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Rapport d`activité ONCFS 2012

1. Faune de montagne ONCFS mm RAPPORT D ACTIVIT 2012 Ile d p re TES 44 APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES 45 30 territoires g r s ou cog r s par l ONCFS au 31 12 12 63 433 hectares Surface Gestionnaires s 7 r serves nationales de chasse et de faune sauvage 28 662 hectares 7 358 ha 2 728 ha 1724 ha 5 664 ha 5 205 ha 1735 ha 4 248 ha ONCFS ONF ONCFS ONF ONCFS ONCFS ONF ONCFS ONCFS ONCFS er Outines et Arrigny ine et Pannes 8 r serves naturelles nationales 14 424 hectares 500 ha S 472 ha 2 600 ha 2 300 ha 415 ha 78 ha 7 852 ha 207 ha ONCFS FRNC ONCFS LPO ONCFS LPO ONCFS ONCFS ONCFS GEPOG ONCFS LPO ONCFS agnol rand Conn table La pr paration de la constitution de deux nouvelles RNCFS Conform ment aux objectifs fix s par la strat gie de d ve loppement la consolidation du statut de protection des RCFS de Donz re Mondragon Vaucluse Dr me et de Belledonne Is re a t conduite par l instruction en 2012 de deux dossiers de demande de constitution en r serve nationale de chasse et de faune sauvage lls sont actuellement en cours d instruction Ces deux espaces recouvrent des enjeux importants en mati re de recherche et d exp rimentation pour l tablissement Donz re Mondragon est la premi re station de baguage et de suivi national des turdid s migrateurs ce titre il
2. Premier vice pr sident du Conseil g n ral du Loiret Guy BERNY Ancien maire de Viller al Membres repr sentant le personnel Dominique MELLETON Syndicat national de l environnement SNE FSU ric GOURDIN Union nationale des syndicats autonomes UNSA cologie Objet des d lib rations du Conseil d administration La politique g n rale de l tablissement compte tenu des orientations fix es par le Gouvernement dans le domaine de la chasse et de la faune sauvage e Le rapport annuel d activit Les programmes pluriannuels de d veloppement et d investissement Le budget e Le compte financier et l affectation du r sultat Les acquisitions et ali nations de biens immobiliers Les baux et locations d immeubles d une dur e exc dant neuf ans e Les emprunts Les conventions contrats march s aides et subventions e L acceptation des dons et legs Les prises extensions ou cessions de participation financi re ainsi que la participation des groupements d int r t public ou des groupements d int r t conomique e Le r glement int rieur e Les transactions INTRODUCTION La gouvernance Le Conseil d administration au 1 d cembre 2012 Le Conseil d administration est compos de 22 membres 4 repr sentants de l tat 9 repr sentants des associations de chasseurs 2 personnalit s qualifi es dans le domaine de la chasse et de la faune sauvage 2 repr sentants d organisatio
3. n ration d une for t largement d truite par les importants incen dies qui ont touch la Russie occidentale en 2010 En 2012 de nombreuses missions ont t conduites en Europe notamment dans le cadre de la gestion des grands pr dateurs embl matiques loup ours lynx et des grands herbivores chamois bouquetin en coop ration avec les pays transfrontaliers concern s par le suivi la surveillance et la gestion de ces esp ces Parmi les autres actions marquantes le programme trans SL ut PEE Cr MR RUES F LE anr RE OP RER A UN LES A m wr E 7 a 8 E r e a e J Y Mondain Monval P Defos du Rau ONCFS frontalier ALCOTRA galliformes alpins qui s est achev en Dans les zones africaines d hivernage certaines grandes remises ao t 2012 a vu la restitution de ses r sultats par les quatre parte naires ONCEFS r gion du Pi mont r gion du Val d Aoste et labo ratoire ISAC du CNR italien lors d un colloque qui s est tenu dans AEWA le Pi mont Italie Unit sanitaire de la faune USF a particip Retour sur l implication technique AEWA plusieurs manifestations relatives aux maladies de la faune et de canards pal arctiques restent d couvrir comme ici au centre du Soudan sur la Maya El Rahed L a 5 r union des parties de l Accord sur la conservation des oisea
4. x T MRNAS TT PE Wn HEM BES ARES E CEA ee NPA Ce hr Fee RS ser je 4 7 ae POURSU HVG R KR r M i N 8 gt IA GO NSTRUCHON ERVIGE PUBI LI IC ONCFS mm RAPPORT D ACTIVIT 2012 51 POURSUIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE Donn es chiffr es Effectifs Sous plafond Hors plafond ETP au 31 12 2012 1 628 938 23852 1 667 459 ETP quivalent temps plein Pyramide des ges au 31 12 2012 Action sociale 100 50 0 50 100 150 200 250 300 350 en 1 342 agents ont fait l objet d une visite m dicale ans et plus e 164 dossiers d indemnisation ch mage 50 54 45 49 433 dossiers de prestations sociales 40 44 35 39 dont 30 34 P 53 6 pour des prestations de s jours d enfants A 43 4 pour les aides aux familles MOMSEN CESU garde d enfant CESU handicap H Femmes E Hommes allocation pour enfant handicap Y Les personnels lors de r unions de travail ou de sessions de formation DRH L Wattelet P Massit ONCFS TE E lt 52 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 53 POURSUIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE Adapter l organisation des services Dans un contexte budg taire rigoureux il est n cessaire de se projeter dans l avenir afin d adapter les moyens de l Office aux objectifs fix s En pratique cela se concr tise par une gestion des effectifs r pondant aux
5. R T i Le FE techniques et conduire des actions de 6 ni d veloppement permettant une meilleure i l 53 protection et une gestion plus durable de PE ER Ae la faune sauvage et de la biodiversit en aR 73 22 g n ral L tude de la biologie des l T populations en relation avec leurs habitats 3 NT permet de comprendre les variations fe UPS AU spatio temporelles de ces indicateurs DIRECTION DES TUDES ET DE LA RECHERCHE T MIEUX CONNA TRE E LA FAUNE SAUVAGE ET SES HABITATS ONCFS mms RAPPORT D ACTIVIT 2012 23 N Van Ingen Piloter les recherches L axe 2 du Contrat d objectifs 2012 2014 Am liorer la connaissance pour une expertise solide en mati re de faune sauvage d finit deux enjeux sur lesquels suivis tudes exper tises et appuis techniques ont t conduits en 2012 Il s agit d une part d valuer l tat de conservation des esp ces menac es ou chassables partir des suivis patrimoniaux r alis s dans la dur e et d assurer un suivi sanitaire performant Et d autre part de comprendre le fonctionnement des populations en relation avec leurs milieux pour laborer des outils de L ONCEFS a encore apport en 2012 un concours actif la mise en uvre des plans nationaux d actions en faveur des esp ces prot g es et la gestion des esp ces animales exotiques envahissantes Il a r pondu aussi aux nombreuses s
6. tait gal 16 03 M et correspond au fonds de roulement comptable 50 40 M apr s d duction des besoins de financement sur Les six premiers mois de 2013 34 37 ME Le d lai moyen global de paiement est de 20 09 jours contre 20 48 en 2011 Ces chiffres sont tr s inf rieurs au d lai r glementaire qui est fix 30 jours En 2012 il a t notifi 44 march s publics dont 22 sous forme d appels d offres 1 sous forme de march n goci et 21 sous forme de march s proc dure adapt e Le r sultat comptable de l exercice 2012 se traduit par un exc dent de 3 22 M qui a t port dans les r serves g n rales de l tablissement Le taux d ex cution budg taire tous chapitres confondus est de 95 32 Les recettes ont repr sent 122 30 M dont 38 45 M de subvention de l tat et 76 60 M de recettes fiscales Ces derni res comprennent les redevances cyn g tiques 69 35 M le droit de timbre pour la validation 5 76 M le droit d inscription l examen du permis de chasser 0 57 M et la redevance pour la d livrance du titre permanent 0 92 M Les redevances cyn g tiques ont marqu une baisse de recettes de 0 44 ME par rapport 2011 li e pour sa plus grande part la diminution du nombre de porteurs de permis Le financement de l tat prend la forme d une subvention pour charge de service public au titre des missions d int r t g n ral et patrimonial assur es par l
7. tat ont fait appel l ONCFS pour valuer l efficacit de la d localisation des jaguars d pr dateurs La capture et le rel cher d un premier jaguar quip d un collier GPS satellite ont cl tur l ann e et suscitent une r elle attente quant la performance du mod le de collier choisi Le m rou g ant Epinephelusitajara La recherche sur la biologie et l cologie du m rou g ant suit son cours Elle a b n fici d une ann e de subvention suppl mentaire de la DEAL Guyane Y Rel cher d un jaguar quip d un collier metteur La grande faune chass e tudes DER DIR OM L tude des pratiques de chasse men e en collaboration avec le Parc Amazonien de Guyane PAG et finalis e en 2012 a g n r une base de donn es en cours d analyse Elle vise mieux comprendre les pratiques de chasse des peuples vivant dans le Parc et leurs impacts potentiels sur la faune Ces r sul tats seront compar s avec ceux qui ont t obtenus il y a dix ans par l ONCFS afin de juger de l volution d indices de durabilit de la chasse L tude des relations entre la grande faune foresti re et ses habitats a galement franchi un cap en 2012 avec le rendu de l tude Habitat financ e par le FEDER et men e en collaboration avec l Office national des for ts ONF et le PAG Une carte inno vante a t publi e Elle permet de d crire les diff rents grands types de paysages forestiers et d habitats pr sent
8. tudi e pour comprendre son impact sur les populations de li vres et identifier les facteurs de risque SD 51 0115 L actualit des CNERA Dans le cadre des objectifs 21 24 du Contrat d objectifs volailles de Bresse lev es en plein air Une opportunit de colla boration avec des quipes du CNRS de Lyon et de l universit Aix Marseille a t saisie pour exploiter les donn es r centes sur la d mographie du renard Une m thode de diagnostic des habitats hivernaux du t tras lyre finalis e en collaboration avec la FDC de l Is re a pour objectif de d limiter les habitats utilis s par cette esp ce en hiver puis d valuer et de qualifier les activit s touristiques et r cr atives hivernales pratiqu es au sein de ces habitats Ces diagnostics se veulent tre une expertise partag e men e avec les profession nels du tourisme les propri taires et les gestionnaires d espaces naturels et de la faune Le but est ensuite de d finir collective ment des orientations de gestion propres maintenir ces habi tats dans un bon tat de conservation et de qui tude Un m mento a t dit et les formations de terrain ont pu d buter au cours de l hiver 2012 2013 Du nouveau sur l cologie de l alouette des champs en hiver U n doctorant au sein de l quipe Oiseaux migrateurs terrestres a soutenu son travail de th se sur l cologie de l alouette des champs le 18 octobre 2012 Son travail a permis de mieux cer
9. Les accidents de chasse Le nombre d accidents enregistr s pendant la saison de chasse 2011 2012 s inscrit dans l volution g n rale en diminution constat e depuis quinze ans volution du nombre d accidents de chasse 300 N UT O Nombre d accidents O 5 UT O 146 131 1 T 1 1 RY 100 T T T T T T T T T T D A gt b ko O RY S ON AN Y PSS e LE Saison de chasse pour 1 300 000 chasseurs ONCFS Division du permis de chasser R seau s curit la chasse volution du nombre d accidents de chasse mortels M Le 29 E 30 24 D 25 a 22 22 OU 20 u 15 8 E 15 211 do No QG C4 TC O O O O S AT ANAN NN Saison de chasse pour 1 300 000 chasseurs ONCFS Division du permis de chasser R seau s curit la chasse ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 41 La d livrance du permis de chasser Outre la d livrance de 23 538 permis originaux l ONCFS remet galement les duplicatas du permis de chasser 8 236 en 2012 et les autorisations de chasser accompagn 3 748 en 2012 La Division du permis de chasser traite l ensemble de ces proc dures Il est noter cette ann e encore un nombre important de rejets de demandes de d livrance de duplicata 3
10. T l 05 62 20 7555 Fax O5 62 20 75 56 dr sud ouest oncfs gouv fr CENTRES NATIONAUX D TUDES ET DE RECHERCHE APPLIQU E CNERA ET AUTRES UNIT S D TUDES CNERA Avifaune migratrice 39 boulevard Albert Einstein CS 42355 44323 Nantes Cedex 3 T l 02 51 25 03 0 Fax 02 40 48 14 1 cneraam oncfs gouv fr CNERA Cervid s sanglier 1 place Exelmans 55000 Bar le Duc T l 03 29 79 97 82 Fax 03 29 79 97 86 cneracs oncfs gouv fr CNERA Faune de montagne Les portes du soleil 147 avenue de Lod ve 34990 Juvignac T l 04 67 10 78 4 Fax 04 67 10 78 2 cnerafm oncfs gouv fr Communication 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 44 15 17 O4 comm secretariat oncfs gouv fr Guichet juridique Direction de la police BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 00 Fax 01 30 46 60 83 police oncfs gouv fr Actions internationales et Outre mer 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 44 15 17 4 mai oncfs gouv fr Inspection g n rale des services 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 44 15 17 04 igs charge mission oncfs gouv fr Contr le de gestion BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 21 Fax 01 30 46 60 60 sandrine letellier oncfs gouv fr Agence comptable BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 00 Fax 01 30 41 80 72 ag
11. cas d chapp e massive de faune captive Simultan ment une veille al atoire permanente est exerc e par les agents de l ONCFS qui sont au plus pr s du terrain et des acteurs de l environne ment Elle est compl t e par des enqu tes nationales pilot es par Les CNERA concern s qui permettent de r aliser des tats des lieux r guliers cerf sika et daim raton laveur et chien viverrin Aboutir l radication de l rismature rousse et de l ibis sacr Depuis 1996 dans le cadre d une d marche partag e par diff rents tats europ ens signataires de la Convention de Berne l ONCEFS contribue activement l radication de l rismature rousse sur le territoire national La mission est difficile du fait de la d licate d tectabilit de l esp ce et de son caract re farouche L effectif hivernant est aujourd hui stabilis en France En 2012 123 individus ont t pr lev s par l ONCFS en Bretagne Pays de la Loire et par la Soci t nationale de protection de la nature SNPN dans la R serve naturelle nationale RNN de Grand Lieu Afin de faciliter le signalement r actif et pr cis des obser vations un d pliant a t largement diffus Cette mission sera int gr e en 2013 dans un Plan national de lutte confi l ONCFS Concernant l ibis sacr 636 individus ont t limin s dans l ouest de la France 503 en Loire Atlantique 69 dans le Morbihan 63 en Vend e et 1 en Gironde Par ailleurs 248 pontes
12. couvrir les stands de l ONCFS et de la FDC 81 APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES Le r seau des Espaces prot g es Les trois missions poursuivies par l ONCFS dans la gestion d espaces prot g s sont la conservation la restauration la gestion et la surveillance des milieux la recherche les tudes et le d veloppement 30 espaces prot g s g r s par l ONCFS totalisant 63 433 hectares l ONF aux milieux ouverts et la conduite des programmes d exp rimentations d tudes et de recherche men s par l ONCES Ces documents sont d autant plus importants lorsque le site est cog r n cessitant un partage des enjeux par les diff rents gestionnaires et une d finition concert e des actions mettre en uvre Les actions de gestion ayant pour finalit de favoriser l ac cueil d un certain type de faune visent principalement entre tenir et restaurer des milieux sensibles comme les prairies humides ou les pelouses alpines r aliser des am nagements favorables la reproduction des esp ces prot g es et ou mena c es t traonid s bouquetins r les des gen ts et mettre en place des quipements permettant de limiter l impact des acti vit s humaines vitement des collisions du d rangement ma trise de la fr quentation gestion de l accueil du public la formation et la communication En 2012 le r seau des espaces prot g
13. fournir l industrie de la fili re bois des mati res premi res de qualit Or un d s quilibre est souvent constat entre les capacit s d accueil des for ts et les populations d ongul s pr sentes dans ces m mes espaces bois s Afin d expertiser des modalit s de concertation entre chasseurs et forestiers permettant de partager un m me constat de la situation puis de fixer des objectifs atteindre en termes de capacit s de renouvellement des peuple ments forestiers une d marche baptis e Sylvafaune 3 t construite par l ONCFS en 2012 Elle a t lanc e le 21 novembre lors d une r union des institutions repr sentant l ensemble des acteurs de la for t publique de la for t priv e et des chasseurs et en pr sence des minist res de l cologie et de l Agriculture Une d finition des objectifs poursuivis travers cette d marche a t partag e et une m thode de travail labor e Un panel de territoires va servir de mod le l expertise qui va tre men e sur la base d un cahier des charges en cours de validation par un comit de pilotage national Corridors biologiques et grande faune foresti re Dans le cadre de leur partenariat conclu d but 2012 l ONCFS et la Soci t de v nerie ont convenu de coop rer pour Le main tien de biotopes favorables la vie sauvage et en particulier sur la pr servation de corridors biologiques Dans une premi re phase ils se sont attach s r pondre aux ques
14. internationaux par toutes les quipes Les tudes du programme national sur l oie cendr e coordonn par l ONCFS Les tudes ont t pr sent es la 14 r union du Groupe de sp cialistes des oies de Wetlands International Steinkjer Norv ge du 17 au 22 avril 2012 Devant l expos des premiers r sultats illustrant des strat gies migratoires individuelles diff rentes il a t d cid de renouveler en novembre 2012 sur une semaine une op ration de capture Do ana d au moins quinze individus qui seront tous quip s d metteurs GPS GSM La situation espa gnole de la population d oies cendr es a galement t pr sent e Cette communication fera l objet d une publication scientifique A Les strat gies migratoires des oies cendr es seraient propres chaque individu XII Colloque international sur les t traonid s Matsumoto Japon ao t 2012 Le colloque international sur les t traonid s sous famille d oiseaux comprenant t tras g linottes et lagop des est orga nis tous les trois ans dans le cadre du Grouse specialist group GSG de l Union internationale pour la conservation de la nature UICN Les agents du CNERA Faune de montagne tous experts UICN pour les galliformes participent r guli rement ces temps d changes qui permettent de cr er des collaborations fructueuses Cela a t le cas avec lagop de alpin dans le cadre de cette XII dition au Japon Le pays abri
15. le de p che aux ormeaux avec les Affaires maritimes d bouchant sur une verbalisation pour non respect des quotas et tailles r glemen taires la journ e suivante a permis de renforcer les services de l Onema sur le contr le de la p che du saumon et de la truite ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 18 CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT 19 C Bellanger ONCFS Ligne grande vitesse de nouvelles probl matiques de contr le marquent le coup d envoi de l implication de l ONCFS pour des tra vaux pr vus jusqu en 2017 Les services se forment et s adaptent ces probl matiques de contr le Gageons que cette pr sence saura assurer une prise en compte de la protection de la faune sauvage et deses habitats Y V rification de la mise en d fens d une station v g tale site de reproduction d amphibiens epuis le d but de l ann e 2012 les travaux de construction dela ligne grande vitesse Sud Europe Atlantique entre Tours et Bordeaux ont d but Traversant l ensemble de la r gion Poitou Charentes cette infrastructure marque le paysage et cr e une certaine effervescence autour de sa mise en uvre Appel s pour v rifier la bonne application de l arr t minist riel de d rogation relatif la destruction d esp ces et d habitats d esp ces prot g es les services d partementaux de l ONCFS doivent composer avec une multitude de correspondants et d acteurs Une coordination troite
16. partementales des territoires DDT charg es de l instruction du dossier mais aussi avec l Onema qui intervient sur la police de l eau les services se sont rapproch s de l am nageur pour faire le point sur ses obligations et orga niser les contr les de terrain Les enjeux politique et conomique du projet n ont pas mis mal la vigilance de l ONCEFS puisque les agents du Service d partemental de Gironde ont verbalis l am nageur qui ne respectait pas les prescriptions dict es en d pit de la mise en demeure adress e par la pr fecture Les trafics des esp ces soumises a la Convention de Washington Pour d manteler les trafics des esp ces soumises la Convention de Washington dite CITES qui encadre le commerce international des esp ces sauvages menac es l ONCFS s est dot d une brigade mobile d intervention sp cialis e la BMI CITES Ses agents forment et animent un r seau de correspondants pr sents dans chaque service d partemental de l ONCEFS La lutte contre le trafic des esp ces menac es n cessite en effet des connaissances tr s pr cises sur la reconnaissance des sp ci mens et leur statut de protection ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 T Josse ONCEFS Le braconnage est susceptible de toucher toutes les esp ces chassables comme prot g es Parce qu il est facile d en pr lever en quantit importante pendant la p riode de reproduction la grenouille rousse est r guli rement braconn
17. proies du loup cerf chevreuil chamois et mouflon fait l objet d un important programme de recherche initi en 2004 par l ONCFS en partenariat avec le CNRS la FDC des Alpes Maritimes et le parc national du Mercantour C est une tude unique en France et en Europe Plusieurs centaines d ongul s sauvages ont t quip s d un collier VHF et suivis par t l m trie D autre part entre 2009 et 2011 quatre louves ont t captur es et quip es d un collier GPS GSM Ces suivis ont montr que les ongul s vivant sur l ensemble du ter ritoire de la meute subissent une pression de pr dation plus forte que ceux vivant en p riph rie l activit de chasse des deux femelles reproductrices tudi es tant plus importante au c ur de leur domaine vital Les r sultats obtenus sur le chamois et le chevreuil montrent qu il n ya aucune diff rence significative des taux de survie entre Bauges territoire sans loup et Mercantour pour les deux esp ces Contrai rement ce qui pourrait tre attendu de mani re intuitive chamois et chevreuils ne survivent pas mieux en l absence du loup Toutefois les populations d ongul s suivis par collier met teur n taient pas dans la zone prioritaire de chasse Des hypoth ses non exclusives ont t pos es mais des compl ments de mesure restent r aliser Les informations recueillies par cette tude font merger de nouvelles questions notamment sur les modifications potentielles
18. publique doit quant elle repr senter un moment privil gi pour mettre en avant le professionnalisme de l ONCFS Ces r ponses ont t de nature je l esp re assurer le pr sident du Conseil d administration le Directeur g n ral et l ensemble des membres du Conseil d administration de la volont au plus haut niveau de l tat de reconna tre le travail remarquable r alis par l ONCFS et la d termination lui garantir les moyens de poursuivre ses missions malgr un contexte budg taire contraint Ce contexte difficile a d ailleurs conduit Directeur g n ral engager tr s vite des mesures de r duction des d penses d marche que je tiens une nouvelle fois saluer Sur le second point relatif au r glement esp r depuis de nombreuses ann es du statut des contractuels j ai indiqu que les r flexions interminist rielles se poursuivaient notre but tant d aboutir une r ponse en 2014 Dans le cadre de la r flexion qui s op re actuel lement sur la forme que va rev tir la future Agence fran aise pour la biodiversit quel pourrait tre selon vous le r le de l ONCEFS 7 L ONCEFS est depuis plusieurs ann es clairement identifi et reconnu pour ses comp tences en mati re de connaissance et d actions sur le terrain en faveur de la biodiversit Le contrat d objectifs en cours de mise en uvre t moigne de cette orien tation forte qui s illustre par les nombreux programmes et actions que
