Prévention Infos n° 35
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1. acc s des parties hautes escabeau et tabouret e 1 chute lors de la descente d un camion en transportant une caisse de mat riel scientifique 84 chutes de personnes d clar es en accidents de trajet e 98 d placements pied dont certains dans les escaliers 16 sur en descendant d un trottoir 15 sur un sol glissant ou d grad e 1 chute de moto e 1 chute de scooter 15 chutes de personnes d clar es en accidents survenus en mission e 80 d placements pied dont certains sur un sol en d nivel ou glissant e 1 chute de moto e 1 chute en sortant d un avion e 1 chute o l agent a t projet fort coup de roulis bord de l astrolabe Chutes de personnes Nature des l sions 10 Si ge des l sions NOMEN l sion ligamentaire 99 membre inf rieur 95 contusion 47 l sions multiples 37 Se 28 membre sup rieur 29 plaie piq re 12 HUE t te 7 commotion 2 r main 6 autre 1 pied 6 lumbago 1 si ge interne 1 TOTAL 190 TOTAL 190 Par ge Par sexe Taux de fr quence TF et taux de gravit TG Le taux de fr quence s tablit 3 8 3 3 en 2011 et le taux de gravit 0 16 0 08 en 2011 Ils ont t calcul s en prenant en compte uniquement les accidents de service et de mission avec arr t pour 24857 7 agents travaillant 1607 heures par an Dans le rapport annuel 2012 du minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche les TF et T2. vous souhaiter bonne lecture ainsi qu avec un peu d avance de bonne f tes de fin d ann e Y FENECH CNPS N p BAVI NE eee eee eee eee eee eee eee eee eee see eee ee ee eee ee Cinq charg s de mission ont t nomm s aupr s du Pr sident en soutien de la coordination nationale de pr vention et de s curit sur des th matiques sp cifiques application EVRP nanomat riaux radioprotection rayonnements optiques artificiels et risques biologiques Ces r f rents apportent leur expertise aupr s des structures de recherche par l interm diaire des ing nieurs r gionaux de pr vention et de s curit d passer les fronti res Damien Moncog charg de mission CNRS pour la pr vention des risques li s la manipulation de nanomat riaux Cet article pr sente sous forme de questions r ponses les activit s de Damien Moncogq charg de mission pour la pr vention des risques li s la mise en uvre des nanomat riaux Quelle est votre mission AU niveau national ma mission consiste contribuer l laboration de la politique de pr vention des risques li s l utilisation de nanomat riaux et proposer la mise en uvre d actions de sensibilisation et formation Au niveau r gional j apporte une assis tance aux d l gations du CNRS et je peux intervenir directement au sein des unit s de recherche la demande des IRPS Cela implique de suivre les vo lutions techn
3. r seau des IRPS anim par la CNPS une journ e sp cifique sur l tat de connaissances et les mesures de pr vention mettre en uvre a t organis e en d cembre 2011 en col laboration avec l INRS En fonction des actualit s un point d informa tions est r alis r guli rement lors de ces s minaires La d claration des substances l tat nanoparticulaire au sens du code de l environnement a t r a lis e en troite collaboration avec les IRPS qui sont un relais essentiel aupr s des unit s de recherche via le r seau des assistants de pr vention Quelles sont vos relations avec des organismes externes En 2010 l INRS a sollicit le CNRS pour participer la r alisation d un guide destination des labora toires de recherche J ai particip au groupe de travail qui a r dig le guide ED 6115 publi en 2012 Par ailleurs j ai sollicit l INRS pour par ticiper la r daction de la note du CNRS relative la pr vention des risques dans les unit s mettant en uvre des nanomat riaux parue en mars 2013 En octobre 2013 l INRS m a propos d inclure le CNRS l tude pid miologique Epinano men e par l InVS Cette d marche est en cours pour mettre en place une tude de cohorte prospective cibl e sur les expositions aux nanotubes de car bone et au dioxyde de titane sur quelques laboratoires Pour la mise en uvre des modali t s de la d claration des substa
4. s l utilisation de nanomat riaux poursuivra la s rie entam e l occasion de la pr c dente dition vous permettant de mieux conna tre ces experts au service de notre organisme Nous d couvrirons de la m me mani re l unit ULISSE essentielle dans le dispositif national pour assurer dans de bonnes conditions le transport des marchandises dangereuses plus connu peut tre sous l acronyme TMD D J LA FIN DE L ANN E Puisque nous parlions de concret l exp rience r ussie de l UPS TAAM Orl ans est remarquable comment aborder une question aussi d licate que les troubles musculo squelettiques les fameux TMS dans une approche collective et interdisciplinaire Il nous est apparu essentiel de vous faire part de leur d marche Vous trouverez galement un bilan de nos accidents et un focus particulier sur les chutes de personnes et les accidents de manutentions manipulations Bien analyser ces l ments permet vous le savez une pr vention plus efficace Mais comme dans chacune de nos publications il nous revient de rappeler tous la survenue d accident et d en diffuser les circonstances pour en viter le renouvellement nous traiterons cette fois ci d une explosion de carboglace Pour terminer notre rubrique juridique traitera de la mise en cause p nale pour n gligence sujet nous concernant tous Me reste vous rappeler que vous tes comme toujours les bienvenus dans nos pages et
