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1. devraient faire l objet d un r f rentiel de certification en 2013 tion de base Compte tenu de la complexit des ph nom nes de condensation de leur interd pendance avec les valeurs de per m ance de la paroi plafond et de l hygrom trie du local couvert le principe retenir est la n ces sit de permettre Pair de circu ler si possible de fa on uniforme sous les l ments de couverture Lorsqu il existe un cran de sous toiture la circulation de Pair se fera galement sous celui ci sauf s il est hautement perm able la vapeur d eau Selon les mat riaux de couverture certaines dis positions particuli res doivent en outre tre respect es Elles s ap BIENT T UN R F RENTIEL DE CERTIFICATION POUR LES CLOSOIRS VENTIL S Les closoirs ventil s sont utilis s pour la r alisation des fa tages et des ar tiers sur les de couverture et participer l tanch it l eau de l ouvrage Ils jouent donc un leurs performances Pour r pondre ce manque la fili re industrielle travaille avec couvertures en petits r le important dansle le CSTB sur un r f rentiel l ments Ils sont couvert or ilmexiste de certification dont destin s assurerune cejouraucunenorme la publication est pr vue ventilation correcte dela produit ou r f rentiel au second semestre sous face des l ments permettant d valuer 2013 pliquent aux couvertures des b ti ments f
2. Petit petit la demande de mat riaux durables se transforme en exigence de produits anti effraction qui prennent l avantage sur les consid rations de prix Dans notre volume d achats ces produits repr sentent aujourd hui une part de 20 25 En maison individuelle ce sont des vitrages des volets en bois ou en m tal dans le tertiaire bureaux et tablissements bancaires ce seront des cloisons renforc es par une grille m tallique entre autres choses Notre devoir de conseil nous conduit fr quemment mettre notre connaissance des produits et notre exp rience au feuillet s des serrures trois points des clients pour des mat riaux anti effraction service des clients Surtout aupr s des particuliers qui ont besoin d tre rassur s et inform s par exemple sur les assurances Mais nous ne nous aventurons pas dans des domaines qui restent une affaire de sp cialistes comme les syst mes d alarme l opportunit que je vois dans cette volution n est pas la sp cialisation mais plut t un mouvement de fond tr s prometteur pour nous vers une qualit plus grande FR D RIC BRION DIRIGEANT DE BRION ENTREPRISE SAINT MICHEL SUR ORGE ESSONNE puis chez les professionnels et enregistr une belle croissance J ai cr cette entreprise en 1995 avec un unique collaborateur Mon credo de d part qualit engagement confiance n a pas chang d un iota En dix sept a
3. l architecte avant m me de commencer la conception d un ENTREPRISE SCHAFFNER CE GUIDE propose de nombreux conseils pour mettre en c D gt son non respect peut poser pro bl me y compris dans un b ti ment d habitation en cas de revente d un bien par exemple souligne Jean Marc Schaffner Il faut ainsi rappeler que la hauteur de marche doit d sormais tre de 16 cm contre 17 cm auparavant De m me il convient d quiper les escaliers marches ouvertes de contre marches contrast es visuellement en bas et en haut de l ouvrage Enfin la derni re par tie du guide couvre le dimen sionnement des escaliers y com pris les charges d exploitation prendre en compte ou encore les formules de dimensionnement des limons et des marches Autre nouveaut le guide propose trois Te modes de balancement escaliers uvre les escaliers m talliques escalier quelles charges seront re ues quelles finitions pour le sol quelle destination pour le b timent Ce sont des ques tions basiques mais essentielles estime t il On constate aussi que la plupart des erreurs commises notamment chez les m talliers qui ne fabriquent pas des esca liers tous les jours le sont lors des relev s sur le chantier erreur sur les angles de tr mie par exemple le guide voque donc les diff rentes techniques de relev s d un escalier Une autre erreur cou rante consiste se tromper sur l pais
4. parution DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Didier Ridoret DIRECTEUR DE LA R DACTION Philippe Tempere COMIT DE R DACTION Membres de la F d ration fran aise du B timent de ses f d rations d partementales et r gionales de ses unions et syndicats de m tiers JOURNALISTES Jean Marc Brujaille Delphine Goater Hubert Kern is St phanie Lacaze St phane Miget Fran ois Salanne C line Von der Weid CONCEPTION ET R ALISATION ID DITION Andr Haillotte Pierre Salanne Nelly Hurl Caroline Palma Katia Boudet C line Binet FABRICATION Sphinx Sib TIRAGE DE CE NUM RO 64000 exemplaires PHOTO DE COUVERTURE Aperam PRIX DU NUM RO 26 TTC ABONNEMENT ANNUEL 85 TTC 4 num ros SERVICE ABONNEMENT SEBTP T l IT FFB T l 01 40 69 5768 ANNONCEURS Atlantic p 37 CGI B timent p 29 Fischer 4 de couv OPPBTP p 5 et 16 Point P p 21 Ea y Pro BTP p 22 Prolians p 53 Rector 3 de couv Sch co 2 de couv Sitex p 46 SMA BTP p 30 SMA BTP Vie p 18 Solf a Banque p 29 M PEFC VOUS COnSITUisez ITU OS COTES Besoin d information sur les DTU Consultez la plaquette DTU vue d ensemble VOUS KININ NOUS SOMMES vOs cotes Besoin d information sur la performance nergetique des b timents Consultez le dossier sur les solutions RT 2012 en r sidentiel
5. NUM RO MARS 2013 GRAND T MOIN Pierre Mit Penser d abord l usage du b timent GROS UVRE S TRUCTURE Assainissement non collectif vers une r novation progressive du parc QGUIPEMENTS TECHNIQUES ECS solaire collective le march repart F j es ENVELOPPE Centre Thalazur de Cabourg 12600 m de carrelage UET ETE E dl pt DOSSIER S ret anti intrusion l opportunit d un march en plein essor VOUS COnSITUisez NOUS SOMMES OS COTES Besoind information sur laccessibilite Consultez les fiches accessibilite par ouvrage SOMMAIRE DITO B TIM TIERS REVUE TRIMESTRIELLE NUM RO 30 MARS 2013 L ACTUALIT 2 L information du trimestre sur les m tiers du b timent GRAND T MOIN 10 Pierre Mit Penser d abord l usage du b timent DOSSIER 47 L OPPORTUNIT D UN MARCHE EN PLEIN ESSOR INNOVATION 54 Bloc constructif bois tout en une B ton banch un syst me int grant l isolation PR VENTION S5 Poussi res de bois la profession se mobilise CHANTIER 57 Convention FFB ERDF r soudre les difficult s de raccordement sur chantier ACCESSIBILIT SS Un patrimoine adapt qui conserve son me NORMALISATION sg Le BNTEC un acteur cl de la normalisation dans le b timent QUALIFICATION 60 Les organismes qualificateurs peaufinent leurs offres ENVIRONNEMENT _ 56 Recycler les plaques de pl tre
6. REMISE DES PRIX DE zh NORMALISATION BNTEC 2012 US em CN e ES DS H M ane Diibets Jr l ordre de 25 des participants fabricants plus de 45 centres techniques ma tres d uvre contr leurs techniques et se r unissent en moyenne quatre fois par an Les nouvelles normes ou normes r vis es sont tablies par consensus c est dire en l absence d opposition ferme d une cat gorie de participants Pour viter le risque que le texte adopt soit d s quilibr en faveur de celui qui y a le plus contribu il est essentiel que les entrepreneurs du b timent tiennent toute leur place dans ces commissions pour d fendre leur m tier et promouvoir leurs int r ts Autres avantages parti ciper ces travaux apporte une information en amont sur la normalisation et permet d en trer en contact avec les acteurs majeurs nationaux et interna tionaux de son march Cette participation peut intervenir diff rentes tapes de l labora tion de la norme inscription du sujet au programme laboration du projet travail en commis sion ou en comit international enqu te publique finalisation du document ou encore examen quinquennal de la norme en vue de son am lioration Les normes techniques re couvrent un enjeu fondamental pour le b timent ce sont des textes d application volontaire sauf dans les cas o la r glemen tation les rend obligatoire ils deviennent alors une nor
7. fait embo tement au moment de l assemblage La m thode trait de charpente constitue l me de notre m tier mais malheureuse ment elle n est plus enseign e que dans les confr ries de compagnons regrette Patrick Jouenne directeur associ avec Jean Claude Bau din de Charpente Cenomane une entreprise qui emploie pr s de 50 salari s Requeil Sarthe et lui m me ancien compa gnon du Tour de France Deux quipes de charpen tiers l utilisent encore dans notre entreprise celles qui sont d di es aux chantiers sur les monuments historiques Selon le chef d entreprise cette m thode qui multiplie les heures de travail se cantonne une niche de mar ch en raison de son co t lev en main d uvre mais elle reste utili s e par un grand nombre de petites structures qui en tirent leur valeur ajout e notamment dans la r ha bilitation d difices anciens Elle est aussi un facteur d panouisse ment personnel pour ceux qui lap prennent et la mettent en pratique qui va au del de l apprentissage d un m tier en transmettant des valeurs de concentration d humi lit devant la t che de pers v rance et d amour du travail bien fait elle constitue une forme d thique de vie qui aide l individu forger sa personnalit et faire face toutes les situations de la vie LA CONCURRENCE DES LOGICIELS DE DESSIN Le recul de la m thode trait de charpente a co ncid avec lessor des
8. mis en exergue le risque li aux attes tations et aux calculs de porter plus d attention la lettre plut t qu Pesprit de la RT le besoin de formation exprim par de nombreux architectes l apport positif des changes entre ma trise d uvre et entreprises enfin les nettes diff rences d ap proche des entreprises et Pavan tage que repr sente pour cer taines d entre elles l exp rience du BBC Ensuite deux types d outils ont t pr sent s des fiches de solutions de concep tion par typologie de b timent STUDIO COPERNIC de conception et de mise en uvre Pour cela il d veloppe des outils et m thodes d am lioration de la productivit qui int grent les contraintes du chantier il d finit des contenus pertinents pour la formation des formateurs et des entre prises sur le syst me enveloppe Enfin il informe les profes sionnels des diff rents m tiers et plus largement les acteurs de la construction en utilisant des supports vari s E Contact cnees fr et des vid os destin es la for mation pour un traitement efficace de l tanch it Pair de l enveloppe La seconde table ronde consa cr e lavenir de la RT a recens les questions qui se posent aux constructeurs de maisons indi viduelles et aux entreprises plus g n ralistes et a permis de faire le point sur les volutions venir de la r glementation et des labels Elle a galement don
9. Brevet e d velopp e en partenariat avec Lafarge B ton et baptis e Proc d GBES la tech nique pour laquelle un Avis tech nique est en cours de r daction optimise la rapidit de la mise en B TIM TIERS M MARS 2013 place de l isolant l aide de dagues et de connecteurs L avantage d un tel syst me principalement par rapport un pr mur isol r side dans la grande libert laiss e au concepteur Lequel peut envisager des murs courbes ou un aspect de surface matric e B TON AUTOPLACANT La mise en uvre si elle ne change pas fondamentalement les habitudes des ma ons demande n anmoins une plus grande tech nicit pour la mise en place de l isolant dans les banches et pour le coulage du b ton Les pan neaux isolants sont install s dans les banches avec les dagues et les connecteurs assembl s contre armature structurelle int rieure nationale des conomistes de la construction Untec qui d montre l int r t conomique du proc d en particulier pour les organismes HLM Un Avis technique est en cours le pro c d a d j fait l objet de plusieurs tudes du CSTB ainsi que d une enqu te de technique nouvelle ETN vis e par Qualiconsult m 1 ETN n 30 712 004 029 Qualiconsult Rapport d essais physiques n EEM 08260 13005 du CSTB Rapport d essais acous tiques n AC 08260 13005 du CSTB PV de classement d essais en r sistance au feu n RS 08 12
10. POUR EN SAVOIR PLUS e UECF FFB Union des entreprises de g nie climatique et nerg tique de France www uecf fr e UNCP FFB Union nationale des chambres syndicales de couverture et de plomberie de France www uncp ffbatiment fr QGUIPEMENTS TECHNIGLIES Pour accompagner le d veloppement du march solaire collectif la fili re s organise Une plate forme collaborative interprofessionnelle port e par Enerplan avec le soutien de l Ademe a t cr e il y a trois ans SoCol r unit d j plus de 150 professionnels de tous bords installateurs bureaux d tudes ma tres d ouvrage industriels Circuit primaire Circuit secondaire panneau solaire ES JL g TE s Circuit primaire panneau solaire SOCOL UN R SEAU COLLABORATIF D EXPERTISE et diffuse les bonnes pratiques observer pour des installations solaires collectives performantes et durables Des solutions accessibles tous pour mener bien un projet solaire en phase de conception d installation et d exploitation sont disponibles sur le site www solaire collectif fr 1 Syndicat des professionnels de l nergie solaire SCH MA DE PRINCIPE STOCKAGE ET APPOINT CENTRALIS S 0 Ballon Ballon ETC OEO PRODUCTION SOLAIRE COLLECTIVE ET APPOINTS INDIVIDUELS Vannes d quilibrage MARS 2013 M B TIM TIERS 33 Des fiches techniques pour les ENR L UECF FEB met disposition sur son site i
11. centralis de contr le des issues de secours norme NF S61 934 annexe A Dans tous les cas l ensemble des issues de secours doivent tre d verrouill es d s le d clenchement d un processus d alarme g n rale Un mouvement de fond vers une qualit plus grande Dans son activit de r novation tous corps d tat d isolation et d agencement int rieur cette entreprise voit cro tre l exigence BTP BANQUE m GROUPE CREDIT COOPERATIF touchant par exemple le p rim tre de leurs prestations leurs obligations la qualit et la p rennit des produits qu ils mettent en uvre les garanties qui les engagent restent encore sans r ponse la diff rence d autres activit s et tout particuli rement celle de la s curit protection incendie la s ret n est en effet que tr s peu encadr e sur le plan r glementaire et normatif Aucune loi mim pose par exemple l installation d un syst me anti intrusion pour les r sidences particu li res ou les immeubles de bureaux Les pro fessionnels ne disposent que de peu de r f rentiels Celui de l Apsad Assembl e pl ni re des soci t s d assurance contre l incendie et risques divers se compose des normes et Le neuf un march probl matique pour les petites structures Positionn e l origine sur la s curit incendie l entreprise de Philippe Mabileau a d velopp une activit s ret chez les particuliers
12. d aspect ardoise la surface bos sel e de 10 x 30 cm mais sur tout des carreaux de 20 x 120 cm fait la part belle aux carreaux de grands formats tr s tendance ARIANE MOSA QUES de gr s c rame de 2 5 x 2 5 cm se retrouvent dans le grand bassin int rieur comme les cunettes r alis es sur place 3 LE BASSIN EXT RIEUR r alis en mosa que de 2 5 x2 5 cm et les plages en carreaux de 30 x 90 cm 5 AU MUR des carreaux 30 x 120 cm pos s en opus romain et articul autour d un carreau de 60 x 60 cm avec incrustation de pate de verre Au sol un amalgame de carreaux 30 x90 cm au centre et carreaux 5x5 cm sur les c t s et m me plus Aux murs dans le hall d entr e nous avons rem plac une pr conisation du ma tre d ouvrage en 60 x 120 cm par une combinaison de deux car reaux de format 30 x 120 cm afin d arriver aux m mes valeurs au niveau du calepinage raconte Guy Tolmont responsable du bureau d tudes techniques chez SRS Dans certaines zones elle a t coll e perpendiculairement avec un remplissage en 60 x 60 Cette pose en opus romain a t compl tement calepin e au pr alable afin d tre approuv e par le client en premier lieu et de faciliter la mise en uvre sur le chantier ensuite pour cr er un damier Aux sols les grands for mats ont aussi t l honneur 30 x 60 30 x 90 60 x 60 20 x 120 ou encore 60 x 120 cm TANCH I
13. dallages autre probl matique laquelle le NF DTU 13 3 n apporte pas de r ponse comment concevoir un dallage sur un sol am lior par des inclusions rigides tant donn que l on construit sur des sols de moins en moins bonne qualit il est davantage courant de proc der une am lioration du sol soit par des traitements en masse com pactage homog ne du sol soit par inclusions rigides ou souples ajout dans le sol d un l ment r guli rement espac par exemple des colonnes ballast es Pour ce qui est des traitements en masse les m thodes de dimensionne ment d crites par le NF DTU 13 3 YVES CHARDRON CYBAIR VISION AVEC LA PERMISSION DE MENARD restent applicables puisque les couches de sol demeurent homo g nes Mais quand on proc de un renforcement de sol par inclusions celles ci cr ent des effets de points durs en sous face du dallage qui doivent tre pris en compte dans la conception de l ouvrage Il est d sormais possible d int grer ces l ments gr ce aux recommanda tions issues du projet Asiri qui sont prendre en compte pour toutes les consultations mar ch s publics et priv s depuis le 1 octobre 2012 Dans le cadre de ce programme une m thode simple a t labor e afin que les entreprises d am lioration des sols puissent transmettre aux entrepreneurs de dallages des modules moyens correspondant aux inclusions r alis es dans le sol Les
14. e en septembre dernier par Mich le Bellon pr sidente du directoire d ERDE et Didier Ridoret pr sident de la FFB Cette convention qui ma aucune vocation commerciale s attache r soudre les difficult s de raccor dement Son champ couvre gale ment la mise en place de nouvelles r glementations et am lioration de la pr vention et de la s curit face au risque lectrique Sont aussi pris en compte les enjeux environnementaux et l mergence annonc e des smart grids r seaux de distribution d lec tricit intelligents qui influent sur les m tiers respectifs d ERDF et de la FFB Un cadre g n ral de coop ra tion a donc t mis en place avec dans chaque domaine abord des engagements pr cis PR VENTION ET INFORMATION Premier d entre eux acc l rer les raccordements provi soires des chantiers Impossible en effet de d marrer un chan tier sans lectricit Second enga gement accompagner la mise en place de la nouvelle r glementa tion sur les d clarations de tra vaux ERDF et la FFB s engagent ainsi informer les parties pre nantes ma tres d ouvrage entre prises sur les volutions r gle mentaires et leurs impacts r aliser des outils de communi cation sur ce sujet et laborer un syst me de capitalisation et de partage des informations Le troi si me point concerne les actions 4 LE H IHE dans le domaine de la pr vention pr vention des
15. lement aux sys t mes traditionnels de mettre en uvre des syst mes inno vants fili res compactes micro stations culture libre ou fix e qui font l objet d arr t s publi s au Journal Officiel dont la liste figure sur le site Internet d di du minist re de l cologie sur Pas sainissement non collectif Pour Yannick M nard un tel choix doit tre fait avec prudence et discer nement d autant que l infor mation des particuliers sur ce march n est pas toujours objec tive Il est important d analy ser chaque cas avant de trancher en faveur d un syst me tradition nel d une fili re compacte ou d une micro station explique t il Il faut prendre en compte non seulement le co t initial de Pins tallation en mat riel et en main d uvre mais aussi son co t dans la dur e en termes de consom mation d nergie de pi ces changer de maintenance Il faut aussi s informer sur la fiabilit des proc d s et sur leur assurabilit en questionnant son assureur En ce qui concerne le volet finan cement des travaux des disposi tifs d aides publiques multiples existent notamment octroy es par les agences de l eau les conseils g n raux les conseils r gionaux et l Agence nationale pour l habitat ANAH Les travaux de r nova tion des installations d assainisse ment non collectif sont galement ligibles l co pr t taux z ro pr s de 4000 pr
16. me divis en trois parties consacr es respectivement aux r seaux d ali mentation d eau froide et chaude sanitaire aux r seaux d vacua tion et aux appareils sanitaires et de production d eau chaude sanitaire Le nouveau NF DTU comprend aussi un cahier de crit res g n raux de choix de mat riaux CGM et un cahier des clauses administratives sp ciales types CCS Il sap plique d sormais tous les b ti ments neufs et existants LES PRINCIPALES VOLUTIONS Le nouveau NF DTU 60 1 int gre plusieurs grandes volutions en traitant pour les r seaux d ali mentation la question de la com patibilit des m taux entre eux et celle de la protection des r seaux d alimentation en eau par la mise en uvre d quipements antipol lution Autres volutions impor tantes le NF DTU d crit d sor mais les mesures prendre pour garantir le maintien en temp rature des boucles d alimenta tion en eau et encadre la mise en uvre des quipements raccor d s comme les pompes de cir culation ou les purgeurs d air Ce nouveau texte normatif est aussi le r sultat d une mise en confor mit avec d autres NF DTU connexes aux travaux de plom berie Ainsi la premi re partie du CCT consacr e aux r seaux d alimentation d eau froide et chaude sanitaire int gre les dis positions de mise en uvre du NF DTU 65 10 Canalisations d eau chaude ou froide sous pres sion pour ce qui conce
17. me projet pour la ma trise d uvre ou pour l entreprise alors que notre mission est de v rifier que l une et l autre respectent bien le budget pr visionnel L Untec collabore avec plusieurs unions de m tiers de la FFB Quel est pour vous le sens de cette collaboration Un mode constructif ne peut fonctionner que si tous ceux qui y participent de la conception la mise en uvre se comprennent bien en parlant le m me langage C est dans cet esprit que nous avons r alis avec l UMPI FFB et PUPPF FFB deux guides pra tiques pour l tablissement des descriptifs et des quantitatifs Pun pour les m tiers du pl tre et de l isolation l autre pour ceux de la peinture Nous avons dit aussi avec le SNED FFB Syndicat national des entreprises de d mo lition un guide de recomman dations pour l tablissement des dossiers de consultation des entreprises L objectif d une telle d marche que nous souhaitons tendre d autres m tiers comme le gros uvre n est pas de r crire les NF DTU mais de faciliter la compr hension entre ceux qui prescrivent et ceux qui r alisent en posant les bonnes d finitions en explicitant les m thodes envi sag es le cadre contractuel et normatif L ambition est ainsi de faire en sorte que l entreprise apporte des r ponses opportunes des ques tions clairement pos es par le ma tre d uvre Cette connais sance partag e va n cessairemen
18. mesures repr sentatives et d abou tir un diagnostic fiable Apr s avoir d fini des groupes d expo sition homog ne GEH au sein de l tablissement l organisme de contr le r alise trois campagnes de trois mesures d exposition par GEH Si les trois mesures de la premi re campagne sont toutes inf rieures 10 de la VLEP soit 0 1 mg m pour une exposi tion de 8 heures l tablissement est jug conforme et sera de nou veau contr l l ann e suivante Si l une des mesures est sup rieure ce taux la campagne est inter rompue afin que l tablissement mette en place des quipements de protection collectifs capotage de machine syst mes d aspiration ou individuels masques puis il subit une nouvelle valuation Derni re possibilit si l issue de la premi re campagne les r sul tats sont tous compris entre 10 et 100 de la VLEP deux campagnes de trois mesures suppl mentaires sont r alis es et les r sultats sont interpr t s statistiquement avec un logiciel d di En cas de d passe ment l tablissement doit mettre en place des mesures correctives dans le cas contraire il est class conforme La circulaire du 13 avril 2010 est venue renforcer ces exigences en LAMBERT MENUISERIE stipulant que le respect des VLEP doit tre consid r comme un objectif minimal de pr vention de la sant des travailleurs et que les employeurs ont pour obliga tion de r duir
19. s une mise en confor mit du b timent avec la nou velle r glementation accessibilit Rendre le b timent conforme la r glementation sans d naturer son caract re de monument his torique tait une probl matique majeure explique Alain Iviglia dirigeant de TMH Son entre prise de restauration des monu ments historiques qui emploie une soixantaine de personnes Floirac Gironde a r alis le lot ma onnerie et taille de pierre du projet Pour parvenir au superbe r sul tat final l entreprise et le ma tre d uvre ont d imaginer un ensemble de solutions qui satis fassent les exigences du conserva teur des monuments historiques Ainsi le cheminement qui permet B TIM TIERS M MARS 2013 A IVIGLIA d acc der aux premi res marches de l difice situ sur un monti cule a t adapt aux malvoyants en jouant sur le contraste entre des pav s de couleur cr me pour l all e centrale et des pav s plus fonc s pour les bas c t s L esca lier a subi des modifications qui ne remettent pas en cause son harmonie d origine la premi re et la derni re contre marche ont t trait es avec une coloration de pierre plus fonc e Une rampe en ferronnerie un mat riau poque a t ajout e d un c t comme de l autre et un espace horizontal a t cr au pied de l escalier qui permet aux mal voyants de s arr ter pour valuer l obstacle et empoigner la ra
