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étude de 20 pages en pdf

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1. 210 220 230 Fig 19 D apr s les mesures de ballons sondes les caract ristiques de l atmosph re d pendent de la latitude figures 10 11 et 12 dans Miskolczi 2007 La profondeur optique varie de 1 2 Ta 30 2 5 Ta 8 avec une moyenne de 1 87 Ta 15 Le minimum de la transmittance Ta est 4 fois plus petit que le maximum OLR varie de 190 280 moyenne 250 Su varie de 250 460 moyenne 385 Le cycle de l eau permet d avoir des variations locales importantes et rapides de la quantit de vapeur d eau La th orie de Miskolczi est loin d avoir une description claire et accept e et fortiori d tre prouv e mais elle donne des r sultats conformes aux observations contrairement aux simulations des CGM lesquels surestiment le r chauffement sous la tropopause Elle n est cependant ni r pliqu e ni tudi e par le GIEC ce qui serait surprenant pour ceux qui ne savent pas que le but affich dans les statuts du GIEC est de montrer l effet de l homme sur le climat alors que Miskolczi montre que l effet des GES ajout s est n gligeable 7 Effet de serre du CO ajout Arrhenius 1824 avait calcul le r chauffement de la Terre pour un doublement du taux de CO Son calcul tait faux mais donnait les m mes r sultats que ceux de m thodes choisies aujourd hui par le GIEC Remplacement de vapeur d eau par du CO2 Une augmentation de GES modifie peu les propri t s physiqu
2. Manabe S and R T Wetherald 1967 Thermal equilibrium of the atmosphere with a given distribution of relative humidity Journal of the Atmospheric Sciences 24 3 241 259 Mann M E R S Bradley and M K Hughes 1998 Global scale temperature patterns and climate forcing over the six centuries Nature 392 779 782 Miskolczi F M amp M G Mlynczak 2004 The greenhouse effect and the spectral decomposition of the clear sky terrestrial radiation Id j r s Quarterly Journal of the Hungarian Meteorological Society 108 4 209 251 Miskolczi F M 2007 Greenhouse effect in semi transparent atmospheres IDOJARAS Quarterly Journal of the Hungarian Meteorological Society 111 1 1 40 R f rences sur Internet W1 http bishophill squarespace com blog 2009 11 20 climate cuttings 33 html W2 http www sciencedaily com releases 2009 11 09116163206 htm W3 http www heartland org publications NIPCC 20report PDFs NIPCC420Final pdf W4 http www ferdinand engelbeen be klimaat jaworowski html W5 http scienceandpublicpolicy org images stories papers originals climate_money pdf W6 http www leseoliennes be histoireole histoireenvironment htm W7 http www leseoliennes be economieolien energyflow htm W8 http www iea org publications free_new_Desc asp PUBS_1D 1199 W9 http www leseoliennes be Calculs earthdata xis W10 http wattsupwiththat com 2009 10 16 obama poised to cede us sovereignty in co
3. eau est plus faible s il y a plus de CO2 Pour une temp rature au sol donn e l vaporation de l eau au sol est peu modifi e par le taux de CO Il ne se passe pas grand chose quand le doublement du CO remplace une partie de l effet de serre de la vapeur d eau par celui du CO Dans le calcul de la profondeur optique ta le rapport Su OLR est alors un peu augment L augmentation de temp rature au sol qui en r sulte a t calcul e par Miskolczi et al 2004 table 6 page 242 Temp rature chang e au sol C 0 396 Au lieu de doubler le CO on arriverait au m me accroissement de temp rature 0 48 C si l on pouvait augmenter l humidit de lair de 0 08 prem soit en l augmentant de 2 6 prem 2 68 prem Une science inachev e Comment changer le gradient du profil rouge de la figure 19 pour changer la temp rature au sol Une augmentation de CO a un effet presque n gligeable sur la temp rature du sol car elle est contrebalanc e par une r duction de la vapeur d eau L augmentation du taux de CO n a donc pas d effet notable sur la temp rature L alarmisme de l AGW n est pas soutenu par de la science tablie contrairement aux d clarations du GIEC relay es par les partisans de 1 AGW et les m dias Les pr sentations du r chauffement climatique dans ce papier ne sont pas la pr sentation officielle Le refus du GIEC de consid rer les opinions des sceptiques ceux qui mett
4. 50 Mauna Loa 340 b 70 1661 1744 1756 1804 1850 1891 1950 2000 Fig 22 D apr s W4 13 Les 2 s ries Fig 21 ne se raccordent pas Pour y arriver on admet que la glace provenant de la neige ne forme des bulles tanches qu au bout de 83 ann es en moyenne et ne capture l air qu cette poque Moyennant ce d calage Fig 22 les 2 courbes se rejoignent bien Ce proc d justifi 1c1 est utilis ailleurs pour prouver modifier ou effacer des observations Fig 23 La figure 23 montre sur le diagramme du haut une pr sentation classique simplifi e des r sultats des carottes glaciaires dans les tudes du GIEC Elle montre que le CO augmente quand la temp rature augmente Quand on pr sente ces graphiques en d pla ant la courbe de temp rature en dessous de celle du CO sans changer les dates on s aper oit que l accroissement de CO suit l augmentation de temp rature de pr s de 1000 ans L erreur est peu visible car elle n est que de 1 1000 ans sur les 100 000 ans qui s coulent entre p riodes glaciaires Dendrochronologie La recherche sur les climats anciens pal o climats tait financ e par l agriculture et la sylviculture pour tudier l histoire du rendement des cultures et des for ts En cherchant dans cette litt rature scientifique on trouve l article suivant D tection de la fertilisation a rienne par le CO atmosph rique par la dendrologie Gr
5. Fen tre de l infrarou ge Radiations infrarouges Troposph re 0 km Absorption Fig 16 Modifi de Wikipedia r f rence plus pr cise requise Une bande d absorption du CO est tr s active autour de 15 u l o l eau laisse passer une faible nergie Cette bande devient significative au dessus de 5 km d altitude Entre le sol et la tropopause on devrait prendre une moyenne pond r e des transmittances des graphiques au sol et 11 km mais les donn es illustr es ici ne permettent pas de pr ciser l absorption chaque altitude ce que l on peut mieux d duire de tables de profondeur optique voir la suite Calcul des moyennes Les profils atmosph riques de la Terre sont tr s vari s Suivant l heure le lieu et la saison le flux mis par le sol varie de un deux de 200 400 W m Au lieu de calculer des moyennes partir des cellules des mod les m t orologiques une autre m thode les calcule partir de tables de profondeurs optiques pour toute colonne verticale Profondeur optique Pour une longueur d onde donn e n la proportion d nergie traversant la couche d atmosph re consid r e est appel e la transparence optique Ta n Si la radiation doit traverser deux types de gaz effet de serre ou une concentration doubl e de gaz effet de serre ce qui traverse est gal au produit des transparences optiques On travaille aussi avec la profondeur optique optica
6. Les sources froides sont les GES en altitude qui se refroidissent en mettant des radiations infrarouges vers l espace L air se refroidit aussi par effet thermodynamique avec l altitude d velopp la section 5 Les r les additionnels de l eau sont de fournir la demande une quantit variable de gaz effet de serre de transf rer de la chaleur du sol vers la tropopause et d tre un r servoir de chaleur latente 4 Gradients de temp rature Lapse rate La pression de l atmosph re est d termin e chaque altitude par le poids des gaz qui se trouvent au dessus Le diagramme 5 montre les pressions sur l chelle de gauche et les altitudes de l autre c t En thermodynamique on emploie des graphiques pour visualiser les changements de temp ratures Les diagrammes utilisent l altitude comme chelle car les masses d air en d placement ont des gradients r guliers donnant des profils thermiques proches de droites S1 l on d place un paquet ou une bulle d air depuis le sol jusqu la stratosph re les changements de pression vont faire varier les caract ristiques de temp rature et d humidit suivant la formule de Clausius Clapeyron Legendre 2009 Cette transformation est appel e adiabatique lorsqu il n y a pas de transfert de chaleur travers la bulle Distribution dans les couches de l atmosph re R chauffement 10 mb par l ozone 30 km Altitude a Une ob
7. autres que ceux qui prennent les mesures les temp ratures actuelles et pass es sont ainsi transform es 2 Inventer le for age Pour valuer les travaux de chaque groupe on oblige les chercheurs qui demandent de cr dits et les experts utiliser un vocabulaire commun et partiellement nouveau et des m thodes expliqu es dans des livres et rapports pour experts Ce vocabulaire et ces m thodes v hiculent une conception erron e d une analogie avec le feedback 3 Evacuer la conservation de l nergie L atmosph re est un syst me thermodynamique dont les lois impliquent la conservation de l nergie et la minimisation des entropies Le respect scrupuleux de ces lois n est pas n cessaire en m t orologie mais 1l l est pour pr voir les temp ratures futures Les d partements de climatologie ont comme t che essentielle la pr vision m t orologique ce qui ne peut se faire aujourd hui qu avec l aide de puissants ordinateurs Le GIEC ne d bloque ses vastes cr dits que si on utilise des m thodes de mod lisation h rit e de la m t orologie o la Terre est divis e en cellules dont les interactions sont approximatives et o la conservation de l nergie n est pas assur e 4 Imposer un taux d humidit irr aliste Comme le GIEC doit pouvoir comparer les mod les climatiques sur des conditions identiques il requiert que pour tre pris en consid ration un mod le pr voie le climat pass
8. Comme pour chacun des citoyens de l URSS la bureaucratie remplit des cases d information pour chaque personne mentionnant leur attitude envers l cologie profonde Pour recruter ses r dacteurs et ses experts la bureaucratie du GIEC a d j fait la moiti du travail aux frais de l ONU c est dire des tats Il suffit parfois d aller sur un site personnel pour deviner la couleur de son auteur Les m dias c est dire les propagandistes ont disqualifi les sceptiques d abord en polarisant les opinions Dans ces milieux sectaires les classifications sont noires ou blanches On est alarmiste ou sceptique La propagande pr sente les sceptiques comme des n gationnistes le mot utilis pour ceux qui ne croient pas la Shoah ou des r actionnaires d pourvus de tout id al solidaire Les sceptiques sont accus s d tre au service des p troliers et de r pandre une propagande go ste pay e par des capitalistes sans foi ni loi La plupart des chercheurs du GIEC sont d minents scientifiques qui ont fait progresser la recherche apportant leur pierre un difice dont ils ne contr lent pas l architecture et dont ils ne connaissent pas les quelques points faibles On leur a pr sent les sceptiques comme des fondamentalistes qui d nient toute valeur aux travaux du GIEC et qui refusent stupidement l vidence montrant un r chauffement climatique Toute campagne de publicit quelque peu astucieuse
