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La mutualisation des moyens et des compétences 8

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1. de r alisation Achat de formation et risque sectaire Prise en charge des soins palliatifs Ainsi que 3 actions qui ont t renouvel es sur des cr dits 2002 partir de cr dits 2001 et qui sont galement en cours Accueil et prise en charge de l adolescent aux urgences 16 R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 16 DES RESSOURCES POUR LES ADH RENTS DOSSIER La nouvelle g n ration de produits informatiques ANFH Dans un pr c dent num ro R alit et Recherche vous informait des choix techniques faits par Delphi 6 et Oracle 81 pour la r criture de l ensemble des applications de gestion de la formation r alis es et diffus es par l Association Ce projet dont l objectif principal est de porter ces applications dans un nouvel environnement technique proche des standards du march s inscrit dans la mise en uvre du sch ma directeur du syst me d infor mation adopt par le Conseil d Administration de d cembre 2000 Bien entendu les bases de donn es les plus r pandues dans le monde hospitalier autres qu Oracle pourront galement accueillir la version 3 de GESFORM janvier 2002 se poursuivent selon le calendrier pr visionnel En l tat actuel de l avancement du projet la migration des r gions ANFH et des tablissements actuellement connec t s devrait d buter l t 2003 par l installation de sites pilotes Elle sera ensuite r el
2. de for mation professionnelle L OUTIL INFORMATIQUE ARRIVA Premier tablissement de la r gion Auvergne connect 1988 l arriv e d un produit informatique permettant un lien direct avec la d l gation r gio nale ANFH a t v cue comme une opportunit int ressante liaison imm diate avec la Gestion du Personnel Le produit initial GESFORM dont l objectif g n ral tait de faciliter et d all ger les t ches administratives fait bien plus que contribuer aban donner le papier et le crayon au profit de l outil informatique Effectivement il a fallu repenser notre fa on de travailler et l on peut dire qu une phase d adaptation a t plus que n cessaire Gesform a t install une p riode critique car trop proche de la phase de construction du plan de formation Ceci n a pas permis de disposer d une connaissance approfondie du syst me d s le d but du processus d labora tion du plan c est dire l enregistre ment des demandes de formation selon l optique que nous avions choi sie En outre le produit tel qu il tait con u l poque per mettait pas de r pondre aux besoins des commissions de formation de l tablissement Effectivement GESFORM cr par l ANFH Nationale et par des repr sen tants d tablissements hospitaliers r pondait plus aux n cessit s de l ANFH qu aux n tres Je me souvien
3. tait sur la gestion des courriers Pouvoir diter des courriers partir de WORD est certainement une opportu nit int ressante pr sentation am lior e mais l organisation des forma ions dispens es par Nationale ur ce th me ne m a pas permis d y articiper ce moment l la r cente rriv e de ma coll gue au sein du ser ce a n cessit plus une connaissance arfaite des proc dures li es l ex cu on du plan qu la construction de mod les de courriers Il faut dire qu aujourd hui cela n est plus une priorit car d autres modes d information existent tels que la mes sagerie interne d velopp e dans tous les services de l tablissement ainsi que l envoi de courriers par e mail TO 60 Autre point fort la possibilit d diter directement le bilan social La ma trise de cette proc dure a consid rablement faciliter cette t che qui a longtemps t effectu e par la d l gation r giona le Un volet dont l utilisation est moins fr quente mais tr s utile per met de suivre du pr visionnel au r alis des statistiques dans divers domaines D autres l ments sont mon sens essentiels Il s agit des outils crits mis notre disposition tels que le clas seur GESFORM dont l utilisation bien que moins fr quente reste encore n cessaire Les relations avec les for mateurs ANFH et les informaticiens surtout lors de l installation de nou velles version
4. DEAR LD DETTE 03 APPROCHE ET FARINE BE HSE EJ TAB ET HLE 0 ET Tr FE iTA Tia D Tran APPROCHE ET THERAPIE PALE APPRCONE ET TH BAPE DE LA PHARE APR DF DE THERMAL APPROCHE CE T TORE TEN PENCHE TRUE ET BOSS Crau d hier Un exemple de liste de consultation de dossiers de formation dit e partir d une requ te ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 Nouveau site Internet de cliquez utile Code abhmemest En ligne depuis la fin juin la nouvelle version du site internet de innove tant en termes de pr sentation que de r organisation de ses contenus PERSONNALISATION DES CONTENUS Le site de est d di seule ment aux quelques 2200 tablissements publics adh rents mais aussi leurs agents pour les aider dans leur projet personnel de formation Afin de rendre l information plus accessible d s la page d accueil des ong
5. Il stagiaires soulignent souvent cela l issue de leur formation La formation devient alors un espace de libert o chacun change son exp rience Ma d marche tend cr er dynamique de rassemblement de volont s Elle n cessite une mobilisa tion g n rale des acteurs de la formation Qu un seul d entre eux fasse d faut l ensemble du dispositif grippe Ils sont tous essentiels et incontournables Ce sont les instances CPR et le personnel particuli rement d vou et comp tent de la section r gionale videmment les tablissements adh rents les sta giaires les organismes de formation et leurs intervenants La mobilisation v ritable de ces acteurs n est jamais fortuite acquise sans gages de s rieux et d efficacit a ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 12 QUELS SONT LES CRIT RES DE CHOIX DE VOS ACTIONS DE FORMATION R GIONALES ET COMMENT APPR CIEZ VOUS LES BESOINS EN FORMATION Les formations propos es ne naissent pas de demandes explicites mais de la rencontre de volont s autour de situations probl matiques indivi duelles ou collectives La formation n est un produit C est un construit d acteurs qui attendent des r sultats tangibles en change des efforts qu ils acceptent de fournir Mon travail consiste faire converger l ensemble des acteurs concern s vers la solution formation Le difficile et le passionnant ce sont les hommes
6. gions Midi Pyr n es et Nord Pas de Calais qui partir du m me contenu p dagogique le dispositif Saracomix se d clinent en deux conceptions diff rentes de r ponses de formation individualis es SARACOMIX quand un dispositif permanent de formation l hygi ne joue la carte de la proximit Le dispositif permanent de formation l hygi ne proximit des tablissements sanitaires et m dico sociaux implant s en milieu rural est con u et conduit par Midi Pyr n es en partenariat avec la DAFCO Toulouse et le r seau des GRETA de Midi Pyr n es depuis 1999 Le partenariat entre et l Education Nationale est de tradi tion et se concr tise notamment par la possible participation de deux repr sentants de l Education Nationale au sein des Conseils P dagogiques R gionaux comme conseillers l un au titre de l enseigne ment secondaire l autre au titre de l enseignement sup rieur L offre de formation professionnelle continue propos e par l Education ationale int resse r guli rement les agents de la Fonction Publique Hospitali re CONTEXTE DU PROJET Les Instances R gionales de l ANFH Midi Pyr n es dans le cadre de ces relations de proximit ont eu conna tre les ressources offertes par le R seau SARAPP Site Antenne Rurale de l Atelier de P dagogie Personnalis e r seau public r gional anim par les GRETA et soutenu par des partenaires publics Minist res
7. n raux Langues Savoirs de base Formation tout au long de la vie DOSSIER LA MUTUALISATION SUR DE NOUVELLES VOIES LA CR ATION D UN SITE PILOTE M TIERS DE LA SANT Elle constitue une r ponse pour mieux r pondre aux attentes et besoins des adh rents Un comit de pilotage manation des instances r gionales est charg de conduire l valuation des besoins des tablissements Dans cette attente afin de tester le caract re op rationnel de la d marche il a t d cid de mettre en ligne le dispositif p dagogique SARACOMIX Dispositif permanent de formation l hygi ne labor par Midi Pyr n es et La DAFCO de Toulouse La DAFCO du Nord s est vu confier la m diatisation du contenu de ce dispositif Ce dernier sera prochainement d ploy avec du r seau des GRETA qui autorise un maillage g ographique de la r gion Il est galement envisag un partenariat avec le groupement d int r t public SANTEXCEL manation des tablisse ments publics de sant r gionaux qui a vocation produire des contenus et des dispositifs p dagogiques en s appuyant sur les ressources de ses membres LA MISE DISPOSITION DE LA PLATEFORME DE T L FORMATION GEF DOMINO Cette plateforme permet la mise en ligne de ressources p dagogiques a conception de r ponses de forma tion individualis es guid es e suivi qualitatif et quantitatif des diff
8. p dagogies modalit s d inscription destin es aux respon Actualit s Fr Frehr H de Le rappari mrami de La eer an Cases mr Les dans Fener de bei rei biie i k cibh ii kr DU CCC R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 Eishhecenent de chaim sables de formation Ces actions nationales et ou r gionales sont accessibles par un moteur de recherche par th me et par r gion Enfin les organismes de formation peuvent d crire dans la base de donn es Basiform en ligne prochainement leur offre de stages COMMENT ACC DER L ESPACE ADH RENT Il suffit de proc der une pre mi re identification d s la page d accueil en veillant sp cifier ses coordonn es et notamment une adresse lectronique laquelle sera envoy imm diatement un mot de passe La connexion avec ce mot de passe donne acc s l ensemble des ressources r serv es du site et permet tout internaute d un tablissement adh rent de se connecter D autres services s adressent l en semble des utilisateurs potentiels du site Les actualit s les questions fr quentes aiguillent les personnes int ress es par les m tiers du secteur m dico sanitaire et social vers
9. pour la plupart des tablissements et une possibilit d ouverture sur l ext rieur pour tous Sa p rennit et son d veloppement reposent sur la parti cipation des professionnels des groupes de travail du type de ceux d j voqu s ou aux instances r gio nales de Je peux t moigner de l int r t de participer ce type de structures enrichissement personnel et professionnel au service d actions b ties dans les meilleures conditions Il faut admettre que ce n est pas toujours le cas des formations organis es loca lement De m me j encourage d velopper les produits et ressources documentaires tels que M tafores ou Valipro sur l internet Ces outils se r v lent particuli re ment utiles pour nous METAFORES la mutualisation des ressources en formation En r ponse une double attente celle des formateurs occasionnels internes et celle des responsables de la formation professionnelle continue des tablissements la r gion ANFH Champagne Ardenne a d velopp le projet M tafores travers un groupe de travail ouvert maintenant d autres r gions L objectif est double r pondre aux souhaits des agents b n ficiant d une formation de formateur exploiter les acquis p dagogiques de la formation b n ficier de l exp rience des apports et du soutien de coll gues formateurs comme eux aussi avoir acc s aux ressources p dagogiques cr es par ces c
10. s soins et les dipl mes titres et certificats correspondants Quant aux ANFH Corse et Haute Normandie elles s int ressent plus particuli rement la cr ation d une licence professionnelle de gestion des risques sanitaires et son d cou page en vue de son obtention au titre de la VAE par les agents hospitaliers concern s Deux autorit s et organismes valideurs ont galement sign des conventions de prestations de service en 2002 afin d tudier la fois des m tiers permet tant des validations les situations r elles de travail et les dipl mes titres et certificats correspondants Il s agit de l Education nationale et de l Universit L AFPA et les minist res en charge de la Jeunesse et des Sports vont rejoindre le r seau en 2003 LA VAE NOUVELLES R GLES La loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 modifie la loi de 1992 sur la VAP Un certain nombre de change ments ouvrent le champ de la validation appel e dor navant Validation des Acquis de l Exp rience Le tableau sui vant pr sente les points d volution essentiels pour les dipl mes et titres finalit s professionnelles ainsi que les certificats de qualification La r novation de la loi de 1992 sera mise en uvre d s parution des d crets arr t s et circulaires d application de la loi de modernisa tion sociale 1 Produit accessible en ligne sur le site internet de http www anfh asso fr VAP L exp
11. L utilisation d un lecteur code barres permettant une facilit d utili sation et une rapidit d ex cution L informatisation prioritaire de la fiche de soins et bien tre L int gration de plans de soins guide d termin s en fonction des pro bl mes le plus fr quemment rencon tr s en g riatrie et bas s sur les dia gnostics infirmiers Le d veloppement du logiciel sous windows pour assurer une compatibi lit avec de nombreux logiciels Un premier site pilote a t install en janvier 2002 la Maison de retraite de Poix de Picardie L valuation en mai 2002 a permis de mesurer la satisfaction des utilisateurs et de la direction de l tablissement En effet la facilit d utilisation et la rapidit en font un outil informatique tr s appr ci De nombreux tablissements qui ont mis en place le DSG ont fait part de leur souhait de b n ficier de ce logi ciel Les instances r gionales de Picardie ont d cid de prendre en charge les formations d accompa gnement de ce DSGi pour l exercice 2002 et de renouveler ce dispositif pour 2003 En outre pour faire conna tre ce pro duit une pr sentation de ce logiciel sera propos sur le site internet de l ANFH dans l espace Picardie en fin d ann e 2002 Le groupe projet r alisera fin 2003 une valuation de cette initiative et souhaite que ce logiciel fruit d une collabora tion active entre des agents de nom breux
