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No 03 Regards croisés sur la différenciation

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1. Rester vivante Catherine Le blanc Actes sud junior Une piste qui m ne Chicago Cornelia Franz d Actes Sud Junior Rouge m tro Claudine Gal a d du Rouergue Ta photo dans le journal Ma rie Brant me d Seuil jeunesse La fille qui ne dig rait pas le di vorce de ses parents Ellen Wil ler d Ecole des loisirs Calamity Jane avait deux filles Alice de Poncheville d Ecole des loisirs F comme gar on Isabelle Ros signol d Ecole des loisirs Quand les trains passent Ma lin Lindroth d Actes sud ju nior Bi re grenadine H l ne Vi gnal d du Rouergue On irait Mona Thomas d Ecole des loisirs La m moire trou e Elisabeth Combres d Gallimard jeunes se La rebelle Thierry Crifo d Syros jeunesse Tous les livres sont d ores et d j disponibles en pr t la M diath que Valais Une derni re joute entre les deux gagnants en pr sence des auteurs du jury et des ados votants qui se seront inscrits aura lieu au Salon international du Livre et de la Presse de Gen ve d but mai 2008 www salondulivre ch Pour en savoir plus www e media ch des fiches p da gogiques seront propos es R sonances Novembre 2007 A vos agendas Je 8 novembre Journ e des filles Pour en finir avec les pr jug s tenaces Mat riel d information disposition pour filles gar ons enseignant e s parents et entrepri
2. tudiant l ESC de Martigny et breakdancer confirm J ai travaill avec les l ves cer tains l ments de chor graphie J aime bien ce contact avec les clas ses et j ai une certaine habitude puisque je donne des cours C est une formidable occasion de pou voir peut tre susciter des voca tions Pour ma part c est en 6 primaire que j ai d couvert la breakdance lors d un show des Crazy Steps En suite c est devenu une passion Et j ai la chance de pouvoir pratiquer cet art tout en suivant l ESC de Martigny qui est vraiment une cole de r ve pour un jeune artiste ou sportif m me s il faut bien s r travailler Julien Perret faisant une d monstration de breakdance aupr s d un groupe d l ves R sonances Novembre 2007 En raccourci Mus e de la communication Images mensong res L exposition itin rante Images mensong res d voil e au Mus e de la communication Berne jusqu au 6 juillet 2008 nous interroge sur l objectivit des images et propose des exemples de manipulation www mfk ch INRP Ouverture du Portail de ressources L INRP met disposition un portail de ressources La combinaison d un moteur de recherche et d une base de ressources multi crit res permet d optimiser l acc s aux ressources pour l enseignement et la formation aux fonds documentaires patrimoniaux rapports de recherche publications bibliographies catalogues et bases de donn es
3. Dani le Cogis Francis Klotz ex en seignant co auteur avec Michel Rothen de cahiers de vacances et de r vision dont des cahiers Cham pion championne en dict es et or ganisateur des championnats suis ses d orthographe Eric Morisod enseignant au secondaire Il l ESC ECG de Monthey Didier Jacquier enseignant au primaire et pr si dent de la SPVal les changes ont mis en vidence des divergences es sentiellement sur les moyens met tre en place plus que sur le bilan et les buts Jean Fran ois Lovey qui s est montr int ress par les pro positions pr sent es tout en les trouvant difficiles int grer dans les classes de mani re r guli re a rappel tr s clairement la position de rigueur du Valais en mati re de R sonances Novembre 2007 ma trise orthographique Interpel l e plusieurs reprises sur le carac t re chronophage des activit s pr sent es Dani le Cogis sugg re aux enseignants de faire une dict e diagnostique d essayer quelques activit s d orthographe r fl chie puis de refaire la m me dict e pour mesurer la progression des acquisi tions et de demander un coll gue de faire passer la m me dict e sans changer sa mani re d enseigner pour comparer l efficacit des m thodes Alors si cela vous tente Voici trois r f rences pour al ler plus loin B Dani le Cogis Pour enseigner et apprendre l orthographe Paris Delagrave 2005 B D
4. quipe de l OES est unanime pour dire que la diff renciation doit au bout du compte permettre chacun de trouver sa place dans la soci t Une vidence parfois malmen e en raison de textes l gislatifs pas toujours coh rents entre eux d un manque de structures adapt es m me si Michel D litroz tient pr ciser que les mesures de la diff ren ciation ne doivent pas syst matiquement passer par de nouvelles structures et peut tre en raison gale ment d une insuffisante coordination entre des solu tions d aide existantes pourtant nombreuses Le direc teur de l OES regrette par ailleurs que la norme vise encore le parcours d un enfant qui ira au coll ge puis l universit en oubliant la notion de bonheur de vie et la diversit des futurs m tiers possibles Ses coll gues d plorent aussi cette vision rectiligne i j Guy Dayer Michel D litroz Sonja Pillet et Hugo Berchtold 14 R sonances Novembre 2007 Doris Perrodin Carlen personne ressource des enseignants pour les enfants haut potentiel Diff rencier c est prendre l enfant l o il est et l amener aussi loin que possible en lui donnant parfois le droit de d passer les objectifs La mesure devrait tre ses capacit s et non le niveau de la classe Les questions ouvertes avec plusieurs r ponses possibles sont par exemple motivantes pour les enfants haut potentiel car il y a une forme de cr ativit dans la recherche de soluti
5. serve Lors des 3 premi res tapes les pre miers environ 20 de chaque ca t gorie sont qualifi s pour l tape suivante Cat gories CM l ves de 4 et 5e ann es de la scolarit obligatoire C1 l ves de 6 et 7e ann es de la scolarit obligatoire C2 l ves de 8 et 9e ann es de la scolarit obligatoire L1 l ves de 10e ann e scolaire et des suivantes jusqu la maturit Ce concours a lieu en dehors des heures de classe Claude Dubuis 5 Jusqu au 17 novembre les ditions La Joie de lire et le Th tre Forum Meyrin pr sentent l exposition de Chiara Carrer Alice au pays des merveilles dans les galeries du Th tre Parall lement cette exposition le Th tre expose les travaux laur ats d un concours international auquel ont particip plus de 1400 jeunes illustrateurs qui ont r invent les personnages d Alice et de Peter Pan www forum meyrin ch 45 m L nqau te sur les moyens De nouveaux moyens d enseigne ment romands de math matiques MERM 7 9 ont t introduits dans les classes du canton du Valais d s la rentr e scolaire 2003 2004 Au terme d un premier cycle d utilisa tion le Service de l enseignement par la Commission de branches Ma th matiques amp Sciences de la nature a mis sur pied un questionnaire adress tous les enseignant e s de math matiques du cycle d orienta tion au printemps 2007 Synth se des 1ers r sult
6. tenus de cas en cas Un accueil adapt au degr scolaire et aux objectifs de l enseignant par un e m diateur trice culturel le est offert gracieusement aux classes S adresser Mme Liliane Roh 027 606 46 80 L enseignant conserve la responsabilit de sa classe Des propositions de visite ainsi que du mat riel de pr paration peuvent tre t l charg s sur le site de l Etat du Valais Ecole Culture www vs ch culture R sonances Novembre 2007 CT lt J il te pla t En cr ation mondiale Les Fant mes de l orchestre texte de Pierre Aubert mu sique de Fran ois Xavier Delacoste L Orchestre du Conservatoire canto nal OCC compos de 80 musiciens plac s sous la baguette de leur chef Richard M trailler auxquels vont s ajouter 1 r citant et 10 jeunes co m diens de la section de th tre mis en sc ne par leur professeur Anne Salamin vous proposent de d couvrir les sonorit s des diff ren tes familles instrumentales du grand orchestre symphonique au fil d un conte musical dr le et cocasse inti tul Les Fant mes de l orchestre Sur le texte original de Pierre Au bert comme toutes les histoires celle ci d bute par ll tait une fois mais l orchestre en a assez des histoires d autrefois il veut des histoires d aujourd hui L de main tenant C est ainsi que d bute le dialogue entre r citant com diens et musiciens de l orchestre o la parole r pond
7. v es qui elles ont d j l obligation de disposer d avoirs suf fisants pour couvrir la totalit des ren tes de vieillesse et de survivants dues L objectif est pr ci s ment d imposer aux deux types d institution les m mes r gles Au terme du d lai de 30 ans que propose de fixer le Gouver nement les caisses ne pourront plus tre g r es selon le syst me de capi talisation partielle Pour demeurer valable 30 ans encore ce syst me qui autorise les caisses se trouver en situation de sous couverture de vra respecter deux conditions les caisses devront tre au b n fice d une garantie de la collectivit pu blique et le plan de financement qui permettra d atteindre les 100 devra tre accept par l autorit de surveillance de la caisse C est au jourd hui d j le cas pour notre Ins titution Influence moins grande des collectivit s publiques La r forme mise en consultation a aussi pour objectif de diminuer l in fluence des collectivit s publiques sur leurs institutions de pr voyance Le projet pr voit en outre que le Conseil f d ral pr sente tous les 10 ans un rapport sur l volution de la situation Pascal Couchepin se dit Romandie sous pression conscient que cela entraine des cons quences importantes pour plu sieurs cantons romands qui ont sous capitalis leur dette envers leur caisse de pensions lls devront d sor mais dire ouvertement le montant du d couvert
8. Pour les foulards par os draps ou couvertures on peut s arranger pour faire apporter des vieux tissus par les l ves Pour le parachute Alder amp Eisenhut Toile ondoyante diam tre 610 cm 16 poign es Avec un trou au centre de 15 cm 4 couleurs Fr 225 00 pi ce TVA incl E R sonances Novembre 2007 En raccourci Offre de perfectionnement Vaste choix Plus de 30 000 offres de perfectionnement dans toute la Suisse y compris les offres universitaires sous www orientation ch perfectionnement L ancienne bourse des offres de perfectionnement BOP est depuis cet t int gr e dans le portail national de l orientation professionnelle universitaire et de carri re www orientation ch La recherche de perfectionnement dans tous les secteurs et toutes les branches n en devient que plus int ressante et ouvre de nouvelles voies d information toutes les personnes en qu te d une formation continue Tout sur les contes Un site tr s complet Le site de la F e clochette propose une th orie sur les contes mais aussi des contes lire Il offre galement toute une s rie de liens vers d autres univers des contes en ligne www chez com feeclochette Site de Jacques Nimier Les 7 principes de la motivation Jacques Nimier propose sur son site les 7 principes qu un enseignant peut avoir l esprit quand il cherche motiver ses l ves ou sa classe Il en profite pour regrouper dans un dossier ce qui
9. c est n cessaire La progression se compose de treize modules r partis sur 36 semaines de travail qui permettent d aborder les lettres et les syllabes tradition nellement rencontr es d s la GS dans les activit s de la classe On commence par tudier syst ma tiquement les voyelles a i O u e consid r es galement comme syl labes a vion a vec les consonnes l et m permettent un premier tra vail de combinatoire La voyelle tr s r pandue est ensuite abord e avant les lettres r et s Le son ou permet d aborder un graph me particulier puisqu il n cessite deux caract res On termine enfin par p et t lettres plus difficiles percevoir mais courantes pour renforcer le travail de combinatoire avec l en semble des mat riaux tudi s Dans l acc s par progressions elles sont reprises dans cet ordre trois fois de suite au cours de l ann e en travail lant des comp tences diff rentes En effet l int rieur d un module de travail l ordre dans lequel appa raissent les exercices correspond une gradation de la difficult les exercices de type Ecouter sont ac cessibles d s le d but de la GS Ceux de type COE Correspondance Oral Ecrit peuvent tre mis en place en GS apr s les vacances de la Toussaint et s tendre jusqu la fin du premier trimestre du CP Les exercices de type Ecrire et Com prendre sont plut t destin s la fin de la GS et au premier trimestre du CP Ceci pour le ni
10. cifiques pour les enfants qui d crochent Les programmes adapt s sont toujours tr s bien accept s par les parents C est au moment du pas sage au CO que a devient probl matique car ils pensent que la p da gogie sp cialis e permet de rattra per tous les retards M me si les l ves ont fait de nets progr s ce n est pas forc ment suffisant en ter mes de r sultats C est comme s ils n avaient pas entendu qu il y avait au d part un probl me cons quent De mani re plus g n ralis e la dif f renciation se fait par une r duc tion du programme alors qu il y au rait d autres strat gies mettre en place Les enseignants de Martigny seraient pr ts appliquer une v ri table p dagogie diff renci e pour R sonances Novembre 2007 autant qu on leur en donne le temps et les moyens Les ouvrages scolaires devraient d j pr voir quatre ou cinq cat gories d l ves au niveau des activit s Avec la population scolaire actuelle on n chappe pas au fait de devoir diff rencier Les futurs plans d tudes vont du reste dans le sens d une plus grande souplesse de l enseignement ce qui est heureux Pour parvenir mener une vraie p dagogie diff renci e il faudrait mieux former les enseignants au niveau de la pratique dans la classe et enlever la pression des examens canto naux Il s agirait aussi dans une certaine mesure de cas ser le mod le fig de la classe qui avance au m me rythme
11. dias romandbs Devenir membre de Jeunesse et M dias AROLE Tous les membres de l associa tion Jeunesse et M dias AROLE re oivent la revue Parole trois fois par an les bibliographies th matiques dit es ainsi que de nombreuses informations en lien avec la lecture la litt rature et la culture pour les enfants et les jeunes Un tarif pr f rentiel pour les Journ es d AROLE et pour la lo cation d expositions leur est ac cord Prix de la cotisation annuelle Fr 50 pour les membres indivi duels Fr 100 pour les membres collectifs R sonances Novembre 2007 1 DJemaine romande La Semaine romande de la lecture propose un cycle de conf rences travers la Romandie Christian Pos laniec cf interview parue dans le num ro d octobre 2007 et C cile Quintin seront Martigny le mercredi 28 Semaine romande novembre de la lecture Ecot C cile y L 2 i Quintin ris C cile Quintin professeur des coles et titu laire d une ma trise litt rature jeunesse est charg e de promou voir la litt rature de jeunesse au pr s des l ves d coles maternel les et l mentaires et de leurs en seignants Elle participe galement un groupe de travail sur le conte un ouvrage para tra en 2008 et est impliqu e dans le volet p dagogique des pi ces de th tre de la collection Premiers r les Christian Poslaniec Ecrivain chercheur for mateur Christian
12. es Une grande majorit des jeunes ger manophones 2438 suit la voie du SII professionnel apprentissage ma turit professionnelle int gr e et 1602 fr quentent le SII non profes sionnel coll ge ESC ECG et EPP Dans le Valais romand les jeunes des tranches d ge concern es sont pratiquement aussi nombreux fr quenter les coll ges les ESC ECG et les EPP 5235 qu suivre une for mation professionnelle 5250 En raccourci Le Monde de l ducation Evaluation de la maternelle L cole maternelle apparaissait comme le fleuron du syst me ducatif fran ais Un rapport le premier qui value son efficacit gratigne l ic ne et e Monde de l ducation s en fait l cho La rubrique Savoirs multim dia s int resse la salle de prof virtuelle A lire aussi le premier volet mensuel sur la d mocratisation de l universit quarante ans apr s mai 68 et la rubrique indicateurs www lemonde fr mde 42 Sil professionnel Si non professionnel CO Ecole primaire Ecole enfantine o 4000 8000 12000 16000 20000 Sans les apprenants en maturit professionnelle plein temps ni les apprentis hors canton Y compris enseignement sp cialis Source URDISFT avec les services concern s 2007 chiffres 2006 07 Toutefois la possibilit d accomplir une maturit professionnelle soit durant l apprentissage soit plein temps au total 241 jeunes Valai sans avaient
13. explique que le but de ces Forums le pro chain se d roulera Brigue et trai tera du d veloppement durable est de poser des probl matiques de mani re ouvrir le d bat Et pour les tudiants la participation de telles manifestations p dagogiques entre dans leur cursus de formation Dani le Cogis professeure en scien ces du langage l Institut universi taire de formation des ma tres IUFM de Paris a repris quelques r sultats de sa recherche r alis e en 30 2005 sur le niveau d orthographe des l ves fran ais pour en pr sen ter les m canismes d acquisition Dans sa conf rence elle a d abord mis en avant certaines complexit s de la ma trise orthographique en fran ais ayant par exemple relev dans les copies rassembl es 182 ma ni res diff rentes d crire le mot tuyaux au pluriel tuyos tuillaux tuyauts Le niveau d orthogra phe des petits Fran ais est il en baisse Comparaison faite avec des copies de 1877 et 1987 la r ponse est sans conteste oui pour l ortho graphe grammaticale en particulier mais l enseignante chercheuse note qu il y a aussi moins d erreurs sur les unit s de langue Les progressions ont t relev es plusieurs tapes de la scolarit et l le bilan n est pas si mauvais sauf si comme elle le souligne le taux de r ussite doit tre de 100 Pour se convaincre de cette volution lente elle sug g re de garder les traces des pro ductions
14. leur enfant soit un l ve comme les autres Nous nous r jouissons de rencon trer de nombreux enseignants psy chologues et logop distes cette conf rence de haut niveau Le Comit de l AVPEHP Infos pratiques Conf rence de l AVPEHP et de l ASPEDAH avec le soutien du DECS par le Dr Olivier Revol p dopsychiatre de Lyon Titre de la conf rence Les diffi cult s scolaires d origine psycho logiques quand l esprit est pr occup Lieu Aula de la HES SO Valais Sierre www hevs ch pour le plan d acc s Date 14 novembre 20 h Th me de l alimentation Jeunes et formation professionnelle Le Service de la recherche en ducation a men une enqu te aupr s des apprenants en formation duale en 2006 Le rapport II s int resse la mani re choix d orientation situation d apprentissage dont ces jeunes interpr tent leur parcours de formation L accent est mis sur les l ves qui connaissent des ruptures dans leur parcours en essayant en les comparant aux autres de d terminer ce qui pourrait tre pr dictif d un d crochage www geneve ch sred Dossier p dagogique de la FED Seize familles vivant dans les cinq continents derri re une table pr sentant tout ce qu elles mangent pendant une semaine Un nouveau dossier p dagogique d crit diff rentes mani res de comprendre les habitudes alimentaires travers le monde en se basant sur seize photos de Peter Menzel Ad
15. La dif f renciation id ale passe par l valuation formative et la construction d un projet d accompagnement m me s il est vident que c est complexe mettre en place pour l ensei gnant Dans une moindre mesure la diff renciation c est peut tre d j un enseignant qui demande r guli rement aux l ves s ils ont compris et en tient compte classe avec des acquis et des v cus tellement diff rents qu il est impossible de demander la m me chose tous les l ves dans certaines activit s Pour ma part il y a des temps o je m ne des activit s communes avec tous les l ves et d autres o les l ves se r partissent en ateliers En g n ral je laisse les enfants faire leur choix d ateliers sachant que certains ont encore beaucoup besoin de jouer J accepte de les laisser avancer leur rythme Cependant s ils privil gient toujours le m me type d activit s je les oriente progressivement pour les amener d couvrir de nouvelles activit s plus scolai res Je mets aussi en place des ateliers en fonction des besoins sp cifiques de certains enfants notamment pour les enfants trangers avec des probl mes de lan gage Je peux par exemple les faire travailler ensemble dans un petit atelier de conversation Diff rencier c est un peu compliqu organiser du fait que cela impli que de r pondre aux nombreuses sollicitations des en fants pour les aider mais c est tellement plus riche aussi po
16. a trait cette question http perso orange fr jacques nimier Le petit ami des animaux Tout sur le lynx Le journal Le petit ami des animaux consacre son num ro d octobre ce pr dateur en danger qu est le lynx www paa ch Qu bec fran ais Enseigner la po sie Qu bec fran ais La revue Qu bec fran ais pr sente dans son num ro d automne quelques strat gies pour r concilier les l ves avec la po sie Il est question de lecture et d criture po tiques www revueqf ulaval ca Documentation fran aise Une source d infos Editeur mais aussi diffuseur le site de la documentation fran aise propose quantit d informations allant du guide pratique au recueil de textes de la revue d information g n rale au rapport officiel ou l tude approfondie Nombre de documents notamment en lien avec l enseignement sont accessibles gratuitement sous forme de fichiers pdf Vous pouvez ainsi consulter le bilan 2006 de l cole primaire ou une tude sur les probl mes de la voix chez les enseignants Des dossiers th matiques sont aussi d couvrir http lesrapports ladocumentationfrancaise fr gt Acc s par th me enseignement 27 m cducation musicale W_ valuation des activit s Bernard Oberholzer Je me permets donc de poursuivre mes hautes consid rations philoso phiques concernant l valuation de l ducation musicale en re pr ci sant qu elles n ont rien de scienti fique Ouelques
