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L`auxiliaire bio n°8 mars 2010 - Agrobio Poitou

1. N mM b m N oe T moin Mac ration huileuse d ail El ments de discussion Le but de cet essai applications de pr parations insectifuges tait de v rifier l impact des pulv risations sur l volution de la population du parasite Si on compare les modalit s entre elles on peut remarquer Une augmentation des populations sur le t moin pour les 4 premi res dates la diminution naturelle pour la 5e date de comptage s explique par la forte proportion de larves de de 6 mm au comptage pr c dent qui sont all es au sol depuis Ce t moin est donc valide L augmentation constante du nomb re de larves sur la modalit mac ra ton huileuse d ail montrerait une certaine inefficacit r pulsive de cette pr paration Pour la modalit Bulbacide nous partons d une population d j assez lev e Il semblerait que cette pr pa ration permette un petit contr le des populations sans pour autant descen dre en dessous du seuil de nuisibilit du parasite L infusion de 4 plantes sans assurer une diminution des populations per mettrait semble t il une stabilisa tion des populations Conclusions En pr sence de doryphores dans la cul ture les pr parations test es ne permet tent pas un contr le satisfaisant du parasite Des applications plus pr co ces avant leur apparition sont sans doute privil gier Dans le cas d une forte pression parasitaire pr sence r guli
2. valuation multicri t res Ce travail est construit autour d enqu tes chez des agriculteurs utili sant le non labour en AB afin de d tecter les strat gies qu ils mettent en place et de d terminer leurs condi tions d application Les strat gies et les outils de travail du sol seront ensuite s lectionn s et test s virtuel lement via l utilisation de mod les afin de d valuer leurs capacit s r pondre aux objectifs de limitation de consommation nerg tique de ma trise de la population d adventices et de maintien de la fertilit du sol dans un contexte p do climatique lor rain Cette valuation a priori via l u lisation de mod les permettra de proposer des itin raires TSL tester exp rimentalement sur le domaine de Mirecourt et d y d velopper des changes avec les agriculteurs Gerber et al 2008 Source Innovations Agronomiques 2009 Techniques sans labour en agriculture biologique J Peign l H V die2 J Demeusy3 M Gerber4 J F Vianl Y Gautronneaul M Cannavaccuiolos A Avelines L L Giteau6 D Berry7 1 ISARA Lyon 23 rue Jean Baldassini 69364 Lyon cedex 07 2 Groupe de Recherche en Agriculture Biologique BP 1222 84 911 Avignon Cedex 9 3 ADABio Maison des Agriculteurs 40 av Marcelin Berthelot 38036 Grenoble Cedex 2 4 INRA UROSS SAD ASTER 662 Avenue Louis Buffet 88500 Mirecourt 5 Groupe E S A BP 746 49007 Angers 6 Chambres d Agricultu
3. Bretagne CRA Kerguehennec 2003 Limoneux om ma s triticale sarrasin pois prot agineux d hiver triticale Pays de la Loire wi y oiga ia N ESA ANGERS 2006 O m o ma s f verole bl d hiver lupin d hiver bl Rh ne Alpes ISARA Lyon 2005 Sablo Llimoneux Oow luzerne point 0 ma s soja bl soja bl Mara chage Provence GRAB 2005 Limono Argileux 660 courges melon EV oignon radis japonais Nord PLNR 2003 sis eaea 0 navet carotte pois EV oignon navet Poitou Charentes ACPEL Rh ne Alpes SERAIL 207 EV engrais vert Sur les trois sites en grandes cultures quatre techniques de travail du sol sont compar es 1 labour tradition nel LT sur 30 cm de profondeur 2 labour agronomique LA sur 18 cm 3 travail du sol r duit TS sur 15 cm avec un outil dents et 4 semis direct sous couvert vivant SD aban donn apr s une ann e d essai en ral son de l enherbement et transform en travail du sol tr s superficiel sur 7 cm TTS Seules les techniques LT et TS sont compar es deux deux sur les parcelles des r seaux La pr sen tation des r sultats des essais en gran des cultures est principalement bas e sur l essai Rh ne Alpes Les r sultats obtenus sur cet essai sont analys s conjointement avec ceux obtenus sur les sites Pays de la Loire et Bretagne Sur les quatre sites en mara chage deux techniqu
4. me appel projets Avenir Bio vient d tre lanc le 18 f vrier 2010 et se cl turera le 15 avril 2010 Le Fonds Avenir Bio vise soutenir des entreprises et des producteurs s engageant pour un d veloppement harmonieux de l offre et de la deman de de produits issus de l agriculture biologique en France Ce Fonds s inscrit dans le plan de d veloppement de l agriculture et de l alimentation biologiques horizon 2012 Le fonds de structuration des fili res g r par l Agence BIO est dot de 3 millions d euros par an pen dant 5 ans Lait Volumes la hausse prix tass s La vente des produits laitiers bio poursuit sa progression de l ordre de 20 sur le dernier trimestre 2009 confort e par une collecte de lait ga lement en hausse de 3 6 fin novembre Dans ce contexte les prix dans les rayons ont tendance bais ser sans que la production ne soit directement impact e Biofil Janvier F vrier 2010 Le nouveau r glement bio national Le cahier des charges concernant le mode de production biologique d ani maux d levage et compl tant les dispositions des r glements CE 834 2007 du Conseil et CE 889 2008 de la Commission est paru au journal officiel du 15 janvier 2010 Les textes r glementaires sont pr ci s s sur WwwWw agriculture souv fr Cinq nouvelles autorisations pour des OGM La Commission europ enne s est pro nonc e le 2 mars 2010 pour de nou
5. pas autoris en AB ou que la firme ne souhaite pas d velopper A partir de l trois essais ont t mis en place chez des producteurs en AB de la R gion 1 Quel est int r t des cultures associ es des plantes r pulsives Cet essai a t mis en place dans la parcelle de production de pomme de terre de l E ARL Jean No l Bessac 16 Le principe tait de comparer la pression des doryphores sur des micro parcelles cultiv es sans culture associ e t moin et des micro par celles avec des cultures associ es de lin et un m lange de semences 4 r p titions par modalit Voir tableau dessus Il a t fait le choix de semer ces cul tures en ligne 6 avril sur le milieu du rang de pomme de terre plant es le 31 mars pour favoriser la proximit des 2 cultures et pour limiter les contraintes li es au binage et buttage Agrobio Poitou Charentes Semences Vertes Lin bleu graines doryphore Lin bleu lin rouge autres plantes 8 esp ces graines et cosses Nova Flor R pulsif des doryphores La lev e irr guli re a conduit refaire un second semis 24 avril apr s le premier buttage Un tr s gros orage de gr le a compl tement endommag la culture de pomme de terre et l essai Il n a donc pas t possible d obtenir des r sultats sur l effet r pulsif mais la lumi re de ce qui a t v cu 1l est possible de mieux appr hender le mode d implantation de ces cultu
6. plus faibles au d part mais sans obtenir un r sultat vraiment satisfaisant Malgr une population de dorypho res assez importante le traitement SUCCESS 4 assure une tr s bonne efficacit de 100 dans cet essai confirmer Conclusions NOVODOR EC semble pr senter une meilleure efficacit avec une applica tion pr coce positionnement sans doute pas encore assez t t dans l es sai SUCCESS 4 Spinosad semble tre une solution tr s efficace dans la ma trise du doryphore en culture de pomme de terre Il s agit maintenant de sensibiliser la firme DOW AGROSCIENCES pour le d p t d un dossier d homologation pour cet usage En effet il est important de rappeler que ce produit utilisable en AB ne b n ficie pour l instant que d un nombre tr s limit d homologa tions viticulture et arboriculture et pas de cet usage doryphore pomme de terre Agrobio Poitou Charentes Prendre un ensemble de mesures pour lutter efficace ment Avec le retrait de la Rot none l ab sence d autorisation pour le SUC CESS 4 seul le NOVODOR EC est utilisable en lutte directe insecticide contre le doryphore de la pomme de terre en Agriculture Biologique Malgr des retours du terrain assez n gatifs sur l efficacit de NOVO DOR FC en l absence d autre homo logation ce produit n est pas rejeter Des applications avant que les larves soient de grosse taille permettront d am liorer l efficacit Si le dos
7. rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Grandes Cultures Tableau 2 Impacts de la pratique des planches permanentes sur les r sultats culturaux en comparaison avec l itin raire classique Site Rh ne Alpes Poitou Charentes D veloppement des Pas de diff rences m de lev e sur Probl me de lev e sur Reprise plus cultures carottes carottes h t rog ne Rendement diff rence les ann es suivantes Inf rieur en 1 e ann e sur poireau Pas de Inf rieur en 2004 carotte et 2005 pois probl mes de lev e et d adventices Pas de diff rences En 2007 rendements inf rieurs de 15 probl mes de structure Au moins quivalente Inf rieure sur carottes Inf rieure sur carottes Inf rieure sur radis japonais Adventices Pas de diff rences Probl mes de vivaces Plus nombreuses Pas de diff rences ma trisables gt gt La gestion des adventices n est v ri tablement un probl me que sur le site du Nord o le fort d veloppement des vivaces sur l itin raire planches per manentes p nalise le rendement de certaines cultures comme le pois Conclusion et perspectives La principale difficult li e l adop tion des TSL en grandes cultures bio logiques est la ma trise des adventi ces Sur le site de Rh ne Alpes le contr le m canique des adventices est satisfaisant au bout de trois ans d essai pour la technique de
8. En Velay 95 ha 20 ha c r ales 75 ha en herbe 50 vaches lai ti res collect par biolait s chage en grange mise aux normes en cours Ren FONTON Tel 04 71 76 68 69 Jeune couple recherche une exploita tion pour la d velopper en Bio avec une production mara ch re et fruiti re et de la vente la ferme AMAP march s Nous cherchons 3 15 ha sur le secteur de Cognac si possible avec des b timents Achat ou location tudi s Olivier BONSERGENT 0545326027 ou celineolivier live fr En cours d installation sur 5 ha en sud Charente canton de Blanzac recherche une 20 aine d ha de terres pour faire pousser des c r ales en vue de les transformer en farine puis en pain Recherche des terres de pr f rence en location avec ventuellement des b ti ments agricoles Si vous tes int ress par ce projet merci d appeler Jean Baptiste Rigot au 06 78 36 96 49 y Habitation et b timent vendre avec terres louer si installation en bio Chauvigny 86 Il faut contacter Maitre Carmes l office notarial de chauvigny La vente se ferait aux alentours de 70000 Les personnes int ress es peu vent m appeler pour les terres Philippe Massi re 05 49 18 06 17 vendre 4 ha de terres sur la com mune de Garat 10 km d Angoul me ainsi qu un hangar Prix d battre Pr ference pour une installation d un pay san en bio Les terres sont actuellement entretenues pour 2 5 ha et en frich
