1,3Mo - Histoire de l`École Centrale de Lyon
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1. 11 CR g Commandements de l E C L 1 L Association tu aimeras comme tes papa et maman Ton Pr sidenthonoreras afin de vivre longuement 3 La Commission admireras pour son entier d vouement 4 A ses r unions tu viendras le vendredi exactement 5 Les conf rences couteras avec grand recueillement 6 A ses lettres tu r pondras par retour du courrier vivement Avant les banquets je neras afin de manger copieusement 8 Des chansonnettes apprendras pour dire au dessert gentiment 9 Ta cotisation tu paieras tout le moins une fois l an 10 De cette fa on tu seras Un Centralien tr s patant to NI La Commission a 0 ee R unions bebdomadaires Nous croyons utile de vous rappeler que nos r unions ont lieu tous les vendredis de 5 heures 7 heures et de 8 h 1 2 11 heures dans les salons Monnier 31 place Bellecour Nous nous proposons dureste de mentionner chaque mois les noms des camarades pr sents Nous ne remonterons pas la premi re r union qui eut lieu le 17 novembre 1903 bien qu il e t t int ressant de vous montrer comment le petit noyau form par les membres de la commission s est peu peu augment mais nous craignons que la liste compl te des 32 r unions ne soit une num ration trop fastidieuse Nous ne commencerons donc qu au mois de mai dernier Nous vous engageons venir souvent ces r unions amicales et si nous insistons autant c est p2. chasse sans cuir Variation de vitesse par friction et grande vitesse DBREVET S S G D G M tiers enroulage ind pendant permettant la visite et coup e de l tolfe pendant la marche du m licr M tiers com mande lectrique directe M tiers de 2 navettes el un nombre quelconque de coups BREV ET S 8 G D G Ourdissoirs grand tambour variation de vitesse par friction r glable en marche Bobinoirs de 80 120 broches Machines nettoyer les trames Ganneti res perfeclionn es BREYET S S G D G Doubloirs Machines plier et m trer D vidages D trancannoirs Ourdissoirs pour cordons BREVET S S G D G M caniques l armure chaiue M caniques d armures crochets M caniques Jacquard Mouve ments taffetas perfectionn s M tiers faire les remisses nouveau syst me BREVETES S G D G GOTON IAjIIN ES a M tiers pour Calicot fort et faible M tiers 4 et 6 navelles pour cotonnades M tiers 4 navettes coutil fort M tiers pour toile et linge de table Mouvements de crois Mouvements pick pick pass es doubles Rati res Machines parer s chage perfectionn BREVET S S G D G Ourdissoirs casse fil Bobinoirs Peletonnoirs Canneti res de 50 400 broches perfectionn es BREVET S S G D G M tiers poar couvertures M tiers pour l
3. C est bien de recherches qu ilest ici question caron ne peut gu re compter sur un accroissement nouveau des grandes industries lectrochi miques actuelles leurs produits pr sents sont de ceux qui ne poss dent qu un d bitrestreint et les quelques dizaines de milliers de chevaux qu elles ont am nag s ont sufti pour encombrer le march de leur produc tion au point qu elles ont d la limiter et que la plupart des usinesexis tantes ne vivent qu aux prix d une entente avec leurs concurrentes L lec trochimie souffre du manque de d bouch s cela est vrai des fabriques de chlorates malgr l emploi notable de cette mati re en pyrotechnie de Q celles de soude car le chlore qui l accompagne et dont la vente doit couvrir une partie au moins des frais d exploitation netrouve pas d ac qu reur m me bas prix sous ses formes diverses de chlore liquide de t trachlorure de carbone et de chlorure de chaux cela est vrai du car borundum de l aluminium dont lesapplications restent peu nombreuses et m me du carbure de calcium Celui ci pourtant r pondait un besoin bien g n ral de l humanit le besoin de lumi re et pouvait esp rer un vaste champ de d veloppement c e t t un merveilleux employeur de chevaux p riodiques outillage simple mati res pre mi res peu co teuses et client le abondante mais des causes mul tiples dont le danger de son usage est la moindre ont arr t son essor
4. au four lectrique une place favorable comme producteur de l acier et du fer sans compter que les pertes de mati re restent dans l un et l autre cas fort r duites puisque Stassano affirm extraire du minerai pr s de gr du fer qu il contient et que Kjellin ne laisse chapper que quelques centi mes du m tal qu il traite Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL AAPAAISIOIre eCS VONT BIDIOMEQUE MIRE SET S SALE m eee mamarasna 0 Ce gain est achet au prix d une d pense d nergie importante sans doute mais encore bien minime par rapport celle quen cessite la fabri cation d autres produits lectrochimiques Keller et Stassano par exemple affirment produire la tonne de fer avec une consommation de 4300 4500 chevaux heures et d autres inventeurs citent des chiffres assez voisins Kjellin affine une tonne galement de fonte moyennant 1320 chevaux heures et les indications d auteurs diff rents sont fort approch es de celle l Leurs divergences d ailleurs s expliquent assez par la diversit des mati res trait es des appareils et des modes de travail adopt s On peut en soup onner quelques uns il est vrai de donner l plus le r sultat de calculs th oriques que d valuations exp rimentales surtout en ce qui concerne l extraction directe du minerai il leur a suffi d exprimer l nergie n cessaire pour chauffer la masse du four et des charges