17. ceux qui font rire ceux qui font r ver et en alternance d une ann e l autre ceux qui font pleurer ou ceux qui font un peu peur Tous les genres et toutes les poques du cin ma sont du cin ma aupr s Lecture d images repr sent s et les spec tateurs peuvent naturel lement suivre les projec tions de 6 12 ans sans revoir les m mes films L int r t pour les pa rents c est d abord le co t modique pour devenir membre 30 francs pour l ann e scolaire et 20 francs pour chaque autre enfant de la m me famille noter qu il est possible d ache ter un billet pour une s ance Vincent Adatte co directeur de l Asso ciation la Lanterne magique souli gne que le secret du Club c est de ne pas seulement projeter un film par mois mais de proposer aussi un petit journal illustr une animation avant chaque film des concours etc Ainsi quelques jours avant cha que projection les enfants re oi vent une brochure pr sentant le film qu ils vont voir et contenant les informations pratiques sur l ho raire et la dur e de la s ance Le premier num ro est distribu la rentr e via les coles ce qui est fondamental pour d mocratiser le plus largement possible l ducation au regard du spectateur Autre atout du Club toutes les s ances d butent par un petit temps d ani mation qui sert d crypter de ma ni re ludique et p dagogique quel ques techniques ou termes du cin ma J
18. choisi cette possibilit en 2006 07 a certainement contri bu valoriser la fili re du SII pro fessionnel Ce titre constitue par Soutien i Gr sco 00 jou payant ailleurs la voie d acc s privil gi e aux hautes coles sp cialis es dont est dot notre canton avec des fi li res dans le domaine des sciences de l ing nieur de l conomie et des services de la sant et du social C est aujourd hui au CO de jouer pleinement le r le d orientation qui lui est d volu en permettant aux jeunes de faire les choix les plus coh rents entre comp tences attendues par les coles subs quentes et comp tences atteintes en potentialit L EPP r alise ac tuellement sa mue afin d offrir un espace dans lequel l tudiant peut d velopper les capacit s lui per mettant de passer de son projet personnel un projet profession nel r aliste Dans la m me probl matique mais en amont le nouveau CO porte beaucoup d espoirs E R sonances Novembre 2007 CRPE Laisses de pensions publiques Patrice Vernier Le r veil risque d tre douloureux pour plusieurs collectivit s publi ques romandes en particulier cer taines villes et certains cantons NE VD GE Contrairement ce qu il laissait entendre en d but d ann e le Gouvernement f d ral veut obli ger toutes les institutions de pr voyance de droit public atteindre un taux de couver ture de 100 Si l on en
19. croit un rapport sur le financement des caisses publiques publi en mars qui repose sur les don n es disponibles fin 2005 le d couvert to tal des caisses de pen sions publiques en Suisse d passe rait les 16 milliards de francs Deux cantons figuraient aux avant postes VD 4 1 mias et GE 3 4 mias Le Va lais suit avec 1 3 mias mais n ou blions pas que le canton a d j in ject quelque 600 millions dans ses deux caisses en d but d ann e Ces sommes quivalent au montant qu il faudrait investir si les caisses devaient couvrir en permanence la totalit des rentes et des prestations de libre passage des assur s Il existe en Suisse 79 institutions de pr voyance publiques Sur ce nombre environ 40 pr sentaient fin 2005 un taux de couverture sup rieur 100 Sur les autres 40 environ 12 affichaient un taux sup rieur 90 20 se situaient entre 60 et 90 alors que 3 dont notre caisse se situaient sous la barre des 50 Ce que dit l avant proijet de loi Dans l avant projet qu il met en consultation jusqu mi octobre le Conseil f d ral souhaite toutefois R sonances Novembre 2007 laisser le temps aux collectivit s pu bliques pour s adapter Le taux de 100 devrait tre atteint en 30 ans La marge para t suffisante L objec tif est n anmoins contraignant Par cette proposition le Gouvernement oblige les caisses de pensions publi ques s aligner sur les caisses pri
20. de l INRP www inrp fr Ing nieuse ch Un magazine et un site Ing nieuse ch est un magazine en ligne et un site d information pour inviter les jeunes femmes d couvrir le monde de l ing nierie Trois fois par ann e en janvier mai et octobre ing nieuse ch donne rendez vous pour d couvrir travers le magazine en ligne des t moignages d ing nieures et d tudiantes ainsi que des innovations technologiques au service de notre soci t Dans des domaines tels que la sant le social ou l aide au d veloppement un regard diff rent permet aux jeunes femmes de se familiariser avec le monde de l ing nierie et de r aliser qu elles y ont aussi leur place et leur r le www ingenieuse ch 41 m Le Chiffre du mois L l ves et tudiants dans le syst me de formation valaisan SFT L l ment central du syst me l cole obligatoire comprend plus de 21 000 l ves dans le Valais ro mand et plus de 8000 l ves dans le Haut Valais Dot s d une offre adapt e aux besoins particuliers des enfants fond e sur le principe de la scolarisation proximit du domicile de l l ve appui p dago gique int gr classes Al d centrali s es ces ordres d enseignement cole primaire et CO comptent aussi des structures sp cialis es A ces effectifs s ajoutent ceux des classes enfantines dont la fr quen tation non obligatoire est quasi g n ralis e parmi les classes d ge concern
21. diation pour les en fants qui rencontrent des difficul Colosje Canal qui est dadena A EL R sonances Novembre 2007 ICT Jean Marc Campaner Un enseignant qui vous fait aimer les logiciels scolaires Nombre d enseignants valaisans connaissent cet instituteur fran ais passionn d informatique et passionn par tout ce qui touche la lecture 1000 mots pour apprendre lire est son logiciel le plus connu chez nous Pour celles et ceux qui l utilisent en classe ainsi que pour celles et ceux qui cherchent un lo giciel appropri aux pr requis de la lecture je ne saurais trop vous encoura ger utiliser dans votre int gration des ICT l cole son nouveau logiciel Th Aplec1 A son sujet une logop diste disait J ai t impressionn e par la qualit et l ampleur du travail r alis Monsieur Campaner a cr un logiciel parfaitement r fl chi complet et qui int gre au mieux l essentiel des pr re quis l apprentissage de la lecture J ai donc demand l int ress lui m me de nous parler de l esprit et des ob jectifs de son logiciel Avec son accord j ai laiss les r f rences aux program mes fran ais car il me semble que chacune et chacun aujourd hui est capable de faire les relations qui s imposent J ajoute une derni re chose Monsieur Campaner est un homme tr s ouvert aux demandes et aux suggestions des utilisateurs I conna t bien les enseignants valaisans pour avoir particip
22. diff renciation n a lieu en fait qu entre les deux de gr s 5P et 6P par exemple mais absolument pas l int rieur d un m me degr L obstacle de l valuation Pour Denis M trailler l ducation physique est l vi dence la mati re la plus avanc e en mati re de diff renciation Jean Pierre Gaspoz nuance l affirmation en faisant remarquer que certains enseignants diff rencient durant les cours d ducation physique et d autres pas Il reconna t que c est certes peut tre un peu plus facile en raison de la clart des objectifs qui sont plus concrets que dans d autres disciplines Et de toute fa on la diff renciation s arr te au moment de l valuation sommative puisque les attentes finales sont identiques pour tous Voil le n ud du pro bl me L inspectorat est unanime pour voir dans l va luation l obstacle majeur la diff renciation M me R sonances Novembre 2007 a avec des valuations formatives interm diaires il y a toujours le moment de l valuation sommative identi que pour tous une date donn e Faudrait il qu il en soit autrement et n valuer que les progressions ou pr voir les m mes valuations des moments diff rents Pas forc ment mais ils sont d avis que des clari fications sont n cessaires Y a t il des strat gies qui induisent davantage la diff renciation que d autres Pour les inspecteurs il ne fait aucun doute que certaines structures peuven
23. et crit ce qu il dit pour favoriser autant les visuels que les auditifs Il diversifie ses strat gies alterne le frontal le travail de groupe le travail individuel Chaque enfant re oit le m me mat riel la m me fiche seulement l enseignant a pr vu des moyens d aide pour les plus lents ainsi que des possibilit s de revoir d approfondir la m me mati re d une autre fa on pour les plus rapides Le travail se fait par cycle et les interactions sont nombreuses Reconna tre que les diff rences sont une immense richesse en faire l loge c est un premier pas du c t de l thique S en tenir cela c est garder un tr sor sous son matelas Se lancer sur le chemin m thodologique est plus sinueux Remettre en cause l organisation du travail les moyens utilis s afin de convenir un R sonances Novembre 2007 c est possible maximum d l ves Organiser les interactions les plus f condes inventer les situations p dagogiques les plus propices l apprentissage Refuser l chec scolaire en osant choisir les objectifs dont les enfants ont besoin des moments pr cis Se poser continuellement des questions changer fr quemment afin de satisfaire chacun C est aussi vaincre des peurs faire le deuil de routines s curisantes tre souple et ouvert Un vrai d fi relever que d utiliser la diff renciation dans sa classe Il faut y croire tr s fort pour que ce tr sor brille de mille feux Oui la diff r
24. galement contradictoire puisque tout en pr nant la diff rencia tion il y a une valorisation des classements Michel D litroz trouve important qu il ait des points de rep res mais il s inqui te en effet pr cis ment de cette tendance trop standardiser l cole consid rant que cela pourrait g n rer davantage d checs Une ou plusieurs diff renciations Au fur et mesure de la discussion les d finitions de la diff renciation s additionnent L un des probl mes de la diff renciation c est paradoxalement qu il n y a pas de d finition unique rel ve Sonja Pillet Chacun des conseillers voque les formes vari es de niveaux et de degr s de formalisation de cette notion Il y a des diff renciations et non une diff renciation Logique car il serait absurde qu elle soit uniformis e mais dans le m me temps l quipe de l OES pense qu un Le dossier en citations Plusieurs chemins possibles Varier les strat gies C est accepter d abord qu il n y ait pas qu une seule r ponse au probl me ou que pour parvenir au r sultat final plusieurs chemins sont possibles m me si on choisira plus tard le plus parlant le plus conomique ou celui qui est le plus ais partager transmettre Varier les strat gies c est penser au choix des outils aux formes de travail aux modes de repr sentations aux supports pour que d une part la diversit enrichisse l exp rience et d autre part que chacun puisse s y
25. heure ou deux qui A l origne on peut penser au pr ceptorat C est une prati que qui laisse croire que si on s occupe d un enfant la fois il sera mieux suivi et il apprendra mieux Rien n est moins Lien avec les autres concepts Il les englobe tous Pour r aliser une p dagogie diff renci e les autres sont des outils m thodologiques son service Il est impossible de s en passer pour diff rencier En effet si un enfant est bloqu dans un travail individuel il est int ressant de lui proposer un travail en duo ou en groupe L enseignant diversifie son type de groupement Il en va de m me dans l quilibre d une le on d une journ e de Les enseignants eux m mes appr cient la diversification dans une journ e de formation Il est toujours utile de pr voir dans un programme des temps de rem diation En effet certains enfants en apprentissage ont besoin de moments privil gi s et en petits groupes pour apprendre Cependant la diff renciation r duit en principe les besoins de rem diation des apprenants L individualisation reste un moyen important pour favoriser l apprentissage de tous En effet il est utile pour les introver tis et pour les autres de se concentrer individuellement sur une t che avant un travail de groupe Ou encore il est indis pensable lorsqu on a termin une t che de favoriser la mise en m moire en demandant chacun d crire individuellement ce qui reste dans sa t
26. les partici pants du 22e championnat qui va d buter en novembre Qu ils puis sent prendre du plaisir r soudre ces probl mes math matiques et logiques et que celles et ceux qui auront la chance d aller Paris l an prochain prennent cette qualifica tion comme une r compense de leur investissement Jean Claude Aymon R sonances Novembre 2007 But D velopper l esprit de recherche de cr ativit de logique d astuce et d intuition l aide d nigmes m lant humour et rigueur Remarques Ce concours est approuv et encou rag par le D partement de l du cation de la culture et du sport II est organis dans une quinzaine de pays par la F d ration fran aise des jeux math matiques FFJM En Va lais c est un groupe d enseignants b n voles GVJM qui s occupe de ce championnat Adresse Claude Dubuis Ch des Pruniers 7 1967 Bramois T l 027 203 37 40 E mail cl dubuis netplus ch Internet http gvjm ecolevs ch Etapes 1 Qualification r gionale le mer credi apr s midi 14 novembre 2007 dans les centres scolaires En raccourci Th tre de Meyrin l illustration enfantine l honneur r gionaux Environ 2800 partici pants 2 Finale valaisanne le samedi 8 mars 2008 au coll ge des Creu sets Sion 500 550 qualifi s 3 Finale suisse Lausanne le sa medi 17 mai 2008 4 Finale internationale Paris les 29 30 et 31 ao t 2008 sous r
27. mais c est avant tout une question d or ganisation Si l on g re bien les cho ses on a des moments consacrer son sport d autres pour tudier et logiquement il nous reste un peu de temps libre Le plus difficile c est quand on revient d une comp tition le dimanche soir qu on est fatigu et qu il faut reprendre les cours le lundi matin mais en se boostant c est vite surmontable car la passion nous motive La fili re pour sportifs et artistes offre des possibilit s pour voyager tout en continuant tudier ce qui est es sentiel dans ma discipline A l cole m me si une partie 38 R sonances Novembre 2007 Possibilit d obtenir une MPC Thierry Mayencourt enseignant l ESC ducation physique et bran ches conomiques et coordinateur des classes pour sportifs et artistes a v cu toutes les volutions depuis 1986 Au d part il se rappelle que c taient surtout les sportifs qui fr quentaient ces classes et essentiel lement des skieurs alpins Aujour d hui avec la r partition des do maines de comp tence les jeunes qui pratiquent le ski alpin ou le surf haut niveau vont Brigue www spiritus ch hsk sportschule akade mie Les classes Martigny accueil lent environ 70 de sportifs des skieurs de fond des footballeurs des v t tistes et 30 d artistes principalement des musiciens et des acteurs Ce qui a surtout chang depuis les d buts de la fili re c e
28. plusieurs des titres de sayn tes et joutes oratoires dans un la s lection des 14 livres partir de studio TSR en pr sence d un jury 13 ans ce d autant plus que tous En Valais c est Jacques Dussez res les l ves romands seront appel s ponsable des moyens audio visuels lire les deux meilleurs livres la HEP Vs qui assume ce r le V r ne Gremaud se r jouit de ces mul B Rien dire Bernard Friot d tiples synergies Actes Sud junior Mallette Sang d encre 2007 Une mallette contenant l ensemble des titres s lectionn s pour le prix TSR litt rature ados 2007 a t constitu e pour les classes du CO Outre les livres chacun en trois exemplaires la mallette contient galement le DVD avec les enregistrements des missions de Sang d encre diffus es sur la TSR du 11 mars au 29 avril 2007 un autre de Sang d encre au Salon international du Livre et de la Presse de Gen ve ainsi qu un dossier comprenant une pr sentation des ouvrages de la s lection et les fiches p dagogiques www mediatheque ch gt Doc P dagogique gt Prix Sang d encre Pour en savoir plus sur l dition 2007 cf R sonances no avril 2007 pp 16 18 20 R sonances Novembre 2007 Reportage dans un prochain num ro R sonances suivra les tapes du prix TSR litt rature ados en Va lais et s en fera l cho dans un prochain num ro O O Sors de ta chambre Karine Reysset d Ecole des loisirs
29. points tiennent beaucoup l quilibre des finalit s l acquisition des notions purement math mati ques reste incontournable Plusieurs enseignants disent aussi avoir de la peine appliquer ces fondements avec des l ves de niveau faible Pour le 4 fondement l opinion g n rale est invers e avec 55 de plut t en d saccord ou totalement Etes vous satisfaits des activit s propos es pour Logique et raisonnement LR Analyse de donn es AD G om trie GE Nombre et op rations NO Grandeurs et mesures GM Domaines Fonctions FO Calcul litt ral CL 46 Boui E plut t oui DB plut t non non de math matiques au CO en d saccord Plusieurs enseignants rel vent positivement la responsabi lit suppl mentaire d coulant de ce principe Beaucoup y voient une perte de temps et d nergie Pour ces derniers les l ves peinent se rep rer dans les MERM et ne peu vent pas y progresser de mani re in dividuelle Livres de l l ve LE La 1re question sur les livres de l l ve portait sur la subdivision en ouvra ges par notions plut t que par de gr s ou par niveaux les plans d tu des variant selon les cantons Les r ponses recoupent tr s fortement les avis exprim s pour le fondement 4 46 des enseignants d clarent ap pr cier oui ou plut t oui cette sub division alors que 52 disent la re gretter non ou plut t non Concernant le degr globa
30. propos rappel Il conviendrait essentiellement que ladite valuation ait du sens pour les l ves J ai aussi la modeste am bition d orienter l enseignant vers une r flexion valuative la moins al atoire possible Pour chaque activit propos e les l ves doivent imp rativement tre inform s de ce qu on leur demande Enfin je me permets de faire un lien avec la taxonomie exp rien tielle qui propose entre autres Crit res sp cifiques seul ou en groupe Aspects techniques une d marche progressive d apprentissage faisant ap pel la conscience active de l apprenant ainsi que la sa tisfaction d apprendre par l exp rience du progr s L l ve s value Je vous propose donc une grille que chaque l ve pourrait ins rer dans son cahier ou son classeur qui ser virait de journal de bord On entre rait ainsi dans la dynamique du portfolio de comp tences qui gui derait l volution musicale et qui permettrait galement en cons quence d aider les enseignants l valuation de chaque l ve De mani re g n rale surtout en ce qui concerne la musique il faut Je frappe la pulsation en chantant une chanson Je tiens jusqu au bout une phrase musicale Je prononce correctement les paroles Je chante en respectant le tempo Je chante en respectant la m lodie Aspect social Je peux chanter en suivant les gestes de direction de mon ma ma tre sse ou d un e camarade Je chante en
31. retrouver un moment Mais il faudra alors pouvoir r p ter refaire www prepaclasse net fichiers differenciation html R sonances Novembre 2007 peu plus de coh rence entre les bases l gales discours et pratiques serait souhaitable Pour Hugo Berchtold si les plans d tudes laissent g n ralement de la place pour diff rencier il consid re que le probl me vient surtout des m thodes d enseignement qui induisent la non diff renciation Et pour que la diff renciation soit une pratique plus fr quente dans toutes les classes il rel ve que la priorit r side dans la formation des en seignants car ce n est pas quelque chose de si simple mettre en place contrairement ce qu on a voulu croire L quipe de l OES observe que la notion est souvent en tendue comme une baisse des exigences alors que c est aussi atteindre un m me objectif par des chemins vari s et que cela concerne donc l ensemble du corps enseignant Certes mais ne serait il pas envisageable que les enseignants des classes ordinaires puissent s ils le souhaitent b n ficier d un coaching ou d un conseil de l enseignant sp cialis sans devoir attendre que la situation ne soit vraiment probl matique Le oui est unanime Michel D litroz observe que cette demande a du reste t faite dans le cadre de l enqu te sur l ap pui p dagogique int gr Il explique que dans le reca drage l enseignant d appui en plus de sa t che de prise en
