Rapport d`activité 2013 - Ministère de la Culture et de la
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1. Ainsi dans le domaine du livre et de la lecture la DRAC accompagne t elle les associations qui travaillent a r sorber les fractures diverses par exemple Livre Passerelle Tours petite enfance illettrisme prison formation de travailleurs sociaux la Caravane des po tes actions en direction des enfants des communes rurales de la r gion les Mille Univers Bourges ateliers de cr ation de textes et de mise en typographie de ceux ci avec des enfants des retrait s des d tenus De la m me fa on les cin mas associatifs de la r gion Centre pour la plupart class s Art et Essai et f d r s au sein de l association r gionale des cin mas du Centre ACC participent par leurs nombreuses activit s d animation de ce mouvement de coh sion sociale en lien avec de nombreuses associations CICLIC en tant que coordinateur r gional du dispositif national Passeurs d Images s inscrit galement pleinement dans cette dynamique avec certains ateliers de r alisation ou de programmation en milieu p nitentiaire Dans le cadre du protocole interminist riel Culture Sant la DRAC Centre en partenariat avec VARS Centre a soutenu le Centre hospitalier Georges Daumezon 2013 ann e de son centenaire a permis au CHD Daumezon de mettre en exergue le travail accompli depuis de nombreuses ann es en faveur de la Culture dans et hors ses murs Axe prioritaire de la politique du minist re de la culture l ducation a2. Libert gadig Prarain R FUBLIGUE FRAN AISE Culture ommunication Direction rponal des affaires Quiturelk s Centre Rapport d activit 2013 de la Direction r gionale des affaires culturelles Am nagement et l attractivit du territoire Enseignement sup rieur recherche Usages et pratiques num riques Transition cologique et d veloppement durable Economie et emploi Coh sion sociale Simplification et service rendu aux citoyens N SN oO D DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 1 9 1 Am nagement et l attractivit du territoire H tel Dupanloup Inauguration CI DRAC janvier 2014 Un des objectifs de la DRAC est de valoriser les ressources de la r gion pour renforcer son attractivit en se fondant notamment sur la cr ation et l innovation pr sentes tant dans le champ du patrimoine que dans celui de l art contemporain ou du spectacle vivant La r gion Centre est riche d un patrimoine b ti 2754 immeubles prot g s au titre des monuments historiques repr sentant 6 38 du nombre national et paysager sans oublier le patrimoine rural et vernaculaire li aux activit s agricoles artisanales commerciales et industrielles d une grande diversit En 2013 16 difices ont t prot g s inscrits par arr t pr fectoral en qualit de monuments historiques et 3 ont t class s en Eure et Loir par arr t minist riel B rou la Muloti re glise Saint Sulpic
3. Argentomagus Saint Marcel Indre DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 3 9 3 Usages et pratiques num riques Transmettre restituer et faire savoir sont des actions que la DRAC s attache d velopper qu il s agisse rendre plus lisibles ses propres activit s ou celles de partenaires ou op rateurs culturels Les outils num riques permettent de faciliter l appropriation des contenus artistiques et culturels cet gard la mise en place de plate formes retraitant le contenu artistique brut pour le proposer au grand public sous une forme ditorialis e didactique et r cr ative constitue une priorit que ce soit dans les domaines de l arch ologie et du patrimoine ou dans ceux de la cr ation artistique et des mus es FRAC Centre Petting Zoo installation interactive CI DRAC 2013 C est ainsi que dans le domaine du spectacle vivant la DRAC Centre soutient des projets mergents ou structurants en lien avec les usages et pratiques num riques au sein de ces territoires projet d abbaye du son Noirlac la fois centre de ressources et de diffusion pour les applications du num rique aux hauts lieux d architecture vocation musicale mise en r seau des initiatives de d veloppement de la musique contemporaine avec comme t tes de pont Noirlac et l cole d art de Bourges en cours sous le nom de Jubiluz Par ailleurs la poursuite des actions de num risation soutenues par le minis
