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Printemps 2010

1. 10 Conditionnalit PAC quelles nouvelles r gles en 2010 11 A March du mais un bilan l quilibre des prix qui restent lev s et stables Ma triser les adventices quelles solutions proposer comme alternatives aux herbicides 13 14 15 La conduite du mais en bio a anni 27 28 29 C r ales Une pression maladies faible moyenne selon les secteurs en 2009 16 17 Protection fongicide 2010 nos pr conisations 18 19 D sherbage du ma s en post lev e les traitements pr coces sont toujours payants 20 21 D sherbage du ma s 2010 deux passages n cessaires 22 23 D sherbage du ma s combiner le m canique et le chimique une technique efficace 24 25 Ravageurs du semis du ma s viter le traitement syst matique 26 Prot agineux Ex Allonger les rotations avec des prot agineux de printemps 30 31 Prot agineux de printemps itin raires techniques 32 33 Betteraves id Betteraves fourrag res des rendements r guliers 34 35 A R dacteurs P le Agro PU Alain Cottais D
2. Fonte des semis Vitavax 200FF 0 250I q ee SOU POT eo gt Mouche du semis enfouir les r sidus traitement de semence PYRISTAR 0 31 q Produits possibles dose homologu e Produits possibles dose homologu e Rouille Horizon EW 0 81 ouCaramba Star 0 81 Anthracnose Amistar 0 8l ha Anthracnose Banko 500 21 Amistar 0 81 Traiter d s l apparition des 1 foyers Botrytis Caramba Star 0 81 Rouille Caramba star 0 8l ha ou Horizon EW 11 gt Exemples de strat gies Traiter d s l apparition des 1 pustules T1 d but floraison Anti anthracnose 70 80 dose gt Exemples de strat gies T2 T1 15j produit anti rouille 80 100 T1 d but floraison Anti anthracnose 70 80 dose T2 T1 15j produit anti rouille 80 Produits possibles dose homologu e Anthracnose Banko 500 31 Amistar 0 81 ou Maori Walabi 21 Botrytis Walabi 21 ou Scala 1 51 Rouille Horizon EW 0 8l ou Caramba Star 0 81 gt Exemples de strat gies T1 boutonsfloraux Anti anthracnose 70 100 dose T2 T1 15j produit anti botrytis Sitones surveiller des la lev e Produits possibles dose homologu e Ducat 0 31 Karat Xpress 0 125kg Decs Expert 0 063 Sitones surveiller desla lev e Mouche du semis voir traitements de semences Produits possibles dos homologu e Ducat 0 3 Karat Xpress 0 125kg Decis Expert 0 063 Pucerons Noirs surveiller avant
3. Une diversit d quipements pour le d sherbage m canique Une herse trille avec r glage auto matique de l agressivit Pour voir des volutions plus prospectives sur les mat riels de d sherbage alternatif il fallait se rendre sur les stands de la recherche universitaire qui pr sentaient notamment une herse trille dont les r gla ges d agressivit sont automatis es en fonction du stade de la culture des mauval ses herbes cam ra et de la r sistance du sol Cette derni re est valu e au moyen d une dent de mesure Ce mat riel n est pas disponible la vente R glages automatis s de la herse trille Une sarcleuse guid e par capteurs vid o L aussi l lectronique vient au secours de la pr cision avec des syst mes de guidage mais aussi de rep rage de la culture par capteurs vid o qui permettent sur cette machine de venir sarcler entre les plants de salades Sarclage sur l inter rang et l inter plant Une herse trille de 24 m On n arr te pas le gigantisme Une herse trille de 24 m de largeur tait pr sent e sur le salon Difficile de l imaginer dans notre parcellaire breton Y WEE A Ty ue j j me Pe ETS 178 Dh py W r sa EAC O l F rs a 5 j PN j Une herse trille rotative La herse trille rotative est une sorte de houe rotative avec des dents de herse trille positionn es de fa on inclin e par rap
4. de pluie permet en outre de d cortiquer le ph nom ne de ruissellement a Sa naissance l chelle du m Ordre de grandeur mesur s en g P ha an Kergu hennec Lanch bo 2006 a 2009 A P biologiquement disponible Une simple incorporation en surface ne suffit pas supprimer l impact d un apport r cent mais l enfouissement par un labour sera efficace Par contre les fuites par drainage ne sem blent pas tre influenc es par un apport Drainage des flux de phosphore avec presence de drains Ruissellement Total Sans fertilisation 100 500 600 r cente 200 g a 700g 900g Sans fertilisation 100 10 110 r cente 200 g a15g a215g r cent Cf tableau ci dessus On note que lorsque un ruissellement sur vient peu de temps apres un apport r cent la quantit globale de phosphore bio disponible qui rejoint le milieu aquatique peut atteindre de l ordre de Phosphore et eutrophisation quelques rep res e Le phosphore est l l ment nutritif qui limite la croissance biologique dans tousles milieux naturels De tr s faibles fuites peuvent donc avoir des cons quences sur les quilibres biologiques m me si aucune toxicit directe n existe A titre de comparaison si on peut se donner un rep re de 50 mg l de nitra tes 11 mg l de N nitrique on estime qu un plan d eau peut manifester des ph nom nes d eutrophisation partir de 50 ug l de Phosphore 115 ug l
5. Prot agineux Prot agineux Itin raires techniques Place dans la rotation De bonnes t tes d assolement pour les c r ales Eviter les pr c dents prairies Date gt 1 f vrier au 15 mars semer t t en zones s chantes gt 1 f vrier au 10 mars Un semis pr coce favorise l enracinement gt 15 f vrier au 15 mars Semis Densit 70 80 graingn et 3 4 cm de profondeur gt 4 5 cm si pigeons gt 35 45 grains m et 5 7 cm de profondeur gt 45 50grains n et 3 4 cm de profondeur EE TE EE gt Lit de semences ni trop fin ni trop grossier bien nivel gt Sol bien ressuy Volailles teneurs en vicine convicine faible Lady productive Betty productive sensible casse de tiges sensble rouille vari t r cente Z uma t ill gt Hardy pr cocit tenue de tige gt Porcs vari t s fleurs blanches nergy tardive pra ps gt he sb a e gt Lumina rendement peu pr coce Mistral teneur en prot ines peu sensible verse gt Amiga precoce gt Starter tenue de tige endement et la rouille gt Ludic interm diaire Ruminants toutes les vari t s possibles gt Lustral 1 2 tardif Espresso r sistant verse sensible rouille Maya productive sensible casse tige sensible rouille Memphis bonne tenue de tige peu sensible rouille vari t r cente Fertilisation 3 Aucun apport d azote l gumineuses c
6. La norme se situe entre 6 et 6 5 Trop bas il ne permet pas la plante d assimiler correctement les l ments du sol D sherbage plus eurs interventions en m canique Cf sch ma Itin raire du mais page 33 La lutte contre les adventices est d ter minante dans la conduite du mais Les pas sages r alis s avant le semis vont permet tre d puiser une partie du stock semencier Diverses strat gies compl mentaires sont possibles en culture le mieux tant de les associer 3 5 jours apr s le semis l aveugle avec une herse trille ou une houe rota tive Cette intervention pr sente peu de risque pour le mais pas encore lev et permet d tablir un cart de d veloppe ment en faveur de la culture stade 2 4 feuilles du ma s en privil giant la houe rotative Sinon ajuster la vitesse d avancement et le r glage de la herse trille pour ne pas d raciner et ne pas recouvrir la culture Stade 4 6 feuilles le mais peut tre bin La vitesse d avancement et ou l uti lisation de caches permettra de prot ger les plants Houe rotative du stade 7 feuilles jusqu la couverture de l inter rang le binage s accompagne d un buttage cache plant relev N anmoins cette intervention ne permet pas a elle seule de ma triser le salissement sur le rang d o l importance de l une ou l autre des deux premi res interventions en post semis Pour obtenir une bonne efficac
7. Les semis sont faits avec des semis mono graine 45 50 cm voire 60 cm Ils peu vent galement tre faits avec des semis mais mais le rendement est p nalis car le peuplement atteint reste faible 60 000 betteraves ha Vari t s choisir selon le type de distribution Il y en a pour tous les go ts mais il faut les commander Les vari t s sont class es selon leur pourcentage de mati re s che Cf tableau page 35 Le choix du type de vari t d pend sur tout de l levage pratiqu et de la distribu tion racine enti re ou coup e Les bette raves tres riches en MS plut t de type sucrier sont souvent plus dures et n cessi tent d tre coup es P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Betteraves fourrag res vari t s conseill es Vari t s conseill es Vari t s possibles Tr s riche 16 JAUNA TINTIN AMARILLO en MS STARMON SOLAR TRESTEL Riche 14 COLOSSE M ERVEILLE AMIGO ALPES BOLERO en MS 15 SPLENDIDE BOLERO VERMON TROYA Moyennement 13 JAMON KYROS BARBARA KETCH riche en MS 14 JARY VITAMO LACTIMO PETRA Faiblement 13 MONRO BLAZE PERAMONO riche en MS PERAMONO A l inverse les betteraves faiblement riches en MS peuvent tre distribu es enti res voire patur es D sherbage d terminant dans la r ussite de la culture Un traitement de post semis pr lev e peut tre pratiqu avec le GO
8. Negoce Ouest Feredec Unilet Bretagne Plants nues de ies sont vos pratiques Veaux dehors d s 8 jaws pai ia TT un levage qui parie sur la valorisation de la sant ur co de tait 11u1xo1d op SoDUIJIAMOI IP ND9S21 UN 2u8D oig DP 94N1 NO1168D p SILQUDY m PEA OL 2 95 26 0 SAMENG JHSMNVHD WU 900992 620 m gt a 6b 6b 25 86 Z0 DE e9 HE 66 0 AD ma Si EE EL 9 26 20 E EZ EZ 8b Z 20 Pi bus 09 00 YZ 26 20 OZ LE 96 86 Z0 R DE LE 82 26 60 NEO pos 19 LE 60 66 20 EE gt o voooog96zo 066 82 96 20 bz Ob 6 96 20 08 65988620 68 98 v6 66 ZO o OZ vE 66 86 20 YZ 8b L8 96 20 CZ 90 8b 66 20 ZZ ZZ 61 96 Z0 SOWA SUL vb 9 Ob 96 20 is V9 92 DL 96 20 m 29 97 96 z0 9v LL 6986Z0 j 4 ae gt 0 6L 22 96 20 w SNOA ZIYI IP 9Y20 1d SIINJNMI IIUOUO IJE JI9 ISUO D I ZIJIBJUO UOIIEULIOJUI 34n0 In04
9. colte argentine pour conforter cette hypoth se Plut t une bonne nouvelle pour les leveurs bretons Julie RIO CRA Bretagne Service Veille Etudes et Prospective P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 A la d couverte de la bio E Maitriser les adventices Q uelles solutions proposer comme alternatives aux herbicides En s appuyant sur l exp rience des producteurs biologiques l objectif est de transmettre au plus grand nombre les techniques alternatives aux herbicides ayant fait preuve d efficacit Le d sherbage en culture sera demain insuffisant pour limiter le salissement d une parcelle Raisonner sa rotation et soigner l interculture deviennent indispensables du Grenelle de l environnement le plan Ecophyto 2018 vise une r duction progressive de 50 des usages de pesticides dans un d lai de 10 ans Cet objectif r pond autant des pr occupations de sant humaine agri culteurs et consommateurs qu des consid rations de pr servation de l envi ronnement et des ressources Le mod le agricole mis en place dans les ann es 60 o la chimie prenait une place pr pond rante dans les syst mes de cul tures est r volu Les agriculteurs doivent aujourd hui s orienter vers des pratiques conomes en produits phytosanitaires ce qui suppose de renforcer diverses appro ches parmi lesquelles la g n tique le machinsime et l agronomi
10. es avec la norme ISObus tait l un des axes fort de communication de l dition 2009 du salon Alan AAnArAnnnAn a n rl Linne yamaral ne el FSh amhrae AA avirmituvra el Draramna Can Anar Dri ntan y DATIN Pole agronomie productions veg tales des Chambres d AQI iculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Les constructeurs allemands mettent le paquet De nombreux constructeurs Allemands se sont regroup s pour faire progresser rapidement le nombre de mat riels et la sophistication des mat riels fonctionnant avec LISObus y compris des concurrents sur le march Cet effort a t entrepris par les entreprises Amazone Grimme Krone Kuhn Lemken et Rauch Les constructeurs ont ainsi d velopp des structures de menus des masques pour la configuration et des graphismes identi ques afin de permettre aux agriculteurs une utilisation intuitive Les menus de navigation ont t d ve lopp s pour les diff rents types de mat riels comme le chargeur les machines de r colte des pommes de terre ou la charrue par exemple les pandeurs d engrais Pour mettre en uvre le concept les entreprises ont r alis conjointement un terminal virtuel ISObus avec un design ergonomique dernier cri Au del du mat riel un accent particulier a t mis sur les interfaces homme machine Le concept d exploitation r alis a t test avec suc ces en intervertissant les applications des diff rents fabricants La proposi
11. pour biner ou s orienter vers un couvert permanent ou sous couvert C r ales Les r sultats 2009 montrent l importance de tenir compte du risque maladie li son secteur p doclimatique et de choisir ses vari t s en cons quence Les essais sur les r sistances aux produits fongicides confirment galement la n cessit d alterner les mati res actives dans les programmes afin de conserver l efficacit des produits des pr cipitations moyennes de la montaison la floraison des c r ales entrainant une pression maladie faible moyenne selon les zones climati ques Des attaques de rouille jaune sont observ es tr s pr cocement des le stade pi 1 cm sur certaines parcelles et ont jus tifi des interventions pr coces Pour la troisi me ann e cons cutive les essais ont t r alis s en collaboration avec Arvalis et effectu s en r seau sur les 4 d partements bretons Deux th mes principaux ont t tudi s en 2009 Le premier est l tude de l effet de la dose de produit sur les rendements Le second concerne le positionnement des produits et la comparaison de stra t gies a un ou deux passages Pour cha que theme tudi les programmes fongi cides sont compar s deux t moins un t moin sans fongicide et un t moin avec une protection totale afin d valuer la pression maladies et le potentiel de ren dement de l ann e Ces essais sont r alis s sur deux types de conduite
12. ventail des techniques du travail du sol du labour au semis direct Il explicite chaque technique II donne les conditions pour r ussir le sans labour EM Un dossier sans labour Ce dossier est paru dans le TERRA du 31 janvier 2009 Il pr sente des interviews des principaux intervenants du forum agrofutur du 27 janvier De ce fait il passe en revue les dif f rents aspects a prendre en compte pour le travail du sol l agronomie l environnement le temps de travail la qualit des produits l conomie E Un DVD Sol et Vie le travail du sol en question Ce DVD regroupe tousles documents que le p le a r alis s pour l op ration sol et vie a savoir quatre films le docu ment du forum agrofutur du 27 janvier 2009 le guide prati que les techniques culturales sans labour Ce DVD est des tin prioritairement aux conseillers et aux enseignants II per met une utilisation la carte par th matique on a acc s facile ment diff rents supports film diaporama guide pratique m Un dossier couverts v g taux Ce dossier est paru dans le TERRA du 3 juillet 2009 II pr sente une trentaine d especes avec leurs principales carac t ristiques techniques L implantation des couverts v g taux am ne de nombreux avantages au niveau agronomie envi ronnement biodiversit et production de fourrage De plusle 4 programme d action directive nitrate impos la g n ralisa t
13. 05 SANVE RAVENELLE BETANAL AVADEX BW PYRAMIDE DF PREMIER PASSAGE bviter tur mer wriaie el rencudes des ciseaux FLORE GOMPLEXE BETANAL TRAMAT GOLTIX VENZAR risques de phyonici COLZA 06 031 03K6 O1KG 0 5 TARGA 0 31 Ajouter dans o 2 passages 5 i GRAMIN ES ANNUELLES au stage 3 feuilles de gramin es bip R GAGNEZ EN INGESTIBILITE ET DIGESTIBILITE JAMON La r f rence Le mellleur compromis rendement r gularit Rusticit et app tence Adapt e au p turage ATOUTSEM est une marque GRUEL FAYER La Rublonni re CS 93801 Chateaubourg 35538 NOYAL SUR VILAINE CEDEX Pour toute information concemant notre gamme Betteraves Fourrag res Email atoutsemftgruelfayer fr ou T l 02 98 00 86 86 ATOUT 2a Cultivons la performance Tr s bon niveau de rendement SPLENDIDE L alllance de la productivit et de app tence Tr s bonne conservation en silo COLOSSE et tr s bonne app tence Excellente homog n lt des racines Obtention Florimond Desprez Obtention Agri Obtentions Prairies d sherbage pr coce l implantation La pr sence de mauvaises herbes dans les jeunes prairies peut parfois compromettre leur implantation Lorsqu il est n cessaire le d sherbage doit tre r alis pr cocement envahies par des mauvaises her bes au d veloppement tr s rapide Elles peuvent parfois compromettre l im plantation de la prairie par une forte concurrence vi
14. 110 000 graines ha Maxi 12 2 kg ha Maxi 12 kg ha Adaptations du semoir Autres restrictions Utiliser obligatoirement un d flecteur la sortie de la tuy re du semoir pour limiter les missions de poussi res Semis avant le 15 mai Dangereux pour les abeilles ne pasintroduire de plantes attractives dans la rotation Installation de diffuseurs queue de carpe l embouchure des tuyaux de distribution Installation de diffuseurs sp cifiques Limit une application tous les 3 ans sur la m me parcelle 65 70 ha 70 75 ha 45 50 ha L impasse de protection est pr conis e dans les cas suivants absence d attaques de taupins dans le pass secteur favorable au mais parcelles se r chauffant bien peu touch es habituellement mouches Vari t s vigoureuses au d part semis pas trop pr coces mis en conditions favorables terre r chauff e ventuellement semis retard acceptation de quelques pertes une ann e de temps en temps touch s que le milieu A l exception de quelques situations fort risque surtout semis pr coces dans des conditions peu poussantes la protection du semis contre les attaques de mouches peut ne concer ner que les tours de champ Dans les situations risque il est essentiel de choisir des vari t s ayant une bonne vigueur au d part D es impasses posa bles Le risque n tant jamais nul le cout des
15. Quelques nouveaut s en mati re de d sherbage Isard 0 8 Lagon 0 81 Isard Spectrum 1 4 Mikado 0 31 Emblem 0 75 1 kg 0 454 0 64 Pensez additionner les deux passages pour le calcul de I IFT 1 En traitement de pr lev e forte baisse d efficacit sur sol sec ou trop motteux Attention galement dans les parcelles taux de mati re organique lev Tableau 2 D sherbage du mais exemples de strat gies tout en post lev e 1 et 2 passage Post lev e IFT pour 1 passage Mikado 0 5 0 71 Milagro 0 5 0 66 a 0 83 Callisto 0 5 Milagro 0 5 0 66 Mikado 0 5 a 0 7 Equip 1 0 71 a 0 88 Mikado 0 3 Equip 0 6 Cadeli 0 5 0 76 Mikado 0 3 Equip 0 6 Peak 6 g 0 72 Mikado 0 3 Equip 0 6 Banvel 0 2 0 76 Callisto 0 3 Milagro 0 3 I Peak 6 g 0 7 Callisto 0 3 Milagro 0 3 Banvel 4S0 2 0 73 Pensez cumuler les deux passages pour le calcul de l IFT 2 En post lev e pr f rer les traitements sur mauvaises herbes jeunes 2 4 feuilles avec hygrom trie gt 60 3 Avant 6 feuilles du mais Apr sle grand m nage du catalogue phyto des ann es pass es on voit appara tre quelques nouveaut s cette ann e gt PEAK Sorti en 2009 suite l arr t de commercialisation de l ECLAT il reprend le prosulfuron en solo pas de bro moxynil comme dans l ECLAT C est avant tout un pro duit d association de post lev e permettant de renfor cer le concept MIKA MILA sur les poi
16. alis en fin de s minaire a fait ressortir l int r t d une telle d mar che et la satisfaction sur le d roul et la qualit des changes 2010 lancement d Ecophyto Bretagne Ce s minaire a enclench une dynamique positive de la Profession Agricole bretonne sur ce th me Les OPA pr sentes se sont engag es se concerter sur ce projet d s 2010 lors de la n gociation avec l adminis tration pour la mise en place du dispositif Ecophyto en Bretagne et aussi sur le plus long terme pour la mise en uvre d un projet cadre Louis JESTIN p le agro PV Olivier MANCEAU CA 22 R ussir la protection des cultures une n cessit pour produire Le d fi majeur restera la r ussite de la protection des cultures une n cessit pour produire Il s agira de r ussir l adaptation des m thodes de protection des cultures Actuellement on compte beaucoup sur le levier chimie et peu sur les autres leviers la g n tique choix des esp ces et des vari t s le machinisme la biologie l agronomie A partir de 2018 le poids de la chimie sera r duit au profit des autres leviers P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 conomie Conditionnalite PAC L es nouvelles r gles en 2010 Mi janvier 2010 le Minist re de l agriculture a produit une note synth tisant les nouveaut s en mati re de conditionnali