32. suivant l accompagnement musical ou en coutant les autres Je peux diriger mes camarades Aspect personnel Je chante tout seul en classe Je tiens ma voix dans un canon Je chante en dehors des heures d cole Sentiment Je chante de mani re expressive avec sensibilit Je chante en faisant des nuances Message et structure expressives 2 aussi ne pas oublier de laisser la parole l l ve r guli re ment Dans le m me ordre d id e il est souhaitable de leur laisser un peu de temps pour consi gner dans leur jour nal de bord leurs pens es profondes concernant l acti vit chantante Modes d emploi Pour des raisons de place il n y a qu une colonne par crit re de note beaucoup assez un peu pas en core On peut faire des valuations r guli res voire fr quentes en prenant simplement la pr caution de dessiner des croix diff rentes Je comprends le message des chansons Je rep re les diff rentes parties des chansons Mouvement Je danse sur des chansons en respectant le rythme et les consignes donn es J invente des mouvements sur des chansons 28 R sonances Novembre 2007 pour chaque p riode d valuation par exemple rouge pour la pre mi re jaune pour la deuxi me Une grille m me si elle para t la plus large et compl te possible a quelque chose de tr s fig Il faut par cons quent viter de prendre les propositions ci contre comme un mod le absolu C
33. te ou les infos importantes E Perrenoud Philipppe 1995 La p dagogie l cole des diff rences Fragments d une sociologie de l chec Paris ESF E Przesmycki Halina 1991 P dagogie diff renci e Paris Hachette E Zakhartchouk Jean Michel 2001 Au risque de la p dagogie diff renci e Paris INRP B Stordeur Joseph 1996 Enseigner et ou apprendre Bruxelles De Boeck Ah oui j oubliais La diff renciation n cessite une bonne dose d humour d humilit et d humanit Riez admirez et communiquez avec les tres humains qui vous sont confi s Vous serez alors sans doute un prof dont ils se souviendront Notes ppp 1 Apprivoiser les diff rences 2 Voir la fin de l article 3 Livre para tre en 2008 St phane Hoeben Consultant ind pendant en Education et en Ressources humaines Ce formateur belge a notamment donn cet t un cours sur la diff renciation dans le cadre de la formation continue des enseignants la HEP Vs l auteur Le d but de le on Actions Annoncer le sujet de la le on et la comp tence d velopper Toujours crire les consignes au tableau sur une affiche Laisser le temps de la d couverte du mat riel et de la consi gne permettre de poser des questions m me si l on n y r pond pas explicitement Dans un cahier que l on peut intituler recueil de r flexions faire exprimer le d j l ou les hypoth ses sur le contenu Motivation
34. tences professionnelles non seulement il faut les conscien tiser mais le la PF va devoir uvrer afin que le la stagiaire puisse s ins crire dans l acquisition de ces com p tences Ici l on rejoint le souhait de transmettre Dire ce qui consti tue sa profession montrer son en seignement expliquer ce qui se ca che dans les plis de la profession tre oblig de formaliser pour pou voir partager transmettre son sa voir agjir sp cifique devenir forma teur d adultes voici quelques unes des comp tences qui permettent d inscrire la formation PF dans une nouvelle vis e professionnelle L change est au c ur de ces pro cessus de formation Echanges avec les stagiaires entre les PF avec la HEP avec divers acteurs de la pro fession ces espaces de paroles de confrontation de discussions et de co construction entre partenaires ouvrent vers le changement La di mension de construction collective de la fonction PF v cue tout au long de la formation permet chacun de participer activement cette nou velle identit professionnelle Du changement de vision au chan gement de posture la formation PF offre aux enseignants qui le sou haitent d entrer dans un autre champ de la formation qui est la formation professionnelle de jeu nes adultes et ceci dans un esprit de partenariat avec une institution de niveau tertiaire Ce point l n est pas n gligeable Il permet d j aujourd hui certain es PF
35. trailler Pierre Marie Gabioud Chantal Chabbey Jean Pierre Gaspoz et Christophe Germanier igloo un moment pr cis de la scolarit Elle ajoute que la plupart des enseignants sont d accord sur la n cessit de pr voir des activit s adapt es cha cun pour permettre le progr s individuel mais qu ils sont encore nombreux craindre de n tre pas juste en le faisant Et les parents ne sont pas forc ment pr par s pour admettre que l atteinte des objectifs ne soit pas la m me pour leur enfant que pour les autres L inspectrice voque un deuxi me amalgame fr quent entre diff renciation et individualisation rap pelant qu il ne s agit bien s r pas d avoir un projet personnalis pour chaque l ve tout au long de l an n e mais de fonctionner avec des groupes de besoin Des enseignants qui diff rencient les inspecteurs n en verraient ils alors que rarement Absolument pas et chacun relate quantit d exemples d observation de diff renciation Pierre Marie Gabioud parle de cette enseignante qui pratique avec talent la p dagogie par ateliers Christophe Germanier signale des situations int ressantes de diff renciation au CO des cas d int gration r ussie d l ves en difficult etc Tous men tionnent bien videmment aussi des contre exemples avec des classes effectif r duit avan ant sur la base d un programme identique pour tous ou des semi exemples dans des classes deux niveaux lorsque la
36. tre jug de la m me fa on que les autres si j ai un handicap ou un avantage Il s agit de mettre en uvre une dynamique d valuation for mative qui permet l apprenant de prendre conscience de l cart entre le d but et la fin On d veloppe par cons quence de la motivation intrins que Inclure chaque le on dans une s quence est essentiel L appre nant doit savoir qu il y aura plusieurs le ons autour de la com p tence et qu il sera pr vu des actions particuli res pour tous gazelles b ufs l phants R sonances Novembre 2007 avis du chef de l enseignement Jean Fran ois Lovey chef du Service de l enseignement rappelle que certains enseignants faisaient de la diff renciation bien avant que le mot ne fasse partie du vocabulaire p dagogique Reste que sa g n ra lisation dans les classes est un d fi encore relever Monsieur Lovey les t moigna ges recueillis sur la diff rencia tion ont mis en avant une cer taine ambigu t de la traduction des discours officiels pas seule ment cantonaux dans la classe La loi de 1986 sur le cycle d orienta tion actuel et surtout ses textes d ac compagnement pr voyait par exemple d j formelle ment une mission de diff renciation confi e l ensei gnant Avec du recul on a l impression qu on a nonc cela un peu comme un v u sans avoir forc ment tou jours donn les moyens aux enseignants de le rendre r alisable Aujourd h
37. Nuit du conte selon ses id es L imagination et la f te ne connaissent pas de fronti res 0 collaborent au projet Lab elle qui rep re des albums attentifs aux poten tiels f minins www lab elle org O cr ent des expositions th matiques L exposition Lectures des Mondes circule actuellement en Suisse romande Elle est disponible pour location O publient des bibliographies th matiques La bibliographie La lecture c est trop dur propose une s lection de titres pour les jeunes lecteurs en panne Actuellement puis e elle peut tre t l charg e gratuitement partir du site www jm arole ch 18 R sonances Novembre 2007 Renseignements Institut suisse Jeunesse et M dias ou JM AROLE Rue St Etienne 4 1005 Lausanne T l 021 311 52 20 Sites www jm arole ch et www isjm ch Courriel info isjm ch Contact valaisan Patricia Gross repr sente l asso ciation JM AROLE dans le Valais romand Rue du Scex 1920 Martigny Courriel patgross netplus ch Vous trouverez des informations propos de la Nuit du conte du 9 no vembre sur les sites www jm arole ch et www isjm ch Si vous vous ins crivez en tant qu organisateur vous recevez gratuitement les affiches compl ter par vos soins pour an noncer votre manifestation dans votre r gion Sur la base des inscriptions nous tablissons un programme de la Nuit du conte en Suisse romande que nous transmettons aux diff rents m
38. Posla niec a publi de nom Fan LA Dj de la lecture EE breux livres en Cams Peame direction des en Pett uge D On n fants bibliogra ee ER phie partielle ci DA EC dessous et tout autant pour les adultes romans policiers antho logies de po sie th tre et de nombreux essais I a men des recherches sur la lecture et la lit t rature de jeunesse notam ment l INRP o il a t charg de recherche ce qui a donn lieu des comptes rendus et des articles Co cr ateur de Pro molej Promotion de la lecture et de l criture des jeunes avec Chris tine Houyel il intervient dans ce cadre dans de nombreux lieux pour des conf rences des formations des colloques 6 B Petit chaperon rouge suivi de Les explorateurs Retz 2007 B Le douzi me poisson rouge Ecole des loisirs 2007 B Le plaisir de lire expli qu aux parents Retz 2006 B Dix animations lec ture au cycle 3 CE2 CM1 CM2 Retz 2005 Infos pratiques Titre de la conf rence Lecture et plaisir de lire avec de jeunes l ves Lieu Martigny salle communale Date et horaire 28 novembre 20 heures www le ser ch ser even 07_sem_lect_accueil html avec les propositions du SER pour la Semaine ro mande de la lecture Semaine romande de la lecture Ecouter dire S 19 pocumentatio p dagogique NN Jouveau concept pour le prix TSR litt ra
39. R sonances Novembre 2007 Claude Barras Paris pr sidente de la F d ration romande des associations de parents d l ves du Valais FRAPEV J ai le sentiment qu on est en train de cheminer vers la diff renciation au niveau de la scolarit obligatoire ne se rait ce qu en raison de la multiculturalit mais l cart est quelquefois consid rable entre la th orie et la pratique Essayer de comprendre les m canismes de la diff rencia tion et en rep rer les r sistances c est d j un bon point pour l cole L expression g n reuse d aider un enfant en difficult ou un peu plus lent est appr ci e des parents mais le probl me survient ensuite s il ne parvient pas re joindre le groupe Parfois on peut se demander s il ne fau drait pas supprimer la notion de classe pour mettre ensem ble des l ves de m mes niveaux Pourquoi obliger tous les enfants r aliser au m me moment des objectifs iden tiques Des l ves se d motivent compl tement dans une cole o le classement est si important On leur donne des aires de lancement pour s entra ner leur rythme mais on leur demande quand m me d arriver en m me temps que les autres L cole avec les moyens disposition ne peut n anmoins pas faire autrement Ce qui me semble essen tiel c est qu elle donne une chance ceux qui apprennent plus lentement et dans l ensemble elle le fait Les discus sions sur le nouveau CO vont du reste dans ce sens
40. Regards crois s sur la diff renciation a diff renciation Daphn e Constantin Raposo Bleus verts marron des vingt quatre paires d yeux qui regardent l enseignant aucune n a le m me clat la m me nuance Blonde noiraude ch tain aucune de ces petites t tes n a les m mes repr sentations du monde les m mes conceptions des choses Grands petits moyens aucun de nos l ves n a le m me point de vue C est une vidence tous sont diff rents et pourtant l cole veut gommer cette richesse en faire des clones tous gaux Utopie Alors parlons de diff renciation voil un mot qui sonne bien qui refl te le respect un mot qui irait de soi si ce n tait toutes les fausses peurs qu il v hicule En effet un travail diff rent pour chaque enfant quivaut un temps de pr paration interminable suppose une organisation d moniaque Non il est impossible de le r aliser avec vingt quatre l ves Sauf que cela s appelle individualisation et que ce n est pas le plus judicieux car il n y a plus d change avec les pairs donc un apprentissage moins efficace La diff renciation c est d abord un constat tous les l ves sont diff rents ont des acquis h t rog nes un mode d apprentissage propre chacun des envies des besoins des int r ts divergents L enseignant qui en tient compte propose donc un enseignement vari utilise des angles d approche distincts pour une m me mati re I parle
41. ani le Cogis et Dani le Manes se Orthographe qui la faute Paris ESF 2007 H Dominique B trix K hler Lau rence Rieben Yviane Rouiller Barbey Madelon Saada Robert Edith Wegmuller Apprendre l orthographe en produisant des textes Fribourg Editions univer sitaires 2001 E En raccourci Comparaison internationale L ducation en Suisse La participation la formation augmente en Suisse comme dans la plupart des pays de l OCDE Au cours des 25 derni res ann es cette augmentation s est accompagn e d une diminution des diff rences entre les sexes quant aux entr es et aux dipl mes des formations postobligatoires suisses Cette volution n a pas eu la m me ampleur dans tous les domaines de formation les femmes continuent tre sous repr sent es en particulier dans les domaines des math matiques des sciences naturelles et des sciences techniques Ce sont l quelques uns des r sultats tir s des plus r cents indicateurs de l enseignement publi s par l Office f d ral de la statistique OFS et l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques OCDE wwvw statistique admin ch Ressources pour l cole Outils et liens gogo Vous cherchez des outils pour la classe des d marches ou des fiches Ressources pour l cole peut vous aider Autre atout de ce site foisonnant il propose quantit de liens vers des adresses en ligne le tout class par th mes sciences histoir
42. apt au travail de groupe gr ce au format des photos A3 A table s adresse aux l ves de 9 14 ans www globaleducation ch R sonances Novembre 2007 FPT lire au CP1 en appui ou en rem diation Th ApLec est un logiciel destin aider les enfants int grer certains m canismes de la lecture par une pratique active On retrouve l es prit qui a pr sid la r alisation de 1000 mots pour apprendre lire galement con u par l auteur et qui est utilis dans de nombreuses classes depuis plus de 10 ans Les documents d accompagnement aux instructions officielles de 2002 Lire au CP rep rer les difficult s pour mieux agir et Enseigner la lecture et pr venir les difficult s ont servi en grande partie de base de r flexion l laboration de cette progression pour la Grande Section de maternelle Les nombreuses acti vit s propos es pr s de 270 r par ties sur les 36 semaines de l ann e sont destin es familiariser pro gressivement les enfants de CP aux outils qui leur permettront d entrer dans les apprentissages structur s et syst matiques n cessaires l ac quisition de la lecture dont l ann e de CP repr sente le temps fort La plupart des activit s trouvent galement tout leur int r t au cours du premier trimestre de l an n e de CP pour les l ves qui n au raient pas t suffisamment pr pa r s lors de la premi re ann e du cycle et en rem
43. artigny prend le micro et invite in nts club de cinema pour enfan EE les enfants qui le d sirent venir pr senter les r gles du Club c est dire le comportement adopter quand on va au cin ma Ensuite il dit aux enfants que dans le cadre de ce cycle des films qui font rire ils vont voir 5 petits films burlesques comme en 1920 avec accompagne ment au piano et lecture des sous ti tres en direct I demande ceux qui savent d expliquer ce qu est un film burlesque puis il d finit avec des mots faciles d acc s ce qu est une doublure au cin ma toujours en partant de ce que les enfants con naissent d j et certains sont d j presque des experts Apr s cela il y a un petit spectacle ludique et du catif fort attendu des habitu s de la Lanterne Les animateurs c dent alors la place la projection A L avis d Elou et de sa maman Est ce la premi re fois que tu viens la Lanterne magique Non je suis d j venue souvent La maman C est la troisi me ann e que ma fille vient la Lanterne magique mais elle tait inscrite au Club de Martigny Pourquoi viens tu aux s ances de la Lanterne magique Parce que j aime beaucoup le cin ma Te souviens tu de ce qui t a motiv e la premi re fois y aller Non La maman C est une ancienne l ve de sa classe Martigny qui avait entra n ma fille et d autres l ves Lis tu la brochure avant de venir aux s ances J ai
44. ats Environ 60 des enseignants de ma th matiques du CO enseignement sp cialis compris ont r pondu cette enqu te 133 sur 221 Ad quation aux fondements Nous rappelons ici les textes sur les quels les enseignants ont t invit s s exprimer Fondement 1 Les finalit s et les buts g n raux de l enseignement des ma th matiques concernent l acquisition de d marches de pens es et d attitu des En cons quence une part im portante des activit s des MERM 7 8 9 est orient e vers ces finalit s Fondement 2 Les conceptions m thodologiques des MERM ont diver ses implications prise en compte des repr sentations des l ves des er reurs significatives de l enseigne ment par le probl me Fondement 3 Le livre du ma tre est con u comme un ouvrage ressource compl ments th oriques pistes de travail suggestions didactiques et non comme un guide organisant une progression pas pas Fondement 4 Les MERM 7 8 9 se veulent des ouvrages ressources pro posant un panel d activit s vari es et ou niveaux multiples sans progression lin aire Le choix des ac tivit s de leur succession et du degr d approfondissement est laiss l appr ciation du ma tre Les trois premiers fondements sont approuv s par une forte majorit resp 68 80 et 79 enti rement en accord ou plut t en accord Les commentaires annexes montrent que les r serves par rapport ces trois
45. bles pour r pondre toutes demandes de la part des enseignants de groupes ou d tablissements sco laires dans le domaine des ICT dor navant d sign au ni veau romand sous le nom de MITIC M dias Image Tech nologies de l Information et de la Communication Ce ser vice s inscrit dans le cadre g n ral de la promotion de l int gration des usages p dagogiques des MITIC dans les processus d enseignement et d apprentissage de tous les ordres d enseignement Cette offre s adresse non seulement aux coles ayant lanc un projet ICT mais toutes les coles du Valais romand Les demandes peuvent tre d ordre technique possibilit d installation d Internet dans l cole conseil sur r seau avec ou sans serveur mise en route d un site d cole ou p dagogique comment cr er une s quence d enseigne ment avec les ICT lancer un projet ICT d tablissement de classe utiliser les comp tences acquises lors de formation ICT animation d un groupe de r flexion sur les ICT Les supports techniques de proximit ne sont par contre pas compris dans cette offre La maintenance des appareils ICT tant la charge des communes R paration et mainte nance des ordinateurs du serveur installation d impri mante L objectif de cette action support est de permettre aussi aux enseignant e s ne faisant pas partie d une commune avec ICT projet accept et subventionn par l Etat d acc der aux prestations d aide et d a
46. ces Novembre 2007 Livres a s lection Daphn e Constantin Raposo m Shola des villes Shola des Champs Shola est une petite chienne blanche aussi pr ten tieuse que citadine Lorsqu elle d barque avec son ma tre la campagne pour passer une semaine de vacances chez Bego a elle est pleine de pr jug s Pourtant gr ce sa rencontre avec Angelot un petit chien blanc comme elle elle va d couvrir la solidarit la t nacit et pourquoi pas apprendre que l amiti est possible malgr les diff rences Ce petit roman est illustr avec humour crit avec tendresse Il int ressera les jeunes lecteurs m me ceux qui ne sont pas trop branch s lecture Bernardo Atxaga Shola des villes Shola des Champs Gen ve La Joie de Lire 2007 m Au jardin fruitier Des couleurs chatoyantes encadr es d un noir profond Des couleurs qui donnent l eau la bouche Des fruits comme on ne les a jamais vus eue Hun heri AU JARDIN FRU ITIER du mois Au fil des pages on d couvre douze photographies sublimes de fruits sur leur arbre Sur la page de gauche juste le nom de ce r gal Un luxe tout en simplicit Un livre regarder et savourer des clats de d couvertes pour les plus petits Nicolette Humbert Au jardin fruitier Gen ve La Joie de Lire 2007 m Le monde myst rieux du jardin de Noiseline l auteure Line Short a toujours v cu en Valais proche de
47. charge de certains enfants en difficult est aussi clairement une personne ressource pour tout l tablissement scolaire Il ne s agira bien s r pas de re porter toutes les difficult s passag res sur l enseignant d appui sachant que chaque enfant diff rent n a pas besoin de mesures diff renci es de l enseignement sp cialis Pour Guy Dayer le fait qu il y ait des ensei gnants d appui induit parfois faussement la notion d incomp tence du c t des enseignants non sp ciali s s alors qu ils sont m me de g rer eux m mes bon nombre de difficult s scolaires L approche de la diff renciation devrait tre plus globale qu elle ne l est en g n ral Reste donner confiance l ensemble des enseignants pour oser diff rencier E 15 a bibliographie de la ___ documentation p dagogique Le secteur documentation p dagogique de la M diath que Valais Saint Maurice livre quelques suggestions de lecture pour aller plus loin que ce dossier LT j A L Tous les m documents as propos s sont bien s r disponibles la M diath que Valais Saint Maurice cf cotes indiqu es et pour certains Sion galement Ouvrages g n raux GILLIG J M L aide aux enfants en difficult l cole probl matique d marches outils Enfances Dunod Paris 2000 Cote 371 212 72 GILL PIERRET HANNECART M et PIERRET P Des pratiques pour l cole d aujourd hui Outils pour ense