20. GIE COMMERCIALE que calcul de plans d un descrip tif des dispositions particuli res dans le cas d un b timent class Les photos et les plans de recol lement sont des auxiliaires tr s pr cieux car d apr s ce que je vois je me fais tout de suite mon id e Entre membres de la com mission O sont repr sent s tous les acteurs de la construc tion ma tres d ouvrage archi tectes entre prises nous n avons pas tou jours la m me fa on de voir Comme il ne s agit pas d ap pliquer un r gle ment de fa on rigide nous dis cutons Il faut argumenter et ventuellement voter in fine C est un aspect tr s enrichissant de ce mandat car il nous oblige rentrer dans le d tail des autres m tiers Et chacun apporte sa nuance Personnellement je me distingue sur le d lai pr vu pour le renou vellement de la qualification quand une entreprise n a pas r alis de chantier Je trouve que quatre ans sont trop peu parce que c est vite pass dans la vie d une entreprise que la pr para tion d un dossier de qualifi ation demande beaucoup de tempset d nergie Et fort heureusement le m tier ne s oublie pas si vite m Revue dit e par IT FFB Institut technique de la F d ration fran aise du B timent 9 rue La P rouse 75784 Paris Cedex 16 T l 01 40 69 52 58 wwWw ffbatiment fr Association d clar e Siret 301 652 673 0015 Code APE 913E ISSN 1772 3078 D p t l gal
21. NE A SUIVI CES TRAVAUX ET R POND AUX QUESTIONS DE B TIM TIERS Qu est ce qui a amen l UPPF FFB et le SFJF FFB commanditer une recherche sur les d capants de peinture En 2009 le Parlement europ en a interdit l utilisation des d capants de peinture contenant du dichlo rom thane DCM une concen tration sup rieure ou gale 0 1 car ce produit est fortement soup onn d tre canc rig ne Avant que cette disposition n entre en vigueur le 6 juin 2012 les pro fessionnels ont vu appara tre sur le march de nombreux produits nouveaux dont ils ignoraient l effi cacit et les conditions de mise en uvre Or le d capage chimique des fa ades est majoritairement uti lis 70 des cas pour la pr para tion des surfaces dans les travaux de ravalement et d imperm abilit La recherche a t prise en charge dans le cadre du PRDM de la FFB et confi e l Institut de recherche et d tudes de la finition Iref En quoi a consist cette recherche Quels sont ses enseignements Vingt d capants sans DCM ont t s lectionn s Apr s tude de leurs fiches de donn es s curit FDS ils ont t test s en labora toire et sur chantiers L tude a permis de distinguer trois grandes familles dans cette nouvelle g n ration de d capants selon la rapi dit de leur action rapide ou lente Ces produits ne contenant plus de DCM ne sont pourtant pas des pro
22. On admet habituellement une temp rature ext rieure comprise entre 5 et 30 C Prot ger l enduit par b chage apr s application en cas de temps chaud de vent sec ou de pluie consulter NF DTU 26 1 Travaux d enduits de mortiers Ve HILL EE SMA VOUS KININ NOUS SOMMES vOs cotes Besoin d information sur la performance nergetique des b timents Consultez le dossier sur les solutions RT 2012 en r sidentiel VOUS ConSITuISez NOUS SOMMES VOS oies Besoin d aide pour mettre en uvre vos travaux de performance energetique Consultez les fiches d autocontrole Un nouveau NF DTU pour la plomberie QGUIPEMENTS TECHNIGLIES Le nouveau NF DTU 60 1 concernant les r gles de mise en uvre en plomberie sanitaire est modifi en profondeur Il est maintenant coh rent avec les autres NF DTU de plomberie ainsi qu avec les normes europ ennes en vigueur a mise jour de ce r f rentiel est une tape importante pour les entreprises de plomberie Pis sue de trois ans de travaux de la commission de normalisation le nouveau NF DTU 60 1 Plom berie sanitaire pour b timents a t publi en d cembre dernier actualisant des r gles de mise en uvre qui n avaient quasiment pas volu depuis 1959 Les plom biers disposent d sormais d un NF DTU en trois parties com mencer par un cahier des clauses techniques types CCT lui m
23. POUR EN SAVOIR PLUS FFB CMP F d ration fran aise du b timent charpente menuiserie parquets t l 01 40 69 57 40 www polebois ffbatiment fr Les dispositions respecter pour liminer l humidit sous les mat riaux de couverture varient selon leur nature et la configuration de la toiture orsque les parois d un b ti ment comportent une lame d air il est n cessaire que cette derni re soit suffisamment ven til e pour vacuer vers l ext rieur la vapeur d eau transf r e depuis le local occup Dans le cas des toitures la ventilation de l espace situ sous les mat riaux de couverture doit de plus per mettre de garder les supports bois chevrons liteaux voligeage dans l tat de siccit convenable au maintien de leurs caract ris tiques et de pr venir les d sordres pouvant tre engendr s par l hu midit issue de la vapeur d eau ou de ph nom nes de conden sation Traditionnellement cette ventilation est assur e par lins tallation de chati res ou de clo soirs ventil s voir encadr et les dispositions sections de ventila tion paisseur de la lame d air variables selon le type de cou verture sont pr cis es dans les NF DTU Ces donn es r capitu l es ci dessous doivent tre consi d r es comme une pr conisa VENTILATION DES COUVERTURES Choisir une solution adaptee L MENTS IMPORTANTS DU COUVERT les closoirs ventil s
24. Pour le logement le rendement d un syst me solaire collectif peut tre meilleur que celui d un sys t me individuel gr ce aux pos sibilit s de rationalisation des installations solaires et la r gu larit des besoins noter enfin si PECS solaire collective poss de un avantage de taille le fait de fonctionner partir dune nergie renouvelable elle pr sente aussi un inconv nient propre toute installation solaire lorsqu elle fonctionne mal l utilisateur ne s en rend pas compte car l ap point prend automatiquement le relais D o la n cessit d effectuer un suivi de l installation et de pr voir une maintenance SYST MES CENTRALIS S SYST MES INDIVIDUALIS S Il existe en r alit non pas un mais plusieurs syst mes solaires collectifs car on distingue g n ra lement les syst mes centralis s et les syst mes individualis s Les premiers s adaptent aussi bien au neuf qu l existant puisqu ils n impactent pas la boucle d eau chaude Les seconds sont r ser v s au neuf ou assimil s r nova tion lourde VIESSMANN g Le choix entre les deux d pend des besoins r guliers ou irr gu liers et de la configuration du b timent taille des installations type de bouclage importance des pertes de charge Production d ECS centralis e avec appoint Dans le cas d une production directe l appoint est centra lis dans un seul ballon ou un seul groupe
25. chanter do du chantier A gt plusieurs ann es de tra vaux r alis s l initiative de la FIB du CERIB et de PUMGO FFB les entrepreneurs de gros uvre disposent aujourd hui d un ensemble de documents techniques qui leur permettent de pr parer au mieux leurs chantiers de pr dalles et de mener bien une mise en uvre dans les r gles de l art Pr fabriqu e en usine la pr dalle est une option tr s int ressante notamment pour les chantiers tr s tendus en d lais ou quand le nombre de compagnons y affecter est r duit sa mise en uvre rapide rec le des gains de productivit d autant plus que les travaux de finition se r duisent la r alisation des joints supprimant les op rations de pon age ou de ragr age li es au b ton coul en place Cependant un chantier de pr dalles doit se pr parer minu tieusement C est ce qui a motiv la signature de la charte QUALI preDAL en 2009 entre les repr sentants des fabricants et ceux des entreprises de gros uvre sui vie de l dition du Guide chan tier QUALIpreDAL qui d cline les bonnes pratiques r unies dans pr dalles la charte mis jour en 2012 Ce document technique explique notamment comment l entre preneur communique au fabri cant en amont du chantier les bonnes informations d finition des r servations et des incorpo rations lectriques d finition des suspentes dimensionnement et positionnement d
26. d battre autour du solaire LE 24 MAI 2013 Assises de la m tallerie Amiens DURS OUEN AIO Batinergie Porte de Versailles Paris Salon de la performance nerg tique du b timent DU 28 AU 30 MAI 2073 Lumibat Eurexpo Lyon Salon international de l clairage int rieur Pr ventica Lille Grand Palais Lille Sant et s curit au travail S curit des biens et des personnes DOS MAI ENEUIIN PAU Rencontres des m tiers du SNED Versailles DURAU VUINTZOIS Environord Grand Palais Lille Salon professionnel de l environnement CETA IUINTZOTS 24 heures du b timent Palais des sports Paris MARS 2013 B TIM TIERS 3 4 HPE et THPE 10 et 20 de performance en plus Un arr t fixant les caract ristiques du label de performance nerg tique adoss la RT 2012 devrait rapidement voir le jour Il comportera deux niveaux HPE haute performance nerg tique et THPE tr s haute performance nerg tique Ce label sera d cern dans le cadre d une certification d ouvrage de type Promotolec Cequami comme dans le cadre de la RT 2005 Les consommations nerg tiques exig es pour le label HPE seront inf rieures de 10 par rapport la consommation conventionnelle de la RT 2012 Pour le label THPE le diff rentiel sera de 20 S il n est pas pr vu d exigences suppl mentaires concernant la perm abilit lair la formation des acteurs du chantier devrait t
27. d installer des comp teurs diff renci s pour les diff rents types de consommation d nergie chauffage eau chaude sanitaire clairage refroidisse 7 VOUS VAUREZ Le PEN o L LECTRICIEN ment usages prises de cou rant Autre obligation de moyen pos e par la RT 2012 celle d uti liser en maison individuelle une source d nergie renouvelable ce qui peut favoriser le d velop pement du chauffe eau thermo dynamique ou l installation de capteurs solaires en toiture Les chauffe eau lectriques effet joule seront quant eux plus diffi ciles installer en raison des imp ratifs de la RT Dans le domaine de l clairage la RT implique de recourir un clairage modul ce qui supposera l installation de d tecteurs de pr sence et la n cessit de tenir compte de l ap port de lumi re ext rieure m 1 Arr t du 26 octobre 2010 relatif aux caract ristiques thermiques et aux exigences de performance nerg tique des b timents nouveaux et des parties nouvelles de b ti ments POUR EN SAVOIR PLUS FFIE FFB F d ration fran aise des entreprises de g nie lectrique et nerg tique t l 01 44 05 84 00 www ffie fr Un d cret sur la vente de fluides frigorig nes Qu il s agisse de la manipulation la commercialisation l utilisation le recyclage ou la destruction des fluides frigorig nes les entreprises installatrices doivent obligatoirement di
28. de l inox Pour avancer sur ce sujet l Union des m talliers de la FFB a pris l initia tive de constituer en mai dernier un groupe de travail d nomm L inox en m tallerie GT5 Conduit par J r my Blanche responsable technico commer cial de la M tallerie de l Authion Maine et Loire ce groupe s est fix l objectif de r aliser un guide technique para tre en d cembre 2014 et de mener en parall le une r flexion sur la question de la for mation qui reste au c ur des pr occupations des professionnels Il s agit pr cise J r my Blanche d aider les m talliers quel que soit le volume de leur activit ne pas inox n a donc plus de raison d tre dans les ouvrages de construction rester bloqu s par la m connais sance du mat riau et de leur per mettre par exemple d valuer le bien fond d une prescription de nuance et de jouer leur r le de conseil en justifiant ventuel lement un autre choix Ce guide Est ce que la r putation de chert de l inox est justifi e Le prix l achat n est pas le seul crit re prendre en compte Si l on consid re la durabilit du mat riau et le co t des traitements indispen sables la protection et la finition de l acier l Inox est videmment un mat riau comp titif Il faut aussi pr ciser que Les gammes des fabricants se sont beaucoup toff es 80 des nuances aujourd hui disponibles n existaient pas il y a d
29. de la DIRECCTE l OPPBTP et le SIS BTP signer en f vrier 2012 une convention ayant pour objec tif de promouvoir l organisa tion des chantiers afin de pr ve nir les risques professionnels de fa on g n rale et les TMS en par ticulier Les signataires ont pour mission d inciter les ma tres d ouvrage signer une charte de pr vention par laquelle ils s engagent opti miser d s la phase de conception des chantiers les moyens de stoc kage d approvisionnement et de distribution en s appuyant sur les comp tences des coordonnateurs sant s curit Les ma tres d ouvrage devront d une part int grer dans le chif frage de l op ration la mise dis position d appareils de manu tention m canis s grues tour monte charges ainsi que la mise en service anticip e d ascenseurs d finitifs et d autre part d fi nir une gestion des flux optimale dans leur plan d installation Pour les y aider les signataires de la convention se sont en outre engag s leur fournir des conseils et des outils pratiques notamment un kit logistique qui permet d am liorer len semble des flux sur un chantier Quatre ma tres d ouvrage pr sents en Seine et Marne Kauf man et Broad Arcade Marignan et les Foyers de Seine et Marne se sont d embl e positionn s en faveur de cette action et tra vaillent de concert avec les orga nismes professionnels pour faire progresser ces pratiques Une in
30. de plomberie de France UNCP FFB T l 01 40 69 53 07 www uncp ffbatiment fr Syndicat national des entreprises de d molition SNED FFB T l 01 40 55 12 60 www sned fr Syndicat fran ais de l chafaudage du coffrage et de l taiement FFB chafaudage T l 01 40 55 13 00 Union nationale des entrepreneurs d enduits de fa ade UNEEF FFB T l 01 40 69 51 69 Entreprises g n rales de France BTP EGF BTP T l 01 40 69 52 78 www egfbtp com Chambre syndicale fran aise de l tanch it CSFE FFB T l 01 56 62 13 20 www etancheite com Syndicat national de la fermeture de la protection solaire et des professions associ es FFB Fermeture et Store T l 01 40 55 13 00 WwW fermeture store org Union des entreprises de g nie climatique et nerg tique de France UECF FFB T l 01 40 69 52 94 www uecf fr Syndicat national de l exploitation climatique et de la maintenance SNEC T l 01 44 70 63 90 www fg3e fr F d ration fran aise des entreprises de g nie lectrique et nerg tique FFIE FFB T l 01 44 05 84 00 wwwffie fr Syndicat national de l isolation SNI FFB T l 01 40 55 13 70 www snisolation fr Syndicat fran ais des joints et fa ades SFJF FFB T l 01 56 62 10 03 wWwww joints et facades asso fr Union de la ma onnerie et du gros uvre UMGO FFB T l 01 40 69 51 59 Www umgo ffbatiment fr Syndicat national de la construction
31. disposer en ligne proximit du fa tage doit tre au moins gale 1 6000 de la sur face projet e du comble sur le plan horizontal Ardoises La sous face de cou verture doit tre ventil e mais seul le NF DTU 40 13 concer nant les ardoises en fibres ciment impose une lame d air de 2 cm sous les supports et pr cise les sec tions de ventilation en fonction de la surface de la paroi Plaques ou feuilles m tal liques Ces couvertures sont particuli rement sensibles la condensation Les dispositions de ventilation avec lame d air ven til e ne s appliquent qu aux sys t mes de couvertures froides S agissant des couvertures en bacs acier on distingue les b timents ferm s non isol s et les b timents isol s sous pannes Pour les cou vertures en feuilles support es le support est ventil avec des lames d air de 4 6 cm selon la longueur du rampant La surface totale des orifices de ventilation doit tre r partie en parties haute et basse de la couverture m POUR EN SAVOIR PLUS UNCP FFB Union nationale des chambres syndicales de couverture et de plomberie de France www uncp ffbatiment fr MARS 2013 B TIM TIERS 27 28 FICHE PATHOLOGIE De sordres des enduits monocouches LE CONSTAT Les ma onneries ext rieures sont tr s souvent recouvertes d un enduit monocouche base de liant hydraulique Ces enduits qui rel vent du NF DTU 26 1 sont ex cut s av
32. disposition des professionnels depuis 1984 il s agit de la norme produit NF A2P qui concerne les mat riels de protection anti intrusion Cette certification est d livr e par le Centre natio nal de pr vention et de protection CNPP la suite de tests r alis s en laboratoire qui reproduisent le plus exactement possible les techniques d intrusion des cambrioleurs Cette certification comporte trois niveaux de s curit qui correspondent au temps mini mal de r sistance l effraction des verrous et serrures des menuiseries fen tres et ferme tures des b timents blocs portes de b ti ments et coffres forts Depuis 2001 cette certification est compl t e par une autre la NF A2P r serv e aux quipements de d tec tion d intrusion filaires et radio Dans un proche avenir cet environnement normatif pourrait sensiblement se modifier puisque l Union technique de l lectricit UTE Por ganisme de normalisation des mat riels lec triques et lectrotechniques reconna t qui valence entre la norme NF A2P et la norme europ enne EN 50130 mise jour en sep tembre 2011 Les points de rep re m tier qualification et certification apparaissent tout aussi rares car seules sont propos es aujourd hui aux professionnels la qualifi cation Courants faibles s curit Qua lifelec la certification Vid osurveillance L ANALYSE DE RISQUE POUR MIEUX ACCOMPAGNER LE CLIENT SVDI bur
33. en cas de rayure de se reconstituer tr s rapide ment De nombreux autres com posants nickel titane molyb d ne peuvent entrer dans la composition de alliage On d nombre aujourd hui de nom breuses nuances qui se classent en cinq grandes familles d inox acier fontes martensitiques fer ritiques austenitiques austino ferritiques ayant chacune leurs qualit s propres Seule une infime partie de ces nuances surtout dans la famille des aust n tiques tant couramment employ e un des objectifs du guide est de recen ser les nuances les plus adapt es par domaine d application CONCEPTION DES OUVRAGES D s la conception il convient viter toute situation susceptible de favoriser un d part de corro sion Sont particuli rement expo s s ce risque les ouvrages confi n s en atmosph re agressive et ceux sur lesquels peuvent s accu muler des d p ts de salissures ou de liquide risques pouvant tre amoindris par un nettoyage r gu lier moyennant un acc s facile AM NAGEMENT DE L ATELIER Pour viter toute contamination notamment par le biais de pous si res d acier un espace de Pate lier doit tre r serv l inox avec une zone de stockage des tablis et des outils d di s Certains profes sionnels r alisant beaucoup d ou vrages en inox pourront envisa ger la mise en place d une salle blanche sous atmosph re totale ment contr l e mais dans la plu
34. en particulier est capi tal la qualit de lair int rieur Pour informer les entreprises sur cette question la FEB en partenariat avec le CSTB et l Ademe a publi dans les ann es 2000 le m mento Bien tre et sant dans les construc tions Entre temps les connais sances sur la probl matique de la qualit de l air int rieur se sont affin es et l on sait aujourd hui que c est un enjeu majeur de sant publique De son c t Observa toire de la qualit de Pair int rieur a poursuivi ses travaux de recherche et ses campagnes de mesures Ce qui a notamment abouti l labo ration de r gles sur la mesure de la qualit de l air dans certaines cat gories de b timents et l tique tage des mat riaux de construction et de d coration Dans le m me temps le cadre r glementaire li l amiante au plomb au radon ou encore au monoxyde de car bone a t r valu et les facteurs de risques mergents allerg nes nanomat riaux et champs magn tiques sont tudi s de pr s et font l objet de recherches constantes APPROCHE M TIER Le besoin d information s av re donc constant d o la publi cation par la FFB d un nouveau guide Bien tre confort et sant dans le b timent Particularit le document aborde cette th ma tique de deux fa ons diff rentes par m tiers enveloppe et gros uvre quipement technique et finition et par type de probl
35. lacte de b tir Il rassemble sous forme de rubriques pratiques les don n es administratives finan ci res et r glementaires qu un acteur de la construction se doit de ma triser dans les mar ch s publics comme priv s depuis la mise au point du pro jet jusqu la fin du chantier Plus que jamais les nouveaux enjeux environnementaux imposent aux partenaires de Pacte de construire de travail ler ensemble en partageant une culture commune Ce guide se veut un outil pratique pour qu architectes et entrepreneurs ainsi que leurs co contractants apprennent conna tre leurs pratiques respectives pour mieux se reconna tre m Guide disponible aupr s de l OGBTP t l 01 45 53 61 36 www ogbtp com nous sommes vos c tes V LELOUP LA FFB 31 M TIERS AU SERVICE DES ENTREPRISES Chambre fran aise de l agencement FFB Agencement T l 01 40 55 12 80 wWww chambre agencement org Union nationale des entrepreneurs c ramistes du b timent UNECB FFB T l 01 40 69 58 20 www unecb ffbatiment fr F d ration fran aise du b timent charpente menuiserie parquets FFB CMP T l 01 40 69 57 40 www polebois ffbatiment fr Union des constructeurs immobiliers de la FFB UCI FFB T l 01 40 69 51 86 www uci ffb fr Syndicat de la construction m tallique de France SCMF FFB T l 01 47 74 66 15 www scmf com fr Union nationale des chambres syndicales de couverture et
36. quip e d une porte soufflante et r alise un test d tanch it avant de quitter le chantier afin de se couvrir Pour atteindre l objectif et r us sir insiste Yvan Perrin il fau drait que cesse une certaine pra tique d offres folles et suicidaires et que les entreprises apprennent travailler ensemble C est pr cis ment dans cette voie pour r pondre la demande de clients de plus en plus nom breux pour des projets de mai sons cl s en main qu il a cr en 2008 avec huit autres profes sionnels la soci t coop rative artisanale B ti Morvan Nature Dans ce mode d organisation les conditions du succ s sont r u nies Yvan Perrin est clairement charg de la ma trise d uvre et au moment de l ex cution de la conduite de travaux Il peut r ali ser un travail d cisif avec les archi tectes au stade de la conception pour int grer des variantes tech niques qui liminent les risques de ponts thermiques et faci litent la mise en uvre de l tan ch it Pair Au stade de l ex cu tion enfin tout le monde travaille de fa on solidaire pour tenir les objectifs de qualit et de d lai L aussi les Charpentiers du Mor van ont assur la sensibilisation des autres corps d tat Au pre mier test la porte soufflante ils n en revenaient pas Aujourd hui ils sont impatients de conna tre le r sultat et c est un objectif qui alimente un certain challenge entre eux a
37. r gles de l art Dans ses deux parties pose sur ossature m tallique pose de complexes de doublage coll s ce petit film d crit les diff rentes tapes de r alisation des ouvrages r ception des mat riaux r ception du support mise en uvre livraison en reprenant les points cl s des NF DTU 25 41 et 25 42 La vid o rappelle que l utilisation de fiches d autocontr le est un excellent moyen d am liorer et de garantir la qualit des contre cloisons et met en avant l importance de la r ception du support seul un support et une contre cloison conformes aux NF DTU en vigueur sont de nature atteindre les objectifs r glementaires de perm abilit lair La vid o Pose de contre cloisons en plaques de pl tre peut tre visionn e dans l espace adh rent des sites internet de BTP77 www btp77 org et de UMPI FFB www umpi ffbatiment fr o peuvent aussi tre t l charg es les fiches d autocontr le correspondantes Pour en savoir plus UMPI FFB Union des m tiers du pl tre et de l isolation t l 01 40 69 52 14 www umpi ffbatiment fr MARS 2013 M B TIM TIERS 6 AM NAGEMENT FINITIONS PL TRE ISOLATION Un langage commun entre economistes et professionnels JEAN LUC MARION G RANT DE DEROUX DAUPHIN STAFF BRON 69 pP our Jean Luc Marion la publi cation en octobre dernier du Guide pratique pl trerie isolation pour l tablissement de
38. sur un niveau de performance nerg tique Mais cet objectif pourrait aussi tre atteint par d autres moyens plus adapt s aux PME du b timent les plans de tra vaux c est dire des travaux phas s dans le temps Lais sant de c t la consomma tion conventionnelle calcu l e th oriquement en amont du projet et la consommation r elle qui correspond l usage r el du b timent ce processus actuellement l tude au sein de diff rents groupes de tra vail r unissant les acteurs du Plan B timent durable s ap puie sur une troisi me notion la performance nerg tique intrins que Cette notion interm diaire par rapport aux deux pr c dentes correspond aux performances du b timent sur lesquelles le comportement des occupants ne peut avoir aucune inci dence Les entrepreneurs du b timent pourraient donc s engager sur la performance nerg tique intrins que calcu l e au moment de la livraison du b timent l int grer dans leur garantie d cennale et la faire valoir en cas de litige avec les occupants si la consomma tion d finie contractuellement n est pas au rendez vous Les outils d valuation qui per mettront de calculer la perfor mance nerg tique intrins que des b timents sont actuelle ment en cours d laboration par le CSTB Ils permettront de faire des plans de travaux un moyen d atteindre les objectifs de r duction des consomma tions nerg tiques E B CARIO
39. tapes qui conduisent la d li vrance d un produit de construc tion m tallique labor sp cia lement pour elles par le CTICM gestionnaire du label avec le soutien du SCMF FFB BlueMe talPlus est un outil qui permet aux entreprises de faire tat de leur mise en conformit avec des volutions r glementaires nor matives et contractuelles de plus en plus pr gnantes comme les r gles de conception et de calcul B TIM TIERS M MARS 2013 selon les Eurocodes ou la norme EN 1090 pour l ex cution des structures m talliques En plus d affirmer ses performances tech niques le label traduit aussi les atouts environnementaux de la construction m tallique l acier est un mat riau recyclable Pin fini par ailleurs la pr fabrication dimensions et les chantiers en fili re s che r duisent les d chets UN LABEL POUR LES PRODUITS BlueMetalPlus est une d marche in dite qui permet de labelli ser trois types de produits r a lis s selon des processus identi fi s le processus de r alisation du produit PRP unitaire qui d signe un l ment ou une gamme d l ments m talliques quant les caract ristiques m ca niques de la pierre utilis e le mortier et le type de joint mis en uvre ainsi que le type de mur concern avec sa configuration ses dimensions et les sollicitations auxquelles il sera soumis par exemple une action au vent un chargement vertical ou horizon tal