9. exp rimentale bio de Thorign d Anjou il sera question d levages et cultures associ es de th matiques transversales telles que l eau la vie du sol la formation tout cela en agriculture biologique Tech amp Bio se d marquera par son offre diversifi e compl te et p dagogique Des conf rences pour la th orie des d monstrations pour la pratique il y en a pour tous les go ts expositions et d monst ri A es rations mat riels conf rence tech Qr bio ges leveurs g O Thorign d Anjou l Ouest 49 U 2010 ENTR E GRATUITE Autonomie alimentaire Agronomie et environnement quilibre de la fertilisation Vie du sol LES TECHNIQUES ALTERNATIVES amp BIO PERFORMANTES POUR TOUS 20 des 90 hectares de cultures four rag res et d herbages que compte la ferme exp rimentale de Thorign d Anjou seront d di s l v nement 8 ateliers th matiques seront ouverts en continu de 9 h 19h machinisme et entretien des cultures haies et arbres bocagers r le entho mofaune structure et vie du sol collection de m langes c r aliers et prot agineux alimentation et sant animale EAU collection de m langes prairials dynamiques de fili res lait viande bovine porc volaille de chair et oeufs de consommation 21 conf rences th matiques permet tront d approfondir des sujets tech niques ou conomiques de l levage des animaux mono ou poly
10. fr Eau Les techniques bio au service de la protection de 1 Une interculture 40 60 unit s res titu es L interculture absorbe 60 85 unit s d azote par ha stade hauteur du genou Apr s destruc tion m canique 50 75 de cet azote sera progressivement min rali s et restitu la culture suivante Cela correspond entre 34 et 52 par ha La destruction m canique le roulage et le scalpage Casser le couvert un mois avant Toute destruction doit tre effectu e au moins un mois avant le semis suivant notamment pour la moutar de pour viter tout effet d pressif On notera que la navette les c r a les seigle les gramin es et les tr fles ne sont pas simples d truire m caniquement Opter pour des techniques simplifi es Les appareils permettant de tra vailler le sol superficiellement d chaumeur disques dents cover crop apporteront un plus lors de la destruction Si les conditions de ressuyage sont id ales on aura les effets b n fiques d un travail du sol superficiel a ration destruction des parasites Les couverts v g taux apportent de nombreux avantages agronomiques Ils recyclent les l ments min raux pr servent voire r tablissent la structure du sol cassent le cycle des maladies et stimulent l activit biologique du sol Pour d truire ces couverts les techniques m caniques sont des alternatives performantes Elles permettent un d velopp
11. progressif 2 buv es de 1 litre les 3 derniers mois Le meilleur des foins disponibles sera donn foin mature de prairie naturelle R aliser son min ral Sel de mer le plus brut possible argile bentonite lithothamne Chlorure de magn sium Cu zinc tous les oligo l ments 1 3 de sel et 2 3 du reste Pour faire un min ral adapt 1l est possible d analyser les disponibilit s des l ments min raux et des oligo l ments partir d une prise de sang laboratoire d par temental d analyse qui refl tera la ration du moment ou par une analyse de poils piltest pr lev s sur les oreilles de 20 du troupeau qui don nera le profil min ral 6 mois aupara vant Attention aux bassines l cher qui contiennent souvent des m lasses tr s app tentes qui entra nent une sur consommation XX Agrobio Poitou Charentes 112 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Elevage gt gt Le logement Les ruminants sont des animaux de troupeau qui font les m mes activit s en m me temps manger ruminer dormir se lever Il existe une hi rarchie dominant domin et des comportements de leader pas force ment les m mes qui vont donner le signal tout le monde debout sies te Le cornadis est donc l outil id al pour se rapprocher de ce com portement naturel condition d ajou ter 10 de places suppl mentaires pour que chacu
12. re du parasite cette approche pr parations insectifuges semble net tement insuffisante 3 Quelle efficacit de solutions insecticides Cet essai a consist tester l efficac1 4 juin E i H i lle SL SN eue low o ww a T N mv q q N o Bulbacide Infusion de 4 plantes t d un produit insecticide utilisable en AB le SUCCESS 4 mais qui n est pas encore autoris pour cet usage doryphore pomme de terre Cet essai visait aussi mettre en vidence une meilleure utilisation de NOVODOR FC par rapport aux pratiques actuelles Cette exp rimentation a t r ali s e dans la m me parcelle de produc tion de pomme de terre de l EARL les Coteaux de Peyrodeau Saint Eug ne 17 et suivant un dispositif similaire au pr c dent essai Modalit s test es et dates d application Dates des pulv risations par modalit 400 I d eau de pluie ha 25 juin T moin eau xX NOVODOR FC Producteur X NOVODOR FC optimis X SUCCESS 4 X La diff rence entre les deux modalit s NOVODOR FC est le d calage d une semaine pour la premi re appli cation en effet il est souvent signal que ce produit montrerait une meilleure efficacit sur les larves de petite taille maximum grain de bl Tableau de synth se des comptages Insecticides volution des populations de doryphores moyenne par plante comptage sur
13. ro convi vial 14h Projection du film Tout comp tes faits des constats sur le r le que joue la grande distribution et la d s agr gation des m tiers des territoires et de la solidarit 16h30 Conf rence Caddie id al l impact des choix quotidiens de consommation au niveau de l emploi des ressources naturelles des d chets et de la sant 18h30 Caf d bat OGM o se cachent ils dans les produits de consommation courante gt Dimanche 2 mai Solidarit 11h Caf d bat De la coop ration l cole la coop ration conomique 16h Rencontre et changes Les initiatives solidaires du miortais et Gout amical offert 18h30 Caf d bat pargne solidai re pourquoi pas moi gt Mardi 4 mai Bois 16h Caf d bat De quel bois j me chauffe Chauffage au bois de la nouvelle piscine de la CAN 18h30 Caf d bat Mon mobilier mes for ts et mon porte feuille gt Mercredi 5 mai Biodiversit 14h30 Table ronde Comment intro duire des produits bio et locaux dans les repas de mon restaurant collectif 16h Animations et ateliers p dago giques Gout amical offert 17h Caf d bat Biodiversit D fintion et enjeux de conservation en Deux S vres 18h30 Caf d bat La marchandisa tion de la biodiversit semence vari t Jeudi 6 mai Eau 15h Animation Bar eau venez d guster et red couvrir l eau 18h30 Caf d bat
14. une partie de son contenu dans ce dossier sp cial installation en mara chage bio Nous avons voulu faire merger du kit des points importants pour l installation La suite au prochain pisode Les param tres indispensables de l installation Formations agricoles formations courtes Formation Exp rience S informer parrainage Pratiques Moyens Financiers 7 Economiques Juridiques Aides r gimes assurances forfait Je veux vendre plut t en vente directe En circuit long Commercialisation Moyens de production Foncier eau Am nagement de la parcelle des b timents et le choix du Choix des cultures mat riel Quels l gumes Les rendements calendrier de production fournisseurs de semences plants Moyens humains Temps de tra ax Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Dossier Installation Mara chage Le choix des cultures Le choix des cultures est en majeure partie fait en fonction du type de commercialisation diversifi pour le circuit court ou de plein champ pour le circuit plus long Si on se dirige vers une production en mara chage diversifi la plupart du temps on privil gie environ 35 vari t s adap t es sa client le mais aussi son sol Au contraire si on souhaite se structurer sur une fili re plus longue on va se concent
15. velles autorisations de cultures ou de commercialisation de produits OGM au sein des Etats mem bres Deux d cisions concernent la pomme de terre g n tiquement modifi e Amflora A savoir d une part l auto risation de la culture d Amflora des fins industrielles et d autre part l uti lisation de produits d riv s de l ami don d Amflora en tant qu aliments pour animaux Trois d cisions concernent la mise sur le march de produits contenant du ma s g n ti quement modifi Ces autorisations concernent seulement l utilisation dans l alimentation humaine et ani male mais pas la culture Il s agit des MONS8S63xMONRSIO MON363xNK603 et MON363xMONSIOxNK603 trois produits issus de croisements de deux ou trois ma s g n tiquement modi fi s dont l utilisation dans l alimen tation humaine et animale l importa tion et la transformation taient d j autoris es dans l Union europ enne Univers Nature 03 03 2010 Salon de l agriculture fr quentation en baisse au SIA Jean Luc Poulain pr sident du salon mise sur un peu moins de 650 000 visiteurs contre plus de 670 000 en 2009 II a soulign l ambiance grave et tendue de cette grand messe annuelle du monde agricole confron t e la plus grave crise de ces trente derni res ann es Plein champs 09 03 2010 La nouvelle marque bio en avril Elle sera officiellement lanc e en avril nom et logo Apr s plus
16. 10 plantes par r p tition o gt 9 mm 06 9 mm E 3 6 mm E 1 3 mm 4 juin 4 juin 4 juin 11 juin 18 juin 4 juin 11 juin 18 juin 11 juin 18 juin 25 juin 30 juin 11 juin 18 juin 25 juin 30 juin 25 juin 30 juin 25 juin 30 juin T moin Novodor type production Novodor optimis Success 4 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Mara chage El ments de discussion Le but de cet essai insecticides tait de v rifier l impact des produits sur la diminution des populations du parasi te Si on compare les modalit s entre elles on peut remarquer Le t moin conserve des populations lev es durant les trois premiers comptages Les faibles populations sur les deux derni res dates de comp tage s expliquent par l volution natu relle dernier cycle au sol et surtout par l tat du feuillage assez largement d truit par les doryphores qui n est pas favorable aux nouvelles pontes recherche d un potentiel de nourritu re au moment de la ponte Pour NOVODOR EC type produc tion l absence de traitement entre le premier et le second comptage laisse accro tre les populations Le traite ment au 11 juin limite beaucoup la forte population de doryphores sans pour autant radiquer le parasite Pour NOVODOR FC optimis l intervention plus pr coce au 4 juin limite les populations