48. cia tion Premi re interrogation pourquoi diff rencier Pour Pierre Marie Gabioud c est simplement parce que les classes sont aujourd hui extr mement h t ro g nes d s l cole enfantine Christophe Germanier est d avis que l homog n it est de toute fa on un mythe et qu il faut d s lors diff rencier dans tous les cas De nis M trailler souligne que l cole en a la mission et pour appuyer sa d monstration il cite le contenu in troductif de la d claration de la CIIP sur les finalit s de l cole savoir L Ecole publique assume des missions d instruction et de transmission culturelle aupr s de tous les l ves Elle assure la construction de connais sances et l acquisition de comp tences permettant chacun et chacune de d velopper ses potentialit s de mani re optimale Des paradoxes Puisque les diff rences sont reconnues par l Ecole il s agit d en tenir compte dans toutes les classes Cer tains enseignants le font et bien tandis que d autres peinent ou n osent pas se lancer Pour quelles raisons Tous les inspecteurs reconnaissent cet important d ca lage entre th orie et pratique relevant combien cette notion vidente en apparence est en fait complexe appr hender en partie parce qu elle intervient dif f rents moments de la s quence d enseignement ap prentissage avant pendant et apr s et en plus sous diff rentes formes structures scolaires gestion de classe moyens d enseigneme
49. concours de r daction intitul Cri tiques de cin ma en herbe avec pour but de r diger en classe la cri tique d un film d couvert au ci n ma Le succ s fut au rendez vous et une nouvelle dition de cette activit s int grant parfaitement dans les cours de fran ais devrait tre programm e l ann e pro chaine La Lanterne invite aussi participer des concours ouverts tous comme celui de l ann e der ni re R alise ta bande annonce L encore il est question de renou veler l exp rience De nouveaux projets sont par ail leurs en cours de d veloppement Pour compl ter le site internet ac tuel www lanterne magique orgj une banque de donn es du ci n ma un Cin Bazar avec des fi ches sur les films les acteurs les genres les techniques ou les m tiers est en pr paration La mise en ligne d une animation partielle ment interactive pour comprendre comment se fait un film est gale ment pr vue A suivre El 23 I Ecole et mus e ortie culturelle chauss e __ glissante par p riode de gel Eric Berthod Pour le chauffeur exp ri ment attentif et bien quip la route se d roule sans heurt serpente et se faufile gracieusement en tre les surprises du paysage Bucolique Ce m me trajet emprunt l aveugle de nuit ou par ver glas vire au cauchemar les d rapages se succ dent la collision ou la sortie de route guet tent l impru
50. ction des niveaux de d part Cette an n e je n ai que deux niveaux mais l an dernier j en avais cinq dont une l ve qui n avait jamais t scola ris e et l il faut de l organisation pour que chaque jeune puisse avancer son rythme tout en faisant partie d un des groupes Cette mani re de travailler demande une bonne pr paration des cours d autant plus qu il y a de constantes rotations dans mon groupe classe en raison des horaires des uns et des autres Mon avantage c est de pouvoir voir les pro gr s rapides qu ils accomplissent ce qui n est pas tou jours le cas dans d autres mati res Et pour que l int gration de ces l ves soit facilit e mes coll gues prati quent aussi avec eux la diff renciation en adaptant le programme tout en visant terme le m me niveau d exigence Ce travail d quipes est absolument indis pensable pour que cela marche Et la diff renciation s effectue m me l chelle de l tablissement puis que les premi res semaines les r gles sont plus souples pour certains sachant que nos normes culturelles doi vent aussi tre int gr es mais l encore cet ajuste ment n est que temporaire Fran oise Koopmann enseignante en classe enfantine Sion Diff rencier c est adapter En classe enfantine c est l endroit absolument id al pour le faire tant donn qu on n a pas les m mes contraintes au niveau du pro gramme qu au primaire En plus les enfants arrivent en
51. d l ves et met en avant De gauche droite Jean Fran ois Lovey Patrice Clivaz Dani le Cogis Francis Klotz Fabio Di Giacomo Didier Jacquier et Eric Morisod pu c t de ta HEP Vs toute la r flexion de l enfant dans l acquisition du langage Ainsi pour elle un enfant qui traite d abord le verbe comme le nom en mettant des s est en voie d acquisition et la ma trise de l accord peut prendre plus ou moins de temps Afin d ai der l l ve plut t que de le sanc tionner elle propose divers types d activit s plus r flexives sur le fonctionnement de la langue en mettant par exemple en place des chantiers orthographiques ou des phrases dict es du jour Dominique B trix K hler cher cheuse en didactique de l ortho graphe la Haute Ecole p dagogi que vaudoise a pr sent pour sa part un mod le d apprentissage de l orthographe int gr e la pro duction de textes Elle signale que cette approche int gr e dans l es prit des s quences didactiques ro mandes mais centr es sur l ortho graphe a toutefois d montr des effets plus probants en 6P qu en 2P R sonances Novembre 2007 Ouelques bribes du d bat Jean Fran ois Lovey Une soci t qui tol rerait l abandon d une certaine correction et rigueur orthographiques est une soci t qui admet d riger en principe le penser n importe quoi n importe comment Nous ne le voulons pas H HM Patrice Clivaz Quand on v
52. de leur caisse en plus de leurs dettes connues Ob ir l injonction f d rale si elle est confirm e au terme de la consul tation sera difficile pour les collecti vit s publiques qui connaissent une situation financi re difficile Pour notre canton toutefois une partie du chemin a d j t faite si bien que le d couvert des deux caisses est pass de CHF 1 4 mias CHF 750 mios environ C est ce montant au quel il faudra encore ajouter une r serve de fluctuations de titres pour faire face aux al as boursiers CHF 340 mios correspondant 15 des fortunes sous gestion qu il s agira de financer sur 30 ans soit environ une annuit annuelle de CHF 67 000 000 Oppositions Rien ne dit cependant que le projet du Conseil f d ral sortira indemne de la consultation L Union syndicale suisse de m me que la commission des institutions de droit public de l ASIP promettent d j de le com battre en rappelant que la Commis sion f d rale LPP avait opt pour une solution plus souple Elles rejet tent un projet qui co terait CHF 943 mios par an en moyenne sur le plan suisse C est aussi l avis de certains experts qui jugent absurde d obli ger les caisses publiques couvrir en permanence la totalit des rentes Les d bats promettent d tre chauds cet automne El 43 hampionnat des jeux math matiques et logiques but d apr s midi pour la premi re manche de cette finale la seco
53. de transf rer les comp tences acquises dans le cadre de la fonc tion PF d autres secteurs d acti vit Quels avantages Jacqueline Vuagniaux Formation PF HEP Vs Formulaire d inscription Demande de participation la formation de praticien formateur praticienne formatrice Ces informations seront trait es de mani re confidentielle NOM MEET SR MR nets Adresse RAR Rd Le can PE Date de naissance 2 Degr d enseignement ssesseeeeee Lieu d enseignement ssesesseeseeeeeen Prenom oenar At en NP etdomicile Seieren ce TERDAN E a E RR A DONC ACLIVILE E AA T RA Ter aeilklecolc mea na A Si temps partiel nom et pr nom du coll gue accord n cessaire s nnonnannn A retourner pour le 20 d cembre 2007 Formation PF HEP Vs av du Simplon 13 1890 St Maurice Pour tout renseignement compl mentaire vous pouvez contacter Mme Isabelle Truffer Moreau au 024 486 22 40 ou par courriel isabelle truffer hepvs ch R sonances Novembre 2007 En raccourci Les dossiers de l ducation L intelligence La collection Les dossiers de l ducation ditions Sciences humaines s enrichit d un nouveau titre sur l intelligence de l enfant L ouvrage coordonn par Marie Duru Bellat et Martine Fournier aborde le sujet au del des tests du QI www scienceshumaines com Formation professionnelle Une activit rentable En 2004 les entreprises suisses ont investi pr s de 4 7 mil
54. dent chaque courbe Restent le hasard ou la chance pour viter le pire Au mieux dans un r flexe de survie on interrompt la vir e pour attendre des conditions plus cl mentes Sagesse salvatrice certes mais marqu e durablement par le traumatisme de l aventure Ainsi en est il de certaines escapa des culturelles Par souci d ouver ture des sorties ambitieuses sont orchestr es par vol es de classes voire par tablissement entier Ces louables intentions se butent par En raccourci Echanges de jeunes Newsletter Le centre ch Echange de jeunes publie d sormais un bulletin d information pour la diffusion des demandes d change Les coles et les enseignant e s int ress s y trouveront les annonces les plus r centes pour des changes de classes en Suisse et l tranger La newsletter para tra probablement tous les 2 3 mois Pour s y abonner s annoncer austausch echanges ch 24 fois la plus l mentaire logisti que horaire hebdomadaire dur e d exposition capacit d accueil des espaces d exposition et pire en core disponibilit des m diateurs culturels En cas de probl me et comme la date est arr t e le choix initial doit tre abandonn ou adapt On retient une alternative voire un pis aller Faute de grive ne se contente t on pas de merle Soit si la faim l exige Or nous savons la difficult de met tre ne serait ce qu en app tit de connaissance des adol
55. des enseignants utilisent syst matiquement ou souvent les MERM pour pr parer leurs cours et pour les exercices en classe Pour les tra vaux la maison ils ne sont plus que 64 Cf graphique ci dessus Le manque d exercices simples de consolidation est souvent relev pour expliquer cette diff rence en tre l utilisation des MERM l cole ou la maison Accompagnement formation Dans le cadre de l introduction des MERM 7 9 le travail d accompa gnement propos par l animation p dagogique math CO est globale ment bien appr ci par les ensei gnants Les avis positifs varient ici entre 69 et 89 Cf graphique ci dessous Utilisez vous les MERM 7 8 9 pour pr parer vos cours les exercices en classe les exercices la maison E syst matiquement E souvent E parfois jamais 0 20 40 60 80 100 Divers Une minorit d enseignants d cla rent avoir acc s l informatique pendant les cours de math mati ques par l interm diaire d une liai son internet directe ou d un beamer Pr s de la moiti des enseignants di sent m me ne jamais pouvoir utiliser une salle d informatique La machine calculer est couram ment utilis e l inverse du CD Rom IndigoE Une forte majorit d ensei gnants font appel parfois du mat riel annexe Polydrons multicubes autres formes g om triques Travaux de groupes Aucun enseignant ne fait travailler syst matiquem
56. des niveaux dans ces longs moments o les l ves ne seront pas s par s en particulier aux degr s 7 et 8 Et dans les nouveaux plans d tude la diff renciation est elle un l ment sur lequel l at tention est port e avec la coh rence n cessaire une application harmonieuse C est pr cis ment le d fi qui nous occupe actuellement Avec ce qui est en train de se penser et de se r diger qu il s agisse d un plan d tudes l chelle romande ou de l laboration de standards l chelle suisse com ment garantir la fois la mesure possible de niveaux mi nimaux avec un avancement diff renci des l ves pour atteindre au moins ces objectifs et si possible plus C est une question et une inqui tude pour certains On constate aussi des attentes contradictoires de la soci t avec des parents qui confondent diff renciation et individualisation et d autres qui peinent comprendre que leur enfant n avance pas au m me rythme que les autres Diff rencier ne doit pas tre une forme de pr cepto rat et l on sait que c est galement inefficace de distil ler toujours le m me savoir 25 l ves au m me mo ment Il s agit d expliquer que diff rencier c est ad mettre que si l on vise une certaine qualit de la ma trise de la lecture dans les petits degr s tout le monde ne va pas y arriver en m me temps et de ma ni re identique L individualisation ne peut intervenir que pour un ou deux l
57. e les petits Pa risiens auront prochainement aussi la chance de pouvoir faire partie du Club En Valais les 9 s ances annuelles ont lieu dans les cin mas de Sion premi re ville valaisanne avoir accueilli la Lanterne magique en 1993 soit une ann e apr s sa cr a tion Martigny d s 1998 et Sierre d s 2005 La coordination canto nale se fait via la M diath que Va lais Martigny Pour son directeur Jean Henry Papilloud la collabora tion une telle action tait une vidence sachant que la M diath que de Martigny a entre autres Pour en savoir plus La Lanterne magique M diath que Valais Martigny Arlette Cl ment 027 722 91 92 arlette clement mediatheque ch www mediatheque ch gt Martigny www lanterne magique org 22 Jean Henry Papillo Valais Martigny ud directeur d ambassadeur des enfants pour missions de conserver le patri moine audiovisuel cantonal et de participer l animation autour du cin ma Il se r jouit d assister un rajeunissement du jeune public dont certains cin philes restent ins crits la Lanterne jusqu ce qu ils aient douze ans Dans de vraies salles de cin ma Comment se d roule une s ance la Lanterne magique Premi re parti cularit les projections se font dans des vraies salles de cin ma Le pro gramme est bien s r adapt l ge des enfants et les 9 s ances sont or ganis es en 3 cy cles de trois films
58. e logiciels ducatifs polices de caract res http ressources ecole free fr 31 Devenir praticien formateur Ouelles motivations Depuis 2001 environ trois cents en seignants valaisans ont suivi ou sui vent actuellement la formation de praticien formateur praticienne for matrice la HEP Vs Mais qu est ce qui pousse un enseignant franchir le pas et quels avantages trouve t il dans le cadre de cette nouvelle for mation En prenant en consid ration les mo tivations les attentes d clar es et les valuations effectu es jusqu ici il est possible de classer les motiva tions sous quatre grandes rubriques La curiosit La HEP c est quoi au juste Qu of fre t elle de nouveau Quelles th o ries nouvelles o anciennes sont abord es Qui sont ces jeunes qui vont devenir des coll gues La for mation est elle tr s diff rente de ce que les normaliens ont re u Qu est ce qu une formation de niveau ter tiaire La formation des praticiens forma teurs PF aborde ces questions of fre des cadres th oriques issus de la recherche et surtout reconna t et r assure les comp tences profession nelles d velopp es par tout un cha cun dans sa pratique enseignante quotidienne Le d sir de se renouveler Apr s cinq dix voire plus d ann es d enseignement arrive souvent l envie de faire le point et d inscrire sa profession dans une notion de changement Changer de secteur d act
59. ean Henry Papilloud appr cie que l on puisse ainsi expliquer avec des mots sim ples des notions complexes comme R sonances Novembre 2007 les techniques du cin ma d anima tion les effets sp ciaux ou le nom bre d images par seconde Pour Vincent Adatte un autre point es sentiel la d marche est la pr sen tation des films dans un ordre chronologique l int rieur de chaque cycle Il rel ve qu il est important de montrer que ce n est pas parce qu un film est ancien qu il est nul surtout dans notre soci t consum riste Avis partag par Jean Henry Papilloud pour qui il s av re indispensable de sensibiliser aux images du pass si l on veut que les jeunes aient une culture cin matographique A Sion la premi re s ance de l an n e scolaire avait lieu le mercredi 19 septembre 14 heures Pour certains enfants participer la Lanterne magique tait une nou veaut tandis que les anciens membres savaient ce que c tait tout en ayant la surprise du film La premi re tape consiste installer les plus petits avec les rehausseurs sur les si ges histoire qu ils puis sent appr cier le spectacle confor tablement Au d part avec ce jeune public a s agite un peu dans tous les sens et l on se dit qu il ne sera pas facile de retenir leur attention Quelques minutes plus tard tout le monde ou presque est assis C est alors que le directeur de la M dia th que Valais M
60. en seigne galement d autres l ves des classes traditionnelles l ESC de Martigny il observe que ces jeu nes sont en g n ral extr mement crocheurs m me s il note une certaine diff rence entre ceux qui pratiquent un sport individuel ou collectif l habitude d tre encadr par le groupe diminuant un peu l autonomie Le m lange entre sportifs et artis tes est une force de la fili re aux yeux de Thierry Mayencourt Cela ouvre les horizons constate t il se r jouissant de la pr sence de footballeurs un concert d une violoncelliste ou l inverse Il estime que l esprit ne serait pas le m me s il n y avait que des sportifs ou des artistes Cet change leur permet de d couvrir qu il n y a pas que leur domaine qui est motivant et n ces site d importants efforts pour pro gresser Entre l ves se cr e une certaine solidarit Pour plus d informations ESC Martigny www escm vsnet ch Orientation scolaire et profes sionnelle www vs ch orientation www orientation ch de jeunesse ICT ducation physique type rallye d fi scientifique Les frais de d placement et d animation sont pris en charge par le Conseil du L man Si l aventure vous tente vous pouvez con tacter vos coll gues qui avaient effectu l ann e pass e l change sur le th me de l eau Patrick Biselx 027 783 15 48 J r me Renaud 024 499 10 03 cf article de juin consultable sur htt
61. ence 34 Olivier Revol invit parler des difficult s scolaires Comit AVPEHP 35 Apprendre lire au CP en appui ou en rem diation J M Campaner no ICTS2 les investissements 2007 Brigue J M Cleusix BH Orientation 38 Classes pour sportifs et artistes l ESC de Martigny N Revaz Rencontre 40 Kerstin Olding tudiante allemande en stage Martigny N Revaz f E Le chiffre du mois 42 El ves et tudiants dans le syst me de formation valaisan SFT K Ni Ie CRPE 43 Caisses de pensions publiques Romandie sous pression P Vernier B Math matiques 44 Championnat des jeux math matiques et logiques J C Aymon et C Dubuis g B Enqu te sur les moyens de math matiques au CO 46 B Les dossiers de R sonances 48 2 R sonances Novembre 2007 fessionnelle r m tiers Acti ga a ki E ES ne i t amp Q h d ni m Le p A A m n classe profitez S Hoeben Dans un premier temps lors de formations sur ce th me les participants confondent diff renciation diversification rem diation et individualisa tion Plus que des mots ces concepts reposent sur des r alit s diff rentes Ensuite lorsque le sens se cla rifie les enseignants expriment un besoin d exemples concrets Voici les deux objectifs de cet article Ce sera videmment trop court mais comme en classe on ne fait pas ce que l on veut Qu
62. enciation comme a c est possible Je vous invite encore m diter sur cette phrase d un auteur dont je ne connais pas le nom il faut suffisamment de ressemblances pour avoir envie de se parler et suffisamment de diff rences pour avoir quelque chose se dire E La diff renciation est distinguer de l individualisation eI gt I tin Raposo 1 D O m m QI re La diff renciation c est possible D Constantin 4 16 Es Sn rm mn O Environnement 17 Actualit s S Fierz 1 8 F tons les contes le 9 novembre 2007 ISJM JM AROLE B Praplan E Autour de la lecture i f Semaine romande de la lecture R sonances B Doc p dagogique 20 Nouveau concept pour le prix TSR litt rature ados N Revaz M mento 21 A vos agendas R sonances B Lecture d images 22 La Lanterne magique une initiation au cin ma N Revaz E Ecole et mus e 24 Sortie culturelle chauss e glissante par p riode de gel E Berthod E Spectacle coles 25 S il te pla t dessine moi un orchestre F X Delacoste 26 Jouer avec l air les foulards les draps ou le parachute N Nanchen G Schroeter et J Ruffiner B Education physique B Education musicale 28 Evaluation des activit s expressives 2 B Oberholzer E Livres 29 La s lection du mois D Constantin Raposo Echos du HEP Forum sur l orthographe N Revaz A DUCOS PEAMEES 30 Devenir praticien formateur J Vuagniaux E Conf r
