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Journal officiel du lundi 12 novembre 1990

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1. DESATS OU SENAT Compte rendu 1 Questions muss ERR 1 Teble compte rendu Teble questions DOCUMENTS OE L ASSEMSLEE NATIONALE S rie 1 an S rie budg taire 1 an DOCUMENTS DU SENAT ABONNEMENTS FRANCE et outre mer ETRANGER Frenca Lee DESATS de L ASSEMSLEE NATIONALE font l objet de deux ditions distinctes 08 compte rendu int grs dss s ances 33 questions crites et r ponses des ministres Lee DEBATS du SENAT font l objet de deux ditions distinctes 08 compte rendu int grsi dss s ances 96 questions crites et r ponses des ministres ee DOCUMENTS de L ASSEMSLEE NATIONALE font l objet de deux ditions distinctes 07 projets at propositions ds lois rspports at avis des commis atones 27 projets de lois de finsnces Lee DO SUMENTS OU SENAT comprannent les projets et proposi tions de iois repports et avia des commissions DIRECTION DES JOURNAUX OFFICIELS 26 rue Desaix 76727 PARIS CEDEX 18 TELEPHONE STANDARD 1 40 58 75 09 ABONNEMENTS 1 40 88 77 77 TELEX 20119 F DIRJO PARIS An cae de changement d adresse joindre une bande d envoi votre demande Tout peiemant commends facilitere son ex cution Pour exp dition per voie s rienne outre mer et l tranger peiament d un suppl ment modul selon is
2. Ansellia Robert 35447 industrie et am nagement du territoire Asesel Fran ois 35569 Premier ministre 35570 Industrie et am nagement du territoire Aaberger Philippe 35555 agriculture et for t 35656 handicap s et accident s de la vie Audiaot Gautier 35643 conomie finances et budget Aetexler Jean Yves 35448 logement 35449 logement Bachy Jeaa Paul 35450 quipement logement transports et mer Balkaay Patrick 35624 affaires sociales et solidarit 38644 co nomie finances et budget 35649 ducation nationale jeunesse et sports Balligan Jean Pierre 35451 budget Bapt G rard 35488 handicap s et accident s de la vie Barnier Michel 34473 ancien combattants et victimes de guerre Bassinet Philippe 35452 logement Bayard Henri 35375 affaires trang res 34376 agriculture et or t 35377 affaires sociales et solidarit 38378 travail emploi et formation professionnelle 35497 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 35540 affaires europ ennes 35541 industrie et am nagement du territoire 34615 affaires sociales et solidant 35616 ducation nationale jeunesse et sports Beaumont Ren 15404 int rieur 35476 commerce et artisanat Roland 35454 travail emploi et formation professionnelle Bequet Jean Pierre 35453 culture communication et grands tr
3. Imp t sur le revenu revenus fonciers 38816 12 novembre 1990 M Emile Kehl demande M le miaistre d l gu au budget s il a l intention de diminuer le parc locatif priv en ramenant de 10 5 p 100 le taux de d duction forfaitaire sur les revenus fonciers Cet abaitement r guli rement lamin il atteignait 30 p 100 il y a vingt ans est cens compenser certains l ments non d ductibles du co t du loyer tels que l amortissement de l immeuble les frais de gestion et les primes d assurance De plus le principe de non r tro activit est encore une fois bafou puisque le nouveau taux de 5 p 100 s appliquera aux revenus pour 1990 11 rappelle que dans son dernier rapport sur l volution r cente des revenus en France 1986 1988 le C E R C centre d tudes des revenus et des co ts a estim en moyenn que la performance r elle glo bale plus values comprises d un placement immobilier a t peine sup rieure 100 par an depuis 1987 Conclusion aujourd hul on s enrichit davantage en dormant avec des Sicav mon taires Imp t sur les soci t s d clarations 35544 12 novembre 1990 M Jacques Fszran appelle l at tention de M le ministre d l gu au budge sur la difficult dc d termination des obligations fiscales pesant sur une indivision exploitant des locaux commerciaux donn s bail des profes sionnels Cette indivision non conventionnelle organis e suivant le
4. Transports routiers et fluviaux Travail empioi et formation professionnelle 0699589941469 9041590909898409990992349920088054882028946698a84460200988246909446000204800400429202 9 Ro DU DO 0000 000000000000 00000000 000000000408 000000000004 EEFE E doom 9464902209804 02999990888802009080 6 649999004909452000 00082949454298049909080929092 0001100 04 09 v09480200909g0904690090000000020009410990000000800024908902 0690290900904008 499929 DROIT DA 00 0 000000000000 0600000000 000009000000 040000000000 00404 0110000000 000000 04000600 00400 000000040000 000000400000 0000 ADD A0 NN Ve to entr tee eee eee eat 89949980 ste 5 000010 000000000000 000000000400 0060000 00000000 tstte etes seuce 011100 200000000000 000000000000 0000004900 907004004008 064000000000 00008 12 novembre 1990 5172 5176 5178 5179 5180 5180 5183 5185 5187 5189 5190 5190 5190 5190 5191 5192 5192 5197 5197 5199 5200 5201 5202 5203 5208 5208 5210 5211 5211 5212 5212 5212 5212 5213 5213 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 3 R ponses des ministres aux questions crites Index alphab tique des c put s ayant obtenu une ou plusieurs r ponses Cor I Cmm TR DIRE T QN conneries iO Mar Affairee sociales et soliderit m Anciene combettants et victimes de guerre Budget
5. Brune attire latten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur la situation des retrait s francais ayant exerc leurs activit s au Cameroun et pour lesquels les cotisations vers es donnent logiquement droit en France la retraite C N P S Cameroun ce jour les autorit s camerounaises refusent toujours de signer le texte qui permettrait la liquidation des droits En cons quence il lui demande de bien vouloir lui communiquer es motifs de ce refus ainsi que les d ma ches envisag es afin de rem dier cette situation Professions lib rales politique et r glementation 35469 12 novembre 1990 M Fran ois Michel Gognot attire l attention de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur le dispositif de concertation qui a t mis en place au sujet du projet de modification des dispositions du code de la s curit sociale concernezi les conseils d administration des organismes du r gime g n ral de la s curit sociale Il est regret table de constater nouveau que certaines cat gories sociales importantes n ont pas t consult es C est le cas notamment des professions lib rales 11 demande les raisons pour lesqueiles ces derni res n ont pas t associ es la pr paration de ce projet alors qu elles sont pleinement concern es D une mani re plus g n rale il repose galement la question de la repr sentation des professions lib rales dans le cadre
6. la question 9 de la commission 2 lors de la journ e d tudes et d information Nantes le 19 mars 1985 organis e par D G R P du minist te de l conomie des finances et du et ayant pour th me Les pi ces justifica tives des d penses des collectivit s locales R ponse Le paiement des summes dues au titre des march s des collectivit s locaies est effectu par le comptable public assi gnataire conform ment aux clauses des contrats ex cutoires et au vu des pi ces justificatives pr vues la nomemclature annex e au d cret 88 74 du 21 janvier 1988 Or l attention de 1 rable parlementaire est appel e sur le fait qu aucune disposition r glementaire et notamment aucune r gle de 1 comptabilit publique n exige que les pi ces justificatives produire pour le paiement des acomptes parmi lesquelles figure le proc s verbal ou certificat administratif de service fait fassent mention du montant total du march Les paiements cons cutifs le tion d un march de ciient le ne soul vent donc pas de me articulier Par ailleurs une r forme est en cours visant all ger es justificatifs fournir pour le paiement des acomptes concurrence de 70 p 100 du montant initial pour les march s des collectivit s locales en alignant leur r gime sur celui de l Etat Enregistrement et timbre mutations de jouissance 34139 8 octobre 1990 M Louis Colombani att
7. dans la r gion Ile de France constitue une charge d duc tible des revenus professionnels imposables l imp t sur le revenu et des b n fices des soci t s soumises l imp t sur les soci t s Toutefols s agissant d un imp t d Etat elle ne peut tre d duite dez revenus bruts fonciers Afin de ne pas d favoriser les propri taires bailleurs imposables dans cette cat gorie le Gouver nement d cid de proposer au Parlement dans e cadre du projet de loi de finances pour 1991 de rendre cette taxe d duc tible des revenus fonciers Cette mesure va dans le sens des pr occupations exprim es par l honorable parlementaire Jeux et paris leto 34107 8 octobre 1990 M Jean Paul Cailoud appelle l at tention de M misistze d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur les cons quences n fastes que poir rait avoir une d cision de suppression des points de validation du icto dans des zones rurales isol es o ils contribuent au main tien d une animation certaine bien que ces points de vente ue r alisent pas bien videmment un montant d enjeux important 1 lui demande dans ces conditions s il ne lui serait pas possible de contribuer au maintien de cette activit en tenant Cornpte du r le qu elle joue dans lesdites zones rurales R ponse Le r seau des d taillants de la soci t France Loto comprend 13 340 lie quip s de valideuses permettant d enre per les enjeux du Loto ce qu
8. 7 du d lai d examen initial quand une d cision n a pu tre rendue dans le d lai l gal R ponse Les commissions d partementales institu es par la loi n 89 1010 du 31 d cembre 1989 vot e par l honorable parle mentaire relative la pr vention et au r giement des difficult s li es au surendettement des particuliers ont t saisies d un nombre tr s important de dossiers d s la mise en place de la ure le ler mars dernier Conscient des difficult s inh fentea la p riode de d marrage de la proc dure le secr taire d Etat charg de la conaommation a adress une lettre au pr si dent de l association fran aise des tablissements de cr dit pour recommander aux tablissements de cr dit de r pondre le plua rapidement possible aux demandes ou propositions qui leur sont sw 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE faites dans le cadre de la proc dure amiable et demander qu en tout tat de cause ils n entament pas d op rations de recouvre ment l issue du d lai de deux mois tant que la recherche d un accord amiable n est pas termin e Par ailleurs ies articles ler 10 et 11 de la loi permettent d une part la commission de saisir le juge d instance aux fins de sus ion des voies d ex cution qui seraient diligent es contre le iteur d autre part au d bi teur de demander au juge de prononcer la suspension provisoire des dures d ex cution pour une dur e de deux mois r
