CHSCT académique Procès-verbal de la séance du 31 mai 2012
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1. CHSCT acad mique Proc s verbal de la s ance du 31 mai 2012 Monsieur Olivier AUDEOUD recteur de l acad mie de Grenoble pr side la s ance Sont pr sents Membres de l administration Monsieur Olivier AUDEOUD recteur de l acad mie de Grenoble Monsieur Bruno MARTIN directeur des ressources humaines de l acad mie de Grenoble Experts invit s de l administration Monsieur Dominique MARTINY secr taire g n ral de l acad mie de Grenoble Madame Marie Laure JEANNIN secr taire g n rale adjointe de l acad mie de Grenoble Madame Sandrine FRION m decin de pr vention Monsieur Henri LARNAUD inspecteur sant et s curit au travail Monsieur Beno t GONON conseiller de pr vention acad mique Madame Magali SUERINCK infirmi re conseill re technique Madame Agn s CROCIATI assistante sociale conseill re technique Repr sentants des personnels Pour la FSU Membres titulaires Monsieur Jean VINCENT Madame Marilyn MEYNET Monsieur Jean Claude VINCENSINI Madame Nicole PIGNARD MARTHOD Membre suppl ant Monsieur Denis GODEAU Pour le SGEN CFDT Membres titulaires Monsieur Samir ACHOUR Madame Annie BARDIN Pour l UNSA Education Membre titulaire Monsieur Marc DURIEUX Membre suppl ant Madame Marie Pierre BERNARD Monsieur le recteur ouvre la s ance 14 heures 30 le quorum tant atteint Il indique que le CHSCT acad mique a d sormais une nouvelle composition les membres de l administration2. l Is re par exemple ce document a permis de r pondre certaines questions Monsieur VINCENT fait remarquer que m me dans les lyc es volontaires pour cette d marche il est difficile de faire bouger les personnels sur le document unique Monsieur VINCENSINI fait la demande au secr taire g n ral de faire une piq re de rappel aux tablissements concernant les DUER Madame PIGNARD MARTHOD fait remarquer qu il faut le faire en lien avec les informations sur le CHSCT Les documents uniques qui ont t faits en sont aux balbutiements Comment informer les tablissements de l existence du CHSCT Monsieur ACHOUR s interroge sur les priorit s d finies telles que la poussi re de bois Est ce li un incident qui s est produit ou sont ce des attentes du minist re de l ducation nationale Monsieur LARNAUD explique qu un travail des ISST est fait pour voir les efforts collectifs mettre en place La poussi re de bois est un sujet sensible La d cision de ces priorit s mane d un collectif d inspecteurs L an prochain la priorit portera sur les agents de laboratoire Il y a une question de prise en compte de d marche collective Monsieur le recteur ajoute que le CHSCT est donc en attente du projet d activit s de l inspecteur sant et s curit au travail V D signation d un conseiller de pr vention acad mique Monsieur MARTINY explique que l ACMO acad mique devient un conseiller de pr vention acad miq
3. le d lai de convocation peut tre plus bref dans le cas o la r union du comit est motiv e par l urgence Article 6 Pas d observation Article 7 En partant de l article 71 du d cret cet article est r dig ainsi Si les conditions de quorum exig es par l article 71 du d cret n 82 453 susvis ne sont pas remplies soit la moiti au moins des repr sentants du personnel ayant voix d lib rative une nouvelle convocation du comit doit intervenir dans le d lai maximum de huit jours suivant celle au cours de laquelle le quorum n a pas t atteint ce d lai devant tre minor en cons quence dans les hypoth ses d urgence mentionn es l article 2 Le comit si ge alors quel que soit le nombre de repr sentants pr sents Article 8 Pas d observation Article 9 Pas d observation Article 10 Pas d observation Article 11 La proposition de choix d un secr taire du comit et un suppl ant est retenue Les ajouts en vert sont donc accept s et l article se r dige ainsi Les repr sentants titulaires du personnel choisissent parmi eux un secr taire du comit et un suppl ant en d but de mandat et pour la dur e de la mandature selon les modalit s d crites ci apr s Le secr taire du CHSCT et son suppl ant sont d sign s par un vote la majorit des repr sentants des personnels pr sents Si le secr taire du comit n est plus en mesure d assurer cette mission en
4. mois de septembre IV Rapport d activit 2010 2011 de l inspecteur sant et s curit au travail Monsieur LARNAUD explique que le rapport d activit 2011 2012 est presque pr t et qu il sera pr sent au prochain CHSCT Il pr sente le bilan 2010 2011 Orientations acad miques Organisation Mise en place du tableau de bord etc Monsieur le recteur souhaite revenir sur le probl me de l amiante 11 Monsieur LARNAUD explique que les textes sont aujourd hui draconiens sur la recherche d amiante Il faut regarder tous les mat riaux friables De nouveaux proc d s seront mis en place en juillet 2015 Il s agit d un sujet de formation important Actions dans les tablissements Les visites d tablissement restent un domaine pointu c est pourquoi il faut un document unique de pr vention des risques Monsieur le recteur demande si l inspecteur sant et s curit au travail est pr sent lors de visites de collectivit s locales dans le cadre de ces actions Monsieur LARNAUD r pond qu il se rend ces visites si on le lui demande Il reprend sa pr sentation avec les conseils en hygi ne et s curit En termes d animation l acad mie de Grenoble se trouve riche de r seaux tels que e Le r seau aide et conseil sant s curit au travail dans lequel beaucoup de gestionnaires sont disponibles afin d aider leurs coll gues e Le r seau m decine de pr vention dans lequel l infirmi