9. adiabatiques humides ont une forme plus courb e dans la zone o la condensation de l eau est plus importante partie inf rieure droite du diagramme 9 Des ballons sondes pendant leur mont e mesurent la courbe environnementale temp rature pression qui est un type de profil thermique La courbe est tr s irr guli re en raison des mouvements d air dans la troposph re Les r sultats d pendent du climat local Pour autant qu on puisse trouver une moyenne on constate une volution thermique suivant un gradient relativement lin aire de l ordre de 5 5 C km Le satellite AIRS devrait bient t fournir des profils plus nombreux et plus pr cis que les ballons sondes La chaleur sensible dans l air chaud et la chaleur latente dans la vapeur d eau forment une r serve de chaleur en altitude mais cette capacit est tr s faible ne permettant pas des r serves au del de la demi journ e La nuit la radiation depuis le sol continue mais refroidit ce sol ou cette mer ou cette v g tation ce qui r duit progressivement l vaporation et le rayonnement et peut amener de la condensation ou du givre Plus l air est humide et nuageux plus lent est le refroidissement Le refroidissement nocturne est donc rapide au Sahara et lent dans les r gions humides et nuageuses Le cycle de la vapeur d eau 1 o kc sde Grammes d eau 10g kg par kilo a empia Fig 10 bas sur des diagrammes de Wikiped
10. atmosph re St et la convection intervient Cette zone d quilibre radiatif est d termin e ici par l annulation d un op rateur d fini comme en physique une altitude que l on ne peut pas localiser d avance Cette tropopause th orique est not e Tt et sa temp rature est Te dans ce qui suit Te est associ un flux d nergie OLR bien d fini Flux et conductivit thermique Les principaux changes d nergie proviennent du soleil qui apr s avoir renvoy une fraction de son nergie par r flexion am ne un flux Ws d nergie au sol Le sol la temp rature Tg met un flux Su vers le haut L atmosph re est une fine couche d air mesurant environ 2 milli mes du rayon de la Terre Un de ses r les est de transporter l nergie que le soleil a rayonn e sur le sol vers des couches sup rieures de gaz effet de serre GES pour que celles ci vacuent cette nergie OLR Radiations infrarouges vers l espace Radiations solaires as Radiations r fl chies Refroidissement d aux missions Atmosph re Vapeur d eau et autres gaz effet de serre Fig 6 Dans chaque colonne de l atmosph re d limit e par les d placements verticaux des masses d air les lois de la thermodynamique distribuent la temp rature et l humidit de lair suivant un profil thermique caract ris par des gradients de temp rature lapse rate La temp rature au sol Tg est le po
11. avec une atmosph re type o la quantit d eau est deux fois trop faible 1 2 prem au lieu de 2 6 prem telle que le United States Standard Atmosphere 1976 USST 76 L ajustement de mod les informatiques sur des donn es historiques fauss es produit des mod les fauss s par exemple pour estimer l importance relative de l eau et du CO comme gaz effet de serre viter des experts ayant une vue d ensemble Certains scientifiques sont form s pour valuer l ensemble d un syst me par exemple les ing nieurs dont la formation est polytechnique Les ing nieurs sont experts en thermodynamique et en r gulation Il semble qu il y en ait peu dans la section climatologie du GIEC Parmi les 30 000 universitaires am ricains ayant sign une protestation contre les options de Kyoto on constate que plus d un tiers sont sp cialis s en ing nierie W3 1 Fausser les donn es de base Temp rature urbaine lev e Le r chauffement se constate sur les journaux de bord de la plupart des thermom tres install s depuis 100 ans Les stations m t orologiques install es dans ou proximit des villes se r chauffent cause du ph nom ne des lots de chaleur urbaine La pr sence de b timents de routes et de parkings empierr s et l absence de v g tation entra ne une temp rature 3 C plus lev e dans les villes que dans les campagnes environnantes une augmentation importante par rapport l aug
12. glaciers couvrant le nord des continents ont fondu augmentant le niveau des mers de plus de 100 m en 10 000 ann es trace bleue sur la figure 27 D autres tudes de coraux ont pr cis l histoire r cente du niveau de la mer La trace verte montre que l l vation des mers a ralenti 10 m en 5000 ans ou 2mm an ou 20cm par si cle Cette l vation des mers continue 18 cm par si cle Au cours des 4 glaciations pr c dentes la fonte des glaciers n a pas continu jusqu faire fondre les calottes polaires Groenland au Nord ayant une masse pouvant faire monter le niveau des mers de 7 m Calotte polaire sud ayant une masse bien plus lev e capable de faire monter les mers de 50 m Rien ne laisse pr voir que la d glaciation actuelle se d roulera diff remment des pr c dentes Niveau des mers si les calottes polaires avaient fondu 10 m Niveau actuel 10 m Stabilisation du niveau des mers il y a 8000 ans 20 m 50 m Niveau des mers d apr s l tude des coraux 100 m 110 m modifi d apr s Toscano et McIntyre 2003 15 000 BP 5000 BP 0 Fig 27 Les climatologues sont r duits des hypoth ses pour expliquer les glaciations L influence du soleil et des mouvements de la Terre excentricit inclinaison variable de laxe de la Terre modifie le flux solaire bien plus que les actions de l homme Dans certaines conjonctions les t s ne subissent pas de vagues
13. l olien ne fonctionne plus s il n y a plus de gaz naturel comme backup L olien combat aussi le nucl aire indispensable pour assurer la production lectrique de base car cela fait croire que le renouvelable en pratique l olien peut fournir une nergie suffisante Succ s attendu de la Conf rence de Copenhague Les politiciens des grands pays ont des conseillers scientifiques qui leur donnent dans des rapports secrets l tat r el des questions scientifiques tout en attirant l attention sur ce qui est politiquement incorrect Ces dirigeants surtout ceux qui ont une formation technique comme en Chine ou en Inde n ignorent donc plus que le r chauffement global n a rien d anthropique ni rien de catastrophique On esp re qu ils ne prennent que des mesures sans cons quences pratiques telles que la limitation 2 C du r chauffement acceptable Cependant ceux qui financent les lobbies du renouvelable veulent profiter le plus longtemps possible des profits rendus possibles par les r glements environnementaux march du carbone certificats verts emplois dans les nouvelles administrations de l environnement pour les militants du parti subsides pour la recherche et la production de renouvelable Des opportunistes politiques veulent profiter de l occasion pour rendre indispensable une administration mondiale pour contr ler les quotas d missions de CO et les autres probl mes internationaux d
14. le r sum pour les d cideurs Gr ce d autres manipulations accept es par les experts du GIEC et que les sceptiques ont d voil es depuis W1 la crosse de hockey ne fait pas appara tre le r chauffement du Moyen ge et le petit ge glaciaire Elle ne montre pas que l ann e 1938 a t la plus chaude jusqu en 1998 Peu d Europ ens savent que la Terre s est refroidie apr s 1998 une ann e exceptionnellement chaude cause d un fort El Nino Depuis le GIEC a d supprimer cette crosse de hockey de ses publications AR4 2007 Le GIEC a aussi r duit ses estimations de r chauffement et de mont e des eaux mais n a pas t jusqu se remettre en cause en reconnaissant des erreurs anormales 0 6 0 4 pus iak x Temperature Deviation C Fig 26 From climate money 16 Le graphique 26 donne les temp ratures pass es d duites de fa on plus correcte La comparaison de la fig 26 la crosse de hockey Fig 25 montre les manipulations On constate que la proc dure de raccordement avait fait dispara tre le r chauffement m di val et le petit ge glaciaire des variations g nantes parce qu elles n taient pas corr l es avec le taux de CO3 Utilisation de la science pour justifier Kyoto La Conf rence de Stockholm en 1992 est le premier moment o un Sommet de la Terre met en uvre la nouvelle politique de l AGW En 1997 la conf rence de Rio re oit une publi
15. les autres flux Miskolczi et al 2004 ont construit des tables de profondeurs optiques en fonction des longueurs d onde et des altitudes Ils associent aux profils thermiques des spectres donnant les flux dans ces profils Les r sultats des radiosondes prises autour du globe ont servi tablir ces spectres en fonction des zones et des climats Pour les gaz les diagrammes de la puissance absorb e par courts segments de longueur d onde sont tr s discontinus Des m thodes compliqu es existent pour mesurer et int grer l nergie absorb e dans une bande de longueurs d onde Le graphique 17 est tr s simplifi pour ne montrer que des moyennes qui n ont pas toujours une signification physique Explications d taill es dans Miskolczi et al 2004 Les bilans de flux nerg tiques devraient tre d taill s pour chaque longueur d onde Conservation de l nergie Les mod les m t orologiques qui ne peuvent pas pr voir plus de une quelques semaines font des calculs approximatifs sur les changes entre cellules voisines Les relations d ensemble telles que la conservation de l nergie ne sont donc pas v rifi es avec pr cision Les mod les informatiques de circulation globale GCM ne sont pas bas s sur des lois physiques indubitables malgr les affirmations du GIEC mais sur des changes approximatifs entre cellules voisines Moyennes fonctions des profondeurs optiques Les mod les se si
16. moyennes C est la courbe des variances annuelles en gris qui devrait tre compar e aux cernes des arbres donc aux fluctuations observ es sur l enregistrement Yamal et non la courbe aplatie 15 Instrumental data AD 1902 to 1999 Reconstruction AD 1000 to 1980 Reconstruction 40 year smoothed Linear trend AD 1000 to 1900 1998 instrumental value Northern Hemisphere anomaly C relative to 1961 to 1990 1000 1200 1400 1600 1800 2000 Year Fig 25 Diagramme de la crosse de hockey dans l IPPC TAR 2001 Le centre de Hadley a tabli une courbe d volution r cente de la temp rature de l h misph re nord Fig 20 S rie Cruterm de 1860 2000 entre 0 5 et 0 5 Cette courbe comprim e sur 150 ans se retrouve dans la partie rouge au bout de la crosse de hockey Fig 25 Elle est mise en rapport avec celle des cernes de la m me poque entre 7 et 3 sur la figure 24 Ce raccord ajout au bout de la crosse en rouge amplifie le ph nom ne exceptionnel du Yamal en agrandissant la s rie Cruterm dans le sens des temp ratures la m me chelle que celle attribu e aux cernes Le GIEC avait mis ce graphique la place d honneur le rendant c l bre sous le nom de Crosse de hockey Il l a reproduite 6 fois dans son compte rendu TAR en 2001 La crosse a une place de choix dans les pr sentations d AI Gore dans Une v rit qui d range Elle sert 1llustrer
17. peut tre pr sent e comme un complot Les sceptiques sont pr sent s comme des adeptes des th ories du complot des esprits forts qui ont mauvaise r putation puisque la plupart croient des historiens amateurs ou des auteurs de science fiction ou des fouineurs qui cherchent le mal partout Imaginons qu on m ait charg de financer les agences de communication identifi es par le pronom On dans ce texte Mes conditions seraient qu ils n engagent que des propagandistes bien form s qui ont appris pr senter l ennemi comme les religieux pr sentaient le d mon Quelques phrases gliss es dans des interviews ou des textes anodins persuadent inconsciemment que l opposant est un tre m prisable et irr cup rable ce qui r ussit assez bien dans les milieux des militants auxquels on ne fournit que de l information ad quate et surabondante Cette subtile propagande n a pas seulement abus le spectateur de t l vision et le lecteur des journaux mais elle a m me abus quelques scientifiques consciencieux qui entra n s par l ambiance m diatique ont admir sinc rement le travail du GIEC ou dont les cr dits d pendent de cette attitude mais elle n a fait que renforcer l opposition parmi les chercheurs plus dubitatifs ou plus r ticents tout signe de bourrage de cr ne ou tout consensus impos Dans les dossiers des bureaucrates on d crit la situation professionnelle et les opinions cologi