17. Bassin du Viviers Comment mieux pr venir que gu rir Vendredi 7 mai Consommation locale et responsa ble 14h30 Table ronde Emploi local des outils pour aider la cr ation d emplois et accueil personnalis de porteurs de projets 16h Caf d bat Alimentons nos r gions et cr ons de l emploi local 18h30 Caf d bat Alimentation sant et pesticides Samedi 8 mai Eco habitat 15h D monstrations et ateliers pra ique 16h D gustations de p tisseries bio F 17h Caf d bat Eco habitat plus co teux 18h30 Ap ro musical offert Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Elevage Allier pr vention et conomie chez les ruminants L alimentation le logement et les techniques d levages foin traite sont responsables de 87 des pathologies dans les levages La pr vention principe fondamental du cahier des charges se fait donc principalement sur ces crit res qui permettront l animal de r sister aux agressions Article paru dans Symbiose n 142 janvier 2010 Aucun animal sup rieur ne dig re la cellulose Ce sont des bact ries qui assurent la digestion de la cellulose le ruminant se contentant de contracter et dilater son rumen Les bact ries cel lulolytiques d composent les mol cu les de cellulose et en r cup rent de l nergie pour se nourrir et se reproduire Ce
18. TZ 2 AcRoD O POITOU CHARENTES sommaire Actualit s techniques p 1 gt Revue de presse p 2 Informations g n rales Salon Label Vie p 3 Elevage Allier pr vention et conomie chez les ruminants p 4 5 Le bon veau se fait aussi en bio p 5 6 Dossier Installation Mara chage Les param tres indispensables l installation p 7 Le choix des cultures p 8 Grandes Cultures Technique sans labour en agricultu re biologique p 9 13 Mara ichage Doryphore sur pomme de terre p 14 16 Eau Les techniques bio au service de la protection de l eau p 17 Agenda p 18 Formations p 18 Petites Annonces p 19 en collaboration avec avec le soutien financier de i olto Charentes la d mocratie participative CHAMBRES D AGRICULTURE POITOU CITARENTES Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 N 8 MARS 10 AUXILIAIRE bio Bulletin technique du r seau bio de Poitou Charentes dito L instalation en mara chage attention aux conditions Ce nouveau num ro de l Auxiliaire bio est ax sur l installation en maraf chage Le d veloppement des syst mes bio en vente directe s amplifie La probl matique de l installation en agriculture est confront e aussi avec les particularit s de la bio Vous trouverez aussi dans ce num ro une suite au dernier dossier sur la ges tion du so
19. arence des marges La R gion s est engag e traiter en urgence la couverture sociale des familles l assurance des biens et des per sonnes une tr sorerie suffisante pour per mettre aux leveurs de maintenir leur activit La lettre d information de la Region Poitou Charentes n 226 Nouveau cahier des charges bio sur la vinification report du vote L adoption du nouveau cahier des charges europ en sur la vinification bio pr vue pour d cembre devrait tre report e En effet le projet en cours de finalisation fait encore l ob jet d une nouvelle consultation tech nique au sein de la Commission preuve des difficult s trouver un terrain d entente entre les Etats mem bres dont les pratiques oenologiques diff rent nettement selon les terroirs Biofil Novembre D cembre 2009 Un nouveau logo pour les produits biologiques de l Union euro p enne La Commission europ enne a vot officiellement le ler mars 2010 le logo retenu par les internautes l 1s sue du concours pour la conception du nouveau logo europ en pour les produits biologiques Ce logo est appel devenir le nou veau symbole officiel des produits biologiques dans toute l Union euro p enne d s juillet 2010 Il sera officiellement adopt apr s publication au Journal Officiel de la modification et d finissant ses r gles d usage www agenceb1o org Lancement du 5 me Appel projets Avenir Bio Le 5
20. c turer les fibres et favoriser la formation de moisissures Le s chage en grange est un outil int ressant pour r colter du foin de bonne qualit malgr les al as m t orologiques gain de 24 h sur du foin Mais sa taille doit permettre de rester dans une logique de p turage en visant 2 T de MS VL an Si la surfa Le bon veau se fait aussi en bio ce p turable ne permet pas d atteindre ce seuil c est le niveau de production laiti re qu il faut revoir pour garder de la coh rence d un point de vue cono mique et environnemental La qualit du foin n est pas synonyme d app ten ce Un foin jeune ou un regain tr s app tent sont tr s acidog nes et donc sources de probl mes sanitaires Il faut donc au minimum 2 cellules pour s pa rer le foin fibreux qui sera distribu en t te de repas du foin app tent qui per mettra la production de lait et sera dis tribu dans les 20 minutes qui suivent Le nettoyage des mamelles se fera avec le moins de liquide possible papier ou lavettes nettoy es 60 C sans produit Les produits de post trempage ne sont pas n cessaires si la vache ne se couche pas dans les 30 minutes qui suivent la traite Christophe Lef vre GAB du Morbihan Article paru dans Symbiose n 142 janvier 2010 La fili re veaux bio est la recherche d une certaine ad quation d un c t la demande porte sur des veaux de meilleu re qualit de l autre une probl matique sur la val
21. d un an de r flexion et de travail les mem bres de l association Alternative bio 2009 laissent donc la nouvelle marque priv e bio prendre son envol Alors que les pr cisions relatives son cahier des charges seront connues d ici quelques semaines certaines infos ont commenc filtrer Les organismes certificateurs ont tous donn leur accord pour certifier les producteurs transformateurs et autres acteurs de la fili re qui souhaitent adh rer la marque En pratique cela signifie que les producteurs pourront garder le m me organisme certifica teur pour la certification en bio et pour la marque bio La visite de contr le sera group e ce qui facili tera la d marche positive t on la FNAB Le co t suppl mentaire de ce contr le est en cours de n gociation SymBIlOse Mars 2010 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Informations g n rales Salon Label Vie Animations jeux et convivialit grandeur Nature En partenariat avec Agrobio Poitou Charentes la Foirexpo de Niort organise pour la 5 me fois le salon Label Vie quand conomie rime avec cologie Le d veloppement durable et l cologie sont des th mes d actualit mais dont on ne sait parfois pas de quoi ils rel vent r ellement zoom pr s de chez nous Le Salon Label vie vous propose ainsi de venir la d couverte des initiatives du
22. de Pays de Loire et de Bretagne bien que le niveau d in festation soit globalement plus lev sur ces sites donn es non publi es ainsi que sur les r seaux de parcelles agriculteurs a ab b Biomasse d adevntices en t ha 2005 ma s Labour traditionnel Travail superficiel 2006 soja 2007 bl d hiver Labour agronomique Travail tr s superficiel Figure 6 Evolution et comparaison de la biomasse adventice tha pour quatre techniques de travail du sol en grandes cultures site de Rh ne Alpes a b indique une diff rence significative avec p lt 0 05 140 m 120 E 2 100 60 E 60 aaaa 40 a 40 5 S 20 ii E Ei J 5 2005 ma s 2006 soja 2007 bl d hiver Labour traditionnel Labour agronomique NTravail superficiel Travail tr s superficiel Figure 7 Evolution et comparaison du rendement q ha pour quatre techniques de travail du sol en grandes cultures site de Rh ne Alpes a b indique une diff rence significative avec p lt 0 05 Pour le mara chage le rendement des cultures n a significativement pas diminu avec la suppression du labour Tableau 2 Par contre la pr sence de zones compact es a affect la qualit des l gumes racines carot tes et radis Japonais dans trois des quatre sites o une proportion sup rieure de l gumes d form s est obser v e gt gt Agrobio Poitou Charentes 12 bis
23. e 4 Cette r par tition se fait suivant la profondeur d enfouissement des r sidus de cultu res et la pr sence de zones compac t es Dans les profils de sols labour s la biomasse microbienne est distri bu e de fa on homog ne sur la pro fondeur du labour 5 30 cm pour le labour traditionnel et 0 20 cm pour le labour agronomique alors qu elle pr sente un gradient vertical en TSL o elle se concentre dans les premiers horizons de sol Figure 4 Ces r sul tats confirment des travaux pr c dents qui montrent que la biomasse microbienne se d veloppe pr f ren tiellement au sein des horizons o les r sidus de cultures sont enfouis Andrade et al 2003 Par ailleurs cette r partition est galement modi fi e par le niveau de compaction g n r par les diff rentes techniques de travail du sol Ainsi la biomasse microbienne diminue au sein des zones compact es notamment dans les horizons fragment s par les outils o les r sidus de cultures ont t enfouis Figure 4 En mara chage la pratique des plan ches permanentes favorise la biomas se microbienne et son activit de min ralisation potentielle du C et du N Toutefois sur le site de Provence les diff rents indicateurs microbiens mesur s voluent n gativement sur les planches permanentes en raison de la d gradation de la structure du sol gt gt Travail tr s superficiel Figure 4 Distribution de la biomasse microbie
24. e de multiples pratiques tels que le travail du sol avec des outils dents des profondeurs allant jusqu 15 20 cm ou un semis direct sans aucun travail du sol pr alable Les diff rences de profondeur de travail du sol la fragmentation du sol due diff rents outils dents disques impacteront diff remment le sol avec une distribution de la mati re orga nique plus ou moins homog ne dans la couche de sol cultiv e la gestion des adventices leur enfouissement tant plus ou moins important suivant les TSL et par cons quent le rende ment des cultures Les diff rentes exp rimenta tions en erandes cultures et mara chage en AB En 2004 trois sites exp rimentaux en grandes cultures ont t mis en place en Bretagne Pays de la Loire et Rh ne Alpes Tableau 1 Dans les deux derni res r gions des r seaux de parcelles d agriculteurs ont t install s en compl ment des sites exp rimentaux soit 15 parcelles d a oriculteurs suivies depuis 2005 En mara chage 4 sites exp rimentaux ont t mis en place en Provence Nord Poitou Charentes et Rh ne Alpes Tableau 1 gt gt Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Grandes Cultures gt gt Tableau 1 Sites exp rimentaux en grandes cultures et mara chage biologique D but Pluviom trie ose ON st PM suesessincuuk Grandes cultures