4. activit synth tique 2013 6 9 Richelieu Inauguration des halles CI DRAC 2013 Dans le cadre de la convention de d veloppement culturel l tat et la ville de Richelieu se sont entendus pour poursuivre conjointement des objectifs qui au sein d une politique culturelle ont t identifi s comme facteur de d veloppement culturel conomique et touristique Ainsi ont t men es des actions cibl es portant notamment sur la r habilitation de son patrimoine le d veloppement et la promotion d quipements culturels de la ville Enfin les Halles inaugur es en mai 2013 sont devenues un espace d di notamment la culture et au commerce 6 Coh sion sociale Consciente que la culture en d veloppant le savoir et le vouloir vivre ensemble constitue un facteur important de coh sion sociale la DRAC apporte son soutien aux actions favorisant l acc s du plus grand nombre la culture Les territoires ruraux et les quartiers dit sensibles souvent confront s des difficult s similaires loignement g ographique et ou sociologique de l offre culturelle b n ficient d un accompagnement particuli rement attentif de m me que les publics dits sp cifiques notamment le jeune public au travers de l ducation artistique et culturelle La DRAC soutient donc de nombreuses associations qui m nent sur l ensemble du territoire et en direction de publics souvent loign s de la culture des actions de qualit
5. loign es de grands p les de diffusion en milieu rural comme Saint Agil ou p ri urbain comme L ves Une attention particuli re est port e aux projets comprenant des actions envers les publics De la m me fa on la politique men e en faveur de la lecture publique constitue un autre axe fort de la politique d am nagement du territoire La biblioth que demeurera quelle que soit sa forme de l avenir un lieu culturel entendu au sens le plus large dans les collectivit s ou elles sont implant es c est aussi un lieu interg n rationnel Elle constitue donc la fois le point d acc s une pratique culturelle et le point d ancrage d actions publiques de sensibilisation de transmission aux confins de l ducation et du loisir qui peut aussi int grer un cercle plus large comme celui des mus es locaux En 2013 le concours particulier des biblioth ques a permis de soutenir 17 projets de construction la fois dans de grandes agglom rations Inauguration de la biblioth que de Tours et dans les territoires ruraux Pigny dans le Cher Saint Valentin et Chaillac dans l Indre Avec constance la DRAC s efforce de renforcer la lisibilit de son action pour rendre plus explicites les politiques publiques qu elle met en uvre Elle met progressivement en place une forme d conomie de la connaissance pour clairer des choix de d veloppement touristique ou d am nagement du territoire Il s agit de promouvoir une pens e
6. antiers importants En 2013 des chantiers engag s sur les cath drales se sont achev s C est le cas des chantiers de valorisation int rieure du choeur de la cath drale de Chartres des fa ades nord et sud du transept de la cath drale d Orl ans et du transept nord de la cath drale de Tours op ration qui aura co t 5 53 ME dont 1 ME pour la cr ation de vitraux pour 4 grandes fen tres La poursuite de ces op rations est pr vue en 2014 avec la restauration de la nef Des engagements nouveaux ont permis de poursuivre la restauration de la toiture de la cath drale de Bourges 1 36 ME pour la derni re tranche d une op ration qui aura co t 4 14 ME et d engager la restauration de la toiture du man ge Rochambeau Vend me futur lieu d exposition d art contemporain Pour les immeubles prot g s n appartenant pas l Etat 113 subventions ont t accord es pour un montant total de 7 ME qui ont g n r 23 M de travaux soit un effet de levier conomique significatif de 3 pour l Des cr dits importants ont t encore engag s en 2013 pour l am nagement de sites majeurs de niveau international le domaine de Chaumont sur Loire 1 17 M et l abbaye de Noirlac 0 77 ME grands projets culturels inscrits au CPER 2007 2013 pour un montant global de part Etat de 4 89 ME Les interventions de l Etat concernent galement les objets mobiliers dont la restauration est ex cut e sous la ma trise d oeuvre des conservate