18. r ts industriels La suite explique comment cette partie scientifique a t manipul e dans le but d alarmer sur le r chauffement global anthropique 12 R chauffement global anthropique AGW Pour comprendre comment des groupes alarmistes ont uvr pour faire prendre conscience de l AGW une histoire analogue m rite d tre tudi e en premier lieu Qui a organis la gigantesque administration mondiale en charge de l environnement Cette histoire que l on simplifie beaucoup en la rangeant parmi les th ories simplistes du complot est d crite dans W6 Faire croire un r chauffement anormal Puisque la plupart des scientifiques sont honn tes des manipulations ne pourraient concerner que quelques domaines qui ne sont examin s et connus que par quelques experts Il faut pouvoir y s lectionner des experts qui croient une cologie profonde exigeant la primaut des imp ratifs de l AGW par rapport ceux de la science La suite montre que quelques domaines suffisent fausser les conclusions Comme le climat est un domaine compliqu qui demande des expertises en de nombreux domaines et que les scientifiques modernes sont hypersp cialis s 1l a t possible d isoler quelques domaines qui ne sont v rifi s que par de rares experts On a donc d sinform dans les 4 domaines suivants 1 Fausser les mesures de temp rature On peut fausser quelques rares donn es difficiles v rifier par d
19. tre politiquement corrects Le climat a t r cemment ajout cette liste tandis que le patriotisme et le respect pour la justice et la religion en sortaient Comment raccorder les informations des arbres celles des instruments Comment calibrer les cernes La m thode de raccordement est plus complexe que pour les bulles de glaciers La suite montre comment le GIEC a invent le diagramme de la crosse de hockey en r solvant ce raccordement Le raccord ne demande pas un glissement de l chelle des temps mais une expansion ou une r duction des chelles des temp ratures Les variations annuelles de temp rature et celles de l paisseur des cernes sont suppos es avoir la m me variance ce qui donne un facteur de proportionnalit Des lacs proches du cercle arctique montrent des strates de s diments plus pais depuis que des hommes ont modifi les terrains environnants les rendant plus sensibles l rosion et l accroissement des d p ts a t interpr t comme du r chauffement soi 2 63 4 500 1000 1500 2000 195x10 Fig 24 Exemple de donn es originales de dendrochronologie Le statisticien peut choisir de ne calculer la variance que sur des p riodes s lectionn es comme de 1000 1900 La variance de la zone en gris entre 0 5 et 1 Fig 25 n est pas la m me que celle de la courbe noire entre 0 2 et 0 2 prise sur des moyennes La variance n a pas de sens sur des
20. 0 2060 2080 Id e et graphique e d apr s 0 5 C 4 1860 1880 1900 1920 1940 ido ido 2000 Syun Akasofu 2009 Fig 28 modifi de S Akasofu 9 L histoire de l tude de la climatologie Comment autant de responsables en sont ils arriv s croire PAGW La suite est une tentative de reconstitution de cette histoire assez dramatis e et racont e dans le style de la science fiction Campagnes modernes de publicit Imaginons que l on m ait confi en 1992 une campagne de communication pour persuader le public que la Terre est promise une catastrophe cause du r chauffement climatique caus par l accroissement des gaz effet de serre Imaginons que je sois persuad que cette noble t che doit tre men e bien par tous les moyens Imaginons que j aie des cr dits illimit s pour convaincre et faire agir intelligemment des agences de relations publiques et des m dias Imaginons que des gaziers pensent qu il faut augmenter la consommation de gaz naturel c est dire lutter contre la concurrence pour que la loi de l offre et la demande fasse monter le prix du gaz naturel dont la production est et restera surabondante pendant encore longtemps plus de cent ans La production mondiale de gaz naturel est en 2007 de 1296 Mtoe Millions de tonnes quivalent p trole soit 1296 3532 37 en nergie de la production de p trole W8 Le chiffre d affaire brut du p trole 70 baril po
21. Fig 12 Vents par rapport la Terre immobile Les masses d air sont entra n es par la rotation de la Terre Le graphique 12 de l h misph re nord montre la circulation globale autour de la Terre Les vents sont indiqu s par rapport une Terre immobile mais leur vitesse absolue va dans le sens de rotation car ils sont produits par ce mouvement Cela se combine avec la circulation entre les latitudes du dessin pr c dent Dans la zone temp r e la force de Coriolis d vie les vents dans le sens des aiguilles d une montre autour des d pressions D et dans le sens inverse autour des anticyclones A Pr s des discontinuit s se forment des couloirs d air en mouvement rapide courant de jet ou jet stream dont un jet subtropical variable qui se d place souvent une vitesse de 150 km h 400 km h vers l Est dans le sens de la rotation de la Terre Le moteur atmosph rique soul ve l air quatorial vers des hautes altitudes puis l am ne vers les p les L air est aussi brass d Ouest en Est dans la zone temp r e et d Est en Ouest dans la zone quatoriale Comme la temp rature s abaisse avec l altitude le point de ros e celui o la vapeur d eau se condense est atteint rapidement dans l air montant et de la pluie se forme ce qui lib re la chaleur latente et r chauffe lair en altitude L air froid est ainsi ass ch Il redescend vers le sol et alimente la circulation globale de l
22. R chauffement de la Terre A de Callata Dr Ir Document provisoire r f rences ajouter 1 dec 09 R sum Pour comprendre les opinions dissidentes sur le r chauffement global d l homme AGW Anthropic Global Warming l tude suivante pr sente les principes essentiels de la climatologie Des notions de base servent calculer les temp ratures la surface des plan tes puis des notions plus d taill es expliquent comment est calcul l effet d une augmentation de CO et comment examiner si l AGW est r el Les tapes de la pr sentation sont 1 Terre sans atmosph re La pr sentation suppose d abord une terre sans atmosph re clair e par le soleil et qui vacue sa chaleur par du rayonnement infrarouge On estime ainsi les changements de temp rature r sultant des changements du rayonnement solaire et d alb do 2 For age et feedback Quelques notions de r gulation expliquent comment la Terre conserve une temp rature pr visible dans un environnement changeant 3 R les de l eau dans l atmosph re On tudie d abord une terre entour e seulement de gaz sans effet de serre oxyg ne et azote sauf de la vapeur d eau 4 Gradients de temp rature Les ph nom nes dans les couches de l atmosph re expliquent l tablissement des profils thermiques en fonction de l altitude 5 Les cycles de l eau L eau a des r les multiples comme gaz effet de serre en
23. ait elle justifi e tait il n cessaire de monter cette gigantesque supercherie de l AGW Des scientifiques pouvaient ils croire que la mystification ne serait pas d couverte La science y a t elle perdu de sa respectabilit Les organisateurs se sont ils laiss d passer par les v nements qu ils avaient lanc s Depuis 1960 la lutte contre les pollutions chimiques telles que les fum es du charbon des usines et des pots d chappements a t extr mement efficace sans l aide d id ologies ou d autorit s mondiales N aurait elle pas t suffisante pour moderniser les g n rateurs d nergie am liorer les rendements et r duire les consommations N tait 1l pas plus efficace d alarmer seulement sur l puisement des combustibles fossiles p trole gaz naturel charbon Les rem des auraient t assez semblables conomie d nergie isolation des b timents transports moins gourmands g n rateurs d lectricit au rendement meilleur cog n ration solaire thermique exploitation des autres sources d nergie nucl aire fusion recherche de biomasses productives Ne fallait 1l pas faire porter les efforts sur les changements du cycle de l eau ou sur la productivit des v g taux Les marchands de gaz naturel semblent avoir un autre agenda car la lutte contre le charbon demande la conviction qu il faut r duire le CO2 Ils favorisent l olien pour vendre leur gaz car
24. atmosph re Si les vents en altitude sont de l ordre de 50 km h et si l eau s journe 9 jours dans l atmosph re l eau se m lange avec Pair ambiant sur 24x9x50 10000 km Ces mouvements sont entretenus par l atmosph re fonctionnant comme un moteur Mod les m t orologiques Le GIEC a financ le d veloppement de nombreux mod les informatiques de la circulation globale autour du globe GCM Global Circulation Models L atmosph re est divis e en couches diagramme 13 et quadrill en cellules L volution de chaque cellule est calcul e en fonction de l tat de ses voisines comme dans les mod les m t orologiques Cela permet d estimer une temp rature moyenne de la Terre Les couches atmosph riques re oivent les remont es d air chaud et de vapeur d eau et des rayonnements infrarouges en provenance du sol Les changes entre couches voisines permettent une r partition des caract ristiques physiques qui maximise l entropie Des lois physiques permettent de d duire la r partition temp rature altitude et de chiffrer les changes d nergie par radiation IR et par convection entre le sol et la tropopause maintenus chacun une temp rature donn e Comme dans les r gles de r partition de Boltzmann on crit une quation des changes entre couches dont on calcule les d riv es La solution est stable quand ces d riv es sont nulles Radiation Radiation infrarouge solaire
25. aybill amp Idso 1993 Cet article est accompagn d un graphique du type de la Fig 24 o l on voit l paisseur des cernes qui augmente soudainement depuis 1900 ce que les auteurs ont attribu logiquement une meilleure productivit comme dans les serres o le taux lev de CO augmente la productivit Depuis une explication plus pr cise est avanc e Les montagnes montrent des lignes horizontales correspondant la limite o les arbres poussent encore L altitude de cette limite a vari dans le temps mais a remont r cemment Les pins bristlecones montrant des bonds r cents de croissance poussent la limite de cette ligne vers 3500 m aux USA certaines p riodes quand les conditions climatiques font remonter la limite des arbres les pins sur la limite poussent plus vite que ceux situ s plus bas W2 14 Le monde des pal o climatologues Repla ons nous en 1975 et imaginons le travail des pal o climatologues Comme la temp rature diminue de 1940 1975 pendant la guerre froide les m dias s int ressent plut t au refroidissement climatique et l hiver nucl aire qu un r chauffement climatique Peu de scientifiques pensaient qu on puisse pr voir le climat plus d une semaine et ceux qui allouaient des cr dits de recherche doutaient de l utilit de conna tre quels taient les climats pass s Quelques scientifiques d dicac s s int ressent cependant aux cer