5. Membres suppl ants Madame Isabelle AMODIO Monsieur Freddy PEPELNJAK Pour le SGEN CFDT Membre titulaire Monsieur Samir ACHOUR Membre suppl ant Monsieur Alexis TORCHET en remplacement de madame Annie BARDIN Monsieur le recteur remercie la FSU pour les l ments envoy s mais des points sont non r glementaires II explique que nous sommes li s par des textes l Approbation du r glement int rieur Monsieur MARTIN fait un balayage des articles du projet de r glement int rieur en partant de la proposition envoy e par la FSU Article 1 Pas d observation Article 2 Ce n est pas sur demande du CTSD mais du CTA que le CHSCT acad mique se r unit e 1 alin a Chaque fois que les circonstances l exigent et au minimum trois fois par an le comit se r unit sur la convocation de son pr sident soit l initiative de ce dernier soit la demande crite d au moins trois repr sentants du personnel titulaires soit sur demande du comit technique acad mique de l acad mie de Grenoble auquel le CHSCT apporte son concours conform ment l arr t du 28 octobre 2011 e 4 me alin a L ajout en vert est une application du d cret Ceci est ajout pour tre li aux domaines d attributions des CHSCT acad mique et d partementaux S il y a une urgence la convocation se fait donc dans ce cadre l e 5 me alin a L ajout en vert est confirm En revanche l ajout en bleu n appara t dans aucun
6. application des articles 43 et 45 du d cret 82 453 du 29 mai 1982 modifi il est proc d la d signation d un nouveau secr taire selon les modalit s de d signation pr vues au pr sent article Le secr taire du CHSCT contribue au bon fonctionnement de l instance Il est l interlocuteur de l administration et effectue une veille entre les r unions du CHSCT Il transmet aux autres repr sentants du personnel les informations qui lui sont communiqu es par l administration il aide la collecte d informations et leur transmission Article 12 Tout comme l article 5 l ajout en vert ne peut tre accept car ce n est pas r glementaire Articles 13 17 Pas d observation Article 18 I ny a pas d observation pour les deux premiers alin as Au troisi me alin a la suppression en rouge ne peut tre accept e De plus partant de l article 75 du d cret il y a une autorisation sp ciale d absence l accord d ordre de mission ne peut donc tre retenu Madame MEYNET demande si les autorisations sp ciales d absence seront accord es sans r cup ration Monsieur MARTIN r pond que le CHSCT acad mique s en tient aux dispositions r glementaires donc il n y a pas de r cup ration De plus l organisation des visites sera tablie L article se r dige donc ainsi Toutes facilit s doivent tre donn es aux membres du comit pour exercer leurs fonctions Une autorisation sp ciale d absence est acco
7. de droit tant le directeur des ressources humaines de l acad mie et lui m me Cela refl te l importance des ressources humaines pour le CHSCT Il pr sente les experts de l administration Il rappelle que l acad mie de Grenoble est la moins encadr e Il rappelle enfin que les suppl ants peuvent venir au CHSCT acad mique l Approbation du r glement int rieur Madame PIGNARD MARTHOD indique qu il faut voir les domaines d attributions avant le r glement int rieur Monsieur le recteur r pond cela ne lui pose pas de probl me Monsieur MARTIN souligne que l on peut passer directement aux domaines d attribution pour la s ance d aujourd hui Il Domaines d attributions des CHSCT acad mique et d partementaux Monsieur VINCENT fait remarquer qu en passant en CHSCT acad mique il faut une r gularit car c est plus formel et tenir au moins trois r unions par an Monsieur MARTINY explique qu il s agit d une ann e particuli re avec la mise en place des CTA par lesquels r sultent la cr ation et la mise en uvre des CHSCT Il y a une organisation nouvelle car de nouveaux membres sont pr sents En effet jusqu l an dernier c tait le secr taire g n ral adjoint qui pr sidait cette instance Il y a un renouvellement car les textes confient cette organisation au directeur des ressources humaines Ce dernier ayant eu beaucoup d activit s il a t difficile d organiser un CHSCT avant aujourd hui Mais le rythme de
8. par rapport au travail Monsieur VINCENT r pond que si la cause du suicide est le travail il doit tre reconnu comme accident du travail Madame SUERINCK explique qu il faut retravailler tous ensemble sur le climat scolaire Une formation sur le bien tre l cole entre dans le plan de formation Madame CROCIATI souligne que cette formation se d roule avec des CPE et des chefs d tablissement Monsieur VINCENSINI indique que d s le mois de septembre il faut donner aux chefs d tablissement le nom des personnels r f rents en termes d hygi ne de s curit et de conditions de travail L ordre du jour tant puis monsieur le recteur l ve la s ance 17 heures 05 Le recteur La secr taire de s ance La secr taire du CHSCT Olivier AUDEOUD Caroline COLLOMBAT Nicole PIGNARD MARTHOD 15
9. r partition les membres du CHSCT acad mique veulent les emp cher de faire ce pour quoi ils sont lus Monsieur ACHOUR demande s il est possible pour les membres lus du CHSCT acad mique d aller sur le terrain Monsieur VINCENSINI souligne qu ils souhaitent ainsi soulager les membres des CHSCT d partementaux Monsieur MARTINY indique que nous sommes en phase de construction d une nouvelle instance mais si les repr sentants des personnels refusent cette r partition comment faire un r glement int rieur Monsieur GODEAU souhaite galement proposer des modifications dans le r glement int rieur Monsieur VINCENT s tonne que dans le tableau il y a le recours l expertise agr e en cas de projet important d partemental modifiant les conditions de sant et de s curit ou les conditions de travail mais pas au niveau acad mique Monsieur MARTIN r pond que cette comp tence est galement dans la partie acad mique une ligne plus haut Madame JEANNIN est tonn e par ce d bat En effet il existe la commission acad mique d action sociale CAAS et les commissions d partementales d action sociale CDAS qui marchent tr s bien La CAAS pilote et les CDAS r pondent aux besoins et analysent les dossiers Madame PIGNARD MARTHOD indique que le CHSCT de l Is re a eu lieu et la r partition voqu e n tait pas du tout la m me qu ici Aussi les membres des CHSCT d partementaux ne savent pas que leurs comp tences on
