Le visage de la médecine
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1. notre existence Etoile de grandeur moyenne il s est form par gravit il y a un peu moins de 5 milliards d ann es dans la N buleuse d Orion un bras spiral de notre Galaxie Lorsque sa temp rature centrale fut suffisam ment lev e la force nucl aire est entr e en jeu et le soleil s est mis transformer son Hy drog ne en H lium ce qui assure sa lumino sit et son nergie Heureusement ce n tait pas une grosse toile du genre g ante bleue v ritable ogresse qui carbure son Hydrog ne toute vitesse de sorte que sa dur e de vie n exc de pas quelques dizaines de millions d ann es Notre Soleil au contraire est cono me de son Hydrog ne ce qui lui a permis de durer le temps n cessaire pour illuminer l veil du syst me plan taire et de la vie sur Terre Tous ces ph nom nes cosmiques qui furent longtemps des myst res nous sont maintenant d cortiqu s dans le d tail par la Science et nous paraissent allant de soi Et pourtant dans les temps anciens l Homme d j se po sait des questions et fut intrigu par la pr sen ce de cet astre si proche comme s il avait eu l intuition de son importance et de son r le dans notre existence Les anciens gyptiens avaient d ifi le Soleil RE qui leur apparaissait juste titre comme une puissance dont toute la nature d pendait Chaque soir ils S inqui taient de voir le cou chant ATOUM aval sur l horizon par la d esse du ciel2. Afgiftekantoor TOURNAI I 180 Bruxelles Bureau de d p t TOURNAI 4 Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise n 981 Avril Mai 2000 Agenda Culturel Vie du Coll ge Jubilaires 2000 Voyage en Tunisie La trousse d Esculape Le singe Hanuma n Le visage de la M decine Un sci cle d architecture hospitali re Bruxelles Pages I IT Voir notice l gale en page 3 Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Maison des M decins Comit Directeur Pr sident Prof Jacques Marin Pr sident d honneur Prof Jean Claude Demanet ler Vice Pr sident Dr Guy P que 2e Vice Pr sident Dr Alain de Mee s d Argenteuil 3e Vice Pr sident Dr Michel Chantraine Secr taire G n ral Dr Albert Jortay Secr taire G n ral Adjoint Prof Monique de Rood Tr sorier Dr Andr Bruyns Tr sorier Adjoint Dr Jean Marie Dalcq Membres Dr Henri Bondue Dr Marguerite Cambron Dr Paule Ketelbant Dr Etienne De Keyser Dr Justin Vanatoru Dr Lucien Warnimont D l gu l Entraide Dr Maurice Anckaert D l gu la Mutuelle Dr Justin Vanatoru Maison des M decins Pr sident honoraire Prof Jean Lederer Pr sident Prof Jean Claude Demanet Notice CORVATARD 1 DENOMINATION Nom de la sp cialit CORVATARD Principe actif Mol
3. Il est curieux de constater combien tous ces peuples anciens redoutaient la disparition du soleil et prouvaient des frayeurs pa niques lors des clipses Maintenant nous nous sentons tout fait rassur s notre seule crainte c est qu une paisse couche nuageuse vienne nous priver de ses chauds rayons qui dorent notre peau et de sa belle lumi re qui em bellit et transforme notre monde au fil des heures Et pourtant nous le savons notre soleil Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise eDJTORIAL suivra son destin comme toutes les toiles il ne sera pas ternel Quand son carburant dimi nuera il va d abord enfler en une norme bou le rouge qui va nous engloutir puis il se r tr cira pour finir en une petite masse blanch tre Mais ces v nements dramatiques pour nous ne se produiront heureusement pas de sit t nous avons environ 5 milliards d ann es de vant nous pour y r fl chir ce qui les rend fort irr els notre entendement De plus cette vo lution pourra peut tre tre stopp e ou en tout cas ralentie par les prouesses techniques que nous continuerons sans aucun doute r ali ser Des savanis ont d j imagin une possible r animation en agitant la mati re solaire r siduelle un peu comme si on touillait son caf au lait le matin On a pens une super bom be H bien dirig e ce qui serait une fa on tr s bumanitaire de consommer nos bombes ato miq
4. 22 72 51 E mail musee arts anciens province namur be Prix 200 frs pour adultes individuels 100 frs pour groupes tudiants 3 me ge Gratuit en dessous de 12 ans Exposition ouverte tous les jours m me le lundi de 10h00 18h00 sans interruption Pendant la dur e de l exposition la S N C B met la disposi tion du visiteur une B Excursion comprenant le prix du trajet et l entr e l exposition Visites guid es sur demande Langelez Olivier D apr s la farde de presse de l exposition Henri Bles La Conversion de Saint Paul Ch ne 111 x 142 cm Mus e des Arts anciens du Namurois Coll Province de Namur uvre acquise avec l aide de la Pr sidence du Gouvernement wallon PEINTURE Maurice Wyckaert Trait du paysage Maurice Wyckaert n tait pas directement impliqu dans le mouvement Cobra mais a repris le flambeau de la spontan it Une exposition lui est consacr e par le Provinciaal Museum voor Moderne Kunst Apr s avoir quitt l Acad mie de Bruxelles en 1948 Maurice Wyckaert 1923 1996 ne s est pas ralli imm diatement Cobra le mouvement qui vit alors le jour Paris Il d bute avec des natures mortes sous l influence de Jean Brusselmans Une abstraction progressive et un int r t croissant pour le rythme le conduisent ses pre mi res oeuvres non figuratives A partir des ann es soixan te il commence all ger ses paysages Dans une derni re phase amorc e
5. ade lat rale rue du Pach co A ro li Photographie coll Archives d Architecture Moderne Bruxelles Fonds Dewin efficace et suscitera rapidement la critique des m de cins Au m me titre que le palais de justice le th tre ou la prison l h pital et l hospice sont trait s comme de grands difices publics qui structurent la ville en pleine mutation Le Grand Hospice de l Infirmerie reste aujour d hui l exemple le plus caract ristique de cette approche qui associe troitement le b timent son cadre urbanis tique A partir de l ancienne glise du B guinage Partoes cr e un grand axe sym trique o se succ dent en une stricte hi rarchie les fa ades uniformes de la rue de l Infirmerie puis de la place qui d gage la fa ade principale de l hospice le pavillon d entr e et les deux cours arcades de l int rieur du b timent La seconde moiti du XIXe si cle voit la multiplica tion de grandes structures hospitali res r pondant la fois aux progr s rapides des sciences m dicales et l es sor d mographique des communes de la p riph rie Henri Louis Fran ois Partoes Hospice de l Infirmerie 1824 1827 dispositif AL He Cor MAO dans le quartier du B guinage Bruxelles Vue vol d oiseau P Alexis Partoes H pital Saint Pierre 1849 1878 mere rue Haute d mo Archive du CPAS tr s peu li Photographie coll Archives d Architecture Moderne Fonds Dewin Coll ge Royal de
6. architecturales seront toutes orient es en fonc tion des repr sentations ornementales avec des proportions colossales et des plans compliqu s pour offrir une surface plus grande d co rer Les temples ne relatent plus seu lement l histoire de ceux qui les ont di fi s mais sont des livres religieux traduits en pierre mn La mythologie hindoue est pour nous d une approche tr s ardue tant la distance est grande qui nous s pare de cette religion Tous les termes sanscrits ou palis qui nous y introduisent ne nous parlent pas imm diatement Ass n s en vrac ils nous d couragent par la complexit de cet trange charabia oriental N anmoins si on l aborde sous un angle particulier peut tre allons nous trouver du charme la sagesse de cet univers mythique malgr l norme distance spatia le et temporelle qui nous en s pare C est partir du premier mill naire avant J C que se constitue oralement l h ritage mythologique et philoso DA E E i phique hindou longtemps jug trop sacr pour tre not par crit D s le IV me si cle de notre re le sanscrit langue supravernaculaire va permettre la conservation de ces textes tr s popu laires d une richesse et d une vari t inou e o la pens e centrale reste l an tagonisme entre cr ation et destruction Parmi les divinit s nombreuses on trouve trois dieux pr pon d
7. dit Communal 068 2171659 50 Union professionelle reconnue sous le n 709 Moniteur Belge du 31 12 1903 acte n 5675 R gie publicitaire MEDIAL Mr Alain Mathieu Rue du Prieur 32 1360 Mal ves Sainte Marie Tel 010 88 94 48 Fax 010 88 03 18 Mutuelle du Coll ge des m decins T l 02 344 41 10 Bureaux Av Circulaire 138 1180 Bruxelles Ouvert lundi au jeudi de 9 12h00 lundi au jeudi de 13 17h30 vendredi permanence t l phonique T l 02 374 97 00 Fax 02 375 85 82 E mail colmed skynet be Abonnement Membres gratuit Non membres 2000 FEB an SD FORIAL Le mot de a R dactrice en chef Dans notre ronde des saisons le printemps est le plus beau mo ment Le jour s est allong le jar din refleurit on respire un air ti de et parfum entre une averse encore hivernale et une embellie subite qui nous oblige retirer notre pull Les hirondelles ces perp tuelles migr es sont reve nues les ramiers roucoulent se d chirer la gorge et tous les oi seaux piaillent dans leur nid cet te fois encore le soleil a prodigu ses photons en quantit suffisante pour veiller leur glande pin ale et guider leurs lans Nous m mes tout ragaillardis par cet afflux de lumi re si propice la bonne humeur nous nous sentons plus optimistes et pr ts surmonter les obstacles que la vie prend plai sir dresser devant nous Notre soleil nous est grandement salutaire il a m me pr sid
