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1. rance via les GRX Ces derniers repr sentent une nouvelle classe d acteurs dans la cha ne de valeur mobile D origines diverses ils sont apparus suite l action de la GSM Association dans le courant de l ann e 2000 Les part disposent d infrastructures IP internationales proposent un Internet privatif fortement diff ren ci de l Internet public Un seul point d change entre GRX ce stade Les GRX sont aujourd hui confron t s l insuffisance des flux d itin rance GPRS qui ne permettent pas LES FLUX FINANCIERS DE L ITIN RANCE GPRS Facturation IOT Entre 8 et 24 euros par Mbit Op rateur mobile A Capacit forfaitaire Tarifs mensuels variables selon besoin Source BIPE 2002 IOT Inter operator tarifs General packet radio service Op rateur GRX A Op rateur GRX B Echange r ciproque Op rateur mobile B Capacit forfaitaire Tarifs mensuels variables selon besoin Facturation en roaming Entre 12 et 32 euros TTC par Mo Principe de facturation client IOT markup entre 10 et 20 La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications Terminal mobile du r seau A en itin rance sur le r seau B www art tekecimfr Etudes GRX AU C UR DE L ARCHITECTURE D ITIN RANCE GPRS a d acc EN 777 Point de Peering arag GRX d seaux N EL Op rateur c ur de r seau GPRS GRX de remplir de mani re optimale l2. UN NOUVEAU CHEF POUR LE SERVICE OP RATEURS ET RESSOURCES J r me Rousseau 31 ans polytechnicien ing nieur des t l communications deviendra chef du service Op rateurs et ressources S O R le 15 juillet 2003 Il remplacera ce poste Gilles Crespin qui rejoint le Conseil g n ral des Yvelines en tant que conseiller technique du pr sident pour le d veloppement num rique du territoire voir billet d adieu ci dessous J r me Rousseau est arriv en septembre 1997 l ART o il s est d abord occup du dossier de la boucle locale radio Chef de l unit Op rateurs mobiles depuis septembre 2000 il est actuellement adjoint du chef du service Op rateurs et ressources D R n 33 juillet 2003 AUTRES NOMINATIONS Loic Taillanter deviendra le 1 septembre adjoint du chef de service juridique SJ de l ART Depuis mai 1998 il assure en tant que charg de mission au SJ le suivi des questions relevant du droit communautaire et du droit de l audiovisuel et des nouvelles technologies Il est galement responsable de l ensemble des analyses juridiques relatives aux proc dures d attribution des ressources rares BLR syst mes mobiles 3G II remplacera au poste d adjoint Eric V ve qui va reprendre sa profession d avocat sp cialis dans le droit des collectivit s locales et des t l coms Anne Huguet a t nomm e le 1 juillet chef de l unit Op rateurs fixes Elle tait pr c dem ment c
3. Lettre d information bimestrielle de l Autorit de r gulation des t l communications Au Sommaire ACTUALITE L ART r affirme le principe de r ciprocit pour les tarifs des terminaisons d appels 2 SERVICES Quel avenir pour la t l vision sur ADSL 3 ETUDES Itin rance GPRS Techniquement pr te 4 5 METIERS Interview du Chef de l unit Audits et valuations conomiques Assurer une bonne gestion de l asym trie d information 6 EN BREF Analyse des march s Coop ration au moyen orient Normalisation 7 Nominations 8 Autorit de R gulation des T l communications ww art telecimfr Vers plus de concurrence Le march des t l communications conna t aujourd hui sur les diff rents segments qui le composent des situa tions variables voire contrast es Les services mobiles restent dynamiques et l usage de l Internet haut d bit se d veloppe rapidement La concurrence a progress dans l ensemble mais elle merge peine sur l acc s haut d bit et doit tre consolid e sur le fixe La r gula tion doit n cessairement en tenir compte et franchir une nouvelle tape Cette derni re s inscrit dans un cadre juridique en cours de transformation qui pr voit de doter les r gulateurs de nouveaux outils pour affiner leur action de r gulation AU c ur de ces nouveaux outils le processus d analyse des march s Il va permettre une action diff renci e sur la base de l analys