9. M Auguste Legros appelle l at tention de M le Prernier ministre sur les que ren contre la ville de Chanteloup les Vignes Yvelines dans le cadre de la politique de d veloppement social urbain confront e des probl mes sociaux d int gration et de d linquance particuli re ment graves dont les m dias se font r guli rement l cho Les probl mes de cette ville qui fait partie du dispositif de d velop pement social urbain sont encore aggrav s par un d ficit budg taire structurel certes en diminution mais qui la place sova tutelle budg taire une ins curit croissarte faute de moyena de police suffisants st des retards consid rables dans les versements des subventions aux associations Il lui rappelle que lors de son intervention l occasion du colloque Villes en marche le 28 sep tembre dernier il a r affirm toute l importance accord e aux associations dans la politique de la ville Dans le m me discours il a d nonc les lenteurs administratives qui ont entra n une interruption d activit dans cette m me ville Il lui demande de 12 novembre i990 lui pr ciser les d marches qu il SMS entreprendre pour per mettre aux associations locales de o n ficier avant la fin de l ann e 1990 des plus de 5 millions de francs de subventions actuellement en attente et dont pr s d un tiers est ant rieur 1990 et qui correspondent en grande partie des actions entre prises respectivement de
10. M le miaistre de l industrie et de l am nagement du terri tolre quel a t pour 1989 le tonnage de minerai d or produit en France et quel tait ce tonnage en 1979 Urbanisme C O S 35570 12 novembre 1990 M Fran ois Asessi interroge M le miaistre de l industrie et de l am ssgement du terri toire sur l utilisation abusive du coefficient d occupation des sols dans le cadre d op rations d urbanisme associant partenaire public et priv En effet on sait que les plans d occupation des sols pr voient d autoriser pour la construction d quipements publics des d passements du C O S comparativement celui fix pour les immeubles usage privatif Or cette r gle se trouve parfois d tourn e dans le cadre d op rations d ubanisme mixtes C est le cas Aulnay sous Bois 93 dans le cadre de l op ration de r novation du centre gare o les m tres carr s publics ont t d tourn s en toute l galit de leur destination pour tre utilis s sur les b timents affect s au secteur priv psssant de 1 8 2 3 I lui demande quelles mesures il compte prendre pour emp cher ue les d passements du C O S n entra nent des vis es sp cula tives et soient maintenues dans leur destination d int r t g n ral Sid rurgie entreprises Meuse 38873 12 novembre 1990 M Le Mear attire de nouveau l attention de M le de l industrie et de r t da territoire sur les nouveaux licenciemen
11. ia consommation s il lui est pos sible d indiquer le nombre des employ s affeci s par la Banque de France d partement par d partement aux travaux des com miasions d partementales d examen des situations de surendette ment des particuliers et quel est le co t qui en r sulte pour cet tablissement Consommation associations 34415 12 novembre 1990 M Louis de Broissia demande Mime le secr taire d Etat ia consommation s il lui est pos sible de pr ciser d partement par d partement le montant de l enveloppe ap cifique destin e aider les associations de consommateurs qui participent aux travaux des commissions d partementales es situations de surendettement des particullers Pauvret surendettement 35416 12 novembre 1990 M Louis de Broisela demande Mms le secr taire d Etat la consommation s il existe des statistiques concernant les r sultats obtenus par les commissions rtemeatales d examen des situations de surendettement ces particuliers et dans l affirmative d en pr ciser les r sultats ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Pauvret surendettement 35429 12 novembre 1990 M Dominique Gambler attire l attention de Mme le secr taire d Etat ia consommation sur les remboursements de plusieurs cr dits immobiliers dans le cadre de la loi de surendettement En effet ces emprunts sont garantis par des hypotn ques de rangs diff rents qui ont pour effe
12. pr server les ressources des personnes handicap es hospitalis es ou h berg es en maison d accueil sp cialis e et favo iser leur r in sertion sociale l issue du s jour En cas d insuffisance de res sources l aide sociale peut prendre en charge le forfait journalier sans que soit mise en cuvre la proc dure de recours contre les d biteurs d aliments Handicap s allocation aux adultes handicap 31703 23 juillet 1990 M Louls Pierna demande M le miaistre de solidarit de saat et de p soclale de lui faire connaitre les r sultats de l examen appro fondi diligent par son minist re en 1981 quant la possibilit d accorder le b n fice de l allocation aux adultes handicap s aux personnes de nationalit trang re handicap es En effet cette possibilit n existe actuellement que pour les ressortissants des pays ayant conclu avec la France une convention pr voyant la r ciprocit des avantages consentis aux personnes handicap es Or tous les salari s trangers sont soumis comme les salari s fran ais l obligation de cotiser aux diff rents r gimes de pres tations sociales Aussi il n est pas soutenable de continuer ta blir une discrimination Question transmise M le secr taire d Etat aux handicap s et aux accident s de ja vie R ponse L allocation aux adultes A A H est une prestation non contributive financ e par le budget de l Etat El
13. tudiantes et l I N S E E un indice social tudiant qui servira de r f rence pour la connaissance des d penses qu engagent les tu omAmstourt De ww ch 6242 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 diants au cours de l ann e universitaire Par ailleurs dans un il r alis e ne leur ont pas t communiqu s En cons quence il souci d all ger les contraintes financi res qui p sent sur l tu diant il est pr vu d chelonner le paiement des droits universi taires et d tudier la possibilit d instauration d une carte orange tudiant pour l lie de France De plus une r flexion va tre conduite avec le minist re de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la cr ation d un fonds d action sanitaire et sociale visant aider les tudiants en difficult La mise en uvre de ces diff rentes mesures sera l occasion de revoir l orga nisation g n rale de l attribution des aldes par le biais de l insti tution d un dossier social unique permettant de statuer globale ment sur les diff rentes aides demand es par l tudiant L ensemble de ce pla social en faveur des tudiants sera trait avec la volont r affir 1 e du minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des si orts d associer les repr sentants tudiants aux diff rents stades des projets en cours La subvention de 3 MF qui conform ment aux dispositions de la loi d orientation sur l ducation du 10 juille
14. 12 novembre 1990 M Philippe Bassinet attire l at tentlon de M le misistre d l gu au logement sur la situation des locataires de la cit jardin de la Butte Rouge Ch tenay Malabry Dans cette cit une r habilitation de l ensemble des logements a t engage depuis deux ans Une convention sign e le 8 septembre 1987 et icable jusqu au 30 juin 2021 entre le repr sentant de l Etat et le pr sident de l Office d partemental H L M autoris l application du loyer maximum Pour des logements dont la surface corrigte est rest e inchang e les loyers ont augment de 41 1 p 100 en sus des augmentations annuelles ailes De nombreux locataires sont ainsi contraints au d part et cette situation est loin d tre exceptionnelle en r gion parisienne Les offices H L M indiquent bien aux locataires qu ila pourront b n ficier de l A P L mais les bar mes appli cables excluent du b n fice de celle ci la majorit des habitants concern s En cons quence il lui demande d une part quelles mesures il entend prendre pour viter d en arriver une telle extr mit tout en assurant aux organismes H L M les ressources n cessaires au hon entretien des cit s et d autre part si un r a m nagement des bar mes permettant de b n ficier de l A P L est envisag B timent et travaux publics construction 35491 12 novembre 1990 M Jean Paul Caiioud appelle l attention de M le ministre d l gu au logeme
15. 29092 28 mai 1990 M Michel Baraler appelle l attention de M le ministre d Etat miaistre de l ducation aationale de la et des aporta sur le souhait exprim par le Comit national olympique et sportif fran ais C N O S F de voir adopter des mesures efficaces afin que le sport l cole se voit enfin reconnaltre la place qui doit tre 1 sienne En effet la r cente loi d orientstion sur l ducation n a pr vu aucune disposi tion pour que les i ves b n ficient effectivement de cinq heures d ducation physique et sportive fix es par les programmes Il lui demande donc s il env sage de prendre les mesures n cessaires afin d am liorer la formation des instituteurs dominante spor tive de permettre l affectation dans chsque tablissement d un instituteur sinsi form pour sssurer la coordination de 5 dans les co es et enfin de revoir l organisation des horsires tenant compte des besoins des enfants tels qu ils ont t d finis par les tudes scientifiques des chronobiologistes R ponse Le ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports est pleinement conscient de l importance de l ducation physique et sportive dans l ducation des enfants Les horaires qui lu sont consacr s le nombre de formateurs et de conseillers p dagogiques sp cialis s qui ont en charge son d veloppement t moignent de cet int r t Les r sultsts des efforts consacr s
16. attire l atten tion de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur les pr occupations actuelles de la profes sion des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs En premier lieu la valeur de la lettre cl A M M n a pas volu depuis mars 1988 Conform ment au texte de la coavention nationale les n gociations tc fsires avec les caisses d assurance maladie ont t engag es d s le moia d avril 1989 Un accord sur la base de revalorisation tarifaire en est issu mais n a toujou s pas t ent rin par Gouvernement Par ailleurs le minist re n a tou jours pas donn son avis sur le projet de nomenclature des actes de kin sith rapeutes vot par la commission permanente de la nomenclature des actes de kin sith rapeutes L int r t du malade est directement en cause puisque la nomenclature date de 1972 et que depuis les techniques ont volu de telle mani re qu il n est plus possible d appliquer les m mes traitements il lui demande en cons quence de bien vouloir lui pr ciser quelles sont ses intentions concernant ces deux probl mes 5222 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31493 9 juiliet 1990 M Robert Cazaiet attire l attention de M le ministre de ia solidarit de la sant et de la protec tien sociale sur la situation actuellement bloqu e des masseurs kin sith rapeutes