8. mythe de Narcisse La structure de l uvre est rigoureusement circulaire Adam est un bel homosexuel gocentrique amoureux de lui m me de Albin Michel son double f minin qui donne naissance un nouvel Adam au moment pr cis o celui ci meurt Gr ce aux manipulations g n tiques il peut s aimer h t rosexuellement se reproduire presque parth nog n tiquement et surmonter les obstacles de Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise l image du temps de la diff rence de sexe et de la mort pour se contempler ternellement Le Sida maladie mortelle r sultant du comportement immod r d Adam constitue le prix payer pour son immor talit car cette fin il doit se reproduire sexuellement et la mort est le tribut de la reproduction sexu e Le Sida est donc ici la ran on de l ternelle jeunesse d Adam Narcisse A c t de ces deux romans Les nuits fauves de Cyril Collard 1989 fit figure d uvre mineure au moment de sa sortie Le personnage principal cin aste parisien d une tren taine d ann es trouve son plaisir dans les rencontres homo sexuelles nocturnes anonymes br ves et violentes Il ne d daigne pas pour autant les jeunes filles et s duit une ado lescente de 17 ans qui va l aimer la folie s accrochant lui par tous les moyens Il semble cependant fort peu se pr oc cuper d elle il la prend et la rejette suivant son humeur et ne se soucie gu re d
9. r am nag avec Paide de la Liste Civile du Roi La Villa Goffinet sert de cadre des expositions temporaires La visite du M morial est libre c est dire sans guide Chaque visiteur re oit une notice en quatre langues dans laquelle toutes les pi ces expos es sont reprises en d tail Heures d ouverture Du ler avril au novembre chaque jour de 14h00 7h00 caisse ferm e l 6h00 Visite guid e du Mur de l Atlantique 5h00 ler juillet au 31 ao t chaque jour de 10h30 18h00 caisse M morial ferm e 1 7h00 derni re visite du Mur de l Atlantique 16h30 Groupes 20 personnes minimum du ler avril au I novembre sur rendez vous tel 059 70 22 85 Contact Domein Raversijde Duinenstraat 147 8400 Oostende Tel 059 70 22 85 Fax 059 51 45 03 rISTOIRS Le Mus e de plein air Mur de l Atlantique Les dunes prot g es de l ancien Domaine du Prince Charles abritent un site histo rique et unique de la fortification moderne Dans l ancien domaine du Prince Charles on peut visiter soixante constructions datant des deux guerres mondiales reli es par un r seau de tranch es ou de pas sages souterrains d une longueur de 2 kilom tres Cet ensemble exceptionnel t conserv gr ce au Prince Charles qui a refus syst matiquement toute d molition Ce Mus e de plein air propose deux promenades dif f rentes d une dur e de
10. remis leur place originale La vie des hommes est voqu e par des dioramas saisissants de r alit Le mus e est l endroit id al pour revivre l ambiance du Jour le plus long Les visites sont toujours guid es galement les visi teurs individuels Heures d ouverture Du ler avril au I novembre chaque jour de 14h00 1 7h00 caisse ferm e l6h00 Visite guid e du Mur de l Atlantique 1 5h00 Du ler juillet au 31 ao t chaque jour de 10h30 18h00 caisse M morial ferm e 1 7h00 derni re visite du Mur de l Atlantique l 6h30 Groupes 20 personnes minimum du ler avril au I novembre sur rendez vous tel 059 70 22 85 Contact Domein Raversijde Duinenstraat 147 8400 Oostende Tel 059 70 22 85 Fax 059 51 45 03 mr 1 E P F T d ce HISTOIRE Images de la Pr histoire L exposition Images de la Pr histoire offre une possibilit pour tout Namurois en particu lier les jeunes de red couvrir leurs anc tres Des g n rations de b d philes ont acquis beaucoup de connaissances gr ce aux aventures de h ros courageux Mais certaines planches tendant plus la caricature un mise au point des connaissances accumul es sur l poque s imposait Des sc nes de bandes dessin es sont confront es des maquettes et des r pliques On aura compris que cette expo sition s adresse aux enfants et aux amateurs de bande dessi n e Sept
11. rieur offrait la surprise de simples pavillons bas dispos s sur trois terrasses arbo r es et reli s par un r seau de galeries vitr es On trou vera encore cette conception dans l h pital fran ais de Berchem Sainte Agathe con u par Gustave Maukels 1928 1930 Geerling et De Vos H pital militaire Ixelles 1882 1888 d moli vue d une galerie vitr e int rieure Carte postale ancienne coll J Lemercier voir ouvrage Ixelles en cartes postales anciennes L h pital Brugmann et l mergence de la m decine moderne Le tournant du si cle constitue un moment particu li rement important La m decine devient indissociable d une recherche scientifique sp cialis e elle m me troitement li e l enseignement universitaire En mar ge des tablissements de soins apparaissent progressi vement des b timents de grande qualit consacr s la recherche et la formation m dicales tels les trois insti tuts de Physiologie d Hygi ne et d Anatomie 1892 1899 r alis s par Jules Jacques Van Ysendyck dans le parc L opold pour l Universit de Bruxelles l initiative d Ernest Solvay et de Paul H ger Ce seront ensuite l cole de M decine et l Institut d Anatomie de Fran ois Malfait annex s l h pital Saint Pierre 1924 1928 puis la Fondation Reine Elisabeth construite par Henry Lacoste c t de l h pital Brugmann 1927 1929 Les progr s de la m decine tout parti
12. COLLARD L ange sauvage s barer m diatique qua rencontr Herv Guibert avait totalement clips le roman Les nuits fauves de Cyril Collard sa sortie Guibert tait il est vrai d j un crivain consacr au moment de la parution de A l ami qui ne ma pas sauv la vie Mais Cyril Collard cin aste qui avait fait ses preuves allait ravir lavant plan d but 1993 avec la sortie d une version film e de son roman dont il a assur lui m me le tournage et o il interpr te son propre r le Rencontrant un succ s consid rable aupr s du public jeune Les nuits fauves est devenu un film culte de la nouvelle g n ration Cyril Collard est mort le 5 mars 1993 trois jours avant la c r monie des C sars pour laquelle son film a obtenu sept nominations et quatre r com penses entrant ainsi de plain pied dans la l gende La litt rature du Sida s est malheureu sement essentiellement manifest e ne 1993 par de nom breuses uvres posthumes que l on per oit parfois un peu trop opportun ment exploit es par les diteurs Le paradis d Herv Guibert est sorti sous une forme manifestement frag mentaire sans que l auteur ait en le temps d en structurer la fin les carnets de Cyril Collard L ange sauvage choix de titre minemment m diatique ou de Gilles Barbedette cri vain et diteur d c d en 1992 M moires d un jeune hom me devenu vieux sont rassembl
13. Mario Molinari comprises R ductions aux ayant droit Forfaits SNCB et DE LIJN Langelez Olivier D apr s la farde de presse de l exposition Pages nationales Nationale bladzijden Voyage en Tunisie 23 au 30 septembre 2000 Le Docteur Albert JORTAY se propose de vous em mener pour une exploration du nord de la Tunisie dans ses aspects les plus prestigieux correspondant aux p riodes punique et romaine Cela vous permettra de visi ter CARTHAGE et son mus e les ruines de sa rivale UTIQUE et aussi DOUGGA la romaine et KERKOUANE la belle endormie Une visite au Mus e du BARDO TU NIS s impose par sa collec tion unique de mosaiques qui sont magnifi quement dis pos es sur 4 tages et rela tent la vie quotidienne des Carthagi nois l poque faste de lempi re romain Le voyage sera oal ement tourn vers les t moins du pass arabe de la Tunisie avec la visite de KAIROUAN et de ses antiques mosqu es Une excursion est pr vue au CAP BON qui r unit les meilleurs vignobles du pays et donne acc s la belle c te rocheuse en passant par des villes renomm es pour leur artisanat comme NABEUL avec ses c ramiques po lychromes Un d ner de prestige dans la MEDINA de Tunis nous donnera l occasion de rencontrer des confr res tunisiens tout en admirant les charmes de l architecture arabo an dalouse Notre h bergement est pr vu pour toute la semaine dans un bel h tel de SIDI B
14. NOUT et chaque matin ils chantaient la renaissance de KHEPRI Les py ramides les ob lisques certains sites pyrami daux choisis pour construire leurs tombeaux taient toujours des monuments point s vers cet astre qu ils ont v n r et implor pendant des milliers d ann es tout au long de leur his toire Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Nous retrouvons cet int r t tout particulier pour le soleil dans les superbes alignements m galithiques de Stonehenge o des hommes des pr tres peut tre ont guelt mesur calcul sa course dans le ciel pendant des dizaines d an n es si pas davantage Ils sont ainsi parvenus riger ces pierres lev es de plusieurs tonnes selon un agencement tellement pr cis qu au solstice d t les rayons du levant p n traient exactement dans laxe du monument On pen se qu il s agissait l d une sorte de temple du So leil et que peut tre ce fut un haut lieu de p le rinage de culture et de rassemblement de po Dulations Plus tard les Incas furent aussi des adorateurs du soleil dont ils se pr tendaient les fils Les Az t ques bien cruels nos yeux eurent pour dieu supr me UTIZILIPOCHTITII qui personni fiait notre astre au z nith qui ils offraient des sacrifices bumains Ils esp raient ainsi nourrir et apaiser le soleil afin que celui ci poursuive son trajet dans le ciel et que les t n bres ne recouvrent pas le monde
15. ans mais plus de la moiti des hommes de 50 ans en montrent des manifestations et pr s de 90 des septuag naires et octog nnaires en sont affect s Entour e par sa capsule qui limite son expansion vers l ex t rieur Cest essentiellement vers l int rieur qu elle d velop pe cette croissance au d triment de l ur tre qui la traver se D o les difficult s mictionnelles que l on conna t et l ir ritabilit de la paroi v sicale qui s paissit se contracte et prend progressivement l aspect de vessie de lutte Des causes mal connues Les causes de l hypertrophie b nigne de la prostate ne sont pas encore bien connues On a longtemps invoqu de simples processus de vieillissement mais cette explica tion ne para t plus suffisante de nos jours Les modifica tions hormonales au cours de l ge ont t tudi es Il appara t que la production de testost rone d cro t avec le temps tandis que la proportion relative d oestrog nes produits par l organisme masculin s accro t Sur base d tudes animales des chercheurs ont sugg r que cette plus grande proportion des oestrog nes augmentait l acti vit de substances reponsables de la croissance cellulaire Une autre th orie fait appel la dihydro testost rone d riv de la testost rone form dans la prostate Malgr la baisse des taux de testost rone plasmatique l homme g contiuerait produire et accumuler des quantit s impor tan