17. azot s issus du soja prot ique ou de mati re v g tale vocation nerg tique Un objectif de 5 000 ha est avanc sous condition d un accompagnement finan cier au d marrage avec une MAE inven ter et estim e environ 200 250 ha an Afin de valoriser au mieux les unit s fer tilisantes de diff rentes origines porcs bovins volailles produites sur le terri toire la proposition consiste mettre en uvre un sch ma de m thanisation en multisites Un objectif de 25 unit s en r gime d claration est envisag en les r partissant sur l ensemble du territoire afin de permettre la transformation des effluents en un digestat utilisable en subs titution aux engrais car l N n ayant pas t d truit Ce digestat pr sente l int r t d tre hygi nis d sodoris et facilement mal trisable car min ralis Globalement les conomies d engrais et de soja sur la zone pourraient se chiffrer environ 1 600 tonnes d N an soit 20 25 N ha an l chelle du bassin Ce sch ma permettrait d atteindre plu sieurs objectifs combin s plus grande autonomie moindre risque de lessivage par le d veloppement d une couverture p renne structuration d une nouvelle ges tion locale des l ments fertilisants ban ques locales digestat extraction de phosphore exc dentaire production lec tricit verte avec des revenus associ s et possibilit de valorisation de la chaleur pour le s cha
18. contr le commande et de mesure entre le tracteur le terminal virtuel bo tier unique du tracteur capable de comman der tous les outils estampill s ISObus l outil voire les applications logiciel les de gestion technique et conomique cartographie des rendements par exemple Un connecteur normalis neuf broches permet de brancher l outil au tracteur Terminal de commande rirtuel I50bus Liaison entre tes deux Hus Can Prise IFOBLS Bus Can sihis de Foutil Le Bus Can et l ISObus g n ralement des changements sp cifi ques couteux distributeurs tuyaux hydrau liques Le syst me de pilotage est alors con u pour le tracteur d sign Le pilo tage automatique Ultra guidance PSR ISO permet d sormais un montage Plug amp Play du syst me de direction pour les v hicules et les machines qui sont qui p es d une interface ISObus sans la n ces Bus Can priv du tracteur sit d une adaptation hydraulique du mat riel Les informations sont chang es entre le syst me de pilotage et le tracteur via ISObus Le syst me de pilotage peut ainsi tre utilis rapidement sur n importe quel tracteur disposant d un terminal ISObus existant La machine donne des ordres Pour la premi re fois des machines de s rie sont pr sent es avec un dispositif permettant de donner des ordres au trac teur Le boitier informatique de l auto chargeuse Pottinger r gule la vitesse d av
19. de P205 biologiquement disponible e 1 ha produit en moyenne 3 700 m d eau en Bretagne et cela repr senterait donc185 g de P ha 425 g P205 Les fuites maxi repr sentent 0 5 de la dose moyenne de fertilisation annuelle environ 90 kg P205 ha dont 1 4 d en grais et 0 005 du stock moyen de phosphore total ha env 9 500 kg P205 ha e Toutes les formes de phosphore ne se valent pas en mati re d eutrophisation On distingue le P particulaire li aux particules de terre et le P bio dispo nible qui est parfois appel aussi soluble C est surtout le P biodisponible qui a un impact Le P issu des eaux r siduaires stations d puration est presque totalement biodisponible de m me que le P provenant d un r seau de drainage alors que le P issu du ruissellement est essentiellement particulaire Vie du p le Simulateur de pluie _ ___T 7 LE ni J 4 II SE po mm h pendant 90 min Bac de simulatian avec ruissellement en cours Li a pra Li a a f ru I s AEAN 2090 al 200 PARY y yt dre JE SO 7 SPRA 7 2201 OOOO ORMO Lat Ff la vu M T af Ay j Va 5 Ra D dr AK gt sb Pa 3 a 900 g P ha an ce qui est le double de ce qui est suffisant pour pr senter un ris que d eutrophisation pour un milieu aqua tique stagnant La teneur en Phosphore des sols n est pas le facteur principal de ri
20. de frottement macroscopique Le but du pro jet est d examiner la possibilit de r duire les forces de friction du sol l aide d ul trasons Pour les essais une dent de cul tivateur est utilis e Son montage sp cial lui permet de vibrer verticalement Les efforts de traction sont observ s avec et sans oscillations et avec diff rentes condi tions de sol de vitesse d avancement et de profondeurs de travail Les forces sont mesur es s par ment selon les trois direc tions L actionneur de la dent est du type pi zo lectrique II produit les vibrations ultraso niques ll est aliment en tension sinu soidale par un g n rateur d oscillation Les premiers r sultats ont t obtenus dans des tests pr liminaires de labora toire une vitesse r duite de 50 mm sec 180 m h Dans cette situation l effort a t divis par plus de trois Le robot attraction num ro 1 du stand de la soci t Amazone Le conflit entre la production de cultures nerg tiques d une part et les cultures alimentaires d autre part repr sentent un d fi mondial Une exp rimentation scientifique soutenue par le minist re f d ral de l ducation et la recherche en Allemagne dans le cadre du cahier des charges Bio nergie 2021 tente de concilier les deux options simultan ment L universit de Hohenheim l Universit en sciences appliqu es d Osnabruck le semencier Hege et la soci t Amazone travaillent en troite collabo
21. de longue dur e apr s retournement de jach res de m me que dans les terres l g res ou expos es au sud Dans les autres situations le risque est plus faible Larve de taupin mais il n est jamais nul Des coups de b che au travers de la parcelle avant l im plantation permettent de v rifier le niveau d infestation au minimum 20 trous sur 30 cm Lorsque la pr sence de taupins est av r e des passages r p t s d outils permet tent de remonter en surface les larves et les exposer aux pr dateurs L es mouches du semis Les d g ts de mouches du semis g o myza et oscinies sont plus anecdotiques Ils sont surtout observ s lors d ann es printemps froids avec des degr s tr s dif f rents selon le secteur g ographique l orientation et l historique de la parcelle la date de semis la vigueur des vari t s Lorsque les conditions climatiques sont peu poussantes de la lev e jusqu au stade 3 feuilles du mais les semis les plus expo s s sont ceux r alis s t t avec des vari t s peu vigoureuses Les parcelles ou zones de la parcelle abrit es du vent sont sou vent plus attaqu es car les mouches s y arr tent pour pondre c est pourquoi les tours du champ sont g n ralement plus Les protections chimiques autoris es pour les semis 2010 Un certain nombre de restrictions et de pr cautions encadrent leur utilisation CRUISER350 FORCE1 5G _ BELEMO8MG pucerons cicadelles Maxi
22. de terre Il est donc forte ment recommand de bien v rifier le r glage et la qualit de la pulv risation avant de commencer le traitement II faut galement r gler de fa on pr cise le posi tionnement et l orientation des buses afin d obtenir une bonne qualit de pulv risa tion et une bonne r partition du produit sur le rang Son co t galement est souvent plus lev qu une bineuse classique Tableau de comparaison des diff rents outils Herse trille Herse trille Houe rotative Bineuse Bineuse 6m 9m 6m 4 rangs 6 rangs posh A EB IE H oue rotative et herse trille un usage limite D autres outils de d sherbage en plein comme la houe rotative ou la herse trille peuvent galement tre utilis s avant la lev e du ma s Ces outils ne sont efficaces que sur des adventices en germination ou au stade cotyl dons ils permettent de retarder le passage chimique en plein ou le d sherbi nage et ainsi supprimer le passage au stade 8 10 feuilles du mais Dans le cas de tr s fortes infestations la pression des adventices sera trop forte pour permettre un bon r sultat Cependant la houe est un tr s bon outil de d croutage du sol lorsqu un orage avec de fortes pluies aura cr une cro te de battance emp chant le mais de lever Malgr son co t lev la houe sera pr co nis e dans cette situation sur une culture de mais en conventionnel Annie Guillermou Claire Marceau P le Agro PV Anto
23. des interventions en v g ta tion d pend de l tat du sol du stade de la culture et de celui des adventices Le choix du mat riel doit tre raisonn en fonction de la structure du sol s il est A la d couverte de la bio battant mieux vaut privil gier la houe rotative la herse trille Dans les par celles o les successions ne permettent pas de maitriser la flore adventice et o les impasses en v g tation sont exclues piloter la culture avec des cartements plus larges permettra d intervenir avec une bineuse l INRA de M recourt sta tion r cemment convertie en AB une des rotations l tude visant l autonomie ali mentaire et en paille se compose de 3 ann es d une association luzerne dactyle suivies de 5 ann es de c r ales et pro t agineux d hiver et de printemps Dans ce type de successions seules les c r ales en fin de rotation sont conduites des cartements de 30 35 cm les premi res tant si besoin hers es Pour ne pas dou bler la densit de semis toutes les sor ties du semoir sont conserv es mais d ca l es et regroup es deux deux N anmoins pour ceux qui choisissent la conversion ou la substitution du chimi que par le m canique la densit de semis de certaines cultures comme le mais devra tre major e de mani re compenser les pertes cons cutives aux interventions en culture Jusqu il y a peu de temps de par les solutions chimiques peu limitante
24. est peu lessivable L tude men e Kergu hennec r alis e dans le cadre d un projet national avec plusieurs partenaires a pour objectif de mesurer les transferts de phosphore sous l effet de la pluviom trie Les ph nom nes observ s seront ainsi surtout li s au ruissellement mais compte tenu des faibles quantit s recherch es les flux issus des syst mes de drainage ne sont pas n gligeables Sur le site de Lanch bo on mesure de 100 a 200 g de P ha an dans les eaux de drai nage 230 460 g P205 an et de 500 700 g de P ha an perdus par ruissellement 1 150 1 610 g P205 an L e phosphore est un fertilisant des U ne fertilisation phosphat e apport e en surface peut tripler les pertes par ruissellement Lorsqu un pisode de ruissellement inter vient apr s un apport r cent 8 10 j de fertilisant phosphat non enfouis les per tes par ruissellement peuvent tre dou bl es ou tripl es Nos observations ont port sur des pan dages de lisier de porc effet particuli re ment net et de fumier de volaille mais Arvalis a rapport des r sultats similaires avec un engrais min ral en surface sur des c r ales Vie du p le L e phosphore observ a la loupe a Kergu hennec Depuis l automne 2006 un dispositif exp rimental de 2 500 m est en place sur la station pour traquer le moindre gramme de phosphore qui quitte les parcelles sous l effet de la pluviom trie Un simulateur
25. grant une marge de tol rance permettant la prise en comte des variations Interparcellaires ce disposi tif est apparu comme permettant de sor tir des a priori sur les bons ou mauvais syst mes seule leur bonne gestion importe L autre int r t de la m thode est de S ins crire dans une d marche de progr s lais sant aux agriculteurs deux ann es pour corriger le tir avant d ventuelles sanc tions E F Banque digestat Nr K x d engrais mir azote de nuisances d efficacit P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Les mar es vertes sont dues a la conjonc tion de facteurs climatiques temp rature ensoleillements printaniers et estivaux de caract ristiques du littoral profondeur courants r siduels transparence et d un apport excessif de nutriments d ori gine terrestre N et P Des ph nom nes d eutrophisation comme les blooms algaux dans les retenues et les estuaires mettent en cause et l azote et le phos phore Dans le cas des mar es vertes de Bretagne selon l analyse de IFREM ER et du CEVA la r duction des apports d azote est le seul levier possible du fait impor tance du stock de phosphore dans les s diments Malgr des incertitudes on consid re que le niveau de concentration atteindre en entr e de bale est de l ordre de 10 mg l de nitrate La r duction massive des flux d azote tr s
26. majoritairement d ori gine agricole apparait donc comme la seule solution pr ventive envisageable Au del des pol miques st riles sur la question des responsabilit s l enjeu majeur est de trouver des solutions effica ces faisables et acceptables par tous II faut viter tout amalgame le pass et le pr sent le local et le r gional le r gio nal et le global La probl matique histo rique d une trop forte densit animale d ou un d s quilibre structurel du bilan d azote n est pas loin s en faut r solue a l chelle r gionale Nous estimons l ex c dent r gional a 70 000 tonnes d azote soit 45 kg ha rapprocher du flux moyen annuel sortant des bassins de Bretagne de 75 000 tonnes avec des pointes 140 000 tonnes en ann e humide par exemple en 2000 2001 Les bassins algues vertes couvrent une grande diversit de situations Certains bassins sont tr s exc dentaires d autres non Ces estimations du bilan d azote par bassin versant restent incer taines il n y a pas de d claration comp table relative l utilisation des engrais min raux les chiffres de r sorption sont peu v rifiables Prendre les moyens d ta blir des bilans d azote fiables l chelle de la parcelle de l exploitation agricole et du bassin versant est incontournable pour les agriculteurs autant que pour les ges tionnaires de l eau Cependant nos tra vaux de mod lisation montrent qu un bassin versa
27. ouvert sur le portail AGRANET depuis d but 2009 C est un logiciel des gestion des cultures accessible par web II permet de g rer ses cultures et de satisfaire toutes les obligations r glementaires plan de fumure cahier de fertilisation registre phytosa nitaire En fin d ann e 2009 on compte pr s de 350 abonn s pour la Bretagne Les abonn s sont particu li rement satisfaits du service rendu on gagne sur plu sieurs tableaux la fois la s curit les donn es sont stock es sur un serveur en mobilit on peut enregis trer partir de n importe quel micro ordinateur et m me par PDA en conformit les mises jour du logiciel sont permanentes sans contrainte pour l abonn en efficacit les fonctionnalit s permettent un enregistre ment rapide Pour ceux qui veulent en savoir plus contacter un conseiller de la Chambre d agriculture ou du Contr le laitier de votre d partement Contact Louis Jestin 02 98 52 49 12 P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 gt LES PUBLICATIONS 2009 DU P LE AGRONOMIE PRODUCTIONS V G TALES M Le guide pratique Les techniques culturales sans labour en Bretagne Ce guide pratique a t r alis pour l op ration sol et vie Il a t diffus lors du forum agrofutur 2009 le 27 jan vier 2009 a Pontivy et lors des fermes ouvertes au printemps et a l automne Ce guide pr sente l
28. printemps comme le mais Le faux semis est plus difficile mettre en D veloppement du Ray Grass selon la date de semis des c r ales Arvalis 2004 40 Abondance AA Ray Grass m AS as ahre 35 30 Diminution de 60 emis du 14 novembre Gestion du Ch nopode selon le mode de semis du mais Leblanc 1996 1000 ondance e 800 EZ Labour semis conventionnel ds Labour faux semis semis d cal 600 400 200 Semis fin avril Fu sn ENS la ko Ta R AA uvre pour les c r ales en Bretagne compte tenu des risques de pr cipitations Le labour permet galement d enfouir les r sidus du pr c dent qui peuvent g ner lors des interventions de d sherbage m canique en cultures retarder la date de semis Pour les c r ales un semis d cal de trois semai nes permet de r duire les lev es d adven tices germination automnale comme le montre l tude men e par Arvalis sur Ray Grass Pour le mais semer en sol r chauff est la priorit pour permettre un d marrage rapide de la culture Coupl a un faux semis le d calage de la date de semis permet de r duire de 65 la densit de ch nopodes Leblanc 1996 La vari t peut galement tre choisie en consid rant sa vigueur au d part et son potentiel de couverture du sol port et surface foliaire Cf graphiques ci contre Intervenir en culture la solution de rattrapage L efficacit
29. r duire de 2 3 la quantit d herbicides uti lis s La d sherbineuse est une bineuse qui p e de buses de pulv risation qui vont trai ter les adventices sur le rang de mais lors du premier passage de la bineuse stade 3 feuilles du ma s Un deuxi me passage P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 LH Py Fr gt T Pa i mm 1 ei a fn Ap 4 ul M EG AS i kry bre 1 E tes 4 a O a gt t as Ta M Ta e Hn de ME i ai a Eh H a La houe est un tr s bon outil de d croutage du sol Elle n est efficace que sur des adventices en germination ou au stade cotyl dons est r alis apr s 8 feuilles du ma s En fonc tion des relev es de mauvaises herbes sur le rang une pulv risation sera aussi effec tu e En l absence de traitement chimique au deuxi me passage il sera n cessaire de r aliser un buttage afin de recouvrir de terre les adventices pr sentes sur le rang Lorsque le binage et la pulv risation sont associ s le passage doit se faire en bonnes conditions de pulv risation hygrom trie temp rature ce qui limite l utilisation de l outil et rend plus d licate sa mise en oeuvre Egalement l utilisation de la d s herbineuse n cessite plus d entretien que pour une bineuse classique En effet lors du deuxi me passage il n est pas rare que les buses de pulv risation se bouchent suite a un d p t
30. r parti sur les quatre d partements bretons de mani re coller le plus possible aux conditions p do climati ques de chaque zone de notre r gion C est partir des r f rences acquises au travers de ce dispositif que nous laborons les messages contenus dans nos publica tions Nous tenons remercier les agriculteurs qui met tent disposition des parcelles pour r aliser les essais Contact Louis Jestin 02 98 52 49 12 P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 090 L op ration Agir sur le prix de revient th me de l ann e 2010 Les charges de m canisation impactent fortement le prix de revient des cultures Les Chambres d agriculture de Bretagne lancent une nouvelle op ration r gionale intitul e Agir sur le prix de revient Cette op ration va se d rouler tout au long de l ann e 2010 Elle comprendra deux volets des t moignages d agriculteurs qui paraltront chaque semaine dans la presse agricole des fermes ouvertes au printemps et l automne Une concertation entre les p les des Chambres d agriculture et les centres comp tables a permis de d finir des indicateurs technico co nomiques partag s Le p le agronomie Productions v g tales intervient sur deux aspects le co t des intrants cultures et les charges de m canisation Contact Jean Yves Porhiel 00 Mesporcelles bilan de la 1 ann e Mes P rcelles est
31. une culture red couvrir La luzerne est galement ligible l aide aux prot agineux Sa produc tion moyenne est de 12 a 15t de MS ha an en 3 4 coupes C est la plante qui produit le plus de prot ines a l ha autour de 2 t ha loin devant le soja ou le pois avec une teneur en prot ines moyenne de 160 g kg MS Elle peut donc r quilibrer des rations riches en nergie Dates de semis fin ao t mi sep tembre possible galement en mars Fauche d s l apparition des bour geons 4 5 coupes par an d avril a octobre 45 50 jours entre chaque coupe Apport de d jections possible la diff rence des autres l gumineuses Prot agineux composition et valeurs alimentaires par rapport au produit brut Tourteau de soja 48 Composition Mati re s che Prot ines Amidon Cellulose EN kcal kg CUD prot ines EMAn aliment granul coq kcal kg CUDa prot ines retenir 140 comme valeur d usage ___ F verole Lupin Heurs color es Blanches Fevita Blanc Bleu 88 5 45 3 207 25 4 26 8 38 3 37 3 11 4 0 6 15 1 940 2350 2170 2220 2170 1 940 87 84 81 81 84 84 2280 2670 2510 2680 2290 2000 SZ 85 80 90 Sources INRA AFZ 2002 Le lupin est le prot agineux le plus riche en mati re azot es m me s il reste inf rieur au tourteau de soja P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010