10. re de pr vention fait une visite dans tous les lyc es professionnels avec l inspecteur sant et s curit au travail Les tablissements concern s de la Haute Savoie ont tous t inspect s tandis que les visites ont d but dans le d partement de l Is re e Le r seau ACMO 1 degr A noter que les ACMO vont devenir des assistants de pr vention du 1e degr e Le r seau ACMO des directions des services d partementaux de l ducation nationale e Le r seau CHS qui est un vrai r seau qui alimente le niveau national Monsieur le recteur demande s il existe une commission nationale Monsieur LARNAUD r pond par l affirmative Il existe deux CHS minist riels un pour l enseignement sup rieur et un pour l enseignement scolaire Ces deux comit s sont nourris par les objectifs que se fixent les niveaux acad miques avec des points de vigilance Enfin une synth se nationale est constitu e Ainsi Pan dernier les points de vigilance portaient sur la poussi re de bois et les directeurs d cole Il reprend maintenant l num ration des diff rents r seaux e Le r seau s curit routi re e Le r seau risques majeurs e Les r seaux des collectivit s territoriales en coordination avec le d partement de l Is re d une part et la r gion Rh ne Alpes d autre part e Le r seau ONS avec la commission des risques majeurs Monsieur MARTINY fait remarquer que l acad mie de Grenoble est vraiment concern e pa
11. ad mie de Lyon pour avoir des d marches similaires Monsieur ACHOUR r pond qu avant de se lancer dans une construction il faut avoir des moyens Monsieur VINCENT indique que c est le recteur qui donne les moyens au niveau acad mique ou d partemental Il est vrai qu il n y avait pas de conseiller de pr vention au niveau acad mique alors qu ils existent au niveau d partemental Ces personnels ont des responsabilit s notamment p nales Les CHSCT apportent plus tous les niveaux Monsieur MARTINY fait remarquer qu il est dommage que la premi re question abord e porte sur les moyens I faut un temps pour chiffrer et quilibrer les missions entre l acad mie et les d partements Il ne faut pas doublonner les moyens entre ces deux niveaux lls ne seront pas consid rables mais il en faudra notamment pour le secr taire du CHSCT Mais on se trouve l en dehors de l ordre du jour Monsieur ACHOUR souligne que les repr sentants ne n gocient pas des moyens mais souhaitent savoir comment r pondre aux questions d s lors qu ils sont membres du CHSCT Monsieur VINCENT souhaite savoir si le CHSCT sp cial de service du rectorat sera sous la responsabilit du CHSCT acad mique Monsieur le recteur r pond par l affirmative Il s agit d viter que ce CHSCT sp cial de service soit d partementalis Monsieur VINCENSINI lit dans le tableau que la visite des locaux et le droit d acc s entrent dans le cadre des m
12. ants de pr vention doivent tre rattach s au CHSCT et disposer d une quotit pour ce faire Madame PIGNARD MARTHOD souligne que dans le premier degr en Is re ce sont les conseillers p dagogiques en EPS qui sont assistants de pr vention Disposent ils de moyens suppl mentaires Pour monsieur VINCENSINI il va falloir voquer les moyens Il faudrait que les membres du CHSCT puissent avoir les moyens de fonctionner de la m me fa on que monsieur GONON Madame PIGNARD MARTHOD fait remarquer que les membres du CHSCT ont besoin de moyens pour assurer leur ind pendance Monsieur MARTIN indique qu il y a une synth se faire des besoins en fonctionnement du secr taire du CHSCT ce r le devant tre s par du repr sentant syndical en tant que tel Madame PIGNARD MARTHOD r pond que les propositions seront donc adress es Monsieur MARTIN tudiera la faisabilit de ces propositions Pour monsieur ACHOUR l un des travaux les plus importants est la d termination de l arbre des causes lors d un accident Il faut des moyens pour l analyse des accidents Monsieur le recteur explique que le CHSCT acad mique travaille principalement sur la pr vention Ce sont les CHSCT d partementaux qui sont en premi re ligne Les CHSCT ne doivent pas tre saisis pour tout Monsieur ACHOUR fait remarquer qu il y a une diff rence entre informer et saisir Ainsi il arrive que le recteur soit au courant de situations difficiles dont
13. ar qui et qui seront attribu s les moyens d partementaux Les repr sentants des personnels demandent des moyens pour le fonctionnement des CHSCT acad mique et d partementaux Au niveau d partemental l administration les renvoie vers le recteur Monsieur MARTIN r pond que les attributions des CHSCT existent d j en tant que telles pour conduire l ensemble des actions La mise en uvre du programme est d finie Monsieur ACHOUR fait remarquer que le conseiller de pr vention acad mique est nomm aupr s du recteur mais il ne fait pas le travail du CHSCT Madame JEANNIN r pond que cette nomination fait partie des moyens attribu s car monsieur GONON va travailler dans le cadre du CHSCT Monsieur MARTIN explique que le poste de conseiller de pr vention acad mique est un apport important en expertise Il apporte une aide aux directions des services d partementaux de l ducation nationale et aux tablissements pour faire voluer les choses Il existe des moyens globaux en termes de pr vention et de CHSCT Sa d signation est l ordre du jour de ce CHSCT acad mique Monsieur GONON va apporter une aide importante aux tablissements Madame PIGNARD MARTHOD indique que la nomination d un conseiller de pr vention ne peut pas tre le seul moyen attribu Madame JEANNIN r pond qu il y aura un arbitrage du recteur Monsieur GODEAU souhaite que dans le cadre du plan de pr vention le CHSCT acad mique soit partie prenan