17. du co t pour les objets class s parmi les monuments historiques et de l ordre de dix quinze pour cent pour les inscrits sur l inventaire suppl mentaire des monuments historiques Enfin sur le plan de In r pression la collaboration de plus en plus troite avec le minist re de l int rieur et notamment l Office central pour a r pression du vol d uvres et objets d art s av re fructueuse et a is r cemment de retrouver un certain nombre d objets vol s initiatives sont prises en vue d une action concert e des dif f rents services de l Etat en iiaison avec les autorit s eccl sias tiques pour ce qui est du pr religieux Le probl me est examin gaiement dans 1 perspective europ enne Afin de rendre plus efficace l intervention de cas vols de nouvelles proc dures ont t mises en place avec de mani re plus syst matique constitution de partie civile de i Etat Arm e casernes camps et terrains Aveyron 33349 10 septembre 1990 M Jacques Go fraln rappelle M le ministre de ja d fense que sur le plateau du Larzac le camp militaire de La Cavaierie cxiste depuis le d but du si cle o sa surface tait de 3 000 hectares Le minist re de la d fense ayant renonc la porter 14 000 hectares une partie des acqui sstions frites alors par l arm e fut confi e une soci t civile qui a lou ces terrains un certain nombre d agriculteurs Quoi qu il en soit l poque
18. en plein centre de la cit H L M lui rappelle enfin que la ville de Chanteloup les Vignes sous tutelle budg taire depuis 1977 ne connalt ce jour toujours pas son budget primitif pour 1990 ce qui en plus de ses moyens tr s insuffisants ne permet pas un fonctionnement satis Pant et il s inqui te du devenir conomique et social de cette ville D linquance et criminalit lutte et pr vention 34496 12 novembre 1990 M Henrl Cuq appelle l atten tion de M le ministre de l int rieur sur les probl mes de s cu rit et de tension qui se posent actuellement dans un certain nombre de villes et de quartiers et dont l actualit a t brutale ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 ment rappel e lors des v nements de Vaulx en Velin 11 lui indique par ailleurs que la ville de Chanteloup les Vignes qui compte 10 000 habitants dont 80 p 100 vivent dans une cit H L M situ e dans les Yvelines est aux prises avec des pro bl mes quotidiens de d linquance et d ins curit d s pour l es sentiel un manque de moyens humains policiers et financiers mais aussi des carences certaines au niveau du suivi jurdiciaire des dossiers lui demande de iui pr ciser les moyens qu il compte mettre en uvre pour faire face avec d termination une d linquance qui commence envahir la vie de tous les jours des habitants des quartiers d favoris s et qui faute de traitement pourrait entra ner des c
19. volu de telle facon qu il est impossible d appliquer ies m mes traitements li lui demande les mesures qu il compte prendre pour qu aboutissent ces dossiers le cadre de sa politique de revalorisation des professions de sant Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 29630 4 juin 1990 M Andr Durom a s tonne aupr s de M le ministre de 1 solidarit de aant et de la protec tion sociale du fait que l accord conclu entre les caisses natio nsies d assurance mai adis les organisations professionnelles repr sentantes des kin sith rapeutes n ait toujours pas t avalis p le Gouvernement 11 lui rappelle que les revenus suss bien ruts que nets de ces professionnels baissent chaque ann e et ils attendent une remise niveau toujours promise jamais appli Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune p 5223 spr s la Question n 33736 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5221 qu e 11 lui signale galement que le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie est toujours en attente de l avis de son minist re 11 lui demande donc ce qu il compte faire pour ratifier l accord et permettre ainsi au chiffre cl A M M de rattraper le co t de la vie et pour accepter rapidement l application d une nouvelle nomenclature dont les termes restent d finir Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30177 18 juin 19
20. 35508 int rieur ministre d l gu gb Philippe 7 agriculture et for t re 34875 Premier ministre 35576 int rieur 35577 udget Lengegne Guy consomma L otard F sa 585 jrr 35390 d fense 35391 dente d fense 34994 d fense MAM Premier ministre 35495 budget 38496 er 35502 ducation nationale jeunesse et sports 36530 Premier ministre En handicap s et accident s de la vie Lember 6 quipement logement transports et mer 35511 M pera transports et 35512 d fense budget 1 culture communication et grands travaux 35647 ducation nationale jeuneste et sports 35660 handicap s et accident s de 1a vie G rard 35552 postes t l communications et espace M Meg lim Alala 35803 38578 Premier ministre 35879 va budge 35615 affaires socisles et solidarit Ms rille a LM anciens combattsnts et victimes de famille et personnes g es D mer 35372 agriculture et for t 35361 conomie finance es et M y d se 35435 Mahy M qm Jean Leute 35423 ducation nationale jeunesse et nement ention des risques technologiques et naturels M de Gaswet Joseph Henri 35395 conomie finances et Georges 35429 affaires europ ennes Meyiss budget 34405 hand icap s et accident s de vie 38477 d fense G rard 35368
21. 35614 affaires sociales et solidarit Proriol 35537 affaires europ ennes 35538 affaires aociales et solidarit 35539 affaires sociales et solidarit 35630 anciena combattants et victimes de guerre 35633 anciens combattants et victimes de guerre 35664 jeunesse et sports R Raoult Eric 35427 d fense 35568 Premier ministre Reiner Dasiel 35442 anciens combattants et victimes de guerre Rockebli ine Francois 35533 justice 35834 agriculture et fort Rodet Alain 35595 conomie finances et budget Ross Andr 35374 agriculture et for t S Sapia Michel 35444 budget Spiller Christiaa 35386 sant Stirbots Marie France e fines 35524 Premier ministre 35601 int rieur 35602 amp conomie D inances et budget 35603 quipement logement transports et m Sablet Marie Jos phe 35370 ducation nationale jeunesse et sports T Paal Louis 35612 sffaires sociales et solidarit 35613 affaires sociales et solidarit Terrot Michel 35428 communication 35484 handicap s et acci dent s de la vie Thi m Fabien 55672 travail emploi et formstion professionnelle V Vachet L on 35621 affaires sociales et solidarit Vigmobie G rard 35658 handicap s gt El de la viz Vivien Alala 354485 justice 35446 b Voisia Michel 35600 35600 affaires P solidarit W
22. Cependant la fixation tardive du taux directeur l adoption de mesures hors taux directeur post rieures la diffusion de la circulaire budg taire ainsi que la complexit des proc dures ont parfois eu pour effet d allonger ces d lais Quelle que soit l origine des retards il convient de souligner qu ils ne portent pas pr judice aux h pi taux En effet l article 17 de d cret du 11 ao t 1983 compl t par d cret no 88 1199 du 28 d cembre 1988 et par d cret n 89 998 du 22 d cembre 1989 autorise dans l attente de l ap probation du budget l engagement la liquidation et l ordonnan cement de d penses de fonctionnement et d investissement Par ailleurs l article 37 du m me d cret pr vu le versement par 1 caisse pivot de la dotation globale sous forme d acomptes men suels gaux au douzi me de la dotation globale de l ann e pr c dente En outre l h pital est autoris facturer d s le 1 janvier de l ann e budg taire sur la base des tarifs de l exercice pr c dent Les modifications calendaires ainsi que les mesures d all gement de la tutelle pr vues actuellement par le projet de loi hospitali re devraient permettre de raccourcir les d lais d appro bation des budg ts hospitaliers EDITIONS Titres DEBATS DE L ASOEMSLEE NATIONALE Compte rendu D 9n Questions 1 Teble compte rendu Teble questions
23. M Consommation Culture communication et grands traveux v eom nM aser lil ll ee cc s cR D partementa et territoiree d outre mer ss eese een nantes hides osse eesea sis dida eese conomie finances 6t DBudgBt NMTOTTR Education netions e jeuneeae et Equipement logement transports et e annt Fonction publique et r formes administrativea ss Hendicap s et accident s de la matres nerd tete te tana d Postes t l communications et sise enhn here eet s seen seses lj PN CMS ue ccc c RESP As cc pe ccm 5171 5172 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 1 LISTE DE RAPPEL DES QUESTIONS publi es au Journal officiel n 36 A N du lundi 10 septembre 1990 33297 33409 auxquelles il n a pas t r pondu dans le d lai de deux mois PREMIER MINISTRE ENVIRONNEMENT we PR VENTION DES RISQUES Nos 33323 Joseph Henri Maujo an du Gasset 33331 Jacques TECHNOLOGIQUES Godfrain 33355 Alain Griotteray AFFAIRES TRANG RES No 33353 Jacques Farran AFFAIRES SOCIALES ET SOLIDARIT Nos 33317 Charles Miossec 33334 Jean Louis 33340 Charles Millon 33342 Dominique Baudis 3
24. Weber Jean Jacques 35611 conomie finances budget Z 35471 anciens combattants et victimes de guerre Zeller Adrien E 35536 int rieur 38838 culture communication et grands travaux ministre d l gu 5178 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1996 QUESTIONS CRITES PREMIER MINISTRE Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 31760 Xavier Deniau 32163 Jean Charles Cavaill C r monies publiques et f tes l gales comm moration 35494 12 novembre 1990 M Pierre Lequiiier attire l at tention de M ie Premier ministre sur l application et la fixation de certains jours f ri s de notre calendrier A la veille du grand March unique europ en de 1992 et l heure o l Europe poli tique commence prendre forme il propose de d nommer res pectivement les jours f ri s du 8 mai et du 11 novembre par le jour de l Europe et le jour de la paix 11 lui demande donc s il compte adopter cette proposition et la souinettre au Parlement fran ais Audiovisuel politique et r glementation 35524 12 novembre 1990 Mme Marie France Stirbois s tonne de voir quelle faveur se trouve organis e par les m dias officiels la promotion du livre de Gilles Perrault Notre ami le roi Elle se pennet de demander M ie Premier ministre s il entend agir pour que cesse cette campagne de calomnie
25. au budget sur les d ductions des frais r els 11 lui demande si la direction g n rale des imp ts titre de re pratique admet que le montant des frais professionnels soit valu dans des situations comparables d apr s les bar mes concernant les fonctionnaires Imp t sur le revenu charges ouvrant droit r ductior d imp t 38462 12 novembre 1990 M Marc Dolez attire l atten tion de M le ministre d l gu au budget sur les frais entraln s par l installation d une porte de cabine automatique d ascenseur lui rappelle que cette installation impos e par la loi du 5188 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 24 d cembre 1986 est fort on reuse rour les propri taires et que bien souvent elle consiste remplacer des appuis qui taient conformes aux normes en cours au moment de leur mise en ser vice C est pourquoi cette installation ne pouvant tre consid r e par les propri taires comme travaux d am lioration mais plut t comme mise en conformit oblig e il lui demande de bien vou loir lui indiquer s il envisage de leur accorder une r duction d imp t en tenant compte de l importance de la copropri t et de la date de mise en service des appareils pr c dents T V A champ d application 35475 12 novembre 1990 M Jean Pierre Phlilbert attire l attention de M le ministre d l gu au budget sur les am na gements effectu s sur les v hicules terrestres la demande de