32. 1 km du siege Un territoire plus herbager que la moyenne d partementale e 85 agriculteurs en engagement individuel e Pression azot e diminu e de 25 en 10 ans en moyenne 160 N tot ha dont 40 min ral Autre Jach re VA Ly Lieue de Greves part des diff rentes cultures C r ales 230 Prairies 15 Le CPA a fait le choix de poursuivre et renforcer les actions engag es dans le BV en partenariat avec la collectivit Un rapprochement avec la recherche appli qu e INRA Chambre d agriculture s est op r et a permis de d boucher sur un programme plusieurs volets gt Un volet recherche avec mod lisation dans une dizaine de fermes pilote d vo lutions de syst mes permettant d attein dre les pertes en nitrates les plus faibles possibles Ce travail devrait aboutir sous 3 4 ans et produire une proposition de nouveau contrat agro environnemental Un volet op rationnel exp rimental afin de r pondre l attente de mise en uvre d actions Les sp cificit s locales production bovine quasi exclusive cul tures c r ali res al atoires ont conduit les agriculteurs afficher une ambition d exp rimenter une forte volution vers des syst mes fourragers tres herbagers La forte r duction de la part de SAU en cultures annuelles contribuera la limitation du risque de fuite d azote Pour faciliter l adh sion du plus grand nombre cette ambition
33. 2009 Ce s minaire a t un succ s sur plusieurs points L es Chambres d agriculture de U ne bonne participation 25 organisations professionnelles agrico les ont particip ce s minaire les 5 Chambres d agriculture de Bretagne Coop de France N goce Ouest ARVALIS l INRA le CRODIP le CERAFEL l UOPLI FUNILET Bretagne Plants la FEREDEC la MSA IBB la FRCUMA la FRGEDA BCL35 BCLO et la Chambre R gionale d agriculture des Pays de Loire quelques exceptions pr s pratiquement toutes les organisations invi t es taient pr sentes On a compt 40 participants soit 95 des invit s princi palement les responsables professionnels car il s agissait avant tout de d finir les orientations sur le sujet D es changes riches plusieurs niveaux La DRAAF a pr sent en d but de s mi naire le plan cophyto 2018 et le projet de sa d clinaison en Bretagne Un premier change s est instaur sur le dispositif a mettre en place en Bretagne en tenant compte des avanc es d ja obtenues dans notre r gion sur cette th matique L essentiel du s minaire s est d roul en interne profession agricole Les chan ges ont port sur les enjeux de la protection des cultures avec moins de phyto le choix d indicateurs pertinents adapt s notre r gion et un projet cadre d actions compre nant plusieurs volets la recherche le d ve loppement la formation et la communi cation Le bilan r
34. 2Pyr0 7 Fand0 5 2 passages Op0 4Pyr0 7 Fand1 Idem T1 Z39 T2 Z61 1 passage Fand1 5 56 E Op0 2Pyr0 7 Fand0 5 2 passages Op0 4Pyr0 7 Fand1 Fand1 DFE 1 passage I Fand1 5 DFE T U 4 _ Fusariose de l pi une faible pression en 2009 bas niveau d intrants ITK3 mais restent l g rement inf rieures aux strat gies deux passages en conduite ITK2 quelque soit la vari t cf graphique ci dessus Le troisi me passage contre la fusariose Tableau 2 gt Investissement fongicide en fonction du prix du bl et de la nuisibilit des maladies attendue TEETH 15806 45 509 100 110 110 120 130 140 est sans effet du fait notamment des condi tions chaudes de juin qui ont bloqu tout d veloppement Le traitement fusariose n est pas rentabilis dans la plupart des cas exception falte de la zone nord Finist re plus arros e la floraison et les teneurs en DON restent la limite de la d tection quelles que soient les vari t s les zones et les traitements D une mani re g n rale concernant la fusariose il faut imp rativement r duire ce risque des l implantation en suivant cer taines recommandations comme allonger les rotations broyer finement et enfouir les r sidus de cultures et enfin choisir des vari t s tol rantes la fusariose Les traitements peuvent apporter un plus mais leur efficacit reste limit e notam me
35. 58 Vari t s sensibles La rouille jaune a t tr s pr sente en 2009 sur les vari t s sensibles roses la pression maladies est plus impor tante en raison d une forte attaque de rouille jaune et atteint les 38 quintaux bruts Les rendements nets augmentent avec la dose de produits jusqu attein dre un palier partir d un investissement de 65 ha cf graphique ci dessous Au dela les gains de rendement ne permettent pas de rentabiliser les investissements en fongicides r alis s Dans le contexte 2009 de forte pression rouille jaune des vari t s peu sensibles la septoriose parmi les vari t s les plus cultiv es en Bretagne ont montr une forte sensibilit cette maladie Les investissements en fongicides opti maux sont 20 moins lev s que les ann es pr c dentes en raison de la pres sion maladie plus faible et de la forte baisse du prix du bl pour la campagne 2009 Les programmes fongicides sont donc raisonner en fonction de deux facteurs la pression maladies et le contexte de prix du bl Septoriose la maladie principale du bl Les enjeux de la protection fongicides sont galement li s aux caract ristiques de la vari t cf tableau 1 ci dessous Tableau 1 3 Des pertes de rendement variables Pression Vari t Vari t s maladies sensibles tol rantes 45 50q 35 409 Le tableau 2 pr sent ci dessous a t r a lis partir des r
36. D AGRICULTUI ARSS FER BRETAGNE Pa A k La E Y sr gt PE i fe k p F F l A dr i 3 x j A RER R maa Recherche Appliqu e ue a j j 3 y i nm a F JF a 3 d re k le 1 m i 1 3 a ga LIT i f y f r JF NT Le w r f i z m Pan i r A sn i a A r i e j a i l Pe La r pu Y AMB a a sk z avec Mes POrcelles je passe l e culture D Cartographie D Pr vision fumure D Gestion phyto D Enregistrements des pratiques D Marges cultures r alisables en quelques clics et tout moment sur votre pocket Bretagne Contr le Laitier CHAMBRES D AGRICULTURE BRE LAGNE Al c ur de votre Bra BOCH mobilit conformit e efficacit Concephion r alisation Sbuo NIKO 02 97 57 B4 21 Photo Nikn RSOE Bretagne septembre 2009 Optimiser les intrants Pour les cultures nous devons acheter les intrants avant de conna tre le prix auquel la culture sera vendue ou valoris e par des animaux Dans un contexte mar qu d sormais par la volatilit le bon sens recommande de viser l optimisation des intrants Ainsi dans le pire des cas si les cours sont bas on pr serve la marge Optimiser les intrants ne veut pas dire minimiser les intrants Au contraire c est une d marche bas e sur des choix techniques faire en partant des r f rences notre disposition Cap AG
37. GO 51 5 JOAO 0 4 PYROS 0 7 BELL 0 6 PYROS 0 7 COMET 0 2 Septoriose alterner les mati res actives La r sistance de la septoriose aux strobilurines est g n ralis e depuis 2007 Pour lestriazoles elle progresse encore cette ann e m me si les efficadt s de nos programmes restent bonnes globa lement Afin de pr server durablement l efficacit des produits et particuli rement du prothioconazole il est souhaitable de ne l utiliser qu une seule fois sur la m me parcelle sur bl comme sur orge et de diversifier les substances actives Produits contenant du prothioconazole JOAO dans MADISON pack et INPUT pack FANDANGO S BANGUY DE JANTIL De m me une seule application de prochloraze PYROS ou de boscalid BELL par campagne pour pr server leur effica cit Alterner les produits et les mati res actives privil gier les associations de produits l utilisation de produits solo pour une meilleure efficacit et notamment en utilisant des pro duits multi sites comme le chlorothalonil Sur triticale un traitement unique posi tionn au stade derni re feuille est sou vent suffisant Seule une forte pression de rouille ou d ol dium peut justifier un traitement pr coce faible dose Le triticale est assez sensible la fusariose et aux mycotoxines en situation a risque Comme pour le bl g rer le risque des l implantation en vitant les pr c dents mais grain en proc dant un b
38. L impact environnemental des pratiques agricoles est tr s encadr Les principales r glementations sont les suivantes La conditionnalit PAC Les prescriptions g n rales et mesures pour pr server l environnement r gle ment sanitaire d partemental RSD pour les petits ateliers r glementation natio nale installations class es pour la pro tection de l environnement La Directive Nitrates Le programme de r sorption des exc dents d azote L usage des produits phytosanitaires Grenelle et EcoPhyto 2018 Il faut noter que les programmes d actions r glementaires men s jusqu ce jour ont t calibr s sur des objectifs d am liora tion de la qualit des eaux brutes en vue de la production d eau potable soit un taux de nitrates inf rieur 50 mg litre Un dispositif compl mentaire bas sur le volontariat Le programme de maitrise des pollutions d origine agricole PMPOA La mise aux normes des b timents d leva ges en adaptant les capacit s de stockage des effluents permet de r aliser les pan dages aux meilleures dates et d optimiser la valorisation de ces engrais organiques en remplacement des engrais min raux Les actions bassins versants Ces op rations sur 47 BV ont permis une r elle avanc e dans les pratiques agricoles bas e sur la valorisation des exp riences r ussies Les r percussions de ces actions se sont tendues bien au del des bassins versant
39. LTIX 2 kg ha dans le cas de parcelles tr s sales domi nantes de matricaires de colza de morel les et d ombelliferes ou avec la PYRA MINE DF 2 kg ha dans le cas de domi nantes de sanve et de mercuriale Dans ce cas un rattrapage en post lev e sur une base de BETANAL TRAMAT huile est toujours n cessaire En postlev e deux possibilit s existent Cf encadr s ci contre gt La technique doses classiques pour les exploitations avec peu de surface de bet terave Cette technique consiste a appli BETTERAVE FOURRAGERE par TEN ADO NM MONERUNE R sistantelaulRhizoctoneiBrun P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 STARMON Tol rante la Rhizomanie Arrachage facile et feuillage tr s sain quer deux traitements 8 10 jours d inter valle Elle est co teuse et manque parfois de s lectivit dose l hectare gt La technique doses r duites elle n cessite une surveillance du champ tous les 2 jours d s la lev e des premi res adventices en parcourant la parcelle une bonne connaissance de la flore au stade plantule et une bonne connaissance du mode d action des diff rents herbicides Le traitement s applique des la lev e des adventices sans tenir compte du stade de la betterave Souvent 3 4 applications sont n cessaires 6 10 jours d intervalle Le traitement se r alise avec un maximum de 200 litre
40. RO est une revue qui permet d optimiser les intrants en Bretagne car elle pr sente les derni res r f rences connues et confirm es par des essais en stations exp rimentales et en r seaux et par les r f rences bretonnes de nos partenaires La Bretagne compte 800000 ha d herbe 450 000 ha de c r ales paille et 430 000 ha de ma s Ce sont les principales cultures de Bretagne qui concernent pratiquement tous les agriculteurs bretons Comme pour les ditions pr c dentes ARVALIS Institut du V g tal a apport sa contribution Bonne lecture Nous avons ins r deux dossiers dans ce num ro l un sur un sujet d actualit les algues vertes et l autre sur le salon agritechnica 2009 pour l innovation Pierre DANIEL Pr sident du p le r gional Agronomie Productions V g tales des Chambres d agriculture de Bretagne Partenaires associ s du P le agro Brualis Institut du v g tal Bretagne Contr le Laitier a R GL ARVAL S m Institut de v geral Contr le Laitier We st Uzi Responsable de la publication Louis Jestin Conception Louis Le Rous Vie du p le 4 Breves dao A ZA RON le In ONZE O OI ER AN RES 4 5 Le phosphore observ la loupe Kergu hennec 6 7 Conna tre la puissance r ellement utilis e du tracteur 8 9 r r xa Actualit s gt Ecophyto Bretagne la profession agricole s engage
41. Z et Chantal GASCUEL ANR Acassya UMR Sol Agro et hydrosysteme Spatialisation INRA Agrocampus Ouest Rennes Une d l gation du p le Agro PV professionnels et ing nieurs s est rendue au salon Agri Technica HANOVRE au mois de novembre 2009 L objectif tait de rep rer l volution du mat riel concernant notamment la r duction de l utilisation des produits phytosanitaires qui nous est demand e dansle plan cophyto 2018 Nous avons t tr s surpris par le gigantisme des mat riels travail du sol r colte pandage fumier et lisier et pul v risation Par contre pour le binage et le d sherbage alternatif nous avons peu trouv de vraies innovations Ce salon est ouvertement tourn vers une agriculture avec peu d hommes qui int gre des techniques et du mat riel pour desinterventions rapides notamment au niveau du travail du sol Pierre DANIEL Pr sident du p le Agronomie Productions V g tales des Chambres d agriculture de Bretagne Depuis pr s de 20 ans les agriculteurs bretons ont investi plus d un milliard d euros en faveur de l environnement Au del du cadre r glementaire ils sont nombreux s tre engag s dans des dispositifs compl mentaires sur la base du volontariat pour continuer produire tout en pr servant la qualit de l eau Pourtant ils sont mis au banc des accu s s dans le dossier des algues vertes Conscients de l enjeu important que repr sente ce pro bl me des a
42. a puis sance disponible sur votre exploitation Le crit re permettant de d finir l emploi de la puissance est le taux de charge TC M thode de calcul du taux de charge Etape 1 Reporter la puissance commerciale en chevaux de chacun de vos tracteurs dans la premi re ligne du tableau 1 ci apr s exemple 100 ch Reporter le nombre d heures annuel effectu dans la seconde ligne exemple 450 h En multipliant la puissance par le nombre d heures et par 0 20 litre ch h vous obtiendrez en der ni re ligne la consommation th orique maximale que vous devriez obtenir si le tracteur travaillait en permanence pleine Vie du p le Les charges de m canisation repr sentent entre 35 et 70 euros par 1000 litres de lait dont 40 pour les seuls tracteurs La question de l utilisation de ces tracteurs se pose Quelle part de leur puissance r elle utilise t on vraiment Ecofuel une tude sur les tracteurs L tude cofuel est une tude r gionale men e par le p le agro PV des Chambres d agriculture dont l objectif est d enregistrer toutes les donn es de consommation de temps et de puissance d velopp es par tous les trac teurs de l exploitation agricole Dans le dispositif le fonctionnement de tous les tracteurs de plusieurs exploitations est d cortiqu seconde par seconde on conna t ains la consommation le r gime moteur la vitesse d avancement l ou til utilis et m me la parcelle et la culture da
43. age du mais WEIR C ombiner le m canique et le chimique une technique efficace Sur mais l association du d sherbage m canique et chimique est une bonne alternative aux strat gies tout chimique La bineuse utilis e dans de bonnes conditions donne de tr s bons r sultats et permet de r duire la quantit de produits appliqu s vironnement et la mise en applica tion du plan Ecophyto 2018 visant a r duire de 50 l usage des produits phytosanitaires vont inciter combiner toutes les techniques permettant de limiter le recours aux herbicides Pour l essentiel ces m thodes alternati ves en culture font appel au d sherbage m canique De nombreuses pistes sont envisageables parmi lesquelles la bineuse la d sherbi neuse la houe rotative ou encore la herse trille Les agriculteurs qui ont souscrit des Mesures Agro Environnementales MAE dont l objectif est de r duire de 40 l indice de Fr quence de Traitement IFT herbicides en contrepartie d aides financi res font appel ces techniques L es conclusions du Grenelle de l en U ne technique prouv e mais des r gles respecter La technique du binage utilis e en com pl ment d un d sherbage chimique en plein va permettre de diminuer la quan tit de produits utilis s et d am liorer la structure du sol en surface Le binage une solution de d sherbage compl mentaire au chimique qui a fait ses preuves Le d sherbage chimique es
44. agineux pour quel systeme d exploitation Le choix d implanter une culture de pro gt Avantages t agineux doit se faire en fonction de plu sieurs crit res syst me d exploitation d bouch vente un organisme collec teur ou autoconsommation caract ristiques p doclimatiques de la parcelle Cf tableau ci dessous Du lupin pour les ruminants Au del de leurs int r ts agronomiques et environnementaux l int r t des prot a gineux reste galement fortement li au contexte de prix des mati res premi res et notamment du soja Le contexte actuel avec la mise en place d un plan de relance des prot agineux est plus favorable aux prot agineux que par le pass Du pois ou de la f verole pour les monogastriques e Les prot agineux en syst me ruminants Dans ces syst mes d exploitation les pro t agineux pourront tre cultiv s sur les parcelles les plus loign es souvent en rotation mais bl en substitution d une c r ale Dans les syst mes d alimentation base de ma s les prot agineux participe ront l quilibre de la ration Pour les vaches laiti res c est le lupin qui s av re tre le plus int ressant en rai son de sa plus grande richesse en mati res azot es 34 Il pourrait tre utilis seul pour corriger les rations base de mais La valeur azot e du pois est peu diff rente de celle d une c r ale 21 de MAT La gt Inconv nients Pr
45. ancement du tracteur en continu en fonction de la taille mesur e de I andain Ainsi la t che du conducteur est all g e et la m canique pargn e des trop for tes surcharges Les ordres donn s par l autochargeuse au tracteur transitent par l ISO bus De m me John Deere propose un round baller capable de stopper le tracteur d s lors que la balle est termin e le cycle se d roule automatiquement sans autre intervention du chauffeur que la surveil lance et la tenue du volant Cap Agro Printemps 2010 Un nouveau syst me de direction pour les tracteurs Avec l augmentation des vitesses auto ris es plus de 50 km h dans certains pays europ ens il est apparu n cessaire d am liorer les conditions de s curit sur la route En effet la direction hydrostati que des tracteurs isole le conducteur de toute sensation physique li es aux condi tions de circulation Il est aussi facile de tourner le volant d un demi tour 40 km h avec un ensemble de 40 tonnes qu en faisant une man uvre d attelage John Deere pr sente le Steer by Wire sys t me de direction qui intervient active ment dans le circuit de pilotage via un contr leur dans un but de s curit et de confort de conduite La duret de rota tion du volant est modul e et angle de braquage limit en fonction de la situation de conduite Par ailleurs le volant est retour d effort comme sur les consoles de jeu vid o afin de transmettre
46. annion il r unit 5 op rations BV plus ou moins r centes dont 3 sont en contentieux eaux brutes Un projet vec ses 8 000 ha la surface agri cole occupe 59 du territoire du bassin versant Les 41 restants sont constitu s par les habitations 13 000 habitants les routes les zones industrielles La zone agricole est relativement homog ne sur le plan p do climatique Elle b n ficie d une pluviom trie lev e et soumise une lame drainante importante 300 a 400 mm an susceptible de cr er un risque de lessivage lev en p riode d inter culture Elle peut g n rer des flux de l ordre de 30 40 N ha an avec des concentrations rela tivement faibles dans les cours d eau maxi 30 35 mgN03 1 Les scientifi ques voquent des objectifs atteindre de l ordre de 10 15 mg l pour cette zone Ce secteur est par ailleurs engag depuis de nombreuses ann es dans une d mar che bassin versant avec des actions collec tives et individuelles plus de 80 des agriculteurs se sont ainsi engag s dans diverses actions contrats d objectifs MAE Un certain nombre d indicateurs montre une volution favorable telle que la baisse des fertilisations organiques et min rales Le BV de la Lieue de Gr ves e 170 exploitations dont 92 bovines 77 laiti res e 8 000 ha de AU e SAU moyenne de 71 ha e Chargement moyen de 1 5 UGB ha SFP e Parcellaire morcel 46 SAU plus d