4. sans doute demain de la t l vision num rique terrestre TNT Il est presque certain cependant aujour d hui que la rentabilit de ces mod les passera par le d veloppement d offres multiservices incluant des services de t l phonie de t l vision et d acc s Internet Dans ce cadre plusieurs ques tions li es notamment aux r les des diff rents acteurs se poseront Par exemple qui de l op rateur DSL du fournisseur d acc s Internet ou du diffuseur fournira le service le commercialisera Les exp rimentations en cours devraient d ores et d j confirmer certains choix techniques Elles permettront de savoir si les quipe ments de r seau sont pr ts s il faut les remplacer ou simplement leur apporter une modification logicielle Elles r pondront galement la question du nombre de cha nes qu il sera possible de diffuser via ce canal ou encore de la position g ogra phique optimale dans le r seau des serveurs de vid o la demande E Contact Stanislas bourgain arttelecom fr O0Z PIIN EEU p n 33 juillet 2003 L ITIN RANCE GPRS Etudes Techniquement pr te Les op rateurs mobiles pan europ ens ont tout pr vu pour assurer l itin rance GPRS recours des acteurs proposant un Internet privatif transformation des syst mes de facturation etc IIs n attendent plus qu une chose que les flux de donn es soient au rendez vous es op rateurs mobiles ont ES Ils ont fai
5. sident de l ART le 30 novembre 2000 Cette nouvelle rencontre s inscrit dans le cadre du s mi naire Opportunit s d investissements au Moyen Orient dans le secteur des t l communications organis par le CFCEP Les discussions entre Mme Nijem et M Feneyrol ont port sur l attribution des licences individuelles le r gime d interconnexion le r glement des litiges entre op rateurs le financement du service univer sel et l organisation interne de l ART Mme Nijem a pris r cemment ses fonctions la Michel Feneyrol et Muna Nijem radiocommunications et de la poste Elle a pour mission de pr parer dans de bonnes conditions l ouverture la concurrence des services de t l communications fixes et longue distance qui devrait intervenir partir du 1 janvier 2005 Jusqu cette date Jordan Telecom Company JTC l op rateur historique du r seau fixe est assur de conserver le monopole sur ces services La nouvelle pr sidente du TRC participe par ailleurs activement au d veloppement d un r seau de r gulateurs de t l communications arabes Elle souhaite inviter l ART une r union de cet organis me en ao t prochain L exp rience du Groupe des r gulateurs ind pendants GRI pourrait alors tre l ordre du jour W Contact audrey baudrier arttelecom fr NORMALISATION L ETSI contribue au futur cadre r gle mentaire Sur la base d un mandat confi par la Commission europ enne l ETSI
6. le plus souvent l op ra teur GRX commun au groupe qui est s lectionn 2 Inter operator tarifs ww art telecomfr La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications Routeur GRX Source BIPE op rateurs 2002 SSe BE Serveur DNS Domain Name Server Les tarifs de d tail de l itin ran ce encore prohibitifs pour le moment pourraient se r duire avec le d veloppement du service Les flux financiers destination des fournisseurs de contenu employant le GPRS ne sont pas encore parfai tement clarifi s Pour le passage l UMTS selon les choix technologiques op r s migration de r seaux IP actuels ou construction de r seaux IP ad hoc pour le flux Internet mobile les GRX sont pr ts I Contact bernard celli art telecom fr L tude BIPE r alis e pour le compte de l ART sur l Itin rance pan europ enne GPRS est disponible sur ww art telecom fr N O0Z PIIN EEU P E M e tiers M ATTHIAS COLLOT CHEF DE L UNIT AUDITS ET VALUATIONS CONOMIQUES D velopper une expertise conomique en g rant au mieux l asym trie d information m N 3 m m 0 c Matthias Collot Quelles sont les principales missions de votre unit Elles sont au nombre de deux La premi re consiste contr ler et suivre les co ts des op rateurs de service universel et des op rateurs puissants sur le march de l interconnexion fix