5. deux gros blocs de charbon reli s la source d nergie cette masse fluide sert de r sistance interm diaire o l lec tricit est transform e en chaleur et son rayonnement chauffe le four entier A intervalles r guliers elle est coul e moins une part du laitier dans un r cipient quadrangulaire frasqu en silice en chaux ou en magn sie d une capacit approximative de 500 litres muni d un cou vercle deux fortes lectrodes verticales en charbon y plongent leurs positions respectives sont telles que le circuit lectrique passe toujours par le bain habituellement ainsi deux arcs jaillissent la surface de celui ci Mais si l on veut provoquer un moment une surchauffe en Pun de ses points dans le but d augmenter la mobilit du laitier avant l introduction des r actifs ou la temp rature de lPacier avant la coul e on met en contact direct avec lui l une des lectrodes tandis qu on en loigne simultan ment la seconde cette man uvre vite de trop fortes variations du potentiel aux bornes la r sistance de l arc subsistant s accroissant alors Toute la d pense d nergie se concentre alors dans un petit espace o le travail devient tr s actif L affinage achev on vacue par un trou de coul e inf rieur l acier puis le laitier et l appareil se trouve pr t recevoir une nouvelle quantit de m tal traiter M Harmet a dress les plans d un autre four du m me genre
6. la pointe vers le bas maisle chauffage n est plus d la chaleur de l arc mais l effet Joule dans l paisseur des parois vers le sommet du c ne o la fusion et la r duction doivent tre produites est log un con ducteur r sistant form de graphite et d argile agglom r s chaud On y fait circuler un courant intense et atteint ainsi les plus hautes temp ratures Une ceinture de m me nature entoure la partie vas e de la chambre un courant moins puissant la parcourt et maintient l tat de fluidit le m tal qui y s journe et s y affine 1 La division en deux parties est plus nette dans l appareil de Keller en exploitation Kerrousse chacune d elles peut tre isol e de l autre et poss de une marche ind pendante Une premi re enceinte parois r fractaires tronconique tr s vas e par le bas repose sur une sole plane siliceuse ou basique l g rement inclin e On y charge le mi nerai et le coke en proportions exactes Ils sy fondent s y r duisent et la gangue forme un laitier avec les fondants Le tout coule sur ja a _ _ nr _ a e e 1 Le four Conley serait dej entr dans l industrie et ferait partie de l outillage des usines de Messina et d Elisabethtown Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL _ be sole et la recouvre d une nappe liquide en deux couches de m tal et de laitier o plongent
7. mais ils ne paraissent pas avoir t mis ex cution dans une sorte de haut fourneau fort comparable la premi re enceinte du four Keller se ferait la fusion sous l influence combin e du courant lectrique et de la com bustion de l oxyde de carbone la mati re fondue p n trerait ensuite dans un espace ferm o elle filtrerait travers du coke incandescent et se r duirait avant de tomber dans un affineur assez semblable ce qui vient d tre d crit Cette complication ne para t pas r pondre des n cessit s bien videntes puisqu elle n a pas p n tr dans la pratique Elle est bien oppos e la simplicit des fours affect s l affinage seul Le four de H roult est probablement le prototype des affineurs de Keller et Harmet c est une auge rectangulaire de t le un peu allong e arrondie au bas rev tue int rieurement de chaux et de magn sie pr sentant au milieu de la longueur un bec d versoir pour les coul es sous l action d un syst me de leviers et d engrenages elle peut s incliner et se vider totalement ou partiellement un couvercle mobile de briques en prot ge la cavit contre l acc s de l air elle peut recevoir quatre ou cinq tonnes de m tal Deux gros prismes de charbon y p n trent verti calement et constituent les lectrodes ils sont port s par une potence hix e au corps m me du four Leur distance au fond est r glable On y place une partie des riblons des l
8. on l emploie peu encore et les fabriques de carbure sont bien loin aujourd hui de la prosp rit sur laquelle comptaient leurs fondateurs Un pareil danger ne mena ait pas semble t il quelques produits dont on tente en ce moment avec succ s la pr paration lectrochimique et dont les uns cyanates cyanamide calcium cyanures alcalino terreux d o se tire facilement l ammoniaque nitrates alcalins iraient apr s quelque transformations parfois subvenir comme engrais aux besoins immenses de l agriculture dont un autre est le m tal le plus commun et le plus employ qui soit le fer l acier Les premiers n ont pas d pass Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL QE E EA la p riode des essais mais le second est d ja en tat de production industrielle Faire ressortir de quel haut int r t la r ussite des essais de produc o tion lectrothermique de l acier serait pour tous les possesseurs de chutes d eau est bien superflu si l on songe seulement qu il ne faut pas moins de quelque quatre mille chevaux heures pour en extraire du minerai une tonne et que la France seule tire annuellement de ses tablissements m tallurgiques un million et demi de tonnes d acier Les lectrom tallurgistes il est vrai n ont point l ambition de subvenir cette norme demande ni de se substituer totalement aux aci ries existantes ils renoncent pour le moment d