5. acad mique ou priv L activit est essentiellement orient e autour de l animalerie o le travail est assez physique Il s agit essentiellement de la manipulation d quipements et de mat riels chariots portoirs hottes cages animaux et le port ou le d placement de charges sacs d aliments biberons d eau Les troubles musculo squelettiques TMS sont reconnus maladies professionnelles depuis 1991 Les TMS affectent principalement les muscles les tendons et les nerfs Ils peuvent appara tre lors de mauvaises postures ou de gestes r p t es Ils peuvent engendrer une fatigue musculaire Rappel des faits Suite au constat d accidents du travail fr quents li s au port de charges et aux t ches r p titives en animalerie le directeur d unit Yann H rault a inscrit la lutte contre les TMS comme action prioritaire dans le programme annuel de pr vention du laboratoire avec le soutien des agents de pr vention et du service m dical de pr vention Le premier programme d actions projet 1 a port sur les gestes et postures sur les postes de travail et a t r alis en partenariat avec la section MGEN du Loiret Le second programme projet 2 s inscrit dans la continuit avec un entrainement base d tirements et de renforcements musculaires destin aux agents du laboratoire Pour le TAAM l objectif principal
6. cause l au teur indirect dont l acte a contribu cr er la situation qui a permis la r alisation du dommage ou n a pas permis de l viter qui quant lui doit avoir commis une faute d lib r e ou caract ris e La faute d lib r e r sulte d une viola tion manifestement d lib r e d une obligation particuli re de prudence ou de s curit pr vue par la loi ou le r gle ment Par exemple une tudiante en chimie est gri vement bless e durant la manipulation de produits Son ma tre de stage et directeur d unit est condamn par le Tribunal correctionnel 6 mois d emprisonnement avec sursis pour blessures involontaires par vio lation manifestement d lib r e d une obligation de s curit et de prudence Le juge a retenu que celui ci avait l au torit les moyens et la comp tence n cessaires pour assurer la s curit de l tudiante et se conformer aux obliga tions en la mati re et viter ainsi qu un tel accident ne se produise La faute caract ris e quant elle est d finie comme une faute qui expo sant autrui un risque d une particu li re gravit ne pouvait tre ignor e La faute caract ris e peut r sulter non seulement d une faute unique mais grossi re mais galement d une s rie de n gligences et d im prudences qui entretiennent un lien de causalit certain avec le dommage c est l exemple de l explosion AZF En conclusion si l auteur direct peut
7. hautement purifi e Elle sert manipuler des mat riaux nanostructur s tr s r actifs l air pour le stockage de l nergie Il s agit en particulier du stockage de l hydrog ne ou des lectrodes n gatives de batteries lithium ion et NiMH nickel hydrure m tal lique UMR7182 Institut de Chimie et des Mat riaux Paris Est ICMPE THIAIS gie I est particuli rement difficile d interpr ter puis d extrapoler les r sultats exp rimentaux tudes in vitro et in vivo l homme et de comparer ces tudes entre elles m thodologies diff rentes Les effets biologiques des nanomat riaux sont difficiles pr dire car ils d pendent de diverses propri t s physico chimiques induisant une toxicit propre Bien que des progr s soient r alis s sur la strat gie de mesurage et les appareils pour les r aliser il n existe pas de m thode unique et simple faisant l objet d un consensus pour caract riser un nanoa rosol Cette situation conduit mener une va luation qualitative et mettre en place un niveau de pr vention et de protection lev principe ALARA Quelles sont les actions de terrain que vous menez Je r alise la demande des IRPS des actions de sensibilisations en d l gation ou en laboratoire sur les risques et les mesures de pr vention mettre en uvre des analyses de poste et des visites de laboratoires donnant lieux des rapports de recommandations Je peux partic
8. la r glementa tion et que cette formation est inscrite sur leur dossier la mise en uvre de proc dures d urgence appropri es aux accidents ou incidents ventuels pouvant porter atteinte la s curit pendant le transport de marchandises dangereuses ou pendant les op rations de chargement ou de d chargement le recours des analyses et si n cessaire la r daction de rapports concernant les accidents les incidents ou les infractions graves constat es au cours du transport de marchandises dan gereuses ou pendant les op rations de chargement ou de d chargement la mise en place de mesures appropri es pour viter la r p tition d accidents d incidents ou d infractions graves la v rification que le personnel affect au transport des marchandises dange reuses ou au chargement ou au d char gement de ces marchandises dispose de proc dures d ex cution et de consignes d taill es PARTICULARIT S DU CSTMD 1 8 3 4 La fonction de conseiller peut tre assur e par le chef d entreprise par une personne qui exerce d autres t ches dans l entreprise ou par une personne n appartenant pas cette derni re condition que l int ress soit effective ment en mesure de remplir ses t ches de conseiller Les r gles qui d finissent ces obli gations d coulent toutes d un ensemble de prescriptions dict es par l ONU Elles concernent tous les types de transport qu ils so