7. prennent la forme de mod les technico cono miques le plus souvent d velop p s en collaboration avec le sec teur et de comparaisons inter nationales L valuation des co ts dans une industrie de r seau est par ailleurs particuli rement com plexe Certains co ts sont par exemple partag s entre plu sieurs activit s et services d autres encore varient g ogra phiquement Or cette valuation sur laquelle seront d termin s par exemple des tarifs d inter connexion pourra tre structurante pour le secteur les op rateurs d cidant selon les niveaux tarifaires d investir ou d acheter France T l com dans une logique de make or buy De mani re g n rale les questions trait es par l unit repr sentent des enjeux financiers importants titre d illustration le march de l interconnexion fixe et mobile a repr sent plusieurs milliards d euros en 2001 E www art tekecimfr En bref ANALYSE DES MARCH S La d marche pr vue par les directives se poursuit Au cours du mois de juin des projets de ques tionnaires ont t labor s sur lesquels les acteurs du secteur ont t amen s donner leur avis Les questionnaires d finitifs devraient tre envoy s la mi uillet l ensemble du secteur op rateurs four nisseurs d acc s associations de consommateurs grands utilisateurs etc qui pourront transmettre leurs r ponses d ici septembre Apr s une premi re phase de synth se
8. constitue actuelle ment une liste de normes et sp cifications r pon dant aux objectifs du futur cadre r glementaire Les travaux devraient s achever la fin de l ann e et la Commission devrait publier la liste d finitive au d but de l ann e 2004 Ce mandat s inscrit dans le prolongement du volet normalisation de l article 17 de la directive Cadre sur les communications lectroniques Il permet la Commission de promouvoir des normes et sp cifications qui deviendront autant de sup ports l interop rabilit et au libre choix du consommateur Ces normes et sp cifications pour ront le cas ch ant tre impos es par la Commission europ enne et exploit es par les r gu lateurs nationaux dans les probl matiques d acc s Dans le cadre de ce mandat l ETSI a mis en place une structure ad hoc l OCG ECN amp S Pr sid e par Didier Chauveau elle sera charg e de coor donner les r ponses des diff rents comit s tech niques de l institut europ en de normalisation E Didier Chauveau est le chef de l unit Prospective de l ART Le programme de travail de l OCG ECN amp S sur http portal etsi org portal common home asp N O0Z PIIN EEU t te du r gulateur des t l communications des En application de l article 7 de la directive Cadre Centre fran ais du commerce ext rieur ww art telecomfr La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications En bref
9. d appro fondissement et de restitution l automne l ART engagera la consultation publique pr vue par les directives portant sur la d finition des march s susceptibles d tre r gul s et l analyse de leur situation ainsi que sur les op rateurs puissants L avis du Conseil de la concurrence devrait tre sol licit l issue de cette phase Par la suite la d fi nition des obligations qui pourraient tre impos es aux op rateurs puissants fera l objet d une nouvel le consultation publique En terme de calendrier l objectif poursuivi est que les projets de d cisions fixant les march s et tablissant la liste des op rateurs puissants et leurs obligations puissent tre notifi s la Commission puis adopt s par l ART d s l entr e en vigueur de la loi de transposition des directives E Contacts ingrid malfait art telecom fr cecile gaubert art telecom fr COOP RATION AU M OYEN ORIENT L ART re oit le r gulateur de Jordanie Mme Muna Nijem pr sidente de la Telecom munications Regulatory Commission TRC jorda nienne accompagn e de M Noury conseiller com mercial aupr s de l Ambassadeur de France en Jordanie s est entretenue le 5 juin 2003 avec Michel Feneyrol membre du Coll ge de l ART C est la seconde fois que le r gulateur fran ais accueille un repr sentant du royaume Hach mite de Jordanie M Fawaz Hatim Zu bi ministre de la poste et des t l communications avait t re u par le pr