16. bres comme les Pro fesseurs Dubost Hepp et Lorta Jacob Nous ne nous at tarderons pas raconter des histoires de chasse du chasseur chass mais nous vous souhaitons une pai sible retraite pleine de lectures se rapportant l histoire l actualit la politique et de nombreuses expositions de peinture Le Coll ge des m decins tient vous f liciter cha leureusement pour votre brillante carri re suivre MEDEGINS ARTISTES Les photographes parmi nous Un membre du Coll ge le Docteur St phane Cette magnifique exposition est voir jusqu au 4 juin SCHOLLAERT est un photographe connu dont le renom 2000 Nous remercions le Docteur Schollaert de nous d passe nos fronti res Il participe en ce moment di avoir offert la photo ci dessous verses expositions dont celle qui se tient actuellement au Botanique et est intitul e Bruxelles une ville en photographie Les intentions de cette impor tante exposition sont de r v ler l identit de Bruxelles vue par plus de cinquante photographes le long de Phistoire de la photo graphie Si les pr curseurs du 19 me si cle FIERLANTS GHEMAR voient les symboles monumen taux la mani re des sites an tiques nos contemporains sont souvent interpell s par la d shu manisation et les modifications urbaines JODOGNE PLISSART D autres ont une approche plus souriante DE PERLINGHY SCHOLLAERT Des photo graphes tra
17. dans les ann es septante de grandes taches l g res apportent son univers paradisiaque une insonda bilit mystique L poque du Taptoe Avec Clara et Gentil Haesaert et avec Ernest Wyens il fonde Bruxelles en 1954 le Taptoe une petite oasis artistique qui deviendra un lieu de rencontre ouvert aux talents belges et trangers Walter Korun et Serge Vandercam en sont le moteur et en deux ans d existen ce le Taptoe r unit entre autres Jorn Walasse Ting Enrico Baj Pierre Alechinsky Hugo Claus Roel et Reinhoudt d Haese Le Danois Asger Jorn surtout a for tement impressionn Wyckaert Les deux artistes sont devenus tr s amis et ensemble ont v cu activement les timides d buts de l Internationale Situationiste Wyckaert a supprim de son monde l aspect tragique et anecdotique de l humanit un facteur qui avant la guerre avait fortement influenc la tradition paysagiste de l Expressionnisme flamand Ses toiles expriment la force vitale d un monde toujours changeant Malgr une approche panoramique Wyckaert ne nous pr sente pas des paysages stables bien ordonn s Ses ciels tombent au premier plan le sol s ouvre et les l ments se m lan gent en un fourmillement bigarr Il r ussit donner un sens de l harmonie son monde instable m me si l ori gine de cette harmonie n est pas imm diatement percep tible par le spectateur Une vie internationale D s 58 Wyckaert participe c
18. elles ont commenc tre englou ties Ce ne sont donc pas les Celtes qui b tirent ces sites mais bien des peuples qui vivaient des mil liers d ann es avant La guerre dans certaines planches dessin es on voit des tribus en comp tition voire en affron tement Les chasseurs cueilleurs vivaient en fait en petits groupes dispers s dans un grand territoire Les armes de l poque taient utilis es seulement pour chasser Culture la culture celte est in luctablement li e aux druides Ils taient la fois des intellec tuels des proph tes des astronomes et des inter m diaires avec les dieux Du 19 f vrier au 23 d cembre 2000 Espace arch ologique Saint Pierre Route Merveilleuse 23 5000 Namur Tel 081 25 02 70 081 25 02 83 Fax 081 25 02 71 Exposition accessible du mardi au vendredi de 12h00 17h00 samedi et dimanche de 10h00 17h00 Langelez Olivier Sur base du dossier de presse de l exposition ARCHITECTURE Le visage de la m decine Un si cle d architecture hospitali re Bruxelles 1820 1940 Une premi re version de ce texte a t publi e par la R gion de Bruxelles Capitale service des Monuments et Sites l occasion des journ es du Patrimoine de 1999 dans l ouvrage Architecture et Art Public De l hospice l h pital pavillonnaire Confront e de multiples exigences techniques l ar chitecture m dicale donne aussi un visage
19. rants Brahma le cr ateur du cosmos devenu sur tout un vague bienfai teur quelqu un qui exauce les voeux Vishnu l immanent qui est le protecteur et l axe de l univers et enfin Shiva le des tructeur ma tre du Temps et des ner gies dont la compo sante sexuelle est sym bolis e par le linguam E sorte de pilier phallique p t moignant de la p rennit de la cr ation Lorsque l quilibre du monde est en danger Vishnu appara t sur la ter re selon diff rentes formes humaines ou animales qui sont autant de r incarnations et de m tamorphoses appel es avatara d o d coule d ailleurs le terme fran ais avatar qui veut d signer une m saventure f cheuse L objet de cet article est la repr sentation du singe Hanum n qui appara t dans l pop e de Rama Ramayana Ce r cit dont il faut faire tat d bute avec la transformation avatara de Vishnu en un prince mod le Rama destin succ der au roi d Ayodhy au nord du Gange pr s de l Himalaya Rama re oit depuis une sorte de naissance caract re divin une ducation comme prince h ritier et un apprentissage asc tique fait de d sint ressement et de haute vertu et qui comporte ra un long exil Pendant cette p riode de privation Sit son pouse semi divine est enlev e par le roi tyran Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise nique de Lank Ceylan c est ici l extr
20. s et dit s la h te Ce n est plus seulement une criture mais galement une publication contre la montre Des textes plus homog nes mais plus anciens apparaissent aussi dans ce flot tel le journal du publis ciste Bertrand Duqu nelle d c d en 1991 d Azt que Cest dire l auteur lui m me d s le moment o il est trait par l AZT qui d crit suivant un sc nario d sormais caract ris tique la maladie et la mort de son ami puis l volution de son propre mal Il rejoint l opinion d Herv Guibert et de Gilles Barbedette lorsqu il constate In extremis n crivons nous pas tous le m me livre le m me mis rable livre litt raire pour ne pas faire morbide impudique pour faire sinc re ellip tique pour ne pas avoir l air de se plaindre f roce pour se per suader qu on existe livre d anecdotes cruelles lapsus de m decins l chet et l chages fuites parisianisme ruses tor dues pour se d douaner masochismes divers aveux poses soupirs Le lecteur sans doute n a pas m rit d avaler ce pus Las Dans l urgence sort comme vient Ca vient bien vient mal Ce constat correspond l impression que laisse cette premi re d cennie de litt rature du Sida Dr Jean Goens Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise CULTURE Images de l Olympisme Dans le cadre des manifestations spor tives et culturelles de l EURO 2000 le Mus e des B
21. son mal ou ses pr occupations Ainsi son ami Michel Foucault appara t dans ce livre sous les traits de Muzil Rien n est pargn au lecteur ni les d tails des m urs homo sexuelles de Muzil ni la relation p nible de son agonie alors que Foucault s est toujours montr discret tant sur son homo sexualit que sur son Sida L emploi dun pseudonyme est ici ambigu car Foucault est ais ment reconnaissable et l auteur semble ainsi vouloir se m nager une marge de fiction dans la narration de faits r els alors que rien ne permet de la distin guer dans son r cit Par son caract re autobiographique et ses indiscr tions ce roman cl s connut un certain succ s d estime et de scanda le d cupl lorsque Guibert apparut l mission t l vis e lit t raire Apostrophes amaigri pr matur ment vieilli parlant ouvertement de son Sida et annon ant qu il cessait d crire Des dizaines de milliers de lecteurs lui t moign rent leur sym pathie et l encourag rent reprendre la plume Un an plus tard paraissait Le protocole compassionnel cette suite qu il ne voulait pas faire Le ton de l ouvrage oscil le entre l all gresse et le d sespoir qui sont ceux d un homme atteint par un mal qui le sublime et le d vore en m me temps Moins f roce et cruel que dans l ouvrage pr c dent lau teur se compla t cependant ci dans une sorte d exhibitionnis me narcissique autre forme de son gocentrisme ta
22. 90 minutes La premi re pro menade qui est ax e sur la Premi re Guerre mondiale montre les positions de la batterie Aachen construite en 1915 De nombreux l ments de cette batterie c ti re aujourd hui unique en son genre ont t conserv s deux postes d observation quatre emplacements de canons avec soutes munitions annexes et un abri contre les bombardements Ont peut galement y visiter un ensemble datant de 1941 abris de troupe toilettes chambres provisions et un poste de secours Ces constructions taient occu p es par une unit de soldats du g nie Pionierstab qui s occupaient de la construction des bunkers Une petite exposition rappelle le travail des d mineurs belges qui apr s la guerre ont rendu la c te nouveau accessible Pages nationales Nationale bladzijden E Une deuxi me promenade conduit le visiteur tra vers les positions bien conserv es de la batterie Saltzwedel neu 1941 qui devait d abord assurer la d fense du port d Ostende et qui fut ensuite incorpor e apr s 1942 dans le Mur de l Atlantique L ensemble a t r am nag dans l tat original tel que le feld marchal Rommel l a vu l occasion de sa visite en d cembre 1943 De nombreuses constructions du mus e ont t remises dans leur tat d origine et r am nag es avec le mat riel et les meubles authentiques Les pi ces de DCA l artillerie lourde et les projecteurs ont t