26. cit bien plus importante et complexe Les m dias et les ONG annoncent que le r chauffement climatique est certain et dangereux et est caus par l homme par ses missions accrues de CO2 Les m dias citent des officiels demandant de prendre d urgence des mesures pour r duire le CO c est dire remplacer le charbon par du gaz ou du renouvelable le nucl aire tant trop dangereux pour servir de rem de Comme le renouvelable ne peut pas fournir assez d nergie la seule politique possible qui d coule de ces annonces est de promouvoir l utilisation de plus de gaz naturel notamment pour la production d lectricit Ces changements politiques ou plut t conomiques se pr cisent la conf rence de Kyoto 2003 et vont se concr tiser par la mise en vigueur du protocole de Kyoto en 2005 2 Feedback Certains syst mes boucles de r troaction peuvent s carter de leur zone normale de fonctionnement s il y a un feedback positif Si la vapeur d eau atmosph rique pouvait servir un v ritable feedback positif elle permettrait d expliquer logiquement un r chauffement climatique Comme un feedback positif est indispensable aux buts de l AGW on a sponsoris des livres de climatologie expliquant le feedback positif et comment on pourrait le d couvrir en climatologie Pour cette t che impossible et facile r futer le GIEC a introduit le concept de for age Puisque c est un nouveau conce
27. d eau autour de ces noyaux la couverture nuageuse pourrait diminuer de 5 passant de 20 19 ce qui r duirait l alb do de 1 et refroidirait la Terre de 1 C Les a rosols projet s en altitude tel que les poussi res volcaniques et les sulfates augmentent l alb do tandis que les suies noires le diminuent La difficult de pr voir l effet d une ruption sur le climat est li la difficult d estimer la quantit et l altitude des poussi res mises Apr s l ruption du Pinatubo 1991 la Nasa avait des satellites pour mesurer ces donn es et a pr vu la dur e et l amplitude du refroidissement ce qui a servi faire croire que la Nasa avait des mod les climatiques fiables mais les pr visions climatiques doivent tenir compte aussi d autres ph nom nes 2 For ages et feedback Point de consigne et r troactions Feedback Avant d tudier le climat il est utile de rappeler les principes essentiels de la r gulation car dans la litt rature du GIEC on utilise ces concepts de fa on faire confondre la partie avec le tout et un effet global avec l addition de ses parties La figure 3 montre un thermostat et son sch ma de r gulation Un thermostat indique la temp rature actuelle de la salle chauffer et a un syst me de r glage manuel de la temp rature souhait e ici une molette avec un cadran de temp rature Un dispositif l int rieur du thermostat calcule la diff r
28. dback r duit la temp rature globale quand il est n gatif et l augmente quand il est positif mais il tend vers z ro Le rayonnement solaire journalier moins la r flexion correspond la temp rature d sir e tenant compte d un facteur de proportionnalit que le GIEC appelle parfois une amplification 240 W m correspond 18 C pour le globe nu consid r plus haut Le thermostat d un globe terrestre nu serait talonn comme suit 233 272 0 C 364 Le GIEC a invent un nouveau mot pour d signer des modifications du point de consigne le for age Le GIEC appelle ensuite tout changement provoqu de la temp rature un for age y compris un changement de concentration des gaz effet de serre GES d autres endroits le GIEC confond ce qu il appelle le for age avec un feedback ce qui entra ne des confusions ou pire des explications fauss es Dans quelques syst mes r troaction on peut isoler des boucles qui dans les plages pr vues de fonctionnement restaurent l quilibre du syst me on parle de feedback n gatif et d autres qui le font diverger comme dans des explosions nucl aires on parle de feedback positif La th orie de la r gulation tudie les propri t s du feedback illustr pour un thermostat ce qui permet de concevoir des syst mes efficaces et s rs Cette th orie peut servir pour des analogies mais n est pas applicable sans ris
29. de chaleur et peuvent ainsi conserver de la neige qui s accumule sur plus d une ann e ce qui augmente l alb do et refroidit la Terre jusqu au point o une glaciation se maintient dans les hautes latitudes m me pendant les saisons chaudes Hypoth se de Milankovitz 1920 voir Foucault 2009 20 000 BP 10 000 BP Extrapolation contre mod les sophistiqu s Le soleil a des cycles magn tiques de 11 ans lesquels influencent le climat global Ces oscillations se combinent ici en p riodes de 66 ans o se logent les oscillations climatiques sur l Atlantique nord et sur le Pacifique Celles ci se sont d j r p t es et pourraient se r p ter encore Si on extrapole les courbes suivant cette p riodicit une augmentation r guli re faible de la temp rature avec une faible variation p riodique sur 66 ans la pr vision semble aussi valable que les celles des mod les ruineux du GIEC Sur la figure 28 on se trouve en 2009 sur la ligne rouge Cet exemple montre qu une extrapolation simple donne des pr visions bien meilleures que les mod les du GIEC Dire que La science est tablie The science is settled est irresponsable quand on songe aux centaines de milliards d euros que pourraient co ter des d cisions inopportunes 17 Extrapolations fonctions de la p riode choisie i A e ge Anomalie observ e de K la temp rature moyenne de 1850 2009 C 2100 204
30. e est de multiplier le nombre de fois que la s rie du Yamal est introduite dans les donn es du programme Ces anomalies pourraient tre des erreurs comme on en trouve dans de grandes masses de donn es mais elles vont toutes dans le m me sens Toutes ces erreurs renforcent la conclusion qu il y a un r chauffement climatique r cent inexplicable sauf par un effet de serre du CO C est en tudiant la r futation de la crosse de hockey par McIntyre et McKitrick que de plus en plus de chercheurs ont adopt une attitude nouvelle dite sceptique Les sceptiques pensent que les messages du GIEC ont t manipul s et que le r chauffement climatique connu depuis que l on sait qu on est dans une p riode de d glaciation a t sciemment exag r mais n est pas particuli rement catastrophique La fraude la crosse de hockey La suite explique comment on utilise les r sultats de dendrochronologie des arbres bond de croissance pour construire une courbe d volution de temp rature ayant la forme d une crosse de hockey c est dire pour passer du graphique ci dessous Fig 24 au suivant Fig 25 Les m dias des pays libres ou peu favorables Kyoto ont signal cette histoire des manipulations du GIEC ce qui explique qu il y ait plus de sceptiques aux USA qu en Europe Les grands m dias publics ou priv s sont assez libres sauf dans quelques rares domaines r serv s o 1ls doivent imp rativement
31. e sauvegarde de la nature Des partisans de AGW vont plus loin et d sirent un gouvernement mondial dit multilat ral mais qui risque d tre plut t dictatorial au service la nouvelle religion de l cologie profonde On a financ des ONG pour promouvoir ce nouvel organisme mondial tout puissant ou plut t cette religion globale Elles militent pour qu il ait sa taxation propre taxe Tobin taxe sur les transports internationaux etc taxe non contr l e m1 par des lecteurs n1 par des pays On craint que par rapport la coalition qui a mont l AGW les chefs d tat maient pas l ind pendance suffisante pour viter les pi ges pr par s dans les r glements qui seront propos s la signature pendant la conf rence de Copenhague W10 R f rences Darrell 1954 How to Lie with Statistics Norton New York Dufresne et al 2006 Simulation du climat r cent et futur par les mod les du CNRM et de l IPSL La M t orologie N 55 novembre 2006 pp 45 59 Foucault A 2009 Climatologie et Pal oclimatique Dunod Paris Graybill D A Idso S B 1993 Detecting the aerial fertilization effect of atmospheric CO enrichment in tree ring chronologies Global Biogeochemical Cycles 7 1 81 95 Kiehl J T and Trenberth K E 1997 Earth s annual global mean energy budget B Am Meteorol Soc 78 197 208 Legendre A 2009 L homme est il responsable du r chauffement climatique EDP Sciences
32. e t il pour compenser un d s quilibre f d pend ainsi de la profondeur optique laquelle ne change pas rapidement Pour une longue perturbation changeant l nergie entrante et sortante les profils se d placent ils parall lement eux m mes ou se croisent ils Fig 7 ou 8 Dans la figure 18 la courbe en pointill montre AOLR OLR d apr s des observations d duites de profils par ballons sondes La courbe en traits montre ASu Su On constate que la variation AOLR OLR est gale mais de signe oppos ASu Su Ces deux changements se compensent Ces mesures sont prises par ciel clair L influence des nuages n a pas t tudi e mais peut changer les r sultats dans la zone quatoriale Pour diff rents climats de la Terre d pendant eux m mes de la latitude les observations sur les profils d duits des ballons sondes sont indiqu es par les points sur la figure 18 f augmente si Su augmente ce qui fait diminuer OLR comme s il y avait compensation Ces observations montrent que l atmosph re terrestre modifie son taux de GES sa valeur f pour s adapter aux d s quilibres 20 s 15 r 10 s a s aa Ka pare y 5 ie S P Se aii i A 4 n A l gt a aa EN O al O A 15 t 205 45 140 0 5 10 15 20 Afif Fig 18 figure 8 dans Miskolczi 2007 La cons quence sur les profils est que les gradients changent devenant plus horizontaux comme dans le profil en rouge du diagramme des p
33. ence entre la temp rature d sir e et la temp rature observ e de la salle Cette correction r sultat de la soustraction de la temp rature actuelle et de la temp rature souhait e sert activer ou arr ter la chaudi re Cette valeur fait partie d une boucle de r troaction un feedback qui fournit une correction variable qui tend vers z ro l quilibre Point de consigne Commande re IS du chauffage 7 Commande Fig 3 En th orie on peut d composer ce feedback en ses l ments positifs et n gatifs mais cela am ne des confusions Un quilibriste sur un fil est soumis un feedback positif quand il est d s quilibr gauche ou droite Il ajoute un feedback n gatif en appliquant un couple de redressement un balancier transversal une longue perche courbe qu il tient en mains En acqu rant d habiles r flexes par essais et erreurs 1l peut arriver assurer dynamiquement un feedback variable tout en ramenant lentement le balancier l horizontale Conservation de la temp rature d un corps c leste Si une plan te met plus de chaleur qu elle n en re oit elle se refroidit et met ainsi moins de rayonnement infrarouge IR cette temp rature plus basse ou inversement La temp rature d une plan te est donc autor gul e Le feedback est la diff rence entre le r chauffement provoqu par le soleil et le refroidissement rayonn par la plan te dans l espace Ce fee
34. ent en question AGW dogmatique ne donne pas une image s rieuse de la climatologie actuelle Sommes nous capables de modifier vraiment le climat Un changement des missions du CO atmosph rique par les combustibles fossiles est la forme la plus cit e de g o engineering mais cette m thode serait 11 incapable de nous prot ger si une glaciation survenait La diminution de l alb do serait plus prometteuse Le politiquement correct en cologie a t con u par des individus ayant un agenda particulier qui est assez inefficace et contre productif pour pr server et am liorer notre environnement naturel Maintenant que les erreurs de PAGW ont t mises jour il est urgent que les th ories dogmatiques soient remplac es par une cologie bas e sur la science et non sur des int r ts particuliers 8 Le GIEC aurait il truqu ses rapports Comprendre comment le climat fonctionne est assez compliqu Au lieu de diffuser des robustes concepts scientifiques pour aborder ce probl me le GIEC a r pandu une m thode de travail et des donn es climatiques qui ont fauss l approche Cela se retourne maintenant contre eux Peu de scientifiques pensaient que l volution climatique long terme soit vraiment pr visible Personne ne pouvait donc tre convaincu que l homme tait responsable du r chauffement AGW ou du contraire Par contre l histoire des manipulations par quelques responsables du GIEC ou des lobb