10. e concurrentielle de chaque march susceptible d tre r gul L ART s est d ores et d j fermement engag e dans ce processus et devrait tre en mesure d ici l automne 2004 de notifier la Commission europ enne pour chaque march la liste des Paul Champsaur a pr sent le 3 juillet le 6 rapport d activit de l ART devant les acteurs conomiques op rateurs puissants et de leurs obliga tions L ART restera aussi vigilante et atten tive que l exige l tat de la concurrence dans le secteur des t l communications en particulier pour la p riode de transition qui s ach vera avec l adoption de l ensemble des textes de transposition La ministre d l gu e l Industrie et l ART publieront dans les prochains jours des lignes directrices susceptibles d clairer les acteurs sur les r gimes applicables pendant cette p riode trans toire PAUL CHAMPSAUR Pr sident de l ART n 33 juillet 2003 Actualit TARIFS DES TERMINAISONS D APPELS L ART r affirme le principe de r ciprocit a terminaison d appels d signe les prestations de gros dites d interconnexion par lesquel les un op rateur de boucle locale fournissant le service t l phonique permet aux autres op rateurs d tablir des communications t l phoniques entre leurs clients et les siens Dans un march des t l commu nications ouvert la concurrence la fourniture r ciproque de ces presta
11. e ou mobile ainsi qu pr ciser les r gles de s paration comptable d finir les comptes r glementaires soumis l ART et au besoin mener des audits Cette mission concerne aujourd hui France T l com Orange France et SFR La deuxi me mission consiste mener des valuations cono miques proprement dites dans le cadre de trois domaines l inter connexion des op rateurs mobi les et fixes puissants le d groupage et le service univer sel L unit se prononce sur les co ts pertinents prendre en compte ainsi que sur les m tho des de tarification ou d valua tion des co ts Elle d termine par exemple les taux de r mun ration du capital et r fl chit aux m thodes d amortissement Quels principaux dossiers traite l unit L unit g re le volet tarifaire des discussions men es de mai octo bre sur le catalogue d intercon nexion de France T l com seul op rateur fixe puissant L quipe de Matthias Collot Perthuisot Fr d ric Ouradou et Fr d rique Vallet Elle traite galement de l ensem ble des aspects tarifaires li s l offre de d groupage pr sent e par l op rateur historique depuis fin 2000 Enfin l quipe est en charge de l valuation annuelle du co t du service universel ainsi que de la gestion du fonds Pour tous ces dossiers nous faisons mener annuellement un audit par un cabinet ind pendant des comptes de France T l com En ce qui concer
12. effets d apprentissage d j enregis tr s par France T l com et ainsi d atteindre des niveaux de co ts de r seau comparables La m thode fix e par l Autorit a donc consist permettre ces op rateurs d appliquer France T l com jusqu fin 2007 des tarifs au plus gaux aux tarifs des prestations quivalentes que l op rateur historique offrait cinq ann es plus t t Ces d cisions sont favorables au d veloppement de l investissement et de la concurrence sur le march LES ENJEUX POUR LA CONCURRENCE DES TARIFS DES TERMINAISONS D APPELS Pour un op rateur de boucle locale la charge d achat de la terminaison d ap pels aux op rateurs concurrents p se sur les tarifs qu il peut offrir ses pro pres abonn s pour les appels vers les abonn s des autres r seaux Inversement la vente de cette prestation aux op rateurs concurrents d ter mine dans une certaine mesure le niveau des tarifs que ces derniers peuvent proposer leurs abonn s Cette situation donne lieu des n gociations n cessairement difficiles pour la d finition des niveaux de ces tarifs chaque op rateur pouvant tre tent d augmenter ses propres tarifs de terminaison d appels pour diminuer la comp titivit de ses concurrents de la boucle locale Elles assurent les conditions d une juste r mun ra tion pour les prestations d intercon nexion indispensables aux activit s d un op rateur de boucle locale W Contacts gwelta