14. d que les repr sentants des personnels ne souhaitent pas que les r unions se d roulent 20 heures par exemple Madame PIGNARD MARTHOD souligne qu en tant que professeur des coles elle ne souhaite pas que les r unions se d roulent le mercredi Monsieur MARTINY signale que cela va tre difficile de trouver un d nominateur commun Monsieur le recteur fait remarquer que tout le monde tait d accord pour le vendredi apr s midi Monsieur VINCENT explique que pour les repr sentants des personnels qui enseignent en lyc e par exemple le CHSCT acad mique peut se d rouler le lundi le mardi le jeudi ou le vendredi le mercredi posant probl me pour les enseignants du premier degr Monsieur MARTINY r pond qu il y a une diff rence entre l obligation et le temps de service Par exemple les enseignants temps complet travaillent 18 heures par semaine devant les l ves alors que les personnels administratifs ont un temps de service plus lev Dans la pratique les r unions pourraient ne pas tre pr vues les mercredis mais dans la r alit on ne peut pas bloquer des r unions institutionnelles sur certains jours Il rappelle que le temps de service est de 1 607 heures par an Il est d accord sur le principe mais ne peut s engager ce qu il n y ait pas de comit le mercredi apr s midi ou le vendredi apr s midi II ne faut pas qu il y ait d ambigu t dans le r glement int rieur Monsieur MARTIN indique que la derni r
15. e phrase de l article 18 est tout de m me laiss e Article 19 La proposition est valid e Article 20 Le deuxi me alin a propos en vert n est pas r glementaire En effet c est le proc s verbal qui prendra acte de la validation du r glement int rieur Madame PIGNARD MARTHOD souhaite une suspension de s ance pour discuter de la validation du r glement int rieur Monsieur le recteur est d accord La s ance est suspendue Madame PIGNARD MARTHOD demande ce que la consultation du pr sident du CHSCT acad mique du secr taire du CHSCT acad mique des pr sidents des CHSCT d partementaux et des secr taires des CHSCT d partementaux soit int gr e Monsieur MARTINY est d accord Il faut r introduire cette notion dans l article 2 Le reste tant des points r glementaires Sous r serve de r criture ce r glement int rieur peut donc tre approuv par les membres du CHSCT acad mique Monsieur le recteur indique qu il validera ce r glement int rieur Celui ci sera notifi aux directeurs acad miques des services de l ducation nationale pour communication aux membres des CHSCT d partementaux Il faut maintenant d signer un secr taire du CHSCT acad mique et son suppl ant Monsieur MARTIN rappelle qu au titre de l article 11 de ce r glement int rieur ils doivent tre d sign s par un vote des membres pr sents Monsieur VINCENT explique que madame PIGNARD MARTHOD est candidate pour tr
16. e secr taire du CHSCT acad mique Madame PIGNARD MARTHOD informe galement que madame MEYNET se pr sente comme suppl ante Monsieur VINCENT fait remarquer que les autres organisations syndicales en ont t inform es 10 Monsieur le recteur propose la mise au vote de la proposition de d signation de madame PIGNARD MARTHOD en tant que secr taire du CHSCT acad mique et madame MEYNET comme tant sa suppl ante Pour 6 voix Abstention 0 voix Contre 0 voix Madame PIGNARD MARTHOD et madame MEYNET sont d sign es respectivement secr taire du CHSCT acad mique et suppl ante l unanimit Il Domaines d attributions des CHSCT acad mique et d partementaux Monsieur MARTINY explique que les domaines d attributions sont quasiment int gr s tant donn qu ils se trouvent dans le r glement int rieur Monsieur VINCENT souhaite un dialogue entre les diff rents niveaux Il faut une coordination entre le recteur les DASEN et les secr taires des CHSCT Pour monsieur le recteur il s agit d j du quotidien Le CHSCT acad mique permettra d avoir un meilleur cadrage Monsieur VINCENT r pond qu au CHSCT apparaissent seulement les v nements ponctuels les accidents Monsieur MARTIN explique que dans la notion de cadrage il y a une programmation annuelle S agissant de la r partition il demande s il y a d autres observations Il n y a pas d observation la r partition est donc appro
17. es besoins il essaiera de d gager ces moyens Monsieur VINCENSINI fait remarquer qu ils ne peuvent pas travailler sans moyens et le temps ne peut pas tre pris ailleurs Monsieur VINCENT demande du temps et une d charge qui ne soit pas prise sur la d charge syndicale Monsieur MARTIN fait remarquer que des acad mies n ont pas donn de r ponses aussi ouvertes que le recteur de l acad mie de Grenoble Elles ont apport des r ponses n gatives quant aux demandes de moyens de fonctionnement II faut prendre le temps de commencer fonctionner de voir comment cela va se d rouler Pour monsieur VINCENT il n est pas possible d tre secr taire de CHSCT avec un temps plein c t Monsieur ACHOUR revient sur le suicide d un personnel Le CHSCT d partemental a t saisi mais l arbre des causes n a pas t mis en place Il faut qu il le soit pour viter que cela se reproduise Monsieur le recteur fait remarquer que ce n est pas l ducation nationale qui est responsable de ce drame Il ne faut pas m langer Monsieur ACHOUR explique que l on peut arriver cette conclusion mais il faut comprendre pourquoi la personne s est suicid e Monsieur le recteur explique que l on peut r fl chir la fa on de proc der aux r ponses les plus rapides apporter Les questions de personnes sont toujours compliqu es Madame CROCIATI souligne qu il y a aussi un risque d accabler la famille Les situations complexe
18. indique que l article 52 du d cret explique que les CHSCT acad miques d finissent les besoins de visites Monsieur VINCENSINI explique que s il se passe quelque chose dans son tablissement tant membre du CHSCT acad mique il ne pourrait donc s y rendre Il doit en r f rer au CHSCT d partemental Monsieur MARTINY r pond qu en effet il n est pas l en tant que repr sentant du d partement ou de son tablissement Il s agit l d viter la redondance ou la confusion Monsieur GODEAU demande plus de souplesse Un membre du CHSCT acad mique ne pourrait donc pas intervenir sur le terrain Ainsi s il y a un probl me dans le Dr me ce sera forc ment au CHSCT de la Dr me d intervenir Le r le du CHSCT acad mique est trop restrictif Monsieur MARTIN signale que les dispositions du d cret n interdisent pas la r partition entre les deux niveaux ce qui am ne une organisation la plus pertinente possible et apporte un regard d ensemble Monsieur le recteur fait remarquer qu il s agit du d bat sur la centralisation Monsieur MARTINY ajoute que certaines acad mies sont monod partementales o il ny a pas d int r t avoir un CHSCT d partemental alors que notre acad mie est l une des plus vastes Beaucoup d acad mies ont ce principe de subsidiarit Il faut un mode de relation entre ces deux niveaux un change sur des situations pr cises ou plus g n rales Cela permet de travailler en relation avec les col