12. Si le travail d un charg de formation est toujours de rechercher le d velop pement de la comp tence tant indivi duelle que collective dans un souci de qualification et ou de reconversion nous voyons bien que les orientations peuvent vari es Ce sch ma donne les positions profes sionnelles des responsables de forma tion mais illustre aussi les postures tenues dans le cadre de leur mission Ainsi en fonction de son cadre institu tionnel et de ses attitudes person nelles un charg de formation d cline ra plus particuli rement telle ou telle dimension de son activit tout en sachant qu il est dans l obligation pro fessionnelle d tre pr sent et op ration nel dans chacun des registres Sans d cliner toutes les situations nous voyons bien appara tre la fois des posi tions professionnelles diff rentes qui am nent des comp tences particuli res en lien avec les postures personnelles EI ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 En les deux logiques sont la forma tion et l individu Le responsable de formation est un conseiller d orienta tion professionnelle Il agit prioritaire ment dans une orientation de forma tion individuelle pour une volution professionnelle ou sociale Dans ce cas le charg de formation a une dimension de conseil individuel voire d orientation professionnelle centr e sur la personne Les formations corres pondant alors des demandes indivi d
13. cadre d un partenariat avec l Universit La collaboration interr gionale pour la professionnalisation des charg s de formation D une collaboration en miettes une mutualisation en actes La formation devient un moyen essen tiel pour favoriser le d veloppement des agents et accompagner les change ments dans les tablissements De ce fait les charg s de formation ont des fonctions largies plus complexes et interviennent de plus en plus en amont dans le processus de formation Comme les autres acteurs de l h pital les charg s de formation rentrent dans une n cessaire logique de profession nalisation Si le terme de profession nalisation renvoie trois dimensions compl mentaires la premi re sociologique de passage d un m tier une profession reconnue et ayant des attributs sociaux particuliers la deuxi me de d veloppement des qualifications professionnelles des agents pour un savoir faire accru dans l activit la troisi me p dagogique comme la centration de la formation sur la trans f rabilit des savoirs et m thodes en milieu professionnel Nous enten drons ici le terme de professionnalisa tion dans son sens de d veloppement des comp tences et des qualifications professionnelles Ce r cit est donc l histoire d une colla boration en miettes une mutualisa tion en c est dire d un cheminement de plusieurs actions en parall le qui se retrouvent prises
14. d apporter une meilleure reconnaissance de la contribution des formateurs internes occasion nels l effort de formation des agents hospitaliers En initiant ce projet la r gion Champagne Ardenne s engage r solument sur l utilisation et le d veloppement des outils de com munication tout en pariant sur chaque acteur de la formation continue de nos tablissements Demain le principe de la mutualisation de l ANFH d j bien d velopp sera encore plus NET dans notre r gion
15. de l Emploi et de la Solidarit et de l Education Nationale Collectivit s Territoriales Le R seau des GRETA Midi Pyr n es dispose de 80 SARAPP qui maillent l ensemble des 8 d partements de la R gion lieux de formation b n ficiant d un accompagnement individualis des stagiaires et d outils de formation distance Le projet de coop ration entre Midi Pyr n es et la DAFCO de Toulouse est n de la rencontre de plusieurs pr occupations Pour L ANFH L int r t port la philosophie des SARAPP qui r pondait son souci de promouvoir la formation dans les tablissements implant s en milieu rural h pitaux locaux maisons de retraite en rapprochant la formation des agents former A l heure de l affirmation de la qualit dans les tablissements sanitaires et m dico sociaux adh rents int r t de s investir en mati re de formation sur un axe transversal permanent et incontournable comme la pr ven tion des infections nosocomiales promotion de l hygi ne Int r t de faire vivre de r investir un didacticiel d auto formation NOSOCOMIX visant la sensibilisa ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 tion la lutte contre les infections nosocomiales produit par le Si ge National de l ANFH Pour LA DAFCO Elargir le champ des prestations assur es par le R seau Elargir les publics utilisateurs de ces sites Rec
16. de l application GESFORM ce qui permettrait parfois de mieux se comprendre Sylviane UGUET Responsable de Formation Centre Hospitalier de Vichy des d l gations r gionales de elles nous ont permis de mettre en place ces projets institutionnels Parce que su couter les utilisateurs et prendre en compte leurs dol ances nous devrions aboutir un joli b b Le contact est permanent avec les concep teurs qui nous interrogent r guli rement par questionnaire Les changes se sont intensifi s avec la perspective de Gesform La tenue des rencontres uti lisateurs en est le point d orgue Elles taient n cessaires pour prendre en compte les sp cificit s des services de formation continue des tablissements utilisateurs Les responsables de forma tion ne travaillent pas tous de la m me fa on L change qui a lieu lors de ces r unions r v le de grandes diversit s Ne serait ce qu entre les grands tablis sements type CHU et les petits Le Centre hospitalier d Avignon est compa rativement une petite structure Le plus extraordinaire est d avoir trouv le d no minateur commun La pr sentation finale du logiciel aura lieu en mars 2003 lors d une derni re r union DOSSIER T MOIGNAGES DES ADH RENTS La mutualisation est une n cessit pour la plupart des tablissements M Pfister Directeur des Ressources Humaines du C H de Saint Dizier membre du groupe de
17. des sources d information ouvertes tout public minist re orientation et apportent une r ponse aux questions basiques Dans l optique de donner un acc s de plus en plus autonome l information prochainement chaque utilisateur d un tablissement adh rent pourra consulter le catalogue audiovisuel du service documentation r aliser sa propre s lection et r server par e mail les r f rences choisies 1 Adresse du guide de la fonction cadre fttp www efii com ANFH index htm 2 Adresse de Valipro http www anfh asso fr valipro index html Voir aussi l article un nouveau site pour de nouveaux textes page 20 DOSSIER DES RESSOURCES POUR LES ADH RENTS Valipro un nouveau site pour de nouveaux textes Valipro ressource internet sur la validation des acquis offre une version r nov e au moment m me o le dis positif de la VAE Validation des acquis de l exp rience prend la rel ve de la VAP Validation des acquis profession nels Pr sentation crois e des nou veaut s du dispositif et du produit Valipro 1 UN R SEAU DE PARTENAIRES LARGI Six r gions ANFH alimentent depuis juin 2002 le site VALIPRO Les ANFH Bourgogne et Franche Comt r gions conceptrices du produit actualisent les m tiers existants ainsi que les dipl mes titres et certificats des auto rit s et organismes valideurs Les ANFH Alpes et Provence tudient les m tiers du secteur d activit
18. disponible pour les tablissements de moins de 400 salari s partir de l t 2004 DE NOUVELLES FONCTIONNALIT S POUR LES UTILISATEURS Le nouvel environnement technique apporte une plus value notable quant aux facilit s de communication offertes entre les diff rents logiciels de Directions des Ressources Humaines y compris ceux qui g rent la structure des tablissements en permettant un suivi de r alisation des formations par budget Les extractions vers les logiciels de bureautique deviennent simples et intuitives tant pour la r ali sation des courriers documents que pour la production de notes et rapports L ergonomie g n rale des logiciels est am lior e gr ce une approche graphique quivalente celle des logiciels actuels avec l utili sation d onglets de boutons ou de touches de fonctions au choix de l utilisateur En terme de plus value li e aux fonc tionnalit s la version 3 de GESFORM permettra aux utilisateurs de g rer le recueil des besoins de formation C est la fonctionnalit nouvelle la plus attendue Elle offrira la possibilit de distinguer les demandes relevant d ob jectifs institutionnels de projets de DOSSIER DES RESSOURCES POUR LES ADH RENTS services ou de regroupements d enti t s particuli res et les demandes individuelles Un nombre croissant d tablissements envisage de per mettre une saisie d centralis e au niveau des services des besoins de formati
19. ere Re L essentiel Las niormabors DS CR aan du carre ue IL LI du alpn mire bio 19 c C7 17 27012 la dag redoma ina wiraha re dr tr El pm ls dar Profepponne nd ml gang spicics e craque misii pc ma l baroni par isab le F pertons Adresses dans La nique Fours Questions A0 J ds dt ds farita ar 3 ERI PEES denr es moid a L entr e par secteurs Dun VOUS SAUT pie vous pourrez L ntnb par a cl urs Si vpu Len milier dans secieur MINES Chercher Chess Len dans ia bria h ros ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 a 21 DOSSIER LA MUTUALISATION SUR DE NOUVELLES VOIES partenaire de l ducation Nationale Ce partenariat est illustr par la mise en place de deux dispositifs de formation en r
20. formation m dicale continue n est pas int gr e au dispositif Cotisations l ANFH re oit les cotisations des tablissements adh rents Elle assure la meilleure utilisation des fonds ainsi mutualis s Mutualisation les sommes vers es par les adh rents titre de cotisations minimales sont mutualis es en fonction de r gles d termin es au niveau national et ou r gional il s ensuit qu un tablissement peut b n ficier un moment donn d une enveloppe financi re sup rieure sa cotisation en fonction de crit res d finis par la r gion tels que taille ou besoins des tablissements L Assembl e G n rale de l ANFH fixe chaque ann e le pourcentage des sommes per ues qui est affect au budget national et celui qui Le niveau national garant de la coh rence de l Association du respect de la solidarit et du paritarisme est charg de la politique et des axes strat giques en rapport avec les volutions et mutations du syst me sanitaire m dico social et social Il s appuie pour cela sur les d l gations r gionales qui mettent en place une politique de promotion de la formation au plus pr s des besoins des adh rents et de leurs agents et contribuent la mutualisation des comp tences et des exp riences des tablissements ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 DOSSIER LA MUTUALISATION DANS TOUS SES TATS Les incontournables actions de formation et journ es r gionales Q
21. liorer la qualit de la formation La reprise d une action nationale donne aussi la possibilit d accueillir davantage de stagiaires et de satisfaire des demandes n ayant pu tre prises en compte lors des sessions initiales Enfin dans un troisi me temps les tablissements eux m mes peuvent reprendre le th me d une action natio nale pour l inscrire leur plan de formation Dans ce cas ils ont la possibilit de s appuyer sur des l ments d ing nierie p dagogique de l action nationale pour formaliser leur propre cahier des charges QUELLES SONT LES VOLUTIONS DU DISPOSITIF Depuis 1997 des adaptations ont t apport es au dispositif des AFN La signature d un protocole avec DHOS a formalis les modalit s de mise en uvre des actions nationales Une proc dure de recensement des besoins r gionaux a t mise en place et dispose de la possibilit de proposer Le tutorat Prise en charge de la d mence PMSI en psychiatrie des th mes d actions Enfin les parte naires se sont attach s une meilleure d finition des cahiers des charges R cemment s est efforc e d apporter plus de coh rence dans les proc dures au niveau du calendrier d laboration et de r alisation des AFN et de l information apport e aux r gions et aux tablissements Cette information est relay e partir d un support unique une fiche synth tique de pr sentation de chaque act
22. m dico sociaux en particulier les Maisons de Retraite ont eu comme pr occupation essentielle l humanisation des tablisse ments Cette humanisation passait tout d abord par une conception des locaux d accueil Pour ce qui est de la Maison de Retraite de FLANGEBOUCHE la d ci sion d humanisation a t prise la m me p riode que la transformation de l Hospice d origine en Maison de Retraite Le projet immobilier a t conduit son terme et l on peut affirmer aujourd hui que l Institution est dot e d un excellent outil de travail agr able et fonctionnel Depuis l humanisation de l tablisse ment l volution d mographique constat e de la population confirme un fort vieillissement la moyenne d ge homme femme se situe aux alentours de 83 ans avec tr s souvent un tat de d pendance d s l entr e dans la structure Le maintien de la personne g e vieillissante pose un certain nombre de probl mes en particulier quant l organisation du travail La nature des prestations attendues par les r sidents et leur environnement imm diat familles association amicale m decins prescripteurs voluent tr s vite et placent souvent l ensemble du personnel dans des conditions de travail plut t inconfortables avec un sentiment fr quemment ressenti du peut mieux faire Cet tat de fait a conduit le Comit Technique Paritaire repr sentant le Personnel de l Etablissement et anim par so