13. es infrastructures d ploy es Les clients n utilisent que marginalement la fonction d itin rance pour la simple raison que le GPRS lui m me est encore sous utilis C est ainsi qu il n existe pour le moment qu un seul point d change de trafic entre op rateurs GRX dit point de peering GRX b ti sur un mod le tr s proche de celui de l Internet fixe Situ Amsterdam et baptis AMSIX il interconnecte quinze op rateurs GRX o Border Gateway Pour assurer l itin rance GPRS les op rateurs ont d aussi modifier leur syst me de facturation Les flux ne sont plus factur s la dur e mais au volume en kilo octets En amont les flux financiers sont s pa r s Entre op rateurs de GRX les donn es s changent pour le moment gratuitement Entre op ra teurs mobiles l change repose sur des accords d itin rance r gis notamment par les tarifs inter op ra teurs IOT voir sch ma page 4 LES OP RATEURS MOBILES PANEUROP ENS AU CENTRE DE L ITIN RANCE GPRS Les op rateurs mobiles sont les principaux clients des op rateurs de GRX Ils d tiennent une place centrale dans la nouvelle architecture mise en place La s lection d un op rateur de GRX par tout ou partie des entit s nationales d un op rateur paneurop en donne un avantage concurrentiel tr s structurant ce GRX Par ailleurs m me si la s lection du GRX est r alis e de fa on autonome par chacune des filiales trang res c est
14. hef de projet sur la t l vision num rique terrestre TNT TDF A ce titre elle tait notamment en charge des r am nagements de fr quences Elle s occupait galement de la conception d offres num riques pour les clients et prospects de TDF Anne Huguet remplace ce poste Caroline Mischler qui a rejoint la direction des Affaires Sociales de la Mairie de Paris en charge de l tablissement du Budget et du Contr le de gestion BILLET D ADIEU DE GILLES CRESPIN Gilles Crespin a t chef de l unit Op rateurs mobiles puis chef du service Op rateurs et ressources de l ART entre janvier 1997 et juillet 2003 A ce double titre il a suivi toutes les tapes de la r gulation depuis son origine Avant de quitter l ART il nous livre ses impressions sur son exp rience Apr s 6 ans et demi pass s l Autorit je rejoins le Conseil g n ral des Yvelines comme conseiller technique du Pr sident Je retire de cette p riode tr s intense deux convictions La premi re c est qu une r gulation sectorielle restera durablement n cessaire en raison des caract ristiques du march fran ais mais aussi de la complexit de la mati re et de son volutivit qui rendraient inop rante une simple application au secteur des t l communications du droit commun de la concurrence La seconde conviction c est que le r gulateur devra toujours travailler l aide d un cadre J r glementaire qui pour tre stab
15. le m riterait souvent d voluer ponctuellement pour pouvoir r pondre aux exigences d un secteur tir par l innovation technique et par les usages domaines o pr cis ment la stabilit n a pas cours L activit de r gulation devra donc continuer elle aussi innover et construire sa doctrine par la pratique autant que par les textes INFO WEB FLASH Tout savoir sur les prix des num ros courts Ces 3204 3206 3211 3212 etc combien co tentils pour l appelant R capitulatif en euros dans notre nouvelle FAQ rubrique T l coms mode d emploi Les FAQS Autorit de r gulation des t l communications 7 square Max Hymans 75730 Paris cedex 15 Web www art telecom fr M l courrier art telecom fr T l 01 40 47 70 34 Fax 01 40 47 71 98 Responsable de la publication Paul Champsaur Directeur de la r daction Jean M arimbert R dactrice en chef B atrice Giudicelli T l 01 40 47 70 28 Photos ART Abonnement Mission communication Maquette ACCESSIT