19. puis le compenser par des mesures favorables l esp ce impact e Sur ce sujet 2012 a vu l ouverture du chantier de la ligne TGV Tours Toulouse encadr page 19 La cr ation de cette infrastructure dont l emprise concerne les habitats de nombreuses esp ces doit respecter diff rentes prescriptions dict es par arr ts minist riels et arr t s pr fectoraux pour r duire l impact du chantier Il est par exemple demand d intervenir selon un calendrier pr cis pargnant les p riodes de reproduction des esp ces consid r es ou de proc der la mise en d fens du chantier pour viter que les animaux ne s y rendent En Poitou Charentes et en Gironde o le chantier est le plus avanc l ONCEFS s est particuli rement investi dans le contr le de ces mesures Apr s concertation avec les DREAL SID Corse ONCFS PN SD 52 A Seule tortue terrestre pr sente en France les effectifs de la tortue d Hermann sont en r gression permanente La collaboration exemplaire des services cit s augure encore de belles r ussites dans un proche avenir dans la lutte contre la commerciali sation de la faune sauvage menac e Cet enjeu d ailleurs pris une place d importance dans le plan d actions sur la tortue d Hermann de mer Sur cent vingt et un p cheurs contr l s huit ont fait l objet d un proc s verbal Contr le de diverses activit s humaines r glement es La police de la nature int gre enfin le contr
20. quivalent temps plein travaill Cela conduit galement observer une consommation de la masse salariale hauteur de 98 26 La Direction des ressources humaines DRH concourt la r flexion des groupes de travail pilot s par Directeur de la police et le Conseiller technique quant l organisation des services au regard des enjeux et des effectifs calibr s par rapport aux missions tout en pr servant le maillage territorial Elle y tudie les r gles de r partition des effectifs l aune des besoins des ressources disponibles des d parts en retraite notamment et de la r glementation applicable relative l organisation territo riale Ce travail est men dans le cadre du dialogue social et vise sur la dur e du Contrat d objectifs disposer d une cartographie des effectifs partag e et projet e afin de garantir les capacit s d intervention de l Office Plusieurs groupes de travail se sont r unis pour proposer une nouvelle organisation territoriale tenant compte de l volution des effectifs Les dispositions l gislatives l tude sur la conduite tenir en cas de crise sanitaire et environnementale seront int gr es dans ces travaux Dans ce contexte la conduite du changement initi e en 2072 doit se faire dans de bonnes conditions C est pourquoi l Office s efforce de limiter les risques professionnels tout particuli rement les risques psychosociaux RPS auxquels sont susceptibles d tre expos
21. s ses agents La DRH a pr sent l ensemble des acteurs de la sant et de la s curit au travail pleinement associ s la d marche un plan de formation plurian nuel largi et obligatoire L objectif de ce plan est de sensibiliser l ensemble des personnels du r seau sant et s curit au travail ainsi que l encadrement aux RPS conform ment aux objectifs interminist riels fix s en mati re de formation sans qu il n y ait eu besoin de signer un accord sur ce point au sein de l tablissement cet effet trois fiches de communication sur les RPS ont t diffus es en 2012 encadr D Commission consultative paritaire des personnels de l ONCFS Inscrits 3 14 Votants 1 89 Participation 60 1 9 D CAP Nationale des techniciens de l environnement Inscrits 406 Votants 327 Participation 80 54 En application de la charte pour la promotion de la parit hommes femmes 2010 2013 l Office a galement profit des lections professionnelles pour am liorer la repr sentativit des femmes au sein des instances consultatives et paritaires de l administration Chiffres cl s des lections D Conseil d administration de l Office Inscrits 817 Votants 1 251 Participation 68 84 Faire voluer les m tiers et les parcours professionnels pour mieux r pondre aux enjeux L volution des m tiers et des parcours professionnels est le fruit d une troite collabora tion avec le minist
22. t confisqu es le tribunal d pinal a condamn deux auteurs de braconnage et de commerce clandestin des peines de prison ferme de quatre six mois compl t es d emprisonnement avec sursis du retrait des permis de chasser et permis de conduire de la confis cation des armes mais aussi du v hicule ayant servi au d lit ainsi qu au versement de dommages et int r ts hauteur de 120 000 euros Cette affaire a n cessit un investissement important de l ONCFS en collaboration avec la Gendarmerie et les agents de la FDC des Vosges Les peines sont encore plus s v res lorsque le gibier braconn fait l objet d un commerce clandestin Il s agit alors pour les services de l ONCFS de s attacher d manteler la fili re en prenant le temps d accumuler des renseignements pour finale ment obtenir du juge l autorisation de faire proc der des coutes t l phoniques avec l aide de la Gendarmerie Elles permettront comme dans ces deux derni res affaires d tablir le lien entre braconniers et receleurs gt Saisies op r es dans le Var en juin 2012 dans le cadre d une visite domiciliaire chez un pr venu pour braconnage de nuit CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT A contrario sur la base de renseignements accumul s par les agents les contr les peuvent tre cibl s sur une quipe de chasseurs en particulier Apr s deux ans de surveillance les agents de la Dr me ont enfin pu stopper les agissem
23. 024 et d au torisation de chasser accompagn 1 109 du fait de dossiers incomplets ou non conformes Afin de rendre plus accessibles et plus lisibles par les candidats et les demandeurs les imprim s Cerfa et ainsi limiter les rejets de dossiers lors des v rifications op r es par la cellule nationale la Division a travaill en relation avec les services minist riels une simplification des documents suivants la demande d inscription l examen et de d livrance du permis de chasser Cerfa n 13945 03 la demande d autorisation de chasser accompagn Cerfa n 13946 02 la d claration de perte et de demande de duplicata du permis de chasser Cerfa n 13944 03 la demande de d livrance du permis de chasser Cerfa n 13943 02 Les services de la Police nationale et de la Gendarmerie ainsi que les Services d partementaux de l ONCEFS sollicitent de plus en plus fr quemment la Division du permis de chasser par des r quisitions judiciaires et des demandes concernant la situation de personnes et ou de contrevenants au regard du permis de chasser titulaires ou non sous le coup d un retrait ou non La division a galement accompagn les travaux du Chantier 14 pour faire suite aux tats g n raux de la chasse men s par la F d ration nationale des chasseurs et visant accom pagner une future r forme du permis de chasser La s curit la chasse Le r seau national La s curit
24. 46 60 67 der oncfs gouv fr Direction des actions territoriales BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 00 Fax 01 30 46 60 57 direction actions territoriales oncfs gouv fr Division du permis de chasser BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 9 Fax 01 30 46 54 72 Direction financi re BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 0 Fax 01 30 46 60 60 direction financiere oncfs gouv fr Direction des syst mes d information BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 00 Fax 01 30 46 60 60 directeur systemes information oncfs gouv fr MISSIONS AUPR S DU DIRECTEUR G N RAL Cabinet 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 47 63 79 13 cabinet oncfs gouv fr e f 2 y 7 EA AD x apport d activit 2012 1 R TA Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris wWww oncfs gouv fr
25. 638 ufs ont t st rilis es par la Soci t nationale de protec tion de la nature SNPN sur la r serve de Grand Lieu Sur littoral m diterran en 7 oiseaux ont pu tre pr lev s dans les Bouches du Rh ne effectif de moins de 10 individus Pour ce qui est de la bernache du Canada et de l ouette d gypte la contribution de l ONCEFS est aujourd hui limit e la r gulation dans des sites sensibles r serves habitats anthropis s Elle compl te ainsi l action des chasseurs la chasse de la bernache du Canada tant autoris e jusqu au 10 f vrier 2015 L Ibis sacr est une esp ce d Afrique subsaharienne introduite dans l Ouest de la France partir d individus chapp s d un parc du Morbihan qui se sont reproduits dans le milieu naturel d s 1991 L expertise de l Office au service du d bat public Le sanglier est il un ongul particulier du point de vue de ses traits d mographiques La chasse peut elle tre consid r e comme une solution efficace pour r guler des populations de sangliers en croissance La r ponse apport e a t appr ci e des interlocu teurs allemands e Le minist re marocain de l Agriculture confront la recrudescence de d g ts de sangliers mettant mal l agricul ture vivri re a souhait mettre en place une strat gie de lutte efficace La premi re tape reposait sur l organisation de rencontres scientifiques associant en pr sence du ministre de l Agricu
26. CIR est ouvert au Service des retraites de l tat au nom de chaque fonctionnaire titulaire de l tat afin de lui fournir une information r guli re sur les droits pension qu il s est constitu au titre de la fonction publique d tat et le cas ch ant des autres r gimes de base et compl mentaires auxquels il a pu cotiser au cours de sa carri re professionnelle La mise jour de ces comptes individuels retraite pour les fonctionnaires de l environnement a t confi e fin 2011 aux services du Bureau des pensions de Draguignan en liaison avec les services de l ONCFS et de l Onema Dans ce cadre sur la base d une convention conclue avec le minis t re charg del cologie la Direction des ressources humaines de l Office a t charg e depuis le courant du mois de d cembre 2011 ettout aulong de l ann e 2012 d adresser chaque fonctionnaire de l environnement affect l ONCFS un questionnaire destin la fiabilisation de son CIR Ces l ments fournis aux services du Bureau des pensions de Draguignan leur permettront ainsi d alimenter et de fiabiliser au fur et mesure les comptes individuels retraite afin que le service des pensions de l tat puisse faire conna tre p riodiquement chaque fonctionnaire ses droits pension C est galement partir des informations contenues dans le CIR de chaque agent que les pensions de retraite seront liquid es l avenir lors de son d part en retraite POURS
27. ONCEFS Le r sultat comptable 2012 Charges en K 2010 2011 2012 Charges de personnel 88 882 16 93 150 45 93 252 84 Achats 4 589 34 5857 16 4 705 36 Services ext rieurs 5 059 87 5 279 08 4 884 28 Autres services ext rieurs 10 754 32 10 499 15 9 355 41 Imp ts et taxes 116 23 141 11 131 21 Dotations aux amortissements 2 975 85 3 098 86 3 300 35 Charges sp cifiques 1831 23 233197 Z TL32 Charges financi res 1 08 0 59 0 30 Charges exceptionnelles 377 31 61 90 724 92 Total des charges 1 114 587 39 120 420 27 119 076 99 Produits en K 2010 2011 2012 Ventes de marchandises 1 147 89 1 452 00 909 15 Subvention de l tat 25855776 3200729 38 452 59 Redevances cyn g tiques 70 102 67 69 793 64 69 351 45 Examen du permis de chasser 51267 580 13 573 66 Droit de timbre 5 4 5 854 24 5 755 08 Redevance d livrance titre permanent 627 86 930 69 917 81 Produits ressources affect es 3 110 91 3 931 12 4 136 67 Aides l emploi 659 31 431 11 428 72 Autres produits 316 01 477 11 710 08 Produits financiers 165 00 2 26 80 01 Produits exceptionnels 1 242 86 469 75 985 46 Total des produits 2 109 171 88 121 199 34 122 300 68 R sultat net comptable 2 1 5 415 51 779 07 3 223 69 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 ANALYSER LA PERFORMANCE un 59 la direction g n rale et au contr le de gestion de conso lider annuellement au niveau national les donn es issues de l ap plication qui servent de cl de r partition pour la comptabi
28. actualit s 53 et d informations www oncfs gouv fr o v Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage Directeur de la publication Jean Pierre Poly Coordination Mission communication Conception graphique et r alisation IROMATIQUES DITIONS Cr dits photos de la couverture ONCFS S Travichon C Ferrier Impression Jouve Mayenne ISSN 1957 3146 Achev d imprimer 2 trimestre 2013 Imprim sur papier issu de for ts durablement g r es et par un imprimeur certifi Imprim Vert MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET DE L NERGIE MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FOR T Centre le de France Cit de l Agriculture 13 avenue des droits de l Homme 45921 Orl ans Cedex T l 02 38 71 95 56 Fax 02 38 71 95 70 dr centre iledefrance oncfs gouv fr Nord Est 41 43 rue de Jouy 57160 Moulins les Metz T l 03 87 52 14 56 Fax 03 87 55 97 24 dr nord est oncfs gouv fr Nord Ouest Rue du Presbyt re 14260 Saint Georges d Aunay T l 02 31 77 7111 Fax 02 31 77 71 72 dr nord ouest oncfs gouv fr Outre mer 23 rue des Am thystes BP 45 97310 Kourou T l 05 94 22 80 65 Fax 05 94 22 80 64 dr outremer oncfs gouv fr Poitou Charentes Limousin 255 routes de Bonnes 86000 Poitiers T l 05 49 52 01 50 dr poitou charentes limousin oncfs gouv fr Sud Ouest 18 rue Jean Perrin 31100 Toulouse
29. am lioration des connais sances de production des donn es et de communication qui accorde une priorit marqu e aux esp ces et aux territoires remar quables haute valeur patrimoniale et qui font d bat Pr s de la moiti du budget de l tablissement est consacr e cette politique intitul e dans le Contrat d objectifs 2012 2014 Contribuer la sauvegarde de la biodiversit Comme l Office national de la chasse et de la faune sauvage est un partenaire incontournable pour aider la mise en uvre des politiques relatives la biodiversit port es par son minis t re de tutelle il ne peut tre exclu de la r flexion en cours en faveur de la cr ation d une Agence fran aise pour la biodiversit annonc e par le pr sident de la R publique en 2012 et soutenue par la ministre en charge de l cologie C est pourquoi nous travail lons avec le Directeur g n ral de l tablissement la d finition des modalit s de partenariat entre l ONCFS et la future Agence afin que les comp tences le savoir faire et l exp rience de l ta blissement puissent venir en appui aux missions qui seront confi es l Agence Vous avez t chef du Service de l eau et des milieux naturels aupr s du Directeur r gional de l environnement de Champagne Ardenne Conseiller technique en charge de l eau et de l agriculture au Cabinet de la ministre de l Envi ronnement DIREN en Picardie puis DREAL en PACA comment voyez vous le
30. avec la DREAL et les Directions d partementales des territoires et de la mer est mise en place et des premiers contr les ont t r alis s Mise en d fens des habitats d esp ces prot g es respect des dates de travaux de la r glementation pour les d placements d es p ces fontpartie des v rifications d usage Activit nouvellement inscrite dans le Contrat d objectifs ces premiers mois de r alisation La police de la chasse et la lutte contre le braconnage Cette ann e encore plus d une infraction sur deux relev es par l ONCFS concerne la police de la chasse Depuis 2006 le nombre de constats est stable repr sentant environ 9 500 infractions par an L essentiel des infractions rel ve de la r glementation sur les modes et moyens de chasse sur la protection et sur les modes de gestion du gibier Notons le nombre croissant 071173110115 pour non respect des Sch mas d partementaux de gestion cyn g tique SDGC P nalis depuis 2010 ce contentieux a t multipli par 3 5 avec de la chasse il est important que ces mesures soient claires effi caces et facilement mises en uvre par les chasseurs Beaucoup de f d rations ayant eu renouveler leurs sch mas en 2012 l ONCES a pu s assurer chaque fois qu il a t sollicit que les mesures propos es taient contr lables Contr le de l activit cyn g tique De septembre f vrier la majorit des missions de police est orient e sur le contr le de
31. b n voles d associations de protection de la nature ou d associations de viennent cerf laphe 18 chevreuil 17 le mouflon et le cerf sika 4 Les autres esp ces sont plus anecdotiques 3 pour le bouquetin le wapiti le bison le chamois l isard le cerf axis muntjac etc Au minimum 39 000 sangliers 22 000 daims 15 000 cerfs laphes 7 000 chevreuils 2 500 mouflons et 1 800 cerfs sika sont d tenus en captivit Parmi les structures recens es 32 ont une vocation de parc ou d enclos de chasse 28 sont des levages d agr ment des parcs de vision ou des 2005 21 des levages de cat gorie B production de viande et 13 des levages de cat gorie A L tat des cl tures est consid r comme douteux ou non tanche par les agents de terrain pour 10 des cas conduisant des chapp es fr quentes Ainsi entre 2006 et 2008 il a t d clar 3 648 animaux chapp s de 434 structures 31 taient des sangliers 24 des daims 23 des cerfs laphe 13 des chevreuils et 2 des cerfs sika Il est vident que tous les animaux chapp s ne sont pas d clar s et que ces chiffres sont des minimums Cette enqu te montre que la d tention d ongul s sauvages n est pas anecdotique en France C est au contraire une v ritable probl matique prendre en compte dans toutes les d cisions r glementaires ou sanitaires concernant la faune sauvage La tenue d une liste des es
32. besoins des territoires et implique de d velopper une vigilance propre garantir la pr vention des Une des trois fiches portant sur les risques psychosociaux DRH ONCEFS L e plan de formation sera d ploy compter de 2013 et permettra d augmenter le r sultat de l indicateur Gestion pr visionnelle des ressources humaines des agents form s sur le mieux tre au travail Nombre d agents ou d encadrants form s Re 41 la pr vention des risques psychosociaux Dans l optique d appliquer les accords initi s par le minis t re de l cologie l Office a organis en fin d ann e un groupe de travail sur le t l travail en coh rence avec les travaux de la tutelle et le protocole sign au niveau minist riel titre exp ri mental Les productions de ce groupe seront export es des fins de recensement permettant d exp rimenter cette nouvelle moda lit d organisation du travail sur la dur e du Contrat d objectifs 2012 2014 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 risques professionnels L ONCEFS met en uvre une gestion pr visionnelle dans le respect des plafonds d emploi fix s de la masse salariale attri bu e et dans la limite des recrutements autoris s et des mouve ments non pr vus La conjonction de ces diff rents param tres am ne constater en fin d ann e un plafond d emploi exprim en quivalent temps plein inf rieur au besoin r el de l op rateur mais qui s en rapproche en
33. conduit l tablissement tant en France m tropolitaine que dans les territoires d Outre mer Ainsi l ONCFS renforce les actions pr c demment engag es dans le Contrat d objectifs ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION Un tablissement public au service de la biodiversit Le Contrat d objectifs tat ONCFS 2012 2014 La gouvernance L organigramme l chelon national L organigramme l chelon r gional 10 Accompagner les actions et les missions de l ONCFS 11 2012 en images 12 ONA i Direction de la police CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT 14 La mission de police l ONCFS 16 Une police de l environnement en faveur de la protection de la faune sauvage et de ses habitats 17 La police de la chasse et la lutte contre le braconnage 19 Les partenariats et les conventions 21 Les inspecteurs de l environnement 21 Direction des tudes et de la recherche MIEUX CONNA TRE LA FAUNE SAUVAGE ET SES HABITATS 22 Piloter les recherches 24 Les activit s du Conseil scientifique de l ONCFS 25 G rer les espaces et les esp ces prot g s 26 L quilibre cosyst me et esp ces invasives 27 L expertise de l Office au service du d bat public 28 Les suivis des populations 29 Le suivi sanitaire de la faune sauvage 30 L actualit des CNERA 32 Partage des connaissances focus sur les colloques 34 Action internationale VALORISER LE SAVOIR FAIRE DE L ONCFS L TRANGER 35 De
34. constat depuis plus de cinq ans s est confirm e en 2012 Cet afflux de candidats a n cessit le renfort d agents de brigades mobiles d intervention BMI sp cialement form s l inspection du permis de chasser et plus sp cifique ment pour l organisation des preuves pratiques La Division du permis de chasser a galement form les formateurs b n voles des f d rations d partementales des chas seurs au centre du Bouchet 45 mais aussi les employ s sala ri s de ces FDC six stages de deux jours contribuant ainsi l am lioration des r sultats cette preuve R sultats de l examen du permis de chasser preuves th oriques 1 342 30 387 27 457 28 024 24477 87 34 87 38 preuves pratiques 4 381 31 418 25 944 29 436 23 538 79 96 78 93 0 Nombre de s ances Nombre d inscriptions Nombre de candidats Candidats pr sents Candidats re us Taux de r ussite Rappel 2011 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 40 APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES Un poster 8 r gles d or pour la s curit la chasse du petit gibier r alis en collaboration avec une revue cyn g tique a t dit 15 000 exemplaires Enfin un d pliant Usagers de la nature et s curit la chasse a t labor et diffus l occasion du Salon des Maires et des Collectivit s locales en novembre LA CHASSE ALLIE ACCIDENTS
35. d cennies pour la plupart Dans chacune de ces zones il a t possible de mettre en vidence des couloirs privil gi s emprunt s par les cerfs de fa on r currente au fil du temps La connaissance de ces corridors peut alors tre int gr e aux r flexions sur la TVB et recoup e avec d autres sources d information Par ailleurs les couloirs emprunt s par les cerfs doivent galement avoir valeur de biocor ridors pour d autres esp ces Lors des tudes pr alables la r alisation de grands projets lin aires routes autoroutes voies ferr es etc ou dans le cadre de projets d urbanisation ces connaissances peuvent permettre de d finir tr s pr cis ment leurs impacts sur la faune et si Les projets ne peuvent tre vit s de pr coniser des am nagements judicieusement positionn s Ce type d tude pourra tre reconduit dans d autres zones g ographiques l o coexistent des connaissances anciennes de parcours de chasse courre et des enjeux importants en termes de pr servation ou de r tablissement de la trame verte et bleue A Signature de la convention par Jean Pierre Poly ONCFS et Pierre de Ro alle Soci t de v nerie Sylvafaune La gestion int gr e de la for t et de la grande faune est un enjeu majeur pour la pr servation de la qualit patrimoniale des for ts fran aises en termes de biodiversit de services environ nementaux et de cadre de vie et de la capacit de ces for ts
36. d occupation spatiale des ongul s en r ponse la pr sence de loups et sur la mani re dont la pression de chasse et la pr dation par le loup interagissent pour modeler les param tres d mographiques des proies ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 Interface entre les ongul s sauvages et leurs habitats Les recherches se sont poursuivies dans les domaines suivants utilisation des habitats et s lection des ressources des diff rentes esp ces d ongul s sauvages ainsi que leurs impacts sur les activit s conomiques utilisant l espace naturel agriculture levage sylviculture sources des difficult s d mographiques localis es pour le chevreuil l isard le chamois et le mouflon de Corse syst mes multi esp ces face la cohabitation croissante de plusieurs esp ces d ongul s sauvages sur un m me territoire m thodes de gestion durable de l cosyst me forestier int grant la pr sence de la grande faune et en particulier du cerf favo rables l quilibre for t gibier incluant la mise en uvre de plans de pr l vement aux chelles appropri es et la mise au point d indica teurs de changement cologique ICE permettant le renouvellement de la for t de production encadr Gestion des populations dongules sauvages a FDC du Tarn 3 souhait optimiser le suivi de l abondance des populations de cerfs de son d partement Pour l ai der le CNERA Cervid s sanglier 3 adopt la d marche s
37. directions nationales l ordre du jour de ces r unions figurait galement l explication de l accord cadre pass entre l ONCES et la F d ration natio nale des chasseurs FNC qui dans un climat de plus grande transparence et d information mutuelle et avec le respect le plus strict de l ind pendance et des comp tences de chacun permettra la poursuite de relations de travail constructives entre l tablissement et le monde f d ral gt Le Contrat d objectifs et sa version synth tique ont t largement diffus s en interne et l ensemble des partenaires sets et interlocuteurs de l ONCFS Ils sont galement consultables sur le site internet de l tablissement rubrique documentation www oncfs gouv fr Contrat d objectifs CCR GT iie LL nu mme ss ONCFS mm RAPPORT D ACTIVIT 2012 Cela se traduit par un engagement affirm de l tablissement dans l apport d expertises et de mesures de contr le pour la mise en uvre de Natura 2000 de la Trame verte et bleue TVB des mesures compensatoires et pour la gestion des esp ces exotiques envahissantes la poursuite de l effort d am lioration des connaissances de production de donn es et de communication qui accorde une priorit marqu e aux esp ces et aux territoires remarquables haute valeur patrimoniale et ceux qui font d bat le renforcement de l expertise des milieux ordinaires agricoles et fores
