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Sport et gynécologie

1. CECI P og NUE D MIA IP BONE PERF SIN Bi aTa PP APE 151 TI TERT Pre a i LEUR ER dk 2 H ER pe TE LT EE SE PCT BEE aP PA LE Pi 7 ENT
2. FETE i MERCI MANIERE IHM Hiin l ETSA 1 ER 2 SIP CPE L Di IRNTIESTIE ET IN i 1 NII SIT M ELLE FA PE mi Die MEN il I Ba nA HOPE TE MESEN iu EI lanai H YEST DE LR LOIRE EEEO E H TEE E miel d A in E Service de gyn cologie obst trique h pital Robert Debr Paris Service de rhumatologie centre hospitalier d Argenteuil 30 Raccah Tebeka F Levy Weil es relations entre activit physique et min ralisation osseuse sont multiples complexes et parfois totalement oppos es En effet une activit physique appropri e permet de lutter effi cacement contre l ost oporose alors que le sport pratiqu de mani re intensive peut avoir des effets n fastes sur min ralisation osseuse Nous verrons tour tour les situations cliniques et les m canismes impliqu s expliquant ces importantes discordances Les g nes d terminent entre 50 et 80 du c
3. CODE ACL 976 850 1 ASSOCIE La propolis connue pour ses propri t s bact riostatiques en particulier sur E coli Les PAC A issus de vaccinium macrocarpon connus pour leurs propri t s anti adh rentielles vis vis d E coli En utilisation d attaque 2 g lules 2 fois par jour En utilisation d entretien 1 g lule 2 fois par jour Composition de DUABE Pour savoir plus www nutrivercell com Nutrivercaell Laboraio re d innovation Nutriioneile C1 Grange Dares 01590 Ahaia poperties of propos bec guet J Soc Mod 83 553180 CH AFSSRPS Recommandibons de Benne Fobqu Diga ol anbbetheraces des wnan commoneutanes She 2008 49 de corap rune 720 mg de PAC Pharaon Ei P diatre m decin du sport service m dical de l Institut national du sport de l expertise et de la performance INSEP 11 avenue du Tremblay 75012 Paris Gyn cologue m decin du sport service m dical de l INSEP 11 avenue du Tremblay 75012 Paris S Nguyen C Ma tre a pratique d activit s physiques et sportives chez l enfant et l adolescent pr sente de nombreux effets b n fiques pour leur sant et peut contribuer leur panouissement physique psychologique et social N anmoins certaines parti cularit s li es la pratique du sport en p ri
4. g nie une am norrh e par dysfonctionnement thyro dien ou hyperprolactin mie Les recommandations de l American College of Sports Medicine sont de pratiquer une DEXA apr s histoire de fractures de fatigue et ou une am nor rh e de 6 mois ou plus avec r valuation 1 si un des signes de la triade de sportive persiste 2 Elle a pour but de restaurer les cycles en adaptant les apports nerg tiques une prise de 1 2 kg suffit en g n ral avec am lioration de la densit osseuse R f rences bibliographiques mais le seuil de masse grasse partir duquel les cycles sont r guliers est tr s variable d une sportive l autre Un apport calcique 1000 1300 mg par jour et en vitamine D 400 800 Ui par jour est utile Un entretien nutritionnel psychologique en cas de troubles du comportement alimentaire la compr hension de la sportive quant aux risques soutien de son entourage sportif et familial sont importants Les estroprogestatifs sont utilis s en deuxi me intention si l quilibre nutritionnel n a pas abouti restaurer les cycles 2 Le but est maintien de densit osseuse un gain m me faible de masse osseuse 1 par an a pu tre observ concomitant une prise de poids et une reprise des cycles 18 La survenue de fractures de fatigue sous estropro gestatif doit faire r valuer l tat nutritionnel et la balance nerg tique 19 L am norrh e hypothalami
5. Bouet E mail contacts edimark fr Les articles publi s dans La Lettre du Gyn cologue le sont sous la seule responsabilit de leurs auteurs Site Internet www edimark fr Les premi res rencontres Tous droits de traduction d adaptation Adh rent au SNPM Solidarit Paris Maman 5 et de reproduction par tous proc d s Revue index e dans la base PASCAL INIST CNRS Pa ris 25 novembre 2010 r serv s pour tous pays T Harvey mai 1983 EDIMARK SAS D p t l gal parution Imprim en France Axiom Graphic 95830 Cormeilles en Vexin Photographies Un suppl ment Schering Plough de Couverture Gabi Moisa Agenda 12 pages Les retentissements de Pages 12 18 22 28 32 34 EyeWire l infertilit et de ses traitements est Page 40 Photo B Blanchard 2008 Nouvelles de l industrie pharmaceutique rout avec ce num ro 2011 the good resolutions Ph Descamps lors que nous sommes toujours dans la p riode des bilans des v ux et des bonnes r solutions je tiens en ma qualit de r dacteur en chef vous souhaiter une tr s belle ann e 2011 tant sur plan professionnel que personnel Class e aux premi res places au Cessim 2010 l ann e a t tr s positive pour La Lettre du Gyn cologue avec en prime un prix d cern par le Syndicat de la presse et de l dition des professions de sant SPEPS Christian Jamin pour son ditorial paru en mai La contraception hor
6. BETEN NiE gt F DE 3 BTS 1 i IERI ENEE T an G Tr N PERL E E MERET EFEN rpm i H mur LH VENTE MR E paini a LEE FANS EL DIN nl L TE 1 LEFI 4 1 CELD kN I ILE rh PSS Pre LE li E CITE TES TETE HE EH WETE 19 E NS RUN E OR 4 UETA i LR IEE i ENET US Bass FREE D LE LAIT en 4 l ETHE a LE NT LILI y ISEN 1 LATE ali ALLET EN EET 0 1 1 IE SENIE E DELIT i te He Po LE a T f si NE Lois 4
7. Ces sujets avaient tous des concentrations plasmatiques de testost rone FSH et LH diminu es et une estradiol mie augment e en revanche la taille testiculaire tait normale Par rapport des sujets contr les leur volume prosta tique et leur dosage de l antig ne sp cifique de prostate PSA ou Prostate Specific Antigen taient normaux En revanche il existait une augmenta tion significative du volume central de la prostate et un ratio volume central volume p riph rique de la prostate augment Ces r sultats mettent donc en vidence une croissance de la partie centrale mais pas de l ensemble de la prostate apr s prise de st ro des anabolisants Sachant que le cancer de la prostate a plut t pour point de d part la partie p riph rique post rieure de la prostate ces r sul tats sugg rent que la prise de st ro des anabolisants dur e moyenne 18 mois ne conduirait pas un risque accru de cancer de la prostate Ces r sultats rejoignent ceux d autres tudes Ainsi Bhasin et al n avaient pas mis en vidence de changements dans dosage des PSA apr s administration de 600 mg d nanthate de testost rone pendant 10 semaines 2 Il faut bien reconna tre qu on ignore actuelle ment dans quelle mesure les utilisateurs chroniques de st ro des anabolisants ont vraiment un risque augment de cancer long terme Les signes sp cifiques sont l hirsutisme la pilosit faciale raucit de la voix
8. est actif pendant 3 ans mais peut tre retir tout moment Les femmes utilisant cet implant peuvent observer des changements de leur profil de saignement Si contraire ment la rythmicit des r gles les jours de saignement sont impr visibles leur nombre est g n ralement inf rieur ou quivalent celui observ au cours des cycles naturels Pour de nombreuses femmes le profil observ au cours des trois premiers mois est fortement pr dictif de leur futur profil Le Counselling consultation pr alable la pose de l implant destin e donner une information compl te et des conseils la patiente et l utilisation d un calendrier des saignements peuvent am liorer l acceptabilit du profil de saignement par la femme Nexplanon fait l objet d un vaste programme de formation visant instruire plus de 11000 m decins notamment l insertion la localisation et au retrait de l implant mais aussi sur les informations essentielles d livrer la future utilisatrice lors du Counselling Plus de 100 r unions se sont d roul es depuis fin octobre et ce programme se poursuivra tout au long de l ann e 2011 00000 E Vivez en vid o l actualit de votre discipline Soyez toujours plus nombreux consulter et t l charger nos missions sur www edimark tv SUIVEZ MOIS APRES MIGIS L ACTUALIT DE LA SENOERES D bats d e
9. sionnels les soignants devant apprendre s appuyer sur la parole des parents m me si celle ci interpelle leurs certitudes et les oblige se confronter des approches diff rentes des leurs Comme nous d montr F Gonnaud p dopsy chiatre la iatrog nie des pratiques peut aussi avoir des cons quences psychologiques sur couple parents enfant Elle peut venir interf rer sur la qualit des relations pr coces alt rer Le sentiment de parentalit voire entra ner ou aggraver une patho logie psychiatrique qui n aurait pas eu lieu sinon comme certaines d pressions du post partum La deuxi me table ronde concernait le diab te gesta tionnel DG avec comme invit M Hod du Helen Schneider Hospital de Tel Aviv centre ayant particip l tude Celle ci est une tude d observation en double aveugle dont l objectif tait de clarifier l association entre hyperglyc mie maternelle et complications p rinatales apr s r alisation d un test de tol rance au glucose tel que recommand par l OMS HGPO avec 75 de glucose entre 24 et 32 SA Il appara t que le diagnostic de DG pourrait tre simplifi par la r alisation du test de tol rance au glucose pr conis par l OMS en un temps et non plus par la m thode en 2 temps Cette tude confirme les associations hyperglyc mie maternelle augmentation du poids de naissance et hypergly c mie augmentation la concentration ombili cale en peptid
10. tation pouvant entra ner une hypo fertilit par anovulation dysovulation ou insuffisance lut ale En cas de consultation pour infertilit un bilan clas sique hormonal et anatomique chez la femme et un bilan spermiologique chez l homme sont prescrits La prise en charge de cette situation n cessite en premi re ligne une prise en charge de la balance nerg tique par une augmentation des apports et ou diminution de l activit physique afin de restaurer un ovulation normale Cette prise en charge initiale est d autant plus importante que des troubles du comportement alimentaires peuvent tre intriqu s et doivent tre d pist s Une prise en charge psychologique peut tre n cessaire En deuxi me ligne si le spermogramme le permet et si Les trompes sont perm ables on peut proposer une induction de l ovulation soit par une pompe GnRH ou par gonadotrophines R f rences bibliographiques 1 Laughlin Dominguez CE Yen 55 Nutritional endocrine metabolic aberrations in woman with functional hypothalamic amenorrhea J Clin Endocrinol Metab 1998 83 1 25 32 2 Rosetta L F condit f minine et activit physique intense et r p t e Science et Sports 2002 17 269 77 3 Schneider LF Warren MP Functional hypothalamic amenorrhea is associated with elevated ghrelin and disordered eating Fertil Steril 2006 86 1744 9 4 De Souza MJ Tombs RJ Scheid JL et al High prevalence of subtle and severe m
11. 7 Salvatore 5 Serati M Laterza R The impact of urinary stress incon tinence in young and middle age women practicing recreational sports activity an epidemiological study Br J Sports Med 2009 43 1115 8 8 Rosenbluth EM Johnson PJ Hitchcock RW Nygaard IE Deve lopment and testing of a vaginal pressure sensor to measure intra abdominal pressure in women Neurourol Urodyn 2010 29 4 532 5 9 O Dell KK Morse Crawford SL Howard Vaginal pressure during lifting floor exercises jogging and use of hydraulic exercise machines Int Urogy J Pelvic Floor Dysfunct 2007 18 12 1481 9 36 Dans une population de 679 femmes ge moyen 36 ans pratiquant un sport de loisir Salvatore et al indiquent une pr valence de l IUE gale 14 9 Plus de la moiti d entre elles rapportent 1 3 pisodes par mois Les femmes avec IUE ont un IMC significativement plus lev 22 5 kg m versus 21 2 kg m p lt 0 0001 et une parit plus grande 29 de multipares incontinentes versus 10 d incontinentes nullipares lt 0 0001 l ge la parit et l ob sit tant les principaux facteurs de risque d incontinence urinaire 7 L enqu te IFOP Tena r alis e en 2007 aupr s de 600 jeunes femmes de plus de 18 ans rejoint ces donn es 39 des femmes d clarent avoir v cu au moins un pisode de fuites urinaires ce chiffre augmentant avec l ge et la parit sup rieure 3 Cependant d
12. Dans cadre sp cifique du sport de haut niveau un programme d exercice de renfor cement musculaire et de travail en endurance a robie peut tre tabli condition d une concertation entre professionnel de sant pr parateur physique et entra neur afin de pr server la sant de la sportive l volution sereine de la grossesse le retour au haut niveau 5 titre d exemple Les programmes propos s aux athl tes de haut niveau comprennent 2 s ances par semaine d endurance en a robie FC 120 140 battements par minutes alternant avec 2 Contre indications absolues Rupture des membranes Travail pr terme Perte de liquide amniotique RCIU B ance cervico isthmique cerclage Placenta praevia apr s la 28 SA M trorragies Hypertension gravidique et pr clampsie Grossesse multiple gt 3 f tus Maladies cardio vasculaires et ou pulmonaires graves Contre indications relatives Grossesse g mellaire apr s 28 SA Ant c dents de pr maturit RCIU FCS r p t es An mie s v re lt 10 g l Malnutrition l gers ou mod r s RCIU retard de croissance intra ut rin FCS fausse couche spontan e s ances par semaine d exercices fractionn s toujours en a robie FC 70 180 battements par minute et 2 s ances par semaine de renforcement musculaire Dans tous les cas un suivi r gulier de l volution normale de la grossesse est indispensable L adaptation
13. c dent Pendant la p riode interm diaire il faut lui conseiller d utiliser une autre m thode contraceptive Apr s un accouchement ou un avortement du second trimestre 1 sera conseill aux femmes de commencer NUVARING au cours de la quatri me semaine apr s l accouchement ou apr s l avortement du second trimestre Si l utilisation de NUVARING a t plus tardive la femme doit utiliser en plus une m thode contraceptive compl mentaire pendant les 7 premiers jours d utilisation de NUVARING Cependant si des rapports sexuels ont d j eu lieu toute grossesse devra tre exclue avant de commencer NUVARING ou bien la femme devra attendre la survenue de ses premi res r gles normales Non respect des instructions d utilisation Que faire si la p riode sans anneau a exc d 7 jours D s p la femme s aper oit de l oubli elle doit mettre en place un nouvel anneau Une m thode contraceptive suppl mentaire comme le pr servatif doit tre utilis e pendant les 7 jours suivants Si des rapports sexuels ont eu lieu pendant l intervalle de temps sans anneau la possibilit d une grossesse devra tre voqu e Que faire si l anneau est temporairement rest dehors du vagin NUVARING doit tre laiss en place dans le vagin en continu pendant une p riode de 3 semaines Si l anneau est accidentellement expulse il doit tre rinc l eau froide ou ti de mais pas chaude et tre r ins r imm diatement Si NUVARING est rest e
14. cutives au frottement De v ritables n vralgies par compression du nerf pudendal syndrome d Al cock ont t d crites d o des paresth sies mais parfois aussi des douleurs du p rin e du rectum et des organes g nitaux Et puis il y a risque de DE cons cutives position assise prolong e qui pourrait tre li e deux m canismes compres sion ou l tirement du nerf pudendal d une part la compression des art res honteuses et p niennes qui induit une r duction de l apport local d oxyg ne d autre part On m me ainsi d montrer qu une pratique de la bicyclette plus de 3 heures par semaine multipliait le risque de DE par 1 7 Globalement il est commu n ment admis que l augmentation du risque est de 4 mais il n y a jamais vraiment eu d tude pros pective irr prochable r alis e sur le sujet Quelques chercheurs font aujourd hui un important axe de recherche et leurs travaux semblent d montrer que le risque de compression vasculaire d pend de diff rents param tres comme le poids de l individu configuration anatomique du pelvis et sa position sur la selle Il semble logique de penser que cette derni re sera l avenir adapt e aux consid rations anatomiques de tel ou tel homme de mani re pr venir survenue des troubles en question imagine d j les slogans publicitaires qui manque ront pas de s afficher Pour tre op rant sur le plan sexuel choisis
15. diane de l hypothalamus inhibe s cr tion de GnRH Cette s cr tion d endorphines est lev e chez les sportives m me cas de cycles r guliers Chez les sportives am norrh iques on note une diminution de la fr quence et de l amplitude des pulses de luteinizing hormone sous l effet de la LH RH luteinizing hormone releasing hormone La r ponse la LH RH exog ne est explosive confir mant qu il s agit bien d une d pl tion hypophysaire Chez la sportive ayant des cycles r guliers on peut retrouver cette diminution d amplitude dans un degr moindre On note surtout une insuffisance lut ale avec raccourcissement de la phase lut ale et baisse de la s cr tion de progest rone La moiti des patientes sportives avec un cycle r gulier ont des troubles de la phase lut ale 4 Ce point est tr s important chez cette cat gorie de patientes parce qu il ne peut tre suspect qu la lumi re de l anamn se initiale sur l activit sportive Ce d faut de la phase lut ale pourrait expliquer des r sultats moins bons chez ces patientes compris en f con dation in vitro 5 L exercice et Le sport sont de mani re g n rale b n fiques pour la sant Le risque pour la fertilit appara t en cas de pratique intensive voire excessive associ e ou non une balance nerg tique d s quilibr e Cela induit au niveau de l axe hypothalamo hypo physo gonadique une r action r versible
16. du sein bouger contre les maladies cardio vascu laires oui probablement mais faut il bouger contre m nopause Il est vrai qu avec la m nopause l ost oporose augmente ainsi que le risque de cancer du sein et de maladies cardio vasculaires surcharge pond rale le diab te de type 2 alors que justement l activit physique pr vient les cons quences vitales de m nopause et du vieillissement notions qui ne sont pas faciles d terminer et am liore ces grands fl aux L activit physique n emp che pas de devenir vieux mais ralentit le vieillissement L activit physique n emp che pas d tre m nopaus e mais cela en modifie les cons quences Il s agit du domaine le plus tudi l activit physique diminue la morbi mortalit cardio vasculaire tant coronarienne que par accident vasculaire c r bral Les raisons sont multiples perte de poids avec augmentation de la masse maigre et diminution de la masse grasse en particulier visc rale Cela augmente l insulino sensibilit et de ce fait diminue risque thrombotique en augmentant la fibrinolyse baisse de l inhibiteur du plasminog ne Cela diminue aussi risque thrombotique par un effet sur la cin tique circulatoire On constate aussi une am lioration du profil lipidique baisse du LDL cholest rol et augmentation du HDL cholest rol une diminu tion de la pression art rielle et de l paisseur de l intima m dia une augmentation d
17. incontinence Ed John O Schorge 2008 23 13 De Lancey J Anatomy of the female bladder and urethra In Bent AE Ostergard DR Cundiff GW etal Ostergard s urogyneco logy and pelvic floor dysfunction 5th ed Philadelphia Lippincott Williams amp Wilkins 2003 9 13 Kruger JA Dietz HP Murphy BA Pelvic floor function in elite nulliparous athletes Ultrasound Obstet Gynecol 2007 30 1 81 5 14 Ree ML Nygaard Muscular fatigue in the pelvic floor muscles after strenuous physical activity Acta Obstet Gynecol Scand 2007 86 7 870 6 15 Bo k Backe Hansen L Do elite athlete experience low back pelvic girdle and pelvic floor complaints during and after pregnancy Scand J Med Sci Sports 2007 17 480 7 16 Eliasson K Nordlander l Larson B Hammarstr m M Mattsson E Influence of physical activity on urinary leakage in primiparous women Scand J Med Sci Sports 2005 15 87 94 17 Nygaard IE Does prolonged high impact activity contribute to later urinary incontinence A retrospective cohort study of female Olympians Obstetrics Gynecology 1997 90 5 718 22 18 Bo K Sundgot Borgen J Are former elite athletes more likely to experience urinary incontinence later in life than non athletes Scand J Med Sci Sports 2010 20 100 4 37 P le de gyn cologie obst trique CHU d Angers 4 rue Larrey 49933 Angers 38 a 40 dition des Journ es de la Soci t fran aise de m decine p
18. la concentration d androg nes dans les testicules est 50 fois sup rieure celle mesur e dans plasma Malgr une concentration plasmatique normale voire lev e sous st ro des anabolisants ces concentrations ne peuvent induire une testost ron mie testiculaire suffi sante pour maintenir la spermatogen se et donc la plupart des utilisateurs de st ro des anabolisants d veloppent un hypogonadisme hypogonadotrope avec azoospermie Il faut noter que les utilisateurs de st ro des anabo lisants peuvent rester fertiles pour plusieurs raisons En particulier l usage simultan d HCG qui est une pratique commune chez les athl tes peut tre parfois efficace puisque dans certains cas peut restaurer la fertilit par la stimulation directe de fonction testiculaire N anmoins il n y actuellement pas d tude montrant de fa on vidente r le protec teur de De plus une prise prolong e d HCG peut aussi induire une gyn comastie par augmenta tion s cr tion d estradiol Enfin les sujets qui prennent des st ro des anabolisants peuvent rester fertiles malgr un taux de spermatozo des s v rement diminu si sperme garde ses fonctions normales mobilit et morphologie des spermatozo des Parmi les autres effets ind sirables bien document s il faut rappeler l apparition fr quente d une gyn comastie par aromatisation p riph rique des androg nes en estradiol C est pourquo
19. la majorit En effet si l intensit des exercices doit tre soutenue elle doit tre ajust e aux performances initiales et augment e au fur et mesure de l entra nement en suivant la progression de la force est utopique et m me parfois risqu de proposer des personnes g es des exercices dynamiques contre r sistance avec des charges lev es En pr vention secondaire m me chez des femmes g es une activit physique d intensit mod r e pourrait galement att nuer Le taux de perte osseuse participant ainsi au traitement de l ost opo rose Dans ce cadre il appara t imp ratif d opter pour des sports dans lesquels le risque de chutes est minime voire nul L activit physique r guli re apporte d autres b n fices chez ces femmes plus g es parmi lesquels l augmentation de la force musculaire et de l quilibre participant la r duction du risque de chutes et donc de fractures Le sport intensif peut tre source d un hypogona disme l origine d une diminution du pic de masse osseuse s il est pratiqu t t dans la vie ou d une acc l ration de la perte osseuse plus tard Il est habituel de voir appara tre des anomalies marqu es en cas d apports nerg tiques inadapt s cice physique pratiqu Chez de jeunes athl tes les sports imposant un morphotype longiligne danse gymnastique etc peuvent tre l origine d un retard de maturation du squelette et du d velop