23. JORTAY organisateur et accompagnateur KAIROUAN La grande Mosqu e Photo M Jortay VIE DU COLL GE Jubilaires 2000 A chaque printemps tradition oblige nous nous r unissons pour f liciter les Confr res et Cons urs qui pendant 50 ou 60 ans se sont d vou s cette vocation et cette profession dont l unique objet est l homme malade Certains n ont pu tre des n tres pour des motifs de sant ou autres qu ils ne soient pas oubli s pour autant ce sont les docteurs Re n Baerts Jean de Mees Robert Derriks Paul Dewinne Gabriel Philippart Marcel R mion Maria Robonzinska Nous allons donc tenter en quelques mots d voquer la carri re de chacun d entre vous Vous qui f tes nos a n s nos ma tres nos guides Nous publions en premi re partie les curriculum Vvtae des confr res qui ont 60 ans de dipl me Le docteur Henri DENOLIN Le docteur Henri Denolin est dipl m de ULB en 1939 Licenci en ducation physique en octobre de la m me ann e il se lance avec passion dans la recherche de la compr hension du fonctionnement normal et pa thologique du c ur et des poumons au sein du labo ratoire du Professeur Pierre Ryland Cette passion lui est apparue tout en tant encore tudiant et en fr quentant le laboratoire de m decine exp rimentale des professeurs Paul Govaerts et Jean Le quime De cette poque date sa participation aux publica tions sur le d bit cardiaque Du fait de la fermeture de
24. No s attendons le plaisir d Pouvoir ddmirer vos UVvres AVIS IMPORTANT le Coll ge des M dedins a obtenula garde m dicale la Soci t Philarmonique de Bruxelles M decins int ress s manifestez vous au 374 97 00 Pour toutes les activit s du Coll ge R servations uniquement par inscription t l phonique au 3874 97 00 et par communication de votre num ro de carte VISA et de sa date d expiration Formulaire de participation Le la soussign e a l intention de participer l exposition des Journ es d automne du Coll ge des M decins dates non encore pr cis es NO PR Adresse oeseseseseseseseseesesesesesesesesounesesesoeoeseseseeseneseueeseseneeoeneseseeseesouteseeseuoeseseseeseueneseuueseseuosueseneunenenene A E EENE EE E EEE N ETT P e AAA Pour les conjoints exposants nom du conjoint m decin Signature renvoyer au Coll ge des M decins 138 avenue Circulaire I 180 Bruxelles l attention de Madame Wagschal ee 6 En g i l Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Tableau de Mme DAMSEAUX ETUDES CLINIQUES Hypertrophie b nigne de la prostate et confort du patient Une nouvelle formulation de l alfuzosine permet d am liorer l efficacit et la tol rance du traitement de l hypertrophie de la prostate L pid miologie de l hypertrophie b nigne de la prosta te est connue de tous Elle ne cause gu re de sympt mes avant l ge de 40
25. OU SA D appel le St TROP tunisien situ dans les environs de Tunis et agr ment d une piscine et avec un acc s la plage SIDI BOU SA D Une ancienne rue Photo M Jortay Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise KAIROUAN Zouia de ZIDI SAHAB Mausol e du barbier Photo M Jortay PROGRAMME Jl BXL TUNIS arriv e le samedi en d but d apr s midi a roport de Carthage Installation l h tel de SIDI BOU SA D J2 CARTHAGE visite des ruines et du mus e de Carthage J3 UTIQUE visite des ruines Retour TUNIS mus e du Bardo mosa ques J4 CAP BON excursion dans la p ninsule visite de KER KOUANE punique retour par NABEUL c ramiques J5 SIDI BOU SA D visite du palais Erlanger architecture andalouse L apr s midi est libre J6 KAIROUAN visite de la Grande Mosqu e antique aux 125 colonnes romaines et de la zaouia de Sidi Sahab di te mausol e du barbier Tour dans les ateliers de confection de tapis tr s renomm s J7 DOUGGA visite des ruines romaines Retour par THU BURBO MAJUS capitole thermes d t L apr s midi est libre J8 TUNIS BXL d part le samedi matin pour l a roport de Carthage CONDITIONS e maximum 30 personnes e prix 42 000 BEF chambre double 45 000 BEF chambre simple comprenant l avion le logement les re pas lautocar climatis et les visites de mus e Dr Albert
26. Vie du Coll ge Jublaires 2000 Voyage en Tunisie Culture M morial Prince Charles Le mur de l Atlantique Revivre la pr histoire Images de lOlympisme le peintre Henri Bl s Wyckaert Trait du paysage Les photographes parmi nous 4 5 16 17 I5 10 I l 12 13 14 18 Le visage de la M decine l I La trousse d esculape Le singe Hanum n IV V Le sida et le retour de la peur VI VII Administrateur G rant Dr Guy P que Administrateurs Dr Marguerite Cambron Dr Henri Bondue Dr Andr Bruyns Dr Jean Robert Fagnart Dr Albert Jortay Prof Jacques Marin D l gu aux jeunes m decins Dr Michel Chantraine Editeur responsable amp R dactrice en chef Dr Marguerite Cambron pages locales Av du Pic vert 24 1640 Rhode St Gen se T l Fax 358 19 25 R dacteur en chef Dr Jean Andris pages nationales Comit de r daction Professeurs J C Demanet J Lederer J Sternon J Marin B Conet Docteurs J M Dumont A Jortay R Van Laethem A Sibille C M Thiebauld A de Mee s G P que Directrice administrative Mme Emmanuelle Wagschal La r daction du bulletin n assume aucune responsabilit dans les offres et demandes contenues dans les petites annonces et dans les pages publi citaires en g n ral Les textes des articles publi s n engagent que leurs auteurs Le droit de copie de tous nos articles originaux est r serv Coll ge des M decins et caisse d entraide Cr
27. a conscience hindoue retient des singes leur v g tarisme et qu ils sont non violents c est dire contre la violen ce irraisonn e Les bronzes indiens pour la plupart r alis s en cire perdue repr sentent les princes royaux les principales divinit s du panth on brahmanique des pop es com me surtout celle du R m yana et des saints vishnuites ou shivaites Les rares bronzes de la premi re poque commencent copier trait pour trait la statuaire en pier re Les statues parfois de grande dimension sont retra vaill es au burin et des attributs sont parfois ajout s apr s la fonte sertis ou bras s Une grande audace doit tre reconnue beaucoup de ces fondeurs qui donnent aux personnages une position de danse dynamique et l g re debout sur une jambe Dr Alain de MEEUS d ARGENTEUIL L objet du prochain article EE ESA Le sida et le retour de la peur D J l D Parmi les maladies v n riennes c est sans conteste la syphilis qui a atteint la dimension cultu relle la plus mythique et qui fut la plus grande maladie litt raire de tous les temps Sa r gression apr s 1945 avec la d cou verte de la p nicilline a entra n bien videmment sa rar faction litt raire 2002 Paris proposons cette fois une r flexion sur le SIDA un travail particuli rement Au d but des ann es 80 le Sida allait reprendre ce r le Son impact litt raire du Sida si l
28. criptions hyperr alistes des milieux hospitaliers et l utilisation d un langage m dical pr cis qui montre que leurs auteurs sont inform s et concern s Apr s ces r cits confessions le pre mier vrai roman du Sida o celui ci cr e un climat sans projeter un personnage atteint l avant plan a t Les quartiers d hiver de Jean No l Pancrazi Prix M dicis 1990 Le Sida n est jamais cit une seule fois mais est omnipr sent les protagonistes l appellent le mal mauve pour lui donner une teinte de v pres et de printemps froid car il est le poi son lent qui s instille partout l hiver qui fige la jeunesse la mort qui frappe au c ur de la vie Ces protagonistes qui sont des homosexuels et des marginaux qui fr quentent un bar de nuit Le Vagabond Il fut une poque printa ni re o tout n y tait que f tes perp tuelles joie de vivre passions exacer b es rencontres multiples enthousiasme juv nile jouissance fr n tique de la vie Mais en cet hiver qui est aussi le dernier de l tablissement avant sa fermeture le mal mauve frappe sans discernement parmi les jeunes Ceux qui sont atteints disparais sent discr tement pour prendre leurs quartiers d hiver ailleurs dans un village espagnol ou pr s d un canal hollandais Ceux qui restent tentent de s accrocher aux souvenirs des jours enfuis ou de faire comme si de rien n tait mais leurs gestes autrefo
29. culi rement de J J Van Ysendijck et L G rard Instituts de Physiologie au Parc L opold 1892 1894 et l arri re l Institut d Hygi ne 1893 1894 d moli Photographie coll Institut Royal du Patrimoine Artistique la chirurgie suscitent en quelques ann es la cr ation de nombreuses cliniques sp cialis es Parall lement la Ville de Bruxelles entame une reconstruction compl te de ses structures hospitali res dont la v tust tait d nonc e avec insistance par le corps m dical On assis te enfin l mergence d une r flexion nouvelle sur les conditions psychologiques d accueil et de traitement des patients qui aura une influence notable sur la concep tion de l architecture m dicale La r alisation de l h pi tal Brugmann par Victor Horta conna t une histoire longue et complexe 1906 1923 A l origine l tablisse ment est con u pour remplacer enti rement les deux anciens h pitaux de Bruxelles Saint Pierre et Saint Jean Rapidement l Administration des Hospices d signe Victor Horta et porte son choix sur un terrain d environ 18 hectares sur le plateau de Jette Si la structure pavillonnaire s impose tout naturellement le plan a l ori Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Es E r fi F H g physiologie g n rale Carte postale ancienne Archives de l U L B ginalit de pr senter des d partements totalement auto nomes vitant autan
