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Pour l`Obtention du Doctorat d`Etat en Pharmacie

1.
2. 3a Lad agile 0 19 9 0 5 9 196 0
3. 70 69 41 83 96 63 5 59 2 96 52 3 4 We d XM 3 119 SERMENT DE GALIEN n Je jure en pr sence des maitres de cette Facult D honorer ceux qui m ont instruit dans les pr ceptes de mon art et de leur t moigner ma reconnaissance en restant fid le leur enseignement 7 D exercer ma profession avec conscience dans l int r t de la Sant Publique sans oublier ma responsabilit et mes devoirs envers le malade et sa dignit humaine D tre fid le dans l exercice de la Pharmacie la l gislation en vigueur aux r gles de l honneur d
4. Degr d urgence Normal Urgent Prioritaire Examens demand s Pr l vement effectu le acc xe eA heures par nom et qualit Nombre d chantillons transmis au laboratoire Nature sang urines autres Renseignements cliniques utiles la r alisation et l interpr tation des examens de laboratoires demand s notamment statut physiologique gravidit pathologique heure de la derni re prise de nourriture traitement m dicamenteux en cours Heure de la derni re prise de m dicament s R serv au laboratoire Heure de r ception des chantillons Eventuellement chantillons transmis le heures au laboratoire Examen s demand s Pr traitement avant transmission Remarques Lorsque l identit fait d faut est incomplete ou incertaine le prescripteur ou d faut le laboratoire doit mettre en place une proc dure d identification sp ciale concue pour viter toute erreur d attribution Certains renseignements cliniques concernant l tat pathologique ne peuvent figurer qu avec l accord expr s du patient 90 Annexe 2 Annexe 2 Fiche technique pour la r alisation des pr l vements bact riologiques 1 R gles g n rales lors de
5. 5 1 1 3 Responsabilit du personnel 6 1 2 eth ode 6 1 2 1 Am nagement et entretieN sess 6 Rubio ce FORI e dada 7 1 23 Instrumentation n Orestem Cul ue cue er nr 7 Materiels eb 16961118 usce ene Ettore voee weld saute e i UR eis exe 8 1 4 1610100210116 io cedit dier vy e M MORUMQUE d dette SSR 9 1 5 M thodologie de l limination des amp 1 10 II Les diff rentes tapes d une analyse dans un laboratoire 11 IL T La phase pr analytiqUe sess 11 I1 1 1 proc dures et modes op ratoires 11 111 2 La prescription sees 13 11 1 3 Le pr l vement des chantillons 13 11 1 4 L identification des chantillons 14 IL 1 5 Le transport des chantillons 14 IL 1 6 Gestion des non conformit s la r ception des pr l vements au 15601416011 tenete sS an exta ia he a die dd ode 17 2 La phase Anal que ennemie aient 20 11 2 1 Ex cution des Analyses ue ba SE nn aient 20 11 2 2 Validation des r sultats 20 II 2 3 Conservation des chantillons 21 II 3 La phase po
6. Le mode de pr l vement L identification du patient et de l chantillon Le transport ventuel des chantillons Le traitement pr alable de l chantillon centrifugation r partition en fractions aliquotes Les interf rences des m dicaments et ou des aliments susceptibles de modifier les r sultats de l analyse La conservation avant et apr s analyse 6 16 L appareillage utilisation entretien talonnage v rification Les conditions d utilisation des r actifs en application de la r glementation en vigueur La r alisation de l analyse avec une description de la m thode utilis e Les r gles de validation La transmission des analyses L hygi ne et la s curit du laboratoire La gestion des syst mes informatiques ventuels 6 La fiche de suivi m dical qui peut tre demand e au m decin prescripteur par le responsable du laboratoire chaque fois qu elle est utile pour 13 pr ciser la prescription ou pour la bonne ex cution des analyses ou pour l interpr tation des r sultats Annexe Toutes ces proc dures concourent l am lioration de la qualit du laboratoire 1 2 La prescription Toute analyse doit tre pr c d e d une prescription elle est le point de d part de la phase pr analytique C est de la qualit de cette prescription que va d pendre le bon d roulement des tapes ult rieures Les personnes autoris es prescr
7. Merci A notre maitre et directrice de th se Madame le m decin Colonel Sakina AMARA EL HAMZAOUI Professeur Agr g en Microbiologie Chef du service de Microbiologie de H M I M V de Rabat Je vous suis infiniment reconnaissante pour Votre investissement dans ce travail et Pour la confiance que Vous m avez t moign en me donnant ce sujet de th se Votre amabilit votre s rieux votre comp tence votre pragmatisme et surtout vos qualit s humaines m ont beaucoup marqu e Vous m avez toujours r serv un bon accueil Malgr vos obligations professionnelles Je suis tr s heureuse de pouvoir exprimer ma profonde gratitude pour tous les efforts que vous avez d ploy s et l oreille attentive que vous m avez accord s afin que ce travail puisse aboutir Pour tous ce que vous m avez enseign s avec amour patiente et passion Veuillez recevoir cher maitre l expression de ma profonde consid ration Puisse Notre Seigneur Dieu vous le rendre autant A notre Maitre et membres du jury Monsieur le M decin Commandant HICHAM AZENDOUR Professeur agr g en Anesth sie et R animation Chef du service en anesth siologie de l H M I M V de Rabat C est pour nous un honneur de vous avoir dans notre jury Merci pour la simplicit que vous avez t moign en acceptant de si ger parmi notre jury de th se Je vous suis galement infiniment reconnaissante pour Votre investissement dans ce travail Merci de nous
8. 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr ARJI Moha BENCHERIFA Fatiha BENJAAFAR Noureddine BENJELLOUN Samir BENRAIS Nozha BOUNASSE Mohammed CAOUI Malika CHRAIBI Abdelmjid EL AMRANI p AHALLAT Sabah EL AOUAD Rajae EL BARDOUNI Ahmed EL HASSANI My Rachid EL IDRISSI LAMGHARI Abdennaceur EL KIRAT Abdelmajid ERROUGANI Abdelkader ESSAKALI Malika ETTAYEBI Fouad HADRI Larbi HDA Ali HASSAM Badredine IFRINE Lahssan JELTHI Ahmed MAHFOUD Mustapha MOUDENE Ahmed MOSSEDDAQ Rachid OULBACHA Said RHRAB Brahim 148 Pr SENOUCI p BELKHADIR Karima Chimie th rapeutique Chirurgie G n rale Microbiologie Anesth sie R animation Radiologie Gastro Ent rologie Radiologie Gyn cologie Obstetrique Ophtalmologie Gyn cologie Obst trique Anesth sie R animation Neurochirurgie Cardiologie M decine Interne Anatomie Gyn cologie Obst trique Chirurgie G n rale Microbiologie Ophtalmologie Chirurgie G n rale Anesth sie R animation Ophtalmologie Radioth rapie Chirurgie G n rale Biophysique P diatrie Biophysique Endocrinologie et Maladies M tabolique Gyn cologie Obst trique Immunologie Traumato Orthop die Radiologie M decine Interne Chirurgie Cardio Vasculaire
9. La connaissance du contexte pid miologique et ou clinique est n cessaire car elle permet de mieux adapter la d marche diagnostique 16 amp Etablir des fiches de non conformit s des pr l vements Annexe 2 exiger la mention de tous les renseignements et assurer le retour de l information aupr s du clinicien amp R diger et diffuser un manuel renfermant toutes les consignes et les proc dures sur les pr l vements vis e bact riologique par exemple la fiche technique des pr l vements bact riologiques Annexe 3 amp Former le personnel sur les principes majeurs de la qualit et l assurance de qualit pr voir ex cuter et tracer 82 amp Etablir un organigramme du laboratoire amp S assurer que chaque op ration r alis e au laboratoire est confi e une personne pr sentant la qualification la formation et l exp rience appropri es Mettre la disposition du personnel un syst me d information sur les proc dures et modes op ratoires des diff rentes activit s du laboratoire et de leur s ventuelle s modification s 6 amp D signer un responsable de l assurance qualit amp Concernant les proc dures Hlaborer un descriptif de toutes les activit s effectu es au laboratoire 6 S assurer que les proc dures en vigueur crites v rifi es approuv es et dat es sont correctement formalis es Chaque personnel cens l appliquer sait o la trouver et il
10. enregistrent la tragabilit des r actifs et fongibles et rappellent bri vement les modes op ratoires Enregistrements documents Support papier ou informatique qui fournissent des preuves tangibles des activit s effectu es ou des r sultats obtenus Tous ces documents sont trait s par un syst me de gestion documentaire qui d finit pour chaque type de document en application son identification r f rences internes sa validation et approbation sa diffusion au personnel la mise jour de sa version et son archivage La fiche de non conformit fiche tablie pour tracer les erreurs des pr l vements recus au laboratoire Une copie est transmise au service suivi d un compte rendu des non conformit s cumul es adress au cadre du service concern soit pour correction soit pour refus de l analyse La qualit est la capacit d un produit d un service satisfaire en premi re intention et de fa on p renne les besoins exprim s et implicites du client La notion de qualit est donc li e celle de performance et de r gularit du service L assurance de Qualit est l ensemble des activit s pr tablies et syst matiques mises en ceuvre dans le cadre du syst me de qualit Le syst me de qualit est l ensemble de l organisation des proc dures des processus et des moyens n cessaires l obtention de la qualit Une bonne d marche qualit a besoin de bon sens de bonne foi et de bonne volon
11. MEDECINE O 6 6 MEDECINEB1 3 3 15 MEDECNEB2 4 8 4 NEHROOGE 6 7 3 5 NEUROCHIRURGIE 0 6 6 25 NEUROLOGIE 1 4 2 OPHTALMOLOGIE 2 6 OTOAMINOHARYNGOLOGIE 9 4 13 65 PNEUMOLOGIE PHTISIOLOGIE 0 6 3 REANIMATION CHIRURGICALE 3 0 15 REANIMATION MEDICALE 6 6 TRAUMATOLOGE O TRAUMATOLOGEN 2 2 1 URGENCES 10 s UROLOGIE 7 12 6 100 NR Non R pondu R pondu 45 II 2 R sultats de l valuation externe IL2 1 La phase pr analytique II 2 1 1 Connaissance des modalit s des conditions de r alisation et de transport des pr l vements L valuation des connaissances des cliniciens sur les modalit s et les conditions de r alisation des pr l vements ainsi que leur transport montre que 64 des cliniciens n ont pas ces renseignements contre seulement 34 qui en ont figure 4 E OUI E NON SANS REPONSE Fig 4 Evaluation des connaissances sur les modalit s les conditions de r alisation et de transport des pr l vements 46 2 1 2 Moyens humains et mat riels pour la r alisation des pr l vements Pour ce qui est de la disponibilit du personnel et du mat riel n cessaire pour la r alisation des pr l vements nous observons 55 de disponibilit contre 45 figure 5 OUI NON Fig 5 Disponibilit du personnel et du mat riel n cessaire pour la r alisation des pr l vements 2 1 3 Qualit des pr l vements d apr s
12. ZEGGWAGH Amine Ali PROFESSEURS AGREGES D cembre 2001 279 Pr ABABOU Adil 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr AOUAD Aicha BALKHI Hicham BELMEKKI Mohammed BENABDELJLIL Maria BENAMAR Loubna BENAMOR Jouda BENELBARHDADI Imane BENNANI Rajae BENOUACHANE Thami BENYOUSSEF Khalil 290 Pr BERRADA Rachid Ophtalmologie P diatrie Pneumo phtisiologie Ophtalmologie Chirurgie G n rale Chirurgie G n rale Pneumo phtisiologie Neurochirurgie Chirurgie G n rale Cardiologie Radiologie Anesth sie R animation Traumatologie Orthop die Gastro Ent rologie Anesth sie R animation Anesth sie R animation M decine Interne Neurologie Dermatologie Gastro Ent rologie Chirurgie G n rale Ophtalmologie Traumatologie Orthop die Neurologie Cardiologie Anesth sie R animation P diatrie Oto Rhino Laryngologie Urologie Rhumatologie Endocrinologie et Maladies M taboliques Anesth sie R animation Radioth rapie Ophtalmologie Stomatologie et Chirurgie Maxillo faciale G n tique R animation M dicale Anesth sie R animation Cardiologie Anesth sie R animation Ophtalmologie Neurologie N phrologie Pneumo phtisiologie Gastro Ent rologie Cardiologie P diatrie Dermatologie Gyn cologie Obst trique 291 Pr 292 Pr 293 Pr 294 Pr 295 Pr 296 Pr 297 Pr 298 Pr 299 Pr 300 Pr 301 Pr
13. d finie par la r glementation Les informations archiv es doivent tre dupliqu es sur deux supports distincts le premier servant la consultation habituelle et le second tant gard en r serve Les informations archiv es doivent pouvoir tre accessible pendant la dur e de leur conservation 26 L organisation et le classement doivent permettre une consultation rapide et facile 6 27 Mat riels Et M thodes I Mat riels et m thodes gt Type d tude Il s agit d une enqu te prospective entrant dans le cadre d une auto valuation Elle vise comparer les r gles de bon de fonctionnement des laboratoires accr dit s celles du laboratoire de bact riologie de de Rabat gt Date et lieu Notre tude s est d roul e du 1 juin 2010 au 31 ao t 2010 soit une p riode de trois 03 mois Elle a t r alis e au sein de l H pital Militaire d Instruction Mohammed V HMIMV de Rabat L HMIMV est un tablissement relevant du Service de Sant des Forces Arm es Royales et g r selon un syst me SEGMA Service de l Etat G r de Mani re Autonome Il a une capacit d h bergement de 800 lits environ Actuellement deux b timents de 150 lits environ sont en construction afin de compl ter cet effectif gt Crit res d inclusion Le personnel inclus dans notre travail est essentiellement repr sent par les cliniciens c est a dire les m decins chefs de service les m
14. decins assistants les m decins adjoints les r sidents et les internes de tous les services qui travaillent en relation avec le laboratoire de bact riologie ainsi que les m decins biologistes et les techniciens des diff rentes paillasses d activit s du laboratoire 29 Crit res d exclusion Ont t exclus Les pharmaciens le personnel de peine les infirmiers et les infirmi res les sages femmes et les brancardiers Le personnel exergant dans les diff rents laboratoires savoir les pharmaciens biologistes les m decins biologistes les r sidents biologistes et les techniciens Les m decins et les r sidents des autres services ne travaillant pas en collaboration avec le laboratoire de bact riologie gt Questionnaire permettant l valuation des prestations intra et extra laboratoire Annexe 4 Nous avons utilis au total 220 fiches d valuation dont 200 fiches pour les cliniciens et 20 fiches pour les techniciens I 1 Organisation g n rale du laboratoire de bact riologie 1 1 1 Pr sentation du service de bact riologie Le service de bact riologie de l HMIMV assure la recherche des bact ries pathog nes et l tude de leur sensibilit aux antibiotiques Les pr l vements recus proviennent des diff rents services d hospitalisation ainsi que des externes militaires et ou mutualistes 1 1 1 1 Le local Le service de bact riologie de HMIMV est subdivis en plusieurs salles Y Un
15. 15189 avril 2007 Parall lement ces normes la r forme hospitali re avec l application de la tarification l activit doubl e de la nouvelle gouvernance apporte des volutions tr s r formatrices 1 3 Ainsi le texte de la nouvelle gouvernance introduit explicitement la notion d efficience dans les h pitaux recherche du 2 meilleur r sultat au moindre co t Il est donc indispensable aujourd hui que le chef de service d un laboratoire hospitalier s approprie ces r formes et r glementations afin de r pondre aux nouvelles conditions d exercice et atteindre les objectifs d finis par le l gislateur 1 Le laboratoire de bact riologie de l H pital Militaire d Instruction Mohammed V de Rabat HMIMV n est pas encore audit ni accr dit A cet effet l objectif de cette tude est une analyse situationnelle qui permet de recenser un certain nombre de probl mes et difficult s savoir Retard d arriv e des chantillons bact riologiques La perte ou l garement des chantillons Lanon conformit des pr l vements La non ex cution de l analyse le manque de moyens humains et ou de mat riels de formation et ou d information C est dans ce contexte qu il nous a sembl utile d valuer le laboratoire travers son fonctionnement et la perception qu en ont les diff rents usagers A la lumi re d un questionnaire comprenant les diff rents indicateurs du bon fonctionnement d un laboratoire de bac
16. 302 Pr 303 Pr 304 Pr 305 Pr 306 Pr 307 Pr 308 Pr 309 Pr 310 Pr 311 Pr 312 Pr 313 Pr 314 Pr 315 Pr 316 Pr 317 Pr 318 Pr 319 Pr 320 Pr 321 Pr 322 Pr 323 Pr 324 Pr BEZZA Ahmed BOUCHIKHI IDRISSI Med Larbi BOUHOUCH Rachida BOUMDIN EI Hassane CHAT Latifa CHELLAOUI Mounia DAALI Mustapha DRISSI Sidi Mourad EL HAJOUI Ghziel Samira EL HIJRI Ahmed EL MAAQILI Moulay Rachid EL MADHI Tarik EL MOUSSAIF Hamid EL OUNANI Mohamed EL QUESSAR Abdeljlil ETTAIR Said GAZZAZ Miloudi GOURINDA Hassan HRORA Abdelmalek KABBAJ Saad KABIRI EL Hassane LAMRANI Moulay Omar LEKEHAL Brahim MAHASSIN Fattouma MEDARHRI Jalil MIKDAME Mohammed MOHSINE Raouf NABIL Samira NOUINI Yassine OUALIM Zouhir SABBAH Farid SEFIANI Yasser TAOUFIQ BENCHEKROUN Soumia TAZI MOUKHA Karim D cembre 2002 325 Pr 326 Pr 327 Pr 328 Pr 329 Pr 330 Pr 331 Pr 332 Pr 333 Pr 334 Pr 335 Pr 336 Pr 337 Pr 338 Pr 339 Pr 340 Pr 341 Pr 342 Pr AL BOUZIDI Abderrahmane AMEUR Ahmed AMRI Rachida AOURARH Aziz BAMOU Youssef BELGHITI Laila BELMEJDOUB Ghizlene BENBOUAZZA Karima BENZEKRI Laila BENZZOUBEIR Nadia BERADY Samy BERNOUSSI Zakiya BICHRA Mohamed Zakarya CHOHO Abdelkrim CHKIRATE Bouchra EL ALAMI EL FELLOUS Sidi Zouhair EL ALJ Haj Ahmcd EL BARNOUSSI Leila Rhumatologie Anatomie Cardiologie Radiologie Radiologie R
17. 36 Le pelletier D Ferr ol S Villers D Richet H Infections nosocomiales Staphylococcus aureus r sistant la m thicilline en r animation m dicale 111 polyvalente facteurs de risque morbidit et impact conomique Pathologie Biologie 2004 52 474 479 37 Dick Zoutman Christine Fleming Harold Richardson Compliance with NCCLS approved standard M22 A2 for bacteriologic media quality assurance a survey of 124 Ontario microbiology laboratories Diagnostic Microbiology and Infectious Disease 2002 42 29 34 38 Boudon E Margas J M Accreditation et certification pour le service biomidical ITBM RBM 2001 22 185 91 39 El mehdaoui F Cours d pid miologie pour le technicien de laboratoire IFCSR section technicien de laboratoire Partie enqu te pid miologique 2010 37 47 40 Eric Hergon Jean Yves Py St phanie Jullien Jean Francois Quaranta Gilles Folle Georges Andreu et al L valuation des pratiques professionnelles des m decins en technologie et m decine transfusionnelles Transfusion Clinique et Biologique 2007 14 371 377 41 Eveillard Matthieu Lemarie Carole Cottin Jane HitotoHikombo MahazaChetaou Kempf Marie et al Evaluation de l int r t de r alisation des identifications bact riennes et antibiogrammes pendant les horaires de nuit dans le laboratoire de bact riologie d un centre hospitalier universitaire 2005 1 5 42 Le Vacon F Qualification des mat riels Transfus
18. BELMAHI Amin 192 Pr BOULANOUAR Abdelkrim 193 Pr EL ALAMI EL FARICHA EL Hassan 194 Pr EL MELLOUKI Ouafae 195 Pr GAMRA Lamiae 196 Pr GAOUZI Ahmed Chirurgie Cardio vasculaire Urologie Chirurgie P diatrique Neurologie Gyn cologie Obst trique P diatrie Gyn cologie Obst trique Traumatologie Orthop die Radiologie Ophtalmologie Neurochirurgie Radiologie Chirurgie G n rale Gyn cologie Obst trique P diatrie R animation M dicale Chirurgie G n rale Gyn cologie Obst trique Gyn cologie Obst trique Urologie Urologie Gastro Ent rologie M decine Interne Anesth sie R animation Anesth sie R animation Chirurgie G n rale Oto Rhino Laryngologie Gyn cologie Obst trique M decine Pr ventive Sant Publique et Hygi ne Cardiologie Urologie Ophtalmologie Neurologie Chirurgie G n rale Oncologie M dicale N phrologie Radiologie Traumatologie Orthop die Gyn cologie Obst trique Radiologie Chirurgie P diatrie Chirurgie r paratrice et plastique Ophtalmologie Chirurgie G n rale Parasitologie Anatomie Pathologique P diatrie 197 Pr MAHFOUDI M barek 198 Pr MOHAMMADINE EL Hamid 199 Pr MOHAMMADI Mohamed 200 Pr MOULINE Soumaya 201 Pr OUADGHIRI Mohamed 202 Pr OUZEDDOUN Naima 203 Pr ZBIR EL Mehdi Novembre 1997 204 Pr ALAMI Mohamed Hassan 205 Pr BEN AMAR Abdesselem 206 Pr BEN SLIMANE Lounis 207 Pr BIROUK Nazha 208 Pr BOULAICH Moham
19. Chirurgie G n rale Immunologie Chirurgie P diatrique M decine Interne M decine Interne Dermatologie Chirurgie G n rale Anatomie Pathologique Traumatologie Orthop die Traumatologie Orthop die Neurologie Chirurgie G n rale Gyn cologie Obst trique Dermatologie 149 Pr SLAOUI Anas Mars 1994 150 Pr ABBAR Mohamed 151 Pr ABDELHAK M barek 152 Pr BELAIDI Halima 153 Pr BARHMI Rida Slimane 154 Pr BENTAHILA Abdelali 155 Pr BENYAHIA Mohammed Ali 156 Pr BERRADA Mohamed Saleh 157 Pr CHAMI Ilham 158 Pr CHERKAOUI Lalla Ouafae 159 Pr EL ABBADI Najia 160 Pr HANINE Ahmed 161 Pr JALIL Abdelouahed 162 Pr LAKHDAR Amina 163 Pr MOUANE Nezha Mars 1995 164 Pr ABOUQUAL Redouane 165 Pr AMRAOUI Mohamed 166 Pr BAIDADA Abdelaziz 167 Pr BARGACH Samir 168 Pr BELLAHNECH Zakaria 169 Pr BEDDOUCHE Amoqrane 170 Pr BENAZZOUZ Mustapha 171 Pr CHAARI Jilali 172 Pr DIMOU M barek 173 Pr DRISSI KAMILI Mohammed Nordine 174 Pr EL MESNAOUI Abbes 175 Pr ESSAKALI HOUSSYNI Leila 176 Pr FERHATI Driss 177 Pr HASSOUNI Fadil 178 Pr HDA Abdelhamid 179 Pr IBEN ATTYA ANDALOUSSI Ahmed 180 Pr IBRAHIMY Wafaa 182 Pr BENOMAR ALI 183 Pr BOUGTAB Abdesslam 184 Pr ER RIHANI Hassan 185 Pr EZZAITOUNI Fatima 186 Pr KABBAJ Najat 187 Pr LAZRAK Khalid M 188 Pr OUTIFA Mohamed D cembre 1996 189 Pr AMIL Touriya 190 Pr BELKACEM Rachid 191 Pr