38. e pour alimenter un commerce clandestin Dans les Vosges les agents de l ONCFS ont ainsi saisi 1 800 sp cimens destin s la revente D autres affaires sont d une toute autre ampleur Notamment en Haute Sa ne o des op rations anti braconnage sont conduites depuis plusieurs ann es Une semaine de surveillance aura permis ONCFSs de proc der en mars 2012 plusieurs interpellations li es la capture des batraciens en vue de leur commercialisa tion Les infractions portent sur 76 434 sp cimens Sachant qu une grenouille se monnaie autour de 40 centimes d euros les b n fices potentiels sont importants Parfois les motivations sont plus obscures L individu inter pell en flagrant d lit de destruction d un h ron cendr par les agents du Service d partemental de la Savoie n a pas expliqu son geste Reste que les agents de l ONCEFS n taient pas l par hasard la surveillance du secteur ayant t motiv e par la d cou verte de plusieurs cadavres d oiseaux d eau prot g s abattus au fusil de chasse parmi lesquels des sp cimens de grande aigrette de h ron garde b uf et de cormoran Le contr le des atteintes aux habitats Plus que les destructions directes les atteintes aux habitats sont en cause dans la r gression des esp ces prot g es C est pourquoi lorsque l administration autorise ces destruc tions elle impose des mesures destin es d abord r duire le plus possible l impact environnemental
39. f rence en mati re de gestion durable de la faune sauvage et de ses habitats Pla ant l ONCFS en position d cisive et en situation d animation sur les principales questions touchant la gestion durable des esp ces et des habitats la nouvelle feuille de route ne peut que faire de l tablissement un acteur incontournable des r flexions engag es par les pouvoirs publics sur l organisation d une gouvernance modernis e de la nature dans notre pays Repr sentants des associations sp cialis es de chasse Alain ESCLOP Pr sident de l Association nationale des chasseurs de montagne ANCM Alain FRAN OIS Pr sident de l Association nationale des chasseurs de grand gibier ANCGG Repr sentants d organismes de protection de la nature Michel M TAIS Directeur de la Ligue pour la protection des oiseaux LPO Dominique PY Administratrice de France nature environnement FNE Repr sentants d organisations professionnelles agricoles et foresti res Jean Pierre BOISSON Pr sident de la Chambre d agriculture de Vaucluse Bruno de JERPHANION Administrateur de la F d ration nationale des syndicats de propri taires forestiers sylviculteurs FNSPFS Repr sentant d organisations de propri taires ruraux Bruno de la ROCHE SAINT ANDR Pr sident de la F d ration nationale de la propri t priv e rurale FNPPR Personnalit s qualifi es dans Le domaine de la faune sauvage et de la protection de la nature Antoine CARR
40. faune sauvage des Bauges Savoie Haute Savoie accueille des tudes pilot es A LL O Z O gt E O O par l ONCFS sur le chamois le mouflon et le chevreuil ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 26 un U Z O x lt 5 0 5 ol 27 L quilibre cosyst mes et esp ces invasives Les esp ces exotiques envahissantes constituent une probl matique majeure Leur impact conomique annuel a t estim 12 milliards d euros en Europe Il concerne des d g ts divers cultures for ts infrastructures activit s humaines la biodiversit la sant et la s curit publique Contribuer la ma trise des esp ces exotiques envahissantes est un des Bien caract riser les d pr dations caus es par certaines esp ces prot g es pour proposer des r ponses adapt es Les dol ances l encontre d esp ces qui b n ficient de la protection l gale sont r currentes Outre la probl matique du vautour fauve pour laquelle l ONCFS poursuit la r daction du plan national que lui ont confi les minist res de l cologie et de l Agriculture des r ponses sont recherch es au cas par cas pour les plaintes dont l expertise est confi e l Office Les d pr dations sur des animaux domestiques sont reproch es de longue date au grand corbeau En 2012 elles ont t signal es dans les d partements de l Ari ge de la Savoie et du Cantal En Ari ge la prise en compt
41. l examen du permis de chasser Cet examen est aussi l occasion de sensibiliser les nouveaux chasseurs aux r gles l mentaires de s curit Promouvoir une chasse durable Aux c t s des instances cyn g tiques l Office est charg de faire progresser la chasse selon des principes du d veloppement durable Surveiller les territoires et faire respecter la r glementation environnementale La police de l environnement et de la chasse met en uvre les grandes orientations politiques arr t es par le minist re charg de l Environnement en mati re de pr servation des patrimoines naturel et biologique Dans chaque d partement les interven tions des agents commissionn s et asserment s s inscrivent dans un plan de contr le des polices de l eau et de la nature pilot par le pr fet Diff rents services participent la r alisation des op rations de police ainsi pr vues l Onema Office national de l eau et des milieux aquatiques les agents des services d con centr s de l tat les agents des parcs nationaux etc Ces missions de police sont conduites sous la double autorit du Parquet et du pr fet Mieux conna tre la faune sauvage et ses habitats Am liorer la connaissance des esp ces de leur population et de leur habitat proposer des mesures de gestion exp rimen t es et valid es qui soient de nature maintenir une faune abondante et diversifi e compatible avec les diff rents usages de l espace rur
42. la chasse tant une th matique de plus en plus pr sente dans le monde cyn g tique comme dans les m dias le r seau S curit la chasse est de plus en plus sollicit La formation des correspondants au recueil des renseigne ments techniques et l tablissement des fiches accident de chasse deux stages de formation organis s au centre du Bouchet en 2012 a permis d am liorer encore tr s notablement la qualit de l analyse des causes de ces accidents L ann e 2012 a vu la sortie du DVD La Chasse aux accidents r alis par Thomas Bounoure en collaboration troite avec le r seau S curit la chasse et diffus par la chaine Seasons Il conna t un franc succ s aupr s des FDC dans le cadre des forma tions qu elles organisent sur le th me de la s curit Le bilan annuel 2011 2012 des accidents de chasse pr sent sur DVD tirage 300 exemplaires a t remis aux services d partementaux et aux FDC Il est galement tr s demand par la presse et les associations sp cialis es Cette ann e la th ma tique retenue portait sur la mat rialisation de l angle des 30 et la n cessit de la prise en compte de l environnement APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES L agriculture et la faune sauvage Le r seau Agrifaune En 2012 la Seine et Marne l Alsace le Gers l Ari ge la Gironde et les Pyr n es Atlantiques ont rejo
43. la lutte contre les atteintes aux milieux Nombre d op rations de contr le de circulation de v hicules terrestres 800 25 E 55 moteur r alis es 1000 Objectif 27 Faire respecter les r gles relatives l exercice de la chasse et la r gulation des nuisibles 50 000 80 000 1 8 B Nombre de pi geurs agr s contr l s 536 1 8 A Nombre de permis de chasser contr l s 82 415 Objectif 28 Lutter contre le braconnage et mettre en uvre des op rations de surveillance et contr le d envergure 8 000 10 000 1 8 D Nombre d op rations de contre braconnage r alis es 869 1 8 C Nombre de nuits agent effectu es 8 849 Activit 2 tudes recherche et exp rimentations Objectif 15 Travailler au d veloppement de la connaissance et la conservation de la biodiversit en Outre mer 2 5 Nombre de plans nationaux d actions en faveur de la faune sauvage auxquels participe l ONCFS Objectif 17 Assurer un suivi patrimonial de la faune sauvage s dentaire aux plans national et territorial Objectif 18 Am liorer la connaissance des populations d oiseaux migrateurs sur l ensemble de leurs aires de r partition 2 6 A Nombre de fiches catalogu es par l ONCEFS dans le cadre du SINP 44 25 2 6 B Nombre d esp ces de faune suivies annuellement sur le plan national 124 gt 100 26C Nombre de rapports de suivi bilan annuel ou pluriannuel 30 Entre 10 et 20 Objectif 19 Assurer la veille sanitaire de la
44. le Directeur g n ral Programme d tudes et de recherche finalis e sur la dynamique des populations de fouine et de martre r sultats et perspectives Apr s une dizaine d ann es de recherche sur les martres et les fouines en Bresse les principaux acquis concernant la meil leure compr hension du fonctionnement de ces populations et l valuation de l impact des mesures de gestion ont t examin s Le Conseil scientifique a soulign la qualit du travail et l int r t de l approche qui r pond la fois des consid rations op ra tionnelles mais galement plus fondamentales puisque les esp ces tudi es sont peu connues Suivies depuis le d but des ann es 1980 les populations de perdrix grises dans le Centre Nord de la France montrent une relative stabilit avec des 25 variations interannuelles parfois marqu es Deux autres programmes ont t pr sent s sans audit pr a lable Des recommandations ont t faites sur le programme Tuberculose bovine interface entre la faune domestique et la faune sauvage tude exp rimentale en C te d Or Les prin cipes m thodologiques de l enqu te nationale sur les pr l ve ments cyn g tiques pour la saison 2013 2014 ont t valid s Enfin suite l avis du Conseil scientifique une pr sentation des r ponses donn es au programme de suivi de la population d ours pyr n enne a port sur l analyse de viabilit le r ajustement du pl
45. les tapes du parcours professionnel des agents la mise en valeur des savoir faire et l optimisation des comp tences constituent des leviers essentiels pour moderniser le service public de l environnement Chiffres cl s de la formation Nombre d agents form s Nombre moyen de jours de formation initiale et continue par agent Nombre moyen de jours de formation continue par agent Principaux domaines en mati re de formation continue 1 Connaissance et gestion des esp ces et des milieux 2 Droit et police de l environnement 3 Connaissance et pratique de la chasse 4 Sant et s curit au travail 5 Administration gestion 6 Management communication formation de formateurs 7 Informatique et nouvelles technologies 8 Accompagnement volution parcours professionnel dont validations des acquis de l exp rience pr paration aux examens et aux concours et bilans de comp tences Nombre Nombre de stagiaires de jours 233 9501 507 1925 31 84 333 912 43 308 192 569 108 212 122 324 25 106 55 H Formation au centre du Bouchet portant sur l entretien professionn 9 Formations linguistiques En 2012 les principales actions de formation suivies par les agents ont port sur les comp tences m tiers droit et police de l environnement connaissance et gestion des esp ces et sur les conditions op rationnelles de r alisation de ces missions en toute s curit sant et s cu
46. les territoires haute valeur patrimoniale Il s appuie pour cela sur un r seau de veilleurs colo giques et sanitaires que ses minist res de tutelle ont d ailleurs sollicit en d cembre de cette ann e pour prendre la mesure des risques encourus par l levage dans les zones menac es de diverses pizooties En application de l accord cadre sign l an pass avec la F d ration nationale des chasseurs FNC l tablissement accompagne le monde cyn g tique dans l volution pratique d une chasse durable Cette mission mobilise l ensemble des services de l tablissement au si ge comme sur le terrain V ritable communaut d agents du grand service public de la nature l ONCFS a tout au long de 2012 poursuivi Le travail de r flexion li sa modernisation Anticipant le rapport qui fait suite l audit effectu par la Cour des comptes les directions de l tablissement ont uvr une remise plat de notre organisation territoriale Dans le m me temps la gouvernance de l Office a fait elle m me l objet d une r flexion quant un largissement de la repr sentati vit des collectivit s locales La participation en octobre dernier et pour la premi re fois de l Office national de la chasse et de la faune sauvage au Salon des Maires et des Collectivit s locales en est la preuve Signe des temps comme l ensemble des tablissements publics ilnous est aujourd hui demand de participer la r duction de la d
47. management Objectif 33 F d rer la communaut de travail autour d objectifs partag s 5 11 A Indice de satisfaction services d concentr s de l tat 4 4 5 4 5 Objectif 35 Mettre en uvre des actions pour le mieux tre au travail SINE Nombre d accords sign s 5 lt 2 Nombre d agents ou d encadrants form s la pr vention des risques psychosociaux 5 41 Entre 30 et 0 Objectif 36 Participer avec le minist re de l Ecologie l adaptation de la politique de recrutement et des conditions de promotion aux besoins de l ONCFS 5 12 A Nombre d agents nomm s et promus en interne 106 100 Objectif 37 D velopper les comp tences face aux nouveaux enjeux et optimiser les parcours professionnels des agents Entre 1 400 5 12 B Nombre d agents form s 1 624 et 1 700 SEC Nombre moyen de jours de formation par agent 3 43 z 4 512D Nombre moyen de journ es de formation continue par agent 3 38 lt 3 Objectif 38 Favoriser le transfert du savoir au sein de l tablissement et valoriser son expertise en charte expertise BEE Mettre en ceuvre la charte expertise ONCFS reconnu expert e op rationnelle international SET laborer et mettre en uvre le guide du transfert du savoir 0 seia d laboration du guide Objectif 39 D velopper en interne une d marche de qualit globale de gestion en am liorant les outils de contr le et d aide la d cision Cartographie Bad al i des risques e 5 13
48. menac e en particulier par le changement climatique qui r tr cit son habitat le long des plus hautes cr tes et par l augmentation des popu lations de cerfs sika de macaques du Japon et de sangliers Les changes lors de ce colloque ont permis de comparer la situa tion des populations fran aise et japonaise que ce soit en termes de situation g n tique d mographique ou cologique et d ta blir des projets de collaboration avec les quipes nippones pour l analyse des donn es Le faible nombre de pr sentations consacr es aux m thodes de suivis des populations de t traonid s par les diff rents Grouse Symposium contraste avec les efforts importants consentis au niveau fran ais pour la mise au point de m thodes de suivis ONCFS OGM IV Conf rence mondiale sur les lagomorphes Vienne Autriche juillet 2012 Le CNERA Petite faune s dentaire de plaine a pr sent trois communications et trois posters concernant non seulement deux esp ces m tropolitaines de plaine mais aussi le li vre variable et le li vre collier noir bilan des travaux men s la R union sur la ph nologie de la reproduction Ce dernier travail a obtenu le premier prix du concours de posters tabli l occa sion de cette conf rence A Le li vre collier noir pr sent sur le de la R union est principalement nocturne et solitaire bien que les individus soient quelque peu regroup s durant la p riode de reproduction
49. n est pas besoin de rappeler l importance capitale de la connaissance des flux migratoires et de l tat des populations de grives qui repr sentent un tableau de chasse de plus de quatre millions d oiseaux par an et font l objet d une chasse populaire parfois mise en uvre selon des techniques traditionnelles Belledonne est depuis pr s de trente ans au c ur du programme Bouquetin du CNERA Faune de montagne Ces deux r serves sont galement des territoires d excep tion recelant nombre d esp ces prot g es ou patrimoniales Belledonne avec le secteur de Combe Madame est un des plus grands noyaux de la population de t tras lyres des Alpes du Nord tandis que les landes s ches les garrigues ou les milieux rivu laires de Donz re Mondragon abritent de nombreuses esp ces de reptiles rares d oiseaux nicheurs et d amphibiens inf od s aux mares temporaires Enfin la flore remarquable de la R serve de Donz re Mondragon situ e au carrefour des influences continentales alpines et m diterran ennes a suscit la cr ation en partena riat avec les Conservatoires botaniques nationaux alpin et m di terran en de Porquerolles d un atlas floristique de la r serve qui sera dit la fin du premier trimestre 2013 ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 Golfe du Morbihan La Petite Pierre Le Caroux Espinouse Le D Les Bauges Mad Orlu Ar s Jujol La Baie de Aiguillon Charentes La Baie de l Aiguillon Vend e
50. notre pays La protection de la petite faune de plaine est essentielle au maintien de la biodiversit des espaces agricoles ordinaires Le bon tat des populations d oiseaux migrateurs et notamment des oiseaux d eau dans les zones humides d pend fortement des conditions pr sentes sur les aires de nidification les zones d hivernage et les haltes migratoires toutes affect es par l ac croissement des pressions d am nagement et le changement climatique Les galliformes de montagne occupent quant eux des espaces fragiles tr s inf od s aux activit s humaines et susceptibles d tre rapidement modifi s par l volution du climat Les ongul s sauvages repr sentent un enjeu patrimonial et cyn g tique essentiel l chelle du pays mais leur extraordinaire progression au cours des derni res d cennies a localement des cons quences difficiles g rer La pr sence des grands pr da teurs prot g s dont le loup qui a colonis le massif alpin depuis vingt ans cr e localement par leur pr dation sur les troupeaux d levage des conflits aigus ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 24 E par 9 Les activit s du Conseil scientifique de l ONCFS Le Conseil scientifique est compos de 12 membres e 10personnalit s scientifiques travaillant dans des institutions de recherche fran aises ou trang res nomm es par le ministre charg de l cologie e 2 scientifiques de l ONCFS nomm s par
51. r sidence des oiseaux Parfois chez certains sp cimens conta min s la concentration h patique en chlord cone est jusqu dix sept fois sup rieure la concentration mesur e dans le tissu musculaire Les r sultats acquis par ces travaux constituent un signal de vigilance et doivent tre compl t s par une valuation des risques pour Le consommateur par les instances comp tentes Anses Efsa L quilibre for t gibier Les services de l ONCFS DER et DIR OM appuy s par la FDC de Saint Pierre et Miquelon ont mis en place une batterie d outils appel s indicateurs de changement cologique ou ICE Ces outils permettent de conna tre les interactions entre les animaux et leurs habitats afin de parvenir un v ritable quilibre for t gibier les tortues marines guyanais et antillais L utilisation de cette base est d finie dans le cadre d une convention collective sign e par tous les parte naires guyanais et mis disposition des Antilles terme il est envisag en partenariat avec les DEAL de cr er une base de donn es commune qui permettrait l change d informations suivant une convention interr gionale Alors que le premier plan d actions est en cours d valuation en Martinique la Guyane r dige son deuxi me plan pr voyant des actions de 2014 2023 en coh rence avec la long vit de ces esp ces selon les recommandations issues de son valua tion fin 2012 Quant la Guadeloupe elle poursuit so
52. revue Biological Conservation en 2013 Cette ann e l ONCEFS a initi un partenariat original avec le Senckenberg Institute pour tudier la structure g n tique des populations sauvages gr ce au pr l vement de poils de hams ters r alis lors du suivi annuel des populations Cette tude a permis d estimer la taille de la principale population de hams ters en Alsace entre 500 et 1 000 individus Les r sultats sont galement porteurs d espoir car ils indiquent le maintien d un niveau lev de diversit g n tique au sein des populations sauvages de l esp ce La mission Hamster de l ONCEFS et le Senckenberg Institute travaillent conjointement la publication des r sultats dans une revue scientifique internationale ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 D Ce temps d changes permet aux acteurs concern s de partager les derni res avanc es en mati re de gestion et de connaissance de l esp ce et de ses habitats Sur ce dossier sensible l quipe de l ONCEFS enrichit ses contacts internationaux fait conna tre l tat d avancement de la r flexion fran aise et progresse dans le cadre d changes techniques et scientifiques sur l am lioration des protocoles de renforcement et de suivi des populations M de Groot A Le grand hamster est en danger d extinction c est pourquoi il fait l objet d un plan national d actions Les param tres biologiques de survie et de reproduction sont d sormais compara
53. tiques afin de d velopper une nouvelle m thode de typage individuel plus r solutive que l ancienne bas e sur les ADN microsatellites classiques Pour Le lynx une importante collaboration a t mise en place avec nos partenaires chasseurs au niveau d partemental et r gional ainsi qu avec les coll gues suisses du KORA Elle a permis de g n raliser le suivi des popu lations du Jura par la cr ation d une phototh que des patterns individuels du pelage des lynx Une extension de la m thode a t r alis e aussi sur Le sud du massif Vosgien Le dossier ours a mobilis l nergie du CNERA Pr dateurs animaux d pr dateurs sur la valorisation des r sultats acquis par des publications et encadrement d tudiants En collaboration avec le CNRS Montpellier l analyse comparative de diff rents protocoles de suivi a montr que le suivi syst matique bas sur les itin raires et le suivi opportuniste sont les plus performants pour r pondre au double objectif de l estimation de la taille de la population mod le CMR et de l aire de pr sence de l esp ce mod le d occupation Les r sultats obtenus permettent d li miner suivi par station pour valuer la taille de la population Impact du loup sur les ongul s sauvages premiers r sultats J incidence de la pr dation du loup sur la dynamique le comportement et la r partition spatiale des populations de quatre esp ces d ongul s sauvages connues pour tre des
54. un levage clandestin Cet leveur amateur qui ne b n ficiait ni de l autorisation administrative ni du registre n cessaire la tra abilit de l levage d tenait des cistudes d Europe des tortues d Hermann et d autres tortues prot g es La plupart des 94 sp cimens saisis n taient pas marqu s Les contr les concernent aussi les parties et produits issus de ces esp ces En Haute Marne les agents ont d mantel avec la Police nationale un trafic d ivoire ouvrag de cachalot et d l phant Dans l Ouest de la France l ONCEFS a mis fin aux activit s d une petite entreprise vers e dans le commerce clandestin de cr nes et d ossements d esp ces marines prot g es morses tortues narvals baleines Cent cinquante scell s ont t pos s pour confisquer la marchandise estim e 25 000 euros Le contr le de la p che en eau douce et de la p che maritime Le contr le de la p che en eau douce et dans une moindre mesure de la p che maritime fait aussi partie des pr rogatives de l ONCFS La plupart des deux mille infractions relev es en 2012 l ont t l occasion d autres missions de surveillance de zones humides ou de territoires incluant rives et rivages Quelques op rations sont sp cialement organis es pour lutter contre le braconnage d esp ces embl matiques comme ces deux jour n es de contr les interservices les 9 et 10 mars en mer d Iroise Tandis que le premier jour tait consacr au contr
55. x BE j 0 D E u d O A Au d but du XX si cle il ne subsistait plus qu une centaine de castors en France tous cantonn s en basse vall e du Rh ne Aujourd hui on en compte quelque 15 000 r partis sur l ensemble du territoire Le suivi sanitaire de la faune sauvage Le r seau SAGIR renforc en 2012 par le soutien du minist re de l Agriculture Les pathologies des mammif res et des oiseaux sauvages sont surveill es par le r seau SAGIR Surveiller pour agir ONCFS FNC FDC dispositif permanent qui organise la collecte et le trai tement des donn es de mortalit et morbidit observ es puis l information voire l alerte des diff rents acteurs concern s Le 17 d cembre 2012 a t sign e par le minist re de l Agri culture la FNC et l ONCFS la convention cadre relative la surveillance pid miologique des maladies animales d int r t v t rinaire et m dical et des effets non intentionnels des produits A Beno t Chevron FNC St phane Le Foll ministre de l Agriculture phytosanitaires sur les populations d animaux sauvages Elle Henri Sabarot pr sident du Conseil d administration ONCFS et f ill tielle ill ved Jean Pierre Poly Directeur g n ral ONCFS lors de la signature d une P A E E E a convention sur la sant de la faune sauvage Un signe de reconnaissance la morbidit et de la mortalit de la faune sauvage Elle instaure important de la c