23. mani re tre utile ceux qui me font confiance QUEL EST VOTRE MESSAGE Je ne peux fournir qu un t moignage d coulant de ma pratique celle d une recherche d adaptation constante des r alit s changeantes Je suis donc tenu pour v rifier quelque intuition ou faire passer mes id es non pas de discourir mais d agir ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 11 Le chemin des sciences de l homme m int resse la sociologie la psychologie l histoire ou la strat gie ont ma pr f rence Ce que je fais ne rel ve pas de la science mais doit beaucoup l empirisme QUELLES SONT LES SP CIFICIT S DE LA R GION CENTRE EN TERME DE FORMATION Avec 143 adh rents elle est la deuxi me R gion ANFH de France derri re sa voisine des Pays de la Loire C est une r gion grande comme la Belgique six d partements La plupart de nos adh rents sont des petites structures La r gion tant en quelque sorte la r sidence secondaire de l Ile de beaucoup de personnes viennent y passer leur retraite puis France int grent les maisons de retraite s y produit un ge toujours plus avanc et concerne des personnes toujours plus affaiblies au plan physique c est vident mais galement au plan psychique Ce qui constitue un d fi de taille pour ce type de structures Et ce d fi retentit sur notre propre fonctionnement si le mutualisme c est s occuper des peti
24. rence suivi du stagiaire en connexion t l phone La pr sence d un Formateur relais autorise un accompagnement sur le site d apprentissage prise en main de l outil de t l formation notamment et peut permettre de faciliter la relation avec le Formateur tuteur S quence distance GRETA Apprenant de proximit Formateur Relais Serveur de ressources P dagogiques a Messagerie gt Acc s aux ressources p dagogiques gt Communication Formateur apprenant Consignes Ressources e Suivi et Cr ation de parcours Livret stagiaire S quence en pr sentiel Apprenant GRETA de r f rence Ressources locales EI ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 L engagement de la r gion Nord Pas de Calais vise initier une d marche dans le domaine des FOAD en recou rant l appui d institutionnels locaux DAFCO R seau des GRETA D RTE FP et avec le b n fice d un financement europ en Cette approche exp rimentale initi e en 2002 et poursuivie en 2003 se fonde notamment sur le d ploiement du dispositif p dagogique SARACOMIX con u Midi Pyr n es Elle fera l objet d une valuation qui permettra d orienter les choix dans le cadre d un d veloppement programm pour l exercice 2004 Quand une collaboration interr gionale s inscrit dans le
25. tablissements de la r gion Picardie permette aux institutions d h bergement de personnes g es de b n ficier d un outil pleinement adapt leurs besoins R COMPENSE DE DERNI RE MINUTE Le film le dossier de suivi g ria trique destin fournir des orien tations p dagogiques sur l utilisa tion du dossier de suivi g riatrique DSG a obtenu le deuxi me prix du film de g rontologie au Festival Filmed qui s est tenu Amiens en septembre 2002 Rappelons que ce document vid o r alis en partena riat avec le d partement Sciences de la sant de la facult de Bobigny a t tr s largement diffus aupr s des tablissements http www anfh asso fr espace Vie des r gions L accueil une priorit pour les tablissements hospitaliers et m dico sociaux Guyanais Dans le cadre de sa mission r gionale Guyane a men partir de 1999 une tude sur l accueil dans les deux principaux tablissements de sant le Centre Hospitalier de l Ouest Guyanais Franck JOLY et le Centre Hospitalier de Cayenne Andr e ROSEMON Un groupe de travail constitu des agents de ces tablissements avec la collaboration d un expert ext rieur au milieu hospitalier a cherch valuer les besoins des usagers ainsi que des personnels afin de proposer des solutions concr tes pour am liorer l accueil au sein des structures tion guyanaise rend plus difficile la communication avec
26. travail Actions coordonn es Actions r gionales de Champagne Ardenne t moigne de la bonne sant du mutualisme dans sa r gion QUEL REGARD PORTEZ VOUS SUR LA POLITIQUE R GIONALE DE D VELOPPEMENT DE LA FORMATION MISE EN UVRE PAR LA D L GATION R GIONALE DE L ANFH Nos besoins en formation sont ceux d un tablissement de taille moyenne mais techniquement assez pointu Nous sommes notamment un p le de r f rence dans la r gion au niveau des urgences et de l obst trique et le per sonnel est fortement qualifi et sp cialis Le centre hospitalier dispose de 270 lits actifs et d une maison de retraite de 90 lits pour 700 agents au total Sa situation est repr sentative de la Champagne Ardenne une r gion assez peu peupl e 1 340 000 habi tants partag e entre les deux grands secteurs traditionnels les tablisse ments sanitaires et les tablissements pour personnes g es repr sent s le plus souvent par de petites structures Je participe au groupe de travail Actions coordonn es Actions r gio nales de charg de pr parer et de suivre ce type de formations Le groupe de travail est compos de repr sentants des tablissements chefs d tablissements DRH Charg s de formation de repr sentants des personnels et anim par la d l gation ANFH Les actions coordonn es sont organis es et propos es au niveau r gional par et financ es par les tablissemen
27. 2 Obtenir une partie de dipl me Dispenser d une partie des preuves et des enseignements associ s 5 ans d exp rience professionnelle en rapport avec le dipl me recherch 1 demande par an pour un m me dipl me Proposition D cision Jury de VAP Notification Pr sident Dossier VAP ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 Obtenir tout ou partie d un dipl me Dispenser des titres requis pour entrer en formation et de tout ou partie des preuves et des enseignements associ s Possibilit de cr er des modalit s individualis es de contr le des connaissances non valid es 3 ans d exp rience professionnelle ou personnelle en rapport avec le dipl me recherch 1 demande par an pour un m me dipl me 3 dipl mes maximum par an Proposition D cision Jury de VAE Notification Pr sident Dossier VAE entretien ventuellement mise en situation de du 17 d de dass ei partenaire DAWA portes dun rans partar poses DETTE out du dia cmt dune salari e qu LR ieii dre
28. DOSSIER La Mutualisation des moyens et des comp tences la mutualisation dans tous ses tats la mutualisation est la r sultante du principe dessolidanit qui s exerce au profit des tablissements adh rents dansen cadre coop ratif La mutualisation concerne non seulement les moyens financiers mais aussi les exp riences les comp tences et les services UN PRINCIPE DE SOLIDARIT FINANCI RE La mutualisation constitue un principe fondateur mis en place pour d velopper notamment une solidarit financi re au profit des petits tablissements Les sommes vers es par les tablisse ments adh rents titre de cotisations minimales sont mutualis es en fonc tion de r gles d termin es au niveau national et ou r gional Aujourd hui la mutualisation financi re s effectue selon deux modes bien distincts une mutualisation la source du versement et une mutualisation r alis e par redistribution aux tablissements des cr dits nationaux disponibles au travers du Fonds National de Mutualisation La mutualisation la source s op re selon la r gle suivante Sur 100 Euros vers s 90 sont retourn s aux r gions pour la prise en charge d actions de formation et d actions de d veloppement et 10 sont g r s direc tement au niveau national pour assurer entre autres le financement des actions nationales et du logiciel de gestion de la formation GESFORM et pour permettre le fonctionnement
29. E t labor avec l organisme Marjolaine Formation prenant en compte les sp cificit s de ce secteur notamment la multiplicit des docu ments de transmission les difficult s de communication l absence de dos sier personnalis Sa particularit r side dans le fait que ce dossier de suivi de la personne g e est compl t d une fiche de soins de bien tre Cette derni re permet de visualiser au moyen de pictogrammes autocollants les soins dispenser aux personnes g es Ces pictogrammes facilement interpr tables par tous les soignants concernent la mobilit les soins d hygi ne et de confort l alimen tation l limination le sommeil et le repos la communication et les loisirs mais galement le degr d autonomie de la personne UN OUTIL QUI R POND DES BESOINS CONCRETS Devant le succ s de cette d marche les instances r gionales ont estim indispensable de financer dans le cadre des actions r gionales propo s es aux adh rents la formation d ac compagnement ce dispositif Des tablissements d autres r gions se sont galement int ress s cet outil d organisation et de personnalisation des soins notamment en Auvergne Ile de France Champagne Ardenne Pays de la Loire Poitou Charentes Ce dossier par ailleurs fait l objet d une recommandation du Minist re du Travail et des Affaires Sanitaires et Sociales dans la circulaire DH FH 3 96 124 du 20 f vr
30. ES AVANC ES Il s agit aujourd hui d une refonte compl te de l application Une plus grande int gration du syst me d ex ploitation standard permettra d am liorer l ergonomie et la coh sion de l ensemble La gestion de la formation en sera plus affin e Les besoins de services et les besoins individuels de formation pourront d sormais tre consult s ou saisis directement par les int ress s via le r seau informatique L effet imm diat est une grande conomie de travail papier Ce module permettra terme chaque service de disposer de son budget et de le contr ler C est un moyen de sensibiliser le personnel la gestion de la formation de conna tre et de communiquer ses besoins de contr ler son budget La gestion de 400 dossiers par an pour 2800 stagiaires en est consid rable ment fluidifi e LES RENCONTRES UTILISATEURS ONT ELLES R PONDU VOS ATTENTES CELLES DES AUTRES TABLISSEMENTS Les rencontres utilisateurs r unissent les repr sentants des tablissements et Voir aussi dans ce num ro l article la nouvelle g n ration de produits informatiques ANFH p 17 ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 ger aussi un nettoyage des proc dures existantes telles que la message rie les requ tes entre autres et une configuration plus conviviale Enfin je pr coniserai d am liorer peut tre la connaissance que les agents de la d l gation r gionale ont
31. Je recherche avant tout les formules centr es sur un enrichissement des t ches des t ches qui rapprochent les hommes et les grandissent Ainsi dans mon program me r gional trois stages sur quatre 30 th mes 40 consistent en l apprentissage de gestes et de techniques n cessitant un contact direct avec le patient ou la personne g e afin sans l afficher n cessaire ment de r tablir ou d instituer une relation par trop distendue Le vrai mutualisme c est une sacr e belle id e c est dire qu on va aider quelqu un d autant plus qu il est faible ne s agit donc pas d une aide galit de moyens dans l attente d un juste et proportionnel retour cela c est seulement de la coop rative est un terrain fertile pour la solidarit hospitali re la formation continue tant un lieu privil gi de rep rage et de partage des responsabi lit s d ouverture l autre et de rigueur professionnelle autant de valeurs dans lesquelles les personnels de sant se reconnaissent Tr s souvent les plans r gionaux associent actions de formation et journ es d information Ces rencontres th matiques sont l occasion d changes sur des sujets d actualit Elles sont organis es sous diff rentes formules de la r union plus Fe destin e aux responsables de formation au forum interr gional largement ouvert l ensemble des personnels cas de la journ e relat e par les ANFH Basse et Haute Nor
32. SATION SUR DE NOUVELLES VOIES Chaque acteur d veloppe ses objectifs et orientations qui am nent le respon sable tre l interface entre les diff rents objectifs L institution hospitali re a des objec tifs de sant de s curit des soins et des imp ratifs conomiques Chaque niveau professionnel s inscrit dans une r ussite technique ou organisationnelle Enfin chaque personne d veloppe sa propre strat gie d investissement dans son activit et a des attentes vis vis de l organisation et du service formation en particulier De m me la formation peut s inscrire dans des d marches individuelle ou collective Les charg s de formation ont donc rep rer leurs diff rents niveaux et les prendre en compte Ces deux syst mes d interface se retrouvent dans les logiques de formation que les char g s de formation ont mettre en place Nous rep rons deux grands axes individu 4 organisation formation gt travail L axe individu organisation corres pond deux orientations fortes de l activit centr e plut t vers la person ne ou vers le collectif en lien avec l organisation L axe formation travail correspond aussi deux tendances importantes de l activit tourn e vers une logique de formation ou vers une logique de production de travail Il nous appara t que l activit profes sionnelle du charg de formation navigue entre ces deux axes Sa posi ti