20. Publique et Hygi ne Traumatologie Orthop die M decine Interne Cardiologie Chirurgicale M decine Interne M decine Interne Oto Rhino Laryngologie Radiologie Cardiologie Pathologie Chirurgicale Pathologie Chirurgicale P diatrique M decine Interne Urologie Gyn cologie Obst trique Anatomie Pathologique Neurologie Dermatologie Anesth sie R animation Ophtalmologie Anatomie Pathologique Anesth sie R animation Anesth sie R animation N phrologie Chirurgie G n rale H matologie Chirurgie G n rale Pharmacie gal nique Ophtalmologie Gyn cologie Obst trique Biochimie et Chimie Ophtalmologie Pharmacologie Histologie Embryologie Psychiatrie Chirurgie G n rale P diatrie Anesth sie R animation M decine Pr ventive Sant Publique et Hygi ne Pharmacologie 101 Pr TAOUFIK Jamal D cembre 1992 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr AHALLAT Mohamed BENOUDA Amina BENSOUDA Adil BOUJIDA Mohamed Najib CHAHED OUAZZANI Laaziza CHAKIR Noureddine CHRAIBI Chafiq DAOUDI Rajae DEHAYNI Mohamed EL HADDOURY Mohamed EL OUAHABI Abdessamad FELLAT Rokaya GHAFIR Driss JIDDANE Mohamed OUAZZANI TAIBI Med Charaf Eddine TAGHY Ahmed 118 Pr ZOUHDI Mimoun Mars 1994 119 Pr AGNAOU Lahcen 120 Pr AL BAROUDI Saad 121 122 123 124 125 126
21. analyse Ceci constitue un surcroit de travail difficile effectuer pour la majorit des chantillons analyser vue l illisibilit des cachets et l insuffisance du personnel 77 78 Dans l accomplissement de notre travail nous avons t confront s certaines difficult s Ainsi La difficult de collaboration avec certains chefs de service dont nous n avons pas pu obtenir l accord pour effectuer notre enqu te La difficult de recueil des avis des cliniciens cause de leur indisponibilit Le manque de coop ration de la part de certains personnels du laboratoire de bact riologie 79 Recommandations Le but de cette valuation du bon fonctionnement du Laboratoire de Bact riologie est d am liorer et de promouvoir la qualit et la s curit sanitaire Face aux points critiques mis en lumi re par cette tude nous formulons les principales recommandations suivantes amp Pour la bonne ma trise de la phase pr analytique tape cruciale de l examen bact riologique elle est mieux assur e par l utilisation du diagramme d Ishikawa ou m thode des 5 M figure 39 C est une aide l identification de tous les intervenants de cette phase de la mani re la plus compl te possible chantillons Environnement Technique Automates M comme mati re premi re ou chantillons M comme main d oeuvre ou personnel M comme milieu ou environnement M comme m thode ou t
22. de l Anaes ni les r f rentiels volontaires d accr ditation Normes NF EN ISO 9001 Normes NF EN ISO CEI 17025 et Normes NF EN ISO 15189 il arrive satisfaire les demandes d examen N anmoins des difficult s r sident principalement au niveau de la phase pr analytique Les solutions y apporter n cessitent l implication de tous les acteurs de l h pital savoir le personnel du laboratoire et les cliniciens 117 ABSTRACT Title Indicators of Quality Assurance Laboratory of Bacteriology HMIMV Rabat Author Samna Soumana Maimouna Keywords indicators quality assurance laboratory bacteriology Introduction The proper functioning of a laboratory and its proper management are essential objectives pursued by biologists all laboratory department heads in a hospital For over 30 years medical biology laboratories are still in continuous improvement of the quality of their services The aim of our study is double Conduct a situation analysis of the bacteriology laboratory of HMIMV Rabat to identify various problems Apply the indicators of quality assurance in order to have its level of quality compared to the accredited laboratories Methods This is a prospective survey within the framework of self evaluation of the bacteriology laboratory HMIMV Rabat This survey was conducted from June 1 to August 31 2010 a period of three 03 months The staff included in our work was mainly represented by clinicians of all service
23. dernier doit tre conforme la r glementation en vigueur concernant le transport des mati res dangereuses 16 20 21 Ces r gles de s curit li es au transport d chantillons potentiellement contaminant au sein d un tablissement hospitalier concernent non seulement la s curit des personnels mais aussi la protection de l environnement 22 Il est souhaitable d appliquer le principe du triple emballage avec un conteneur primaire herm tique un conteneur secondaire usage unique et un conteneur tertiaire r utilisable figure 1 Fig 1 Triple emballage pour le transport des chantillons Emballage primaire pot s rigide s en polypropyl ne blanc avec verrouillage inviolable par syst me de fermeture poussoir permettant de renfermer la mati re infectieuse liquide ou solide Emballage secondaire sachet s en plastique transparent fermeture par pression Absorbant absorbant s en fibre de cellulose Emballage tertiaire caisson isotherme avec calage interne en carton rigide pour maintenir le pot rigide la verticale La formation des personnels assurant les transports et la mise en place de proc dures valid es et diffus es d finissant la conduite tenir en cas d incident permettra d accroitre le b n fice de ces syst mes de s curit 12 23 16 Tableau I Les principes de transport selon la nature de l chantillon 24 Nature d chantillon Principes de transpor
24. du diagnostic du faite que les r sultats de l analyse d pendent en majorit du mode de pr l vement et du transport des chantillons Une bonne collaboration entre les biologistes et les cliniciens contribue l am lioration de la qualit des analyses 42 43 II R sultats II 1 Pourcentage de participation des services l enqu te Nous avons obtenu et exploit 220 fiches d valuation dont 200 90 9 pour l valuation externe et 20 9 1 pour l valuation interne En ce qui concerne l valuation interne du laboratoire comme dans toute organisation lorsqu on veut tablir un changement il y a une distribution des individus en fonction du degr de participation et de motivation Ainsi nous avons eu comme boulets 30 et comme locomotives 70 27 Pour l valuation externe du laboratoire parmi les 200 fiches distribu es seules 130 soit 65 ont t remplis par les cliniciens Nous avons valu la participation des diff rents services notre enqu te Le service de gyn co obst trique a t le plus coop ratif suivi des services de cardiologie de stomatologie et chirurgie plastique de r animation m dicale et de p diatrie Tableau IV 44 Tableau IV Pourcentage de participation des diff rents services 11 55 CHIRURGIE VISCERALEI 2 s 25 DERMATOLOIE 14 7 ENDOCRINOLOGIE 10 10 s GGASTROENTEROLOGIE 3 0 15 GYNECO OBSTETRIQUE 6 13 HEMATO CUINIQUE 1 s 6
25. dynamisant et p dagogique majeur rempla ant le contr le de qualit externe dans certains laboratoires Elle nous a permis de mettre en vidence la n cessit de d velopper de nouvelles actions telles que l laboration de proc dures d aide la prescription des examens biologiques et la mise en place des fiches de non conformit des pr l vements Elle a en outre permis de mettre en vidence la difficult de travailler l am lioration continue de la qualit Les efforts d ploy s dans le cadre de l valuation de la qualit et dans la d tection des d faillances doivent tre encourag s et tendus tous les laboratoires de l HMIMV de Rabat 87 Pour les ann es venir il est souhaitable que les r f rentiels obligatoires soient appliqu s que la m me tude soit reprise ult rieurement selon une p riodicit de 3 5 ans pour l valuation des solutions apport es et enfin qu une d marche d accr ditation soit instaur e 88 89 Annexe 1 Fiche de suivi m dical d livr e par le m decin prescripteur au biologiste FICHE DE SUIVI MEDICAL recommand e mais non obligatoire DOCUMENT CONFIDENTIEL Identification du patient NOME ies en Pr nom i i SEKE Nom de jeune fille Date de naissance Adresse ou service d hospitalisation Prescription M decin prescripteur Date de la prescription
26. existe une preuve comme quoi la proc dure est appliqu e 7 S assurer que toute modification justifi e de proc dure est crite approuv e enregistr e dat e communiqu e et que le personnel est form l application de cette modification Conserver un fichier chronologique de toutes les proc dures Notifier tout changement effectu au sein du laboratoire Contr ler et mettre en ouvre des mesures correctives en cas de dysfonctionnement 2 6 Concernant les installations l quipement l instrumentation les produits fongibles et les r actifs S assurer que les installations l quipement et l instrumentation du laboratoire sont fonctionnels que les produits fongibles sont appropri s et que les r actifs sont disponibles non p rim s conserv s dans les conditions d finies par le fabricant et conformes la r glementation en vigueur 6 83 Appliquer un r f rentiel d valuation de la qualit m trologique des quipements et instruments de mesure de laboratoire sur Les conditions environnementales temp rature humidit r seau lectrique rayonnement solaire poussi res sur les installations tat de propret des locaux et les rev tements des surfaces utiles Le management du plateau technique r partition des quipements informations sur leur fonctionnement leur entretien leur maintenance et la gestion des pannes 7 S assurer que les logiciels utilis s soit
27. l vements d abc s Pr l vements oculaires Pr l vements auriculaires Pr l vements de tissu Pr l vements de pus Pr l vements g nitaux pr l vements de gorge Pr l vement des dispositifs m dicaux cath ter proth ses pace maker Recherche des mycobact ries Spermogramme et spermoculture 1 3 2 Techniques utilis es en bact riologie Examen direct Il est effectu d s la r ception des pr l vements et comporte plusieurs tapes Examen macroscopique Il consiste tudier les caract res physiques aspect couleur odeur consistance est r alis en fonction du type de pr l vement 38 Examen microscopique Etat frais une goutte de l chantillon pr alablement dilu pour certains pr l vements est mise entre lame et lamelle et on observe au microscope optique objectif x40 avec un condensateur abaiss 11 permet tudier la morphologie la mobilit ainsi que l abondance des germes bact ries ou levures permet de noter la pr sence des globules blancs t moins d une inflammation et des globules rouges ainsi que leur comptage si n cessaire l aide de cellules sp ciales cellules de malassez nageotte kovaslide cellule jetable Apr s coloration cet effet diff rentes colorations sont utilis es Coloration de gram C est une coloration qui permet de mettre en vidence les propri t s de la paroi bact rienne et d utiliser ces propri t s pour
28. laboratoire doit tre rapide a 37 C 95 3 11 Pr l vement oculaire Les S cr tions et ou les pus conjonctivaux pr lev s dans l angle interne de l eeil au moyen d un couvillon plac dans un milieu de transport de type Stuart En cas de port de lentilles de contact pr lever le produit d couvillonnage ou de grattage des parois des tuis de conservation des lentilles corn ennes le culot de centrifugation du liquide des tuis de conservation de ces lentilles les lentilles corn ennes elles m mes 3 12 Pr l vement distal prot g Le pr l vement est r alis dans le territoire pr sum de la pneumopathie guid e sur les donn es radiologiques ou sur l issue de s cr tions purulentes distales Le double cath ter est avanc jusqu ce que l extr mit disparaisse dans une bronche sous segmentaire sans bloquer le cath ter en position distale afin d viter la survenue d un pneumothorax Le cath ter interne est avanc vers la brosse laquelle on imprime des mouvements de rotation Puis la brosse est ramen e dans le cath ter interne enfin faire rentrer le cath ter interne dans le cath ter externe et ressortir l ensemble du dispositif L ensemble est transport au laboratoire dans les 15 minutes afin d viter la dessiccation 3 13 Pr l vement du liquide d ascite L ascite correspond un panchement liquidien dans la cavit p riton ale sang et pus exclus L ascite se manifeste par une
29. laboratoire doivent porter la date de leur pr paration et ou de leur reconstitution ainsi que celle de leur p remption Ces manipulations doivent faire l objet de proc dures op ratoires concernant la pr paration et le contr le des r actifs ainsi obtenus Le biologiste doit galement pouvoir justifier que les r sultats obtenus gr ce l utilisation des r actifs ainsi pr par s sont de m me qualit que ceux fournis par les r actifs de fabrication industrielle quand ils existent Les r actifs d origine industrielle doivent porter la date de leur r ception au laboratoire tout r actif p rim doit tre limin et les instructions pr cises sur leurs conditions de stockage doivent tre respect es Les r actifs pr sentant un caract re toxique et ou potentiellement contaminant doivent tre stock s dans des conditions particuli res Le personnel 10 doit tre instruit de cette particularit de stockage des mesures prendre pour viter tout risque et de la proc dure suivre en cas d incident 6 L4 Informatique Le traitement automatis d informations nominatives doit tre concu r alis et utilis de fa on respecter la confidentialit viter les erreurs ou les pertes de donn es Une proc dure doit tre tablie pour viter la perte des informations en cas de panne du syst me informatique L acc s total ou partiel aux donn es doit tre limit au personnel autoris Le syst me inform
30. laissez vous une tracabilit Est ce que chaque dysfonctionnement ou panne est recens Est ce que chaque dysfonctionnement ou panne est analys Est ce que chaque dysfonctionnement ou panne est trait 10 Y a t il des mesures n cessaires la protection de la confidentialit la s curit des informations concernant les patients et au respect de leurs droits dans la gestion de l information 100 11 L h pital militaire assure t il la s curit du personnel contre les accidents d expositions aux produits pathog nes 12 Recevez vous des formations continues qui vous permettent d assurer l am lioration de la qualit de vos travaux 13 Depuis que vous tes dans le laboratoire de bact riologie y a t il eu d am lioration des conditions de travail du personnel 14 Le nettoyage et la d sinfection des locaux et des quipements est il conforme la l gislation et la r glementation en vigueur annexe 2 GBEA 15 Existe t il un contr le de d sinfection et du nettoyage des locaux et des quipements des p riodicit s d finies 16 Votre tablissement assure il r guli rement l limination des d chets et la protection de l environnement 17 Existe t il une politique pour l limination des d chets et la protection de l environnement 18 L limination des d chets et la protection de l environnement
31. les distinguer et les classifier Son avantage est de donner une information rapide sur les bact ries pr sentes dans un chantillon tant sur le type que sur la forme Coloration au bleu de m thyl ne Elle renseigne sur la morphologie le mode de groupement et value la r action cellulaire leucocytes Coloration l auramine Utilis e pour la recherche des mycobact ries c est une coloration de d pistage apr s traitement par l auramine et contre coloration du fond de la pr paration par le rouge thiazine Celle ci est examin e au microscope fluorescence X25 Les bacilles Acido Alcoolo R sistants B A A R apparaissent fluorescents brillants sur fond rouge Coloration au ziehl Neelsen 39 Technique de confirmation les bacilles Acido Alcoolo R sistants B A A R apparaissent rouges sur fond bleu La lecture se fait l objectif immersion X100 La culture Ensemencement Il existe une grande panoplie de milieux de cultures pour l ensemencement des chantillons Ils peuvent tre ordinaires enrichis ou s lectifs Le choix lors de l analyse diff re selon la nature du pr l vement et les r sultats de l examen direct Incubation L incubation se fait habituellement 37 C pendant 18 24h en a ro et ou ana robiose elle peut tre prolong e pour certaines bact ries de croissance lente L identification d une bact rie apr s la culture L identification bact rienne fait appel
32. maintenu basse temp rature 4 C jusqu la mise en route de l analyse 3 5 Pr l vement d une pustule Adapter st rilement l aiguille sur la seringue puis pr lever le contenu d une pustule sans toucher la peau au alentour en pergant avec l aiguille et en aspirant avec la seringue Ne pas d sadapter l aiguille de la seringue car l essentiel du mat riel examiner tant dans l aiguille et non dans la seringue 94 3 6 Pr l vement muqueux Sortir l couvillon de son emballage en le saisissant par le bouchon l extr mit de la tige sans le toucher le mettre sur la muqueuse et l aide d un frottement pr lever les secr tions puis replacer l couvillon dans son tui d origine sans contact avec l ext rieur de l emballage 3 7 Pr l vement des crachats Il se fait le matin jeun au r veil en essayant de faire sortir les accumulations des secr tions des bronches liminer tout ce qui est salivaire et l acheminer rapidement au laboratoire 3 8 Pr l vement d une plaie Il se fait soit par curetage soit par couvillonnage vigoureux au plus profond de la plaie en vitant la contamination de surface 3 9 Tubage gastrique Introduire une sonde dans le tube digestif haut estomac duod num pour pr lever les s cr tions gastriques 3 10 Pr l vement du sperme Le pr l vement du sperme est r alis dans un flacon st rile large ouverture apr s une abstinence de trois jours le transport au
33. mode d emploi 6 I 2 2 S curit La d cision d appliquer une politique de s curit suppose l implication de la hi rarchie et de tous les acteurs concern s 10 Cela n cessite que toutes les dispositions n cessaires soient prises pour respecter les obligations r glementaires contre les risques d incendie d explosion et d accident de travail Les installations de distribution de gaz combustible s et comburant s doivent tre conformes la r glementation et r guli rement v rifi es par une personne ou un organisme habilit cet effet Les produits potentiellement dangereux corrosif irritant toxique doivent tre maintenus dans leur emballage d origine avant leur utilisation et stock s dans une zone r serv e cet effet Quand ils entrent dans la composition de r actifs l emballage de ceux ci doit porter clairement selon les cas les mentions corrosif irritant ou toxique I 2 3 Instrumentation Un laboratoire r alisant des analyses de biologie m dicale doit disposer du mat riel ad quat et doit s quiper de l ensemble du mat riel n cessaire la r alisation des analyses d clar es Le biologiste doit s assurer du syst me analytique le plus convenable aux performances et r sultats souhait s ind pendamment du vendeur et du fabricant du respect des modalit s d installation de fonctionnement et d entretien pr conis s par le fabricant Dans le cas d automates permettant d eff
34. personnel de peine il s occupe de la pr paration des milieux de culture de la propri t des locaux Ce personnel est recrut ind pendamment de la volont du chef de service ce qui fait qu il est difficile de faire une micro gestion sans la sinc rit et l implication de tout le personnel du laboratoire 1 1 2 Mat riels utilis s Le petit mat riel est acquis par appel d offre selon le moins disant L appareillage est constitu de bec bunsen autoclaves centrifugeuses agitateurs distillateur lave verrerie bain marie automates Bactec pour les h mocultures Bactec MGIT pour les mycobact ries OSIRIS pour la lecture des antibiogrammes et les galeries API 32 ID incubateurs r frig rateurs microscopes hottes auto pr parateur des boites de p tri distributeur automatique des milieux ordinateurs et imprimantes Ces appareils sont r guli rement nettoy s entretenus et inspect s par la maintenance Les r actifs suivent la loi de first in first out Tous les r actifs et les solutions portent une tiquette indiquant l identit le titre la concentration les 34 conditions de conservation et la date de p remption Les r actifs ou des solutions alt r s ou p rim s ne sont pas utilis s Les m thodes de pr paration et de conservation des milieux des cultures utilis s au cours des diagnostics sont mentionn es sur les boites des milieux avec respect des consignes de pr l vements pour ne pas a