56. 1 E b T Ea T y j R 1 p SA Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage Rapport d activit 2012 CRIE ETONE RAPPORT D ACTIVIT 2012 3 DITORIAL nn e du quaranti me anniversaire de l tablissement 2012 a permis l ensemble de La communaut de travail de l Office national de la chasse et de la faune sauvage ONCFS comme son Conseil d Administration de d montrer la maturit d un tablissement d fenseur inlassable de la biodiversit C est tout naturellement dans le sillage de la signature au minist re en charge de l cologie du nouveau Contrat d objectifs 2012 2014 que s est crite l histoire de l Office pour les douze derniers mois Engag sur le terrain pour la sauvegarde et la gestion de la faune sauvage et de ses habitats l ONCEFS a ratifi parmi les premiers la nouvelle Strat gie nationale de la biodiversit SNB il inscrit son action dans la droite ligne des pr conisations fix es cette ann e par la Conf rence environnementale aux termes de laquelle le Gouvernement a exprim le souhait de cr er une Agence fran aise pour la biodiversit qui b n ficiera de la collaboration de l Office et de son expertise au service de la nature Op rateur public dont l impartialit est appr ci e l Office travaille l am lioration des connaissances sur la faune sauvage et ses habitats dans la nature ordinaire comme dans
57. A Mettre en uvre un plan de contr le interne comptable et financier np interne Plan d actions os op rationnel pluriannuel Diffusion de 5 TSB Mettre en uvre les outils de suivi du contrat d objectifs tableaux de bord Production de et de bilans tableaux de bord RER sS Enjeu 14 Promouvoir et Objectif 42 Assurer en interne une bonne circulation m notes aloriser l action de l tablissement travers Panel de diffusion de la Newsletter ONCFS actualit s 1 851 Ensemble des IRA p riodicit bimestrielle agents ONCFS Objectif 43 laborer une politique de communication qui valorise en externe la connaissance l expertise et le savoir faire en mati re de faune sauvage 5 14 B Nombre d articles de presse publi s local et national 2 166 gt 2 000 62 ONCFS mmm RAPPORT D ACTIVIT 2012 63 2 datacenters install s 1 2 serveurs d agences d ploy s en r gion 4 applications rapatri es sur serveurs ONCFS La Direction des syst mes d information a poursuivi en 2012 le d ploiement du sch ma directeur des syst mes d information Ses principaux objectifs visent am liorer et doter d outils de pilotage les activit s op rationnelles et fonctionnelles de l tablissement dans le respect des d lais des co ts et de la qualit de service tes NU DES SYST MES D FORMATION AME TORER LE PILOTAGE DES ACTIVITES OPERATIONNELLES T FONCTIONNELLES ONCFS mm RAPPOR
58. La Horre l Est Le G Saint Denis du Payr Surface Gestionnaires s 1 arr t de protection de biotope 114 hectares 114ha ONCFS 11 r serves de chasse et de faune sauvage 12 974 hectares 2 380 ha 64 ha 1545 ha 1035 ha 683 ha 4 135 ha 60 ha 130 ha 1 692 ha 1 083 ha ONCFS FDCSPM 167 ha ONCFS 3 r serves de chasse et de faune sauvage de Corse 7 259 hectares 5 287 ha ONCFS 1972 ha ONF ONCFS La Peyroutari Belledonne ONCFS ONCFS ONCFS ONF ONCFS ONCFS ONCFS ONCFS SMBS ONCFS ONCFS Beniguet Donz re Mondragon La Pointe d Arcay Le Massereau et le Migron Le Rhin Le Hable d Ault Nouvelles Possessions Ristolas Sud de Saint Pierre They de Roustan Asco et Tartagine Bavella La mise en uvre de la strat gie de d veloppement des espaces prot g s g r s par l ONCFS En 2011 le Conseil d administration de l ONCFS ent rinait la note d orientation relative la strat gie de d veloppement des espaces prot g s g r s par l tablissement strat gie qui fut labor e dans le courant de l ann e et valid e au Comit de programmation des tudes de la recherche et des territoires CPERT Elle se d cline notamment travers les d cisions suivantes qui ont t mises en uvre d s 2012 le resserrement du r seau autour des espaces indispen sables au d ploiement des missions de l tablissement et la d monstration de ses savoir faire anticipant par l m me la re
59. N Inspection g n rale des services R HUBOUX G CHUITON Contr le de gestion S LETELLIER DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES J KO Adjoints D HEMMER F LECOCQ Action sociale C d ANCHALD Formation R BEAUFR RE Gestion du personnel N FISCHER DIRECTION FINANCI RE A GUIB Directeur adjoint C DEBEIRE Ordonnancement D GUIHARD Conventions I RIVAULT Budg taire D SOULI Patrimoine immobilier J P MAZET Approvisionnement S MORELLO DIRECTION DES SYST MES D INFORMATION T THOMAS Adjoint D RAPP Assistance utilisateurs D RAPP Assistance ma trise d ouvrage HERVEY Infrastructures T H PHAM o INTRODUCTION L organigramme l chelon r gional 10 d l gations interr gionales 90 services d partementaux 20 brigades mobiles d intervention 12 stations d tudes Nord Ouest Poitou Charentes Limousin DIR T CLAUSSE DIRA P COUTINOT Bourgogne Franche Comt DIR Y LAPLACETTE DIRA P REBILLARD DIR D DONADIO DIRA A DERIEUX Sud Ouest Nord Est Outre mer DIR E HANSEN DIRA S CHAUVIN DIR C LHOTE DIRA A PELTAN DIR C SALABERT DIRA H SOUCAZE DES SOUCAZE C GOUNOT Centre le de France DIR S SAILLANT 1 trimestre D GAMON 2 trimestre DIRA T BRICHER Bretagne Pays de la Loire DIR C BAYOU DIRA L SIMON Auvergne Languedoc Roussillon DIR J M GEAY DIRA J P FRESQUET Alpes M diterra
60. T D ACTIVIT 2012 P Formet _ AM LIORER LE PILOTAGE DES ACTIVIT S OP RATIONNELLES ET FONCTIONNELLES Le sch ma directeur des syst mes d information SDSI contribue pleinement au Contrat d objectifs et plus particuli rement la modernisation du service public de l environne ment conform ment aux actions 56 et 57 poursuivant son d ploiement portant principa Applicatifs En s appuyant sur cette nouvelle infrastructure le p le AMOA Assistance ma trise d ouvrage outill e a pilot la r int gra tion d applications auparavant externalis es Au del 2012 a vu le d marrage de nouvelles applications Celle intitul e frais de d placement est consultable via le web facilitant ainsi son int gration avec d autres applications comme GEACO et SIREPA permettant une fiabilisation des traitements simplifiant les mises jour et les op rations de back office Depuis 2012 l applica tion CRPV gestion et suivi des timbres amendes accueille Le Parc national de la Guadeloupe l association R serves naturelles de France et bient t d autres partenaires institutionnels et associatifs Enfin deux outils majeurs ont t mis en place Le g n ra teur d applications cartographiques AIGLE vise f d rer et homog n iser des applications cartographiques au niveau national et local et au niveau individuel Il en va de m me pour la premi re application ORION d di e au m tier de la Polic
61. UIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE ONCFS Le d ploiement du plan de formation triennal int gre la ratio nalisation et l valuation de la gestion de la formation ainsi que le transfert de l expertise de l ONCEFS vers l ext rieur notam ment vers les gestionnaires de territoires mais aussi en interne afin de conserver les comp tences avant le d part des baby boomers Expertise des agents de l ONCFS n 2012 l ONCFS a commenc d ployer le dispositif du minist re de l cologie visant valoriser et reconna tre l expertise de ses agents dans des instances d valuation d nomm s comit s de domaine ric Marboutin Chef de projet loup lynx au sein du CNERA Pr dateurs animaux d pr dateurs PAD de la Direction des tudes et de la recherche a t qualifi expert international par le comit de domaine Gestion durable des ressources naturelles Biodiversit pour une dur e de quatre ans Pour l ONCFS cette d cision permet de faire conna tre et de valoriser l expertise des agents Elle ouvre des perspectives sur la professionnalisation de l expertise pr vue au Contrat d objectifs Le dispositif minist riel est ouvert aux agents des cat gories et B justifiant de cinq ans d anciennet minimum dans le m me domaine d activit Le conseiller formation mobilit carri re est charg d aider les agents constituer leur dossier Cettereconnaissance concourt la cap
62. VEGARDE DE LA BIODIVERSIT DIR Alpes M diterran e Corse 52 tortues d Hermann retrouvent leur milieu naturel n avril 2012 une op ration conjointe r alis e par les services des Douanes les services de l ONCFS et la Direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations ont permis la saisie record de 52 sp cimens de l esp ce tortue d Hermann d tenus ill galement chez un particulier de la r gion ajaccienne Les tortues saisies essentielle ment des adultes pr lev s en milieu naturel ont pu tre rel ch es dans leur milieu d origine Cette op ration initi e suite la d couverte de plusieurs colis suspects contenant des tortues au centre de tri postal r gional a mis en vidence l importance du trafic commercial existant entre la Corse et le continent La BMI CITES et son r seau assurent prioritairement le contr le des tablissements d tenant ou levant ce type d ani maux parcs zoologiques cirques levages centres de soins particuliers amateurs mais galement des lieux d changes commerciaux animaleries salles des ventes bourses aux oiseaux et aux reptiles et des lieux de transits ports a roports Les contr les portent sur la d tention et le commerce de sp cimens vivants Dans les Pyr n es Orientales les agents locaux se sont rendus chez un particulier identifi dans une autre affaire par la BMI CITES comme le fournisseur potentiel de tortues issues d
63. a particip en novembre 2012 en Belgique la r union annuelle des scientifiques experts gestionnaires administratifs europ ens en charge de cette esp ce en Europe de l Ouest d Europe de l Ouest Pays Bas Allemagne Belgique Autriche uvre depuis quinze ans la recherche de solutions efficaces pour restaurer les populations sauvages Les r centes avanc es scientifiques et techniques impuls es par la mission Hamster de l ONCFS d montrent l int r t de l in t gration de l tablissement au sein d une communaut de travail europ enne La cr ation d un groupe de travail informel en 2009 associant l ONCFS DIR Nord Est et DER CNERA PAD l quipe d Alterra institut de recherche hollandais et des chercheurs alle mands a permis de concevoir un programme d tudes original destin am liorer l efficacit des renforcements de populations sauvages par le l cher de hamsters d levage Bas sur des suivis t l m triques de hamsters d levage marqu s puis d velopp l chelle d une commune enti re en partenariat avec tous les agriculteurs du secteur ce programme 3 conduit la mise en place d un protocole de l cher efficace multiplication par quinze de la dur e de vie moyenne des hamsters l ch s observation d une port e par femelle et par an et pr sence d une premi re g n ration sauvage in situ au printemps suivant Ce programme sera sanctionn par une publication scientifique dans la
64. al constituent des objectifs essentiels pour l Office Conseiller et apporter une expertise technique Fruits d tudes longues et valid es les connaissances scien tifiques et techniques accumul es par l tablissement lui permettent d apporter l gitimement son conseil et son appui technique de nombreux partenaires institutionnels C est le cas notamment pour participer l am lioration de la gestion de la faune sauvage et de ses habitats En participant plusieurs instances nationales Conseil national de la chasse et de la faune sauvage Conseil national de la protection de la nature tables rondes sur la chasse Groupe d experts sur les oiseaux et leur chasse l ONCFS accompagne les pouvoirs publics dans l laboration des poli tiques gouvernementales qui concernent la gestion de l espace rural et prennent en compte la pr servation de la faune sauvage Interlocuteur et partenaire des collectivit s locales dans les liens qu elles entretiennent avec les grands am nageurs publics l ONCFS aide concevoir des projets d am nagements dont l impact sur la faune sauvage reste ma tris ou oriente la conception de mesures compensatoires ONCFS mmm RAPPORT D ACTIVIT 2012 2012 2014 iles org INTRODUCTION Le Contrat d objectifs tat ONCFS 2012 2014 Nos c urs de m tier et nos domaines d excellence au sein d un service public de l environnement r nov Le Contrat d objectifs 2012 2014 int gre les pri
65. an d chantillonnage sur la zone d tude la comparaison de l efficacit entre les diff rentes m thodes pour exploiter les donn es de capture recapture et l am lioration de la coordina tion transfrontali re ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 En 2012 le Conseil scientifique s est r uni le 31 mai et le 5 d cembre Au cours de ces deux r unions plusieurs programmes de recherche finalis e ou dispositifs de suivi des populations anim s par les diff rentes quipes des CNERA USF ont t examin s Des dispositifs de suivis patrimoniaux mis en uvre par le r seau Perdrix faisans et par l Observatoire des galliformes de montagne et un programme de recherche ont fait l objet d un audit pr alablement la pr sentation de ces sujets en r union pl ni re du Conseil scientifique Les audits sont pr par s par un bin me d auditeurs l un membre du Conseil scientifique l autre tant une personnalit scientifique ext rieure Le programme concern ainsi que le rapport des auditeurs sont discut s et pr sent s en s ance pl ni re Suivis r alis s par le r seau Perdrix faisans l audit a port sur Le suivi de l abondance et de la reproduc tion des perdrix grises et rouges et des faisans dans la moiti nord l estimation de la survie des perdrix grises le suivi de l abon dance et de la reproduction des perdrix rouges dans le sud et l utilisation des donn es du protocole ACT pour le faisan et la perdrix rouge
66. apacit d expertise sanitaire du r seau SAGIR Cheick Saidou MinAgri 30 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 31 J Hars ONCFS pesticides les travaux de d veloppement m thodologique et de mod lisation ont t poursuivis en prenant pour exemple l imi daclopride avec l aide de l unit de biom trie peste porcine classique dans les Vosges du Nord cette maladie tr s contagieuse fait l objet d un suivi important men dans le cadre d une convention avec le minist re de l Agriculture et du programme goDIVA de l Union europ enne tular mie du li vre les investigations pid miologiques se sont poursuivies pour valuer le possible r le des tiques dans l pid miologie de la maladie et le risque de transmission l homme brucellose des bouquetins en Haute Savoie encadr Focus sur la brucellose dans la faune sauvage en Haute Savoie pr s des ann es d absence en France la brucellose bovine est r apparue d but 2012 en Haute Savoie Le minist re de l Agriculture a charg l ONCEFS de rechercher une possible implication de la faune sauvage impliquant des pr l vements sur tous les ongul s chass s dans la zone risque une surveillance clinique des hardes de bouquetins et de chamois du massif et la capture ponctuelle pour ana lyse des bouquetins cliniquement suspects Plusieurs cas ont t confirm s d abord sur une femelle chamois tu e la chasse puis sur deux bou
67. artementale des chasseurs du Nord Charles Henri de PONCHALON Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs de l Indre Henri SABAROT Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs de la Gironde ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 INTRODUCTION L organigramme l chelon national DIRECTION G N RALE Jean Pierre POLY Responsable de la mission communication Charg de publication et relations presse D GAILLARDON Chef de cabinet E GUILLAUMAT Gestion des domaines E DION Conseil juridique A CHARLEZ DIRECTION DE LA POLICE H G ANT Adjoints A HITZEL M OLAGNON Orientations M OLAGNON Op rations A HITZEL BMI CITES CAPTURE A COSTA Guichet juridique P LANDELLE DIRECTION DES ACTIONS TERRITORIALES M REFFAY Directeur adjoint J M SOUBIEUX Adjoint au directeur J L de DEKER Vulgarisation Agriculture chasse F OMNES Espaces prot g s P X RIDAT Permis de chasser et s curit J BOUCHET D g ts gibier F OMN S DIRECTION DES TUDES ET DE LA RECHERCHE P MIGOT Directeur adjoint G ROUSSET CNERA PFSP F REITZ CNERA CS F KLEIN CNERA AM J M BOUTIN CNEA PAD USF M CATUSSE J Y CHOLET CNERA FM D MAILLARD ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 9 Agence comptable O LAURENT Adjoint M C LAUNAY Conseiller technique Charg de la prospective et des actions l international et en Outre mer D GAMO
68. bles ceux des Pays Bas o les protocoles ont permis un accroissement des populations dans ce pays La France est en phase de programmation d un dispositif consistant cr er des sites d accueil de l chers stables durant trois ans syst me ayant d j t exp riment avec efficacit en Allemagne Hesse Le colloque qui a rassembl environ cinquante personnes d une dizaine de nationalit s a galement t l occasion d un change avec le responsable du suivi du contentieux relatif au hamster la Direction g n rale de l environnement de la Commission europ enne Le travail r alis en France y a t pr sent et valoris en soulignant notamment le r le constructif du monde de la chasse dans ce dossier et l importance du parte nariat avec le monde agricole La n cessit de tout mettre en uvre pour sauvegarder le grand hamster esp ce en d clin dans l ensemble de son aire de r partition est donc partag e au niveau europ en L ONCEFS en lien avec les gestionnaires et chercheurs de plusieurs pays Deux agents de l ONCFS r alisent un suivi t l m trique des hamsters marqu s 39 68 d partements membres du r seau Agrifaune 63 433 hectares d espaces prot g s g r s 23 538 nouveaux permis de chasser d livr s en 2012 La pr servation du patrimoine ru que repr sentent les territoires ordinaires gi ou remarquables agricoles ou forestiers S implique de bie
69. chers de colverts issus d levage sur les popula tions sauvages L tude de la population d oies cendr es en Europe occidentale s est poursuivie en particulier sur la migration des oiseaux transitant par la France L analyse des reprises d oiseaux bagu s a t engag e pour valuer des taux de survie chez la b cassine des marais C t habitats l l ment nouveau est le suivi du projet de gestion de l tang du Grand Birieux dans les Dombes mis en place cette ann e Un projet visant valuer l impact de la d prise et l intensification de la pisciculture sur la biodiversit dans les tangs a t engag dans le cadre du p le th matique sur les tangs continentaux L enqu te sur les prai ries de fauche a t poursuivie ainsi que le suivi des anatid s nicheurs dans les r gions d tangs Am liorer la connaissance de la dynamique de la petite faune s dentaire et des migrateurs terrestres dans les espaces agricoles et de montagne Les tudes sur les perdrix faisans et lagomorphes ont fait l objet de nombreuses avanc es et publications en 2012 Les travaux concernant la reproduction de perdrix grises sauvages en captivit et le devenir en nature des oiseaux produits ont t achev s et publi s La collecte des donn es de l tude multi sites PeGASE a t achev e et les premi res restitutions des r sultats r alis es Les tudes concernant les am nagements pour la perdrix rouge se poursuivent dans le cadre
70. commandation du rapport de la Cour des comptes la consolidation du fonctionnement du r seau e en p rennisant les postes de conservateur en renfor ant le statut des espaces prioritaires projet de cr ation d une R serve naturelle de Corse sur les sites d Asco et de Tartagine et constitution de trois RNCFS sur les RCFS de Donz re Mondragon de Belledonne et du Rhin en am liorant la coordination technique entre les services d partementaux et les quipes gestionnaires notamment sur les RNCFS la d finition d un programme de travail national pour la p riode du Contrat d objectifs 2012 2014 adapt et pr cis l chelle de chaque espace gr ce aux fiches strat giques individuelles P Boisguilbert DR APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES La for t et la faune sauvage lt Forestiers et chasseurs doivent agir de concert pour favoriser le retour vers un quilibre for t cervid s sous quelles formes et selon quelles modalit s ces infor mations peuvent elles tre port es la connaissance des acteurs et d cideurs territoriaux Pour cela des tudes ont t men es en 2012 sur trois zones foresti res massif de Fontainebleau arc forestier Sud Picardie arc forestier Nord Sarthe et Orne Ces tudes ont d montr la richesse des informations d tenues par les quipages de grande v nerie souvent tr s anciennes plusieurs
71. d un m moire de 3 cycle en partenariat avec le CNRS Les tudes sur les lagomorphes ont t marqu es par une vaste op ration de terrain pour comparer diff rentes techniques de d nombrement nocturne des li vres suite l impossibilit de poursuivre les comptages par indice kilom trique IKA avec des observateurs debouts non attach s l ar ri re d un v hicule cela afin de se conformer la r glementa tion routi re Des b casses des bois ont t quip es de loggers GLS pour mieux identifier l origine des oiseaux hivernants en France En plus des programmes en cours sur les colombid s et les turdid s une nouvelle enqu te sur la caille des bl s a t d velopp e en s appuyant sur le r seau ONCFS FNC FDC et l tude sur les conditions d hivernage de l alouette des champs a t finalis e par la soutenance d une th se la fin de l ann e 2012 encadr L quipe petits carnivores du CNERA Pr dateurs Animaux d pr dateurs a analys en partenariat avec le CNRS de Lyon les donn es d mographiques sur la martre et la fouine Elle a engag un nouveau programme sur la pr dation de ces esp ces sur les ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 32 Analyser l volution des populations de grands carnivores et leurs impacts sur les territoires Suite l audit du plan loup des amendements aux proto coles de suivi du loup ont t d finis en se focalisant surtout sur les analyses g n
72. e Celle ci est en production depuis juillet 2012 D autres applica tions m tiers devraient rapidement suivre sur des socles r f rentiels communs L outil Qlickview est quant lui d di au reporting et sa premi re application d di e aux ressources humaines est en exploi tation depuis d cembre 2012 Cet outil permettra de g n rer des tableaux de bord partir d autres applications GEACO d cli n es l encore un niveau national puis r gional En 2012 la Direction des syst mes d information s est galement rappro ch e d un groupement d achat de logiciels visant r duire les co ts d acquisition et de fonctionnement D lement sur trois axes Int gration des postes de travail Port par les correspondants informatique ce travail vise d ployer les nouveaux mat riels tout en les s curisant et en les int grant au sein d une Structure Organisationnelle Active Directory v ritable colonne vert brale destin e faciliter la gestion technique et administrative des postes de travail mais aussi la gestion des acc s aux applications Infrastructures Le p le infrastructures a d ploy deux datacenters destin s h berger les applications de l ONCEFS 17 serveurs physiques ont t virtualis s h bergeant une douzaine d applications dont quatre pr c demment accueillies sur des plateformes ext rieures Cette architecture r duit les d lais de mise en place de nouvea
73. e de l expertise de l ONCEFS a t perturb e par la m diatisation de l affaire La pr dation imput e aux grands corbeaux qui avaient constitu un dortoir proximit de l exploitation tait le fait d un chien domestique Des plaintes ont galement t formul es l encontre de choucas des tours dans l H rault et le Lot Des pr l vements de cygnes tubercul s ont t r alis s dans le Pas de Calais o ils occasionnaient des d g ts aux cultures et Lyon 40 go lands argent s ont t pr lev s dans la Manche sur des zones de conchyliculture et 8 dans la Somme o il tait n cessaire de les loigner des conserveries Quelques go lands leucoph es ont t pr lev s en Corse dans le cadre du plan national d actions go land d Audouin ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 p gt enjeux du Contrat d objectifs Pr venir et assurer une veille pour bien g rer les esp ces allochtones Les agents des services d partementaux de l ONCEFS parti cipent la gestion des esp ces allochtones parfois en collabo ration avec d autres personnes pr alablement form es en mettant en place des actions de pr vention et une veille La pr vention est d velopp e via le contr le de l application des r glementa tions et via la sensibilisation la faune captive L ONCEFS a parti cip dans le cadre du plan national d actions en faveur du vison d Europe l laboration d un protocole sur la gestion de crise en