9. tait non seulement de diminuer le nombre d accidents du travail par de la pr vention mais aussi d am liorer les conditions de travail en animalerie afin de pr server la sant des personnels quiy travaillent et garantir ainsi ses ressources en comp tence et savoir faire PROJET 1 LES BONS GESTES ET POSTURES DANS UNIT TAAM D ORL ANS D finitions La rencontre avec l quipe projet MGEN compos e d un m decin r ducateur dun ergoth rapeute et d un kin sith rapeute a permis d expliciterles besoins du laboratoire et de d finir les modalit s de la r alisation du projet R alisation Pendant la phase d observation sur le terrain une demi journ e plusieurs sc narii ont t envisag s prenant en compte les manipulations en iso lateurs bo tes gants le change des cages sous hotte portoirs venti l s le chargement et d chargement des autoclaves zones confin es le vidage le lavage le remplissage des cages et la manutention des chariots la logistique La restitution a eu lieu dans un premier temps avec les repr sentants du laboratoire afin de valider l analyse du film devant servir de support la formation La phase de formation th orique une demi journ e a permis une meilleure compr hension de la probl matique TMS et des pathologies du dos La phase pratique une demi journ e avec des exercices a t r alis e dans une salle du laboratoire am n
10. FENECH e comit de r daction Pascal OLIVIER Christelle THOUVENOT Natacha VOLTO et Janine WYBIER e conception graphique Coconut graphics T l 02 99 45 73 39 Illustrations William Augel Imprim sur papier recycl
11. G sont respectivement de 5 43 et 0 15 pour l ensemble des tablissements sup rieurs et de recherche Donn es consolid es fournies par le service des pensions et accidents du travail SPAT du CNRS octobre 2013 nombre d accidents de service et de mission avec arr t x 1 000 000 TF nombre d heures travaill es TG nombre de jours d arr t x 1 000 nombre d heures travaill es Natacha VOLTO Ing nieur de pr vention et de s curit Coordination nationale de pr vention et de s curit 33 1 45 07 58 06 my natacha volto cnrs dir fr Explosion d un cong lateu Un laboratoire assure l ana lyse de pr l vements biolo giques qui lui sont envoy s par divers prestataires Ces pr l vements biologiques sont pr alablement stock s au froid avant leur transfert vers les services o seront effectu es les analyses Les circonstances de l accident Vers 15h des chantillons provenant d un h pital ont t amen s par un transporteur agr Ces pr l vements ont t d pos s dans leur emballage d origine par le chauffeur dans un cong lateur de la r ception du laboratoire Vers 19h10 une d tonation s est produite dans le local Le personnel intervenu suite ce bruit a trouv le cong lateur d form et sa porte projet e sur le mur d en face Le personnel pr sent a ramass imm diatement les pr l vements biologiques r pandus sur le sol au milieu des d bris d emballage et de portoi
12. Prevention D cembre 2013 n 35 Sommaire ER e 1 Interview Damien Moncoq charg de mission 1 ULISSE et le conseiller la s curit au transport des marchandises dangereuses 4 Initiative lutte contre les TMS au TAAM d Orl ans 6 Les accidents reconnus au CNRS en 2012 Retour d exp rience Explosion d un cong lateur 10 Le coin droit Qui peut tre mis en cause p nalement pour n gligence 11 Arenda a ee 12 Textes r glementaires 12 Br ves de paillasse 0 000000 12 RE S CURIT SANT ENVIRONNEMENT 2 F d itorial Et d j le 35 num ro de Pr vention INFOS Je profite une nouvelle fois de cet ditorial pour remercier les contributeurs de notre p riodique ils en enrichissent bien videmment ses colonnes en apportant leurs connaissances et leurs exp riences mais surtout ils assurent le lien concret entre les informations th oriques ou r glementaires que nous nous devons de diffuser largement avec la r alit du terrain Vous tes de ce fait nombreux nous faire part de votre int r t pour cette vision pratique de la pr vention et nous nous en r jouissons Soyez assur s que nous poursuivrons dans cette direction Ainsi pour ce qui concerne ce num ro de d cembre l entretien avec Damien Moncoq charg de mission national pour la pr vention des risques li
13. a pour mission la mise en conformit du CNRS et de ses unit s Tous les produits dangereux sont concern s par cette r glementation chimique biologique radioactif Un produit dangereux est caract ris par un code N UN compos de 4 chiffres pour les agents chimiques dangereux cette information se retrouve dans le point 14 de la fiche de donn es de s curit EXTRAITS DE L ADR NOMINATION D UN DE CSTMD 1 8 3 1 Chaque entreprise dont l ac tivit comporte le transport de mar chandises dangereuses par route ou les op rations d emballage de chargement de remplissage ou de d chargement li es ces transports d signe un ou plusieurs conseillers la s curit nomm s ci apr s conseillers pour le transport de mar chandises dangereuses CSTMD char g s d aider la pr vention des risques pour les personnes les biens ou l envi ronnement inh rents ces activit s T CHES DU CSTMD 1 8 3 3 l examen des pratiques et proc dures les proc d s visant au respect des prescriptions relatives l identification des marchandises dan gereuses transport es la pratique de l entreprise concernant la prise en compte dans l achat des moyens de transport de tout besoin particulier rela tif aux marchandises dangereuses trans port es le fait que les employ s concern s de l entreprise ont re u une formation appropri e y compris pro pos des modifications