35. quipe de nuit n est n cessaire que si la liste des analyses 76 effectuer durant les gardes n tait pas limit e que si les gardes taient effectu es au sein m me du laboratoire de bact riologie et que si les analyses men es durant les gardes taient tendues l identification bact rienne M me au CHU d Angers premier CHU accr dit en France ce mode de fonctionnement s effectue l quipe de nuit est constitu e d un technicien sp cialis second par un interne d astreinte Concernant le pourcentage de non conformit s des pr l vements en regroupant les non conformit s des cat gories 1 2 et 3 qui constituent les cat gories critiques nous obtenons une valeur de 60 396 sur une p riode de 3 mois Ce taux est tr s largement sup rieur celui de 7 4 rapport par Daunizeau et al Ces non conformit s s observent surtout au niveau de la r daction des bons d examen Les erreurs recens es dans notre tude n taient pas uniform ment r parties entre les diff rents services Elles taient courantes dans certains et portaient principalement sur les pr l vements des urines des crachats et des tubages gastriques 99 2 des cliniciens jugent n cessaire la notification des renseignements cliniques sur les bons d examens Cependant force est de constater qu elle n est pas mise en pratique Le personnel du laboratoire est oblig de se r f rer au cachet du m decin pour retrouver le service demandeur de l
36. recus 10 V rifiez vous le bon de livraison et le fonctionnement de l appareillage avant l utilisation 11 Le laboratoire de bact riologie doit s assurer de la conformit de l ensemble de ces l ments et de leur bon usage 12 Le laboratoire doit pr voir le remplacement en cas de dysfonctionnement d un mat riel ou d un quipement 13 Le laboratoire doit respecter les modalit s d installation de fonctionnement et d entretien pr conis s par le fabricant et par les normes 14 Lelaboratoire doit disposer de l ensemble du mat riel n cessaire la r alisation des analyses d clar es 15 Lelaboratoire doit s assurer du syst me analytique le plus convenable aux performances et r sultats souhait s l limination des d chets doit 16 r pondre aux exigences l gislatives et r glementaires en vigueur dont l objectif majeur est la protection des utilisateurs du personnel de collecte et de l environnement annexe 2 e Pour une bonne ex cution des analyses 17 L infirmier doit effectuer le pr l vement en r gle g n rale avec du mat riel st rile usage unique 18 Le r cipient destin recevoir l chantillon biologique doit tre adapt la nature de l chantillon et celle des analyses 19 Le m decin prescripteur doit mentionner outre l identit et la date de naissance d clin es par le patient lui m me dans la mesure du possible le sexe la nature de l chanti
37. s curit au laboratoire exemples d actions 108 men es dans le cadre d une d marche d assurance qualit Annales de biologie clinique Septembre octobre 1999 5 619 26 9 Chemtob Conc M C Le nouveau cadre juridique de la biologie m dicale M decine et Droit 2010 96 104 10 Touche S Leprince A Abiteboul D Maitrise des risques infectieux au laboratoire de microbiologie Documents pour le m decin du travail 3 me trimestre 2002 91 231 245 11 Bourgaulta T Vinnerb E Darchisc J P Arfid C and Boutrye M Probl matique de la mise en place d une unit de m trologie dans le futur centre de biologie du CHRU de Lille November December 2006 27 257 261 12 Remy Teyssou La pr vention des risques infectieux au laboratoire de bact riologie Revue Fran aise des Laboratoires septembre 2001 335 57 61 13 Durand R Roussille F Elimination des d chets de laboratoires aspects r glementaires et recommandations SpectraBiol 1996 15 18 21 14 Roussille F Gestion des d chets chimiques Spectra Anal 1995 185 20 23 15 Patrick Gereme Jean Yves Dusseau Thierry Masseron Raymond Bercion La phase pr analytique en bact riologie Revue Fran aise des Laboratoires septembre 2001 335 23 29 16 Philippe MURAT La phase pr analytique en biologie m dicale r le du PHISP comment le biologiste assure cette tape m moire de l cole nationale de sant publique 2003 1 40 109 17 Joh
38. s effectuent En collaboration avec HMIMV de Rabat En collaboration avec d autres soci t s La phase post analytique 1 A partir des moyens que vous poss dez actuellement obtenez vous toujours des r sultats satisfaisants 2 La validation des r sultats est elle effectu e par le biologiste Les suggestions Consernant les proc dures Un bon laboratoire est un laboratoire qui N Suggestions Oui Non Autres r ponses 1 Elabore une liste de toutes les activit s effectu es au sein de son service 2 Elabore un descriptif de toutes les activit s effectu es au sein de son service 3 Etablit un sch ma de d roulement de chaque analyse 4 Notifie tout changement effectu au sein du laboratoire 5 D termine les CCP points critiques s ils existent et tablit des mesures pr ventives 6 Contr le et met en ceuvre les dysfonctionnements et tablit des mesures correctives 7 Pense organiser des audits internes pour confirmer la qualit de la gestion de son travail 8 Pense organiser des audits externes afin d tre accr diter par les organismes accr diteurs 101 Concernant les installations quipements instrumentations fongibles et r actifs 9 Effectuez vous des contr les la r ception pour la conformit du mat riel et quipement
39. sont des objectifs essentiels poursuivis par tous les biologistes chefs des laboratoires dans un h pital 1 Du fait de son r le de prestataire de services cliniques et de son identification l outil central de production de l h pital le plateau technique que constituent le laboratoire et ses activit s n cessite le d veloppement d un syst me d assurance de qualit Celui ci est fond sur des proc dures et des modes op ratoires crits concernant les diff rentes tapes de l analyse du pr l vement jusqu la transmission des r sultats et les conditions de leur ex cution 2 La notion de qualit n est pas nouvelle en biologie puisqu elle est r gie par des dispositions l gales depuis plus de 30 ans d j loi n 75 626 du 11 juillet 1975 portant sur le contr le national de qualit relatif la qualit des analyses 1 Plus r cemment cette mesure a t compl t e par le texte du guide de bonnes ex cutions des analyses GBEA en 1994 suivi d une mise jour en 1999 par le GBEA II La d marche qualit s est g n ralis e dans les h pitaux par les textes de lois sur l accr ditation version 1 en 1999 version 2 en 2005 et sa mise jour en septembre 2007 D autres textes normatifs ont t publi s en mati re de d marche qualit pour les laboratoires la norme NF EN ISO CEI 17025 concernant la comp tence des laboratoires d talonnage et d essais mai 2000 et la deuxi me dition de la norme ISO
40. suffisant herm tiquement ferm bien identifi Le bon d examen bien propre avec tous les renseignements 70 n cessaires sur le patient savoir le nom le pr nom l ge le sexe le num ro de l identification permanente du patient IPP le service nature du pr l vement le diagnostic l examen effectuer le cachet du m decin et la date du pr l vement Cat gorie 2 correspond un pr l vement herm tiquement ferm bien identifi Le bon d examen propre avec tous les renseignements n cessaires sur le patient savoir le nom le pr nom le num ro de l identification permanente du patient IPP la mention du service et ou le diagnostic la nature du pr l vement l examen effectuer aucune information sur la maladie du patient avec la date du pr l vement et le cachet du m decin Cat gorie 1 correspond un pr l vement herm tiquement ferm non identifi Le bon d examen propre avec les renseignements n cessaires sur le patient savoir le nom le pr nom le num ro de l identification permanente du patient IPP la nature du pr l vement l examen effectuer le cachet du m decin et une transmission retard e aucune information sur la maladie du patient avec la date du pr l vement ni le nom du service Cat gorie 0 correspond un pr l vement mal ferm insuffisant non identifi Le bon souill avec quelques renseignements n cessaires sur le patient savoir le nom
41. sur Le compte rendu de l analyse 2 non conformit du pr l vement Pr l vement absent Le laboratoire pr vient par t l phone le prescripteur de l absence du pr l vement Une fiche de NC est remplie et est mise en attente avec la demande d analyse Si l chantillon parvient dans les 24 h suivantes la demande est accept e et la fiche NC est compl t e Si l chantillon n est pas parvenu dans les 24 h suivantes la demande est refus e la fiche NC est compl t e et une r ponse est envoy e au prescripteur mentionnant pr l vement non parvenu Pr l vement dans un flacon inappropri Nature du pr l vement non d termin e Identification absente ou illisible Quantit du pr l vement insuffisante L analyse est r alis e sous r serve que le prescripteur fournisse les renseignements manquants par t l phone le biologiste doit mentionner la non conformit constat e sur Le compte rendu de l analyse 19 3 Non conformit du conditionnement Conditions d hygi ne non Un r sultat d analyse est envoy au prescripteur il respect es comporte analyse non r alis e et le commentaire correspondant lanomalie constat e cela permet d informer le prescripteur du motif de refus de l analyse Transmission retard e L analyse est r alis e sous r serve que le prescripteur fournisse les renseignements manquants par t l phone Temp rature non respect
42. B OUI NON SANS REPONSE Fig 12 Evaluation de la qualit des r sultats durant les gardes 11 2 2 3 Evaluation de l apport de l examen direct la prise en charge th rapeutique Cette valuation a pris en compte l influence et l int r t de l examen direct en cas d urgence et d instauration d une antibioth rapie probabiliste les moyens et d lais de transmission du r sultat On note un taux de satisfaction de 67 contre 32 d insatisfaction figure 13 53 E OUI m NON SANS REPONSE Fig 13 Evaluation de l apport de l examen direct la prise en charge th rapeutique 11 2 2 4 Avis des cliniciens sur les personnels effectuant les gardes On remarque que la grande majorit 62 des cliniciens expriment un avis n gatif contre seulement 25 qui expriment un avis positif figure 14 m OUI m NON SANS REPONSE Fig 14 Avis des cliniciens sur la qualification du personnel effectuant les gardes 54 11 2 2 5 Connaissance de la liste des pr l vements urgents Nos r sultats montrent que la grande majorit des cliniciens ne sont pas au courant de l existence d une liste des pr l vements urgents accept s au laboratoire d urgence En effet seul 31 d entre eux le savent et 63 pensent que tous les pr l vements accept s sont analys s figure 15 m OUI E NON SANS REPONSE Fig 15 Pourcentage des cliniciens ayant connaissance de la liste des pr l vements urgents I
43. Eddine D cembre 1984 34 Pr BOUCETTA Mohamed 35 Pr EL OUEDDARI Brahim El Khalil 36 Pr MAAOUNI Abdelaziz 37 Pr MAAZOUZI Ahmed Wajdi 38 M Barek 39 Pr SETTAF Abdellatif Novembre et D cembre 1985 40 Pr BENJELLOUN Halima 41 Pr BENSAID Younes 42 Pr EL ALAOUI Faris Moulay El Mostafa 43 Pr IHRAI Hssain 44 Pr IRAQI Ghali 45 Pr KZADRI Mohamed Janvier F vrier et D cembre 1987 46 Pr AJANA Ali 47 Pr AMMAR Fanid 48 Pr CHAHED OUAZZANI p TAOBANE Houria 49 Pr EL FASSY FIHRI Mohamed Taoufiq 50 Pr EL HAITEM Naima 51 Pr EL MANSOURI Abdellah 52 Pr EL YAACOUBI Moradh 53 Pr ESSAID EL FEYDI Abdellah 54 Pr LACHKAR Hassan 55 Pr OHAYON Victor Traumatologie Orthop die Cardiologie Chirurgie Cardio Vasculaire Anesth sie R animation Chirurgie Thoracique Oto Rhino Laryngologie Chirurgie Cardio Vasculaire Anatomie Chirurgie Thoracique Biophysique Chirurgie Maxillo faciale Physiologie Pneumo phtisiologie P diatrie Neurochirurgie Rhumatologie Cardiologie Neurochirurgie Radioth rapie M decine Interne Anesth sie R animation Immuno H matologie Chirurgie Cardiologie Pathologie Chirurgicale Neurologie Stomatologie et Chirurgie Maxillo Faciale Pneumo phtisiologie Oto Rhino laryngologie Radiologie Pathologie Chirurgicale Gastro Ent rologie Pneumo phtisiologie Cardiologie Chimie Toxicologie Expertise Traumatologie Orthop die Gas
44. I 2 3 La phase post analytique 11 2 3 1 Modalit s de transmission et de r cup ration des r sultats Notre enqu te r v le que 70 des r sultats sont communiqu s aux diff rents services via leur personnel retrait l accueil du laboratoire 20 par t l phone et 05 par le personnel du laboratoire d urgence Enfin 05 des r sultats ne sont pas r cup r s par les services demandeurs figure 16 55 80 70 E d E PERSONNEL PERSONNEL DU TELEPHONE NON RECUPERES LABORATOIRE SERVICE D URGENES Fig 16 Modalit s de transmission et de r cup ration des r sultats finaux 11 2 3 2 Satisfaction des cliniciens vis vis des comptes rendus des r sultats 59 2 des cliniciens interrog s se d clarent satisfaits des comptes rendus des r sultats contre 37 7 96 qui en sont insatisfaits Figure 17 6 5 4 3 2 1 o BW INSATISFAIT SATISFAIT SANS REPONSE O O o INSATISFAIT SATISFAIT SANS REPONSE Fig 17 satisfaction des cliniciens au regard des comptes rendus des r sultats 56 11 2 4 Suggestions des cliniciens pour le laboratoire de bact riologie 11 2 4 1 Installation d une quipe de nuit La majorit des cliniciens 88 45 souhaitent l installation d une quipe de nuit contre 11 15 qui y sont oppos s figure 18 o0 s NON 5 B OUI o a SANS REPONSE R ponse Fig 18 Suggestion de l installation d une quip
45. KHARCHAFI Aziz 450 Pr LMIMOUNI Badreddine 451 Pr MANSOURI Hamid 452 Pr NAZIH Naoual 453 Pr OUANASS Abderrazzak 454 Pr SAFI Soumaya 455 Pr SEKKAT Fatima Zahra 456 Pr SEFIANI Sana 457 Pr SOUALHI Mouna 458 Pr ZAHRAOUI Rachida ENSEIGNANTS SCIENTIFIQUES PROFESSEURS Pr ALAMI OUHABI Naima Pr ALAOUI KATIM Pr ALAOUI SLIMANI Lalla Naima Pr ANSAR M hammed Pr BOUKLOUZE Abdelaziz Pr BOURJOUANE Mohamed Pr DRAOUI Mustapha Pr EL GUESSABI Lahcen 9 Pr ETTAIB Abdelkader 10 Pr FAOUZI Moulay El Abbes 11 Pr HMAMOUCHI Mohamed 12 Pr REDHA Ahlam 13 Pr TELLAL Saida 14 Pr TOUATI Driss 15 Pr ZELLOU Amina SIAM RYN Enseignants Militaires Radiologie Urologie P diatrie Psychiatrie Chirurgie P diatrique M decine Interne Parasitologie Radioth rapie O R L Psychiatrie Endocrinologie Psychiatrie Anatomie Pathologique Pneumo Phtisiologie Pneumo Phtisiologie Biochimie Pharmacologie Histologie Embryologie Chimie Organique et Pharmacie Chimique Applications Pharmaceutiques Microbiologie Chimie Analytique Pharmacognosie Zootechnie Pharmacologie Chimie Organique Biochimie Biochimie Pharmacognosie Chimie Organique A mes m res Hadja Aissata et Hadja Zara Aucun mot aussi expressif qu il soit ne saurait remercier sa juste valeur les tres qui ont consacr leur vie parfaire notre ducation avec un d vouement in gal associ beau
46. LAL Lahsen Pr AFIFI Yasser Pr AKJOUJ Said Pr BELGNAOUI Fatima Zahra Pr BELMEKKI Abdelkader Pr BENCHEIKH Razika Pr BIYI Abdelhamid Pr BOUHAFS Mohamed El Amine Pr BOULAHYA Abdellatif Pr CHEIKHAOUI Younes Pr CHENGUETI ANSARI Anas Pr DOGHMI Nawal Pr ESSAMRI Wafaa Pr FELLAT Ibtissam Pr FAROUDY Mamoun Pr GHADOUANE Mohammed Pr HARMOUCHE Hicham Pr HNAFI Sidi Mohamed Pr IDRISS LAHLOU Amine Chirurgie R paratrice et Plastique Chirurgie G n rale Microbiologie Rhumatologie N phrologie Ophtalmologie Radiologie Rhumatologie P diatrie Stomatologie et Chirurgie Maxillo Faciale Ophtalmologie Cardiologie Ophtalmologie Radiologie Ophtalmologie Biophysique Microbiologie Cardiologie P diatrie Radiologie Ophtalmologie Cardiologie Chirurgie Cardio Vasculaire Parasitologie Rgumatologie Gyn cologie Obst trique Anatomie Pathologique Histo Embryologie Cytog n tique Ophtalmologie Gyn cologie Obst trique Rhumatologie Dermatologie Radiologie Dermatologie Hematologie O R L Biophysique Chirurgie P diatrique Chirurgie Cardio Vasculaire Chirurgie Cardio Vasculaire Gyn cologie Obst trique Cardiologie Gastro Ent rologie Cardiologie Anesth sie R animation Urologie M decine Interne Anesth sie R animation Microbiologie 444 JROUNDI Laila 445 Pr KARMOUNI Tariq 446 Pr KILI Amina 447 Pr KISRA Hassan 448 Pr KISRA Mounir 449 Pr
47. Le Tout Mis ricordieux le Tr s Mis ricordieux Maitre du Jour de la r tribution C est Toi Seul que nous adorons et c est Toi Seul dont nous implorons secours Guide nous dans le droit chemin le chemin de ceux que Tu as combl s de faveurs non pas de ceux qui ont encouru Ta col re ni des gar s Amine A toutes la famille Samna Soumana A tous nos proches parents A Madame El Mehdaoui A tous les cliniciens de HMIMV de rabat A toute l quipe du laboratoire de microbiologie et Les r sidents en Biologie A l Agence Marocaine de Coop ration Internationale A Gildas KHadidja Touria yasir ainsi que tous ceux et celles qui m ont aid la concr tisation de ce travail A tous les R sidents es de la Cit Universitaire Internationale A toute la communaut nig rienne au Maroc A tous ceux que j ai oubli de citer A notre maitre et pr sident de th se Monsieur Mimoun 1 Professeur de Microbiologie a la Facult de M decine et de Pharmacie Chef du service de Microbiologie au CHU IBN SINA Nous sommes tr s sensibles l honneur que vous nous faites en acceptant la pr sidence de mon jury de th se Vous nous avez accueillis avec beaucoup de gentillesse et d gard Votre comp tence vos qualit s humaines et surtout la clart et la simplicit de votre enseignement ont suscit en nous une profonde admiration Veuillez accepter cher maitre l assurance de mon estime et de mon profond respect
48. PONSE 30 20 10 Fig 34 Evaluation du nettoyage et d sinfection des locaux et des mat riels conform ment au GBEA 67 11 3 3 La phase post analytique 11 3 3 1 Evaluation de la qualit des r sultats rendus Notre tude montre que 6846 du personnel se d clarent satisfaits de la qualit des r sultats rendus 25 non satisfaits et 7 ne se sont pas exprim s sur la question figure 35 BINSATISFAIT SATISFAIT SANS REPONSE Fig 35 Evaluation de la qualit des r sultats rendus 11 3 4 Suggestions du personnel du laboratoire 11 3 4 1 Aper u du bon laboratoire d analyse selon le personnel du laboratoire A une tr s grande majorit 96 45 le personnel se d clare en accord avec les caract ristiques d un bon laboratoire d analyses qui leur a t propos figure 36 68 100 0096 80 0096 60 0096 E OUI 40 0096 20 0096 0 0096 OUI SANS REPONSE Fig 36 Evaluation de l aper u du bon laboratoire d analyses propos 11 3 4 2 Evaluation de l acceptation des suggestions propos es Un certain nombre de suggestions ont t soumises l appr ciation du personnel Il s agissait de la d termination des points critiques l tablissement des mesures correctives et pr ventives l organisation des audits le contr le et la v rification du bon fonctionnement du mat riel avant utilisation la disponibilit du mat riel n cessaire pour une bonne r alisation des analyses le
49. Pr RGUIBI IDRISSI Sidi Mustapha 363 Pr RHOU Hakima 364 Pr RKIOUAK Fouad 365 Pr SIAH Samir 366 Pr THIMOU Amal 367 Pr ZENTAR Aziz 368 Pr ZRARA Ibtisam Janvier 2004 369 Pr ABDELLAH El Hassan 370 Pr AMRANI Mariam 371 Pr BENBOUZID Mohammed Anas 372 Pr BENKIRANE Ahmed 373 Pr BENRAMDANE Larbi 374 Pr BOUGHALEM Mohamed 375 Pr BOULAADAS Malik 376 Pr BOURAZZA Ahmed 377 Pr CHERRADI Nadia 378 Pr EL FENNI Jamal 379 Pr EL HANCHI Zaki 380 Pr EL KHORASSANI Mohamed 381 Pr EL YOUNASSI Badreddine 382 Pr HACHI Hafid 383 Pr JABOUIRIK Fatima 384 Pr KARMANE Abdelouahed 385 Pr KHABOUZE Samira 386 Pr KHARMAZ Mohamed 387 Pr LEZREK Mohammed 388 Pr MOUGHIL Said 389 Pr NAOUMI Asmae 390 Pr SAADI Nozha 391 Pr SASSENOU Ismail 392 Pr TARIB Abdelilah 393 Pr TIJAMI Fouad 394 Pr ZARZUR Jamila Dermatologie Chirurgie G n rale Chirurgie G n rale Gyn cologie Obst trique Cardiologie Ophtalmologie Urologie Traumatologie Orthop die Traumatologie Orthop die P diatrie Ophtalmologie Traumatologie Orthop die Gyn cologie Obst trique Cardiologie Traumatologie Orthop die M decine Interne Oto Rhino Laryngologie Traumatologie Orthop die Chirurgie G n rale Pneumo phtisiologie N phrologie Endocrinologie et Maladies M taboliques Anesth sie R animation P diatrie Chirurgie G n rale Anatomie Pathologique Ophtalmologie Anatomie Patholo
50. UNIVERSITE MOHAMMED V FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE RABAT ANNEE 2010 THESE N 97 LES INDICATEURS DE L ASSURANCE DE QUALITE DU LABORATOIRE DE BACTERIOLOGIE DE L HMIMV DE RABAT THESE Pr sent e et soutenue publiquement le 2010 PAR Mlle Samna Soumana Maimouna N e le 13 AVRIL 1985 TILLABERI NIGER Pour l Obtention du Doctorat d Etat en Pharmacie Mots Cl s indicateurs assurance qualite laboratoire bact riologie JURY Mr M ZOUHDI PRESIDENT Professeur de Microbiologie Mme S EL HAMZAOUI RAPPORTEUR Professeur agr g de Microbiologie Mr H AZOUNDOUR Professeur agr g d Anesth sie R animation Mme MESSAOUDI JUGES Professeur agr g d H matologie Mr A LEMNOUER associ s UNIVERSITE MOHAMMED V SOUISSI FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE RABAT DOYENS HONORAIRES 1962 1969 Docteur Abdelmalek FARAJ 1969 1974 Professeur Abdellatif BERBICH 1974 1981 Professeur Bachir LAZRAK 1981 1989 Professeur Taieb CHKILI 1989 1997 Professeur Mohamed Tahar ALAOUI 1997 2003 Professeur Abdelmajid BELMAHI ADMINISTRATION Doyen Professeur Najia HAJJAJ Vice Doyen charg des Affaires Acad miques et Estudiantines Professeur Mohammed JIDDANE Vice Doyen charg de la Recherche et de la Coop ration Professeur Ali BEN OMAR Vice Doyen charg des Affaires Sp cifiques la Pharmacie Professeur Yahia CHERRAH Secr taire G n ral Monsieur El Ha
