en ad quation avec leurs rythmes biologiques Nous avons d ores et d j adress au minist re notre r flexion et proposition sur les rythmes scolaires pour une meilleure prise en compte de l alternance 7 semaines de cours suivies de 2 semaines de cong s pilier des rythmes biologiques de l enfant Nous rappelons que le d bat sur les rythmes scolaires doit se faire de mani re globale dans la concertation et la s r nit La proposition du minist re de rallonger de deux jours et demi les vacances de la Toussaint d s la prochaine rentr e cr e une interrogation En effet il est essentiel que les deux jours de vacances suppl mentaires soient r cup r s par les l ves si l on ne souhaite pas alourdir
66. ssion et m me moyens il faudra tout reprendre Les d clarations du ministre de l Education nationale et les annonces faites par le rectorat semblent aller dans ce sens En effet un certain nombre de dispositions qui tiennent compte des propositions du Pr sident de la R publique que nous rappelons avec plaisir sont en train d tre mises en place Priorit au primaire Alors que l effort en mati re d ducation s est port durant 5 ans sur le secondaire et surtout sur l enseignement sup rieur M Hollande a annonc que la priorit sera donn e l cole primaire Chacun le sait les premi res ann es de scolarit sont d terminantes Lorsque des difficult s ne sont pas trait es d s les premiers apprentissages il est tr s difficile de les corriger ensuite Les l ves qui peinent la fin du CP ou du CE1 prouvent des probl mes tout au long de leur scolarit Il faut commencer par le commencement Il faut investir l o larme ducative est la plus efficace C est videmment l que se situe l effort faire notamment en termes de postes J ai parfois le sentiment qu en CE2 c est d j trop tard les retards sont tr s difficiles rattraper pour ceux qui sont en difficult A 8 ans leur scolarit est d ores et d j compromise Toute sa place la maternelle S appuyant sur les tudes internationales comme PISA qui posent la scolarit pr coce comme crit re de r ussite
67. t r t de nos l ves et de l cole publique Conseils de discipline Commission d appel Nos repr sentants ont t plusieurs fois invit s participer des conseils de discipline pour lesquels des parents avaient fait appel de la d cision prise L encore nous avons chaque fois rempli notre contrat nous remercions particuli rement Fred de Labarthe pour sa pr sence exemplaire aux r unions de ces commissions d appel et Jacques FORIER pour la pr paration minutieuse des dossiers comme nous nous f licitons que l administration nous ait entendus quand les preuves taient insuffisantes voire inexistantes pour justifier le renvoi d finitif d un l ve Toutefois nous attirons parents et enseignants sur la n cessit de trouver un modus vivendi pour viter cette trop longue liste d l ves dans tous les tablissements scolaires qui sont traduits devant le conseil de discipline en vue d un renvoi d finitif de l tablissement Commission d appel passage en 6 Christin COPHY qui nous a repr sent s nous informe que 5 dossiers taient incomplets et que des informations compl mentaires ont t demand es et en cas d absence de r ponse passage en 6 REAAP Nous signalons que dans le cadre du REAAP notre ami psychoth rapeute M LANARRE a fait plusieurs interventions notamment celle du mardi 05 juin 17h00 l cole ANQUETIL sur le th me l impact des violences conjugales sur les en
68. t re de votre enseignement moral si elles pouvaient croire qu il r side dans l usage exclusif d un livre m me excellent C est vous de mettre la v rit morale la port e de toutes les intelligences m me de celles qui n auraient pour suivre vos le ons le secours d aucun manuel 52 Mais vous le voyez dans ces trois degr s ce qui importe ce n est pas l action du livre c est la v tre Il ne faudrait pas que le livre vint en quelque sorte s interposer entre vos l ves et vous refroidir vos paroles en mousser l impression sur l me des l ves vous r duire au r le de simple r p titeur de la morale Le livre est fait pour vous et non vous pour le livre Il est votre conseiller et votre guide mais c est vous qui devez rester le guide et le conseiller par excellence de vos l ves Il est juste que vous ayez cet gard autant de libert que vous avez de responsabilit Mais quelque solution que vous pr f riez je ne saurais trop vous le redire faites toujours bien comprendre que vous mettez votre amour propre ou plut t votre honneur non pas adopter tel ou tel livre mais faire p n trer profond ment dans les jeunes g n rations l enseignement pratique des bonnes r gles et des bons sentiments Il d pend de vous de h ter par votre mani re d agir le moment o cet enseignement sera partout non pas seulement accept mais appr ci honor aim comme il m rite de l tre Les popu