26. au printemps de 1989 et formalis par un contrat d ob jectifs entre l Etat et la soci t sign le 20 d cembre demier Ces docume ss pr voient la construction l tranger d un nouveau centre de trois metteurs de 500 kW qui sera implant Djibouti afin de desservir les zones prioritaires que sont l Europe de l Est l oc an Indien la p nirsule arabique le Moyen Orient ainsi que le subcontinent indien Quant la construction d un centre met teur en Tha lande elle est retenue comme une possibilit soumise l obtention des cr dits suppl mentaires que sa mise en uvre exigerait ll est enfin rappel qu actuellement se fait entendre en Extr me Orient en Asie du Sud Est et dans le Paci fique gr ce aux changes de fr quences auxquels elle a proc d avec NHK japonaise et Radio P kin Patrimoine politique et r glementation 32556 6 ao t 1990 M Josph Henri Maujollaa de expose M le minletre de culture de communi cation des grands travaux et du Bicentemaire que p ricdique ment la prese se fait l cho de pillages d objets religieux ou autres e valeur et remontant des temps anciens Or il semble qu aucune mesure de protection ne soit mise en place lui demande ce qu il en est et s il est dans ses intentions de prot ger ces tr sors E La protection des objets mobiliers contre le vol ue une M eb negl essentielle du minist re de 1 culture d
27. avant cet indemnit d adapta tion d un an de pension 2 R F A 100 p 100 pour les trois premiers mois de veuvage 60 p 100 partir de quarante cinq ans 3o Italie 60 p 100 imm diatement si enfanis charge 4o Pays Bas 100 p 100 d s quarante ans 142 p 100 s il y a des enfants 5 Norv ge 100 100 d s le d c s s il y des enfants 6 Su de 100 p 100 d s 1 d c s s il a des enfants sinon cinquante ans 7 Royaume Uni et Irlande pension temporalre d s le d c s quel que soit l ge de la veuve En France le droit pension de r version est ouvert cinquante cinq ans seulement et sous conditions ressources restriction que l on ne trouve nulle part ailleurs lui demande si les indi cations qui dent sont exactes ct dans l affirmative quelles dispositions 11 envisage de prendre afin que les mesures qui exis tent en France en ce domaine se rapprochent le plus rapidement possible de celles plus favorables en vigueur dans les pays cit s 5182 Un alignement m me progressif de notre l gislation en la mati re sur celle de nos partenaires europ ens serait particuli rement es su alors que la date du March unique europ en se rap proche Urbanisme b timents insalubres ou mena ant ruine 35590 12 novembre 1990 M Christian Kert appelle i at tention de M le ministre des affaires sociales et de la solida rit sur l application de la loi n 86 17 du 6 janvier 198
28. certains handicap s pour faciliter la conduite desdits v hicules 1l lui demande si la r cup ration de la T V A est possible tant sur le mat ri i que sur les frais d installation inf rents 11 souhaite galement savoir si l Etat pr voit une aide sp cifique dans omaine Communes finances locales Yvelines L 35495 12 novembre 1990 M Pierre Lequiller attire l at tention de M le mlaistre d l gu au budget sur la situation budg taire de la ville de Chanteloup les Vignes Yvelines Cette ville connalt un d ficit budg taire structurel depuis 1977 date laquelle une cit H L M comptant plus de 8 000 habitants a t implant e par l Etat dans un village de 1 500 personnes sans que les infrastructures indispensables ne soient r alis es Depuis 1977 la ville subit une situation de tutelle budg taire qui tous les ans oblige la municipalit r alises des conomies drastiques privant la ville d un fonctionnement r pondant aux attentes de la tion Cette situation est encore de par le fait que la ville partie prenante dans la proc dure du d veloppement social urbain doit faire face de nombreux probl mes sociaux d Int ation et de d linquance Aussi au 1 novembre le budget de a ville pour l ann e en cours n est toujours pas arr t par l auto rit de iutelle Malgr les efforts r els de la municipalit de r duire le d ficit 51 p 100 en 1982 17 p 100 vot s en
29. cette discipline qui situent sont enseigne ment environ 2 h 45 hebdomadaires aont loin d tre nejli eables mais doivent encore tre am lior s Les actions qui sont velopp es par 14 direction des coles s ins rent dans le dispo sitif d am lioration du fonctionnement de l cole miae en place des projets d cole des cycles p dagogiques d finition des contenus d enseignement adapt s aux exigences nouvelles de comp tences C st dans ce cadre que s organisers ia meilleure utilisation des comp tences professionnelles des maltres et la prise en compte des recominandations formul es par les cher cheurs en chronobiologie L ducation physique comme les autres disciplines enseign es doit contribuer la r ussite de tous les l ves L enseignement de cette discipline rel ve donc de la responsabilit du maitre de la classe L animation de l quipe des instituteurs d une cole par l un d entre eux plus sp cialement attir par cette discipline est tout fait souhaitable Sa mise en place rel ve de la responsabilit du conseil d cole dans le cadre des dispositions prises pour rendre efficace le projet d cole Le sport prolongement naturel de l ducation physique b n ficie es structures mises en place en spplication de la loi du 16 juillet 1984 L U S E P qui f d re les 15 000 associations scolaires du premicr degr organise la pratique sportive p riscolaire de ses 50 000 licenci s Elle as
30. chelon nement indiciaire des professeurs certifi s de classe normale LB 379 801 Enfin le nouveau grade de directeur de centre d information et d orientation b n ficiera des indices correspon dants ceux des professeurs certifi s hors classe 587 901 compter du 1 septembre 1990 Peuvent tre inscrits sur le tableau d avancement au grade de directeur de centre d informa tion et d orientation les conseillers d orientation psychologues ayant atteint au moins le septi me chelon de leur grade En outre les personnels nomin s ant rieurement au ler sep tembre 1990 directeurs de centre d information et d orientation en application du d cret n 72 310 du 21 avril 1972 acc dent par liste d aptitude pendant une p riode transitoire de quatre ans au grade de directeur de cente d information et d orientation cr par le projet de d cre A terme le nombre des emplois de direc teur de centre d information et d orientation ne pourra exc der 15 5 100 de l effectif budg taire des conseillers d orientation psy chologues les nominaticns correspondantes tant prononc es par le ministre de l ducation nationale Enfin le d roulement de carri re des conseillers d orientation psychologues est galement modifi compter du ler septembre 1592 Le temps de passage au quatri me chelon est en effet ramen deux ans au lieu de uatre ans actutilement la dur e de carri re tant allong e de eux ans partir du ne
31. code du service national et d assurer ainsi une galit des droits aussi compl te que possible Fonctionnaires et agents publics r mun rations 35505 12 novembre 1990 M Alain Bocquet attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de la fonction pubiique et des r formes administratives sur la situation difficile que rencontrent les salari s de la fonction publique tant en mati re salariale que de statut ou de conditions de travail En ce qui concerne les salaires les fonctionnaires et leurs organisations syndicales exigent l ouverture imm diate de n gociations sur le probl me de la baisse sensible de pouvoir d achat qu ils ont subie ces dix derni res ann es moins de 15 p 100 et sur la situa tion 1990 qui marque une nouvelle tape de la d gradation des revenus des fonctionnaires tant actifs que retrait s En cons il lui demande les mesures qu il compte prendre rapide ment pour ouvrir les discussions demand es et satisfaire aux revendications l gitimes des salari s et de leurs repr sentants Retraites fonctionnaires civils et militaires montant des pensions 35525 12 novembre 1990 M Xavier Hunault a l honneur de porter la connaissance de M ministre d Etat ministre de ia fonction et des r formes administratives a motion vot e l unanimit par les membres de la section de Loire Atlantique de la f d ration g n rale des retrait s de la fonction pu
32. l tude En compl ment des aides directes l accroissement des capacit s d h bergement et de restauration universitaire qui s est traduit par une progression de pr s de 15 p 100 des cr dits qui leur ont t consacr s depuis 1988 pour atteindre 780 Pal en 1990 va tre poursuivi En mati re de logement apr s l ouver ture d environ 2 500 lits la rentr e universitaire 1990 le sch ma national de d veloppement et d am nagement universitaire adopt au conseil des ministres du 23 mai 1990 pr voit pour la p riode 1991 1995 un rythme de 6000 logements suppl men taires an suivant la proc dure des pr ts locatifs aid s PLA g r e par le minist re de l quipement et du logement A ce titre une mesure de 115 MF sera inscrite au budget du minist re de l quipement et du logement La r flexion men e par ce d parte ment minist riel en liaison avec le minist re de l ducation natio nale pour atteindre des objectifs plus ambitieux se poursuit notamment en d veloppant une collaboration avec les collecti vit s territoriales La restauration universitaire pour sa part va b n ficier la rentr e universitaire 1990 de 6 580 piaces suppl mentaires soit en une seule ann e l quivalent des investisse ments consentis dans ce secteur d activit s pendant la derni re d cennie Jnd pendamment de l ensemble de ces mesures imm diates il est envisag d insiituer en liaison avec les associations
33. l en contre du Maroc qui trouve un cho plus que favorable sur les ondes officielles comme Radio France international campagne de calomnie qui attaque un pays et des institutions ayant tou jours voulu tablir et garder de bonnes relatious avec la France Il ne s agit nullement de restreindre une quelconque libert d ex pression mais de conserver seulement un souci de coh rence et d impartialit dans la direction de la politique ext rieure de notre Gouvernement Les m dias officiels n ont pas faire la publicit du pamphlet d un crivain partisan quels que puissent tre les soutiens dont il b n ficie au plus haut degr de l Etat surtout quand ce texte vise couvrir artificiellement une crise entre deux pays comme le Maroc et la France qui entretiennent depuis des ann es des relations courtoises et correctes Urbanisme politique de l urbanisme Yvelines 35530 12 novembre 1990 M Pierre Lequiiier appelle l attention de M le Premier ministre sur les probl mes que ren contre la ville de Chanteloup les Vignes Yvelines dans le cadre de la politique de d veloppement social urbain confront e des probl mes sociaux d int gration et de d linquance particuli re ment graves dont les m dias se font r guli rement l cho Les probl mes de cette ville qui fait partie du dispositif de d velop pement social urbain sont aggrav s par un d ficit budg taire structurel certes en diminution mais qui la pla