35. es L effet est r duit dans la stratosph re du fait de la rar faction de l air Transmittance des ondes courtes et des IR Rayonnement en ondes courtes Stratosph re 11 km A mm lt 0 2 03 04 0 6 0 8 lum 2 3 Rayonnement en ondes courtes Troposph re 0 km z E lt 3 Lu H 0 Fig 15 Modifi de Wikipedia r f rence plus pr cise requise L absorption compl ment de la transmittance de l atmosph re du rayonnement solaire vers le bas Fig 15 et des IR vers le haut est montr e sur des diagrammes pour chaque longueur d onde Fig 16 Ces diagrammes montrent les longueurs d ondes dans lesquelles l eau l ozone le CO et le m thane captent ou mettent Ils sont tablis au niveau du sol et l altitude de 11 km La courbe du rayonnement du corps noir est surajout e au diagramme Ce qui traverse l atmosph re est peu pr s le produit de cette courbe et de l absorption L eau absorbe quelques rayonnements solaires dans l infrarouge proche du visible Elle absorbe fortement dans presque tout le spectre de l infrarouge de 3 40 microns sauf dans une fen tre autour de 10 microns Les infrarouges s chappent du sol principalement par cette fen tre entre 8 u et 12 u Aux autres longueurs d onde la vapeur d eau rend opaque la basse troposph re Radiations infrarouges stratosph re 11 km Absorption MSI NEER 4 6 8 lOum 15 20 30 40 60 80
36. es car il ne s agit que de traces de gaz m me pour la vapeur d eau Les concentrations de CO sont 100 fois moindres que celles de la vapeur d eau En effet 400 ppmv correspond 0 4 pour mille compar des proportions de vapeur d eau allant jusqu 4 Les mol cules de HO ont des effets d absorption et d mission plus faibles et plus r partis que celles de CO Les calculs tiennent compte de ces particularit s La concentration en vapeur d eau diminue avec l altitude Il ne demeure que tr s peu d eau au dessus de 5 10 km d altitude La r partition du CO dans l air est plus homog ne que celle de la vapeur d eau La seule variation est un peu plus de CO dans l h misph re nord Un doublement du CO se caract riserait par une absorption augment e Comme l absorption par la basse stratosph re est presque satur e par l eau l effet de serre du CO n est important que dans la stratosph re et la haute troposph re En ajoutant du CO on n ajoute pas l effet de serre du CO celui de l eau L effet de serre de l eau se combine non lin airement celui du CO au lieu de s additionner Le CO produit un effet de serre notable mais apr s avoir d plac celui de l eau ce qui fait que le changement global est minime Des mesures r centes montrent que suite l augmentation de CO il y a moins d eau dans la haute troposph re W11 La pression partielle de la vapeur d
37. es glaciations Un calcul W9 montre que la constante solaire varie alors de 1416 1325 W m entre l t et l hiver Les temp ratures n cessaires pour vacuer cette chaleur sur un globe terrestre nu vont de 16 20 27 C soit une diff rence de 4 27 C une diff rence saisonni re significative capable de changer le climat si d autres circonstances y concourent Influence de l alb do Une diff rence d alb do entre 0 31 et 0 29 fait varier la temp rature de 19 07 17 24 C une diff rence de 1 83 C soit 0 9 C par pourcentage d alb do comparer avec le r chauffement actuel de 0 7 C par si cle L oc an recouvre 71 du globe et a un alb do de 7 Le remplacement de for ts par des prairies augmente l alb do local de 10 20 L alb do des nuages est de 90 La fonte estivale de la banquise y r duit l alb do La diminution de la surface des r gions enneig es pendant un r chauffement r duit l alb do global et provoque un feedback positif qui aurait t important pour provoquer et terminer des p riodes glaciaires Les changements climatiques anthropiques seraient provoqu s par le changement d alb do des for ts chang es en cultures et p turages plut t que par le CO fossile Si un ph nom ne tels que la d viation des rayons cosmiques par l activit magn tique du soleil r duit le nombre des particules ionis es dans l air et donc la condensation de la vapeur
38. es mod les GCM sont calibr s en leur faisant pr voir les climats pass s Comme ces donn es du pass avaient t fauss es pas de r chauffement au Moyen ge pas de petit ge glaciaire les mod les sont mal calibr s et donnent une importance exag r e au CO par rapport l eau Ils sont ensuite mal calibr s pour les pr visions futures car on leur impose soi disant pour pouvoir comparer les mod les sur les m mes donn es d avoir une quantit d eau de 1 2 prem au lieu de 2 6 prem ce qui accro t l effet de serre du CO par rapport celui de l eau Les climatologues doivent employer la m thode officielle du GIEC pour tre consid r s financ s et cit s Leur mod le doit pr voir ce que produit un doublement du CO Les mod les informatiques GCM n ont pas pr vu l absence de r chauffement de 1999 2009 contrairement des mod les d velopp s par des sceptiques Elevation du niveau des mers L histoire du niveau des eaux permet ici de relativiser la relation entre les activit s humaines et le niveau des oc ans Elle montre quel point on ignore comment sont arriv s les grands changements climatiques anciens bien avant toute intervention humaine et combien 1l est facile d alarmer les gens sur AGW L tude de coraux anciens permet de retrouver l histoire r cente du niveau des mers sur plus de 20 000 ans avant le pr sent BP la fin de la derni re p riode glaciaire les
39. essaires ici La plupart des chercheurs en dehors des sciences exactes n ont qu une compr hension r duite des math matiques mais ils doivent utiliser quelques m thodes de statistiques pour montrer que les r sultats qu ils collectent sont significatifs Ils connaissent donc le mode d emploi de quelques programmes statistiques des packages qui sortent des coefficients justifiant ou non si leurs r gressions et corr lations sont significatives Un programme plus complexe sert d couvrir ce qu il y a de commun dans des s ries Il utilise une m thode statistique appel e recherche des composants principaux Un tel programme informatique a ainsi d tect la forme de la crosse de hockey partir des s ries montrant une forte croissance r cente tels que les cernes des pins du Yamal Mais ce programme va plus loin quand on y a introduit au lieu des cernes r els des nombres au hasard ce programme astucieusement truqu continuait produire une courbe en forme de crosse de hockey Cela a t v rifi par des commissions parlementaires et scientifiques aux USA En 1954 un livre succ s expliquait Comment mentir avec des statistiques Darell Par exemple les programmes d tectent les donn es anormales et laissent les statisticiens supprimer des donn es et ne garder que celles qui leur conviennent L histoire de la fraude la crosse de Hockey est une ajoute ces m thodes Une autre astuc
40. et froide Un moteur vapeur est compos d une source de chaleur d un fluide qui se dilate avec la chaleur et d une source de froid vers laquelle le fluide est attir Cela provoque une circulation de fluide qui peut tre utilis e La source froide la plus efficace est de l eau que l on vapore ou de l eau d une rivi re ou d une mer que l on r chauffe Pour faire fonctionner des centrales solaires au Sahara on doit remplacer les sources froides par des changeurs refroidis l air ambiant mais le rendement est d autant moindre que la diff rence de temp rature entre la source chaude et la source froide est r duite Les vents de la circulation globale de l air transportent partout l air et la vapeur d eau Plus de vapeur d eau forme plus de nuages et r fl chit plus de rayonnement solaire L eau est le principal gaz effet de serre Elle capte des radiations solaires F Su SD E i Le sol met un L vaporation augmente avec rayonnement la temp rature du sol l humidit infrarouge la v g tation et le vent Fig 4 La figure 4 montre les principales fonctions qualitatives de l eau mais 1l faut conna tre un peu de thermodynamique pour tudier quantitativement le r le des d placements verticaux d air humide L atmosph re en contact avec le sol ou un oc an dont la surface est chauff e au soleil est mise en mouvement parce que ce syst me fonctionne comme un moteur
41. euses tandis qu il n y en avait aucune pour les sceptiques Les m dias aux ordres ne publient que les opinions d alarmistes s lectionn s avec l accord des bureaux d thique anciennement appel s censure Apr s tout rapport d un membre du GIEC les revues et journaux publient le titre suivant Les scientifiques d couvrent que garder un des termes suivants le r chauffement l l vation du niveau de mers l mission de gaz effet de serre le recul des glaciers la fonte de la banquise est plus grave que ce qui avait t pr vu Comme la s curit d approvisionnement en gaz naturel a des prolongements dans la strat gie internationale les lobbyistes ont t aid s par les politiciens et les services secrets des pays ayant des surplus de gaz couler Bien qu on le mentionne peu les relations Russie Europe d pendent de ces questions conomiques et politiques devenues plus importantes que l id al communiste Dans le fichier des politiciens et des hauts fonctionnaires on note leurs amis et leurs relations et comment convaincre chacun de ceux ayant du poids pour les th ses environnementales Par exemple comme le prix Nobel de politique appel prix Nobel de la paix est attribu par des politiciens de Stockholm on a organis leur information pour convaincre une majorit de ceux ci de couronner les partisans de AGW Al Gore le GIEC et ceux qui pourraient orienter les d cisi
42. h re qui contient des gaz effet de serre GES on observe une diff rence entre le flux re u du soleil 240 et le flux mis par le sol de la Terre 390 Ceci est expliqu de fa on simplifi e par une radiation mise en retour vers la Terre depuis les gaz effet de serre GES dans l atmosph re Temp rature Flux variables sur une journ e Le pr c dent calcul de la temp rature de la Terre supposait une temp rature uniforme mais cela n est qu une approximation Seule une moiti de la Terre est r chauff e par le soleil La figure 2 montre l volution des temp ratures durant 24 heures Une r duction de temp rature a lieu la nuit L effet de serre est expliqu plus loin et entra ne que les diff rences entre la temp rature diurne et nocturne sont plus fortes pour les climats secs et les ciels d gag s lesquels augmentent l vacuation directe de la chaleur que pour les climats humides courbe en vert Comme les variations de temp ratures ne sont pas proportionnelles aux flux d nergie on emploie des mod les informatiques globaux d taill s pour calculer les volutions journali res pour diff rents climats avant d en faire une moyenne pond r e Influence de l excentricit orbitale La distance de la terre au soleil varie annuellement de 147 152 Gm aux p riodes o l orbite terrestre est la plus elliptique ce qui se r p te tous les 100 000 ans et co ncide parfois avec d