25. e la macroporosit d origine biologique Kay et VandenBygaart 2002 Comme pour les microorga nismes la question est alors de savoir si Sur le long terme l activit lombri cienne est suffisante pour entretenir voire am liorer les caract ristiques physiques du sol en TSL Ces questions sont d autant plus importantes en AB que la croissance des cultures d pend avant tout des processus biologiques du sol qui four nissent les l ments assimilables pour la culture en place L interdiction d u lisation d herbicides et les apports fr quents de MO au sol en AB indui sent des particularit s qui vont Jouer sur la vie biologique du sol augmen tations de MO de microorganismes FlieBbach et M der 2000 et de l ac tivit lombricienne Gerhardt 1997 L adoption des TSL en AB pose aussi le probl me de la ma trise des adven tices et finalement celui des perfor mances des cultures rendement et qualit Le labour classique tant consid r comme une pratique effica ce de ma trise des adventices leur contr le constitue un frein l utilisa tion des TSL en AB Peign et al 2007 Ainsi l objectif des programmes de recherche engag s sur les TSL en AB est d une part de r pondre ces questions et d autre part d valuer diff rentes techniques de non labour en tenant compte des sp cificit s des syst mes en grandes cultures et en mara chage En effet le terme TSL regroup
26. ement rapide de l activit biologique du sol La min ralisation du couvert conduit une restitution de l azote la cultu re suivante Deux techniques de destruc tion Le roulage des couverts Le rouleau Cambridge ou le rolo faca Des essais men s en Pays de Loire avec un rouleau type Cambridge ou Cultipacker montrent une r ussite dans 80 des cas Il faut interve nir en p riode de gel janvier f vrier L utilisation de rouleau sem ble avoir une action d amplification des d g ts de gel sur les esp ces sen sibles au froid comme la moutarde ou la phac lie Elle permet fai ble co t 15 ha pour un rouleau type Cambridge en 8 m et rapide ment 3 ha h de d truire sans glypho sate son couvert Une autre technique utilise un mat riel plus sp cifique le rolo faca D inspiration br silienne ce mat riel est l outil le plus adapt au roulage des couverts Selon les mod les c est un gros rouleau de 80 90 cm de dia m tre sur lequel sont plac s des lames tous les 15 25 cm afin de bien comprimer et clater les tiges Il est utilisable toutes les saisons mais le gel accentue l effet destruction du couvert Le scalpage des couverts Cette seconde technique utilise un outil sp cifique voir t moignage de Patrice Lefeuvre Elle s inspire des techniques de culture simplifi es avec un travail superficiel du sol 2 cm L outil scalpe la plante entre le collet et la
27. es principales de travail du sol sont compar es 1 labour tra ditionnel LT et 2 syst me dit planches permanentes PP o les passages de roues sont fixes et la planche de culture est travaill e avec des outils dents ou disques Impacts des techniques sans labour sur le sol en AB premiers r sultats Evolution de la structure du sol L volution de la structure du sol a t suivie en utilisant la m thode des pro fils culturaux sur l ensemble des sites exp rimentaux Manichon et Roger Estrade 1990 Elle permet de d cri ET Limono Argilo Sableux on carotte poireau pomme de terre Limono Argilo Sableux poireau EV Laitue carotte EV chou EV 1000 hydromorphe pinard poireau re l organisation structurale du sol et de la relier aux op rations culturales responsables de cet tat La structure du sol est caract ris e par des zones aux caract ristiques physiques diff rentes au sein du profil des zones non tass es constitu es de mottes d tat interne gamma G et des zones tass es constitu es de mottes d tat interne delta pr sentant une poro sit faible non visible l oeil La sur face relative des zones tass es ou non tass es permet de juger de l effet des techniques culturales sur l tat struc tural des couches de sol travaill es Manichon et Roger Estrade 1990 De plus des mesures de densit appa rente du sol da ont t r a
28. es sur la surface restante Pour tout contact Odette Garat 05 45 60 67 15 Bonnes terres en fermage avec eau et quotas d irrigation en Charente Puyr aux Transmission d une ferme c r ali re d ici fin 2011 et 8 ha 25 dispo nibles en mara chage possibilit d ins taller plusieurs projets Marcel D bit 05 45 22 78 85 3 parcelles 15 ha de prairie sont en vente dans le marais de Champagn Nord des Iles Vend e dans un compartiment hydraulique int gralement prairial Syndicat mixte du parc interregional du Marais Poitevin 05 49 35 15 20 ep Mise disposition de terres avec tang abri cours d eau proximit pour une location ou association avec l agricul teur propri taire sur le secteur de Barbezieux 16 pour un projet en mara chage bio Contact 06 82 74 72 63 Emploi Salari gt Recherche emploi d ouvrier agricole apr s plusieurs saisons en mara chage arboriculture fruiti re et serres Disponible imm diatement Ronan Therville 06 01 31 15 88 gt Jeune femme de 26 ans recherche un emploi dans une ferme caprine avec ou sans transformation fromag re plein temps afin de pouvoir un jour m installer mon compte ou m associer J tudie toute proposition cdd cdi ou projet d installation dans le Poitou Charentes Vous pouvez me joindre par mail l a dresse suivante elodie laforge sfr fr Homme 37 ans dipl m du BPREA recherche emploi d ouvrier saison
29. gas triques La zone d exposition situ e sur une grande prairie permettra aux visi teurs de rencontrer organisations et organismes li s l levage qui pr senteront leurs produits savoir faire ou services sur des th matiques vari es machines et engins de travail du sol semis et entretien des cultures r coltes alimentation et sant animale formation continue enseignement recherche dition et presse expertise appui conseil reconver sion et certification en AB approvisionnement fili res A l image de ce qui a t fait lors des pr c dentes ditions de tech and bio dans la dr me agrobio se propose d organiser un d placement collectif le jeudi 24 juin Si vous souhaitez y prendre part merci de vous faire conna tre aupr s d Agrobio Poitou Charentes contact St phanie Guilbot avant le 15 mai 2010 au 05 49 29 17 17 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Revue de presse Des mesures d urgence pour les agriculteurs Les agriculteurs ont manifest mercredi 17 mars pour pousser un cri d alarme Ils ont fait part de leurs difficult s pour acheter les semences des cultures de prin temps l alimentation du b tail et pour r gler les factures Les agriculteurs sont dans une situation d urgence ils demandent un plan de soutien des prix r mu n rateurs et une r elle transp
30. ges Cet essai a consist tester l int r t r pulsif vis vis du doryphore de pr parations base de plantes cit es par des intervenants de la fili re Biologique prestataires fournis seurs Cette exp rimentation a t r alis e dans une parcelle de produc tion de pomme de terre de l EARL les Coteaux de Peyrodeau Saint Eug ne 17 Le dispositif d valuation a consist tester 4 modalit s sur 4 r p titions comptages des larves selon leur taille sur 10 plantes identi fi es par micro parcelle Modalit s test es et dates d application Modalit s test es Dates des pulv risations T moin eau 4juin Mac ration huileuse d ail 11 juin Infusion de plantes 2 18 juin Bulbacide engrais foliaire lt 25 juin Les pulv risations ont t r alis es avec de l eau de pluie sur une base de bouillie de 400 I par Ha Tableau de synth se des comptages voir graphique page suivante gt gt 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Mara chaege Pr parations insectifuges volution des populations de doryphores moyenne par plante comptage sur 10 plantes par r p tition L auxiliaire bio N 8 Mars 10 80 60 o gt 9 mm 16 9 mm E 3 6 mm I E 1 3 mm 40 20 S c S S 3 3 3 3 3 3 3 3 4 oo ww ol e oo ww o
31. ibuteurs La conforma tion du veau en vif influe fortement sur son rendement en carcasse rap port poids carcasse poids vif et sur la proportion de pi ces de 1 re cat gorie morceaux nobles par rapport celles de 2 me et 3 me cat gories De plus une bonne finesse de l animal squelette cuir am liore significati vement les rendements en carcasse et en viande nette ce qui entra ne une meilleure valorisation commerciale La conformation bouch re des veaux d pend majoritairement de la valeur g n tique des reproducteurs du trou peau il est donc important de s lec tionner des m res bonnes aptitudes bouch res et ins miner ou faire saillir ces vaches avec des taureaux type viande Produire des veaux suffisamment gras La majorit des bouchers recherche des carcasses de classe 3 tat cou vert c est dire ni trop grasses ni surtout trop maigres Les veaux trop maigres donnent une viande qui caille mal au ressuage et dont la tenue la conservation est mauvaise sans compter le risque de d gradation de la couleur apr s l abattage De plus sur le plan gustatif la viande d un veau maigre est s che et peu go teuse L tat d engraissement est important pour la qualit de la carcas se et de la viande Si le veau est trop maigre classe 1 voire 2 il n y pas d infiltration de persill dans la vian de la viande est trop s che apr s la cuisson et manque de go t De plus une via