51. adiologie Chirurgie G n rale Radiologie Gyn cologie Obst trique Anesth sie R animation Neuro Chirurgie Chirurgie P diatrique Ophtalmologie Chirurgie G n rale Radiologie P diatrie Neuro Chirurgie Chirurgie P diatnique Chirurgie G n rale Anesth sie R animation Chirurgie Thoracique Traumatologie Orthop die Chirurgie Vasculaire P riph rique M decine Interne Chirurgie G n rale H matologie Clinique Chirurgie G n rale Gyn cologie Obst trique Urologie N phrologie Chirurgie G n rale Chirurgie Vasculaire P riph rique P diatrie Urologie Anatomie Pathologique Urologie Cardiologie Gastro Ent rologie Biochimie Chimie Gyn cologie Obst trique Endocrinologie et Maladies M taboliques Rhumatologie Dermatologie Gastro Enterologie M decine Interne Anatomie Pathologique Psychiatrie Chirurgie G n rale P diatrie Chirurgie P diatrique Urologie Gyn cologie Obst trique 343 Pr EL HAOURI Mohamed 344 Pr EL MANSARI Omar 345 Pr ES SADEL Abdelhamid 346 Pr FILALI ADIB Abdelhai 347 Pr HADDOUR Leila 348 Pr HAJJI Zakia 349 Pr IKEN Ali 350 Pr ISMAEL Farid 351 Pr JAAFAR Abdeloihab 352 Pr KRIOULE Yamina 353 Pr LAGHMARI Mina 354 Pr MABROUK Hfid 355 Pr MOUSSAOUI RAHALI Driss 356 Pr MOUSTAGHFIR Abdelhamid 357 Pr MOUSTAINE My Rachid 358 Pr NAITLHO Abdelhamid 359 Pr OUJILAL Abdelilah 360 Pr RACHID Khalid 361 Pr RAISS Mohamed 362
52. adress s dans un service d hospitalisation ou de consultation le syst me ne doit permettre leur visualisation ou leur impression que sur demande du prescripteur mat rialis e par l utilisation d un code secret et d un support mat riel personnel Lorsque le patient est un mineur ou un majeur prot g par la loi sous r serve de la r glementation sp cifique concernant les mineurs pour les analyses relatives aux infections sexuellement transmissibles la contraception ou l interruption volontaire de grossesse le biologiste ne peut donner les r sultats qu au repr sentant l gal ou au m decin prescripteur Lorsque le r sultat d un examen biologique met en jeu le pronostic vital le biologiste doit tout mettre en oeuvre pour joindre et avertir le m decin traitant ou l quipe m dicale dans les plus brefs d lais Un r sultat laissant pr sager un pronostic grave ou fatal ne doit tre r v l qu avec la plus grande circonspection Si les r sultats ne peuvent pas tre communiqu s au m decin prescripteur changement de m decin analyses effectu es l initiative du biologiste ou ajout es la demande du patient le biologiste doit demander au malade de lui d signer le m decin qui il souhaiterait voir remettre les r sultats 1 aucun m decin n est d sign il appartient au biologiste d informer lui m me le patient avec d autant plus de prudence et sensibilit que les r sultats sont pr occupants Tout r sultat p
53. aintenance du mat riel du laboratoire par une quipe externe 11 3 2 8 Confidentialit des r sultats d analyses Pour 79 du personnel la confidentialit des r sultats d analyses est bien assur e contre 1446 qui ne partagent pas le m me avis figure 31 65 NON B OUI SANS REPONSE Fig 31 Evaluation de la confidentialit des r sultats d analyses 11 3 2 9 S curit du personnel 57 du personnel affirment que leur s curit est assur e au sein du service de bact riologie 22 non et 21 n ont pas r pondu cette question figure 32 NON B OUI Fig 32 Evaluation de la s curit du personnel 11 3 2 10 Am lioration de la qualit et des conditions de travail 53 596 du personnel attestent une am lioration constante de la qualit et des conditions du travail au laboratoire Toutefois une proportion non n gligeable du personnel 42 9 signale une absence d am lioration de la qualit et des conditions du travail figure 33 66 60 50 40 B SATISFAIT 30 B INSATISFAIT SANS REPONSE 20 10 Fig 33 Evaluation de l am lioration de la qualit et des conditions de travail 11 3 2 11 Nettoyage et d sinfection des locaux et des mat riels selon le GBEA 60 796 du personnel estiment le nettoyage et la d sinfection des locaux et des mat riels du laboratoire conformes au GBEA contre 28 6 qui pensent que non figure 34 70 60 50 40 E NON m OUI SANS RE
54. aise de Normalisation AFNOR c est une proc dure par laquelle une tierce partie donne une assurance crite qu un produit une organisation un processus un service ou un personnel est conforme des exigences sp cifi es dans un r f rentiel Le Guide de bonne ex cution des analyses GBEA a t cr e en 1994 Cinq ans apr s sa parution celui ci a t modifi par l arr t du 26 novembre 1999 publi au Journal Officiel le 11 d cembre 1999 20 Ce texte r glementaire pour objectifs principaux d abord la mise en place d un syst me d assurance de qualit bas sur une num ration des r gles et une formalisation des proc dures En cela il vise la ma trise de l acte biologique en traitant les dysfonctionnements la non conformit des pr l vements Ja tracabilit des r sultats la s curit des diff rents intervenants Il est le fruit de l adaptation de documents d j r dig s dans le domaine de la qualit en biologie m dicale LISTE DES ABREVIATIONS Copro Coproculture AB Aspiration Bronchique LBA Lavage Broncho Alv olaire LCR Liquide c phalo rachidien LA Liquide articulaire LP Liquide pleural PDP Pr l vement Distal Prot g PV Pr l vement Vaginal PU Pr l vement Ur tral ECBU Examen Cytobact riologique des Urines Spermo Spermo culture spermogramme H moc H moculture TG Tubage Gastrique GBEA Guide de bonne ex cution des analy
55. ase pr analytique les centres de tri Revue fran aise des laboratoires janvier 1998 299 29 37 110 27 Ahmed bennana Cours de gestion pharmaceutiques 2009 6 7 28 TALON D R le du laboratoire dans la pr vention du risque infectieux Juillet 2009 29 Alain 511110 Un dispositif d accompagnement efficace vers l accr ditation des laboratoires de biologie m dicale l exemple de Bio Qualit Revue francophone des laboratoires f vrier 2010 419 29 31 30 Minchella A Lechiche C Poujol H Molinari N Sotto A M thode d valuation des pratiques professionnelles EPP au cours de l antibioth rapie des pneumopathies aigu s communautaires M decine et maladies infectieuses 2010 40 100 105 31 Biologie m dicale Syst me d assurance qualit dans un laboratoire Janvier 2010 32 Bonnes pratiques de laboratoire AFSSAPS Agence frangaise de s curit sanitaire des produits de sant 33 C sar Birze MichelaCecchini Cameron Harrison Outil pour l assurance de la qualit de l Education la citoyennet D mocratique l cole Conseil de l Europe Unesco CEPS Avril 2006 34 Christine Roques Marie H l ne Bessi res C cile Escaffre Antoine Berry Une exp rience pratique d accr ditation en parasitologie mycologie Revue francophone des laboratoires f vrier 2010 419 53 63 35 Nabila Khalil Facult de m decine et de pharmacie de Rabat Introduction du management qualit janvier 2010
56. atique doit comprendre des dispositifs efficaces de protection contre toute tentative d acc s par des personnes non autoris es 6 1 5 M thodologie d limination des d chets Elle doit r pondre aux exigences l gislatives et r glementaires en vigueur L objectif majeur de l limination des d chets est la protection des utilisateurs et du personnel de collecte 6 8 Les d chets produits par l activit de pr l vement et par l ex cution des analyses au laboratoire doivent tre s par s en D chets risques et D chets assimilables des ordures m nag res Les d chets assimilables des ordures m nag res sont entreposer en conteneurs en vue de leur limination par le circuit des ordures m nag res apr s accord de la collectivit locale Les d chets risques sont s par s en trois groupes 12 11 D chets potentiellement contamin s pr l vements produits sanguins pi ces anatomiques cultures papiers contamin s gants certains d entre eux tant piquants ou coupants aiguilles pipettes Produits toxiques ou chimiques Produits radioactifs Chaque cat gorie de d chet ayant sa propre fili re 13 14 L limination des d chets comporte plusieurs tapes le tri par exemple conditionnement dans des conteneurs plastiques tanches les traitements ventuels sur place autoclavage neutralisation d contamination la collecte vers le local de stockage qui ne doit pas exc de
57. augmentation progressive du volume de l abdomen et une prise de poids 96 A l aide d une aiguille intramusculaire la ponction est r alis e au lit du malade celui ci n tant pas jeun elle est faite au niveau de la fosse iliaque gauche en un point situ entre le tiers externe et les deux tiers internes d une ligne joignant l pine iliaque ant ro sup rieure et l ombilic en pleine matit 3 14 Pr l vement du liquide pleural La ponction ne se fait qu apr s une radiographie du thorax sur laquelle apparait une opacit Le patient assis doit faire le dos rond pour qu on puisse piquer au ras du bord sup rieur de la cote inf rieure tout en vitant l introduction de l air dans la pl vre 97 Annexe 3 Fiche de suivis de non conformit d un pr l vement FICHE DE NON CONFORMITE D UNE DEMANDE D ANALYSE La demande d analyse qui nous a t adress e n est pas conforme au Guide de bonne ex cution des analyses Nous vous prions de bien vouloir corriger cette anomalie et de nous renvoyer cette fiche Identit du patient N d identification interne Nature du pr l vement Examen s demand s Service demandeur NON CONFORMITE OBSERVEE 7 Pr l vement L Conditionnement Absent ou r cipient vide CT R cipient d t rior Flacon inappropri L Conditions d hygi ne non respect e Quantit insuffisante L Transmission retard e Identification absente ou illisible L Conditions de temp rature non resp
58. avoir donn la chance de r aliser un travail qui servira probablement l am lioration de nos travaux Puisse ce travail tre la hauteur de vos attentes et veuillez trouver ici cher maitre l expression de notre profonde reconnaissance Merci A notre ma tre et juge Madame MESSAOUDI Professeur agr g en H matologie Chef du service d H matologie de LHM IM V de Rabat Vous avez accept avec gentillesse de juger notre travail et c est pour nous un honneur de vous avoir dans notre jury Veuillez recevoir l expression de ma reconnaissance et de mon respect A notre Maitre et membres du jury Monsieur le M decin colonel Abdelhay LEMNOUER Biologiste service du laboratoire de CHMIMTV de rabat Nous sommes infiniment sensibles l honneur que vous nous faites en acceptant de si ger parmi les membres de jury de cette th se Permettez nous de vous t moigner toute notre admiration Pour votre accueil sympathique Nous vous prions d accepter l expression de notre respect et notre sinc re reconnaissance Glossaire Proc dures sont des documents d organisation d crivant les r gles les responsabilit s et les moyens n cessaires pour maitriser les processus Ces documents r pondent la question QUI FAIT QUOI POUR GARANTIR QUE we M Modes op ratoires d crivent les op rations effectuer les pr cautions prendre les mesures appliquer pour r aliser une analyse Fiches techniques
59. c dure concernant l limination des d chets et la protection de l environnement 63 11 3 2 5 Evaluation de la disponibilit des moyens humains et mat riels 50 du personnel du laboratoire pensent que les moyens humains dont ils disposent sont suffisants pour mener bien leurs activit s A galit 50 ne partagent pas la m me opinion Pour les moyens mat riels 71 40 du personnel se d clarent satisfait contre 28 6 qui ne le sont pas figure 28 80 0096 70 0096 60 0096 50 0096 40 0096 30 0096 20 0096 10 00 0 00 m OUI POUR MH NON POUR MH OUI POUR MM NON POUR MM Fig 28 Disponibilit des moyens humains et mat riels 11 3 2 6 Evaluation des causes de d mobilisation Les principales causes de d mobilisation retrouv es sont l insuffisance du personnel avec 33 32 p nurie de milieux de cultures 33 3796 et un manque de r actifs avec 29 63 figure 29 64 35 30 25 INSUFFISANCE DU 20 PERSONNEL B MILIEUX DE 15 CULTURE 10 REACTIFS 5 SANS REPONSE 0 Fig 29 Les principales causes de d mobilisation 11 3 2 7 Maintenance du mat riel du laboratoire 69 05 du personnel du laboratoire savent qu il existe une quipe externe charg de la maintenance de tout le mat riel utilis s au laboratoire contre 17 8796 qui disent l ignorer figure 30 B NON m OUI SANS REPONSE NON OUI SANS REPONSE Fig 30 Connaissance de la m
60. coup de sacrifice Le son de vos voies me fait voluer dans mes tudes et me fait surmonter les preuves Puisse Dieu m aider pour rendre un peu soit il de ce que vous m avez donn Puisse dieu vous b nir et vous laisser savourer les fruits de mes efforts A la m moire de mon p re Feu El hadj Samna Soumana Bien que les fleurs se fanent meurent et disparaissent leurs pr cieux parfums demeurent toujours Tout comme ces parfums ceux qui nous aimions ne meurent jamais Ils demeurent avec nous empreints dans nos pr cieux souvenirs et pour l ternit Le destin n a pas voulu qu on partage ces moments de joie ensemble mais la seule chose qui reste est de prier sans cesse pour toi afin que tu repose en paix et peux tre qu on se retrouvera incha allah au paradis A mon grand frere Mr Samna Idrissa Soumana Aucun geste que je ferai dans cette vie ne saurait remplacer ce que tu m as fait Aucune d dicace ne saurait exprimer l estime Le respect et l amour que je te porte Tu t es investi corps et me tout au long de ma formation Que ce travail soit le gage de ma reconnaissance et de ma gratitude Que Dieu le bon dieu puisse te b nir t accorder une longue vie Pleine de bonheur et de satisfaction A tous mes fr res et s urs Les mots ne sauraient exprimer tendu de mon affection et de ma gratitude Je vous d die ce travail et vous exhorte au resserrement des liens de la famille dans l am
61. de l HMIMV de Rabat Salle d identification Salle de d p ts des Salle d antibacillogramme Salle de et de culture quipements centrifugation d autoclavage et de laverie Salle de biologie Bloc pour la recherche des mycobact ries mol culaire Bureau du chef de service Salle des Vestiaires pour les archives hommes Professeur EI HAMZAOUI SAKINA Salle de Vestiaires Bureau du major de stockage pour les service des femmes r actifs SECRETARIAT Hall d attente PAILLASSE DES IST Salle de st rilisation Salle de remplissage des bo tes de Salle de pr paration des milieux p tri 1 Salle d ana robie x Salle de s curit incendie Bureau du prof EL OUENNASS Bureau du prof Sekhsokh Salle de lecture des Salle de stockage Salle du microscope antibiogr ammes et des fluorescence galeries api 32 ID des antibiotiques Salle d incubation des h mocultures PAILLASSE DES DIVERS Salle d incubation et de PAILLASSE DES PONCTIONS coloration PAILLASSE DE COPROLOGIE alimentatian PAILLASSE DES URINES Bureau de Mme CHADLI 32 1 1 1 2 Le personnel Le service est dirig par un professeur titulaire Chaque paillasse est sous la responsabilit d un biologiste m decin ou scientifique chef de paillasse aid par un ou deux techniciens qualifi s Le personnel du service est compos de Y Le chef de service qui s occupe de l organisation du laboratoire des relations d ordres administratives de la ges
62. de la qualit des r sultats rendus 7 Figure 36 Evaluation de l aper u du bon laboratoire d analyses PEODOSe e oes ata ona oan edge t 72 Figure 37 Evaluation du style de leadership souhait 73 Figure 38 R partition des bons d examen conform ment l chelle d valuation propOsee hii Petri dee ober d en pe v A TR ER al 75 Figure 39 Le diagramme d Ishikawa 82 LISTE DES TABLEAUX Tableau I Les principes de transport selon la nature de es tbt tides pasti fu rcd AM Ea tdt 16 Tableau II Les types de non conformit s et les d cisions prises au laboratoire uos Aet eot ne arn anager saree use 18 Tableau III Cartographie du laboratoire de bact riologie de l HMIMV de Tableau IV Pourcentage de participation des diff rents services 44 Tableau V Les motifs entravant la bonne r alisation des pr l vements vis e diagnostique bact riologique 49 1 Revue d la Iterar eseh Rs a 3 I R gles de fonctionnement d un laboratoire de bact riologie 3 I 1 Organisation g n rale du laboratoire et assurance qualit 3 1 1 1 Responsabilit de la direction 3 1 1 2 Responsabilit du biologiste
63. des techniques sp ciales Elle est effectu e apr s l ensemencement sur les diff rents milieux de cultures pour confirmer ou infirmer les r sultats de l examen direct S il y a pousse bact rienne l identification est bas e sur plusieurs crit res L examen macroscopique caract res morphologiques et culturaux des colonies aspect odeur couleur L examen microscopique apr s la coloration de Gram de certaines colonies suspectes 40 L examen biochimique bas sur des r actions biochimiques permettant de diff rencier les bact ries comme la catalase et l oxydase La plupart des tests biochimiques d identification sont regroup s dans des galeries appel es galeries Api qui sont un ensemble de cupules contenant chacun un milieu r actionnel d shydrat et permettant de r aliser facilement et rapidement des tests biochimiques Il existe galement des tests s rologiques technique d agglutination dont le but est de diff rencier les souches de microorganismes en fonction de leurs compositions antig niques Enfin la biologie mol culaire utilis e pour la recherche des toxines bact riennes Antibiogramme L antibiogramme permet d tudier la sensibilit d une bact rie vis vis des antibiotiques Il a pour but de d terminer la Concentration Minimale Inhibitrice CMI d une souche bact rienne divers antibiotiques Par d finition la CMI est la plus petite concentration d antibiotique capabl
64. e le biologiste doit mentionner la non conformit constat e sur Le compte rendu de l analyse La gestion des non conformit s est obligatoire dans un laboratoire d analyse et doit tre trac e Elle exige en amont la constitution d un r f rentiel d finissant pr cis ment les r gles de conformit qui sera diffus aupr s des diff rents acteurs dans le guide technique des pr l vements A l arriv e des pr l vements ces non conformit s doivent tre relev es au moyen d une fiche de suivi dont un exemple est fourni ici dans l annexe 3 19 Cette fiche permet d informer le clinicien de la non conformit constat e et des cons quences possibles sur le pr l vement de proposer des mesures correctives imm diates et de colliger ces donn es au sein du laboratoire Lorsqu il s agit d un pr l vement difficile ou unique les crit res d acceptation doivent tre appr ci s avec circonspection La quantification de ces probl mes de non conformit s permet de prendre les mesures correctives et pr ventives adapt es et d en suivre l efficacit 6 20 11 2 La phase analytique II 2 1 Ex cution des analyses La phase analytique concerne la r alisation de l examen elle ne peut tre r alis e en dehors d un laboratoire de biologie m dicale LBM qu au cas o elle est rendue n cessaire par une d cision th rapeutique urgente 9 Elle est alors faite soit dans un tablissement hospitalier soit pour des raiso
65. e de provoquer une inhibition compl te de la croissance d une bact rie donn e appr ciable nu apr s une p riode d incubation de 18 heures 37 C A chaque CMI correspond un diam tre d inhibition donn par la courbe de concordance A partir de la culture de 18 24 heures sur milieu g los l inoculum est pr par et ensemenc par inondation sur la g lose Mueller Hinton Les disques d antibiotiques sont appliqu s apr s s chage de la g lose 41 Validation des r sultats Les r sultats sont saisis par les techniciens et valid s par les biologistes Conservation des chantillons Tous les chantillons sont conserver dans un r frig rateur 4 C jusqu au rendu des r sultats finaux 1 4 La phase post analytique Elle consiste en l enregistrement des r sultats sur les bons ou les cahiers de paillasse afin d tre saisis sur le Labo serveur qui doit comporter toutes les informations sur le patient nom pr nom le num ro d identification permanente IPP la nature du pr l vement le service d hospitalisation et les r sultats de l analyse Un compte rendu des r sultats est donn aux cliniciens ou aux patients dans les 48 heures suivant la r ception des pr l vements Pour les cas urgents les r sultats de l examen direct sont communiqu s dans les 24 heures apr s la r ception I 5 Relations des cliniciens avec le laboratoire Les cliniciens ont un r le primordial dans l orientation
66. e de nuit 11 2 4 2 Ex cution d examen direct sans d lai et discussion entre clinicien et biologiste pour la prise en charge th rapeutique 95 des cliniciens veulent que l examen direct soit effectu sans d lai et qu il ait une plus troite collaboration entre le clinicien et le biologiste dans la prise en charge th rapeutique On remarque que 546 estiment que cette approche n est pas n cessaire figure 19 57 m OUI NON Fig 19 Suggestion d ex cution de l examen direct sans d lai et coop ration clinico biologiste pour la prise en charge th rapeutique 11 2 4 3 Notification des renseignements cliniques sur les bons d examens 99 206 des cliniciens jugent n cessaire de notifier les renseignements cliniques sur les bons d examens Il convient de souligner qu une infime partie 0 896 s expriment contre cette notification figure 20 100 80 E B NON 60 7 m OUI o 5 40 o a 20 R ponse Fig 20 Notification des renseignements cliniques sur les bons d examens 58 11 3 R sultats de l valuation interne IL3 1 La phase pr analytique 11 3 1 1 _ Evaluation de la qualit des pr l vements re us pour analyse 59 du personnel du laboratoire se d clarent satisfaits de la qualit des pr l vements recus figure 21 E NON E OUI Fig 21 Evaluation de la satisfaction de la qualit des pr l vements re us 11 3 1 2 Evaluation des bons d examens re us 85 70 du