33. a formation Des QCM d auto valuation et leurs corrections des connaissances et pra tiques des personnels r f rents pour AS IDE et Cadres Infirmiers volet LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF DE FORMATION Pour les Personnels ASH CES des tablissements sanitaires et m dico sociaux il s agit de D couvrir les micro organismes qui constituent notre environnement et comprendre comment les combattre Etre convaincu de l importance de la tenue professionnelle et de l int r t du lavage des mains Actualiser les techniques d entretien des locaux entretien des chambres utilisation des d tergents utilisation de l eau de javel D couvrir les autres facteurs li s l environnement pouvant tre l ori gine des infections nosocomiales eau alimentation d chets risque Pour une mise en pratique sur le terrain POUR LES TABLISSEMENTS Cr er dans l tablissement une dyna mique de mise niveau de la politique d hygi ne dans la perspective du CONVENTIONNEMENT tablissements m dico sociaux ou de l ACCREDITATION tablissements sanitaires Conception du produit par un groupe projet 1999 f vrier 2001 Exp rimentation avril juin 2001 Diffusion progressive du dispositif dans les 8 d partements de Midi Pyr n es juin 2001 juin 2002 Un projet de formation ouverte distance en r gion Nord Pas de Calais Une convention entre Nord Pas de C
34. accueilli jeunes ou moins jeunes aussi l hospitalis ou l ayant droit Thierry ARDOUIN Ma tre de conf rence Sciences de l Education Fran oise FORCIOLI D l gu e R gionale Corse Jean Luc JUILLET D l gu R gional ANFH Haute Normandie DOSSIER LA MUTUALISATION SUR DE NOUVELLES VOIES Collaborations et co r alisations L informatisation du DSG dossier de suivi g riatrique un projet f d rateur de l ANFH Picardie proche de ses adh rents des actions prospectives pour anticiper les volutions du secteur hospitalier et accompagner les dispositifs d velopp s au sein des h pitaux Chaque ann e des orientations budg taires r gionales sont d cid es Elles sont toujours en corr lation avec la politique r gionale dont l objectif est le d veloppement de la formation Cela peut galement se traduire par la mise en place de groupes de travail visant r fl chir des am liorations diverses C est le cas du dossier de suivi g riatrique en r gion Picardie UNE R PONSE DES BESOINS EXPRIM S PAR LES TABLISSEMENTS ADH RENTS En 1995 suite la demande de plu sieurs directeurs d tablissements d h bergement de personnes g es la d l gation r gionale a initi et mis en place une formation l laboration d un dossier de soins Au cours de cette formation un dos sier sp cifique la g riatrie d nomm DOSSIER DE SUIVI GERIATRIQU
35. alais et La D l gation Acad mique la Formation Continue de Lille a t sign e en juin 2002 Cette derni re pose les termes d un partenariat dans le cadre d un projet de Centre d Appui aux Innovations technologiques LA PARTICIPATION DE L A N F H AU CENTRE D APPUI AUX INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES C A P I T Elle permet de b n ficier du concours des comp tences de l Education nationale et d un financement europ en Ce projet d pos par la D RTE FP le R seau GRETA de l Acad mie de Lille pour objectif en mati re de FO AD formation ouverte et ou distance D apporter une aide en mati re d in g nierie de formation et p dagogique De fournir un appui technique aide l quipement notamment et de mutualiser les ressources mat rielles De mutualiser les ressources humaines en rep rant dans le r seau acad mique des formateurs charg s de la production de ressources p dago giques cr ation ou aide l labora tion et du tutorat Il a t retenu en juin 2001 pour une dur e de trois ans dans le cadre du Fonds Social Europ en 11 b n ficie ce titre d un financement europ en hauteur de 45 ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 L ACC S AUX CONTENUS DES SITES PILOTES EN COURS DE D PLOIEMENT Une offre de FOAD pour les tablisse ments adh rents dans les domaines Bureautique B timent Maintenance informatique Industrie Enseignements g
36. ation nationales et r gionales en dispensant aides et conseils aux tablissements et leurs salari s en proposant aux services de formation des outils m thodologiques dans le actions de formation logiciel de gestion de la formation GESFORM programme national de d veloppement de la ressources documentaires publications guides Fonds mutualis s pour le financement dotation en moyens permettant le fonctionnement de la structure mutualisation de ces moyens pour garantir un fonctionnement satisfaisant quelle que soit la taille de sa r gion Disponibilit s financi res la cl ture de l exercice d actions sp cifiques domaine de l ing nierie p dagogique et de la gestion de la formation en favorisant une meilleure connais sance de l offre de formation en menant r flexions et tudes sur les questions touchant la formation en s ouvrant sur diff rentes sortes de partenariat institutionnels r gionaux interr gionaux en permettant le recensement des ressources et des exp riences et leur mise en r seau Les articles de ce dossier constituent autant d illustrations de cette mutuali sation plurielle est affect aux budgets r gionaux PETIT LEXIQUE DE LA MUTUALISATION Adh sion l adh sion ouvre l tablissement adh rent le droit aux prestations de l ANFH au b n ficie de ses agents titulaires stagiaires et contractuels La
37. avail par une formation action sur deux r gions fait appara tre quatre grandes fonctions du responsable de formation Accueil Conseil Ing nierie de forma tion Animation Information Gestion administrative et budg taire Ces fonctions sont reprises et d velopp es partir de l analyse des situations professionnelles dans la mise jour du site Valipro De m me sont tudi es les correspondances entre des formations dipl mantes existantes et les r alit s profession nelles des charg s responsables de formation De nouvelles perspectives pourraient tre la d clinaison d un r f rentiel national d emploi du charg de formation la reconnaissance de cette nouvelle position de responsable formation et le d veloppement de la validation des acquis pour ces agents 1 Reprise libre du titre de l ouvrage de Ardoino et G Berger D une valuation en miettes une valuation en actes PUF 1989 2 R alit et Recherche Projet d tablissement Plan de formation ANFH n 30 octobre 1995 R alit et Recherche la rencontre des services formation ANFH n 35 juin 1998 3 Les citations correspondent aux l ments dits ou crits directement par les charg s de formation 4 Nous retenons ici le terme client dans son acception g n rique mais celui ci ne fait pas l una nimit parmi les charg s de formation hospitaliers Par client il faut donc aussi entendre l usager le patient le public
38. commune en renon ant utiliser une partie de leurs ressources au b n fice des petits qui eux re oivent plus qu il ne versent Ceci afin de commencer r tablir la n cessaire quit ce mutualisme financier premier s ajoute un mutualisme organisationnel tech nique et p dagogique Il s illustre en r gion Centre par un tr s gros volume d actions de formation collectives con ues g r es et mises la disposi tion des adh rents Ces derniers sont invit s leur tour faire preuve de mutualisme Le mutualisme doit uvrer tous azimuts Il n est pas une forme d assistance parmi d autres Pour un tablissement il ne s agit pas seulement de toucher plus que ce qu il a donn il doit aussi accepter l effort d accueillir dans ses murs des agents venus d ailleurs comme s il s agissait de ses propres personnels 83 tablis sements ont accept cette d marche en 2001 Il arrive qu un tablissement sans stagiaires pousse le mutualisme jusqu accueillir un groupe d agents hospitaliers d tablissements voisins sollicit par qui incarne d sormais aux yeux de tous l esprit mutualiste EST CE LE D CLOISONNEMENT DES TABLISSEMENTS ET DES SERVICES QUI EST VOTRE PRIORIT Non ce n est jamais chez moi une priorit pas m me un objectif Le d cloisonnement m importe beau coup certes mais pour des motifs m appara t comme tant donn de surcro t Les autres qu ducatifs
39. dans le filet de la mutualisation Partie en effet d une premi re formation action en Haute Normandie pour la professionnalisation des charg s de formation cette action s est transpo s e et adapt e avec les charg s de formation de Corse et se poursuit dans la logique de reconnaissance et de validation des acquis en lien avec le projet Valipro et le d veloppement de formations qualifiantes LA PROFESSIONNALISATION DES CHARG S DE FORMATION La formation est maintenant un l ment incontournable du d veloppe ment de notre soci t et fait de plus en plus partie de la politique de res sources humaines des organisations industrielles mais aussi des tablisse ments hospitaliers Dans cet environ nement la fonction formation que les charg s de formation mettent en uvre demande une attention particuli re2 Le m tier de charg de formation se complexifie se professionnalise et en m me temps se diversifie Il convient donc de s arr ter sur ce m tier Ainsi en partant d une formation action s appuyant sur l analyse strat gique du m tier nous rep rons que ces acteurs sont l interface de deux axes qu ils ont int grer individu organisation formation travail LE CHARG DE FORMATION UN HOMME OU UNE FEMME EN POSITION D INTERFACE DANS UNE FONCTION TRANSVERSALE Les charg s de formation d clinent leur fonction partir de l objectif prio ritaire du m tier La finalit princ
40. donn es fonds de soutien de d veloppement pour des op rations ponctuelles ou au b n fice des petits tablissements aide logistique journ es th matiques r seaux des adh rents ressources documentaires et p dagogiques produits publications aide m thodologique achat et ing nierie de formation 10 Si ge National nationales formation revues site internet et de r alisations port es la fois par le niveau national et par les d l gations r gionales Pour les tablissements publics de sant sociaux ou m dico sociaux la forma tion constitue un instrument de modernisation du fonctionnement des structures d am lioration de la qualit des soins au malade et de recherche d une plus grande efficience dans l organisation Pour les personnels la formation doit apporter une r ponse leurs aspirations d volution des comp tences et des emplois C est pourquoi au del de sa mission premi re de collecte de gestion et de v tablissements adh rents mutualisation des fonds vers s titre de cotisations par les tablissements adh rents pour la mise en uvre des actions figurant dans leurs plans de formation s est donn e les moyens d une politique de d veloppe ment de la formation Cette politique prend appui sur d autres formes de mutualisation et se mat rialise en organisant des actions de form
41. e ser vice informatique de l tablissement Pour conclure sur la p riode GESFORM 1 je dirai honn tement que la perspecti ve all chante d informatiser la forma tion continue a laiss place pendant quelques temps des difficult s de tous ordres communication organisa tion fonctionnement La venue de repr sentants du service informatique de Paris au Centre Hospitalier de VICHY a contribu un rapprochement tout fait n cessaire l volution du produit et la compr hension r ci proque des besoins de chacun PUIS VINT GESFORM 2 Quelques ann es plus tard GESFORM 2 est n et son implantation s est faite en douceur Les informaticiens ont su nous montrer rapidement les nouveau t s du produit auxquelles nous nous sommes adapt es tr s rapidement et sans difficult La configuration nou velle a t un plus l utilisation Cette version r pondait surtout mieux ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 nos besoins mais les ann es pr c dentes d utilisation du produit avaient permis une bonne prise en compte des demandes diverses des diff rents ta blissements connect s Le point fort a t la possibilit d effec tuer les demandes de r glement des factures et les demandes de rembour sement des frais de mission des agents par informatique ce qui a consid rable ment r duit les temps de paiement Le point faible pour notre service por
42. es d l gations r gionales permet de faire merger des th mes de formation exprim s par les tablissements et propos s au titre d actions nationales Les th mes retenus doivent correspondre aux besoins prioritaires recens s par les r gions Un lien est cr entre les th mes ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 propos s et les actions retenues en garantissant aux r gions si elles le souhaitent l inscription prioritaire aux actions nationales dont elles auraient propos le th me Les tablissements adh rents sont inform s par la d l gation r gionale des AFN qu elle relaye et les person nels des tablissements int ress s peuvent s inscrire par l interm diaire de leur service de formation En r gle g n rale L ANFH prend en charge les frais p dagogiques mais les frais de d placement restent la charge des tablissements Dans un deuxi me temps le principe de d multiplication des AFN permet aux r gions une reprise de certaines actions au titre cette fois d actions r gionales Les tablissements dispo sent ainsi d une offre renouvel e sur un th me tr s demand qui permet de mieux r pondre qualitativement et DOSSIER LA MUTUALISATION DANS TOUS SES TATS quantitativement leurs besoins En effet les valuations r alis es pour les actions nationales permettent aux d l gations r gionales d ajuster les crit res de dur e de contenu p dagogique et d am