9. par une ouverture aboutissant au fond de la rainure par plus d une tonne la fois D excellents r sultats ont t donn s par cet ing nieux dispositif ici encore on parle d extension prochaine de l exploitation Or quelle est l efficacit pratique de ces mod les plus ou moins voisins d appareils nouveaux et comment pourront ils supporter la lutte avec leurs concurrents de l ancienne m tallurgie Le but des inventeurs ainsi qu on l a d j fait remarquer a t surtout jusqu ici d obtenir par des op rations simples des aciers ou des fers doux de qua lit sup rieure voici deux analyses qui permettront d appr cier dans quelle mesure ils l ont atteint Le premier chantillon a t extrait directement d un minerai l g rement sulfur au four Stassano le second est un acier d affinage pro venant d un four H roult I i F srssssex 99 70 Perissiau 99 20 Css 0 102 Crisis 0 60 Si 0 028 Ohaka neui 0 003 SET EEE 0 046 TE TE 0 007 Pisary 0 017 Ph 0 003 Mn ox 0 109 M Dissis 0 15 Il est certain qu il e t t impossible dans l tat actuel de l industrie m tallurgique d arriver comme par les proc d s lectriques en un seul traitement des produits de cette valeur Deux trois manipulations m me peuvent ainsi tre pargn es et l conomie de main d uvre augment e de r ductions notables dans les frais d entretien et d amortis sement d un appareil peu co teux assurent
10. pour fondre celles ci et pour fournir l exc dent de chaleur absorb par la r action chimique mais plusieurs s rement parlent d apr s des exp riences Du reste on conna t avec assez de pr cision les l ments qui pourraient introduire de l incertitude dans ces calculs et amener un cart impcrtant entre la th orie et la pratique tels les rendements les pertes de chaleur de mati re ou du moins on peut avec assez d approximation les valuer par analogie on a tudi pout cela d assez pr s les fours m tallurgiques l on connait suffisamment aussi ceux d lectrom tallurgie Les chiffres publi s peuvent donc dans tous les cas tre admis comme fort rapproch s des d penses v ritables Des prix de revient tablis d apr s ces d penses sont aussi avanc s par les uns ou les autres ici les donn es pratiques bases des calculs dont ils sont d duits sont si variables d un pays l autre et d pendent de tant de circonstances qu on ne peut tablir entre eux aucune comparaison N anmoins il convient de noter qu ils paraissent assez bas et assez au dessous des prix de vente g n ralement admis pour qu on puisse attendre quelque abaissement de ces derniers qui entra nerait sans doute un accroissement dans l emploi des bonnes qualit s de fer Si ce fait se produisait nous assisterions certainement un regain consid rable d activit et de prosp rit de l lectrom tallurgie dont profiteraient gra
11. DUBEUF Pour tous T s adresser Ing nieur Electricien FARRA Ing nienr E G L 17 rue de l H tel de Ville 17 86 rue de la R publique 56 Angle rue Mulet LYON T L PHONE N 28 01 LYON REMILLIEUX GELAS amp GAILLARD BOULETS ING NIEURS CONSTRUCTEURS LYON 68 cours Lafayette 68 LYON i COUCHOUD Maison sp cialement organis e pour les Chauffages par l eau chaude Chauffage conomique donisant beaucoup de chaleur et la vapeur basse pression S adresser aux Marchands de charbon ou aux NOMBREUSES R F RENCES MINES DE A P RONNI RE T l phone 14 32 GRAND CROIX Loire Georces AVE RLY D LYON 1453 rue Garibaldi 113 LYON OUTILLAGE A AIR COMPRIM RIVEUSES pouvant mettre 6 000 rivers par jour production qui ne peut tre atteinte beaucoup pr s p avec aucun autre syst me Fours i tournants pour chauffer les rivets FEU COMPRESSEURS d air vapeur VX courroie Compresseurs d air lectri ques Perceuses pneumatiques RIVEUSE reversibles poids 11 k haut 19e COMPRESSEUR
12. EL A LEVIER ET AU MOTEUR avec ou Sans accumulateurs de pression Livraison de vis et ferrures seules FOULOIRS A VENDANGE BROYEURS A POMMES 50 000 Appareils vendus avec Garantie M EUNIEBHEER Eils CONSTRUCTEURS 35 87 39 rue Saint Michel LYON GUILLODN RB Catalogue illustr franco sur demande GINDRE DUCHAVANY amp C 18 quai de Retz LYON SAN ITIVLAW SUIOSSAUd FSIOf SHIOSSAUd Applications industrielles de l Electricit CLAIRAGE TRANSPORT DE FORCE LECTROCHIMIE MATERIEL C LIMB Traits Lames Paillons or et argent faux et mi fins Dorage lectrochimique Publicit dans le Bulletin de l Association TARIF DES ANNONCES La page ie 100 fr pour un an Lan PAR A 65 D EEE A T a E her can 35 LeTo depi Erener enai _ 20 Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL C e pour la Fabrication des Compteurs EURERLDES retaeunes se Brayets j Inventions COMPTEURS nat ax 1 Pour gaz eau et lectricit Par L PINETTE amp RABILLOUD RE l Lyon cours Morand 10 SUCCURSALE DE LYON angle avenue de Saxe H BOURDON DIRECTEUR vx y RABILLOUD 246 avenue de Saxe 246 ING NIEUR CONSEIL Fonderies et Ateliers de la Courneuve INSTALLATIONS LECTRIQUES CHAUDI RES Eclairage Force motrice T l phones Sonneries Porte voix Babcock amp Wilcox J
13. Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL Premi re Ann e No 5 Juin 1904 Association des Anciens l ves L COLE CENTRALE DS AR NRA TRE 1860 1904 A Kanni BULLETIN MENSUEL de l Association SOMMAIRE L acter elect rigle sas nent Titus RSA UNE TU PIERRON Banquet du 5 Juin Secr tariat et Lieu des R unions hebdomadaires de l Association Salons Monnier Berrier et Milliet 31 place Bellecour LYON Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL Adresse T l graphique BUFFAUD ROBATEL LYON T L PHONE 14 09 Urbain et Interurbain Anciennes Maisons BUFFAUD Fr res B BUFFAUD amp T ROBATEL T ROBATEL J BUFFAUD amp G ING NIEURS CONSTRUCTEURS ATELIERS DE CONSTRUCTION Li VON Machines vapeur Chaudi res Tuyiutages et Transmissions Pompes Eau Compresseurs d air Essoreuses Hydro Extracteurs ou Turbines de tous syst mes ssoreuses lectriques brevel es Turbines Weinrich Machines de Teinture et Appr ts Laveuses Secuueuses Chevilleuses Lustreuses Imprimeuses Machines teindre brevet es Usines l vatoires Stations centrales lectriques Ghemins de Fer Locomotives Tramways lectriques vapeur air comprim syst me M karski Gonstructeurs privil giss des Tracteurs Scotte des M caniques de Tissage syst me Schelling et Sta
14. aines 4 4 ou 6 navettes Canneti res pour laine Ourdissoirs grand tambour jusqu 3 50 de largeur de cha ne BREVET S S 6 D G Machines vapeur Turbines clairage lectrique Transmissions Pi ces d tach es R parations Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL Bulletin n 5 Juin 1904 SUR L ACIER LECTRIQUE Ainsi qu on l indiquait ici il y a peu de temps lavenir la mutipli cation la prosp rit des usines hydro lectriques surtout en hautes chutes d pendent beaucoup de l usage que l on saura y faire de cette partie du d bit qu actuellement on laisse perdre et fuir sans utilisation vers les profondeurs de la vall e parce que l on sait qu certaines p riodes plus ou moins fixes et prolong es elle manquera et qu on ne peut compter sur la puissance de cette onde fugitive pour alimenter jes consommateurs habituels d nergie et de lumi re aux exigences r guli res et constantes Ma s d autres taient signal s comme s accomo dant facilement de ces interruptions les lectrochimistes et il semble bien en effet que dans nombre de cas ils soient les consommateurs id als de chevaux p riodiques et qu ils soient destin s s entendre merveille avec les possessurs d nergie hydraulique intermittente II leur faut il est vrai pouvoir disposer d une puissance tr s peu co teuse ou du moins ceux l seuls qui le doi
15. arce que nous avons d j constat tout le Num ris par l ECL http histoire ec lyon fBiblioth que Michel Serres ACL _ 14 DEMANDES DE SITUATIONS N 11 Ing nieur connaissant bien l installation des transporteurs a riens cherche uue situation Ne 12 Ing niewr constructeur demande s occuper d tudes tech niques direction d ouvriers ou repr sentations industrielles N 13 Jeune homme d sire situation dans l industrie m canique ou automobile N 16 Ing nieur lectricien d sire situation de Directeur de station centrale ou de tramways N 18 Jeune homme cherche situation dans la r gion de pr f rence dans une station lectrique ou dans une compagnie de gaz N 19 a Ing nieur comp tent dans la construction de charpentes m talliques ayant dirig pendant 14 ans une maison importante similaire et poss dant les meilleures relations dans les administra tions de l Etat et des chemins de fer cherche une situation N 19 b Ing nieur ayant fait des tudes nombreuses de forces natu relles dans le but de leur utilisation par l lectricit bon op rateur sur le terrain l aide du tach om tre cherche une situation dans une soci t comme ing nieur conseil Ne 20 On d sire une place de chimiste N 21 On demande une situation pour un lectricien praticien N 22 Personne ayant des capitaux d sire trouver situation s rieuse et
16. bli des Machines laver syst me Treichler des Machines glace syst me Larrieu et Beraat des Appareils Barbe pour d graissage sec Installation compl te d Usines en tous genres Brasseries Fabriques de P les Al mentaires M oulins Amidonneries F culeries Produits Chimiques Extraits de Bois Distillation de Bois Machines Moltes PROJETS ET PLANS ConsTRUCTIONS M TALLIQUES MANOM TRES Charpentes en Fer Compteurs de Tours Enregistreurs D tendeurs ot Mano D ten J EULER amp FILS ne s motte 24 rue de la Part Dieu LYON T L PHONE 141 O4 H DACLIN SERRURERIE place de l Abondance I Pour Usines et B timents LV O DMN T L PHONE TISSAGES _ T L PHONE ATELIERS DE CONSTRUCTION DIEDERICHS Soci t Anonyme au Capital de 2 000 000 de francs enti rement vers s BOURGOIN Is re INSTALLATIONS COMPL TES D USINES POUR TISSAGES GRAND PRIX l Exposition de Paris 1900 GRAND PRIX Lyon 1894 GRAND PRIX Rouen 1896 Adresse t l graphique et t l phone DI DERICHS JALLIEU SOIS M tiers pour Cuit nouveau mod le avec r gulateur perfectionn enroulage direct pour tissus Unis Armures et Fagonn s de un sept lats et un nombre quelconque de coups BREVET S S G D G Mouvement ralenti du battant D rouleur Automatique de la chaine BREVET S S D G M tiers pour Gr ge ordinaires et renforc s M tiers nouveau mod le