67. e la probit et du d sint ressement De ne d voiler personne les secrets qui m auraient t confi s ou dont jaurais eu connaissance dans l exercice de ma profession de ne jamais consentir utiliser mes connaissances et mon tat pour corrompre les meeurs et favoriser les actes criminels Que les hommes m accordent leur estime si je suis fid le mes promesses que je sois m pris des mes confr res si je manquais mes engagements 2010 97 T gapa 45 13 1985
68. eaux d indicateurs utiles la bonne marche d un service de biochimie hospitalier Immuno analyse et biologie sp cialis e 2008 23 159 178 Adeoti MF Camara C M Djessou P Sery B B Sess E D Etude de la qualit de la gestion m trologique du plateau technique des laboratoires publics de biochimie clinique Abidjan Immuno analyse amp Biologie sp cialis e 2005 20 39 44 Anne Marie Lorec P net Vincent Saunier Elise Lombard Claude Arfi Henri Portugal Du GBEA l accr ditation dans un laboratoire de biochimie de CHU application une structure multi sites Revue francophone des laboratoires f vrier 2010 419 33 44 Le Piton A Pontezi re C Claisse C Laureaux C Marie B et al Assurance qualit contr le de qualit interne et valuation externe de la qualit Annales de Biologie Clinique Janvier F vrier 2000 1 103 110 R f rentiel en Microbiologie M dicale REMIC 3e dition Contr le de qualit Assurance de la qualit 2008 183 186 Bo l F Guide de bonne ex cution des analyses GBEA version II arr t du 26 11 99 parution au JO le 11 12 99 Peyrin J C Francois P Clauzel V Labar re J Serre Debeauvais F Goullier Fleuret A Assessment of a quality management process in biological laboratories of a teaching hospital Annales de Biologie Clinique Mai Juin 2001 3 358 66 Pelnier I Prevosto J M Dusseau J Y Cheminel V Renard C Thefenne et al Hygi ne et
69. echnique M comme mat riel ou automates Fig 39 Diagramme d Ishikawa Former les cliniciens et infirmiers au respect des instructions pr cises de pr l vement car La qualit des analyses est directement li e celle des pr l vements Exiger aux cliniciens la notification des renseignements suivants sur le bon d examen L identit du malade nom pr nom sexe date de naissance le num ro d identification la date d hospitalisation ou de transfert dans d autres tablissements 18 81 L analyse microbiologique doit tre prescrite clairement La nature exacte de l chantillon biologique son origine anatomique et son mode de recueil exemple urine sur sonde doivent tre d crits ainsi que la date et l heure exactes de pr l vement 16 Le nom et l adresse du m decin prescripteur sont galement n cessaires celui ci doit s identifier clairement et signer son bon de demande car les r sultats doivent pouvoir lui tre adress s nominativement et il doit tre joignable pour le recueil d informations manquantes 19 La prescription comporte galement les renseignements cliniques chaque fois qu ils sont utiles la bonne ex cution de l analyse et son interpr tation La notion d urgence Elle devra tre pr cis e afin que les r sultats d examen direct soient transmis imm diatement L existence d une antibioth rapie qui interf re souvent avec le diagnostic et peut rendre n gatif les r sultats
70. ect es Nature non d termin e OOOOO Demande d analyse Absente Identification du patient absente ou illisible Prescription insuffisante Prescription erron e discordance identit du pr l vement identit de la demande Prescription erron e discordance analyse demand e pr l vement effectu Date de pr l vement absente U U U U U U Autres d crire l anomalie DATE MESURES PRISES AU LABORATOIRE R gularisation t l phonique effectu e le Nom de la personne contact e et fonction dans le service Produit Accept sous r serve de r ponse crite la correction demand e Refus avec information du service prescripteur DATE VISA BIOLOGISTE REPONSE DU SERVICE DEMANDEUR DATE NOM et qualit Annexe 4 militaire d instruction Mohamed V Rabat Service de bact riologie Grade Profession Nature du dipl me universitaire Nombre d ann es d exercice Fiche d valuation interne du laboratoire de bact riologie de l h pital Nous demandons vos avis sur le laboratoire de bact riologie de cet h pital afin d am liorer la qualit de vos travaux et de vos r sultats Veuillez r pondre par oui ou non et donner vos suggestions Le Questionnaire La phase pr analytique N Questions Oui Non Autres r ponses 1 Etes vous satisfait des pr l vements qu on vous am ne au laboratoire 2 Ce
71. ectuer des analyses autres que celles pr vues par le fabricant ou utilisant des r actifs non fournis par celui ci toute extension d utilisation non valid e par le fournisseur engage la responsabilit du biologiste 6 Les appareils doivent tre p riodiquement et efficacement inspect s nettoy s entretenus et v rifi s Le responsable du laboratoire doit s assurer de la mise en ceuvre des moyens m trologiques n cessaires leur v rification usuelle Le principe de ces v rifications consiste appliquer un syst me de m trologie sur les diff rents quipements ayant un rapport l analyse biologique Le contr le de ces moyens 9 est devenu une obligation afin de maitriser non seulement la qualit au sein du laboratoire mais aussi pour assurer la confiance dans la valeur des r sultats transmis aux diff rents services 11 Des mesures de remplacement en cas de dysfonctionnement d un mat riel doivent tre pr vues I 3 Mat riels et R actifs Le petit mat riel indispensable au fonctionnement des appareils doit tre conforme aux normes sp cifi es par les constructeurs et doit tre utilis uniquement selon l usage et les modalit s pr vus dans la notice Le biologiste doit v rifier que les r actifs r pondent la r glementation en vigueur et qu ils sont employ s et conserv s selon le mode op ratoire pr conis par le fabricant dans leur notice d utilisation Les r actifs pr par s et ou reconstitu s au
72. ed 209 Pr CHAOUIR Souad 210 Pr DERRAZ Said 211 Pr ERREIMI Naima 212 Pr FELLAT Nadia 213 Pr GUEDDARI Fatima Zohra 214 Pr HAIMEUR Charki 215 Pr KADDOURI Noureddine 216 Pr KANOUNI NAWAL 217 Pr KOUTANI Abdellatif 218 Pr LAHLOU Mohamed Khalid 219 Pr MAHRAOUI CHAFIQ 220 Pr NAZZI M barek 221 Pr OUAHABI Hamid 222 Pr SAFI Lahcen 223 Pr TAOUFIQ Jallal 224 Pr YOUSFI MALKI Mounia Novembre 1998 225 Pr BENKIRANE Majid 226 Pr KHATOURI Ali 227 Pr LABRAIMI Ahmed Novembre 1998 228 Pr AFIFI RAJAA 229 Pr AIT BENASSER MOULAY Ali 230 Pr ALOUANE Mohammed 231 Pr LACHKAR Azouz 232 Pr LAHLOU Abdou 233 Pr MAFTAH Mohamed 234 Pr MAHASSINI Najat 235 Pr MDAGHRI ALAOUI Asmae 236 Pr MANSOURI Abdelaziz 237 Pr NASSIH Mohamed 238 Pr RIMANI Mouna 239 Pr ROUIMI Abdelhadi Janvier 2000 240 Pr ABID Ahmed 241 Pr AIT OUMAR Hassan Radiologie Chirurgie G n rale M decine Interne Pneumo phtisiologie Traumatologie Orthop die N phrologie Cardiologie Gyn cologie Obst trique Chirurgie G n rale Urologie Neurologie O RL Radiologie Neurochirurgie P diatrie Cardiologie Radiologie Anesth sie R animation Chirurgie P diatrique Physiologie Urologie Chirurgie G n rale P diatrie Cardiologie Neurologie Anesth sie R animation Psychiatrie Gyn cologie Obst trique H matologie Cardiologie Anatomie Pathologique Gast
73. ent avec de l eau de javel dilu e D D contamination de la hotte du bloc des recherches des mycobact ries 36 1 2 La phase pr analytique Apres r ception des pr l vements au 1 tage du d partement de biologie ils sont achemin s dans un paquet ou dans un panier au laboratoire Une fois au laboratoire ils sont envoy s sur les paillasses d activit s en fonction de la nature de l chantillon et de l examen effectuer figure 3 Fig 3 A Panier pour le transport des urines B Paquet pour le transport des chantillons D autres pr l vements venant des diff rents services de sont amen s au laboratoire de bact riologie par le personnel du service demandeur I 3 La phase analytique Elle consiste la r alisation de l analyse biologique proprement dite et la manipulation des pr l vements Pour faciliter cette tape le laboratoire de bact riologie dispose des proc dures et des modes op ratoires relatifs aux types d analyses r alis es et de personnel comp tent et qualifi Tous les pr l vements recus sont vis e diagnostique Il s agit d tablir le diagnostic tiologique d une infection suspect e cliniquement en faisant recours aux techniques d analyses biologiques 37 I 3 1 Types d analyses r alis es Examen cytobact riologique des urines ECBU Compte d Addis Coproculture H moculture Examen cytobact riologique de Ponction lombaire Pr
74. es appareils l ad quation des zones de stockage et des locaux d archivages et la disponibilit du mat riels et des r actifs Le pourcentage de satisfaction a t de 67 0596 contre 8396 dans l tude de Peyrin et al En ce qui concerne la confidentialit des r sultats d analyses et le respect du droit des patients un pourcentage de satisfaction de 79 a t retrouv d passe celui rapport par Peyrin et al 74 La s curit et l hygi ne pr sentent beaucoup de points faibles 57 de satisfaction dans notre tude contre 8746 dans celle de peyrin et all Les proc dures concernant l hygi ne et la s curit sont indisponibles au poste de travail Le risque infectieux est maitris de facon peu satisfaisante On retrouve notamment l insuffisance des actions de sensibilisation et d information du personnel des laboratoires et de nombreuses proc dures visant pr venir ce risque Une am lioration du recueil et de l analyse des accidents d exposition aux produits pathog nes est n anmoins apporter Le personnel de garde du laboratoire des urgences est sp cialis dans la prise en charge de tous les types d chantillons Le personnel de garde prend donc en charge tous les pr l vements adress s au laboratoire de bact riologie pendant les heures de garde Il assure la r alisation syst matique d un ensemencement sur diff rents milieux de culture La proposition par 88 45 des cliniciens sur la mise en place d une
75. eurs retrouv es dans les autres phases car comme le dit le guide de bonne ex cution des analyses de biologie m dicale La qualit des r sultats ne d pend pas seulement de l analyse proprement dite mais aussi de l organisation g n rale du laboratoire de la qualification et de la motivation du personnel ainsi que du respect des proc dures op ratoires lors des diff rentes tapes de l ex cution des examens pr analytique analytique et postanalytique En regroupant les r sultats de conformit aux r f rentiels des diff rentes phases d analyses pr analytique analytique et post analytique nous avons obtenu un taux global de conformit de 55 5496 Peyrin et al rapporte un taux global de conformit sup rieur 7696 Les donn es obtenues nous permettent de noter que les phases analytique et post analytique sont performantes dans notre institution Les difficult s r sident principalement au niveau de la phase pr analytique Les solutions y apporter n cessitent l implication de tous les acteurs de l h pital Elles sont principalement repr sent es par l exigence aux cliniciens de bien prescrire et pr lever et par l acheminement rapide des pr l vements au laboratoire 75 La gestion des fonctions logistiques qui concerne essentiellement le nettoyage et l entretien des locaux et des quipements l existence de la maintenance des appareils et des proc dures de remplacement en cas de dysfonctionnements d
76. gique Oto Rhino Laryngologie Gastro Ent rologie Chimie Analytique Anesth sie R animation Stomatologie et Chirurgie Maxillo faciale Neurologie Anatomie Pathologique Radiologie Gyn cologie Obst trique P diatrie Cardiologie Chirurgie G n rale P diatrie Ophtalmologie Gyn cologie Obst trique Traumatologie Orthop die Urologie Chirurgie Cardio Vasculaire Ophtalmologie Gyn cologie Obst trique Gastro Ent rologie Pharmacie Clinique Chirurgie G n rale Cardiologie Janvier 2005 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 Pr ABBASSI Abdelah Pr AL KANDRY Sif Eddine Pr ALAOUI Ahmed Essaid Pr ALLALI fadoua Pr AMAR Yamama Pr AMAZOUZI Abdellah Pr AZIZ Noureddine Pr BAHIRI Rachid Pr BARAKAT Amina Pr BENHALIMA Hanane Pr BENHARBIT Mohamed Pr BENYASS Aatif Pr BERNOUSSI Abdelghani Pr BOUKALATA Salwa Pr CHARIF CHEFCHAOUNI Mohamed Pr DOUDOUH Abderrahim Pr EL HAMZAOUI Sakina Pr HAJJI Leila Pr HESSISSEN Leila Pr JIDAL Mohamed Pr KARIM Abdelouahed Pr KENDOUSSI Mohamed Pr LAAROUSSI Mohamed Pr LYACOUBI Mohammed Pr NIAMANE Radouane Pr RAGALA Abdelhak Pr REGRAGUI Asmaa Pr SBIHI Souad Pr TNACHERI OUAZZANI Btissam Pr ZERAIDI Najia Avril 2006 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 Pr ACHEM
77. gistrement utilis au niveau du laboratoire de bact riologie de HMIMV de Rabat permet il de produire une liste de toutes les demandes d examen Le syst me d enregistrement utilis au niveau du laboratoire de bact riologie de HMIMV de Rabat permet il de laisser une documentation qui assure la tra abilit des examens r alis s disposez vous d un syst me informatique pour la tracabilit de toutes les analyses annexe 1 principe du labo serveur Le laboratoire de bact riologie de l HMIMV de Rabat poss de t il une proc dure concernant l limination des d chets et la protection de l environnement La phase analytique Vos moyens vous suffisent ils pour la r alisation de vos analyses 3E Moyens humains mains d ceuvre 4 Moyens mat riels milieux de culture pipettes les appareillages Temps Avez vous suffisamment d accessoires pour vos analyses Qu est ce qui vous ralenti le plus souvent pour la r alisation de vos travaux Les milieux de culture Les r actifs Les appareillages 3E L insuffisance du personnel Faites vous la maintenance pr ventive pour vos quipements et appareillages Devant un dysfonctionnement du syst me de travail appareillages et autres quipements faites vous la maintenance curative Devant un dysfonctionnement du syst me de travail appareillages et autres quipements
78. hall d attente Y Une salle VIP very important personality 30 lt SONS SSS SSE SS Un secr tariat Les bureaux celui du chef de service et des diff rents m decins biologistes du major de service et des stagiaires Une salle des archives Une salle de r serve Une salle de stockage des antibiotiques et des galeries api Une salle de pr paration des milieux Une salle d ana robie deux salles d incubations d une pour les h mocultures l autre pour le reste des chantillons analys s les urines les crachats les selles les liquides de ponctions et les pr l vements g nitaux Un bloc r serv pour la recherche des mycobact ries qui est compos d un hall de r ception des chantillons d une salle d identification et de culture d une salle de biologie mol culaire d une salle d antibacillogramme d une salle de d p t des quipements n cessaires pour les manipulations et d une salle de centrifugation d autoclavage et de laverie Diff rentes paillasses d analyse o La paillasse des IST infection sexuellement transmissible o Lapaillasse des Divers o La paillasse des Ponctions o Lapaillasse des Urines Une salle de st rilisation du mat riel du laboratoire Une salle r serv e pour l environnement et l alimentation Les vestiaires pour hommes et ceux pour les femmes Les toilettes pour hommes et ceux pour les femmes 31 Tableau III Cartographie du laboratoire de bact riologie
79. ion Clinique et Biologique 2005 12 200 204 43 Le Vacon F Le contr le de qualit en s rologie ou comment garantir la qualit d un r sultat d analyse semi quantitative Immuno analyse et biologie sp cialis e 2007 22 391 397 112 44 Trapadoux F Bourai D Gestion et volution de l accr ditation des laboratoires de l tablissement frangais du sang Transfusion Clinique et Biologique 2005 12 103 106 45 Borderan G C Mignot L Bonnan J Faure P Blanc S Lelievre I et al valuation des antibioth rapies curatives dans les services de chirurgie orthop dique d un CHG 2010 40 285 291 46 Mallet G Dugay A Leroy M Gray C Basuyau J P Brunelle P D marche d accr ditation Cofrac dans un laboratoire hospitalier polyvalent Mise en place et gestion au quotidien Immuno analyse amp Biologie sp cialis e 2005 20 239 244 47 HAS Service valuation des pratiques valuation et am lioration des pratiques professionnelles D marche de qualit en anatomie et cytologie pathologiques ACP Transmission r ception et enregistrement des pr l vements dans une structure d anatomie et cytologie pathologiques Mars 2005 48 Hitoto H Eveillard M Lemari C Cottin J Joly Guillou M L valuation des services rendus par le syst me de fonctionnement en continu d un laboratoire de bact riologie M decine et maladies infectieuses 2010 40 219 225 49 Castanheira I Robb P Owen L den Boer H Schmi
80. ion des anomalies d tect es par ce programme Maintenance et du bon fonctionnement des appareillages Bonne tenue des documents qui concourent la tra abilit notamment ceux concernant les r actifs et la p riode d utilisation de chaque lot Qualit des analyses assur es par les laboratoires collaborateurs Mise en ceuvre des valuations internes 6 Appliquer les r f rentiels obligatoires et les r f rentiels volontaires d accr ditation 85 86 Bien que le Laboratoire de bact riologie de l HMIMV de Rabat n applique ni les r f rentiels obligatoires GBEA et Manuel de l Anaes ni les r f rentiels volontaires d accr ditation Normes NF EN ISO 9001 Normes NF EN ISO CEI 17025 et Normes NF EN ISO 15189 il arrive satisfaire les demandes d examen Bien que nos r sultats soient inf rieurs ceux rapport s par des auteurs dans des tudes men es dans des centres de r f rence ils constituent en soi des motifs de satisfaction Un taux de satisfaction de 59 296 est ainsi exprim par les cliniciens au regard des pr l vements qui comportent 60 3 des non conformit s Ils justifient les efforts fournir pour am liorer la qualit des prestations du laboratoire Il est vident que ce type d tude de satisfaction peut susciter des craintes li es au jugement des acteurs hospitaliers sur le service et pourrait conduire une restriction des r sultats La pr sente valuation a jou un r le
81. ionnelle Annale Pharmaceutique Frangais 2004 62 376 381 66 Sylvie Marion Une exp rience pratique d accr ditation en h matologie Revue francophone des laboratoires f vrier 2010 419 45 51 67 Thierry Avellana Une exp rience pratique d accr ditation en laboratoire de biologie m dicale polyvalent multi sites Revue francophone des laboratoires f vrier 2010 419 69 73 115 SITES INTERNET www wikip dia com www reformes hospitalieres com www medix free fr www google com WWW sciencedirect com www emconsulte com www medramo ac ma www pubmed com 116 RESUME Titre Les indicateurs de l assurance de qualit du laboratoire de bact riologie de HMIMV de Rabat Auteur Samna Soumana Maimouna Mots cl s indicateurs assurance qualit laboratoire bact riologie Introduction Le bon fonctionnement d un laboratoire et sa bonne gestion sont des objectifs essentiels poursuivis par tous les biologistes chefs de service de laboratoire dans un h pital Depuis plus de 30 ans d j les laboratoires de biologie m dicale sont toujours dans l am lioration continue de la qualit de leurs prestations L objectif de notre tude est double Faire une analyse situationnelle du laboratoire de bact riologie de HMIMV de Rabat afin de recenser les diff rents dysfonctionnements Appliquer les indicateurs de l assurance de qualit afin d avoir son niveau de qualit par rapport aux laboratoires accr dit s Ma
82. ire sont les m decins les sages femmes et les biologistes 16 11 1 3 Le pr l vement des chantillons biologiques Le pr l vement peut tre effectu par le m decin prescripteur par le biologiste ou par du personnel qualifi et autoris conform ment la r glementation en vigueur Ces personnes doivent tre form es aux proc dures de pr l vement du laboratoire annexe 2 et inform es des risques d erreurs sur les r sultats d analyses cons cutives la r alisation d fectueuse du pr l vement et la n cessit de pr ciser au biologiste responsable tout incident survenu au cours du pr l vement 19 Le biologiste v rifie la conformit des chantillons biologiques accept s dans son laboratoire Il doit refuser tout chantillon pr lev ou transmis dans des conditions non conformes aux proc dures techniques de pr l vement Le motif de ce refus sera port la connaissance du m decin prescripteur annexe 3 Chaque fois que cela est possible il est souhaitable que le pr l vement soit effectu au laboratoire 6 14 Le pr l vement doit tre r alis en r gle g n rale avec du mat riel st rile usage unique Le r cipient destin recevoir l chantillon biologique doit tre adapt la nature de l chantillon et celle des analyses 6 18 IL1 4 Identification des chantillons Tubes ou r cipients primaires L tiquetage des r cipients contenant l chantillon biologique doi