40. tique et donc Reconnu Gre nelle environnement d s que possible explique t il Tout est all tr s vite puisque j ai obtenu la marque Pros d s janvier dernier et que la qua lification Qualibat 7132 Iso lation par l ext rieur bar dage v ture devrait m tre attribu e durant le premier semestre 2013 Rappelons que compter du 1 janvier 2014 seules les entreprises Reconnu Grenelle environnement ce qui est le cas automatiquement pour les Pros pourront faire b n ficier leurs clients des aides publiques au financement des travaux de r novation nerg tique ce qui sera pour elles un avantage concurrentiel consi d rable C est en s inscrivant aux formations FEEBat que Lo c Lemesre a entendu parler de la d marche provisoire par un intervenant de la f d ration Nord Pas de Calais qui l a galement accompa gn pour la constitution de son dossier de qualification Tous les outils sont d sormais en place pour permettre lac c s de toutes les entreprises la marque Pros de la perfor mance nerg tique E POUR EN SAVOIR PLUS Contactez la FFB de votre d partement VOUS KININ NOUS SOMMES vOs cotes Besoin d information sur la performance nergetique des b timents Consultez le dossier sur les solutions RT 2012 en r sidentiel Faciliter l acc s aux certificats d conomie d nergie Le dispositif des certificat
41. ts ont t accor d s en 2011 pour un montant de 27 millions d euros condition que le dispositif de traitement ne consomme pas d nergie m 1 Arr t du 7 mars 2012 fixant les pres criptions techniques applicables aux ins tallations d assainissement non collectif et arr t du 27 avril 2012 relatif aux modalit s de l ex cution de la mission de contr le des installations d assainissement non collectif 2 et 3 La r glementation en vigueur les guides et la liste des syst mes agr s sont consultables sur le portail sur l assainisse ment non collectif www assainissement non collectif developpement durable gouv fr Un guide d installation d ANC pour les usagers a notamment t publi en sep tembre 2012 et un guide d accompagne ment des services publics de ANC est en pr paration dans le cadre du Plan d ac tion national de l assainissement non col lectif PANANC a e UMGO FFB Union de la ma onnerie et du gros uvre t l 01 40 69 51 59 www umgo ffbatiment fr e UNCP FFB Union nationale des chambres syndicales de couverture et de plomberie de France www uncp ffbatiment fr INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF R CAPITULATIF DES CARACT RISTIQUES ET DES EXIGENCES PAR CAT GORIE Absence d installation e l usager doit tre quip d une installation conforme e Les travaux doivent tre r alis s dans les meilleurs d lais Installation neuve Installation
42. via MARS 2012 M B TIM TIERS DOSSIER gt le r seau GSM apparaissent de nouveaux syst mes de plus en plus miniaturis s sou vent vendus directement aux particuliers qui les g rent fr quemment depuis leur smart phone Enfin de nouveaux proc d s voient le jour plus dissuasifs qu une simple alarme sonore pour faire battre en retraite les malfai teurs C est le cas des syst mes enregistreurs d images et de ceux qui visent emp cher physiquement le vol g n rateurs de brouil lard opacifiant non toxique ou de fum es coupl s au syst me d alarme ou encore d un dispositif sp cialement destin aux bijoute ries qui projette sur l agresseur un marqueur ADN qui reste d tectable pendant six mois Dans sa progression le sentiment d ins curit se globalise et confond des craintes nagu re bien distinctes Ainsi l on redoute le vol mais aussi confus ment toutes sortes d attaques Illustration extr me de cette nouvelle ten dance la salle de s curit galement d nom m e chambre forte ou panic room G n ralement situ au c ur du b timent ambassade r sidence priv e cet ouvrage dans l ouvrage doit permettre aux occupants de prot ger leur argent et leurs valeurs mais aussi eux m mes contre tout danger Ce qui requiert outre le renforcement des parois et l installation d une porte blind e des quipements compl mentaires de t l communication d clairage
43. 8 du CSTB Rapport d essais r action au feu n RA 08 0389 du CSTB www wblockfrance fr Les connecteurs viennent en but e contre la banche int rieure Autoforeuses les entretoises sont con ues pour limiter le soul ve ment de l isolant au coulage et pour reprendre les efforts de com pression lors du serrage des pan neaux de coffrage Le b ton auto pla ant Agilia Lafarge B ton est coul en simultan sur les deux faces en veillant limiter les carts et monter plus rapidement la face la moins paisse www gbe innovation fr PR VENTION POUSSI RES DE BOIS La profession se mobilise pour reduire les risques d exposition Soucieuse d am liorer la pr vention dans les entreprises susceptibles d exposer les travailleurs aux poussi res de bois la FFB CMP travaille activement faciliter pour ses adh rents l application de la r glementation en cours Le point sur les actions men es CET ATELIER DE MENUISERIE a t quip d un syst me d aspiration des poussi res de bois lass es parmi les agents chimiques CMR les pous si res de bois tombent sous le coup de l arr t du 15 d cembre 2009 qui fixe les modalit s selon les quelles doit s effectuer le contr le du respect des valeurs limites d ex position professionnelle VLEP sur les lieux de travail Ce texte tablit la n cessit d appliquer une strat gie de pr l vement afin de disposer d un ensemble de
44. ER Exemples d quipements de s ret anti intrusion PROTECTION P RIM TRIQUE VOLET EN BOIS MASSIF Minimum 30 mm d paisseur I EN REZ DE CHAUSS E Vitrage P6B 5P15 15 mm rende GRILLE D CORATIVE PORTE DE GARAGE sur les 3 c t s ANTI INTRUSION Syst me de fermeture anti pinces d une paisseur minimale de 3 mm PORTE BLIND E e Corni res anti pinces sur porte simple e Porte en bois massif de 40 mm d paisseur t le de blindage 20 10 mm minimum e Serrures 3 points minimum 5 points recommand s 50 B TIM TIERS M MARS 2013 BTP BANQUE REALISE EN PARTENARIAT AVEC an D TECTEURS DE MOUVEMENT PERSIENNES M TALLIQUES VOLET BATTANT RENFORC Liaison assur e par crampon scell gt a gt EN ETAGE D jeta Fer 50 X 10 mm 442 9mm i AT GRILLAGE ANTI INTRUSION Sous lattis bois ou lattis m talliques nervur s M B TIM TIERS 51 DOSSIER R ALIS EN PARTENARIAT AVEC gt recommandations d installation R81 d tec tion intrusion tr s complexes et pour cette raison peu utilis es et R82 vid osurveil lance Elles d finissent les exigences tech niques minimales des quipements et pro posent une m thodologie de l analyse de risque la maintenance des quipements tablies en commun par les assureurs et les principaux acteurs de la s curit ces normes des acteurs de la p
45. NTI xINTRUSION lll BTP BANQUE GROUPE CREDIT COOPERATIF Ko e 1NNI DEN UD VARCH EN PLEN ESSOR Plus de s curit cette attente soci tale s applique en particuher au b timent La demande en plein boom touche les quipements et de plus en plus le b ti lui m me Une mine d activit s et un march d avenir pour la profession es derni res ann es ont vu les rubriques criminalit et faits divers prendre une nouvelle ampleur Si les affaires de grand banditisme et les braquages ont les honneurs des unes la recrudescence des d lits concerne galement les actes de d lin quance plus ordinaires que sont les cambrio lages les vols et autres agressions Les statis tiques confirment cette tendance En 2010 en France pr s de 4 1 millions de m nages et de personnes de plus de 14 ans ont t vic times de vols et de tentatives de vols tandis que les cambriolages ou tentatives de cam briolages de r sidences principales en aug mentation continue depuis 2008 ont tou ch 450000 m nages Il se produit ainsi en France une tentative de cambriolage toutes les sept huit minutes Si bien que la s curit mais il faut plus justement parler de s ret voir encadr est devenue l une des princi pales pr occupations de la soci t Pour prot ger leurs biens en particulier pen dant la p riode des vacances leur commerce ou leurs locaux les particuliers et les entre prises font tr
46. S DE D PART eau froide calorifug es d un b timent de bureaux a f E i G A be gt ar Protection des r seaux d alimentation en eaux Maintien en temp rature des boucles d alimentation en eau chaude sanitaire Mise en uvre des quipements raccord s pompes purgeurs r ducteur de pression Raccordement des appareils sanitaires MARS 2013 B TIM TIERS 31 32 ECS SOLAIRE COLLECTIVE LE MARCHE REPART Soutenue en France ses d buts par l Ademe l eau chaude sanitaire ECS solaire collective conna t actuellement un certain renouveau Le point sur un mode de production adapt au neuf aussi bien qu l existant n France l Ademe ayant choisi de cibler PECS solaire pour les b ti ments collectifs ce march a connu ces derni res ann es un fort d veloppement Entre 2008 et 2011 la surface de b timents couverts par un syst me d ECS solaire collective est ainsi pass e de 56000 104000 m Apr s une p riode d essoufflement le mar ch dynamis par les prix d sor mais tr s comp titifs des qui pements solaires conna t un nouveau d part Les installations de production d ECS solaire per mettent de couvrir de 40 70 des besoins en eau chaude d un Groupe MGL b timent collectif Elles supposent donc le recours un appoint qui peut tre fourni par une nergie classique lectricit gaz ou une autre nergie renouvelable bois pom
47. T LIQUIDE Autre sp cificit propre ces ta blissements o l eau pr pon d rante peut vite devenir un ennemi le traitement de l tan ch it sous carrelage Il a t confi l entreprise SRS qui a appliqu un syst me d tan ch it liquide pour tous les bas sins int rieur comme ext rieur En ext rieur elle est aussi garante de l tanch it des chapes Pour la piscine int rieure au niveau des plages l tanch it liquide contri bue viter toute fuite des plan chers vers les locaux techniques situ s en dessous Elle a t r a lis e dans des conditions m mo SRS J Y LE MEUR rables se souvient Guy Tolmont Nous avons appliqu l tanch it liquide alors qu un chafaudage fixe avait d j t mont pour ex cuter le faux plafond Nous avons d lever les pieds un par un puis les redescendre une fois le produit sec Reste que les plannings ont t tenus Depuis janvier dernier le centre de thalassoth rapie de Cabourg est en mesure d accueil lir jusqu 200 curistes par jour m POUR EN SAVOIR PLUS UNECB FFB Union nationale des entrepreneurs c ramistes du b timent t l 01 40 69 58 20 www unecb ffbatiment fr MARS 2013 M B TIM TIERS 41 42 PEINTURE La m canisation une des cl s de la performance Pulv risation la pompe airless utilisation de ponceuses girafes projection des enduits de fa ade ext r
48. TIERS 59 60 QUALIFICATION Les organismes qualificateurs peaufinent leurs offres Qualibat Qualifelec et Qualit EnR ont mis jour leur r f rentiel Notamment pour les qualifications Reconnu Grenelle environnement RGE Dans le m me temps ils mettent en place de nouveaux dispositifs et des actions de communication D epuis le 9 novembre 2011 date de la signature de la charte Reconnu Grenelle envi ronnement RGE Qualibat Qualifelec et Qualit EnR adaptent leurs nomenclatures leurs offres de qualification et mettent en place des outils de communi cation pour les faire conna tre aupr s des professionnels comme des particuliers Dans le m me temps Qualibat et Qualife lec largissent le champ de leur accr ditation aux dispositifs ner gie renouvelable qu ils proposent Pour Qualibat la commission nomenclature travaille d sor mais en continu afin de mettre en ad quation les qualifications avec les volutions r glemen taires et technologiques d s que n cessaire Dans le cadre du dis positif RGE l organisme a mis en place une mention Effica cit nerg tique travaux iso l s qui peut tre associ e aux qualifications qui concourent l am lioration nerg tique des b timents Qualibat a cr aussi des qualifications de mise en uvre d quipements utilisant les nergies renouvelables Pour les entreprises ces qualifications sont une reconnaissance de leur m
49. U Consultez le catalogue des publications pour acc der a plus de 350 references 6 Fibre optique ts e au logement e d emploi Objectif Fibre plate forme collective dont la FFIE est membre publie un guide pratique traitant des r gles de d ploiement d un r seau en fibre optique dans les immeubles neufs usage d habitation ou usage mixte L objectif de ce document est d apporter des r ponses aux professionnels sur l application de la r glementation dans ce domaine d cret 2011 1874 et arr t s associ s Il rappelle les r gles de l art et les bonnes pratiques mettre en application dans la r alisation de ces installations Ce guide est t l chargeable sur le site Internet de la FFIE dans l espace Adh rents ainsi que sur les sites des partenaires FFT l coms FIEEC SERCE Pour traiter les cas sp cifiques des zones pavillonnaires et des zones tertiaires deux nouveaux guides seront r alis s en 2013 Pour en savoir plus FFIE FFB F d ration fran aise des entreprises de g nie lectrique et nerg tique t l 01 44 05 84 00 www ffie fr FEEBat poursuite du dispositif en 2013 Fin janvier un accord a t trouv entre EDF et le minist re de l Ecologie du D veloppement durable et de l Energie sur la poursuite du dispositif de formation FEEBat en 2013 EDF s engage ainsi financer la formation de 11000 stagiaires hauteur de 50 du co t p dagogique via les
50. URINOUVEAU GUIDE PRATIQUE m ARCHI 5 La technicit des documentations d di es linox a souvent frein l int gration de ce mat riau dans l offre des professionnels Un projet de guide technique para tre en 2014 se propose d inverser la tendance inox est il une affaire de sp cialiste L inox a t il toute la place qu il m rite dans l activit des m talliers Les m talliers rel veront ils le d fi de Pinox En 2013 la question r cur rente de l inox se pose la profes sion dans des termes sensiblement nouveaux en raison de la vogue croissante de ce mat riau et des contraintes amen es par la crise D un c t l inox reconnu pour ses qualit s d hygi ne de durabilit et sa recyclabilit est de plus en plus appr ci par les architectes pour ses ressources expressives vari t des finitions et des pr sentations De Pautre les nuances ou grades le plus souvent prescrits toujours les m mes restent chers l achat et ne r pondent pas la n cessit de contenir voire de diminuer les B TIM TIERS E prix Confront s cette situation beaucoup de m talliers mesurent l opportunit qui leur est offerte de s engager dans une activit por teuse et valorisante de leur savoir faire mais ressentent un impor tant besoin d information et de conseils puisqu il n existe que de rares r f rentiels et aucune r gle professionnelle s agissant de luti lisation et du travail
51. a trise des questions d efficacit nerg tique Elles impliquent que l entreprise justifie d un responsable tech nique form FEEBat ou forma tion qualifiante dans le domaine d activit et qu elle se soumette un contr le de r alisation dans les 24 mois qui suivent l attribu tion les r sultats de ce contr le B TIM TIERS M MARS 2013 conditionnant le maintien de la qualification Pour Qualifelec engag aussi dans la charte RGE les nouvelles exigences pour la d livrance de la mention conomie d ner gie suivent les m mes principes que pour la mention Qualibat et sont d sormais int gr es dans les r f rentiels Installations lec triques Maintenance des ins tallations lectriques et Chauf fage ventilation climatisation Pour l obtenir l entreprise doit faire tat d au moins un res ponsable technique par tablis sement form au module FEE Bat et d montrer avec ses propres r f rences qu elle r alise des tra vaux li s aux conomies d ner gie Lorganisme a aussi cr une nouvelle mention SPV Solaire photovolta que associ e la qualification lectrotechnique Enfin Qualifelec met en avant une nouvelle qualification B ti ment communicant domo tique il s agit de r pondre une demande de plus en plus forte du public englobant la surveillance la s curit domestique l assis tance l autonomie domicile l
52. a pour objectif de r u nir toutes les comp tences de chacun de ces m tiers au ser vice d une r flexion globale qui permette d obtenir des enve loppes et structures tr s per formantes sur le plan nerg tique affirme Gaston Coppin pr sident du CNEES L exp rience notamment en ce qui concerne les b timents BBC montre que la performance ne vient pas de tel ou tel l ment de la construction mais du rai sonnement global qui permet de les associer En s appuyant sur une veille technologique le CNEES a pour vocation d aider les entre prises innover en mati re RT 2012 Premiers retours d experience et perspectives P our traiter des perspec tives ouvertes par la r gle mentation thermique 2012 la FFB a r uni l ensemble des acteurs professionnels Sous le titre RT 2012 un an apr s ce colloque FFB organis au si ge de la f d ration le 12 d cembre dernier a fait une large place aux premiers retours exp rience Apr s un quiz propos aux quelque 240 participants un seul participant a r ussi un sans faute place a t faite aux changes et pr sentations Une premi re table ronde invitait mesurer Pincidence du chan gement dans les b timents ter tiaires en s appuyant sur les t moignages d un large panel d acteurs Le constat dress est que la nouvelle RT n introduit pas de vraie rupture par rap port la pr c dente Plusieurs points ont par ailleurs t
53. a sobri t nerg tique et la com munication tr s haut d bit Qualit EnR comme les deux autres organismes qualificateurs a mis en conformit ses r f ren tiels avec la norme NFX50 091 et la charte RGE Plus de 10 000 qualifications QualiPV QualiSol QualiPAC et QualiBois ont t d livr es en 2012 sur ces bases Dans le m me temps lorga nisme consolide son organisa tion qui repose sur trois piliers formation qualification incluant les audits et offre de service Qua lit EnR met ainsi la disposition de toutes les entreprises quali f es un site internet gratuit qu il est possible de s approprier et de faire voluer Autant d volutions que les organismes cherchent faire conna tre Cela passe par des campagnes d information et par une mise jour des outils de com munication Par exemple Quali bat a mis en place sur son site des tin informer les particuliers un lien vers les entreprises Reconnu Grenelle environnement une action qui vient en relais de la campagne de communication de l Ademe Qualifelec moder nise aussi son site grand public davantage interactif et diffuse une lettre d information aupr s des entreprises qualifi es Qua lit EnR a cr pour sa part une e boutique d di e aux entreprises qualifi es o elles trouveront kits communication l ments pour panneaux de chantier autocol lants et supports techniques 1 Norme d finissant les exi
54. actifs celles ci exposent un risque de non qualit des ouvrages li aux produits non conformes mais surtout des sanctions civiles et p nales du fait de la mise en danger de la vie d autrui en cas d utili sation de mat riel dangereux par exemple un disjoncteur non conforme qui ne prot ge pas l installation lectrique l occasion de ce colloque la FFB a d fini les contours d une riposte collective Celle ci passe notamment par un cadre de bonnes pratiques entre four r le jouer en mati re d acces sibilit et au grand public que chaque cas pourra trouver sa solution m Vid o disponible sur wwww ffbatiment fr rubrique M diath que nisseurs et entreprises de nou velles exigences des organisa teurs de salons professionnels vis vis de leurs exposants la cr ation d une liste des mat riaux et quipements issus de la contrefa on dangereuse ainsi que par la mise en place d un forum d changes pour mutualiser les bonnes pra tiques E Les actes du colloque sont repris dans le dossier joint B timent Actualit n 2 janvier 2013 disponible sur www ffbatiment fr rubrique adh rents ARCHITECTES ET ENTREPRENEURS Mode d emploi L e CD rom Architectes entrepreneurs mode d em ploi dit par l Office g n ral du b timent et des tra vaux publics OGBTP est un guide des travaux de b timent qui s adresse tous les profes sionnels engag s dans
55. aditionnellement appel aux pro fessionnels du b timent menuisiers m tal liers serruriers vitriers lectriciens dont les installations assurent pour les uns la pro tection physique serrures fiables vitrage en verre feuillet portes blind es volets en bois massif pour les autres la protection dite volum trique syst mes de contr le d ac c s ou de d tection d intrusion des locaux Au cours des derni res ann es cette activit a connu un d veloppement exponentiel comme le montrent les t moignages recueil lis pour ce dossier Simultan ment elle lar git son p rim tre NOUVELLES DEMANDES NOUVELLES OFFRES Pour renforcer les points faibles du b timent les ma tres d ouvrage demandent aux pla quistes et aux agenceurs d int grer des arma tures m talliques dans les cloisons aux cou vreurs d ins rer des syst mes anti intrusion m caniques sous les tuiles et des herses sur les vacuations d eaux pluviales et les toi tures aux ma ons de r aliser des scellements anti effraction et de construire des bornes antib lier devant les vitrines des magasins et autres ouvrages tr s sp ciaux L offre tech nique contribue cette dynamique Parall lement aux dispositifs de surveillance et de d tection d intrusion contacteurs de portes ou de fen tres radars d tecteurs de mouve ment alarmes coupl es une alerte du pro pri taire et d une soci t de gardiennage
56. aible ou moyenne hygro m trie Bardeaux bitum s Les lames d air sont de 4 6 cm selon la longueur du rampant et les sur faces de ventilation sont gales 1 500 de la surface r elle de la couverture La section totale de ventilation doit tre r partie pour moiti en partie basse des versants et proximit du fa tage Tuiles de terre cuite plates ou embo tement Les lames d air sont de 2 cm minimum La surface totale de ventilation de 1 5000 1 3000 est fonction de la surface de la toiture proje t e horizontalement limit e aux locaux couverts et de la pr sence d un cran ou d une isolation sous rampant La r partition des orifices de ventilation doit s ef fectuer de la m me mani re que pour les bardeaux bitum s Tuiles canal Lorsque ces tuiles ne sont pas enti rement ma on n es et qu elles sont dispos es sur support discontinu ou continu et sans cran le NF DTU ne pr voit pas de dispositions particuli res ACHARD tant donn la capacit naturelle des tuiles canal se ventiler Dans le cas d une couverture liteaux avec cran la sous face doit tre ventil e Tuiles b ton Les NF DTU imposent au moins trois tuiles chati res par rampant d une sec tion utile de 10 cm minimum En cas d entr e d air lin aire l gout en l absence d un dispositif sp cial d vacuation au niveau du fa tage la surface totale de ventilation des tuiles chati res
57. ance et le diam tre du tuyau utilis s Il faut aussi prendre les mesures n cessaires pour le net toyage et l entretien des mat riels Autre domaine de m canisation les chafaudages motoris s sur m t qui sont adapt s aux grandes fa ades mais exigent le respect de r gles de s curit sp cifiques au WAGNER FRANCE travail en hauteur Ces nouveaux mat riels impliquent en fait une nouvelle organisation du travail plus rigoureuse avant d utiliser des pompes airless il faut r a liser un travail minutieux pour prot ger toutes les zones qui ne doivent pas tre peintes jusqu au moindre interrupteur Mais ce temps de pr paration est ensuite largement compens par la rapi dit de pulv risation et la qualit de la finition Se m caniser est aussi un moyen de gagner des march s nouveaux et importants en volume comme en t moigne Jean Louis Aillaud Pour peindre les fa ades ext rieures nous avons d cid d in vestir dans un syst me inno vant de projection qui utilise des tuyaux chauffants explique le chef d entreprise Ce chauffage de la peinture r duit la vapeur d eau ce qui g n re une adh sion imm diate de la peinture au support M me sous haute pres sion l application se r v le beau coup plus pr cise et propre C est ce qui nous a aid convaincre certaines cha nes d hypermarch s qui depuis exigent l utilisation de cette technique En incluant technicit for
58. ans tous ses tats en faisant la part belle aux grands formats Retour sur un chantier exceptionnel B TIM TIERS M MARS 2013 abourg a troqu son ancien terrain de cam ping en bord de mer pour un prestigieux complexe de thalassoth rapie qui a ouvert ses portes d but 2013 Plus de 50 mil lions d euros et 19 mois de chan tier auront t n cessaires pour r aliser cette op ration Con ue pour le compte du groupe Tha lazur elle est n e sous la plume du cabinet Robinson Architectes Associ s Mont Saint Aignan Seine Maritime Ce complexe de 10000 m se dresse d sormais face la Manche sur un site de 7 hectares le long de la prome nade Marcel Proust Il r unit un h tel quatre toiles et ses 164 chambres un bar restaurant un espace hydroth ra pie amp spa et un espace marin La piscine int rieure exclusivement remplie d eau de mer comme le bassin ext rieur a t l une des prouesses techniques de cette op ration avec ses murs de 10 m tres de hauteur Pour ce complexe o Peau est le c ur du b timent le carrelage a bien s r trouv une place de choix dans chacun des espaces Que ce soit dans les cuisines col lectives les halls d entr e les lieux de bien tre et de vie l int rieur et aux abords des bassins ce rev tement d montre une nouvelle fois ses atouts Il a su combiner esth tique dura bilit et entretien tout en r pon dant des obje