43. force avec ce regard nouveau empreint des exp riences des r flexions et des propositions de chacun afin de mieux r pondre vos besoins vos attentes et vos projets ET UNE PARTICIPATION ACTIVE Nous avons d cid de proposer aux participants quatre grands sujets la Formation Promotionnelle le Cong de Formation Professionnelle le Bilan de Comp tences et la Validation des Acquis Professionnels parce que ces th mes sont d actualit mais aussi parce qu ils concernent l ensemble des acteurs de nos tablissements quels ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 que soient leurs grades leurs m tiers et leurs aspirations Nous pouvons consid rer que nous avons rempli notre mission et atteint notre objectif car les hospitaliers ont t tr s nombreux participer activement cette journ e enrichir les d bats en posant des questions pertinentes et se renseigner aupr s des organismes de formation pr sents ce forum Consid rant que cette journ e a t l amorce d une r flexion nous esp rons qu elle a d frich le terrain et qu elle permettra ceux qui le souhaitent pour l avenir de s engager sur des pistes que nous venons de tracer ensemble J DUVAL PR SIDENT ANFH HAUTE NORMANDIE QUINQUIS PR SIDENT ANFH BASSE NORMANDIE DOSSIER LA MUTUALISATION DANS TOUS SES TATS Les rencontres infirmi res en Corse un rendez vous attendu par toute une professi
44. formations concernent les objectifs le programme le public les dates et lieux de l action Pour toute demande de renseignements ou d inscription un contact direct avec la r gion organisatrice est possible via sa messagerie Une mise ligne progressive de l offre de l ensemble des r gions est pr vue dans les prochains mois Les tablissements pourront ainsi en quelques clics conna tre toutes les actions r gionales ainsi que les actions nationales mises en uvre par www anfh asso fr R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 10 ANFH Centre Le mutualisme de terrain Nous vivons en ce monde pour nous efforcer d apprendre toujours pour nous clairer les uns les autres au moyen d changes d id es et pour nous appliquer aller toujours plus loin en avant dans la science et dans les arts W A MOZART 4 septembre 1776 En r gion Centre les actions collec tives r gionales s affirment comme une pi ce ma tresse du plan r gional En r unissant plus de 300 groupes 3000 stagiaires et 40 th mes de ormation en 2001 elles constituent pour tous les tablissements grands et petits un argument mutualiste reconnu et appr ci Michel Colas est d l gu r gional de Centre Sa longue exp rience et sa conception particuli re du mutualisme le d signent aujourd hui comme un acteur essentiel de la formation des agents de la fonction publique hospitali re dan
45. hercher l efficience des investis sements r alis s POUR LES 2 PARTENAIRES Int r t de s inscrire dans les opportu nit s cr es par les modalit s p dago giques de formation distance ayant recours aux nouvelles technologies d information et de communication afin que le plus grand nombre d individus ait acc s la formation De cette coop ration est n un produit le dispositif de formation SARACOMIX en 2 volets Volet Dispositif permanent de formation l hygi ne en 4 modules de 2 heures destination des personnels ASH CES des H pitaux Locaux et Maisons de Retraite 1 module optionnel de prise en main de l ordinateur 2 heures Volet B Dispositif permanent d auto valua tion QCM des connaissances et des pratiques des personnels r f rents professionnels AS IDE Cadre Infirmier qui permettront le transfert sur le terrain des connaissances acquises au cours du module Les 2 volets sont conduits parall le ment pour un m me tablissement Le volet B est un pr alable obligatoire l entr e dans le dispositif Autour du didacticiel NOSOCOMIX ont t r alis s Un mode d emploi du dispositif l attention des animateurs relais des SARAPP Un sc nario p dagogique pour chacun des 4 modules utilis par les stagiaires volet A pendant la dur e de la formation Un support de travail pour chacun des 4 modules conserv par les stagiaires apr s l
46. i Pont bp ip ji de rampihrem bi come Parma br ECS LE di LES TT gt Mie ces r gions ose ra bm 59 ane H iins da riria BE ERER marra ais mia Part Prawan toutes les subtilit s du nouveau code des march s publics La Lettre de l ANFH est elle aussi disponible et t l chargeable partir du site dans la rubrique Etablissements ressources documentaires Lettre de Les agents ont leur disposition le Guide d acc s aux emplois de la fonction publique hospitali re mais aussi des l ments sur les plans de formation les dispositifs du cong de formation professionnelle ou du bilan de comp tences Des liens vers des sites sp cialis s r alis s par les d l gations r gionales permettent de mieux conna tre la fonction du cadre hospitalier 1 ou le dispositif de la VAE Validation des acquis de l exp rience avec le site VALIPRO 2 Dans l espace Vie des r gions les d l gations r gionales d crivent leurs activit s instances chiffres clefs et leurs actions de formation contenus
47. ier 1996 UNE VOLUTION INDISPENSABLE Les volutions technologiques les d marches qualit entreprises par les tablissements n cessitant une tra abi lit des soins ainsi qu une enqu te men e aupr s des utilisateurs dans de nombreux tablissements ont amen les instances r gionales picardes lan cer un projet d informatisation de ce dossier sans remettre en cause sa sp cificit et sa facilit d emploi EI ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 En 2002 un groupe projet compos essentiellement d utilisateurs de ce dossier et de Marjolaine formation a d fini ses besoins conserver le principe visuel des picto grammes assurer la tra abilit de soins dispen s s aux personnes g es tenir compte des r ticences du per sonnel l utilisation de l outil infor matique all ger la charge de travail adminis trative des soignants respecter les budgets des petits ta blissements en proposant un logiciel un prix accessible int grer de mani re transparente la d marche de soins limiter les contraintes techniques informatiques notamment de compa tibilit de mat riel proposer un logiciel maintenance r duite La soci t METASERVICES s est vue confier l informatisation de ce dossier en raison de son exp rience dans le domaine hospitalier et de son approche concr te du probl me Le groupe de travail a valid les points suivants
48. ion nationale Cette fiche descriptive est reprise galement sur le site internet de dans la de donn es sur l offre de formation qui recense l ensemble des actions nationales et r gionales Des efforts doivent encore porter sur l valuation des AFN et communica tion aupr s des responsables de formation 11 convient de d velopper des outils de communication leur intention et de promouvoir le travail d ing nierie de formation r alis dans le cadre ce ces actions Par ailleurs le principe de d multiplica tion des AFN au niveau des d l gations r gionales et l incitation des tablisse ments reprendre des th mes d actions nationales doivent tre soutenus afin de valoriser la port e de ces actions AFN 2002 QUELS SONT LES TH MES 13 actions ont t arr t es par les instances de La maltraitance en institution pour personnes g es Comment pr venir l usure professionnelle du soignant Accueil et prise en charge des agents en situation de handicap Code des march s publics et achat de formation Associer les familles la prise en charge des patients GPEC la valorisation des qualifications des salari s et les d marches d enrichissement des institutions Gestion des risques juridiques et r glementaires dans les tablissements sociaux et m dico sociaux D tection et prise en charge de la d nutrition Pr vention et gestion des risques notamment chi
49. ionnelle met au jour des positions diverses des charg s de for mation Mais au del de la nomencla ture des comp tences qui n est pas notre objet ici nous pouvons d cliner une typologie des diff rentes postures professionnelles en rep rant cet axe fort de la professionnalit des acteurs qui est la dimension thique du m tier Le charg de formation est donc en interface dans son organisa tion mais il d veloppe une attitude de passeur r v latrice en partie des inter actions identitaires des charg s de for mation en milieu hospitalier Dans une fonction formation en pleine volution qui est de plus en plus int gr e au travail et o le charg de formation doit partager celle ci avec d autres op rateurs non profession nels du domaine de la formation ou des ressources humaines le charg de formation doit tre m me de g rer les diff rentes tensions et contradic tions que nous avons relev es Il se doit donc de d velopper de nouvelles comp tences professionnelles et per sonnelles de maillage des comp tences de l organisation Si cette fonc tion formation est effectivement ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 tiraill e et travers e par des logiques diff rentes elle n est cependant pas remise en cause dans sa finalit et c est bien dans cette transformation socio professionnelle que le respon sable de formation prend toute sa dimension professionnelle Ce tr
50. ipale est le d veloppement des comp tences tant des individus que de l organisation afin de rendre le meilleur service aux clients en tenant compte du cadre institutionnel et socio organisationnel Il s agit de d ve ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 B lopper le meilleur axe de formation pro fessionnelle pour valoriser l agent dans son contexte Ainsi le charg de formation a une activit transversale 3 De m me les responsables par la d fi nition qu ils font de leur m tier en ne retenant que sa dimension socio orga nisationnelle interne d clinent l im portance de la dimension d interface Le charg de formation labore la politique de formation conform ment aux objectifs de l institution des services et des individus Interface entre les acteurs et l institution il organise les actions de formation L id e dominante du m tier est la mise en ad quation des objectifs institutionnels et l panouissement professionnel et personnel des agents Le fil conducteur doit rester le bien tre du patient Les charg s de formation ont prendre en compte les positions institutionnelles et strat giques des diff rents acteurs que sont la direction la hi rarchie l agent le patient client 4 dans une organisation de service public LE RESPONSABLE DE FORMATION L INTERFACE DES ACTEURS INTERNES Le patient L tablissement 7 Le service public DOSSIER LA MUTUALI
51. l usager Malgr les actions de formation r ali s es entre 1981 et 1998 sur les th mes de l accueil ou des relations humaines LES PREMIERS CONSTATS Les insuffisances identifi es sont d abord d ordre mat riel Ainsi des locaux et quipements inadapt s emp chent l laboration d un espace convivial la signalisation est souvent absente de m me que les organi grammes pr sentant les services ce qui constitue un d faut d information Les salles d attentes sont trop exig es ou non am nag es les insuffisances en moyens humains subsistent non identification du personnel au moyen de badges effectif r duit du personnel occupant des postes d accueil d faut communi cation du personnel des diff rents services absence d accueil des nouveaux agents recrut s De plus la pluriethnicit de la popula ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 LES ACTIONS ENTREPRISES L objectif que s est fix le groupe de travail est d atteindre un accueil de qualit tant pour le personnel que pour les usagers De ce fait les conclu sions de cette tude deviennent des supports pour permettre aux tablisse ments concern s de mettre en place une v ritable politique d accueil DOSSIER T MOIGNAGES DES ADH RENTS La d marche de projet global de vie de la maison de retraite de Flangebouche LE PROJET DE VIE UNE N CESSIT Depuis plusieurs ann es d j les Etablissements sociaux et
52. lement engag e partir de l automne 2003 et se prolongera sur une partie de l ann e suivante Cette premi re phase de d ploiement concernera 183 tablissements et les paan met g Daars leon qu Cou mme Theimer bois he akizi Ee i Pois Ps or Earuede 1 idli PO Das 17107870 Pam J fn Un des crans du nouveau module de recueil des besoins destin en l occurence recenser les demandes de formation institutionnelles LE D PLOIEMENT DE GESFORM VERSION 3 D sormais l quipe informatique de est pass e l action avec le concours de prestataires de services Les d veloppements commenc s en 25 d l gations r gionales qui devront aussi migrer Bien entendu les tablis sements adh rents non encore connect s b n ficieront de la version nouvelle de GESFORM mais dans une seconde tape pr vue au 2 semestre ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 17 Page d accueil de la version 3 de Gesform pr sentant sur la gauche l arborescence des menus 2004 lorsque la migration sera termin e Parall lement un nouveau logiciel r alis avec le m me outil sera
53. lets et des menus d roulants signalent les quatre points d entr e personnalis e Les tablissements retrouveront les produits et services disponibles pr c demment comme les textes r glementant la formation la Lettre de ou l ensemble des ressources documentaires ou les guides m thodologiques Parmi ces guides Pistachat Rep res pour l achat de formation accompagne les charg s et responsables de formation au cours de leur analyse de besoins et dans l laboration de cahiers des charges alors que Codazur le Guide des achats publics de prestations de formation pr sente 2145 bi Pi dt mn H HSE mpr d 4 La sports La PRES jind del piihi Chi be snim aliem maie gerbe e Panel Hi 0 i ie Ua di Da RO dre sireni noera iarna mier le dr Parara Pari e LAFE min dimi ri iishi HEE PA FR coment sigh PEH hpn H JU gamers reperar megan de iere Emura besgiskers Ze muscles pma ime rimerr pur leche bii dati l