34. la conjonction de la s cheresse de ces deux derni res ann es avec le fait que des maisons ont t construites sur un sol argileux multiplie le nombre de personnes qui voient leur b timent subir des d g ts souvent irr m diables Dans ce cas les assurances ne preunent en compte les sinistres qu apr s reconnaissance de l Etat de la catas trophe naturelle Etant donn la complexit de cette proc dure il lui demande quelles dispositions il compte prendre afin que l en semble des propri taires concern s sur l ensemble du territoire national puissent tre couverts par leurs assurances Voirie autoroutes 38603 12 novembre 1990 Mme Marie France Stirbols attire l attention de M le ministre de l quipement du loge ment des transports et de la mer sur la n cessit de d velopper l information de la population sur les conditions d ex cution 12 novembre 1990 d une enqu te 11 apparait que lors de la r alisation de la rocade littorale Calais Dunkerque de nombreuses contesta tions se soient lev es une fois le trac d termin et le projet avanc dans sa phase de travaux Ce probl me n en pas douter se retrouve lors de la plupart des grands travaux dant dans un cas particulier qui m a t soumis celui de l chan geur de Ghyvelde Nord m me les lus locaux sc sont plaints que leurs remarques n aient pas t reprises dans le rapport du commissaire enqu teur Pouvons
35. lement la non conformit aux d crets pr cit s m me si les sanc tions p nal s en vigueur l gard des infractions aux r gles gen rales de construction des b timents d habitation s tendent maintenant aux normes d accessibilit des installations ouvertes au public on peut douter de leur impact aupr s des promoteurs immobiliers Il lui demande en cons quence s il n est pas pos sible d inclure la notion d accessibilit au code de l urbanisme afin d viter d sormais toute construction inaccessible aux handicap s Logement logement social 35459 12 novembre 1990 M Bernard Derosier attire l at tention de M ie ministre de i quipement du iogement des trznsports et de la mer sur la situation suivante Les organismes H L M sont exclus du b n fice de l A S E L action socio ducative li e au logement Or l implication de ceux ci dans le dispositif en faveur du logement des plus d favoris s leurs sou haits de mettre en place des dispositifs d ing nierie sociale et de renforcer l accompagnement social et le suivi des locataires en place en font des demandeurs potentiels Ces subventions sont accord es aux P A C T S ou des associations qui b n ficie raient du P L A d insertion dans ce cas il semble trange que les organismes H L M soient exclus Par ailleurs les organismes H L M sont exon r s pendant quinze ans de la taxe fonci re sur les propri t s b ties pour la construction neu
36. les comptes de d p t vue ne sont pas r mun r s et o les services de la banque sont ratuits Cette particularit ne doit pas pour autant justifier que es pargnants soient p nalis s en retour En effet si l on r mu n re des comptes sur livret l informatique est suffisamment per formante pour que ceux ci puissent tre r mun rateurs autrement ue par quinzaine Cela n a pas t l orientation suivie par le ouvernement jusqu pr sent qui n a pas fait de r forme en ce sens sur le livret A Il lui demande donc s il envisage de revoir certaines r gles la lumi re des arguments expos s ci dessus et dans l affirmative quelles mesures d am lioration il serait pr t mettre en uvre dans l int r t des pargnants Plus values imposition r glementation 35381 12 novembre 1990 M Michel Meylau demande M le ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget de bien vouloir lui apporter des pr cisions sur cer taines dispositions de la fiscalit A l appui de sa question il lui soumet le cas d une S A R L au capital de 100 000 francs dont le pum associ 50 p 100 dispose d un compte courant s levant 120 000 francs Dans l hypoth se o le g rant c de l int gralit de ses parts et de son compte courant avec une clause de retour meilleure fortune au profit de l acqu reur pour un montant de 210 000 francs peut on consid rer que i abandon du compte cou tant constitue u
37. les programmes des coles administratives en particulier celles qui d livrent une formation interminist rielle E N A LR A font aujourd hui une place beaucoup plus significative qu unam ant aux questions communautaires et en particulier au toit communautaire Retraites r gimes autonomes et sp ciaux ouvriers de l Etat politique l gard des retrait s 34065 8 octobre 1990 M Andr Darom a attire l atten tion de M Je ministre d Etat miaistre de 1 fonction publique et des r formes administratives sur le non paiement de l allo cation exceptionnelle eux retrait s et veuves d une certaine cat 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5243 gorie d ouvriers des us et ateliers D P A notamment ceux du port autonome de Nantes Saint Nazaire et du service des phares et balises Il lui rappelle qu il l avait d j interrog par voie de question crite sous le num ro 23565 le 29 janvier 1990 niais que la r ponse qul lui avait t faite le 26 mars ne le satis faisait ni lui ni ces retrait s en question En effet il lui signale que depuls le 19 novembre 1975 un d cret du minist re de l qui pement stipule que la r mun ration des ouvriers permanents des parcs et ateliers qui talt jusqu ici align e sur la r mun ra tlon minimale des agents du secteur priv du b timent et des travaux publics de la epen parisienne sera compter du ler ao t 1975 index e sur l volution des
38. linquance et criminalit lutte et pr vention Yvelines 35579 12 novembre 1990 Alain Madella appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur les probl mes de s curit et de tension qui se posent actuellement dans un certain nombre de villes et dc quartiers et dont l actualit a t brutale ment rappel e lors des v nements de Vaulx en Velin 11 lui indique par ailleurs que la ville de Chanteloup lez Vignes qui compte 10000 habitants dont 80 p 100 vivent dans une cit H L M situ e dans les Yvelines est aux prises avec des pro bl mes quotidiens de d linquance et d ins curit d s pour sentiel un manque de moyens humains policiers et financiers mais aussi des carences certaines au niveau du suivi judiciaire des dossiers 11 lui demande de lui pr ciser les moyens qu il compte mettre en uvre pour faire face avec d termination une d linquance qui commence envahir la vie de tous les jours des habitants des quartiers d favoris s et qui faute de traitement pourrait entralner des cons quences tr s graves ll lui demande par ailleurs s il ne serait pas n cessaire de doter la ville de Chanteloup les Vignes des forces de police et de leurs quipe ments v hicules transmission indispensables pour endiguer l in s curit qui est en progression depuis 1988 moyenne mensuelle de 37 faits 1988 et de 51 faits en 1990 et qui vient d entra ner la fermeture d un commerze situ
39. passer les pr visions les plus pessimistes Il Appara trait qui table de relever dans les meilleurs d lais le taux de r mun ration des livreis de caisse d pargne et de la poste qui semble immuable alors que le taux d irflation augmente r guli rement 11 lui demande donc d envisager le rel vement de 4 5 p 100 6 p 100 du taux de r mun ration de l pargne populaire Logement P A P 35574 12 novembre 1990 M Charies Paccou attire l at tention de M ie ministre d Etat ministre de i conomie des finances et du budget sur les cons quences de la diminution r guli re des pr ts aid s pour l accession la propri t P A P En 1986 les pr ts financ s taient de 36800 millions pour 109 700 logements En 1989 ils passaient 16 850 millions pour 51 150 logements La loi de finances pr voit pour 1991 25 000 P A P compte tenu du taux actuel de l alimentation financi re Cette disposition ne permettrait plus de r pondre au souhait des m nages aux revenus modestes d acc der la propri t et entra ne par l m me une tension sur le locatif social Cette situation se r v le d autant plus paradoxale que les pr ts aid s co tent moins cher aux finances publiques que l aide personna lis e au logement locatif Dans le premier cas le taux d effort des m nages est de 29 p 100 tandis que dans le second il se situe 20 p 100 En outre il a pu tre prouv que les pr ts l accession ne sont
40. quant propos du logement social que les 17700 logements sociaux ou loyera interm diaires annonces en 1990 en r gion Ile de France ont peu Ze chances d tre lanc s dans les d lais pr vus aucun tirancement n ayant t encore notifi sur des pro grammes pourtant pr ts depuis 1989 Dans un rapport la com mission de l am nagement du territoie et du cadre de vie du comit conomique et social met l accent sur le retard pris apr s avoir rappel qu court terme il sera n cessaire de construire annuellement 65000 logements en Ile de France dont 26 000 sociaux Or 1988 on a construit seulement 00 logements sociaux dans la r gion et 9 400 en 1589 11 lui demandec donc ia nature des initiatives qu il envisage de prendre pour rem dier cette situation qui concerne la r gion Ile de France mais aussi la France enti re Etrangers logement 35592 12 novembre 1990 M Christian Kert appelle l at tentlon de M le ministre d l gu au logement sur les proposi tions pr se t es en mai 1990 la mission d information sur l int gration pr sid e par M Philippe Marchand tendant notam ment du logemerit augmenter les cr dits en faveur du logement social accroitre les pouvoirs du pr fet dans le domaine des logements destin s aux plus d munis red finir les conditions d utilisation des cr dits affect s au logement des immigr s revoir les conditions d attributi
41. quence il lu demande de bien vouloir lui faire savoir si les services accomplis en A F N pendant la p riode indiqu e pourront un jour tre assortis du b n fice de la campagne double selon les dispositions des articles L 12 et R 14 du code des pensions civiles et militaires R ponse L attribution des b n fices de campagne est fonc tion de circonstances et de conditions dans lesqueiles se sont d roul es les op rations auxquelles ont particip les int ress s C est l autorit militaire qui d finit l ensemble de ces circons tances qui sont ind pendantes de la possession ou non de la caste du combattant Les b n fices de campagne demi sinip e double sont d finis aux articles R 14 R 18 du code des pen sions civiles et inilitaires de retraite Cet avantage est propre au secteur public En ce qui concerne le temps pass en op rations en Afnque du Nord 1952 1962 il ouvre droit au b n fice de cainpagne simple d cret n 57 195 du 14 f vrier 1957 11 s ensuit que pour les anciens d Afrique du Nord fonctionnaires et assi mil s cette p riode compte deux fois sa dur e dans le calcul de la retraite Les anciens d Afrique du Nord souhaiteraient b n fi cier de la campagne double c est dire que cette p riode compte pour trois fois sa dur e dans le calcul de la retraite Afin de pr ciser le contenu de cette revendication il a t propos aux associations concern es de participer une r unio