20. rinatale s est tenue Deauville du 20 au 22 octobre 2010 Ces journ es permettent de r unir tous les profession nels amen s prendre en charge le couple m re enfant Elles se sont d roul es comme l accoutum e dans une excellente convivialit et ont t riches en communi cations scientifiques Plusieurs tables rondes furent organis es La premi re avait pour th me latrog nie p rinatalit F Goffinet rappel la iatrog nie induite par des cures r p t es de corticoides ant natal et la n cessit d obtenir un suivi long terme chez les enfants expos s Les effets pervers potentiels de certaines politiques de d pistage en obst trique ont galement t mentionn s avec comme exemple l estimation du poids f tal par cho graphie dans la pr diction de macrosomie Concer nant la iatrog nie en n onatalogie il est noter que les infections nosocomiales et les l sions cutan es restent les v nements iatrog nes les plus fr quents Il a t rappel que l valuation des pratiques profes sionnelles et l existence dans chaque centre de revue de mortalit et de morbidit sont d un grand int r t dans la pr vention des v nements iatrog nes en p rinatalit Evrard repr sent le Collectif interassociatif autour de la naissance CIANE afin de fournir le point de vue des usagers en mettant l accent sur l importance d une alliance entre parents profes
21. tisme course pied cyclisme sur route o la masse grasse et le poids peuvent tre v cus comme une limite la performance les sports cat gories de poids judo karat boxe lutte halt rophilie aviron Les sports d but pr pubertaire pour l am norrh e primaire gymnastique patinage Il est important de souligner que les cycles sont r guliers chez pr s de la moiti des sportives dans une population de 400 sportives de haut niveau ayant r pondu un questionnaire sur les troubles du cycle l INSEP sans diff rence significative du rythme d entra nement l am norrh e de plus de 6 mois concerne 7 des sportives dans cette popu lation 6 Le sport de haut niveau est compatible avec des cycles r guliers Dans une tude contr le r alis e aupr s de 669 sportives norv giennes de niveau lite compar es 607 femmes s dentaires Torstveit et Sundgot Borgen 4 ne retrouvent pas de troubles du cycle plus fr quents quand le volume d entra nement est situ dans le quartile sup rieur par rapport au quartile inf rieur et pas plus de perturbations chez les femmes pratiquant des sports collectifs ou techniques de niveau lite avec un entra nement moyen de 14 heures par semaine que dans popu lation s dentaire Cela sugg re que sont pas l intensit ou le volume d entra nement qui sont responsables de ces dysfonctionnements du cycle menstruel mais la composition corpore
22. 121152 l BSD IRIDTINMNINENS CLUE 8 E ININ EI SIN I AMI MATIE 1 1 ITS Ji NNIT SATA 111 ENS HENT Eu ri MER FMES i THN WETH ENITE EMME CHIE TENNAN LLELE Ti Err El CEINT 8 1 ES PARISIEN E NE SISTMINST T RSI Ener DIT DIN 14 JOIE EMALII 1 B 43 ETS VISITER nana II SN Ei h
23. 61 51 88 Fax 04 73 61 51 39 E mail contact agence mo com Internet www agence mo com GYM COLOGIE 08 CTETRIQUE REPRODUCTION i AE EA 17 Service m dical de l Institut national du sport de l expertise et de la performance INSEP 11 avenue du Tremblay 75012 Paris Maternit du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon 125 rue d Avron 75020 Paris 18 Ma tre Harvey est 1992 que furent regroup s norrh e les troubles des conduites alimentaires et sous le nom de triade de la femme athl te expression clinique possible du dysfonctionnement de l axe gonadotrope li une r serve nerg tique insuffi sante 7 Actuellement une meilleure connaissance de la physiopathologie permet de d finir un mod le plus adapt cette pathologie il y a un continuum des troubles de la fonction gonadotrope variant en fonction de la disponibilit nerg tique associ un effet d l t re sur l os de l ost op nie l ost opo rose 2 de la sportive est rarement un motif de consultation car elle est bien accept e chez la sportive qui se satisfait de son c t pratique elle n est cependant pas n gliger afin d viter ce retentissement possible de l hypoestrog nie sur la sant particuli rement sur le m tabolisme osseux et lipidique L
24. 75020 Paris Ma tre Harvey onsid r e longtemps comme une patho du vieillissement ou de la femme multi pare l incontinence urinaire est galement reconnue depuis les travaux de ces derni res ann es comme une pathologie de la femme jeune sportive en bonne sant L incontinence urinaire est d finie par l International Continence Society comme la plainte de toute perte involontaire d urines Suivant les circonstances de survenue il en est d crit trois types L incontinence urinaire d effort qui survient lors d activit s physiques accompagn es d une hyperpression abdominale ou lors de la toux Sa pr valence dans les populations tudi es est de 22 50 1 L incontinence par urgenturie qui peut tre pr c d e ou accompagn e d un besoin mictionnel non ma trisable avec une pr valence de 9 14 L incontinence urinaire mixte qui associe ces deux m canismes de fa on variable avec une pr valence de 9 55 Dans cette th matique du sport nous traiterons de l urgenturie peut n anmoins exister chez sportive mais ne lui est pas particuli re tudes Population ge ans Pr valence Sports les plus risque Nygaard 156 lites 16 22 28 Gymnastique basket et al 2 ball tennis Thyssens 291 lites 22 8 58 Gymnastique ballet et al 3 aerobic Bo et Borgen 4 660 lites ver 15 39 41 versus Gymnastique a robic sus 765 con
25. Les recommanda tions outre Atlantique de Soci t des obst triciens et gyn cologues SOGC et de l American College of Obstetricians and Gynecologists ACOG affirment n cessit de pratiquer une APS adapt e d intensit mod r e r guli re durant la grossesse et sans objectif de performance 2 3 Pr cisant qu il faut inciter les femmes commencer une activit physique ces recommandations mettent l accent sur l information donner aux femmes l exercice n est pas risque au cours d une grossesse physiologique dans le respect des contre indications m dicales et ne modifie pas en post partum la qualit et la quantit de lait ni la croissance de l enfant Elles s appuient sur des essais comparatifs non randomis s bien con us et sur les tudes de cohortes multicentriques Nous savons qu une APS r guli re est recommand e tout au long de la vie pour ses b n fices sur la sant partir de 150 minutes d activit physique par semaine La consultation pr conceptionnelle permet d valuer niveau de pratique sportive soit le nombre d heures par semaine le type d activit et l intensit les contre indications ventuelles Les contre indications relatives sont r valu es lors des consul tations mensuelles en fonction du suivi de grossesse ce qui peut limiter l arr t ou la diminution impor tante de la pratique sportive qui se fait en l absence m me de toute contre indication 3 p r
26. dents familiaux et l impr gnation estrog nique l impact de l hygi ne de vie sur l apparition de cancer du sein est une question pos e r guli rement par les patientes en consultation de gyn cologie Au centre des interrogations outre la place de mentation et des apports exog nes en estrog nes question de la pratique d une activit physique r guli re occupe une place importante Il est admis par tous que la s dentarit augmente le risque de maladie m tabolique diab te ob sit etc et de maladies cardio vasculaires semble galement que s dentarit augmente le risque de d velopper un cancer du sein 1 Depuis plus de trente ans de nombreux auteurs ont tudi l effet d une activit sportive sur l incidence et la mortalit par cancer du sein Plus de 73 tudes 2 sur le sujet sont r f renc es la majorit d entre elles retrouve une r duction significative du risque de cancer du sein En moyenne r duction du risque est de 25 Cet effet b n fique s exerce pour tout type d activit Mais il semble proportionnel la fois l intensit de l activit physique exerc e et surtout la dur e hebdomadaire Ainsi la r duction du risque est de 28 chez les femmes qui font au moins 6 heures de sport par semaine compar une baisse de 7 en moyenne chez les patientes qui en font 3 heures De m me quand on tudie la r duction du risque en fonction de la p riode de la vie
27. des cas L action conjugu e de plusieurs facteurs est souvent constat e Les stra t gies de neuroprotection restent difficiles tablir L hypothermie en am liore pronostic et est main tenant largement pratiqu e en France Enfin F Pierre a rappel les diff rents aspects m dico l gaux int ressant l obst tricien confront une telle situation en signalant que la plupart des plaintes sont bas es sur des anomalies du rythme cardiaque f tal la pr somption d un d lai excessif et ou d un d faut dans la prise en charge Plusieurs soci t s savantes se sont r unies lors de ces journ es la Soci t de psychologie p rinatale Soci t pour l tude de l hypertension art rielle pendant grossesse le Groupe d tude grossesse et addictions Plus de cent communications libres ou expos s didactiques ont eu lieu pendant ces 3 jours et 115 posters ont t expos s De nombreuses th ma tiques ont donc t abord es notamment autour des r seaux de p rinatalit des h morragies de la d livrance du diagnostic ant natal de la prise en charge Ces journ es de p rinatalit furent l occasion d ap porter des l ments nouveaux concernant des sujets pourtant bien connus mais toujours controvers s Les prochaines journ es de m decine p rinatale auront lieu Grenoble du 12 au 14 octobre 2011 cette occasion diff rentes tables rondes seront pr vues avec pour th me Naissa
28. en cours de grossesse soit 30 minutes par jour chez les femmes de poids normal et chez les femmes en surpoids ce qui rejoint les recommandations pour la population g n rale 77 L activit physique am liore l image de soi permet de mieux vivre les modifications corporelles li es la grossesse et diminue fatigue et anxi t du premier trimestre 72 Une diminution significative de la d pression post partum ayant donn lieu une pres cription m dicamenteuse a t rapport e chez les femmes avec activit physique pendant la grossesse par rapport aux s dentaires OR 0 81 ICs 0 66 0 99 13 1 MET Metabolic Equivalent Task quivaut la d pense d nergie de repos soit une consommation d oxyg ne de 3 5 ml kg de masse corporelle par heure Un bien tre physique avec diminution du syndrome douloureux abdominal du quatri me mois et moins de lombalgie est rapport 7 Les sympt mes d d me des membres inf rieurs et lourdeurs de jambes sont diminu s par l activit physique aquatique La pathologie veineuse varice et thrombose veineuse est moindre 3 La derni re revue Cochrane en 2007 confirme que l activit physique pratiqu e l ann e avant la grossesse est plus b n fique que celle commenc e au moment de la grossesse 74 Plus r cemment l tude de cohorte prospective concernant 85 139 femmes enceintes note que le b n fice dispa ra t avec l apparition d une augmentation l g
29. et donc une augmentation du rapport masse grasse masse maigre est invisible sur balance mais tr s nette lorsque l on s int resse la composition corporelle L effet du traitement hormonal de m nopause THM sur ce ph nom ne n est pas pr cis L estrog noth rapie par voie orale m me tendance accentuer la perte musculaire en augmentant la TeBG Testosterone Binding Globulin ou prot ine porteuse de la testost rone plasmatique et en diminuant de ce fait la testost rone libre qui est n faste pour muscle L administration cutan e de l estradiol n a pas cet effet d l t re L exercice physique est cependant le facteur majeur du maintien de masse maigre et donc du poids et de la diminution des risques de la sarcop nie C est cette sarcop nie et cette augmentation du rapport masse grasse masse maigre qui induisent l insulinor sistance elle m me si n faste pour les risques vasculaire et carcinologique 4 5 Pour dire les choses simplement car ce th me est trait dans un autre chapitre l exercice physique diminue le risque de cancer du sein et en am liore pronostic Cela passerait par une baisse de sulin mie et une diminution des adipocytokines hormones provenant du tissu adipeux 6 L activit physique est bonne pour le moral La d pres sion est un facteur de risque ind pendant de mortalit cardio vasculaire Une s ance d exercice physique par semaine diminue de 22
30. l alcool Incontestablement tous ces l ments ne correspondent pas l image que nous nous faisons tous du sportif ou de la spor tive De fait l inactivit physique par exemple est bien un facteur reconnu de difficult sexuelle Au del de 40 ans les hommes ont moins de troubles de l rection s ils pratiquent r guli rement une activit physique ou un sport et la fr quence de ces dysfonc tions rectiles DE est corr l e au tour de taille De la m me mani re il a t d montr par une tude polonaise toute r cente que la pratique d une activit physique tait corr l e une sexualit plus gratifiante chez les femmes p rim nopause g es de 45 55 ans Il est bien entendu tr s probable que b n fice du sport en mati re de qualit de vie sexuelle passe par des m canismes multiples parmi lesquels se situent en bonne place une meilleure sant un renforce ment cardio vasculaire une meilleure stabilit motionnelle une r duction des effets du stress ou une meilleure capacit de relaxation Pour autant une bonne hygi ne de vie une absence de tabagisme ou une silhouette svelte ne peuvent suffire pour panouir coup s r une sexualit Celle ci est d pendante de trop de facteurs psycho logiques personnels historiques contractuels trop de donn es li es au couple la famille ou l environnement socioprofessionnel pour qu il en soit ainsi D autres questions in
31. l hypertrophie clitoridienne les troubles du cycle avec oligom norrh e ou am nor rh e l atrophie mammaire et la calvitie de type mascu line qui est plus grave chez la femme c est que m me apr s l arr t des st ro des anabolisants certains de ces changements peuvent rester permanents voix grave pilosit faciale calvitie de type masculin 7 S il y a beaucoup moins d articles publi s sur la prise de st ro des anabolisants et reproduction chez femme que chez l homme la publication de certains des dossiers de la STASI met en vidence l importance des complications induites par la prise de st ro des anabolisants fortes doses nombreux cas de virili sation de syndromes des ovaires polykystiques avec inflammation kystique r currente Dans certains cas des athl tes f minines ont chang de sexe cons cu tivement la prise continue d androg nes Enfin prise de st ro des anabolisants contre indique une grossesse car alors risque t ratog ne est lev avec possibilit s de malformations du f tus Dans les dossiers de STASI on peut lire Dans le cas de grossesse malgr la contraception obligatoire ordre d avorter dans tous les cas tait donn Dans les deux sexes il existe d autres risques long terme associ s la prise prolong e de st ro des anabo lisants Les effets ind sirables h patiques peuvent aussi tre graves induisant des ad nomes et des ad nocarci nom
32. mais aussi oxcarbaz pine topiramate felbamate ritonavir gris ofulvine et eoit contenant du millepertuis Echecs de l effet contraceptif observ s avec les antibiotiques tels que les et les t tracydlines Utilisation concomitante d ovules antimycosiques de rupture d anneau Sul plus lev R sultats de certains param tres biologiques influencables par l utilisation de st ro des contracep tifs GROSSESSE ET ALLAITEMENT Grossesse non indiqu Allaitement non recommand EFFETS INDESIRABLES Fr quent 1 100 infections vaginales d pression baisse de la libido c phal es migraines douleurs abdominales naus es acn tension mammaires g nital douleurs pelviennes dysm norh e pertes vaginales prise de poids expulsion de l anneau li e l anneau Peu fr quent lt 1 100 gt 1 1000 cervicite cystite infection urinaire 01 entation de l app tit labilit affective alt ration de l humeur sautes d humeur vertiges hypoesth sies trouble de la vue bouff es de chaleur ballonnement de l abdomen diarrh e vomissements constipation alop cie ecz ma prurit rash douleur du dos contractions musculaires douleur aux extr mit s dysurie miction urgente pollakiurie am norrh e inconfort mammaire hypertrophie mammaire masse mammaire polype cervical saignements co taux dyspareunie ectropion du col maladie fibrokystique du sein m norragie m trorragie g ne pelvienn
33. nerg tique n gative est plus fr quente en r ponse aux exigences de la sp cialit sportive dans les sports dits esth tiques en athl tisme et dans les sports cat gories de poids plus fr quente galement en cas de r gime strictement v g tarien Ce d ficit nerg tique peut tre involontaire spor tive n augmentant pas suffisamment ses apports pour compenser ses d penses par m connaissance Il r sulte une disponibilit nerg tique insuf fisante au bon fonctionnement de l axe gonado trope avec modification de la pulsatilit de la GnRH plus lente entra nant en cascade ralentissement et diminution des pulses de LH s cr tion plus faible de FSH ralentissement du cycle ovarien de folli culogen se voire anovulation avec cliniquement au maximum survenue d une am norrh e Il s agit d une am norrh e hypothalamique fonctionnelle Depuis le travail de Hilton et Loucks il est tabli que ce ralentissement de l axe gonadotrope est li au d ficit nerg tique 8 Chez des femmes s den taires les auteurs ont induit les m mes ralentis sements de la fonction ovarienne en mettant des femmes s dentaires en carence nerg tique par restriction alimentaire Ily a un continuum des troubles du cycle en lation troite avec l insuffisance de la disponibilit nerg tique la premi re perturbation induite est l insuffisance lut ale La disponibilit nerg tique est d fini
34. oligom norrh e ou une am norrh e 1 Les sports risque sont essentiellement des sports d endurance en particulier la course pied du 5 000 m au marathon Les sports de force de vitesse et Les sports collectifs semblent moins incrimin s Les effets ne sont pas constants mais sont d au tant plus marqu s que poids de d part est faible Chez ces patientes une intensification de l activit augmente les risques d am norrh e L am norrh e est li e une n gativation de la balance nerg tique et sa p rennisation peut conduire la triade de la femme athl te consistant en des troubles alimentaires une am norrh e et une ost op nie Le point principal est la r p titivit du sport et des s ances Pour m me niveau d entra nement les troubles du cycles vont de la normalit l am norrh e Il existe donc une variabilit inter individuelle 2 L exercice avec balance nerg tique n gative est un mod le de restriction comme dans les famines et l alt ration du statut nutritionnel est un des stimuli de l axe gonadotrope via une diminution de la leptine des cellules adipeuses et une l vation de la ghr line 3 La leptine et ghr line sont les deux signaux primaires dans l hom ostasie du poids corporel En plus la diminution des apports caloriques est une cause de baisse de libido et d hypofertilit La s cr tion de B endorphines les neurones de partie ventro m
35. r alis une tude contre placebo en double aveugle et randomis e pour d terminer les effets s par s d un entra nement de musculation et de doses pharmacologiques de testost rone sur la masse et la force musculaires 2 Quatre groupes de sujets masculins 19 40 ans ont t constitu s pas d entra nement versus entra nement et chacun des deux groupes b n ficiait soit d injections de placebo soit d injections de testost rone agonistes de la GnRH 600 mg d nanthate de testost rone par semaine condui sant une augmentation de la testost ron mie par 5 pendant 10 semaines Le groupe testost rone sans entra nement a pr sent un gain significatif de volume et de force musculaires par rapport au groupe placebo sans entra nement Le groupe testost rone et entra nement a pr sent un gain plus important de masse et de force musculaires que le groupe nement et placebo ou que groupe testost rone sans entra nement Ainsi testost rone augmente la masse le volume et la force musculaires chez des sujets masculins eugonadiques De plus l entra ne ment majore l effet des androg nes sur muscle Il existe par ailleurs un effet dose r ponse entre les doses de testost rone re ues gains de masse volume force et puissance musculaires et diminution de la masse grasse 3 On ne sait pas si une telle relation dose r ponse existe chez la femme mais les r sultats rapport s dans les do
36. t suffisante pour augmenter la masse maigre Ainsi l exercice physique l ancienne puisait l individu et conduisait une mort pr matur e Une utilisation plus raisonnable du corps s est accompagn e d une nette augmentation de l esp rance de vie jusqu ce que l activit physique passe au dessous d un seuil amenant une d t rioration du capital sant avec en particulier une augmentation de l insulinor sis tance pourvoyeuse de diab te de type 2 de maladies cardio vasculaires et de cancers Un d veloppement raisonnable de l activit physique est la seule solution actuellement pour viter cette pid mie annonc e qui risquerait d inverser la courbe d esp rance de vie comme on l observe depuis peu aux tats Unis En postm nopause l exercice physique bien des effets b n fiques sur le vieillissement musculaire et sur les cons quences de la carence estrog nique sur les organes vitaux Les effets directs sur la qualit de vie et Le syndrome climat rique sont loin d tre prouv s mais m me s il s agit d un b n fice indi rect comme l am lioration de l image de soi avec un contr le de la prise de poids n y a t il pas que r sultat qui compte R f rences bibliographiques 1 Cheng MH Wang 5 Yang FY Wang PH Fuh JL Menopause and physical performance community based cross sectional study Meno pause 2009 16 892 6 2 Pines Berry Exercise the menopause an update