59. applica tion du produit Aujourd hui cette op ration devient plus technique car selon le d capant il faudra attendre entre 6 et 24 heures Il est galement recommand d effec tuer un test d efficacit avant les travaux afin d adapter ventuel lement le choix du produit Un autre point tr s important qui impose de nouvelles pr cautions sur les chantiers est le caract re inflammable voire tr s inflam mable de certains de ces produits dont le point d clair est com pris entre 0 et 55 C Or ce risque n existait pas avec les anciens d ca pants Troisi me impact l aug mentation du prix des produits qui a quasiment tripl Tous ces changements ont t consign s dans un guide de bonnes pra tiques r alis par l UPPF EBB et le SFJF FFB Ils seront par ailleurs largement d velopp s au travers des diff rents supports de la FFB et l occasion de r unions d in formation programm es dans les territoires E 1 Une synth se des r sultats de l tude est disponible sur l espace adh rents du site www uppf ffbatiment fr rubrique Tech nique Recherche et sur la version en ligne de B tim tiers POUR EN SAVOIR PLUS e UPPF FFB Union professionnelle peinture finitions t l 01 40 69 53 73 www uppf ffbatiment fr e SFJF FFB Syndicat fran ais des joints et fa ades t l 01 56 62 10 03 wWww joints et fa ades asso fr MARS 2013 M B TIM TIERS 23 APERAM 24
60. aribas Immobilier VINCI Immobilier Kaufman amp Broad e Entreprises g n rales Bouygues B timent CBC Sicra B TIM TIERS M MARS 2013 L En iia L ZYLBERMAN GRAPHIX IMAGES 4000 NOUVEAUX HABITANTS R parti sur 18 immeubles ici la r sidence Or Natura le fort d Issy totalisera 105 000 m de b timents SHON sur une emprise fonci re de 12 hectares Il accueillera 1625 logements 1500 m de commerces de proximit et une cr che de 60 berceaux Seront galement cr s une piscine un parcours sportif sur les courtines deux groupes scolaires ainsi qu une extension au coll ge existant 4000 nouveaux habitants seront accueillis Issy les Moulineaux LE CHOIX DE LA GEOTHERMIE 78 des besoins nerg tiques seront couverts par la g othermie Le dispositif est compos de deux puits g othermaux production et r injection de 700 m de profondeur une boucle d eau temp r e 27 C de 1800 m et 60 pompes chaleur r parties au pied des immeubles 2 2 AVANCEES TECHNOLOGIQUES Les appartements ici au sommet de l immeuble Le Belv d re avec vue sur Paris seront quip s d un cran de contr le tactile permettant de suivre les consommations d nergie piloter l clairage et le chauffage et contr ler les acc s Connect Internet le syst me pourra tre command distance 7A Bn AUTOMATISEE DES DECHETS Les habitants d poseron
61. bre 2009 l entre tien doit cependant tre effectu conform ment aux prescriptions du fabricant Il implique un vrai savoir faire que seul l installateur ou le ramoneur qualifi s peuvent garantir Au moins deux fois par an doivent tre nettoy s toutes les entr es d air frais les grilles de sortie d air chaud la grille du mod rateur le faisceau de tubes de l changeur Le ramonage du conduit de fum e est aussi obli gatoire et doit tre effectu deux fois par an dont une fois m cani quement pendant la p riode de chauffe E e UECF FFB Union des entreprises de g nie climatique et nerg tique de France www uecf fr e Pour plus de d tails sur l entretien et le nettoyage voir le dossier bois nergie sur le site www uecf fr CHEMIN ES DE CHAZELLES Progiciels de conception lectrique basse tension comment bien les choisir Pour permettre le choix clair d un progiciel de conception assist e par ordinateur CAO pour les installations lectriques basse tension BT destin es l habitat ou au tertiaire la FFIE FFB a r alis un dossier sp cifique sur ce point apportant des r ponses concr tes aux entreprises Celui ci recense les besoins exprim s d crit les principales fonctionnalit s de chaque progiciel retenu et synth tise les besoins couverts par chacun d eux Ces outils sont dot s d une intelligence logicielle pour concevoir et v rifier les in
62. certificats d conomie d nergie Constructys et le FAFCEA Fonds d assurance formation du commerce et de l artisanat du b timent compl teront ce financement sur la base de modalit s qui restent d finir Pour en savoir plus Contactez la FFB de votre d partement B TIM TIERS M MARS 2013 OLYMPIADES Tirer les m tiers vers le haut D our les salari s comme pour les entreprises la participation aux Olympiades des m tiers est toujours source de satisfaction et de fiert sur tout en cas de m daille d or C est le cas au sein de Pen treprise Asselin 140 sala ri s menuiserie charpente implant e Thouars Deux S vres dont l un des collabo rateurs Mathieu Aubert vient d tre r compens par la plus haute distinction lors de la r cente finale nationale Nous sommes tr s fiers pour lui et pour nous explique Fran ois Asselin son dirigeant C est un investissement important en terme de temps pour per MATHIEU AUBERT m daille d or nationale des Olympiades des m tiers B CHARPENEL CCCA BTP mettre au salari de bien se pr parer cette comp tition mais le r sultat est tr s valori sant pour le m tier C est aussi une source d mulation au sein de l entreprise cette comp ti tion incarne bien notre culture interne faite d exigence et d ex cellence Cela vaut vraiment la peine d inciter les salari s y participer La finale int
63. chaque ann e au cours de la F te de la Pomme de Qu vert dans les C tes d Armor Les stagiaires de l ESJDB ont vu dans ce projet le moyen de soutenir le patrimoine bre ton mais surtout de valoriser PLANS DE TRAVAUX ed LA 7E PROMOTION DE L ESJDB autour du projet solidaire un pressoir pour les mordus de la pomme et de transmettre un savoir faire professionnel En effet parmi les huit jeunes de l asso ciation d insertion profession nelle Adal a qui ont travaill sous la direction du charpen tier choisi pour la r alisation du pressoir et de son abri l un est aujourd hui apprenti char pentier Une r ussite qui justi fie pleinement le soutien finan cier de la Fondation FFB pour un projet vocation soli daire ancr dans le terroir bre ton 1 cole sup rieure des jeunes dirigeants du b timent 2 La Fondation FFB soutient les projets collectifs et des initiatives de terrain qui permettent des personnes en difficult de retrouver une place la fois profession nelle et sociale Fondation FFB t l 01 47 23 64 05 www fondation ffb fr Une alternative aux CPE en pr paration nstitu s par la loi Grenelle 1 de 2009 les contrats de per formance nerg tique CPE ont pour objectif de contribuer r duire la consommation nerg tique des b timents en permettant aux ma tres d ou vrage et ma tres d uvre de s engager contractuellement
64. conformit r glementaire n est pas un but en soi un b timent doit d abord r pondre un co t viable aux besoins du ma tre d ouvrage et des utilisateurs Entretien avec Pierre Mit pr sident de l Untec Penser d abord l USAGE du b timent Comment d finissez vous le m tier d conomiste de la construction Notre m tier remplit l une des trois fonctions principales de la ma trise d uvre aux c t s de la fonction architecturale et de la fonction technique assur e par les bureaux d tudes C est un m tier part enti re avec ses fili res de formation initiale et continue Nous sommes des sp cialistes des co ts de la construction capables de ma triser les contraintes la fois conomiques et techniques d un projet car les deux sont indisso ciables pour exercer notre r le qui est la fois de prescrire de quan tifier et d estimer Les conomistes r unis au sein de l Untec sont des professionnels ind pendants au sens du statut comme celui de l attitude professionnelle notre devoir quand nous prescrivons par exemple tel ou tel produit ou syst me est de garantir l objecti vit des choix propos s L autre B TIM TIERS M MARS 2013 grande n cessit de notre m tier est d avoir une vision transversale de l op ration mener et d tre capable de parler un langage com mun tous les intervenants tout en tant l coute de chacun quel stade d
65. ctifs de s curit quand il devient antid rapant ou CENTRE THALAZUR DE CABOURG qu il facilite l accessibilit aux per sonnes mobilit r duite R F RENCES MULTIPLES ET GRANDES DIMENSIONS Le centre de thalassoth rapie a t recouvert de 5000 m de rev tements carrel s aux sols et de 7600 m aux murs Pas moins de 45 r f rences diff rentes ont t pos es Afin de r pondre cette ambitieuse mise en uvre un groupement de trois entreprises a t constitu Sous traitant de l entreprise Quille Rouen il a r uni la soci t SRS Blois le groupe Vinet Poitiers et la Com pagnie Rennaise de linol um et de caoutchouc CRLC Ce chan tier ma marqu notamment par l ampleur du march compte tenu 12600 M DE CARRELAGE 1 LE HALL D ACCUEIL du centre de thalassoth rapie des d lais souligne St phane Lef vre directeur d exploitation chez CRLC qui a notamment r a lis la zone h teli re Il est excep tionnel aussi par le nombre de r f rences qui ont t pr conis es et pos es dans de grandes dimen sions En effet dans toutes les zones d accueil du public les murs ont t anim s par des formats tr s tendance mais pas encore compl tement usuels Certes des mosa ques en 2 5 x 2 5 et 5 x 5 cm ont t utilis es dans la tradition de ce type d tablissement d di au bien tre par l eau Elles ont c toy des pierres reconstitu es
66. de ballons et plac proximit du ballon solaire Ce type de configuration en distri bution directe concerne les petites installations circuit hydraulique court avec au plus 30 40 m de capteurs selon les techno logies Pour les installations de taille sup rieure 30 m on uti lise g n ralement un changeur plaques situ entre le ballon et les capteurs Ce montage permet un d marrage en deux tapes la boucle primaire est mise en circu lation avec une homog n isation des temp ratures dans les cap teurs et les canalisations ensuite le circuit secondaire est mis en service avec un transfert d nergie de la boucle primaire la boucle secondaire En cas de multiples ballons solaires ils sont connec t s en s rie Production d ECS collective appoints individuels dite en parapluie Cette solution est particuli re ment adapt e aux immeubles d habitation collectifs L nergie est directement stock e dans des ballons individuels bi nergie permettant ainsi une individuali sation des charges d nergie li es PECS ainsi que la suppression de la boucle de distribution sani taire Ce syst me r clame n an moins un tr s bon quilibrage de la boucle de distribution primaire Les vannes de r glage des ballons changeurs doivent tre plac es dans les parties communes afin tre facilement accessibles Production d ECS collective et appoints individuels Cette solution e
67. des fen tres fa ades et activit s associ es SNFA FFB T l 01 40 55 11 80 Www snfa fr Union des m talliers FFB M tallerie T l 01 40 55 13 00 www metal pro org Union du montage levage FFB Montage Levagel T l 01 40 55 13 00 Syndicat professionnel des entreprises de multiservice immobilier et de facilities management SYPEMI T l 01 44 70 63 90 www sypemi com Union professionnelle peinture finitions UPPF FFB T l 01 40 69 53 73 www uppf ffbatiment fr Groupement des m tiers du photovolta que GMPV FFB T l 01 40 69 52 24 wWww gmpv ffbatiment fr Union des m tiers du pl tre et de l isolation UMPI FFB T l 01 40 69 52 14 Wwww umpi ffbatiment fr Syndicat des entreprises de recyclage du BTP FFB recyclage T l 01 40 55 12 59 Union nationale des rev tements de sols techniques UNRST FFB T l 01 40 69 51 45 www unrst com Union nationale des entrepreneurs de sols industriels UNESI FFB T l 01 40 69 51 54 www unesi ffbatiment fr Syndicat national des entrepreneurs et constructeurs en thermique industrielle fours et chemin es SNECTI T l 01 40 69 51 02 Syndicat fran ais des entrepreneurs de travaux en hauteur SFETH T l 04 76 46 17 86 www sfeth com F d ration fran aise des professionnels du verre FFPV FFB T l 01 40 55 13 55 www verre org j FFB www ffbatiment fr a feaiion de construire 10 GRAND T MOIN La
68. descriptifs est un grand pas en avant pour la profession Comment est n e l id e de concevoir ce guide pratique Nous avons constat que les dif ficult s viennent souvent d une incompr hension entre les co nomistes du b timent qui sont des g n ralistes et les entrepre neurs du pl tre et de l isolation qui sont des sp cialistes Trop souvent les cahiers des clauses techniques particuli res CCTP r dig s par les cono mistes au moment de l appel d offres entrent pas assez dans le d tail R sultat l entrepreneur est oblig de lire entre les lignes et formule une offre approximative De son c t l conomiste risque de voir r aliser un ouvrage qui ne correspond pas sa demande parce qu il ne pr sente pas les per formances demand es sur le plan thermique acoustique ou s cu rit incendie Pour rem dier cette mauvaise communica tion l Union nationale des co nomistes du b timent Untec et l Union des m tiers du pl tre et de l isolation UMPI FFEB se sont mis autour de la table pour B TIM TIERS M MARS 2013 laborer ce guide qui leur permet d sormais de parler un langage commun pour l tablissement des descriptifs voir p 10 Quel est son contenu Il contient dans sa premi re par tie un ensemble de d finitions qui rappellent clairement le r le des diff rents intervenants d un march ma tre d ouvrage ma tre d uvre entreprise les texte
69. dic tion d utiliser le balai et grand net toyage du sol la charpente une MARS 2013 M B TIM TIERS gt fois par an Une fa on simple de r duire drastiquement l empous si rement conclut elle En atten dant de voir la r glementation vo luer vers un syst me plus adapt aux m tiers du bois m 1 F d ration fran aise du b timent Charpente menuiserie parquets 2 Canc rig nes mutag nes et toxiques pour la reproduction 3 Un GEH est constitu par un ensemble de travailleurs qui ont a priori une exposi tion homog ne ou similaire au regard des postes de travail des agents chimiques des t ches des proc d s et des dispositifs de pro tection utilis s 4 Le logiciel Altrex Chimie t l chargeable sur le site de PINRS 5 Comit professionnel de d veloppement des industries fran aises de l ameublement et du bois POUR EN SAVOIR PLUS FFB CMP F d ration fran aise du b timent charpente menuiserie parquets t l 01 40 69 57 40 www polebois ffbatiment fr INITIATIVE Pr venir les troubles musculo squelettiques es postures de travail diffi ciles ou les manutentions manuelles souvent l origine d accidents ou de maladies pro fessionnelles comme les troubles musculo squelettiques TMS sont encore trop fr quentes sur les chantiers de b timent En Seine et Marne ce constat a incit la f d ration du BTP BTP77 la Cramif l unit territoriale
70. duit plus de 20 m de hauteur Pour Jean Louis B TIM TIERS W MARS 2013 SI L UTILISATION D UNE POMPE AIRLESS n cessite une pr paration minutieuse celle ci est largement compens e par la rapidit d ex cution et la qualit de la finition Aillaud dirigeant de Arnaud Peintures Gap Hautes Alpes qui emploie dix huit salari s cette m canisation pr sente de nombreux avantages et s im pose comme une vidence Ces nouveaux mat riels am liorent la r gularit et la qualit du travail et donnent une meilleure fini tion affirme t il D autre part ils am liorent les rendements et sont un facteur de productivit pour les entreprises de peinture C est ce que le march demande aujourd hui En effet la main d uvre repr sente de 70 85 de la facturation des travaux de peinture La m canisation est donc le levier principal du peintre pour r duire ses co ts et am lio rer sa comp titivit tout en fai sant progresser le confort de tra vail des compagnons NOUVELLE ORGANISATION ET NOUVELLE IMAGE Ce mouvement de m canisa tion s accompagne cependant de contraintes commencer par des investissements en mat riel et en formation des salari s pour apprendre les ma triser qui seront rentabilis s par l accrois sement du rendement Les tech niques innovantes en effet ne s improvisent pas par exemple la projection d un enduit ext rieur doit prendre en compte le type de l
71. duits b nins certains sont tiquet s Danger d autres pr sentent les pictogrammes irritant inflammable ou facilement inflammable Ce qui ne simplifie pas les choses c est que ces risques ne co ncident pas avec les familles de produits D o leur classement par cat gories de risques voir tableau TABLEAU R CAPITULATIF DES CARACT RISTIQUES ET DES EXIGENCES PAR CAT GORIE Cat gorieC Cat gorieB Cat gorien Danger de la r paration Een Reach Xn Nocif ou XI Irritant et ou Aucun composants avec valeurs R10 sans picto ou R11 Inflammables limites d exposition Entre 0 et 55 C Sup rieur 55 C Sup rieur 55 C Acc s au chantier Interdit au public et aux personnes Pas de restrictions particuli res Pas de restrictions non autoris es et autres au d capant particuli res au corps d tat du chantier d capant Pr cautions articuli res manipulation stockage Protection des ouvriers voir FDS Toutes pr cautions concernant les produits inflammables et pouvant se charger lectrostatiquement Appareils respiratoires autonomes cartouche type A gants lunettes voir FDS protections particuli res produits inflammables voir FDS Suivi m dical Oui particulier au d capant valeurs limites d exposition individuelle certains composants Oui Toutes pr cautions concernant les produits nocifs ou irritants Appareils respiratoi
72. e Guyard Je les utilise pour pr ci ser des r gles techniques comme la programmation des phases des travaux et ainsi conforter mon offre En outre ces fiches sont mises jour d s qu une volution r glementaire intervient afin de fournir aux prescripteurs tous les textes en vigueur qui r gissent la pose de carrelage Je renvoie mes collaborateurs vers elles lorsqu ils expriment un doute explique l entrepreneur qui trouve aussi un avantage commercial leur utili sation En donnant des indica teurs de co t annuel elles me per mettent de comparer le carrelage d un point de vue conomique avec d autres solutions Entre les mains des entreprises de carrelage les fiches Syst mes C ramiques jouent pleinement leur r le d aide la d cision des prescripteurs et d accompagnement jusqu la pro bl matique d entretien des rev te ments carrel s post chantier m 1 Union nationale des entrepreneurs c ra mistes du b timent UNECB FFB Syn dicat national des mortiers industriels Connexion carrelage POUR EN SAVOIR PLUS UNECB FFB Union nationale des entrepreneurs c ramistes du b timent t l 01 40 69 58 20 www unecb ffbatiment fr Des contre cloisons dans les r gles de l art gr ce la vid o R alis e l initiative de la f d ration de Seine et Marne BTP77 et de PUMPI FFB une vid o permet de visionner la pose de contre cloisons en plaques de pl tre selon les
73. e combustion parfaite et une mon t e rapide en temp rature Un bois d une humidit sup rieure 25 est fortement d conseill B TIM TIERS M MARS 2013 encrassement risque de d t rio ration Pour v rifier pr cis ment le taux d humidit le professionnel uti lisera un petit appareil d usage simple l humidim tre Concer nant la qualit de la combustion celle ci d pend fortement de la r gulation de la quantit d air inject e dans le foyer Pour obte nir une bonne combustion les appareils de chauffage fonction nant au bois devront en outre tre tanches tanch it de l appareil seul rester ferm s et pr senter une r gulation claire pour lusa ger avec plusieurs allures de fonc tionnement FUMISTERIE LA NORME NF DTU 24 1 L installation du conduit de fum e doit tre mise en uvre confor m ment aux prescriptions de la norme NF DTU 24 1 Afin d vi ter une surchauffe nuisible pour les inserts il est n cessaire de pr voir un syst me de ventilation de la hotte par grille ou tout autre moyen de circulation d air effi cace Le dimensionnement de la grille doit tre pr cis dans la notice d installation de l appareil Le conduit de fum e doit gale ment permettre la r cup ration des suies et pouvoir tre ramon Bien que la r glementation sur l entretien obligatoire des chau di res ne s applique pas pour les appareils ind pendants arr t du 15 d cem
74. e qui se caract rise par un assem blage de pi ces de bois courbes d une difficult extr me Son entreprise r alise actuellement un chantier sur une glise ancienne qui comprend la r habilitation des charpentes du clocher de la nef et du transept Autant de r a lisations qui permettent de main tenir en vie une m thode qui appartient au patrimoine m POUR EN SAVOIR PLUS FFB CMP F d ration fran aise du b timent charpente menuiserie parquets t l 01 40 69 57 40 www polebois ffbatiment fr MARS 2013 M B TIM TIERS MUS E DU COMPAGNONNAGE DE TOURS 13 14 ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF VERS UNE R NOVATION PROGRESSIVE DU PARC En vigueur depuis le 1 juillet 2012 la r glementation r vis e sur l assainissement non collectif pr cise les modalit s de contr le des installations qui peuvent obliger les usagers faire des travaux dans certains cas ainsi que les prescriptions techniques appliquer nviron 5 millions de foyers fran ais soit 20 de la population de notre pays ne sont pas raccord s au r seau public de collecte des eaux us es et utilisent des instal lations d assainissement non col lectif ANC Or des installations d fectueuses ou mal entretenues peuvent pr senter un risque sani taire ou une source de pollution pour l environnement La nou velle r glementation renforce et uniformise le r le des services publics d assainissem
75. e aux attentes des ma tres d ouvrage et des utilisateurs il faut prendre en consid ration tout un ensemble d l ments le terrain l exposition le b ti les choix de modes constructifs de mat riaux et d quipements Et il faut que tout le monde partage la m me vision transversale pour jouer sur tous ces leviers et parve nir une solution viable sur tous les plans L une des cons quences positives de la RT 2012 est qu elle incite mettre davantage lac cent sur la qualit intrins que du b timent et sur les syst mes pas sifs car les quipements ne suf fisent plus atteindre les objec tifs de performance nerg tique De m me la RT 2012 pousse casser les dogmes et moduler les solutions au cas par cas par ticuli rement en mati re d isola tion thermique Avez vous le sentiment qu on est all trop loin en mati re de r glementations techniques appliqu es au b timent Aujourd hui les r glementations s entassent avec des interf rences parfois inextricables entre celles concernant la thermique l acous tique et l accessibilit Il appara t aujourd hui n cessaire de faire le point sur l application de ces r glementations en s interrogeant sur leur articulation et en envisa geant la possibilit de les moduler en fonction des usages Doit on tre aussi exigeant par exemple pour l isolation acoustique dans un immeuble de bureaux o la plupart des gens travaillent port
76. e l exposition un niveau aussi bas qu il est techni quement possible Elle tablit par ailleurs que les organismes charg s du contr le doivent tre accr dit s par le Cofrac Cette nouvelle r gle mentation court compter du 17 janvier 2013 LE P LE BOIS DE LA FFB R AGIT Face aux difficult s rencontr es par les entreprises du secteur pour appliquer ces m thodes de contr le la profession a r agi en finan ant via la taxe Codifab une premi re tude intitul e Epo bois qui montre que ces m thodes ne sont pas adapt es aux pous si res de bois Selon les crit res d finis par l arr t de 2009 sur les onze entreprises valu es dans cette tude aucune n est conforme alors que 70 des postes va lu s taient jug s en conformit selon l ancienne r glementation datant de 2004 D termin e n an moins faire progresser la pr ven tion contre les risques en accord avec les diverses parties prenantes la FFB CMP a sign en mars 2012 une convention Poussi res de bois avec le minist re du Travail et l ensemble des organismes pro fessionnels concern s L objectif travailler en commun la sensi bilisation des employeurs comme des travailleurs Elle a t suivie de la cr ation de groupes de travail qui sont charg s de faire des pro positions concr tes pour r pondre aux probl mes soulev s par la nouvelle r glementation Parall lement une seconde tude Tem pob
77. e p 44 E B TIM TIERS 11 VOUS COnSITUisez ITU OS COTES Besoin d information sur les DTU Consultez la plaquette DTU vue d ensemble TRAIT DE CHARPENTE Lame du metier de charpentier bois Concurrenc e par les logiciels de dessin en 3D la m thode trait de charpente qui remonte au XIIF si cle conserve toute sa pertinence dans la r alisation d ouvrages complexes et la r habilitation d difices anciens i la construction bois a raison de se moder niser et de s quiper en bureaux d tudes et en machines de d coupe pour am liorer ses m thodes et sa productivit elle ne doit pas pour autant oublier ses racines Tel est le sens que Pon pourrait donner l inscription en 2009 au patrimoine culturel immat riel de l Unesco de la tra dition du trac dans la charpente fran aise Cette m thode autre ment appel e trait de charpente tait d j utilis e par les b tisseurs au XIIT si cle et vise ma triser la conception d un ouvrage complexe en bois en trois dimensions Elle permet d exprimer par le dessin et avec la plus grande pr cision la r a lit des volumes les diff rents l ments de charpente qui composent l ouvrage et leur imbrication entre eux Gr ce cette m thode le char pentier peut d finir avant la fabri cation toutes les pi ces aussi com plexes soient elles qui forment la charpente et tre assur de leur par
78. eau Veritas et les certifications np a a P ES i Hj Soucieuse d aider la disposition de prestation cet outil b timent d habitation de services TE Apsad ses adh rents la profession en 2007 prend la forme d un collectif et identifie Pose et apr s vente d quipements de se positionner un outil d analyse questionnaire le cas ch ant protection m canique contre les cambrio sur le march de risque labor sur support papier les points renforcer lages Apsad de service D tection d in de la s ret et largir en commun ou informatique qui do trusion et Vid osurveillance NF Service A P A i SeA mn IP i ps e DISPONIBLE SUR amp Apsad Pr cieux e g LE CEE conseil l Union des clients l occasion la classe de nn ee aux utilisateurs une qualit d quipement m talliers a mis d une demande de b timent maison ou PUBLICATIONS et de prestations reconnue par l ensemble 52 B TIM TIERS M MARS 2013 VOUS COnSITUisez NOUS SOMMES OS COTES Besoind information sur laccessibilite Consultez les fiches accessibilite par ouvrage 54 INNOVATION Bloc constructif bois tout en un U n syst me constructif qui r pond naturellement et simultan ment l ensemble des contraintes actuelles thermiques acoustiques et environnementales sans bouleverser les habitudes sur les chantiers c est ambition du proc d baptis Wblock par son conce