14. ag e cet effet tapis charges lourdes et mat riels de manutention Les exercices ont permis de faire le lien entre la formation th orique et l analyse du film r alis la fin de la s ance un questionnaire a t remis aux participants pour une valuation de la formation Bilan du projet Le projet s est d roul sur une p riode d une ann e compter de la signature de la convention de formation L valuation a fait ressortir un taux de satisfaction de plus de 95 pour 23 participants lensemble des participants a souhait une suite cette formation Une diminution des arr ts de travail pour cause de probl mes li s au TMS a t constat e ainsi qu une adh sion plus forte du personnel la d marche Il sem blait donc important de p renniser les bienfaits des actions r alis es travers un training de renforcements muscu laires et d tirements Au vu de ces r sultats le directeur a d cid de poursuivre l action PROJET 2 TIREMENTS ET RENFORCEMENTS MUSCULAIRES Pour r aliser ce projet deux stagiaires de l Institut de kin sith rapie d Orl ans ont t accueillis au TAAM pour une p riode d un mois D finitions Avec le service m dical de pr vention un programme adapt aux besoins des agents a t d fini Le directeur ayant accord deux heures de training agent semaine il a t possible de tendre vers une personnalisation des s ances en constituant des groupes
15. cte et sur ses cons quences Comme tout principe celui ci souffre des exceptions c est ainsi que la loi pr voit l existence d infractions dites non intentionnelles pour les quelles l auteur a voulu l acte mais pas ses cons quences qu il aurait pourtant d pr voir et pu viter exemple atteinte involontaire la vie ou l int grit physique Cette faute non intentionnelle est d fi nie par l article 121 3 du code p nal et consiste en une faute d imprudence de n gligence ou de manquement une obligation de prudence ou de s curit pr vue par la loi ou le r gle ment Ex l automobiliste qui par son manque d habilet ou par la violation d une disposition du code de la route vitesse excessive non respect d un stop tue ou blesse quelqu un De quoi faire fr mir toutes les per sonnes en charge de veiller la sant et la s curit des agents Cest pourquoi il est utile de pr ci ser les conditions dans lesquelles ces infractions peuvent tre constitu es Tout d abord conform ment au prin cipe de l galit des peines il n existe pas d infraction p nale sans texte pour tre constitutive d une infraction la n gligence doit avoir pour effet la mort des blessures la mise en danger de la vie d autrui ou une atteinte aux biens articles 226 1 222 19 223 1 et 322 5 du code p nal La n gligence si elle n entra ne pas ces cons quences est sans effet sur le plan p nal Ensuite l a
16. de 4 5 personnes Ila t demand aux tudiants en kin sith rapie d laborer pour les agents un guide de bonnes pratiques Sant au travail leur permettant de poursuivre les exercices la fin du programme D roulement du training Au d marrage du training un bilan initial douleurs extensibilit s qualit de vie a t r alis pour chaque agent Les deux premi res semaines ont t consacr es aux renforcements et tirements musculaires la troisi me semaine au programme de relaxation et la quatri me semaine au massage ainsi qu l ergonomie des postes de travail Chaque semaine une valuation du b n fice des actions par agent a permis d adapter les exercices en fonction de ses besoins La s ance ergonomie a contribu la sensibilisation des bonnes postures Bilan du training La moiti des participants ont constat une diminution de l intensit de leurs douleurs ainsi qu une l g re am lioration de leur niveau de souplesse Le training a aussi contribu la sensibilisation du personnel en mati re d hygi ne de vie au travail De plus les s ances de relaxation et de massage ont t tr s appr ci es par les agents car elles ont permis une vacuation du stress ressenti Bilan des actions Les formations se sont d roul es sur 2 ans Lors de la premi re ann e 23 agents ont t form s dont 18 animaliers 4 agents de la logistique et 1 agent administrat
17. ient ter restres r glementation ADR a riens IATA maritimes IMDG fluviaux ADN ou ferroviaires RID Ces r gles sont rigoureuses et contraignantes les produits transport s doivent tre bien identifi s emball s en tenant compte de tous les risques aff rents et les op rateurs doivent tre inform s du contenu et des risques encourus en cas d incident accident de transport Elles engagent p nale ment le directeur de l unit Le non respect de ces r gles la dissimula tion de l existence d un produit dan gereux ou la remise d un colis non r glementaire contenant un produit de ce type expose le contrevenant des sanctions lourdes jusqu 1 an d emprisonnement et ou 30 000 d amende 1 8 3 7 Le conseiller doit tre titulaire d un certificat de formation profession nelle valable pour le transport par route Ce certificat est d livr par l autorit Pour ma triser ces risques la r gle comp tente mentation impose que au regard de r glementation TMD Elle organise et traite entre autres tous les transports de produits dan gereux conform ment la r gle mentation Disposant de six CSTMD form s dipl m s et comp tents pour les classes 2 9 Voir figure ci contre Ulisse propose ses services toute unit du CNRS ou ayant un lien avec le CNRS e fourniture du colis tiquet e d claration DGR remplie et sign e e transport e d douane