43. ia 15 p5 F e K G F 2 Convection f eur chaleur W R latente 342 101 M H et pluie 241 Ws Ek 10 St EN 27 s 190wr Okk 305 13 en Watts n2 190 241 51 ce 390 105 190 Fig 14 modifi de Kiehl et al 1997 Dans la r alit un gradient correct s tablit et le sol se r chauffe ou se refroidit ce qui procure une r gulation efficace La transmittance Tyndall 1861 avait mesur avec des spectrom tres l absorption pour quelques gaz effet de serre y compris la vapeur d eau Cette absorption d pend de la longueur d onde Des diagrammes discontinus absorption longueur d onde montrent la transmittance ou transparence nergie transmise nergie envoy e Puisqu il y a tr s peu de recouvrement de longueurs d ondes entre les rayonnements solaires entrants et les rayonnements infrarouges sortant ces deux cas sont montr s ici sur des diagrammes diff rents Fig 15 et 16 L absorption infrarouge se passe surtout dans la basse troposph re o la vapeur d eau est assez opaque pour absorber presque tous les IR Le pourcentage de vapeur d eau dans l air diminue avec l altitude entre autres parce que 1l y plus de chance qu une pluie ait ramen l eau au sol Il n y a presque plus de vapeur d eau au dessus de 5km d altitude L absorption d pend de la masse de GES traverser Une pression atmosph rique r duite 20 ne supporte plus que 20 de la
44. ia Commons L volution de l eau en fonction de la temp rature a t montr e sur un graphique ayant pour ordonn e Paltitude Fig 9 Elle peut aussi se montrer sur le graphique 10 ayant pour ordonn e poids d eau sur poids d air Partant du point au niveau du sol temp rature de 25 C et 1 d eau ou 50 d humidit relative une bulle d air se refroidit en montant trajet ABCD et commence se condenser partir de 13 C point B L air est ensuite 100 d humidit mais son humidit absolue diminue car l eau liquide ou solide s limine sous forme de pluie ou de neige tandis que l air se refroidit Supposons que cet air redescende apr s avoir atteint moins 20 C point C La quantit d eau encore pr sente est alors de 1g kg et reste ce niveau pendant que l air descendant se r chauffe jusqu 25 C point D La principale remont e d air se passe autour de l quateur Les nuages peuvent monter tr s haut gt 10 km et occasionner des pluies diluviennes Le dessin 11 d une section d un quart de la Terre montre que Pair montant s loigne de l quateur et redescend dans la zone subtropicale amenant de l air sec vers le Sahara formant une circulation appel e cellule de Hadley La tropopause est plus lev e l quateur qu aux p les D autres cellules de circulation sont celle de Ferrel et celle centr e sur les p les Rotation de la Terre
45. ies de l AGW collectivement appel le GIEC dans ce texte a convaincu des scientifiques de ce qui suit Des groupes ayant un agenda ont employ des m thodes non scientifiques pour faire croire que AGW tait important et pour en tirer un avantage politique conomique ou autre Le GIEC a emp ch que les opinions des sceptiques soient discut es dans l ar ne scientifique ce qui a indispos le milieu scientifique et rend les discussions actuelles plus passionnelles Les anomalies du chapitre 4 du TAR Les circonstances m ont amen tudier d abord parmi la vaste documentation du GIEC pondue par 2500 experts le chapitre 4 du troisi me rapport TAR 2001 Une grande partie de cette information provient de l Agence internationale de l nergie AIE et est conforme au haut standard des statistiques produites par cette organisation En tant qu ing nieur jugeant les sections sur la production d nergie il m est apparu clairement que cette section tait crite par les lobbies de l nergie qui comme tous les lobbies doivent d former les faits et les volutions pr vues pour faire approuver leurs vues industrielles Les lobbies industriels entre autres des nergies et de l olien avaient r ussi r diger ou orienter le chapitre 4 du TAR W7 J avais donc une vision d favorable sur le GIEC mais je pensais que les travaux sur le climat seraient plus scientifiques tant moins li s aux int
46. int r t propre aux d pens d autres citoyens contraints rembourser les subsides dans leurs taxes et dans leurs suppl ments de facturation de l lectricit L conomie doit supporter des d penses inutiles pour installer des nergies dites renouvelables au lieu d nergies efficaces ce qui alourdit la crise financi re Comme les manipulations du GIEC sont maintenant clairement d montr es par les sceptiques les lobbies m nent un combat retardateur pour que la v rit n ait pas les moyens d tre diffus e du moins pas avant que soient sign s des trait s organisant un contr le de l environnement par PONU et par les administrations qu elle a fait cr er Les politiciens satisfont ainsi les lobbies tout en d gageant leur responsabilit potentielle en pr tendant qu ils croyaient P AGW Il n est donc pas tonnant que beaucoup de scientifiques aient des doutes et pensent que le CO ne va r chauffer la surface de la Terre que de fa on n gligeable de 0 5 C si le taux de CO double que le GIEC a exag r l importance du r chauffement climatique il est de moins de 1 C par si cle que les mers montent depuis 20 000 ans et que cette mont e a plut t diminu r cemment 18 cm par si cle que les glaciers reculent depuis 1820 avant que l homme ait mis du CO fossile que les r ductions de CO propos es Kyoto ne servent rien pour vrais probl mes 20 La supercherie t
47. int de d part d une conduction de chaleur qui r chauffe des gaz effet de serre en altitude lesquels renvoient un flux OLR dans l espace Ce flux est gal au flux re u du soleil comme expliqu plus haut Ws OLR Le flux OLR d la temp rature de la tropopause Te refroidit lair partir de la tropopause La temp rature au sol Tg est plus lev e que s il n y avait pas d atmosph re absorbante ce qui est appel effet de serre Le transfert de chaleur du sol vers Tt d pend de la conductivit thermique de l atmosph re Cette conductivit augmente s il y a plus de GES qui s y trouvent Entre Tt et Su il y a des changes crois s de rayonnements Suivant le second principe de thermodynamique la r sultante est un transfert de chaleur de la zone chaude le sol vers la zone froide la tropopause L effet de serre peut tre expliqu comme une manifestation de la conductivit thermique de l atmosph re ce qui d termine la diff rence de temp rature entre la tropopause et le sol Le r chauffement climatique global se mesure sur des moyennes au sol Profils thermiques de l atmosph re La tropopause est r chauff e et rayonne plus faisant perdre plus de chaleur 20 km Gradient de temp rature lapse rate l quateur 18 16 Rayonnement infrarouge vers l espace Un r chauffement du sol d place la ligne d volution thermodynamique vers un parcou
48. l depth d finie ainsi t In Ta Les variables d pendent de la longueur d onde n et de l altitude z Le signe moins est utile car les logarithmes de nombres plus petits que l unit sont n gatifs Pour retrouver la transparence la formule est Ta n e On choisit des logarithmes ou des exponentielles c d l addition ou la multiplication selon les besoins x y In x y e Y e e e x In e Supposons que les concentrations de gaz soient telles que la vapeur d eau dans l atmosph re laisse passer 20 de PIR depuis le niveau du sol et que le CO laisse passer 70 Le m lange des 2 gaz laisse alors passer 14 Les transmittances se combinent en les multipliant 0 2 0 7 0 14 Les profondeurs optiques se combinent en les ajoutant Vareurd eau CO M lange Ta 02 07 Produit 0 14 In 0 2 1 609 In 0 7 0 3567 Somme 1 9661 erzo emro emon Spectres des flux AMOS Pangu Middle Infrared MIR Window WIN Far Infrared FIR 400 mWw m2 cm 2000 cm 8 u 5 u Fig 17 Modifi d apr s Miskolczi 2004 833 cm l u 1250 cm 12 u SO0 cm 20 u Des satellites mesurent le rayonnement infrarouge quittant la plan te OLR Outgoing long wave radiations pour toutes les longueurs d ondes tout endroit et toute saison Les IR descendant sont mesur s au sol Ces donn es montrent des relations entre OLR le flux Su li la temp rature de surface et
49. masse Les GES dans celle ci absorbent environ 20 du rayonnement montant par rapport ceux de la masse enti re L ozone et les ultra violets UV La plupart des gaz sont transparents jusqu des longueurs d onde de 3 microm tres Le rayonnement solaire traverse l atmosph re moyennant une faible absorption 15 dans l IR proche 0 9 3 u par l eau et une forte absorption des ultraviolets Les UV sont d truits soit en transformant l oxyg ne O en ozone O soit en tant absorb s par l ozone Cette op ration est indispensable car les UV sont nocifs pour la vie en d truisant des ADN ce qui provoque des mutations des chromosomes L ozone r chauffe la stratosph re mais il ne reste que 1 de la densit d air cette altitude ce qui entra ne que l effet est limit Le soleil met surtout dans les bandes propres de l hydrog ne dans la lumi re jaune et bleue Le rayonnement du corps gris Les rayonnements r els de gaz ou de corps gris sont un peu diff rents de ceux du corps noir Chaque mol cule a ses fr quences propres de vibration Contrairement au corps noir qui absorbe et met dans toutes les longueurs d onde les gaz sont surtout actifs dans leurs propres longueurs d onde L air oxyg ne et azote conduit la chaleur par les chocs des mol cules Les longueurs d onde sont d plac es par ce processus ce qui peut exciter des GES accord s avec des longueurs d onde voisin
50. mentation actuelle de 0 7 C par si cle D apr s le GIEC ce r chauffement r sulterait de la consommation pass e de combustibles fossiles et devrait encore cro tre puisque la consommation de combustible fossile continue cro tre Les thermom tres install s depuis 1945 pr s des champs d aviation affichent des r sultats qui d pendent du b tonnage des pistes et de la construction de hangars et b timents Le r chauffement est surtout notable dans l h misph re nord o 1l y plus de terres modifi es par la pr sence humaine Le relev de ces stations m t orologiques tant devenu plus difficile avec la surcharge moderne de travail on a d cid en 1950 de ne conserver que les appareils reli s un c ble lectrique et t l phonique pour une lecture automatique une transformation qui s est faite sur des dizaines d ann es Pour r duire le prix d un long c ble enterr on n a gard que les stations proches de b timents modernes et de leur entourage de parkings empierr s ou b tonn s et qui b n ficient ainsi de l effet de chaleur urbaine Les sceptiques pensent que l on a supprim les stations qui taient bien plac es mais qui de ce fait ne montraient pas d augmentation suffisante L office m t orologique de Hadley UK a t charg de cette s lection des thermom tres Hadley d clare avoir tenu compte du r chauffement urbain pour d terminer l volution des temp ratures qu il p
51. mplifient en rapportant tout la profondeur optique comme principale variable d tat Les moyennes conservent les flux d nergie En appelant P la fraction de rayonnement au sol Su qui est reli e avec OLR on crit f x Su OLR Miskolczi 2004 2007 A partir des nombreux profils connus Miskolczi a propos une formule empirique pour f dont la correspondance la r alit est bonne f 2 1 ta Ta ou f 2 1 tate Comme f est voisin de 0 67 mesure moyenne ta 1 841 et Ta 0 1587 sont la solution de 1 ta e 3 Miskolczi 2007 d duit aussi cette formule de consid rations d astrophysique tudi es pour l atmosph re des toiles par Eddington en 1920 Miskolczi les a modifi es ou corrig es pour viter les discontinuit s Je ne suis pas comp tent pour juger du bien fond de cette th orie La th orie donne une formule de l nergie globale en fonction de ta ce qui g n re une courbe montrant un maximum d nergie transmise La profondeur optique est alors 1 87 Fig 3 dans Miskolczi 2007 L eau pr cipitable prem est d finie ainsi Quantit d eau en cm qui pourrait tre obtenue si toute la vapeur d eau contenue dans une colonne d air tait condens e et pr cipit e La connaissance de la valeur ta pour un taux 10 donn de CO et d autres gaz effet de serre permet de d duire la quantit de vapeur d eau dans l atmosph re de l ordre de 2 6 prem f vari