79. ec des mortiers performanciels pr ts l emploi appliqu s g n ralement en une ou deux passes frais sur frais avec le m me mortier Leur fonction premi re est l imperm abilisation Ils ont accessoirement vocation parer les parois La plupart des dommages rencontr s sont li s l aspect et n ont pas d incidence sur la qualit et la durabilit de l enduit D autres par contre affectent l imperm abilit de la paroi LE DIAGNOSTIC e Les d sordres affectant l aspect Le nuan age d signe des variations de couleur ou d aspect de l enduit Il r sulte de l irr gularit de la pr paration de l enduit dosage et malaxage ou de l application reprises paisseur uniformit du talochage Les spectres peuvent tre permanents ou visibles seulement lorsque l enduit est mouill Ils r sultent du diff rentiel existant dans la prise ou la vitesse de prise de l enduit entre les joints des ma onneries et la surface courante Ce ph nom ne li la nature des joints est r duit par l application de l enduit en deux passes et le respect des paisseurs Le fa en age est particuli rement inesth tique c est une microfissuration en forme de r sille qui affecte la surface de l enduit Les finitions taloch es et taloch es ponge sont particuli rement sensibles ce d sordre Sauf composition particuli re de quelques enduits monocouches sous Avis techniques s
80. echnique de mat riaux natu rels et de construction 2 Syndicat national des roches ornemen tales et de construction 3 www ctmnc fr POUR EN SAVOIR PLU UMGO FFB Union de la ma onnerie et du gros uvre t l 01 40 69 51 59 www umgo ffbatiment fr la construction m tallique labellisation volontaire s ap puie sur les r f rentiels existants comme EN 1090 et prend aussi en consid ration l ISO 9001 ou PISO 14001 ce sont autant tapes facilitant le processus d attribution E 1 Toutes les informations sur le label BlueMetalPlus sont disponibles sur le site d di www bluemetalplus com ee ee e CTICM Centre technique industriel de la construction m tallique t l 01 60 13 83 00 www cticm com e SCMF FFB Syndicat de la construc tion m tallique de France t l 01 47 74 66 15 www scmf com fr VOUS COnSITUisez NOUS SOMMES OS COTES Besoind information sur laccessibilite Consultez les fiches accessibilite par ouvrage Consultez le catalogue des publications pour acc der a plus de 350 references Du bon usage des nouveaux de capants Depuis juin 2012 les professionnels sont tenus d utiliser des d capants moins nocifs pour la sant et l environnement Pour les aider dans leur choix une recherche a t men e dans le cadre du Programme recherche d veloppement m tiers PRDM de la FFB LUC FATY RESPONSABLE DE L ENTREPRISE SLPIB RH
81. ecteur aux bonnes pratiques visant am liorer la pr ven tion des risques professionnels du b timent Cette ann e ce sont les th mes de l amiante et des manutentions manuelles qui seront mis en avant Ces sujets seront d velopp s via une pr sentation d une heure sur chantier ainsi qu un quiz d une vingtaine de questions qui apporte des informations essentielles sur les deux th matiques tout en proposant des solutions simples de pr vention l issue de cette jour n e le gagnant du quiz se verra remettre un ch que cadeau En 2012 la Journ e de la pr vention avait r uni plus de 6000 participants dans toute la France m www journeedelaprevention fr DOZOMUT Z MARS 2013 Ecobat Porte de Versailles Paris Salon de l co construction et de la performance nerg tique BE 28 MARCUS Un jour en entreprise Organis e par la FFB une journ e destin e aux professeurs conseillers d orientation et chefs d tablissement pour d couvrir le quotidien des entreprises CEREA E EZO Journ e de la pr vention Une journ e pour sensibiliser les acteurs sur les TMS et l amiante DU 16 AU 18 AVRIL 2013 Innovative Building Porte de Versailles Paris Salon professionnel du b timent innovant performant intelligent et durable DURS AUTIZIMATZOIS Congr s de la FFIE FFB Saint P tersbourg Russie DU 13 AU 18 MAI 2013 Journ es europ ennes du solaire D couvrir comprendre et
82. ent non col lectif Spanc qui ont t mis en place par les communes depuis 1992 pour contr ler la conformit des installations DES CRIT RES DE DIAGNOSTIC COMMUNS Les crit res de diagnostic sont d sormais communs sur tout le territoire et les documents pro duits lors des visites sont harmo nis s La nouvelle r glementation repose sur trois grands principes dont le premier est la r alisation d installations neuves qui soient la fois de qualit conformes la r glementation et adapt es aux conditions locales Pour toute construction neuve comprenant une installation d assainissement non collectif le propri taire doit dor navant joindre sa demande de permis de construire une attestation de conformit de son projet d ANC d livr e par le Spanc de sa com mune Les installations neuves doivent de surcro t comporter des B TIM TIERS M MARS 2013 EN PERMETTANT LA MISE EN UVRE DES SYST MES INNOVANTS tels que les micro stations la nouvelle r glementation renforce la dimension de conseil des professionnels dispositifs facilitant le contr le des agents du Spanc Deuxi me prin cipe les installations existantes qui pr sentent un danger pour la sant des personnes ou un risque av r de pollution pour l environ nement doivent tre r habilit es de fa on prioritaire En fonction de la gravit du dys fonctionnement constat lors du contr le effectu par le Spanc absence d
83. entreprises de sols indus triels peuvent donc les int grer dans le dimensionnement de leur ouvrage qu elles continuent r aliser conform ment au NF DTU 13 3 explique Bruno Simon Terrasol groupe Setec directeur du projet de recherches qui a regroup les principaux acteurs concern s par ces ouvrages ma tres d ouvrage ing nierie entreprises g n rales et entre prises sp cialis es et permis d la borer les recommandations Asiri Ces deux documents techniques encadrent d sormais la conduite des tudes de sol dont la qualit conditionne en grande partie la capacit des dallages industriels r pondre aux contraintes d exploi tation du donneur d ordre m 1 Recommandations pour la concep tion le dimensionnement l ex cution et le contr le de l am lioration des sols de fon dation par inclusions rigides projet Asiri Am lioration des sols par inclusions rigides a e UNESI FFB Union nationale des entrepreneurs de sols industriels t l 01 40 69 51 54 www unesli ffbatiment fr e Les recommandations Asiri sont disponibles aupr s des Presses des Ponts www presses des ponts fr MARS 2013 M B TIM TIERS 19 20 OUVRAGES EN PIERRE Le dimensionnement a la portee de tous i la pierre naturelle est un mat riau de construction aux propri t s reconnues de longue date il manquait aux bureaux d tudes un outil de calcul simple d utilisation qui permette de di
84. ernationale des Olympiades des m tiers laquelle Mathieu Aubert pren dra part aura lieu Leipzig en juillet prochain m POUR EN SAVOIR PLUS Liste des finalistes et informations sur www worldskills france org PROS DE LA PERFORMANCE NERG TIQUE ET QUALIFICATION M TIER Faire d une pierre deux coups D rofiter sans attendre des avantages concurrentiels de la marque Pros de la per formance nerg tique quand on est dans l attente de la vali dation de son dossier de qua lification C est d sormais possible gr ce la d marche d attribution provisoire mise en place par la FFB pour am nager le chemin des entreprises jusqu la marque Pour en b n ficier elles doivent satis faire aux autres crit res d at tribution avoir sign la charte B tir avec l environnement et suivi les formations FEEBat et s engager obtenir une qualification dans leur m tier aupr s de Qualibat Qualifelec ou Qualit EnR dans un d lai de douze mois Cr ateur il y a dix huit mois seulement de Ecolopo une entreprise sp cialis e dans le bardage et l isolation ther mique par l ext rieur qui emploie sept salari s Bon dues dans le Nord Lo c Lemesre se f licite d avoir uti lis cette proc dure Alors que mon dossier de qualifi cation tait d j bien avanc j ai suivi les formations FEE Bat en novembre et d cembre derniers dans le but de devenir Pros de la performance nerg
85. es Elles recensent ga lement les contraintes techniques et les donn es r glementaires Le fait de retrouver tous les textes de r f rence la fin de chaque fiche montre que notre profession est tr s technique reprend le chef d entreprise Cette approche vite de banaliser notre m tier apporte de la valeur ajout e notre offre et tire nos entreprises vers le haut TR S UTILES LORS DES APPELS D OFFRES Autre int r t des fiches Syst mes C ramiques en structurant toutes les informations pour une mise en uvre des rev tements car rel s dans les r gles de l art elles sont aussi devenues un support QUATORZE FICHES TECHNIQUES Sur www systemes ceramiques org les fiches peuvent tre consult es en libre acc s et t l charg es On y trouve les pr conisations globales pour la mise en uvre de rev tements carrel s en terrasses et balcons hypermarch s tablissements d enseignement et de sant galeries commerciales h tellerie planchers chauffants vestiaires douches et sanitaires cuisines collectives locaux agroalimentaires coll s en fa ade piscine recevant du public r novation de murs int rieurs r novation de sols int rieurs AM NAGEMENT ZFINITIONS technique et commercial pour les entreprises de carrelage Parce qu elles abordent le carrelage dans diff rentes probl matiques chan tier elles me sont tr s utiles lors des appels d offres confirme J r m
86. es ouvertes que dans un immeuble d habitation o il est essentiel de pr server la qui tude des habi tants Doit on vraiment appli quer les r gles d accessibilit tous les logements d un m me immeuble collectif De m me que les constructeurs automobiles ont su largir leurs offres et construire des voitures moins ch res sans rien enlever la s curit nous devrions nous aussi raisonner davantage par tir des usages et aller d s lors vers une application plus intelligente et plus souple de la r glemen tation Mettre l usage au centre de la probl matique c est ce que nous faisons d j quand nous raisonnons en co t global sur toute la dur e de vie d un b ti ment Les trois quarts de ce co t si on se projette sur plusieurs d cennies sont li s au fonction nement du b timent en particu lier aux d penses d nergie Penser l usage est donc bien la cl de tout Nos confr res bri tanniques d ailleurs ont une vision plus pragmatique que la n tre de ces notions Pour eux l utilit d un b timent et sa faci lit d adaptation un ventuel changement de destination dans le futur du bureau vers l habi tat par exemple influent direc tement sur sa valeur patrimo niale et d terminent donc le processus de conception Nous aussi soyons plus pragma tiques en r duisant l cart entre le cadre th orique des r gle mentations et la vraie vie m 1 Voir articl
87. es bo tes d at tente pour les pr dalles suspen dues pour qu elles puissent tre int gr es au calcul et aux plans de r alisation des pr dalles Il s agit dun document cl pour la mise en place d un indispensable r troplanning commente Didier Brosse directeur g n ral de Brosse SAS une entreprise de gros uvre implant e Chazelles sur Lyon Loire Toutes les tapes doivent tre coordonn es avec l ing nieur b ton puis il faut prendre ren dez vous avec le fabricant pour d finir avec lui le sens de port e des pr dalles les zones d appui et d finir un calendrier pr vision nel de livraison des pr dalles Si elle demande un peu de temps en amont du chantier la m thode QUALIpreDAL est une garantie pour que les pr dalles conformes aux prescriptions soient livr es en bon ordre sur le chantier au fur et mesure de son avancement afin que la productivit soit au rendez VOUS POUR UNE BONNE MISE EN UVRE JUSQU AU CHANTIER La collection de documents tech niques sur les pr dalles comprend aussi des recommandations pro fessionnelles concernant les dalles pr dalles suspendues avec bo tes d attente et un guide d applica tion de ces recommandations Les pr cisions qu elles apportent dans les phases les plus techniques de la mise en uvre en particu lier le positionnement pr cis la bonne hauteur des bo tes d at tente et la bonne mani re de d plier les armature
88. et de ventilation autonomes ainsi que des r serves d eau de nourriture et les am nagements n cessaires un s jour prolong MANQUE DE REP RES POUR LES PROFESSIONNELS D activit annexe fr quemment coupl e l installation et la maintenance des syst mes anti incendie la s ret a rapidement pris son essor et tout laisse pr sager qu elle restera un march durablement porteur Les entre prises de b timent en premi re ligne pour le conqu rir mettent tout en uvre pour r pondre la demande Pourtant les pro fessionnels ne se sentent pas toujours suffi samment arm s pour s y engager en toute s r nit car beaucoup de leurs questions Vid o g olocalisation et chambre forte Cr e en 2007 la soci t GAPSE Angers sp cialis e dans la s ret con oit et fabrique des quipements et travaille avec les pouvoirs publics Ces derni res ann es son activit s est largie aux soci t s priv es principalement dans le secteur de la construction Un besoin de professionnalisation sur Un march peu cadr D abord sp cialis dans la d tection incendie et la maintenance des syst mes de s curit incendie Philippe Blin a d velopp l activit de son entreprise en d tection d intrusion qui repr sente aujourd hui 65 du chiffre d affaires Es Ilya un accroissement de vols et ceux ci sont r alis s de fa on de plus en plus professionnelle Toutes les entreprises so
89. existante non conforme mais sans risque pour l environnement ou la sant Installation existante non conforme comportant un risque pour l environnement ou la sant Installation existante pr sentant des d fauts d entretien ou usure En cas de vente L installation doit tre conforme e Les travaux doivent tre r alis s mais sans condition de d lai e En cas de vente les travaux doivent tre r alis s sous 1 an e Les travaux sont obligatoires dans un d lai de 4 ans maximum e En cas de vente les travaux doivent tre r alis s sous 1 an e Le vendeur doit fournir un diagnostic de son installation datant de moins de 3 ans annexer la promesse de vente Le Spanc v rifie la conformit de l installation lors de son passage e Le Spancv rifie la conformit e Subvention directe de ANAH e Pr ts possibles des caisses de retraite et CAF e TVA 7 de l installation lors de son passage e l d livre l attestation Lors de son passage le Spanc tablit e Le Spanc tablit une liste de travaux r aliser lors de son passage e l v rifie la conformit une fois les travaux r alis s e Le Spanc tablit une liste de travaux r aliser lors de son passage e l v rifie la conformit une fois les travaux r alis s Pas d aide e co pr t taux z ro hauteur de 10000 e Subventions via le Spanc de l Agence de l eau et du conseil g n ral e Subventio
90. gences g n rales relatives aux organismes de qualifica tion d entreprises e www qualibat com e www qualifelec fr e www qualit enr org ENVIRONNEMENT Recycler les plaques de pl tre souill es Chamb ry Savoie non loin d une usine de fabrication de plaques de pl tre l entreprise Nantet Groupe Serfim sp ciali s e dans la collecte la gestion et la revalorisation des d chets a mis en service en septembre 2011 une unit de recyclage pour plaques de pl tre provenant de centres de tri des d chets de chantier Autre ment dit des plaques souill es isolant colle habituellement enfouies en d charge C est une premi re en France Auparavant nous ne triions que des plaques propres mais cela ne repr sen tait qu un volume infime du mar ch potentiel explique Gilles Nantet dirigeant de la soci t Ce qui l a conduit chercher des solu tions pour valoriser les plaques issues de la d construction ou de d chets classiques de chantier MATI RE PREMI RE SECONDAIRE Le projet r alis avec le centre de recherche Terre amp Pierre en Belgique et avec le soutien de l Ademe dans le cadre de l appel projets Technologies de tri et recyclage a abouti en trois ans au d veloppement puis la mise en place d une unit de tri sp cifique et brevet e permettant de trier tout type de d chets de plaques de pl tre Aujourd hui nous sommes capables de trai
91. harpente en 1998 avec un salari Yvan Perrin compagnon du Tour de France avait surtout envie de r aliser de beaux escaliers La demande client aidant la mai son ossature bois construite d s la premi re ann e a t suivie par beaucoup d autres et depuis 2003 cette activit est devenue pr pon d rante Aujourd hui les Char pentiers du Morvan comptent 22 salari s et partagent leur activit entre march s priv s et publics maisons particuli res logements sociaux tertiaires et quipements publics dans un rayon de 150 km autour d Avallon Au d part reconna t Yvan Perrin l isolation nous pr oc cupait davantage que l tan ch it Pair de l enveloppe et les liens avec les autres corps d tat ma on plombier lectricien plaquiste a a chang loc casion d un projet BBC o nous devions tre encore plus perfor mants Nous avons travaill avec un bureau d tudes thermiques pour valider nos valeurs d isolants et nous avons fait r aliser un test d tanch it interm diaire la fin du clos couvert partir de l nous avons essay d aller de Pavant et de faire mieux que le minimum L entreprise se posi tionne aujourd hui sur les macro lots de clos couvert et assure ainsi l tanch it Elle assemble les murs qu elle fabrique toujours du m me type panneau de contre B TIM TIERS M MARS 2013 ventement l ext rieur isolant paisseur variab
92. i tiative dupliquer m POUR EN SAVOIR PLUS BTP77 t l 01 64 87 66 11 Besoin d information technique DANS L ESPACE ADH RENT RUBRIQUE M DIATH QUE PUBLICATIONS TECHNIQUE B TIM TIERS W MARS 2013 Le catalogue des publications techniques et metiers de la FFB vous donne acc s a plus de 350 r f rences CATALOGUE T L CHARGEABLE SUR WWW FFBATIMENT FR www ffbatiment fr Convention FFB ERDF R soudre les difficult s de raccordement sur chantier La FFB et ERDF ont d cid de travailler conjointement l am lioration des conditions de raccordements provisoires de chantier la pr vention et la sensibilisation aux risques lectriques ainsi qu au d ploiement des smart grids ouverture du march de l nergie en 2007 et les vo lutions du code de l urbanisme ont parfois rendu complexes les d marches des entreprises du b timent celles du secteur du gros uvre notamment pour rac corder leurs chantiers au r seau lectrique Difficult s dues des changements de proc dures et la multiplication des interlocuteurs avec pour r sultat des d lais qui se sont significativement allong s alors que les entreprises voient souvent les leurs raccourcir Un dialogue s est ainsi tabli entre la FFB et ERDE principal op rateur habilit proc der au raccorde ment au r seau de distribution public d lectricit De ce dia logue est n e une convention de partenariat sign
93. ieurs Pour les entreprises de peinture la m canisation est un facteur de qualit et de productivit qui leur donne acc s de nouveaux march s D our le peintre la m canisa tion des savoir faire est un mouvement de fond L image d pinal du peintre repr sent avec sa brosse et son chelle a bien v cu remplac e par celle d un professionnel form aux mat riels innovants Quelques exemples Les enduits long temps projet s de fa on gros si re qu il fallait ensuite ratisser la spatule sont de plus en plus appliqu s en une seule op ration par pulv risation l aide de pis tolets reli s des pompes airless l gers et maniables De m me les ponceuses girafes permettent de poncer les plafonds jusqu 3 m de hauteur tout en aspi rant les poussi res depuis le sol sans effort et en toute s curit puisqu elles suppriment l chelle Il en r sulte des supports par faits gr ce aux disques de grande surface et la r gularit m ca nique Autre exemple les conte nants gros volumes pompent la peinture depuis le sol jusqu l tage pour une application directe synonyme d efficacit LA M CANISATION EST LE LEVIER PRINCIPAL DU PEINTRE POUR R DUIRE SES CO TS Les progr s sont tout aussi mar quants pour les travaux de pein ture ext rieurs Dans le cadre d une isolation thermique par l ext rieur les machines pro jettent aujourd hui en une seule op ration l en
94. installation d faut de s curit sanitaire d faut de structure ou de fermeture des ouvrages installation incompl te sous dimensionn e ou pr sentant des d fauts d entretien le pro pri taire disposera d un d lai de quatre ans maximum seulement un an en cas de vente pour r ali ser les travaux de mise en confor mit En effet le troisi me prin cipe consiste s appuyer sur les ventes de logements pour acc l rer le rythme de r habilitation des installations existantes si le logement comporte un ANC le diagnostic immobilier joint tout acte ou promesse de vente doit tre accompagn d un docu ment dat de moins de trois mois tabli par le Spanc et informant l acqu reur de l tat de l installa tion Si des travaux sont n ces saires ils devront tre effectu s dans un d lai de un an maxi mum apr s la signature de Pacte de vente R ALISER LA BONNE INSTALLATION Pour les professionnels de l assai nissement non collectif ces nou velles dispositions devraient se traduire par un regain d activit Mais pour que les am liorations en mati re sanitaire et environne mentale attendues soient au ren dez vous ils doivent aussi miser sur la qualit des travaux qui passe par le respect des r gles de l art d crites dans le NF DTU 64 1 Mise en uvre des dispositifs d assainissement non collectif en cours de r vision l issue de celle ci ce document obtiendra le
95. isante support gorg d eau absence de couche d accrochage Le br lage ou grillage est d une dessiccation pr matur e de l enduit par absorption d eau par le support ou aux conditions atmosph riques Le cisaillement se rencontre sur les supports faibles caract ristiques m caniques b ton cellulaire Il est d l application d un enduit inadapt ce type de support LES BONNES PRATIQUES Attention aux enduits de couleur fonc e sensibles aux chocs thermiques Choisir un produit adapt au support Bien pr parer le support Utiliser une couche d accrochage gobetis Respecter la quantit d eau de g chage Respecter le temps de malaxage Toujours g cher le produit dans les m mes conditions sur une m me fa ade Respecter les paisseurs recommand es par le fabricant minimum 10 mm Prot ger les t tes de murs et appuis d ouvertures par un d bord muni d une goutte d eau Incorporer des renforts d armatures dans l enduit la jonction de deux mat riaux support diff rents et au niveau des planelles de planchers Privil gier l application en deux passes Ne pas entreprendre les travaux d enduits en p riode de gel sur des supports chauds ou dess ch s par vent sec ni pour les enduits color s de parement par temps de pluie brouillard ou forte humidit afin d viter la formation d efflorescences
96. ix ans On trouve ainsi des inox o le nickel a t remplac par d autres composants et dont le prix est en moyenne inf rieur d un tiers aux inox g n ralement employ s La r putation de chert de 1 ConstruirAcier association loi 1901 a pour objectif de promouvoir l utilisation de l acier SE PROFILE POUR LES M TALLIERS 1 PR CAUTION PRINCIPALE EN ATELIER pr venir toute contamination du mat riau pour viter un d part de corrosion 2 BARDAGE INOX du gymnase universitaire de Villetaneuse Seine Saint Denis 3 BARDAGE INOX de l ensemble mixte Le Monolithe Lyon 4 COUVERTURE AUTOPORTANTE INOX bureaux EADS Gonesse Val d Oise M GAUTRAND ARCHITECTE RAMET APERAM C BAPST ET B PANTZ E AVENEL APERAM apportera les donn es n cessaires pour ma triser de A Z la r alisa tion des ouvrages de m tallerie en inox avant projet vente concep tion ex cution et mise en uvre ainsi que les conseils d entretien destin s aux clients Alors que le GT5 poursuit l inventaire des points traiter B tim tiers se fait P cho de ses premi res pr conisa tions sur quatre sujets cl s CHOIX DES NUANCES La principale caract ristique de Pinox est sa r sistance la corro sion qui va de pair avec son esth tique Elle est due la pr sence de chrome dans acier laquelle forme en surface une couche pro tectrice d oxyde de chrome qui a la propri t
97. l demandera d clairage artificiel les l ments qui entrent dans les calculs de la RT sont quasiment impossibles changer par la suite Finies donc les variations que l on pouvait auparavant tol rer le respect scrupuleux du cahier des charges devient un l ment essentiel pour r ussir obtenir une consommation d nergie pri maire Cep plus ou moins gale 50kWh m an suivant les contextes D termin s au moment de l appel d offres les moyens calculs du bureau d tudes ther miques qui seront engag s pour atteindre cette exigence de consommation sont fix s d s le d p t du permis de construire Cela ne peut au final que favori ser les entreprises qui travaillent consciencieusement et mettent la qualit au premier rang de leurs pr occupations CORESPONSABILIT Autre cons quence de la RT 2012 les lectriciens doivent se pr pa rer travailler en plus troite col laboration avec les autres corps de m tier avec lesquels ils seront coresponsables de certains points essentiels au respect de la r gle mentation C est particuli re ment le cas des obligations li es la perm abilit lair ce qui sup pose que l lectricien travaille en bonne harmonie avec le pla quiste notamment en surveil lant les passages de gaines et Pen castrement des bo tiers Parmi les autres moyens mettre en uvre et qui d coulent de la RT 2012 lectricien sera par ail leurs oblig