7. de la culture qui d passe l application des prescriptions 2 La recherche Colloque de Tours 18 octobre 2013 CI DRAC Centre 2013 Comme dans de nombreuses r gions l acquisition primaire des connaissances arch ologie restauration MH r colement des mus es la source de laquelle on trouve les projets d am nagement et la pression fon ci re induite par l talement urbain a quelque peu estomp l urgence du travail de restitution des acquis de la recherche aupr s de la communaut scientifique et surtout du grand public Sans un travail de restitution les d cideurs et am nageurs ne peuvent acc der une logique coh rente de protection et diffusion du patri moine dans laguelle ils pourraient tre mieux impliqu s La r gion Centre poss de de grandes richesses arch ologiques que le service r gional de l arch ologie prospecte tudie porte connaissance et valorise aux travers notamment de la recherche programm e prospection th matique fouille et projets collectifs de recherche Parmi ces recherches il faut en particulier signaler en 2013 celles qui concernent les grands sites arch ologiques inscrits au Contrat de projet tat R gion pour le N olithique les ateliers de taille du silex du Grand Pressigny Indre et Loire pour la Protohistoire le site de l oppidum des Ch teliers Amboise Indre et Loire et pour l Antiquit les agglom rations secondaires et les sites du th tre de Drevant Cher et d
8. e Maillebois Bl vy Maison pans de bois 7 rue du Cheval Blanc M zi res en Drouais Eglise Saint Martin Cette richesse et cette diversit font de la r gion un territoire privil gi de d veloppement touristique qui s articule notamment autour de l axe lig rien inscrit au patrimoine mondial de l UNESCO L enjeu majeur est celui de la mise en uvre du plan de gestion pour le Val de Loire UNESCO approuv par les collectivit s territoriales actrices principales de l am nagement et de la gestion du site sous la forme d actions op rationnelles Au del du p rim tre UNESCO pour le Val de Loire il est essentiel de pr server et de mettre en valeur le patrimoine monumental propri t de l tat certes mais aussi symbole d une histoire locale telles les cinq cath drales dont Bourges et Chartres ainsi que les l ments patrimoniaux porteurs d une identit diff rente tel le patrimoine XX me ou industriel Dans le champ de l art contemporain apr s les engagements forts pris dans le cadre du CPER qui s ach ve 2013 et 2014 sont des ann es de transition qui pr parent l mergence d un nouveau paysage r gional des arts plastiques en 2015 gr ce la construction la r habilitation et la mont e en puissance de cinq nouvelles structures majeures pour le rayonnement de la cr ation contemporaine en r gion Centre ouverture du FRAC Centre dans ses nouveaux locaux en septembre 2013 r habilitation du Cen
9. i DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 9 9
10. i res de formation sur le territoire Sur le terrain le travail men par les STAP en troite collaboration avec les entreprises du B timent et des Travaux Publics contribue cette d fense de l emploi et des savoir faire Ainsi dans le d partement de l Indre le STAP et la F d ration Fran aise du B timent et des Travaux Publics de l Indre travaillent ils la constitution d un r pertoire d entreprises locales poss dant des savoir faire traditionnels et patrimoniaux en vue de promouvoir ce tissu conomique de PME PMI de qualit La Conservation r gionale des monuments historiques par la ma trise d ouvrage exerc e sur les monu ments appartenant l Etat par la maitrise d oeuvre pour la restauration des objets mobiliers par les sub ventions accord es pour la conservation restauration des immeubles prot g s n appartenant pas l Etat joue un r le de levier conomique de premier plan En examinant au plus pr s l conomie des projets les moyens des propri taires les possibilit s de d fiscalisation les partenaires sollicit s la DRAC Centre choi sit de rechercher le seuil d terminant de son taux d intervention pour susciter le plus grand nombre de chan tiers possible et tablir une solidarit entre projets faiblement financ s mais ou le soutien financier rend pos sible le projet et taux d intervention plus forts l o cela est n cessaire DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 5 9 Quelques ch
11. itement des dossiers Ce projet s inscrit dans le cadre du plan national des 50 actions d am lioration ATEP engag par le minist re de la culture et de la communication en ao t 2013 Dans un autre domaine d activit le bureau des licences d entrepreneurs de spectacle qui traite environ 1 200 dossiers actifs l ann e a b n fici d un renfort en personnel d un agent Cela a permis d une part de mieux qualifier et de simplifier le traitement des demandes pour un meilleur service rendu aux usagers et d am liorer le suivi d activit s d entrepreneurs ne respectant pas leurs obligations r glementaires d autre part titre d exemple ce travail a notamment permis aux organismes sociaux et professionnels un recouvrement de dettes d environ 95 000 entre juin et d cembre 2013 et a favoris la r gularisation des structures concern es DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 8 9 Enfin pour anticiper au mieux sur les proc dures administratives relatives l arch ologie un investissement particulier a t consenti pour expliquer le fonctionnement de l arch ologie pr ventive et viter les conflits de d lais lors de la mise en uvre des travaux cet effet de nombreuses r unions ont t organis es avec les maires et leurs services ceux des conseils g n raux les am nageurs et les entreprises Dans ce cadre le service a poursuivi la diffusion de la plaquette Arch ologie pr ventive mode d emplo