17. f Duperron Foraison Giroud Grillet Lahousse Magnin Michel Monnet Noblat P tinot Picard Plasson J Racine Rabilloud C Rey Sorlin Teynard Tissot Dupont Tranchant Valdant S taient excus s MM Averly Back s Boon Cl Bouvier Breton Bruyas Coiffard Commandeur C te Dumarest Dumont Euler Galerne Gambert Genevay Goy Guigard Gu roud Habouzit Heilmann H raud Leli vre Lumpp Ch Luc Court Manuel Mital Modet Nury P nissat Rome i Torilhon Vial MEN U Croustades ucullus ruite gluc g au Sauternes Hilt de Houf Trianon Guricotg verts au Beurrg d Asigny anctons de Ronen la Hrochq Salade de Saison Gutti fruit DESSERT Au champagne notre pr sident M J Buffaud se CA et prononce quelques paroles aimables commeil a le don de le i chacune de nos r unions mensuelles Puis c est le moment des chansons et nous entendons nos camarades J Buffaud Michel Guillot Duperron Plasson avec Magnin au piano qui sans se faire prier ont bien voulu contribuer faire de notre r union une f te amicale Nous les remer cions tous bien sinc rement Le pr sident La Commission Jean Burraup EARRA PoinsiGnon BELLET CHAROUSSET MICHEL BOURDON Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL
18. ffinage de la fonie brute des anciens hauts fourneaux ou des esp ces de fer inf rieures C est dans cette voie que les premiers r sultats probants et pratiques ont t obtenus Dans le four lectrique le chauffage est si nergique la fluidit si parfaite l activit des actions chimiques si puissante et leur conduite si ais e qu ilsubstitue la fois au convertisseur Bessemer au four Martin aux fours puddler et c menter ce seui engin et en obtiennent un meilleur effet ils trouvent en Jui aussi l avantage d viter tout contact avec les gaz souvent si g nants des foyers et des gazog nes Ils arrivent ainsi un degr remarquable de d sulfuration et de d phospho ation et convertissent en bon acier creuset ou en fer tr s pur des mati res prem res m diocres es appareils destin s au premier mode de travail pr sentent une Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL ue complication relative ils rappellent assez les hauts fourneaux mais en des dimensions bien plus modestes et sans leurs accessoires On reconna t en tous deux parties plus ou moins s par es Dans l une se fait la dessication la calcination la fusion et la r duc tion proprement dite cette derni re est op r e en pr sence de fondants appropri s par le coke l oxyde de carbone qui en provient est utilis par quelques auteurs contribuer la r duction du minerai par d autres m l d ai
19. i ne peuvent immobiliser sans des pertes appr ciables leurs stocks d approvisionne ment se trouvent oblig es une marche continue et pr f rent bien 1 M A Vingtrinier ayant t fort occup ce mois ci n a pas pu nous donner le resum de sa conf rence mais il nous l a promis pour le mois prochain Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL 9 souvent une source d nergie p cunairement moins avantageuse mais r guli re On s illusionne d ailleurs fr quemment sur la part qui repr sente la consommation lectrique dans le co t de ces produits ce n en est jamais qu une fraction assez faible le 1 5 pour la soude et le chlore pour le carbure de calcium le 1 4 et fort probablement seuls les lectrochimistes qui se trouvent forc s une conomie rigoureuse sur tous leurs chefs de d pense parce qu ils manipulent et livrent des mati res de valeur m diocre ceux qui en outre utilisent des appareils simples peu nombreux de construction conomique de miseen train et d arr t faciles mais bsorbant la fois un nombre consid rable de chevaux rechercheront les puissances hydro lectriques p riodiques Cette num ration de conditions pr cise le sens o devront tre pouss es les recherches en vue de trouver l utilisation rapide du travail de nos chutes d eau ce sera vers les op rations lectrothermiques dont l outil est le four lectrique
20. ilitaire pour faire le plan cadastral et quelques projets de ponts etc Apppointements 450 francs par mois 25 mars Une Compagnie de chemins de fer demande pour le ser vice de la voie un dessinateur pour Lyon 5 avril Une maison importante de charpentes bois et fer faisant l entretien g n ral de b timents industriels demande quelqu un connaissant bien ce genre de travaux et pou vant disposer de quelques capitaux comme Directeur ou Associ 12 avril Une Compagnie de gaz de l Am rique du Sud cherche un ing nieur lectricien pour monter lignes et station 5 000 volts Appointement 15 000 francs Frais de voyage aller et retour la charge de la Compagnie 15 avril On demande un jeune homme au courant de la t l phonie et de la construction du mat riel lectrique Appointement de d but 225 francs par mois Int r t sur les affaires environ 3 500 fr par an 15 avril Ancien l ve de l Ecole demande un camarade dessinant bien et capable de mettre au point les plans d ex cutions d une ligne de tramways lectriques 27 avril Un fabricant de carreaux d sire un ing nieur pour l as socier Il d sire fabriquer du ciment 4 juin Un industriel de la r gion cherche un associ avec apport de 35 40 000 francs b n fices ventuels de 8 10 000 francs pour chaque associ Les lettres doivent etre adress es au secr taire de l Association de l Ecole Centrale L