98. la FEB cet organisme a pour mission par d l gation d Afnor de g rer plus de 80 commis sions de normalisation anim es par les unions et syndicats de m tiers de la FFB avec pour objectif d laborer ou de r vi ser des normes en vue de leur homologation et publication par l Afnor Il s agit des normes de travaux de b timent NF DTU mais aussi des normes de sp ci fication de produits du b timent et de dimensionnement des ouvrages Le champ d interven tion du BNTEC comprend pr s de 800 normes dont 200 sont mises en chantier ou r vis es chaque ann e En 2012 47 com missions de normalisation ont t actives g n rant la publica tion de 49 documents norma tifs contre 43 en 2011 dont 46 r visions et 3 cr ations Pr ci sons que 26 de ces normes sont d origine fran aise dont 24 de la collection DTU et 23 d origine europ enne ou internationale LE R LE PR POND RANT DES ENTREPRISES Les commissions de normalisa tion regroupent plus de 1 200 ex perts qui repr sentent les diff rents acteurs de la construction entreprises de travaux de l occasion de son _ conseil d orientation du 29 novembre dernier le BNTEC a r compens les meilleurs contributeurs la normalisation 2012 De gauche droite Thierry Toffoli artisan carreleur Jean Marc Truche Fimurex fabricant d armatures m talliques Fran ois Michel Bureau Veritas et Patrick Devaux OPPBTP
99. la r alisation d un test interm diaire sont de bons moyens pour viter les d convenues lors de la r ception Diff rents du contr le par un tiers il s agit l d outils internes l entreprise qui permettent de mani re simple de valider le travail r alis Il n y a donc pas de sanction la cl le seul objectif tant une am lioration continue de la qualit pour et entre les corps d tat sur les chantiers Pour en savoir plus Fiches d autocontr le m tier disponibles sur le site de la FFB www ffbatiment fr espace adh rent VOUS CHERCHEZ UN ARTICLE DE BATIMETIERS wwW ffbatiment fr espace adh rents MARS 2013 M B TIM TIERS 57 ACCESSIBILIT Un patrimoine adapt qui conserve son me Rendre un difice patrimonial conforme la r glementation accessibilit tout en conservant son cachet d origine c est possible Illustration avec cet h tel particulier bordelais du XVIIF si cle adapt pour devenir un ERP S orti du demi sommeil des vieilles pierres le Petit H tel Labotti re un tr s bel immeuble du XVIIF si cle situ en plein Bor deaux class monument histo rique est redevenu un difice fr quent et actif Depuis l automne 2012 il abrite l institut culturel Bernard Magrez dont la vocation est d accueillir les uvres d ar tistes contemporains dans le cadre d expositions ouvertes au public Mais cette r ouverture n a pu se faire qu apr
100. le l int rieur et terme menuiseries int gr es l atelier avec un espacement entre poteaux de 0 60 m LE TEST DE LA PORTE SOUFFLANTE ALIMENTE D SORMAIS UN CERTAIN CHALLENGE ENTRE LES SALARI S YVAN PERRIN DIRIGEANT DES CHARPENTIERS DU MORVAN Et elle emploie syst matique ment des accessoires de la m me marque afin de pr venir les pro bl mes d incompatibilit et facili ter l identification des responsabi lit s en cas de sinistre Une quipe sp cialis e est charg e de l isola tion de la pose de la membrane d tanch it pare vapeur ou frein vapeur et des proc dures d auto contr le C est elle galement qui sensibilise les autres corps d tat aux pr cautions prendre pour ne pas endommager le complexe d tanch it montre comment faire et laisse le mat riel n ces saire Mais une fois que nous ne sommes plus sur le chantier nous n avons plus aucune ma trise de ce qui se passe et nous rencon trons des probl mes sp ciale ment dans les march s publics en lots s par s Derni rement poursuit Yvan Perrin sur un pro jet de 25 logements nous avons vu appara tre le lot membrane et tanch it l air confi un autre corps d tat ce qui en pratique s est r v l source de discussions impossibles d m ler et de flou dans les responsabilit s C est pourquoi depuis un an et demi CHARPENTIERS DU MORVAN l entreprise s est
101. logiciels de dessin en 3D qui permettent de r aliser des ouvrages en bois tout aussi com plexes mais de fa on beaucoup plus rapide et peuvent tre connec t s aux machines commande num rique qui r alisent l ouvrage Mais le trac l ancienne conserve toute sa pertinence pour l appro priation des logiciels lors de la conception des ouvrages com plexes L utilisation des logiciels peut se r v ler ardue et si certains plans ne sont pas param tr s il existe un risque de se perdre La ma trise du trait permet alors de remettre de l ordre dans le projet confirme Patrick Jouenne Autre vertu de cette m thode ances trale elle permet d utiliser des bois gauches auxquels le charpentier peut adapter les assemblages tan dis que les robots de coupe exigent des pi ces parfaitement calibr es la bonne section ce qui peut avoir son importance dans une logique de gestion de la ressource Pour relancer l int r t en faveur de la m thode trait de charpente Patrick Jouenne est devenu en 2011 l unique laur at du concours du Meilleur ouvrier de France dans 1 CETTE LUCARNE GUITARDE r alis e par Patrick Jouenne gr ce la m thode du trait a valu son auteur le titre de Meilleur ouvrier de France 2 L PURE permet de repr senter les l ments de la charpente et leur assemblage la section Charpente Bois Pour cela il a r alis en 140 heures une lucarne guitarde un ouvrag
102. mation et organi sation la m canisation entra ne clairement les m tiers de la pein ture vers lavant m UPPF FFB Union professionnelle 0140675373 peinture finitions t l www uppf ffbatiment fr SYST MES C RAMIQUES Un outil technique et commercial pour les entreprises l origine l association Syst mes C ramiques a cr des fiches th matiques pour les prescripteurs Objectif leur donner toutes les cl s par type d ouvrages pour choisir la solution carrelage Depuis elles sont aussi devenues une v ritable aide pour les entreprises J R ME GUYARD DIRIGEANT DE L ENTREPRISE CARRELAGE PLUS LE M E SUR SEINE 77 association Syst mes C ra miques est n e d un constat simple Il fallait trouver un moyen pour aider les prescrip teurs pr coniser du carrelage se souvient J r me Guyard la t te de l entreprise Carrelage Plus Le M e sur Seine Seine et Marne L id e retenue par les trois p les l origine de ce pro jet constituer des fiches th ma tiques qui abordent les probl matiques chantier comme de v ritables aides la d cision pour les ma tres d ouvrage architectes et ma tres d uvre Aujourd hui au nombre de quatorze et d cli n es par type d ouvrages les fiches Syst mes C ramiques apportent des informations compl tes sur le carrelage lui m me mais aussi sur les produits de mise en uvre quipements et acces soires idoin
103. me sanitaire En tout une quinzaine de fiches class es par type de pol luants rappellent les enjeux de sant publique les actions de pr vention et de traitement que l on peut mettre en uvre Ce n est pas un livre de recettes mais un guide de sensibilisation et de bonnes pra tiques permettant entre autres de favoriser le dialogue sur ces ques tions avec les clients m FFB DAT Direction des affaires techniques t l 01 40 69 51 91 MARS 2013 B TIM TIERS 61 62 ZOOUM CHANTIER FORT D ISSY Naissance d un eco quartier Sur une superficie de 12 hectares dont la moiti d espaces verts l ancien site militaire du fort d Issy aux portes de Paris se transforme en un ensemble de 18 b timents certifi s BBC Pilot par Bouygues Immobilier ce vaste projet d am nagement entend concilier d veloppement durable vie de quartier et nouvelles technologies CHANTIER e D but des travaux d cembre 2010 e Premi res livraisons de logements d but 2013 e Volume de terrassements 320000 m e 12 grues couvrant l ensemble du site e Centrale b ton sur site d une capacit de 250 m jour e Effectif de 1000 compagnons sur le chantier en mars 2012 PRINCIPAUX ACTEURS DU PROJET e Am nageur Soci t anonyme d conomie mixte de l arc de Seine SEMADS e Laur at du concours de promoteurs Bouygues Immobilier et le cabinet Architecture Studio e Promoteurs partenaires BNP P
104. me ju ridique exemple la protection incendie D autre part lexis tence d une norme fait entrer la technique concern e dans le do maine des techniques courantes qui sont reconnues d embl e par les assurances car elles b n fi cient d un retour d exp rience l inverse les techniques non nor malis es demandent une exten sion de garantie le plus souvent assortie d une surprime L ann e 2013 s annonce tout aussi charg e pour le BNTEC avec un programme qui com prend 116 projets de normes d origine fran aise dont 98 de la collection DTU et 82 pro jets de normes europ ennes ou internationales Le BNTEC a par ailleurs lanc plusieurs chantiers internes en vue de favoriser la transparence de son programme de consolider son r le dans le syst me de norma lisation de valoriser la pr sence des PME TPE dans la norma lisation et d int grer les recom mandations du programme RAGE 2012 dans la r vision des normes NF DTU E 1 Pour int grer les commissions de nor malisation prendre contact soit avec le BNTEC soit directement avec le secr ta riat de la commission concern e 2 Un site internet du BNTEC a r cem ment vu le jour www bntec fr POUR EN SAVOIR PLUS e BNTEC Bureau de normalisation des techniques et quipements de la construction du b timent t l 01 40 69 52 59 www bntec fr e Les actes du colloque sont disponibles sur le site du BNTEC MARS 2013 B TIM
105. mensionner les ouvrages en conformit avec les r gles de l Eu rocode6 Cette lacune est d sor mais combl e avec la cr ation par le CTMNC la demande de la profession et notamment du SNROCP du logiciel Dima pierre Pendant longtemps le dimensionnement des ouvrages en pierre a t effectu en utili sant les approches de type for faitaire des r gles simplifi es contenues dans le NF DTU 20 1 Ouvrages en ma onnerie de BLUEMETALPLUS petits l ments Mais l entr e en vigueur de l Eurocode 6 a chang la donne en introduisant des r sistances moyennes nor malis es dont le calcul demande d importants moyens d tudes l issue d une r flexion engag e en 2008 nous pouvons proposer un outil qui int gre l approche de calcul de l Eurocode 6 se f li cite Olivier Cheze responsable du projet au CTMNC Le dimen sionnement d une construction en pierre est d sormais la por t e de la majorit des acteurs de notre fili re Ce logiciel n exige que quelques notions de base de calcul Il suf fit de le renseigner pour chaque mur de la construction en indi Un label tout en un pour D epuis juin 2012 les entre prises de la construction m tallique disposent d un label tout en un BlueMetalPlus qui leur permet de valoriser la fois leur ma trise technique et la prise en compte de la dimen sion d veloppement durable de leur activit tout au long des
106. mpe Autre id e ing nieuse pour viter de planter des clous podotactiles en m tal au sol ou en plastique au sommet de l escalier pour signaler aux malvoyants l immi nence d un vide les clous en ques tion ont t taill s directement en relief dans la pierre Ce qui permet de respecter la fois les hauteurs et espacements r gle mentaires des clous et l unit du mat riau de construction LE PETIT H TEL 1 LABOTTI RE a t mis en conformit avec la nouvelle r glementation accessibilit sans d naturer son caract re de monument Er UNE AFFAIRE DE SP CIALISTES Autre aspect important du chan tier une rampe d acc s r pon dant au taux d inclinaison r gle mentaire a t r alis e l attention des personnes mobilit r duite Elle suit la topologie des lieux en accompagnant le monticule qui sert de socle au b timent Ce plan inclin en pierre qui chemine au milieu du gravillon est r hauss d une bordure de 2 cm chasse roue sur ses deux flancs prot geant ainsi les fauteuils roulants et cannes blanches des risques de chutes En mati re de mise en accessibilit des difices patrimo niaux la probl matique rencon tr e est souvent la m me et c est le plan inclin qui demande le plus de travail car il est la premi re menace pour l esth tique du b ti ment constate le chef d entreprise Il faut donc tre imaginatif pour trouver chaque fois les soluti
107. n l occasion de replacer la RT dans la perspective du d ve loppement durable bien tre apport conomique et pr ser vation du climat qui lui donne tout son sens a POUR EN SAVOIR PLUS e Les actes du colloque sont dispo nibles sur l espace adh rent du site www ffbatiment fr rubrique Dossiers Technique Environnement Perfor mance nerg tique des b timents e Brochure L essentiel de la RT 2012 pour les entreprises du b timent disponible aupr s des FFB d partementales e Dossier de B tim tiers n 29 La RT 2012 questions r ponses Les derni res publications techniques ETANCHEITE A L AIR DES CONSTRUCTIONS POUR L LECTRICIEN Cette vid o propose en 6 minutes un tour d horizon des principaux points singuliers exemple d intervention sur un b timent en ma onnerie avec ITI En compl ment un memento peut tre utilis L ESSENTIEL DE LA RT 2012 16 pages pour conna tre les points cl s de la nouvelle r glementation pour les entreprises du b timent e t l charger sur www ffbatiment fr espace adh rent Publications Technique Environnement Version imprim e disponible aupr s de votre f d ration d partementale comme support de formation des collaborateurs dans l entreprise e Vid o et memento t l charger sur www btp77 org espace adh rents rubrique M diath que vid oth que SPECIAL RAGE 2012 Les travaux r alis s dans le cadre d
108. n directe de l ANAH e Pr ts possibles des caisses de retraite et CAF e TVA 7 e co pr t taux z ro hauteur de 10000 e Subventions via le Spanc de l Agence de l eau et du conseil g n ral Subvention directe de L ANAH e Pr ts possibles des caisses de retraite et CAF e TVA 7 une liste de recommandations r aliser e Les travaux sont obligatoires dans un d lai de 1 an apr s la vente 1 Service public d assainissement non collectif 2 Agence nationale de l habitat Le Spanc r alise un contr le si celui ci n a jamais t r alis ou si le diagnostic date de plus de 3 ans Aucune e co pr t taux z ro hauteur de 10000 e Subventions via le Spanc de l Agence de l eau et du conseil g n ral e Subvention directe de lANAH e Pr ts possibles des caisses de retraite et CAF e TVA 7 MARS 2013 B TIM TIERS 15 VOUS ConSITuISez NOUS SOMMES VOS oies Besoin d aide pour mettre en uvre vos travaux de performance energetique Consultez les fiches d autocontrole PR DALLES Des documents techniques de l encadrement au chantier Guide chantier QUALIpreDAL recommandations professionnelles affiches calepin de chantier vid o les pr dalles notamment suspendues b n ficient aujourd hui d un ensemble de supports techniques d di s chaque niveau de responsabilit garantit une organisatior BE optimale des
109. ne maintenance appropri e Sachant que la jurisprudence est extr mement claire en cas de sinistre ces fiches permettent ainsi aux entreprises de faire face LES TYPES DE FICHES DISPONIBLES concernent 1 la reconnaissance du chantier 2 l autocontr le en cours de chantier et 3 les pr conisations B TIM TIERS M MARS 2013 leur obligation de conseil En cas de probl me elles apportent la preuve crite sign e par le client que celui ci a bien t inform Cette information doit se faire au plus tard lors de la r ception ou de la prise en main de l installation par le ma tre d ouvrage Trop sou vent les entreprises se contentent encore de discuter avec le ma tre d uvre ou le ma tre d ouvrage et fournissent au client un dos sier g n ral des ouvrages ex cu t s DOE ce qui n appara t pas adapt au regard de la jurispru dence Or le ma tre d ouvrage est consid r comme n ayant pas n cessairement les connaissances suffisantes pour extraire du DOE trop souvent illisible ou diffci lement compr hensible les ren seignements n cessaires len tretien correspondant chaque partie d ouvrage De m me les entreprises consid rent g n rale ment que proposer un contrat de maintenance vaut conseil d en tretien Or en cas de litige le juge peut consid rer qu il s agit l d une offre commerciale ind pen dante du contrat de construction Enfin les fiches conseils doiven
110. nna t un d veloppement exponentiel Loffre de produits pour le contr le d acces la vid osurveillance et la vid oprotection a fortement b n fici du progr s et de la diffusion de l informatique Tous les ans sortent de nouveaux logiciels et applications ce qui entra ne des mises jour permanentes des installations Pour beaucoup de professionnels cette volution est devenue tres difficile suivre Si bien qu aujourd hui c est une activit dans laquelle il est n cessaire de se sp cialiser et de se maintenir en permanence niveau Comme le m tier n est pas suffisamment connu et que la fili re scolaire reste peu adapt e la profession rencontre des probl mes d embauche 100 entreprises du SVDI sont en permanence en recrutement et ne conna t pas le ch mage S agissant des quipements nous allons vers des b timents hypercontr l s et hyperautomatis s La gestion technique du b timent GTB et la gestion technique centralis e GTC appartiennent d j au pass car d sormais le m me syst me int gre la climatisation le chauffage et l clairage de m me que la s ret et on peut l imaginer dans l avenir galement la s curit incendie Toutefois ce march a besoin d tre cadre car trop d attributions ne se font que sur le crit re du prix et beaucoup de syst mes install s ne fonctionnent pas C est pourquoi nous envisageons qu une r glementation soit mise en place et no
111. ns il nous a permis de multiplier le chiffre d affaires par treize et l effectif par dix Nous assurons nous m mes la formation des jeunes que nous recrutons et ils restent De la m me fa on nous r alisons des installations de qualit pour nos clients qui nous confient galement la maintenance Cela se sait et nos propositions passent dans les appels d offres Apr s avoir d marr dans le domaine de la s ret avec une client le de particuliers nous r alisons aujourd hui la moiti de cette activit chez des professionnels en leur proposant des installations sur mesure Pour autant tout n est pas facile dans cette activit En neuf nous avons beaucoup de progr s faire avec les architectes car le lot s ret est souvent laiss de c t et insuffisamment pens au stade de la conception Du coup il nous est arriv de casser une installation dans un b timent tout neuf Et puis nous subissons une concurrence contre laquelle nous ne pouvons pas nous d fendre armes gales celle des tablissements bancaires qui int grent un quipement de s ret leurs clauses de pr t et celle de grands groupes touch s par la crise qui se rabattent sur nos petits chantiers sur lesquels gr ce leur volume d achat ils arrivent proposer des prix sans concurrence PHILIPPE MABILEAU DIRIGEANT DE Lu L ENTREPRISE API DURTAL bi MAINE ET LOIRE MARS 2013 M B TIM TIERS DOSSI
112. nt touch es quelles que soient leur taille et leur localisation g ographique Sur les chantiers ces vols concernent en particulier les mat riaux cuivre mais aussi les quipements lourds les pompes chaleur les radiateurs Confront s ce ph nom ne les chefs d entreprise sont plut t d sempar s Nous mettons leur disposition des syst mes abordables le plus souvent miniaturis s qu ils peuvent utiliser de fa on autonome tel un module de vid osurveillance radar et cam ra fonctionnant sur r seau GSM Pour s curiser le mat riel nous proposons une solution associant une borne une s rie de balises dispos es sur le mat riel B TIM TIERS W MARS 2013 En cas de d placement de l une de ces balises l alarme se d clenche Nous recevons aussi r guli rement des demandes de construction de chambres fortes Celles ci n manent plus seulement de chefs d tat d ambassadeurs ou de personnalit s mais de ma tres d ouvrage inquiets des risques de home jacking intrusion et racket au domicile Ainsi avec laide de la FFB nous avons mis au point des principes constructifs pr cis d une chambre forte type parois renforc es cage de Faraday filtre charbon radier surarme serrure lecture biom trique s lective EMMANUEL THAUNAY DIRIGEANT DE LA SOCI T GAPSE ANGERS MAINE ET LOIRE Depuis quelques ann es le march de la d tection d intrusion co
113. nta tion et l accessibilit du toit per mettra rapidement d identifier le type de capteur solaire installer Autre exemple dans le cas d une installation de CESI chauffe eau solaire individuel il conviendra si le client ne dispose pas de bal lon ECS de v rifier au pr a lable que le r gime de temp ra ture et la puissance de l appareil permettent la fourniture du chauf fage et de l eau chaude sanitaire Les fiches de la deuxi me cat go rie sont usage d autocontr le afin de s assurer en fin de chantier que tous les travaux ont t cor rectement r alis s et d viter ainsi les sinistres et les ventuels dan gers Elles ont t con ues sur le mod le des fiches qui existent d j dans le secteur du gaz o les pr occupations de s curit exigent un degr d autocontr le important Elles ont toute leur utilit dans un contexte o les d marches qualit et l obligation d obtenir des r sul tats ou des performances sont de plus en plus importantes FAIRE FACE L OBLIGATION DE CONSEIL Les fiches du troisi me type sont intitul es devoirs de conseil Elles aident les entreprises bien faire conna tre leurs clients ou aux ma tres d ouvrage les obli gations d entretien inh rentes tel ou tel type d installation Elles indiquent aussi les r gles respec ter pour assurer une bonne uti lisation et une p rennit des ins tallations et de leur performance par u
114. nternet des fiches destin es aider les entreprises dans l installation d nergies renouvelables EnR Fiches de faisabilit des travaux d autocontr le et de conseil d entretien des r ponses pour chaque installation selon ses sp cificit s D ans le cadre du Programme recherche d veloppement m tiers PRDM de la FEB PUECF FFB a r dig avec l ap pui du Costic Centre d tudes et de formation pour le g nie cli matique des fiches conseils destin es aider les entreprises mieux aborder l installation d nergies renouvelables EnR Elles concernent un vaste champ d installations relevant des EnR depuis les syst mes solaires com bin s aux pompes chaleur en passant par les chaudi res gra nul s bois Pour ces derniers les fiches techniques ont t lobor es avec le Groupement des m tiers du photovolta que Trois cat gories de fiches sont disponibles Les premi res sont destin es aider l entreprise lors de la pre mi re visite chez le client afin d valuer avec pr cision la faisabi lit des travaux entreprendre et d laborer la meilleure offre pos sible L entreprise peut ainsi pro die i LL cu Ai de poser un check up des points sin guliers prendre en compte et qui conditionneront le devis sachant que cette visite qui n est g n ralement pas factur e doit tre rapide et efficace Savoir par exemple quelles sont l orie
115. nture la m canisation une des cl s de la performance 42 Syst mes c ramiques un outil technique et commercial joe aa Pl tre Isolation un langage commun entre conomistes et professionnels 44 e TRAITS DE CHARPENTE la vid o de cette m thode ancestrale utilis e encore aujourd hui pour les ouvrages complexes s CENTRE THALAZUR DE CABOURG les points singuliers du chantier en images a R ALISER DES ESCALIERS M TALLIQUES D couvrez le guide Comment faire des escaliers qui d taille les volutions techniques normatives et r glementaires Un nouvel outil pour la profession Fin 2012 la F d ration fran aise du b timent cr ait le Centre national d expertise de l enveloppe et de la structure CNEES traduisant ainsi l un des objectifs fix s par le Livre blanc des unions et syndicats accompagner les projets innovants et structurants de nos m tiers l heure o La RT 2012 met en avant le r le crucial de l enveloppe dans la performance nerg tique du b timent le CNEES veut s appuyer sur la coop ration des dix sept unions et syndicats de m tiers qui y adh rent pour tre un outil ambitieux et pragmatique au service des entreprises Bien s r il accompagnera celles qui innovent en validant les solutions qu elles imaginent pour leurs clients l aura galement pour vocation de servir l int r t g n ral par le d veloppement de formations adapt es aux pr occupation
116. ois a t financ e pour trouver une nouvelle m thode de mesure de l empoussi rement plus adap t e au secteur Un appel projets industriels vient ainsi d tre lanc aupr s des entreprises sp cialis es dans les syst mes de captation et de mesure des poussi res ce stade la piste envisag e le plus s rieuse ment serait celle d un appareil de mesure en continu de l empous si rement des ateliers Ce syst me pr sente l avantage majeur d in former en temps r el salari s et employeurs d un ventuel d passe ment de la VLEP et n cessite d uti liser en compl ment des quipe ments de protection collectifs des quipements individuels Le sys LE CONTR LE CONTINU DE LA QUALIT DE L AIR QUE NOUS R CLAMONS PERMETTRAIT D ASSURER UNE MEILLEURE PROTECTION DES SALARI S EMMANUELLE DUGOUA DIRECTRICE G N RALE D ARTBOIS 24 GIRONDE t me de contr le actuel est assez arbitraire au final car il est facile de se pr parer la visite de lorga nisme de contr le assure Emma nuelle Dugoua directrice g n rale d Artbois 24 Gironde Le contr le continu de la qualit de Pair que nous r clamons per mettrait d assurer une meilleure protection des salari s Conseil l e par l OPP BTP la dirigeante a mis en uvre depuis quelques ann es d j des mesures qui font de son entreprise un mod le du genre nettoyage hebdomadaire des ateliers l aspirateur inter