18. if La seconde ann e 25 agents ont suivi le training pendant un mois Le projet avec la MGEN a t pris en charge en bonne partie par la MGEN avec une participation de notre d l gation Centre Limousin Poitou Charentes Le second projet n a rien co t au laboratoire si ce n est le temps de travail de chaque agent qui a t consacr au training soit 2h00 agent semaine sur un mois Perspectives Les r sultats du training tant tr s positifs et compte tenu de la forte demande du personnel pour la poursuite de cette exp rience le directeur d unit a d cid de reconduire le training en 2014 LES ASSISTANTS DE PR VENTION DU TAAM Abdelmalek ZIADI Olivier VOISIN L INFIRMI RE DU SERVICE MEDICAL DE PREVENTION Marie Chistine HENRY Bilan des accidents reconnus en 2012 Nombre d accidents de mission de service et de trajet en 2012 565 accidents reconnus e par si ge des l sions Em Accidents de service M7 Accidents de trajet EM Accidents survenus en mission T te 27 5 Yeux 31 5 Tronc 72 13 Membre sup rieur 60 11 Accident de v lo 32 Autres 42 7 4 Explosion 2 0 4 Localisation multiple 84 15 Si ge interne 34 6 Non pr cis 15 3 Contact exposition 50 Pied 19 3 Accident de la route 68 e par type d accident e par nature de l accident Chute de personne 190 33 6 Agression 6 1 1 Main 89 16 no Projec
19. ion la mise jour et l historisation des documents uniques a volu en 2013 Un guide utilisateur un module d aide un r sum des nouvelles fonctionnalit s 2013 et une foire aux questions FAQ sont t l chargeables sur l intranet de la CNPS 00000 eee ee ee CCC FEVAR l outil d aide l valuation du risque chimique est actualis en 2013 Il est en ligne sur l intranet de la CNPS Il prend en compte les modifications apport es au r glement n 1272 2008 du Parlement europ en et du Conseil relatif la classification l tiquetage et l emballage des substances et des m langes r glements n et n de la commission du 7 ao t 2013 et du 2 octobre 2013 De plus il int gre d sormais titre informatif le num ro CAS le nom des produits ainsi que le classement attribu par le Centre international de recherche sur le cancer CIRC 0 000 000 FIERI un mod le de fiche individuelle d exposition aux rayonnements ionisants FIERI est disponible sur le site de la CNPS Cette FIERI est conforme la r glementation actuellement en vigueur Elle fait partie des attestations d expositions professionnelles que l employeur doit r glementairement d livrer aux personnels qu il a expos s Pr vention infos Coordination nationale de pr vention et de s curit 1 place Aristide Briand 92195 Meudon Cedex T l 01 45 07 54 88 M l cnps cnrs dir fr e www dgdr cnrs fr cnps e directeur de la publication Yes
20. iper la formation des assistants de pr vention et des nou veaux entrants Depuis 2010 cela repr sente une dizaine d interven tions en d l gation ainsi qu aupr s de partenaires du CNRS Universit de Bretagne Sud Coll ge de France Universit de Lorraine Quelles sont les nouveaut s r glementaires venir Diff rentes initiatives dans ce domaine peuvent amener renfor cer les dispositifs r glementaires en place voire en introduire de nou veaux En ce qui concerne la d finition d un nanomat riau la Commission euro p enne en pr voit une r vision d ici d cembre 2014 en fonction des premiers retours d exp rience ainsi que des progr s techniques et scien tifiques Notamment le crit re de seuil de 50 en nombre de parti cules dans la d finition pourra tre revu modifiant ainsi le champ de la d claration l ANSES La Commission europ enne consi d re que le r glement REACH offre le meilleur cadre possible pour la ges tion des risques li s aux nanomat riaux mais souhaite int grer des exi gences plus sp cifiques en modifiant certaines des annexes du r glement et encourage ECHA laborer de nouvelles orientations pour les enre gistrements apr s 2013 Quelles sont vos relations avec les IRPS dans l activit de charg de mission Comme indiqu plus haut je peux venir en appui d une formation d une visite ou d une tude de poste Dans le cadre des s minaires du
21. iques et r glemen taires dans le domaine de la pr vention des risques li s la mise en uvre des nanomat riaux Je pr conise les modalit s d appli cation des nouvelles obligations j assure la liaison entre le CNRS et les organismes ext rieurs concer n s INRS 2 CEA3 INERIS Je suis amen repr senter la coordina tion nationale de pr vention et de s curit du CNRS aupr s des instances sp cialis es dans le domaine INRS Je pr sente r gu li rement au CCHSCT du CNRS les projets li s aux nanomat riaux Enfin je r alise la d claration annuelle des substances l tat nanoparticulaire ANSES pour le CNRS cf Pr vention infos n 33 d avril 2013 Quelles sont les grandes avanc es en la mati re et quelles sont les probl matiques mergentes Depuis une dizaine d ann es la prise de conscience a conduit de nom breux acteurs chercheurs agences organismes de sant et de s curit au travail se mobiliser en vue d valuer les risques des nanoma t riaux Ceci a induit le d velop pement de guides de bonnes pra tiques de normes et de m thodolo gies d valuation et de ma trise des risques Au niveau r glementaire la Commission europ enne a dict une d finition des nanomat riaux et en France le code de l environne ment a introduit l obligation d ta blir une d claration annuelle des substances l tat nanoparticulaire Ceci a galement induit de