19. issions des CHSCT d partementaux Ainsi un membre du CHSCT acad mique ne peut visiter de locaux Monsieur MARTIN r pond qu il s agit d viter une certaine redondance C est une logique de proximit En effet cela rel ve des CHSCT d partementaux de proc der des visites de locaux Madame PIGNARD MARTHOD fait remarquer que la hi rarchie n appara t pas dans le d cret Monsieur MARTIN souligne que ce d cret laisse toute latitude pour proc der cette r partition Monsieur le recteur prend un exemple S il y a un probl me en termes d hygi ne dans un lyc e proche si les comp tences ne sont pas r parties personne ne saura ce qu il faut faire ni qui s adresser l acad mie et ou le d partement Les directeurs acad miques des services de l ducation nationale ont la responsabilit de leur territoire D o cette r partition coh rente Pour madame PIGNARD MARTHOD tant donn e la colonne de gauche dans le tableau ce n est plus un CHSCT car il n y a pas de visite de locaux Monsieur le recteur r pond que le CHSCT acad mique d finit les grandes orientations et les CHSCT d partementaux sont territoriaux Il faut trouver la meilleure solution pour tre op rationnels Monsieur MARTIN fait remarquer que le CHSCT du minist re de l ducation nationale ne fait pas de visite de locaux Le CHSCT acad mique permet de faire le bilan annuel de toutes les visites faites par les CHSCT d partementaux Monsieur GODEAU
20. l y a une lettre de mission il ne s agit pas d une cr ation de poste Monsieur MARTINY explique que conseiller de pr vention acad mique tait une fonction qui n existait pas Ce poste reste dans la dotation acad mique mais n est plus dans la dotation de l tablissement de monsieur GONON I n y a pas d impact sur le plafond d emploi Monsieur GONON tait TZR il ne l est plus Il se trouve dans une discipline exc dentaire Madame MEYNET s interroge sur le terme de transition apparaissant en derni re page de la lettre de mission Monsieur MARTIN r pond que c est conjoncturel Monsieur GONON tant en effet tr s investi au sein de son tablissement la transition permettra de passer le relais Monsieur VINCENT pose la question des assistants de pr vention du 2 degr Ces personnels ont besoin de formation De plus il souhaite savoir qui signe la lettre de mission pour eux Monsieur MARTINY explique qu ils sont sous l autorit du chef d tablissement C est donc ces derniers qui signent leur lettre de mission Monsieur VINCENT signale qu ils sont certes sous l autorit du chef d tablissement mais en liaison avec le CHSCT Monsieur MARTINY fait remarquer qu ils sont nomm s par les chefs de service donc les chefs d tablissement Monsieur LARNAUD indique que les assistants de pr vention sont sous l autorit du chef d tablissement et qu il n y a pas de CHSCT en tablissement Pour monsieur VINCENT les assist
21. lectivit s locales que ce soit les communes les d partements ou la r gion Monsieur LARNAUD souligne que les visites sont tr s encadr es et organis es et que c est lui m me en tant qu inspecteur sant et s curit au travail qui est mandat pour cela Si des informations sont rapport es au CHSCT d partemental elles peuvent tre en lien avec le CHSCT acad mique Monsieur GODEAU indique que ce n est pas leur objectif de faire des visites al atoirement Monsieur VINCENT ajoute que les CHSCT sont ind pendants il n y a pas forc ment de subsidiarit Madame PIGNARD MARTHOD fait remarquer que ce travail est r aliser en confiance Il ny a pas d int r t faire deux fois les m mes choses et il y a des contacts avec les CHSCT d partementaux Pour Monsieur VINCENSINI la r partition propos e entre les deux niveaux est ainsi pour les CHSCT d partementaux ce sont des comp tences de terrain alors que pour le CHSCT acad mique ce sont des comp tences de bureau Monsieur GODEAU ajoute qu il ne trouve pas de point d accord sur cette r partition Monsieur le recteur remarque que les repr sentants ne proposent aucune autre r partition Monsieur GODEAU r pond que le d cret est tr s clair Monsieur MARTINY indique que le d cret laisse les capacit s aux acad mies de r partir les comp tences Monsieur GODEAU souligne le fait que le recteur veut r duire les comp tences du CHSCT acad mique et des CHSCT d partemen
22. les membres du CHSCT ne sont m me pas inform s 14 Monsieur le recteur r pond qu il ne va pas signaler tous les v nements au CHSCT acad mique Pour monsieur ACHOUR th oriquement il le devrait Monsieur LARNAUD fait remarquer qu il ny a pas de CHSCT dans les EPLE or il y a des assistants de pr vention Des accidents se produisent tous les jours Il y aurait un travail faire pour qu une d l gation du CHSCT soit inform e Monsieur MARTIN revient sur l arbre des causes Il s agit d avoir les capacit s tudier une situation pour qu elle ne se reproduise pas Ainsi l ensemble des donn es permet d analyser et d entrer dans le cadre de la politique acad mique Monsieur ACHOUR indique qu il est techniquement impossible pour les membres du CHSCT d agir sur tous les v nements mais ils souhaitent en tre inform s Monsieur MARTIN r pond que tout ne peut tre vu au niveau acad mique Les membres seront inform s via les rapports Monsieur ACHOUR souhaiterait avoir des rencontres mensuelles Monsieur MARTIN r pond qu il y aura trois comit s par an Ainsi les rencontres seront plus r guli res et les modalit s de fonctionnement mises en place Monsieur VINCENSINI revient sur une simple question de fonctionnement Quelques moyens en termes d heures peuvent ils tre conc d s Monsieur le recteur r pond que si l on donne des moyens aux membres du CHSCT il faut les prendre ailleurs En fonction d