117. olution de recy clage des blocs au moment de la d construction Ce bloc est fabri qu partir de bois issus du recy clage des d chets de l industrie des d chetteries et des for ts Sa production sur le territoire natio nal est une autre caract ristique de ce projet en phase avec les pr occupations du moment Ainsi la soci t Wblock D veloppement cr e pour l occasion a install une premi re usine Noyon en Picardie et envisage d en implan ter deux autres dans la r gion lyonnaise Les premiers blocs sortiront de l usine de Noyon au printemps 2013 Nous avons plus de 4 mil lions de blocs en commande pour des op rations de construc tion r alis es par de grands groupes et pour un chantier de maison Bepos exp rimentale en Loz re se r jouit Lionel Theve nin responsable commercial de Wblock Un succ s justifi selon lui par les qualit s intrins ques du produit mais aussi en raison des co ts ma tris s Nous avons fait r aliser une tude par l Union B TON BANCH Un syst me int grant l isolation O ptimiser la performance ther mique des murs b ton coul s en place conserver et valoriser le savoir faire des entreprises de gros uvre et des quipes de coffreurs bancheurs c est le double chal lenge relev par la soci t GBE avec un syst me gr ce auquel il est possible de r aliser des murs en b ton banch qui int grent des panneaux isolants PSE de 10 20 cm
118. ons les plus adapt es Le chantier de l institut culturel Magrez o les am nagements ext rieurs et d ac cessibilit repr sentent 70 du montant des travaux d montre en tout cas que l accessibilit requiert une connaissance globale de cette probl matique en plus de comp tences techniques li es au m tier du b timent exerc Apr s avoir r alis plusieurs chantiers d accessibilit ces derni res ann es notamment pour des difices reli gieux je suis devenu Pro de Pac cessibilit afin de valoriser cette exp rience ajoute Alain Iviglia C est un domaine o il est utile de se former et de mettre en avant une marque qui rassure les ma tres d ouvrage La mise en accessibi lit du Petit H tel Labotti re en est une illustration loquente m Le BNTEC Un acteur cl de la normalisation dans le b timent Lors de son dernier conseil d orientation le BNTEC a fait tat d une ann e bien remplie avec pas moins de 49 documents normatifs publi s et rappel l importance pour les entrepreneurs du b timent de tenir toute leur place dans les commissions de normalisation ne usine fabriquer des normes Telle est bien la d finition que l on retiendra du BNTEC le Bureau de norma lisation des techniques et qui pements de la construction qui tenait son conseil d orientation le 29 novembre 2012 pour pr senter son bilan annuel et ses orientations pour 2013 Financ par
119. ou encore un cisaillement On lance ensuite une v rification op ration par laquelle le logiciel effectue les calculs n cessaires et indique si le mur concern a t bien ou mal dimensionn selon les exigences de l Eurocode 6 Ce processus permet d diter une note de calcul qui pourra tre transmise avec profit un bureau de contr le technique ayant ou non une fonction struc turelle le PRP syst me qui d signe une association d l ments ayant une fonction struc turelle ou d enveloppe et le PRP global qui correspond une partie d ouvrage assurant une fonction essentielle d ossature ou d enveloppe qui est labo r e fabriqu e livr e et mont e par l entrepreneur de construc tion m tallique En d finissant cette notion BlueMetalPlus s adresse toutes les entreprises de la fili re construction m tallique qui peuvent faire labelliser un ou plusieurs de leurs PRP se f li cite St phane Herbin respon sable du d veloppement durable au CTICM l un des animateurs de ce label D autre part cette S adressant aux entreprises et aux bureaux d tudes ma tres d ouvrage et conomistes de la construction le logiciel facilite et encourage la construction en pierre de maisons individuelles et de petits b timents collectifs R guli rement mis jour il peut tre librement t l charg ainsi que son manuel d utilisation sur le site du CTMNC a 1 Centre t
120. p cifiques ces finitions le NF DTU et les certificats r servent ces aspects taloch s aux petites surfaces bandeaux entourage de baies Les mousses et salissures sont dues au d veloppement de micro organismes sur des zones humides ou des d p ts de salissures urbaines Cette fiche est extraite du classeur Fiches pathologie du b timent r alis par l Agence qualit construction AQC et la Fondation Excellence SMA Les fiches pathologie sont consultables sur www qualiteconstruction com ou www smabtp fr elles reprennent les principales pathologies par type d ouvrage fondations et infrastructures structures et gros uvre toitures et charpentes enveloppes et rev tements ext rieurs quipements am nagements int rieurs B TIM TIERS M MARS 2013 e Les d sordres affectant la durabilit La fissuration est due au comportement du support angles de baies au droit des planchers joints mal bourr s ou trop pais mais galement au retrait de l enduit li aux conditions d application exc s d eau humidification insuffisante du support temps sec vent chaud variations d paisseur Les p n trations d eau par porosit sont rares en l absence de fissures Elles sont dues des paisseurs insuffisantes d enduit Le d collement est cons cutif une mauvaise pr paration du support support farineux ou trop lisse pr sence de poussi res humidification insuff
121. part des cas une disposition aussi extr me n est pas n cessaire PR CAUTIONS DE TRAVAIL Les op rations de pliage d embou tissage de d coupe de per age et de soudage doivent tre r alis es avec certaines pr cautions s agissant de Pinox La principale est de pr venir toute contamination du mat riau avec de la calamine oxyde de fer qui pourrait entra ner un d part de corrosion voir Am nagement de atelier Les machines devront tre r gl es en tenant compte de la r sistance du mat riau sup rieure celle de l acier et de sa ten dance plus marqu e revenir sa forme initiale Pour garder intact l aspect de l inox lors de ces op ra tions le guide se fera l cho d as tuces de fabrication Le soudage exige une attention particuli re car il n est pas r alisable avec toutes les nuances de la m me fa on En cas d apport de m tal il faut veil ler la compatibilit des nuances pour viter tout d part de corro sion Pour la m me raison le cor don de soudure qui doit tre par ticuli rement soign est confi le plus souvent un compagnon qui a le coup de patte acquis par l exp rience ou gr ce une for mation ad hoc Toute op ration de soudage doit tre suivie d un d ca page puis d un rin age l eau afin d liminer le bleu de soudure et les d p ts form s sur la zone sou d e qui pourraient emp cher la formation de la couche de protec
122. pe chaleur r seau de cha leur Une condition est n an moins n cessaire au fonctionne ment optimal de ces installations des besoins en eau chaude r gu liers et r partis sur toute l ann e Certains secteurs comme l h tellerie ou les tablissements de sant sy pr tent particuli re ment bien ce qui n est pas le cas des immeubles de bureaux o la consommation en eau chaude est faible ni des immeubles occup s DES QUIPEMENTS NOUVEAU COMP TITIFS Lionel Montero pr sident du directoire Port par les pouvoirs publics le march de l ECS solaire collective a d marr tr s fort IL y a quatre ans environ Pour r pondre la demande et accompagner cette volution nous avons beaucoup investi dans la formation de nos charg s d affaires bureaux d tudes et techniciens de chantier Mais vers fin 2011 et courant 2012 la demande s est tarie aussi vite qu elle tait apparue du fait de l arr t des aides publiques pour promouvoir des installations dont les co ts demeuraient importants Aujourd hui la tendance l ECS solaire est en train de repartir dans les logements collectifs car la surproduction des panneaux solaires en Europe mais aussi en Chine a fait consid rablement baisser le prix des quipements nouveau comp titifs D s lors le march est en train de repartir B TIM TIERS M MARS 2013 de fa on saisonni re ou vides pen dant l t coles ou gymnases
123. ponibles sur l espace adh rents du site de lUMGO FFB MARS 2013 M B TIM TIERS KP1 17 Consultez le catalogue des publications pour acc der a plus de 350 references DALLAGES Une meilleure prise en compte de la nature du sol Gr ce la publication d un guide g otechnique et de recomman dations les entrepreneurs de dallages disposent d sormais d tudes fiables pour concevoir dimensionner et r aliser leurs ouvrages omme le pr cise le NF DTU 13 3 entr en appli cation en 2005 la r alisation d un dallage dans les r gles de Part fait intervenir diff rents param tres paisseur minimale normalis e conformit du b ton la norme NF EN 206 1 cure du b ton obli gatoire protection des joints d ar r t de coulage protection des ar tes de joints pour les dallages industriels Cependant le dal lage en particulier industriel doit avant toute chose prendre en compte le support car son com portement rest pas dissociable de celui du sol de fondation Or si le NF DTU 13 3 rend bien obligatoire une tude de sol pour les dallages industriels son annexe A g o technique se contente d indiquer que la connaissance du sol doit tre men e jusqu la profondeur d termin e par le g otechnicien o la d formation du substratum est n gligeable pour les charges et les tol rances consid r es En rai son de ce flou beaucoup d infor mations se perdent en ro
124. pteur Stephan Vogel laur at du prix ESTP cole sup rieure des travaux publics et du b ti ment du concours L pine alors que innovation en tait encore au stade exp rimental Comme toutes les bonnes id es c est la simplicit qui lui donne son caract re novateur En Poc currence un bloc ma onner compos d un peu de ciment et en majorit de d chets de bois non trait s 90 Il poss de la r sis tance m canique d un bloc b ton traditionnel 4 3 MPa 81t m lin aire 6 9 MPa 130t m lin aire mais aussi une r sis tance thermique sup rieure celle du b ton cellulaire ou de la brique monomur puisqu il affiche selon ses concepteurs un R de 4 66 m K W pour un bloc alv o laire de 20 cm d paisseur Avan tage suppl mentaire la mise en uvre par embo tement concep tion ourd e avec collage est qua siment identique celle d un bloc b ton classique PRODUCTION FRANCAISE Ces performances sont obte nues gr ce sa composition essentiellement base de bois ce qui lui procure en plus un bon bilan carbone stockage de CO condition toutefois d avoir CARACT RISTIQUES TECHNIQUES Dimensions 400 mm h 360 mm p 200 mm R sistance m canique 3 3 MPa construction R 2 maxi 4 3 MPa pour des constructions jusqu R 4 R sistance thermique 4 66 m K W pour le bloc alv olaire Coupe feu 3 heures Isolation phonique 49 dBA anticip une s
125. r lors de Metalexpo Comment faire des esca liers est un guide de 150 pages qui s adresse aussi bien aux archi tectes qu aux ma tres d uvre Il est le fruit du travail d un groupe de professionnels de l Union des m talliers qui l a r dig en ayant pour souci principal de l agr menter de nombreux conseils pratiques ou de mise en uvre Parmi les nouvelles r glemen tations dont il a fallu tenir compte on peut citer la r gle mentation accessibilit ou la norme NF E 85 015 sur les esca liers industriels Quant l Euro code 1 qui remplace la norme NF P 06 001 il d finit de nou velles valeurs de charges d ex ploitation et est applicable depuis mars 2010 Le nouveau guide prend en compte l ensemble de ces volutions et fournit toutes les informations n cessaires la conception et la mise en uvre des escaliers droits h lico daux balanc s quel que soit leur lieu d installation b timents publics bureaux locaux indus triels habitations Il se divise en six parties une premi re partie qui pr sente des g n ralit s pour concevoir un escalier m tallique selon les r gles de l art auxquelles s ajoutent des conseils de mise en uvre et de conception Pr sident du groupe pilote charg de la r daction du document Jean Marc Schaffner Entreprise Schaf fner Duppigheim Bas Rhin a tenu y inclure les questions essentielles que l on doit poser au client et
126. re rendue obligatoire Amiante des recISIons sur e reperage Applicables au 1 janvier 2013 de He nouveaux arr t s nn fixent les modalit s int de r alisation du rep rage des tem mat riaux contenant 2a de l amiante des listes A flocages calorifugeages et faux plafonds et B parois verticales int rieures planchers plafonds conduits canalisations quipements int rieurs et l ments ext rieurs ainsi que le contenu de la fiche r capitulative du dossier technique amiante DTA Ils font suite au d cret du 3 juin 2011 qui pr cise les divers rep rages que doivent r aliser les propri taires en fonction de la typologie de leur logement et ou en cas de vente ou de d molition du b timent Pour en savoir plus www amiante ffbatiment fr ATTENTION B TIM TIERS M MARS 2013 INITIATIVE Un pressoir cidre rofessionnelle pour l insertion p ans le cadre de leur module de formation la conduite de projet les sta giaires form s par PESJDB doivent s lectionner un pro jet identifier des partenaires financiers et des sponsors mobiliser des fonds participer l op ration et en faire la pro motion Pour les dix sept futurs entre preneurs de la 7 promotion de Bretagne de l cole le choix s est port sur l initiative d une association locale Les mordus de la pomme Celle ci avait besoin d un nouveau pres soir traditionnel en bois afin de fabriquer le cidre d gust
127. res autonomes cartouche type A gants lunettes valeurs limites d exposition individuelle certains composants Pr cautions d usage voir FDS Gants lunettes Mode Brosse rouleau Brosse rouleau Brosse rouleau d application Application m canis e interdite Application m canis e Application m canis e Temps d action Rapide 30 min 1 h sur rev tement pais En g n ral moyen long 3 6h sur rev tement pais Plus court sur film mince En g n ral moyen long 3 6 h sur rev tement pais Plus court sur film mince En g n ral obligatoire D pend des produits En g n ral facultatif Le tableau ci contre tabli par l Iref regroupe des informations issues de la fiche technique du produit et de sa fiche de donn es de s curit FDS qui doivent obligatoirement et gratuitement tre fournies par le fabricant C est notamment sur les crit res de risques de la FDES inflammabilit point d clair nocivit caract re irritant qw est fond e la distinction des cat gories A B et C qui dicte les mesures de pr caution prendre en mati re de pro tections de manipulation de stockage et de transport Concr tement que va changer l utilisation de ces nouveaux produits Le premier changement c est qu il faudra adapter la mise en uvre et donc l organisation du travail en fonction du produit Auparavant un d capage pouvait tre r alis dans l heure qui suivait l
128. risques de dom mages aux ouvrages lectriques que la nouvelle r glementation DICT doit favoriser et de la s curit des personnels Dans ce domaine la FFB s engage sen sibiliser ses adh rents aux risques lectriques tandis qu ERDF s en gage fournir des documents d information Dernier point les deux partenaires ont d cid de mener ensemble des actions de sensibilisation technologique sur les smart grids encore peu connus des entreprises m 1 D claration d intention de commence ment de travaux FFB DAT Direction des affaires techniques t l 01 40 69 52 67 Contr le et autocontr le Faire la diff rence Avec le renforcement des r glementations la v rification de la qualit des ouvrages sera de plus en plus pr gnante D un c t avec les attestations pr vues dans le cadre des r glementations de l autre avec l autocontr le exerc par les entreprises elles m mes sur les chantiers Par exemple pour la RT 2012 l attestation de prise en compte de la r glementation l ach vement des travaux est obligatoire Son objectif s assurer que tout a t fait pour atteindre les performances attendues Et cette attestation est sanctionn e par un test de perm abilit lair effectu par un tiers ind pendant Si le test n est pas bon il est trop tard C est pourquoi l autocontr le notamment par le biais de fiches d autocontr le m tier et
129. rix avec les cons quences que toute la profession conna t parfaitement en termes de sinistralit et de co t r el Il y a une dizaine d ann es ces raisons m ont conduit deve nir mon tour membre de la commission d partementale de fa on quasi militante pour que notre m tier ne soit ni discr dit ni d valoris Autant dire que je me r jouis aujourd hui de la volont des pouvoirs publics d imposer progressivement la qualification des entreprises pour les travaux d am lioration de la performance nerg tique des b timents de l tat Depuis quatre ans je fais par tie du jury d exa men des dossiers Pour moi len jeu des exigences pour l attribution de la qualification Qualibat se r sume tr s simplement c est la confiance qui peut et doit se cr er entre une entreprise qui res pecte les r gles de sa profession et son client Garan tie pour le ma tre d ouvrage elle doit en retour tre un plus pour l entreprise Quoi de plus normal Mais cela engage les membres de la com mission faire preuve d une totale impartialit On ne le sait pas toujours mais la moiti seu lement des demandes d bouche sur l attribution d une quali fication Qu il s agisse d une premi re demande ou d un renouvellement je suis parti culi rement attentif certains aspects la technique du chan tier existence ou non d un bureau d tudes d une note de 01 40 69 53 05 R
130. rne la tra vers e des cloisons Il s harmo nise aussi avec les prescriptions concernant par exemple l enro bage des tuyaux contenues dans le NEDTU 20 1 Ouvrages en ma onnerie de petits l ments Il est noter que les deux pre mi res parties du CCT tiennent compte des normes europ ennes et pr cisent dans quelles condi tions elles peuvent tre mises en uvre tandis que la troisi me partie consacr e aux appareils sanitaires et de production d eau chaude sanitaire introduit des prescriptions et pr cise des points de vigilance titre d exemple des espaces libres de 10 cm minimum au dessus et de 40 cm en dessous d un chauffe eau vertical doivent tre pr vus pour pouvoir chan ger une pi ce d fectueuse Enfin le nouveau NF DTU 60 1 com prend une partie in dite consa cr e aux dispositions de mise en service de l installation de plom berie sanitaire comme le rin age des canalisations les essais d tan ch it ou la mise sous pression de nature garantir une meilleure COSTIC _ satisfaction de l utilisateur Cette r vision globale a t r alis e avec le souci d aboutir un document normatif remis au go t du jour et compatible avec les normes euro p ennes sans remettre en cause les pratiques fran aises largement prouv es E e UNCP FFB Union nationale des chambres syndicales de couverture et de plomberie www uncp ffbatiment fr CINQ COLONNE
131. rofession entreprises fabricants et assurances ces outils sont aussi de premiers jalons Compl t s par des r gles professionnelles qui restent tre d finies m tier par m tier ils permettront aux entrepreneurs de b timent de suivre le rythme impos par le d veloppement de la demande et de l offre produit et de tirer pro fit du march d avenir qu est la s ret anti intrusion E Ill BTP BANQUE m GROUPE CREDIT COOPERATIF 1 Chiffres issus du rapport La criminalit en France publi le 22 novembre 2011 par l Observatoire national de la d linquance et des r ponses p nales ONDRP et l Ins titut national des hautes tudes de la s curit et de la jus tice INHES 2 Le recours la vid osurveillance est r gi par le code du travail et par les lois n 78 17 du 6 janvier 1978 de la Cnil et n 95 73 du 21 janvier 1995 Son utilisation en par ticulier dans les immeubles de bureaux doit respecter la libert des personnes 3 L exp rience montre en effet que lorsqu un cambrio leur ne parvient pas s introduire dans un b timent en quelques minutes il renonce g n ralement poursuivre et recommandations s appliquent aux par ticuliers d s lors que ceux ci engagent une d marche volontaire et de mani re obliga toire aux commer ants bijoutiers pharma cies banques d bits de tabac par exemple toutefois elles apparaissent aujourd hui controvers es Un second r f rentiel est la
132. s appareils ind pendants de chauf fage au bois connaissent un v ri table engouement tant dans lexis tant que dans le neuf La mise en uvre et lentretien de ces appa reils demandent de la part des pro fessionnels un certain nombre de pr cautions et de la rigueur afin d assurer le meilleur service aux clients Lors du choix des appareils il convient notamment de v rifier plusieurs param tres en fonction des besoins fr quence d utilisa tion quotidienne ou pas bud get envisag type de combustible possibilit de stockage Ces appa reils sont de plus en plus choisis en fonction de leur design cette consid ration ne doit cependant pas masquer le savoir faire pour installer appareil et conduit de fum e Il faudra aussi veiller ne pas installer de surpuissance lap pareil doit donc tre mis en place en calculant au plus juste pour un rendement maximal et un encras sement r duit Pour le po le bois le professionnel devra veiller bien espacer l appareil du mur afin la fois de favoriser la convection autour de celui ci et de respecter les distances vis vis des murs et des mat riaux inflammables pr conis es par le fabricant QUALIT DU COMBUSTIBLE Une attention particuli re sera apport e la qualit du bois Plus un combustible est humide et plus il faudra utiliser d nergie pour vacuer l eau qu il contient Le bois utilis doit donc tre suf fisamment sec pour assurer un
133. s d conomie d nergie CEE qui oblige les distributeurs d nergie faire faire des conomies d nergie leurs clients ma tres d ouvrage par exemple est particuli rement complexe Afin d aider les entreprises s y retrouver et r pondre leurs questions la FFB se mobilise dans la plupart des f d rations r gionales et ou d partementales des r f rents ont ainsi t identifi s et form s sur le fonctionnement op rationnel des CEE Un groupe de coordination national est galement charg de rep rer les dysfonctionnements du dispositif afin de proposer des solutions correctives aux pouvoirs publics Pour en savoir plus Contactez la FFB de votre d partement Transition nerg tique le d bat national est lanc Le secteur du b timent est particuli rement concern par le d bat national sur la transition nerg tique lanc fin novembre 2012 dans le prolongement de la conf rence environnementale des 14 et 15 septembre La FFB si ge au Conseil national du d bat consid r comme le Parlement du d bat qui se r unira tous les mois Ses travaux conduiront des recommandations qui nourriront la future loi de programmation pour la transition nerg tique pr vue pour 2013 Les f d rations r gionales et ou d partementales sont galement associ es aux d bats territoriaux organis s entre novembre 2012 et juin 2013 Pour en savoir plus www tran
134. s d chets Les entreprises d agencement sont donc concern es Cette responsabilit pourra tre assum e de mani re individuelle certaines conditions ou collective dans le cadre d co organismes assurant la gestion des d chets moyennant une contribution financi re Eco Mobilier d chets d ameublement m nager et Valdelia d chets d ameublement professionnel ont re u leurs agr ments d but 2013 Ces agr ments rendent effective la r glementation relative la REP compter du 1 mai 2013 Tout metteur de d chets qui ne la respectera pas sera soumis la taxe g n rale sur les activit s polluantes TGAP Attention l heure o nous r digeons cet article les modalit s de mise en uvre sont toujours en cours de discussion notamment sur la partie agencement 1 D cret n 2012 22 du 6 janvier 2012 Pour en savoir plus e FFB CMP F d ration fran aise du b timent charpente menuiserie parquets t l 01 40 69 57 40 www polebois ffbatiment fr e Chambre fran aise de l agencement t l 01 40 55 12 80 www chambre agencement org e www eco mobilier fr e www valdelia org ous CONSUISEZ NOUS sommes AWS coles Pour mieux trier vos dechets telechargez les pictos et affichez les consignes sur vos chantiers Consultez le catalogue des publications pour acc der a plus de 350 references DOSSIER R ALIS EN PARTENARIAT AVEC FA
135. s des attentes et des suspentes seront tr s utiles aux ing nieurs b ton comme aux contr leurs techniques Mais il existe aussi des documents de mise en uvre sp cialement con us pour les quipes d ex cution des affiches un calepin de chantier et m me un film de 8 minutes sur les pr dalles sus pendues qui peut tre librement visionn Ces diff rents sup ports sont compl mentaires et ont le grand m rite de faire pas ser des messages clairs dans une forme qui parle nos quipes ajoute Didier Brosse Le cale pin de chantier est un rappel des r gles de mise en uvre tr s illus tr tr s p dagogique qui se glisse dans la poche mais pour moi c est encore le film qui est le sup port le plus efficace Je demande toujours mes compagnons de le visionner depuis un ordina teur fixe ou une tablette au d but de chaque chantier de pr dalles La version actualis e de QUALI preDAL ainsi que les autres sup ports techniques feront l objet de r unions d information dans les f d rations r gionales en 2013 m 1 F d ration de l industrie du b ton 2 Centre d tudes et de recherches de Pin dustrie du b ton 3 www umgo ffbatiment fr espace adh rents rubrique M diath que vid oth que POUR EN SAVOIR PLUS e UMGO FFB Union de la ma onnerie et du gros uvre t l 01 40 69 51 59 www umgo ffbatiment fr e Les diff rents documents cit s sont dis
136. s du chantier et la diffusion de guides techniques et pratiques Plus d un si cle apr s avoir cr le Costic devenu aujourd hui une r f rence incontournable en mati re d quipements techniques la F d ration fran aise du b timent est fi re d apporter une nouvelle fois sa contribution la fili re du b timent avec le CNEES Nous lui souhaitons le m me succ s que son a n e 1 Voir dito de B tim tiers n 23 juin 2011 JEAN YVES ROBIN PRESIDENT DU CONSEIL DES PROFESSIONS DE LA FFB Le diagnostic de performance nerg tique de mieux en mieux encadr Suite l arr t du 24 d cembre 2012 le diagnostic de performance nerg tique DPE enregistre plusieurs changements qui prendront effet le 1 avril 2013 les DPE devront tre transmis Ademe au moyen d un logiciel valid par le ministre en charge de la construction et seuls les diagnostiqueurs correspondant quatre profils d identification administrateur organisme certificateur diagnostiqueur ou collectivit publique auront acc s au contenu de l application dans le but de garantir la confidentialit des donn es ITE chaque type de construction son r glement Le minist re de l int rieur en charge des ERP travaille la r daction d une nouvelle instruction technique traitant les fa ades Cette future instruction technique n 249 abordera particuli rement l isolation thermique par l ex