32. ier sur la gestion du sol un article scientifique int ressant Cet article est la synth se de plusieurs programmes de recherche r cemment d marr s portant sur le travail du sol et plus particuli rement les techniques sans labour en grandes cultures et mara chage en agriculture biologique Ces travaux sont bas s sur des essais au champ et des r seaux de parcelles chez des agriculteurs Les observations agro nomiques obtenues durant la p riode de transition du labour vers les techniques sans labour sont d taill es sur quelques sites exp rimentaux et discut es au regard de l ensemble des travaux conduits Les enjeux des techniques de travail du sol sans labour en agri culture biologique En Agriculture Biologique AB le labour est traditionnellement utilis pour pr parer le sol avant semis contr ler le d veloppement des adventices enfouir les cultures inter m diaires et incorporer les amende ments organiques Toutefois en ral son de probl mes de fertilit du sol tassement d de mauvaises condi tions de sol lors du labour limitation de la vie biologique les agriculteurs se posent de plus en plus de questions sur l adaptabilit des techniques cul turales sans labour TSL en AB et sur leur impact sur la qualit du sol et les performances des cultures Ainsi plusieurs organismes de d veloppe ment et de recherche ont lanc des programmes sur les TSL en AB afin d valuer leur efficacit e
33. it mieux quilibr que celui des races laiti res fortes productrices Recours possible des races laiti res En pratique comment peut on favori ser une bonne finition des veaux Gr ce une alimentation abondante de bonne qualit et quilibr e des vaches nourrices Une alimentation correcte des m res permet d offrir au veau en abondance du lait de bonne qualit A cet effet il est essentiel de distribuer aux m res et aux tantes lal ti res une ration suffisante avec un bon quilibre entre l nergie et les prot ines Une organisation rigoureu se de l allaitement permet d ajuster au mieux les disponibilit s en lait du troupeau aux besoins des veaux Avoir dans le troupeau allaitant des tantes de type laitier peut compl ter le d ficit en lait de m res de races bou ch res La proportion de tantes dans le troupeau peut aller jusqu 25 Une fili re en plein d veloppement Le veau est une production qui se d veloppe avec une demande forte et r guli re de l aval UNEBIO est l ac teur majeur qui structure ce d bouch commercial avec l appui d EBIO Avec un nombre de plus en plus important de veaux valoris s la fili re est en plein d veloppement Il ne faut cependant pas confondre quanti t et qualit le d veloppement va surtout se faire dans les boucheries traditionnelles avec une demande sur des veaux ros s clairs et gras Pour les leveurs continuer le travail en ce sens permett
34. l avec un article synth tisant les recherches actuelles men es sur la gestion du sol ainsi que la suite de l article de l Association Charentes Poitou d Exp rimentation L gumi re sur les Doryphores Nous tenions aussi vous signaler la mise en ligne courant avril du site PENSER BIO en Poitou Charentes qui se veut le site de l ensemble des acteurs bio professionnels collectivit s et consommateurs Tomates Sasia citrouilles patrons Les autres sisone soyez chou t m cas les produits bi 3 COrsommet c st te ann TO MUC 3 n 3 n a 3 F ts ln Actualites Nouveau dsaveu pour je mais DGM Bes de chez VOUS J UR MON 810 14 01 2010 AR En 2clics d couvrez tous les acteurs bio TAT M Identifiant bio quelles volutions an Poitou Charentes producteurs HER L ER bn imposer 20 de bio gahs er 2009 14 01 2010 saniculteus Magssits memh s re LA a es kantines scolaires A Qi 4 y 7 4 7 a Le blio a besoin d une bulle 7 is nn PS Joul Nori d air 14 01 2010 e Marc hes bio HI 7 LENS 5 r peut tre Ne sais pas ss pl i e A oy ENS Retrouvez tous ss march s bio pr s de RL Voter m gt R sultats a chez vous pour pr parer vos f tes de fin TANO 2 i La r daction www agrobio fr Actualit s techniques Rendez vous Tech amp Bi1o des leveurs de l Ouest le 24 juin 2010 Thorign d Anjou et Si on vous emmenait Les 23 et 24 juin sur le site de la ferme
35. lis es sur les sites de grandes cultures afin de quantifier l volution de la porosit totale du sol et en combinaison avec les teneurs en C les stocks de C Les r sultats obtenus sur l ensemble des sites de grandes cultures montrent que la proportion de zones non tas s es tend diminuer en travail tr s el E E x 2007 bl d hiver 3 ans d exp rimentation mLabour traditionnel aTravail superficiel superficiel La Figure 1 illustre les r sultats obtenus sur le site exp ri mental en Rh ne Alpes au bout de trois ann es seuls les labours permet tent de r g n rer le sol initialement tass tat initial en ligne pointill e Figure 1 Ce r sultat se retrouve sur l ensemble des sites et r seaux de parcelles pr sentant des sols faible activit structurale La tendance la prise en masse est confirm e par la mesure de densit apparente la diff rence de da entre les TSL et le labour traditionnel est de 0 15 g cm 3 en profondeur 15 cm sur le site de Rh ne Alpes en 2007 Dans le cas du mara chage les profils culturaux r alis s sur les diff rents sites montrent des r sultats plus contrast s Ainsi sur le site de Rh ne Alpes la structure du sol est satisfaisante apr s six ans de planches permanentes Figure 2 des compac tions lat rales pr sentes sur les plan ches en 2004 ont disparu en 2006 Cette am lioration est li e la pra tique syst matique de
36. mentation des populations de lombriciens Une analyse conomique et nerg tique des diff rentes techniques de travail du sol a t initi e en Pays de la Loire sur le r seau de parcelles en grandes cultures Les premiers r sul tats montrent que le temps de travail quelque soit l outil utilis repr sente le poste le plus important en termes de co ts 60 et d nergie 40 Ainsi les gains conomiques et ner g tiques ne sont pas syst matiques avec les techniques de travail superfi ciel si des outils classiques sont uti lis s exemple d outils dents ou disques de type d chaumeur Dans les ann es venir l analyse cono mique nerg tique et environnemen tale des diff rentes techniques devrait tre r alis e sur l ensemble des sites afin de dresser en compl ment des r sultats agronomiques un bilan sur la faisabilit ou non des TSL en agri culture biologique Les premiers travaux engag s sur les TSL en AB ont t mis en place sur des sites exp rimentaux afin d va luer de fa on pr cise leurs impacts sur la fertilit physique chimique et biologique du sol Parall lement des r seaux de parcelles ont t suivis et permettent d valuer ces techniques sous diff rentes conditions propres chaque agriculteur Pour compl ter cette approche et juger de l applicabi lit des TSL en AB par les agricul teurs l INRA de Mirecourt d velop pe des travaux d
37. n trouve sa place sans stress En aire paill e les 6 m2 VL sont un minimum et en logette 1l fau drait 15 de places suppl mentaires Herv Guillemot leveur Allaire t moigne Avec l agrandissement de l aire paill e et le passage de 6 7 m2 VL nous avons observ un change ment dans le comportement toutes les vaches sont couch es le matin alors que certaines taient debout avant l agrandissement Environ 40 litres d eau sont expuls s chaque jour par une VL urine respiration L a ration du b timent est donc pri mordiale Les techniques Un foin salivog ne est un foin fibreux de prairies permanentes ou multivari tales matures Le stade id al pour d fi nir la date de fauche est 1 3 des plan tes en fleurs Pour mesurer le pouvoir salivog ne du foin il est possible de faire une analyse Un foin de luzerne est galement parfait en t te de repas car 1l apporte des fibres de l azote solu ble et du calcium L heure de fauche a une importance significative Un foin pr coce sera fauch le soir pour aug menter sa maturit gain d une semal ne et inversement pour un foin tardif Le conditionneur permet de r duire le temps de s chage mais fragilise l atta chement des feuilles aux tiges perte des organes les plus riches En clatant ou en pliant les tiges 1l diminue l effi cacit des fibres pour la rumination Les balles rondes ne doivent pas tre trop comprim es pour ne pas d stru
38. nde trop maigre risque de mal ressuer en chambre froide et de pren dre une teinte brun fonc peu pr sen table l tal du distributeur la vian de manque de tenue et se d fra chit plus vite Si inversement le veau est trop gras classes 4 et 5 la carcasse devra tre d barrass e du gras abdo minal et du gras de couverture en exc s soit encore une quantit impor tante de d chets non commercialisa bles R le de la race et de la composition du lait Quels sont les facteurs d levage qui influent sur l tat de finition des veaux La race et la souche du veau les veaux de types laitiers et crois s d posent du gras plus pr coc ment que les veaux issus de races allaitan tes pures Parmi ces derniers les Limousins tendent se finir plus t t en moyenne partir de 170 180 kg de poids vif que les Charolais ou les Blonds d Aquitaine souvent au del de 220 kg pour ces derniers Le sexe du veau a galement son importance au sein d une m me race les femelles d posent du gras un ge plus pr co ce que les m les La quantit et la qualit du lait disponible restent les facteur essentiels Un veau qui ne t te pas volont aura du mal se finir correctement Quant la composition du lait plus que sa richesse en mati res grasses et en mati res prot iques c est l quilibre entre les deux l ments qui importe Correctement nourries les m res de races allaitan tes donnent un la
39. nier ou l ann e en mara chage biologique temps partiel ou plein Disponible d s le ler juillet sur dpt 79 17 85 Je souhaite compl ter mon exp rience en vue de r aliser mon projet d installation T l 0613505293 Divers Vends camionette frigo PARTNER en bon tat 370 000 km 4 000 Jer me Huvelin Couh 86 05 49 59 23 71 jeromehuvelin yahoo fr Suite la temp te en Charente Maritime et Vend e nous faisons appel dons de foin Contact solidaritepaysans17 voila fr gt Serres tat neuf vendre Yves Poussard 06 08 36 33 29 Etudiante Montpellier cole d a gronomie recherche un stage en exploi tation agricole pour mai et juillet ao t Int ret particulier la s lection de semen ces ventuellement en coop ration avec l INRA ou dans un r seau Marie P DELABAT pedelaba supagro nra fr vendre avoine blanche bio vari t G rald 500 qx Contact Daniel Villanneau 06 19 44 52 60 Vouill 79 gt SME associ GIRAPHOTON Vaucluse Groupe GIRASOLAR lance un programme de 100 hangars abris fourrages mat riels d exploitation agri coles de 24m de longueur et 18m de lar geur sp cialement r serv s aux produc teurs de Bio Ces b timents enti rement galvanis s sont totalement gratuits et offerts aux 100 premi res demandes conformes Joignez nous pour marquer votre int r t et de plus amples renseigne ments sans obligation d achat a