22. ment le cas ch ant e livraison e assurance de l envoi ad valorem Ulisse r alise toutes ses prestations en porte porte Six agents sont galement titulaires des qualifica tions IATA et IMDG La direction du CNRS recommande fortement l utilisation des ser vices d Ulisse pour tout transport de produits dangereux circulaire n 131514DA J et note du Pr sident du CNRS du 10 juillet 2013 Actuellement la vision du besoin est tr s parcellaire et tient surtout au recensement que peut en faire Ulisse Une valuation des pratiques des laboratoires est indispensable Pour r aliser cette valuation un questionnaire sera donc prochainement envoy tous les directeurs des unit s du CNRS afin de conna tre pr cis ment leurs pratiques en mati re de transport de produits dangereux Cette enqu te sera le point de d part d un processus visant attribuer chaque unit le CSTMD correspondant son besoin l Unit traite par ailleurs tous les besoins des unit s en mati re de transport de mat riels scientifiques plus classiques Ulisse organise les coles de forma tion destin es aux agents en charge des exp ditions et des livraisons conform ment l article 1 3 1 de l ADR et 1 5 1 du IATA En conclusion Ulisse emballe d douane livre assure vers n im porte quelle destination tout type OO port des marchandises dangereuses d exp dition d un simple chantillon biologiq
23. n avec l entreprise de transport tablir un protocole de s curit e Former le personnel aux proc dures de r ception des chantillons et aux proc dures d urgence e Formaliser avec les exp diteurs les proc dures d envoi d chantillons biologiques Dans le cas o de la carboglace est n cessaire lors de l envoi d un chantillon biologique elle doit prendre place entre l emballage secondaire et l emballage tertiaire du colis Dans ces conditions l emballage tertiaire ne doit pas tre tanche pr sence d vents afin de permettre la diffusion du CO gazeux l ext rieur Dans tous les cas la carboglace devra tre retir e avant de placer les chantillons dans le cong lateur D g ts occasionn s par l explosion sur le cong lateur Pascal OLIVIER Ing nieur r gional de pr vention et s curit CNRS D l gation R gionale Nord Pas de Calais et Picardie 33 3 20 12 58 60 w pascal olivier cnrs fr LE COIN DROIT Qui peut tre mis en cause p nalement pour n gligence ar principe il ny a pas de crime ou d lit sans intention delecommettre article 121 3 du code p nal Ainsi pour qu une infraction existe juridiquement il ne suffit pas qu un acte mat riel pr vu et puni par la loi p nale ait t commis il faut encore que cet acte ait t l uvre de la volont de son auteur Ces infractions inten tionnelles supposent une intention portant la fois sur l a
24. nces l tat nanoparticulaire pour le CNRS jai chang avec la direc tion g n rale de la pr vention des risques du minist re de l cologie du D veloppement Durable et de l nergie ainsi qu avec la direction g n rale de l innovation du minis t re de la Recherche 7 Article 42 de la Loi Grenelle du 3 ao t 2009 et Article 185 de la Loi Grenelle Il du 12 juillet 2010 1Nanomat riau mat riau naturel form accidentellement ou manufactur contenant des particules libres sous forme d agr gat ou sous forme d agglom rat dont au moins 50 des particules dans la r partition num rique par taille pr sentent une ou plusieurs dimensions externes se situant entre 1 nm et 100 nm Recommandation de la Commission europ enne 2011 page 40 2 INRS Institut national de recherche et de s curit 3 CEA Commissariat l nergie atomique et aux nergies alternatives 4 INERIS Institut national de l environnement industriel et des risques 5 ANSES Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail 6 REACH R glement europ en entr en vigueur en 2007 pour s curiser la fabrication et l utilisation des substances chimiques dans l industrie europ enne Il s agit de recenser d valuer et de contr ler les substances chimiques fabriqu es import es mises sur le march europ en 8 InVS Institut de veille sanitaire ALARA Acronyme de l expre
25. ns class es Ce d cret introduit notamment un r gime d enregistrement pour la rubrique installation de combustion 2910 B pour certains combustibles entre 0 1 et 20 MW Arr t du 1 juillet 2013 modifiant les arr t s de prescriptions g n rales applicables aux installations class es soumises d claration sous les rubriques n 1158 1310 1311 1330 1531 1412 1413 1414 1432 1433 1434 2160 2550 2551 2552 2930 et 2940 Arr t du 1 juillet 2013 modifiant les arr t s de prescriptions g n rales applicables aux installations class es soumises d claration sous les rubriques n 1111 1136 1138 1172 1173 1435 1510 2220 2351 2415 2510 2562 2564 2565 2570 2710 1 2710 2 2711 2716 2718 2781 1 2791 2795 et 2950 Ces deux arr t s d finissent notamment les points de contr le relevant des non conformit s majeures D cret n 2012 384 du 20 mars 2013 modifiant la nomenclature des installations class es Ce d cret cr e quatre rubriques dont la rubrique n 1132 qui concerne les toxiques pr sentant des risques d effets graves pour la sant en cas d exposition prolong e fait le point sur les pratiques addictives les substances psychoactives et les risques professionnels li s leur consommation Elle d taille la d marche de pr vention mettre en place et pr sente galement le contexte r glementaire ee ee EVRP l application EVRP permettant la cr at