12. labellis es ou non constitue un volet important de la politique men e par la DRAC Centre en faveur de l ducation artistique et culturelle Dans la poursuite de leurs missions de cr ation et de diffusion ces structures sont fortement impliqu es dans la mise en uvre de projets destination de tous les publics dans leurs murs et Sur des territoires d pourvus d offres culturelles Ils peuvent constituer des ressources pour la construction d actions d ducation artistique et culturelle EAC en temps et hors temps scolaire ou de projets de sensibilisation d accompagnement des pratiques 7 Simplification et service rendu aux citoyens Trois exemples d actions d am lioration En 2013 la DRAC Centre a mis en uvre le projet d am lioration du processus d Autorisation de Travaux en Espaces Prot g s ATEP destin assurer une meilleure information de l usager adapter les interventions des STAP en fonction des projets et des territoires pr ciser les responsabilit s des diff rents acteurs du processus d autorisations de travaux et raccourcir les d lais de traitement des dossiers Ce projet a permis de mettre en place 10 actions prioritaires destin es assurer une meilleure information de l usager adapter les interventions des STAP en fonction des projets et des territoires pr ciser les responsabilit s des diff rents acteurs du processus d autorisations de travaux et raccourcir les d lais de tra
13. rtistique et culturelle en et hors temps scolaire est d sormais inscrite dans l ensemble des protocoles interminist riels et des conventions partenariales DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 7 9 La DRAC et le Rectorat ont ainsi consolid leur partenariat au travers de diff rents dispositifs notamment pour les enseignements en lyc e options facultatives ou obligatoires 100 classes et pr s de 2 000 l ves b n ficiant de cet enseignement les ateliers en coll ge et lyc es l ducation l image au travers d cole coll ge et lyc es au cin ma R alisation exemplaire les dispositifs Musique l cole et Danse l cole au coll ge et au lyc e mis en uvre par le conseil g n ral d Eure et Loir avec le soutien de la DRAC Centre dans le d partement d Eure et Loir Au titre de l ann e 2013 82 communes du d partement ont pu b n ficier d interventions musicales soit 20 3 des communes du d partement Les communes situ es en milieu rural ont t privil gi es permettant de r affirmer la volont d irrigation du territoire 4 946 l ves environ sont concern s soit pr s de 11 des enfants scolaris s dans le d partement 108 projets ont t men s avec les musiciens intervenants Danse l cole en Eure et Loir CL DRAC 2013 Depuis quelques ann es le soutien apport aux services des publics cr s au sein des structures artistiques et culturelles
14. t re de la culture et de la communication permet la conservation et la valorisation destination de tous les publics des fonds musicaux vid o photographiques de certaines institutions labellis es Petit Faucheux Centres chor graphiques nationaux de Tours et d Orl ans Jazz Tours Le projet Astroflux coproduit par la SMAC l Astrolabe et ECM Labom dia est bas sur la captation et la diffusion sur le net de concerts sur lesquels les internautes peuvent interagir en temps r el Par ailleurs la V2 de la plate forme num rique l Electrophone port e par la SMAC Le Chato do a t mise en ligne dans une version totalement remani e et plus ergonomique Autre exemple de la mission de m diation jou par l outil num rique au service de la diffusion des acc s la culture en milieu rural les projets en cours dans le cadre des contrats territoire lecture de la CC du canton de Beaugency et de la CC des collines du Perche L v nement marquant en la mati re a t le d ploiement du num rique sur tout le r seau des biblioth ques de la Ville d Orl ans Aurelia facilitant l acc s aux ressources documentaires dans les diff rents quartiers DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 4 9 4 Ecologie et d veloppement durable La Loire vue depuis les terrasses de Chaumont s Loire CI DRAC 2013 travers l expertise des services territoriaux de l architecture et du patrimoine STAP la DRAC contribue promo