63. ent de l as souplir avec des mesures adapt es ll s agit alors d ac cepter que la diff rence devienne la norme fait re marquer Guy Dayer Accompagner l enfant dans ses diff rences Sonja Pillet estime que la principale ambigu t de la diff renciation r side au niveau de l valuation Beau coup d enseignants sont d accord de diff rencier car ils trouvent le concept acceptable et g n reux mais se sentent en contradiction au moment de l valuation Michel D litroz rel ve que les parents aimeraient que l cole s occupe de leur enfant en particulier pour qu il rejoigne la norme ce qui est l gitime mais h las pas toujours possible Le probl me c est qu on a toujours l id e de l enseignant d appui qui va r parer l enfant ayant des difficult s scolaires note Sonja Pillet alors que comme le rel ve Michel D litroz l objectif de l OES est de l accompagner dans ses diff rences Le syst me scolaire valaisan permet il cet accompa gnement diff renci des l ves au del du primaire Le nouveau CO ainsi que l explique Guy Dayer de vrait permettre une aide mieux adapt e aux l ves qui ne sont pas en double chec Quant au passage vers le monde professionnel si la diff renciation ne semble pas poser de probl me aux patrons dans l absolu il y a des inqui tudes en lien avec l augmentation des exi gences voulue par la nouvelle loi f d rale sur la for mation professionnelle L
64. ent ses l ves par groupes de 3 ou 4 l ves mais 19 d entre eux font souvent appel ce mode de fonctionnement 71 l utilisent parfois et 10 jamais Le travail de groupe est reconnu pour ses apports sociaux esprit de coop ration d velopp d bats dans la classe favoris s Pour une majorit il contribue aussi aug menter la motivation des l ves Toutefois plus de la moiti des en tes vous satisfaits de PEVS 06 accompagnement Fils rouges Groupe Math 7 8 9 Formation facultative Information obligatoire 0 20 40 R sonances Novembre 2007 E oui B plut t oui B plut t non non 60 80 100 seignants doutent de son efficacit relativement aux apprentissages connaissances superficielles et mau vaise appropriation des concepts Seul 40 des enseignants estiment que le travail de groupe n cessite une formation sp cifique et 46 consid rent qu il peut tre mis en place dans une classe charg e Commentaires g n raux La remarque la plus r currente est le d ficit d exercices d entra ne ment et de consolidation Ce man que conduit deux autres soucis plusieurs fois exprim s Les notions sont elles suffisamment ancr es Le besoin en photocopies ou docu ments annexes n est il pas dispro portionn Pour prolonger cette id e quelques enseignants rel vent que le meil leur moyen d enseignement serait s rement une synth se entre les MERM et les mo
65. erce de Mar tigny C est Bernard Comby qui en a t l initiateur au cours de l Ann e internationale de la jeu nesse en 1985 L offre est ouverte aux jeunes Valaisans ou Suisses ro mands qui remplissent les condi tions d entr e l ESC et qui prati quent un sport de comp tition ou une activit artistique de haut ni veau Actuellement le ski de fond est la pointe Martigny avec la comp tence de Blaise Moos ce qui attire ainsi des jeunes provenant d autres cantons Les crit res sportifs ou artistiques d admission sont d termin s par les instances comp tentes des As sociations concern es C est ensuite la commission SAF Sport Art For mation du DECS qui donne son aval Les jeunes doivent justifier de leur statut une nouvelle fois l en tr e de la deuxi me ann e Une Thierry Mayencourt rdinateur des classe t le coo a es portifs et artistes pour s classe est en principe ouverte par ann e de formation mais l Etat peut dicter des r gles d acc s plus strictes selon les modalit s pr vues dans le concept Sport Arts Forma tion www vs ch enseignement gt Informations officielles gt Concepts Le programme pour l obtention du dipl me de commerce officiel est le m me que dans les autres coles de commerce mais les cours sont ven til s sur quatre ans au lieu de trois de fa on tre mieux adapt s au planning de ces tudiants Les jour n es de cours sont court e
66. erre Wertheimer de Lyon responsa ble du Centre de r f rence pour le diag nostic des troubles d apprentissages Le Dr Revol n est pas un inconnu chez nous Il nous a laiss un m morable souvenir suite ses conf rences de 2004 ayant pour th me Comment aborder l adolescent et de 2006 intitul e L enfant diff rent l chec scolaire a se soigne conf rences disposition sur notre site www avpehp ch Suite ce suc c s et dans la tradition de l AVPEHP d offrir aux enseignants et au grand public une r union annuelle avec la En raccourci Publication du SRED collaboration du DECS par un con f rencier de renom nous avons le plaisir d accueillir nouveau ce m decin charismatique Le Dr Olivier Revol 48 ans est l auteur de nombreuses publica tions scientifiques con cernant la pr cocit in tellectuelle l hyperac tivit et les difficult s scolaires milite de puis 20 ans pour que chaque enfant quel les que soient ses comp tences d cou vre l cole le plaisir d apprendre Il vient de publier un livre M me pas grave L chec sco laire a se soigne Cette ann e il nous parlera des troubles psychologiques entra nant des difficult s scolaires et en parti culier des troubles d pressifs conf rence Il porte un message d espoir pour les enseignants et surtout pour les parents qui d faut d un premier de classe voudraient au moins que
67. es glises romanes Durant cette rencontre Julien Per rot rappellera son parcours alliant nature et criture projettera un film montrant le travail de son quipe et partagera quelques uns de ses sujets d tonnement dans une nature apparemment banale Evidemment la soir e laissera une large place aux questions de l as sembl e et peut tre la vision que l on a des sciences l cole Note amam 1 Rectificatif concernant cet article la pyramide en photo n tait pas celle de Mme Roduit mais l expo pr sente la bonne pyramide 17 m l tons les contes Brigitte Praplan Le deuxi me vendredi de chaque mois de novembre est consacr de puis 1995 dans notre pays aux contes et la culture orale Cette ann e cette c l bration qui porte le nom de Nuit du conte en Suisse aura lieu le vendredi 9 no vembre autour du th me C est la f te La Nuit du conte rappelle l impor tance et l int r t des histoires pour nourrir notre imaginaire collectif AA AT TARA 3 www jm arole ch Mais r unir les enfants et les adultes autour du plaisir des his toires cont es est aussi un moyen original et int ressant de pro mouvoir l envie de lire La voix du conteur est un l ment positif pour soutenir et d velopper les capacit s des plus jeunes s ap proprier la langue du r cit plus structur e et imag e que la langue fonctionnelle Cette voix qui ra conte v hicule en o
68. escents da vantage pr occup s par leurs pro pres luttes plut t que par celles de leurs v n rables anc tres ou de tel ph nom ne naturel Peu ou mal in form s du sujet de la visite impo s e les l ves errent bient t d s uvr s d une salle l autre Et l on r alise ses d pens gue la temp rature a soudainement chut en dessous du z ro Les d rapages d abord insi gnifiants se r p tent s ac centuent et s aggravent La situation devient franche ment d licate voire incon tr lable On s agite ges ticule temp te et menace rien n y fait Les spectateurs assistent impuissants au bal d sordonn et bruyant Poursuivre ne m ne rait qu au plus cuisant des checs L abandon reste encore la meil leure chappatoire D u et contrit on h sitera long temps repartir sur cette chauss e peu am ne Cette m saventure est rare excep tionnelle m me Heureusement pour chacun On ne saurait trop recommander la prudence en insistant sur l impor tance d une authentique pr para tion de tous enseignant comme l ve Que la visite soit le projet de chacun et alors m me en l absence de m diateur culturel on r pondra avec assurance la situation Bonne route Conditions de visite aux mus es cantonaux Bienvenue toutes les classes qui la gratuit est accord e durant les heures officielles d ouverture Des horaires d ouverture particuliers peuvent tre ob
69. est ce que la diff renciation Je d voile 09 Depuis plus de 20 ans la d finition de ce concept flou volue Je m appuie sur Jacqueline Caron et d autres pour vous en proposer une qui synth tise la pens e de coll gues et moi m me La diff renciation est une recherche de coh rence et d ad quation entre l apprentissage de chaque l ve et l valuation formative des enseignants Cette dyna mique li e la responsabilit de la profession re pose sur deux dimensions thique et m thodologi que PROFITONS DES es O KARAPE CE a DES INSECTES CS CES 1 LANEI j WIN ia ENID all III Lis 14 PE m J E D e des diff rences Il s agit donc autant d un tat d esprit que d un en semble d outils p dagogiques propices au d veloppe ment optimal de chaque personne La difficult r side donc ne pas s enfermer soit dans une vision pure ment philosophique soit dans une vision techniciste i Profiter des diff rences est une solution plus riche que d essayer de les annuler E La plupart d entre nous enseignants de bonne vo lont avons t form s dans une logique d uniformi sation Le programme identique pour tous ainsi que les objectifs op rationnels A la fin de la le on 80 des enfants seront capables de conduisent la pen s e et l action de l cole vers une standardisation et les am nent combattre les dif
70. f rences Aujourd hui les missions de l cole ont chang et il s agit de former instruire et duquer un maximum d l ves En Communaut fran aise de Belgique voici les deux premi res missions inscrites dans la loi pour tous les ensei gnants 1 promouvoir la con fiance en soi et le d ve loppement de la person ne de chacun des l ves 2 amener tous les l ves s approprier des sa voirs et acqu rir des comp tences qui les ren dent aptes apprendre toute leur vie et pren dre une place active dans la vie conomique so ciale et culturelle 3 et 4 Il s agit donc d une r volution culturelle construire en douceur PARADOXE R sonances Novembre 2007 Et si on supprimait les confusions Je d tricote Particularit jet d mancipation Diff renciation d marches diverses Diversification gique Rem diation sont organis es cet effet s r c ee Ce Mn T ej D gt Vous voulez quelques exemples concrets Je propose Tous ces exemples reposent entre autres sur la d fini tion et sur deux principes in luctables H Arr ter de confondre enseigner et apprendre m Ne plus enfermer les enfants dans ses propres con naissances car ils sont n s une autre poque que la n tre Il s agit alors pour chaque enseignant de prendre dis tance avec le programme so
71. fori Les explorations Alimen terre des 10 classes emm nent le visiteur dans le jardin la ferme dans la ch tai gneraie dans la for t etc Toutes sor tes de questions se sont pos es d o viennent les aliments comment fait on le fromage comment les l gumes peuvent ils rester droits dans la terre De nombreuses exp riences ont t r alis es faire du fromage r aliser un compost peindre avec de la terre Les travaux ont t pr sent s dans R sonances en septembre 2007 ar ticle t l charger sur le site http environnement ecolevs ch mais rien ne vaut une visite sur place SensorScope Data Drawing tion 101 R sonances Novembre 2007 Weather Sta Samuel Fierz Rencontre Conf rence avec Julien Perrot r dacteur de La Salamandre HEP 15 novembre 2007 20 h Enfant il r dige un journal nature Aujourd hui il r alise avec son quipe une revue de r f rence L cole a quelque chose apprendre de son parcours En effet sa passion pour l criture et la nature a t for tement renforc e si ce n est initi e par un enseignant curieux Celui ci a veill l int r t du jeune gar on en proposant des sorties et des obser vations en se questionnant avec ses l ves en se laissant surprendre et tonner avec eux par ce qui se d roulait sous leurs yeux Et pourtant cet enseignant n tait pas un grand connaisseur de la nature il tait sp cialiste d
72. haque classe m rite une approche diff renci e A chaque enseignant donc d adapter cet outil au contenu non exhaustif en mettant en valeur les l ments qui lui paraissent pertinents lui et ses l ves Il serait judicieux galement que l l ve puisse choisir les crit res qu il a envie de valider Rappelons enfin que cette forme d valuation peut tre faite en tout temps au fur et mesure des apprentissages Chanson Crit res g n raux E J cris le titre des chansons que je connais par c ur E Je souligne ma mes chanson s pr f r e s B R guli rement je consigne dans mon cahier ce que je pense B A la fin de l ann e scolaire je peux chanter chansons par c ur seul ou avec les autres Crit res sp cifiques seul ou en groupe Cf tableau ci contre Une autre fois je mettrai un terme ce domaine br lant en me pen chant sur l valuation du domaine de la perception auditive et de la culture musicale en reprenant cer tains l ments th oriques du d but de mes propos et en prenant une certaine distance par rapport ce qu on nomme les techniques musicales Note aaam C t R 2002 Faire des motions et de l affectivit des alli s dans le pro cessus d enseignement apprentissage in Lafortune L Mongeau P dir L af fectivit dans l apprentissage Sainte Foy PUQ p 85 114 in FUAD Les diffi cult s d apprentissage p 367 394 R sonan
73. htm D marche de travail www gdml74 edres74 ac grenoble fr gdml spip php article61 Les intelligences multiples mieux apprendre free fr intel_multiples html 10 geants et la pression des examens en 4P et en 6P est forte En tant dans un village ce n est pas trop pro bl matique car les parents collaborent troitement avec l cole Il y a de plus une solidarit importante dans le village et des tudiants s occupent volontiers de certains l ves pour les aider Et l je peux interve nir pour leur dire ce qu il faut travailler avec mes l ves ce qui est aussi une mani re de diff rencier Mon avantage c est de conna tre le programme des trois degr s ce qui permet de voir plus clairement ce qui est fondamental pour la suite des apprentissages Maria Lurdes Fournier donne des Y cours de fran ais aux l ves allophones au CO de Derborence Conthey Avec mes l ves la diff renciation c est partir de l id e que tous sont des l ves et doivent par cons quent tre trait s de la m me mani re tout en tenant compte des parcours scolaires de chacun et donc en adaptant mes exigences Mon r le c est de leur ap prendre le fran ais afin qu ils s int grent le plus rapi dement possible dans le syst me scolaire Ils sont du reste imm diatement rattach s une classe qu ils quittent quelques heures par semaine pour que je les aide plus sp cifiquement A la rentr e je constitue des groupes en fon
74. ie diff renci e Profession enseignant Hachette Education Paris 2004 Cote 371 31 PRZE TOMLINSON C A La classe diff renci e Cheneli re Didactique Gestion de classe Editions de la Cheneli re McGraw Hill Montr al 2004 Cote 371 31 TOML H t rog n it difficult r duire L h t rog n it n est elle pas trop vite ressentie comme une difficult r duire quand il faudrait aussi envisager les chances saisir L loge de la diff rence cher Albert Jacquard reste faire l cole Eduquer et former Editions Sciences humaines 2001 Diff renciation filles gar ons La solution n est pas d abolir la mixit qui doit rester un apprentissage et un mod le pour l ouverture d autres mixit s notamment ethniques Mais on peut imaginer des didactiques diff renci es dans certains domaines Tout d abord il est urgent que les enseignants prennent 16 conscience du fait qu ils traitent diff remment les filles et les gar ons La crainte de passer pour r trogrades est telle que la notion de diff rence est devenue taboue Je suis frapp e par le fait que les enseignants les plus jeunes sont les plus r ticents aborder le sujet Interview Martine Chaponni re in Le Temps 13 septembre 2007 Double mouvement La diff renciation p dagogique am ne tout la fois rationaliser les choix et prendre conscience des limites de ces rationalisations Fran
75. igner De Boeck Bruxelles 2003 Cote 371 31 PIER Promotion de la r ussite scolaire et de l galit des AP assurer la qualit QO a dans des classes et 7 7 s des coles y EQU gd h t rog nes sur les 4 M DIATHEQUE WALLIS plans linguistique social et culturel Etudes rapports 14B CDIP Conf rence suisse des directeurs cantonaux de l instruction publique Berne 2001 Cote 37 043 494 CDIP P dagogie diff renci e h t rog n it ABDALLAH PRETCEILLE M Former et duquer en classe h t rog ne pour un humanisme du divers Exploration interculturelle et science sociale Anthropos Paris 2003 Cote 37 043 ABDA CARON J Apprivoiser les diff rences guide sur la diff renciation des apprentissages et la gestion des cycles Cheneli re Didactique Gestion de classe Editions de la Cheneli re LEP Montr al Lausanne 2003 Cote 371 31 CARO Le dossier en citations chances en ducation FRESNE R La p dagogie diff renci e mode d emploi Les pratiques de l ducation Nathan Paris 1994 Cote 371 31 FRES GILLIG J M d Les p da gogies diff renci es origine actualit perspectives Portefeuille P dagogie De Boeck Universit Paris 2001 Cote 371 31 PEDA LEGRAND L Les diff renciations de la p dagogie P dagogues et p dagogies Presses universitaires de France Paris 1995 Cote 37 013 LEGR PRZESMYCKI H La p dagog
76. ion Cf p 17 www mediatheque ch Me 9 janvier 2008 Colloque sur l valuation Dans le cadre du 2 colloque de l ADMEE Europe le comit d organisation propose une journ e de r flexion destin e au monde enseignant et ducatif sur le th me des valuations en tensions Lieu universit de Gen ve Horaire 9 h 18 h 15 www unige ch fapse SSE admee accueil_admee htm Du 5 novembre au 21 d cembre Exposition Patricia Crelier Exposition de Patricia Crelier la M diath que Valais Saint Maurice du lundi 5 novembre au vendredi 21 d cembre 2007 pour les classes de la scolarit obligatoire Dossier p dagogique t l chargeable d s le 5 novembre Mercredi 7 novembre 2007 13 h 30 et 15h visite atelier comment e par Patricia Crelier Dur e env 1 heure Inscription obligatoire eve lyne nicollerat mediatheque ch 024 486 11 88 www mediatheque ch 21 a Lanterne magique une initiation au cin ma Nadia Revaz D sormais bien con nue avec sa petite souris bleue comme mascotte la Lanterne magique est un club de cin ma r serv aux enfants de 6 12 ans ils assistent aux s ances sans leurs parents mais encadr s par des adul tes Le concept cr en 1992 Neuch tel s est progressivement export dans 72 villes de Suisse ainsi que dans plusieurs pays europ ens et m me au del La Lanterne ma gique voyage toujours vers de nouvelles destinations pour exempl
77. ition cole apprentissage N 5 f vrier Effort plaisir d apprendre N 6 mars L ennui l cole N 7 avril D une transition l autre N 8 mai Le mouvement l cole N 9 juin L conomie l cole Ann e 2006 2007 N 1 septembre Infos 2006 2007 N 2 octobre Promouvoir la lecture N 3 novembre Maturit s et passerelles N 4 d cembre janvier G n ration zapping N 5 f vrier Les langues trang res Les abonnements pour les tarifs cf impressum peuvent se faire N 6 mars Enseignants technophobes philes N 7 avril Projets p dagogiques 1 2 N 8 mai Projets p dagogiques 2 2 N 9 juin Harmonisations tat des lieux Ann e 2007 2008 N 1 septembre Infos 2007 2008 N 2 octobre Ecole Culture La citation du mois Eduquer ce n est pastremplir des vases mais allumer des feux MichelMontaigne En raccourci Encouragement la jeunesse Prix 2007 MB par courriel resonances admin vs ch f Le Conseil d Etat valaisan a attribu B par courrier DECS SFT R sonances rue de Conthey 19 cp 478 1951 Sion les prix d encouragement la jeunesse 2007 Ces trois prix de 5000 francs chacun ont t d cern s la commission HELP des jeunes samaritains Chalais Jeunesse et Jeunesse impliqu e de Zermatt Pour des raisons administratives centralisation des fichiers il est imp ratif que tous les abonnements et les changements d adresse se fa
78. ivit lar gir celui ci modifier des pratiques ou simplement ouvrir des espaces pour r fl chir son quotidien pro fessionnel dans le but de se renou veler telles sont les motivations qui sont mentionn es par les PF en for mation Un nouveau cycle de formation d butera en f vrier 2008 Il se r partit en deux volets 1 La formation de base la formation de base se d roule sur vingt jours de mars d cembre 2008 dont dix pris sur le temps de classe Le programme aborde les notions de formation d adultes celles li es l observation aux techniques d accompagnement la pr vention des conflits et la pratique r flexive Cette partie de la formation est attest e 2 La formation certificative la formation se poursuit en alternance int gr e avec les stages Des apports th oriques des analyses et des changes au tour des pratiques la construction d un r f rentiel de comp tences am nent les PF la certification cf formulaire d inscription 32 pu c t de ta HEP Vs Le d sir d changer Echanger hors de son centre sco laire rencontrer des coll gues en seignant dans le m me niveau mais dans un centre diff rent s autoriser partager des exp riences difficiles ou r ussies dans un cadre thique explicite pouvoir prendre le temps d aller plus loin que l change d in formations et d motions pour in terroger comprendre construire et ventuellement faire autre