74. ec une pr sence sur deux oc ans et trois types de climats la r gion Outre mer est la plus originale et la plus vari e La D l gation interr gionale Outre mer est la plus tendue des d l gations de l Office national de la chasse et de la faune sauvage E Hansen ONCFS La D l gation interr gionale s est impliqu e dans la r daction ou le pilotage de plans nationaux d actions PNA pour les esp ces menac es suivantes les tortues marines de Guyane Martinique et Guadeloupe l iguane des Petites Antilles guana delicatissima en Martinique et Guadeloupe Un plan d actions pour la p riode 2010 2015 coordonn par l ONCEFS et financ par la Direction de l environnement de l am nagement et du logement DEAL permettra d am liorer les connaissances sur la dynamique de cette esp ce menac e notamment par l iguane vert esp ce exotique envahissante la roussette noire Pteropus niger plan de conservation r gional et le gecko vert Manapany Phelsuma inexpectata la R union le dugong Dugong dugon Mayotte Le PNA a t r dig par la cellule technique de l oc an Indien et approuv par le Conseil national de la protection de la nature CNPN en mars mettant ainsi l accent sur l urgence de la conservation de cette esp ce Retour en mer d une tortue luth apr s la ponte Les esp ces forte probl matique de gestion Le jaguar Panthera onca Les services de l
75. ence comptable oncfs gouv fr D L GATIONS INTERR GIONALES Alpes M diterran e Corse 6 avenue du docteur Pramayon 13690 Graveson T l 04 32 60 60 10 Fax 04 90 92 29 78 dr alpes mediterranee corse oncfs gouv fr Auvergne Languedoc Roussillon Les portes du soleil 147 avenue de Lod ve 34990 Juvignac T l 0467 10 78 05 Fax 04 67 10 78 02 dr auvergne languedoc roussillon oncfs gouv fr Bretagne Pays de la Loire 39 boulevard Albert Einstein CS 44355 44323 Nantes Cedex 3 T l 02 51 25 07 2 Fax 02 40 48 14 01 dr bretagne paysdeloire oncfs gouv fr Bourgogne Franche Comt 57 rue de Mulhouse 21000 Dijon T l 03 80 29 42 50 dr bourgogne franchecomte oncfs gouv fr DIRECTIONS Direction g n rale 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 47 63 79 13 direction generale oncfs gouv fr Direction des ressources humaines 85 bis avenue de Wagram 75017 Paris T l 01 44 15 17 17 Fax 01 44 15 17 13 direction ressources humaines oncfs gouv fr Division de la formation Centre de formation du Bouchet 45370 Dry T l 02 38 45 70 82 Fax 02 38 45 93 92 drh formation oncfs gouv fr Direction de la police BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 0 Fax 01 30 46 60 83 police oncfs gouv fr Direction des tudes et de la recherche BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 0 Fax 01 30
76. ents d un groupe op rant sur territoire priv Les infractions cyn g tiques d j s rieuses non respect des plans de chasse cerf et chevreuil chasse sur autrui chasse en voiture sont aggrav es par des infractions connexes difficilement admissibles Les individus mis en cause avaient en effet pris l habitude de se d barrasser des restes de leur chasse dans un charnier illicite lls sont suspect s de mauvais traitement sur animal domestique puisque de nombreux cadavres de chiens tu s par balle ont t retrouv s sur leur territoire La lutte contre le braconnage La lutte contre le braconnage s op re toute l ann e Le contre braconnage de nuit est en particulier un des axes forts des actions r pressives men es par les services Le braconnage nocturne est une r alit qui touche indiff remment toutes les esp ces de gibier Cervid s et sangliers fig s par le faisceau de phares porta tifs embarqu s dans les voitures des tireurs sont des cibles faciles Cette ann e encore les interpellations de ce type ont t nombreuses comme en attestent les exemples suivants Dans le Loir et Cher en octobre le tireur et son chauffeur ont t interpell s alors qu ils venaient d abattre un sanglier au sein d une compagnie Dans l Ari ge les agents locaux aid s de leurs coll gues de l Aude ont interpell deux individus ayant abattu un cerf l aube le jour de l ouverture de la chasse l isard Mais le petit gibier fait au
77. esp ces de vert br s terrestres invasifs iguane vert corbeau familier et gecko vert malgache Ces arr t s sont appliqu s par les brigades charg es des missions de Police Service mixte de police de l environnement et Brigade Nature de l oc an Indien Limicoles nord am ricains Le programme de protection et de valorisation des cosys t mes humides et littoraux de l espace Cara bes dont le volet de suivi des limicoles tait coordonn par l Office a t cl tur en 2012 Un poster valorisant les r sultats scientifiques a t dit Sur commande de la Direction de l eau et de la biodiver sit DEB et en collaboration avec le CNERA Avifaune migra trice la DIR OM a effectu des propositions de gestion des limi coles dans les d partements fran ais d Am rique Les recommandations de la DIR OM se sont traduites par des instruc tions du ministre aux pr fets concern s Les esp ces prioritaires La DIR OM coordonne les trois plans nationaux d actions en faveur des tortues marines en Guyane et aux Antilles Bien que chaque d partement dispose de son propre plan les objectifs sont communs r duire les menaces terre braconnage destruc tion par les chiens errants am nagement r duire les menaces en mer diminution des captures accidentelles par les activit s de p che et valuation de leur impact assurer un suivi d mo graphique des diff rentes esp ces sensibiliser le grand public Ces actions s
78. et aux constats d infractions qui en d coulent Cette activit permet non seulement d asseoir des actions men es en faveur du monde cyn g tique mais aussi de servir l int r t g n ral dont rel ve la protection des habitats ordi naires et remarquables Elle est parfois l occasion de faire de surprenantes d couvertes comme dans le Puy de D me o les agents intrigu s par le comportement de deux individus ont finalement contact la Gendarmerie pour proc der l arrestation des suspects occup s planter du cannabis en pleine for t D Infractions p nales relev es par service de contr le Gendarmerie 23 ONCFS 46 Services d concentr s 2 EE 2 CLRL 1 AAMP Onema 0 04 4 15 RNF 11 Extrait du projet de rapport 2012 des polices de l eau et de la nature r dig par le Bureau des polices de l eau et de la nature de la Direction de l eau et de la biodiversit Code forestier police de l eau d chets sites class s En d clinaison du Contrat d objectifs conclu entre l ONCFS et ses minist res de tutelle la mission de police des services terri toriaux s est r partie comme suit en 2012 la police de la chasse hauteur de 58 la police de la protection de la nature hauteur de 42 La mission de police des agents de l Office comprend un volet de police administrative consistant contr ler sous l autorit du pr fet le respect des prescriptions mises pa
79. ette de l tat et de poursuivre avec des moyens compt s les missions qui constituent le c ur de cible de notre maison quitte faire des choix et identifier des zones de d fausse Je me f licite cet effet du travail entrepris par la Direction des ressources humaines qui a poursuivi le travail d j engag en mati re de pr vention des risques psychosociaux et veille accompagner notre tutelle dans sa r flexion sur l aboutissement du statut des contractuels En refermant l album de l ann e 2012 j ai le sentiment que les personnels de l ONCFS avancent ensemble et d un m me pas qu ils portent en eux la fiert de m tiers souvent iden tifi s raison comme des m tiers passion Ce bilan exercice rituel que constitue chaque ann e la r daction du rapport d activit de l tablissement n est pas sans me r jouir et je tiens ici saluer l ensemble de celles et ceux qui uvrent au quotidien la bonne marche de l Office agents administratifs de police chercheurs techniciens et agents techniques de l environnement ouvriers D ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 Jean Pierre Poly Directeur g n ral G de Valicourt Mondadori _ 3 QUESTIONS 3 questions Laurent Roy Directeur de l eau et de la biodiversit 2009 2011 en travaillant la sauvegarde de la biodiversit dans le cadre de la nouvelle Strat gie nationale pour la biodiversit 2011 2020 en poursuivant l effort d
80. eurs par activit Activit 1 Police de la chasse et de la nature N Fiche Indicateurs R alis 2012 Cible 2012 Objectif 3 S adapter aux volutions de l tat pour am liorer l action de police Nombre de d partements dans lesquels les conventions de coop ration tripartites ONCFS Onema tat ont t sign es Nombre de d partements dans lesquels les protocoles de partenariat quadripartites avec les parquets ont t sign s 1 2 A 1 2 B Objectif 4 Assurer la surveillance g n rale des territoires pour une meilleure application des lois et r glements 12 Nombre de contacts par cat gories d usagers monde de la chasse 109 448 40 000 acteurs institutionnels autres usagers 60 000 Objectif 5 Lutter contre les atteintes aux esp ces et en contr ler le commerce et la d tention 12D Nombre de contr les d tablissements d tention de faune hors gibier 1 108 Variable mi levages de sangliers autres levages de gibiers selon les plans 12E Nombre de contr les in situ pr l vements introductions d esp ces 24 de contr le Objectif 6 Participer au contr le du respect du contenu des dossiers d valuation des incidences dans le cadre de Natura 2000 et des mesures compensatoires 12 Nombre de contr les in situ des activit s autoris es en site Natura 0 19 Variable Z S O IOO Sanis 1 2 G Nombre de contr les in situ dans le cadre des mesures compensatoires 27 de contr le Objectif 7 Participer
81. faune sauvage 260 Nombre de pathologies faisant l objet d une veille active Entre 5 et 10 Objectif 21 Renforcer les recherches sur les oiseaux d eau et les zones humides dans un cadre international Objectif 22 Am liorer la connaissance de la dynamique de la petite faune s dentaire et des migrateurs terrestres dans les espaces agricoles et de montagne Objectif 23 Mieux conna tre l interface entre les ongul s sauvages et leurs habitats en vue de l quilibre agro sylvo cyn g tique Objectif 24 Analyser l volution des populations de grands carnivores et leurs impacts sur les territoires 2 7 A Nombre de publications scientifiques et techniques r alis es 168 gt 3 0 2 7 B Nombre d outils de gestion mis au point 5 Entre 2 et 4 60 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 ANALYSER LA PERFORMANCE EE Activit 3 Expertise et appui technique l tat N Fiche Indicateurs R alis 2012 Cible 2012 Objectif 1 Contribuer la mise en uvre des actions de restauration des esp ces menac es 3 1 A Nombre de plans nationaux d actions auxquels participe l ONCFS 25 Entre 20 et 25 Objectif 2 Contribuer la d finition des mesures d vitement de r duction d impact ou de compensation des projets d am nagement Nombre de rapports crits intervenant suite des questions techniques Variable selon pos es par les DREAL la demande Objectif 9 Participer aux suivis l tude et aux modalit s de gestion des es
82. hasse durable 1 342 s ances th oriques l examen du permis 87 34 Y de r ussite l preuve th orique du permis 4 381 preuves pratiques pratiq 79 96 de r ussite l preuve pratique 23 538 candidats re us soit pr s de 5 de plus qu en 2011 volution du nombre de candidats inscrits l preuve pratique 32 000 31 000 30 000 29 000 28 000 27 000 26 000 25 000 19 2007 2008 2009 2010 2011 2012 1 Le SN a b A Formation des formateurs b n voles des FDC l examen du permis de chasser mai 2012 Le permis de chasser et la securite a la chasse L examen du permis de chasser Les inspecteurs du permis de chasser de l ONCFS ont examin en 2012 28 024 candidats aux preuves th oriques et 29 346 aux preuves pratiques l issue de l examen 23 538 candidats ont t re us L organisation des preuves a n cessit de la part de la cellule nationale de l examen du permis de chasser la v rification et le traitement de 36 770 dossiers d ins cription dont 2 241 retours pour r gularisation la gestion en collaboration avec les f d rations d parte mentales des chasseurs de 61 805 convocations aux examens th oriques et pratiques du permis de chasser le suivi informatis des 5 723 s ances d examen th oriques et pratiques et la gestion des r sultats correspondants L augmentation du nombre des candidats l examen du permis de chasser
83. int le programme Agrifaune Les objectifs que s taient fix s l Eure et la Picardie ont t r alis s Le r seau de partenariat construit autour d Agri faune regroupe ainsi aujourd hui 68 d partements tat des conventions au 31 d cembre 2012 Statut R gion Agrifaune R gion en projet C R gion sans convention D partement Statut M D partement Agrifaune D partement en projet D partement sans convention M D partement dont la convention a pris fin objectifs r alis s Le soutien financier que l tablissement apporte la r ali sation des projets locaux avec ses partenaires diminue sensible ment 770 000 euros en 2012 pour un budget global qui d passe toujours les deux millions d euros Le lancement en 2009 des Groupes techniques nationaux d Agrifaune GTNA a fortement contribu la cr ation de r f rences de terrain innovantes et facilement transf rables aupr s des agriculteurs notamment sur les couverts d intercultures la restauration d alpages et d habitats de galliformes de montagne la gestion de bords de champs en zone de grandes cultures La IIS Journ e nationale Agrifaune qui s est tenue le 26 juin a laiss une grande place aux GTNA pour pr senter leurs travaux et leurs r sultats Un nouveau groupe des r gions sera cr en 2013 pour traiter des espaces herbagers en mobilisant notamment les exp riences des d partements de Franche Comt Bourgogne Auvergne et Limousin La diffu
84. it transmission des proc s verbaux La Direction de la police a t particuli re ment vigilante aux dispositions relatives aux pouvoirs d investi gation des agents Bien que les textes aient t modernis s pour tenir compte du droit europ en les inspecteurs de l environne ment restent comp tents pour rechercher et constater les infrac tions en quel que lieu qu elles soient commises Avec l as sentiment expresse de l occupant ou l autorisation du juge des libert s et de la d tention il demeure possible de suivre la chose enlev e objet du d lit jusque dans le domicile o elle aurait t dissimul e Tout comme les agents de l Onema des Parcs nationaux et des Directions d partementales des territoires les agents de l ONCFS auront d sormais la qualit d inspecteurs de l environ nement Ces changements prenant effet compter du 1 juillet 2013 la Direction de la police doit permettre aux agents d int grer ce nouveau cadre d intervention Tandis que les instruc tions internes l ONCFS relatives la r daction de proc s verbaux sont en cours de r criture un plan de formation initiale et continue est d ploy pour l ensemble des agents ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 2012 est galement une ann e charni re pour les agents de l ONCFS charg s des missions de police zoom sur la cr ation des inspecteurs de l environnement L ordonnance 2012 34 du 11 janvier 2012 a pour ambition de r former e
85. italisation des savoir faire sur laquelle l Office enclenchera des plans d actions sur la dur e du contrat A L quipe de la Direction des ressources humaines a tenu un s minaire annuel en pr sence du Directeur g n ral portant sur les activit s 2012 et les projets venir ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 56 an Comme pour n importe quel tablissement _ public la gestion financi re mais aussi comptable de Ll ONCFS est soumise une v rification g n rale des proc dures internes La gestion peut ainsi tre restitut e au travers des r sultats financiers de l exercice pr sent s par l Agent comptable en Conseil d administration DIRECTION FINANCIERE ANALYSER k LASPERFORMAN ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 57 P Avignon ONCFS o ANALYSER LA PERFORMANCE Les comptes 2012 les chiffres cl s Les d penses 2012 s tablissent 119 08 M Elles se r par tissent entre les charges de personnel 93 25 M et celles de fonctionnement 25 83 M Du fait notamment de la diminu tion des effectifs la masse salariale s est stabilis e malgr une augmentation du taux de cotisation au r gime des pensions civiles En 2012 l ONCFS a poursuivi les actions lui permettant d assurer sa contribution la ma trise de la d pense publique L autofinancement s tablit 6 32 ME Les investissements se sont lev s 3 91 M Le fonds de roulement disponible au 31 d cembre 2012
86. iversit MinDef m4 MEDDTL Signature du Contrat d objectifs de l ONCFS avec le minist re de l cologie D Sur le territoire m tropolitain et en Outre mer l ONCFS a propos diff rentes manifestations dans le cadre de la F te de la nature 9 au 13 mai Es Z i f w OE E 7 vies 3 a 5525 TE Y Tout comme la Direction g n rale les d l gations interr gionales A Le SD des Alpes Maritimes la DIR et la BMI Alpes M diterran e Corse ont vocation tablir des conventions En juin la DIR Bourgogne ont pr sent leurs missions lors du salon Vert Azur qui accueille Franche Comt a sign une convention avec le minist re de la D fense plus de 20 000 personnes en deux jours qui concerne le camp du Valdahon 25 ONCFS u T u 2 0 1 lt La c l bration du 40 anniversaire de l tablissement a t l occasion de retrouvailles entre des personnels r partis sur l ensemble du territoire L Bizien Photographie 12 ONCFS mm RAPPORT D ACTIVIT 2012 INTRODUCTION Viola ONCFS 13 Poitou Charentes Limousin participe Li ji chaque ann e au festival international RO a du film ornithologique de M nigoute 79 Li 4au 6 ul Le Y Le g n ral Paulus adresse ses f licitations 1 p aux Sonneurs de l Office apr s
87. l cher Les espaces prot g s g r s par l ONCEFS territoires d tudes et de gestions exp rimentales Les r serves nationales de chasse et de faune sauvage RNCFS co g r es par l ONCEFS permettent de mettre en place des recherches sur le fonctionnement des populations d ongul s sauvages vivant en montagne isard Orlu mouflon au Caroux Espinouse bouquetin Belledonne et sur leur interaction lorsque plusieurs esp ces sont pr sentes chamois mouflon chevreuil dans les Bauges cerf et chevreuil la Petite Pierre Ces recherches ont permis en 2012 de valider l indice poids nouvel indicateur de changement cologique pour la gestion de ces ongul s de montagne La fiche technique sera disponible en 2013 Les r serves en zones humides sont des sites de suivis de l avifaune migratrice dans le cadre des comptages internatio naux et servent de sites pour l tude de certaines autres esp ces Des recherches sur le suivi des habitats leurs dynamiques et sur le fonctionnement des cosyst mes sont conduites Elles entrent dans le cadre des plans de gestion des conservateurs des r serves des d l gations interr gionales en relation avec des organismes scientifiques sp cialis s Une forte implication sur trois esp ces prot g es le loup l ours et le hamster Que ce soit dans le cadre de plans d actions nationaux loup hamster ou dans le cadre de la strat gie pyr n enne de V La r serve nationale de chasse et de
88. l Office national de la chasse et de la faune sauvages est vu confier cinq missions r pondant aux axes majeurs de la derni re Conf rence environnementale dans la suite du Grenelle de l environnement 126 ing nieurs la direction des tudes et de la recherche dans les Centres nationaux d tude et de recherche appliqu e CNERA dans les d l gations interr gionales et Les directions 180 personnels administratifs 852 agents techniques de l environnement commissionn s par le ministre charg du D veloppement durable et asserment s aupr s des tribunaux se r partissent dans 95 d partements m tropolitains et d Outre mer 309 techniciens de l environnement galement commissionn s et asserment s encadrent les services d partementaux 85 techniciens de l environnement affect s dans les cellules techniques des d l gations interr gionales et dans les directions 25 inspecteurs du permis de chasser 31 ouvriers dans les espaces g r s par l ONCFS 346 agents employ s dans l ann e sur des emplois non permanents occasionnels vacataires horaires contrats aid s ressources affect es programmes sp ciaux ou emplois temps incomplet agents d entretien ce qui quivaut 63 258 ETP r els au 31 d cembre 2012 Organiser l examen du permis de chasser Chaque ann e apr s une formation obligatoire dispens e par les f d rations d partementales des chasseurs environ 30 000 candidats se pr sentent
89. l activit cyn g tique Les contr les peuvent tre g n ralis s un secteur donn o l ensemble des pratiquants sera contr l C est ainsi que tous les agents du Service d partemental de la Ni vre se sont mobilis s aux c t s des gendarmes de l Onema et de l ONF pour quelques journ es de contr le d envergure o tout est pass en revue de la s curit la chasse en passant par la limitation des pr l vements sans oublier le contr le des permis et assurances En d pit de l am pleur de l op ration organis e le 20 janvier 2012 portant sur vingt cinq groupes de chasseurs seulement deux proc dures ont t dress es ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 M Modes et moyens de chasse 1 750 infractions aux SDGC relev es en 2012 En amont des actions de terrain pour aider la mise en uvre d une r glementation simple et contr lable les services d partementaux de l Office continuent d apporter leurs conseils aux f d rations d partementales des chasseurs FDC pour l la boration des dispositions du SDCG relatives la police de la chasse notamment en mati re de s curit la chasse de gestion des populations de gibier et d agrainage Dans l int r t du monde R partition par domaine des infractions 2012 la police de la chasse 3 4 M Gestion du gibier PMA PCG plan de chasse Permis de chasser Temps de chasse M Protection du gibier M Territoire de chasse M SDGC 8 E Des
90. le de diverses activit s humaines r glement es parce qu elles ont un impact environnemental certain Le contr le de la circulation des v hi cules moteur dans les espaces naturels qui reste une demande forte des acteurs locaux est l origine de 1 977 infractions consta t es en 2012 Ces surveillances concernent des pratiquants individuels ou des manifestations organis es comme le rallye des C mes dans les Pyr n es Atlantiques Cet v nement fait l objet d un suivi par les agents qui ont contact les organisa teurs pour tenter de limiter Les d bordements Les actions pr ven tives et r pressives men es autour de l v nement ont permis un retour la l galit puisque seulement trois infractions ont t relev es en 2012 contre soixante lors du premier contr le op r en 2007 Concernant le reste du contentieux 11 du total des infrac tions 2012 portent sur diverses r glementations pour lesquelles les agents interviennent ponctuellement m me si elles n entrent pas dans le c ur du m tier de police de l ONCFS Sont concern s La pr servation des espaces prot g s la police de l eau l utilisation de produits phytosanitaires la protection des bois et for ts la conser vation des sites inscrits et class s les d p ts d immondices etc A Saisie par le service d partemental de la Haute Marne d objets en ivoire de cachalots et d l phants ill galement commercialis s CONTRIBUER LA SAU
91. le prolongement de programmes ant rieurs comme les OGARE ou le CASDAR IBIS pourrait aboutir d une part l am lioration du conseil agricole et cyn g tique sur le terrain et d autre part la reconnaissance des agriculteurs les plus performants Autres actions agriculture et faune sauvage La collaboration de Ll ONCFS avec l Association de coordination technique agricole ACTA Dans le prolongement de la convention cadre ONCEFS ARVALIS Institut du v g tal FNC une collaboration troite a t lanc e entre l ONCFS et l ACTA pour la mise en uvre de projets de recherche et d veloppe ment en commun avec le r seau des Instituts techniques agri coles notamment dans le cadre d appels projet du minist re de l Agriculture de la Fondation pour la recherche sur la biodi versit ou de la Strat gie nationale pour la biodiversit la valorisation des travaux des deux structures dans leurs parutions techniques respectives Une convention cadre de partenariat devrait voir le jour en 2013 Concours national de labours l ONCFS bien pr sent Le grand public a d couvert sur le stand de l Office deux esp ces embl matiques en pleine recolonisation du d partement la loutre et le castor d Europe La pr sence de l interlocuteur d partemental du r seau Castor Loutre a t particuli rement appr ci e par les visiteurs En trois jours plusieurs milliers de personnes ont fr quent le stand Invit s pou