23. r glement il ne peut donc appara tre tel quel dans le r glement int rieur Article 3 Les ajouts en vert et suppl ants sont valid s Les suppressions en rouge sont valid es sauf au dernier alin a aux d bats car c est sp cifi dans le d cret Monsieur MARTINY indique que cela a t act au comit technique acad mique Monsieur MARTIN reprend l num ration Article 4 L ajout en vert ne peut tre fait car cette proposition n est pas r glementaire Monsieur MARTINY souligne qu il faudrait alors inviter aussi les pr sidents des diff rents CHSCT d partementaux Monsieur MARTIN lit donc l article 4 tel qu il doit appara tre dans le r glement int rieur Le pr sident doit galement informer le conseiller de pr vention le m decin de pr vention ainsi que l inspecteur sant et s curit des r unions du comit de l ordre du jour et leur transmettre l ensemble des documents adress s aux repr sentants titulaires du personnel Les acteurs mentionn s au premier alin a participent aux d bats mais ne prennent pas part au vote 8 Article 5 L ajout en vert nest pas r glementaire car l article 70 du d cret pr voit qu un expert peut tre propos et ne donne pas de condition de nombre II lit donc l article 5 Les experts et les personnes qualifi es sont convoqu s par le pr sident du comit quarante huit heures au moins avant l ouverture de la s ance Toutefois
24. r cette derni re commission tant donn son territoire et sa population Monsieur LARNAUD reprend son num ration Formations Avec les r ponses projets et les publics d sign s Appr ciation globale tableau de bord national Concernant les probl matiques il y a des efforts faire sur certains domaines Monsieur VINCENSINI explique qu il est lui m me touch par le risque d aux poussi res de bois car il est enseignant en g nie industriel bois Pour lui les personnels expos s ce risque devraient b n ficier d une visite m dicale annuelle II y a un souhait d installer une veille particuli re dans les tablissements touch s par ce ph nom ne pour les personnels mais galement pour les l ves m me s ils ny restent que deux ou quatre ans Le nombre de d c s li s la poussi re de bois est de soixante cinq par an Monsieur MARTINY indique que pour la question des risques tout n est pas prioritaire et dans le cadre d un calendrier il faut des actions p riodiques De m me les visites m dicales pour les personnels de plus de 50 ans ne peuvent se faire qu en fonction des moyens Monsieur VINCENSINI reconna t qu il manque des m decins dans l ducation nationale mais il faudrait pouvoir se calquer sur le mod le du secteur priv Madame FRION fait remarquer que les probl matiques sont le temps le nombre de m decins et la priorisation entre les mouvements inter et intra acad miques e
25. rd e aux repr sentants titulaires du personnel aux repr sentants suppl ants du personnel appel s remplacer des repr sentants titulaires d faillants ainsi qu aux experts convoqu s en application de l article 70 du d cret n 82 453 susvis et de l article 4 du pr sent r glement int rieur La dur e de cette autorisation comprend la dur e pr visible de la r union les d lais de route un temps gal la dur e pr visible de la r union qui est destin la pr paration et au compte rendu des travaux du comit Ce temps ne peut pas tre inf rieur une demi journ e Sur simple pr sentation de la lettre de l administration les informant de la tenue d une r union du comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail les repr sentants suppl ants du personnel qui souhaitent assister cette r union sans avoir voix d lib rative et sans pouvoir prendre part aux d bats ont galement droit une autorisation sp ciale d absence calcul e selon les modalit s d finies ci dessus Les personnes qualifi es appel es prendre part aux s ances du comit en application de l article 70 du d cret n 82 453 susvis et de l article 16 du pr sent r glement int rieur disposent du temps n cessaire pour participer aux travaux du comit Les r unions du CHSCT ont lieu pendant le temps de service Monsieur MARTINY s interroge sur ce qui est appel temps de service Monsieur VINCENT r pon
26. s sont analyser Il s agit d un champ tr s particulier Pour monsieur ACHOUR il ne s agit de qualifier ce qu il s est pass mais d essayer de savoir dans quelle mesure cela peut tre vit Monsieur le recteur explique qu il y a des r gles de confidentialit respecter Madame CROCIATI indique que la probl matique est la pr vention du suicide d en comprendre les m canismes Ce sont des risques psychosociaux 15 Monsieur ACHOUR souhaite savoir dans quelle mesure les donn es peuvent tre exploit es pour pr venir ces risques Madame CROCIATI avance l id e de pr vention Comment faire de la pr vention Monsieur VINCENSINI fait remarquer que la probl matique du suicide est compliqu e Madame FRION indique que les poussi res de bois sont en lien direct avec les conditions de travail ce qui n est pas le cas du suicide Monsieur ACHOUR parle maintenant des situations de violence pour lesquelles il faut une prise en charge rapide et institutionnelle Madame SUERINCK fait remarquer que c est d terminant Monsieur le recteur souhaite que les quipes mobiles de s curit viennent expliquer ce qu elles font car elles jouent un r le important dans la pr vention de la violence dans les tablissements Monsieur VINCENT revient sur la notion de suicide qui n est pas simple mais chez Renault ou France Telecom cela a t reconnu comme accident du travail Pour madame CROCIATI il faut que ce soit d terminant