79. l de satis faction relatif aux activit s propos es dans chacun des sept domaines les r sultats montrent trois domaines pour lesquels les activit s sont jug es globalement satisfaisantes LR 86 AD 76 et GE 65 Si le degr de satisfaction est encore de 59 pour NO et de 53 pour GM il passe sous les 50 pour les domaines FO 47 et CL 45 Cf graphique Si les activit s propos es dans les moyens sont souvent relev es comme riches et int ressantes une partie d entre elles sont galement consid r es comme tr s voire trop complexes en particulier pour des l ves de niveau 2 La principale source d insatisfaction signal e est le manque d activit s d entra nement ou de consolida tion et d exercices simples ne vi sant qu un seul objectif R sonances Novembre 2007 Les autres composants des MERM 7 8 9 Le livre du ma tre et l aide m moire obtiennent tous deux 86 de r ponses positives oui ou plut t oui Le site Indigo est galement bien per u avec 73 de r ponses positi ves Par contre en ce qui concerne le CD Rom Indigo les avis sont beau coup plus partag s 52 de oui plut t oui contre 48 de plut t non non Les commentaires li s mettent particuli rement en avant le manque de moyens informati ques pas d ordinateurs disponi bles ainsi que la pesanteur des conditions n cessaires une utilisa tion du CD Rom en classe temps d placements 84
80. la nature Nature qu elle affectionne et nous fait d couvrir d un regard neuf Des illustrations tout en douceur accompagnent le texte C est Noiseline qui nous plonge dans cette f erie C est une f e petite et discr te Elle veille sur un jardin merveilleux comme celui qui entoure nos maisons Elle veille attentivement sur tous ses habitants l zards cloportes bourdons abeilles ou coccinelles Toutes ces petites cr atures intrigantes en deviennent charmantes Au travers d histoires pleines de po sie et d motion le lecteur d couvre un monde si proche et pourtant si m connu il apprend mieux conna tre le cycle de vie de chacun des h ros se prend m me r ver Les adultes retrouveront avec plaisir leur me d enfant les enfants se laisseront charmer pour s r Line Short Le monde myst rieux du jardin de Noiseline Sierre Ed A la carte 2006 www histoires 3millenaire ch 29 I f Jep Forum sur les traces de l orthographe Nadia Revaz Le 5e HEP Forum qui s est d roul au Crochetan Monthey le mer credi 10 octobre 2007 devant une large assembl e d tudiants mais aussi d enseignants et d autorit s scolaires a abord quelques pistes pour une meilleure efficacit de l enseignement de l orthographe Le choix des intervenants marquait une volont de ne pas pol miquer mais de rechercher des solutions concr tes pour la classe Patrice Cli vaz directeur de la HEP Vs
81. large ment pour mieux adapter l enseignement tout en maintenant l atteinte d objectifs minimums certai nes tapes de la scolarit M me si comme le rel ve Pierre Marie Gabioud il faudrait peut tre aussi que l Ecole reconnaisse que cette mission n est pas possible pour absolument tous les l ves E 13 Regard de l OES sur la diff renciation Comment l quipe de l Office de l enseignement sp cialis compos e de Michel D litroz directeur de l OES Guy Dayer et Sonja Pillet conseillers p dagogi ques pour le Valais romand et Hugo Berchtold conseiller p dagogique pour le Haut Valais per oit la question de la diff renciation dont elle est par es sence porteuse La discussion d marre sur les tensions avec la norme et se termine sur la complexit de sa prise en compte en raison de ses multiples visages Pour Michel D litroz la tension de la diff renciation parce qu il y a une norme scolaire et des attentes le v es des parents et des enseignants est quelque chose de positif S il n y avait pas de norme viser m me si celle ci doit tre relative il est probable qu il n y aurait pas la m me stimulation pour progresser Il ajoute que le fait que l enseignant d appui soit appel g rer cette tension entre les besoins sp cifiques d un en fant et une norme est un d fi tant pour l l ve que pour le ma tre C est seulement lorsque les efforts ne permettent pas de l atteindre qu il convi
82. liards de francs dans la formation professionnelle contre 4 8 milliards en 2000 tandis que la valeur ajout e de l activit productive des apprentis restait de 5 2 milliards de francs comme en 2000 Ces chiffres s expliquent par une volution de la structure des co ts de formation en moyenne les entreprises ont d pens 900 francs de plus par apprenti alors que l activit productive de ceux ci a augment de 1600 francs Tels sont les r sultats de la deuxi me enqu te Co t B n fice de la formation des apprentis pour les entreprises suisses men e sous la conduite du Centre de recherche sur l conomie de l ducation de l Universit de Berne www bbt admin ch Egalit des chances Site HES SO Valais L galit des chances a t int gr e dans les structures de la HES SO au travers d un dispositif galit des chances comprenant une plate forme galit des chances Del mont et six r pondant e s galit des chances dans les tablissements cantonaux http wins hevs ch 33 Chivier Revol invit parler des difficult s scolaires L Association Valaisanne de Parents d Enfants Haut Potentiel AV PEHP et l Association Suisse Ro mande de Parents d Enfants avec D ficit d Attention ASPEDAH en collaboration avec le Service de l Enseignement du DECS ont le pri vil ge de vous inviter venir cou ter le docteur Olivier Revol p do psychiatre l H pital neurologique Pi
83. locomo tive Et pour parachever l ouvrage on pourra admirer dans le hall de la salle de la Matze le jour du concert le 18 novembre d s 16 h 15 des ma quettes de la Fondation suisse des Trains miniatures Des repr sentations scolaires se donneront les 15 et 16 novembre aux classes primaires de la r gion de Saint Maurice et de Sion Pr s de 1800 coliers vont ainsi d couvrir le grand orchestre symphonique Sur demande d autres repr sentations scolaires pourraient tre organis es en automne 2008 Une documentation p dagogique est disposition des enseignants au Conservatoire cantonal 027 322 25 82 secretariat conservatoirevs ch Fran ois Xavier Delacoste directeur du Conservatoire cantonal 0 25 Fonu avec l air les foulards les draps ou le parachute Jouer ensemble avec l air sentir les effets du vent voil une activit agr able effectuer en d but d ann e scolaire Elle permet de toucher diff rentes entr es de la rosace des sens cr ativit collaboration d fi Elle met surtout les l ves en collaboration ce qui peut avoir des effets positifs sur le fonctionnement social de la classe Quelques exercices faciles r aliser Foulards Jeux de course et de poursuite Avec du mat riel vari Chaque enfant tient son foulard par une extr mit et se d place li brement dans la salle Changer de main agiter le foulard au niveau du sol debout en position assise o
84. me bien les surprises alors je ne lis pas trop La maman Avant nous lisions ensemble la brochure mais maintenant je lui dis juste le th me et elle me parle du film apr s Par contre je conserve les pe tits cahiers qui sont tr s bien faits Appr cies tu l animation avant le film Oui les animations sont toujours super et ceux qui veulent peuvent aller par ler au micro avant le spectacle La maman tonn e Ah cela tu ne me l avais pas dit R sonances Novembre 2007 ia Lanterne magique priori visionner des courts m trages muets dans l ambiance 1920 pour rait bien ne pas plaire du tout des enfants en 2007 Et pourtant ils re gardent et coutent sans rater une image ou un mot tout en faisant quelquefois des commentaires Parleraient ils d autre chose que de cin ma Eh bien non Une pe tite fille demande par exemple sa voisine si ce n est pas Buster Keaton qui est l cran Bluf fant Et tous rient lors des lancers de tartes la cr me l une des gran des sp cialit s de ce genre de films Apr s 1 h 25 comme indiqu dans le programme la s ance est termin e Les enfants sortent alors du cin ma comme des grands avant de retrou ver leurs parents qui les attendent Des actions dans le cadre scolaire Certaines autres actions de la Lan terne magique impliquent plus di rectement l cole En 2005 et en 2007 l Association a lanc dans les classes de 5e et de 6 primaire un
85. ment ces moments d changes construc tifs repr sentent des espaces de res piration largement reconnus et ap pr ci s par les PF Le souhait de transmettre De nombreux PF avaient d j u vr en tant que ma tre et ma tresse de stage et d siraient poursuivre cette activit La formation r pond ce souhait en l inscrivant dans un partenariat serr avec la HEP Les objectifs de stages sont pr sent s les crit res et les indicateurs sont r pertori s les activit s de forma tion des stagiaires sont discut es un accompagnement est propos dans le cadre des groupes d intervi sion une supervision est possible et l valuation permet d apporter les rem diations n cessaires Le d sir de transmettre et le plaisir de former professionnellement des adultes malgr le temps accorder cette t che de formation et le souci li la r ussite du de la sta giaire ressortent comme des points forts et motivants de la fonction PF Quant aux avantages ils sont troi tement li s la motivation d cla r e Le rafra chissement de certaines connaissances des apports th ori ques actualis s la reconnaissance R sonances Novembre 2007 des comp tences activ es quoti diennement dans son enseigne ment la prise de conscience de tout ce qui rel ve du savoir agir profes sionnel r pondent largement aux questions pos es par l enseignant qui s inscrit dans la formation de PF Ces comp
86. n es d enseignement car il faut prendre un peu de distance avec les objectifs pour viser l essentiel Pour ma part je diff rencie d abord pour deux groupes et ensuite l int rieur de chaque quipe je porte mon attention sur certains l ves en leur proposant d autres activit s Je trouve que cela vaut la peine de tenter la diff renciation car tout le monde est gagnant L enseignant aussi mais il faut accepter de se remettre en question et de dialoguer pour que ces adaptations se fassent dans la transparence Comme diff rencier correspond bien ma personnalit je peux n anmoins imaginer que certains ne se sentent pas l aise avec cette mani re d enseigner et mon sens ils ne doivent pas culpabili ser de ne pas le faire J r me Fournier enseignant Veyson Y naz dans une classe trois degr s 4P 5P 6P pour un total de 15 l ves Diff rencier c est essayer de faire correspondre le plus possible son enseignement au niveau des enfants en aidant ceux qui sont en difficult et en proposant ceux qui sont plus avanc s quelque chose en plus pour qu ils ne s ennuient pas Avec plusieurs degr s je fonc tionne avec des petits groupes ce qui me permet de cerner assez vite les forces et les faiblesses de chaque l ve Je pr vois un ensemble d activit s obligatoires et d autres qui sont facultatives et qui peuvent se faire dans le cadre d ateliers plus sp cifiques Dans ma classe j utilise passableme
87. nde tant programm e pour le samedi matin exceptionnel les encadrer et les guider durant ces trois jours Les qualifi s valaisans ont en effet pu profiter de ce s jour pour d couvrir Paris monuments incontour nables th tre quar tiers typiques en usant d une certaine d brouil lardise lors de sorties de m tro en travaux Finale du 21 championnat international Les vendredi 24 et sa medi 25 ao t s est d roul e la Cit uni versitaire de Paris la 21e finale internatio nale des jeux math matiques et logiques Comme chaque ann e les Polonais accompa gn s d une quipe de t l vision ont squatt les premi res places dans la majorit des cat gories Il semble rait que ces derniers aient b n fici de camps d entra ne ment math matiques et logi ques durant l t ceci expliquant Parmi les 350 qualifi s 18 l ves valaisans ont pu y prendre part non sans avoir franchi au pr alable les qualifica tions r gionales la finale valaisanne Sion et la fi nale suisse Lausanne Ils ont pu se confronter d autres jeunes venant de Suisse de France et de R sE itaire si Cit universital nants devant la Les participan Belgique mais aussi d Italie de Po logne d Ukraine du Qu bec ou en core de Tunisie Le d part du Valais tait program m vendredi avant l aube afin de pouvoir tre pr sent Paris en d Apr s ces deux preuves n
88. net ch II va de soi aussi que d s la rentr e scolaire 2008 toutes les salles de l tablissement pourront tre reli es l Internet haut d bit mis disposition gratui tement par Swisscom dans le cadre suisse du partenariat priv public Le Kollegium Spiritus Sanctus Brig s duit par le concept des modules d j install dans plus de vingt coles valaisannes dont un R sonances Novembre 2007 tiers dans le secondaire Il a de mand aussi la mise jour logi cielle de ses propres serveurs Ainsi les modules install s St Ursula se ront aussi mis disposition des col l giens du Haut Valais par le biais d une remise jour compl te du syst me actuellement en fonction En 2008 les investissements infor matiques des ICTS2 iront l cole sup rieure de la ville de Sion C est le coll ge de l Abbaye de Saint Maurice qui devrait en 2009 tre quip Ce coll ge sera le dernier des tablissements du secondaire II non professionnel profiter des r seaux et des serveurs standard En En raccourci Acquisition de l orthographe Pour tout savoir 2007 Brigue effet les neuf coles du degr se condaire Il disposeront alors des principaux outils n cessaires l in t gration r ussie des ICT dans les coles Une fois que les utilisateurs auront assimil les avantages du travail sur les r seaux et les modules informa tiques dans quelques ann es on pourra m me e
89. nimation ICT des conseil lers multim dias Les demandes sont adresser serge rappaz hepvs ch R sonances Novembre 2007 ICT j CTS2 les investissements Outre les formations continues ICT du projet PASSERELLE si importan tes pour am liorer le niveau de for mation des formateurs ICT le Ser vice de l enseignement par le biais de son groupe de travail cantonal ICTS2 a d cid pour 2007 de faire un grand effort en mati re d inves tissements dans les tablissements du Haut Valais Depuis la fin juin 2007 les b timents du complexe de l Oberwalliser Mittelschule St Ursula sont en travaux L cole va vivre une petite r volution technique des serveurs faisant leur premi re apparition dans ces murs On perce de tous c t s afin que l cole soit quip e d infrastructures informatiques per formantes pour la prochaine d cen nie Au terme des travaux les salles d informatique les salles de classe et les bureaux seront reli s des ser veurs p dagogiques et administra tifs Et les nombreux services mis disposition par le biais des serveurs et du r seau permettront aux l ves aux professeurs et l adminis tration de b n ficier en toute s cu rit de toute une s rie d outils vrai ment utiles et profil s pour les coles du secondaire II non profession nel Pour tout renseignement sur ces modules crivez M Gr goire Mabillard gregoire mabillard esc sierre vs
90. nos deux journ es sur les logiciels et les difficult s de la lecture N h sitez pas entrer en dialogue avec lui si vous avez des demandes Christian Mudry Christian mudry hepvs ch t s En effet les syllabes abord es correspondent pour la plupart aux premiers phon mes tudi s dans la majorit des m thodes de lecture Tous les enfants n acc dent pas la maturit n cessaire au m me mo ment aussi les activit s sont elles accessibles selon trois niveaux de difficult permettant chacun d y trouver son compte L utilisation de l ordinateur trouve tout son sens ici car E il structure l apprentissage au tra vers d une programmation ta blie ce qui n est pas toujours le cas en maternelle alors que a devient syst matique au CP g il individualise la t che chaque enfant pouvant progresser son rythme E il est r actif les erreurs sont im m diatement signal es E il impose effort et au bout du compte r ussite m me si elle est parfois laborieuse un exer cice doit tre corrig jusqu ce qu il soit juste mais on peut tout de m me donner sa langue au chat E il modifie la position de l adulte qui n est plus le prescripteur de E EEKE Sipers les mots de la phrase Le lapin d vore la carotte Lelapind vorelacarotte 35 Cique sus la place de la wytlabe ma dans pyjama l activit mais qui accompagna teur vient en aide l enfant si
91. nt Est ce la seule expli cation de sa pr sence non encore g n ralis e Pour les inspecteurs c est aussi parce que la soci t n est pour l heure pas pr te culturellement son intro duction syst matique Ils voquent une longue habi tude un certain formatage scolaire m me si ce moule unique ne r pond du reste pas aux attentes du monde professionnel qui sont multiples La soci t a besoin des diff rences pour que certains deviennent ma ons et d autres techniciens argumente Denis M trailler Tr s vite au fil de la discussion diff renciation semble rimer avec paradoxe Les inspecteurs observent que le langage des autorit s dont le leur est quelque fois contradictoire lorsqu il est question de cette no tion Jusqu o faut il diff rencier La r ponse est g om trie variable et c est bien l l un des probl mes Ils notent de plus que c est une ambigu t que les en 12 sur la diff renciation seignants d appui rel vent fr quemment confront s quotidiennement la n cessit d un temps suppl mentaire pour rendre possible le progr s individuel devant ensuite r int grer les l ves dont ils s occupent dans une cole qui avance au rythme impos du pro gramme Ils pensent qu un message plus clair des au torit s scolaires en la mati re faciliterait la t che des enseignants Des confusions Mais qu y a t il de si compliqu lorsqu il s agit de pas ser de la th orie la p
92. nt l ordinateur avec des programmes int grant la diff renciation Je tente de proposer aux l ves des activit s de complexit pro gressive pour qu ils soient toujours actifs mais je leur accorde aussi des moments pour d crocher un peu par exemple dessiner ou lire une BD Avec trois degr s ce qui me manque le plus c est du temps pour chacun Pour viter que certains ne soient la tra ne je leur offre la possibilit de venir une heure avant l cole pour un travail plus individualis Dans certaines acti vit s les meilleurs peuvent aussi donner des pistes aux autres J essaie surtout d anticiper et de v rifier leur compr hension des notions pour viter qu ils aient des lacunes Pour moi la diff renciation ce n est pas qu une th orie Reste que les programmes sont exi Et aussi quelques sites pour aller plus loin Diversifier sa p dagogie site de Fran ois Muller http francois muller free fr diversifier index htm Philippe Perrenoud articles sur les r sistances deuils et paradoxes de la diff renciation dans l enseigne ment et sur la diff renciation en 15 points www unige ch fapse SSE teachers perrenoud php_main php_1992 1992 08 html www unige ch fapse SSE teachers perrenoud php_main php_2005 2005_03 html La diff renciation p dagogique en mots cl s www prepaclasse net fichiers differenciation html Principes de mise en uvre www ien auray ac rennes fr differenciation_pedagogique
93. nvisager l tape sui vante savoir l installation d un serveur cantonal unique favorisant les synergies entre tablissements Jean Marie Cleusix d l gu l ducation et la formation E France 5 en collaboration avec les Cahiers p dagogiques met en ligne un dossier sur l orthographe Un dossier pour faire le point sur le r le de l orthographe sa place l cole et ce qui peut tre fait la maison http education france5 fr gt C t parents Sciences humaines Comprendre les nouveaux mots Internet Blogs Google Web s mantique tags et folksonomies Le dossier d octobre de Sciences humaines essaie de d crypter les enjeux qui se cachent derri re ces mots Qui crit des blogs et pourquoi Que vaut l information trouv e dans Wikip dia Comment les moteurs de recherche s lectionnent ils les informations A c t de ce passionnant dossier la revue aborde galement en quelques pages la question de la valeur de l cole fran aise Les comparaisons avec les autres syst mes scolaires sont riches d enseignement M me si le constat est d abord franco fran ais les r flexions pr sent es contribuent assur ment enrichir celles sur l cole en g n ral et valaisanne en particulier www scienceshumaines com 37 Classes pour sportifs et artistes l ESC de Martigny Nadia Revaz Les classes pour sportifs et artis tes existent depuis 1986 l Ecole sup rieure de comm
94. oise Clerc Profession enseignant d buter dans l enseignement Paris Hachette Education 1998 R sonances Novembre 2007 Actualit s Projet scientifique M t o Climat Milieu naturel Un projet sera lanc au printemps 2008 Il s agit entre autres de B r fl chir au climat et la m t o BH concevoir des moyens pour me surer les pr cipitations ou la tem p rature B effectuer et analyser des mesures B observer l volution d un petit carr de nature proche de l cole et la comparer aux mesures E comparer les r sultats entre les coles participant au projet Gr ce au soutien de l EPFL chaque cole inscrite sera quip e d une station de mesure Les relev s se font automatiquement et sont ac cessibles par internet Un change avec les chercheurs est galement possible Un dossier p dagogique est en cours d laboration Courant sur 10 15 heures le pro jet sera men entre mars et d but mai 2008 Il s adresse au primaire d s 3P et au CO Il est d abord lanc titre exp rimental dans le bassin versant des Dranses y c Mar tigny Une information plus d tail l e sera adress e aux enseignants concern s en d but d ann e 2008 Expo Concours E J Sion M diath que Valais Sion Pratifori Jusqu au 7 d cembre Les superbes travaux r alis s par les classes valaisannes sont d sormais expos s dans l espace p dagogique de la M diath que de Sion Prati