40. nne en mg C kg dans le profil de sol 0 30 cm pour quatre techniques de travail du sol Les zones tass es mottes A sont entour es en blanc site Rh ne Alpes grandes cultures Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Grandes Cultures abbb a bbb 2004 luzerne tat initial mLabour traditionnel 2005 ma s Chair ha 2006 soja 2007 bi d hiver DTravail superficiel B Labour agronomique O Travail tr s superficiel Figure 5 Evolution et comparaison de la biomasse lombricienne en g m pour quatre techniques de travail du sol labour traditionnel labour agronomique travail superficiel et travail tr s superficiel en grandes cultures site de Rh ne Alpes a b indique une diff rence significative avec p lt 0 05 gt gt Macro organismes du sol La popu lation lombricienne est plus impor tante en biomasse pour le travail du sol tr s superficiel quels que soient les sites exp rimentaux en grandes cultures Ces r sultats sont conformes ceux observ s plus long terme dans des syst mes conventionnels Jordan et al 2004 Pfiffner et Luka 2007 ainsi qu aux r sultats de Johnson Maynard et al 2007 obte nus apr s trois ann es d exp rimenta ton L absence d effet du travail superficiel 10 15 cm en comparai son du labour sur la population lom bricienne a aussi t obse
41. nt tre distribu s avant les aliments acidog nes concentr ensilage foin immature 2 Deux repas identiques par jour m me quantit et m me composition 3 Les auges doivent tre vides de 12 17 h et la nuit Ces principes permettent au troupeau de s approcher de son comportement naturel Les ruminants font les trois huit 8 heures d ingestion 8 h de rumination et 8 h de repos En ration hivernale et en p riode de transition il faudra donner 2 Kg MS de foin fib reux VL en t te de repas matin et soir pour constituer le tapis fibreux et faire saliver Si le troupeau a acc s un r telier de foin toute la nuit il sera impossible de lui faire manger du foin le matin L odeur tant le premier cri t re d ingestion 1l sera possible de tricher pour faire manger un foin de moindre qualit d coction froid pendant quelques minutes d un tr s bon foin et passer au pulv sur un foin qui ne sent pas 3 cuill res de miel de ch taignier dans un litre d eau puis un peu moins par la suite au pulv Saler le foin au pulv saumure si pas de pierre dispo Huile de colza Apr s l ingestion des 2 kg MS de foin 1l faut distribuer les aliments acidog nes ensilage foin jeune regain concentr dans les 20 minutes qui suivent Le respect de ces 20 minutes est important du fait du r le fugace du bicarbonate salivaire Au del d une heure le bicarbonate est d j transform et ne j
42. orisation des m les se pose dans les levages lig riens Dans ce contexte EBio l association des Eleveurs Bio des Pays de la Loire et la CAB ont organis des journ es de formation technique sur cette production avec l objectif d am liorer les carcasses des veaux l abattage Francis Rousseau du Comit Interprofessionnel des Veaux Sous la M re dans le Limousin a donc us de son franc parler face aux leveurs bio il faut comprendre la demande pour mieux y r pondre terme c est ce choix qui permettra aux op rateurs de l aval de mieux valoriser cette production en touchant un plus grand nombre de boucheries traditionnelles Trois composantes d finissent la qua lit d un bon veau la couleur de la viande la conformation bouch re de la carcasse et l tat d engraissement de la carcasse Cette d finition ne doit pas se faire au d triment des r gles de la bio pour ne pas tomber dans les travers de la production convention nelle Produire des veaux viande claire Plusieurs points permettent d claircir la couleur de la viande des veaux Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 sans toutefois aller jusqu la viande blanche incompatible avec le cahier des charges bio Il est n cessaire d of frir aux veaux des bonnes conditions de vie confort ambiance du loge ment soins Pensez la qualit de la liti re l leveur doit pouvoir se co
43. oue plus son r le tampon Compl mentation de la ration Le bl est d conseill car 1l est tr s acidog ne en 2 heures les 34 du bl sont ferment s alors qu il faut 8 h pour dig rer la 1 2 du ma s L orge l a voine ou l peautre sont privil gier car leur temps de fermentation est plus long Un foin pr coce riche en sucre ou un ensilage d herbe tr s aci dog ne appellera une compl menta tion avec de l amidon lent de type ma s L amidon rapide de type tritica le ou de sucre soluble type betteraves sera d conseill A l inverse un foin tardif pauvre en l ments fermentes cibles sera compl t avec des l ments rapidement fermentescibles Le seuil ne pas d passer est de 2 kg de concentr s maximum par repas Les concentr s fins fermentent tr s rapidement Les graines aplaties seront privil gier car elles flotteront plus longtemps sur le tapis fibreux et seront donc ferment es moins rapide ment Au p turage Les variations de pH sont beaucoup moins importantes car la consommation est beaucoup moins rapide qu l auge En p riode de transition printemps automne 1l faut pr voir 2 kg de foin avant la mise l herbe pour maintenir le pH et limiter le gaspillage Sevrage des veaux Pour favoriser le d veloppement des papilles et construire un syst me immunitaire performant le sevrage des veaux se fait 6 mois 2 buv es de 3 litres pendant les 3 premiers mois puis passage
44. r informer et de valoriser les produits issus de l agriculture biologique www printempsbio com 12 et 13 juin 2010 Salon Nature et Bien tre Champniers 16 March de producteurs et artisans bien tre cologie 19 juin 2010 Journ e Biodiversit sur l exploitation de Pascal Biteau Torx 17 en partenariat avec la LPO GAB 17 05 46 32 09 68 Apprendre s lectionner bovins viande et lait selon les crit res de l a sriculture biologique Avril 2010 Dur e 2 journ es Lieu Parthenay 79 et visite d exploita tion Bios vres 05 49 63 23 92 gt Connaitre son sol pour adapter sa fertilisation approche p dologique et plantes bio indicatrices Avril 2010 Lieu Coulon 79 Dur e 3 journ es Bios vres 05 49 63 23 92 Apprendre g rer l administratif de l exploitation agricole 22 avril 2010 Lieu Chambre Parthenay 79 CA Parthenay 05 49 64 94 83 d agriculture de Arboriculture bio le greffage et le surgreffage 7 mai 2010 Lieu Benoit Piron technicien arborico le bio St Pardoux 79 GAB 17 05 46 32 09 68 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Petites Annonces Exploitation lt GAEC 2 associ s 55 ans recher che une personne pour remplacer le d part en retraite en 2011 de l un d entre eux Ferme situ e entre Clermont Ferrand et Le Puy
45. ra de mieux valori ser leur production De temps en temps la fili re peut tre amen e demander des veaux lourds pour du saut mais 1l ne faut pas se tromper de probl matique aujourd hui seuls 4 des veaux sortent avec le classe ment 2U3 couleur 2 conformation U et engraissement 3 qui sont les veaux les plus recherch s Il est donc important d am liorer ce pourcentage en lien avec les op rateurs de l aval Mathias SPORTIS CAB Article paru dans le Bulletin CAB n 82 d cembre 2009 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Dossier Installation Mara chage Je m installe en agriculture biologique Agrobio Poitou Charentes en lien avec la MAB 16 travaille actuellement sur l laboration d un kit info installation destin aux personnes qui se dirigent vers une installation en mara chage biologique Ce document a pour objectif de faire une premi re information sur l installation en mara chage biologique en plus de la rencontre avec un animateur du d partement o le porteur de projets se trouve animateur qui l accompagnera dans ses d marches Ce document aborde toutes les tapes de l installation de la formation au choix des cultures en passant par les aspects technico conomiques et le choix de la parcelle Il sera disponible dans notre r seau courant septembre 2010 Vous pouvez d ores et d j d couvrir
46. rables de votre territoire de vie Vous y trouverez galement les derni res innovations vertes en mati re d co habitat nergies renouvelables et mat riaux sains et de produits issus de l agriculture biologique alimentation textiles cosm tiques Des professionnels seront pr sents pour vous conseiller dans vos projets personnels et professionnels Label vie c est surtout un espace o 1l fait bon venir s amuser et d couvrir D gustations de produits biologiques Jeux en bois libre acc s Animations p dagogiques et ateliers pratiques Jeux concours avec de nombreux lots gagner Interm des artistiques autour d un go ter ou d un ap ro Espace restauration buvettes et salon de th de qualit Magasin de produits bio et locaux Caf s d bats th matiques Films documentaires Avec le Salon Label vie venez la rencontre des acteurs qui uvrent pour la pr servation de l eau la biodiversit la valorisation du bois et l co construction la sensibilisation une consommation plus durable vous y d couvrirez s rement des actions qui se passent tout pr s de chez vous Programme du Salon Label vie Tous les jours Jeux en bois d antan d gustations animations p dagogiques restaura tion et salon de th films jeux concours avec de nombreux lots gagner Samedi ler mai Consommation locale et responsable 12h Inauguration D gustation pro duits bio du magasin et ap
47. racine puis tire la v g ta tion en surface pour l exposer au soleil Source CRA Pays de Loire et CAB Pays de Loire es eau Un exemple de rolo faca Facilit de destruction Les couverts non peu g lifs avoine hiver radis navette vesce d hiver tr fle pois hiver gesse phac lie Les d veloppement plus important plus d azote pi g meilleure protection du sol en hiver meilleure restructuration du sol plus d ass chement du sol au printemps Les difficult de destruction reprise de v g tation au prin temps Les couverts g lifs avoine ptps sorgho niger vesce ptps f verole ptps sarrasin tournesol pois ptps moutarde Les facilit de destruction rien faire co t de la destruction ES d veloppement moins important moins d azote moins de protec tion en hiver risque de destruction pr coce novembre Source Agrotransfert Poitou Charentes Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Agenda gt 3 avril 2010 Assembl e G n rale de la MAB 16 au Logis de Lunesse Angoul me 16 MAB 16 05 45 63 00 59 gt 15 avril 2010 Assembl e G n rale d Agrobio l Oisellerie La Couronne 16 Agrobio 05 49 29 17 17 gt 21 au 23 avril 2010 Salon Bio n Days Valence Conservation et Extraction de produits bio 3 jou