47. apacit fixer l azote atmosph rique E d rt 3 Cultures moyennement exigeantes en P et K Tenir compte des teneurs du sol n Cas a apport 3 En cas d apport 40 60 u P205 et 80 100 en K20 gt Produits de Pr lev e stricte dose homologu e Pas de solutions anti dicots en post lev e Anti dicotyl dones Nirvana S 4 5l ha gt Antidicots de Pr lev e dose homologu e Post semis pr lev e Centium 36 CS 0 251 ha gt Produits de Post lev e stricte dose homologu e Centium 36 CS 0 251 ha Pr et post lev e Cent 7 0 8l ha Basagran SG 1 4kg ha Challenge 600 4 51 ha D sherbage Produits de pr ou de post lev e dose homologu e Prowl 400 3 ha Anti gramin es en rattrapage Centium 36 CS 0 251 ha Nirvana S 4 5l ha en Post lev e Challenge 600 4 5l ha gt Anti gramin es de Post lev e Ambition ou Agil 1 21 ha Prowl 400 31 ha Ambition ou Agil 1 2l ha Targa D 1 250I ha Exemples de strat gie Etamine 31 ha 1 pr lev e puis si pr sence de gramin es 1 rattrapage antigramin s gt Exemples de strat gies Pr lev e seule 100 dose Pr lev e 3 4 dose post lev e 1 2 dose gt Exemples de strat gie Post lev e 2 passages 1 2 dose 1 pr lev e puis si pr sence de gramin es 1 rattrapage antigramin s gt Anthracnose fonte des semis Anthracnose Wakil XL 0 1kg q Wakil XL 0 2k is 0 1kg q f
48. au conducteur une information repr senta tive de sa conduite r elle L agriculture a une longueur d avance puisque cette innovation n est encore qu au stade de projet sur les camions ou les voitures Un freinage ABS S curit toujours le freinage ABS pr sent par CNH n est pas superflu au vu des vitesses pratiqu es et des charges extr mes v hicul es sur des voiries parfois troites et sinueuses Mais remettons les pendules l heure l ABS ne saura pas compenser les freins sous dimensionn s et non entretenus de la majorit des v hicu les attel s actuellement en service L ensileuse voit les remorques New Holland et Claas proposent des ensi leuse dot es d une vision de la remor que La goulotte et la casquette de l ensileuse s orientent toutes seules pour cracher invariablement a l int rieur de la remorque sans que le conducteur n ait s en pr occuper et ce de jour comme de nuit Un meilleur respect des sols Le t l gonflage est maintenant propos en option usine par Fendt Encore mieux un quipementier de t l gonflage pro pose l ajustement automatique de la pres sion des pneus a partir de capteurs de vitesse de temp rature et d crasement des pneus Travailler le sol avec des ultra sons L id e du projet est d appliquer des oscil lations ultrasonores la surface de contact d un outil de travail du sol a dents Cette vibration r duit le coefficient
49. ces la valorisation grain ou fourrage la productivit et la r sistance aux mala dies helminthosporiose surtout Rendements fourrage et grain de diff ren tes vari t s de mais Le Haut Corlay et Qu ven 2009 Un dossier sp cial vari t s pr sente de mani re plus exhaustive les caract risti ques des principales vari t s de mais Terra N 199 du 18 d cembre 2009 Compte tenu de la gamme importante des vari t s de mais certifi es en agriculture Bineuse biologique en France base de semences biologiques par esp ce www semences biologiques org aucune d rogation n est accord e pour cette esp ce Fertilisation uniquement organique Aucune fertilisation n est n cessaire der ri re prairie de plus de trois ans Pour les autres pr c dents les quantit s sont ral sonner en fonction du pass de chaque parcelle Le mais est une plante qui valorise bien l azote organique des lors que l eau n est pas limitante Sa p riode de v g tation coincide avec celle de la min ralisation du sol Les mati res organiques utilis es doi Herse trille vent provenir en priorit d exploitations biologiques Le mais est moyennement exigeant en phosphore et en potasse La teneur du sol et les apports de d jections fumiers lisiers ou fientes r alis s dans l ann e ou par le pass suffisent dans la plupart des situa tions pour couvrir les besoins en P205 et K20 Le pH est surveiller
50. ction fongicide 2010 nos pr conisations Exemples de strat gies sur orge Le cycle v g tatif de l orge s acc l re de la montaison la maturit La protection fongicide est moins d terminante sur cette culture que sur bl et peut se limiter un seul passage si la pression de maladies est faible jusqu la sortie de la derni re feuille Privil gier des produits efficaces sur rhyn chosporiose et oidium au premier pas sage et des produits apportant un plus W sur grillures ou ramulariose en deuxi me MEET En passage gt Strat gies 1 seul passage dose en I ou kg ha non exhaustifs vari t s peu sensibles Derni re feuille Prix ha FANDANGO S1 MADISON Pack 0 4 0 1 OPERA 0 3 JOAO 0 3 ACANTO 0 3 BRAVO PREMIUM 2 BELL 0 8 COMET 0 2 Helminthosporiose gt Strat gie 2 passages dose en I ou kg ha non exhaustifs Fourchette de doses moduler en fonction de la vari t de la zone climatique et du contexte de l ann e 1 noeud T1 Sortie des barbes T2 FANDANGO S 0 6 0 8 JOAO 0 3 OPERA 0 2 JOAO 0 4 MADISON P 0 3 0 1 50 70 BELL 0 3 0 5 UNIX 0 2 JOAO 0 4 INPUT PACK 0 3 0 3 JOAO 0 2 0 3 UNIX 0 2 ACANTO 0 2 BRAVO PREMIUM 1 BELL 0 3 0 5 COMET 0 2 Exemples de strat gies sur triticale maladies dose en litre ou kg ha Derni re feuille tal e Prix ha OPUS 0 8 PYROS 0 7 BELL 0 8 PYROS 0 7 MADISON PACK 0 6 0 15 FANDAN
51. d gats ventuels devra tre confront au co t de la protection et ce sur plusieurs ann es Les d g ts observ s par le pour centage de plantes touch es sont toujours plus spectaculaires que la perte de rende ment r elle car il y a des compensations par les plants sains Un manque de plants de 10 15 ne se traduit pas par une baisse de rendement significative Au del les pertes existent mais elles sont moins que proportionnelles Un surco t de 50 repr sente la valeur de 700 kg de MS ha soit 5 du rendement Dans ce cas on peut tol rer sans perte financi re une chute de rendement de 5 sur toute la surface tous les ans ou de 20 sur la moiti de la surface tous les deux ans C est peu probable Michel Falchier P le Agro PV Agro bio Conduite du mais en bio La r ussite du mais en agro biologie d pend de diff rents facteurs parmi lesquels la m t o somme de temp ratures la r serve en eau du sol et la maitrise des bio agresseurs adventices et ravageurs ussir la culture du mais dans les exploitations bio requiert d tre vigilant a toutes les tapes de son implantation la r colte Parcourons ces diff rentes phases Apres prairies ou c r ales d hiver dans la rotation Le mais s implante souvent apr s une prai rie temporaire ou une c r ale associ e un couvert hivernal Une destruction pr coce du couvert en place 2 mois avant le semis permet d amorcer sa d c
52. d dans la plupart des cas la premi re quinzaine de mai en Bretagne Densit cartement et profondeur de semis La densit de semis est parfois major e Itin raire du mais et p riodes de d sherbage CE o F Imi CL ru Ci Fu ne iem a bij 3 e E F Tr i br eg a X E a B a I L ma pia ga A re p i r p Sci ai P Janvier F vrier Mars Avril La p Ti Mai Juin Juillet Ao t trille Houe rotative de 10 sur la base des semis conven tionnels pour compenser les pertes li es au d sherbage m canique en culture soit 100 110 000 grains m Les cartements et la profondeur de semis sont les m mes qu en conventionnel soit respectivement 75 cm et 3 4 cm e Mat riel Les largeurs du semoir et de la bineuse doivent tre identiques m mes nombres de rangs Vari t s Le choix de la vari t repose sur les crit res Suivants la pr cocit trouver un compromis entre potentiel de rendement et possibilit s de BY bi Septembre Octobre Novembre D cembre Agro bio Rendements fourrage et grain de diff rentes vari t s de mais Le Haut Corlay et Qu ven 2009 r colte Dans la r gion les indices oscil lent entre 220 et 310 la vigueur au d part est une caract risti que vari tale tr s importante Elle permet de se pr munir des attaques de ravageurs et de mieux ma triser les adventi
53. de faire germer les semences produites et limitent leur nuisi bilit concurrence pour les cultures suivantes 95 des lev es ont lieu dans les 5 premiers centim tres du sol Par cons quent rien ne sert de descendre plus pro fond avec le risque de faire remonter d au tres graines issues d une production plus ancienne Il faut rechercher une structure suffisamment fine chose qui peut tre obtenue avec du mat riel a dents a dis ques Attention n anmoins en cas de vivaces les disques peuvent les multiplier La premi re intervention est souvent r a lis e sit t la r colte et les suivantes deux trois semaines plus tard Exp rience d un r seau de 22 producteurs biologiques bretons Ce r seau est constitu d agriculteurs convertis en AB depuis plus de 7 ans en majorit r partis sur l ensemble de la r gion ayant des syst mes bovins porcs volailles l gumes sp cialis s cultures et des tailles d exploitations variables SAU main d uvre e Pour les c r ales les agriculteurs r alisent en g n ral deux interventions m caniques au stade plein tallage de la culture mars A ce stade le pas sage g n re peu de pertes Pour les semis les plus pr coces un passage est parfois r alis au stade 2 feuilles d cembre selon le salissement Les c r ales qui suivent une prairie font souvent l objet d une impasse La herse trille reste le mat riel le plus utilis Son r glage et la vi
54. de la qualit des eaux bretonnes De plus qua tre responsables professionnels apportent leurst moignages sur l utilisation des phytos sur leurs exploitations Pour se procurer ces documents s adresser votre antenne locale Chambre d agriculture Orientations des travaux du p le Agro PV Le programme du p le est arr t chaque ann e par le comit professionnel du p le compos de 9 lus chambres d agriculture des 4 d partements bretons en prenant en compte trois donn es les besoins des agriculteurs exprim s dans les commis sions locales d partementales et r gionales les orientations des Chambres d agriculture de Bretagne pr cis es dans un s minaire r gional e les objectifs d finis dans le contrat d objectifs sign entre les Chambres d agriculture de Bretagne et le Conseil R gional Le sch ma ci dessous donne un aper u des orienta tions de nos travaux pour l ann e 2009 Travail 6 Comp titivit Environnement 31 Synth se des orientations des travaux du p le Valorisation produits Energie 12 14 0 O 2 900 micro parcelles d essai A ETS Wa 3 N al ly a M j li a KAAN rh 7 4 lb rte e 10 Rz 2900 kie parcelles pour tre repr sentatif de la Bretagne 160 parcelles d essai 2900 micro parcelles tels sont les indicateurs 2009 de l activit recherche appliqu e du p le agro PV Il est noter en plus que ce dispositif est
55. de m canisation sont plus importantes en bio qu en conven tionnel du fait de l utilisation de plusieurs outils herse trille houe rotative et bineuse Le temps de travail li la conduite du ma s est galement sup rieur avec des interventions plus nombreuses pour la pr paration du sol faux semis et le d sherbage m canique II est estim a 8 4 h ha d apr s une enqu te r a lis e dans 17 exploitations en 2006 dossier disponible aupr s de la Chambre r gionale Prot agineux Allonger les rotations avec des prot agineux de printemps Utilis s principalement dans l alimentation animale pour leur richesse en prot ines les prot agineux pr sentent aussi de nombreux int r ts agronomiques Excellents pr c dents des c r ales ils permettent en effet de couper le cycle des maladies et des mauvaises herbes et restituent de l azote Des conomies de charges sont donc possibles sur toute la rotation epuis pr s de 20 ans les surfa ces de prot agineux ne cessent de diminuer en Bretagne pas sant de plus de 45 000 ha en 1991 envi ron 3 000 ha seulement en 2009 Le m me constat est fait au niveau national Face a cette situation un plan d aide a la production de prot agineux a t mis en place pour la campagne 2010 Les montants indicatifs seralent de 150 ha en 2010 de 125 ha en 2011 et de 100 ha en 2012 et r valu s en fonction des surfaces implant es chaque ann e Q uel prot
56. duit un courant alternatif fr quence r glable au moteur lectrique Quels int r ts Pas de fuites pas d usure maintenance facilit e et ventuellement compatibilit avec les futu res piles combustible Le tracteur stan dard de 220 kW a une transmission diesel lectrique avec l lectronique de contr le modernes et les niveaux objectif pour un bon rendement La prise de force avant est aliment lectriquement et sa vitesse de AGRITECHNICA 2007 Le tracteur diesel lectrique Belarus r gime se trouve donc en grande partie ind pendante du moteur combustion interne De la puissance lectrique haute tension continue peut tre transmise Automoteur d pandage de 19 m fonctionne en crabe pour que les chemins suivis par les roues avant et arri re ne soient pas les m mes lls se juxtaposent des utilisateurs externes par le r seau interne du tracteur jusqu 172 KW Automoteurs en tout genre Le terme d automoteur est souvent asso ci aux mat riels de r colte ensileuse moissonneuse batteuse pulv risateur d s ileuse pour la distribution des fourrages Lors du salon Agritecnica avec l volution des volumes et la recherche d une aug mentation du d bit de chantier l automo teur tait d clin dans de nombreuses ver sions transport pandage de fumier pandage de lisier par tuyau au champ pandage d engrais liquide avec enfouis sement remor
57. e Combiner l ensemble des techniques pro pos es n est pas n cessaire cependant C est un gage de r ussite renforc com par la mise en uvre d une seule tech nique prise ind pendamment D inscrivant dans les engagements Caler la rotation la base du syst me Pour limiter le d veloppement de la flore adventice la modification des successions culturales est une possibilit Elle passe par deux voies l alternance des p riodes de semis et donc des cultures permet d viter la s lection et multiplication d esp ces annuelles germination d termin e automnales printani res estivales l introduction de cultures touf fantes ou l allongement des rota tions permet d emp cher la lev e ou le d veloppement des adventices C est le cas de cultures annuelles comme le Bl noir le Chanvre les m langes mais aussi de cultures pluriannuelles comme la luzerne ou la prairie gestion des vivaces par la fauche Cette voie doit tre compatible avec les d bouch s des dites cultures Privilegier le preventif au curratif Durant la p riode d interculture plusieurs strat gies sont envisageables emp cher la lev e ce qui passe par l implantation d un couvert croissance rapide m me dans le cas d interculture courte 2 mois pratiquer le d stockage par les faux semis En cas de forte infestation d ad ventices la campagne culturale pass e les faux semis permettent
58. eante en mati re de pr paration du sol En zone sucri re quelques agriculteurs ont com menc semer de la betterave sans labour TSL mais avec un travail plus profond Comme la graine est petite et que le semis se fait en place il est tr s important de pr parer finement le sol en surface afin que la germination et la lev e se fassent ais ment Il est n cessaire que le sol soit meuble Lors des printemps secs la lev e peut tre irr guli re car il faut beaucoup d eau pour que la betterave puisse percer son enrobage Dans ces conditions Il est conseill de rouler les parcelles Enfin pour que la racine puisse bien se d velopper il est n cessaire que le sol soit travaill en profondeur Fertilisation des besoins lev s La betterave valorise tr s bien les fumiers et les lisiers car son cycle de v g tation est plus long que le mais N anmoins les besoins importants en NPK n cessitent parfois un apport compl mentaire Semis le plus tot possible Si la temp rature du sol atteint 7 10 C et que celui ci est suffisamment bien res suy il est temps de prendre le semoir En effet des essais bretons ont montr qu apres le 15 avril chaque semaine de retard se traduit par une perte de 1 tonne de MS Il faut rechercher une profondeur de semis homog ne de 2 3 cm Les meilleurs ren dements s obtiennent avec des peuple ments de 80 000 90 000 racines soit 100 000 120 000 graines l ha
59. ement dans le Finist re Les revues pr sentent les derni res r f rences connues et confirm es par nos essais en stations exp rimentales et en r seaux et par les r f rences bretonnes de nos partenaires ce M Cap Agro vari t s c r ales 2009 2010 Bretagne Cette publication est le fruit de la collaboration entre ARVA LIS Institut du V g tal et le p le Agronomie Productions V g tales des Chambres d agriculture de Bretagne sur les vari t s de c r ales Elle a t diffus e avec le TERRA du 18 septembre 2009 m Cap agro vari t s mais 2 010 Bretagne Cette publication est le fruit de la collaboration entre ARVALIS Institut du V g tal et le p le Agronomie Productions V g tales des Chambres d agriculture de Bretagne sur les vari t s de ma s Elle a t diffus e avec le TERRA du 18 d cembre 2009 m Fiche technique Du bon usage du glyphosate Cette fiche technique a t r alis e en collaboration avec ARVALIS et Coop de France Ouest Elle a pour objectif de donner aux agriculteurs le mode d emploi du glyphosate dansune optique d un usage raisonn dans le respect de la r glementation vitant en particulier les exc s et I utili sation syst matique M Dossier glyphosate Ce dossier compl mentaire la fiche technique cf ci dessus apporte des pr cisions sur diff rents aspects le mode d action du glyphosate les marges de progr s dans son utilisation l vo lution positive
60. er traitement 21 jours apr s le semis le ma s est au stade 3 feuil les et les mauvaises herbes au stade coty l dons 2 feuilles Les r sultats sont suf fisamment parlants et d montrent clai rement que le fait d attendre permet aux mauvaises herbes de s endurcir vis vis du traitement La double application de Renou e persicaire et ch nopodes 20 P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 post lev e 21 jours puis 35 jours code 21 35 pr sente la meilleure efficacit dans les trois essais L efficacit des trai tements se d grade sensiblement quand on retarde la deuxi me application trai tements 21 42 et 21 49 Cf tableau et graphique page 20 Cette d gradation est encore plus fla grante dans les deux derni res modali t s pour lesquelles le premier passage est repouss a 28 jours apr s le semis le mais est alors au stade 4 5 feuilles et les adventices commencent tre d velop p es Ceci d montre clairement l impor tance du positionnement du premier tral tement Augmenter la dose quand les adventices sont d velopp es Sur ces m mes essais nous avons gale ment voulu tester l effet d une augmenta tion de dose de produit quand la date d application du traitement n est pas opti male c est dire un peu trop tardive Les doses de Callisto et de Milagro sont donc utilis es 0 7 ha au lieu de 0 5 p
61. es m Divers gt le maintien des productions animales 70 Gel existantes afin de pr server le potentiel 60 MCPF conomique E Prairies gt la n cessit comme pour Lannion de 20 coa limiter au maximum le risque de perte 40 E Ma s d azote en hiver et donc d optimiser la C r ales 2epaille fOis la p riode d interculture et de r duire 30 de AA les reliquats d azote dans les sols avant 20 lessivage ini gt enfin chercher valoriser au mieux N d origine animale ou v g tale dispo 0 nible sur le territoire consid rant la Projet Le projet vise r duire la part de mais et de c r ales d hiver au profit de cultures p rennes herbe r sorption des exc dents comme abou tit en limitant certains intrants engrais chimique et soja avec un objectif d une plus grande autonomie P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Deux pistes d action majeures sont envi sag es agir sur l assolement global cf illustration ci dessous du territoire en diversifiant la sole c r ali re et d ve lopper des cultures p rennes en convertis sant une partie des cultures annuelles Les CPF cultures p rennes de fauche gra min es luzerne auraient selon le potentiel et la fonctionnalit environne mentale des parcelles deux vocations possibles production de prot ine v g tale en substitution aux compl ments