16. ne les op ra teurs mobiles puissants sur le march de l interconnexion SFR et Orange nous avons mis en place un format de restitution de comptes annuels qui a permis de faire voluer la charge de terminaison mobile la baisse Quels autres dossiers l unit aurat lle traiter dans les prochains mois L unit a r cemment contribu aux travaux sur la portabilit mobile et travaille sur la question de l extension de la couverture mobile dans les zones blanches et notam ment la fixation du tarif de location des infrastructures par les collectivi t s locales Elle uvre aussi la La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications Nicolas Deffieux R mi mise en place d une s paration comptable pour les op rateurs 3G et aux volutions du dispositif de service universel avec notamment le changement d une cl de r partition au chiffre d affaires A quelles difficult s l unit est elle le plus fr quemment confront e La r f rence aux co ts suppose que le r gulateur puisse acc der aux informations les plus compl tes possibles Il doit donc comprendre les syst mes comptables com plexes des op rateurs tout en gardant le recul n cessaire pour juger par exemple de l efficacit des investissements r alis s ou de la pertinence des co ts invoqu s Pour asseoir son expertise et g rer au mieux l asym trie d information il d veloppe toute une panoplie d outils qui
17. pour permettre un essor de la TV sur ADSL Quelques interrogations subsistent cependant notamment sur la rentabilit de cette technologie et sur le r le que les diff rents acteurs seront amen s jouer a multiplication des projets eres actuellement en mati re de TV sur ADSL par plusieurs diffuseurs s explique par une conjonction de facteurs favorables Techniques d abord Les technolo gies de compression ont volu Elles permettent le transport du signal vid o sur des r seaux DSL qualit constante avec des d bits de plus en plus faibles Economiques ensuite La forte croissance du nombre d abonn s rl D Ji Ar d va Ex E A m ms am ij La TV sur ADSL repr sente un moyen pour les diffuseurs par satellite d accro tre leur p n tration en milieu urbain ADSL et de lignes d group es observ e depuis plusieurs mois permet la cha ne technique de la TV sur ADSL commune l Internet haut d bit de couvrir un nombre significatif d habitants Pour les diffuseurs qui utilisent le satellite elle constitue un moyen d accro tre leur p n tration en milieu urbain De m me la perspective de proposer des offres de services vid o repr sente une opportunit pour les op rateurs de r seaux DSL de mieux rentabiliser les investisse ments engag s dans l Internet haut d bit Les exp rimentations en cours se www art tekecimfr DU FLUX VID O SUR LES R SEAUX DSL La diff
18. s quentrec arttelecom fr cecile gaubert arttelecom fr nicolas deffieux arttelecom fr Les d cisions de l ART n 03 701 Completel 03 702 Estel et 03 703 UPC sont disponibles sur ww art telecomfr Plus de 60 000 lignes partiellement d group es au 1 juillet 2003 Le nombre de lignes partiellement d group es continue de cro tre sous plusieurs impulsions comme l ouverture de nouvelles zones au d groupage ou la migration vers le d groupage de clients d pen dant anciennement de l offre option 5 de France T l com Le d groupage permet donc un d but de concurrence sur le march de gros de l acc s haut d bit Sa mont e en charge s est accompa gn e de quelques probl mes op rationnels notamment des retards dans les livraisons ces derni res semaines Au del de la r gularisation de cette situation l ART travaille avec l ensemble des acteurs l industrialisation des processus Contact cecile gaubert arttelecom fr Toute l actualit du d groupage sur ww art telecomfr Entre les soci t s Cegetel Entreprises et France T l com d cision n 99 539 et entre les soci t s UPC France et France T l com d cision n 01 1235 oN La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications www art tekecimfr Services CONVERGENCE Quel avenir pour la t l vision sur ADSL Apr s plusieurs tentatives infructueuses les conditions sont aujourd hui r unies