37. troite avec le Samusocial est capitale Les objectifs vis s sont de rendre les transports accessibles d adapter l ali mentation aux besoins et de stabiliser l h berge ment Sur le plan m dical l accent est mis sur le d cloisonnement m dico social avec un largisse ment des partenariats sur le territoire s appuyant sur les r seaux primaires les structures locales et associatives Le versant p diatrique et p dopsychiatrique des enfants n s dans un contexte de pr carit a mis en vidence leur surcro t de vuln rabilit L h berge ment sous l angle du Samusocial t abord plus en d tail par sa directrice g n rale Stefania Parigi puis sous l angle de l aide sociale l enfance Catherine Gorce responsable de l Action d par tementale envers les m res isol es et leurs enfants sans oublier l clairage sociologique anthropologique de l alimentation dans contexte de la pr carit apport par Christine Cesar de l INPES Ces premi res journ es SOLIPAM ont permis d ap porter un clairage pratique sur une situation trop longtemps mise de c t la pr carit en obst trique De visionnaire les mots de Dominique Mahieu Caputo Grossesse pr carit urgence m dicale sont devenus r alit de terrain Les prochaines jour n es sont en cours d laboration Notre quipe toujours plus pr s de vous vous souhaite une tr s belle ann e 2011 Clau
38. 1 4290 5 9 Jarow Lipshultz LI Anabolic steroid induced hypogonadotropic hypogonadism J Sports Med 1990 18 429 31 10 Socas L Zumbado M P rez Luzardo et al Hepatocellular adenomas associated with anabolic androgenic steroid abuse in body builders a report oftwo cases anda review of the literature Br J Sports Med 2005 39 5 27 11 Urhausen AlbersT Kinder mann W Are the cardiac effects of anabolic steroid abuse in strength athletes reversible Heart 2004 90 496 501 12 P rssinen M Kujala U Vartiainen E Sarna S Sepp l T Increased premature mortality of competitive powerlifters suspected to have used anabolic agents Int J Sports Med 2000 21 225 7 16 Les effets ind sirables endocriniens li s la prise de st ro des anabolisants concernent principalement la fonction gonadique Dans les deux sexes la prise de st ro des anabolisants induit un hypogonadisme hypogonadotrope par suppression dose d pendante des gonadotrophines hypothalamiques et hypophy saires Cet hypogonadisme hypogonadotrope se traduit par une atrophie testiculaire une gyn comastie et des modifications de la libido L infertilit avec oligo ou azoospermie associ e des anomalies de la motilit et de la morphologie des spermatozo des r sulte de suppression des gonadotrophines hypophysaires mais aussi d un effet suppressif local de l exc s d an drog nes sur le testicule 8 En effet chez l adulte
39. 2011 les bonnes r solutions Presse dition Multim dia Soci t ditrice CPPAP 0312 81439 ISSN 0759 1594 P RIODIQUE DE FORMATION EN LANGUE FRAN AISE ensue Prix du num ro 19 A www edimark fr NUV 15pug 120pug 24h syst me de diffusion vaginal Contraception estroprogestative mensuelle 15 ug par 24 heures Pour les femmes qui veulent une contraception simple A 24 Fi gt Pour l adopter il faut l essayer Ethinylestradiol Sous r serve du respect des contre indications mises en garde pr cautions d emploi et interactions m dicamenteuses 1 R sum des carat ristiques du produit NuvaRing NUVARING 15ug 1 0 0 heures Etonogestrel FORMES ET COMPOSITION Anneau vaginal contenant 2 70 mg d thinylestradiol et 11 70 mg re Exdpients Copolym re d ac tate de vinyle 28 d ac tate de vinyle copolym re d thyl ne d ac tate de vinyle 9 d ac tate de vinyle st arate de magn sium INDICATIONS THERAPEUTIQUES Contraception NUVARING est destin aux femmes en ge de procr er La s curit et l efficacit ont t chez des femmes g es de 18 40 ans POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Mode d emploi de NUVARING Le m decin doit oa la femme comment mettre en place et retirer NUVARING Pour l insertion la femme devra choisir la position lui paraissant la plus confortable NUVARIN
40. 4 semaines une grossesse doit tre exclue avant la mise en place d un nouvel anneau Si la femme n a pas respect les instructions d utilisation et n a pas d h morragie de pri vation durant l intervalle suivant sans anneau une grossesse doit tre exclue avant la mise en place d un nouvel anneau Comment d caler ou retarder les r gles De facon exceptionnelle pour retarder les r gles la femme peut mettre en place un nouvel anneau la suite du pr c dent sans pie la semaine habituelle sans anneau L anneau suivant peut alors tre utilis pendant une p riode de 3 semaines L utilisation normale de NUVARING est ensuite reprise apr s l intervalle habituel d une semaine sans anneau Pour d caler la survenue des r gles peut conseiller la femme de raccourcir l intervalle sans anneau du nombre de jours qu elle souhaite CONTRE INDICATIONS NUVARING ne doit pas tre utilis dans les conditions mentionn es ci dessous Si l une de ces situations appara t pour la premi re fois pendant l utilisation de NUVARING celui ci doit tre imm diatement retir Pr sence ou ant c dents de thrombose veineuse qu il y ait ou non embolie pulmonaire Pr sence ou ant c dents de thrombose art rielle par exemple accident vasculaire c r bral infarctus du myocarde ou signes annoncigteurs d une thrombose par ex angine de poitrine accident isch mique transitoire e Facteurs de risque connus des thromboses veineuses ou art rielles
41. Climateric 2007 10 Suppl 2 42 6 3 Maltais ML Desroches Diojnne Change in muscle mass and strenghth after menopause J Musculoskelet Neuronal Interact 2009 9 186 97 4 Jamin Poids m nopause et THS JTA 2000 Gyn cologie one line 5 Mastorakos G Valsamakis G Paltoglou G Creatsas Manage ment of obesity in menopause diet bexercice pharmacotherapy and bariatric surgery Maturitas 2010 65 219 24 6 Jamin Quelles hormones promeuvent le cancer du sein en postm nopause estrog nes progestatifs insulines et ou adipo cytokines Gynecol Obstet Fertil 2010 38 1 3 7 Daley Strokes Lampart Mutrie MacArthur for vasomotor menopausal symptoms Cochrane Library 2009 issue 8 Innes Selfe TK Taylor AG Menopause the metabolic syndrome and body therapies Menopause 2008 15 1005 13 27 1 Service de chirurgie gyn cologique et s nologique h pital europ en Georges Pompidou AP HP 20 rue Leblanc 75908 Paris Cedex 15 2 Universit Paris Descartes facult de m decine 15 rue de l cole de M decine 75270 Paris Cedex 06 3 Inserm UMR 5 747 universit Paris Descartes 28 Achouri 2 A S Bats 3 C Bensaid Huchon 2 F Lecuru 2 vec une incidence autour de 45 000 nouveaux cas par le cancer du sein repr sente un probl me de sant publique c t des facteurs de risques majeurs que sont les ant c
42. G doit tre pinc et ins r dans vagin jusqu ce qu aucune y ne soit per ue Une fois ins r dans le vagin voir Premi re utilisation de NUVARING NUVARING est laiss en place sans interruption pendant 3 semaines Si NUVARING est expuls accidentellement la femme doit suivre les instructions de la rubrique Que faire si l anneau est temporairement rest en dehors du vagin pour plus d informations voir aussi la rubrique expulsions NUVARING doit tre retir apr s 3 semaines d utilisation le m me jour de la semaine que celui o il a t ins r Apr s une p riode d une semaine sans anneau un nouvel anneau est ins r NUVARING peut tre retir soit en passant l index sous l anneau soit en le saisissant entre l index et le majeur Une fois utilis l anneau doit tre remis dans son sachet E hors de port e des enfants et des animaux de compagnie et tre jet comme indiqu la rubrique Pr cautions particuli res d limination et de manipulation L h morragie de privation appara t habituellement 2 3 jours apr s le retrait de NUVARING et peut ne pas tre compl tement termin e lors de l insertion de l anneau suivant Premi re utilisation de NUVARING Pas de contraception hormonale pr alable au cours du cycle pr c dent NUVARING doit tre ins r le 1 du cycle c est dire le premier jour des r gles La femme pa commencer NUVARING entre le 2 et le 5 jour du cycle mais dans ce c
43. LG 358 359 2011 Conform ment la Loi Informatique et Libert du 6 janvier 1978 vous disposez d un droit d acc s et de rectification des donn es que vous avez l transmises en adressant un courrier Edimark SAS Les informations requises nous sont n cessaires pour la mise en place de votre abonnement Bulletin renvoyer compl t et accompagn du r glement EDIMARK SAS 2 rue Sainte Marie 92418 Courbevoie Cedex ETES Shore LE 5 eZ zap 1 an hgne sur me E g rare TIETE mie m de Bin ANENITSNUS Domi EIRE Be or ET 3 LMI im R E EMNER E EU 4 D OR EIFS E RE IL i SIMAHE 2 HAIN CODEN
44. Position stand androgen and human growth hormone use J Strength Cond Res 2009 3 5 51 559 2 Bhasin 5 Storer TW Berman N et al The effects of supraphysiologic doses of testosterone on muscle size and strength in normal men N Engl J Med 1996 335 1 7 3 Bhasin S Woodhouse L Casaburi R etal Testosterone dose response relationships in healthy young men Am J Physiol Endocrinol Metab 2001 281 6 1172 81 4 Shipp JR Jiang J et al Mechanical load increases muscle IGF I and androgen receptor MRNA concentrations in humans Am J Physiol Endocrinol Metab 2001 280 3 383 90 5 Kadi F Bonnerud P Eriksson A Thornell LE The expression of androgen receptors in human neck and limb muscles effects of training and self adminis tration of androgenic anabolic steroids Histochem Cell Biol 2000 113 25 9 6 Sinha Hikim l Taylor WE Gonzalez Cadavid NF Zheng W Bhasin S Androgen receptor in human skeletal muscle and cultured muscle satellite cells up regulation by androgen treat ment J Clin Endocrinol Metab 2004 89 5245 55 7 WW Berendonk Hormonal doping genization of athletes secret program of the German Demo cratic Republic government Clin Chem 1997 43 1262 79 8 Jin B Turner L Walters WA Handelsman DJ The effects of chronic high dose androgen or estrogen treatment on the human prostate corrected 1 J Clin Endo crinol Metab 1996 8
45. aises ont une activit physique insuffisante Ce discours s inscrit dans de plus larges recommandations diffus es par l INCa sur l importance de l hygi ne de vie dans pr vention de certains cancers dont celui du sein R f rences bibliographiques 1 World cancer research fund American institute for cancer research Food nutrition physical activity and prevention of cancer global perspective Washington DC AICR 2007 2 Friedenreich CM The role of physical activity in breast cancer etio logy Semin Oncol 2010 37 3 297 302 3 McTiernan Mechanisms linking physical activity with cancer Nat Rev Cancer 2008 8 3 205 11 EI p pas sn 0 se HI i l MEIENI TI ur me 7 1 1 E EURE E EI EIRE DEN 306 co he 13H NSN iE l La PIL SET TAH CIN CE MENT ITA BIS TE i AIR
46. alimen taire ad quate et une activit physique r guli re contribuent l acquisition et au maintien d un capital osseux Comme pour tout l exc s est n faste Ainsi en est il du sport dont l effet favorable sur masse osseuse s inverse lorsque l exploit devient excessif Cependant une chose est s re si vraie pr vention de la fragilit osseuse d bute d s fance et se poursuit l adolescence la m nopause une activit physique bien dos e et r guli re centr e sur des zones strat giques d os porteurs associ e une alimentation quilibr e avec des apports calciques corrects et un apport en vitamine D suffi sant permet de limiter au mieux la perte osseuse postm nopausique qu il y ait ou non n cessit d un traitement m dicamenteux contre l ost oporose L ducation des femmes dans ce sens est essentielle et Le gyn cologue y joue un r le fondamental Bien s r il ne s agit pas de proposer des non sportives de se prendre en main pour courir prochain marathon mais de trouver des solutions adapt es chacune Ainsi la marche praticable par la plus grande majorit doit tre largement recommand e et adapt e chaque cas avec 3 r gles d or plus longtemps possible plus vite possible et le plus souvent possible La consultation de gyn cologie constitue galement le cadre id al pour mettre en valeur les nombreux autres b n fices du sport tant physiques que psychiqu
47. ans sports faible impact comme marche diminue pour le quintile d activit par semaine plus lev 2 heures par jour par rapport une activit plus faible moins de 2 heures par semaine avec RR 0 80 0 80 0 99 ce qui s explique en partie par le maintien d un poids stable avec la pratique d une activit r guli re 72 La pr valence augmente donc en fonction des sports de l intensit la pratique et de r p tition des exercices fort impact sur une m me p riode Ces donn es cliniques s expliquent par un ensemble de d s quilibre et de d faillance d s quilibre entre la pression intra abdominale et les forces de r tention du plancher pelvien d faillance du plancher pelvien et de la stabilit ur trale Le plancher pelvien est compos d l ments muscu laires la sangle pubo rectale la plaque des fais ceaux des muscles releveurs de l anus et d l ments conjonctifs fascia pelvien paroi vaginale ant rieure admis que la rupture d quilibre entre une pres sion abdominale absorbable et un plancher pelvien d faillant est l origine de l IUE 72 Le hamac sous ur tral dans son entit globale d crite par De Lancey 13 dans les ann es 1980 agit comme un m canisme de blocage sur lequel vient s appuyer l ur tre ainsi contenu par ses l ments de soutien lors des augmentations de pression intra abdominale Le rel chement des structure
48. apital osseux les 30 50 restants sont environnementaux minemment d pendants de l hygi ne de vie Parmi les mesures hygi no di t tiques simples pr conis es pour favoriser l acquisition ou le maintien d un bon capital osseux l activit physique garde une place de choix Cependant seules Les activit s en charge course pied marche etc celles qui imposent au squelette de r sister des contraintes inhabituelles musculation etc ont un r el impact sur m tabolisme osseux Le r sultat est positif pour le squelette condition que la pratique sportive soit durable et ininterrompue absence d effet r manent l inverse la natation relative apesanteur et le cyclisme n apportent pas de b n fice dans ce domaine sp cifique du capital osseux L activit physique pratiqu e r guli rement durant l enfance en synergie avec le statut hormonal et le r gime alimentaire optimise le de masse osseuse Peak Bone Mass PBM r duisant ainsi le risque ult rieur d ost oporose Ainsi la pratique des sports en charge chez sujet jeune permet d augmenter la masse osseuse Or on sait que chaque augmentation d une d viation standard du PBM r duit le risque fracturaire de 50 Par la suite la perte osseuse physiologique progressive est frein e par la poursuite de la pratique de certains sports Chez femme m nopaus e l ob jectif est double freiner perte osseuse postm no pausique
49. ar semaine chez l homme avec prise simul tan e de plusieurs st ro des anabolisants par voie orale et parent rale par cycles de 6 8 semaines 1 Parmi les jeunes adultes am ricains 2 5 2 7 ont au moins une fois dans leur vie utilis des st ro des anabo lisants Le probl me ne touche pas que les tats Unis car une tude internationale montre que la pr valence est de 1 3 pour les adolescents en secondaire Dans la communaut des bodybuilders et adeptes des salles de musculation les chiffres passent 15 30 Plus grave deux tiers des utilisateurs de anabolisants sont des sportifs amateurs qui utilisent ces mol cules pour des raisons esth tiques plut t que pour augmenter leurs performances sportives Ainsi l usage de st ro des anabolisants n est pas confin au sport professionnel C est maintenant un probl me qui affecte une large population au niveau interna tional incluant des adolescents et des jeunes adultes Les st ro des anabolisants repr sentent environ 15 des classes de substances retrouv es lors de contr les antidopage positifs en France donn es de l AFLD Agence fran aise de lutte contre le dopage et 45 des classes de substances retrouv es lors de contr les antidopage positifs par la WADA World Anti Doping Agency Les r sultats des tudes exp rimentales d montrent sans quivoque l effet anabolisant de ces st ro des En 1996 Bhasin et al ont
50. as il est recommand d utiliser m thode contraceptive compl mentaire au cours des premiers jours de ce premier cycle d utilisation de NUVARING Relais d un con traceptif hormonal combin La femme doit ins rer au plus tard le jour suivant l intervalle habituel sans comprim ou sans patch ou le jour suivant le dernier comprim placebo du contraceptif hormonal combin Si la m thode pr c dente a t utilis e correctement et conform ment aux recommandations et si une grossesse peut tre raisonnablement cart e le relais par NUVARING peut tre effectu n importe quel jour du Relais d une m thode uniquement progestative pilule microprogestative implant ou injection ou relais d un syst me intraut rin lib rant un progestatif SIU La femme commencer N VARING n importe quel jour de la prise d une pilule microprogestative mais e type barri re pendant les 7 premiers jours d utilisation de NUVARING Apr s un avortement du premier trimestre La femme peut commencer imm diatement elle doit dans tous ces cas utiliser une m thode contraceptive compl mentaire de type barri re premier peut con r immi Dans ce cas il n est pas n cessaire qu elle utilise une m thode contraceptive compl mentaire Si un passage imm diat NUVARING n est pos souhaitable la femme devra les recommandations mentionn es la rubrique Pas de con traception hormonale pr alable au cours du cycle pr
51. avec ou sans facteurs h r ditaires comme r sistance la prot ine C activ e d ficit en ant thrombine d ficit en prot ine d ficit en prot ine hyperhomocyst in mie et anticorps anfiphospholipides anticorps anticardiolipine anticoagulants de type lupique 9 Ant c dents de avec sympt mes neurologiques focaux Diab te compliqu avec atteinte vasculaire La pr sence de facteur s de risque grave s ou muffiple s de thrombose veineuse ou art rielle peut aussi constituer une contre indication voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Pr sence ou ant c dents d affections s v res jusqu nor malisation des param tres de la fonction h patique Pancr atite ou ant c dent de pancr atite surtout si associ une hypertriglyc rid mie s v re Pr sence ou ant c dents de tumeurs h patiques b nignes ou malignes Diagnostic ou suspicion d affections malignes hormonod pendantes des organes g nitaux ou du sein gt H morragies g nitales non diagnostiqu es Hypersensibilit l une des substances actives ou l un des excipients de NUVARING MISES EN GARDE SP CIALES ET PRECAUTIONS D EMPLOI En pr sence de l une des conditions ou de l un des facteurs de risque mentionn s ci dessous les b n fices et les risques de l utilisation de NUVARING devront tre valu s individuellement pour chaque femme et discut s avec elle avant qu
52. cologists for exercise during pregnancy and the postpartum period Br J Sports Med 2003 37 6 12 4 Haakstad LA Voldner N Herriksen T Bo K Physical activity leveland weight gain in a cohort of pregnant Norwegian women Acta Obstet Gynecol Scand 2007 86 5 559 64 5 Kardel KR Effects of intense trai ning during and after pregnancy in top level athletes Scand J Med Sci Sports 2005 15 79 86 6 Clapp 11 JF Exercise during pregnancy a clinical update Clinics in Sports Medicine 2000 19 2 273 86 7 Kramer MS Mac Donald SW Aerobic exercise for women during pregnancy Cochrane Database Syst Rev 2006 3 CD000180 8 Clapp IlI JF Kim H Burciu B et al Continuing regular exercise during pregnancy effect of exercise volume on fetoplacental growth Am J Obstet Gynecol 2002 186 1 142 7 9 Ludwig DS Currie J 550 ciation between pregnancy weight gain and birthweight within family comparison Lancet 2010 376 9745 984 90 10 Brankston Mitchell BF Ryan E et al Resistance exercise decreases the need for insulin in owerweight women with gesta tional diabetes mellitus Am Obstet Gynecol 2004 190 1 188 93 11 Oken E Ning Rifas Shiman SL Radesky JS Rich Edwards JW Gillman MW Associations of physical activity and inactivity before and during pregnancy with glucose tolerance Obstet Gynecol 2006 108 5 1200 7 12 Poudevigne M O Connor review of physical activity patterns i
53. croissance sont princi palement influenc s par des facteurs g n tiques En revanche on a observ que la pratique sportive intensive pouvait jouer un r le sur la croissance et ce de fa on diff rente en fonction du sport pratiqu 4 Chez les filles pratiquant la gymnastique artis tique les r sultats sont discut s certaines tudes concluent une diminution du potentiel de crois sance 5 6 en identifiant comme facteurs respon sables un poids et un taux de masse grasse faibles ainsi qu une intensit lev e d entra nement 6 d autres concluent que la taille adulte pr visible n est pas r duite 7 Une tude r cente a montr chez des gymnastes une pouss e de croissance moins intense et survenant un an plus tard que chez les filles non sportives mais similaire d autres filles de petite taille maturation tardive et ayant des parents de petite taille 8 En gymnastique ryth mique non seulement les pr dispositions g n tiques sont respect es mais la taille cible est m me d pass e 9 Dans les autres sports aucune alt ration de la croissance t not e aussi bien natation qu en tennis en course longue distance en aviron ou encore en lutte et ce quelles que soient les variations d apports caloriques en fonction des p riodes de perte de poids pr c dant les comp titions 4 Le d clenchement de la pubert et des premi res menstruations d pend de facteurs g n tiques et
54. d quation entre les d penses d nergie et Les apports assimil s entra nant une disponibilit nerg tique juste suffisante aux sollicitations des m tabolismes vitaux ou stimul s muscles condition d ajuste ments neuro endocriniens d pargne nerg tique et de mobilisation des substrats Les cons quences de l am norrh e chez la sportive sont celles de l hypoestrog nie associ e la balance nerg tique n gative Elle est peu document e L am norrh e fonctionnelle avec effondrement de l estradiol mie et absence de d veloppement folliculaire s accompagne d une anovulation Un retour des cycles ovulatoires lieu soit apr s r tablissement des r serves nerg tiques prise de poids de 1 2 kg en moyenne ou l arr t de l entra nement parfois pour cause de blessure En pratique et suivant le contexte mode de vie contra ception la survenue d une am norrh e doit faire rechercher une grossesse l am norrh e fonctionnelle restant un diagnostic d limination Une publication r cente portant sur 3 887 femmes norv giennes de moins de 45 ans montre qu un indice d activit physique lev intensit fr quence dur e tend majorer risque d infertilit apr s ajustement des variables ge parit tabagisme et statut marital par rapport aux femmes ayant un indice d activit l g re ou moyenne 1 5 IC 1 2 3 Parmi les femmes de moins de 30 ans la relation activit physiqu