83. is qu ils peuvent influer sur l expression du r sultat Pour les r sultats quantitatifs les performances analytiques de la m thode peuvent tre indiqu es Les unit s du syst me international SI doivent tre utilis es quand elles existent 6 II 3 1 2 Comptes rendus et signature Les comptes rendus d analyses doivent figurer sur un papier en t te du laboratoire comportant les mentions fix es r glementairement et tre sign s par le biologiste Ils ne peuvent tre communiqu s qu apr s les op rations de validation Toutefois pour les patients hospitalis s et dans le cas des examens demand s en urgence des r sultats partiels peuvent tre transmis dans des conditions d finies par le biologiste et sous sa responsabilit avant la validation biologique de l ensemble des r sultats demand s Ils doivent tre confirm s d s que celle ci aura t effectu e par un biologiste et le m decin traitant doit tre inform de cette particularit N anmoins dans l tat actuel de la r glementation toute signature t l matique doit tre confirm e par un document comportant les r sultats d analyses certifi s par une signature manuscrite 6 23 II 3 2 Transmission des r sultats Les r sultats d analyses sont remis au patient en main propre ou lui sont envoy s sous pli cachet son nom et l adresse qu il communique Les r sultats d analyses peuvent galement tre transmis au m decin prescripteur du
84. la contribution du corps m dical et du patient 6496 du corps m dical et des patients contribuent faciliter la r alisation du pr l vement contre 33 qui n y contribuent pas figure 6 47 E OUI B NON B SANS REPONSE Fig 6 Qualit des pr l vements d apr s la contribution du corps m dical et du patient 2 1 4 Possession des proc dures relatives aux pr l vements vis e bact riologique Notre tude r v le que 79 des services cliniques interrog s ne poss dent M pas des proc dures relatives aux pr l vements vis e diagnostique bact riologique contre 21 qui en ont figure 7 B OUI B NON E SANS REPONSE Fig 7 Connaissance des proc dures relatives aux pr l vements vis e diagnostique bact riologique 48 11 2 1 5 Qualification du personnel effectuant le transport des chantillons Selon les cliniciens 36 du personnel effectuant le transport des chantillons ne sont pas qualifi dans le domaine et que 6046 ont la qualification sur le transport des chantillons bact riologiques figure 8 B OUI NON SANS REPONSE Fig 8 Qualification du personnel effectuant le transport des chantillons 11 2 1 6 Les motifs entravant la bonne r alisation des pr l vements vis e diagnostique bact riologique 16 2 des cliniciens interrog s ne signalent aucun emp chement la bonne r alisation des pr l vements vis e diagnostique bact riol
85. la r alisation des pr l vements biologiques On d finit le pr l vement comme un acte de soins qui consiste pr lever un chantillon biologique en vue d une analyse les personnes autoris es pr lever sont Les Infirmi res dipl m es d tat Les Techniciens de laboratoire Les Manipulateurs en lectroradiologie Les Sages femmes Les M decins et Les Pharmaciens biologistes L objectif de cet acte est de r aliser un pr l vement de qualit dans des conditions d hygi ne et de s curit pour le patient et le personnel Il faut au pr alables v rifier la prescription m dicale informer le malade s informer des dispositions particuli res relatives aux examens effectuer choisir le mat riel adapt au type de pr l vement tubes aiguilles dispositifs de pr l vement et au malade v rifier la date de p remption du mat riel et pr parer le mat riel n cessaire pour le pr l vement 2 Consignes g n rales pour tous types de pr l vements Pour r aliser un pr l vement il faut se munir de Gants de masque si n cessaire de savon antiseptique de compresses non st riles et du mat riel 91 sp cifique Tubes flacons r cipients couvillons seringues aiguilles pour le type de pr l vement Le d roulement du pr l vement peut se r sumer en R aliser un lavage simple des mains ou une d sinfection par friction avec un produit hydro alcoolique Installer la per
86. lasses 50 Figure 10 Am lioration de la qualit des r sultats d analyse des pr l vement Sasek ea 51 Figure 11 Evaluation de la qualit des r sultats obtenus durant les heures ouvrable Singa ara aa deae dudes dto deter 52 Figure 12 Evaluation de la qualit des r sultats durant les gardes 52 Figure 13 Evaluation de l apport de l examen direct la prise en charge IDErape OHQUE 59 Figure 14 Avis des cliniciens sur la qualification du personnel effectuant l s parde bo deseo nano et Pads 54 Figure 15 Pourcentage des cliniciens ayant connaissance de la liste des prelevenments n a 54 Figure 16 Modalit s de transmission et de r cup ration des r sultats 1111915 55 Figure 17 satisfaction des cliniciens au regard des comptes rendus des 56 Figure 18 Suggestion de l installation d une quipe de nuit 57 Figure 19 Suggestion d ex cution de lexamen direct sans d lai et coop ration clinico biologiste pour la prise en charge th rapeutique 58 Figure 20 Notification des renseignements cliniques sur les bons CHER ANIC MS eee Man aid ta lives 58 Figure 21 Evaluation de la satisfaction de la qualit des pr l vements Figure 23 Comparaison des pr l vemen
87. le pr nom le num ro de l identification permanente du patient IPP nature du pr l vement l examen effectuer avec le cachet du m decin Aucune information sur le patient la date du pr l vement et le nom du service En fonction de cette chelle nous observons Pour l ECBU et la recherche des mycobact ries nous remarquons que la majorit des non conformit s sont de cat gorie 2 52 9 suivie de la 71 cat gorie 3 37 5 puis de la cat gorie 4 2 1 Tandis que pour l examen cytobact riologique ECB c est la cat gorie 3 qui pr domine suivie de la cat gorie 2 puis la cat gorie 4 Nous remarquons que les pr l vements de cat gorie 4 qui repr sentent l id al sont les plus rares figure 38 25 20 Cat gorie Cat gorie 1 15 Cat gorie 2 10 Cat gorie 3 5 DEM Cat gorie 4 0 o Fig 38 R partition des bons d examen conform ment l chelle choisie 72 73 III Discussion Les r sultats obtenus l issue de cette tude refl tent le niveau de qualit du laboratoire de bact riologie de de Rabat La r alisation du pr sent travail a n cessit la participation de tous les services collaborateurs travers leur personnel m dical et le recensement de leurs perceptions du laboratoire ainsi que leurs avis pour l am lioration des prestations Certains services interrog s n ont pas particip l valuation cause de la non disp
88. llon la nature de la maladie le type d analyse effectuer le traitement en cours le nom du pr leveur la date du pr l vement le num ro de l identification permanente du patient et le nom du service annexe 4 le bon Pour une bonne am lioration des conditions de travail voulez vous que le style de leadership soit Autoritaire c est dire soit distance du groupe et donne des ordres pour diriger les activit s encourage et participe D mocratique c est dire donne des suggestions 4 Laisser faire c est dire apporte de l expertise tr s peu d implication dans les activit s 102 Fiche d valuation externe du laboratoire de bact riologie de l h pital militaire d instruction Mohamed V Rabat Service Grade Profession Sp cialit Nombre d ann es d exercice Nous demandons vos avis sur le laboratoire de bact riologie de cet h pital afin d am liorer la qualit de vos r sultats et de notre laboratoire Veuillez r pondre par oui ou non et donner vos suggestions Fiche d valuation gt Au sein de votre service La phase pr analytique N Questions Oui Non Autres r ponses l Avez vous suffisamment de renseignement concernant les conditions de r alisation des pr l vements 2 Avez vous recu une formation au sujet des modalit s de pr l vement 3 Avez vous des quipements n cessaires p
89. logiques apr s s tre assur que leur ex cution est conforme aux recommandations du GBEA Signer les comptes rendus d analyses S assurer que leur transmission se fait dans les d lais compatibles avec leur bonne utilisation clinique et dans des conditions de confidentialit pr servant le secret professionnel 6 9 1 1 3 Responsabilit du personnel Le personnel doit se conformer toutes les proc dures et modes op ratoires en vigueur dans le laboratoire Le personnel a l obligation d appliquer les prescriptions du GBEA et doit tenir compte de ses recommandations 6 1 2 Installation 1 2 1 Am nagement et entretien Les dimensions la construction et la localisation du laboratoire doivent tre conformes la r glementation en vigueur L am nagement du laboratoire doit permettre d isoler les activit s susceptibles d entrainer une contamination de l op rateur et ou de l analyseur et viter une pollution tant l int rieur qu l ext rieur Il doit exister des zones de stockage diff rentes temp ratures pour les milieux de culture les r actifs et les produits fongibles elles doivent tre diff rentes des zones de conservation des chantillons biologiques Le nettoyage du mat riel et le tri des d chets doivent se faire dans des conditions de s curit pour le personnel et pour la qualit des analyses Une proc dure pr cise les modalit s d entretien des locaux fr quence produits de nettoyage et
90. lons Parmi vos proc dures existe t il celles pr cisant les modalit s de conditionnement de l chantillon la temp rature convenable pour maintenir les chantillons et le d lai de s jour cette temp rature avant l analyse Les chantillons pr lev s sont ils envoy s directement au laboratoire d analyses juste apr s le pr l vement L acheminement est il r alis par le personnel ad quat Sinon quels sont vos emp chements Manque de moyen Manque d information Manque de temps Manque de formation vede Concernant le laboratoire bact riologie 10 L acc s au laboratoire de bact riologie est il facilit au sein de l h pital 11 Les paillasses d activit sont elles identifi es clairement l int rieur du laboratoire afin de faciliter la circulation de tous La phase analytique Durant la journ e les analyses sont elles bien effectu es pendant les heures de travail Durant tout le temps que vous envoyez des chantillons au laboratoire de bact riologie tes vous confront une mauvaise identification ou un m lange d chantillons Les r sultats des pr l vements urgents vous arrivent ils temps Les r sultats des pr l vements urgents sont ils aussi fiable que les autres r sultats En envoyant des chantillons au laboratoire tenez vous compte des r sultats d exame
91. lt rer le reste du produit Le laboratoire ne dispose pas des proc dures op ratoires qui doivent tre tablies pour la manipulation des produits Le stockage des r actifs des quipements et des archives est ad quat La r partition des milieux de cultures dans les boites de p tri est effectu e de fagon exclure la possibilit de contamination de d t rioration du produit et leur identification exacte est maintenue durant toute la dur e d utilisation Tous les actes r alis s au laboratoire de bact riologie sont trac s soit dans des registres soit sur syst me informatique Labo serveur mais qui ne permet pas la protection de la confidentialit des analyses r alis es I 1 3 Elimination des d chets La manutention et l vacuation des d chets g n r s au cours de la r alisation des manipulations s effectuent de mani re suivante I n est pas proc d la s paration des d chets potentiellement contamin s piquants coupants des d chets assimilables des ordures m nag res Tous les d chets sont mis dans la m me poubelle et achemin s dans la salle des d chets afin d tre vacu s 35 La d contamination des hottes et des mat riels r utilisables est r alis e par utilisation de l eau de javel dilu e au 1 10 figure 2 dames CO Fig 2 A Poubelle de la paillasse des urines B Poubelle de la paillasse des divers C D contamination d un r cipi
92. n Libbey Daunizeau A Quality Assurance in preanalytic phase le pr l vement l h pital vu depuis le laboratoire Ann Biol Clin 2010 5 497 508 18 Isabelle Mahoudeau Catherine Rieder Maryline Kubina Yves Piemont L tape pr analytique en bact riologie Revue Frangaise des Laboratoires novembre 1999 31 37 45 19 Patrick Gereme Jean Yves Dusseau Thierry Masseron Raymond Bercion La phase pr analytique en bact riologie Revue Frangaise des Laboratoires septembre 2001 335 23 29 20 Guide de bonne ex cution des analyses de biologie m dicale code de la sant publique Arr t du 26 novembre 1999 relatif la bonne ex cution des analyses de biologie m dicale 21 Organisation mondiale de la sant Guide pratique sur l application du r glement relatif au transport des mati res infectieuses 2007 2008 1 30 22 Recommandations relatives au transport des marchandises dangereuses 13 dition r vis e New York et Gen ve Nations Unies 2003 23 Borderon E Barthez J P Poisson D M Erreurs dans la phase pr analytique des examens en bact riologie n cessit de l application stricte du GBEA Revu Fr Lab 1999 309 39 43 24 Manuel de s curit biologique en laboratoire 3 dition OMS 2005 106 109 25 Pi mont Y D marche qualit pr analytique en microbiologie Option Bio f vrier 2009 413 22 24 26 Duchassaing D elalamy I michotey O et piemont Y Assurance de qualit de la ph
93. n direct Pour les chantillons des cas urgents exigez vous d avoir les r sultats d examen direct rapidement Le laboratoire de bact riologie vous communique t il les r sultats d examen direct dans les heures qui suivent le d p t du pr l vement La transmission des r sultats par t l phone est elle satisfaisante 104 Durant les gardes Le personnel effectuant les gardes sont ils sp cialis s dans la prise en charge de tous les chantillons bact riologiques 10 Etes vous au courant de l existence de la liste des pr l vements urgents accept s au laboratoire de bact riologie 11 Est ce que tous les pr l vements urgents sont accept s au laboratoire de bact riologie durant les gardes 12 Est ce que tous les pr l vements urgents sont analys s au laboratoire de bact riologie durant les gardes La phase post analytique 13 les r sultats durant les gardes r pondent ils vos besoins en termes de qualit exactitude et d lais de transmission des demandes 14 Constatez vous une diff rence entre les r sultats des pr l vements analys s la journ e et ceux analys s pendant les gardes 15 La transmission des r sultats durant les gardes se fait le plus souvent par 3 T l phone Courier Personnel du Laboratoire d urgence Courier Personnel du Service 16 R cup rez v
94. ns li s l urgence dans un laboratoire priv Le biologiste valide les r sultats qui vont tre ensuite utilis s par le clinicien pour la d cision th rapeutique 11 2 2 Validation des r sultats La validation des r sultats est double elle comporte une validation analytique qui peut tre r alis e par le personnel sous la responsabilit du biologiste et une validation biologique qui est de la comp tence exclusive du biologiste La validation analytique des examens ne doit tre effectu e qu apr s avoir pris connaissance des r sultats du contr le de qualit interne La validation biologique doit s assurer de la compatibilit des r sultats de lensemble des analyses r alis es pour le m me patient des temps diff rents compte tenu le cas ch ant des variations de son tat clinique des traitements subis et des r sultats ant rieurs Le recours un syst me d aide la validation ne d charge pas le biologiste de sa responsabilit en mati re de validation biologique pour chaque compte rendu 21 II 2 3 Conservation des chantillons La conservation de certains chantillons recus au laboratoire de bact riologie est obligatoire Apr s ex cution de l analyse ils doivent tre conserv s dans des flacons congeler et mis dans un cong lateur 20 C 40 C et ou 80 C selon la nature de l chantillon 17 Cette conservation permet de faire une comparaison ou une v rification ult rie
95. ogique 13 8 un manque d information et de formation 3 1 un manque de moyens et de temps Notons que 8 546 des interrog s sont rest s sans r ponse Tableau V 49 Tableau V Les motifs entravant la bonne r alisation des pr l vements vis e diagnostique bact riologique MANQUE DE FORMATION MF MANQUE D INFORMATION MI MANQUE DE FORMATION ET D INFORMATION MI MF MANQUE D INFORMATION DE TEMPS DE FORMATION MI MT MF MANQUE DE MOYENS MM MANQUE DE MOYENS MANQUE DE FORMATION MM MF MANQUE DE MOYEN D INFORMATION MM MI MANQUE DE MOYEN D INFORMATION ET DE FORMATION MM MI MF MANQUE DE MOYEN D INFORMATION ET DE TEMPS MM MI MT MANQUE DE MOYEN D INFORMATION DE TEMPS ET DE FORMATION MM MI MT MF MANQUE DE MOYEN et D INFORMATION MM MT MANQUE DE MOYEN DE TEMPS ET DE FORMATION MM MT MF MANQUE DE TEMPS MT MANQUE DE TEMPS ET DE FORMATION MT MF AUCUN MOTIFS NON SANS REPONSE SANS TOTAL 50 II 2 1 7 Acc s au laboratoire et aux diff rentes paillasses Nous avons valu l accessibilit au laboratoire et ses diff rentes paillasses Pour 70 des cliniciens l acc s est facilit tandis que 23 signes des difficult s d orientation figure 9 B OUI NON Fig 9 Accessibilit _au laboratoire et aux diff rentes paillasses 1 2 1 8 Am lioration de la qualit des r sultats d analyse des pr l vements L am lioration de la qualit des r sultats de l analy
96. on des r sultats 6496 du personnel du laboratoire estiment disponibles les proc dures de manipulation et d interpr tation contre 29 qui estiment le contraire figure 24 B OUI E NON SANS REPONSE Fig 24 Evaluation de la disponibilit des proc dures de manipulation et d interpr tation des r sultats 61 11 3 2 2 Disponibilit des proc dures de bonne gestion des pr l vements Les proc dures de bonne gestion des pr l vements concernent les conformit s et les non conformit s des pr l vements bact riologiques 79 du personnel estiment indisponibles ces proc dures au laboratoire figure 25 E NON E OUI m SANS REPONSE Fig 25 Evaluation de la disponibilit des proc dures de bonne gestion des pr levements 1I 3 2 3 Tracabilit des demandes et r sultats d analyses La tra abilit des demandes et registre d analyses est jug e effective par 78 6 contre 17 896 d avis n gatif figure 26 62 80 70 60 50 m NON 40 E OUI 30 m SANS REPONSE 20 10 Fig 26 Evaluation de la tra abilit des demandes et r sultats d analyses 11 3 2 4 Evaluation de la proc dure d limination des d chets et la protection de l environnement 50 du personnel affirment l existence des proc dures pour l limination des d chets et la protection de l environnement au sein du laboratoire 43 d clarent en ignorer l existence figure 27 m NON m OUI SANS REPONSE Fig 27 Pro
97. onibilit des responsables Diverses rubriques ont t recueillies et analys es Les principaux r sultats obtenus ont t compar s ceux obtenus par d autres auteurs sur des tudes men es dans des centres de r f rences Ainsi Le pourcentage de satisfaction est de 41 8396 pour la phase pr analytique Il est inf rieur celui retrouv par Peyrin et al Grenoble qui est 68 Ceci est 00 Aux erreurs lors de la r alisation du pr l vement asepsie et r alisation du pr l vement mal effectu es Au transport des chantillons qui n est pas conforme aux transports des mati res infectieuses Auretard d acheminement des chantillons au laboratoire qui d passe pour la plupart d entre eux le d lai convenable A une prescription incomplete L investigation de la phase analytique permet de noter 65 6 de satisfaction Ce pourcentage certes appr ciable demeure largement inf rieur 74 celui retrouv par Peyrin et al qui est de 7996 Cette diff rence refl te sans doute l existence de causes multiples propres chaque tape non seulement de la phase pr analytique mais aussi de la phase analytique Les manceuvres de correction envisager ne peuvent qu tre adapt es chaque cas particulier Avec 59 2 de satisfaction l investigation de la phase post analytique se r v le galement inf rieure au pourcentage de satisfaction not e par Peyrin et al 86 Ceci est li galement aux err
98. our le respect l humilit et le courage Puisse dieu nous aider et nous accord r ussite sant et prosp rit A tous mes beaux fr res et belles s urs Je suis fier d avoir des fr res et s urs qui m ont donn des beaux fr res et belles s urs autant gentils es qu aimables Merci pour vos encouragements vos aides et vos conseils A tous mes neveux et ni ces Que ce travail soit un exemple pour la suite de votre vie Que Dieu vous b nisse et vous accorde la sant La prosp rit et une vie heureuse A Mr Moussa Adamou Mossi Merci de m avoir soutenu pendant toutes ces belles ann es Tu es celui qui m a appris ne jamais abandonner toujours aller jusqu au bout sans craintes et sans regrets Tu m as montr ce que la patience et l importance d avoir toujours des r ves r aliser J essayerai toujours de me montrer digne de toi afin d avoir la t te haute quand on se reverra A mes amis es compatriotes et promotionnaires Merci de m avoir soutenu pendant ces ann es d tude Ou que nous allions nous resterons unis pour la vie Mon travail n est que le reflet de la bonne ambiance qui a toujours r gn entre nous Que Dieu guide chacun de vos pas et vous donne la force d exercer vos professions respectives avec dignit o que vous soyez Au cl ment au tr s mis ricordieux nom d Allah le Tout Mis ricordieux le Tr s Mis ricordieux Louange Allah Seigneur de l univers