26. rs Le sauveteur secouriste du travail est arriv sur les lieux et a fait vacuer car de la fum e blanche s chappait du cong lateur Analyse de l accident Les d bris retrouv s sur les lieux ont permis d tablir l origine de l explo sion Une bofte plastique tanche servait d emballage secondaire aux pr l vements biologiques plac s dans de la carboglace PRODUIT eLa carboglace CO sous forme solide se sublime des temp ratures sup rieures 78 C Le stockage dans un cong lateur 20 C na donc pas emp ch son retour en phase gazeuse ou sa sublimation l augmentation de volume d au changement d tat physique a fini par provoquer l ex plosion de l emballage secondaire et a entra n par effet domino celle du cong lateur MAT RIEL e Le cong lateur avait une ancienne t de plus de 20 ans et contenait du fr on PERSONNEL e Le personnel de la r ception avait pour consigne de ne pas ouvrir ce type de colis e Par ailleurs ce personnel ne connaissait pas les pr cautions prendre lors de l utilisation de la carboglace peu de pr l vements arrivent dans de la carboglace M THODE e n existait pas de protocole for malis d envoi d chantillons ni de protocole de s curit charge ment d chargement MESURES DE PR VENTION PR CONIS ES e Revoir les proc dures de r ception des chantillons biologiques horaires personnes en charge de la r cep tio
27. s travaux pour adapter le r glement REACHS aux nanomat riaux La r glementation relative la d claration des substances l tat nanoparticulaire introduite dans le code de l environnement est une initiative fran aise qui marque une avanc e dans la connaissance des fili res de fabrication d importation et de distribution Ce dispositif va permettre galement de r aliser des valuations des risques pour Z O S gt LL Li u 5 S 2 Q les travailleurs les populations et l environnement On peut citer galement deux pro jets importants visant accro tre les connaissances Le programme NANOGENOTOX 2008 2013 coordonn par l ANSES vise fournir la Commission euro p enne une m thode de d tection du potentiel g notoxique des nano mat riaux Les minist res en charge de la sant et du travail ont confi l InVS la mise en place d un dispositif de sur veillance pid miologique d nom m dispositif EpiNano qui entre en phase de r alisation d s la fin 2013 Les probl matiques mergentes r sultent du manque de connais sances sur la toxicit et les effets biologiques des nanomat riaux ainsi que des difficult s caract ri ser les nanomat riaux et mesurer les expositions Quelles difficult s rencontrez vous Il existe des besoins importants en mati re de recherche en toxicolo Bo te gants sous atmosph re d argon
28. seignements et inscription http ulisse cnrs fr Textes r glementaires OGM Arr t du 5 mars 2013 portant cr ation d un traitement automatis de donn es caract re personnel relatif la d mat rialisation des proc dures d agr ment ou de d claration des projets d utilisation d organismes g n tiquement modifi s en milieu confin des fins d enseignement de recherche et de d veloppement pr vues par les dispositions du chapitre ll du titre llldulivre Vdela partie r glementaire du code de l environnement Les d clarations d utilisation ou les demandes d agr ment d utilisation sont remplir en ligne via l application DUO Avant de constituer le dossier il est fortement recommand de lire attentivement les informations contenues dans le mode d emploi de l application DUO ainsi que dans le guide du M E SR partie Pratique et dans le manuel du H C B ICPE Arr t du 24 septembre 2013 relatif aux prescriptions g n rales applicables aux installations relevant du r gime de l enregistrement au titre de la rubrique n 2910 B de la nomenclature des installations class es pour la protection de l environnement Cet arr t d finit l ensemble des dispositions applicables aux installations de combustion soumises enregistrement en 2910 B Br ves de paillasse ED6147 INRS cette D cret n 2013 814 du 11 septembre 2013 modifiant la nomenclature des installatio
29. ssion anglophone As Low As Reasonably Achievable qui signifie aussi bas que raisonnablement possible 10 ECHA Agence europ enne des produits chimiques Ulisse et le conseiller la s curit au trans Exigences r glementaires Toute entreprise tout tablisse ment public ou priv qui exp die ou qui recoit des produits dange reux est tenu de se conformer un ensemble de r gles garantissant e la s curit de ses envois e la s curit des personnels ayant exp dier ou recevoir ces produits dangereux ela s curit des op rateurs de transport e et la s curit de la population qui pourrait tre amen e entrer en contact avec ces produits lors de ces transferts Laboratoire de glaciologie et g ophysique de l environnement Groenland 2006 mat riel de mesure et de carottage en provenance de Grenoble e les personnels impliqu s soient form s et ma trisent ces prescrip tions chapitre 1 3 1 de l ADR ou 1 5 1 de la r glementation IATA e l entreprise tablissement soit conseill e chap 1 8 3 de l ADR voir extraits ci contre par une personne form e professionnelle ment dipl m e CSTMD Ulisset et les TMD Ulisse unit de service de l IN2P3 jusqu au 30 juin 2013 a t int gr e le 1 juillet 2013 aux services de la DGD R du CNRS Philippe Brion direc teur d Ulisse a t nomm conseiller TMD du CNRS aupr s du DGD R ce titre il