55. de facteurs pouvant tre influenc s par la pratique sportive facteurs nutritionnels pourcentage de masse grasse hormonaux hormone de croissance leptine tat g n ral maturation de l axe hypotha lamo hypophysaire etc 10 11 Un retard du d veloppement pubertaire et de la maturation sexuelle a t observ au cours de la pratique de nombreux sports en particulier en gymnastique en danse et en course longue distance 12 Le retard pubertaire d pend du type d exercice de son intensit de sa fr quence de sa dur e et est d autant plus prononc dans les sports requ rant une restriction calorique que l on nomme sports minceur L ge de la est plus tardif chez les filles sportives de haut niveau 13 4 1 4 ans moyenne cart type que chez les filles sportives 13 1 3 ans et ce d autant plus dans les sports minceur 13 7 1 5 ans que dans les autres sports 13 1 1 4 ans 13 Dans les ann es 1970 Frisch formul l hypoth se de masse grasse critique selon laquelle un pourcentage de masse grasse d au moins 17 tait n cessaire l apparition des premi res menstruations et la r gularit mens truelle 74 Le fait de s entra ner de fa on intensive avant la pubert a galement t identifi comme un facteur responsable d un retard de la 15 En dehors de l ge tardif de m narche on aussi observ un retard de la pouss e de crois
56. des apports nutritionnels est essen tielle afin d anticiper une prise de poids excessive li e la diminution de la d pense d nergie chez une sportive de haut niveau Les conditions d une reprise haut niveau sont ainsi r unies et favoris es par la bonne adaptation cardio vasculaire l effort par l augmentation physiologique de la VO au cours de la grossesse conditions qui persistent dans le post partum de 6 mois 1 an 6 La grossesse risque et grossesse pathologique sont les contre indications Elles sont m dicales ou obst tricales d ordre absolu ou relatif Pour ces derni res nous tiendrons compte de la balance b n fice risque m dicale ou obst tricale 3 La derni re revue Cochrane publi e en 2006 soit 11 essais concernant 472 femmes pratiquant une activit physique au moins 3 fois par semaine conclut une am lioration ou au maintien de l tat de sant pendant la grossesse 7 Troubles cardio vasculaires ou respiratoires 23 R f rences bibliographiques 1 Haakstad LA Voldner Herriksen Why do pregnant women stop exercising in the third trimester Acta obstet gynecol 5 2009 88 11 1267 75 2 Directive clinique conjointe de la Soci t des gyn cologues et obst triciens du Canada et de la Soci t canadienne de physiologie de l exercice JOGC 2003 129 1 6 3 Artal R O Toole M Guide lines of the American College of Obstetricians and Gyne
57. devraient tre inform es des mesures pr ventives et th rapeutiques des prolapsus urog nitaux 3 La pratique du sport expose donc le p rin e des contraintes importantes variables en fonction du sport concern et de l intensit avec laquelle il est pratiqu Certains sports ou mauvaises habitudes d veloppent les muscles abdominaux aux d pens des muscles pelviens c est dire que le p rin e devient incapable d opposer une r sistance antagoniste la pression de l axe abdominal l inverse une activit physique peut avoir comme objectif le renforcement p rin al comme mesure pr ventive voire curative L quipe norv gienne ayant objectiv la fonction musculaire du plancher pelvien comme facteur ind pendant de prolapsus urog nital 7 s est particuli rement int ress e aux bienfaits d une activit physique de musculation p rin ale appel e pelvic floor muscle training 4 6 Des mesures en chographie tridimensionnelle chez 59 femmes pr sentant un prolapsus de grade 1 3 ont montr de mani re significative une augmen tation du volume musculaire pubococcygien une fermeture du hiatus form par les muscles releveurs un raccourcissement de la longueur musculaire et une l vation de la position de la vessie et du rectum par comparaison avec 50 femmes pr sen tant la m me pathologie mais n ayant pas pratiqu les exercices de contraction des muscles pelviens pendant 6 mois Les deux groupes a
58. die Damour Terrasson 41 Nexplanon successeur d Implanon Avec pr s 10 ans de recul et l ex p rience de plus d un million cent mille implants vendus en France depuis 2001 Schering Plough laboratoire du groupe MSD met Nexplanon la disposition des femmes et du corps m dical Ce contraceptif tr s efficace offre gr ce son nouvel applicateur une insertion facilit e de l implant Cet applicateur limite le risque d inser tion trop profonde et comporte un m canisme de blocage par levier de protection qui pr vient la chute de l implant L insertion de l implant peut dor navant tre r alis e d une seule main sa dur e moyenne d appli cation tant de moins de 30 secondes De plus la pr sence de sulfate de baryum dans l implant facilite sa localisation dans le bras de la patiente par une simple radiographie En grande majorit les m decins qui l ont d j exp riment se disent satisfaits o tr s satisfaits par le nouvel applicateur de Nexplanon Tout comme Implanon Nexplanon d livre continuel lement un progestatif tonogestrel et il agit essentielle ment inhibant l ovulation tout en pr servant une activit ovarienne pour qui concerne la s cr tion d estrog ne Son efficacit est comparable celle de la pilule estropro gestative sans la contrainte d une prise quotidienne et sans risques d oublis source fr quente de grossesse non d sir e L implant Nexplanon
59. e Les donn es de l tude HAPO et les recommandations de l IADPSG International Association of Diabetes and Pregnancy Groups qui en d coulent nous am nent r fl chir aux modifications que nous allons proposer en France tout au moins qui concerne d pistage et diagnostic comme le souligne Vambergue Les sp cificit s de la surveillance chographique d une grossesse chez une femme pr sentant un DG sont moins la recherche de malformations cong nitales que le diagnostic de macrosomie f tale et l tude de fonction cardiaque f tale au cours du troi si me trimestre de la grossesse La prise en charge obst tricale et choix de la voie d accouchement d pendront notamment de l ge gestationnel de l estimation du poids f tal et du contr le glyc mique Les complications n onatales sont essentiellement li es l existence d une macrosomie Il para t par ailleurs important pour chaque maternit de disposer de protocoles pour la pr vention et le traitement des hypoglyc mies du nouveau n Les cons quences long terme pour nouveau n commencent tre bien connue U Simeoni a soulign l existence d argu ments forts en faveur d un cercle vicieux perp tuant programmation pr coce du DT2 et des maladies cardio vasculaires chez les descendants de m res pr sentant un DG en raison d une exposition intra ut rine des concentrations lev es de glucose avec une tran
60. e 10 11 Son taux est corr l au volume de masse grasse et l quilibre nerg tique Un d ficit nerg tique entra ne une baisse la leptin mie et un ralen tissement des pulses de GnRH Hilton et Loucks ont montr que chez les femmes s dentaires leptin mie tait significativement plus basse chez les carenc es en apport alimentaire par rapport aux non carenc es plus bas chez les athl tes de haut 19 20 niveau que chez les s dentaires m me si la r gularit du cycle tait encore pr sente En cas d am norrh e une abolition du cycle nycth m ral de s cr tion de leptine est observ e 11 Avec des r cepteurs pr sents sur l hypothalamus et de nombreux tissus p riph riques dont l ovaire et les cellules pr ost oblastiques la leptine constitue un r gulateur de l axe gonadotrope son d ficit est frei nateur elle module la formation osseuse D autres hormones peptidiques orexig nes la ghr line produite par Les cellules fundiques de l estomac et le noyau arqu hypothalamique et le peptide PYY produit par les cellules gastro intestinales pourraient intervenir comme marqueurs ou modula teurs du d ficit nerg tique chronique La ghr line un taux significativement plus lev chez les sportives uniquement chez celles en am norrh e ayant une disponibilit nerg tique basse par ailleurs l ad ministration de ghr line supprime les pulses de LH chez la rat
61. e moins de d pressions moins de troubles du sommeil gt Concernant le sport de haut niveau il faut retenir qu il ne s agit pas d une pratique risque sous r serve d une surveillance r guli re actuel lement deux consultations annuelles obligatoires Dans une volont de pr vention la priorit est donn e l information faite la sportive et l entra neur pour que les sympt mes ne soient ni banalis s on pense l am norrh e ni rel gu s au rang du tabou l incontinence urinaire Enfin l association sport et grossesse sera d velopp e Il faut retenir que la grossesse ne doit pas tre une p riode d interruption de l acti vit sportive mais qu il faut bien s r adapter le sport La natation et la marche sont recommand es mais il est galement possible de pratiquer jogging jusqu 4 5 mois de grossesse le golf le tennis La rupture de la pratique sportive est observ e chez plus de 50 des femmes avec une prise de poids trop souvent excessive et une augmentation de l incidence du diab te gestationnel Apr s avoir lu ce dossier nous encouragerons nos patientes pratiquer un sport nous prendrons chemin de la remise en forme et chausserons nos running pour l ann e venir Vive les bonnes r solutions Bonne ann e 2011 Pour renforcer votre prise en charge des g nes urinaires r p tition DUO NUTRITIONNEL PROPRI T S ANTIBACT R DISPONIBLE EN PHARMACIE 2
62. e syndrome pr menstruel contractions ut rines sensation de br lure vaginale odeur douleur vaginale g ne vulvo vaginale s cheresse vulvo vag inale fatigue initabilit malaise sensation de corps tranger augmentation de la po art rielle li e au dispositif contraceptif rupture d anneau SURDOSAGE Naus es vomissements et chez les petites filles l gers Trajtement sym PROPRIETES PHARMACODYNAMIQUES ET PHARMACOCIN TIQUES Classe pharmacoth rapeutique Anneau vaginal contenant un et un estrog ne Code 0028801 PR CAUTIONS PARTICULI RES DE CONSERVATION Liste AMM 3400936308138 16 d c 2003 r v d c 2009 anneau vaginal en sachet Aluminium bo te de 1 AMM 3400936308367 16 d c 2003 r v d c 2009 anneau vaginal en sachet Aluminium PE PET bo te de Non rembours par la S curit Sociale NUV mh 1011 1 Schering Plough 34 avenue L onard de Vinci 92400 Courbevoie T l 01 80 46 40 40 Pour une information compl te consulter le dictionnaire Vidal ou le r pertoire des sp cialit s pharmaceutiques de l Afssaps sur le site www afssaps sante fr Schering Plough traite des donn es personnelles dans le cadre de ses relations avec les professionnels de sant traitement permet Schering Plough de dispenser une information m dicale sur ses sp cialit s rapport avec les besoins des praticiens mener des actions de f
63. e est en situa tion de pauvret mon taire avec des disparit s d partementales Une mission interminist rielle sur la pauvret et l exclusion sociale en le de France t mise en place Pr carit et pauvret vont occasionner un suivi m dical m diocre ou inexis tant des grossesses entra nant une augmentation de l incidence des pathologies p rinatales Les donn es du rapport de B Blondel en 2003 ont prouv que la pr carit entra ne jusqu 38 de suivi obst trical insuffisant une in galit dans l acc s au d pistage et au diagnostic pr natal et une augmentation des hospitalisations maternelles ant natales L objectif d une meilleure prise en charge est de permettre aux parents en situation pr caire de mieux assumer leurs responsabilit s notamment de protec tion de leur enfant avec un meilleur acc s au droit aux soins et un accompagnement psychosocial Au sein de la maternit un staff de parentalit a t mis en place pour instaurer une prise en charge m dico psychosociale appropri e aux situations particuli re ment pr occupantes sur le plan de la protection de l enfance un staff de protection maternelle infantile PMI pour rep rer les situations risque partir des l ments recueillis dans premier certificat m dical des nouveau n s et un staff psychosocial qui permet de discuter des probl matiques des patientes hospitalis es ou suivies la maternit et de prendre des d c
64. e et infertilit suit une courbe U avec une augmentation de l infertilit aux 2 p les extr mes de pratique lt 15 mn par jour et gt 60 mn par jour 14 Des tudes prospectives longitudinales restent n cessaires L hypoestrog nie intervient avec une augmentation du turn over de formation r duction osseuse aux d pens de la formation mais le d ficit nerg tique intervient aussi directement par les messages via l in suline et l IGF1 sur le m tabolisme osseux 15 La restriction calorique chez des femmes ayant des cycles r guliers et soumises pendant 5 jours des exercices 70 de VO max entra ne une dimi nution significative des taux d ost ocalcine et de procollag ne de type l ost oformation d cro t de fa on lin aire en fonction de la s v rit de la carence avec une r sorption osseuse qui augmente N telopeptide pour une disponibilit nerg tique tr s basse inf rieure 10 kcal kg de masse maigre par jour 16 Le risque de fractures de fatigue doit tre expliqu la sportive pour am liorer l adh sion la prise en charge du trouble du cycle Une hypoestrog nie prolong e entra ne une pertur bation de la fonction endoth liale avec l vation du LDL cholest rol par rapport aux sportives en eum norrh e 77 L histoire l examen clinique de la sportive voire biologie permettent d liminer un syndrome des ovaires polykystiques avec tableau
65. e l IUE est plus fr quente pendant l entra nement que pendant la comp tition 95 2 versus 51 2 p lt 0 001 permettant de parler de dose r ponse en fonction de la r p tition des exercices brefs plut t qu en endurance Ce que constate l tude d Eliasson et al 5 sur les lites en trampoline avec une augmentation significative de en fonction de dur e de l entra nement p 0 04 et en fonction de la fr quence des exer cices 0 01 dans cette discipline toutes les sportives de plus de 15 ans rapportaient des fuites urinaires l effort Bo et Borgen notent une fr quence significative ment plus grande de l IUE chez les sportives ayant des troubles du comportement alimentaire TCA fr quence de l IUE 49 5 par rapport celles qui n ont pas de TCA fr quence de 38 8 p 0 003 sans diff rence significative de la pr va lence de l IUE en fonction de l indice de masse grasse chez les sportives ce qui s oppose aux r sultats concernant la population contr le s dentaire qui pr sente une fr quence significative plus grande avec un indice de masse corporelle IMC lev gt 25 kg m 4 Cette association IUE et troubles du comportement alimentaire serait rattacher au facteur de risque qu est l hypoestrog nie prolong e dans la triade de l athl te sachant la sensibilit du bas appareil urog nital au taux d estrog nes sont les sports fort impact sur le p
66. e sport de loisir concerne 37 des femmes qui d clarent faire du sport au moins une fois par semaine contre 43 des hommes et le nombre de femmes licenci es est en augmentation en France avec au moins 35 des licenci es pour 16 millions de licences L activit physique ou sportive r guli re est consid r e comme un facteur de bonne sant physique et psychique Concernant survenue d IUF nous disposons de quelques donn es sur la population d ge jeune pratiquant un sport dit de loisir d intensit mod r e 35 R f rences bibliographiques 1 Contreras Ortiz Stress urinary incontinence Gynecol Obste trics 2004 86 1 56 516 2 Nygaard JE Thompson FL Sven galis SL Albrigh JP Urinary inconti nence in elite nulliparous athletes Obstet Gynecol 1994 84 183 7 3 Thyssens HH Clevin L Olesen S Lose F Urinary incontinence in elite female ahletes and dancers Int Urogynecol J Pelvic Floor Dysfunct 2002 13 1 15 7 4 Bo K Borgen JS Prevalence of stress and urge urinary inconti nence in elite athletes and controls Med Sci Sports Exerc 2001 33 11 1797 802 5 Eliasson K Larsson T Mattsson Prevalence of stress incontinence in nulliparous elite trampolinists Scand J Med Sci Sports 2002 12 106 10 6 Caylet N Fabbro Peray P Mares P Dauzat M Prat Pradal D Corcos J Prevalence and occurrence of stress urinary incontinence in elite women athletes Can J Urol 2006 13 4 3174 9
67. e sur 24 heures par l apport nerg tique assi mil moins d pense nerg tique li e la pratique sportive C est ainsi le total de l apport nerg tique restant pour les autres fonctions de l organisme 2 Une valeur seuil de disponibilit nerg tique est n cessaire pour des cycles r guliers en dessous de 30 kcal par jour kg de masse maigre le cycle menstruel est perturb ce seuil correspond la couverture des d penses basales 9 L apport nerg tique doit tre global quantitative ment mais aussi qualitativement avec un apport suffisant en lipides dans la ration quotidienne environ 15 de la ration alimentaire chez les sportives par rapport 30 dans la population g n rale Un d ficit nerg tique de 700 kcal par jour associ une restriction des apports lipidiques moins de 15 s accompagnent d une am norrh e Le lien entre masse grasse d ficit nerg tique et cycle menstruel est port par la leptine s cr t e par tissu adipeux La leptine d couverte en 1994 est une hormone de type peptidique compos e de 167 acides amin s Elle est produite galement par l hypothalamus l hypophyse le placenta l estomac foie et muscle et envoie un signal de sati t de la p riph rie l hypothalamus La leptine des fonctions endocrines multiples modulant l activit des axes thyr otrope somatotrope corticotrope et gonadotrope et modifie la sensibilit l insulin
68. elle ne prenne la d cision de l utiliser 1 Troubles circulatoires Utilisation de contraceptifs hormonaux associ e la survenue de thromboses veineuses thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire de thromboses art rielles et de leurs complications avec parfois des cons quences fatales Autres maladies associ es des v nements ind sirables circulatoires diab te sucr lupus ryth mateux diss min syndrome h molytique ur mique ent ropathie inflammatoire chronique Augmentation de la fr quence ou de la s v rit des imposer l arr t imm diat de l utilisation de NUVARING Utilisation des COC interrompre en cas de thrombose suspect e ou confirm e 2 Tumeurs 3 Autres affections Suivi attentif des femmes diab tiques pendant l utilisation de NUVARING notamment pendant les premiers mois d utilisation Si au chloasma viter de s exposer au soleil ou aux ultraviolets l utilisation de NUVARING Survenue occasionnelle de vaginites Possibilit d apparition de saignements irr guliers pendant l utilisation de NUVARING INTERACTIONS AVEC D AUTRES M DICAMENTS ET AUTRES FORMES D INTERAC IONS Des interactions entre les contraceptifs hormonaux et d autres m dicaments peuvent conduire des irr guliers et ou des checs contraceptifs Interactions rapport es avec des inducteurs microsomiaux tels que ph nyto ne ph nobarbital primidone carbamaz pine rifampicine
69. ement de changement d adresse ou de demande de renseignements merci de joindre votre derni re tiquette adresse Votre abonnement prendra effet dans un d lai de 3 semaines r ception de votre r glement Un justificatif de paiement vous sera adress Votre tarif pour Cochez la case qui vous correspond Collectivit Particulier au lieu de 190 tudiant Tarifau num ro Merci de bien vouloir joindre la copie de la carte d tudiant Votre tarif pour Cochez la case qui vous correspond Collectivit Particulier au lieu de 380 tudiant Tarif au num ro Merci de bien vouloir joindre la copie de la carte d tudiant Vous devez r gler VOTRE TARIF inscrivez celui que vous avez coch Frais de port par avion Votre revue vous sera envoy e En France DOM TOM En Europe Afrique En Asie Oc anie Am rique TOTAL FRAIS DE PORT INCLUS Vous r glez par cochez Carte bancaire VISA EUROCARD MASTERCARD Nel IIll IlI Il I 1 Dated expirationi I I Date Signature obligatoire Ch que l ordre de EDIMARK La Lettre du Gyn cologue d abonnement 10 num ros d abonnement 20 num ros LGY eae TTC 6 TTC 12 TTC TTC I I Trois derniers chiffres au dos de votre carte bancaire Virement bancaire r ception de facture r serv aux collectivit s
70. enstrual disturbances in exercising women confirmation using daily hormone measures Hum Reprod 2010 25 2 491 503 5 Morris SN Missmer SA Cramer DW et al Effects of lifetime exercise on the outcome of in vitro fertilization Obstet Gynecol 2006 108 938 45 Abonnez vous en ligne Bulletin d abonnement disponible page 43 13 Service de m decine du sport et des explorations fonctionnelles CHU Gabriel Montpied 58 rue Monta lembert 63003 Clermont Ferrand Cedex 1 14 M Duclos es st ro des anabolisants sont les premiers agents dopants dont l efficacit a t prouv e scientifiquement Cependant leur utilisation est tr s ancienne D j dans l Antiquit les discoboles absorbaient de grandes quantit s de testicules de mouton pour augmenter leur taux de testost rone avant les Jeux Depuis les techniques de dopage sont plus labor es la gamme et les doses d hor mones utilis es se sont largies et leur efficacit est augment e certains laboratoires clandestins sont m me devenus de v ritables steroids designers en produisant clandestinement des mol cules modifi es afin de contourner les tests de d pistage ou d aug menter leurs effets sur la prise de masse musculaire L efficacit du dopage par les st ro des anabolisants est telle qu une demande a t d pos e aupr s du Comit international olympique CIO pour rayer le nom des nageuses est allemandes qui ont remport 11