27. sont pas des attributions r glementaires ou tatiques Monsieur MARTINY souligne que les CHSCT d partementaux d clinent la politique acad mique L inverse n est pas possible Le CHSCT acad mique pilote oriente et impulse Les CHSCT d partementaux agissent au plus pr s Est ce que les repr sentants des personnels seraient d accord pour formuler des comp tences prioritaires au CHSCT acad miques et des comp tences prioritaires aux CHSCT d partementaux Les repr sentants des personnels demandent une interruption de s ance La s ance est interrompue pendant cinq minutes Madame PIGNARD MARTHOD indique que les repr sentants des personnels sont contre la r partition des comp tences propos e et demandent un vote Monsieur MARTINY demande s ils sont contre malgr la formulation de comp tences prioritaires Madame PIGNARD MARTHOD r pond par l affirmative Monsieur le recteur fait remarquer qu ils ne pr sentent pas de contre propositions Monsieur VINCENSINI indique que les membres lus vont faire une demande au niveau national Monsieur le recteur demande s ils souhaitent une suspension de s ance Madame PIGNARD MARTHOD souhaite un vote sur la proposition des domaines d attributions des CHSCT acad mique et d partementaux Monsieur le recteur informe qu il retire la proposition de r partition des domaines d attributions telle que pr vue par le document Il ne peut donc y avoir de vote Monsieur GODEAU indique q
28. t t d finies ainsi Monsieur GODEAU souligne que les repr sentants ne souhaitent pas faire deux fois la m me chose mais voudraient que tout le monde puisse tout faire Monsieur le recteur prend un exemple S il y a un probl me Mont limar sur quels crit res doit il saisir le CHSCT acad mique ou le CHSCT de la Dr me S il faut r fl chir il y a une perte de temps Il faut savoir d l guer Monsieur VINCENT explique que ce n est pas le CHSCT qui va se rendre sur les lieux La logique veut que ce soit le r le des secr taires de CHSCT Il faut une coh rence entre les secr taires des CHSCT d partementaux et acad mique d o l importance de ces secr taires Madame CROCIATI indique qu elle a l habitude d intervenir sur des urgences S il ny a pas de proc dures tablies a ne fonctionne pas Monsieur VINCENT lui r pond qu elle intervient titre curatif Ce qui n est pas le r le des membres du CHSCT qui est de faire des enqu tes de la pr vention et de l analyse Madame PIGNARD MARTHOD fait remarquer que dans le tableau colonne de gauche rien n emp che le CHSCT acad mique de faire des visites Monsieur le recteur r pond qu il faut fixer un principe de subsidiarit qui est un concept juridique et fixer des priorit s aux niveaux d partemental et acad mique Monsieur DURIEUX demande s il y a possibilit de mettre les visites au niveau acad mique Monsieur le recteur fait remarquer que ce ne
29. t les cong s longue dur e et longue maladie La demande est not e mais une visite tous les ans est un v u pieu 12 Monsieur VINCENSINI pense qu il y a urgence pour les enseignants en menuiserie Madame CROCIATI estime que l on parle en effet de personnels risques Monsieur LARNAUD indique que ces questions notamment les poussi res de bois sont des sujets sensibles Monsieur le recteur souligne aussi le probl me de la manipulation de produits chimiques Il manque en tout cas les ressources humaines n cessaires en termes de m decins Madame CROCIATI explique qu il n y a plus de formation de m decine du travail Monsieur le recteur pr cise qu il y a une p nurie de m decins Madame FRION souligne que des pans entiers en milieu m dical et social vont dispara tre dans l ducation nationale Monsieur LARNAUD termine de pr senter son bilan d activit s Programme d activit s 2011 2012 Il sera donc pr sent au prochain CHSCT Madame PIGNARD MARTHOD demande si un document unique sera mis disposition L information aux directeurs d cole concernant le CHSCT n est pas compl te Monsieur LARNAUD explique qu il y a une m thodologie consistant d ployer un questionnaire aupr s des directeurs d cole pour avoir une synth se par circonscription Chaque assistant de pr vention a fait une synth se et ainsi une synth se de synth ses est cr e L engagement de chacun est important Dans le d partement de
30. taux Les membres repr sentants des personnels ont t lus pour traiter leurs probl mes Ils font la proposition de ne pas mettre de limitation Monsieur le recteur n est pas d accord Il faut fixer un principe de subsidiarit Monsieur GODEAU r pond qu il y a cinq secr taires de CHSCT d partementaux et un secr taire de CHSCT acad mique Selon la situation il doit pouvoir y avoir communication pour savoir qui doit r gler tel ou tel probl me et ainsi ne pas laisser les choses figer Monsieur MARTIN apr s relecture de l article 52 du d cret revient sur les droits de visite Monsieur GODEAU fait remarquer que cet article n exclut pas le fait que ces comp tences reviennent au CHSCT acad mique Monsieur MARTIN r pond que cela n exclut pas que ce soit seulement aux CHSCT d partementaux Monsieur GODEAU n est pas d accord sur cette r partition Monsieur VINCENSINI trouve que les comp tences attribu es au CHSCT acad mique sont des comp tences de bureau Monsieur le recteur indique qu il faut d finir une strat gie acad mique Il rappelle galement que la subsidiarit est un principe juridique Monsieur ACHOUR fait remarquer que les membres du CHSCT doivent tre mandat s pour faire des visites de locaux et r unir en amont le comit pour d cider des visites Monsieur le recteur r pond qu il y a un mode d emploi g n ral faire Les CHSCT d partementaux ont aussi des membres lus et en voulant changer la
31. te et pas uniquement les services rectoraux ou les directions des services d partementaux de l ducation nationale Monsieur MARTIN r pond que cela n a jamais t dit et que le recteur a t clair sur ce travail Madame BERNARD fait remarquer que le conseiller de pr vention est nomm alors que les repr sentants des personnels sont lus Il y a un probl me de moyens Ils souhaitent avoir des heures pour apporter dans l action des CHSCT Monsieur MARTIN souligne que les attributions ne peuvent changer elles sont d finies par disposition du d cret Il faut veiller tre efficace dans la politique des CHSCT Monsieur ACHOUR souhaite parler de m thodologie Le document labor est tr s bien sur la forme le SGEN approuve le travail r alis Mais par rapport aux diff rentes attributions quels sont le temps et les moyens donn s Monsieur MARTIN r pond qu il faut travailler dans l ordre L organisation doit tre valid e et les attributions d finies Monsieur ACHOUR indique que les repr sentants des personnels ne peuvent accepter les attributions sans conna tre leurs moyens Monsieur le recteur informe que les membres auront des moyens mais souligne tout de m me qu un poste a t cr Madame PIGNARD MARTHOD r pond que ce poste cr ne peut tre des moyens pour les syndicats Elle souhaite maintenant revenir sur la question des missions Monsieur le recteur remarque qu un travail est faire avec l ac