54. mandie Elles peuvent devenir aussi le rendez vous de toute une profession comme l illustre l exemple des rencontres infirmi res corses Forum interr gional ANFH Haute et Basse Normandie quand l union fait la force et l efficacit Le forum de la formation organis le 22 novembre 2001 au Parc des Expositions de Lisieux est n de la volont commune des 2 r gions ANFH de Haute Normandie et de Basse Normandie d organiser ensemble une journ e th matique Cela r pondait ainsi la fois au souhait des derni res Assembl es G n rales de notre Association qui nous incitaient tra vailler dans un cadre interr gional avec le souci d une plus grande efficience et de synergie renforc e mais aussi celui que nous avions d innover et de cr er avec d autres UNE OCCASION D ENRICHISSEMENT MUTUEL Cette d marche a quelque peu modifi nos habitudes et nos pratiques Nous avons t convaincus tr s rapidement de l int r t de nous regrouper pour mettre sur pied cette manifestation de grande ampleur laquelle taient invit s les agents des tablissements des cinq d partements de la Normandie Nos r unions de pr paration nous ont fait changer sur nos exp riences pass es Cela a favoris le partage de nos connaissances de nos savoir faire en nous enrichissant mutuellement Ces r unions nous ont permis d appr hender le nouveau challenge que nous nous tions fix s avec plus d efficacit et de
55. ments et salari s de l associa tion Organis es depuis fin 2001 avec une p riodicit r guli re ces r unions permettent de faire le point sur les d veloppements r alis s Un compte rendu est ensuite diffus l ensemble des utilisateurs concern s par les logiciels de gestion de la formation ANFH Le passage ce nouvel outil fera l objet lors du d ploiement sur site d un accompagnement d assistance formation de quelques jours tant pour Frs Five usa 194 bassa Dalf Dans l cran de saisie des Formations Modules Sessions les tablissements que pour les d l gations r gionales Cette d marche envisag e au niveau r gional sera assur e par l quipe informatique de Ses modalit s seront pr cis es et diffus es en d but d ann e prochaine aupr s des utilisateurs Cet accom pagnement permettra d optimiser l utilisation de GESFORM 3 d s sa mise en uvre dans les services de formation des tablissements 1 Voir Les volutions informatiques de R alit et Recherche n 39 novembre 2001 p 11 2 Voir dans ce num ro en fin de dossier les t moignages des adh rents sur Gesform avec les articles des Centres Hospitaliers de Vichy et d Avignon LA APPPIOUHE UPA ET
56. miques Aspects juridiques thiques et sociaux des contentieux en mati re disciplinaire EN QUOI Y A T IL MUTUALISATION DES RESSOURCES Les actions de formation nationales sont financ es sur des fonds mutualis s au niveau national et affect s chaque ann e par les instances nationales de titre d exemple les 18 AFN 2002 financ es sur des cr dits budg taires 2002 repr sentent environ 610 000 Elles seront ex cut es au cours de l ann e 2003 Mais au del de la mutualisation financi re les AFN apportent une capi talisation des comp tences en mati re d ing nierie p dagogique L existence d un cahier des charges pr cis la mise en concurrence et le choix d j effectu d un organisme de formation perti nent la construction sur mesure d une action de formation sp cifique en partenariat avec cet organisme la connaissance d valuations r alis es pour une action nationale sont autant de ressources mises la disposition des tablissements adh rents C est donc en termes d aide et de conseil l achat et l ing nierie de formation que les AFN constituent une v ritable plus value pour les tablissements adh rents Auxquelles s ajoutent 2 actions au titre des formations nationales 2002 en cours de r alisation cette ann e Formation des agents des services financiers et des services conomiques R forme tarifaire des tablissements pour personnes g es
57. n Directeur d cider en juin 1994 de s engager dans une v ritable d marche de Projet de vie au sein de l institution La conception et la mise en place de ce Projet de doivent permettre d optimiser les conditions d accueil et de vie des r sidents ainsi que les conditions de vie au travail des personnels C est le Projet de vie qui valorisera d finitivement le projet immobilier d humanisation MISE EN PLACE D UNE FORMATION AU PROJET GLOBAL DE VIE Ce projet de vie v ritable projet de court moyen et long terme implique dans sa mise en oeuvre la fois les r sidents leur environnement imm diat et les personnels pour vivre ensemble une vie de qualit pour vivre socialement au sein d une com munaut de type familial et convivial Il s agit donc d un projet ambitieux et tr s mobilisateur pour les personnels B tir un projet global de vie c est le moyen de f d rer des comp tences de relancer la motivation de d velopper les potentiels de chacun dans le but de rendre plus agr able et plus harmo nieux le lieu de vie des uns et le lieu de travail des autres Mais au del de cette volont nombreuses sont les interrogations auxquelles il convient de r pondre pour am liorer le quoti dien de fa on durable difficile est le choix des solutions les mieux adapt es aux sp cificit s de l tablissement d licate est leur mise en place et leur appr ciation Afi
58. n d assurer la faisabilit du projet il a donc t d cid d engager un plan de formation solide et de s assurer le concours d une soci t de conseil et de formation sp cialis e dans les d marches Projet Le choix effectu avec l aide de cet organisme de forma tion a abouti la mise en uvre d une d marche pragmatique et compl te de projet global de vie Cette formation aux concepts de jet global de vie visait apporter aux participants une culture du projet de vie permettant de d cliner depuis le syst me de valeurs jusqu aux missions de l Institution en passant par la vision de l tablissement 3 5 ans Elle avait aussi pour objectif d apporter les d marches m thodes et outils per mettant d engager un processus d or ganisation depuis la conception des produits prestations jusqu l assuran ce qualit en passant par la concep tion des processus de r alisation EI ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 L AIDE APPORT E PAR FRANCHE COMT DANS LA R ALISATION DE LA D MARCHE En 1994 peu d tablissements sociaux en France ont engag un tel projet il n est fait nulle part obligation de s en gager dans cette d marche Pour le d partement du Doubs ainsi d ailleurs que pour la R gion de Franche Comt ce projet pourrait tre un projet pilote La Maison de Retraite Saint Joseph de Flangebouche avec l aide de l Association Natio
59. nale pour la Formation permanente des Personnels Hospitaliers ANFH Franche Comt a projet de communiquer autour de son projet afin que l ensemble des Etablissements Sociaux de la r gion puissent profiter de l exp rience capitalis e L aide apport e Franche Comt a t pr pond rante elle s est concr tis e entre autre par L indication d une s lection efficace d ouvrages permettant de situer au mieux le projet global de vie tant au niveau des objectifs atteindre qu au niveau des implications de toutes sortes La mise notre disposition un panel d organismes sp cialis s consulter r gionaux et nationaux L assistance pour r aliser le cahier des charges de la formation Le suivi de l op ration avec en parti culier des visites in situ Une aide financi re hors plan de for mation de 50 000 francs 7630 euros EVALUATION ET PREMIER BILAN Les valuations en interne de type audit interne ont montr au fil des ann es une volution tr s nette des relations dans l tablissement aussi bien des relations r sidents r sidents que r sidents personnel que personnel personnel et enfin que personnel hi rarchie Elles ont aussi montr que les plans d actions pr visionnels taient correctement mis en uvre et suivis Projet de vie et d marche qualit ont trouv tout leur sens dans le cadre de la nouvelle tarification et des textes r cents c
60. nces tant en direction de l individu que de l organisation Son activit pro fessionnelle se situe compl tement dans l ing nierie de formation o il a ANALYSER CONCEVOIR REALISER et EVALUER des actions ou dispositifs de formation dans un syst me socio professionnel o il poss de sa propre posture et une perception thique du m tier RETOUR L THIQUE COMME MOTEUR DE L ACTION Dans ce contexte on pourrait tre amen penser que le responsable de formation n a qu une faible marge de manoeuvre et qu il peut tre tiraill entre les diff rentes logiques qui l as saillent Nous constatons alors que ce professionnel donne une dimension thique son m tier Cette orientation morale tr s pr sente se retrouve dans trois points primordiaux du m tier importance de la place donn e la personne re ue fil conducteur doit rester le bien tre du patient le droit individuel la formation pour tout le personnel l id e dominante du m tier est la mise en ad quation des objectifs institutionnels et l pa nouissement professionnel et person nel des agents la notion de service public la finali t est notamment l am lioration de la qualit de mise en uvre des missions du service public EN CONCLUSION LA MUTUALISATION EN DEVENIR Le travail en formation action sur les comp tences professionnelles et leur mergence dans l analyse de la situa tion profess
61. nes comme la maltraitance l usure professionnelle le harc lement les risques sectaires dans le champ de la formation Les AFN DE QUOI S AGIT IL L ensemble des actions de formation nationales constitue une offre de formation compl mentaire des actions r gionales de formation et des plans de formation des tablissements Ces actions sont destin es en priorit aux personnels des tablissements adh rents Une action de formation nationale s labore en partenariat Elle associe dans sa conception et sa mise en uvre diff rents intervenants Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins DHOS d l gations r gionales administrateurs nationaux et r gionaux de organismes de formation La coordina tion est assur e par le service des dispositifs de formation rattach au si ge de L ANFH d veloppe des Actions de Formation Nationales sur des th mes propos s son initiative ou l initiative du Minist re de la sant DHOS Ces actions sont construites sur mesure partir d un cahier des charges pr cis support de la proc dure d appel d offres aupr s des organismes de formation Ces AFN ont pour objet d exp rimenter et d valuer des formations innovantes dans le contenu ou la d marche p dagogique COMMENT LES TABLISSEMENTS ADH RENTS SONT ILS ASSOCI S AUX AFN Le travail de recueil des besoins r alis sur le terrain par l
62. nnement des services De m me tous les ans les organisa teurs ont le plaisir de recevoir un public de plus en plus nombreux attentif participatif qui fait de cette manifestation le rendez vous attendu des professionnels du soin S adressant un public professionnel les RIC am liorent les connaissances et les pratiques touchant galement un plus jeune public l ves de terminales elles peuvent susciter des vocations Un travail en partenariat avec Corse permis l Association de p renniser d une mani re plus sereine l organisation des Journ es Infirmi res et d en faire un rendez vous incontour nable et attendu de la profession r pondant son d sir d volution et d ouverture Actions de Formation Nationales une offre de formation fond e sur la mutualisation des ressources Illustration du principe de mutualisation au niveau national de un plan d actions de formation nationales AFN est propos chaque ann e pour r pondre aux besoins et attentes des tablissements Ces AFN s inscrivent dans les domaines qui accompagnent les volutions des tablissements Elles peuvent ainsi concourir l am lioration de la qualification de certaines cat gories de personnels ou des pratiques professionnelles Certaines de ces formations sont associ es la r flexion conduite autour de th mes de sant publique ou contribuent faire merger une prise de conscience de ph nom
63. ntes Formation la m thodologie d organisation op rationnelle Apporter aux agents les l ments de culture projet de vie n cessaires pour comprendre le cadre dans lequel va s inscrire l ensemble des activit s de la Maison de Retraite D velopper les m thodes et outils d organisation permettant la conception la mise en place et le suivi des nouvelles organisations m Montrer l impact des r gles d assurance qualit dans la conception de toute organisation en repla ant celle ci au service du client la personne g e r sidente Formation Action la mise en place de micro projets d organisation m Concevoir mettre en place et suivre les volutions de l organisation permettant une parfaite ad quation entre les missions de la Maison de Retraite les activit s effectu es et les prestations mises disposition une ergonomie des postes de travail et des processus administratifs garantissant des conditions de travail am lior es une prestation de bonne qualit et par cons quent en parfaite ad quation avec les attentes des personnes g es r sidentes clientes et de leur environnement a Engager un processus organisationnel ininterrompu pla ant la Maison de Retraite sur les chemins l EXCELLENCE Validation et valuation des effets m R aliser un audit pour v rifier si l organisation en place concourt correctement au bon accomplissement des missions telles que d finie