71. ent pourrait agir au niveau de l hypotha lamus en signalant que les apports nerg tiques sont insuffisants pour permettre reproduction il s agit de la leptine d j voqu e plus haut comme poten tiel facteur d clenchant de pubert La leptine est une hormone s cr t e par les adipocytes dont le r le serait de r guler les adaptations physiologiques un d ficit nerg tique 77 Une baisse de concen tration de la leptine pourrait ainsi jouer Le r le d un signal d alarme et inhiber s cr tion GnRH Cette hypoth se permettrait donc de comprendre le lien existant entre entra nement physique alimentation et retard pubertaire en cas de balance nerg tique n gative concentration de leptine diminue ce qui perturbe la s cr tion de GnRH et donc par cons quent la fonction reproductrice 18 Face une adolescente sportive pr sentant un retard pubertaire principale tiologie voqu e est celle d une balance nerg tique n gative responsable d un hypogonadisme hypogonadotrope fonctionnel mais il faut n anmoins mener une enqu te tiologique afin d liminer les autres causes de retard pubertaire L examen clinique permet de relever les ant c dents personnels et familiaux d tablir une courbe de crois sance staturo pond rale de rechercher des signes fonctionnels de coter le stade pubertaire stades de Tanner et d liminer une pathologie en cours La d termination de l ge os
72. er Res 2004 19 8 1231 40 17 O Donnell E De Souza MJ The cardiovascular effects of chronic hypoestrogenism in amenorrhoeic athletes a critical review Sports Med 2004 34 9 601 27 18 Cobb K Bachrach L Sowers M The effect of oral contra ceptives on bone mass and stress fractures in female runners Med Sci Sports Exerc 2007 39 1464 73 19 Witkop C Warren M Understanding the spectrum of the female athlete triad Obstetrics Gynecology 2010 116 6 1444 8 21 Service m dical de l Institut national du sport de l expertise et de la performance INSEP 11 avenue du Tremblay 75012 Paris Maternit du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon 125 rue d Avron 75020 Paris 22 Ma tre Harvey rossesse et sport sont pas incompatibles mais grossesse reste une p riode de dimi nution de l activit sportive voire d arr t en fonction de l ge du niveau de pratique ant rieure de la parit et du niveau socio conomique alors m me que les b n fices d une activit physique ou sportive APS ont fait l objet de nombreuses publi cations ces cinq derni res ann es 1 En France les premi res recommandations profession nelles sur la pratique du sport pendant la grossesse sont celles publi es par la Haute Autorit de sant en avril 2005 Elles ont eu le m rite d affirmer que l activit sportive est possible en dehors des sports risque de chute et de traumatisme
73. es R f rences bibliographiques 1 Wolff I Van Croonenborg J Kemper H et al The effect of exercice training programs on bone mass a meta analysis of published controlled trials in pr and post menopausal women Osteoporosis Int 1999 9 1 12 2 Markou KB Theodoropoulou A Tsekouras A Vagenakis AG Geor gopoulos NA Bone acquisition during adolescence in athletes Ann N Y Acad Sci 2010 1205 12 6 3 Meczekalski B Podfigurna Stopa A Warenik Szymankiewicz A Genazzani AR Functional hypo thalamic amenorrhea current view on neuroendocrine aberrations Gynecol Endocrinol 2008 24 4 11 4 Eser P Hill Bass 5 History of amenorrhea compromises some of the exer cice induced benefits in cortical and trabecular bone in the peri pheral and axial skeleton study in retired elite gymnasts Bone 2009 45 4 760 7 5 Nattiv Loucks Sanborn Sundgot Borgen J Warren American college of sports medicine position stand The female athlete triad Med Sci Sports Exerc 2007 39 10 1867 82 6 Vescovi JD Jamal SA De Souza MJ Strategies to reverse bone loss in women with functional hypo thalamic amenorrhea systematic review of the literature Osteopo rosis Int 2008 19 8 465 78 31 R f rences bibliographiques 1 Braekken Majida M Ellstr m M Holme Bo K Pelvic floor function is independently associated with pelvic organ prola
74. es ils surviennent surtout avec la prise de st ro des AGENDA alkyl s 17a 70 Les autres risques long terme concernent principalement syst me cardio vascu laire HTA HVG concentrique isch mie myocardique etc responsables de troubles du rythme et de mort subite 11 Il faut aussi ajouter d autres effets apn es du sommeil dyslipid mies intol rance au glucose et insulinor sistance troubles psychiatriques addiction steroid rage Par rapport un groupe contr le la mortalit chez les utilisateurs de st ro des anabolisants est multipli e par 4 6 12 Dans une tude avec 6 mois d administration de st ro des anabolisants chez la souris ce qui corres pond approximativement 15 ans chez l homme 35 des animaux taient morts 1 an apr s l administration versus 12 chez les contr les Dans l ex Allemagne de l Est 500 1000 hommes et femmes pourraient b n ficier d une compensation de 3 000 euros par an En effet il est reconnu officiellement tatiquement que la prise de st ro des anabolisants de fa on continue depuis un jeune ge et pour un temps tr s prolong a ruin leur sant mars juin 2011 4 mars 2011 Palais du Luxembourg 15 de Vaugirard 75006 Paris 3 Journ e humanitaire sur la sant des femmes Maternit s adolescentes en France et dans monde Renseignements Gyn cologie sans fronti res Internet www g
75. es circulations collat rales Sans oublier que l exercice physique est bon pour le moral car il permet de diminuer l anxi t d pression Deux grandes tudes prospectives ont permis de confirmer tous ces bienfaits Nurses Health Study et WHI Pendant 20 ans des femmes ayant moins de 1 heure d activit physique par semaine ont t compar es celles pratiquant 3 5 heures par semaine Les premi res augmentent leur risque coronarien de 58 La conclusion de ces tudes est que l activit n cessaire est de plus de 3 Metabolic Equivalent Task par heure Mais il n y a pas de seuil et toute activit physique est bonne avec effet dose 7 2 Une revue de 28 tudes permis de conclure que l activit physique chez les femmes nouvellement m nopaus es augmente la force et la coordination musculaire donc diminue les chutes Pour ce qui est de solidit osseuse les r sultats sont plus probants sur la diminution des fractures que sur le contenu min ral osseux 3 La m nopause ne s accompagne pas d une prise de poids en effet celle ci est lin aire depuis l ge de 30 ans Cette prise de poids est li e au vieillissement musculaire La perte progressive de masse muscu laire provoque une baisse du m tabolisme de base responsable du positivisme de balance nerg tique entra nant une augmentation de la masse grasse Au moment de la m nopause une accentuation de la fonte musculaire
76. es troubles du cycle menstruel correspondent sch matiquement trois tapes de chronologie successive et de gravit croissante Une insuffisance lut ale qui peut se traduire par des cycles courts lt 24 jours accompagn s ou non de syndrome pr menstruel souvent m connu 3 Une oligom norrh e spaniom norrh e avec des cycles longs gt 35 jours Une am norrh e elle peut tre primaire absence de r gles au del de l ge de 15 16 ans alors que les caract res sexuels secondaires sont pr sents ou secondaire absence de r gles depuis 3 mois ou plus La pr valence de de la sportive varie en fonction du sport pratiqu et du niveau de pratique Le haut niveau est d fini par l excellence sportive et la participation aux comp titions nationales et internationales avec une moyenne de 20 heures par semaine d entra nements l Institut national du sport de l expertise et de la performance INSEP centre national d entra nement et t te de r seau du sport de haut niveau Dans cette population pr valence de est de 20 70 suivant les auteurs 4 5 alors qu elle est de 2 5 dans celle de la population s dentaire Sont concern s Les sports dits esth tiques o le contr le du poids et la minceur sont recherch s patinage artistique gymnastique natation synchronis e Les sports d endurance qui demandent l g ret et force athl
77. et entretenir une bonne forme physique On parle davantage de l effet de l activit physique sur le ralentissement de la perte osseuse en sachant que l hormonoth rapie substitutive associ e un programme d exercices physiques pourrait avoir effet positif sur les vert bres et le col f moral Chez le sujet g plusieurs tudes pid miologiques concluent l effet protecteur de l activit physique sur la pr va des fractures du col du f mur Les programmes d entra nement comportant des sports en charge ou avec impact sur le sol pourraient r duire de 1 au moins la perte osseuse physiologique avant et apr s m nopause 7 Les contraintes m caniques appliqu es sur le squelette au cours d une activit physique modifient remodelage osseux en augmentant la formation osseuse au niveau d application des contraintes m ca niques Ainsi les activit s en charge ont un effet positif sur le squelette porteur membres inf rieurs et rachis et se traduisent par une r ponse ost og nique Cette r ponse est d autant plus positive que les contraintes sont en nombre r duit mais d intensit lev e et appli qu es un rythme rapide Certes la course pied et les sports comportant des sauts danse sports collectifs terrestres etc apparaissent comme les plus efficaces mais plus simplement la marche par s quence de 30 minutes 5 fois par semaine donne cellents r sultats et est plus accessible
78. ez de grandes sportives plus g es le m me type d anomalies hormonales induit des troubles du cycle type de spaniom norrh e parfois extr me voire d am norrh e secondaire Ce sont les sports d endurance marathon cyclisme natation etc qui sont alors le plus souvent impli qu s L hypogonadisme souvent associ une insuf fisance d apport nerg tique est alors responsable d une perte osseuse pr matur e pouvant conduire l ost oporose En effet les b n fices habituelle ment attribu s la pratique d une activit sportive sont r duits n ant en cas d am norrh e 4 Des troubles alimentaires sont retrouv s avec une insuffisance d apports nerg tiques que celle ci soit intentionnelle ou simplement inadapt e l effort physique Cette association troubles du comportement alimentaire ost oporose est devenue une v ritable entit nomm e triade de femme athl te 5 Le traitement passe par un r ajustement alimentaire associ une r duction de l activit sportive Le retour des cycles menstruels t moin de la gu rison est cependant souvent long obtenir Les tentatives de traitement par la pilule estroprogestative ou la substitution hormonale se sont r v l es infructueuses sur le plan osseux 6 L ost oporose est plus facile pr venir qu traiter Les bonnes habitudes hygi no di t tiques suivies d s l enfance incluant une consommation
79. i certains utilisateurs ajoutent du tamoxif ne leur cocktail de st ro des anaboli sants afin de pr venir survenue d une gyn comastie Pendant la prise de st ro des anabolisants et au d cours de la prise de ces st ro des profil biologique associe FSH et LH plasmatiques basses voire indosables augmentation ou diminution de la testost ron mie augmentation de la concentration plasmatique d estra diol Le test de stimulation la LH RH est g n ralement non r actif La r activit testiculaire la stimulation par la LH test l HCG est nulle Cet hypogonadisme est r versible apr s l arr t des st ro des anabolisants Mais la restauration de l activit de l axe gonadotrope de la production de testost rone endog ne et de la spermatogen se n cessite g n ralement entre 3 et 12 mois 9 Il faut insister sur le fait que ces effets s aggravent avec l importance des doses prises et leur dur e Ainsi de r cents rapports montrent quelques cas pour lesquels la testost rone est rest e basse 2 5 ans voire 5 ans apr s l arr t des st ro des anabolisants Les relations entre prise de st ro des anabolisants et cancer de la prostate ne sont pas clairement tablies jin et al 8 ont mesur la taille de la prostate en utilisant une technique de r f rence planim trie en 3D par ultrasons par voie transrectale chez des utili sateurs de st ro des anabolisants dur e moyenne d utilisation 18 mois
80. in T l 01 46 67 62 77 Fax 01 46 67 63 10 Responsable du service abonnements Badia Mansouri T l 01 46 67 62 74 Fax 01 46 67 63 09 7 Presse dition Multim dia 2 rue Sainte Marie 92418 Courbevoie Cedex 2011 les bonnes r solutions 2011 the good resolutions Ph Descamps Pubert et sport Pubertal development and sport Nguyen Ma tre Sport et sexualit Physical performance sexuality F Collier Sport et infertilit Sport and infertility JM Mayenga V Grzegorczyk Martin J Bela ch Allart Dopage par les st ro des anabolisants Androgens as doping agent M Duclos L am norrh e de la sportive Amenorrhea in athletes Ma tre Harvey Grossesse et sport Pregnancy and sport Ma tre Harvey Activit physique et m nopause Menopause and physical performance Jamin Une activit sportive r guli re peut r duire le risque de cancer du sein The role of physical activity in breast cancer Achouri 5 Bats Bensaid F Lecuru Sport et ost oporose Exercice and osteoporosis Raccah Tebeka F Levy Weil Statique pelvienne et sport Pelvic floor function and sport M Mezzadri L Maillet Lefebvre Lac uille L Catala Ph Descamps L incontinence utinaire de la sportive Urinary incontinence in elite athletes C Ma tre T Harvey Journ es de la Soci t fran aise de
81. ing Acta Obstet Gynecol Scand 1994 73 3 269 73 12 Malina RM Physical growth and biological maturation of young athletes Exerc Sport Sci Rev 1994 22 389 433 13 Torstveit MK Sundgot Borgen J Participation in leanness sports but not training volume is associated with menstrual dysfunction a national survey of 1276 elite athletes and controls Br J Sports Med 2005 39 3 141 7 14 Frisch RE McArthur JW Menstrual cycles fatness as a determinant of minimum weight for height necessary for their maintenance oronset Science 1974 185 4155 949 51 15 Frisch RE Gotz Welbergen AV McArthur JW et al Delayed menarche and amenorrhea of college athletes in relation to age of onset of training JAMA 1981 246 14 1559 63 16 Yeager KK Agostini R Nattiv A et al The female athlete triad disordered eating amenorrhea osteoporosis Med Sci Sports Exerc 1993 25 7 775 7 17 Hickey MS Calsbeek DJ Plasma leptin and exercise recent findings Sports Med 2001 31 8 583 9 18 Weimann E Gender related differences in elite gymnasts the female athlete triad J Appl Physiol 2002 92 5 2146 52 19 Nattiv A Loucks P Manore M et al The female athlete triad American College of Sports Medicine Position Stand Med Sci Sports Exerc 2007 39 1867 82 H pital Jeanne de Flandre CHRU 59037 Lille Cedex 10 F Collier il est un domaine les croyances les pr jug s et les id es re ues colport s depuis des lustres parti
82. inte p rin ale forte composante isom trique dominante Athl tisme et ses sp cialit s lancer du javelot lancer du marteau aviron escrime halt rophilie quitation planche voile Les sports faible risque Les sports techniques comme le tir les sports port s le cyclisme la natation la marche le golf d clenchant Le v cu de l IUE est bien particulier Les facteurs d clenchant les plus fr quents dans les disciplines sportives tudi es sont les suivants par ordre de fr quence saut r ception de saut saut en longueur course travail des abdominaux soul vement de poids marche rapide ces facteurs li s la pratique sportive 34 des sportives ayant une IUE ajoutent comme facteur d clenchant de fuites urinaires toux un tiers des sportives pr sente au moins 4 facteurs d clenchant Cependant il est int ressant de retenir que Mouritsen et al 70 dans une tude de la pres sion vaginale lors d activit s physiques mod r es passage de la position assise la position debout soul vement de 2 5 kg et Lors de la toux consta tent une augmentation de pression 4 5 fois plus forte lors des efforts de toux par rapport aux activit s physiques mod r es test es notion confirm e par O Dell et al en l absence de facteurs de risque de prolapsus 9 Ainsi l activit physique mod r e int gr e dans l activit quotidienne est moins risque que la toux En Europe l
83. iodes cl s d s le diagnostic de grossesse vers le cinqui me mois et au d but du troisi me trimestre 4 possibilit d une APS de remplacement si tivit n est pas compatible avec la grossesse Les activit s les plus pratiqu es restent la marche et la natation La plong e est la seule activit contre indi qu e de fa on temporaire et absolue par la Soci t de physiologie et de m decine subaquatiques et hyperbares Au cours de la premi re consultation de suivi de grossesse l obligation d information porte sur l arr t de la pratique sportive en cas d apparition de sympt mes qui doivent amener consulter m tror ragies dyspn e contractions c phal es vertiges apparition de retard de croissance intra ut rin perte de liquide amniotique 2 3 Les conseils de s curit li s au sport hydratation compl mentaire apport nerg tique adapt en particulier partir de 13 SA major en cas de sports port s en fonction de la d pense d nergie respect de la p riode d chauffement progressif pratique dans un environnement a r sans faire d exercices en d cubitus dorsal partir du quatri me mois et enfin viter les exercices en altitude gt 1800 La r gle des composantes de l activit sont fr quence intensit et dur e 2 Fr quence des exercices La fr quence recommand e est de 3 fois par semaine pour atteindre progressivement 4 5 fois par semaine en f
84. isions d orientation pour les sorties m re enfant ou suivi de grossesse apr s concertation de l quipe Laure Briend sage femme coordonnatrice du r seau a d velopp la probl matique m dicale de ces femmes dont la grossesse est prise en charge trop tardivement Elles disposent de peu ou pas de ressources sont isol es ont un h bergement instable et ne b n ficient pas d un suivi m dical couverture sociale disparate r gime g n ral sans mutuelle voire absence totale de couverture en passant par la couverture maladie universelle CMU et l aide m dicale d tat AME Le rep rage de ces femmes se fait de fa on continue tout au long de leur grossesse La coh rence de la situation psychoso ciale va permettre d agir sur morbidit p rinatale en influen ant les facteurs sociaux et environne mentaux par d cloisonnement des pratiques m dicales et psychosociales Les ressources du territoire doivent tres optimis es afin d viter un suivi m dical multiple et redondant Il faut savoir couter projet de la femme valuer ses besoins ses priorit s qui ne sont pas forc ment la consultation m dicale valuer la situation m di cale faciliter l int gration dans syst me de soins laborer et expliquer le parcours m dical Un r f rent m dical pour chaque femme est indispensable tout au long de sa prise en charge Son r le est d assurer la continuit veiller aux risques de d crochage vi
85. isir des moyens in puisables de communication mais aussi de remarquables coles de modestie qui nous d montrent chaque jour que rien n est jamais d finitivement acquis Faisons en sorte qu il en soit toujours ainsi l avenir en laissant ces fonctions du corps et de l esprit leur v ritable sens 11 Centre hospitalier des Quatre Villes 141 Grande Rue 92310 S vres 12 J M Mayenga V Grzegorczyk Martin Bela sch Allart a consultation pour infertilit s adresse un couple n ayant pas con u au terme d un an de rapports r guliers et complets sans contracep tion L interrogatoire s adresse aux deux membres du couple la recherche de facteurs av r s ou cach s d hypofertilit Une attention particuli re doit tre accord e aux l ments de mode de vie dont l impor tance cruciale n cessite qu on y consacre temps n cessaire Il est reconnu que la consultation d infertilit vise pas seulement d pister et traiter une ventuelle cause mais prendre en charge l environnement au sein duquel une grossesse est suppos e survenir Un interrogatoire exhaustif sur Les l ments de mode de vie permet de d pister des facteurs dont la correc tion vise am liorer non seulement l efficacit des th rapeutiques mais aussi dans beaucoup de cas les chances de survenue d une grossesse la maison On interroge le couple sur le caract re effectif de la vie commune la fr quence de
86. liqu ou de c sarienne un avis clair est utile avant de recommencer l activit ant rieure la grossesse est conseill d attendre visite postnatale de 6 8 semaines apr s l accouchement Les femmes doivent progressivement revenir au niveau d avant la grossesse sans activit de haut niveau ou chercher des performances n y a pas lieu d tablir syst matiquement un certi ficat de contre indication la pratique sportive pour une femme ayant une grossesse d volution normale si Le sport est adapt la grossesse La grossesse constitue une p riode favorable l coute et l ap plication des messages de sant et parler de l APS sa place en consultation pr conceptionnelle ou en cours de grossesse R f rences bibliographiques 13 Strom M Mortensen El Hali dorson TI et al Leisure time physical activity in pregnancy and risk of postpartum depression pros pective study in a large national birth cohort J Clin Psychiatry 2009 70 12 1707 14 14 Meher 5 Duley L Exercise or other physical activity for preven ting pre eclampsia and its compli cations Cochrane Database Syst 2006 3 0001449 15 sterdal ML Str m Klem mensen AK et al Does leisure time physical activity in early pregnancy protect against pre eclampsia Prospective cohort in Danish women BJOG 2009 116 1 98 107 16 Madsen Jorgensen T Jensen ML Leisure time physical exercise during pregnancy a
87. lle Un point commun entre ces sports que nous pouvons consi comme risque d am norrh e est la faible masse grasse de ces sportives La masse grasse est valu e par la m thode des 6 plis cutan s ou par absortiom trie biphotonique DEXA L indice de masse corporelle IMC est un mauvais indicateur pour cette population Il n y pas de corr lation entre l am norrh e et l IMC poids taille kg m car l IMC ne refl te pas la composition corporelle en masse maigre et masse grasse Une masse grasse faible d nominateur commun chez les sportives am norrh e est le reflet d un d ficit nerg tique c est dire que d pense ner g tique li e l activit physique n est pas compens e par l apport nerg tique assimil Ce d ficit mod r temporaire ou chronique peut entrer dans la nosologie des troubles du compor tement alimentaire retrouv s avec une fr quence de 25 31 dans la population sportive lite par rapport 5 5 9 dans la population g n rale et qui constitue un des l ments de la triade de sportive 1 2 une pes e trop fr quente des difficult s rester dans sa cat gorie de poids un surentra nement une pr disposition individuelle des difficult s g rer stress la perte de poids recherch e dans un but de performance peuvent initier restriction calorique troubles du compor tement alimentaire et d ficit nerg tique 7 Une balance