42. qui variaient de 3 60 p 100 15 40 P 100 au moment du transfert sont d sormais fix a annuellement par les conseils g n raux qui peuvent ainai s orienter en fonction de la politique fonci re qu ils entendent poursuivre Dans ce cadre lea d partements disposent ainsi de la possibilit de modifier ces tarifa sans toutefois que ces modifica tiona puissent avoir pour effet de r duire ies taux moins de p 100 Ces dispositions vont dans ie sens des pr occupations de l honorable parlementaire ASSEMBL E NATIONALE 6237 Enregistrement et timbre successions et lib ralit s 32094 30 juillet 1990 Jean Rigaud attire l attention de M le miaistre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur 18 fiscalit applicable aux donations consenties par les grands parents en faveur de petits enfants lorsque ces der niers sont de parents divorc s 11 estime que les droits exigibles sont tr s lev s dans ce cas compte tenu de 13 situation particu li re des b n ficisires Le montant de l abattement est limit 10 000 francs le taux de pr l vement est port 55 p 100 La rigueur de ce syst me apparait mieux si on le compare celui pr vu pour les transmiasions en ligne directe L abattement est alors de 275 000 francs Le taux est progressif et va de 5 p 100 en deca de 50 000 francs 40 p 100 au del de 11 200 000 francs consid re que cette Wes dp milite es faveur d une modificatio
43. rable que les garagistes fassent imm diatement usage des diff rentes proc dures civiles qui permettent aux Commer ants de recouvrer les sommes non per ues la suite d mission de ch ques sans provision et D AME Rs ELLE E d faut de r cup rer le bien c d et qu en m me temps une pro c dure p nale soit engag e afin de poursuivre leurs auteurs pour escroquerie Sn M Consommation cr dit 31158 9 juillet 1990 M Fran ois d Harcourt attire l at tention de M le ministre de l quipemeat du logement des transports et de la mer sur les cons quences de la mise en uvre du d cret du 17 f vrier 1990 par lequel pour lutter contre le surendettement des m nages il est pr vu que ceux ci devront avoir un apport personnel quivalent au moins 10 p 100 du co t global de l op ration Pour louables que soient les intentions qui ont pr valu pour dicter ce d cret de nombreux profes sionnels et particuliers sont tonn s de la rapidit d application De ce fait nombre d entre eux souhaiteraient que ces mesures soient am nag es pour les rendre moins brutales Ausai proposent ils que le montant de l apport personnel au sens strict se limite 5 p 100 Par ailleurs il leur semble opportun de relever le plafond de ressources et de moduler les mesures en fonction des situations r gionales Enfin dans l hypoth se o le taux de 10 p 100 serait maintenu pr voir un d lai
44. server la qualit de l enselgnement ins crire en priorit les bacheliers du m me ressort acad mique que leur tablissement Le cas de l universit de Nantes qui dans un premier temps a refus d inscrire une trentaine de bacheliers sar thois dans la fili re psychologie non dispens e l universit du Mans est un exemple isol de coordination insuffisante entre les universit s d une m me acad mie Tr s vite la direction des enseignements sup rieurs a demand au recteur de l acad mie de Nantes chancelier des universit s de r unir r guli rement les pr sidents des universit s de son ressort pour traiter au mieux les dossiers des bacheliers de l acad mie non encore inscrits dans l un des trois tablissements universitaires Par ailleurs il a t demand au recteur de l acad mie de Nantes de contacter en cas d impossibilit d inscription de certains bacheliers de l acad mie les rectorats limitrophes ou de proposer ventuellement aux can didats un tablissement et ou une fill re de formation existante dans l acad mie aussi proches que possible des veux que les bachellers avaient formul s A ce jour tous les dossiers rest s en instance jusqu au d but du mois de septembre alors que les ins criptions n taient pas closes ont t r gl s en r partissant les bacheliers sarthols entre les universit s d Angers et de Nsntes les seules dispenser un enseignement de psychologie QUIPEMENT LOGEME
45. solution positive de la question du rap port constant s est traduite d s cette ann e par une augmentation des pensions militaires d invalidit 5230 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Anciens combattanis et victimes de guerre Afrique du Nord 32495 6 ao t 1990 M Georges Chavanes attire l atten tion de M le secr taire d Etat charg des anciens combat tants et des victimes de guerre sur les inqui tudes des anciens combattants d Afrique du Nord En effet selon la loi du 31 mars 1919 ils ont un droit r paration et ils attendent que des engagements soient pris sur quatre points 1 les anciens combattants d Afrique du Nord derni re g n ration du feu sou haitent une galit des droits pleine et enti re avec les autres g n rations du feu 14 18 39 45 Dans cet ordre d id e la cam pagne double pour les fonctionnaires et assimil s et les bonifica tlons pour le r gime g n ral ne sont pas accord es La d livrance de la carte du combattant n est pas assortie 425 m mes bases suivant que l on est issu des unit s de gendarmerie ou des unit s des autres armes 11 reste d finir une pathologie propre aux conditions locales 2 les pensionn s redoutent juste titre la nouvelle application du rapport constant comprise dans la loi de finances pour 1990 3 les combattants volontaires de la R sis tance malgr une loi porn lev e des forclusions n oStiennent as satisfaction compl
46. sur cette r forme de la nomenclature tr s importante pour les professions concern es Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33734 24 septembre 1990 M Francisque Perrut attire l attention de M le m aistre dz la solidarit de sant et de la protection sociale sur la situation et les revendications des masseurs kin sith rapeutes 11 lui rappelle en effet qu un rapport de la commission permanente de 1 nomenclature des actes pro fessionnels concernant la refonte du titre XIV relatif la r du cation et le r adaptation fonctionnelle et fruit d un travail d experts comp tents est sur son bureau depuis septembre 1989 Aussi puisque le ministre a r pondu en juillet dernier aux nom breuses questions crites des parlementaires sur ce sujet qu il accorde une importance prioritaire la revalorisation des actes inscrits la nomenclature d s lors que les dossiers sont bien construits bien quilibr s et permettent une meilleure adaptation des cotations la r alit des pratiques il lui demande de bien vouloir lui pr ciser s il tient compte du travail des experts qui a dur plus de deux ans en r pondant cela d une part et dans quels d lais il prendra lui m me positi r sur une r forme de la nomenclature des actes professionnels Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33881 24 septembre 1990 M Ladisias Poaiatowski attire l attention de M le mi
47. t par une deuxi me dota tion de 1 MF lorsque le d partement sera sa ine capacit L accord r cemment intervenu entre l Etat et collectivit s locales sur le financement des locaux n cessaires au logement des deux d partemeats G E A et G M P permet d esp rer cette installation la rentr e de septembre 1991 La communaut du cative souhaite que l quipement de ces nouveaux locaux soit d cid et financ la m me date Les budgets 1989 et 1990 de son minist re marquent d j la volont du Gouvernement et de ses ministres de fsire de formation la priorit des priorit s comme l a demand le Pr sident de Is R publique Les collecti vit s locales et notamment le conseil g n ral des Hautes Pyr n es consentent un effort important en finan ant la construction du nouvel LU T en demandsnt l ouverture d un troisi me d partement mais aussi en tudiant dans un partenariat clair avec l Etat l ouverture d une antenne universitaire plus lt Moff e Tarbes venant compl ter les structures existantea E N L notamment Pour toutes ces raisons la demande d une 12 novembre 1990 aide compl mentaire de son minist re en 1990 1991 et 1992 pour l quipement du d partement G nie m canique et parait l gitim conforme aux choix politiques du Gouvernement mais aussi aux textes qui d finissent ia r partition des comp tences entre l Etat et les collectivit
48. te 4 l Office national des anciens com attants et des victimes de guerre a subi des menaces pour son maintien Sous couvert de modernisation de r am nagement cet tablissement public paraissait pr caire Des assurances ont t donn es quant la volont de conserver l O N A C N anmoins l incertitude n est pas lev e 11 lui demande de bien vouloir lui indiquer les meaures qu il entend prendre R ponse l Situation des anciens d Afrique du Nord 1 B n fices de campagne Leur attribution est fonction de cir congtances et de conditions dans lesquelles se sont d roul es les op rations auxquelles ont particip les int ress s C est l autorit militaire qui d finit l ensemble de ces circonstances qui sont ind pendantes de la possession ou non de la carte du combat tant Les b n fices de campagne demi simple double sont d finis aux articles R 14 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite Cet avantage est propre au secteur public 11 n est pas envisag de l tendre au secteur priv En ce qui concerne le temps pass en op rations en Afrique du Nord il ouvre droit au b n fice de campagne simple d cret n 57 195 du 14 f vrier 1957 s ensuit que pour les anciens d Afrique du Nord fonctionnaires et assimil s cette riode compte deux fois sa dur e dans le calcul de la retraite a anciens d Afrique du Nord souhaiteraient b n ficier de la campagne double c est dire qu
49. tude soit entreprise au niveau interminist riel Cette question ne pourrait tre r solue qu en tenant compte des possibilit s et des priorit s budg taires Pensions militaires d invalidit et des victimes de guerre b n ficiaires 31443 16 juillet 1590 M Henri Bayard demande M ie secr taire d Etat charg des anciens combattants et des vic times de guerre de bien vouloir lui dresser un tableau faisant apparaitre pour chaque ann e de 1980 1989 en parallele le nombre de penaionn s au titre d ancien combattant et le montant total r el des pensions vers es R ponse Le nombre de pensionn s au titre du code pen sions militsires d invalidit et des victimes de la guerre et le mon tant totai des pensions vers es s l vent EFFECTIFS PENSIONNES D PENSES chapitres 48 22 46 25 ei 46 26 ANN ES 1 054 202 13 911 432 247 F 1981 021 121 15 675 035 272 F 1982 987 280 17 610 558 009 F mes 908 954 19 375 981 179 F 198948 comet 877 718 19 972 088 368 F 1989 T 842 941 20 479 252 403 F 1986 E 816284 20 871 939 483 F 1967 oes 790 340 20 648 877 988 F 5229 D PENSES ANN ES EFFECTIFS PENSIONN S chapitres 48 22 48 25 et 48 26 768 279 20 890 704 440 753 708 20 814 950 829 Pensions militaires d invalidit et des victimes de guerr b n ficiaires 32358 30 jui