32. trois CHSCT par an sera tenu Monsieur le recteur souhaite maintenant parler des domaines d attributions Monsieur MARTIN indique que les membres ont t destinataires du document r partissant les attributions d finies par le d cret n 82 453 du 28 mai 1982 Le tableau r sume les diff rentes attributions Le principe propos est de r partir les comp tences entre CHSCT acad mique et d partementaux et ainsi avoir un niveau de proximit permettant d tre plus efficace Globalement les orientations acad miques sont la promotion de la pr vention et les programmations strat giques alors qu au niveau d partemental il s agit de toute la mise en uvre des enqu tes de la visite des locaux etc Monsieur le recteur pose la question des personnels du rectorat qui ne peuvent tre rattach s au CHSCT de l Is re Monsieur MARTIN informe donc de la cr ation future d un CHSCT de service sp cial d di pour les services du rectorat de Grenoble Monsieur ACHOUR demande quels sont les moyens dont les membres du CHSCT acad mique vont disposer En effet dans le secteur priv dix heures sont allou es aux membres des CHSCT hors enqu tes et temps avec l administration Quels seront les moyens attribu s ici Monsieur MARTIN r pond que l on parle de r partition d attributions Les moyens seront discut s au niveau d partemental Au niveau acad mique un conseiller de pr vention a t nomm Monsieur GODEAU demande p
33. u ils vont demander une contre proposition au niveau national et qu ils sont preneurs de l envoi d une nouvelle proposition par l administration Monsieur MARTINY demande ce que les membres fassent une contre proposition par crit et qu ils envoient La s ance est suspendue CHSCT acad mique Proc s verbal de la reprise de s ance du 31 mai 2012 Le 4 juillet 2012 Monsieur le recteur reprend la s ance suspendue le 31 mai le 4 juillet 2012 14 heures 45 Sont pr sents Membres de l administration Monsieur Olivier AUDEOUD recteur de l acad mie de Grenoble Monsieur Bruno MARTIN directeur des ressources humaines de l acad mie de Grenoble Experts invit s de l administration Monsieur Dominique MARTINY secr taire g n ral de l acad mie de Grenoble Madame Marie Laure JEANNIN secr taire g n rale adjointe de l acad mie de Grenoble Monsieur Fran ois CHARLON directeur de cabinet Madame Jocelyne DEBES chef de cabinet Madame Sandrine FRION m decin de pr vention 7 Monsieur Henri LARNAUD inspecteur sant et s curit au travail Monsieur Beno t GONON conseiller de pr vention acad mique Madame Magali SUERINCK infirmi re conseill re technique Madame Agn s CROCIATI assistante sociale conseill re technique Repr sentants des personnels Pour la FSU Membres titulaires Monsieur Jean VINCENT Madame Marilyn MEYNET Monsieur Jean Claude VINCENSINI Madame Nicole PIGNARD MARTHOD
34. ue Monsieur GONON se pr sente Il est enseignant en g nie m canique productique au lyc e Galil e Vienne Il est galement formateur de gestes et postures chez les sapeurs pompiers volontaires Monsieur MARTIN ajoute qu il ny avait pas de conseiller de pr vention acad mique Il y a donc une lettre de mission qui est sign e pour une ann e qui se base sur le d cret n 82 453 du 28 mai 1982 modifi relatif l hygi ne et la s curit du travail ainsi qu la pr vention m dicale dans la fonction publique Le conseiller de pr vention acad mique est membre de droit du CHSCT par d cret Il est force de proposition et recherche des solutions en termes d hygi ne de s curit et de conditions de travail II est un appui important pour l inspecteur sant et s curit au travail 13 Monsieur MARTINY revient sur le positionnement du conseiller de pr vention acad mique et explique que c est un agent rattach au recteur alors que l inspecteur sant et s curit au travail n a pas de ligne hi rarchique au sein de l acad mie de Grenoble Il est inspecteur et rend des comptes l inspection g n rale Monsieur LARNAUD indique qu il est celui qui met en place et contr le dans l acad mie Pour monsieur le recteur il y a un ensemble un collectif Le concept de hi rarchie ne fonctionne pas On parle plut t d autonomie et de confidentialit Madame MEYNET souhaite revenir sur la notion de cr ation de poste S i
35. uv e Monsieur MARTINY souligne qu il faut d finir une r gle commune pour un bilan annuel IIl Formation des membres des CHSCT acad mique et d partementaux Monsieur LARNAUD explique que cette formation d pend de la DIFOR 2 Elle a eu lieu fin mars PESEN monsieur GONON n tait pas encore nomm Le ma tre mot est qu il faut que le dialogue social vive On retrouve au niveau de cette formation Les aspects r glementaires Les techniques d analyse d accident formation en pr sentiel et hybride audiovisuel crit etc Les attributions Le pr sentiel est dominant On retrouve la formation en audiovisuel sur le site de PESEN Il faut voir si le regroupement de cette formation se fait de mani re d partementale ou acad mique Tout n est pas fig et le contenu de formation est pr t Monsieur MARTIN indique qu il s agit d une formation unique pour l ensemble des membres du CHSCT acad mique et des CHSCT d partementaux Monsieur LARNAUD ajoute qu il y a cinq jours de formation r glementaires Monsieur VINCENT fait remarquer que la formation est cadr e mais les membres du CHSCT souhaitent un groupe de travail acad mique sur les priorit s de cette formation Madame PIGNARD MARTHOD demande si les cinq jours sont pris d s le d but de mandat En mati re de formation il y a un besoin des membres Monsieur MARTINY r pond qu un groupe de travail sera organis assez t t dans l ann e scolaire courant du
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