52. nes des arbres et l paisseur de s diments au fond des lacs Ces pal o climatologues avaient donc peu de cr dits pour faire des exp ditions dans des endroits d serts trouver des arbres ou des troncs presque fossilis s mais multi centenaires ou mill naires et en mesurer les cernes On supposait qu ils aimaient les exp ditions solitaires dans des lieux sauvages et d serts Il fallait vraiment une mentalit d dicac e aux sciences aust res pour ce travail Personne ne doutait de l int grit de ces savants qui s occupaient de science pour la science sans grandes perspectives d tre bien pay s ou d tre reconnus un Jour Quoi qu il en soit quelques rapports taient publi s sur des s ries climatiques cernes d arbres ou paisseurs de varves strates de s diments au fond de lacs Personne ne jugeait utile de faire v rifier ces s ries par des pairs et les archives de ces recherches taient mal conserv es En 1991 l URSS dispara t Les gisements p troliers et gaziers sont privatis s Des p troliers am ricains agissent en sous main pour s en assurer le contr le et pour pr parer le march pour les exploiter La politique antinucl aire se double alors d une politique contre le charbon ce qui se traduit par une lutte contre les missions de CO elle m me orchestr e par des messages alarmistes sur le r chauffement climatique Vers 1995 les lobbyistes charg de supporter cette politi
53. nisation mafieuse Depuis lors la plupart des gangsters ont t mis hors d tat de nuire mais l pisode a laiss des traces L Am rique continue boire autant que les autres pays et leur mafia organis e cr e cette occasion est encore active Maintenant de nouveaux id alistes pensent qu on doit obliger tout le monde agir pour l cologie profonde Leurs arguments existence du r chauffement global anthropique se sont r v l s faux et leurs rem des photovolta que et olien inefficaces De m me que les gains de la prohibition les profits du renouvelable attirent des opportunistes Les promoteurs oliens et ceux qui les aident font fortune Ceux qui trafiquent sur les permis de polluer quotas de carbone s enrichissent gr ce aux subsides La diff rence avec la prohibition est que les man uvres sont maintenant rendues l gales y compris la conqu te de zones r sidentielles dont les promoteurs oliens peuvent d truire impun ment le charme paysager Au lieu de s occuper de cr er des emplois rentables les politiciens s int ressent d sormais aux activit s subsidi es dont ils profitent de m me que leurs relations Les dirigeants oublient ainsi la rentabilit Des entrepreneurs soutenus par les m dias donnent priorit aux travaux subsidi s au lieu des travaux rentables Ils ne recherchent plus l int r t g n ral qui s am liore par une utilisation rentable de l argent mais leur
54. nt comme sur le diagramme 8 au lieu d tre parall les comme sur le diagramme 7 La discussion de la section 6 montre que ces profils crois s sont les plus probables 20 km E Un changement des gaz effet de serre l6 change le rapport entre l nergie rayonn e 14 dans l espace et l nergie re ue du sol 12 Moins de gaz effet de serre 10 8 Plus de gaz 6 effet de serre sl 210 220 230 240 250 260 270 280 290 Temp rature K Fig 8 5 Les cycles de l eau et du vent Diagramme de l atmosph re Diagramme temp rature altitude 12 km ks l L kin 50 C HPC 30 C AVC 10 C QC 10 C C Fig 9 Modifi de Wikipedia Commons Sur le diagramme 9 altitude temp rature de lair est transport du sol 20 C traits rouges en suivant une adiabatique Cet air se condense en c dant la chaleur latente qu il avait emprunt e pour vaporer l eau basse altitude Dans l exemple trajet ABCA l air se refroidit par transformation thermodynamique et se condense progressivement AB Il se refroidit jusqu 30 C au contact de lair environnant l altitude de 6 km trajet BC Dans la suite de cet exemple lair priv de son humidit par des pluies redescend suivant l adiabatique air sec CA pour revenir au point de d part En A le soleil doit chauffer le sol pour vaporiser l eau et pour faire repartir le cycle sur l adiabatique humide Les
55. ons tel que le pr sident Obama Celui ci va devoir aller recevoir son prix Stockholm proximit de Copenhague et la m me date que la conf rence qui y a lieu Un politicien supportant AGW constatera qu il est bien not dans la presse et que ses chances d tre lu augmentent On paye des contrats de consultance pour produire des arguments contre les sceptiques On d crit les sceptiques comme des demeur s Des sites internet num rent les erreurs commises par un prix Nobel sceptique au cours de sa carri re On examine quels pourraient tre les moyens de pression sur tout climatologiste pour qu il coop re ou perde sa position universitaire ou ses cr dits de recherche et soit mis dans l impossibilit de diffuser ses id es dans le public et les cercles scientifiques officiels Les journalistes sont surveill s par des cellules plus politiques qui peuvent leur faire perdre leurs appuis et relations Si vous ne croyez pas ces m thodes prenez connaissance de cas r els nominatifs dans une tude de la SEPP W5 R glements et opportunisme Des id alistes avaient fait interdire la consommation d alcool dans l Am rique de la prohibition Des 19 opportunistes en ont profit pour un business juteux Les organisateurs des circuits de distribution d alcool s assuraient que les tenanciers des speakeasy fassent aussi fortune ce qui a assur la collaboration de tous et le d veloppement d une forte orga
56. p infrarouges O vers l espace S 3U LOL 30u Fig 1 La somme des radiations d un corps noir est donn e par la formule de St phan F oT La constante de Stephan Boltzmann o vaut 5 67E Le flux vaut donc 6 34E Comme le soleil a un diam tre de 6 96E m et que sa distance la Terre se trouve en moyenne 1 4975E m la tangente de l angle sous lequel on le voit est 4 73E soit un angle solide en levant au carr de 2 24E Le flux m sur la terre est donc de 1370 W m Un tableau Excel W9 d taille les calculs et pr cise les unit s Watts et degr s 273 K 0 C La Terre est entour e de nuages d a rosols r fl chissants et de surfaces claires qui renvoient une partie du rayonnement solaire mesur par l alb do de 30 La Terre doit vacuer 70 de la chaleur re ue soit 959 W m 70 de 1370 La surface de la Terre qui limine les rayons infrarouges est 4 fois plus vaste que la surface apparente qui re oit le rayonnement solaire La surface d une sph re est 4 fois celle d un cercle Il faut donc diviser par 4 le rayonnement infrarouge IR mis par m soit 959 4 240 W m La Terre a une temp rature p riph rique de 18 C 255 K puisque o x 255 240 W m La Terre actuelle met des rayons infrarouges vers l atmosph re comme un corps noir 15 C Tg Elle met oT par m soit pour T 15 C 5 67E x 273 15 390 W m Si la plan te a une atmosp
57. penhagen claims british lord monckton Wii http www wnd com index php fa PAGE view amp pageld 113219 W12 http www leseoliennes be GHG tempterres pdf
58. pt on peut en dire n importe quoi et faire confondre ainsi des m canismes d finis vaguement avec ceux ayant un v ritable feedback On additionne dans un syst me non lin aire le for age de l eau et du CO alors que seul leur effet d ensemble a un sens et n tant pas un feedback ne peut que modifier la temp rature vers laquelle l quilibre s tablit 3 Conservation de l nergie Les r gles de conservation de l nergie ne permettent pas de faire croire que la Terre peut se r chauffer sans rayonner moins d nergie que ce qu elle re oit Peu de r f rences la thermodynamique et la conservation de l nergie sont d velopp es dans les rapports du GIEC 4 Humidit relative impos e Les lobbyistes ont tir parti d une remarque de deux pionniers des mod les informatiques du climat Manabe et Wetherald 1967 ont montr qu avec leur mod le le r chauffement en surface d un doublement du CO tait de 1 3 C lorsque l humidit absolue de l atmosph re restait constante mais atteignait 2 4 C lorsque l humidit relative restait constante Cit dans Dufresne et al 2006 Bien qu on ne puisse pas tablir une liaison de cause effet le GIEC a impos d utiliser une humidit relative constante dans des tests de mod les informatiques pour pouvoir comparer les mod les Cela accro t double les pr visions de r chauffement futur Adaptation des pr visions du GIEC L
59. quantit contr l e comme moteur thermique comme transporteur de chaleur latente et comme g n rateur de nuages et de pluie 6 R partition des variables d tat Des principes de physique expliquent les contraintes de la transmission de la chaleur travers les couches atmosph riques La distribution maximise l nergie transmise et d termine la temp rature du sol et le bilan des changes d nergie entre couches 7 CO ajout Pour pr voir l effet de CO ajout la pr sentation ajoute des gaz tels que le CO2 une Terre r gul e par les cycles de l eau Cela permet de chiffrer de combien un doublement du CO modifierait l ensemble des r gulations 8 Les explications classiques de PAGW Les publications du GIEC ont d form certaines notions de base amenant des interpr tations erron es du fonctionnement climatique 9 Campagnes d information sur lAGW Des m thodes modernes de communications ont fauss la perception du public et de nombreux scientifiques 1 Terre sans atmosph re Les radiations mises par le soleil sont calcul es par la th orie du corps noir de Planck Les radiations d pendent de la temp rature externe du soleil 5783 K Elles sont donn es sur la figure 1 par la courbe rouge en fonction des longueurs d onde Soleil Radiations solaires vers la terre ondes courtes l l UV Visible Infrarouge A EATFTR I lu 3u Radiations
60. que ont d couvert qu on pouvait interpr ter le ph nom ne exceptionnel des pins montrant des bonds r cents de croissance dans un sens utile leur agenda Ils ont trouv des chercheurs acceptant de conclure que l augmentation de l paisseur des cernes est proportionnelle la temp rature On m diatise un papier Mann et al 1998 liant les cernes au r chauffement climatique r cent Le GIEC pouvait ainsi tablir scientifiquement un graphique o les temp ratures croissaient soudainement en 1920 en correspondance avec l accroissement du CO anthropique Ce diagramme reproduit la Fig 25 est devenu c l bre sous le nom de crosse de hockey Les erreurs surprenantes du GIEC Deux chercheurs canadiens McIntyre et McKytrick bien que n tant pas sp cialistes du climat tudient alors la preuve scientifique qui justifiait le protocole de Kyoto Ils ont donc examin comment les pal o climatologues avaient proc d pour tablir le graphique dit de la crosse de hockey Ces enqu teurs se sont plaints des contretemps pour obtenir les donn es sur lesquelles ces rapports avaient t tablis ce qui tait pourtant une pratique scientifique normale pour pouvoir r pliquer les tudes En 2003 soit 5 ans apr s la publication de Mann et al ce qu ils r v lent semble incroyable dans un domaine o r gnait un pur esprit scientifique Quelques explications sur les pratiques de la recherche exp rimentale sont n c