69. te R publique laquelle nous ne cessons de faire r f rence Pour situer un peu mieux la difficult de ce que doit tre l cole aujourd hui et surtout demain il est une r alit que nous devons prendre en compte le temps scolaire repr sente 10 du temps de vie des enfants et des jeunes Ils apprennent aussi devant la t l vision Internet dans la rue en famille ou en groupe Ce constat exige la n cessit de donner l Ecole des objectifs clairs et de lui donner les moyens n cessaires remplir sa fonction L Ecole doit retrouver et r affirmer sa mission d mancipation Elle doit assurer l acquisition et la ma trise des savoirs des connaissances et des comp tences indispensables chacun L cole doit offrir aux enfants et adolescents un espace protecteur o ils apprennent collectivement se respecter se comprendre et comprendre le monde o ils vivent o ils apprennent ensemble vivre ensemble Le caract re la que ne doit pas tre per u comme attentatoire la libert mais comme l exigence constante du respect de tous Le droit la diff rence revendiqu par certains au nom de la libert exclut mais ne rassemble pas L cole doit devenir un lieu d apprentissage de la d mocratie Ce qui suppose un fonctionnement o les droits individuels et collectifs de tous les acteurs de l Ecole soient reconnus Si nous affirmons que l cole n est pas un service public ordinaire m
70. teurs et des formateurs montre que tous semblent s accorder sur un consensus la maternelle doit privil gier l apprentissage de l autonomie les comp tences transdisciplinaires et la socialisation des enfants Elle n est donc pas un d calque de l enseignement primaire ax sur les apprentissages plus scolaires Nous avons visit une cole maternelle situ e Pointe Pitre intra muros l Ecole maternelle Franz RALLION et nous vous invitons lire ci dessous l extrait de l entretien que nous a accord la directrice dont on sent la passion qui l anime pour l ducation de ces tout petits Je suis la fois la directrice et la ma tresse de la petite section de l cole maternelle Franz Rallion J ai le loisir le temps d observer les petits quand ils arrivent Parmi eux on rencontre plusieurs cas de figure ceux qui viennent de la cr che ceux qui viennent de leurs familles et les autres il faut que tout ce petit monde apprenne vivre ensemble Nous faisons avec eux les m mes activit s Aucun enfant n est laiss de c t mais il faut apprendre les conna tre Apprenez conna tre vos enfants vous ne les connaissez point disait J J ROUSSEAU Chacun arrive avec son pass son v cu familial sa vie de tous les jours et il faut composer pour les amener a vivre ensemble entre eux avec la ma tresse avec les ATSEM avec ce nouvel environnement qui n est pas celui de la cr che qui n est pas celui
71. titre de la FAPEG pour les bassins suivants Anse Bertrand Pointe Pitre Abymes Marie Galante Capesterre Belle Eau La D sirade et Pointe Noire Les dates et les lieux retenus sont les suivants Date Commune Lieu Horaire mercredi 05 septembre Anse Bertrand Camp militaire samedi 08 septembre la D sirade NI 9h00 14h00 samedi 15 septembre Pointe Pitre Abymes Centre culturel Sonis dont LA RELATION samedi 22 septembre Grand Bourg de Marie Galante N I D bat sur le PARENT ECOLE samedi 29 septembre Capesterre Belle Eau N I th me d but octobre Bouillante N I LA REFONDATION DE L ECOLE Comme dans chaque r gion de France le Recteur de l acad mie de la Guadeloupe a lanc une concertation en vue de participer la r daction de la nouvelle loi d orientation sur la refondation de l cole voulue par le pr sident de la R publique et le gouvernement Nous avons donc un mois pour interroger nos pratiques les valuer les confronter au regard de la soci t civile associations lus personnalit s qualifi es grands t moins si possible En un mot sortir du vase clos de l ducation nationale enseignants chefs d tablissement inspecteurs syndicats pour couter crit il dans un courriel du 23 juillet 2012 dont nous sommes galement destinataires Nous avons toujours regrett que l coute ne soit pas une des qualit s majeures de ceux qui dirigent cett

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