21. ingots de fonte affiner avec du fondant on les fond par un courant intense On ajoute alors le com Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL PER pl ment de la charge et dispose les lectrodes de mani re que leurs extr mit s ne p n trent que dans le laitier sans toucher le m tal On carte par l toute recarburation possible du m tal par les lectrodes et le laitier tant le si ge principal du d veloppement de chaleur c est pr cis ment le point o s accomplissent les r actions d affinage qui se trouve tre port la plus haute temp rature On projette durant l op ration au voisinage des lectrodes le minerai ou les ferrailles oxyd es les nouvelles quantit s de fondant n cessaires et peut m me agiter faj blement la masse en fusion Lorsque le degr de purification cherch est atteint on incline tout l appareil d cante le laitier puis coule l acier A La Praz cette m thode apr s plusieurs ann es de recherches d essais et de fonctionnement a donn des r sultats assez brillants pour qu il soit question de cr er des usines de la plus grande importance o elle serait exploit e Cependant la forme ramass e de ce four sa faible r sis tance int rieure conduisent l emploi d amp rages d une extr me intensit et de bas voltage ce qui peut obliger l emploi de g n ratrices un peu sp ciales 1 Pour chapper cette obligati
22. ndement les possesseurs d nergie hydro lectri que permanente et surtout p riodique il ne semble pas trop t m raire d escompter cet v nement Mais si cependant c tait l une erreur et qu aucune modification du march n intervint il n en est pas moins certain que cette jeune industrie est assur e d un large avenir nous verrons coup s r r tablir en partie dans le domaine de la m tallurgie l quilibre rompu depuis si jongtemps au d triment des pays pauvres en houille noire mais riches en houille blanche P PIERRON Professeur de chimie l Ecole m Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL 11111122 ii Banquet du 5 juin 1904 Sur la demande d un certain nombre de nos camarades la Commis _sion avait organis un d jeuner dans les salons Monnier afin de cl turer la premi re s rie de nos conf rences qui reprendront au mois d octobre Pour donner satisfaction nos camarades du dehors et notamment ceux de Saint Chamond et de Saint Etienne qui en avaient manifest le d sir lors du banquet de novembre dernier nous avions d cid de mettre ce d jeuner un dimanche midi Avaient r pondu notre invitation MM Buffaud pr sident de l Association Rigollot directeur de l Ecole Farra Gelas Guillot Plombier conseillers Barlet Barnier Bellet Boisard Bourdon Cachard Charousset Paul Delffaut Dub u
23. on Gin a propos un mod le de four longue r sistance Sous une vo te en r verb re est dispos e une sole r fractaire mobile d ordinaire horizontale mais pouvant recevoir une l g re inclinaison une rigole sinueuse troite profonde de quelque vingt centim tres y est creus e ses replis d velopp s pr sentent plusieurs m tres de longueur On y verse le fer impur pr alablement fondu avec un peu de laitier pour le recouvrir et le courant suit d un bout l autre cette veine de m tal il y est amen par des lectrodes non point en charbon mais en fer qui p n trent par le fond dans deux godets un peu plus larges et profonds o aboutissent les deux extr mit s de la rainure elles sont refroidies int rieurement par un courant d eau et sont ainsi prot g es contre la fusion ce dispositif carte radicalement le danger que l on court avec le four H roult de recarburer l acier par une mauvaise man uvre des lectrodes Le m me souci et le d sir d obvier aux m mes inconv nients ont conduit ant rieurement le Su dois Kjellin une autre snlution fort l gante du probl me dans un four depuis plus de deux ans en exploitation Gysinge Le m tal fondu d abord part dans un cubillot ordinaire est re u pareillement dans une rigole mais celle ci est am nag e dans un bloc de ma onnerie r fractaire immobile des dalles d pla ablies la recouvrent enfin elle est exactement circulaire et son diam