50. visant valuer les i suffisances et les besoins dans le domalne de cette formation sous le double aspect de l organisa tlon et du contenu des enseignements et proposer les mesures n cessaires la mise en uvre d une r forme de la formation des sapeurs pompiers en vue de mieux l adapter la diversification des risques contemporains par une rationalisation de son contenu et de ses outils p dagogiques Le rapport Dupuis qui avait donri lieu une Inrge concertation entre toutes les personnes concern es avait re u de la part de tout le monde un certain consensus il fui demande pourquoi ne pas avoir propos directe ment une r forme de fond de cette profession r forme englobant tous les probl mes de formation et dans laquelle les sapeurs pomplers devraien trouver leur place vil a t S curit civile sapeurs pompiers 38397 12 nov mbre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l Int rleur sur le nouveau statut des sapeurs pompiers tel qu il a t publi au Journal officiel du 26 septembre 1990 Le d cret n 90 853 du 25 septembre 1990 portant statut particulier du cadre d emploi des capitaines commandants lieutenants colonel et colonels des sapeurs pompiers professionnels laisse apparaitre un vide au niveau du grade de commandant 11 lui demande pourquoi l appellation d ing nieurs de la s curit civile leur a t supprim e S curi
51. 1 protec tion sociale que les propositions de revalorisation tarifaire de la lettre ci applicable aux actes des orthophonistes lui ont t transmises la suite de l accord intervenu entre la profession ei les organismes d assurance maladie I1 lui demande quelles sont ies raisons pour lesquelles cet accord n a pas encore l ap probation minist rielle et s il peut indiquer dans quels d lais il envisage de se prononcer R ponse La revalorisation de la lettre cl AMO qui r mun re l activit des orthophonistes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profession n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuvi ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Cependant les propositions rela tives aux sctes d orthophonie que la Commission permanente de la nomenclature g n rale des actes professionnels a fsit parvenir l administration ont t int gralement accept es par les pou voirs publics conform ment au contenu de l arr t du 27 juin 1990 paru au Journal officiel du 6 juillet 1990 Professions param dicales r mun rations 33846 24 septembre 1990 M Patrick Balkacy attire l at tention de M le salaistre de la solidarit de 1 sant et de la preces sociale sur 1 situation des professions param dicales rap
52. Berthol prend note de la r ponse donn e par M le ministre de l int rieur sa question crite n 22350 J O A N du 5 mars 1990 p 1067 aux termes de laquelle aucun arr t pr fectoral n a t pris par le pr fet du d partement de la Moselle en application de ticle 22 du d cret n 69 897 du 18 septembre 1969 relatif aux caract ristiques techniques aux limites la conservation et la surveillance des chemins ruraux Aussi il lui demande de bien lui pr ciser les raisons de cette absence de r glementation ocale 5204 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Mort transports fun raires 35412 12 novembre 1990 M Andr Berthoi demande M miaistre de l int rieur de bien vouloir lui pr ciser si le maire peut autoriser le transport sans mise en bi re d une per sonne d c d e son domicile vers une chambre fun raire Mort transports fun raires 35413 12 novembre 1990 M Andr Berthoi demande M le miaistre de l int rieur de bien vouloir lui confirmer que les personnes d c d es sur ia voie publique ou dans un lieu ouvert au public doivent obligatoirement tre transport es vers une chambre fun raire afin d y tre mises en bi re S curit civile sapeurs pompiers 38421 12 novembre 1990 M Didier Juila rappelle M le ministre de l lat rieur que le d cret n 90 852 du 25 sep tembre 1990 portant statut particulier du cadre d emplois
53. CONSOMMATION Consommation associations 21142 4 d cembre 1989 M Jean Paui Callond rappelle Mme secr tuire d Etat aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg de la consommation l important d veloppement de l action des 3sso ciations de consommateurs qui assument une mission de plus en plus importante au service d un public qu une r glementation souvent complexe expose la n it quasi permanente de uvoir b n ficier d une assistance et de conseils indispensables la pr vention et bien souvent la solution de nombreux litiges 11 lui demande de lui confirmer que ce r le tant normalement appel connaltre un nouveau d veloppement avec l ouverture des fronti res et le march unique europ en les orientations bud ires actuelles et venir du Gouvernement tiendront compte e cette situation au regard des cr dits affect s l aide ces associations R ponse Le d veloppement du r le des associations de consommateurs en particulier avec l ouverture des fronti res et le march unique europ en est un des coucis majeurs du secr tariat d Etat la consommation Ce souci qui s tait d j concr tis en 1989 par une augmentation de 20 p 100 des cr dits accord s aux associations va se traduire par une nouvelle augmentation de plus de 25 p 100 en 1990 Ainsi les cr dits destin s l en semble du mouvement consommateurs associations et inst
54. Int rieur 35424 justice 34415 int rieur 35426 agriculture et ficulture et for t 35531 d fense environ Deva int rieur Pierre 34432 Int rieur b 35406 pement logement Li lt et 35550 juatice M 38379 postes t l communications et espace poe conomie financea et bud Fileses Jean Claude sanat han Mes et accident s de 15 vie int rieur 38638 commerce et arti ASSEMBL E NATIONALE 5177 Miossec Charles 35466 affaires trang res 35542 ducation nationale jeunesse et sports Moceur Mercel 35436 travail emploi et formation profession nelle Mora Christiane Mme 35437 int rieur 35438 budget 35489 handicap s et accident s de la vie Moutoussamy Ernest 35513 justice N Nayrsi Bernard 35439 budget N ri Alain 35440 budget Nunzi Jean Paul 3 467 affaires trang res P Paccou Charles 25574 conomie finances et budget Psecht Arthur 35610 conomie finances et budget Papon Monique Mme 35023 affaires sociales et solidarit 35629 anciens combattants et victimes de guerre Patriat Francola 35441 affaires sociales et solidarit Pelchat Michel 35405 justice Perrut Francisque 35504 justice 35666 justice Philibert Jesa Pierre 35475 budget Pierns Lovla 35514 int rieur 35515 int rieur Pons Beraar 35620 sant Pr e Jean Luc
55. L int r t du malade est en jeu puisque la derni re nomenclature date de 1972 et que depuis les techniques ont volu de telle aon qu il n est plus possible d appliquer les m mes traitements lui demande quelles mesures il entend prendre afin que ce dossier soit trait rapidement Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32992 20 ao t 1990 Mme Marie France Lecuir attire l attention de M le mlaistre de la solidarit de ia sant et de la ection sociale sur la nouvelle nomenclature des actes de kin sith rapie qui a t approuv e par la commission permanente de nomenclature le 20 sepiembre 1989 et qui n est pas parue au Journal officiel ce jour Elle lui demande de bien vouloir envisager cette parution dans les meilieurs d lais attendu que les actes de kin sith rapie n ont pas volu depuis mars 1988 alors doe dans ce m me temps d autres actes m dicaux ont eu une volution Professions param dicales masseurs K in sith rapeuies 33238 3 septembre 1990 M Philippe Auberger appelle l attention du M le mlaistre de la solidarit de im sant et de la protection sociale sur le fait que le rapport de In commission permanente de 1 nomenclature des actes professionnels concer nant la r fonte au titre XIV relatif la r ducation et amp r a daptation fonctionnelle lui a t soumis depuis septembre 1989 lui demande donc dans quel d lai il compte prendre position
56. M Pani Lombard attire l atten tion de M ie ministre de ia d fense sur les difficult s pos es la division h licopt res de l A rospatiale de Marignane dues la d cision d arr ter le programme Orchid e Cette d cision si elle tait maintenue risquerait de mettre mal le potentiel tech nologlque et humain d un des fleurons de la technique fran aise dans le monde C est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles dispositions il compte prendre afin de maintenir les capacit s techniques de production d h licopt res de notre pays et quelles actions il compte engager pour que le plan de charge de la division h licopt res d entreprise de Marignane soit maintenu i S curit civile politique et r glementation 34517 12 novembre 1990 M Charies F vre demande M le ministre de ia d fense de donner les instructions n ces saires aux brigades territoriales de gendarmerie afin qu elles aler tent directement tous les malres de leur ressort des fortes pertur bations atmosph riques susceptibles de constituer un danger En effet actuellement elles ne sont tenues d informer que le maire du chef lieu de canton ce qui peut conduire des lacunes f cheuses dans la diffusion d informations utiles tous D corations m daille des services militaires volontaires 34531 12 novembre i990 M Jeas Lowis Masson demande M le ministre de ia d fense quel est le bar me des points p
57. a toujours pas t ent rin par le Gouvernement Par ailleurs le minist re n a toujours pas donn son avis sur le projet de nomenclature des actes de kin sith rapeutes vot par la commission perma nente de la nomenclature L int r t du malade est pourtant direc tement en cause puisque la derni re nomenclature date de 1972 C est pourquoi il lui demande la position qu il entend adopter sur ces deux dossiers qui pr occupent gravement l ensemble de la profession des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs Professions saram dicales masseurs kin slth rapeutes 30182 18 juin 1990 Mme Christine Boutin attire tion de le miaistre de ia solidarit de ia sant et de la protection socisle sur avant Dro de loi instituant une juridic tion professlonnelle pour les kin sith rapeutes Celui ci est tr s Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune p 5223 apr s la question n 33736 attendu la profession qui voit aussi un des l ments majeurs de sa revalorisation Or ce jour il semble qu aucurie suite n ait t donn e au projet de nouvelle nomenclature qui a t tabii et fut approuv le 20 septembre 1989 par la commis sion permanente de la nomenclature Parall lement alors que d autres tarifs m dicaux ont pu voluer ces derniers temps les tarifs pratiqu s par les kin sith rapeutes restent inchang s depuis mars 1988 Elle Jemande dans quell