30. e doute quant sa vertu la nature divine du couple princier clate aux yeux de tous Rama peut retourner triomphalement dans son royaume et son gouvernement le r gne de Rama ou Rama Rajya sera de nombreuses ann es exemplaire devenant un mod le politique mythique bien s r et qui fut souvent voqu par Gandhi Pourquoi des singes dans cette histoire Ils sont consid r s comme des tres puissants et rapides et apparaissent par s de vertus cologiques luttant sans armes ou se servant seulement d arbres d racin s et de rochers Hanum n en t te les singes vont t moigner d un d vouement in branlable et dune r elle d votion qui s adressent autant au prince royal qu l avatara de Vishnu qu il repr sente Ils font ainsi montre de valeurs de renoncement et de sacrifice de soi Dans les temples d di s Rama on repr sente Hanum n les mains jointes face au dieu qu il soutint Cependant encore actuellement et presque partout dans l Inde le singe Hanum n a d innombrables sanc tuaires qui le consacrent protecteur des lieux o ce cul te lui est rendu Comme dans sa repr sentation en bronze illustr e ici il figure classiquement comme un personnage qui court sans armes avec dans la main la montagne ou la Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise plante m dicinale et en dessous de lui un d mon repr sent en tout petit qu il foule aux pieds L
31. e la pr venir qu il est s ropositif Ce roman raconte la lente descente aux enfers d un couple qui saime dans la douleur et le d chirement et constitue un document haut en couleurs sur les nuits fauves les activi t s nocturnes du milieu homosexuel parisien Je Cyril Collard nuits fauves Roman Mais l v nement litt raire du moins sur le plan m diatique en relation avec le Sida fut la publication en 1990 du roman autobiographique d Herv Guibert A l ami qui ne m a pas sau v la vie L auteur un crivain parisien homosexuel dans la trentaine est atteint du Sida Il rapporte avec courage et lucidi t en des pages mouvantes crites avec son sang Pimpla cable progression de son mal La proximit de la mort et la connaissance de la douleur lui procurent un sentiment de matu rit anticip e de vieillissement pr coce de lucidit accentu e Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise IR Par ailleurs tout comme les crivains romantiques tuber culeux il se lance avec fr n sie dans l criture car le temps lui est d sormais compt Toutefois c t des pages mouvantes o il note l volu tion de sa maladie et celles plus sereines o il voque les cons quences de celle ci sur sa perception et son activit lit t raire il en est d autres nettement plus d plaisantes Car Guibert se montre m chant et cruel face tout ce qui ne concerne pas
32. eaux Arts de Charleroi pr sente l exposition mages de l Olympisme organis e en collaboration avec le Mus e Olympique de Lausanne Ben Vautier Life is competition Lithographie Coll Mus e Olympique Lausanne C Ben Sabam Belgium 2000 Images de l Olympisme exposition organis e Charleroi a pour objectif de pr senter deux s ries de lithographies originales r alis es par des artistes contemporains en vue de c l brer les Jeux de Munich de 1972 et le centenaire de la fondation du Comit International Olympique en 1894 Accompagnant ces s ries les deux ensembles de 40 affiches historiques des jeux d Hiver et des Jeux d t seront pr sent s dans l espace Destr e Les affiches des jeux Le Comit International Olympique s est appliqu unir l art et le sport dans l esprit de l id al antique Ainsi d s les Jeux de 1912 Stockholm et jusqu en 1948 des concours d art ont eu lieu c t des concours sportifs Par la suite un festival des arts a t organis aux Jeux Dans ce contexte lors des J O de 1972 la ville de Munich r alisa une synth se entre les domaines sportifs et artistiques En effet lors de sa fondation en 1966 le Comit d or ganisation opta pour une conception homog ne de Pages nationales Nationale bladzijden l image de marque visuelle des Jeux de la XXe Olympiade Une gamme tendue d affiches devant rem plir plusieurs r l
33. es fut ainsi mise au point Le graphiste Olt Aicher Directeur de l cole de gra phisme d Ulm fut choisi pour concevoir l affiche offi cielle et pour laborer l ensemble des pictogrammes destin s la signalisation Son style marqua d une empreinte forte l esth tique des ann es 70 L ensemble tr s r ussi a suscit une entreprise semblable chez les cr ateurs des J O de Montr al 1976 et de Los Angeles 1984 dont les pictogrammes s inspir rent de ceux de Munich Parall lement cette ligne artistique une s rie d af fiches fut con ue par diff rents artistes de renom pour le festival olympique des arts Le comit olympique esti ma souhaitable que l on fasse aussi appel des artistes provenant de onze pays diff rents afin d int grer des tendances artistiques tr s vari es Ces affiches ont pour but de souligner l orientation des J O de la ville et du pays organisateur vers les Beaux Arts Suite Olympique du Centenaire A l occasion du centenaire du Comit International Olympique deux prestigieux critiques d art fran ais ont t charg s de cr er la Suite Olympique de Lausanne Leur mission fut de r unir une cinquantaine d artistes susceptibles d exprimer eux seuls les multiples facettes de la cr ation artistique au long des cinquante derni res ann es Comme pour Munich il s imposait de choisir des artistes de tous horizons en leur offrant de travailler sur un supp
34. haque biennale de Pittsburgh et en 1975 il repr sente la Belgique la Biennale de S o Paulo En 1963 et 1964 ses toiles font l objet d une r trospective itin rante d art belge qui passe par Washington Denver Los Angeles San Francisco et Ostende jusqu au 25 juin 2000 St Louis En 1969 ses oeuvres sont reprises dans des expositions d art belge Bagdad Beyrouth Bratislava et Prague La fr quentation de l atelier Clot Bramsen et Georges o il travaille lors d un s jour Paris la Cit Internationale des Arts en 1971 fait voyager ses oeuvres jusqu Copenhague et Mexico Outre ses toiles et ses oeuvres graphiques Wyckaert r a lise aussi des oeuvres monumentales En 80 il dote d une fresque Beit Alfa Kibbutz de Galil e A J rusalem il d core un mur de la maison belge de l universit de Givat Ram En Belgique Wyckaert est avec Mortier l un des participants au projet artistique du m tro bruxellois Une pr sentation particuli re de son oeuvre gra phique r alis e l atelier Bramsen Paris est galement expos e Exposition accessible du 8 avril au 25 juin 2000 au PMKK Provinciaal Museum voor Moderne Kunst Romestraat 8400 Ostende Tel 059 50 81 18 Fax 059 80 56 26 Catalogue fran ais n erlandais 1450 FB Ouvert tous les jours de 10 18 h du 8 avril au 25 juin 2000 ferm le lundi Entr e 200 FEB expositions combin es Antoine Mortier amp
35. i suivent un d grad de couleurs entam par des teintes terreuses pour le premier plan en passant par des verts dans les plans interm diaires pour fermer son tableau par des fonds bleut s et lumineux soulign s de reflets jaunes et rouge tres Ce choix de couleurs lui permet de diminuer les contrastes entre les diff rents l ments d un m me plan Ainsi les d tails se confondent et sont de moins en moins lisibles avec l loignement dans l uvre Le peintre n h site pas non plus reprendre un m me l ment dans plusieurs tableaux Il n est pas rare de retrouver de l une l autre uvre le m me ch ne au Pages nationales Nationale bladzijden tronc fendu ou un fr ne isol voire des rochers la sta bilit pr caire et aux asp rit s saillantes Des paysages bumanis s Le paysage d Henri Bl s n est pas intact de la main de l homme Effectivement le peintre compose en chaque tableau une reconstruction de lunivers tout entier On y retrouve r unis la montagne et la mer les for ts les campagnes et villes reli s par les hommes s appliquant des activit s propres ces paysages Ces compositions o Henri Bl s fait sa r volution coperni cienne en inversant le rapport traditionnel entre les personnages et le paysage sont appel es paysages cos miques Ces derniers regroupent des saynettes d coupant les divers plans du tableau Il s ag
36. ine mosane en s installant Anvers Il fut actif durant le second quart du seizi me si cle Anvers et certains l identifient avec Henri de Patinier franc ma tre la Gilde de Saint Luc Anvers en 1535 Ensuite il aurait v cu en Boh me ou plus certainement en Italie o son nom est encore fort v hicul durant la fin du sei zi me si cle Il est par ailleurs fournisseur des milieux humanistes proches de la R forme et des cours les plus novatrices de l Italie Ferrare Florence Parme et Venise Il exporte fr quemment ses oeuvres Enfin on le dit enterr dans l glise San Giacopo Ferrare o il serait d c d en 1567 Henri Bl s re oit souvent le surnom de Civetta chouette Ceci serait d l habitude du peintre d in troduire une petite chouette dans ses tableaux Cependant ce symbole ne peut tre per u comme une signature part enti re car d une part il n est pas syst matique chez le peintre d autre part plusieurs artistes utilis rent ce signe Quoi qu il en soit ses surnoms se multipli rent Met de Bles De Bles Blesius Henrico da Dinant et donc aussi de Civetta Une uvre novatrice et complexe Outre une fid lit presque sans faille des sujets reli gieux les uvres de Bl s se caract risent par des com positions souvent similaires Le peintre accumule les plans ajoutant de la perspective ses uvres Celles c