48. re de Bretagne 2 av du Chalutier Sans Piti 22195 Pl rin 7 SERAIL 123 chemin du Finday 69126 Brindas Correspondance peigne isara fr 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Mara chaege Le doryphore sur pomme de terre un parasite souvent tr s vorace Cet article fait suite l article de janvier Auxiliaire n 7 sur les l ments de la biologie du dory phore Ce second article vous pr sentera les r sultats de trois exp rimentations r alis es dans Plante Soci t Argument sur Mise en uvre propos e l emballage Des essais conduits en R gion en 2009 trois approches compl mentaires Dans le cadre d une association finan c e par les collectivit s Etat R gion D partements et par la profession l ACPEL r alise des exp rimentations la demande et avec la participation des producteurs de l gumes Agrobio pour l AB Le programme est consti tu partir des pr occupations tech niques recens es sur le terrain Ainsi dans le contexte de retrait de la rot none et du manque d efficacit en production du Novodor FC il nous a t demand de rechercher des moyens pour mieux ma triser les doryphores en culture de pomme de terre en AB Un premier travail de synth se sur les donn es disponibles a permis de choisir les pistes qui pr sentent un int r t inutile par exemple de travailler sur un produit qui ne sera
49. rer sur 5 l gumes principaux pomme de terre oignons poireaux carottes choux plus faciles et m canisables L Achat des semences En pratique Je v rifie tout d abord si les semences recherch es figurent sur la liste annuelle des semences b n ficiant d une auto risation g n rale liste fournie par votre organisme de d veloppement ou consultable sur le site du Groupement National Interprofessionnel des Semences Si oui je peux l utiliser sans demande de d rogation Sinon voir sch ma ci contre Semence cherch e disponible en AB consultation de la base de donn es sur le site du GNIS ou sur une liste issue de la base du CNIS liste de moins de 15 jours fournie par votre GAB CIVAM Chambre d Agriculture voisin 0 Le mMm La vari t ne me convient pas gt Non non adapt e y La vari t me convient y Je dois faire ma demande de d rogation motiv e Je dois l utiliser sur le site GNIS pas de d rogation bien pr ciser pourquoi vous souhaitez choisir cette vari t possible J enregistre ma demande je l imprime et la conserve pour mon contr leur Je ne dispose que d un mois maximum entre la date de consultation de la base et l achat ou la commande de mes semences Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Grandes Cultures Techniques sans labour en agriculture Suite notre doss
50. res Le semis en ligne sur le rang de pomme de terre d j plant est diffici le mettre en uvre passage du semoir sur une longueur cons quen te M me avec un positionnement sur le milieu du rang le d marrage lent du lin et la pr sence d une plante de petite taille n est pas compatible avec le binage et le buttage de la culture op ration d terminante dans le contr le des adventices en AB En partant du postulat que ces plantes pr sentent bien un int r t r pulsif il semble donc pr f rable de r aliser le semis sur des planches de petites largeurs r parties r guli re ment r aliser ce semis l g rement plus pr cocement que la plantation de pomme de terre environ 10 jours pour disposer d un d veloppement suffisant du lin concordance floral son et arriv e du parasite Cette exp rimentation sera revue en 2010 pour prendre en compte ces modes d implantation et surtout R pulsif naturel du L auxiliaire bio N 8 Mars 10 Page 14 Semis en m me temps que les pommes de terre du 15 mars au 15 avril 1cm de profondeur Semis soit sur le rang 5 6 graines entre plants ou bandes entre les rangs 1 gr m Semis sur terre r chauff e de mars juin Entourer la culture de pomme de terre semis en ligne ou la vol e planches 14 gr m disposer de donn es concernant l effet r pulsif sur le doryphore 2 Quel int r t de pr parations insectifu
51. rise en masse sur les 30 premiers centim tres du sol limoneux A partir de fin 2006 les buttes ont t supprim es pour reve nir en culture plat tout en conser vant les passages de roues toutefois le profil r v le la pr sence importan te de mottes compact es t moins des tassements ant rieurs La ma trise de l itin raire de travail du sol s av re assez complexe sur les planches permanentes Le mara cha ge dispose de peu d outils utilisables et la ma trise de l itin raire de travail du sol passe par des tapes de mise au point des outils et d acquisition de savoir faire Ainsi l ant riorit de l essai de Rh ne Alpes 6 ans explique sans doute la r ussite des planches permanentes Evolution des stocks de carbone et de mati re organique en grandes cultures Les stocks de carbone C dans le sol sont calcul s partir des densit s apparentes et des teneurs en C mesu r es sur le terrain Sur le site de Rh ne Alpes d s la premi re ann e le stock de C de l horizon 0 5 cm est significativement plus lev pour le travail tr s superficiel semis direct en 2005 que pour les autres tech niques Figure 3 La redistribution des r sidus de r colte et d ventuelles mati res organiques sur une faible profondeur de sol concentre les diff rents pools de la MO r sidus bio masse microbienne m tabolites C stabilis dans les horizons de surface Andrade et al 2003 Cependant q
52. rs pour s informer et changer www biondays com gt 25 avril 2010 7 me f te des jardins Vouh Possibilit d avoir un stand Association Vouh en F te 05 46 68 06 55 gt ler au 9 mai 2010 Salon Label Vie la Foire Exposition de Niort 79 Venez la d couverte des initia tives durables de votre territoire de vie Agrobio 05 49 29 17 17 16 mai 2010 La f te du pain Grand Village plage sur le site de la salle polyvalente o de la maison paysanne selon le temps Possibilit d avoir un stand pour vente de produits Pour plus de renseignements contacter MR POITOU au 06 83 05 02 07 avant le 16 04 2010 gt 31 mai et ler juin 2010 Les Rencontres de Natexpo au palais du commerce Lyon Les professionnels des produits bio et naturels se retrouvent 5 et 6 juin 2010 Formations Cycle d initiation l hom opathie animale 22 03 11 05 29 09 et 2 11 la premi re Journ e se fera Coulon pour les autres jours les lieux restent d finir Bios vres 05 49 63 23 92 gt Comment concilier efficacit et r duction des intrants phytosanitaires en toute s curit 29 mars et 2 avril Lieu IFV 16130 Segonzac Chambre d Agri Cognac 05 45 36 34 00 Produire des petits fruits en AB 2 avril et 26 avril 2010 Dur e 1 5 jours Lieu Saint Pardoux 79 et Haimps 17 GAB 17 05 46 32 09 68 Gestion du parasitisme en levage bovin 13 avril 2010 Lieux d finir In
53. rv e par Metzke et al 2007 dans un syst me en grandes cultures AB dans les pre mi res ann es d adoption de ces tech niques L volution des populations lombri ciennes ann e apr s ann e semble tre plus corr l e la rotation et au couvert v g tal qu la pratique de travail du sol Ainsi sur le site de Rh ne Alpes Figure 5 apr s une p riode sans travail du sol due trois ann es de luzerne les techniques avec labour et le travail superficiel provoquent une forte chute de bio masse lombricienne Seule l absence de travail du sol en 2005 permet d augmenter la biomasse lombricien ne la premi re ann e d adoption de cette pratique Ce r sultat est proba blement d au semis direct sous cou vert v g tal vivant qui g n re d im portantes ressources trophiques pour les vers de terre Apr s destruction de ce couvert le travail tr s superficiel a engendr galement une chute de la biomasse lombricienne Figure 5 Inversement les travaux tr s superfi ciels et superficiels tendent aug menter la biomasse lombricienne par rapport l tat initial de la population lombricienne avant traitement sur le site Pays de la Loire qui tait syst matiquement labour avant le d but de l essai et sans couvert v g tal Riley et al 2008 obtiennent des r sultats similaires mettant en vi dence l importance d une rotation comportant une culture pluriannuelle de type l g
54. s engrais verts en interculture et la suppression du d compactage profond sur cet itin raire Par contre sur le site de Provence apr s trois ann es d exp rimentation l horizon cultiv des planches permanentes pr sente plus de tassement Figure 2 La culture en buttes sur cet itin raire associ e l irrigation au goutte scoutte a pro voqu une prise en masse sur les 30 premiers centim tres du sol limo neux gt gt BLabour agronomique O Travail tr s superficiel Figure 1 Evolution du pourcentage de zones non compact es dans les sols 0 30 cm pour quatre techniques de travail du sol en grandes cultures site Rh ne Alpes Mottes T gamma poreuses ligne pointill e tat initial du sol avant essai a b diff rences significative p lt 0 05 Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr Grandes Cultures gt gt mottes T 2004 2006 2007 Rh ne Alpes Provence E itin raire classique avec labour D Hin raire Planche Permanente Figure 2 Evolution du pourcentage de zones non compact es dans les sols 0 35 cm de deux itin raires techniques de travail du sol labour planches permanentes en mara chage site de Rh ne Alpes et de Provence Motte T gamma poreuse La culture en buttes sur cet itin raire associ e l irrigation au goutte goutte a provoqu une p
55. sier d homologation de SUCCESS 4 abouti dans quelques ann es ce produit permettra un meilleur contr le des doryphores Pour limiter le risque d tre confront au probl me de lutte efficace contre des parasites d j fortement install s sur la culture il est important de met tre tout en uvre pour limiter les pre mi res pontes Ces moyens li s la biologie du doryphore sont d crits dans la premi re partie de cet article loignement des parcelles limina tion des premiers adultes viter leur conservation au sol Jean Michel LHOTE Technicien ACPEL ACPEL Association Charentes Poitou d Exp rimentation L gumi re Cette structure technique bas e Saintes met en place r alise le suivi d essais dans des parcelles de pro duction en conventionnel et en AB sur l ensemble de la r gion L auxiliaire bio N 8 Mars 10 Page 16 A noter Les comptes rendus d taill s de ces exp rimentations seront bien t t disponibles aupr s de l ACPEL et de vos conseillers Le travail sur la probl matique apr s rot none sera poursuivi cette ann e avec un approfondissement de cet essai doryphore en particulier sur l aspect cultures r pulsives qui n a pas pu tre valu en 2009 Ce travail sera tendu une autre probl matique la ma trise de la teigne en culture de poireau 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio
56. t leur adap tabilit en grandes cultures et mara chage biologiques En agriculture conventionnelle les TSL ont t largement tudi es ces derni res ann es Toutefois il existe encore des interrogations sur leurs effets sur la fertilit du sol et sur les performances des cultures Les TSL laissent la surface du sol les r sidus de cultures et limitent ainsi les ph no m nes d rosion de battance et d vaporation Plusieurs tudes ont mon tr que le non labour favorisait l aug mentation du stock de carbone C dans les premiers horizons du sol et l accroissement de la quantit de l activit et de la diversit des micro organismes Ibekwe et al 2002 Toutefois Wu 1990 s interroge sur l utilit de cette concentration accrue de la mati re organique MO dans les 5 premiers centim tres du sol pour le fonctionnement biologique global du sol En effet le non labour tend diminuer la porosit totale dans la couche non travaill e particuli re ment dans les sols faible activit structurale sols sableux limoneux Rasmussen 1999 Une des ques tions pos es est de savoir si ces tasse ments en profondeur engendrent une d croissance de l activit des micro organismes du sol renforc e par la r duction des incorporations de MO dans ces horizons Bohlen et al 1995 montrent que l arr t du labour s accompagne d une augmentation des densit s lombriciennes ce qui favoris
57. tervenant Hubert Hiron MAB16 05 45 63 00 59 gt Conduite d un levage en porcs biologiques s20 04 L alimentation besoins compo ser sa ration aller vers l autonomie sle 26 04 la maitrise sanitaire Lieu Pompaire 79 Bios vres 05 49 63 23 92 gt Production de prot ines pour assu rer l autonomie s21 04 les prot ines v g tales et la ration alimentaire quelles prot ines pour quels besoins comment quilibrer sa ration sMai les itin raires culturaux de nouvel les esp ces Lieu Pompaire 79 Bios vres 05 49 63 23 92 Cycle de perfectionnement l ho m opathie 26 03 10 05 28 09 lieu d finir Bios vres 05 49 63 23 92 gt Calculer le prix de revient de son panier bio Avril 2010 Dur e 1 journ e Public producteurs en AMAP Lieu Parthenay 79 Bios vres 05 49 63 23 92 gt Valoriser son lait de vache en cir cuits courts Avril 2010 Dur e 3 jours Visite d un distributeur automatique Lieu Parthenay 79 Bios vres 05 49 63 23 92 Appr hender les crit res cono miques et financiers d un projet de transfo viable 15 avril et 3 mai 2010 Lieu Melle 79 GAB 17 05 46 32 09 68 Biofouquebrune March de produc E teurs animations conf rences Fouquebrune 16 MAB 16 05 45 63 00 59 ler au 15 juin 2010 Dans toute la France l ensemble des acteurs de l agriculture biologique se mobi liseront pou
58. travail du sol tr s superficiel On peut toutefois s interroger sur l utilit de cette pra tique car le travail superficiel 15 cm sans retournement du sol pr sente les m mes avantages agronomiques activit microbienne et environne mentaux protection contre l rosion sans g n rer les probl mes d enher bement les premi res ann es Au d but de l essai un semis direct a t pratiqu et a d tre abandonn suite des probl mes d enherbement Toutefois le semis direct sous cou vert vivant pr sente des avantages suppl mentaires tels que la couvertu re du sol ou une population lombri cienne importante La question reste donc pos e de savoir si le semis direct est r alisable en AB malgr les pre miers checs cette technique sera tes t e nouveau dans les ann es venir Que ce soit en grandes cultures ou en mara chage l effet des TSL sur la fer lit du sol en AB soul ve encore des interrogations Par exemple les TSL engendrent des d gradations de ferti lit physique notamment dans les sols faible activit structurale malgr Agrobio Poitou Charentes l am lioration de la biologie du sol ou du stock de C Ces impacts sur le sol et les interactions entre ses diff rents compartiments doivent donc tre sui vis sur le long terme afin d valuer les possibilit s ventuelles de r g n ration de la structure du sol en travail tr s superficiel par l aug
59. tte r action de fermentation des sucres entra ne la formation d acides gras volatiles AGV qui diffusent tr s vite et sont responsables de l acidifica ton de la panse L amidon est d grad de la m me fa on mais par une flore diff rente flore amylolytique Les mol cules d amidon sont beaucoup plus faciles d couper que les mol cules de cellulose La flore amyloly tique lib re donc de grandes quantit s d acide rapidement Et l acidifi cation perturbe les flores cellulo lytiques et amylolytiques qui fonc tonnent pour un pH compris entre 6 et 6 8 Une mauvaise compl menta tion avec des foins pr coces et ou des concentr s provoque une acidose qui emp chera le bon fonctionnement de l usine bact rienne 3 m canismes permettent de tampon ner cette acidification l La salive 200 litres synth tis s chez les bovins en 24 h soit 2 kg de bicarbonate qui tamponne pendant 20 min apr s la fin de l ingestion 2 Le tapis fibreux qui s pare la phase gazeuse de la phase liquide de la panse voir sch ma Il ralentit la chute des l ments et donc la lib ra tion des AGV 3 Les papilles plus les papilles sont d velopp es et plus elles pourront absorber des AGV rapidement et dimi nuer l acidose Leur d veloppement est conditionn par l ingestion de foin voir plus loin le sevrage des veaux Ces 3 m canismes conditionnent 3 principes l Les aliments salivog nes foin fib reux ou paille doive
60. u cher sur la paille disponible aux veaux En ce qui concerne l alimen tation le conseil de Francis Rousseau est du lait beaucoup de lait et du bon lait Il ne faut pas h siter faire t ter volont un lait quilibr et de bonne valeur nutritive d o l importance de rations suffisantes et quilibr es pour les vaches nourrices la qualit du lait qu elles produisent est le reflet de la qualit de leur alimentation Autre point jouant sur la couleur viter que les veaux ne fassent beaucoup d exer cice physique au moment de la t t e et entre les t t es gt gt www agrobio fr Elevage gt gt Le bon mode d emploi pour r ussir la t t e peut tre ainsi r sum faire t ter toujours aux m mes heures accompagner les veaux la t t e en les emp chant de courir les surveiller constamment tout au long de la t t e faire t ter les veaux volont et pra tquer le multi allaitement avec des tantes et enfin viter tout change ment brutal dans les habitudes ou toute source d agacement ou de stress Des veaux bien conform s Un bon veau de lait sous la m re est aussi un veau conformation bouch re suffisante Cette composante de la qualit vient en 2 me position dans la d termination du prix de vente d un veau sous la m re Ce sont les veaux class s U bonne conformation qui sont les plus demand s par les op ra teurs de la fili re abatteurs d cou peurs distr
61. u 04 88 63 84 72 Lignes group es y vendre trieur c r ales CLERC 150 combin bois Lurem 210 1100 box m talliques pliants 80 l unit le tout en parfait tat Contact Cazulet Lucien St Bonnet sur Gironde 05 46 86 02 80 06 65 27 70 10 L auxilaire bio n 8 Le bimestriel technique du r seau bio du Poitou Charentes R daction rubriques Catherine Petit Agerobio PC Samuel Couturier Agrobio PC Christophe Lef bre GAB Morbihan Mathias Sportis CAB Jean Michel Lhote ACPEL Jean Pierre Gouraud Agrobio PC R daction dossier Astrid Joubert Agrobio PC Stephanie Gazeau MAB 16 Conception Charl ne Baraton Jean Pierre Gouraud Agrobio Poitou Charentes 12 bis rue St Pierre 79500 Melle T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 www agrobio fr
62. uand on rapporte le stock total de C sur les 30 premiers cm aucune diff rence entre les traite ments n est observ e Figure 3 L augmentation de stock de C li e l utilisation des TSL n est pas mise en vidence dans nos essais contraire ment aux r sultats g n ralement trou v s dans la litt rature Franzluebbers et al 1995 Toutefois nos observa tions sont retrouv es par Baker et al 2007 sur plusieurs ann es Le stock de MO augmente dans les horizons travaill s et diminue dans les hori zons non fragment s par les outils 5 15 Profondeurs de sol en cm c Etat initial Labour traditionnel OTravail superficiel B Labour agronomique Travail tr s superficiel Figure 3 Stocks de C en tha calcul s apr s une ann e de pratique de quatre techniques de travail du sol en grandes cultures site Rh ne Alpes a b indique une diff rence significative avec p lt 0 05 Effets sur la biologie du sol Micro organismes du sol En grandes cultures sur les sites de Rh ne Alpes et de Bretagne la biomasse microbi enne a t mesur e par la m thode de fumigation extraction sur les deux types de mottes prises dans chaque horizon de travail 0 5 5 15 15 30 cm Apr s une ann e de pratiques diff renci es de travail du sol la bio masse microbienne se r partit diff Horizon anciennement labqur Passage de roues remment suivant les techniques de travail du sol Figur
63. umineuse sur l augmenta tion de population lombricienne En compl ment des pr l vements de vers de terre leur activit fouisseuse a t mesur e en comptant les orifices de galeries dans le profil de sol sur tous les sites exp rimentaux Quels que soient le site et les techniques de travail de sol il n y a pas de diff ren ce significative entre les traitements La macroporosit du sol due l acti vit biologique n est donc pas aug ment e et ne permet pas d att nuer la prise en masse observ e Les impacts des techniques sans labour sur les adventices et les cultures AB Dans les syst mes de grandes cultu res le travail tr s superficiel pr sente un fort enherbement Sur le site Rh ne Alpes une infestation d ad ventices est mesur e la premi re ann e de semis direct jusqu 5 t ha Figure 6 ce qui induit une baisse de rendement cons quente sur le ma s de l ordre de 75 et le soja suivant de l ordre de 50 Figure 7 Cette infestation est essentiellement due au semis direct sous couvert v g tal vivant en 2005 le couvert de luzerne tant initialement fortement infest par les adventices Par la suite le tra vail tr s superficiel a permis de d s herber m caniquement le sol binage et hersage Au bout de trois ans l en herbement est contr l pour toutes les modalit s Figure 6 Les r sultats observ s sur ce site se retrouvent en partie sur les sites

L`auxiliaire bio n°8 mars 2010 - Agrobio Poitou

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