64. oll gues gain de temps efficience et r pondre la pr occupation des tablissements qui souhaitent identifier les ressources internes et progresser dans l efficacit des formations internes Mat rialis travers un r seau prot g via l Internet les acteurs de la formation pourront terme mutualiser ligne l ensemble de leurs ressources Le projet s quenc en trois parties a atteint la premi re tape qui porte sur la r alisation du cahier des charges d un annuaire des for mateurs qui fait quoi o au b n fice de qui La deuxi me tape EI ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 est conduite parall lement afin de r aliser la d finition et la construc tion de la biblioth que de ressources La troisi me tape qui portera sur l valuation le cahier des charges des formateurs internes et la nature des prescriptions finalisera le tout dans une d marche de qualit UN R SEAU TECHNIQUE ET HUMAIN Cette mutualisation sous la forme d un r seau technique et humain sera en capacit de d velopper l utilisation des ressources en formation interne qui seront identifi es Elle renforcera les relations entre formateurs internes dans un esprit de solidarit au service de lioration de la qualit des formations Elle consolidera les comp tences des formateurs en suscitant les t moignages d actions efficaces innovantes Cette mutualisation permettra galement
65. on L Association pour la Formation la Communication et la Recherche en Soins Infirmiers en Corse AFCORSI et l ANFH R gion Corse organisent depuis1992 les rencontres infirmi res en Corse Au fil des ans ces rencontres sont devenues un rendez vous majeur de la profession et r unissent plus de 500 participants avec une participa tion nationale et internationale LES OBJECTIFS DE CES RENCONTRES Etre une expression de la profession Les rencontres permettent d affirmer la place et l identit de la profession infirmi re Elles permettent de favoriser les changes interprofessionnels et le d cloisonnement entre les diff rents services V ritable outil de formation ces rencontres favorisent la dynamique des services qui s investissent dans le programme cr ant une impulsion telle qu elles en deviennent un v ritable projet de service Favoriser les changes entre toutes les formes de pratique de la profession Chaque ann e de nouveaux changes se concr tisent tant sur le plan r gional que national et international autour de th mes vari s Promouvoir l image de l h pital public L h pital public est par d finition le lieu essentiel de recherche et de for mation de la profession d infirmi re LES RENCONTRES INFIRMI RES ET APR S Les interventions des quipes soi gnantes ne sont pas rest es sans suite Plusieurs actions ont t mises en place l association d aide aux t
66. on Le recours ce nouveau mode de collaboration la fonction formation sera ais dans la plupart des cas il n entra nera aucun surco t La possibilit d tablir des statistiques interm diaires n importe quel moment de la r alisation du plan constitue une autre innovation impor tante Les utilisateurs pourront ainsi suivre l volution de leur plan de formation un instant partir des actions r alis es et de celles en cours Autre nouveaut un enrichissement des changes d informations gr ce la mise en place d une interface double sens entre le logiciel de gestion du personnel quel qu il soit et GESFORM Actuellement cette liaison n existe quasi exclusivement que dans le sens gestion du personnel vers GESFORM Ce changement donnera les moyens aux Directions des ressources humaines d alimenter l approche Gestion Pr visionnelle des Emplois et des Comp tences GPEC En compl ment le futur produit offrira la possibilit d une gestion des salles de formation Autre option la cr ation d une zone de saisie particuli re permettant de regrouper les achats de formation en fonction de la nomencla onglet du d tail des formations ture r glementaire pr vue dans le cadre du nouveau code des march s publics L ensemble de ces choix est examin r guli rement lors de Rencontres Utilisateurs associant personnels des services de formation continue des tablisse
67. on professionnelle l am ne construire des formations dans ces dif f rents registres mais au del de l la boration des dispositifs chaque res ponsable a une posture particuli re LA FORMATION L INTERFACE DE DEUX AXES ET DE QUATRE LOGIQUES D ACTION Sur ces deux axes les charg s de for mation organisent des actions tr s dif f rentes Ces op rations tr s diverses illustrent bien les diff rentes positions professionnelles et les comp tences mettre en uvre Le sch ma suivant situent ainsi les actions de formation dans les quatre secteurs d activit s donnant les quatre positions cl s du m tier Ces quatre dimensions structur es par les deux axes renvoient de m me quatre logiques de travail formation produc tion organisation et individu Chaque charg de formation inscrit donc son activit dans ces quatre logiques et positions professionnelles Cependant il dispose toujours d une marge de manoeuvre dans l exercice de son m tier et surtout de postures qui lui sont propres ACTIONS DE FORMATION ET POSITIONS PROFESSIONNELLES Formation Formation dipl mante Formation sociale Cong individuel de formation Demande individuelle TT I Adaptation l emploi Promotion professionnelle Projet de service Plan de formation Formation insertion Public cible Organisation Formation technique 4 j Restructuration 7
68. oncernant Le temps de l valuation par des tiers est donc venu D s juin 2002 nous avons re u une quipe d auditeurs mandat s par l Etat et le D partement pour pratiquer l audit de la Maison de Retraite pr a lable la signature de la convention tripartite annuelle des tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes Les r sultats de l audit ont t tr s favorables et ont permis de signer la convention d s ao t 2002 La Maison de retraite Saint Joseph de Flangebouche est l une des premi res sinon la premi re du d partement signer une telle convention LES TAPES DE LA FORMATION AU PROJET GLOBAL DE VIE Recensement des besoins Recenser les besoins et d sirs de l ensemble des personnes g es r sidentes m Recenser l ensemble des besoins de l environnement imm diat de la Maison de Retraite familles amicales associations Recenser les besoins de l ensemble du corps social animant la Maison de Retraite Formation Action valeurs et missions de l Institution m Mettre en oeuvre les concepts de projet global de vie et formaliser les valeurs de l Institution et l ensemble de ses missions Formation Action prestations de l Institution D finir la liste exhaustive des produits prestations que la Maison de Retraite met disposition pour ses propres besoins pour les besoins de l environnement et surtout pour les besoins des per sonnes g es r side
69. onse adapt e la nouvelle r glementation relative aux march s publics un suivi financier plus lisible par tous une simplification de certains vid os voir avec la nouvelle version un calcul pr visionnel automatique des frais d h bergement Il faut envisa GESFORM en Avignon Corinne FABBRO responsable de la Formation continue depuis 1985 au Centre hospitalier d Avignon dans le Vaucluse a suivi l volution de Gesform avec l int r t et les exigences du professionnel et ce d s 1989 date de l adh sion de l tablissement Elle participe r guli rement aux rencontres utilisateurs mises en place par dans le cadre du d veloppement du logiciel COMMENT PERCEVEZ VOUS L VOLUTION DU LOGICIEL GESFORM DEPUIS LES D BUTS Nous avons connu toutes les versions du logiciel Gesform La premi re mou ture tait tr s archa que l poque nous faisions tout manuellement L ordinateur permettait peine de sai sir et de transmettre les actions de for mation au si ge Il a fallu attendre Gesform 11 en 1998 pour int grer le traitement de texte et les fonctions de courrier courantes L an 2000 a permis la transmission des paiements en ligne L volution de l ap plication a t fulgurante l image de l ensemble des technologies de com munication Nous attendons mainte nant Gesform III avec impatience Les rencontres utilisateurs laissent pr sa ger du meilleur QUELLES SONT L
70. oxicomanes une approche plus constante avec l Etablissement Fran ais des Greffes un plan de pr vention de l puise ment professionnel une proc dure de Prise en charge vitale dans l tablissement la pr sentation des films lors de congr s nationaux et internationaux Belgique D autres part plusieurs membres du Comit d Organisation des Rencontres Infirmi res ont particip des mani festations similaires sur le continent Rennes Saint Etienne Paris dans le but d changer des sujets des id es et de favoriser le partenariat Les films r alis s par l quipe du Centre hospitalier d Ajaccio ont particip avec succ s diverses manifestations et Festivals de films m dicaux et infirmiers Ils ont t export s au Portugal et au Canada et ont permis ainsi une meilleure communication et R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 14 des relations durables avec des profes sionnels motiv s Des liens solides se sont nou s avec des coll gues canadiennes Le travail r alis par les quipes Corses souligne le processus volutif de toute une profession en permet tant galement d accro tre l image de l h pital public Outre une pr sence constante d invit s de marque on note une participation grandissante d quipes locales venant d horizons diff rents qui donnent une image r elle de la profession et suscite une dynamique permettant un r el d cloiso
71. ratif m dico technique et technique 342 30 Le budget d exploitation s l ve 69 millions d euros et celui d investisse ment 1 million d euros L tablissement regroupe trois centres de formation l Institut de Formation ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 31 en Soins Infirmiers l Ecole d Aides Soignant e s et l Institut de Formation en Masso Kin sith rapie LES ACTIVIT S DU SERVICE FORMATION CONTINUE Le service de formation continue int gr la Direction des Ressources Humaines est compos de deux personnes temps plein dont les missions s articulent autour DOSSIER T MOIGNAGES DES ADH RENTS de la gestion de la formation du per sonnel non m dical de la formation du personnel m dical de la formation des Contrats Emplois Jeunes de la mise en uvre et du suivi des stages des agents de l tablissement ainsi que de l accueil et du suivi des agents d tablissements hospitaliers Outre ces missions le service g re tous les d placements hors formation Selon le principe de mutualisation de l tablissement dispose d un taux de retour de 85 et a pr sent un plan de formation pour l ann e 2002 de 270 000 En 2001 2 891 journ es de formation ont t suivies par 715 agents Quatorze agents se trouvaient en situation de promotion professionnel le toutes coles confondues ce jour deux agents sont en cong
72. rents apprentissages acc s aux serveurs qui permettent la r alisation de s quences multim dia acc s un tutorat synchrone et asynchrone t L apprenant dispose notamment d un planning de l quipe p dagogique permettant de r pondre ses besoins d un acc s permanent des conseils sur l utilisation de la plateforme une messagerie interne aux diff rents modules de la forma tion avec la possibilit d organiser son espace de travail au suivi des acquisitions avec un aper u du travail r alis en cours et venir et la d termination d un niveau d avancement Le formateur b n ficie des outils de cr ation et de suivi les outils de cr ation la construction du parcours de ormation partir d un r f rentiel d objectifs laboration et la modification du plan de travail es outils de suivi a validation et le cas ch ant la notation des activit s a d termination de la liste de objectifs r ussis non r ussis en rem diation 1 1 1 1 La relation entre l apprenant et le formateur est organis e sur la base d un tutorat Pour le stagiaire asynchrone messagerie lectronique forum de discussion synchrone s quence de travail avec visioconf rence t l phone Pour le formateur asynchrone messagerie lectronique forum de discussion module de suivi des stagiaires synchrone visioconf
73. rience est de nature strictement professionnelle L exp rience professionnelle en rapport avec le dipl me titre ou certificat recherch est d une dur e minimum de 5 ans Le candidat adresse une demande de dispenses d preuves pour un dipl me technologique ou professionnel Le candidat num re les dispenses qu il demande Le jury de dispense VAP manation du ou des jurys d examen dans la plupart des cas d livre les dispenses d preuves Le jury de dispense peut d livrer des dispenses pour toutes les preuves sauf une VAE Le concept d exp rience professionnelle s tend aux activit s b n voles attest es non salari es L exp rience professionnelle ou personnelle peut tre r duite 3 ans 1 demande par an pour un m me dipl me 3 dipl mes maximum par an Le candidat adresse une demande de d livrance d preuves pour un dipl me ou un titre finalit professionnelle ou un certificat de qualification Le candidat pr cise uniquement pour quel dipl me il souhaite se voir d livrer des preuves Le jury d examen et non plus un jury de dispense d livre les preuves Le jury d examen peut d livrer toutes les preuves c est dire le dipl me en entier Le tableau suivant pr sente les points d volution essentiels pour les dipl mes relatifs la validation des acquis de l exp rience par les tablissements d enseignement sup rieur VAP loi de 1992 d cret de 1993 VAE loi et d crets de 200