37. is spontan s composent pr sent un ensemble de rituels et de postures fig s par le gel qui s installe Cette ambiance cr puscu laire hivernale fun bre cette lente agonie inspir e par le mal mauve impr gne avec une rare beaut macabre ce texte com me dans les plus belles uvres de la peste la mort m ne un bal donne le ton et guide le mouvement Cette mort n est pas per ue comme honteuse ou r voltante comme une mal diction ou une punition mais est accept e avec fatalisme comme un v nement inexorable Flamnmuniun Nettement moins convaincante est la tentative de Pierre Boulle qui a envisag les enjeux commerciaux du Sida dans une fable moderne Le malheur des uns 1990 Malheureusement ce texte par son caract re gratuit et super ficiel ne parvient pas sensibiliser ou porter r flexion Yves Navarre d c d depuis a lui aussi crit un roman sur le Sida Ce sont mes amis que vent emporte 1991 Il y rela te sous forme d un journal les derniers jours d un couple atteint un sculpteur et un danseur Mais ce texte qui rev t l as pect d sormais bien connu d un r cit confession est vers dans le m me moule que ses pr d cesseurs et n apporte donc rien de neuf Le 27 d cembre 1991 d c dait Herv Guibert g peine de 36 ans Il laisse quelques uvres posthumes marqu es tout comme sa vie par l inach vement Le grand succ s CYRIL
38. it de per sonnages isol s ou en groupes aux allures orientales et aux v tements color s Ces individus s articulent autour d un axe oblique traversant le tableau et offrant ce dernier une dyna mique soulign e par des tres enchev tr s en plein mouvement et parfois figurant plusieurs fois dans une m me composition dans des positions successives sug g rant un geste un mou vement Abondante et vari e son uvre qui constitue un maillon indispensable entre les mani ristes anversois Bruegel et les paysagistes de la fin du seizi me si cle reste enco re largement d couvrir On retient en particulier certains sujets qu il traita de multiples reprises les Travaux de la mine Florence Prague Graz Vaduz et Budapest la Mont e au calvaire Rome vienne Princeton Parme le Paysage avec la parabo Pages nationales Nationale bladzijden le du bon Samaritain Namur avec date apocryphe Les disciples d Emma s Anvers Vienne Los Angeles et des suejts plus rares le Paradis terrestre La Haye Isaac b nissant Jacob Innsbruck Paysage avec l histoi re de David et Bethsab e Boston Paysages avec le sacrifice d Abraham Cincinnati Autour de HENRI BLES exposition internationale Du 13 mai au 1er novembre 2000 Mus e provincial des Arts anciens duNamurois H tel de Gaitfier d Hestroy 24 Rue de Fer 24 5000 Namur Tel 081 22 00 65 Fax 081
39. l universit en 1942 il retourne dans le service du Pro fesseur Paul Govaerts en qualit d assistant et plus tard il y sera chef de d partement de cardiologie En 1961 sa th se consacr e l tude des r percus sions cardio pulmonaires de l effort physique chez le su jet normal et pathologique lui permettait d acqu rir le titre d Agr g de l Enseignement Sup rieur Sa comp tence son sens clinique sa qualit de chercheur n a t il pas introduit en 1947 le cath t risme cardiaque l ont conduit comme professeur l Institut d Education Phy sique l Institut du Travail et la Facult de M decine d autre part comme Directeur et Fondateur du Centre de Cardiologie du Travail du Sport et de R adaptation Le docteur Henri Denolin est galement l auteur de nombreuses publications Il a t lu Pr sident du Conseil de R adaptation et Membre du Conseil Scienti fique de la Soci t Internationale de Cardiologie Pr si dent de la Soci t Europ enne de Cardiologie et Doc teur Honoris Causa des universit s de Cordoba de Pi cardie et de Bordeaux De sa forte personnalit se d gage galement un sens humain tr s profond que nous avons pu constater particuli rement lors des appels en consultation au che vet de nos patients atteints d infarctus du myocarde Docteur Denolin au nom du Coll ge des M decins nous tenons vous f liciter pour cette brillan
40. la m deci ne s v re familier rassurant s duisant moderne et efficace voire angoissant dont l laboration a souvent t confi e des architectes de grand talent La premi re grande campagne de renouvellement des institutions hospitali res d origine m di vale est entreprise par Henri Louis Fran ois Partoes 1790 1873 nomm architecte du Conseil des Hospices de Bruxelles Entre 1820 et 1845 environ il r alise une impressionnante s rie de b timents dans un style n o classique tr s sobre inspir des trait s de J N L Durand le Grand Hospice de l Infirmerie dans le quartier du B guinage 1824 1827 actuel hospice Pach co l Hospice Pach co sur le boulevard de Waterloo 1829 1835 d truit les Hospices R unis dans la rue d Accolay et la rue des Alexiens 1929 l h pital Saint Jean face au Jardin Botanique 1837 1843 d truit l Hospice des Orphelines dans la rue du Midi 1843 1845 actuelle Acad mie des Beaux arts de Bruxelles etc Son fils Alexis reconstruira ensuite l h pital Saint Pierre 1849 1878 dans un style analogue celui de son p re Le plan de l h pital Saint Jean pr par par un voyage d tudes travers l Europe offrait le premier exemple en Belgique d une Structure pavillonnaire destin e s pa rer les diff rents types de maladies L espace restreint entre les pavillons rendait toutefois le H L F Partoes H pital Saint Jean TE fa
41. me sud par rap port l autre royaume le nord est toujours sup rieur au sud dans ces po mes piques et cette structure est en fait parall le l opposition ciel enfers Commence une folle qu te qui conduit Rama en direction du sud Il rencontre le singe Hanum n et celui ci devient le symbole d une fid lit absolue Rama cette confiance absolue dans une divinit s ap pelle dans le contexte pi tiste hindou une bhakti Le chef des singes met ses troupes la disposition de Rama et sa loyaut pour celui ci le dote d s lors de pouvoirs fabuleux comme voler devenir g ant ou minuscule peser lourd ou devenir aussi l ger qu une plume Lorsque la cachette o la princesse est s questr e est enfin localis e Hanum n qui Rama a confi son propre anneau va d un bond prodigieux au dessus de la mer parvenir jusqu Sita et lui remettre secr tement la bague gage de l arriv e de l poux Pendant le com bat entre Rama son arm e de singes et les ennemis un des fr res de Rama est gri vement bless le m decin royal envoie Hanum n chercher une plante m dicinale sur une certaine montagne Incertain de reconna tre la plante Hanum n rapporte en volant dans les airs la montagne tout enti re jusque sur le champ de bataille Apr s une derni re preuve destin e prouver que la belle pouse qui a v cu chez un tranger est bien rest e intacte et pour dissiper le moindr
42. n bruxelloise VIE DU COLLEGE ra jusqu l ge de la retraite en 1980 Depuis 1959 et pendant plus de 15 ans le docteur Quackels donnera le cours d urologie l Ecole d Infir mi res annex e PIMC d Ixelles Ses qualit s profes sionnelles sont reconnues par ses pairs et en 1957 il est coopt membre de la Soci t internationale d urologie et pr side la Soci t Belge d urologie de 1973 1974 Il est aussi Expert urologue l Office M dico l gal de 1978 1982 Pour cette belle carri re qui honore notre profession merci cher coll gue Quackels et l occasion de vos 60 ans de dipl me nous vous souhaitons encore bien des ann es d heureuse retraite Le docteur Paul WIRINGER Le docteur Paul Wiringer est dipl m de l ULB en 1939 aussit t lib r apr s la campagne des 18 jours il commence la chirurgie pour devenir un sp cialiste po lyvalent passant de la gyn cologie l H pital Saint Pier re dans le service du Professeur Delporte la chirurgie thoracique et abdominale dans les services du docteur Moreau la Clinique C sar De Paepe et du Professeur Lemoine l H pital d Anderlecht En 1954 il est chef de service de chirurgie l H pi tal Fran ais fonction qu il gardera jusqu en 1984 avec celle de ma tre de stages non seulement pour l ULB mais galement pour l UCL Il aime les voyages et il a fr quent l tranger des ma tres c l
43. ne autre r ussite d une tonalit toute diff rente Adam cri vain homosexuel d une quarantaine d ann es a t contami n par le Sida lors de ses multiples rencontres furtives dans le gay Paris nocturne Il tombe amoureux d Eve sa propre ni ce une adolescente qui lui ressemble trangement et qui est en r alit sa s ur jumelle r sultat de manipulations g n tiques Adam est finalement hospitalis la Salp tri re dans la Ai E E Le Docteur Jean Louis Goens dermatologue aux multiples talents a crit un texte intitul Litt rature et maladies de la peau qui fait partie d un ouvrage collectif sur Phistoire de la dermatologie fran aise Cet ouvrage dont les coordinateurs sont les Docteurs WALLACH et TILLES sera publi dans le cadre du Congr s Mondial de Dermatologie qui aura lieu en juillet Avec la permission de Jean Louis Goens nous en avons d j publi un extrait dans notre num ro de N el 99 Monstres et L preux Nous vous document qui passe en revue la litt rature contemporaine sur ce sujet section des sid ens qui a remplac la section des syphilitiques ch re Barbey d Aurevilly Eve enceinte et miraculeuse ment non contamin e accouche d un gar on la Salp tri re au moment pr cis ou Adam y rend le dernier soupir Ce roman est plus une m taphore mythologique qu une simple uvre de science fiction biologique Le th me en est celui du
44. ngers c l bres sont galement pass s par la ville CARTIER BRESSON CAPPA Enfin lan 2000 propose des images insolites comme celles ob tenues au d part d une caravane transform e en vaste cam ra obscure FELTIN MASSINGER Docteur Marguerite Cambron S i m EE Le iS z E a P La Li a A I J PEL i Bs i b i Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise
45. on excepte les uvres de propagande pro phylactique se manifeste essentiellement chez des crivains sympathisant avec les homosexuels souvent homosexuels eux m mes en particulier les Am ricains d sirant briser la conspiration du silence et sensibiliser le public leur d sarroi en faisant appel la compr hension et la tol rance Dans la litt rature francophone un des premiers ouvrages centr s sur le Sida fut en 1987 La gloire du paria de Dominique Fernandez Ce court roman tout en dialogues voque les cons quences de l apparition du Sida sur la rela tion d un couple d homosexuels parisiens La principale origi nalit de cet ouvrage est de pr senter deux homosexuels de profil oppos le plus jeune encore tudiant fait partie de la g n ration post soixante huitarde lib r e qui exprime ouver tement sa diff rence gay et se sent bien int gr dans une soci t plus permissive le plus g un crivain de renom atteint du Sida trouve sa raison d tre dans la marginalit et ne se r alise qu travers une clandestinit entretenue un peu arti ficiellement Il puise sa force cr atrice dans La gloire du paria l instar de Charles Baudelaire ou de Jean Genet et rejoint les pr occupations d artistes des g n rations ant rieures propos d une certaine modernit romantique qui para t actuelle ment anachronique Eve de Guy Hocquenghem 1987 d c d depuis est u
46. ort bidimensionnel L Europe et les Etats Unis sont bien entendu largement repr sent s mais les autres r gions du monde Liban Argentine Japon Cor e n ont pas t oubli es Tous ces artistes ont t retenus parce qu ils avaient apport une contribution au milieu artistique dans lequel ils vivent et l Histoire de l Art L exposition est accessible du 19 avril au 28 juin 2000 Mus e des Beaux Arts H tel de Ville Place Charles Il 6000 Charleroi Tel 071 86 11 36 E Mail mha charleroi be Ouvert de 9h00 1 7h00 du mardi au samedi PEINTURE Autour de Henri Bles Un artiste bien myst rieux pour une oeuvre reconnue de tous tel pourrait tre le titre de l exposition visible jusqu au 1er novembre 2000 et consacr e au peintre mosan Henri Bles Henri Bles Paysage avec la parabole du Bon Samaritain D but seconde moiti du XVIe si cle Ch ne 84 x 113 5 cm Mus e des Arts anciens du Namurois Coll Soci t arch ologique de Namur inv n 157 L uvre du peintre Henri bl s est plus connue que sa biographie Effectivement on ne peut situer pr cis ment son lieu de naissance c est sans doute entre Dinant et la petite ville toute proche du nom de Bouvignes Il en est de m me pour sa date de naissance vaguement situ e vers la fin du quinzi me si cle Les certitudes s tablissent quand Henri Bl s suit l exemple de son a n Joachim Patenier galement d ori g
47. otice historique Administration des hospices et secours Bruxelles 1924 B tir Bruxelles n 18 15 mai 1934 n 35 octobre 1935 num ros consacr s l architecture m dicale D COEKELBERGHS et P LOZE direction Le Grand Hospice et le quartier du B guinage Bruxelles Bruxelles 1983 Mus e des Archives d Architecture Moderne Collections AAM Bruxelles vol I 1986 vol 2 1999 A BRAUMAN M DEMANET Le parc L opold 1850 1950 AAM Bruxelles 1985 S LERS REESE ERA Es s Victor Horta H pital Brugmann 1906 1923 vue d un pavillon la morgue Photographie G Wieser coll Archives d Architecture Moderne LA TROUSSE D ESCULAPE Le singe Hanum n L art de l Inde ancienne et celui com pl mentaire du Sud Est asiatique n ont pas une antiquit comparable l art de l Egypte ancienne ou de la Gr ce classique Les pre miers vrais t moins de la civilisation indienne qui nous sont parvenus ne sont gu re ant rieurs au M me si cle avant notre re poque qui voit l apparition des pre miers monuments taill s dans la pierre ou construits dans d autres mat riaux durables L architecture religieuse de l Inde est la seule qui ait surv cu et se compose de grottes de temples et de stupa Au fur et mesu re de son d veloppe ment la sculpture qui s inspirait des dieux et de leur mythologie va prendre le pas sur l unit des difices et les caract ristiques
48. pageur De l mission t l vis e au tournage d un film Guibert est obs d par son image qu il fixe constamment sur vid o Il envisage m me de poser pour une s rie de toiles intitul es Nu mala de du Sida et proclame Jai toujours su que je serai un grand crivain se comparant un peu h tivement Rimbaud et Raymond Roussel C est l malheureusement que r side l ambigu t de Guibert au m me titre que celle des protagonistes de Cyril Collard Guy Hocquenghem voire Dominique Fernandez Ces r cits confessions la premi re personne meuvent par la confrontation directe du lecteur avec un homme qui souffre lutte se d passe et vit de l int rieur tout ce qu il relate mais irritent par le caract re gocentrique des narrateurs leur auto complaisance narcissique ou exhibitionniste leur m pris leur indiff rence f roce pour tout ce qui ne concerne pas leur maladie leurs passions ou leurs pr occupations l inverse pr cis ment des crivains tab tiques Malgr cette dualit malsaine ces premiers romans du Sida introduisent quelques beaux th mes litt raires La gloire du paria les mythes de Narcisse de Faust et de Don Juan la connaissance de la maladie et de la douleur comme stimulant artistique la fr n sie cr atrice et la maturit anticip e provo qu e par la proximit de la mort Ils se caract risent en outre LPS ERATTUIR par une m dicalisation extr me des des
49. proximit de l Universit Pr vu l origine pour 1356 lits de malades le programme sera r duit 1095 puis 700 places pour conserver une partie des services Saint Jean imposant la suppression ou la r duction de divers pavillons le d placement de plusieurs autres et une dis persion des b timents plus large que ce que l architecte aurait souhait Apr s la seconde guerre mondiale le site verra s implanter de nombreux difices suppl mentaires souvent peu respectueux de la conception d origine En d pit des alt rations du projet initial il demeure un exemple exceptionnel de grand h pital chelle humai ne o l environnement naturel et architectural tente de cr er un cadre favorable la gu rison Eric Hennaut et Marie Demanei suivre Orientation bibliographique A UYTTERHOEVEN Notice sur l h pital Saint Jean tude sur la meilleure mani re de construire et d organiser un h pital de malades Bruxelles 1 852 E et F P UTZEYS Description de l H pital Militaire de Bruxelles Li ge 889 DEPAGE P VANDERVELDE V CHEVAL La construction des h pitaux tude cri tique Misch amp Thron Bruxelles 1 907 V HORTA Administration des hospices amp secours de la Ville de Bruxelles H pital Brugmann Jette Saint Pierre Description du plan g n ral et des services Bruxelles 1909 H pital Brugmann Compte rendu de la c r monie d inauguration le 18 juin 1923 Pr c d d une n
50. re des obstacles la compliance alors que les traitements m dicaux dont on dispose aujourd hui s ils sont pris temps et correcte ment permettent dans bien des cas d viter la chirurgie et les complications r nales Dr J Andris QOL Double Blind Phase n 5 5 5 k E E E a Padomes 5 Altuecein Fr 137 10 mg OD atesin ire 147 25mgTID 15 Do Derd pad 00i ys placebo p 0 005 placebo MEA sem values rISTOIRS Le M morial du Prince Charles Le M morial veut perp tuer le souvenir du Prince Charles 1903 1983 Comte de Flandres Apr s la Deuxi me Guerre mondiale le prince fut lu R gent du Royaume t che qu il accomplit pendant 6 ans 1944 1950 Le M morial se situe l endroit m me o il a v cu partir de 1950 La Salle flamande abrite une exposition biographique qui veut illustrer la vie du Prince Charles au moyen de photos de souvenirs personnels d uniformes et d objets d art Une section est consacr e sa jeu nesse son service militaire dans la marine britan nique durant et apr s la Premi re Guerre mon diale et la R gence Le visiteur peut y voir des tableaux du Prince sign s Karel van Vlaanderen Pendant l t des expositions temporaires sont organis es dans la salle l tage Le pavillon du Prince une simple maison de p cheurs datant du 19 me si cle que le Prince a choisi comme habitation a t
51. s M decins de l agglom ration bruxelloise ARC EGTURE IAPLLES LELIXELLES re p H pitsl Hiir H Acrnui e li Corne j 2 fi Geerling et De Vos H pital militaire Ixelles 1882 1887 fa ade avenue de la Couronne d moli Carte postale ancienne coll J Lemercier voir ouvrage Ixelles en cartes postales anciennes bruxelloise L image d un difice monumental demeure pr pond rante peu peu marqu e par l clectisme dont on peut suivre l volution travers l hospice de Molenbeek 1855 l h pital civil de Molenbeek 1884 l institut m dico chirurgical des Deux Alice Uccle 1885 etc Cette enveloppe monumentale s articule progressivement avec le principe d une structure pavillonnaire d j exp riment de mani re pr coce dans l h pital Saint Jean de Partoes dont les multiples avantages en mati re d hygi ne d a ration d exposition s imposent travers toute l Europe L ancien h pital mili taire d Ixelles r alis en 1882 1888 par l architecte O Geerling et le colonel du g nie De Vos pr sentait un exemple typique de cette double r f rence Vers l ave nue de la Couronne se d veloppait une impressionnan te fa ade de quelque 250 m de long dont les deux b ti ments d angle conserv s occup s l origine par l habi tation du directeur avenue A Rodin et le b timent des infirmiers rue Mathieu permettent encore d appr cier l ampleur tandis que l int
52. sidomine DCI 2 1 TITULAIRE D ENREGISTREMENT THERABEL PHARMA S A rue Egide Van Ophem 110 1180 BRUXELLES 3 COMPOSITION Molsidomin 8 mg Sacchar lact Cellulos microcrist Macrogol 6000 Hydrogen ricin oleum Magnes stearas q s pro tablet compressa una 4 FORMES VOIES D ADMINISTRATION ET CONDITIONNEMENTS Bo tes de 40 et 80 comprim s lib ration prolong e dos s 8 mg de molsidomine Administration par voie orale 5 1 INDI CATIONS Traitement prophylactique et traitement au long cours de l angine de poitrine NB Les comprim s de CORVATARD ne sont pas adapt s au traitement de la crise d angor 5 2 POSOLO GIE ET MODE D EMPLOI La posologie doit tre adapt e la s v rit des sympt mes angineux et l volution de l tat clinique du patient La dose usuelle est de 1 comprim lib ration prolon g e de CORVATARD 2 fois par jour 5 3 CONTRE INDICATIONS L administration de CORVATARD est contre indiqu e en cas de choc cardiog nique ou d hypotension grave ainsi qu en cas d al lergie connue la molsidomine 5 4 EFFETS INDESIRABLES Des c phal es et exceptionnellement des troubles gastro intestinaux des ph nom nes d hypotension orthostatique et des mani festations allergiques peuvent survenir 6 1 DELIVRANCE Sur prescription m dicale 6 2 DERNI RE MISE A JOUR DE LA NOTICE 02 07 1997 6 3 NUMERO D ENREGISTREMENT 152 IS 117 F3 Le mot de la r dactrice Agenda M decine Hypertrophie prostatique