24. r chaud lever la temp rature de la masse La seconde partie re oit le m tal fondu qui au contact du laitier corrig au besoin par des additions convenables s y d barrasse de son surplus de carbone et des l ments trangers entra n s par lui Ces appareils participent un peu des inconv nients des hauts fourneaux si leur allure est plus souple comme eux ils doivent cependant n avoir un fonctionnement conomique que si leur marche au moins pour jeur premi re partie ne subit pas d interruptions Toutefois si celles ci sont r guli res point trop fr quentes gr ce Ja modicit du capital qu ils repr sentent car leur voiume n est jamais consid rable gr ce leur production rapide l ing nieur pourra sans inconv nient les alimenter de chevaux qui ne seraient point tout fait permanents Il le pourra bien mieux s il ne sc propose que l afhinage Celui ci s effectue en effet dans des appareils d une simplicit rare auge rigole ou bac plus ou moins recouverts construits en mati res r fractaires o lon maintient le m tal en fusion par le courant lectrique et y m le les fondants les oxydants et les m taux r actifs n cessaires Ils ont les plus grands rapports avec la deuxi me partie des fours pr c dents et souvent les inventeurs de ces derniers en isolent celle ci et y affinent du m tal par contre certains fours d affinage apr s l adjonction d un organe compl mentaire peuven
25. stable Ne 23 Cherche situation dans l industrie j N 24 Au courant de la construction m canique et de la fonderie d sire situation au besoin s int resserait dans une affaire No 25 Cherche place d ing nieur lectricien de pr f rence l tranger N 26 Demande place dessinateur dans une soci t lectrique ou dans une usine de construction N 27 Ing nieur lectricien d sire situation dans une station centrale en France ou l tranger N 28 Au courant de la construction m canique demande situation No 29 Cherche situation dans l Electricit No 30 Tr s au courant du dessin cherche situation prendrait des travaux faire chez lui Ne 31 D sire situation de chimiste ou autre Ne 32 Cherche place de chimiste en France ou l Etranger N 33 Voudrait trouver une situation dans la construction m ca nique o dans l lectricit No 34 Jeune homme d sire place de chimiste ou d lectricien No 35 D sire en France une place dans un laboratoire d essais lectriques Ne 35 b Ou dans le Haut Tonkin ou en Chine une place dans les mines ou dans un service lectrique Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL a ma OFFRES DE SITUATIONS 23 janvier L ing nieur de la municipalit fran aise de Shangha demande un jeune homme lib r du service m
26. t traiter directement le minerai Au reste on jugera de leurs relations par les br ves descriptions que voici de fours de l une et l autre cat gorie qui ont t soumis des essais suivis et ont recu une certaine cons cration de la pratique A tout seigneur tout honneur celui de Stassano semble avoir t le premier mis en exp rience et il faut louer l inventeur de son initiative et de la t nacit avec laquelle depuis dix ans il poursuit la cr ation dans l Italie riche en minerais mais d pourvue de houille la cr ation d une m tallurgie nationale du fer Apr s d assez nombreuses modifications il a rev tu la forme suivante dans laquelle il subit un commencement d exploitation industrielle Camonica Une chambre cylindrique en ma onnerie r fractaire cubant un peu moins d un m tre vo t e vers le haut re oit les trois lectrodes en charbon mobiles dans le sens de leur axe pour le r glage et dont Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL Se les t tes sont l ext rieur refroidies par un courant d eau La sole est vid e et forme en son centre un creuset Les parois les plus expos es au feu de l arc et au contact du m tal sont rev tues de magn sie La vo te supporte une chemin e cylindrique aussi et assez large par o sont introduites les charges le coke le minerai pur avec de la chaux comme fondant qui les constituent sont finement bro
27. tre atteint deux m tres environ Le fer qu elle enferme constitue un anneau con 1 Ce four avait t primitivement destin traiter les minerais soit peu pr s tel qu il est d crit ici soit en le surmontant d une sorte de couloir inclin o glisseraient les lits de fusion avant d arriver au four lectrique pro prement dit en y br lant l oxyde de carbone chapp du four lui m me on commen ait la fusion et la r duction Mais ces tentatives paraissent aban donn es Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL a RARES ducteur ferm o l on fait na tre des courants lectriques intenses par induction pour cela au centre du cercle dessin par cette rigole est une bobine verticale noyau de fer parcourue par le courant alternatif d une puissante dynamo c est le primaire d un transformateur dont l anneau de m tal fondu spire unique repr sente le secondaire le circuit magn tique est ferm en dehors de la ma onnerie par une s rie de iames ct un courant d air froid prot ge la surface de la bobine conire un chauffe ment exag r Les temp ratures atteintes dans ce curieux induit sur passent celles que d veloppent les foyers les plus nergiques A l aide de ringards on brasse le m tal et son laitier on y m le des oxydants des d carburants des fondants des r actifs convenables et l acier d pouill de ses impuret s est coul