74. s m me m tre tonn e d j la nais sance de GESFORM 1 de pas avoir la possibilit d effectuer les r glements des frais de d placements des agents et le paiement des factures par infor matique ce qui me paraissait relever d une r elle vidence mais pour cela il a fallu attendre l ann e 2000 Durant ces dix ann es il y a eu des p riodes d volution gr ce la bonne coute du service Informatique de l ANFH Paris qui a su se mettre notre disposition pour cr er ce qu il appelait des sp cifiques Vichy c est dire des transactions informatiques propres l tablissement dont l objec tif tait de r pondre une n cessit de travail li e notre organisation Combien de demandes d intervention de ma part et combien de r ponses positives de la part du service Informatique de Je peux dire que j ai pratiquement toujours obtenu une r ponse satisfaisante apr s quelques d bats contradictoires mais constructifs rendus n cessaires en rai son de l loignement g ographique du langage informatique pas toujours bien compris par les non initi s et de la charge de travail des informaticiens de cette poque la difficult la plus gran de tait surtout li e aux transmissions qui passaient difficilement et qui ont n cessit au tout d but la participa tion de trois intervenants R gionale le service formation et l
75. s s av rent galement indispensables Avoir une personne r f rente est une garantie de rapidit de r ponse de bonne connaissance du fonctionnement de l tablissement et de cr ation de bonnes relations entre coll gues m me loign s Une pr occupation existe quant la gestion des actions r gionales et des actions coordonn es ANFH r gionale ou tablissement Qui fait quoi Le domaine n est pas suffisamment clair ci et il me para t bien difficile de pou voir d finir une d marche et de s y tenir FAIRE VOLUER GESFORM GR CE AUX UTILISATEURS Parmi les attentes que j avais vis vis de Nationale en terme d cou te il faut reconna tre que la participa tion l volution du produit d utilisa teurs de GESFORM d horizons diff rents tablissements et d l gations constitue un point fort en pr vision des am liorations futures Autre illustration d un travail d quipe le nombre d tablissements connect s posent l ANFH R gionale des ques tions pratiques auxquelles mes col l gues ne peuvent pas r pondre Alors le centre Hospitalier de VICHY est devenu r f rent Gesform de par son savoir faire car depuis l origine l outil informatique a t utilis dans sa globalit sans aucun produit com pl mentaire Quels sont mes souhaits aujourd hui Hormis ceux d j nonc s au fil de ces ann es j attends que Gesform permet te une r p
76. s et met bien disposition les prestations pr vues La formation au projet global de vie a t soutenue et consolid e par une formation qualit globale et assurance qualit Le centre hospitalier de Vichy et Gesform une d j longue histoire Le centre hospitalier de Vichy a t le premier tablissement de la r gion Auvergne dot de GESFORM logiciel de gestion de la formation propos par avec une installation d s 1988 Si comme c est souvent le cas dans les op rations d informatisation le dialogue entre concepteur et utilisateur n est pas toujours vident le t moignage qu apporte le service formation d montre que c est seulement dans un esprit de collaboration et en interaction qu une telle application peut tre r alis e et voluer QUELQUES DONN ES SUR L TABLISSEMENT Situ la p riph rie du centre ville le Centre Hospitalier de VICHY est un tablissement de 1 re classe desser vant une population d environ 150 000 habitants Class parmi les cinq p les sanitaires de la r gion Auvergne le Centre Hospitalier conna t une volu tion permanente en accueillant chaque ann e pr s de 20 000 hospita lis s et 32 000 personnes au service d accueil des urgences L effectif global du personnel en qui valent temps plein est de 1 641 personnes physiques r parties entre personnel m dical 116 44 ETP personnel soi gnant 931 44 ETP et personnels administ
77. s sa r gion et au del POURQUOI VOUS TRE ENGAG DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE En 1966 une formation m ayant t refus par un directeur d h pital je me suis promis que le jour o le monde hospitalier se doterait d un dispositif permettant aux hommes de l h pital d obtenir une deuxi me chance j en serais d une fa on ou d une autre CNAM structure de formation Condorcet fondateur du premi re d adultes d s 1792 avait envisag qu il serait n cessaire dans un monde d fis organisationnels sociologiques techno moderne confront des logiques que l homme parach ve largisse son ducation premi re qui deviendrait tr s vite insuffisante Or au lendemain des v nements de 68 suite aux Accords de Grenelle l ANFH se cr e l instar des diff rents organismes de formation continue en France Tenant ma promesse dans un lan assez naturel je rejoins D l gu r gional depuis 25 ans j ai suivi un DESS en Sciences de l Education la Sorbonne qui m a t bien utile pour mettre en place mes id es parfois un peu foisonnantes Il m a permis de mieux faire mon travail 11 m a permis aussi d tre plus prudent de comprendre combien dans une organisation complexe il est difficile de faire voluer les choses et combien il est n cessaire de d so b ir un peu Alors depuis 20 ans je m emploie contradiction apparente d sob ir un peu de
78. structurel de l association Dans la majorit des r gions les r gles de mutualisation concernant notam ment le taux de retour aux tablisse ments sont d termin es au regard du montant des cotisations Dans quelques r gions elles sont fix es en rapport de la taille de l tablissement et donc de l effectif des personnels Les dispositifs sont vari s La mutuali sation consiste en un retour direct aux tablissements de moyens financiers pour la gestion de leurs plans de formation en permettant aux petites structures de b n ficier de ressources financi res suffisantes au del des montants cotis s Elle s exerce aussi par des retours indirects sous forme d actions r gionales ou coordonn es de programmes d animation ou de mise en place de fonds de soutien affect s diff rentes op rations Une mutualisation suppl mentaire s exerce par l utilisation du Fonds National de Mutualisation Ce fonds est abond par les cr dits restant disponibles chaque cl ture d exercice Il permet de retourner aux r gions des cr dits suppl mentaires pour compl ter leur politique r gionale et r pondre plus efficacement aux besoins exprim s par les personnels et les tablissements en particulier les plus petits Ainsi de 1993 1998 des cr dits ont t consacr s notamment la mise niveau et l aide la formation des personnels de cat gories C et D l aide la promotion avec une par
79. ti ANFH R alit amp Recherche n 40 novembre 2002 cipation la prise charge d tudes promotionnelles permettant l acc s au corps d aide soignante pour les tablissements comptant 150 agents au plus l aide la formation des personnels contractuels dans le cadre de la r sorption de l emploi pr caire Parall lement en 1996 et 1997 afin de favoriser les d parts en formation ont t pris en charge sur ce fonds les montants correspondant aux rembour sements des salaires et charges des personnels recrut s pour assurer le remplacement des agents partis en formation Enfin pour l ann e 2002 une ligne budg taire t ouverte pour permettre le financement de pr parations aux dipl mes concours et examens requis pour acc der un grade sup rieur ainsi que de formations pr paratoires aux entr es dans les divers centres de formation pr parant aux dipl mes pris en charge au titre des tudes promotionnelles UNE CONCR TISATION SUR LE TERRAIN AU B N FICE DES TABLISSEMENTS ADH RENTS Mais la mutualisation ne peut se limiter une redistribution de moyens financiers Au fur et mesure de l volution de l association elle s est concr tis e par un ensemble d actions 90 R gions ANFH Cotisations 100 r partition fix e par le Conseil d Administration plans de formation des tablissements adh rents forum actions r gionales et ou coor
80. ts eh bien chez nous le mutualisme c est s occuper prioritairement des maisons de retraites et des agents des petites cat gories d emploi indiciairement DOSSIER LA MUTUALISATION DANS TOUS SES TATS parlant Parce que ce sont des petites structures g n ralement rurales et isol es Il est clair que les possibilit s objectives d exercer leurs droits la formation ne sont pas les m mes que celles de leurs coll gues du CHU de Tours par exemple Etre statut gal dans un tablissement au fin fond de la Sologne c est tre loin de tout g ographiquement s entend mais c est aussi travailler dans un contexte o le bouillonnement intellectuel la stimulation sont moindres cela compte beaucoup en formation De l d coulent des modalit s particuli res de formation Si l on ne s approche de ce public il y a fort parier qu il demeurera ce que nommait il y quelques ann es un non public de la formation COMMENT MUTUALISME ET EN QUOI CONTRIBUE T ELLE Le r le de c est d abord celui que l institution a pr vu dans ses statuts collecter les ressources financi res sans lesquelles rien ne peut se faire Car l acc s au savoir en formation continue dans notre pays est un acc s marchand C est ensuite red ployer de mani re mutualiste ces moyens C est dire que les gros tablissements sont sollicit s pour alimenter la caisse
81. ts eux m mes sur leur plan de formation Les actions r gionales sont financ es sur des cr dits r gionaux COMMENT S EXPRIME LA MUTUALISATION EN CHAMPAGNE ARDENNE Le groupe de travail recense l en semble des besoins peu ou pas satis faits par les plans des tablissements La logistique de permet de rapprocher les besoins de grouper les r ponses et donc d offrir des solutions moins co teuses Les actions de forma tion coordonn es permettent de plus des changes d exp riences enrichissants LE PRINCIPE DE MUTUALISATION EN CHAMPAGNE ARDENNE EST L ORIGINE DU PROJET M TAFORES POUVEZ VOUS NOUS EN PARLER Lanc par Champagne Ardenne c est aujourd hui un projet interr gional soutenu par le si ge national Son concept est n du constat suivant les tablissements hospitaliers emploient des personnels consacrant une partie de leur temps de travail la formation M tafores vise faciliter voire stimuler des changes d exp riences entre eux et leur proposer un outil leur permettant d optimiser leurs prestations Des d placements inter tablisse ments sont m me envisageables Il s agit en fait de d velopper et d am liorer ce type de formations Le produit M tafores sera accessible en ligne pour les tablissements adh rents sur le site Internet de QUELLES SONT VOS ATTENTES PAR RAPPORT AU R LE DE La mutualisation est une n cessit
82. u elles s inscrivent dans des programmes sch mas directeurs ou autres plans d actions les actions r gionales sont l expression d une forme de mutualisation commune bon nombre de d l gations r gionales de En r gle g n rale elles sont une r ponse des besoins de formation collectifs s inscrivent dans une logique de proximit et se mettent en place selon une programmation pluriannuelle Leur finalit est d accompagner les volutions majeures qui se dessinent pour les h pitaux et les tablissements sociaux et m dico sociaux et de permettre d accro tre la qualification et la professionnalisation des personnels Elles se d clinent sous des vocables diff rents actions r gionales actions coordonn es selon une typologie d finie par la d l gation r gionale en concertation avec ses instances Ces actions se r alisent dans le cadre d une d marche d achat de formation et d ing nierie p dagogique associant en partenariat les d l gations r gionales de les tablissements adh rents et les prestataires de formation Tout ou partie des tablissements adh rents b n ficient de la gratuit de ces actions LES ACTIONS R GIONALES EN LIGNE La nouvelle version du site internet de donne acc s dans l espace vie des r gions une base de donn es r pertoriant les actions de formation r gionales partir d un choix th matique ou par r gion Pour chaque fiche descriptive les in
83. uelles des cong s individuels de for mation ou des formations qualifiantes ou de promotion sociale En Il se croisent les logiques de l in dividu et de la production Il s agit de former une personne dans une pers pective d application ou de perfection nement un emploi Le charg de for mation est un ergonome de la forma tion dans un souci d adaptation r ci proque individu travail Les actions sont centr es sur l adaptation l em ploi et la promotion professionnelle Dans la situation III les logiques dominantes sont la formation et l or ganisation Le responsable est un ing nieur de la formation centr sur la dimension collective du travail finali s e dans l organisation o il met en uvre une politique de formation dans tous ses aspects techniques organisationnels et humains Le plan de formation et ses d clinaisons notamment pour des publics cibles ou des formations transversales qualit s curit management caract risent cette situation Enfin en IV o apparaissent les orien tations organisation et production Il peut tre d fini comme un consultant accompagnant les volutions socio organisationnelles de l institution et ou de l activit Il agit comme chef de projet ou consultant interne pour anticiper ou participer des restructu rations des projets de service ou le montage de formations techniques Dans ses diff rents r les le respon sable de formation mobilise des com p te

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