137. s en vigueur dans la profession r gle mentations NF DTU r gles pro fessionnelles Avis techniques les principales r f rences norma tives ainsi que importance de la r ception du support Dans sa deuxi me partie le guide d finit neuf types d ouvrages en repre nant les l ments du NF DTU complexes de doublage ther mique et ou thermo acoustique contre cloisons sur ossature pla fonds en plaque de pl tre sous ossature m tallique ouvrages en staff qui recouvrent la quasi totalit des ouvrages r alis s sur le march Pour chacun d eux le guide indique tous les l ments qui doivent tre pr cis s les per formances souhait es les pro duits et accessoires mis en uvre les points singuliers assortis de recommandations issues des r gles professionnelles Les co nomistes disposent donc de tous les l ments pour tablir leur des criptif dans un langage connu des professionnels Quelles retomb es peut on en attendre pour les entrepreneurs Ce guide sera un moyen d am liorer la qualit des ouvrages et de valoriser notre profession En GUIDE PRATIQUE PLATREBIE BOLATIN POUR ig ABCISLENENT DEI CBC ETIE effet si le descriptif des travaux r aliser mest pas assez pr cis alors unique crit re de s lection des offres devient le prix ce qui tire les prestations vers le bas et augmente le risque de non qua lit Prenons un exemple dans le
138. seur de la dalle haute ce qui peut avoir des cons quences f cheuses ACCESSIBILIT LES NOUVELLES EXIGENCES Ensuite les quatre parties cen trales du guide traitent des dif f rentes normes et r glementa tions suivre pour la conception des escaliers notamment dans des b timents recevant du public afin par exemple de concilier la r gle mentation incendie et celle li e l accessibilit Celle ci devient une pr occupation majeure car D qui tournent avec trac s g o m triques et croquis en guise d illustrations De m me pour les escaliers h lico daux qui posent souvent des difficult s avec les bureaux de contr le sont pro pos s deux mod les conformes la r glementation avec les dimensions minimum l un avec une unit de passage l autre avec deux Pour tre plus com plet l ouvrage inclut galement trois parties annexes traitant des escaliers en tribunes et gradins des escaliers destination des immeubles de grande hauteur et des escaliers provisoires E POUR EN SAVOIR PLUS e FFB M tallerie Union des m talliers t l 01 40 55 13 00 www metal pro org e Guide t l chargeable sur www metal pro org ou sur commande au 01 40 55 13 06 galement disponible sur la version en ligne de B tim tiers MARS 2013 B TIM TIERS 39 40 1 Le nouveau complexe de thalassoth rapie de la station baln aire normande consacre le carrelage d
139. sition energetique gouv fr B TIM TIERS M MARS 2013 L ACCESSIBILIT AU QUOTIDIEN Un outil de sensibilisation D our sensibiliser les entre prises aux questions d accessibilit et promou voir aupr s du grand public le savoir faire des professionnels du b timent dans ce domaine la FFB a r alis un film d ani mation de 4 minutes Ciblant des situations de la vie quoti dienne ce film propose une approche ludique des ques tions d accessibilit dans une ville peu adapt e et met en sc ne diff rents personnages rencontrant des difficult s pour acc der un b timent un quipement ou un service Il permet aux professionnels de prendre conscience que de nombreux corps d tat ont leur CRIME CONTREFACON La FFB appelle une riposte collective U colloque organis le 20 d cembre dernier Pinitiative de la FFB a mis en lumi re un ph nom ne crois sant le trafic illicite par des r seaux mafieux de mat riaux et d quipements de la construction non conformes et ou dangereux allant du mat riel de chantier aux EPI de l outillage individuel aux mat riaux de construction Organis dans le but de d ga ger des b n fices rapides au m pris du respect des normes de s curit et de la protection sanitaire ce trafic a t estim 1 5 milliard d euros pour l an n e 2011 Il s agit dun v ri table fl au pour les entreprises du secteur En croyant b n ficier de prix attr
140. souill es e M mento bien tre confort et sant dans le b timent vA CHANTIER 62 si pT Fort d Issy Construction HQE sur site militaire LA PAROLE 64 Marc Schillot qualification Qualibat le m tier fait La diff rence SUR WWW FFBATIMENT FR ESPACE ADH RENTS Trait de charpente l me du m tier de charpentier bois Assainissement non collectif vers une r novation progressive du parc Pr dalles des documents techniques de l encadrement au chantier Dallages une meilleure prise en compte de la nature du sol Ouvrages en pierre le dimension nement la port e de tous 20 BlueM talPlus un label tout en un pour la construction m tallique 20 Du bon usage des nouveaux d capants 2 3 Inox un nouveau guide pratique se profile pour Les m talliers 24 tanch it l air de l enveloppe de l obligation de r sultat l esprit de challenge 26 Ventilation des couvertures choisir une solution adapt e 27 Fiche pathologie d sordres des enduits monocouches 28 Un nouveau NF DTU pour la plomberie al ECS solaire collective le march repart 32 Des fiches techniques pour les EnR 34 lectriciens la RT 2012 change les pratiques du m tier 35 Appareils de chauffage au bois place au savoir faire des professionnels 35 Guide pratique r aliser des escaliers m talliques 35 Centre Thalazur de Cabourg 12 600 m de carrelage 40 Pei
141. sposer d une attestation de capacit d livr e par un organisme agr Veritas SGS Pour obtenir cette attestation qui co te chaque ann e de 1 800 3000 euros elles doivent justifier de comp tences et d outillages sp cifiques ainsi que d un suivi rigoureux des fluides qui peuvent tre extr mement nocifs pour l homme et l environnement s ils sont mal utilis s ou mal recycl s La vente des quipements pr charg s en fluides frigorig nes ne r pondait jusqu pr sent aucune r glementation n importe quel ma tre d ouvrage y compris les particuliers pouvait en installer sa guise sans contr le et sans avoir fournir d attestation D but 2013 les choses ont chang puisqu un d cret fixe d sormais les conditions de vente de ces produits l entreprise qui ach te un appareil pr charg doit produire une attestation de capacit et si l acheteur est un particulier il doit prouver que l entreprise installatrice poss de bien l attestation Le distributeur doit pour sa part tenir un registre o sont consign es les ventes Pour en savoir plus UECF FFB Union des entreprises de g nie climatique et nerg tique de France www uecf fr MARS 2013 M B TIM TIERS 35 36 QGUIPEMENTS TECHNIGLIES APPAREILS DE CHAUFFAGE AU BOIS Place au Savoir faire des professionnels E oyers ferm s inserts air chaud po les tanches le
142. st une variante adapt e une production d ECS existante individuelle Elle consiste implanter la produc tion solaire sur un r seau existant L nergie solaire est stock e dans un ballon solaire collectif et les appoints sont individualis s dans chaque ballon ECS Cette solu tion ne convient qu aux petites installations et n cessite la mise en uvre d un tra age ou d un second appoint centralis afin de LES INSTALEATIONS DE PRODUCTION D ECS permettent de couvrir jusqu 70 des besoins d un b timent collectif condition que les besoins en eau chaude dec dernier soient r guli ts contr ler les temp ratures et limi ter le risque de l gionelle CONCEPTION ET DIMENSIONNEMENT D UNE INSTALLATION LES POINTS RETENIR La production d eau chaude solaire est possible sous tous les climats m tropolitains mais elle est plus ou moins efficace selon l ensoleillement local Une esti mation quantitative fiable des besoins en eau chaude est le point important du dimensionnement afin de produire un maximum d nergie d origine solaire Un surdimensionnement entra ne une augmentation de la produc tion solaire mais galement une augmentation du co t du kWh produit ainsi qu une baisse de la productivit de l installation production par m et par an En r gle g n rale les installa tions sont souvent dimension n es avec des taux de couverture solaire compris entre 35 et 60 m
143. staff le NF DTU en vigueur nous oblige partir d une certaine hau teur de plenum mettre en uvre une ossature primaire qui seule garantira la solidit et la durabi lit de l ouvrage Il faut donc que le descriptif soit assez pr cis pour que les entreprises de staff puissent faire appara tre cet l ment dans leur offre et mettre ainsi en avant leur expertise et leur valeur ajou t e Au final la m thode d fi nie par le guide garantit un ouvrage r alis dans les r gles de Part qui r pond au profession nalisme des entrepreneurs et aux attentes des conomistes m e UMPI FFB Union des m tiers du pl tre et de l isolation t l 01 40 69 52 14 www umpi ffbatiment fr e Le Guide pratique pl trerie isolation pour l tablissement de descriptifs est t l chargeable sur le site de l UMPI FFB volet adh rent il peut tre obtenu sur demande et fera l objet de r unions d information dans les f d rations d partementales Une fili re de collecte des d chets d ameublement La nouvelle fili re de traitement des d chets d l ments d ameublement DEA m nagers et professionnels se met en place en 2013 selon le principe de la responsabilit largie des producteurs REP Tout producteur d l ments d ameublement qu il soit fabricant importateur ou distributeur sous sa propre marque va devoir prendre en charge la collecte s lective et le recyclage ou le traitement de se
144. stallations lectriques BT cr ation de composants v rification de la conformit NF C 15 100 de la compatibilit des composants lectriques des r glages r aliser une caract ristique qui permet un gain de temps appr ciable dans le d veloppement des installations lectriques BT Ce travail a abouti une caract risation des progiciels les plus utilis s par les entreprises d lectricit outre Autocad qui est une r f rence dans le domaine de la CAO les plus couramment employ s actuellement sont Caneco BT SEE Electrical building et Ecodial 1 Publi dans le Journal des lectriciens de la FFIE FFB en avril 2012 dont un extrait est disponible sur la version en ligne de B tim tiers Pour en savoir plus FFIE FFB F d ration fran aise des entreprises de g nie lectrique et nerg tique t l 01 44 05 84 00 www ffie fr Consultez le catalogue des publications pour acc der a plus de 350 references VOUS COnSITUisez NOUS SOMMES OS COTES Besoind information sur laccessibilite Consultez les fiches accessibilite par ouvrage AM NAGEMENT FINITIONS GUIDE PRATIQUE R aliser des escaliers metalliques Comme les autres l ments de la construction les escaliers m talliques connaissent des volutions techniques normatives et r glementaires Elles sont prises en compte dans le nouveau guide Comment faire des escaliers r sent e en novembre dernie
145. statut de norme homologu e en int grant quelques modifica SAS M NARD tions la marge dont une meil leure pr cision du dimensionne ment de l installation en fonction du nombre de pi ces de s jour du logement Nous consta tons effectivement une augmen tation importante du nombre de devis suite des ventes mais ceux ci ne sont pas toujours sui vis de travaux dans un d lai d un an comme le pr voit la r glemen tation t moigne Yannick M nard conducteur de travaux chez SAS M nard une entreprise d assainis sement qui emploie 12 salari s M dr ac Ille et Vilaine Parmi les nouvelles dispositions il est obligatoire de mettre en place des regards qui facilitent les contr les des agents du Spanc de r aliser des plans de recollement et de fournir un guide d utilisation aux particuliers L entrepreneur sou ligne aussi que le Spanc peut Pis sue de la visite de contr le d une installation existante en cas de mauvais entretien de celle ci four nir une liste de recommandations pour am liorer son fonctionne ment parmi lesquelles la ventila tion qui pr vient la d gradation des fosses en b ton et les ph no m nes de siphonage l origine des nuisances olfactives RENFORCEMENT DU R LE DE CONSEILLER Les changements r glemen taires renforcent galement la dimension de conseil des pro fessionnels aux c t s des Spanc En effet il est d sormais pos sible parall
146. t tre personnalis es et adapt es chaque installation car les sp cificit s les t ches d entretien et leur fr quence diff rent de l une l autre a 1 Ces fiches conseils sont t l chargeables sur le site www uecf fr espace adh rents 2 www gmpv ffbatiment fr POUR EN SAVOIR PLUS UECF FFB Union des entreprises de g nie climatique et nerg tique de France www uecf fr LECTRICIENS QGUIPEMENTS TECHNIGLIES La RT 2012 pe les pratiques du metier omme tous les corps de m tier du b timent celui des lectriciens est concern par la nouvelle r glementation ther mique RT 2012 du point de vue non seulement des techniques et produits mettre en uvre mais surtout de la fa on de conce voir le travail et ses interactions avec les autres corps d tat Nou veaut de la RT 2012 les prin cipales obligations de r sultats appliqu es aux b timents neufs Bbio Cep Tic affectent direc tement la qualit de la mise en uvre et donc le m tier d lectri cien De mani re g n rale les exi gences impos es aux installations lectriques dont le principe des sc narios associ des valeurs standard de puissance des qui pements install s en clairage par exemple limitent consid ra blement la marge de man uvre de l entreprise Tr s d pen dants les uns des autres plus un immeuble int gre de lumi re naturelle par exemple et moins i
147. t dans le sens de la qualit de Pou vrage concevoir et r aliser car elle dissipe de nombreuses sources dincompr hension et d impr cision Elle est d autant plus utile dans la p riode actuelle o les techniques se complexi fient et o tous les acteurs de la construction doivent int grer les volutions multiples de la r gle gt CONOMISTE DE LA CONSTRUCTION EN POITOU CHARENTES DIRIGEANT D UN CABINET D UNE DOUZAINE DE COLLABORATEURS PIERRE MIT A ETE REELU EN 2012 POUR UN DEUXIEME MANDAT D PRESIDENT DE L UNION NATIONALE DES ECONOMIS TES DE LA CONSTRUCTION UNTEC mentation des produits et des m thodes de construction Comment abordez vous les changements de la r glementation thermique Notre approche est celle du bon sens Elle est de se dire que lob jectif premier des acteurs de la construction mest pas de se conformer la r glementation mais de r aliser un ouvrage qui r ponde aux attentes et aux besoins d usage sur le long terme de ceux qui vont y habiter y tra vailler bref y vivre La RT 2012 braque le projecteur sur les questions nerg tiques mais si cela doit conduire r aliser des immeubles impropres lhabi tation il y a un probl me La contrainte r glementaire accen tue la n cessit d un vrai travail collaboratif pour ne pas perdre de vue l essentiel Si Pon veut la fois ma triser les co ts tre conformes la r glementation et r pondr
148. t rieur ITE et sera applicable aux immeubles d habitation collectifs Dans lattente des essais de propagation de feu qui seront r alis s cette ann e le statu quo demeure Pour les tablissements recevant du public l instruction technique n 249 publi e dans l arr t du 24 mai 2010 fait office de r f rentiel r glementaire Pour les immeubles d habitation collectifs sup rieurs trois tages l instruction technique n 249 publi e le 21 juin 1982 reste en vigueur Les entreprises doivent rester vigilantes et bien conna tre ces textes pour mettre en avant leur devoir de conseil aupr s des ma tres d ouvrage Pour en savoir plus Les instructions techniques sont disponibles sur www legifrance gouv fr VOUS CHERCHEZ UN ARTICLE DE BATIMETIERS wwwW ffbatiment fr espace adh rents B TIM TIERS M MARS 2013 CNEES Un centre d expertise pour l enveloppe et la structure C omment concevoir et construire des enve loppes et structures haute performance nerg tique et durables C est pour r pondre cette probl matique que la FFB a donn naissance au Centre national d expertise de l enveloppe et de la structure CNEES dont l assembl e g n rale constitutive a eu lieu le 19 d cembre dernier Orga nisme transversal le CNEES r unit seize unions et syndi cats de la FFB repr sentant tous les m tiers qui sont partie prenante de l enveloppe et de la structure des b timents Le CNEES
149. t leurs d chets dans des bornes situ es dans les halls d immeubles ou proximit des habitations Chaque point de collecte sera quip d un r servoir enterr Les d chets transiteront dans un r seau de canalisations souterraines gr ce un syst me pneumatique jusqu un camion aspirant quip d un dispositif d puration filtrant lair ayant convoy les d chets MARS 2013 M B TIM TIERS 63 64 SYNE LA PAROLE QUALIFICATION QUALIBAT LE METIER FAIT LA DIFFERENCE Ladqualification Qualibat est quelque Chose de tr s impor tant pour moi Par filiation d abord Parce que mon p re qui a fond l entreprise en 1963 s est battu pour l obtenir Ayant commenc avec une toute petite activit il a fait beaucoup de sacrifices pour que l entreprise progresse et obtienne de nou veaux certificats lui permettant d acc der aux march s publics Il s est par ailleurs beaucoup investi personnellement en tant que membre de la commission Qualibat d partementale pour faire reconna tre la qualification Tout faire mat riaux p 7 B TIM TIERS W MARS 2013 dans la profession Aujourd hui o l on pourrait croire que les notions de comp tences et de professionnalisme qui sont par tie int grante de la qualification sont acquises on se rend compte qu il n en est rien Et nous conti nuons voir trop souvent des march s attribu s sur le seul crit re du p
150. ter l ensemble de ces d chets quel que soit leur tat assure Gilles Nan tet R sultat une mati re premi re secondaire gypse pur calibr et un taux d hygrom trie stable am e a l qui peut rentrer dans le cycle de fabrication de nouvelles plaques de pl tre Le produit que nous livrons Pusine de fabrication de Chamb ry est de m me niveau qu un gypse de carri re Depuis le d marrage de l unit de traitement plus de 25000 tonnes de d chets ont t transform es sachant que la capacit du site est de l ordre de 40000 tonnes par an Le march national est estim 400000 tonnes par an il y a donc un fort potentiel de d veloppe ment Sur le m me mod le Pim plantation d unit s de traitement est d ores et d j pr vue proxi mit des autres sites de l industriel au nombre de huit sur l ensemble du territoire E POUR EN SAVOIR PLUS FFB Recyclage Syndicat des recycleurs du BTP t l 01 40 55 57 67 MEmENTo Bien tre confort et sante dans le b timent P ien tre confort sant des occupants autant de param tres que tous les acteurs ma tres d ouvrage architectes bureaux d tudes et entreprises doivent avoir en t te lors de la construction d un b timent Ce sont l des crit res essentiels que ne doivent pas faire oublier les objectifs de performance exig s par les diverses r glementations Un point
151. tion E 1 Chaque nuance est d termin e par la composition de alliage FFB M tallerie Union des m talliers t l 01 40 55 13 00 www metal pro org THERMOLAQUAGE L INOX AUSSI Prot g naturellement optimale Comme il leur r sistance la contre la corrosion n existe pas de r f ren corrosion marine des inox peut n anmoins tiel pour ce rev tement pi ces en inox venant comme l acier carbone une tude va tre en raccord sur des tre trait par thermo men e pour tablir une ouvrages en acier ou en laquage Il doit proc dure de mise en aluminium laqu enfin pr alablement tre peinture en fonction des ouvrages con us d graiss puis des nuances en acier laqu s et d roch de pr f Cetraitementestd j r alis s en inox pour rence m caniquement appliqu certains gagner du temps afin que sa surface accessoires d accastil conomie de la phase pr sente une adh rence lage afin de renforcer traitement de surface MARS 2013 B TIM TIERS 25 26 TANCH IT L AIR DE L ENVELOPPE De l obligation de resultat a l esprit de challenge Magny Yonne le responsable des Charpentiers du Morvan soci t sp cialis e dans les maisons ossatures bois cr e une structure charg e de la ma trise d uvre pour permettre aux entreprises de mieux travailler ensemble et satisfaire leur obligation de r sultat n cr ant son entreprise de c
152. u programme R gles de l art Grenelle environnement 2012 sont accessibles en t l chargement Deux documents sont d ores et d j disponibles REX BBC et risques et Analyse d taill e du parc r sidentiel existant tudes amont qui permettront le pilotage d actions techniques en pr paration e t l charger sur wwwreglesdelart grenelle environnement 2012 fr rubrique R gles de lart SOLUTIONS RT 2012 RESIDENTIEL ET TERTIAIRE La FFB dite une s rie de fiches pr sentant des cas types qui d crivent des associations de solutions relatives l enveloppe et aux quipements techniques en fonction des cat gories de b timent et des zones climatiques Les fiches tertiaire seront dispon ibles tr s prochainement e t l charger sur www ffbatiment fr espace adh rent rubrique Technique Environnement Performance nerg tique des b timents JOURN E DE LA PR VENTION 2013 Mieux s informer sur l amiante et les manutentions manuelles our la quatri me ann e l op ration La Journ e de la pr vention se d roulera le jeudi 11 avril prochain sur des chantiers partout en France raison au moins un chan tier par d partement Comme chaque ann e la FEB en parte nariat avec les repr sentants de l OPPBTP des SISTBTEP ser vices inter entreprises de sant au travail et des CARSAT Caisses d assurance retraite et de la sant au travail sen sibilisera les professionnels du s
153. un projet de b timent intervenez vous Nous pouvons intervenir tr s en amont en assistance la ma trise d ouvrage ou au stade de l tude de faisabilit Avec notre connais sance des normes et des techniques applicables des acteurs et des prix pratiqu s nous accompagnons le ma tre d ouvrage dans la d finition de son projet et dans le choix des solutions qui offriront le meilleur quilibre qualit prix Cet il technique et financier de la ma trise d uvre nous pou vons l apporter ensuite en phase d tudes c est ce que nous faisons par exemple lorsque nous travail lons sur des projets en collabo ration avec des architectes et des bureaux d tudes Nous interve nons aussi en assistance aux entre prises pour les aider lorsqu elles r pondent aux appels d offres formuler une offre conforme aux attentes de la ma trise d uvre comprenant d ventuelles variantes si la consultation l autorise Nous pouvons galement tre sollici t s en phase de r alisation pour nous assurer de la coh rence entre les choix initiaux de la ma trise d uvre et la r ponse technique de l entreprise tout au long du chan tier Cette collaboration avec tous les acteurs de la construction forge la diversit et la richesse de notre m tier Cela implique aussi d avoir une d ontologie rigoureuse et une totale int grit si nous travaillons pour un ma tre d ouvrage nous ne pouvons pas travailler sur le m
154. us pensons une obligation de certification sur les march s publics afin de stimuler la professionnalisation du m tier PHILIPPE BLIN PDG DE LA SOCI T ASTEM LA VERRI RE YVELINES PR SIDENT DU SYNDICAT FRANCAIS DES PROFESSIONNELS SVDI S CURIT VOIX DONN ES IMAGES R ALIS EN PARTENARIAT AVEC ISSUES DE SECOURS PORTES OUVERTES ET FERM ES LA FOIS S ret s curit l usage indistinct de ces deux termes en France n aide pas distinguer les exigences sp cifiques et parfois contradictoires de la r glementation anti incendie s curit et de la protection anti intrusion s ret Celles ci sont pourtant videntes s agissant des issues de secours des tablissements recevant du public r serve d un avis de la ERP qui doivent commission de s curit simultan ment et du respect de demeurer ouvertes certaines dispositions pour permettre la Chaque porte doit sortie et ferm es ainsi tre quip e d un pour emp cher les syst me de verrouillage lectromagn tique conforme la norme NF S61 937 D autre pari l ouverture de la porte depuis l int rieur intrusions Dans la pratique cette contradiction se r sout toutefois car la r glementation incendie autorise doit tre command e le verrouillage des soit par un dispositif sorties de secours sous manuel de type bo tier bris de glace situ proximit imm diate de l issue soit par un syst me
155. ute entre ce qui est demand dans tude g otechnique et les tra vaux qui sont effectivement r a lis s par l entreprise de dallage Laquelle fr quemment ne dis pose pas de toutes les informations g otechniques pour concevoir son ouvrage ce qui est la source de nombreux sinistres souvent co teux Qui doit r aliser l tude g o technique et quel stade du pro jet En quoi consiste cette tude Comment doivent tre d finis les modules d lasticit en fonction des charges Pour r pondre ces questions et beaucoup d autres PUNESI FFB Syntec Ing nierie et le Coprec se sont associ s pour produire un guide La g otech nique dans la conception et la r a lisation des dallages en b ton Ce guide synth tise les obligations qui incombent au ma tre d ou vrage d abord mais aussi au ma tre d uvre au g otechnicien aux entreprises de dallage et au contr leur technique commente Luis Carpinteiro sp cialiste g o technique chez Socotec membre du Coprec Il d finit le langage commun que tous les acteurs doivent adopter pour que le dal lage r ponde aux contraintes d ex ploitation du donneur d ordre CONSTRUIRE SUR UN SOL AMELIORE PAR DES INCLUSIONS RIGIDES Ce guide r pond galement une 5 ANR CE ii LS sE LA M THODE LABOR E dans le cadre du projet Asiri permet une meilleure collaboration entre entreprises d am lioration de sols et entreprises de

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