28. u moins pr parer les esp ces inf rieures d acier et plus forte raison la fonte ils se bornent produire des m taux fins et dont la fabrication plus r mun ratrice leur offre plus de chances de gain et de succ s Mais s en tiendraient ils l quel progr s l lectrom tallurgie n aurait elle pas r alis Le temps n est pas bien loin encore o les anciennes fabriques malheureuses de carbure de calcium arrivaient subsister et bien p niblement quelquefois en extrayant de minerais complexes les fontes r actives qui entrent en si petites quantit s dans la composition des aciers sp ciaux Deux directions ont t suivies dans ces tentatives Les uns cherchent r aliser une m tallurgie compl te et partant du minerai en retirent par r duction l aide du coke en pr sence de fondants le fer ou l acier fin une seule op ration suffit la haute temp rature des fours lectriques permettant de mieux utiliser les r actifs en pr sence de pousser plus loin l limination des impuret s la petite capacit des appareils gr ce laquelle on peut mieux doser les lits de fusion surveiller et r gler la marche des r actions rendent possible la suppres sion des nombreuses manipulations successives que n cessite ailleurs l obtention d un m tal de la m me qualit le produit quivaut d or dinaire un bon fer doux ou un excellent acier Martin Les autres se contentent d effectuer un simple a
29. vent m ritent d attirer l attention et les offres de services des hydro lectriciens ce sont ceux dont les besoins de force sont consid rables parce qu ils fabriquent des produits de grand d bit et ceux ci sont g n ralement de faible valeur mais ils ont cette qualit essentielle de consommer abondamment elle seule permet leur fournisseur de s engager dans des installations hydro lectriques assez vastes pour que l am nagement et la production du cheval suppl mentaire y soient peu on reux et d un bas prix tel qu il reste tentant malgr l incertitude de sa marche On cite sans doute des produits lectrochimiques relativement co teux et dont la vente permettait une plus large r mun ration de l nergie lectrique mais alors ou leur coulement est limit ou ils exigent pour leur pr paration peu de cette nergie et pour ces deux raisons le d veloppement de leur fabrication qui peut int resser quel que producteur privil gi d lectricit ne peut gu re influer sur la situation g n rale des usines hydro lectriques Parmi les usines qui les produisent d ailleurs et m me parmi celles dont le march est large toutes ne supporteraient pas galement les inconv nients d arr ts p rio diques celles dont l outillage et le mat riel sont compliqu s et n cessi tent un amortissement on reux ou une mise en marche d licate celles dont les mati res premi res sont quelque peu ch res et qu
30. y s ensemble et agglom r s en briquettes par un agglutinant carbur les proportions de tous ces l ments sont soigneusement calcul es en tenant compte des impuret s r ductibles du minerai de la gangue des cendres du coke de mani re que le charbon n y soit qu en tr s l ger exc s Les lectrodes en retrait sur les bords de la chemin e sont dispos es pour que larc Jaillisse assez bas par cette disposition la charge descend dans la chemin e et fond son orifice tr s r guli rement et sans jamais adh rer aux parois Le m tal se rassemble dans le creuset recouvert de laitier et se maintient en fusion sous le rayonnement des arcs pendant que s ach vent les r ductions et se poursuit l affinage De temps autre lorsque le creuset se remplit on cume le laitier et coule le m tal Un c t d fectueux de ce syst me est de ne pouvoir agir sur le m tal s par dont la surface n est pas accessible de l ext rieur et qui n a pas une chauffe ind pendante de l quelque incertitude dans les r sultats Ces d fauts sont vit s dans le four am ricain de Conley dont les dispositions d ensemble pr sentent une similitude marqu e avec le four Stassano ils diff rent pourtant dars le mode d emploi de l nergie lectrique On retrouve ici la chambre et la chemin e d crites plus haut la chambre inf rieure est plus surbaiss e et plus large on peut au besoin l ouvrir la chemin e est en tronc de c ne renvers
31. yonnaise 31 place Bellecour Lyon R unions hebdomadaires tous les Vendredis de 5 h 7 h et de 8 h 1 2 11 h Le G rant LEGENDRE Imp P LEGENDRE amp C Lyon Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL _ BULLETIN N 5 11 JUIN 1904 ASSOCIATION DES ANCIENS L VES DE L COLE CENTRALE LYONNAISE BULLETIN DE COTISATION SUPPL MENTAIRE ET ANNUELLE Cotisation de dix francs pour les Memhres de l Associalion qui d sireront profiter des avantages nonc s dans notre Bulletin no 1 Noms et PrENOMS tr s lisibles PO OS ON ne E E a DR en Domicile pr c dent en cas de changement RSC RE ATARA nee ee Souscrit pour une cotisation suppl mentaire el annuelle de 10 fr PSS LL LL ASP BULLETIN DE SOUSCRIPTION Souscription ouverte par la Commission d Etudes pour couvrir les frais de la nouvelle organisation sans avoir besoin de toucher aux ressources de l Association NOMS EL Pr NOMS tr s bles ns nat Mate nn ananas PROTESTANT NES one GO DOM Si Domicile pr c dent en ras de ChAhpeMent nn ant Sterne een Souscrit pour la somme de N B Nous vous prions de retourner ce bulletin apr s l avoir rempli et d y joindre le montant de la souscription L adresser M BOURDON Avenue de Saxe 246 Lyon Num ris par l ECL http histoire ec lyon fr Biblioth que Michel Serres ACL PRESSOIR RATIONN
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