99. our les pr l vements des chantillons 4 Sensibilisez vous les patients concernant les modalit s de pr l vement 5 Vos patients contribuent ils faciliter vos pr l vements 6 Avez vous suffisamment de personnel pour la r alisation des pr l vements 7 Le m decin prescripteur se rassure t il que le pr l vement a bien t effectu par l infirmier 8 Existe t il une collaboration entre le m decin prescripteur le praticien des pr l vements et le r alisateur des analyses 9 Le m decin prescripteur v rifie t il que le pr l vement correspond au bon patient 10 Vos pr l vements sont ils bien effectu s de mani re aider le biologiste dans l ex cution des analyses bact riologiques 11 Avez vous suffisamment de renseignement concernant les conditions d acheminement des pr l vements 12 Acheminez vous vos pr l vements vers le laboratoire aux horaires ad quats Les Proc dures l Disposez vous de proc dures pr cisant les modalit s des diff rents pr l vements que vous effectuez 2 Disposez vous des proc dures sur les instructions relatives la pr paration du patient 3 Disposez vous des proc dures sur le choix du r cipient destin recevoir l chantillon 103 Disposez vous des proc dures sur le mode de pr l vement Disposez vous des proc dures sur le transport ventuel des chantil
100. ous le r sultat final de votre analyse 17 Etes vous satisfait du compte rendu des r sultats que vous offre le laboratoire d urgence Les Suggestions N Suggestions Oui Non Autres r ponses Pour am liorer les prestations de l hopital le laboratoire de bact riologie doit possseder une quipe de nuit qui servira les cas urgents Cette quipe doit tre compos e d un agent sp cialis dans la prise en charge de tous les types d chantillons bact riologiques et d un interne ou d un resident Pour aider le clinicien dans sa th rapie le biologiste doit effectuer l examen direct sans d lai L antibioth rapie devrait tre discut e entre le clinicien et le biologiste afin d viter la multir sistance et la toxicit Le clinicien doit noter sur le bon tous les renseignements cliniques sur le patient afin de faciliter le diagnostic bact riologique Pensez vous que le laboratoire de bact riologie doit am liorer la qualit de ces r sultats 105 9 D apr s vous pour quels types de pr levement l amelioration de la qualit est tr s urgente 10 A votre avis quels sont les pr l vements urgents veillez les citer s ils vous plait 11 Autres susggestions 106 R f rences bibliographiques 1 N 1 1 Szymanowicz A Neyron M J Champagnon N Prefol M Bourgne M O Massacrier G Proposition de tabl
101. patient sauf opposition de ce dernier Les r sultats peuvent tre remis une tierce personne d ment mandat e par le patient Lorsque le patient est hospitalis les r sultats sont adress s au m decin prescripteur et remis au patient sa demande Le biologiste d un tablissement de sant doit pouvoir s assurer que le dispositif mis en place pour l acheminement des comptes rendus vers les unit s de soins r pond aux crit res de confidentialit et de conformit tablis en coordination avec les cliniciens et l quipe de direction Si le m decin prescripteur peut consulter le serveur du laboratoire ou un serveur destin acheminer les r sultats du laboratoire ceux ci doivent garder la trace de la consultation Si les r sultats sont transmis par un proc d t l matique un autre laboratoire ou au m decin prescripteur le biologiste doit utiliser un systeme de transmission fiable qui garantit la conformit des r sultats transmis et le respect du secret professionnel Le syst me de r ception des comptes rendus d analyses doit respecter la confidentialit des donn es m dicales Les r sultats sont confidentiels et ne doivent en aucun cas parvenir dans un lieu accessible au public 5115 sont adress s dans une salle d op ration ou dans une salle de r animation ils peuvent tre transmis en flux continu de fagon tre accessibles directement aux chirurgiens anesth sistes et r animateurs 24 S ils sont
102. personnel du laboratoire sont insatisfaits des bons d examen recus figure 22 59 90 0096 80 0096 70 0096 60 0096 50 0096 40 0096 30 0096 20 0096 10 00 0 00 m NON B OUI ON OUI Fig 22 Evaluation de la satisfaction des bons d examen 11 2 1 3 R ception des demandes d examen et leur triage 64 30 du personnel pensent que la r ception des demandes d examen et leur triage s effectuent au laboratoire de bact riologie pour les chantillons venant des diff rents services de l HMIMV de Rabat Pour les chantillons venant de l ext rieur la r ception et le triage s effectuent au service de pr l vement On note que 35 70 ne sont pas de cet avis 1 2 1 4 Comparaison entre les pr l vements urgents accept s laboratoire lors des heures normales et ceux des gardes 62 du personnel estiment que les pr l vements bact riologiques urgents accept s au laboratoire lors des heures ouvrables sont analys s Cette proportion n est plus que de 38 pour les heures de garde au sein du laboratoire d urgence figure 23 60 Pourcentage Pr l vements urgents Pr l vements urgents accept s durant les accept s durant les heures normales heures de garde au sein du laboratoire d urgence Fig 23 Comparaison des pr l vements urgents accept s lors des heures normales et ceux de garde 11 3 2 La phase analytique 11 3 2 1 Disponibilit des proc dures pour la manipulation et l interpr tati
103. pour le fonctionnement des appareils soit pour l aide l interpr tation des r sultats sont prot g s de toute intrusion non autoris e afin d viter les fraudes et sont adapt s l volution des connaissances scientifiques et des donn es techniques 6 Concernant la s curit des personnels Les responsables des laboratoires doivent S assurer que les mesures concernant la sant et la s curit des personnels et la protection de l environnement sont appliqu es conform ment aux textes en vigueur et le cas ch ant en coordination avec le m decin du travail et le comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail Etablir et mettre en uvre les proc dures applicables relatives l hygi ne et la s curit du personnel par exemple utilisation de gants de verres protecteurs changement de blouses et utilisation de surblouses utilisation de hottes lors de la manipulation de pr l vements pathog nes et ou contaminants nettoyage des plans de travail et des appareillages avec respect des dur es d action des d sinfectants et des d contaminants S assurer que l limination des d chets est effectu e en prenant toutes les pr cautions n cessaires pour viter les contaminations 6 8 84 amp Concernant le contr le de qualit Le responsable de la qualit du laboratoire doit s assurer de la Gestion du programme de contr le de qualit externe et interne du laboratoire Correct
104. r f rentielles qualit s applicables dans les laboratoires d analyses de biologie m dicale Pathologie Biologie 2006 54 317 324 58 Patrick Castel Ivanne Merle Quand les normes de pratiques deviennent une ressource pour les m decins Sociologie du travail 2002 44 337 355 59 Ronald N Jones Sharon Cullen NCCLS Quality Control Working Group Participants Re evaluations of disk diffusion quality control ranges 114 for 11 drugs report from the QC working group of the national committee for clinical laboratory standards International Journal of Antimicrobial Agents 2002 20 289 292 60 Rosa Isabel Sierra Amor Mexican experience on laboratory accreditation according to ISO 15189 2003 Clinical Biochemistry 2009 42 318 61 Bahrami S Grenier Sennelier C Minvielle E Conception et r le des indicateurs de qualit dans l valuation des pratiques professionnelles l exp rience COMPAQH Juin 2005 5 31 62 John Libbey Piemont Y Quality Assurance in preanalytic phase Le pr l vement microbiologique en milieu hospitalier 2010 9 12 63 Minchella A Lechiche C Poujol H Molinari N Sotto A M thode d valuation des pratiques professionnelles EPP au cours de l antibioth rapie des pneumopathies aigu s communautaires M decine et maladies infectieuses 2010 40 100 105 64 Manuel des pr l vements Version 1 Octobre 2006 65 Barbot L Kapel N Gobert J G L assurance de qualit en coprologie fonct
105. r l vement et de transport des diff rents chantillons analys s au laboratoire de bact riologie 3 1 Pr l vement des urines Apr s lavage hygi nique des mains et toilette soigneuse au savon des r gions g nitales liminer le 1 jet 20 ml d urines et recueillir dans un flacon st rile l urine au milieu du jet en prenant soin de ne pas toucher le bord sup rieur du r cipient Fermer herm tiquement le flacon et amener rapidement au laboratoire en cas d emp chement momentan le placer durant 4 heures au maximum 4 C 93 3 2 Pr l vement du liquide c phalo rachidien LCR Le pr l vement du liquide c phalo rachidien se fait par ponction lombaire entre la 4 et la 5 vert bre lombaire l acheminement du LCR vers le laboratoire se fait sans d lai moins de 30 minutes en raison de la lyse rapide des polynucl aires et prot g du froid en raison de la fragilit de certaines bact ries rencontr es 3 3 Pr l vement du sang pour les h mocultures Le sang est recueilli par ponction veineuse pendant l acc s f brile de pr f rence apr s les frissons la ponction est faite au niveau d une veine du pli du coude chez l adulte Chez le nouveau n et le nourrisson on choisit surtout la veine picr nienne ou la veine ombilicale 3 4 Pr l vement des selles Les selles sont mises dans un r cipient propre Si le pr l vement ne peut tre analys imm diatement l chantillon de selles sera
106. r occupant que le biologiste est amen remettre ne peut tre communiqu au patient qu en main propre et au cours d un entretien particulier Enfin le biologiste doit inciter le patient consulter un m decin traitant le plus rapidement possible 6 25 11 3 3 Stockage et conservation des archives II 3 3 1 la composition des archives Les archives doivent comporter Les r sultats des analyses ex cut es pour les besoins du contr le de qualit externe Le compte rendu des mesures prises pour corriger les anomalies observ es la suite du r sultat du contr le national de qualit Les r sultats des contr les de qualit internes Un exemplaire des proc dures et modes op ratoires et de leurs modifications avec la date de leur mise en ceuvre Les contrats et les documents relatifs l enl vement des d chets Les documents relatifs aux instruments et leur maintenance Les documents relatifs aux r actifs et au mat riel consommable Les documents relatifs aux modifications des programmes informatiques 6 II 3 3 2 Le stockage des archives Les archives doivent tre entrepos es dans un local propre sans humidit bien a r lumineux et ferm herm tique Au cas ou des documents sont conserv s sous forme informatique il faut viter toute perte accidentelle des informations Celles ci doivent figurer sur un support garantissant leur p rennit et leur int grit au moins pendant la p riode
107. r 72 heures le transport et le traitement sp cifique par une soci t prestataire de services li e contractuellement Les bordereaux de suivi doivent tre conserv s pour la tragabilit des quantit s limin es et des modalit s de l limination 6 8 II Les diff rentes tapes d une analyse dans un laboratoire IL1 La phase pr analytique La phase pr analytique est une tape cruciale de la r alisation de l examen de biologie elle conditionne la validit du r sultat La r daction des proc dures et des modes op ratoires aide faciliter cette phase ainsi que les autres tapes de l analyse bact riologique 15 11 1 1 Proc dures et modes op ratoires Tout laboratoire r alisant des analyses de biologie m dicale doit disposer de proc dures et de modes op ratoires crits dat s et techniquement valid s afin d assurer la qualit des r sultats et la conformit au guide Dans chaque zone d activit sp cifique du laboratoire les proc dures et modes op ratoires 12 relatifs aux op rations qui y sont r alis es doivent tre imm diatement disponibles sur le lutrin Des livres des articles des manuels peuvent tre utilis s comme compl ment sans s y substituer Ces proc dures et modes op ratoires concernent notamment les points suivants Les instructions relatives la pr paration du patient et aux modalit s du pr l vement Le choix du r cipient destin recevoir l chantillon
108. re est indispensable pour suivre la qualit des r sultats du laboratoire 4 pour permettre de d celer les anomalies et les erreurs des mesures afin d y rem dier imm diatement Il est organis par le biologiste Il vise v rifier les diff rentes phases de l analyse biologique et notamment l analyse d chantillons de contr le effectu e dans les m mes conditions que celles appliqu es aux chantillons biologiques Il est rappel que les chantillons de contr le ne peuvent en aucun cas se substituer aux chantillons de calibrage des mesures et inversement les chantillons de calibrage ne peuvent tre utilis s en m me temps comme chantillon de contr le Dans les disciplines mettant en ceuvre un examen macroscopique et ou microscopique il est utile de conserver les pi ces pathologiques ayant servi au diagnostic pouvant constituer un l ment de r f rence 5 6 I 1 2 Responsabilit du biologiste Les missions du biologiste et ses responsabilit s d coulent de la d finition de l examen de biologie m dicale un examen de biologie m dicale est un acte m dical qui concourt au diagnostic au d pistage a la pr vention de survenue d tats pathologiques la d cision et la prise en charge th rapeutiques la d termination ou au suivi de l tat physiologique ou physiopathologique de l tre humain 9 Le biologiste doit galement au sein du laboratoire Valider les r sultats des examens bio
109. remplacement du mat riel en cas de dysfonctionnement enfin le nettoyage et la d sinfection des locaux selon les r f rentiels de qualit 100 du personnel tait en accord avec ces propositions 11 3 4 3 Evaluation du style de leadership souhait 64 3096 du personnel optent pour le style d mocratique 7 10 respectivement pour le style autoritaire et le style laisser faire figure 37 69 70 0096 60 0096 50 0096 AUTORITAIRE B AUTORITAIRE DEMOCRATIQUE m DEMOCRATIQUE 40 0096 Pourcentage 30 0096 DEMOCRATIQUE L AISSER FAIRE E LAISSER FAIRE 20 0096 10 00 0 00 style de leadership Fig 37 Evaluation du style de leadership souhait 11 4 Analyse des pr l vements et observation des non conformit s Nous avons analys 1102 pr l vements afin de noter les diff rents cas de non conformit s de la phase pr analytique Ces non conformit s sont class es suivant une chelle qui varie de 0 4 Cat gorie 4 correspond un pr l vement suffisant herm tiquement ferm bien identifi Le bon d examen propre avec tous les renseignements n cessaires sur le patient savoir le nom le pr nom l ge le sexe le num ro de l identification permanente du patient IPP le service la nature du pr l vement le diagnostic l examen effectuer l antibioth rapie en cours le cachet du m decin et la date du pr l vement Cat gorie 3 correspond un pr l vement
110. ro Ent rologie Pneumo phtisiologie Oto Rhino Laryngologie Urologie Traumatologie Orthop die Neurochirurgie Anatomie Pathologique P diatrie Neurochirurgie Stomatologie Et Chirurgie Maxillo Faciale Anatomie Pathologique Neurologie Pneumo phtisiologie P diatrie 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr BENCHERIF My Zahid BENJELLOUN DAKHAMA Badr Sououd BOURKADI Jamal Eddine CHAOUI Zineb CHARIF CHEFCHAOUNI AI Montacer ECHARRAB EI Mahjoub EL FTOUH Mustapha EL MOSTARCHID Brahim EL OTMANY Azzedine GHANNAM Rachid HAMMANI Lahcen ISMAILI Mohamed Hatim ISMAILI Hassane KRAMI Hayat Ennoufouss MAHMOUDI Abdelkrim TACHINANTE Rajae TAZI MEZALEK Zoubida Novembre 2000 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr Pr AIDI Saadia AIT OURHROUIL Mohamed AJANA Fatima Zohra BENAMR Said BENCHEKROUN Nabiha BOUSSELMANE Nabile BOUTALEB Najib CHERTI Mohammed ECH CHERIF EL KETTANI Selma EL HASSANI Amine EL IDGHIRI Hassan EL KHADER Khalid EL MAGHRAOUI Abdellah GHARBI Mohamed El Hassan HSSAIDA Rachid MANSOURI Aziz OUZZANI CHAHDI Bahia RZIN Abdelkader SEFIANI Abdelaziz
111. s chantillons biologiques accept s dans son laboratoire et qu il doit refuser tout chantillon pr lev ou transmis dans des conditions incorrectes 19 Les non conformit s sont d finies par Des erreurs sur la demande d analyse ou le bon d examen Des erreurs sur le pr l vement Des erreurs sur le conditionnement Les types de non conformit s et la d cision prendre sont fournis dans le tableau ci dessous 18 18 Tableau II les types de non conformit s et les d cisions prises au laboratoire Types de non conformit s D cision prise au laboratoire 1 Non conformit sur la demande d analyse ou le bon d examen Bon absent dentification absente Discordance d identit entre le pr l vement et la demande En l absence de renseignements t l phoniques pr cis l analyse est en attente de correction crite Une photocopie de la fiche de NC est envoy e au prescripteur pour correction crite La demande d examen pr alablement saisie est mise en attente avec sa fiche de NC dans un trieur la r ception Le pr l vement n est pas trait et il doit tre stock de facon ad quate Prescription insuffisante Absence de la date de pr l vement Discordance entre l analyse et le pr l vement L analyse est r alis e sous r serve que le prescripteur fournisse les renseignements manquants par t l phone le biologiste doit mentionner la non conformit constat e
112. s working in collaboration with the Laboratory of Bacteriology and technicians of the latter These personnel have given their opinion on the laboratory through a scorecard Results 220 evaluation forms were distributed of which 200 90 996 for the external evaluation and 20 9 1 for internal evaluation The percentage of ownership being 70 n 14 for internal evaluation and 65 n 130 for external evaluation After analyzing the data on SPSS we got 41 83 of satisfaction for the pre analytical phase 65 6 for the analytical phase and 59 2 for the post analytical By pooling the results of conformity to reference the various phases of testing pre analytical analytical and post analytical we obtained an overall compliance rate of 55 54 This rate is quite satisfactory despite the irregularities observed mainly in the pre analytical phase Conclusion Although the Laboratory of Bacteriology HMIMV Rabat does not display any binding reference GBEA and Anaes Manual or repositories voluntary accreditation NF EN ISO 9001 NF EN ISO IEC 17025 and NF EN ISO 15189 it manages to satisfy the requests for review However the main difficulties are at the pre analytical phase The solutions to them require the involvement of all stakeholders of the hospital i e the laboratory staff and clinicians 118 gail
113. s pr l vements sont ils bien ferm s dans leur contenant 3 Ces pr l vements sont ils bien identifi s 4 Ces pr l vements sont ils bien r alis s 5 Ces pr l vements vous arrivent ils aux horaires convenables au laboratoire 6 Les cliniciens vous donnent ils le maximum de renseignements sur le patient afin de vous guidez dans les diagnostics bact riologiques 7 Existe t il un emplacement r serv pour la r ception des demandes d examen et le triage des pr l vements 8 Est ce que tous les pr l vements urgents sont accept s au laboratoire de bact riologie durant les heures de travail 9 Est ce que tous les pr l vements urgents sont accept s au laboratoire de bact riologie durant les heures de garde 10 Sinon pourquoi Pour un manque de temps 4 Parce que le pr l vement ne figure pas dans la liste des pr l vements urgents accept s durant les gardes Proc dures l Disposez vous de suffisamment de proc dures pour la manipulation et l interpr tation de tous les pr l vements 2 Le personnel charg de la r ception dispose t il d une proc dure de non conformit des pr l vements 3 Le personnel charg de la r ception dispose t il d une proc dure de bonne gestion des pr l vements 4 La proc dure d enregistrement pr cise t elle les r gles d identification des patients pour viter les homonymies 99 Le syst me d enre
114. se d un certain nombre de pr l vements bact riologiques a t jug e urgente Ces pr l vements sont principalement repr sent s par les h mocultures 29 22 le liquide c phalo rachidien 24 67 et l examen cytobact riologique des urines 21 43 La figure 9 r sume l ensemble des donn es obtenues figure 10 51 ECBU Examen Cytobact riologique des Urines HEMOC H mocultures LCR Liquide C phalo Rachidien PDP Pr l vement Distal Prot g Reche des Mycobact ries Recherche des Mycobact ries ECBC Examen Cytobact riologique des Crachats PV Pr l vements vaginaux LP Liquide Pleural Fig 10 Am lioration de la qualit des r sultats d analyse des pr l vements II 2 2 La phase analytique 11 2 2 1 Evaluation de la qualit des r sultats durant les heures ouvrables 63 196 des personnels interrog s se d clarent satisfaits de la qualit des r sultats durant les heures ouvrables contre 34 1 qui sont insatisfaits figure 11 B OUI NON SANS REPONSE Fig 11 Evaluation de la qualit des r sultats obtenus durant les heures ouvrables 52 11 2 2 2 Evaluation de la qualit des r sultats durant la garde Contrairement aux r sultats exprim s pour les heures ouvrables la majorit des personnels interrog s se d clarent insatisfaits de la qualit des r sultats durant la garde 56 Seuls 38 s expriment en faveur d une satisfaction figurel2