62. es actions En effet la Profession a choisi d tre offensive sur ce dossier soucieuse entre autre de ne pas revivre le traumatisme des BV contentieux mais aussi consciente de ses responsabilit s et de la n cessit de redonner de la s r nit dans ce d bat en esp rant viter la surm diatisation de ces derniers mois Pour avancer les agriculteurs r unis en comit professionnel CPA et avec l appui de la Chambre d agriculture se sont donn quelques principes pr alables travailler sans tabou avoir des objectifs ambitieux mais r alistes revendiquer une prise en compte de tou A a 4 L 4 4 4 A a q i i SS AA I SR hell 4 i m I i m i pa z R A k A L k KU k AA 4 1 b b i i s T M ut L k e RNE NL X 1m i qe La gestion des assolements de l interculture et des fertilisants au coeur de la r flexion tes les sources de nutriments agricoles ou non adapter les mesures a chaque territoire dans le cadre d une vraie exp rimenta tion privil giant des actions de d ve loppement et vitant toute g n ralisa tion Obtenir en fonction des besoins les adaptations r glementaires n cessaires la r alisation des objectifs ainsi que l accompagnement financier indispen sable travailler dans la dur e et partager les projets avec tous les acteurs agricoles ou non enfin accompagner ces mesures pr ventives d une
63. es d g ts de gibiers sangliers prendre contact avec la f d ration de chasse d partementale R colte et utilisation gros carts de rendement En ensilage de 30 35 de MS ou en grain les d bouch s sont multiples que Approche conomique et temps de travail Rendement grain q ha Prix de vente q Produit ha Semences Fertilisation D sherbage m canique Autres traitements Travaux par tiers ce soit pour les ruminants ou les mono gastriques Les rendements sont tres varia bles entre zones p doclimatiques et selon les ann es somme de temp ratures et pluviom trie Ils oscillent g n ralement entre 35 et 90 q ha en grain et entre 8 et 16 t MS ha en ensilage Cf tableau ci dessous Pour tous compl ments d informations concemant les valeurs alimentaires contac tez le p le Herbivores au 02 96 79 21 63 Pour en savoir plus contacter les conseillers bio de votre d partement Des fiches tech niques sont galement disponibles pour d autres cultures en AB bl triticale f ve role pois m langes c r aliers luzerne sar rasin Jean Luc Giteau et Beno t Nezet P le Agronomie PV Manuel Lacocquerie CA 22 Anne Audoin 25 260 a 300 0 avec d jection 120 hors d jection 200 4 interventions herse houe 2 passages de bineuse 190 Charges de m canisation en bio ATTENTION aux comparaisons avec les r sultats conventionnels les charges
64. et viter toute fragilisation conomique des exploitations en place un chiffrage pr cis des moyens financiers indispen sables t r alis des investissements en am nagements n cessai res au d veloppement du 4 p turage parcours cl tures bar ri res contention du mat riel indi viduel ou collectif n cessaires l exploi tation la r colte le stockage voire le s chage d herbe Pa railleurs une r flexion est en cours pour d velopper une fili re de fourrages d shydrat s afin la aussi de valoriser plus de surfaces en cultures p rennes Au dela des investissements le projet propose d accompagner les co ts de fonc tionnement via la mobilisation forte des MAE existantes SFE ou BIO Un appui LJ E E LJ r individualise Enfin un tel projet d exp rimentation n cessite que chaque agriculteur puisse b n ficier d un appui technique indivi dualis afin que chacun mesure toutes les incidences de cette r orientation de syst me fourrager et s engage sereine ment dans cette volution Une r flexion sur la r organisation fonci re et parcellaire sera conduite par ailleurs afin de faciliter l acc s au p turage P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 de SAGE est en cours d laboration avec une strat gie deja vot e ses 65 000 ha de SAU 1 900 exploitations o toutes les pro ductions animales et c r ali
65. et pendant la floraison Produits possibles dose homologu e Karate K 1 25 Bruches surveiller d s stade jeunes gousses 2 cm si T gt 20 C Produits possibles dose homologu e Talstar 0 11 Pucerons verts surveiller partir de la floraison les plus pr judiciables Produits possibles dose homologu e Karate K 1 25 Pirimor G 0 75kg Fin juillet d but ao t grains a 15 16 d humidit norme 14 Fin ao t grainsa 15 16 d humidit Ao t septembre selon les vari t s graines 14 15 d humidit Moissonneuse batteuse doigts releveurs en cas de verse Coupe allong e type colza contre batteur ma s grille trous ronds Moissonneuse batteuse dassique 55 60 q ha li dimat profondeur sol 45 55 q ha li pluviom trie profondeur sol 25 35 g ha SCIENCE Les des rendements r guliers Fa Betteraves Betteraves fourrag res La betterave fourrag re donne des r sultats sup rieurs et plus r guliers que le mais de 2 5 tonnes de mati re s che qu il fasse chaud et sec ou froid et humide App tant et riche en nergie ce fourrage retrouve un int r t depuis le d couplage des aides PAC Le binage compl te avantageusement le d sherbage chimique des betteraves fin avril en conditions s ches Si la lev e a t chelonn e avec les semences enrob es elle n en est pas moins rest e homog ne Globalement le d sherbage a t bien ma tris sauf en a
66. ge de diff rents produits fourrages co produits organiques reduction de gaz a effet de serre valori sation d une partie des algues Pour tre op rationnel et cr dible ce dispo sitif n cessite une adaptation r glemen taire qui pourrait se traduire par une trans parence sur les flux d azote Afin de sortir de la suspicion permanente et s inscrire dans un nouveau sch ma d en Fumiers de raclage Lisiers porc engrais R sidus de culture Cultures p rennes ansiiaga herbe Algues vertes S kk cadrement des pratiques il est propos d exp rimenter une d claration indivi duelle annuelle des flux d azote engrais d jections composts digestat au niveau a la fois des fournisseurs et des utilisateurs Ces d clarations conditionn es une nou velle logique des contr les n cessitent cer taines adaptations r glementaires adap tations ICPE prise en compte N r el et devraient conduire repositionner le PPF dans sa fonction premi re d outil tech nique et moins d outil r glementaire et administratif Conscient de la n cessit de r duire les reliquats azot s avant l hiver et faisant le constat de l efficacit limit e du dispositif de contr le actuel il est propos d exp ri menter un dispositif de suivi de reliquat d azote potentiellement lessivable l ins tar du dispositif wallon Bas sur un r seau de fermes et de par celles de r f rence int
67. grobiologie car les condi tions pluvieuses de juin ont perturb les d sherbages m caniques Sur le traitement chimique quelques parcelles ont t br l es par les applications compte tenu de la forte amplitude thermique de mi mai Enfin la betterave n a pas souffert de l ex c s d eau centre Bretagne 450 mm d eau en mai juin juillet avec 20 j mois plus de 1 mm de pluie et du manque de temp rature Au contraire elle a fait beau coup de feuilles D autre part les mois de septembre et octobre tr s ensoleill s lui ont permis de s enrichir en sucre et en mati re s che Cependant fin septembre quelques atta ques de rouille brune cercosporiose et ramulariose ont t observ es n cessitant l application de fongicide attention il est pr f rable de choisir des vari t s peu sen sibles a ces maladies Rendements 2009 tres bon cru Les rendements en betterave fourrag re sont sup rieurs au mais de 2 a 5 t de E n 2009 les semis ont t r alis s M S ha les ann es s ches comme 2003 a 2006 En effet contrairement au mais la betterave n accuse pas le manque d eau elle est capable de se rattraper apr s une s cheresse et de faire du rendement Les rendements r guliers tous les ans et le nouveau syst me de DPU redonnent un gain d int r t a cette culture Travail du sol un lit de semence signer Comme toutes les plantes racines la bet terave fourrag re est tres exig
68. ha de SET e 1 ha de jach res faune sauvage y comprisjachere fleurie 1 ha de SET e 1 m tre lin aire de Haies 100 m de SET e 1 m tre lin aire d alignement d ar bres 10 m de SET e Arbresisol s 1 arbre 50 m de SET e Lisi res de bois bosquets 1 m tre 100 m de SET e Bordures de champs couverts spon tan ou implant de 1 a 5 m entre 2 parcelles 1 chemin et une parcelle ou entre 1 parcelle et une lisi re de bois 1 ha 1 ha de SET P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Actualit s M arche du mais Un bilan a l quilibre des prix en repli Jusqu la fin de la r colte les conditions climatiques auront inqui t les acteurs du march La r colte globalement satisfaisante l chelle mondiale et fran aise ne participera pas soutenir plus fortement les prix le mais tant tout de m me la c r ale la mieux plac e D J apr s le dernier rapport du CIC paru le 21 01 2010 les pr visions de production de mais s leveraient 791 Mt pour une consommation de 803 Mt confirmant les estimations de l USDA qui ont cr la sur prise avec le r ajustement la hausse de la production am ricaine 334 Mt et donc des stocks et ce malgr les probl mes cli matiques rencontr s au moment des r col tes Le bilan mondial des c r ales est tr s lourd sauf pour le mais pour lequel il est plus proche de l quil
69. ibre Selon le COCERAL donn es de d cem bre 2009 la r colte de ma s europ enne serait de 56 3 Mt soit en baisse de 7 par rapport l an dernier Selon les bilans pr visionnels de FranceAgriM er du 13 janvier la produc tion fran aise de mais est valu e 15 Mt estimation inf rieure celle d Arvalis AGPM de 15 6 Mt Les inqui tu des de la fin de cycle ne se sont pas concr tis es puisque la r colte fran aise est fina lement satisfaisante en quantit 93 5 q ha en moyenne nationale et en qualit d apr s Arvalis Les tonnages collect s de plus de 13 Mtne contribueront donc pas l alourdissement du stock de report de 2 Mt en raison des bonnes perspectives de ventes sur l Union Europ enne dop es par la demande de l Espagne et des pays du Nord commu nautaire et cela en l absence momenta n e de l offre ukrainienne N anmoins la demande en mais ne sera pas soutenue par l industrie de l alimentation animale qui enregistre une baisse des fabrications et donc des incorporations de c r ales 12 en mais sur les dix premiers mois de 2009 d apr s Coop de France Nutrition Animale Du fait d un prix tr s attractif les fabricants d aliments ont pr 160 150 140 130 120 110 100 Prix Euronext du ble et du ma s Mais Euronext Bl Euronext 14 01 2010 137 75 t 128 75 t S SE S E SSES Une tendance haussi re des prix du mais de
70. idier Debroize Bertrand Decoopman Michel Falchier Jean Luc Giteau Annie Guillermou Daniel Hanocqg Pierre Havard Louis Jestin Louis Le Roux Claire Marceau Sylvie Tico CA 22 dean Paul Hamon Manuel Lacocquerie Olivier Manceau CA 29 Benoit N zet CA 25 Patrick Edeline CRAB Elisabeth Conqu Julie Rio INRA Patrick Durand Chantal Gascuel Laurent Ruiz rvalis Institut du V g tal Antoine Bray Eric Masson Photo Chambres d agriculture de Bretagne Mise en page TT Impression Corlet roto 53 Ambri re les Vall es Prix gratuit pour les agriculteurs bretons Contact St phanie v tal Tel 02 98 52 49 11 rabzh finistere chambagri fr Financement Chambres d agriculture de Bretagne Conseil R gional de Bretagne Etat Europe P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 pz mua ii said is ET STE ET ace TN BRETAGNE Vie du p le Vie du p le se sous Synagr rubrique Cap Agro Cap Agro gt LES PUBLICATIONS 2009 DU P LE AGRONOMIE PRODUCTIONS VEGETALES E Cap agro Printemps Automne 2009 L dition Printemps 2009 est parue en fin janvier 2009 et celle d automne 2009 est parue en d but octobre 2009 Elles ont t diffus es 28 000 agriculteurs bretons par deux canaux en suppl ment de TERRA danstrois d par tements 22 35 56 et aux adh rents des comit s de d ve lopp
71. ine Bray Arvalis 8 12 km h 8 12 km h 12 20 km h 6 sur c r ales sur c r ales si pulv 15 si pulv 15 A partir de A partir de 80 100 ch 70 90 ch 70 ch 90 ch 3 4ha heure 5 7 ha heure 4 6ha heure 2 ha heure 5 000 7 000 11 000 5 000 12 ha 15 ha 23 ha 15 ha 21 ha 2 l ha 2 l ha 3 l ha 2 5 l ha 2 5 l ha horstraction et hors MO 80 100 ch 3 ha heure 11 000 si autoguid e P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 WEIR Ravageurs du semis de mais Eviter le traitement syst matique La protection insecticide ne doit pas tre syst matis e Le risque de taupin est accru apr s un retournement de prairies de longue dur e Les attaques de mouches du semis g omyza et oscinies Sont surtout constat es dans le cas de mais peu poussants et sont g n ralement localis es dans les rangs de bordure Lestaupins Les taupins les plus souvent observ s dans notre r gion ont une vie larvaire de 4 ans Les d g ts de taupins sont essentiellement li s la remont e des larves de 3 et 4 ann e soit par destruction de la graine ou par perforation du collet de la plantule Ils sont g n ralement localis s dans la par celle La perte est bien proportionnelle la surface touch e Le risque est particuli rement important pour les parcelles en rotation avec des pral ries
72. ion des couverts pendant l hiver en Bretagne EM Un dossier colza Ce dossier est paru dans le TERRA du 10 juillet 2009 Il pr sente les r f rences 2009 adapt es la Bretagne pour le colza Il a t r alis en collaboration avec le CETIOM Il passe en revue les vari t s l implantation et les op rations r aliser en automne E Deux fiches techniques nergie Lune traite du miscanthus l autre de la valorisa tion nerg tique du bocage breton Ces fiches pr sentent de fa on synth tique 4 pages les r f ren ces sur ces th mes Celles ci proviennent principa lement d op rations conduites en Bretagne dans A lesquelles le p le est impliqu Pour se procurer ces documents s adresser a votre antenne locale Chambre d agriculture Kergu hennec BIGNAN 56 Station Exp rimentale Agronomie Productions V g tales 48 ha de cultures conventionnelles ma s c r ales colza pois jach re l gumes d industrie cultures nouvelles lin chanvre 6 ha en agro biologie ma s c r ales colza pois Essais Fertilisation phospho potassique Techniques Sans Labour T S L en conventionnel et en agrobio Transferts de produits phytos Itin raires techniques Cultures nerg tiques Contact Alain COTTAIS 02 97 60 44 16 cultures qui a la particularit d tre fortement fix par les particules du sol ll
73. it les inter ventions de d sherbage m canique doi vent tre r alis es en condition s che et sur adventices jeunes stade cotyl don 2 feuilles vraies L utte en pr ventif contre les maladies et ravageurs Helminthosporiose et Charbon des inflorescence choisir des vari t s tol rantes en particulier dans les secteurs ou ces maladies sont d clar es Agro bio Pyrale l utilisation de trichogrammes parasitoide de l ordre des Hym nopt res est efficace Taupin et limaces La lutte doit tre pr ventive en vitant l accumulation de mati res organiques insuffisamment d compos es avant le semis et les sols creux Il est n cessaire de multiplier les interventions pour casser le couvert et son syst me racinaire avant le labour et rap puyer l horizon de surface e Corvid s Choucas des tours et Corneille noire selon les secteurs g o graphiques et l environnement des parcel les les d gats de corvid s peuvent tre importants en AB du semis au stade 5 feuil les du mais Diff rents dispositifs d effarou chement visuels sonores ont t tes t s pour les corvid s Rares sont ceux qui offrent une bonne efficacit dans le temps ph nom nes d accoutumance La meil leure protection est obtenue gr ce une association de dispositifs d plac s tous les 2 jours NB le choucas des tours est une esp ce prot g e et sa r gulation fait l ob jet de d rogations Pour l
74. its afin d optimiser la dilution lors du rin age Sur cet appareil le terminal de commande calcule les quantit s d eau et de mati re active juste n cessaires pour les r servoirs sp cifiques m me si ils ne sont pas encore compl tement vid s II comptabilise les volumes morts En effet l application logi cielle avec l aide du GPS peut d terminer la zone restant traiter de fa on pr cise et les quantit s d eau et de mati re active Si ces quantit s sont dos es exactement les quantit s r siduelles peuvent tre r dui tes au minimum Des rampes t lescopiques Egalement en lien avec le GPS certaines rampes sont t lescopiques et permettent de s adapter la forme de la parcelle Elle sont galement capables de g rer les four ri res en triangle par une commande auto matique des tron ons de rampes Des rampes visibles en soir e L utilisation de la forte intensit lumineuse des LED diode lectro luminescente per met de rendre la rampe les tron ons et les jets du pulv risateur facilement visibles en soir e et pendant les pulv risations noc turnes Ainsi des buses bouch es ou fonc tionnant mal provoquant une mauvaise r partition peuvent tre facilement iden tifi es dans la mesure o elles sont visi bles Elles peuvent tre nettoy es ou chan g es De m me la culture est visible par le conducteur m me au del de la largeur de travail de l quipement Il peut r agir notammen
75. les l ments p rennes du pay sage sur les parcelles ou jouxtant les par celles dont l agriculteur a la ma trise Une liste de particularit s topographiques est tablie au niveau national avec une r gle de valeur d quivalence voir tableau Par exemple l quivalent d 1 ha d l ments topographiques est obtenu avec 50 ares de bandes enherb es ou 100 m de haies Un seuil minimum est fix au niveau natio nal il doit tre de 1 de la SAU en 2010 3 en 2011 et 5 en 2012 Si cette valeur peut tre une contrainte en Beauce elle n en est pas une pour notre r gion o cours d eau et bocage d terminent des quivalences bien sup rieures Des incon nues subsistent plut t ce jour sur les modalit s de d claration sachant que la pr cision des photos a riennes rend leur usage incontournable noter enfin que les exploitants avec moins de 15 ha de SAU ne sont pas concern s par cette BCAE Patrick EDELINE R seau environnement CRAB Sylvie TICO P le Agro PV Les principales particularit s topographiques avec leur surface quivalente en SET liste non exhaustive e 1 ha de prairies permanentes landes parcours situ esen zone Natura 2000 2 ha de SET e 1 ha de bandes enherb es p rennes en bord de cours d eau ou hors bords de cours d eau en bandesde 5 metres 2 ha SET e 1 ha de jacheres melliferes 2 ha de SET e 1 ha de jach resfixes hors gel indus triels en bandes de 10 a 20 m de large 1
76. lgues vertes les agriculteurs bretons ont d cid de se f d rer autour d un projet commun d actions ambi tieuses adapt es chaque territoire Dans l int r t d une Bretagne agricole forte de sa capacit produire l ensemble des instances Chambres d agriculture syndicats coop ratives organisations professionnelles repr sentant 170 000 emplois g n r s par l agriculture et l agroalimentaire en Bretagne s unissent autour d un m me projet produire durablement dans le respect de l environ nement Le Comit Agriculture Positive CAP Bretagne cr en novembre 2009 a pour objectif de communiquer pour valo riser lesinitiatives prises par les agriculteurs bretons dansle domaine de l environnement et plus particuli rement vis vis des algues vertes Yves Marie Beaudet Pr sident CAP Bretagne CAFBretagne Comit pour une Agriculture Poste dans la diversit des cibles pour lesquelles les constructeurs expo sent On sent nettement que les perspec tives commerciales actuelles sont tourn es vers les grandes plaines de l Europe de l Est et de l Asie centrale Les nombreux mat riels de semis direct de tr s grande largeur c toient des tracteurs d passant les 800 ch et des coupes de moissonneu ses batteuses atteignant quasiment les 15 metres de largeur Difficile d imaginer une telle m canisation dans les exploitations bretonnes et de rivaliser sur la producti vit par travailleur dans ces conditi