19. t le choix des op rateurs de backbone IP les GRX ou GPRS Roaming eXchange pour acheminer les flux d itin rance GPRS Les GRX sont des r seaux internationaux interconnect s et connect s aux r seaux mobiles voir sch ma page 5 Les nouvelles architectures ont d j t mises en place Les op rateurs mobiles euro p ens ont privil gi cette solution alors que deux autres formules taient possibles pour relier leur r seau Ils pouvaient par exemple passer par l Internet public Cette solution aurait t peu co teuse mais n offrait aucune garantie en mati re de s curit Ils pouvaient aussi opter pour des liaisons d di es Cette option pr sentait l a vantage d tre s curis e mais UNE RUPTURE DANS L ITIN RANCE INTERNATIONALE L itin rance GPRS pourrait restructurer le march mobile et influencer forte ment la r partition de valeur entre acteurs Elle introduit une rupture dans l itin rance internationale et fait appara tre de nouveaux march s dans lesquels les op rateurs pan europ ens poss deront un avantage significatif Cet atout appara tra plus nettement lorsque les flux seront plus importants Les enjeux pour la r gulation devront alors tre valu s dans le contexte du nouveau cadre r glementaire parall lement d tre on reuse op rateurs de GRX qui pour la plu C est pourquoi ils ont finalement retenu une solution interm diaire en terme de co t et de s curit l itin
20. tions de gros par tous les op ra teurs de boucle locale est l une des conditions essentielles pour garantir la possibilit que tout abonn du service t l phonique en France soit en mesure de joindre tout autre abonn quel que soit l op rateur de boucle locale auquel ce dernier est raccord Les tarifs de ces presta tions d interconnexion pr sentent des enjeux concurrentiels impor tants pour les op rateurs de boucle locale voir encadr Dans trois d cisions r centes l ART a confirm la pertinence sur la moyenne p riode de l approche des tarifs r ciproques de ces terminaisons d appels qu elle avait retenue dans deux d cisions pr c dentes Selon cette approche le prix pratiqu par un op rateur de boucle locale pour acheminer un appel entrant sur son r seau doit tre quivalent au tarif d interconnexion sortante donc une prestation quivalente qu il ach te France T l com Le r gulateur avait t saisi par France T l com sur les tarifs de terminaison d appels appliqu s par les op rateurs de boucle locale Completel Estel et UPC France l op rateur historique Tout en appli quant l approche des tarifs r ci proques ART a cependant tenu compte de la situation transitoire et sp cifique de ces trois acteurs Tarifs propos s il y a cinq ans En raison du caract re r cent de leur entr e sur le march de la boucle locale ils ne sont pas enco re en mesure de b n ficier des
21. usion de services audiovisuels sur la paire de cuivre du r seau t l phonique est une id e ancienne Depuis le milieu des ann es 1990 plusieurs entreprises l ont exp riment e en Europe ou aux Etats Unis Son principe consiste utiliser les r seaux DSL pour le transport de flux vid o au m me titre que les r seaux c bl s satellites ou hertziens et fournir l utilisateur final un acc s des bouquets de cha nes ou des contenus vid os la demande traduiront lles pour autant en offres commerciales courte ch ance Plusieurs incertitudes demeurent D veloppement d offres multi services L une d elles non des moindres est li e au co t du transport d un contenu vid o ou t l visuel sur un r seau DSL Les mod les cono miques de la TV sur ADSL restent valider et doivent trouver leur place LA TV SUR ADSL ACC L RATEUR DU HAUT D BIT S ils trouvent leur public les services de diffusion audiovisuelle sur les r seaux ADSL contribue ront au d veloppement du haut d bit en France Ils feront progres ser le d groupage et favoriseront la dynamique concurrentielle entre les technologies et les acteurs de ce march A ces titres l ART s int resse aux exp rimentations en cours ou programm es de TV sur ADSL Le r gulateur cherche les encourager avec prudence et pragmatisme La lettre de l Autorit de r gulation des t l communications aux c t s du c ble du satellite et
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