95. oit tous ces mots tuyaux crapauds on a un plaisir visuel de francophones mais il faut chaque fois qu on se replace dans la douleur de celui qui n est pas francophone dans nos classes Dani le Cogis Les enfants ont une r flexion m talinguistique sur l orthogra phe qui est m connue d o cette id e qu il faut asseoir notre enseignement l dessus pour les emmener plus loin et ce n est pas forc ment tr s dur faire Francis Klotz La tendance actuelle des sp cialistes et des pseudo sp cialis tes est ringardiser la dict e Les familles elles accordent une norme at tention l orthographe Didier Jacquier J ai pass la dict e Les Arbres dans ma classe et je br le d envie de vous donner les r sultats nous sommes meilleurs que les Fran ais Nous sommes encore l abri pour un petit moment Eric Morisod Autrefois on parlait d orthographe d usage et maintenant on n en parle plus ou moins et je trouvais que c tait un joli mot parce que cela voulait dire que la langue tait un outil que tout le monde tait capable d uti liser Les deux expertes d fendent la n cessit de la vari t des approches int gr e l criture de texte et au travers d activit s plus sp cifiques Lors de la table ronde anim e par Fabio Di Giacomo directeur adjoint la HEP Vs laquelle ont pris part Jean Fran ois Lovey chef du Service de l enseignement Patrice Clivaz
96. ons Avec cette cat gorie d l ves il faut leur demander davantage de recher che personnelle afin qu ils apprennent en int grant la no tion d effort La difficult pour l enseignant c est bien s r de pouvoir g rer la diff renciation avec ceux qui ont de la peine et ceux qui ont des facilit s On peut comprendre qu il ne puisse pas constamment tenir compte des l ves haut potentiel mais ce serait bien qu il y pense de temps en temps en osant acc l rer le rythme en faisant sauter les exercices de m me type d s qu une notion est acquise en proposant de choisir un livre adapt son niveau etc A mon sens il ne faut pas seulement aider les enfants haut potentiel qui ont de la peine dans le syst me scolaire mais aussi ceux qui ont simplement besoin qu on leur pro pose davantage d activit s pour conserver l envie d ap prendre Pour exemple les classes qui r alisent des sites in ternet offrent la possibilit de collaborer en fonction des comp tences C est une mani re de reconna tre les capaci t s de chacun et cela n a rien voir avec le QI sachant que les intelligences des l ves sont multiples Et l enseignant doit aussi confronter chaque l ve ses propres limites pour lui faire prendre conscience qu il doit aussi d velop per des strat gies d apprentissage La diff renciation doit permettre au final l int gration de chacun dans le groupe La demande de notre soci t n est elle pas
97. os jeu nes math maticiens ont pu organi ser librement l apr s midi du sa medi et la journ e du dimanche Un grand merci aux accompagnants qui n ont pas compt leurs heures pour leur proposer un programme peut tre cela Comme dans d autres domaines sportifs culturels on aimerait faire de nos jeunes des champions en leur faisant suivre des entra ne ments dignes de professionnels T moignage d un l ve Nous avons pris le train t t le matin et nous sommes arri v s Paris vers 10 h 30 Malgr la difficult sortir du lit j tais en pleine forme Une fois arriv s bon port nous sommes all s d ner au Mc Do Ensuite nous nous sommes dirig s en m tro vers le lieu de l preuve Le b timent tait immense et tr s impressionnant Puis nous avons d nous asseoir chacun un banc num rot j avais le n 100 et enfin l preuve a commenc Per sonnellement j ai trouv les exercices plut t simples par rapport ceux de Lausanne Une fois l preuve termin e nous sommes rentr s l h tel et certains ont visit la D fense Le lendemain avant l preuve les r sultats du samedi taient affich s sourires pour certains l g re d ception pour d autres Ensuite rebelote preuve plus difficile celle l repas r sultats Mais une surprise m attendait car apr s la proclamation des r sultats nous nous sommes mis en route pour aller voir un spectacle humoristique inti
98. p environnement eco levs ch pages_html 4_Articles_resonances 4_index ou vous adresser Brigitte Pitte loud d l gu e valaisanne aux Echanges l maniques 027 606 72 30 brigitte pitteloud admin vs ch www conseilduleman org R sonances Novembre 2007 39 J T Cerstin Olding tudiante Rencontre __ allemande en stage Martigny Nadia Revaz Kerstin Olding jeune Allemande originaire de la r gion de Br me est venue en Valais pour un stage linguistique de deux mois En prime elle a pu d couvrir un petit pan de l cole valaisanne ce qui tait id al puisqu elle est en formation pour enseigner l ducation physique et le fran ais La jeune tudiante a fait sa deman de aupr s du Bureau des changes linguistiques BEL Sion cf enca dr via une cole partenaire en Allemagne C est ainsi qu elle a pu effectuer son stage l cole pri maire en ville de Martigny o elle a principalement second Lionel Saillen ma tre d ducation physi que mais aussi Sandra Richner en cours d allemand et Corinne For maz dans sa classe Elle a ainsi pu voir trois enseignants l uvre S Les enfants chez nous sont plus relax moins stress s D Le jour de l entrevue Kerstin Ol ding collaborait activement dans le cadre d un cours d ducation physi que dispens par Lionel Saillen Un cours qui ce jour l tait un peu particulier puisqu il accueillait Ju lien Perre
99. pour toutes les activit s en renfor ant l ensei gnement par objectifs et par projets Paul Andr Essellier enseignant dans une 2G structure appui Diff rencier c est permettre chaque l ve d utiliser ses capacit s et de r soudre ses difficult s son rythme Dans ma classe j individualise plus que je ne diff ren cie Certains l ves proviennent de l enseignement sp cialis et d autres ont chou en 1G ce qui rend le ni veau de classe tr s h t rog ne Je les ai par groupe de 9 et de 10 pour les maths et l allemand 9 heures par se maine Pour les maths je les fais plut t travailler s pa r ment car les carts de niveau sont normes et pour l allemand je diff rencie puisqu il s agit l de les ame ner communiquer Mon objectif premier est de met tre en route leurs comp tences Ce qui me semble im Bernadette Bellwald enseigne les math matiques en allemand au CO de St Gu rin Sion en classe bilingue Pour chaque chapitre je pr pare le programme pour les l ves de niveau I et de niveau Il et parfois certains th mes sont aussi abord s de mani re collective J ap pr cie cette fa on de fonctionner Certes c est plus difficile pour les l ves de niveau Il ils peinent d au tant plus que les cours de maths sont donn s en alle mand alors qu ils sont francophones mais la diff ren ciation leur permet de progresser leur rythme Avant nous devions jongler avec deux livre
100. ra la musique Une bien belle histoire de petits fant mes aux noms farfelus comme les cordichvampoulayarsirmiganovasa En raccourci Caf p dagogique La question mensuelle Robert Hofer laqu che ou les boissarlusorayon d pacasivaloncent ru qui vous fera d couvrir la famille des cordes celle des bois des cuivres la redoutable famille des percussions ou d autres familles compos es comme celle des bois et cuivres bien connue de nos harmonies Chaque famille vous d voilera par de petits airs sa palette de couleurs ses sonorit s chatoyan tes ou ses effets caract ristiques A cette uvre originale s ajoutera le mouvement symphonique Paci fic 2 3 1 d Arthur Honegger par cours musical bord de la c l bre locomotive vapeur ponyme Pour Les notes sont elles justes C est la question pos e par le Caf mensuel 86 Pourquoi parler des notes Peut tre pour chapper la tornade de r formes et d injonctions qui tombent sur les profs et retrouver un espace bien connu Pourtant ce que nous dit Pierre Merle dans un article confi au Caf c est que si les profs sont justes la note elle ne l est pas www cafepedagogique net R sonances Novembre 2007 spectacle coles dessine moi un orchestre stimuler l imaginaire de notre jeune public ce mouvement symphonique sera pr c d par la projection du court m trage r alis par Jean Mitry en 1949 sur cette c l bre
101. ratique de la diff renciation Pour Chantal Chabbey c est en partie parce qu il y a confusion entre diff rencier et tre juste en m lan geant galit et quit Elle compare l apprentissage de la marche celui de la lecture Certains enfants apprennent marcher 10 mois d autres 12 d au tres encore 16 et jamais on ne parle de retard ou de pr cocit On admet que c est comme a sans juger alors qu on voudrait que tous les enfants sachent lire Le dossier en citations Les conditions de la diff renciation pour aller au del des id es g n reuses les conditions n cessaires au d veloppement de la diff renciation par l int gration sont les suivantes e D cr ter une cole de la formation et de l orientation et r sister aux tentations de la comp tition et de la s lection R duire les effectifs des classes pour viter que la diff renciation ne m ne la s gr gation Faciliter la formation des enseignants la p dagogie de la diff renciation et l valuation formative Leur donner ensuite les moyens didactiques de les appliquer R introduire l exigence et l autorit dans une relation affectueuse ma tre l ve parent enfant Soutenir l effort des enseignants dans les pratiques diff renci es Philippe Theytaz R ussir l cole Parents l ves enseignants ensemble Saint Maurice ditions Saint Augustin 2005 R sonances Novembre 2007 Denis M
102. rds Jeux avec restes de tissu M2B5 11 Foulards chiffons Le voile tombe M3B5 4 Foulards chiffons C est l automne M3B5 4 Foulards chiffons C est l hiver M3B5 4 Foulards chiffons Jongleurs M3B5 4 Draps et couvertures Le verre en quilibre M2B5 24 Draps et couvertures Popcorns M2B5 24 Draps et couvertures Mistral M2B5 24 Draps et couvertures Lancers des ufs M2B55 24 Draps et couvertures Comme sur un nuage M2B5 24 Drap Marionnettes M3B2 12 Drap S attraper M3B2 12 Drap Drap magique quatre M3B2 12 Drap Catapulter la balle M3B2 12 Drap Transport de balles M3B2 12 R sonances Novembre 2007 Par couleur l annonce de la couleur celle qui touche la poi gn e effectuer un tour de para chute et retrouver sa poign e Le parachute est compos de ca memberts de diff rentes couleurs D buter si n cessaire en disant les pr noms Il vole effectuer quelques vagues et au signal l cher tous ensemble le parachute Lors des premiers essais donner le signal au point le plus haut L igloo soulever et tous ensemble et en m me temps se cacher l in t rieur de la toile Pour que l igloo soit herm tique passer la toile sous ses fesses Tou jours tenir la les poign e s Chat et souris la souris se cache sous la toile et le chat doit l attra per en se d pla ant 4 pattes des sus la toile Ceux qui tiennent le pa rachute aident la souris en faisant des vagues Tr s sympa Mat riel
103. s Certains enfants ne se mobilisent que s ils connaissent le but De plus beaucoup confondent t che et objectif Ils font ce qu on leur demande mais ne comprennent pas pourquoi et ne mettent que tr s peu d l ments en m moire Pourquoi tous les cerveaux s arr teraient ils en m me temps pour vous couter De plus cela favorise l autonomie des l ves qui demandent toujours de r p ter Certains enfants sont introvertis et ont besoin qu on leur laisse du temps avant de s engager dans une t che Un espace de pa role permet aussi de se rassurer L activation des connaissances ant rieures ou l expression de son questionnement favorise pour chaque apprenant la mise en pens e mais permet aussi l enseignant d valuer les be soins et les ressources de ses l ves Ce ne sont videmment que quelques exemples qui ne prennent sens que si on poursuit la r flexion sur la p riode suivante Durant la le on Actions Dire ce qui est correct pour y puiser du positif et continuer investir Apporter des exemples ou des contre exemples Apporter un l ment qui appartient aux comp tences sollici t es Pr voir des relances pour les plus forts par exemple en leur demandant de pr parer des situations semblables ou de nou velles situations Motivations Toujours montrer les r ussites pour favoriser la construction d une image positive de soi mais galement pour que l appre nant transf re le
104. s l ments porteurs dans les autres t ches Les enfants se trouvent parfois perdus Il est utile de pr voir disposition de celui qui en a besoin des outils de relances des exemples pour les enfants qui sont plus g n ralisants et des contre exemples pour les cerveaux discriminants Souvent dans une le on des enfants rencontrent un probl me avec un pr requis Pourquoi ne pas leur donner l informa tion puisque ce n est pas l objet de la le on Trop souvent on a tendance croire que la diff renciation existe pour les plus faibles NON il s agit d adapter son action tous non pas pour r duire les carts mais pour nourrir chacun A nouveau ce ne sont videmment que quelques exemples qui ne prennent sens que si on poursuit la r flexion sur la p riode suivante OO A la fin de la le on Actions Regarder l volution de l l ve plut t que le produit le r sul tat Ecrire dessiner repr senter quelque chose de nouveau qu il a appris ou ce qui a t confirm par l activit ou en core r pondre aux questions ou aux hypoth ses qu il avait for mul es au d but Pr voir une s ance d entra nement pour les plus avanc s et un tableau pour s inscrire une rem diation ou une nouvelle s ance d apprentissage Motivations L cole sert elle reconna tre les plus forts et les f liciter ou d velopper les comp tences de chacun De plus est ce nor mal d
105. s de maths et l c tait plus difficile mais maintenant le manuel de maths en vigueur dans le Haut Valais facilite vraiment la diff renciation C est clair qu il faut bien pr parer ses cours pour qu ensuite en classe chaque l ve puisse voluer en fonction de ses comp tences Les plus rapides vont plus loin et apprennent travailler seuls ce qui me laisse plus de temps pour aider ceux qui ont plus de difficult s Je trouve agr able cette mani re de travailler avec les l ves en tenant davan tage compte de leur rythme de progression R sonances Novembre 2007 portant c est de les responsabiliser dans leurs appren tissages J essaie dans la mesure du possible d utiliser l entraide entre l ves En classe chacun doit tre au travail oser dire d s qu il ne comprend pas une notion pour mesurer ce qu il sait et pouvoir progresser L exp rience m a montr que mon mode d enseignement n cessaire pour les sortir de l chec et les remotiver ne fa cilitait cependant pas la r int gration dans une classe r guli re du CO ou le passage vers un apprentissage m me si ces transitions sont aussi accompagn es de mesures d appui pr vues en dehors de la classe ce qui constitue toujours un effort suppl mentaire difficile pour des adolescents Ma coll gue qui enseigne le fran ais et l anglais compense un peu les choses puisqu elle les implique davantage dans des activit s de groupe et ensemble nous r fl chi
106. s pour faciliter l entra nement journalier et des plages d entra nement sous forme de semaines de cong sont r parties selon les effectifs et les disciplines ce qui implique un enseignement particuli re ment diff renci avec l organi sation de cours d appui et de rat trapage notamment Et pour les tudiants cet horaire am nag oblige faire preuve d une grande capacit s organiser et tre dot d une solide motivation Un enca drement par e learning leur permet en outre de rattraper les cours man qu s Fanny Vuignier tudiante et golfeuse Fanny Vuignier est une jeune championne de golf qui pr pare en parall le une maturit professionnelle com merciale Elle est en 3 ann e de ce cursus sp cialement am nag sur 4 ans Son palmar s est d j impression nant R guli rement elle participe des comp titions l tranger avec d excellents r sultats la cl Elle a d j une longue carri re de golfeuse m me si lorsqu elle a commenc l ge de 7 ans avec son papa elle ne pensait pas devenir championne suisse des moins de 21 ans arri ver 2e aux Internationaux Juniors de Belgique et encore moins participer au championnat du monde des moins de 21 ans Orange Ball Miami des cours sont mis en ligne les professeurs sont tr s disponibles pour nous donner des explications compl mentaires et les cong s sont accord s facilement Bien s r il faut travailler beaucoup
107. ses www journee des filles ch Ve 9 novembre Nuit du conte Cf pp 18 19 www jm arole ch www isjm ch Je 15 novembre Jeudi des Mus es Arch ologie et bande dessin e de la connaissance l imaginaire par Alain Gallay professeur d arch ologie l Universit de Gen ve www mediatheque ch Je 15 novembre Rencontre conf rence avec Julien Perrot Cf p 17 www hepvs ch 5 novembre 21 d cembre 2007 Exposition de grands dessins la crate grasse sur papier Kraft de lin granmunes ee de gravures la pointe s che Patricia Crelier mamng messe ni ses Teremia k 1h et LOS last 2 0R wite iHa pour Les PHAT aa muscu career par Fr res reie Ve 16 et sa 17 novembre Journ e Lettres fronti res Deux jours de conf rences et tables rondes pour mettre en lumi re les richesses litt raires crois es de la Suisse romande et de Rh ne Alpes Dix auteurs dix livres d couvrir Lieu M diath que St Maurice Horaire de 9h30 22h ve et de 9 h 30 16 h 30 sa www lettresfrontiere net Ma 20 novembre Journ e des droits de l enfants Le dossier de cette ann e aborde les droits de l enfant en mettant l accent sur les droits M mento les devoirs et les responsabilit s Il est destin des enfants et des jeunes d s 4 ans www globaleducation ch Lu Ve 26 30 novembre Semaine romande de la lecture Cf p 19 www le ser ch Jusqu au 7 d cembre Expo Concours E J S
108. ssent par courriel ou par courrier et non par t l phone avec indication du degr d enseigne ment enfantin primaire CO secondaire Il Merci toutes et tous pour vo tre compr hension 48 R sonances Novembre 2007
109. ssons l ventua lit de diminuer les mesures diff renci es en fin d an n e scolaire pour les confronter ce qu ils rencontre ront ensuite Pour l avenir je pense que le nouveau CO devrait permettre une meilleure reconnaissance des comp tences de chaque l ve Jean Pierre Fellay enseignant en 1P Y Bagnes et aussi au CO de Bagnes pour les travaux manuels La diff renciation c est donner chaque l ve un travail adapt pour qu il se sente bien l cole et puisse progresser En 1P c est peut tre plus facile r aliser parce qu on a moins de contraintes sur les ob jectifs atteindre mais je le fais aussi avec mes l ves au CO dans les cours de travaux manuels Je planifie mon travail mais je n arrive pas pr voir ce qui va marcher aussi je me laisse guider par ce qui se passe dans la classe et int gre donc naturellement l ap proche diff renci e J explique aux parents pourquoi les enfants n ont pas forc ment les m mes travaux et leur dis de ne pas comparer leur enfant avec les autres mais de regarder sa progression personnelle Cela ras sure les parents d enfants plus lents ainsi que ceux dont l enfant sait d j lire puisqu ils savent qu il ne sera pas frein dans ses apprentissages Diff rencier ce n est pas laisser les l ves s endormir sur leurs lau riers mais au contraire les booster Je pense qu on peut se permettre de davantage oser diff rencier quand on a plusieurs an
110. st l largissement de l offre de forma tion avec la possibilit d obtenir une maturit professionnelle MPC et plus seulement le dipl me de commerce Pr s de 50 font avec succ s ce choix encore plus exi geant L cole suit bien s r gale ment les volutions au niveau des domaines d activit s repr sent s avec par exemple l arriv e r cente de jeunes qui voluent dans le mi lieu de la breakdance cf article p 40 r changes l maniques invitation participer Dans le cadre de la Commission Education et Culture et en coop ration avec le Comit R gional Franco Gene vois sont engag s chaque ann e des changes scolaires entre des coles fran aises et des coles suisses Des changes de correspondance et de travaux tout au long de l ann e et l change de classes proprement dit qui se d roule sur six jours pass s pour moiti de part et d autre de la fronti re par les l ves suisses et fran ais Si vous tes int ress s participer cette an n e avec vos l ves sachez que les th matiques propo s es sont vari es artistique th tre danse litt rature Plusieurs des tudiants qui fr quentent ces classes ont un par cours d j tr s impressionnant Thierry Mayencourt insiste cepen dant pour dire que la fili re n a pas pour but de fabriquer des champions mais d aider ces jeu nes tudier tout en pratiquant leur sport ou leur art Comme il