77. n de la teneur en nitrate des eaux superficielles en Bretagne 40 00 30 00 20 00 10 00 0 00 r PE a a a a a a a a a a a a P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 La profession agricole Dossier algues vertes mobilise et volontariste La venue en Bretagne l t dernier sur la plage de St Michel en Gr ves de plusieurs membres du gouvernement a donn un nouveau retentissement la question des algues vertes Cette probl matique a d pass la seule sph re environnementale de par son extr me m diatisation et en raison des accidents li s aux cons quences et la gestion des chouages ne mission interminist rielle a t d sign e afin d tablir des propositions non connues lors de la r daction de ce dossier dans trois directions la s curisation des sites impact s le ramassage en mer les mesures pr ventives afin de limiter le ph nom ne par une r duction des apports de nutriments la mer E xperimentation sur deux zones Deux zones la Lieue de Gr ves dans le secteur de Lannion et la baie de St Brieuc ont t retenues afin d y conduire l ex p rimentation de mesures pr ventives et curatives ramassage Les projets des deux territoires tests sont d taill s dans les pages suivantes Chaque territoire avec ses sp cificit s et son histoire a t amen proposer ses propr
78. nation on peut utiliser sur ray grass du MIKADO a la dose de 0 5 l ha Cf tableau ci dessous Le cas particulier des ray grass trefle blanc En pr sence de tr fle blanc il faut atten dre le stade 2 3 feuilles vraies de la l gu mineuse pour appliquer le d sherbant mais le nombre de sp cialit s commercia les autoris es a la fois sur ray grass et trefle est tres limit Le BASAMAIS r pond bien cette double homologa tion mais son spectre d efficacit limit ne permet pas de r pondre toutes les situations L utilisation de MIKADO 0 5 est tol r e pour d sherber pr cocement le m lange Ray grass tr fle blanc par ticuli rement en pr sence de rumex de germination Au del du stade 3 feuilles vraies de tr fle sa s lectivit est suffi sante pour ne pas prendre de risques pour la jeune prairie Michel Falchier P le AgroPV Quelques exemples de produits utilisables sur gramin es pures au stade 3 feuilles X usage non autoris SITES P TCROURGES 3008 den a LP PERS le r Czy pe By H m pe i haria Covers pe GU fe se JDE P m ppn Tje N eutrophisation littorale base d ulves est connue depuis long temps et dans de nombreuses r gions de par le monde Son apparition n cessite la combinaison de plusieurs param tres une configuration adapt e des sites baies aux eaux claires et peu profondes autorisant une bonne p n tra tion de la lumi
79. nnes conditions hygrom trie stade des mau vaises herbes pulv risateur en bon tat Cf tableau 2 ci dessous Deuxi me passage de post lev e une intervention plus cibl e Apr s 8 9 feuilles du mais les relev es ne peuvent plus concurrencer le mais Le premier passage r alis sur jeunes adven Tableau 1 D sherbage du mais exemples de strat gies pr lev e post lev e 1 passage Pr lev e Om 2 passage Post lev e Callisto 0 3 0 51 0 2 0 33 Dipl me 1 kg 1 Bor al 0 85 kg Mikado 0 3 a 0 75 0 2 a 0 5 Isard 1 Prowl 2 Auxo 0 5 a 0 75 0 3 a 0 5 ETE 010 2 passages n cessaires gt Construction d un programme de post lev e CALLISTO 0 5 MILLAGRO 0 5 ou MIKADO 0 5 7 ou EQUIP 1 ou Bromoxvnil Renou e Mercuriale CADELI EMBLEM SAXO PEAK ou hormones Liseron BANVEL 45 STARANE 200 CADENCE CAMBIO CALLISTO 0 3 MILAGRO 0 3 ou MIKADO 0 3 Y ou EQUIP 0 6 tices permet une bonne maitrise de l en semble de la flore En raison des relev es possibles avant le stade 6 feuilles du mais un deuxi me passage cibl ou un binage vient en compl ment On utilise les m mes produits que pr c demment en choisissant plus particuli rement le ou les produits les plus adapt s la flore la plus pr sente Michel Falchier P le Agro PV Antoine Bray pr Arvalis Le liseron des haies une vivace en forte recrudescence
80. ns laquelle l outil travaille loca lisation GPS Les exploitations suivies sont pour le moment des exploitations laiti res D autres types d exploitations seront tudi s progressivement exploi tations porcines l gumi res semis direct charge ou pleine puissance exemple 100 x 450 x 0 20 9 000 litres an gt Etape 2 Relever dans votre comptabilit la consommation r elle de carburant annuelle moyenne Exemple 2 900 litres gt Etape 3 Diviser la consommation r elle par la somme des consommations th oriques et multiplier par 100 Vous obtenez le taux de charge TC moyen de vos trac teurs Exemple TC 2 900 9 000 x100 32 Etape 4 Situez vous dans le tableau 2 pour con naitre vos marges de progres Attention Un taux de charge de 100 est Impossible II y a toujours une part de temps en man uvre et au ralenti II est Tableau 1 Calcul de la consommation th orique maximale des tracteurs Tracteur Tracteur 1 Tracteur 2 Tracteur 3 exemple Puissance en cv 100 Utilisation annuelle en heures Consommation pleine charge en I ch h 0 20 0 20 0 20 0 20 Consommation th orique tracteur maxi en litre 9000 P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Tableau 2 Repere sur le taux de charge Taux de charge gt 60 Puissance bien valoris e Entre 30 Gains possibles et 60 Situations a viter coh rent e
81. ns le cadre du projet recherche Acassya http www inra fr acassya que nous menons sur ce bassin versant nous cher chons en partenariat avec les acteurs locaux en particulier les agriculteurs concevoir des syst mes de cultures qui ne perdent pas plus d azote qu une for t renforcer le r le des l ments du pay sage zones humides lin aires bois s optimiser l utilisation du foncier agricole tout en pr servant des syst mes de pro duction agricole viables Il n est donc pas vrai que le simple respect des lois suffit doivent s engager rapidement car on sait qu un nouvel quilibre hydrologique bio g ochimique cologique et humain et donc la disparition des mar es vertes mettra du temps s installer Plus g n ralement Une agriculture raisonnablement produc tive sans pertes d azote ni dans l eau ni dans l air est inventer et c est d ailleurs un d fi plan taire le cycle d azote global a t profond ment perturb par le d ve loppement de l agriculture moderne et les cons quences de ces d s quilibres sur le climat la biodiversit la sant humaine et celle des cosyst mes sont graves multiples et se sont install es pour longtemps Cette question mobilise une importante com munaut de chercheurs dans le monde voir http www initrogen org ou http www nine esf org node 204 les r ponses ne sont pas simples Patrick DURAND NitroEurope Project Laurent RUI
82. nt forte dominante agricole qui respecte la r glementation produit des eaux entre 30 et 60 mg l de nitrate selon les milieux les climats et les syste mes agricoles Autrement dit la r gle mentation reste tout juste acceptable pour un objectif d eau potable et tr s au deca de ce qu il faudrait pour limiter la prolif ration des algues vertes Il faudra donc n cessairement aller plus loin dans ces bassins versants tendre vers l quilibre de la fertilisation est galement incontour nable Voir graphique page 44 Pole agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 AGRITECHNICA 2009 Dossier algues vertes qu une solution simple existe d j ou qu interdire les levages hors sol r sou drait le probl me Il est vrai que de pro fonds changements de syst mes techni ques de repr sentation sociale de prise en compte de l environnement sont n cessaires M ais quand on consid re les mutations op r es par l agriculture au si cle dernier singuli rement en Bretagne l optimisme est permis Ces mutations Viste du plus grand salon mondial AGRITECHNICA 2009 Vitrine mondiale le salon agritechnica est le lieu de pr sentation de toutes les grandes innovations technologiques en mati re de machines agricoles Les tendances de la m canisation du futur y sont clairement dessin es Sc nario d volution de la teneur en nitrate des rivi res A P
83. nt en cas de forte pression maladie Dans le cas d un traitement fusariose pr f rer des produits efficaces la fois sur la septoriose et la fusariose afin de mieux rentabiliser ce dernier traitement Claire Marceau P le agro PV La protection totale est un programme trois traitements avec en TI au stade 2 noeuds Opus 0 8 Pyros 0 7 I en T2 au stade gonflement Fandango S 2 I et en T3 a la floraison Sunorg Pro 1 C r ales Construire son programme a priori en adaptant les produits les doses et le nombre de passages son contexte p doclimatique et aux risques li s sa parcelle Cette strat gie devra tre ensuite affin e en fonction des conditions climatiques de l ann e en prenant soin d observer r guli rement ses parcelles d s le d but de la montaison vec un contexte de prix en baisse pour cette fin de campagne l vo lution des cours des c r ales reste tr s incertaine pour la campagne 2010 Le contexte r glementaire de plus en plus restrictif et l apparition de r sistance des maladies aux produits fongicides nous incitent mettre en uvre tous les leviers permettant de mieux prot ger nos cultures Le risque maladies doit se g rer d s l implantation en veillant a allonger les rotations Exemples de strat gies sur bl adapter le choix des vari t s aux risques li s son contexte p doclimatique g rer les r sidus de culture pr c dente bro
84. nt palpables et les r sultats d mons tratifs Ils savent tout l int r t qu ils reti rent de leur collaboration o chacun joue le jeu du gagnant gagnant Belle d mons tration d efficacit conomique Pierre HAVARD Alain COTTAIS P le Agro PV P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Rendez vous sur pour recevoir le bulletin gratuitement par mail LES REFERENCES DES Cab RK TE Te EN ELEVEURS BRETONS La revue herbivores des Chambres d agriculture de Bretagne Un objectif Mettre la disposition des leveurs et des techniciens des r f rences ind pendantes produites en Bretagne Un contenu original Les tudes et les exp rimentations conduites par les ing nieurs du Pole Herbivores en collaboration avec Institut de Elevage les Contr les Laitiers de Bretagne et Union Bretonne des GDS notamment servent de mati re premi re aux articles Du producteur au consommateur Les auteurs ne sont pas des journalistes professionnels mais ce sont les experts qui conduisent SG 4 nement des tudes au contact des leveurs offre d couverte 25 soit 38 25 au lieu de 51 Valable jusqu au 31 mars 2010 Informations abonnement 02 96 79 21 63 s cap elevage cotes d armor chambagri fr T m z r a mognages Refarences CHAMBRES D AGRICULTURE BRETAGNE Partenaires Chambres d Agriculture Arvalis Cetiom Coop de France Ouest
85. nts faibles tels que les renou es ou les mercuriales quand elles sont jeunes gt PEAK PLUS CASPER Associant du prosulfuron et du dicamba il apporte un spectre liseron suppl mentaire par rapport au PEAK A utiliser galement en association mais plut t sur le deuxi me passage de d sherbage gt DAKOTA P Il s agit en fait d une association de dmtap ISARD et de pendim thaline PROWL d ja formul Homologu la dose de 4 litres hectare il et souvent court sur les renou es et les mercuriales Il ne peut pas tre appliqu deux ann es successives sur la m me parcelle il est galement interdit d utiliser un ISARD ou SPECTRUM l ann e suivante gt AUXO HYDRIS Une nouvelle mol cule dans la famille destric tones la tembotrione Ce produit est un concurrent des CALLITO et MIKADO d j bien connus a la diff rence qu il est formul avec du bromoxynil EM BLEM Sur le plan technique AUXO 0 75 litre MIKADO 0 5 bromoxynil liquide 0 5 on peut l associer avec du M ILA GRO mais surtout pas avec EQUIP ou CUBIX gt ATIC AQUA Autre formulation de la pendim thaline Il contient 455 grammes litre au lieu de 400 grammes pour la vieille r f rence qui est le PROWL 400 gt NISHIM PREMIUM 60D MILAGRO EXTRA 60D PAMPA PREMIUM 60D IIs contiennent tous du nicosulfuron mais 60 gram mes par litre au lieu de 40 grammes pour le MILAGRO ou PAMPA ou NEMO ou RITMIC ETE D esherb
86. omposition pour une meilleure disponibilit des l ments min raux par le mais de pr server la res source en eau les ann es les plus s ches et de limiter les attaques de taupins Il est recommand d viter les pr c dents cruci feres et les cultures de printemps qui favo risent la m me flore adventice ch nopo des amarantes morelles Pr paration du sol et semis attendre des conditions favorables La pr paration du sol est identique au sys teme conventionnel L objectif est d obte Int r t du mais dans les exploitations bio Ses points forts Aliment nerg tique Productivit int ressante Double usage grain ou ensilage Peu sensible aux maladies Bonne valorisation de l azote issu de la min ralisation du sol Ses limites Mise en place co teuse Sensibilit aux d ficits hydriques Sensibilit aux ravageurs et ou corvid s R colte tardive pour couverture hivernale D ficit azot de I ensilage correcteur azot co teux nir une structure fine laissant quelques mottes au sein du lit de semences Un labour est g n ralement effectu pour enfouir les r sidus Des passages r p t s d outils a dents de type vibroculteur ou canadien peuvent ensuite tre r alis s comme faux semis e Date de semis Le semis doit tre r alis sur sol r chauff pour des lev es homog nes et rapides Selon les zones climatiques le type de sol et la m t o il correspon
87. on de prot agineux impli que d en produire des quantit s relative ment importantes et de disposer de cel lules de stockage suppl mentaires Le pois riche en lysine et en nergie est tres bien adapt l alimentation des porcs Attention toutefois respecter certaines limites d incorporation comme pour les autres prot agineux En raison de leur compl mentarit sur le plan nutritionnel l association de pois et de tourteau de colza peut tre substitu e au soja dans les rations de porc charcutier La f verole peut galement tre utilis e en broyant finement les graines En revan che le lupin est d conseill pour l alimen tation des porcs En effet il est suspect d tre l origine de la formation de gaz dans l intestin entrainant des contre per formances Pour les autres producteurs de porcs les surfaces cultiv es peuvent tre plus r duites puisqu ils sont destin s tre livr s la coop rative et n entrent pas dans l laboration des rations Avant de choisir sa culture v rifier aupr s de l or ganisme collecteur la possibilit de prati quer l change prot agineux aliment Prendre en compte galement la diminu tion des surfaces pandables et l ventuel surco t li au traitement de quantit s de lisier suppl mentaires Le tableau ci dessous nous donne les valeurs alimentaires des prot agineux com par s au tourteau de soja Claire Marceau P le Agro PV La luzerne
88. ons Une innovation pour le semis Nous pensions trouver une plus grande repr sentation des solutions techniques innovantes consacr es aux techniques alternatives de d sherbage et destin es aux grandes cultures Notre premier objec tif de visite n a t que mod r ment satis fait N anmoins de nombreuses machi nes et accessoires taient pr sent s a l in tention des agriculteurs allemands Quelques innovations notables sont gale ment signaler le syst me GEOseed pr sent par le groupe Kverneland Ce nouveau syst me permet la plantation ou le semis uniforme et grande chelle de la betterave ou du mais avec des disposi tions g om triques des graines triangu laires rectangulaires ou carr Cette dispo L a richesse de ce salon r side aussi sition autorise une simplification et une plus grande efficience du d sherbage m canique gr ce au binage crois de la culture entre rangs et entre plants Semer 100 000 pieds de mais par hectare au carr reviendrait avoir un cartement entre rangs et entre plants de 32 cm ce qui n est plus un probl me pour la r colte du mais ensilage et c est binable Au titre des avantages probables on peut citer un meilleur acc s aux l ments nutri tifs une couverture du sol plus rapide C est un atout environnemental sa si E er EIEI 4 er oku epi ETT ATA er rre prerrrrerrr errar AAA Le semis en disposition g om trique
89. ot agineux Ce sont de bonnes t tes de rotation bon pr c dent c r ales et colza gain de rendement pour le bl qui suit conomie d azote rompt le cycle des parasites lls am liorent la structure du sol Ils sont faciles stocker et conserver Is sont plus riches en prot ines qu une c r ale ou un ma s et permettent de r duire la d pendance en pro t ines de l exploitation Pois lla bon potentiel de rendement en rotation longue F verole Elle est r sistante l aphanomyc s maladie et peut donc se substituer au poisen sols contamin s Elle est facile r colter gr ce une bonne tenue de tige Sa r colte a lieu apr s celle des c r ales Lupin tol re les sols acides jusqu PH 5 5 et les parcel les caillouteuses tol re mieux que le pois et la f verole le manque d eau l t zones s chantes ll est facile r colter gr ce a une tige rigide jusqu maturit ll est particuli rement riche en MAT valeur prot ique plus proche de celle du soja que du pois 37 de MAT P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Prot agineux IIs n cessitent des sols bien drain s sensibles l ex ces d eau IIs pr sentent des rendements variables La fertilisation azot e est interdite sur ces cultures pandage notamment interdit Pois Son implantation est d licate attention aux
90. p rimen tation un moindre ruissellement pour une m me pluie et une moindre rosion pour un m me ruissellement la quantit de terre entrain e par un m me ruisselle ment est divis e par 3 quand la teneur en P est multipli e par 6 pour les terres les plus riches en Phosphore Il est difficile de trouver une explication d finitive ces observations mais il est possible que les enrichissements en P ayant t principalement obtenus par des apports de mati res organiques il s en suive une meilleure activit biologique qui g n re une plus grande stabilit struc turale Par ailleurs les simulations de pluie on pu confirmer l impact fort d un apport r cent de fertilisant phosphat puisque l incorporation de 6 t ha de fumier de volaille dans le lit de semence juste avant la simulation multiplie par plus de deux le flux de phosphore bio disponible au cours du ruissellement qui suit Daniel Hanocq P le Agro PV Les Cormiers St Aubin des Cormiers 35 Station Exp rimentale Agro machinisme Bancs d essai d pandage Epandage de fumiers Epandage de lisiers Essais nergie TTCR Consommation de fuel Essais terrain mat riel Techniques alternatives de d sherbage Diverses adaptations sur mat riel existant R alisation de prototypes Contact Pierre HAVARD 02 99 39 72 91 ous vous proposons un calcul rapide afin de d terminer si vous valorisez bien l
91. port l avancement Des bineuses frontales Des bineuses essentiellement en version pouss e taient pr sent es Elles offrent une meilleure vision de travail pour le chauffeur Des quipements compl mentaires pour s approcher du rang La particularit des mat riels de binage portait notamment sur la variabilit des quipements et accessoires en tout genre avec une recherche de compl ment d effi cacit entre par exemple des dents de herse trille et des l ments de bineuse rotative dans un objectif de s approcher le plus pr s possible du rang voir d inter venir sur le rang sans endommager le sys t me racinaire de la plante Par contre ce salon consacre une impor tante surface d exposition la m canisa tion des grandes plaines La probl mati que de la r duction des traitements phyto sanitaires n est pas la pr occupation pre mi re de ces r gions au vu des mat riels pr sent s L exposition de pulv risateurs dont la taille tait la mesure de ce salon des largeurs de rampe au del de 48 m des capacit s de cuve pouvant atteindre 15 000 I Leur taille nous a surpris Plus de pr cision dans les dosages En pulv risation l informatique embar qu e est mise profit en incluant des fonc tions visant assurer le remplissage pr cis de la cuve calculer pr cis ment la quan tit r siduelle de bouillie restant dans l quipement et l ensemble de ses circu