15. tre d art contemporain Le Transpalette sur la friche de l Antre peaux Bourges 18 restauration du Man ge Rochambeau Vend me 41 destin abriter une triennale d art contemporain pr paration des chantiers pr vus en 2014 du futur Centre de Cr ation Contemporaine Olivier Debr Tours 37 et du Centre d art contemporain Les Tanneries Amilly 45 L H tel Dupanloup Orl ans ancienne r sidence piscopale puis biblioth que municipale a fait l objet d une op ration exemplaire conjuguant une restauration ambitieuse et une commande publique de d cors peints et mobilier design gr ce l accompagnement essentiel de la DRAC Centre N j B H tel Dupanloup Cunan Dublime CI DRAC janvier 2014 DRAC Centre Rapport d activit synth tique 2013 2 9 La coop ration territoriale et la territorialisation des actions sont au c ur des contrats sign s avec les 17 structures labellis es ou appartenant aux r seaux nationaux du spectacle vivant De la m me fa on le soutien apport en 2013 aux 52 quipes au titre de la cr ation diffusion a permis aux compagnies chor graphiques dramatiques et aux ensembles musicaux d asseoir et de d velopper leur politique de cr ation et de consolider leur diffusion sur tous les territoires Enfin la politique d aide la r sidence a t poursuivie par la DRAC en donnant la priorit aux projets dans des lieux non subventionn s par l tat et des structures
16. urs des monuments historiques Ce sont 47 op rations qui ont t r alis es en 2013 pour un montant de subvention global de 251 401 repr sentant en moyenne 38 84 de taux d intervention Pour ces op rations l implication des services et l aide financi re de l tat ont t d terminantes Ces chantiers participent de l activit conomique r gionale dans un domaine sp cifique de m tiers d arts et de savoir faire qui entretiennent l autenthicit d un patrimoine embl matique valoris et attractif a pr ERP LE re r smao aje Cath drale de Chartres peinture de la vo te C1 A Savalli 2013 L impact conomique de la culture se mesure galement dans le soutien apport par la DRAC aux industries culturelles En 2013 sept dossiers d am nagement ou d informatisation de librairies ou de maisons d dition ont contribu cet objectif L v nement marquant a t la reprise par l diteur Albin Michel de la librairie Chapitre Orl ans sans perte d emploi Par ailleurs la mission d accueil de tournages men e par l EPCC Ciclic permet d accueillir chaque ann e un certain nombre de tournages de films ou t l films sur le territoire de la r gion Centre g n rant des retomb es conomiques non n gligeables et l emploi de techniciens et com diens de la r gion Enfin les politiques territoriales apportent galement leur contribution au d veloppement conomique des territoires DRAC Centre Rapport d
17. uvoir une architecture et un urbanisme de qualit s int grant harmonieusement avec le milieu environnant Le suivi strat gique des PLU par les STAP permet ainsi de prendre en compte les besoins en d veloppement sans porter pr judice aux valeurs des territoires l objectif tant de promouvoir un urbanisme durable moins consommateur de foncier et davantage int gr au tissu urbain existant Plusieurs grands projets urbains ont n cessit une pr sence r guli re des ABF P le administratif et Ilot Courtille Chartres ZAC et d veloppement urbain des communes p riph riques Chartres centre ville de Dreux Ch teaudun tramway de Tours Les STAP en lien avec la DREAL assurent galement depuis le porter connaissance jusqu aux avis sur des permis de construire le suivi des projets oliens situ s en secteurs sensibles pour exprimer les caract ristiques paysag res et patrimoniales pr pond rantes auxquelles ils porteraient atteinte On citera les projets oliens de Prudemanche Marville Ermenonville la Grande Luplant Guilleville en Eure et Loir de la Chapelle Blanche Saint Martin et de Vou en Indre et Loire 5 Economie et emploi L action de la DRAC dans ses diff rents champs de comp tence contribue directement ou indirectement cr er et ou soutenir des emplois La restauration du patrimoine contribue en particulier faire vivre les en treprises du b timent et au maintien des savoir faire et des fil
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