53. succ s des expositions de m decins artistes organis es par le Coll ge et en a rem port le premier prix il y a quelques ann es Il nous a de plus gracieusement offert l uvre prim e qui orne depuis lors nos locaux Musicien passionn aussi et pia niste de talent il est lorsque nous souhaitons agr men ter nos assembl es g n rales ou nos journ es d autom ne d un concert notre conseiller tr s clair quand il n est pas lui m me l artiste qui se produit pour notre plus grand plaisir Pour toutes ces raisons le Coll ge vous remercie cher coll gue Drymael et esp re vous voir actif encore longtemps vous que ne semble pas branler le nombre des ann es Le docteur Raymond QUACKELS Le docteur Raymond Quackels est n Etterbeek en 1914 Apr s ses tudes moyennes l ath n e d Ixelles alors r put pour sa qualit il entame ses tudes de m decine l ULB dont il sort dipl m en 1939 la veille de la seconde guerre mondiale Mobilis en 1940 il est fait prisonnier pendant quelques mois apr s la capitula tion puis peut entamer sa sp cialisation en urologie l Hopital d Etterbeek o il est successivement assistant puis adjoint jusqu sa nomination comme chef de ser vice d urologie l Institut m dico chirurgical d Ixelles en 1953 l ge de 39 ans service la t te duquel il reste Coll ge Royal des M decins de l agglom ratio
54. t que possible les galeries de com munication afin de conserver le charme d un jardin unique Confront un budget restreint Horta utilise avec subtilit des moyens formels tr s simples il joue essentiellement sur de multiples variations dans la volu m trie des pavillons et le chromatisme des fa ades en briques rouges oranges et blanches Entre les divers groupes de b timents se d veloppe un contrepoint impressionniste qui transpose l chelle paysag re la sensibilit coloriste que l on rencontre habituellement dans les int rieurs de l architecte brique orange et pier re bleue dans les pavillons d entr e brique blanche ponctu e de brique orange pour les pavillons sym triques de chirurgie et de m decine infantile progres sion ascendante du rouge vers l orange puis le blanc dans les hauts b timents de la chirurgie z brure de bandes horizontales du complexe des cuisines etc La construction entam e en 1911 n ira pas sans d boires pour Horta confront aux opinions divergentes de l administration des Hospices de la Ville et du monde Sr RSR ETS CPS Te BLUES TILE m ORAE wE Pio EENE je Archives du CPAS de Bruxelles 41 a i Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise ARCHITECTURE m dical L implantation Jette se heurtera imm diatement aux r ticences d une grande partie du corps m dical et universitaire habitu travailler au centre de la ville
55. te carri re qui a largement contribu au rayonnement de l cole de cardiologie de notre universit Le docteur Albert DRYMAEL Le docteur Albert Drymael n en 1914 fait de brillants tudes l ULB et est dipl m en 1939 avec la plus grande distinction Il se sp cialise alors en ORL et la comp tence qu il acquiert particuli rement en chirur gie du larynx et en pathologie de la voix lui vaut de de venir Chef du service d ORL l H pital de St Gilles ain si qu la Clinique Antoine Depage Ses qualit s dans le domaine de l expertise m dico l gale sont aussi large ment reconnues Auteur de nombreuses publications scientifiques et d un Pr cis de Phon tique il est lors de la cr ation de la VUB nomm titulaire de l enseignement de PORL notre universit n erlandophone bruxelloise ceci gr ce aussi son parfait bilinguisme De plus il enseigne la Coll ge Royal des M decins de l agglom ration Bruxelloise licence sp ciale en ORL jusqu en 1981 et le professeur Drymael est lu pr sident de la Soci t belge d ORL en 1979 Si cette belle carri re de clinicien et d enseignant m rit d j notre admiration le Coll ge des M decins a pu appr cier tout particuli rement un autre aspect tr s atta chant de la personnalit du confr re Drymael celui de ses multiples talents artistiques Excellent peintre il contribue r guli rement au
56. tes de dihydro testost rone dans sa prostate Cette accumulation pourrait stimuler la croissance cellulaire Enfin une troisi me th orie fait appel un r veil tardif de certaines cellules prostatiques Les cellules r veill es lib reraient des siganux qui ne sont normalement mis que tr s t t dans la vie et qui induiraient la croissance de lorga ne ou augemnteraint sa sensibilit aux hormones De moins en moins de chirurgie Le traitement pharmacologique de l hypertrophie b nigne de la prostate occupe une place croissante dans l arsenal th rapeutique de cette affection tandis que la chirurgie est de plus en plus r serv e des indications bien sp cifiques Des techniques de mise en place d un stent ou de destruction tissulaire diathermie ultrtasons etc sont galement utilis es En ce qui concerne le traitemet m dical les r sultats d une tude European Urology 2000 37 306 313 r alis e avec l alfuzosine un alpha 1 antagoniste sp cifique vien nent d tre pr sent s dans le cadre d un symposium satel lite au r cent congr s de europ en d urologie qui s est tenu Bruxelles L tude conduite chez 447 patients mon trant des signes d hypertrophie b nigne de la prostate a Pages nationales Nationale bladzijden montr qu une nouvelle formulation prise quotidienne unique de lalfuzosine KatralR once daily dos e 10 mg tait aussi efficace que la formule classiq
57. th mes sont illustr s dans cette exposition Ils vont encontre de quelques id es re ues Image de l homme dans les bandes dessin es nos anc tres ne sont pas toujours pr sent s comme des barbares Les h ros sont jeunes et beaux Leur ennemis sont repr sen t s comme des bar bares primitifs La chasse dans les bandes dessin es on voit de hommes traquant le mammou th et l attirant vers des pi ges La chasse de ces animaux est tr s improbable Rennes chevaux et cerfs taient plus faciles chasser tout en offrant une quantit de vian de suffisante Le feu faire du feu en frappant deux pierres l une sur lautre n est pas r alis te proprement parler La pierre feu est bien s r n cessaire mais celle ci doit s utiliser avec un l ment contenant du fer alli du souffre ou du carbone marcassite ou pyrite L habillement les premi res glaciations furent subies par des anc tres nu pieds mais couverts d une fourrure d animal sauvage et d une cape ensuite d un pantalon manteau et capuchon de bottes et de moufles Durant le N olithique furent utilis es les premi res toffes de lin tiss pour com poser des habits quotidiens L habitat les arch ologues mettent en doute l existence de maisons sur pilotis Ils en sont arriv s penser que ce sont des maisons plus anciennes se trouvant au bord de plans d eau Par la hausse de niveau des eaux
58. ue dos e 2 5 mg qui se prenait trois fois par jour L tude multi centrique tait construite en double aveugle avec groupes parall les Un groupe contr le recevant un pla cebo y tait inclus D une dur e initiale de trois mois elle fut suivie d une exetension ouverte qui a dur 9 mois SYMPTOMS I PSS Double Blind Phase D ye na Rue p nn Re nn z z ne Us ns i ne E Ge c 2 Placebo ju Alfumoein f 1571 E 10mg OD Alfuscein fre 147 5 5mgTID mea Du Do p 0 000E vs placebo 0 0 placebo HE values Meilleure qualit de vie A la fin de la phase de double aveugle les deux for mulations procuraient une am lioration quivalente des sympt mes scores I PSS et de la qualit de vie Le d bit maximum Qmax de vidange tait significativement accru par le m dicament quelle que soit sa pr sentation par raport ce que l on obtenait chez lespatients sous place bo Enfin on notait un avantage similaire en ce qui concerne la qualit de vie QOL Le profil de s curit de la formulation prise unique s est montr sup rieur celui de la formulation classique Les patients les plus g s n ont pas plus souffert d inconv nients de type cardio vas culaire que les plus jeunes et la fr quence de ces incon v nients est rest e faible Voil qui est avanatageux pour le patient car trop souvent les effets secondaires et la fr quence des prises se sont r v l s t
59. ues Mais pour l instant le soleil se porte bien il parcourt sans fantaisie son bonhomme de che min il illumine notre printemps de ses splen deurs color es et sans aller jusqu en faire un dieu nous pouvons dire qu il est notre bonne Etoile Docteur Marguerite Cambron A N O T E R Voyage en Tunisie Du 23 au 30 septembre 2000 Journ es d automne 2000 Voyage en Tunisie organis par le Dr A JORTAY Exposition d artistes m decins Voir d tails page 15 et conjoints de m decins Cher e Coll gue Visite du Mus e Instrumental Nous avons le plaisir de vous annoncer que le Col Novembre 2000 l ge des M decins organise nouveau cette an gt 2 i 2 e e 7 e e e A n CAAMOCCASION des Journ es d Automne UNE Visite du Mus e instrumental qui s ouvrira en juin 2000 la Place o 3 9 Le EXPOSITION EUVrES d artistes M dECINS MEN S Royale comment e par Monsieur Jean Claude Lalanne Cassou ent ouverte leur icapj int minent musicologue et auteur de nombreux articles dans notre re NOUS SCnOnS es MEUrEUx de vous retrouVer OU Vue Visite pr vue pour novembre 2000 de vous d couvrir aussi nombreux que les autres ann es int ress Inscrivez vous aupr s du secr tariat du Coll ge au 02 3 74 97 00 Nous n avons pas encore d pr cision de dates f mais nous attendons du plus vite la confirmation de votre intention de participer en nods renyoy nt le formulaire ci dessous
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