115. ses EEQ Evaluation externe de la qualit CQI Contr le de qualit interne NC non conformit L HMIMV L H pital Militaire d Instruction Mohammed V de Rabat LISTE DES FIGURES Figure 1 Le triple emballage pour le transport des chantillons 15 Figure 2 A Poubelle de la paillasse des urines B Poubelle de la paillasse des divers C D contamination d un r cipient avec de l eau de javel dilu e D D contamination de la hotte du bloc des recherches des MVC ODACICFICS oos uda uates t o utenti conde Df esto 35 Figure 3 A Panier pour le transport des urines B Paquet pour le transport des echantllors sees core veter qu do Rut savon so xu lava Eq RE PEE 36 Figure 4 Evaluation des connaissances sur les modalit s les conditions de r alisation et de transport des pr l vements 45 Figure 5 Disponibilit du personnel et du mat riel n cessaire pour la r alisation des prelevements in HET AE ERR EOS 46 Figure 6 Qualit des pr l vements d apr s la contribution du corps m dical et du patient sss 47 Figure 7 Connaissance des proc dures relatives aux pr l vements vis e diagnostique bact riologique 47 Figure 8 Qualification du personnel effectuant le transport des chantillons sod ee due teat etd 48 Figure 9 Accessibilit au laboratoire et aux diff rentes pail
116. sonne confortablement V rifier son identit nom pr nom nom de jeune fille sexe date de naissance Enfiler des gants non st riles R aliser l asepsie en respectant le temps de contact R aliser le pr l vement 3 Eliminer l ensemble du mat riel de pr l vement dans les collecteurs adapt s au plus pr s du geste Oter les gants et les jeter R aliser l tiquetage au chevet du lit du malade R aliser un lavage simple des mains ou une d sinfection par friction avec un produit hydro alcoolique Sur l chantillon Mentionner l identit du patient nom pr nom Sur le bon d examen 92 Mentionner l identit du patient nom de jeune fille date de naissance l identification permanente du patient la nature de l chantillon l identit et qualit du pr leveur date et heure du pr l vement le nom du service les renseignements cliniques l antibioth rapie en cours l examen effectuer ou recherche sp cifique d une bact rie et l identit du prescripteur le cachet Pr ciser si la demande est urgente Conditions d acheminement V rifier la bonne tanch it du r cipient Mettre les chantillons dans un triple emballage et y joindre la feuille de demande ad quate Acheminer le pr l vement rapidement au laboratoire Ranger le mat riel et nettoyer le plan de travail R aliser la tra abilit de l acte dans le dossier de soins 3 M thodes de p
117. ssan AHELLAT PROFESSEURS D cembre 1967 1 Pr TOUNSI Abdelkader F vrier Septembre D cembre 1973 2 Pr ARCHANE My Idriss 3 Pr BENOMAR Mohammed 4 Pr CHAOUI Abdellatif 5 Pr CHKILI Taieb Janvier et D cembre 1976 6 Pr HASSAR Mohamed F vrier 1977 7 Pr AGOUMI Abdelaziz 8 Pr BENKIRANE p AGOUMI Najia 9 Pr EL BIED p IMANI Farida F vrier Mars et Novembre 1978 10 Pr ARHARBI Mohamed 11 Pr SLAOUI Abdelmalek Mars 1979 12 Pr LAMDOUAR p BOUAZZAOUI Naima Mars Avril et Septembre 1980 13 Pr EL KHAMLICHI Abdeslam 14 Pr MESBAHI Redouane Mai et Octobre 1981 15 Pr BENOMAR Said 16 Pr BOUZOUBAA Abdelmajid Pathologie Chirurgicale Pathologie M dicale Cardiologie Gyn cologie Obst trique Neuropsychiatrie Pharmacologie Clinique Parasitologie H matologie Radiologie Cardiologie Anesth sie R animation P diatrie Neurochirurgie Cardiologie Anatomie Pathologique Cardiologie 17 Pr EL MANOUAR Mohamed 18 Pr HAMMANI Ahmed 19 Pr MAAZOUZI Ahmed Wajih 20 Pr SBIHI Ahmed 21 Pr TAOBANE Hamid Mai et Novembre 1982 22 Pr ABROUQ Ali 23 Pr BENOMAR M hammed 24 Pr BENSOUDA Mohamed 25 Pr BENOSMAN Abdellatif 26 Pr CHBICHEB Abdelkrim 27 Pr JIDAL Bouchaib 28 Pr LAHBABI p AMRANI Naima Novembre 1983 29 Pr ALAOUI TAHIRI K bir 30 Pr BALAFREJ Amina 31 Pr BELLAKHDAR Fouad 32 Pr HAJJAJ p HASSOUNI Najia 33 Pr SRAIRI Jamal
118. st analytiqUe sess 21 IL3 1 Expression des r sultats et comptes rendus d analyses 22 IL 3 1 1 Expression des r sultats 22 3 1 2 Comptes rendus d analyses 22 11 3 2 Transmission des r sultats 23 II 3 3 Stockage et conservation des archives 25 II 3 3 1 a composition des archiveS 25 11 3 3 2 le stockage des 25 Partie pratique duced een deas enlace ne eee 27 111321611615 et methode Smin i oleas oder a eO 21 11506060110 e ee 27 gt Date et COL 27 gt Crit res 07111618510138 eae EN YAT DUM TIMENS 27 gt Cniresd exclusioflsics od oo cp onda teint as 28 1 bloc duo e deles se 28 1 1 Organisation g n rale du laboratoire de bact riologie 28 1 1 1 Pr sentation du service de 1 28 kika E Soci E die ee Cee ce 29 Rel Ns Be personnels o eb soci tou eis eel gle lly 32 LA Mat riels old don ate aei ded qu 33 1 1 3 Bhunaton desdeclietez cu oe tote base pep br M FOIS 34 1 2 La phase pre analytique us asso ced eo teresa ta aeter let nn wena cx 36 1 3 La phase agalvtQ
119. t H moculture Rapidement mis dans l automate sinon risque de faux n gatif Liquides liquide c phalo rachidien liquide articulaire Dans seringue bouch e st rilement ana robies temp rature ambiante Pus A temp rature ambiante dans un Milieu ana robie Urines Les transporter au laboratoire en moins de 2 heures au del de ce d lai le placer dans de la glace ou utiliser un tube avec conservateur comme le tampon borate Biopsies viter la dessiccation conditionnement ana robie transport temp rature ambiante Pi ces anatomiques Dans les conditions d ana robie Mat riel proth tique A temp rature ambiante sinon 4 C S cr tions A temp rature ambiante Selles Dans un flacon st rile temp rature ambiante secr tions g nitales Dans un couvillon base de coton d alginate ou de dacron temp rature ambiante 17 11 1 6 Gestion des non conformit s NC la r ception des pr l vements au laboratoire Les erreurs pr analytiques sont fr quentes en bact riologie Elles ont pu tre valu es globalement 6 6 ce taux varie en fonction des pr l vements et des services Les erreurs d crites sont variables celles d identification des chantillons concernant 0 3 des pr l vements 22 Le guide de bonne ex cution des analyses GBEA pr cise que le biologiste v rifie la conformit de
120. t La qualit commence l o s arr tent les comportements Les indicateurs de qualit sont un moyen d appr cier les divers aspects d un projet d un programme ou d une strat gie de d veloppement ressources processus produits r sultats et impacts Lorsqu ils s appuient sur un solide travail de recherche de collecte de donn es puis d analyse et de diffusion de ces informations ces indicateurs permettent de suivre l avancement de l action entreprise d en d terminer les r sultats et de prendre les mesures correctives qui am lioreront la prestation des services L accr ditation est une reconnaissance par un organisme tiers de la comp tence d une soci t dans un domaine donn L accr ditation peut tre une d marche volontaire pour mettre en valeur sa comp tence ou une obligation dans le cadre de certaine r glementation GBEA Norme ISO 9001 2000 L accr ditation s appuie sur un r f rentiel normatif d finissant des exigences en termes de syst me qualit et de comp tence technique Certification d livr e par la Haute Autorit de Sant elle est effectu e sur la base de plusieurs crit res dont le respect des droits des patients l organisation de la prise en charge la gestion des syst mes la s curit lors des transfusions la pr vention et le contr le du risque infectieux C est galement une proc dure qui permet de certifier la qualit des produits et des services Selon Agence Frang
121. t tre fait au moment du pr l vement par la personne ayant r alis celui ci L tiquetage doit tre congu pour viter toute erreur sur l identit de la personne doit mentionner outre l identit et la date de naissance d clin es par le patient lui m me dans la mesure du possible le sexe la nature de l chantillon le nom du pr leveur la date et chaque fois qu une proc dure le pr voit l heure du pr l vement et ou sa localisation 6 17 Tubes ou r cipients secondaires Lors de la pr paration de fractions aliquotes l tiquetage des tubes ou r cipients secondaires doit se faire lisiblement permettant l identification sans ambiguit de chaque chantillon au sein du poste de travail ou du poste de stockage 6 17 1 5 Transport des chantillons Le transport des chantillons doit se faire de telle sorte qu on ait l int grit de l chantillon l arriv e au laboratoire Des proc dures et des modes op ratoires crits par le laboratoire qui effectue l analyse doivent fixer les conditions particuli res de d lai de transport de temp rature de conservation et d int grit de l emballage des chantillons biologiques annexe 2 6 15 Le transport des chantillons biologiques doit tre inf rieur 6 heures en g n ral et 2 heures pour les bact ries pathog nes en prenant toutes les pr cautions pour viter les risques de contamination et de d gradation des constituants 18 Ce
122. t riel et m thode Il s agit d une enqu te prospective entrant dans le cadre d une auto valuation du laboratoire de bact riologie de l HMIMV de Rabat Cette enqu te s est d roul e du 1 juin au 31 ao t 2010 soit une p riode de trois 03 mois Le personnel inclus dans notre travail fut essentiellement repr sent par les cliniciens de tous les services travaillant en collaboration avec le laboratoire de bact riologie et les techniciens de ce dernier Ces personnels nous ont donn leur avis sur le laboratoire travers une fiche d valuation R sultats 220 fiches d valuation ont t distribu es dont 200 90 9 pour l valuation externe et 20 9 1 pour l valuation interne Le pourcentage de participation tant de 70 n 14 pour l valuation interne et 65 n 130 pour l valuation externe Apr s analyse des donn es sur le logiciel SPSS nous avons obtenu 41 8396 de satisfaction pour la phase pr analytique 65 696 pour la phase analytique et 59 2 pour la phase post analytique En regroupant les r sultats de conformit aux r f rentiels des diff rentes phases d analyses pr analytique analytique et post analytique nous avons obtenu un taux global de conformit de 55 54 Ce taux est assez satisfaisant malgr les dysfonctionnements observ s surtout dans la phase pr analytique Conclusion Bien que le Laboratoire de bact riologie de l HMIMV de Rabat n applique ni les r f rentiels obligatoires GBEA et Manuel
123. t riologie en milieu hospitalier nous avons relev les diff rents probl mes et difficult s soulev s et avons propos des essais de solutions Revue de la litt rature I R gles de fonctionnement d un laboratoire de bact riologie Le Guide de Bonne Ex cution des Analyses GBEA stipule que tout laboratoire doit disposer d un syst me d assurance de qualit 4 L assurance de qualit est l ensemble des actions pr tablies et syst matiques n cessaires pour donner la confiance appropri e pour qu un produit ou un service satisfasse aux exigences relatives la qualit 5 Cette notion n est pas nouvelle en biologie 1 puisque tout laboratoire r alisant des analyses de biologie m dicale doit disposer d un syst me d assurance de qualit fond sur des proc dures et des modes op ratoires crits concernant les diff rentes tapes de l analyse et les conditions de son ex cution La qualit ne d pend pas seulement de l analyse proprement dite mais aussi de l organisation g n rale du laboratoire de la qualification et de la motivation du personnel ainsi que du respect des proc dures op ratoires lors des diff rentes tapes de l ex cution des examens pr analytique analytique et post analytique 6 I 1 Organisation g n rale du laboratoire et assurance de qualit 1 1 1 Responsabilit de la direction Responsabilit de la personne charg e de l assurance de qualit L ensemble du personnel d
124. t J Ent H et al A proposal to demonstrate a harmonized quality approach to analytical data production by Euro FIR Journal of Food Composition and Analysis 2007 20 725 732 50 Ibrahim Unsal Arno Fraterman IsilKayihan IsinAkyar and Mustafa Serteser ISO 15189 accreditation in medical laboratories An 113 institutional experience from Turkey Clinical Biochemistry 2009 42 304 305 51 Isabel Taverniers Marc De Loose Erik Van Bockstaele Trends in quality in the analytical laboratory II Analytical method validation and quality assurance Trends in Analytical Chemistry 2004 8 535 552 52 M Santiago Delefosse Les valuations et expertises valuer la qualit des publications Quelles sp cificit s pour la recherche Pratiques psychologiques 2004 10 243 254 53 Nancy L Anderson Diane C Bosse Alice S The Impact of Clinical Laboratory Improvement Advisory Committee Recommendations on Microbiology Laboratories September 2009 31 129 136 54 Norme NF EN ISO 15189 2007 Laboratoires d analyses de biologie m dicale Exigences particuli res concernant la qualit et la comp tence 55 Norme EN NF ISO 15189 Les indicateurs qualit s Option Biologie m dicale octobre 2009 425 22 23 56 Omer Guzel EbrullhanGuner ISO 15189 Accreditation Requirements for quality and competence of medical laboratories experience of a laboratory I Clinical Biochemistry 2009 42 274 278 57 Pascal P Beyerle F Les
125. tion du laboratoire de la validation biologique des demandes d examen pour la recherche des mycobact ries Y Les m decins biologistes des diff rentes paillasses s occupent de la validation analytique et biologique des analyses r alis es sur leur paillasse Y La Major elle supervise le bon d roulement des travaux dans le laboratoire Y Les techniciens assign s aux paillasses ils sont issus de l institut de carri re de sant de rabat ils s occupent de la manipulation des chantillons de la saisie informatique et de la tragabilit des analyses Les r sidents les internes et les stagiaires ils font quasiment partie du personnel durant leur s jour au sein du service et effectuent toutes les activit s qu on leurs attribuent et qui concourent la qualit de leur formation Y Les secr taires ils s occupent de la r ception des chantillons et leur bon d examen de l acheminement parfois de ces chantillons vers les paillasses respectives de la saisie des demandes d examen et du 33 classement des compte rendus des r sultats dans les cassiers respectifs des diff rents services en collaboration avec le laboratoire Y Une technicienne charg e de la maintenance des quipements et des appareillages Y La technicienne de surface elle s occupe de la collecte des mat riels utilis s et de leur st rilisation la pr paration de l eau distill e et des courses au sein de HMIMV de Rabat Y Le
126. tro Ent rologie M decine Interne M decine Interne 56 Pr YAHYAOUI Mohamed D cembre 1988 57 58 59 60 61 62 Pr BENHMAMOUCH Mohamed Najib Pr DAFIRI Rachida Pr FAIK Mohamed Pr FIKRI BEN BRAHIM Noureddine Pr HERMAS Mohamed Pr TOULOUNE Farida D cembre 1989 Janvier et Novembre 1990 Pr ABIR p KHALIL Saadia Pr ACHOUR Ahmed Pr ADNAOUI Mohamed Pr AOUNI Mohamed Pr AZENDOUR BENACEUR Pr BENAMEUR Mohamed Pr BOUKILI MAKHOUKHI Abdelali Pr CHAD Bouziane Pr CHKOFF Rachid Pr FARCHADO Fouzia p BENABDELLAH Pr HACHIM Mohammed Pr HACHIMI Mohamed Pr KHARBACH Aicha Pr MANSOURI Fatima Pr OUAZZANI Taibi Mohamed R da 78 79 80 Pr SEDRATI Omar Pr TAZI Saoud Anas Pr TERHZAZ Abdellah F vrier Avril Juillet et D cembre 1991 Pr AL HAMANY Zaitounia Pr ATMANI Mohamed Pr AZZOUZI Abderrahim Pr BAYAHIA p HASSAM Rab a Pr BELKOUCHI Abdelkader Pr BENABDELLAH Chahrazad Pr BENCHEKROUN BELABBES Abdelatif Pr BENSOUDA Yahia Pr BERRAHO Amina Pr BEZZAD Rachid Pr CHABRAOUI Layachi Pr CHANA EI Houssaine Pr CHERRAH Yahia Pr CHOKAIRI Omar Pr FAJRI Ahmed Pr JANATI Idrissi Mohamed Pr KHATTAB Mohamed Pr NEJMI Maati Pr OUAALINE Mohammed 100 Pr SOULAYMANI p BENCHEIKH Rachida Neurologie Chirurgie P diatrique Radiologie Urologie M decine Pr ventive Sant
127. ts urgents accept s lors des heures normales et ceux de garde i irr eere be eem Tote pe vex Ae 61 Figure 24 Evaluation de la disponibilit des proc dures de manipulation et d interpr tation des r sultats 62 Figure 25 Evaluation de la disponibilit des proc dures de bonne gestion des prele vemenis 5o uox tox vate adu ited cau tula teu 62 Figure 26 Evaluation de la tragabilit des demandes et r sultats QU ULL o ESSN E 63 Figure 27 Proc dure concernant l limination des d chets et la protection 64 de l environnement esse eee Figure 28 Disponibilit des moyens humains et mat riels 65 Figure 29 Les principales causes de d mobilisation 66 Figure 30 Connaissance de la maintenance du mat riel du laboratoire par ne QUIP CALE ui Seien ior css AU tan vrata iot tare due e 67 Figure 31 Evaluation de la confidentialit des r sultats d analyses 67 Figure 32 Evaluation de la s curit du 68 Figure 33 Evaluation de l am lioration de la qualit et des conditions de IOVI Ute de orte detti ues Pa Te 69 Figure 34 Evaluation du nettoyage et d sinfection des locaux et des mat riels conform ment au 70 Figure 35 Evaluation
128. u laboratoire est impliqu dans le syst me d assurance de qualit qui est plac sous l autorit et la responsabilit du directeur de laboratoire ou du chef de service ou du d partement L organisation du syst me d assurance de qualit du laboratoire peut tre d l gu e par le directeur de laboratoire ou par le chef de service ou du d partement un biologiste ou une personne charg e de la gestion du syst me d assurance de 5 qualit qui devra avoir la formation la comp tence et l exp rience n cessaires pour accomplir cette t che qui lui sera confi e 6 L valuation externe de la qualit EEQ Egalement connu sous le nom de contr le de qualit elle correspond au contr le par un organisme ext rieur de la qualit des r sultats fournis par un laboratoire Ce contr le r trospectif permet une confrontation inter laboratoires en vue d am liorer la qualit du travail de l ensemble des participants L organisme ext rieur adresse les m mes chantillons aux diff rents laboratoires collecte les r sultats obtenus en fait l tude et les transmet avec commentaires aux laboratoires participants Il est recommand que le laboratoire participe ces contr les de qualit externes organis s par des soci t s scientifiques des groupements de biologistes ou tout autre organisme pr sentant les garanties n cessaires 4 5 6 Contr le de qualit interne CQI Le contr le de qualit intralaboratoi
129. ue ee Men ns 36 1 3 1 Types d analyses TASSE rete tot re eo qeu Se ente a t ere 1 3 2 Techniques utilis es en bact riologie 38 1 4 La phase post Anal Que o ues book M taire es 41 I 5 Relation entre les services et le 42 EIAS VAI UD MEM eM iE 43 II 1 Pourcentage de participation des services l enqu te 43 11 2 R sultats de l valuation externe 45 2 1 La phase pre so ace volue o ane au RES 45 11 2 2 La phase Analyt que sies rassurante 5 11 2 3 La phase post analytique ics esed sante Mot e Opt 55 II 2 4 Suggestions des cliniciens pour le laboratoire de bact riologie 56 11 3 R sultats de l valuation interne 59 11 3 1 La phase i Toe io eur cte oboe recen eee 59 11 3 2 La phase analytiqUe eae testet Re 70 I1 3 3 La phase post analytique ioi e reet at cloak Ree an 11 3 4 Suggestions du personnel du laboratoire 71 II 4 Analyse des bons d examen et observation des anomalies 73 MI DISCUSSION doloe ee eed unie deo tree nt te 76 rere Pr 87 Annexes R f rences bibliographiques Introduction Le bon fonctionnement d un laboratoire et sa bonne gestion
130. ure 6 25 Avant ex cution des analyses si celles ci sont diff r es les chantillons et leurs fractions aliquotes doivent tre conserv s dans des conditions qui pr servent leur qualit Les chantillons de contr le doivent tre conserv s dans les conditions pr cis es par le fabricant La p riode de validit doit tre respect e en particulier pour les chantillons reconstitu s partir des substances lyophilis es qui doivent porter la date et l heure de reconstitution Les conditions d identification de fermeture des r cipients et de temp rature de conservation doivent tre rigoureusement respect es La dur e de conservation pour chaque chantillon doit tre fix e et notifi e par le biologiste II 3 La phase post analytique Enfin lors de la phase post analytique le biologiste m dical doit signer le compte rendu du bilan biologique et doit assurer un v ritable r le de conseil aupr s du clinicien et du patient il participe l interpr tation du bilan biologique Tout r sultat peut tre annonc directement par le biologiste m dical pour autant que cela corresponde au souhait du patient 9 22 IL 3 1 Expression des r sultats et comptes rendus d analyses II 3 1 1 Expression des r sultats L expression des r sultats doit tre pr cise concise et claire Les valeurs de r f rence doivent tre indiqu es La m thode d analyse et les r actifs utilis s doivent tre mentionn s chaque fo

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