61. ques des circuits d finis autrement Par exemple les signaux de feedback ne peuvent prendre qu une nergie n gligeable au syst me si l on veut rester dans le cadre th orique permettant d utiliser la transform e de Laplace Il existe des r gulateurs adaptatifs qui calculent automatiquement un point de consigne optimum en fonction de la situation mais cette r gulation n est pas un feedback quand elle n en a pas toutes les propri t s Un feedback n agit pas comme un point de consigne Si l on fait une comparaison elle doit rester une analogie et non une op ration logique concluante Changer le point de consigne n amplifie pas un d placement de la valeur d quilibre comme par un feedback positif Des manipulations du point de consigne ne produisent pas d excursions incontr lables 3 R les de l eau dans l atmosph re Dans la suite on suppose une Terre entour e de gaz oxyg ne et azote La vapeur d eau y est le principal gaz effet de serre GES dans l atmosph re terrestre et le seul pr sent ce stade de l tude Ce gaz est surabondant car la Terre est recouverte d eau La r gulation terrestre d pend du cycle de l eau dans l atmosph re Le moteur atmosph rique Depuis Lavoisier 1777 on sait que l nergie se conserve Pour extraire de l nergie utile on sait depuis Sadi Carnot 1824 qu un moteur fonctionne partir d une diff rence entre une source chaude
62. rofils crois s Fig 8 Cela peut se r aliser par certaines r actions du cycle de la vapeur d eau des perturbations figure 19 La concentration d eau augmente dans l atmosph re quand les temp ratures au sol sont lev es et quand les basses temp ratures en altitude y font monter l air plus chaud Le syst me maintient ainsi une quantit d eau dans l atmosph re telle que la diff rence entre la chaleur entrante et sortante s annule et que la chaleur transmise travers l atmosph re corresponde au flux quilibr La variation lin aire de Af f est v rifi e pour des mesures de plus ou moins 10 Dans un syst me lin aire les moyennes globales sont les moyennes des moyennes locales Pour que l quilibre s tablisse en moyenne sur toute la plan te 1l faut parfois attendre une ann e par exemple quand un r chauffement de la mer par l effet El Nino se dissipe 20 km Les masses d air qui se d placent suivant un R action de 18 4 1 gradient normal sont l atmosph re 16 plus chaudes et montent une tropopause spontan ment attirant plus froide 14 plus de vapeur d eau et un sol Plus de gaz effet de plus chaud 1 i serre se forme dans la haute troposph re Gradient de gl temp rature plus lev 6 moins pentu Plus chaud au sol dans une plus d vaporation 4 tropopause plus de GES refroidie N L pra 240 250 260 270 280 290 Temp rature K
63. rs plus chaud Un refroidissement du sol d place la ligne d volution thermodynamique vers un Parcours plus froid i s 200 210 220 230 240 250 260 270 280 290 Temp rature K Fig 7 Le diagramme 7 montre des profils actuels en bleu et des profils hypoth tiques Si la temp rature terrestre augmente profil rouge la transmission de chaleur vers les couches responsables de POLR augmente Une temp rature Te plus grande augmente la d perdition de chaleur vers l espace Ce glissement de la courbe vers des temp ratures plus lev es serait un m canisme pour r agir une augmentation du rayonnement solaire Par contre si la temp rature du sol diminue le profil caract ristique glisserait vers des temp ratures plus basses en vert sur le diagramme 7 Ce d placement parall le des profils se produit il en r alit Comment l atmosph re r agit elle d autres perturbations Si la temp rature de la tropopause augmente alors que le flux solaire re u ne change pas comment se ferait le retour l quilibre Le r tablissement automatique de l quilibre entre la chaleur re ue et vacu e par la Terre entra ne t 1l un changement de profil en r ponse un r chauffement du sol Un r tablissement automatique de l quilibre entre la chaleur re ue et vacu e entra nerait une diminution de la temp rature de la tropopause en r ponse un r chauffement du sol Les profils se croiseraie
64. servation par ballon sonde Gradients de 4 temp rature Tropopause lapse raies Adiabatique de l air humide 6 5 C km Adiabatique de l air sec SC Troposph re 20 km 100 mb Pression de l atmosph re en bars 10 km quilibre radiatif 1000 mb 0 km 80 C 40 C 0 C 40 C Fig 5 Profiles based on and modified from Manabe et al 1967 L volution des temp ratures avec l altitude d pend de la quantit d eau dans les masses d air qui circulent Le gradient de temp rature avec l altitude lapse rate en anglais d termine un profil thermique dont la partie troposph rique est de l ordre de 10 C km pour l air sec et de 6 5 C pour l air proche de la saturation en humidit Le gradient observ appel environnemental est souvent de l ordre de 5 5 C km La tropopause est d finie par une inflexion dans le gradient de temp rature avec l altitude l endroit de la tropopause il y aurait quilibre entre les radiations partant vers l espace et celles mises vers le bas Le r chauffement provient des radiations montantes et de la convection tandis que la radiation OLR Outgoing long wave radiation mise vers l espace entra ne le refroidissement La r sultante dans la basse stratosph re correspond alors souvent un maintien de la temp rature En pratique 1l est difficile de d finir une tropopause Des radiations parties du sol traversent l
65. stes de chacun des responsables administrateurs et r dacteurs pour les aider ou le contraire Pour chacun on recherche la possibilit de favoriser des carri res ou l inverse On examine la situation financi re des diteurs de publications pour les d panner s ils ont des difficult s financi res comme la plupart des revues y compris les revues scientifiques La contrepartie tacite est qu ils soutiennent le politiquement correct tel que l AGW Les scientifiques sont not s d apr s leur nombre d articles qui sont accept s dans des revues r put es Ces articles sont examin s par des pairs qui jugent de la qualit et de l originalit Ce syst me fonctionne assez bien du moins tant qu il n y a pas de cliques d amis qui se favorisent mutuellement Les experts du GIEC sont aussi examinateurs ce qui explique que tout papier soutenant l AGW est aussit t publi Les articles sceptiques ont plus de difficult s se faire accepter par des revues scientifiques Les rares fois o des m dias signalent une conf rence organis e par des sceptiques ils en profitent pour les d nigrer On multiplie les interviews et les articles qui rendent c l bres les alarmistes Le Dr Hansen a eu un poste lev dans la section climatologie de la Nasa Il tait un alarmiste av r pensant que la mer allait monter de 6 m par si cle Il est devenu c l bre apr s qu on lui ait propos un millier d interviews logi
66. taxes suppl mentaires comme une taxe CO2 J aurais ainsi un budget quasi illimit pour engager des consultants en communications pour soutenir des ONG cologistes et pour organiser des campagnes de lobbying pour faire voter des cr dits pour les travaux du GIEC et des administrations de l environnement et de l nergie Les sommes ainsi disponibles pour s assurer le concours des grands m dias nationaux et priv s sont plus vastes que tout ce qui a exist jusqu ici Les d penses ne sont limit es que par la n cessit de garder secret l identit des commanditaires finaux et de camoufler ce qui pourrait les faire soup onner Cela a t fait avec succ s puisque le public croit que les p troliers financent plut t les sceptiques que les partisans de l AGW Campagne de communication Il faut viter une vue na ve sur la fa on d utiliser ces cr dits Personne ne vient avec des liasses de billets pour rencontrer les chercheurs La fa on de financer la propagande a t mise au point par les Russes et les Am ricains pendant la guerre froide et s est encore perfectionn e depuis La bureaucratie sovi tique copi e par la bureaucratie de la CIA a t entra n e tablir des fichiers de toutes les personnes concern es chercheurs politiciens fonctionnaires journalistes militants ONG r dacteurs dans les m dias responsables de publications et d v nements y compris dans les TV priv es et nationales
67. ublie s rie Cruterm Fig 20 et qui sont reprises en t te du 4 rapport du GIEC AR4 ce que les sceptiques contestent Temp rature en C 0 50 0 25 0 25 0 50 1860 1880 1900 1920 1940 1960 1980 2000 Ann es Fig 20 S rie Cruterm d apr s IPCC AR4 2007 L administration am ricaine avait copi les emails internes de la soci t Microsoft pour prouver des agissements intentionnels non conformes aux lois antitrust Des hackers ont copi s les emails internes du centre de Hadley charg d estimer les temp ratures pour les rapports du GIEC Si ce Climategate se confirme on y aurait trouv des preuves de manipulations intentionnelles W1 Les temp ratures anciennes Pour d couvrir quelles taient les temp ratures plus anciennes qu une centaine d ann es les chercheurs utilisent des substituts proxies en anglais Pour expliquer comment calibrer ces proxies la suite montre comment les taux de CO atmosph rique mesur s dans les bulles d air des carottes glaciaires s rie Siple ont t raccord s ceux mesur s par des instruments Les mesures directes ont commenc Mauna Loa Tahiti vers 1958 comme montr sur les figures 21 et 22 W4 Concentration ppm Solubility 350 340 330 1 5 320 310 Mauna Loa 300 290 280 4 3 7 270 Sei 1708 1756 1804 1850 1891 1950 2000 Fig 21 D apr s W4 romian ppm Solubility
68. ur 22 5 milliards de barils an est de 1 58 T Le chiffre d affaire du gaz vendu 67 du prix du baril nergie gale est de 0 37x1 58x0 67 392 G an Combien un client doit il investir pour la publicit Son investissement doit tre en rapport avec les b n fices attendus Si des campagnes de communication et du lobbysme peuvent faire changer la politique de l nergie et faire augmenter les prix disons de 20 le gaz vendu alors 80 du prix du p trole rapporterait 78 G an en plus Ce montant n est qu un avant go t des gains que des opportunistes peuvent esp rer glaner si un march mondial du carbone et du CO un march de 126 G en 2008 aux USA W5 est organis aussi astucieusement que par Enron pour l lectricit Le montant cumul des d penses des USA pour prouver le r chauffement anthropique AGW et pr parer 18 des parades est actuellement de 7 G an Les sommes cumul es de 1989 2009 sont de 79 G W5 Cela a t pay par les taxes et non par la campagne de lobbysme laquelle s est content e d influencer les lus pour faire voter ces d penses Imaginons que je persuade les gaziers de d penser 20 des b n fices suppl mentaires esp r s pour financer cette campagne de lobbysme ce qui entra ne que mon budget aux USA et en Europe serait de plus de 15 G an entre autres pour lutter contre les nergies concurrentes telles que le charbon en leur infligeant des
69. vers l espace UE E mn nn 2e ia f chaleur Stockage de la chaleur dans les oc ans et le sol R partition transport et r g n ration 6 Radiations et profondeur optique Bilan nerg tique Le graphique 14 d apr s Kiehl et al 1997 illustre un bilan simplifi des changes de flux nerg tiques entre le sol la couche atmosph rique et l ext rieur Les num ros dans des cercles indiquent dans quel ordre le calcul est fait Le diagramme montre les transferts de chaleur des zones chaudes aux zones froides parfois en les d composant en radiations oppos es comme un flux montant de 46 W m entre les tapes 10 et 13 Les pourcentages indiquent comment des absorptions r flexions et convections sont calcul es W9 Les bilans locaux sont montr s en vert Le seul l ment non calcul est introduit au cycle 7 Ici on devine une temp rature 15 C admis pour les observations actuelles ce qui d termine l nergie rayonn e 390 W m ici et la convection ensuite on tudie si le profil thermique est compatible avec la th orie et les mesures On recommence le calcul jusqu ce que le gradient de temp rature trouv soit r aliste Rayonnement R Ajb do OLR Rayonnement solaire 1 70 31 infrarouge vers l espace BW LA 6 342 101 44 W 70 31 39 202 O G 1 Q AD PG R flexion r an aa 21 sur les nuages fa IO Gaz a Nuages 3 7 S effet de serre nent a

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