92. leur prestation 5 IS A x E CR m la Sainte Chapelle du ch teau de Vincennes 3 Remise du label Wildlife Estate trois territoires fran ais exemplaires lors de la session pl ni re de l European Landowners Organization Chambord 26 octobre Y La D l gation interr gionale Nord Est a coordonn 30 octob 7 b la participation de l ONCFS la 16 dition octobre au 4 novembre du Festival de la photo animali re et de la nature m de Montier en Der 52 8 8 15 au 18 114 t Fe lt La D l gation interr gionale 4 CA 3 HAS lt Signature de l accord de partenariat avec le Conservatoire du littoral lors du Salon des Maires Porte de Versailles FE y gt Signature d une convention cadre avec le minist re de l Agriculture et la F d ration nationale des chasseurs Cheick Saidou Min Agri ONCFS mms RAPPORT D ACTIVIT 2012 ELO DR ONCFS N FT 0 N E gt U lt 0 lt n Q Z O 14 SIDNO ISSEN d 1 300 agents commissionnes et asserment s plus de 1 2 900 proc dures de constatation d infraction plus de 1 8 200 infractions relev es dont 22 de d lits La mission de police est au c ur du m tier des agents de l ONCFS Ils y consacrent l essentiel de leur temps d activit Elle repose sur une surveillance
93. lit analytique La r alisation du budget 2012 par axe strat gique Dans le compte financier la comptabilit analytique ne prend en compte que les d penses d caissables de personnel fonc tionnement et investissement de l ann e 2012 sont exclus les ressources affect es les dotations aux amortissements et aux provisions les charges exceptionnelles la valeur nette comp table des actifs c d s les titres de participation et les immobi lisations financi res dont le total s l ve 8 051 K La venti lation analytique du compte financier 2012 repr sente donc 115034 K soit 115034K 8051 K 123 085 K compte financier 2012 D R partition du budget r alis 2012 par axe strat gique 45 5 15 619 38 3 15 7 115 4 en d activit L application GEACO L ann e 2012 est la premi re ann e d ex cution du Contrat d objectifs 2012 2014 de l ONCFS L application GEACO 2012 version r nov e de l ancien programme est l outil de suivi du Contrat d objectifs Cette application revue pour tre adaptable chaque nouveau contrat a volu pour prendre en compte la programmation des objectifs et des activit s par d l gation et direction et faire le lien avec l application des frais de d placement L application GEACO outil indispensable pour le pilotage des services et le rapportage aupr s des minist res de tutelle permet notamment chaque agent de l ONCFS de rendre comp
94. lture et du Haut commissaire des eaux et des for ts diff rents experts am ricains espagnols fran ais et marocains afin de b n ficier d une exp rience internationale et de d finir un plan de travail La France tait repr sent e par deux person nalit s dont le chef du CNERA Cervid s sangliers Les diff rentes contributions seront prochainement publi es et des solutions pratiques reposant sur la capture d animaux par pi ges sont programm es La troisi me expertise r pond une demande du Service public de Wallonie et des associations belges Faune amp Biotopes et Wildlife amp Man qui co organisaient un colloque Demain la chasse comment reprendre l initiative Confront s comme de nombreux pays europ ens l explosion du sanglier le gouvernement wallon travaille l laboration d un nouveau r glement L ONCES y tait invit pour pr senter le plan national de ma trise du sanglier et les r sultats d j enregistr s afin d en tirer des l ments ventuellement adapt s la Wallonie Les communications de ce colloque ont t publi es dans un num ro sp cial de For t Wallonne en d cembre 2012 Les sp cialistes des galliformes de montagne toujours tr s sollicit s L avis des sp cialistes galliformes du CNERA Faune de montagne a encore t tr s sollicit en 2012 par les pouvoirs publics sur des projets d infrastructures nouvelles pistes exten sion de station de ski course transjura
95. majoritairement g s de moins de 45 ans 54 Pour autant la part des plus de 45 ans est en augmentation par rapport 2011 passant de 28 46 Cette hausse r sulte d un accroissement des demandes manant des agents de 55 ans et plus 5 en 2011 et 22 96 en 2012 Parall lement entre 2011 et 2012 on constate une hausse de 20 des demandes parmi les agents ayant plus de 15 ans d anciennet Ces volutions semblent coh rentes d une part avec la moyenne d ge de l tablissement qui se situe 47 ans et d autre part avec l allongement de la vie active Pr s d un tiers des demandes 30 mane d agents recrut s en contrat non permanent CDD contrats aid s occasionnels et la moiti de personnels d ex cution cat gorie C ou contrats aid s La r partition entre les demandes d information et de conseil s est invers e par rapport 2011 environ 40 des demandes portent sur l information relative aux dispositifs de formation et la mobilit et 80 des demandes d information ont trait la formation et plus particuli rement au droit individuel la forma tion 80 Les questions sur ce dispositif sont en augmentation les agents souhaitant avoir des pr cisions sur les conditions d ligibilit et de mobilisation Les interrogations autour de la mobilit sont de l ordre de 20 Compte individuel retraite F n application de l article 10 de la loi du 21 ao t 2003 un compte individuel retraite
96. n e Corse DIR J L BLANC DIRA J C GAUDIN DIRA J L FERRI La carte des d l gations interr gionales JE SAINT PIERRE ET MIQUELON 4 D A UPE gt amp ERRITOIRE DE BELFORT A a CORS 218 M M Nord Est E Nord Ouest E Centre Ile de France Bretagne Pays de la Loire M Poitou Charentes Limousin Sud Ouest Auvergne Languedoc Roussillon M Alpes M diterran e Corse Bourgogne Franche Comt E Outre mer e 10 ONCFS mmm RAPPORT D ACTIVIT 2 11 INTRODUCTION Accompagner les actions et missions de l ONCFS 2072 a permis d approfondir les pistes de travail propos es en 2011 en termes de strat gie de communication Parmi les moments forts figurent notamment les c l brations du Journ e Agrifaune 26 juin et au bilan accidentologique de la saison cyn g tique 2011 2012 en lien avec la FNC l occasion de la Journ e des r serves 15 octobre l quipe a pr sent un plan de communication destin int grer la stra t gie globale des r serves de la DAT La Mission communication 3 accompagn le Cabinet lors de la signature d une convention de partenariat entre l ONCEFS et le minist re en charge de la D fense 21 mars et dans la m dia tisation du prix des Honneurs Laurent Perrier 27 juin Avec la DIR Centre le de France a t organis un d jeuner de travail entre le Directeur g
97. n ral et Les pr sidents de FDC de la r gion Centre au pavillon pr sidentiel du Domaine national de Chambord en marge du Game Fair 23 juin La Mission commu nication a assist la formation des Sonneurs de l Office dans le cadre des concerts donn s en la cath drale de Blois juin et la Sainte Chapelle de Vincennes novembre Fin octobre le r seau des correspondants r gionaux de communication s est r uni au Centre de formation du Bouchet 45 pour un temps de r flexion et d changes sur l ann e coul e et les actions mener en 2013 Les moments forts des 40 ans L e 28 juin une journ e festive a r uni plus de 500 agents au Bouchet 45 Un num ro sp cial de la lettre interne ONCFS actualit s lui a t consacr Les Sonneurs de l Office ont enregistr leur premier CD intitul Les Echos de la chasse et de la faune sauvage Un partenariatavec l Institut de France et Canal Acad mie sa web radio a permis aux sp cialistes de l tablisse ment pr senter au rythme de douze missions les programmes scientifiques de l ONCEFS fin 2012 plus de 50 000 t l charge ments Le Prix Connaissance de la chasse 2072 a t remis J P Poly pour saluer quarante ans de publications scientifiques Enfin un livre v nement a t remis aux personnels C t m dias diff rents titres repr sentatifs ont permis au Directeur g n ral de faire un point d tape sur les 40 ans de l op rateur public de la
98. n 1 500 dossiers font l objet d un recours au niveau d partemental et seulement un dossier sur vingt arrive devant la CNI Parall lement moins d une cinquantaine de dossiers font l objet d un conten tieux tous les ans L ann e 2012 a aussi vu lancement d une r forme de la proc dure d indemnisation amiable sur la base d un accord poli tique sign entre la F d ration nationale des chasseurs la F d ration nationale des syndicats d exploitants agricoles FNSEA et l Assembl e permanente des chambres d agriculture L ONCFS apporte son aide au minist re en charge de l Ecologie pour l cri ture du d cret d application de la loi du 7 mars 2012 qui devrait notamment voir changer le seuil de d clenchement de l indem nisation et la m thode d valuation du pr judice sur les prairies A l origine le fonds d indemnisation des d g ts de gibier visait seulement les ravages des sangliers sur les r coltes agricoles et en particulier le ma s dont ils raffolent ONCFS mmm RAPPORT D ACTIVIT 2012 E Baubet ONCFS 42 APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES 43 SD 81 0NCFS Les p les de comp tence r gionaux Les trois p les de comp tence r gionaux le p le Bocage anim par la DIR Poitou Charentes Limousin le p le Plaines et Collines m diterran ennes anim par la DIR Auvergne Languedoc Roussillon et le p le tangs continentaux a
99. n maitriser les outils de gestion de la faune sauvage et de ses habitats Dans cet esprit l ONCFS contribue la construction de r f rences techniques favorables la faune gr ce l expertise acquise dans les espaces prot g s qu il g re et travers les d marches Agrifaune et Sylvafaune qu il anime T up DIRECTOR D S FAUNE TERRITORIALES CHNIQU ES ET ALA PRESERVATION DES TERRITOIRES M CH ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 J Bouchet ONCFS F APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DES TERRITOIRES La Direction des actions territoriales DAT initie et anime des d marches op rationnelles qui contribuent am liorer la gestion de la faune sauvage et de ses habi tats L laboration de recommandations solides travers les r seaux Agrifaune et Sylvafaune et les p les de comp tences th matiques repr sente une des modalit s fondamentales des interventions de l Office L expertise de l ONCFS conduit ainsi b tir des doctrines sur dif f rents sujets techniques L tablissement conseille les minist res de tutelle dans la pr pa ration et l adaptation des politiques publiques La Division du permis de chasser de la DAT a galement en charge l organisation de l examen et la d livrance du permis de chasser Elle contribue sensibiliser et responsabiliser les chasseurs en mati re de s curit et fait d eux les acteurs d une c
100. n mati re de formation relative notamment constitu une tape cl pour le projet SPOVAN relatif au renfor la manipulation de la faune ul aes connaissances et des 088301 de N des oiseaux gt Missions 2012 international selon Les enjeux d eau migrateurs dans les pays de la Vall e du Nil gypte Nord du Contrat d objectifs 2012 2014 et Sud Soudan d but en 2010 Les r sultats de ce programme expos s au cours de la conf rence des parties de l AEWA accord sur la conservation des oiseaux d eau migrateurs d Afrique Eurasie La Rochelle en mai 2012 ont illustr la participation active de la France dans le domaine de la conservation des zones humides et des oiseaux d eau Fort de ces r sultats le minist re charg de l cologie a d cid de prolonger son soutien l ONCFS Nombre de missions conduites m Protection des espaces remarquables mGestion des esp ces menac es j m Police de la nature m Maitrise des esp ces exotiques envahissantes our le nouveau projet ZHOMASS concernant les zones humides d h m Pr servation de la biodiversit en outre mer Suivi sanitaire de la faune et les oiseaux migrateurs en Afrique subsaharienne wm tudes et recherches Gestion durable des esp ces chassables g Formation En mati re d avifaune migratrice terrestre les quipes ont poursuivi leur travail de coop ration avec la Russie sur les zones de nidification de la b casse des bois dans un contexte de r g
101. n premier plan d actions Le renfort d agents a permis de mettre en place des missions de surveillance cibl es pour la protection des tortues marines en Guyane aux Antilles et Mayotte En Guyane alors qu il tait de 80 en 1999 le taux de pillage des nids de tortues marines a t inf rieur 1 Des r sultats satisfaisants dont les agents de l ONCEFS sont particuli rement fiers Alors qu on ne recensait plus que 9 000 nids de tortues marines en Guyane au d but des ann es 2000 16 000 ont t recens s l an dernier ONCFS ee RAPPORT D ACTIVIT 2012 Le li vre collier noir Lepus nigricollis Les r sultats d une premi re tude collaborative ONCFS DER et DIROM et FDC en 2009 2010 sur la reproduction du li vre collier noir ont fait l objet d un poster pr sent par l ONCFS en juillet 2012 Vienne lors de la 4 World Lagomorph Conference Il a remport le prix du meilleur poster Strat gie de lutte contre les esp ces invasives Les esp ces invasives sont une probl matique majeure dans tous les milieux insulaires La R union s est dot e en 2010 d un plan de lutte pilot par la DEAL R union Dans ce cadre le Groupe esp ces invasives de la R union GEIR a t mis en place l ONCFS en est membre L Office a t d sign comme correspondant du r seau de surveillance pour les vert br s terrestres En Martinique comme la R union des arr t s pr fectoraux permettent de d truire des
102. nature Quelques publications dit es en 2012 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 40 anniversaire de l Office Organisation et pilotage d actions La Mission communication a pilot ou accompagn en interne comme l externe au plan national comme aux c t s des d l gations interr gionales DIR diff rentes actions de communication On retiendra les projections d bats la Maison de la chasse et de la nature Paris en collaboration avec la cha ne th matique Seasons et la projection du film La Chasse en France au si ge de l Organisation mondiale de la sant animale OIE et dot d une port e symbolique forte la pr sence de l Office pour la premi re fois au Salon des Maires et des Collectivit s locales Porte de Versailles Le stand a re u la visite de personnalit s poli tiques parmi lesquelles Claude Bartolone pr sident de l Assembl e nationale Christine Taubira garde des Sceaux ou encore Jacques P lissard pr sident de l Association des maires de France Une mission en appui des directions et des d l gations interr gionales En appui la Direction g n rale aux directions op ration nelles et aux DIR la Mission communication a accompagn plusieurs projets scientifiques comit s de pilotage de la session internationale du groupe Oies avec Wetlands Arcachon en janvier 2013 et du colloque Li vre d Europe en mai 2013 Troyes Aux c t s de la Direction des actions ter
103. nement de l am nagement et du logement Avec un recul de quelques mois et apr s avoir assist votre premier Conseil d administration au mois de mars quel regard posez vous en tant que Directeur de l eau et de la biodiversit sur l Etablissement J ai particip en effet mon premier Conseil d administra tion le 18 mars 2013 Ma premi re impression a t celle d un tablissement solide et bien g r bien centr sur ses priorit s Lors de ce conseil au del du constat de la grande qualit des pr sentations relatives aux questions budg taires et aux dossiers techniques de la qualit et de la s r nit des d bats j ai pris la mesure de l inqui tude portant notamment sur l avenir de l tablissement dans le contexte de la cr ation de l Agence fran aise pour la biodiversit et sur la situation pr caire de certains personnels Sur le premier point d inqui tude j ai rappel les orientations donn es par la ministre en charge de l cologie la pr paration du projet de loi cadre biodiversit cr ant notamment l Agence fran aise pour la biodiversit ne constitue pas une menace pour l ONCEFS mais doit tre l occasion de renforcer des synergies pour une politique de pr servation de la biodiversit plus forte et plus efficace ce qui ne peut qu int resser toute personne concern e par la chasse et la faune sauvage l valuation des polices de l environnement conduite au titre de la modernisation de l action
104. ner le mode d occupation de l espace agricole par les alouettes en hiver ainsi que leur comportement de recherche alimentaire Associant des relev s de terrain et des exp rimentations conduites sur des oiseaux maintenus temporairement en captivit ses travaux four nissent des l ments importants les couverts denses et d passant 30 cm augmenteraient la perception du risque de pr dation chez les individus se traduisant par une augmentation du temps allou la vigilance au d triment de celui allou l alimentation Dans un dernier volet les r sultats mettent en lumi re une forte variabilit spatiale du sex ratio des populations hivernantes l chelle de la France Ils sugg rent que le Sud de la France ainsi que la p ninsule ib rique pourraient constituer les quartiers d hivernage privil gi s des femelles issues du Nord de l Europe et empruntant la voie de migration atlantique A L alouette des champs privil gie les parcelles de chaume et les prairies pour son alimentation en hiver Renforcer les recherches sur les oiseaux d eau et les zones humides dans un cadre international Les recherches sur les anatid s se sont poursuivies sur la sarcelle d hiver et le fuligule milouin avec la mise en place d une tude destin e valuer le taux de retour des bagues de ces deux esp ces ainsi que du canard colvert de fa on mieux estimer leurs param tres d mographiques Une th se a t soutenue sur l impact des l
105. nim par la DIR Centre Ile de France ont d velopp leurs actions dans les cinq domaines suivants synth se des connaissances mise disposition et trans fert des connaissances promotion de bonnes pratiques proposi tion de pistes de recherche et d exp rimentation promotion des connaissances dans les politiques publiques Plus sp cifiquement en 2012 et dans Le cadre du p le tangs continentaux les quipes de la DER de la DAT de la Direction financi re DF et de la D l gation interr gionale Alpes M diterran e Corse se sont mobilis es pour redonner l tang du Grand Birieux sa place privil gi e au sein des Dombes Avec le concours de nombreux partenaires techniques et financiers notam ment la r gion Rh ne Alpes et le d partement de l Ain un programme de restauration de l tang ainsi qu un projet de recherche et de d veloppement int grant galement son bassin versant ont t lanc s pour au moins trois ans Les premiers travaux r alis s l automne 2012 ont d j donn pleine satis faction et les r actions de la v g tation aquatique et rivulaire des canards et des poissons sont maintenant attendues Gr ce la constitution d un groupe de travail sp cifique un r f rentiel technique et scientifique est en cours d laboration pour l valuation qualitative des pratiques et l ments fixes des fermes du r seau Agrifaune Cette initiative pilot e par l ONCES venant notamment dans
106. ns professionnelles agricoles et foresti res 1 repr sentant d organisations de propri taires ruraux 2 repr sentants d organismes de protection de la nature 2 repr sentants du personnel Pr sident Henri SABAROT Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs de Gironde Commissaire du Gouvernement Laurent ROY Directeur de l eau et de la biodiversit DEB Repr sentants de l tat D veloppement durable Paul DELDUC Sous directeur de la protection et de la valorisation des esp ces et de leurs milieux DEB Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature DGALN Agriculture Jacques ANDRIEU Sous directeur de la for t et du bois au minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t MAAF Pascal VIN Directeur g n ral de l Office national des for ts ONF Budget Yoann BARBESOL Chef du bureau du d veloppement durable direction du budget minist re de l Economie et des Finances Repr sentants des F d rations d partementales des chasseurs Marc MEISSEL Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs du Var Auguste FOULON Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs de la Manche Daniel KITTLER Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs du Territoire de Belfort Jean Fran ois RUINAUD Pr sident de la F d ration d partementale des chasseurs de la Creuse Michel MARCOTTE Pr sident de la F d ration d p
107. ollicitations du minist re de l cologie sur ces sujets et sur la gestion cyn g tique et aux demandes du minist re de l Agriculture notam ment sur la tuberculose A Les agents de l ONCFS sont comp tents pour effectuer les constats apr s une attaque de troupeau par un loup gestion pertinents Anim s par la Direction des tudes et de la recherche DER les travaux pilot s par les quipes des Centres nationaux d tudes et de recherche appliqu e CNERA et de l Unit sanitaire de la faune USF s appuient sur le r seau de veille cologique et sani taire constitu par les agents des services d partementaux et des d l gations interr gionales r partis sur tout le territoire national Ils mettent en jeu de nombreux partenariats avec le monde cyn g tique le monde associatif et les organismes scien tifiques fran ais CNRS laboratoires universitaires IRSTEA Inra Museum national d Histoire naturelle coles nationales v t ri naires Anses et trangers Le Conseil scientifique a audit plusieurs programmes de suivis et de recherche L ann e 2012 a galement vu la signature d une convention cadre avec le minis t re charg de l Agriculture et la F d ration nationale des chasseurs FNC Elle vise garantir de mani re permanente une surveillance de la sant de la faune sauvage La Strat gie nationale pour la biodiversit SNB a soulign l importance des enjeux relatifs la faune sauvage dans
108. on des esp ces menac es ou chassables 5 Enjeu 6 gt 6 3 7 et assurer un suivi sanitaire performant Enjeu 7 Comprendre le fonctionnement des populations en relation 66 avec leurs milieux pour laborer des outils de gestion pertinents Axe 3 Conforter la chasse comme l ment essentiel de gestion durable de la nature et des territoires 328 Enjeu 8 Poursuivre une police de la chasse adapt e une gestion durable de la faune sauvage 28 1 Promouvoir la s curit la chasse et progresser dans une gestion dynamique Enjeu 9 prog amp y 9 2 9 du permis de chasser Faire voluer et promouvoir les pratiques conduisant une gestion durable des esp ces 5 Enjeu 10 n 1 8 chassables dans les territoires agricoles et forestiers Poursuivr nstruction d un service public de l cologie Ne oursuivre la co struc p 8 13 4 et du d veloppement durable moderne et efficace Enjeu 11 Adapter l organisation des services aux territoires enjeux et les effectifs aux missions 1 6 Enjeu 12 Faire voluer les m tiers et les parcours professionnels pour mieux r pondre aux enjeux 6 0 Enjeu 13 S appuyer sur des outils modernes et efficients pour optimiser la qualit de gestion de l ONCFS 5 5 0 3 Promouvoir et valoriser l action de l tablissement travers une politique Enjeu 14 ee de communication partag e Total g n ral 100 0 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 EE ANALYSER LA PERFORMANCE Suivi des indicat
109. ont financ es par des fonds europ ens PO Amazonie FEADER par le minist re de l Environnement mais aussi par des collectivit s locales ou des tablissements publics Elles sont r alis es en collaboration avec les partenaires locaux ONG r serves naturelles organismes scientifiques L ONCFS souhaite favoriser les changes entre les Antilles et la Guyane afin de mutualiser les moyens et b n ficier de l ex p rience de chacun La Guadeloupe a r alis un guide m thodo logique de prise en compte de la pr sence des tortues marines dans les am nagements du littoral dont s est inspir e la Guyane pour r aliser son guide destination des collectivit s territo riales De m me un s minaire d di la cr ation d une base de donn es tortues marines a r uni en 2012 les partenaires N S O N gt H U lt 0 A lt alUdei6oloUdjualzlg 71 1 0 010000 temps plein ETP AZ d ge moyen 5 580 journ es de formation initiale et continue PA suivies par 1 624 stagiaires pr a es La construction d un service public de lt ATC l cologie et du d veloppement durable 5 WO MM n d adapter l organisation des services aux nouveaux enjeux tout en pr servant CREER dE ES m s de faire voluer les m tiers et les parcours professionnels des agents dans P un pr s rv