88. m p 0 013 alors qu tait mesur e une augmentation du diam tre du plan cher des releveurs chez les sportives 0 96 cm versus 0 70 cm p lt 0 01 ainsi une descente du col de la vessie 22 7 mm versus 15 1 mm p 0 03 14 Il est int ressant de noter qu aucune diff rence significative n apparaissait au repos entre les deux groupes soumis man uvre de Valsalva ces modifications anatomiques s ajoute une fati gabilit musculaire du plancher pelvien apr s un entra nement intense sur une p riode donn e avec une contraction maximale qui diminue de 20 apr s 90 minutes d exercices intenses 15 la tol rance individuelle aux efforts fort impact tant fonction de facteurs constitutionnels individuels faisant jouer un r le important au tissu conjonctif capacit de soutien du conjonctif Tous ces l ments objectivent l impact r el et imm diat sur statique pelvienne de la pratique intensive de sport fort impact Qu en est il du devenir long terme Les sportives de haut niveau n ont pas plus d IUE pendant et apr s la grossesse 6 semaines post partum qu une population contr le mais sont significativement plus nombreuses retrouver leur poids d avant la grossesse 16 Cependant les femmes ayant une IUE avant leur grossesse sont plus nombreuses avoir une IUE pendant la grossesse et 1 an du post partum 17 Sur le long terme il n y a actuellement pas de donn es ret
89. m decine p rinatale Deauville 20 22 octobre 2010 AVIS AUX LECTEURS Les revues Edimark sont publi es en toute ind pen dance et sous l unique et enti re responsabilit du directeur de la publication et du r dacteur en chef Le comit de r daction est compos d une dizaine de praticiens chercheurs hospitaliers universitaires et lib raux install s partout en France qui repr sentent dans leur diversit lieu et mode d exercice domaine de pr di lection ge etc la pluralit de la discipline L quipe se r unit 2 ou 3 fois par an pour d battre des sujets et des auteurs publier La qualit des textes est garantie par la sollicitation syst matique d une relec ture scientifique en double aveugle l implication d un service de r daction r vision in situ et la validation des preuves par les auteurs et les r dacteurs en chef Toutes nos publications r pondent aux crit res d exi gence de la presse accr ditation par la CPPAP Commission paritaire des publications et agences de presse adh sion au SPEPS Syndicat de la presse et de l dition des professions de sant indexation dans la base donn es INIST CNRS d claration publique de conflit d int r ts demand e nos auteurs identification claire transparente des espaces publicitaires et des publir dactionnels en marge des articles scientifiques T l 01 46 67 63 00 Fax 01 46 67 63 10
90. m M Nicolson M et al Effect of puberty on the relationship between circulating leptin and body composition J Clin Endocrinol Metab 2000 85 7 2509 18 3 Rowland TW Physiologie de l exercice chez l enfant Bruxelles de Boeck 2010 53 7 4 Georgopoulos NA Roupas ND Theodoropoulou et al The influence of intensive physical training on growth and pubertal development in athletes Ann N Y Acad Sci 2010 1205 39 44 5 Theintz Howald Weiss U et al Evidence for a reduction of growth potential in adolescent female gymnasts J Pediatr 1993 122 2 306 13 6 Georgopoulos NA Markou KB Theodoropoulou A etal Growth retardation in artistic compared with rhythmic elite female gymnasts J Clin Endocrinol Metab 2002 87 7 3169 73 7 Theintz Howald H Allemann Y et al Growth pubertal development of young female gymnasts and swimmers correlation with parental data Int J Sports 1989 10 2 87 91 8 Claessens AL Lefevre J et al Adolescent growth spurts in female gymnasts J Pediatr 2005 146 2 239 44 9 Georgopoulos N Markou K Theodoropoulou A et al Growth and pubertal development in elite female rhythmic gymnasts J Clin Endocrinol Metab 1999 84 12 4525 30 10 Caufriez A Menstrual disorders in adolescence patho physiology and treatment Horm Res 1991 36 3 4 156 9 11 Lindholm C Hagenfeldt K Ringertz BM Pubertal deve lopment in elite juvenile gymnasts Effects of physical train
91. monale une vieille adolescente de 60 ans Ce bilan est celui d une quipe et je tiens remercier l ensemble des membres du comit de r daction et toutes celles et ceux qui ont publi des articles et donc contribu la qualit de la revue Le d but d ann e est galement celui des r solutions et nous ne d ro gerons pas la tradition qui est de proposer un num ro double avec une th matique unique Nous avons choisi de consacrer ce premier num ro 2011 l association sport et gyn cologie bien convaincus que la lecture de ce dossier va nous inciter augmenter notre pratique sportive au cours de cette ann e Les th matiques aussi diverses que sport et pubert sexualit inferti lit dopage am norrh e grossesse m nopause cancer ost oporose statique pelvienne et incontinence urinaire seront d velopp es par les diff rents membres du comit de r daction de la revue Je tiens remercier particuli rement Dr Carole Ma tre gyn cologue m decin du sport attach e l INSEP et responsable du groupe Femme et sport au sein du CNOSF Comit national olympique et sportif fran ais pour son soutien et son expertise dans la r alisation de ce dossier Quelques l ments doivent tre soulign s gt Concernant le sport de Loisir on note une augmentation du nombre de licenci es dans Les clubs de sport 16 millions de licences sportives en France dont 35 d livr es des femmes Une volu
92. n dehors du vagin pendant moins de 3 heures la femme doit remettre l anneau en d s que possible au plus tard dans un d lai de 3 heures Si NUVARING est rest en dehors du vagin pendant plus de 3 heures ou en cas de doute sur la dur e pendant laquelle l anneau est rest en dehors du vagin lors de la 1 ou de la 2 semaine du cycle la femme doit remettre l anneau en place d s qu elle s en rend compte et utiliser simultan ment une m thode contraceptive suppl mentaire comme le pr servatif pendant les 7 jours suivants Si NUVARING est rest en dehors du pendant plus de 3 heures ou en cas de doute sur la dur e pendant laquelle l anneau est rest en dehors du vagin lors de la 3 semaine du cycle femme doit jeter cet anneau et choisir des 2 options suivantes 1 Ins rer un nouvel anneau imm diatement 2 Attendre la survenue des r gles et ins rer un nouvel anneau au plus tard dans les 7 jours 7x24 heures qui suivent le retrait ou l expulsion de l anneau pr c dent Attention Cette option devra tre choisie que si l anneau a t utilis de fa on continue pendant les 7 jours pr c dents Que faire cas d une utilisation prolong e de l anneau Si la dur e d utilisation de NUVARING n a pas d pass 4 semaines cette dur e d utilisation n est pas pr conis e la femme peut respecter l intervalle d une semaine sans anneau puis ins rer un nouvel anneau Si NUVARING est laiss en place pendant plus de
93. n pregnant women and their rela tionship to psychological health Sports Med 2006 36 1 19 36 24 Selon les r sultats de l enqu te Ob pi 2009 l ob sit dans la tranche d ge comprise entre 25 et 34 ans ge de la premi re grossesse concerne 12 des femmes Limiter la prise de poids en dehors du poids pris normalement en cours de grossesse est un chal en termes de sant publique 2002 Clapp et al confirment les premi res donn es publi es d s 1995 selon lesquelles la masse grasse est significa tivement plus basse quand l activit physique est continu e au troisi me trimestre 8 ce surpoids des cons quences obst tricales augmentation du nombre de c sariennes facteur de risque de diab te gestationnel n onatales poids de naissance et infantiles en majorant l ob sit infantile ind pen damment des facteurs g n tiques 9 L activit physique en cas de diab te est un traitement adjuvant recommand 10 En pr vention la diminution du diab te gestationnel est d autant plus significative que l activit a t vigoureuse l ann e pr c dant la grossesse et pour suivie de fa on au moins mod r e pendant la gros sesse par rapport aux femmes s dentaires OR 0 49 0 24 1 01 mais le b n fice est non significatif si l activit ant rieure la grossesse n est pas poursuivie pendant la grossesse Ce b n fice appara t partir de 3 heures par semaine 5
94. n y pas de donn es permettant de dire qu en l absence de complication m dicale une reprise rapide de l activit sportive s accompagnera d effets ind sirables videm ment la perte de l entra nement n cessite une reprise progressive et l non plus il n y a pas de complications d crites pour la reprise de l entra nement 79 Une baisse de poids mod r e durant l allaitement ne compromettra pas la prise de poids du nouveau n 20 Une diminution de ce gain peut correspondre une baisse de la production lact e possiblement en rapport avec une hydratation et une alimentation mal adapt es la consommation due l exercice physique Il est recommand de donner le sein avant l exercice pour viter l inconfort d un ventuel engorgement 21 22 Cela vite aussi Le risque possible de passage d acide lactique dans le lait maternel Enfin la reprise de l activit physique est corr l e une fr quence plus basse de d pression postnatale seulement si les exercices ne sont pas pourvoyeurs de stress 23 En fait on peut commencer tr s t t en salle de nais sance sur la table des exercices visant prot ger p rin e tout en aidant les muscles grands droits se rapprocher en am liorant transverse inf rieur Faut il temp rer les ardeurs de certaines patientes 2 Probablement En pleine forme elles souhaitent r cup rer une silhouette rapidement Le risque de constituer un prolapsus est r el accen
95. nce et douleur Les urgences en salle de naissance et Les cardio pathies cong nitales Annoncez vous l estannonces professionnelles un senvicelfait pouravous Contactez Val rie Glatin au 01 46 67 62 77 ou faites parvenir votre annonce par mail 39 Maternit du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon Paris 40 25 novembre 2010 ont eu lieu dans l auditorium de la maternit des Diaco nesses Paris les premi res rencontres SOLIPAM Solida rit Paris Maman consacr es la pr carit en obst trique Cette asso ciation a t cr e sous l impulsion de sa pr sidente Pr Dominique Mahieu Caputo gyn cologue obst tricienne chef de service de la maternit de l h pital Bichat qui un hommage t rendu Paule Herschkorn Barnu directrice du r seau rappel la notion de r seau de sant et l objectif d am liorer la prise en charge m dicale et sociale des femmes enceintes des jeunes m res et de leurs nouveau n s en situation de grande pr carit sur territoire de sant parisien Durant une journ e r unissant plus de 300 parti cipants le sujet t abord sous ses aspects les plus divers Montaine Bosseb uf sage femme la maternit de l h pital Bichat montr la progression la pr carit en France passant de 5 8 en 1982 10 8 en 1995 pour atteindre 12 4 en 2007 Ainsi 1 m nage sur 8 en le de Franc
96. nd the risk of miscarriage a study within the Danish National Birth Cohort BJOG 2007 114 1419 26 17 Petersson K Hede et al Sports leisure time physical activity in pregnancy and birth weight population based study Scand J Med Sci Sports 2010 20 1 96 102 18 Juhl Obsen J Andersen Physical exercise during pregnancy and the risk of preterm birth study within the Danish National Birth Cohort Am J Epidemiol 2008 167 7 859 66 19 Hale RW Milne L The elite athlete and exercise in pregnancy Semin Perinatol 1996 20 277 84 20 McCrory MA Nommsen Rivers LA Mole PA et al Randomized trial of short term effects of dieting compared with dieting plus aerobic exercise on lactation performance Clin Nutr 1999 69 5 959 67 21 Kulpa PJ White BM Visscher R Aerobic exercise in pregnancy Am J Obstet Gynecol 1987 156 6 1395 403 22 Kulpa P Exercise during pregnancy and post partum In Agostini R ed Medical and orthopedic issues of active and athletic women Philadelphia Hanley and Belfus 1994 191 9 23 Koltyn KF Schultes SS Psycho logical effects of an aerobic exer cise session and a rest session following pregnancy J Sports Med Phys Fitness 1997 37 287 91 24 De Gasquet B Bien tre et maternit Albin Michel 2009 25 169 Haussmann 75008 Paris 26 Jamin Bouger contre l ost oporose bouger contre cancer
97. nt question grand l IUE d faillance dans un corps performant am ne exceptionnellement les sportives de haut niveau consulter directement pour cette pathologie L infor mation la connaissance du p rin e des exercices de verrouillage l effort devraient permettre d en diminuer poids sur la qualit de vie Nous l avons abord la pr vention repose sur une v ritable ducation concernant le p rin e les risques les exercices adapt s pour cr er verrouillage l effort r flexe seront expliqu s formation quant aux exercices adapt s doit tre aussi faite aux entra neurs et pr parateurs physiques gainage statique tant pr f rer au travail tradi tionnel des abdominaux Les conseils de privil gier les sports faible impact en cours des deux derniers trimestres de la grossesse prise en charge suffisamment pr coce pendant grossesse d une le choix de posture d accou chement adapt e une reprise par des activit s faible impact 4 6 semaines du post partum apr s valuation du p rin e de la sportive sont autant de gages d une bonne sant du p rin e Devant une IUE le premier traitement est la r du cation du p rin e dynamique manuelle aid e du biofeed back et entretenue r guli rement par des exercices compris une aide par autor ducation par sonde vaginale domicile peut compl ter les s ances de kin sith rapie L utilisa
98. ode de pubert peuvent induire des effets n fastes en particulier dans cas d un entra nement physique excessif et ce d autant plus dans les sports impli quant une restriction calorique Quelles sont les cons quences de la pratique sportive sur le d ve loppement staturo pond ral et pubertaire Quelle d marche diagnostique et th rapeutique adopter devant un retard pubertaire chez une jeune fille spor tive Nous tenterons de r pondre ces questions la lueur de publications r centes de la litt rature et en tudiant plus particuli rement la jeune fille La pubert est une p riode au cours de laquelle surviennent d importantes modifications hormo nales aboutissant au d veloppement complet des caract res sexuels l acquisition de la taille d finitive de fonction de reproduction et de la fertilit 1 Chez la femme l hypothalamus s cr te GnRH gonadotropin releasing hormone qui stimule de fa on pulsatile la s cr tion par l hypophyse de FSH follicle stimulating hormone et LH luteini zing hormone Ces deux hormones r gulent leur tour s cr tion d estradiol par les ovaires et la concentration d estrog nes plasmatiques exerce un r trocontr le n gatif sur l hypothalamus Avant pubert l hypothalamus est tr s sensible ce r tro contr le et de faibles concentrations d estrog nes plasmatiques inhibent la s cr tion de GnRH Les concentrations de FSH et de LH sont donc basse
99. onction du niveau ant rieur Il est conseill de ne pas faire d activit physique vigou reuse 2 jours de suite Fr quence cardiaque 140 155 batt mn 135 150 batt mn 130 145 batt mn 125 140 batt mn Avant l ge de 20 ans De 20 29 ans De 30 39 ans 40 ans et plus Intensit des exercices L intensit peut tre valu e par la fr quence cardiaque FC l chelle de Borg ou le test de parole qui est le plus simple proposer aux femmes Fr quence cardiaque les zones cibles sont modi fi es par la grossesse la r serve maximale de la FC tant r duite les recommandations sont de faire des exercices 60 70 de la FC maximale max th orique 220 ge En l absence de cardio fr quencem tre le niveau souhaitable de l effort est celui qui se r alise sans essoufflement important ce qui correspond 70 de la FC maximale L chelle de Borg est une chelle de perception de l effort ressenti pendant l exercice not e de 6 0 effort 20 effort maximal la zone 12 14 peut tre atteinte pendant la grossesse Elle est peu utilis e en France Le test de parole est le fait de pouvoir mener une conversation normale sans essoufflement pendant pratique de l activit sportive Il d termine la zone d intensit acceptable Dur e des exercices Elle passera progressivement de 15 mn 30 mn pour les femmes s dentaires Elle peut tre de 30 40 mn pour les sportives
100. ormation ou d information conduire des tudes de march mettre en place des Cr dit photo Ken Seet Corbis COPP LIA PP DEC 10 collaborations scientifiques ou des actions de recherche ainsi qu ventuellement dans le cadre de relations commerciales Ces donn es collect es peuvent tre destin es certains prestataires de Schering Plough Conform ment aux articles 38 et suivants de la loi du 6 janvier 1978 dite informatique et Libert s vous disposez d un droit d acc s et de rectification quant aux donn es caract re personnel vous concernant du droit de vous opposer pour des raisons l gitimes ce que vos donn es fassent l objet d un traitement ainsi que du droit de vous opposer leur utilisation des fins de prospection Vous pouvez exercer ces droits par courrier postal adress au laboratoire E 34 avenue L onard de Vinci 02400 Courbevoie Cette pr rogafive est mettre en uvre par crit l attention du Pharmacien Responsable 1 m 00 DU GYN COLOGUE Directeur de la publication Claudie Damour Terrasson R dacteur en chef Pr Philippe Descamps Angers Comit de r daction Bongain Carbonne L Cravello Collinet J Dubuisson F Golfier Harvey C Jamin F L curu Mayenga P Panel Rabishong B Raccah Tebeka L Sentilhes C Wainer Conseillers scientifiques G Br art M Cos
101. ou de l activit physique pratiqu e il semble que b n fice soit plus important pour une activit physique pratiqu e l ge adulte et apr s 50 ans plut t que dans l enfance ou l adolescence Si l on consid re certains sous groupes le b n fice d une activit physique r guli re est observ prin cipalement chez les patientes avec un ou plusieurs enfants m nopaus es avec un indice de masse corporelle normal et surtout sans histoire familiale de cancer du sein De m me cet effet protecteur ventuel semble ind pendant du statut hormonal de la tumeur et de son type histologique L hypoth se physiopathologique principale pouvant expliquer ces r sultats reposent sur le fait que l ac tivit physique r duit tissu adipeux et ainsi production d estrog nes par le biais de l aromatase Cependant d autres m canismes sont probable ment impliqu s faisant intervenir des facteurs de croissance et des enzymes impliqu s dans le stress oxydatif 3 Cet effet b n fique d une activit physique r guli re existe de fa on tr s probable pour d autres types de cancer comme celui du c lon et de l endom tre 1 Ainsi il est important d inciter nos patientes prati quer une activit physique r guli re qui ne peut qu tre b n fique en r duisant la fois le risque de maladie cardio vasculaire et celui de cancer du sein D autant que des enqu tes donnent penser que au moins un tiers des femmes fran
102. pement pubertaire pr disposant l ost op nie voire l ost oporose 2 Ainsi chez de tr s jeunes filles soumises la pratique intensive de ce type de sport on assiste un d calage de la pubert l origine d un d faut d acquisition de la masse osseuse Ces jeunes sportives se pr sentent alors avec une am norrh e primaire t moin de la difficult de maturation de l axe hypothalamo hypophyso ovarien L origine de cet hypogonadisme est supra hypothalamique entra nant une anomalie de s cr tion du GnRH assiste en effet un ralentissement des pulses de s cr tion du GnRH avec alt ration de leur amplitude La stimulation hypophysaire devient inad quate avec une anomalie de la pulsatilit des gonadotrophines l origine de l hypogonadisme D autres perturbations hormonales y sont associ es comme une hyperac tivit de l axe hypothalamo hypophyso surr nalien l origine d un hypercorticisme avec augmentation des opiac s endog nes et des anomalies de l axe hypothalamo hypophyso thyro dien avec un profil hormonal caract ristique des maladies chroniques associant TSH et T3L basses et T3 reverse lev e 3 Le r le de la leptine dans ces dysfonctions hypotha lamiques semble non n gligeable non totalement lucid Le d ficit estrog nique repr sente le principal responsable de dans l acquisition du PBM qui repr sente un facteur de risque important d os t oporose ult rieure Ch
103. plinaire p diatre gyn cologue nutritionniste avis du psychologue en cas de troubles du comportement alimentaire Les crit res de mise en route d un traitement subs titutif par estroprogestatif ne sont pas d finis mais l American Academy of Pediatrics recommande une suppl mentation en estroprogestatif en cas de frac ture de fatigue avant l ge de 16 ans ou apr s 16 ans en l absence de fracture de fatigue avec une suppl mentation en calcium 1000 1500 mg par jour et vitamine D 400 800 UI par jour 79 Dans tous les cas il est primordial de prendre en compte le retentissement psychologique affectif familial et social de la pathologie pubertaire La pratique du sport en p riode de pubert comporte des particularit s propres cette p riode du d velop pement de l adolescent Les diff rents intervenants entourant ces jeunes sportifs entra neurs pr pa rateurs physiques ducateurs m decins psycho th rapeutes parents doivent bien conna tre ces particularit s afin que la pratique d activit s physiques et sportives chez ces jeunes conserve ses effets b n fiques sur la sant et n ait pas d effets n fastes ni court ni long terme Une vigilance toute particuli re doit tre port e s il s agit de jeunes filles pratiquant un sport minceur haut niveau 1 Coutant R Bouhours Nouet N Puberty with without pathological problems Rev Prat 2010 60 5 721 7 2 Horlick MB Rosenbau
104. pse BJOG 2009 116 13 1706 14 2 Kruger JA Dietz HP Murphy BA Pelvic floor function in elite nulliparous athletes Ultrasound Obstet Gynecol 2007 30 1 81 5 3 Crepin G Biserte J Cosson M Duchene F The female urogenital system and high level sports Bull Acad Natl Med 2006 190 7 1479 91 4 Braekken IH Majida M Engh ME Bo K Morpholigical changes after pelvic floor muscle trai ning measured by 3 dimensional ultrasonography a randomized controlled trial Obstet Gynecol 2010 115 317 24 5 Bo K Can pelvic floor muscle training prevent and treat pelvic organ prolapse Acta Obstet Gynecol Scand 2006 85 3 263 8 6 Braekken IH Majida M Engh ME Can pelvic floor muscle trai ning reverse pelvic organ prolapse and reduce prolapse symptoms assessor blinded randomized controlled trial Am J Obstet Gynecol 2010 203 2 170 e1 7 P le gyn cologie obst trique CHU Angers 4 rue Larrey 49933 Angers Cedex 9 32 M Mezzadri L Maillet C Lefebvre Lac uille L Catala Ph Descamps es situations entra nant des augmentations brutales de la pression intra abdominale de fa on chronique constipation toux chronique efforts etc sont des facteurs de risque reconnus de prolapsus g nital Braekken et al montraient en 2009 que l indice de masse corporelle IMC le statut socio conomique les conditions de travail difficiles les l sions du sphincter de l anus et la fonction musc