92. pr lev e aux doses pr conis es va permettre un certain m nage sur les dicots en regroupant et retardant les rele v es Elle est privil gier e pr sence de gramin es estivales et de v roniques Une souplesse d application est ainsi don n e au deuxi me passage dont le pro duit sera adapt la flore restante Cf tableau 1 ci dessous La post lev e un d sherbage vue Les strat gies de post lev e doivent imp rativement associer deux grandes familles de d sherbants 1 Le CALLISTO ou le MIKADO constituent la base principale sur laquelle s appuie le d sherbage des principales dicotyl dones du mais 2 En pr sence de gramin e MILAGRO ou PAMPA ou EQUIP sont indispensa bles notamment sur p turin annuel ray grass s taires panic dichotome En l ab sence de gramin es leur usage pourrait paraitre moins essentiel Cependant ils apportent un plus significatif sur amaran tes ou crucif res et par effet de synergie permettent de baisser la dose du premier produit 3 Un troisi me produit peut tre associ a ce couple de base soit un bromoxynil CADELI EM BLEM si on souhaite renforcer l ef ficacit du programme sur des renou es particuli rement soit une hormone BANVEL 45 STA RANE 200 KART si on recherche une efficacit particuli re sur des vivaces tel les que le liseron On gardera la dose basse si on rajoute un troisi me produit et si on est en bo
93. puis le d but de la campagne qui ne devrait pas durer f r incorporer de l orge au d triment m me du bl Sur les 122 500 ha de mais grain la Bretagne enregistre un potentiel moyen de 92 q ha et une production de 1 127 Mt selon les estimations d Arvalis La collecte bretonne enregistr e au 31 12 2009 est de 756 000 tonnes selon FranceAgriM er Un march qui risque d tre peu dynamique d ici le printemps Comme pour les autres c r ales le march du mais est maintenant devenu peu dyna mique le prix du mais europ en suivant en priorit l effet la baisse des cours du bl et de l orge europ ens et depuis le rapport USDA la baisse des cours am ri cains Avec le regain d int r t des fonds d investissement pour les march s des mati res premi res agricoles pour assu rer leurs actifs les cours terme ont trouv un certain soutien jusqu aujourd hui Cela devrait galement continuer appor ter de la volatilit Port s par la tendance haussi re mondiale depuis la mi septem bre les prix du mais sur Euronext sont sup rieurs a ceux du bl depuis la fin octo bre Le mais r siste actuellement mieux la spirale baissi re soutenu par la demande des amidonniers mais reste moins comp titif que le bl fourrager 132 t contre 123 t rendu Bretagne 00 01 10 provi solre Ainsi plusieurs l ments plaident pour des prix baissiers Il faudra attendre les r sultats de la r
94. que autochargeuse de four rage et la liste n est pas exhaustive Automoteur d pandage de lisier par tuyau au champ Electronique et informatique se g n ralisent Des syst mes de guidage plus performant que le GPS Lors de ce salon une surface tr s impor tante tait consacr e l lectronique embarqu e sur les machines avec les sys t mes de guidage et les boitiers de com mande Pour les syst mes de guidage l accent a t mis plus particuli rement sur les balises RTK qui permettent de couvrir un rayon d action d environ 15 km et d apporter une pr cision de 2 3 cm plus pr cis que le GPS voir le DGPS Des syst mes annexes par palpeur pour contourner un obstacle par exemple taient galement expos s Balise RTK plus syst me de guidage par palpeur avec bo tier de commande et cran de commande contr le Des boitiers de contr le plus performants Les boitiers de commande deviennent de plus en plus performants Ils sont capables de g rer une dose d int grer la forme de parcelle pour couper les tron ons d ali mentation du pulv risateur de connaitre la vitesse de travail et la consommation d nergie En r sum toutes les fonctions les d cisions prisent par le chauffeur pour commander tel ou tel organe de son trac teur ou de la machine attel e peuvent tre automatis es en tenant compte de la posi tion g ographique de l outil La valorisation des commandes d velop p
95. r c demment soit dans le premier traitement codification 28 42 soit dans le deuxi me traitement codification 28 42 Cf tableau et graphique ci contre Que ce soit apr s un traitement 21jours ou sur des applications plus tardives 28 jours l augmentation de dose de pro duit permet d am liorer sensiblement l efficacit finale du programme de d sherbage pour les applications les plus tardives En particulier Poullaouen cela permet de passer d un traitement large ment insatisfaisant note 5 une effica cit de 8 qui est tr s correcte Cependant ceci a un co t puisque la dose est aug ment e de pr s de 30 Intervenir pr cocement Sans vouloir remettre en cause la n ces sit de bien utiliser les produits foliaires ETE D sherbage mais 2009 Protocole 2 Dates d application et doses variables Code essai 21jours 28 jours 35jours 42jours 49 jours CALLISTO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 CALLISTO 0 7 MILAGRO 0 5 MILAGRO 0 7 CALLISTO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 CALLISTO 0 7 MILAGRO 0 5 MILAGRO 0 7 CALLISTO 0 7 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 7 MILAGRO 0 5 D sherbage mais 2009 r sultats protocole 2 Dates d application et doses variables _ o gt notation d efficacit o N w R ul e N 00 A Poullaouen Iffendic 21 42 E Kerguehennec 28 42 28 42 dates des interventions en nombre de jours apre
96. ration sur ce projet interdisciplinaire Les partenaires s attachent concevoir des syst mes de capteurs et des m thodes nouvelles de cultures Un v hicule robotis en cours de conception est attraction N 1 du stand Amazone sera capable d enre gistrer la croissance de la biomasse v g tale sans d truire les plantes Cette inno vation sera ensuite utilis e pendant le projet de d veloppement de culture de plantes double usage capables de four nir nergie et nourriture En adoptant cette approche les partenaires ont pour objectif d obtenir des r sultats plus rapi dement et plus efficacement que ce qu ils ont fait jusqu a pr sent Ce robot apte gr ce l analyse d image a reconna tre l environnement dans lequel il volue est capable de se mouvoir seul pour r aliser le travail qui lui est confi Jusqu a ce jour les robots des champs intelligents n taient pas sortis des labo ratoires de recherche ou des bureaux d tude des industriels Nous avons pos la question quand verrons nous de tels robots remplacer le tracteur et le chauf feur R ponse dans 5 10 ans Ce qui peut tre consid r comme du court terme de notre point de vue Pour conclure la fili re machinisme agri cole allemande conforte son leadership gr ce une attitude proactive tourn e vers innovation technologique Les liens troits entre la profession agricole la recherche des universit s et les industriels so
97. ratiques actuelles MAE SFEI Concentration en nitrates dans la rivi re mg l Ann e 1998 2000 2002 2004 2006 Le cas des basa ns versants de la Lieue de G reves Sur les bassins versants de la Lieue de Gr ves o un cheval est mort cet t il n y a que deux levages hors sol et la quasi totalit des exploitations pratiquent de l levage bovin moyennement intensif les concentrations en nitrate des rivi res y sont de 28 mg l en moyenne Nos mod lisa tions sugg rent que m me les meilleu res mesures agro environnementales dont on dispose dans l arsenal r glementaire ne permettraient pas de descendre moins de 15 mg l M me dans le cas d un bilan azot th oriquement quilibr il n est pas garanti d avoir des eaux de rivi re inf rieures 15 mg l En effet de nombreuses rotations culturales induisent une min ra lisation nette de la mati re organique du sol en automne hiver qui est peu absor b e par les couverts Les rendements sont inf rieurs l optimum Ils ne sont pas bien CAP Bretagne W lai AAAAAAAAR Ecosyst me naturel 2008 2010 2012 2014 2016 2018 pris en compte dans les bilans Ainsi des bassins versants avec un bilan azot qui libr donc un cheptel dont les d jections ne sont pas en exc s par rapport aux besoins des cultures peuvent perdre suffi samment de nitrates pour permettre le d veloppement des algues vertes Alors arr ter l agriculture Da
98. re et un relatif r chauffe ment de l eau des apports suffisants en nutriments notamment en N et en P En raison de la pr sence pour de tr s nom breuses d cennies de s diments large ment enrichis en phosphore issu des rejets des activit s en amont de ces sites les scientifiques consid rent que les flux d azote NO3 et NH4 de toutes origines deviennent le facteur de maitrise pour ten ter de contr ler le ph nom ne l ulve ne pouvant capter l N de l air L origine mul tifactorielle du ph nom ne conduit aussi a se poser la question de l impact d au tres param tres tels que le r chauffement des eaux l volution des usages du litto ral les cons quences de certaines pollu tions sur les populations de pr dateurs R cemment les scientifiques ont par exemple mis en vidence l impact des quantit s de biomasse pr sentes avant l hiver sur l ampleur de la mar e de l an n e suivante pouvant conduire de nou velles strat gies de ramassage Les connaissances se sont toff es mais beau coup reste encore apprendre Quoiqu il en soit la r duction des flux d azote est la piste aujourd hui retenue pour tenter de maitriser l ampleur du ph nomene Dossier algues vertes 20 ans d engagement pour l environnement L environnement fait d sormais partie du m tier de paysan Rappel des acquis de la profession agricole bretonne sur ce d fi Un dispositif r glementaire Important
99. res sont pr sentes En azote brut 42 est d origine bovine 42 porcine et le reste avicole Et apr s r sorption la pression d N orga nique est en moyenne de l ordre de 120 kg ha de SAU auxquels il faut rajou ter environ 50 N min ha Les exc dents structurels initiaux y ont donc quasiment disparu gr ce aux efforts de r sorption des leveurs Ce territoire caract ris par la multiplicit de ses productions et le poids de l agroa limentaire l est aussi par la diversit de ses conditions p do climatiques pluvio de 700 a 1 200 mm bassins schisteux et granitiques ainsi que par la variabilit de la teneur en nitrates de ses diff rents L a Bale de St Brieuc rassemble sur Une plus grande autonomie fourrag re et une optimisation de la gestion des terres agricoles cours d eau ou des flux sp cifiques Afin d laborer ses propositions une qua rantaine d agriculteurs issus des CPA r u nis sous l gide de la Chambre d agricul ture a fait appel des apports scientifi Baie de St Brieuc volution de l assolement ques CEVA INRA et se sont concert s avec les organisations professionnelles et conomiques Maintien du potentiel conomique Trois axes d action ont t d finis et chif fr s avec au pr alable une analyse du contexte 100 7 e ES une strat gie du SAGE bas e principa 30 lement sur l optimisation agronomique 80 et une volution des syst mes de cultur
100. royage fin des r sidus et en choisissant des vari t s moins sensibles Les traite ments sp cifiques fusariose permettent une am lioration de pr s de 25 de la teneur en mycotoxine des grains Attention aux r coltes tardives et aux conditions de fin de cycle qui peuvent d grader forte ment la qualit sanitaire des grains 7 u u gt Strategies a un seul passage non exhaustifs Derniere feuille Prix ha OGAM 3D 0 75a1 OPUS 0 7 1 OPUS TEAM 1 2 1 5 JOAO 0 3 30 50 Rouille brune sur triticale Claire Marceau P le Agro PV Eric Masson Arvalis D esherbage du mais en post lev e les traitements pr coces sont toujours payants ETE Dans un contexte difficile et une certaine remise en cause de la protection phytosanitaire des cultures il devient essentiel d optimiser toutes les applications r alis es En d sherbage la date d intervention et le stade des adventices sont vraiment d terminants sur la propret finale de la culture es les premiers stades de crois sance le mais souffre de la concurrence des mauvaises her bes Le d sherbage a pour objectif pre mier d liminer rapidement cette nuisibi lit et de maintenir un tat de propret satisfaisant jusqu au recouvrement des D sherbage mais 2009 inter rangs par la culture de mais Les adventices pouvant lever au del de ce stade ne pr sentent plus de g ne pour le ma s Pour le v rifier nous avons r ali
101. s Les MAE Les mesures agro environnementales MAE sont des actions contractuelles volontaires propos es dans des territoires enjeux environnementaux identifi s Avec un fort taux d engagement les bud gets allou s sont d ores et deja consom mes U ne forte volution des pratiques de fertilisation R sultats issus de l valuation du 3 pro gramme Directive Nitrates Source MIRE Bretagne Achats d engrais min raux en forte baisse de 20 pour l azote entre 1998 et 2007 et de 35 pour le phosphore entre 2003 et 2007 Production d azote organique brut en baisse de 7 5 entre 2000 et 2006 avec la diminution des cheptels et les gains de productivit Exc dent azot divis par trois l exc dent azot issu des grands comptes de agriculture source DRAAF Bretagne est pass de 87 kg N ha en 1997 a 30 kg en 2006 R sorption atteinte plus de 85 Plus de 25 000 ha de bandes enherb es Tous les sols couverts en hiver Un mat riel d pandage am lior U ne nette am lioration de la qualit de l eau Depuis une dizaine d ann es la Bretagne est la r gion o l on a enregistr la plus forte baisse de taux de nitrates soit pr s de 20 Dans son rapport de 2008 le BRGM mon tre qu apr s une augmentation des concentrations dans les eaux souterraines sur la p riode 1975 1993 la tendance se renverse et celles ci diminuent sur la p riode 1995 2007 Evolutio
102. s en conventionnel les strat gies taient parfois trop s curisantes Il serait utopique de croire qu avec moins de produits phy tosanitaires on puisse obtenir les m mes r sultats En mati re de seuils d interven tions les r f rences doivent tre revues et compl t es L objectif 0 adventice n a jamais t un but atteindre si ce n est le jour du semis et n a pas v ritablement de sens conomiquement pour les inter ventions suivantes L enjeu est surtout de ne pas se laisser d border gr ce une approche globale Jean Luc Giteau P le Agro PV e E i i i m w i is e a a 1 J i Ei 1 r i i A 3 F z a pa LJ al L a Ti L PI j A pr y AP a ik LL BEE w 1 E k LKP ko i E p Passage de houe rotative dans le mais Il faut intervenir du stade filament deux feuilles des mauvaises herbes Syst mes de cultures et risques de salissement sans herbicide Rotation Longue diversifi e Ex prairies cultures hiver et printemps Courte sp cialis e Ex ma s bl avec faux semis avec faux semis avec faux semis ou couvert permanent Pr paration semis Labour Non labour Labour Interventions en culture Herse houe bineuse si besoin Impasse impossible Faible Faible Herse houe bineuse au choix Privil gier cartements Non labour larges
103. s cette ann e trois essais Leur objectif tait de comparer la pertinence des dates d intervention dans les programmes de Protocole 1 Dates d application variables et doses fixes Code essai CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 CALLISTO 0 5 MILAGRO 0 5 D sherbage mais 2009 r sultats protocole 1 Dates d application variables et doses fixes o D o 2 y D TD lt e o lt El Kerguehennec A Poullaouen Iffendic 21 42 o ES N w A ul o N 21 49 28 42 dates des interventions en nombre de jours apr s le semis du mais d sherbage en post lev e Les produits utilis s pour ces essais sont des produits largement connus pour leurs spectres d efficacit les applications ont t r alis es un pas de temps d envi ron une semaine sans modifier la dose appliqu e afin de pouvoir comparer I ef fet date sur le r sultat final du programme de d sherbage Les notations d efficacit sont r alis es selon la grille Arvalis AGPM notation r alis e sur une chelle de 0 10 sachant qu une note de 7 ou plus correspond un traitement satisfaisant qui ne justifie rait pas de rattrapage suppl mentaire Reusar le premier passage Lors du premi
104. s vis de l occupation de l espace de l eau et des l ments nutri tifs Les effets n gatifs sur la production se traduisent par une diminution du potentiel de rendement et de la qualit fourrag re un risque accru de toxicit avec quelques esp ces telles que la mer curiale et une augmentation des refus L es jeunes prairies sont souvent des risques de toxicit pour les animaux Le choix de l herbicide se raisonne en fonction de la composition de la prairie et des adventices d truire M ais pour tre efficace l action de l herbicide doit tre associ une bonne conduite de la prai rie Les principales adventices d truire sont des dicotyl dones mouron des oiseaux capselle matricaire pour les semis de printemps et les dicots du mais morelles ch nopodes renou es pour les semis de fin d t Dansle cas de gramin es pures Les produits anti dicotyl dones utilis s sur c r ales sont pour la plupart utili sables aux m mes doses Ils seront choi sis en fonction de leur spectre d activit de l poque de traitement et du stade de la gramin e Des produits tels que le FIRST ou l EXCEL D pr sentent des spectres assez complets Si les conditions de traitement sont favorables mauval ses herbes au stade plantule temp ra ture douce sup rieure 10 C et hygro m trie sup rieure a 60 on utilisera la dose de base pr sent e dans le tableau En pr sence de rumex de germi
105. s d eau l ha et une pression de 2 bars Le traitement de base pour une flore habituelle base de morelles p tu fins matricaires renou es ch nopodes Le binage reste galement une solution tr s appr ciable sur des betteraves plus d ve lopp es pour parfaire le d sherbage et a rer les sols compact s Jean Philippe Turlin P le Agro PV gt Techniques de d sherbage a doses classiques pr voir 2 passages PREMIER PASSAGE d s la lev e des adventices CAS G N RAL BETANAL TRAMAT HUILE SUR PRE EMERGENCE 182 1421 0 51 MATRICAIRE BETANAL GOLTIX HUILE COLZA 1221 1 KG 0 51 FLORE COMPLEXE BETANAL TRAMAT GOLTIX HUILE ET SUR IMPASSE 11 1 1 KG 0 51 jouter au 1 AVOINES stade 3 feuilles STRATOS 0 51 PANIC RAY GRASS des gramin es FUSILADE X2 041 DEUXI ME PASSAGE 10 15 jours apr s T1 BETANAL PYRAMIDE DF HUILE SANVE 2 2KG 0 51 SANVE BETANAL TRAMAT PYRAMIDE DF HUILE MERCURIALE 11 11 1KG 0 5 FLORE COMPLEXE BETANAL GOLTIX HUILE ET SUR IMPASSE A 2KG OSI PR SENCE BETANAL TRAMAT GOLTIX HUILE MERCURIALE 11 11 1KG 051 gt Techniques de d sherbage doses r duites pr voir 3 4 passages M langes types choisir en fonction de la flore pr sente MATRIGAJRE MORELLE BETANAL TRAMAT GOLTIX HUILE GAILLET AMARANTE COLZA 061 05 OS5KG 05l OMBELLIFERES Ajouter LONTREL 0 3 Vha SANVE BETANAL TRAMAT PYRAMIDE OF HUILE MERGURIALE SAM 06 051 04KG
106. s le semis du mais dans de bonnes conditions m t orologi ques temp rature hygrom trie vent pluie cette s rie d essais permet de bien d montrer que le premier crit re pren dre en compte est la dynamique de lev e des adventices et de leur stade au moment de l application du d sherbant La post lev e en double traitement pr sente de tr s bons r sultats lors d ap plications pr coces mais les r sultats peuvent se d t riorer fortement des lors que la premi re application est trop tar dive ou que le d lai entre les deux appli cations est trop long Apr s un traitement de pr lev e le rai sonnement est globalement le m me savoir que le rattrapage devra se faire pr cocement 3 4 semaines en fonc tion de la dynamique de lev e des adventices Cependant la baisse d effi cacit du programme se d grade moins rapidement dans le temps quand les deuxi mes applications sont retard es ces programmes pr sentent donc un peu plus de souplesse Michel Falchier P le Agro PV P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 P MEIE D esherbage du mais Si on craint la presence de graminees estivales ou et des veroniques un traitement de pr lev e garantit un premier nettoyage si l humidit du sol est suffisante Dans tous les autres cas la post lev e permet un d sherbage a vue et des r ductions de doses application de