110. orit s nouvelles des minist res de tutelle et notamment du minist re de l cologie du D veloppement durable et de l nergie au titre de la nouvelle Strat gie nationale pour la biodiversit SNB Adoption d un nouveau Contrat d objectifs et mise en uvre de l accord cadre ONCFS ENC une large information des personnels et des partenaires a t conduite Suite la signature le 13 f vrier 2012 d un nouveau Contrat d objectifs avec les minist res de tutelle une tr s large informa tion sur la feuille de route qui pr side d sormais l action de l tablissement a t organis e pour informer d abord en interne l ensemble des personnels et ensuite l ensemble des partenaires et interlocuteurs de l ONCFS Le document a t diffus 4000 exemplaires avec des courriers cibl s qui soulignent notam ment la n cessit d un positionnement appropri des missions dans un contexte de moyens compt s Un d pliant de pr sen 10 000 exemplaires dont une part significative a t mise disposition des services En interne un guide op rationnel expli citant les modes op ratoires des actions du Contrat d objectifs et comportant un mode d emploi de l application GEACO gestion d activit s r nov e a t labor pour l ensemble du personnel l appropriation de ces documents par les services a t rendue possible gr ce des r unions organis es d but 2012 dans les d l gations interr gionales et dans les
111. p ces exotiques envahissantes et des esp ces animales autochtones prot g es portant atteinte l quilibre des cosyst mes ou aux activit s humaines Variable selon 3 3 1 Nombre de rapports d expertises Nombre de saisines 127002 la saisine 20 20 Objectif 11 Participer la mise en uvre de Natura 2000 3 4 A Nombre de DOCOB auxquels l ONCES participe 24 8 3 4 B Nombre danimateurs ayant suivi des formations d livr es par l ONCFS 5 8 Objectif 12 Contribuer au maintien et au r tablissement des continuit s cologiques de la trame verte et bleue TVB dans les territoires ruraux et p riurbains Nombre de participations au comit national et aux comit s r gionaux de suivi TVB Objectif 25 Conduire et valoriser des expertises au b n fice d une r flexion prospective sur la gestion de la faune sauvage Variable selon EM Nombre de rapports d expertises Nombre de saisines 61 61 la saisine 50 50 Objectif 29 tablir et promouvoir des pr conisations en mati re de s curit la chasse et de maniement des armes r seau et commission s curit 3 9 A Nombre d accidents sur la saison cyn g tique n 1 143 150 Objectif 30 G rer l examen et la d livrance du permis de chasser en am liorant leur efficacit et en simplifiant les proc dures Nombre de s ances organis es pour les preuves th oriques et les 39B i 5 722 6 000 preuves pratiques Nombre de candidats pr sents aux preuves th oriques et a
112. paces clos mise jour en permanence est indispensable pour effectuer des contr les en cas de probl mes sanitaires tels que la tuberculose Un point sur la situation du castor en Europe occidentale En 1987 le minist re de l Environnement a confi l ONCFS diff rentes missions sur le castor L une d elle consistait assurer le suivi de la colonisation de la population et la participation diverses op rations de r introduction Vingt cinq ans plus tard un bilan de situation a t r alis sur ce volet Une publication dit e en 2012 par le CNERA Pr dateurs animaux d pr dateurs dans Mammal Review 42 144 165 cl ture ce travail en synth tisant la situation fran aise et celles des pays limitrophes Cette synth se fait par ailleurs appara tre une gestion diff rente entre Europ ens quant la provenance de la souche de castor introduite au demeurant il s agit g n ralement d une seule esp ce La France pr conise et maintient une rigueur stricte de la gestion des r introductions partir de la souche Castor fiber galliae purement rhodanienne Dans le m me temps tous les autres pays europ ens cit s adoptent une strat gie de m lange des souches europ ennes C f galliae C f albicus provenant du delta de l Elbe C f fiber souche scandinave d crite par Linn ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 chasse sp cialis es Les suivis r alis s par les r seaux ont t relat s dans des let
113. pr sents sur le territoire m tropolitain Quelques quarante trois esp ces du monde entier ont t list es mais le daim et le sanglier sont les plus communes respec tivement 46 et 44 des espaces clos en d tiennent puis mais aussi des castors provenant de souches eurasiennes de Pologne Caspienne et autres colonies plus l est et au sud du Caucase Si jusqu en 2012 la France conserve la puret de sa souche terme une hybridation est irr versible notamment via la vall e du Rhin o la colonisation descendante depuis la Bavi re et la Suisse se poursuit Une troisi me conclusion impose une surveillance particu li re de la colonisation transfrontali re entre l Allemagne Rh nanie Palatinat le Luxembourg la Belgique et la France En effet il y a une dizaine d ann es des sp cimens de castors du Canada Castor canadensis se sont chapp s d un zoo allemand la fronti re entre les quatre pays Un suivi g n tique est coor donn par les Luxembourgeois et les Belges en incluant des pr l vements de tissus fournis par les d l gations interr gionales Nord Est et Nord Ouest Les derni res conclusions ne font pas appara tre de castors du Canada sur les rivi res lorraines ni arden naises Il importe n anmoins de poursuivre la collecte de tissus la fronti re P Landry ONCFS A Aire actuelle de r partition de Castor fiber en Europe de l Ouest a U z
114. quetins suspects cliniques Deux op rations ont ensuite t r alis es permettant de captu rer 22 bouquetins dont 10se sont av r s brucelliques La plupart des animaux ont t quip s de colliers metteurs Un r servoir sauvage de la brucellose Brucella melitensis biovar 3 constitu sans doute principalement de bouquetins a t confirm dans ce massif apr s treize ann es de silence pid miologique Apr s la tuberculose ce probl me appara t comme un nouveau cas der mergence d une grande maladie contagieuse impliquant la faune sauvage Un important programme d tudes et de recherche doit prolonger ce travail dans le Bargy et les massifs adjacents en 2013 Capture de bouquetins dans le Massif du Bargy par les agents du Service d partemental de Haute Savoie ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 N Latraube ONCFS galement un volet d tudes cibl es portant sur des maladies transmissibles aux animaux domestiques fort enjeu v t rinaire ou de sant publique tuberculose bovine dans le cadre du r seau Sylvatub peste porcine du sanglier influenza aviaire fi vre West Nile et brucellose Le r seau SAGIR contribue lui m me de fa on importante au renforcement de la surveillance de la tuberculose dans la faune sauvage organis e au sein de Sylvatub il est important d am liorer la d tection de la maladie sur les animaux morts ou mori bonds d esp ces sensibles blaireau cerf et sanglier dan
115. quotidienne des territoires destin e collecter des informations sur les milieux sur les esp ces et sur les ventuelles atteintes qui y seraient port es Elle comprend aussi des op rations de contr le cibl es sur des activit s chasse p che am nagement des milieux naturels ou des territoires particuliers espaces prot g s habitats d esp ces rares l PRETA DE LA POLICE 1 conf IBUER LA SAUVEGARE _ ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 P Massit ONCFS e CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT La mission de police de l ONCFS Initialement ax e sur la police de la chasse et la lutte contre le braconnage la mission de police de l ONCFS s est peu peu largie d autres domaines li s la protection de la nature A Chaque intervention de contr le suppose une parfaite connaissanc du terrain et une pr paration minutieuse avec rep rage pr alable des lieux d intervention significative d activit d volue la surveillance des territoires permet aux agents d acqu rir une parfaite connaissance des milieux prospect s lors des tourn es de terrain La pr sence des agents d abord p dagogique et dissuasive permet de sensibi liser Les usagers la richesse et la vuln rabilit des milieux qu ils fr quentent ainsi qu aux mesures de protection qui s y rattachent Elle est galement indispensable la recherche efficace des atteintes au patrimoine naturel
116. r l administration pour la conduite d activit s soumises autori sation comme la d tention de faune sauvage ou l am nagement des milieux naturels Elle comprend galement un volet de police judiciaire dont le but est de rechercher et de constater sous l autorit du procu reur de la R publique les infractions en mati re de protection de la nature Cela int gre le contr le de la chasse En 2012 ces missions ont permis de constater 18 968 infrac tions dont 875 ont t relev es via des proc s verbaux r dig s par des services associ s lors d op rations conjointes organis es par l ONCFS Toutes ces missions de police s inscrivent dans le cadre d un plan de contr le pluriannuel des polices de l eau et de la nature labor sous l gide du pr fet ce plan organise l action de contr le des services comp tents ONCEFS Onema service biodiversit des Directions d partementales des territoires et de fa on plus variable Gendarmerie nationale parcs nationaux r serves naturelles services v t rinaires inspection des installations class es pour la protection de l environnement etc Au sein de toutes ces structures charg es de missions de police de l environnement l ONCEFS est l origine de 46 des infractions constat es Ce qui en fait le premier service de police judiciaire en la mati re Quelle qu en soit la nature administrative ou judiciaire et le domaine sur lequel elle porte chasse esp ces p
117. r le de l Office dans la n cessaire compl mentarit entre les poli tiques de l eau et de la biodiversit 7 La lisibilit et l efficacit des politiques environnementales n cessitent une mise en commun des approches protection de l eau des esp ces des espaces du cadre de vie etc aujourd hui trop compartiment es C est le sens des directives europ ennes telles que la directive cadre sur l eau DCE la directive cadre strat gie pour le milieu marin DCSMM la directive sur la conser vation des habitats de la faune et de la flore DHFF la directive sur la conservation des oiseaux sauvages qui toutes les quatre visent la conservation du bon tat des milieux L ONCFS en tant qu tablissement public de l tat mettant en uvre les politiques environnementales doit participer cette approche int gr e Le Contrat d objectifs en cours de mise en uvre participe d ailleurs de ce rapprochement entre pr ser vation de l eau et pr servation de la biodiversit par une pr sence dans les instances interservices de l eau et de la nature sous l gide des pr fets des pr rogatives de police largies dans le cadre de l ordon nance 2012 34 et la cr ation de l appellation des inspecteurs de l environnement l expertise de l tablissement sur les esp ces et Les habi tats en particulier ceux caract ristiques de milieux humides 1 Directeur r gional de l environnement 2 Directeur r gional de l environ
118. r un verre de l amiti de nombreux lus et per sonnalit s ont pris conscience des sp cificit s de tablissement et notamment de la polyvalence des missions des agents un aspect qui les a particuli rement int ress s Le hiri L geal des hama amm lew emy NT pn tit ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 lami septembre durant trois jours 80000 visiteurs ont arpent les 120 hectares du village Destination Terre Gourmande Lautrec dans le Tarn lors de la 59 finale nationale de concours de labours Pour l occasion le service d partemental et la F d ration d partementale des chasseurs du Tarn d cidaient de pr senter le dis positif Agrifaune sur un espace commun aux deux exposants D s le vendredi matin un temps fort r unissait les acteurs du projet Agrifaune FDC Chambre d agriculture Maison Familiale Rurale MFR de Peyregoux agriculteurs partenaires lus locaux ONCFS Le d l gu interr gional rappelait l int r t d un tel partenariat Les jach res fleuries et intercultures install es proximit des stands l initiative de la FDC et de la Chambre d agriculture et la maquette Agrifaune r alis e et comment e par les l ves de la MFR de Peyregoux permettaient aux professionnels agricoles de visualiser les diverses possibilit s d implantation de couverts et d intercultures exp riment es dans le Tarn Plus de 3 000 l ves des classes de primaire sont venus d
119. re de l cologie L Office s est efforc d adapter les concours et les formations aux m tiers propres l tablissement La mise en uvre d un plan triennal de formation ax sur la connaissance la gestion durable et la pr servation de la biodiversit concourt adapter les savoirs et les comp tences l volution des m tiers et des parcours professionnels Suite aux travaux de groupe avec les organisations syndicales et la consultation du conseil de la formation le Comit technique a donn un avis Le minist re n a pas organis de concours de fonctionnaires de l environnement en 2012 La DRH a t associ e aux travaux sur le niveau de recrutement et sur la formation initiale des corps de l environnement L ONCFS met en place une politique de promotion conforme aux objectifs fix s par la tutelle permettant de reconna tre les comp tences les fonctions le m rite et le parcours des agents Dans ce cadre le dialogue social est favoris entre les parte naires sociaux et les sup rieurs hi rarchiques concern s tous les niveaux En 2012 cela s est traduit par la promotion de 106 agents r partis comme suit favorable au plan strat gique de formation Politique de recrutement et promotions En 2012 la demande du minist re de l cologie la DRH a poursuivi l analyse technique et financi re permettant de chif frer les diff rentes hypoth ses d une modernisation du statut des personnels contractuels tan
120. rit au travail Pour autant les agents se forment galement sur les domaines transversaux tels que le management la communication et la gestion Enfin la DRH veille cibler les formations prise de poste sur le m tier exerc par l agent comme l atteste la professionnalisation de la formation des secr taires administratifs La DRH tudie l ensemble des dispositifs recommand s par la fonction publique pour conforter les comp tences manag riales de ses cadres en dehors de la stricte formation Ainsi l issue de plusieurs rencontres avec ses minist res de tutelle l ONCES a d cid de d ployer le coaching professionnel desti nation des cadres en sp cialisant et en formant un agent sur cette th matique en interne et ce afin de s curiser galement les relations avec les coachs externes 1 La Direction g n rale de l administration et de la fonction publique DGAFP d finit le coaching comme tant un processus centr sur la r alisation d objectifs professionnels et destin aider le b n ficiaire trouver ses propres solutions Ce dispositif est formalis par un contrat tripartite entre l administration le coach et le coach Il doit en outre pr ciser les objectifs du coaching et les indicateurs de r sultats ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 L activit du conseiller formation mobilit carriere CFMC aupr s des agents en 2012 116 demandes de conseil l instar de 2011 les demandeurs sont
121. ritoriales DAT la Mission communication a contribu la m diatisation de la La revue Faune Sauvage L a r flexion men e sur la revue vitrine des recherches scien tifiques conduites par les chercheurs et les experts de l Office ainsi que l analyse des abonnements se sont poursuivies Fin 2012 Faune sauvage enregistrait une hausse de 6 des abonnements payants les abonnements gratuits taient stabilis s Le site internet oublant en un an la fr quentation de son site l tablisse ment a poursuivi la hausse amorc e en 2011 Septembre a connu un pic de fr quentation 100 000 internautes gr ce la mise en ligne des dates d ouverture de la chasse dans chaque d partement m tropolitain De m me en janvier f vrier avec les dates de fermeture Surle moteur de recherche Google le site de l ONCEFS appara t d sormais en premi re position sur ce sujet Un r seau de correspondants r gionaux dynamique C e r seau repose surle volontariat Dans chaque DIR un agent repr sente la d l gation en mati re de communication Ces correspondants tr s investis r pondent toujours pr sent aux sollicitations de la Mission communication Fi INTRODUCTION 2012 en images Be pee y m A Jean Pierre Poly ONCFS et Eric Lucas minist re de la D fense signent un nouveau partenariat pour concilier activit s op rationnelles et pr servation de la biod
122. rot g es habitats l efficacit de la mission de police suppose une bonne connaissance du terrain et des acteurs du monde rural Une part volution par domaine du nombre d infractions relev annuellement par l ONCFS O 2000 4000 6000 8000 10 000 12 000 1400016 000 18 000 20 0 BE Chasse M Protection faune flore Circulation espaces naturels Code forestier et Code de l environnement I P che eau douce et maritime M Espaces prot g s E Autres 16 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 17 CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT Une police de l environnement en faveur de la protection de la faune sauvage et de ses habitats Avec 2 461 infractions relev es en 2012 dont 90 de d lits la conservation des esp ces prot g es demeure une priorit Leur pr servation passe par la recherche des atteintes port es directement la faune et la flore prot g es capture ramassage braconnage ou indirectement par la d gradation des milieux Sur ce dernier point le minist re de l cologie a demand l ONCFS de s investir particuli rement dans le contr le des r glementations qui encadrent les atteintes aux milieux et aux esp ces Des d rogations ces mesures sont d livr es par l administration seulement dans un but d int r t g n ral Y Les agents de l ONCFS et de la Gendarmerie nationale devant les sp cimens saisis l issue d une cyber enqu te men e en 2012 et les Directions d
123. s en Guyane L tude sur le comportement spatial et social du hocco par radio tracking continue sur le site de la R serve des Nouragues Le r gime alimentaire du tapir a t pr cis par l utilisation de techniques de pointe MetaBarcoding en association avec le CNRS et le laboratoire LECA Enfin la signature d une conven tion d tude financi re avec le Centre spatial guyanais va offrir un nouveau terrain d tude soumis faible pression de chasse Cela permettra de disposer d analyses comparatives des commu naut s de faune dans une zone encore peu tudi e ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 48 49 Lappui technique pour l laboration des strat gies de gestion de la faune sauvage la demande de la FDC de la R union l ONCFS fournit un appui technique pour l laboration du nouveau Sch ma d par temental de gestion cyn g tique En outre l Office assiste la DEAL de la R union dans la finalisation de la Strat gie r union naise pour la biodiversit L impr gnation biologique de l avifaune sauvage de Guadeloupe par le chlord cone L ONCEFS a r alis r cemment une tude sur l impr gnation de l avifaune sauvage par le chlord cone pesticide en Guadeloupe Les travaux men s sur la tourterelle queue carr e Zenaida aurita t moignent ainsi de niveaux de contamination parfois importants en particulier pour les tissus h patiques mais galement fortement d pendants du lieu suppos de
124. s g r s ou cog r s par l ONCFS regroupait 30 territoires sur 27 sites repr sentant 63 433 hectares 19 territoires d di s l avifaune 10 pour la gestion de la faune de montagne et 1 territoire pour la grande faune des milieux forestiers Ces territoires b n ficient de divers statuts de protection 7 r serves nationales de chasse et de faune sauvage RNCFS 3 r serves de chasse et de faune sauvage RCFS de Corse 11 r serves de chasse et de faune sauvage 8 r serves natu relles nationales RNN et 1 site prot g par arr t pr fectoral de biotope APB l exception de la RCFS du Sud de Saint Pierre les 29 autres territoires taient dot s d un plan de gestion valid la fin 2012 D autre part l valuation et le renouvellement des plans de gestion de six territoires ont t r alis s en 2012 Pour les RNCFS des Bauges et du Caroux Espinouse cette ann e a t marqu e par le lancement de la conception et de la r daction d un premier plan de gestion int gr Il regroupe les probl matiques de gestion li es aux milieux forestiers couverts par les am nagements de Carte des espaces prot g s g r s ou cog r s par Ll ONCFS en 2012 ua LE Q Z O w E o tendues d eau roseli res et prairies humides accueillent une avifaune particuli rement riche dans la r serve du Massereau 44 Grande Faune des milieux forestiers S W Avifoune
125. s les d partements niveau de risque 2 ou 3 Des recherches sur des pathologies majeures ou mergentes Par ailleurs l ONCEFS poursuit sur plusieurs ann es les tudes relatives au r le de la faune sauvage dans l pid miologie des maladies des animaux domestiques en particulier d levage et ou de l homme en lien avec les enjeux identifi s par le minist re de l Agriculture Des tudes relatives aux risques chimiques sur la faune sauvage en particulier ceux li s aux produits phytosani taires sont engag es Diff rents programmes de recherche active ont t pour suivis ou initi s en 2012 sur des pathologies majeures ou mer gentes de la faune sauvage tuberculose bovine poursuite du programme de surveil lance de la tuberculose en for t de Brotonne en Seine Maritime et r alisation d un programme de recherche en C te d Or dans le cadre d une th se universitaire Ce travail vise d terminer les conditions d mergence de la tuberculose dans la faune sauvage blaireau cerf et sanglier et de transmission aux bovins protostrongylose du li vre maladie parasitaire Les recherches sont men es dans le cadre d une autre th se univer sitaire pour identifier les mollusques h tes interm diaires valuer l amplitude et l impact de la maladie dans les populations de li vres et identifier les facteurs de risque m thode d valuation de la mortalit aigu due aux A La protostrongylose est
126. s missions scientifiques internationales pour la pr servation de la biodiversit 36 L ONCFS membre actif du groupe de travail international sur le hamster d Europe 37 Direction des actions territoriales APPORTER UNE EXPERTISE TECHNIQUE L AM NAGEMENT ET LA PR SERVATION DESTERRITOIRES 38 Le permis de chasser et la s curit la chasse 40 L agriculture et la faune sauvage 42 Le r seau des Espaces prot g s 44 La for t et la faune sauvage 46 Outre mer PR SERVER UN CAPITAL EMBL MATIQUE DE LA BIODIVERSIT 47 Les esp ces embl matiques menac es 48 Les esp ces forte probl matique de gestion 48 Les esp ces prioritaires les tortues marines 49 Direction des ressources humaines POURSUIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE 50 Donn es chiffr es 32 Adapter l organisation des services 53 Faire voluer les m tiers et les parcours professionnels pour mieux r pondre aux enjeux 54 Direction financi re ANALYSER LA PERFORMANCE 57 Les comptes 2012 les chiffres cl s 58 Direction des syst mes d information AM LIORER LE PILOTAGE DES ACTIVIT S OP RATIONNELLES ET FONCTIONNELLES 63 Int gration des postes de travail infrastructures applicatifs 64 ONCFS me RAPPORT D ACTIVIT 2012 INTRODUCTION Un tablissement public au service de la biodiversit En application des lois chasse de juillet 2000 et 2003 et de la loi d veloppement des territoires ruraux DTR de f vrier 2005
127. s trois esp ces en plus des appuis techniques aupr s des administrations locales de la r alisation de constats de dommages et des actions de police L quipe du CNERA Pr dateurs animaux d pr dateurs travail lant sur le loup a t sollicit e pour expertiser les r sultats du plan loup 2008 2012 qui s ach ve et pour aider la d finition du futur plan cet gard une expertise internationale r alis e en 2012 la demande du minist re charg de l cologie a d bouch sur des conclusions extr mement logieuses du travail de suivi r alis en France et de la qualit des protocoles mis en place Cette expertise a aussi point quelques am liorations n ces saires pour optimiser le travail et les perspectives de gestion des populations fran aises En ce qui concerne l ours de nouvelles modalit s de suivi de la population ont t mises en place et finalis es par un red ploiement des m thodes sur l ensemble des Pyr n es fran aises et espagnoles Une forte implication et une grande r activit ont abouti r pondre aux nombreuses sollicitations techniques des administrations r gionales et d partementales La D l gation interr gionale Nord Est a poursuivi en 2012 l exp rimentation initi e en 2011 visant am liorer l efficacit des mesures de renforcement de populations de hamster Ainsi le protocole mis en place garantit l installation d une population sauvage sur les parcelles d accueil l ann e du