105. que fonctionnelle li e une disponibilit nerg tique faible avec ou sans troubles du comportement alimentaire est toujours traiter pour pr server sant de la sportive L in formation de la sportive et celle de son environne ment sportif quant aux risques sont essentielles pr vention 1 Nattiv Agostini R Drinkwater B Yeager KK The female athlete triad The inter relatedness of disordered eating amenorrhea and osteoporosis Clin Sports Med 1994 13 2 405 18 2 Nattiv A Loucks AB Manore MM et al American College of Sports Medicine position stand The female athlete triad Med Sci Sports Exerc 2007 39 10 1867 82 3 De Souza Toombs RJ Scheid JL et al High prevalence of subtle and severe menstrual disturbances in exercising women confirmation using daily hormone measures Hum Reprod 2010 25 2 491 503 4 Torstveit MK Sundgot Borgen J Participation in leanness sports but not training volume is associated with menstrual dysfunction national survey of 1276 elite athletes and controls J Sports Med 2005 39 141 7 5 Redman L Loucks Menstrual disorders in athletes Sports Med 2005 35 9 747 55 6 Ma tre C Troubles du cycle de la sportive de haut niveau Les Cahiers de l INSEP 2008 41 165 74 7 Sundgot Borgen Torstveit MK Aspects of disordered eating continuum in elite high intensity sports Scand J Med Sci Sports 2010 20 2 112 21 8 Hilton LK Loucks AB Low ene
106. r venir absolument et cas ch ant rep rer de fa on pr coce car elle augmente la morbidit court et long terme frac tures de fatigue 76 Les sports minceur recherchent l esth tisme d une silhouette fine et lanc e ou n cessitent un pour centage de masse grasse tr s bas pour r aliser une meilleure performance Le retard de la m narche et les dysfonctions menstruelles sont plus fr quents dans les sports minceur 13 et Les caract res sexuels secondaires apparaissent plus tardivement que dans les autres sports 72 Des troubles de la fonction reproductrice sont galement d crits une alt ration de la s cr tion pulsatile de GnRH entra ne des concentrations de LH basses et d sorganis es aboutissant une inhibition de production d es trog nes par les ovaires et un arr t de l ovogen se Deux principales hypoth ses sont voqu es pour expliquer ce ph nom ne 4 Selon l hypoth se du stress de l exercice au cours du stress physique li l exercice cortisol et d autres hormones du stress sont lib r s agissent sur pothalamus par r trocontr le n gatif et inhibent ainsi la s cr tion de GnRH D apr s l hypoth se de la disponibilit nerg tique l association d un entra nement physique intensif et d une sous nutrition aboutit une balance ner g tique n gative l origine de l alt ration de s cr tion pulsatile de GnRH Un facteur identifi r cemm
107. r de concep tions tablies sur d nigmatiques th ories fausse ment scientifiques c est bien celui de la sexualit humaine Sans doute faut il y voir encore les traces d une culture jud o chr tienne qui en mati re lev non dit et Le tabou au stade d institution De plus aujourd hui et malheureusement l re de m diatisation outrance l information objective pas toujours tr s laisse souvent la place au scoop dont on ferait bien volontiers une g n ralit Dans ce contexte la sexologie moderne fait en sorte de conjuguer les principes d une m decine fond e sur des vidences avec les le ons qu elle a retenues des qualit s d coute et d humanisme qu elle exige Le registre du sport n chappe pas cette probl matique Force est cependant de reconna tre que la grande majorit des patients consultant un sexo logue sont pas des athl tes de haut niveau et ce simple constat est d j en lui m me assez rassu rant La sexualit et le sport font ils bon m nage chez le commun des mortels c est dire celui ou celle pour qui ce dernier reste une activit de loisir de d tente auquel il ou elle consacre quelques heures par semaine Il est commun ment admis que parmi les facteurs les plus cit s comme pouvant avoir un effet n gatif sur la sexualit figurent le stress la fatigue la s denta rit l ob sit le diab te les troubles du m tabolisme lipidique le tabac ou
108. re du risque de pr clampsie partir d une activit physique du premier trimestre sup rieure 4 h 30 par semaine ou plus de 40 MET par heure semaine ce qui correspond plus de 1 heure de v lo par jour ou 50 minutes de jogging par jour d o l impor tance d une APS encadr e 15 Certains b n fices de l activit physique au cours de la grossesse sont optimis s en cas de pratique ant rieure la grossesse Une information en consul tation pr conceptionnelle peut tre syst matis e pour guider et soutenir la femme dans son choix d activit physique Fausse couche spontan e le risque n est retrouv qu en cas d activit intense de plus de 7 heures par semaine en d but de grossesse 76 Retard de croissance intra ut rin RCIU et poids de naissance Aucune anomalie des dopplers ombilical et ut rin n appara t apr s exercices mod r s sur ergo cycle La r cente tude de cohorte danoise concernant 79592 naissances ne retrouve ni RCIU li l activit physique ni modification du poids de naissance 17 La pr maturit n est pas accrue pour les femmes pratiquant une APS dans le respect des r gles d crites Elle est diminu e par rapport aux femmes s dentaires HR 0 82 1 0 76 0 88 Les hypoth ses sont l augmentation de la sensibi lit l insuline et la diminution des interleukines pro inflammatoires 18 L apr s naissance se pr pare pendant et m me avant grossesse Comme a
109. rgy availability not exercise stress suppresses the diurnal rhythm of leptin in healthy young women Am Physiol Endocrinol Metab 2000 278 1 43 9 9 De Souza MJ Lee D VanHeest J et al Severity of energy related menstrual disturbances increases in proportion to indices of energy conservation in exercising women Fertility and Sterility 2007 88 4 971 5 10 De Souza MJ Leidy H O Donnel E LasleyB Williams Fasting ghrelin levels in physically active women rela tionship with menstrual disturbances and metabolic hormones J Clin Endocrinol Metab 2004 89 7 3536 42 11 Scheid JL De Souza MJ Menstrual irregularities and energy deficiency in physically active women the role of ghrelin PYY and adipocytokines Med Sport Sci 2010 55 82 102 12 Pauli S Berga S Athletic amenorrhea energy deficit or psychogenic challenge Annals of the New York Academy of Sciences 2010 1205 33 8 13 Meczekalski B Podfigurna Stopa A Genazzani AR Why kisspeptin is such important for reproduction Gynecol Endocrinol 2011 27 1 8 13 14 Gudmundsdottir SL Flanders WD Augestad LB Physical activity and fertility inwomen the North Trondelag Health Study Hum Reprod 2009 24 12 3196 204 15 Warren M Chua A Exercice induced amenorrhea and bone health in the adolescent athlete Ann NY Acad Sci 2008 1135 244 52 16 Ihle R Loucks AB Dose reponse relationships between energy availability and bone turnover in young exercising women J Bone Min
110. rin e les sports dont la pratique entra ne une augmentation de la pression intra abdominale par contraction Isom trique aggrav e par la composante dynamique d une activit impliquant une grande mobilit En reprenant l ensemble des donn es obtenues et en s aidant pour certaines de la mesure de la pression intravaginale mesur e par capteur qui est un subs titut correct l appr ciation de la pression intra abdominale une hi rarchie des sports risque peut tre tablie 2 4 8 9 suivant le Les r sultats pr liminaires d une tude r alis e au service m dical de l INSEP sur 193 sportives ge moyen 21 ans 4 6 ans IMC moyen 21 7 s en tra nant en moyenne 17 heures par semaine 5 h 37 h retrouvent cette hi rarchisation des risques Ces sportives ont r pondu un questionnaire anonyme de diagnostic de qualit de vie il est retrouv une pr valence de 22 8 d IUE mais l ana lyse montr que des sportives 27 7 ont r pondu non question binaire Avez vous des fuites urinaires l effort 2 tout en cochant des facteurs Sports contrainte p rin ale forte composante dynamique dominante Gymnastique trampoline a robic saut dans les disciplines l athl tisme saut de haies saut en longueur triple saut perche saut dans les sports de glace course pied danse sports de balle squash tennis badminton basket ball volley ball handball Sports contra
111. risque de d pression De plus l exercice physique augmente les fonctions cognitives et diminue le risque de d mence de 2 par 15 minutes d exercice par semaine N oublions pas cependant que est un des signes cardinaux de d pression Bouge t on parce qu on est moins d prim ou est on moins d prim lorsque l on bouge Dans une tude interventionnelle il a t prouv que l exercice physique am liore sommeil l endormis sement et la qualit du sommeil mais diminue les endormissements diurnes Dans les tudes observationnelles Les femmes ayant une activit physique souffrent moins de bouff es de chaleur et des autres sympt mes du syndrome clima t rique et lorsqu il existe il est moins s v re Pour ce qui est des tudes interventionnelles elles sont nettement moins probantes et dans les rares tudes comparatives il est clair que THM est beaucoup plus efficace pour la prise en charge du syndrome climat rique que l activit physique si tant est que ce dernier ait la moindre efficacit 2 7 8 On ne peut nier qu un exercice physique trop brutal appel parfois sport a des effets d l t res sur les articulations conduisant par la douleur induite la s dentarit donc la prise de poids donc l inverse de ce que l on recherche Bien videmment un exercice trop intense peut conduire l puisement de m me il peut favoriser les chutes si sa progressivit n a pas
112. rouvant une IUE plus fr quente chez les anciennes sportives de haut niveau SHN par rapport aux femmes non SHN 78 19 cependant l existence d une pr coce dans la vie d une comp titrice est un facteur pr dictif fort d IUE ult rieure par rapport celles qui n avaient pas eu d IUE OR 8 57 3 55 20 71 ce qui permet d insister sur l importance d une information faire aupr s des sportives sur les m canismes d action les risques les exercices de pr vention et la prise en charge 78 Longtemps tabou l incontinence urinaire fait aussi l objet de campagnes de sensibilisation qui sont cepen dant encore loin de porter leur fruit dans le sondage 80 des femmes jugent qu il est difficile d en parler leur entourage et un tiers qu il est diffi cile parler son m decin elles sont n anmoins nombreuses conna tre le lien entre sport et inconti nence urinaire et la possibilit de r ducation p rin ale Mais pr s d un tiers des femmes pratiquant une acti vit physique de loisir va modifier sa pratique en cas d IUE avec l arr t pour 10 d entre elles L impact de la survenue d une IUE n est pas v cu de m me fa on chez la sportive de haut niveau Bien que consid r e comme une g ne durant l entra nement est v cue comme li e la pratique intensive donc in vitable de plus le tabou de tabou des filles tabou des m decins qui posent rareme
113. s anabolisants 5 La liaison de la testost rone son r cepteur induit la prolif ration des cellules satellites dispos es p riph rie des fibres musculaires Et il a t r cemment montr que les cellules satellites et Les myonuclei sont dans muscle les sites pr dominants d expression du r cepteur aux androg nes 6 De plus le traitement de ces cellules satellites avec de testost rone est associ une augmentation du r cepteur aux androg nes in vitro et in vivo 6 Enfin testost rone agit aussi en stimulant directement production d IGF I intramusculaire La plus large exp rimentation doses pharmaco logiques vient de l ex Allemagne de l Est avec un programme de dopage clandestin et scientifique support par le gouvernement afin d am liorer les performances Des documents secrets jusqu la chute du mur ont montr que les st ro des anabolisants avaient t administr s des milliers de sportifs depuis le milieu des ann es 1960 et dans un nombre croissant de disciplines 7 Ces documents th ses doctorales rapports scientifiques des m decins de STASI contenaient des rapports d taill s des effets ind sirables Actuellement bon nombre d informa tions viennent compl ter ces documents gr ce d an ciens athl tes qui sortent de l ombre pour t moigner des dommages apport s leur sant 15 R f rences bibliographiques 1 Hoffman JR Kraemer WJ Bhasin S etal
114. s de m me que la concentration d estrog nes En d but de pubert sensibilit de l hypothalamus diminue s cr tion de GnRH augmente celle ci stimule s cr tion hypophysaire de FSH et LH qui stimulent leur tour la s cr tion ovarienne d estrog nes R cemment des tudes recherchant quel pouvait tre d clencheur de l activation de l axe hypotha lamo hypophyso gonadique en d but de pubert se sont pench es sur le r le de la leptine Il existerait un lien entre la concentration plasmatique de leptine le stade de maturation sexuelle les hormones sexuelles et la composition corporelle aussi bien chez les filles que chez les gar ons 2 Chez la fille le d but de la croissance pubertaire s exprime par l apparition des caract res sexuels secondaires f minins La premi re manifestation est d veloppement mammaire qui se fait vers 10 5 11 ans limites physiologiques 8 13 ans incluant 95 des filles pour un ge osseux de 11 ans s samo de du pouce Les signes suivants sont la modification de la r gion vulvaire le d ve loppement de l ut rus m narche vers 12 5 13 ans et l apparition d une pilosit axillaire 7 La pubert se situe autour d un de croissance staturale environ 12 ans chez les filles pendant lequel survien nent des modifications de composition corporelle des proportions corporelles et de la maturation du squelette 3 Un retard pubertaire es
115. s de soutien de l ur tre est le m canisme essentiel de l IUE nant des modifications de la statique pelvienne d placement exag r de la paroi ur trale ant rieure qui n est plus bloqu e par la paroi ur trale post rieure par faute du soutien du pubo rectal se produit alors une ouverture du col de vessie occasionnant les fuites urinaires La qualit et la stabilit ur trales sont fonction de l ge de parit de l IMC mais galement de contraction r flexe des muscles p rin aux sangle pubo rectale de la fr quence et de l intensit des impacts et de facteurs intrins ques maladie du collag ne hyperlaxit retrouv e chez les jeunes gymnastes Le sport intensif serait il seulement promoteur Une hypoth se serait que sport intensif r v lerait chez des femmes par ailleurs asymptomatiques pas d IUE en dehors des sauts dans l quipe de tram poline et repr senterait alors dans certains cas la condition favorable pour d masquer une faiblesse constitutionnelle du tissu conjonctif Des tudes par chographie 3D et IRM pratiqu es lors de man uvres de Valsalva chez 24 sportives de haut niveau pratiquant des sports fort impact avec entra nement intensif et r p t High impact frequent intense training o et 22 femmes repr sentant la population contr le ont objectiv l augmentation significative du hiatus urog nital 21 5 versus 14 9 c
116. s rapports les expo sitions toxiques volontaires ou involontaires les prises m dicamenteuses Une attention particuli re est port e l activit physique et ou la pratique d un sport Depuis le premier marathon olympique f minin 1984 l activit sportive de loisir ou en comp tition n a cess de cro tre chez les femmes On le constate aussi chez les patientes consultant pour infertilit De plus en plus de femmes en particulier au del de la trentaine pratiquent des sports d endurance et chez des patientes dont le morphotype s y pr te note une certaine pr dilection pour certains sports danse chez des patientes maigres La situation peut se compliquer par l intrication souvent non avou e d embl e de troubles du comportement alimentaire Loin d tre d l t re l exercice physique en g n ral avec la pratique d un sport a des effets b n fiques connus bien tre contr le du poids diminution des risques cardio vasculaires r duction des risques d ost oporose diminution de l insulinor sistance cas de syndrome des ovaires polykystiques N anmoins certaines pratiques sportives tr s r guli res et ou intenses ont un effet pernicieux li des modifications du fonctionnement de l axe gonadotrope du fait du type de sport lui m me ou lorsque la balance nerg tique est d s quilibr e par une alimentation inadapt e Il peut en r sulter des troubles ou des irr gularit s du cycle une
117. sance puber taire et de la maturation squelettique chez des jeunes filles s entra nant 15 heures par semaine ou plus 8 C est Le cas pour les gymnastes chez qui on a observ une p riode pr pubertaire plus longue que chez les filles non sportives puis un d veloppement pubertaire d butant tardivement mais se d rou lant alors avec une progression normale 9 Selon Entrainement gt Hypothalamus 4 YEstrog nes Hypoth se du stress de l exercice Entra nement Hypothalamus Nutrition gt Leptine HAS inad quate Gonades M YEstrog nes Hypoth se de la disponibilit nerg tique Malina 72 la croissance et la maturation des jeunes filles pratiquant des sports minceur haut niveau suivraient l volution de jeunes filles maturation tardive d pendant plus de facteurs g n tiques que de l influence directe de l entra nement groupe observ tant en fait pr s lectionn sur des caract ristiques morphologiques et de restriction calorique Le retard de la m narche que nous venons d vo quer peut voluer vers une am norrh e primaire ou secondaire ou encore vers une oligom norrh e Ces diff rents troubles du cycle sont d taill s dans chapitre Am norrh e et sport Lorsque cette dysfonction menstruelle s int gre dans le cadre de troubles alimentaires et d ost oporose chez une sportive on parle de triade de la sportive Celle ci est conna tre p
118. seux permet d appr cier la maturation globale de l organisme et d interpr ter les r sultats des concentrations de FSH et de LH En cas de valeurs basses de FSH et de LH si l ge osseux est inf rieur 11 ans chez la fille il s agit Le plus souvent d un retard pubertaire simple dans cas contraire il s agit probablement d un d ficit gonadotrope La biologie hormonale consiste en premi re intention en un dosage plasmatique de FSH et de LH des valeurs lev es t moignent d une origine gonadique des valeurs basses d un retard pubertaire simple ou d une origine hypothalamo hypophysaire En deuxi me intention des tests de stimulation de la fonction gonadotrope et gonadique sont pratiqu s dans le cadre des hypogonadismes hypogonado tropes D autres examens peuvent tre n cessaires au diagnostic diff rentiel IRM de la r gion hypotha lamo hypophysaire caryotype 1 En cas de retard pubertaire li une pratique sportive intensive ou plus exactement une faible disponi bilit nerg tique le traitement est dans un premier temps non m dicamenteux apr s bilan nutritionnel il vise restaurer un apport nerg tique suffisant R f rences bibliographiques pour activer le d clenchement pubertaire une hypoestrog nie prolong e l ge de la constitution du pic de masse osseux ayant des effets irr versibles sur la densit osseuse ult rieure La prise en charge th rapeutique doit tre pluridisci
119. sez bien votre selle y pas eu ce jour de d monstration de tels effets chez la femme Une tude am ricaine r alis e en 2006 a bien sembl d montrer qu il existait une diminution des sensations g nitales chez les femmes pratiquant le v lo de comp tition mais aucun effet n gatif sur la fonction sexuelle et la qualit de vie n a t d montr Plus r cemment encore chez des cyclistes et des adeptes de l quitation quelques cas de micro calcifications clitoridiennes ont t diagnostiqu s l chographie Potentiellement rattach es des micro h matomes des ph nom nes inflammatoires et ou d g n ratifs on n en conna t pas la significa tion clinique Les recherches sur les liens entre sexualit et sport permettent parfois de mettre en vidence des r sultats inattendus dont m decine comme la soci t en g n ral devraient tenir compte bien davantage Ainsi en 2003 une tude norv gienne a montr que les femmes athl tes de haut niveau avaient t moins souvent victimes de harc lement ou d abus sexuels que les t moins sportives mais la moiti de toutes ces femmes rapportaient quand m me ce genre d ant c dent Par ailleurs ce pourcentage tait encore plus important chez celles qui souffraient de troubles du comportement alimentaire m diter Enfin sexe et le sport semblent pr senter bien des similitudes Ce sont notamment des sources intarissables de pla
120. smission interg n rationnelle La derni re table ronde abordait le th me de l as phyxie p rinatale Zupan Simunek a rappel devenir court terme des enfants n s dans un tel contexte et notamment a repris la classification clinique en 3 grades des enc phalopathies permet tant d valuer gravit de l asphyxie et le pronostic long terme B Carbonne a soulign l volution des recomman dations pour la pratique clinique RPC publi es en 2009 sur la surveillance f tale pendant travail l utilisation des lactates au scalp qui semble de plus en plus populaire en France du fait de sa simplicit d utilisation et de l quivalence de ses valeurs pr dic tives par rapport au pH au scalp L int r t de l ECG f tal continue d tre l objet de controverse du fait de discordances des r sultats entre diff rents essais Enfin ilne semble pas d raisonnable de poursuivre les efforts expulsifs au del de 30 minutes sous r serve de la normalit du rythme cardiaque f tal Dans un contexte d asphyxie p rinatale l IRM c r brale n onatale apporte des donn es int ressantes sur le timing de survenue de la l sion sa locali sation pr cise son volution et son extension afin d valuer un pronostic sur le devenir neurod velop pemental de ces enfants La paralysie c r brale reste une priorit de sant publique l asphyxie s v re du per partum n en est probablement respon sable que dans 15