30. tion 15 2 7 p Chute d objet 6 1 1 Membre inf rieur 134 24 Heurt 22 3 9 5 7 8 8 12 113 en 20110 5 Manutention manipulation 47 d entre eux sont li s de la e d placement de mat riels impo sants mobilier 10 cas machines ou quipements scientifiques 6 res ordinateurs 3 e port de charges cartons colis 9 bidon de 20 litres de d chets chimiques bidon d eau de 20 litres collection de plantes chargement d une poubelle de d chets animaliers de 130 litres sacs de d contamination cong lateurs Manutention 12 Autres e Chute d objets e Faux mouvements Si ge des l sions el tronc 73 d entre eux sont li s de la manipulation e de verrerie 18 pipette Pasteur 4 fiole Erlenmeyer 2 ampoule 2 lame 2 yeux e d outils main perceuse 4 scie 3 scalpel 2 tour E TUE UE dem 5 e de produits chimiques 7 dont azote liquide 2 pied e d objets tranchants cutter 2 ciseaux opinel Seemee 3 e de bois chardes de canalisation d jointage arbre r dac e de c bles 3 de t les d un s lecteur m canique RE e de bouteilles de gaz 2 e d un microtome vide 1 e de rongeurs TOTAL Par sexe en service en mission 91 chutes de personnes d clar es en accidents de service e 95 d placements pied dont certains dans les escaliers 32 sur un sol glissant 12 ou encombr 8 e 4
31. tre mis en cause assez facilement lorsqu il n a pas accompli les dili gences normales encore faut il que sa n gligence soit directement la cause du dommage Ce type de faute peut plus facilement se concevoir de la part d une personne qui proc de des manipulations par exemple qui oublie de fermer une bouteille de gaz provoquant une explosion que de celle charg e d une mission de conseil ou d assistance l auteur indirect quant lui peut certes voir sa responsabilit p nale engag e alors m me qu il est plus loign du dommage Mais n ou blions pas que pour que l infraction soit caract ris e il doit n cessai rement disposer de l autorit des moyens et des comp tences Julie ZELER Responsable du p le Responsabilit p nale et maitrise des risques Direction des affaires juridiques du CNRS my Julie ZELER cnrs dir fr MONTPELLIER e 19 20 mars 2014 S minaire et festival du film sur la sant au travail e mail fondation univ montp1 fr Site Web www rencontresvillerme com ga SAINT MALO FR eur JH e 26 28 mars r ina 2014 Durant ces 1 14 jo urn e SUF Meur moyens a is en e des risques au travail preventica com MW preventica com Formation COLE TRANSPORT DE MAR CHANDISES DANGEREUSES 2014 Ly on di LE tions et des livraisons ULISSE Unit de logistique internationale service et soutien aux exp riences Ren
32. ue au d tecteur de physique de 30 tonnes Compos e de treize agents elle est m me de r pondre tous vos questionnements Philippe BRION Directeur d Ulisse Conseiller TM D du CNRS are O Dom Mati res et objets explosibles 4 1 Mati res solides facilement 5 1 Mati res comburantes solides Mati res comburantes liquides 5 2 Peroxydes organiques 6 1 Mati res toxiques 6 2 Mati res infectieuses inflammables Duc e mati res autor actives e mati res explosives a radioactives flegmatis es 4 2 Mati res pyrophoriques so lides mati res pyrophoriques liquides mati res auto chauf fantes 4 3 Mati res qui au contact de l eau mettent des gaz inflammables Q 0 a ru Mati res corrosives Mati res et objets dangereux divers 1 Unit de logistique internationale services et soutien aux exp riences 2 D claration de transport de marchandises dangereuses 3 La prochaine formation aura lieu Lyon du 31 mars au 4 avril 2014 ques l unit propre de service d Orl ans TAAM Lutte contre les troubles musculo squeletti Transgen se Archivage d Animaux Mod les Y Le TAAM est une des plus importantes unit s de service de l Institut des sciences biologiques du CNRS Le laboratoire offre un ensemble de services aux quipes qui utilisent le mod le animal souris pour la recherche fondamentale ou l innovation biom dicale et pharmaceutique dans le secteur
33. uteur ne peut voir sa res ponsabilit engag e qu certaines conditions le l gislateur distingue selon que les actes en cause sont l ori gine directe ou indirecte du dommage La faute d un agent est la cause directe du dommage lorsque cette cause est unique exclusive de toute autre faute ou encore la cause imm diate essen tielle ou d terminante du dommage Dans ce cas une faute dite simple de sa part suffira engager sa res ponsabilit p nale Mais une autre condition est requise celle de n avoir pas accompli les diligences normales compte tenu de la nature de ses mis sions ou de ses fonctions de ses com p tences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait Par exemple le reproche adress la pr venue institutrice charg e de l encadrement des enfants victimes du l cher des eaux d un barrage en amont de leur site d observation de n avoir pas fait l acquisition d une carte d taill e et de n avoir pas effectu une tude approfondie de la topographie des lieux manifeste le plus total irr a lisme seules les diligences normales devant tre exig es d une simple insti tutrice et non pas des diligences rele vant de la comp tence d un officier d tat major dont l activit consiste la recherche l analyse des menaces et des moyens d y rem dier CA Lyon 28 juin 2001 sur renvoi apr s cassa tion Crim 12 d cembre 2000 Des conditions plus strictes sont requises pour mettre en
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