128. sion des acquis du programme s intensifie une centaine de journ es techniques et de visites ont notam ment t organis es sur tout le territoire l attention des agri culteurs des tudiants et des professionnels du monde agricole dans les plates formes et exp rimentations initi es par Agrifaune Le secr tariat de la Commission nationale d indemnisation CNI des d g ts de gibier Apr s avoir assum la charge administrative et financi re de l indemnisation amiable des d g ts de gibier pour les agricul teurs de 1970 2001 l ONCFS assure depuis le 1 juillet 2001 le secr tariat de la CNI La Commission a notamment la mission de fixer chaque ann e les valeurs de r f rence des denr es agri coles bl ma s foin l gumes etc qui serviront au niveau d par temental d terminer les bar mes sur lesquels sont calcul s les indemnit s propos es aux agriculteurs La CNI doit galement examiner les recours d pos s par les agriculteurs contre les d ci sions prises au niveau d partemental pour l indemnisation de leurs d g ts En 2012 la charge du secr tariat de la Commission s est traduite par l organisation de quatre r unions de la Commission pour lesquelles 68 dossiers ont t instruits et pr sent s en s ance Pour m moire pr s de 50 000 agriculteurs sont indemnis s chaque ann e ce qui repr sente un co t total de pr s de 50 millions d euros frais d expertise et de pr vention compris Enviro
129. ssi les frais de ces sorties nocturnes Dans la Somme les agents ont interpell en flagrant d lit un couple en voiture dont le mari abattait les lapins de garenne proximit du v hicule videmment certaines quipes s attaquent sans distinction au petit et au grand gibier Les agents du Service d partemental de l Eure paul s par la brigade mobile d intervention du Nord Ouest ont arr t une nuit de juin quatre braconniers Le coffre de leur voiture contenait une biche un sanglier et un lapin fra chement abattus Ce butin et les deux carabines 22 long rifle ont t saisis ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 SD 83 0NCFS 20 CONTRIBUER LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSIT 21 ONCFS Les partenariats et les conventions l appauvrissement des cosyst mes car une partie significa tive des viandes saisies est issue d esp ces prot g es par la Convention de Washington Une vingtaine d infractions cette convention a t constat e en plus des 345 infractions sanitaires V Saisies r alis es dans le cadre de l op ration HOPE En 2012 l ONCFS a continu faire vivre les conventions de partenariat conclues avec la Gendarmerie nationale et la Douane deux acteurs majeurs en termes de coop ration poli ci re pour la protection de la nature Les gendarmes sont les interlocuteurs quotidiens des agents de l ONCES dont ils viennent r guli rement renforcer les effectifs lors d op ra
130. ssienne travers es en raquettes etc ou sur des travaux forestiers pouvant impacter les populations de t traonid s U expertise de l Office intervient aussi souvent pour la cr ation de certaines r serves la conduite d tudes d incidence des travaux dans les sites Natura 2000 et dans la participation ou la relecture de Documents d objectifs DOCOB ainsi que sur l tat des populations les propositions de pr l vements ou des projets de r introduction Sur ce dernier sujet notamment l ONCFS a d une part tabli la demande du Parc national des C vennes sur appel projets un rapport sur l tat de la population de grands t tras r introduits et d autre part a r alis pour la Direction de l eau et de la biodiversit un bilan de la r introduction de la g linotte dans le Val d Aran en Espagne Des rapports d experts sur les migrateurs pour aider la gestion cyn g tique de ces esp ces Les quipes du CNERA Avifaune migratrice ont t particu li rement mobilis es en 2012 par la r daction en concertation avec le groupe de travail r unissant les parties prenantes des plans de gestion pour le courlis cendr et deux anatid s le fuli gule milouinan et la nette rousse Une expertise concernant les esp ces soumises moratoire barge queue noire courlis cendr et eider duvet ou subissant un retard d ouverture vanneau hupp a donn lieu la r daction de synth ses transmises la Direction de l ea
131. sur l ensemble de la m tropole Le Conseil scien tifique a soulign l abondance et la qualit des donn es collec t es selon des protocoles test s Il a encourag la poursuite de la valorisation scientifique des travaux r alis s depuis plusieurs dizaines d ann es et la mise en place d une saisie d centralis e des donn es par Extranet Protocole d estimation de l abondance du grand t tras dans les Pyr n es mis en place par l Observatoire des galliformes de montagne Il s agissait d avoir l avis du Conseil scientifique suite l op timisation du protocole de suivi qui consistait mettre en place une strat gie d chantillonnage des places de chant bas e sur le d coupage de la cha ne pyr n enne en compartiments biog o graphiques r gions naturelles et unit s naturelles Tenant compte du fait qu il y a trois types de places de chant celles qui sont connues et actives celles qui ont t cartographi es mais dont on ne sait plus aujourd hui si elles fonctionnent et enfin celles qui existent mais que l on ne conna t pas Le Conseil scientifique a valid le nouveau protocole en soulignant la pertinence des m thodes choisies et la ma trise des mod les par les quipes biologistes et biom triciens de la DER G rer les espaces et les esp ces prot g s valorisation de la biodiversit ours l ONCEFS s est particuli re ment investi dans la poursuite des suivis des tudes et des exper tises sur ce
132. t au plan statutaire qu indemnitaire Dans l attente de cette modernisation du statut deux concours d adjoint administratif interne et externe ont t organis s en 2012 selon le cadre r glementaire fix mais en tenant compte des m tiers exerc s dans l organisation des preuves D Gestion pr visionnelle des ressources humaines agents promus en 2012 Contractuels permanents 15 106 Fonctionnaires de l environnement Nombre d agents promus 91 en interne Les fonctionnaires de l environnement sont promus par arr r minist riel tandis que les contractuels le sont par d cision du Directeur g n ral ONCFS ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 _ POURSUIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE 54 POURSUIVRE LA CONSTRUCTION D UN SERVICE PUBLIC MODERNE ET EFFICACE 55 el DRH ONCFS Le plan de formation est d clin selon deux orientations strat giques de formation contribuer la connaissance la gestion durable et la conservation de la biodiversit soutenir les missions transversales de l tablissement et accompagner les parcours professionnels des agents 1 624 stagiaires dont 1 596 en formation continue 5 580 journ es de formation initiale et continue dont 5 511 journ es de formation continue 3 43 jours 3 38 jours de formation continue Valorisation des comp tences L adaptation de la politique de formation toutes
133. t de simplifier les proc dures de contr le pr vues au titre du Code de l environnement S agissant de la police admi nistrative l ordonnance fixe les conditions de visite des locaux et installations Elle permet la communication et le recueil des renseignements lors des contr les Elle d termine aussi les pouvoirs de l autorit administrative pour assurer le respect du Code de l environnement en largissant les possibilit s de mise en demeure de l exploitant les mesures conservatoires comme la suspension du fonctionnement d une installation la possibi lit de consignation ou l ex cution d office des mesures prescrites S agissant de la police judiciaire l ordonnance modernise les conditions dans lesquelles les agents peuvent intervenir visite des locaux saisie des objets ayant fait l objet d une infraction recueil des d clarations communication des documents G Capron ONCFS ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 124 ee de mammif res et d oiseaux suivies 1 3 pathologies 5 DE faisant l objet d une veille active ia QE E f ET era 168 publications see 7 LA scientifiques et techniques B pa r B 0 E lt 7 06 i P i j r e e e e ESR Il est n cessaire de disposer d indicateurs de 5 d rm 5 8 i 59 i gt o e e r e i hy suivi des populations animales pour r aliser PORC des expertises apporter des appuis FES 1 y
134. te de ses acti vit s au sens du Contrat d objectifs travers la comptabilisa tion du temps pass l ensemble des d l gations interr gionales et directions op rationnelles de l tablissement d valuer p riodiquement le r alis au regard des objectifs fix s La r alisation du budget 2012 par axe strat gique en K Axe 1 Contribuer la sauvegarde de la biodiversit Axe 2 Am liorer la connaissance pour une expertise solide en mati re de faune sauvage Axe 3 Conforter la chasse comme l ment essentiel de gestion durable de la nature et des territoires Axe 4 Poursuivre la construction d un service public de l cologie et du d veloppement durable moderne et efficace Total R alisation 2012 Axe 1 Contribuer la sauvegarde de la biodiversit 40 9 Enjeu 1 Encourager une gestion concert e des esp ces menac es dans leurs milieux 2 5 Enjeu 2 D velopper la police de la protection de la faune et de ses habitats 31 7 Contribuer la ma trise des esp ces animales exotiques envahissantes 5 Enjeu 3 i 90 l 1 5 et de celles portant atteinte l quilibre des cosyst mes ou aux activit s humaines Enjeu 4 Prot ger et valoriser les espaces remarquables 25 Enjeu 5 Participer la pr servation de la biodiversit de l Outre mer 2 7 Axe 2 Am liorer la connaissance pour une expertise solide en mati re de faune sauvage 12 9 valuer l tat de conservati
135. te deux esp ces de t traonid s la g linotte des bois et le lagop de alpin Les populations de ces deux esp ces ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 34 L Barbier ONCFS 35 Le 5 man pu ACTION INTERNATIONAL y A VALORISER EE DE L ONCFS he L TRANGER ONCFS mms RAPPORT D ACTIVIT 2012 Life Savage E a E J Y Mondain Monval P Defos du Rau ONCFS EE VALORISER LE SAVOIR FAIRE DE L ONCFS L TRANGER Des missions scientifiques internationales pour la pr servation de la biodiversit Les missions scientifiques de l ONCFS l international contribuent au rayonnement de la France en mati re technique et scientifique dans un domaine strat gique pour la pr servation de la biodiversit Elles participent la reconnaissance de l importance de la conservation d quilibres durables entre les activit s humaines dont la chasse et la protection de la nature Les programmes d tudes et de recherche de l ONCEFS valo leurs m thodes de suivi ainsi qu aux diff rents r seaux de risent l expertise fran aise sur un vaste territoire qui s tend de connaissance et de surveillance des pizooties Dans le cadre de l Arctique l Afrique subsaharienne en passant par l espace m di la convention avec la Catalogne Espagne l ONCFS a poursuivi terran en En mati re d avifaune migratrice l ann e 2012 a sa coop ration e
136. tiers par la production de r f rences techniques favorables la faune et la promotion de d marches exemplaires contribuant l quilibre for t gibier mieux valoris es et diffus es la consolidation des missions de police de la nature priorit de la circulaire de novembre 2010 et l affirmation que la chasse constitue une activit participant pleinement la conservation de la biodiversit notamment celle qu il est convenu d appeler ordinaire et la gestion durable des esp ces de faune sauvage dans leurs milieux Dans l esprit du Grenelle de l environnement et de la r cente Conf rence environnementale septembre 2012 qui ont instaur de nouveaux processus de d cision l ONCEFS constitue un tablis sement privil gi de dialogue de conciliation et de collaboration entre chasseurs d fenseurs de la nature agriculteurs et forestiers Le Contrat d objectifs s inscrit pleinement dans une politique d ouverture qui a d j amen l ONCES tablir et renouveler de nombreux engagements avec ses partenaires naturels du secteur public et associatif ou encore des collecti vit s territoriales travers ce nouveau contrat et fort de ses comp tences tr s compl mentaires en mati re de police de recherche de conseil et de d veloppement l ONCEFS a l ambition d tre gr ce une organisation territoriale lui permettant d intervenir au plus pr s des enjeux de terrain l un des tablissements publics de r
137. tions d enver gure Les agents ont aussi besoin de l appui des OP de la Gendarmerie dans le cadre des perquisitions et des enqu tes L ONCFS peut en retour leur apporter son expertise lors d en qu tes reconnaissance des esp ces soumises la Convention de Washington accidents de chasse Un agent de l ONCFS est affect l Office central de lutte contre les atteintes l en vironnement et la sant publique OCLAESP o officient de nombreux gendarmes Cette synergie d bouche r guli rement sur des affaires relatives la CITES L ONCES travaille galement avec la Douane L encore le commerce international des esp ces sauvages est au c ur des pr occupations L op ration HOPE organis e en octobre 2012 est un exemple original de coop ration entre l ONCFS et la Douane R alis e dans une quarantaine de pays elle visait contr ler l importation notamment par des particuliers d es p ces sauvages animales et v g tales Le contr le Roissy des passagers a permis de saisir 813 kg de viande d origines diverses dont 318 kg provenant de singe pangolin porc pic crocodile serpent l phant En d pit de la r glementation qui l interdit certains passagers rapportent ces denr es pour leur consomma tion personnelle ou pour en faire commerce Cette pratique pr sente un risque sanitaire important et contribue galement Les inspecteurs de l environnement pr l vement d chantillons v rification d ident
138. tions suivantes la connaissance des continuit s cologiques peut elle tre enrichie des connaissances d tenues par les quipages de grande v nerie sur les parcours de chasse et acquises lors des chasses courre du cerf ces informations pr alablement analys es et synth tis es pr sentent elles un int r t pour les acteurs et d cideurs locaux notamment dans le cadre des d marches engag es pour la d fi nition de la Trame verte et bleue TVB ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 Y Cambon ONCFS 46 5 d partements et 1 collectivit 5 plans nationaux d actions 5 services mixtes de police La richesse de la biodiversit ultramarine est unanimement reconnue Cependant le niveau de connaissance de la faune sauvage reste globalement faible Des tudes sont r guli rement men es afin de mieux conna tre la biologie des esp ces et de proposer aux services de l tat des mesures de gestion adapt es L action de la D l gation interr gionale Outre mer DIR OM s est port e avec la DER sur les esp ces embl matiques menac es et sur les esp ces fort enjeu de gestion 9 DE LA BIODIVERSIT a AE a TF a 5 C Legouez ONCFS ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 47 LL U A O n 1 T aa Les esp ces embl matiques menac es L Outre mer repr sente une part tr s importante de la biodiversit nationale Av
139. tres d information ou des bilans annuels et ont fait l objet de publications dans la revue de l ONCFS Faune sauvage En 2012 plusieurs synth ses ont t ainsi publi es tel le bilan de l en qu te sur le statut du petit gibier l chelle communale r alis par les quipes du CNERA Petite faune s dentaire de plaine Cette enqu te lanc e en 2008 a n cessit un norme investissement signaler galement deux autres synth ses publi es dans Faune sauvage L une dans le num ro 294 sur La progression r cente des grands ongul s sauvages en France partir des enqu tes r alis es par le r seau Ongul s sauvages ONCFS FNC FDC Et l autre dans le num ro 296 sur la pr sence de l ouette d gypte en France avec une enqu te men e sur cette esp ce par Le r seau Oiseaux d eau zones humides z F aune Faune wage Sauvage A Plusieurs synth ses des travaux r alis s par les CNERA et les r seaux ont t publi es dans Faune sauvage Un tat des lieux national sur les espaces clos d tenant des ongul s sauvages L enqu te conduite de 2009 2011 par le r seau Ongul s sauvages sur les espaces clos en relation avec la Direction de la police de l ONCFS a t publi e dans le num ro 297 de Faune sauvage Cette tude a permis de recenser 3 372 structures closes d tenant 90 000 ongul s Pond r par le taux de non retour ce serait plus de 4 100 structures et 120 000 ongul s qui seraient
140. truction des nuisibles 17 Divers 8 71 14 L intervention des agents en flagrant d lit n est pas une absolue n cessit pour confondre les auteurs d infractions Dans les Alpes Maritimes les agents ont pu clore l affaire alors qu ils n avaient pas eux m mes constat les faits Mais le recueil de plusieurs t moignages concordants leur a permis d avoir assez d l ments pour op rer une perquisition au domicile du suspect Celle ci a permis de retrouver le cerf victime du d lit ainsi que l arme utilis e Le Code de l environnement pr voit des peines allant jusqu quatre ans d emprisonnement et 60 000 euros d amende pour des faits de grand braconnage entendu comme tant commis en groupe par des individus utilisant armes et v hicules en temps prohib c est dire de nuit ou hors p riode de chasse La justice ne se d sint resse pas du sujet comme le montrent ces condamnations prononc es en 2012 suite des proc dures dress es par l ONCES le tribunal de B ziers a condamn un an d emprisonne ment avec sursis et 850 euros d amende trois pr venus op rant de nuit sur des li vres Le juge a galement prononc la confis cation des armes l encontre d une quipe de braconniers r cidivistes pour certains le tribunal d Angers a prononc neuf mois de prison ferme pour l un neuf mois d emprisonnement avec sursis pour l autre et 1 500 euros d amende pour le dernier Toutes les armes ont
141. u et de la biodiversit du minist re charg de l cologie Deux rapports ont t r alis s sur la quantification de la migration pr et post nuptiale en 2012 du pigeon ramier Columba palumbus sur les cols ard chois Le sanglier objet de plusieurs expertises internationales Trois expertises internationales ont t apport es par CNERA Cervid s sanglier en 2012 La Cour constitutionnelle f d rale allemande de Bavi re a sollicit des sp cialistes du CNERA pour avoir un clairage sur l influence de la chasse et son r le dans les processus d mogra phiques agissant sur les populations de sangliers En s appuyant sur les publications scientifiques r centes une r ponse a t apport e en distinguant deux questions A U Z O 5 O S Oh A Le sanglier s est tr s fortement d velopp au cours des derni res d cennies et sa gestion reste une pr occupation majeure dans de nombreuses r gions en particulier sur les points noirs ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 28 29 Les suivis des populations En 2012 les CNERA ont poursuivi l animation des r seaux de suivi des populations des esp ces chassables ou prot g es et de leurs habitats Ces r seaux sont constitu s d agents des services d partementaux de l ONCFS de techniciens cyn g tiques des f d rations d partementales des chasseurs d agents de Parcs nationaux ou de l Office national des for ts ONF et de
142. ui vante analyse des donn es existantes comptages r alis s depuis 2005 informations biom triques donn es circuits analyse cartographique sous SIG pr sentation de propositions portant sur une liste de circuits conserver et la r daction d un protocole pour r colter les donn es permettant d avoir des informations rigoureuses et exploitables L analyse r alis e a conduit ne retenir que neuf circuits Ces derniers traversent de fa on homog ne l ensemble des milieux naturels rencontr s et fournissent une image repr sentative de l volution temporelle de la population de cerfs D g Z T ai S Z Au d part 20 circuits ri LE rt 15 rer ll res F 9 un ss LE Z teeri p O w OU 5 EE A l arriv e 9 circuits A Teyssedre FDC Le partage des connaissances focus sur les colloques En 2072 168 publications scientifiques et techniques ont t r alis es Les r sultats des tudes et des recherches appliqu es ont aussi t pr sent s dans des colloques scientifiques constituent au Japon des isolats anciens dot s d une originalit g n tique extr me Ces particularit s ne sont pas sans rappeler celles des populations pyr n ennes de lagop des alpins La popu lation de lagop des alpins est estim e moins de 2 000 indi vidus au Japon contre 3 000 en 1985 Elle est tr s
143. ux preuves 28 024 ET E 30 000 pratiques 29 435 EP 239P Nombre dautorisations de chasser accompagn d livr es 3 738 3 000 29E D lai entre l inscription au permis de chasser et l obtention du permis 2 mois lt 2 mois Activit 4 Conseil et d veloppement N Fiche Indicateurs R alis 2012 Cible 2012 Objectif 13 G rer valoriser et mettre en r seau des espaces sous statuts de protection 4 4 A Nombre de plans de gestion r alis s 97 100 Objectif 16 Participer la gestion et sensibiliser la pr servation de la richesse biologique de l Outre mer 4 5 A Nombre de publications scientifiques techniques et de vulgarisation r alis es 37 20 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 61 EE ANALYSER LA PERFORMANCE Activit 4 Conseil et d veloppement suite N Fiche Indicateurs R alis 2012 Cible 2012 Objectif 31 D velopper des plateformes d expertise et des territoires exemplaires en mati re d am nagement et de gestion des habitats favorables la faune 4 10 A Nombre de territoires exemplaires labellis s 4 10 Objectif 32 D velopper le r seau Agrifaune en milieu agricole et promouvoir des r f rences de bonne gestion de la nature ordinaire 4 10 B Nombre de d partements engag s dans une d marche Agrifaune 68 70 4 10 C Nombre d agriculteurs t moins Agrifaune 95 25 4 10 D Nombre d actions de valorisation et de vulgarisation des r f rences Agrifaune 90 20 Activit 5 Soutien et
144. ux d eau migrateurs d Afrique Eurasie AEWA s est tenue La Rochelle du 14 au 18 mai 2072 Cet accord constitue la seule convention des Nations unies pour les oiseaux migrateurs du flyway Eurasie Afrique au sein de la Convention sur les esp ces migratrices CMS Avec la Directive oiseaux restreinte l Union europ enne l AEWA est donc la convention qui pr vaut pour la gestion internationale des gibiers migrateurs L ONCFS a par ticip activement l ensemble des manifestations y compris la pr paration d une brochure LPO ONCFS sur les limicoles et anatid s nicheurs r alis e cette occasion Sur proposition de la France et au nom des pays de l Union euro F tienne Relev s en milieu forestier en Russie centrale par un membre 0 Nos i du r seau B casse ONCFS FNC FDC avec un chien d arr t utilis p enne les parties ontent rin la cr ation d une unit de support pour la recherche des nich es de b casses technique cette initiative africaine L unit sera tablie au sein de l ONCFS et localis e la Tour du Valat 36 ONCFS RAPPORT D ACTIVIT 2012 VALORISER LE SAVOIR FAIRE DE L ONCFS L TRANGER un 37 ONCFS LUNCF gt membre actif du groupe de travail international sur le hamster en Europe Partenaire du plan national d actions Hamster en charge des volets levage renforcement suivi des populations et r flexions agro environnementales la mission Hamster de l ONCFS
145. ux serveurs 1 journ e pour un serveur physique 1 heure pour un serveur virtuel avec un processus fiabilis les d lais de plan de reprise d activit le co t de possession des serveurs les co ts d h bergement Elle augmente le taux de disponibilit des applications Au second semestre 2012 en collaboration avec les corres pondants informatique douze serveurs ont t d ploy s au sein des d l gations interr gionales de l tablissement les dotant ainsi de configurations standards dot es de sauvegardes locales Parall lement de nouveaux quipements r seaux ont t d ploy s afin d accro tre le niveau de s curit et d augmenter la perfor mance du r seau L application GEACO est un outil de suivi du Contrat d objectifs ONCFS mm RAPPORT D ACTIVIT 2012 64 CONTACTS L ONCFS CNERA Pr dateurs animaux d pr dateurs 5 all e de Bethl em ZI Mayencin 38610 Gi res T l 04 76 59 13 29 Fax 04 76 89 33 74 cnerapad oncfs gouv fr CNERA Petite faune s dentaire de plaine BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 0 Fax 01 30 46 60 99 cnerapfsp oncfs gouv fr Unit sanitaire de la faune BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 0 Fax 01 30 46 60 99 usf oncfs gouv fr Centre de documentation BP 20 78612 Le Perray en Yvelines Cedex T l 01 30 46 60 00 Fax 01 30 46 60 67 doc oncfs gouv fr E Pour toujours plus d

Rapport d`activité ONCFS 2012

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