121. son J Dauplat R Frydman R J Lansac B Letombe D Querleu Comit scientifique international P Audet Lapointe Montr al 1 Donnez Bruxelles R Lambotte Li ge P de Grandi Lausanne K Morais Br sil Comit scientifique Bouchard Br art Frydman E Henrion J Lansac G Levy Comit de lecture F X Aubriot Blanc G Boog C Chapron J B Dubuisson D Dumonceau J Y Gillet A Lesur G Mellier G Plu Bureau J C Pons G Pontonier Soci t ditrice EDIMARK SAS Pr sident directeur g n ral Claudie Damour Terrasson T l 01 46 67 63 00 Fax 01 46 67 63 10 Fondateur Alexandre Blondeau R daction Secr taire g n rale de la r daction Magali Pelleau Premi re secr taire de r daction Laurence M nardais Secr taire de r daction Brigitte Hulin R dacteurs r viseurs C cile Clerc Sylvie Duverger Muriel Lejeune Philippe Andr Lorin Odile Pr bin Infographie Premier r dacteur graphiste Didier Arnoult R dacteurs graphistes Mathilde Aim e Christine Brianchon S bastien Chevalier Virginie Malicot R my Tranchant Technicienne PAO Christelle Ochin Dessinatrice d ex cution St phanie Dairain Commercial Directeur du d veloppement commercial Sophia Huleux Netchevitch Directeur des ventes Chantal G ribi Directeur d unit B atrice Tisserand R gie publicitaire et annonces professionnelles Val rie Glat
122. ssiers des athl tes est allemandes laissent peu de place au doute L augmentation de masse musculaire induite testost rone est associ e une augmentation de la surface de section du muscle hypertrophie des fibres musculaires et non pas une augmentation du nombre de fibres musculaires Comme ratio entre la taille des myofibrilles et nombre de noyaux doit tre maintenu constant il y a aussi augmentation du nombre de myonuclei gr ce la mobilisation des cellules satellites Ces cellules satellites sont dispo s es la p riph rie des fibres musculaires et sont consid r es comme des myoblastes potentiels qui lorsqu elles sont stimul es par la testost rone et l IGF I intramusculaire par exemple se diff rencient en nouvelles cellules musculaires Ces effets anaboliques de la testost rone en particu lier musculaires sont m di s par la liaison pr alable de la testost rone son r cepteur Pendant long temps la question de savoir si l effet musculaire de la testost rone doses supraphysiologiques passait par r cepteur aux androg nes est rest e ouverte car on pensait que ces r cepteurs taient satur s des doses physiologiques de testost rone N anmoins des tudes r centes montrent que nombre de teurs aux androg nes peut tre contr l la hausse up regulation lors d un entra nement de muscu lation 4 et ou lors de l exposition des st ro de
123. t L acte sexuel pourrait il faire baisser taux de testost rone ou pour d autres auteurs au contraire et constituer en quelque sorte un dopage naturel tout cela il semble possible de r pondre par deux vidences D une part couter les sportifs et les sportives un rapport sexuel la veille d une comp tition est soit totalement hors sujet soit souvent consid r comme une tr s bonne m thode de relaxation pour lutter contre une angoisse souvent importante D autre part nos coll gues cardiologues ont calcul depuis longtemps que la d pense nerg tique consomm e lors d un rapport sexuel normal quivalait la mont e d un escalier de 20 marches c est dire bien moins que lors d une sc ne de m nage Faut il rendre les ascenseurs obligatoires la veille des matchs Au total si tant est que l avis du m decin soit requis en la mati re il y a lieu avant tout de conseiller au sportif de g rer cet aspect des choses en fonction de sa propre sensibilit de son ressenti et de ses habitudes et non pas de participer l entretien de croyances et de pr jug s S il est un sport qui fait la une de l actualit sexolo gique depuis une dizaine d ann es c est le v lo Les s quelles g nitales des traumatismes de l enfance ont ainsi t tudi es comme les prostatites et les augmentations transitoires des antig nes sp cifiques de la prostate PSA ou Prostate Specific Antigen cons
124. t ressant cette fois pratique intensive du sport interpellent depuis longtemps communaut scientifique un peu et les m dias bien davantage Il y a ainsi le r le n gatif sur la sexualit que peuvent jouer le surentra nement les charges de travail normes les comp titions r p tition IL n y a pas l mati re tonnement et peu d auteurs se pr occupent aujourd hui de savoir si modus operandi de cette probl matique passe par une baisse de la testost ron mie ou par le fait que dans la hi rarchie des urgences la chose sexuelle est alors rel gu e un rang subalterne pour laisser place l objectif sportif Sujet plus pol mique la pr conisation de l absti nence sexuelle dans le but d am liorer les perfor mances sportives est elle justifi e L isolement d une quipe prot g e de toute sollicitation rotique son confinement dans un environnement aseptis de sexe sa mise au vert comme on dit font encore facilement d bat quoi cela peut il servir S agit il de souder un groupe de lui permettre de se concentrer totalement sur un objectif unique comp tition sportive Ou la quantit d nergie d pens e lors d bats sexuels inopin s risquerait elle de nuire la performance sportive L encore beaucoup raisonnements ont t tenus sans tre tay s par la moindre preuve scientifique irr futable Ainsi l abstinence pourrait elle accro tre l agressivi
125. t d fini chez la fille par l absence de d veloppement mammaire au del de 13 ans ou l absence de m narche 4 ans apr s le d marrage pubertaire Un retard pubertaire peut tre li de nombreuses tiologies r parties en quatre groupes Hypogonadisme hypogonadotrope organique li une pathologie hypothalamo hypophysaire cong nitale ou acquise tumorale post traumatique postradioth rapique Hypergonadisme hypergonadotrope li un d ficit gonadique cong nital syndrome de Turner ou acquis Hypogonadisme hypogonadotrope fonctionnel li une pathologie chronique cardio respiratoire n phrologique une anorexie malnutrition ou malabsorption une pathologie endocrinienne hypothyro die hypercorticisme ou encore ce qui nous int resse dans ce chapitre la pratique sportive plus de 15 heures par semaine Retard pubertaire simple idiopathique cause plus fr quente mais il s agit d un diagnostic d limination 7 La croissance staturo pond rale et matura tion biologique sont des processus dynamiques complexes r gul s par de nombreux facteurs g n tiques et environnementaux Les facteurs environ nementaux tels que l entra nement physique et l alimentation peuvent agir de fa on ind pendante ou combin e pour modifier Le potentiel g n tique de croissance et de d veloppement pubertaire 4 Les param tres de la croissance tels que la taille l ge adulte et la vitesse de
126. te ovariectomis e allant dans le sens d une pargne des d penses m taboliques 70 Un profil biologique du d ficit nerg tique chronique associ l am norrh e fonctionnelle la sportive se d gagent avec des taux de leptine effondr s des taux de ghr line et de PYY augment s une diminution des hormones du m tabolisme nerg tique IGF1 tri iodothyronine 3 insuline avec pour ces derni res une action freinatrice sur l axe gonadotrope dans le sens d une pargne nerg tique et enfin une stimu lation de l axe corticotrope augmentation du cortisol pour mobiliser substrat nerg tique glucose Ce profil biologique n est pas propre la sportive mais est t moin d une disponibilit nerg tique insuffisante profil qui a quelques similitudes avec l expression biologique du stress chronique fonction des facteurs psychologiques individuels qui peuvent tre perfectionnisme l anxi t coping ou le faire face aux blessures contre lesquels l athl te n est pas immunis 72 Une autre voie semble jouer un r le celle du kisspeptin et de son ligand prot ique GPR54 Le kisspeptin stimule directement la s cr tion de GnRH par le noyau arqu de l hypothalamus or une balance nerg tique n gative entra ne une diminution de l expression du g ne kiss 1 13 Ce n est ni Le sport ni l intensit ni le volume de la pratique qui induisent mais une ina
127. ter les pathologies en lien avec des facteurs sociaux et environnementaux Cette personnalisation du suivi permet un tayage assez solide Les liens avec ont t abord s puis repris par le Dr M Delour m decin chef de la PMI de Paris suivi de la grossesse acc s aux permanences des sages femmes de PMI pr paration la naissance et possibilit de consulter les psychologues de PMI postnatal le suivi p diatrique en PMI peut tre assur par la pu ricultrice avec visites domicile et lien avec les lieux d accueil parents enfants L implication des professionnels lib raux dans r seau aussi bien en pr qu en postnatal permet une continuit et un moindre recours aux urgences Anne Renaerd assistante sociale coordinatrice trac parcours de ces femmes Leur terme moyen d inclusion est pass en moins de 3 ans de 30 SA moins de 23 SA leur parcours est ponctu par l isolement des ruptures une grande mobilit une instabilit de l h bergement l absence ou la faiblesse de leurs ressources Au centre de leur accompagne ment il faut tenir compte de la dimension culturelle et des difficult s de communication la pr carit est visages multiples Des outils simples tels qu une plaquette avec num ros de t l phone fiche de suivi vitent les pertes de vue et d crochages du parcours de soins On tente d adapter l h bergement aux modalit s de suivi collaboration
128. tion des c nes vaginaux chez les jeunes spor tives est peu r pandue en France par rapport aux tampons qui ont pour effet de limiter la mobilit ur trale Le traitement des autres facteurs de risque comme constipation ou tabagisme doit tre pris compte En cas d chec et devant une incontinence r guli re et g nante pour la sportive tant sur le plan psychologique sexuel que social une intervention chirurgicale peut tre propos e avec la pose de bandelettes sous ur trales L IUE la sportive est une r alit sous valu e qui demande un effort d information La premi re prise en charge pr ventive est d j de poser la question quel que soit le niveau de pratique sport intensif ou pratique occasionnelle afin d viter soit un arr t de toute pratique sportive c est Le cas des pratiques de loisir ou une aggravation de la pathologie chez une jeune sportive de haut niveau Entre d ni accepta tion et tabou de 10 retard la prise en charge reste trop fr quent R f rences bibliographiques 10 Mouritsen L Hulbaek M Bros S Bogstad J Vaginal pressure during daily activities before and after vaginal repair Int Urogy necol J Pelvic Floor Dysfunct 2007 18 8 943 8 11 Townsend MK Danforth KN Rosner B Curhan GC Resnik NM Grostein F Physical activity and incident urinary incontinence in middle ages women J Urol 2008 179 3 1012 7 12 Williams Gynecology Urinary
129. tion soci tale int ressante puisque le nombre de licenci es pratiquant les sports de contact full contact boxe karat le culturisme la musculation et m me l halt rophilie a augment depuis 5 ans x 2 3 On note par P le de gyn cologie obst trique CHU d Angers 4 rue Larrey 49933 Angers Cedex 9 2011 les bonnes r solutions ailleurs une multiplication par 1 8 des licenci es pratiquant le rugby Ces diff rents sports concernent essentiellement les femmes jeunes de moins de 25 ans Ainsi la tendance galitaire se poursuit tabou des sports connota tion masculine s efface cette volution traduit l individualisme mais aussi Le besoin de contact m me si cela se fait travers des sports dits combat Les recommandations actuelles pour nos patientes et pour nous m mes sont de pratiquer au moins 2 h 30 de sport ou d activit physique par semaine avec un b n fice vident au niveau cardio vascu laire mais aussi sur le cancer du sein et de l endom tre en termes d in cidence et de r cidives Le sport a un impact positif non n gligeable sur la qualit de vie des patientes prises en charge pour un cancer et vise pr venir ou retarder l apparition de la maladie pr vention primaire voire Les complications li es cette maladie pr vention tertiaire Par ailleurs sur le plan psychologique l apport est r el chez les patientes ayant une activit physique r guli r
130. titres sur 13 aux jeux 1976 et 1980 dans le cadre d un dopage d tat maintenant bien document 1960 fin des ann es 1990 La dangerosit du dopage par la prise de st ro des anabolisants de fa on continue et prolong e a t reconnue officiellement par l tat il a ruin sant 500 1000 athl tes de l ex Allemagne de l Est qui pourraient b n ficier d une pension Les st ro des anabolisants sont des d riv s de synth se de la testost rone dont les modifications chimiques ont r duit les effets androg niques au profit des effets anabolisants N anmoins quelles que soient les modifications apport es la mol cule toutes les drogues utilis es poss dent un effet anabolique et un effet androg nique aucune n est enti rement s lective Ainsi si la mol cule de r f rence la testos t rone a un ratio anabolique androg nique de 1 celui de la nandrolone est de 6 et celui du stanozolol est de 30 1 Un homme produit environ 7 mg de testost rone par jour lors de sa vie adulte ce qui fait environ 2 500 mg de testost rone par an Chez les femmes production endog ne de testost rone est 10 fois plus faible et provient des surr nales et des ovaires Les utilisateurs de st ro des anabolisants consomment en g n ral des doses tr s lev es 600 1000 mg de testost rone ou d riv s administr s par semaine contre une production endog ne de testost rone de 50 mg p
131. tr le 39 NS Eliasson et al 5 35 lites 12422 80 Trampoline Caylet 6 157 lites ver 18 35 IU 28 versus 9 8 sus 426 contr le Salvatore 679 sportives de 16 51 14 9 Basket ball athl et al 7 loisir tisme tennis squash 34 La sportive a t elle une pr valence augment e par rapport la femme s dentaire tous les sports sont ils gaux dans la survenue de La d finition m me de r pond ces deux ques tions en mettant en cause les activit s physiques avec hyperpression abdominale Les chiffres sont ceux d tudes observationnelles les populations tudi es ayant r pondu des ques tionnaires de diagnostic associ s ou non des ques tionnaires de qualit de vie l ge des populations est divers les pratiques sportives vari es dans leur type et leur intensit les tudes concernent essentielle ment les sports de haut niveau au I Malgr cela les r sultats concordent chez les nullipares pour lesquelles le facteur obst trical n est pas en cause avec une pr valence non n gligeable de l IUE chez ces sportives d ge jeune Dans une tude contr le sur une population de spor tives fran aises de niveau lite versus une popula tion g n rale Caylet et al 6 montrent que l IUE survient plus fr quemment dans la deuxi me moiti de la p riode d entra nement p lt 0 0003 et dans deuxi me partie de la p riode de comp titions Thyssens et al 3 notent qu
132. tu par le port de charges et une station verticale en faisant travailler les grands droits Les sportives de haut niveau ont en ligne de mire reprise de la comp tition le plus t t possible Selon mode de naissance et sport la reprise de tra nement sera adapt e Selon de Gasquet 24 on peut viter de mauvaises postures d s la p riode postnatale tout en faisant un vrai travail musculaire intense et statique la fois Ces exercices se font dans la continuit de ceux pratiqu s durant la grossesse travail des abdo minaux est en fait possible mais dans des positions antigravitaires allong e sans hyperpression Nos coll gues du Royaume Uni ont mis quelques recommandations simples Les b n fices des exercices physiques postnatals comprennent un entra nement cardio vasculaire une perte de poids facilit e une am lioration de l humeur une diminution de l anxi t et de la d pression et plus d nergie L activit physique postnatale mod r e peut se faire sans compromettre l allaite ment maternel ni la croissance du nouveau n Le renforcement des muscles du plancher p rin al pourrait r duire les troubles de la statique pelvienne et risque d incontinence urinaire En cas de grossesse simple et d accouchement sans complication une activit mod r e marche exercices pour le plancher p rin al et tirements peut tre commenc e sans d lai En cas d accouche ment comp
133. ulaire du plancher pelvien taient des facteurs ind pendants de prolapsus urog nital alors que les modalit s d accouchement le poids de naissance la souplesse articulaire et l activit physique ne l taient pas 1 Certains sports sont connus pour g n rer ce type de contraintes sur le plancher pelvien li es aux de pression intra abdominale musculation avec lever de poids gymnastique au sol saut de haies tennis basket ball etc conduisant une alt ration de sa fonction musculaire En effet le sport ne muscle pas le p rin e mais le sollicite Le p rin e de la sportive a fait l objet de nombreux travaux dont la grande majorit reste d volue la question de l incontinence urinaire Le th me du prolapsus est plus rarement d battu Les cons quences anatomiques d une activit sportive de haut niveau ont t tudi es par Kruger et al en 2007 2 Les imageries par r sonance magn tique IRM de 24 sportives de haut niveau montraient des diff rences significatives sur les mesures du diam tre musculaire pubococcygien de la descente du col v sical et de la largeur du diaphragme d finie par les muscles releveurs durant la man uvre de Valsalva en comparaison avec 22 femmes d une population t moin Certains sports ou une pratique sportive trop intense sont donc responsables d une alt ration du plancher pelvien D apr s l Acad mie nationale de m decine en 2006 les sportives de haut niveau
134. vaient re u des conseils d hygi ne de vie et appris the knack c est dire le r flexe de contracter le plancher musculaire pelvien avant les situations au cours desquelles la pression intra abdominale augmente Dans le groupe entra nement physique le protocole comprenait des sessions th rapeutiques de groupe et des exercices domicile Sur le plan clinique la fr quence et l intensit des sympt mes ont diminu dans ce groupe avec une am lioration d un point dans la classification POP Q pour 19 des patientes contre 8 dans le groupe contr le p 0 35 L entra nement musculaire du plancher pelvien aurait donc une certaine efficacit dans le traitement du prolapsus Ainsi il ne faut pas bannir le sport mais plut t int grer les exercices de contr le du p rin e dans un programme d entra nement La pratique d un sport pour une femme doit donc se faire en prenant soin d imposer r guli rement un travail aux muscles du plancher pelvien Tout s apprend i ESPACES DE LIBERT PTE B Au En __ 4 1 a Service m dical de l Institut national du sport de l expertise et de la performance INSEP 11 avenue du Tremblay 75012 Paris Maternit du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon 125 rue d Avron
135. vant et pendant grossesse la pratique sportive varie occasionnellement habi tuellement r guli rement comp titions en amateur ou comp titions en tant que sportive de haut niveau Le mode d accouchement va influer sur la reprise de l activit physique postnatale Il est ais de comprendre tant au niveau physique que psychique les diff rences entre le projet de naissance et sa r alit c est dire entre une naissance par voie basse simple avec ou sans suture p rin ale ou avec aide instrumentale et un accouchement par c sa rienne programm e ou en cours de travail en d but ou fin de dilatation en r ponse un stress f tal ou pour une autre raison moins urgente Cet inventaire la Pr vert de la salle de naissance va conditionner bien tre physique ou sa reconqu te Le mode d allaitement maternel ou artificiel la sant du nouveau n la pr sence d autres enfants l implica tion du conjoint vont aussi jouer sur cette possibilit de temps soi consacr sa remise en forme De nombreuses modifications physiologiques et morphologiques de la grossesse vont persister dans les 4 6 semaines du post partum 3 Les exercices habi tuels seront repris progressivement avec un programme individualis On pourrait r sumer cette reprise en d s que l tat m dical et la condition physique sont sans risque Certaines femmes pourront reprendre dans les jours suivant l accouchement et pas d autres IL
136. xperts Reportages en r gions Comptes rendus de congr s Edimark tv vous propose un autre regard sur votre sp cialit Inscription imm diate et gratuite r sev e aux professionnels de sant MERCK Avec le soutien i Sous l gide de 6 tt EA institutionnel de DU canNnc roLoGUe 5 La Lettre Gyn cologue Plus de 12 ans d archives Plus de 20 revues en ligne Toute l actualit des grandes Acc s r serv exclusivement aux abonn s M OUI je m abonne Acc s Web GRATUIT Journaux en ligne sp cialit s m dicales Des questions Contactez nous par t l phone au 0146676274 service abonnements par e mail contacts edimark fr ou par fax au 0146676309 Formation M dicale Continue SN Bulletin d couper Vous tes Raison _ si collectivit association administration soci t A Pratique lib rale cochez hospitali re E mail indispensable pour b n ficier de nos services Internet archives newsletters Votre adresse postale 22222 2 2 24 24 47 440 4 49 505 Code postal PA n E E T E cas de r abonn
137. ynsf org 15 mars 2011 Institut Gernez Rieux Lille Journ e du Coll ge national des sages femmes sur le th me La sage femme la contraception et la femme en bonne sant T l 03 20 44 44 83 Fax 03 20 44 40 19 7 8 avril 2011 Deauville 11 Journ es Gyn co logiques p diatriques et obst tricales modernes 2011 Renseignements T l 02 31 27 19 18 Fax 02 31 27 19 17 13 14 mai 2011 H tel Marriott Rive Gauche Paris 2 Congr s du GEMVI Renseignements T l 02 31 27 19 18 Fax 02 31 27 19 17 23 25 mai 2011 H tel Negresco Nice 8 congr s international de Gyn cologie obst trique et repro duction de la C te d Azur Gynazur 2011 Renseigne ments et inscriptions Creative Spirit Magali Liotier 11 13 avenue Isola Bella 06400 Cannes T l 33 0 4 97 06 39 39 Mobile 33 0 6 20 08 86 06 Email magali creativespirit eu Internet http WWW gynazur eu 18 19 mai 2011 Cit des Congr s Nantes 39 Assises nationales des sages femmes Renseignements Assises nationales des sages femmes 7 rue du Capitaine Dreyfus 95130 Franconville T l 01 34 15 56 75 Fax 01 34 13 59 76 E mail a deshons wanadoo fr 23 24 juin 2011 Reims Palais des Congr s 4th ESOC European Symposium on Ovarian Cancer Renseignements M amp O Organisa tion 21 rue de la Varenne 63122 T l 04 73

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