111. stin Olding note qu ici les l ves ont acc s une plus grande vari t de sports puisqu ils vont patiner ou skier dans le cadre scolaire Dans sa r gion d s la 4e primaire les l ves ont droit un cours de 90 minutes d ducation physique ce qui aux yeux de Lionel Saillen ne serait pas forc ment une bonne chose puisque certains l ves sont ici d j puis s apr s une p riode BEL Corinne Barras responsable du Bureau des changes linguisti ques Sandra Richner adjointe T l 027 606 41 30 fax 027 606 41 34 BEL BSA admin vs ch R sonances Novembre 2007 Kerstin Olding estime cependant que cela permet d instaurer des ac tivit s d un autre type et que c est d s lors un facteur int ressant pour la motivation Sans forc ment en comprendre toutes les raisons elle constate qu Martigny davantage d enfants ne sont pas du tout moti v s par les activit s sportives Une r flexion qui incite Lionel Saillen dire que ce serait d s lors int res sant de tester la double p riode pour comparer les effets sur les l ves remarquant en effet que l nergie est plus grande le matin que l apr s midi Les enfants chez nous sont aussi plus relax moins stress s observe Kerstin Olding Pour elle cela tient probablement en partie au fait que les journ es d cole sont plus longues En Alle magne le progr s de chaque l ve est toujours plus important que la performance au nivea
112. t talentueux breakdan cer fr quentant la fili re pour spor tifs et artistes l Ecole sup rieure de commerce Martigny cf enca dr Pendant qu une partie des l ves d une des classes de 6e tra vaillait avec Lionel Saillen l autre r p tait un bout de chor graphie avec Julien Perret sous le contr le discret de Kerstin Olding Pour Lio 40 Lionel Saillen enseignant d ducation physique Martigny et Kerstin Olding ont trouv le stage enrichissant nel Saillen cette r partition des t ches avec une stagiaire n est possi ble que parce qu elle n est pas l seulement pour apprendre la lan gue mais galement son m tier L cole ici et l bas L cole br moise est elle similaire l cole valaisanne La principale diff rence r side videmment dans l horaire scolaire puisqu en Alle magne les l ves ne vont pas en classe l apr s midi et peuvent ainsi pratiquer davantage d activit s sportives ou artistiques Pour ce qui est des mati res enseign es Kers tin Olding trouve que c est assez ressemblant m me si dans son pays les l ves terminent le pri maire en fin de 4P et fr quentent ensuite la Sekundarschule La po pulation scolaire est aussi tr s mul ticulturelle Br me Ce c t bi garr ne se retrouve pas partout par exemple pas Osnabr ck l o son p re est professeur d duca tion physique qui travaille d s lors avec des classes de 30 l ves Ker
113. t y contri buer avec efficacit au del de la s lection Denis M trailler cite l exemple de la fili re pour sportifs et artis tes au niveau du secondaire ll qui donne en quelque sorte une autorisation officielle diff rencier et induit le respect des rythmes de chacun cf article pp 36 38 Autre exemple l valuation semestrielle avait t in troduite pour aller dans ce sens Le programme adapt est aussi mentionn mais pour Jean Pierre Gaspoz il faut bien distinguer l atteinte du fundamentum par des voies diff rentes avec la mise en place de mesures sp ciales Puisque les pistes mises en place s av rent insuffisan tes il s agit d en explorer d autres Christophe Germa nier estime que les enseignants devraient se saisir du temps d atelier th matique pour davantage pratiquer la diff renciation Pour lui l impulsion pourrait aussi provenir des grilles horaires des plans d tude des programmes Et des moyens d enseignement Pierre Marie Gabioud constate que certains manuels ont tent ou tentent d inclure les parcours diff renci s mais qu entre l intention du concepteur et l applica tion sur le terrain il y a parfois une grande distance en raison des paradoxes voqu s Le coin lecture ou le portfolio sont parmi d autres consid r s comme des outils pouvant contribuer la diff renciation Au final la notion de maturation variable semble une no tion essentielle qu il s agirait d int grer plus
114. tul Venise sous la neige C tait superbe Pour ter miner le week end le dimanche nous avons visit Paris et rapport des souvenirs C tait un s jour g nial j en garde un excellent souvenir en particulier du spectacle Jorick 6P 44 R sonances Novembre 2007 Les participants valaisans la finale de Paris 22e Championnat international des jeux math matiques et logiques CM Aymon Jorick Ayent Caloz St phanie Mi ge Carron Maxime Martigny Constantin Lionel Crans Montana Fournier Elie Brignon Pitteloud Rosalie Sion Putallaz Emmanuel Sion Rywalski Baptiste Charrat Udry Alessandro V troz C1 Christe Nicolas Leytron Colussi Ga tan Nax Jeannerat Camille St Gingolf Rossier Alain Villette C2 Buhler Virginie Martigny D Andres Eric Venth ne Morisod K vin Collombey Yule Daniel La Fouly L1 Perruchoud David Gr ne avec un agenda de premier minis tre en passant parfois c t de l essentiel le plaisir Plaisir de se confronter eux m mes et essayer de repousser leurs li mites plaisir de l effort physique ou mental plaisir de d couvrir une dis cipline qui comme les jeux math matiques et logiques peut para tre au premier abord ardue mais qui se r v le pourtant passionnante plai sir de se faire des copains par le biais de leur loisir favori et surtout plaisir de d compresser durant l t sans obligation de r sultats Bonne chance tous
115. ture ados Nadia Revaz Le prix TSR litt rature ados change Participation de deux NANTE UNE PISTE ra ya X E QUI M NE de formule suite la disparition de classes valaisannes J Ja A CHICAGO l mission litt raire Sang d encre La A productrice V r ne Gremaud a ima Au total ce sont 14 classes roman gin avec la complicit de Sam Jar des de th tre 2 par cantons qui rell qui le r alisera un concept de 9 participent l aventure Dans no missions de 15 exception faite de tre canton il s agit de celles de la 8 qui sera un peu plus longue Christine Mossessian CO de Vou La dimension th trale pour don vry et de Sylvie Rossoz CO Ste Ma ner envie de lire travers le m dia rie Martigny TV et internet est mise en avant L objectif de la production est de Les orateurs se pr pareront dans respecter les 8 piliers que sont le les ateliers labos en classe l af prix TSR la collaboration avec les frontement des joutes tourn es en classes CIIP la p dagogie les m suite dans les studios de la TSR diath ques cantonales les biblio th ques les centres m dia ou de La s lection des livres 2008 production cantonaux l interacti vit site internet et le t l visuel 14 romans jeunesse Chaque canton travaillera avec un Nul besoin d tre impliqu dans le r alisateur m dia ou de centre de tournage de l mission pour lire en production avant le tournage des classe un ou
116. u l VEUX DIEN PROFTER E NENES Fou PE HER EN VALEUR MAIS EN PRINCIPE NOUS AVONS TOUS LA M ME ORTHOGRAPHE sur la diff renciation vent se responsabiliser en jouant le r le de coach Il faut que le contrat soit clair et que les enfants sachent pourquoi ils travaillent ensemble et ne pas h siter se remettre en question si ce n est pas efficace Le ba r me peut aussi tre diff renci momentan ment ce qui est discuter avec les parents et l enfant Cela ne fait que quatre ans que j enseigne et jusqu pr sent j ai surtout d m occuper plus sp cifiquement des l ves faibles mais cette ann e je dois au contraire don ner manger ceux qui vont plus vite Ce qui manque parfois c est le temps car les programmes sont char g s Certains moyens d enseignement comme S expri mer en fran ais int grent la notion de progression diff renci e ce qui facilite la t che de l enseignant Par ailleurs je trouverais bien de pouvoir b n ficier plus du soutien des enseignants sp cialis s pas seule ment pour les l ves en grande difficult Raphy Darbellay directeur des coles primaires Martigny On a lanc cette notion dans le monde scolaire en fai sant comme si cela allait de soi sur le terrain ce qui me semble malhonn te A Martigny nous avons inscrit la diff renciation p dagogique dans notre projet d tablissement Cela se r alise surtout au travers de projets sp
117. u couch e Manuel 2 Brochure 5 p 11 cf en cadr Draps Catapulter la balle 4 enfants sont debout et tiennent un drap tendu Au milieu du drap il y a une balle Ils essayent de cata pulter la balle et de la rattraper Manuel 3 Brochure 2 p 12 cf en cadr Parachute L arriv e d un mat riel peut tre moins connu provoque grand plaisir et parfois grande excitation Que la f te commence tout en essayant d amener progression et consignes 26 Faire des vagues Vagues toute la classe tient le pa rachute et teste diff rentes sortes d intensit de vagues Laisser un bon moment de d couverte Apprendre aux l ves comment te nir fermement la poign e des deux mains Ensemble trouver un tempo com mun de lever et de baisser par ob servation des copains cducatioh physique Bien tendre ses bras vers le haut et le bas extension et flexion Le coureur lorsque le parachute a pris son lan changer de place avec le copain qui est en face La ma tresse nomme les enfants qui vont chan ger de place Le vent ressentir le vent provoqu par le parachute 1 2 classe fait des vagues ensem ble 1 2 classe se couche dos au sol ob serve et ressent Quadrup dies par couleur 1 2 classe roule nage marche quatre pattes en avant arri re tournant 1 2 classe secoue l g rement la toile contre le sol enfants assis sur leurs talons Autres possibilit s Foula
118. u de l valua tion note t elle encore Chaque l ve doit par exemple comprendre la technique du saut en hauteur cependant ce n est pas grave s il ne parvient pas un bon r sultat du moment qu il s am liore ajoute t elle relevant que la notion de classement et de comp tition y est vraisemblablement moins pr sente Globalement elle trouve donc l co le valaisanne ni meilleure ni moins bonne toutefois un peu plus stricte peut tre un chouia trop AU terme de ses deux mois de stage Kerstin Olding est ravie de cette exp rience linguistique et p dagogique ainsi que de son int gration dans la famille d accueil Lionel Saillen a largement appr ci cette collaboration d autant plus qu en tant que coordinateur d acti vit s sportives au sein de l cole cela lui a permis certaines occa sions de se d doubler Du fait de sa formation de prof de sport Berne il a retrouv avec sa stagiaire l approche germanique de l du cation physique avec une valua tion plus souple qu en Suisse ro mande Sandra Richner estime pour sa part que cette exp rience tait int ressante pour d sacraliser l ap prentissage des langues puisqu en fran ais la stagiaire faisait des fautes comme les l ves en alle mand Kerstin Olding esp re qu elle pourra effectuer son deuxi me stage de deux mois nouveau dans les classes primaires de Martigny tant c tait riche pour elle Julien Perret
119. u lorsque l on fait un norme travail avec un l ve qui progresse mais pas assez vite puisque les valuations faites en classe continuent de le d courager Il arrive que des ensei gnants me demandent comment g rer cette valua tion avec la diff renciation Si l enseignant l adapte en modulant la note il a le sentiment de n tre pas correct envers les autres Les consignes vont plut t vers une galit de traitement au niveau de l valua tion ce qui est un peu contradictoire avec d autres discours L une des strat gies simples qui me semble assez souvent efficace c est de laisser un temps donn l enfant et de l aider au maximum durant cette p riode pour qu il puisse s adapter en n oubliant pas que le risque c est d individualiser et de trop vouloir cumuler les aides externes Dans le cas d un enfant qui est lent et a besoin d tre stimul je propose au ma tre d all ger le programme pendant un temps pour rassurer l l ve sur ses comp tences et moi je vais en parall le lui apprendre d velopper des stra t gies pour travailler plus rapidement mais il faut en suite petit petit att nuer ce soutien pour que l en fant se r habitue tre valu comme les autres Cette sorte de contrat passe en g n ral bien tant avec l enfant qu avec les parents E 11 f T lanordu des inspecteurs Rencontre avec les inspecteurs de la scolarit obliga toire pour voquer la th matique de la diff ren
120. ui la diff renciation au CO me pa ra t davantage relever de la bonne volont des profes seurs de leur force inventive plut t que d une vraie p dagogie mise en place Je pense qu on doit mieux for mer les enseignants la gestion de la classe et la diff renciation et davantage prendre en compte cette dimension dans les futurs moyens d enseignement Et pour le primaire Les enseignants primaires me paraissent mieux pr par s de facto la gestion de la diff renciation Le ma tre g n raliste est quasiment contraint travailler certains moments en respectant les diff rences de rythmes l in t rieur de l unit classe Au secondaire et Il les l ves sont s par s par sections niveaux ou fili res mais main tenant on s aper oit qu l int rieur de ces groupes qui sont d j une premi re diff renciation voulue par l au torit il y a souvent lieu d introduire des formes diff renci es de prises en compte des rythmes d acquisition Prochain dossier Raisonner les peurs de la soci t dans l cole R sonances Novembre 2007 sur la diff renciation Avec le nouveau CO s achemine t on vers davantage de diff renciation au secondaire 1 Le projet du nouveau CO fait le pari d une orientation progressive des l ves en les aidant d cou vrir et faire clore leurs vrais int r ts et potentialit s La diff ren ciation devra donc prendre place l int rieur m me
121. ur l enseignant Une fois qu un enfant a com pris une activit il faut doucement l amener un ni veau sup rieur Au sein des groupes les enfants s en traident volontiers et c est aussi un aspect int ressant pour mettre en place la diff renciation Le dossier en citations Gestion des diff rences Plut t que de parler de p dagogie diff renci e ou de diff renciation p dagogique qui risque de renvoyer exclusivement la mise en place d activit s et ou d organisations diff rentes il pourrait tre pr f rable de parler de gestion des diff rences ou de gestion de l h t rog n it Michel Mante in L Educateur 9 2007 www revue educateur ch R sonances Novembre 2007 Christine Luyet enseignante d appui l cole primaire Savi se ll est mon sens essentiel de commencer par recon na tre les ressources et les manques de l l ve pour ensuite seulement essayer de diff rencier L appui p dagogique c est vraiment partir de l o est l enfant pour l aider avancer Quand j enseignais en pri maire j tais souvent frustr e parce que je sentais les multiples besoins sans arriver en tenir compte comme j aurais voulu le faire Varier les types d orga nisation de la classe c est d j prendre en consid ra tion les nombreuses fa ons d apprendre sans forc ment diff rencier au sens strict Dans le cadre de l ap pui on est galement parfois d
122. utre des r f rences appartenant au patrimoine culturel et litt raire patrimoine que les enfants rencontrent forc ment lorsqu ils entrent dans l crit Or si la langue du r cit et les r f rences sont d j famili res les apprentissa ges techniques de la lecture s en trouveront grandement facilit s La Nuit du conte en Suisse est une initiative commune de l Institut suisse Jeunesse et M dias et de Bi Vari t d activit s Le bureau romand de l Institut suisse Jeunesse et M dias et l association Jeu nesse et M dias AROLE travaillent la promotion de la litt rature et de la lec ture pour l enfance et la jeunesse Ensemble ils O publient la revue Parole qui propose des articles de fond sur la litt rature pour les enfants et les jeunes O proposent des actions de promotion et d animation du livre et de la lec ture notamment les Ribambelles Virus Lecture et Valises aux Tr sors Nutour de la lecture le 9 novembre 2007 NUIT DU CONTE EN SUISSE 09 44 03 bliomedia Suisse en partenariat avec UNICEF Suisse et l association Jeunesse et M dias AROLE Une formule simple Les coles les centres de loisirs les biblioth ques les librairies sont invit s organiser une Nuit du conte La formule est simple Nous proposons un th me la date ainsi qu un soutien organisationnel pour que cet v nement ait une enver gure nationale Pour le reste cha cun est libre de cr er sa
123. uvent trop important et de laisser de la place l expression de chacun Pour tre plus concret encore j aborde 3 moments di dactiques cf page suivante Si vous voulez aller plus loin que le bout de votre Je rigole Apr s cette petite introduction je vous conseille de vous documenter comme moi en lisant quelques ou vrages de qualit Caron Jacqueline 2003 Apprivoiser les diff ren ces guide sur la diff renciation des apprentissages et la gestion des cycles Montr al Les Editions de la Cheneli re Erasme E Guillaume L onard amp Manil Jean Fran ois 2006 De la rem diation la diff renciation La rage de faire apprendre Paris Jourdan Editeur R sonances Novembre 2007 Ce concept n est pas encore stabilis Il se d finit par une dimension thique et m thodologique Plusieurs auteurs utilisent les termes de tat d esprit philosophie pro Certains auteurs proposent les termes diff renci vari diversifi avec des nuances entre eux Cependant il s agit principalement d tre capable de modifier son action p dagogique par des situations consignes groupements Avez vous beaucoup d outils dans votre bo te m thodolo A l origine c est presque le synonyme de diff renciation Il s agissait de cr er un dispositif pour remettre l enfant flot afin qu il puisse ensuite suivre nouveau le programme Il va l h pital Souvent c est une
124. veau interm diaire le choix de la difficult au lancement de la plupart des exerci ces permet que chacun y trouve son compte tant les enfants qui ont des difficult s que ceux qui parviennent aborder pr cocement la lecture Un m me exercice pourra d ailleurs tre propos des niveaux diff rents plusieurs moments de l an n e en volution avec la maturit de son destinataire Aussi il n est pas n cessaire de syst matiquement terminer un module correspondant l tude d une syl labe avant d aborder le suivant les enfants peuvent dans un premier temps ne faire que les exercices d coute puis plus tard de corres pondance oral crit leur parcours restant m moris par le logiciel ils reprendront l endroit o ils en taient rest s Une version gratuite limit e du lo giciel se trouve en t l chargement sur le site de l auteur http perso wanadoo fr jim campaner o on trouvera galement une documen tation tr s compl te qui pourra donner des id es d exercices m me si on n utilise pas le logiciel La li cence shareware Th ApLec en ver sion compl te est propos e au tarif de 40 CHF Jean Marc Campaner Note amama 1 Premi re primaire D conseiller multim dia vite Un des r les des animateurs est d accompagner les ensei gnant e s dans leurs t ches li es la pratique journali re Les conseillers multim dias comme leur nom l indique sont disponi
125. ves par classe pris en charge par un enseignant sp cialis et l les objectifs sont adapt s Et pour eux individualisation et diff rencia tion ne sont pas contradictoires puisque cela participe leur int gration la classe Propos recueillis par Nadia Revaz E D T Canard d enseignants Quelle d finition donner la diff renciation Pour quoi et surtout comment le faire dans sa classe Les r ponses sont multiples mais le terme qui revient le plus fr quemment c est essayer Dans la classe l ensei gnant tente de g rer la diff renciation le plus souvent possible et cela peut signifier aussi bien parfois que fr quemment Antoine Beytrison enseignant en 6 primaire Ayent Diff rencier c est enseigner selon les besoins et les comp tences des l ves J essaie de le faire par exem ple dans les devoirs ou dans certaines activit s Il est certain qu avec 18 l ves c est plus facile g rer qu avec un effectif plus important L ann e pass e j avais un l ve qui tait dyslexique en classe et l j tais oblig de diff rencier tout ce qui tait li l or thographe J utilisais des programmes sur l ordinateur pour lui permettre de se r concilier doucement avec les mots Pour ceux qui sont juste un peu plus lents je raccourcis pendant une p riode donn e les activit s de fa on leur laisser plus de temps pour assimiler Le travail en atelier est aussi b n fique car certains pe
126. yens pr c dents La forte implication demand e aux enseignants que ce soit au niveau de la pr paration des cours ou ce lui des interactions avec les l ves et la mati re est souvent relev e par fois sur un ton neutre Un travail pr alable de l enseignant est pri mordial parfois en positif Les moyens actuels me plaisent car ils donnent beaucoup de libert souvent en n gatif Je n ai jamais eu autant de travail de pr paration de cours Pour lire la version compl te du 1er rapport http vs educanet2 ch cobra msn Les dossiers de R sonances Ann e 2004 2005 N 1 septembre L organisation de la classe N 2 octobre 60 ans d orientation N 3 novembre Le vocabulaire N 4 d cembre Enseignant e secondaire N 5 f vrier ICT vers l int gration N 6 mars Les coordinations N 7 avril Dialogue chercheurs enseignants N 8 mai Sciences par l exp rience N 9 juin L galit des chances Pour consulter les archives de R sonances www vs ch sft gt Les domaines du SFT gt Les publications p dagogi ques gt R sonances gt Num ros ar chiv s Tous les num ros d s septembre 2001 sont en ligne Les num ros plus anciens se trouvent la M diath que Valais CI J abonner Ann e 2005 2006 N 1 septembre Piloter motiver N 2 octobre Argumenter N 3 novembre Les enjeux de l valuation N 4 d cembre janvier Trans

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