107. semis sans labour ll est sensible I Aphanomyces proscrire dans les sols contamin s Les r coltes sont parfois difficiles en cas de verse et lors de conditions pluvieuses F verole Le semis reste d licat semoir adapt grosse graine et capable d enterrer 7 cm mini Pas de possibilit de d sherbage en post lev e contre les dicotyl dones Lupin ll est plus exigent en temp ratures zone Nord Ouest Bretagne exclue ll existe peu d herbicides homologu s ll est tr s sensible a l anthracnose maladie transmise par les semences Le prix des semences est lev et il n existe pas de march collecte Prot agineux AGE de printemps bon compromis pour la production de proteagineux f verole avec 27 de MAT est interm diaire entre le lupin et le pois F verole et pois ne peuvent pas non plus tre utilis s seuls Pour l engraissement des bovins le lupin reste le plus int ressant et pourrait remplacer en totalit le tourteau de soja Le pois et la f verole peuvent galement tre utilis s mais prendre soin de les broyer grossi rement afin d viter tout risque d acidose e Les prot agineux en systeme porcs Les rotations les plus courantes sont les rotations mais bl Les prot agineux pour ront s ins rer entre deux bl s permettant ainsi de rallonger et de diversifier les suc cessions de cultures Pour les fabricants d aliment a la ferme l utilisati
108. sque de fuites par ruis llement Sept sols de teneur en phosphore tr s dif f renti e ont t pr lev s afin de recons tituer un lit de semence dans le bac du simulateur de pluie sur lequel il a t simul une pluie d une intensit de 35 mm heure et d une dur e de 90 minutes photo L objectif tait d valuer l impact de la teneur du sol sur les fuites potentielles de 4 E 1 Fa i AMA i phosphore par ruissellement et non pas l ordre de grandeur de ces fuites dans des conditions artificialis es Les graphiques suivants nous montrent que le flux de phosphore bio disponible est multipli par 4 quand la teneur du sol en P Olsen est multipli e par 6 Flux cumul de P biodisponible pour 15 mm de ruissellement mg P m 0 r vif 2 R2 0 8912 qe m x FE Teneur en phosphore Olsen mg P205 kg terre Cependant ce flux de phosphore bio dis ponible ne repr sente que quelques du flux de phosphore total qui lui semble ind pendant de la teneur en P du sol Flux cumul de P total pour 15 mm de ruissellement mg P m HE ke EE TE Fe Teneur en phosphore Olsen mg P205 kg terre En effet les caract ristiques de stabilit structurale sont pr pond rantes dans les ph nom nes de ruissellement et il s av re qu on observe une assez bonne relation entre la stabilit structurale de nos chan tillons et leur teneur en Phosphore ce qui a entrain au cours de notre ex
109. strat gie de ramassage des algues r nov es et bas e sur une collecte en mer principalement dans le rideau pr ventive et curative U ne approche nouvelle Une approche nouvelle de la probl mati que environnementale se dessine en tant plus globale se rapprochant d une notion de croissance verte n h sitant pas une remise en cause de sch mas du pass Cette conception globale qui int gre des objectifs multiples autonomie nerg ti que et prot ique r duction des intrants projet territorial transparence et r sultat est exigeante mais elle r clame en parall le un v ritable accompagnement financier technique et r glementaire sans lesquels rien ne sera vraiment possible Lagronomie l approche globale et la coh rence des sys t mes ont t replac es au coeur des r flexions Gageons que cette ambition sera entendue P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 Dossier algues vertes La Lieue de G reves un projet de territoire herbager Le bassin versant de la Lieue de Greves se situe en amont de la baie de Saint Michel en Greves C est un territoire relativement restreint r unissant sur les 8 000 ha de SAU 170 exploitations tr s majoritairement orient es vers des productions bovines Dossier algues vertes Bale de S Brieuc un projet de territoire agro nerg tique transparent Territoire beaucoup plus vaste que celui de L
110. sultats d essais r alis s depuis plusieurs ann es par le p le agrono mie des Chambres d agriculture Bretagne Il permet de raisonner son programme d in vestissements fongicides en fonction d une nuisibilit estim e des maladies foliaires et d un contexte de prix du bl Ces l ments restant difficiles appr hen der dans le contexte actuel il est conseill d implanter plusieurs vari t s sur son exploitation choisies en tenant compte de leur tol rance aux maladies et du risque maladie li sa parcelle Un programme d investissement proche de 60 80 ha a moduler en fonction du contexte clima tique de l ann e semble tre un bon com promis pour minimiser les risques Bonne performance du passage unique Le positionnement des traitements a peu d incidence sur les rendements cette ann e cf graphique ci dessus Cela peut s ex pliquer en partie par l arriv e tardive de la septoriose qui n a fait son apparition qu apr s le stade derni re feuille poin tante dans la plupart des d partements Les strat gies un seul passage sont com par es celles deux passages Elles don nent de bons r sultats sur la conduite dite C r ales U ne pression maladies faible moyenne selon les secteurs en 2009 Fongicides bl 2009 Rendements nets q ha selon le programme Prix du bl 11 lt q Op0 2Pyr0 7 Fand0 5 2 passages Op0 4Pyr0 7 Fand1 Idem T1 Z39 T2 Z61 1 passage Fand1 5 Op0
111. t la pr sence d obstacles cdi dti Un attelage facilit Lemken a t r compens pour un sys teme destin am liorer l attelage des pulv risateurs port s op ration toujours d licate avec une place restreinte Un tr s gros tracteur Les puissances des tracteurs n ont cess d augmenter au fil du temps sans trouver de limite jusqu ce jour Le probl me n an moins dans cette course au toujours plus gros r side dans la transmission de puis sance des roues au sol pour la valoriser en traction Nous avons vu des tracteurs qui p s de chenilles moins souples cependant dans l utilisation et les d placements sur route et surtout beaucoup plus on reux en Investissement et en fonctionnement I est galement possible de jumeler les roues solution qui n est plus utilisable lors que l on a des d placements a effectuer sur route La solution retenue par certains constructeurs est d augmenter le nombre de trains de roues 4 par exemple sur un tracteur Deutz de 600 ch Dans ce cas le tracteur peut en plus recevoir une cuve et tre utilis comme porteur DS faj Gi BOLO 4 S il Une transmission de TGV pour un tracteur Au chapitre des innovations commercia les il est int ressant de pr senter le premier tracteur diesel lectrique du march Belarus Diesel lectrique veut dire que la transmission est assur e par un ensem ble alternateur onduleur qui repro
112. t pour 2010 Cet article ne reprend que les l ments incidence agronomique dans les domaines r glementaires et les compl ments BCAE connus la date de parution cette ann e compl tent les ancien nes Elle donneront lieu des contr les renforc s C es nouvelles r gles applicables d s Documents de fertilisation D s qu il y aura plus de 20 donn es man quantes il y aura 3 de p nalit s et sans possibilit de correction La conditionna lit renforce le formalisme administratif du cahier de fertilisation et du Plan Pr visionnel de Fumure MAE controles en Des compl ments de contr le sont pr vus pour les agriculteurs qui contractent des mesures agri environnementales MAE Cela s applique aussi bien aux mesures syst mes type bio ou SFEI qu aux mesures territoriales MAE ferti ou phyto ou Natura 2000 et bien s r a la nouvelle MAE rotationnelle En fertilisation ces contr les suppl mentai res porteront sur l enregistrement des apports de phosphore ainsi que la r ali sation d un bilan global pour l azote Pour les produits phytos sont ajout s la v rification de la participation aux collec tes des d chets bidons vides et produits non utilisables PPNU le contr le du pul v risateur l achat aupr s d un distributeur agr des produits les plus dangereux et enfin l engagement dans le certificat appli cateur Certiphyto Dans combien d an n es ces l ments seron
113. t ils g n ralis s Bandes enherb es pour tous En coh rence avec la nouvelle directive nitrates la pr sence de bandes enherb es 5 m minimum sera contr l e le long de tous les cours d eau C est la fin de l exemption petit producteur et du minimum de 3 de la SCOP Prairies nouvelles regles Les prairies de r f rence sont celles d clar es en 2009 Les prairies naturelles et les prairies tempo raires de plus de 5 ans peuvent tre retour n es a condition d tre r implant es a surface quivalente dans une marge de 5 pour tenir compte des contraintes parcellaires Des transferts de prairies per manentes vers des bandes enherb es vont donc pouvoir se faire Mais videmment cela ne concerne pas les prairies humides de bas fond qui ne peuvent pas tre retour n es depuis plus de 10 ans dans le cadre de la directive nitrates Les prairies temporaires de moins de 5 ans sont aussi concern es elles doivent tre maintenues au moins 50 des surfaces de 2009 Des d rogations sont pr vues pour les jeu nes agriculteurs en fonction de leur pro jet Elles sont galement possibles en cas de changement de syst me de culture en cas de cessation laiti re ACAL et dans les situations d agriculteurs en difficult s El ments topographiques a d clarer C est un point majeur d volution des BCAE dans la prise en compte de la biodi versit structurelle des exploitations Sont concern s
114. t n cessaire d avoir une r serve de puissance pour tre a m me de r ali ser les travaux Par ailleurs les usages multiples du tracteur m lent des p rio des a forte valorisation de puissance et d autres moins favorables L objectif est bien de limiter la puissance en exc s Le tracteur de 100 ch de l exemple cal cul fait partie du dispositif exp rimen tal Ecofuel et son activit est enregistr e en permanence Les donn es nous indi quent que son taux de charge n est sup rieur a 60 puissance utilis e sup rieure 60 ch que pendant 17 de son temps d utilisation figure 1 Reconstitution exp rimentale de la puissance S il est possible de mesurer facilement la puissance maximale a la prise de force au banc comme le pratique l association AILE il n est pas possible de mesurer ais Vie du pole Connaitre la puissance r ellement utilis e du tracteur ment la puissance r ellement utilis e d un tracteur au travail Le moteur d un tracteur ne d veloppe que la puissance qui lui est demand e Attel un petit outil il d ve loppe peu de puissance et sa consomma tion en l h est limit e Avec un gros outil il peut avoir besoin de toute la puissance disponible Dans ce cas sa consomma tion est maximale Il y a un lien entre la puissance utilis e le r gime moteur et la consommation de carburant Il est pos sible de mesurer la consommation et le r gime du moteur desquels on d duit la p
115. t r alis en plein en pr ou en post lev e suivi d un passage de bineuse au stade 8 10 feuil les du mais juste avant que les feuilles ne recouvrent inter rang Il faut intervenir sur adventices jeunes durant la p riode de sensibilit lev e 8 feuilles de fa on a ce que la culture ait toujours une avance sur les adventices Le binage doit tre renouvel s il y a des rele v es durant la p riode de sensibilit la culture jusqu la fermeture du couvert par le mais Pour le binage il est n cessaire d interve Impact sur l IFT herbicide de diff rentes techniques de d sherbage Pr ou post lev e Pr lev e Post lev e pr coce Post lev e d sherbage mixte semis lev e 4 feuilles 3 feuilles nir sur sol ressuy mais pas trop sec avant une p riode s che annonc e de 1 ou 2 jours Egalement utiliser une bineuse dont la largeur est identique celle du semoir Notons que la tendance au resalissement tardif sur le rang est r elle d o l impor tance d intervenir tant que la culture est non couvrante mais l exp rience montre que le d sherbage m canique est tr s d pendant des jours disponibles Le d sherbinage une conduite plus d licate Pour r duire la quantit d herbicides il est galement possible d effectuer un d sher bage mixte l aide d une d sherbineuse Dans les situations o son emploi est pos sible et le d sherbage r ussi elle permet de
116. tesse d avancement seront fonction du stade de d veloppement de la culture et des adventices e Pour le ma s 3 passages sont r alis s en moyenne La difficult se situe sur le rang Jusqu 4 feuilles la couverture est tr s faible et le mais tr s sensi ble aux interventions Un passage post semis pr lev l aveugle permet de d truire les adventices d j germ es au stade filament blanc et garan tit la plupart du temps une avance en v g tation en faveur du ma s Les interventions suivantes pourront s effectuer avec une bineuse et progres sivement par buttage P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 a z wir w im A ee d NATA z z E Fax Z WE ha Wd A RTW Z Nim e Z RE est A E Pa ER dag pk T a a L L W HB AO sie a W k LE TF se Le 1 I Acz W runs Se Z Plusieurs passages de faux semis permettent de r duire la population de mauvaises herbes labourer Le but est d emp cher la lev e et d alt rer le stock semencier d adventi ces dont l aptitude la germination dimi nue tr s fortement en un an en profon deur gramin es annuelles compos es Par contre cette op ration remet en sur face des adventices pr c demment enfoules Pour cette raison le labour peut tre coupl avec un faux semis post labour pr semis notamment pour les cultures de
117. tion d un terminal virtuel commun autonome est une tape sur la voie de la g n ralisation progressive de l ISObus le parc tracteur n tant pas aujourd hui suffisamment pourvu Autopilotage simplifi gr ce l ISOBUS L int gration d un syst me de pilotage automatique sur la base du GPS requiert DAla mv a Aa MAI ararlinekiane 1 A A A R A ri A A IAA h rac ATAA aj i rra gl Pa ratanna Pole agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Fa j m2 ZAC Ma a a j F r E p 3 E Wc z a af g bo gd zu AL d 3 L autochargeuse commande l avancement du tracteur en fonction de la taille de l andain AGRITECHNICA 2009 C est quoi ISObus L ISObus repose sur la norme internationale Iso 11 783 Cette norme d finit un syst me normalis de transfert de donn es C est une codification infor matique commune toutesles applications agricoles Les informations circu lent sur un r seau Bus Can Le Bus est le faisceau lectrique normalis consti tuant le r seau et le Can est le protocole d change des donn es La majorit des tracteurs achet s aujourd hui en France est d j pourvue d un r seau Bus Can permettant aux composants d changer des informations moteur transmission commandes l ments de s curit clairage dans certains cas C est le r seau priv du tracteur Un second r seau le r seau ISObus est destin changer des donn es de
118. uissance Dans le cadre du projet Ecofuel la recons titution de la puissance r ellement utilis e passe par plusieurs tapes Premi re tape la cartographie Elle a pour objec tif d tablir le lien entre puissance le r gime et la consommation pour un trac teur donn La m thode consiste pour un r gime moteur choisi appliquer une charge un couple la prise de force Pour ce point de fonctionnement la consommation horaire est relev e L op ration est r p t e pour les diff rents r gimes et les diff rents niveaux de charge faibles interm diaires lev s Plus de 100 points de fonctionnement sont mesu r s et report s sur le graphe de cartogra k r ma L 5 PA a m s FR ME es R alisation des points de cartographie d un tracteur de l tude cofuel la Station des Cormiers Noter la boite noire indiqu e par la fl che jaune phie pour couvrir toute la plage de tra vail du moteur figure 2 Pour les tracteurs des exploitations sul vies dans le cadre d Ecofuel le r gime moteur et la consommation de carburant sont enregistr s en permanence II est donc possible gr ce l informatique de recalculer la puissance r ellement utili s e chaque instant en passant par la cartographie expliqu e pr c demment Exemple Si le r gime mesur est 1 900 t min et la consommation de Figure 1 3 Distribution du temps d utilisation en fonction du taux de charge Ta
119. une conduite dite convention L J ann e 2009 se caract rise par nelle et une conduite dite bas niveau d intrants densit de semis r duite de 25 30 fertilisation r duite suppression de l apport tallage et dose d azote dimi nu e de 30 40 unit s Sur chacune des parcelles d essai deux vari t s sont compar es une vari t sen sible septoriose et une vari t peu sensible septoriose Bais de 20 ha des investissements fongicides En 2009 sur vari t s sensibles la sep toriose la pression maladie est de 30 quin taux bruts Les rendements augmentent avec la dose de fongicides appliqu e puis marquent un palier des 60 80 ha d in vestissement cf graphique ci dessous Les rendements nets moyens atteints pour cet investissement sont proches des 75 qx Les rendements nets sont calcul s en tenant compte du co t des programmes et de celui des passages effectu s Sur les vari t s peu sensibles aux septo Fongicides bl 2009 Rendements nets q ha en fonction de l investissement Prix du bl 11 lt q q ha t moin Opus0 4 Pyros0 7Fand1 M Opus0 8 Pyros0 7Fand2 Opus0 2 Pyros0 7Fand0 5 Opus0 6 Pyros0 7Fand1 5 M Totale A 0 38 65 92 119 158 Vari t s peu sensibles 0 38 65 92 119 1
120. ux de charge en 3 10 17 du temps d utilisation un taux de charge sup rieur 60 TE Taux de charge 15 20 25 Temps d utilisation en P le agronomie productions v g tales des Chambres d Agriculture de Bretagne Cap Agro Printemps 2010 15 l h le tracteur 107 KW 145 ch de la figure 4 d livre cet instant une puis sance de 35 4 kW 48 ch C est peu mais tr s fr quent Un tracteur de forte puis sance qui consomme peu est par cons quent n cessairement sous utilis ou trop puissant par rapport au travail qui lui est confi Pierre HAVARD Didier DEBROIZE Station des Cormiers Figure 2 gt Cartographie des consommations en fonction du r gime et de la puissance Consommation en heure IAW 1400 1608 Regime mots ur E Actualit s E cophyto Bretagne La profession agricole s engage Le programme Ecophyto 2018 volet phyto du Grenelle de l environnement va se mettre en place En Bretagne la profession agricole a opt pour une attitude pro active en se concertant lors d un s minaire sur ce sujet Demain la r ussite de la protection des cultures se fera avec moins de produits phytosanitaires Il faudra actionner d autres leviers Bretagne Coop de France Ouest N goce Ouest et ARVALIS Institut du V g tal ont t les chevilles ouvri res du s minaire Ecophyto Bretagne la profes sion agricole s engage qui s est tenu les 18 et 19 novembre
121. yage fin et incorporation pour limi ter le risque mycotoxines viter les semis trop denses viter de trop fertiliser gt Cas g n ral quelques exemples de programmes 2 passages en situation faible risque fusariose dose en ou kg ha Epiaison T2 2 n uds T1 MENARA 0 3 0 5 BRAVO 1 OPUS 0 4 0 6 PYROS 0 7 BELL 0 5 0 7 PYROS 0 7 MENARA 0 3 0 5 BRAVO 1 JOAO 0 3 0 4 MADISON PACK 0 4 0 5 0 15 FANDANGO S1 1 5 60 JOAO 0 3 PYROS 0 7 OPUS 0 4 0 6 PYROS 0 7 100 BELL 0 5 0 6 PYROS 0 7 BELL 0 5 PYROS 0 7 COM ET 0 2 OSIRIS WIN 1 1 2 Strat gie trois passages vise une protection de fin de cycle avec la prise en compte de la fusariose dose en litre ou kg ha 1 2 noeuds T1 Derni re feuille tal e T2 Floraison T3 d lai avant r colte Prix ha MENARA 0 3 BRAVO 1 MADISON PACK 0 3 0 1 FANDANGO 50 8 CARAMBA STAR 0 8 42 OPUS 0 3 0 4 PYROS 0 7 JOAO 0 3 PYROS 0 6 JOAO 0 4 35 80 OPUS 0 4 PYROS 0 7 SUNORG PRO 0 8 42 o MENARA 0 3 BRAVO 1 BELL 0 4 PYROS 0 7 BELL 0 4 PYROS 0 7 COMET 0 2 Apporte une activit sur pi tin si appliqu avant 2 noeuds A privil gier en cas de forte pression rouille brune JOAO 0 3 0 5 Strat gie a un seul passage vari t rustique et zone de v g tation cycle court faible pression de Limiter les r sistances C r ales Prote

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