58. afin que cet accord soit ent rin par le Gouvernement R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudiert actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Stationnement parkings 33045 27 ao t 1390 M Jean Briane attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur un probl me socis auquel sont confront s de nom breux salari s en raison de l urbanisation et de la concentration d activit s qui en r sultent Cette situation pose le probl me du stationnement des v hicules des salari s et cr e une v ritable suj tion ceux qui ont leur activit en centre ville et sont contraints au d un empiscement de parking particuli rement dans les villes de province o les services publics de transport urbain sont inexistants ou insuffisants Ne serait il pas souhaitable que la simple prise en charge du co t d un emplace ment de parking par l employeur soit consid r e au regard de la DOR et de la r glementation fiscale et sociale comme ie t des d penses li es l emploi et ce quel que soit le mode de pa
59. associatif est envisag e notamment dans le cadre de la pr paration du projet de oi destin lancer la proc dure de codifi cation du droit de la consommation propos e au Premier ministre par la commiscion sp cialement inatitu e cet effet R ponse Les associations de consommateurs sont appel es si ger dans de nombreuses instances ce qui requiert une disponi bilit importante de leurs adh rents qui assument directement 1 repr sentation de ces organisations dans les organes de concerta tion entre professionnels et consommateurs Celles ci ont attir l attention des pouvoirs publics sur les difficult s que rencontrent pr cis ment levrs membres pour assurer pleinement ces t ches d s lors qu ils ne disposent pas dans le cadre de leurs activit s professionnelles d autorisations d absence pour ce motif En effet jusqu pr sent la loi n 86 76 su 17 janvier 1986 permet aux seuls repr sentants des associations familiales de b n ficier d un droit cong pour leur participation de telles instances Plusieurs des associations nationales de consommateurs apte pour agir au nom de ceux ci tant familiales elles b n ficient donc d j de ce dispositif D autres r unissant des salari s ayn diqu s profitent gslement de dispositions similaires En revanche les autres associations ne peuvent se pr valoir de l un ou de l autre de ces r gimes Le secr tariat d Etat attach d velopper une
60. autart moins tol rabie que se multiplient les mesures et les dispositifs gouvernementaux pour les plus d munis R M l enfance maltrait e surendettement acc s au logement violences intrafamiliales etc sans que les moyens en personnel et en fonctionnement soient maintenus ou renforc s Les cour riers adress s n ont fait l objet d aucune r ponse Or aujourd hui ce personnel subit les cons quences d un vide conventionnei suite la d nonciation par ie conseil g n ral du Rh ne de la conven tion ie liant l Etat 31 mai 1990 La r solution de ce conflit ne peut donc tre entrav e Eiie lui demande en cons quence que cette situation dans ie d partement du Rh ne trouve une solution le plus rapidement possible Professions m dicales sages femmes 36612 12 novembre 1990 M Paul Louis Teaalilon attire l attention de M le miaistre des affaires sociales et de ia soil sur l inscription l ordre du jour du Parlement du projet de loi relatif l organisation de la profession de sage femme et l organisation de certaines professions d auxilisires m dicaux Alors que chacun s accorde aujourd hui sur l urger ce d une nou velle d finition de notre polltique de sant rendue ind niable ment n cessaire par les facteurs conomiques ce texte enregistr ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 depuis le 11 avril 1990 a d tre report la session d automne et n est toujours pas inscrit l ord
61. bureaux et par la suite d achever le pro gramme Dans ce cadre il est envisag le transfert de la propri t de l inmeuble de la commune au syndicat intercommunal Fais alors comment proc der sans tomber sous le coup du para graphe 2 de l article 257 7 du code g n ral des impt its qui p na lise les mutations successives lorsqu elles interviennent dans un d iai dc cinq ans La seule solution parait tre d assimiler le syndicat un marchand de biens Or pas plus que la commune le syndicat n enten tirer de profits autres que celui de voir au service de conomie locale un outil susceptible d aider econversion Favoriser le d veloppement des entreprises du sec teur terti ire apparait comme tant un des moyens d enrayer la crise qu frappe durement l industrie traditionnelle textile et lai Les fonds europ ens utilis s taient d ailleurs octroy s dans ce but Se poser en marchand de biens serait ie m connaitre et assimiler une op ration priv e but lucratif une op ration qui ne vise qu satisiaire l int r t g n ral Mais si pour une quel conoue raison l administration fiscale refusait de reconnaltre au syndicat cette qualit de marchand de biens tout le programme chappant la T V A et rentrant dans le champ d application des droite d enregistrement serait compromis du fait de la majo ration de prix d coulerait non r cup rable par les acqu reurs De ce fait l op ration devrait res
62. ce mode de distribution du m dicament 1l n est donc pas envisag de remettre en cause la possibilit qu ont les m decins exercant dans des amp gglom ra tions isol es d avoir un d p t de m dicaments destin s leurs patients H pitaux et cliniques centres hospitaliers Moselle 32995 20 ao t 1990 M Jeaa Louis Masson rappelle M le ministre de la solidarit de la saat et de la protection sociale qu en r ponse sa question crite n 22789 il lui indi quait que les tudes du programme ventuel d utilisation de ter rains de l ancienne foire exposition de Metz par le centre hospi talier n taient pas termin es Ces terrains sont susceptibles d tre particuli rement utiles pour le d veloppement de la ville et il est donc parfaitement inadmissible que depuis plus de dix ans les services du minist re n aient toujours pas pris une d cision et se retranchent encore aujourd hui derri re d ventuelles tudes en cours Par ailleurs il n a t en aucua cas r pondu sa question crite n 22789 car des questions bien pr cises ont t pos es notamment sur le nombre de lits cr s C est la raison pour laquelle il lui en renouvelle les termes en souhaitant que les dif f rents l ments voqu s en l esp ce soient l objet d une r ponse claire et pr cise Cettc demande est d ailleurs conforme l esprit des instructions donn es par le pr sident de la R publique aux membres du Gouvernement q
63. compte y donner une suite et dans l affirmative laquelle Transports transports en commun 35510 12 novembre 1990 M Paui Lombard attire l atten tion de M ie ministre de l quipement du iogement des transports et de ia mer sur la situation des transports collectifs Alors que des informations obtenues laissent penser que les revendications du groupement des autorit s responsable de transports ont t entendues par le Gouvernement en mati re de financement des transports collectifs en sites propres les autres lignes budg taires permettant de financer les contrats de moder nisation pour les transports urbains et interurbains les plans de d placements urbains et la recherche se voient affect s des mon tants quivalents ceux de 1990 et donc largement insuffisants L actualit en mati re d nergie montre nouveau quel est l enjeu d un d veloppentent continu et soutenu de toutes les formes de transports publics C est pourquoi il lui demande quelles mesures plus particuli rement budg taires il compte rendre afin que l ensemble des transports collectifs publics n ficie d une priorit affirm e Assurances risques naturels 35511 12 novembre 1990 M Paui Lombard attire l atten tion de M le ministre de l quipement du logement des transports et de ia mer sur la situation d un certain nombre de propri taires de b timents qui au bout de quelques ann es voient apparaitre des fissures En effet
64. cons quentes engag es l chelon central pour des pupilles de la nation particuli rement m ritants En 1988 au titre de la promo tion sociale dix neuf pupilies de la nation et orphelins de guerre majeurs ont cinsi t subventionn s l chelon central pour un montant de 134900 francs moyenne 7 100 francs En 1989 quatorze d entre eux ont b n fici de 142700 francs moyenne 10200 francs Par ailleurs des secours exceptionnels financ s par le Bleuet de France ont te attribu s certains d entre eux confront s au ch mage BUDGET Imp ts locaux taxe d habitation 630 11 juiller 1988 M Joseph Henri du Gasset expose M le ministre d legu aupr s du miaistre d Etat ministre dc l conomie des finances et du budget charg du budget que dans un arr t de 1987 le Conseil d Etat a impos de la taxe d habitaiion les maisons de retraite et foyer logements pour personnes g es Afin d quilibrer leurs comptes ces tablissements doivent r percuter cette charge su ic pos de journ e des pensionnaires s av re que si ces personnes res taient leur domicile elles b n ficieraient pour la plupart d un d gr vement d office de ladite taxe du fait de leur ge et de leurs conditions de ressources 11 lui demande s il ne lui apparaltrait pas opportun que les maisons de retraite et de foyer logement soient exon r s Imp ts locaux taxe d habitation 3565 10 octob
65. cutif la r union dite des 4 2 et relatif la r unification des Allemagnes fera l objet d une ratificatiorf par le Parlement R ponse Le trait voqu par l honorable parlementaire sera soumis au Parlement avant la fin de 1990 4 6 2 AFFAIRES SOCIALES ET SOLIDARIT Imp t le revenu traitements salaires pensions et rentes viag res 13891 5 juin 1989 M Charles Pistre appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur le probl me de l application par un employeur de l option de la d duction forfaitaire des frais professionnels 11 semblerait que le sens de l expression autorisation expresse de l administration fiscale n cessaire pour qu un changement d option puisse tre op r puisse tre entendu de facon diverse lui demande en cons quence de bien lui sp cifier dans quelles conditions l adrninistration doit indiquer sciemment et express ment son accord pour l abattement pour les salari s et si cet accord doit se marquer par crit et sous quelle forme Question transmise M le ministre des affaires sociales et de la solidarit R ponse D une tude de la jurisprudence et de la position de l U R S S A F sur le probl me soulev par l honorable parlemen taire il ressort que le droit l abattement suppl mentaire pour frais n est pas contest quand l
66. d un fonds de secours permettant d am liorer l indemnisation d accidents de soins survenus dans les h pitaux notamment par renversement de la charge de la preuve Ceite double proposition permettrait un r glement plus rapide en prenant en charge la d fense des int r ts des victimes dans les proc dures d obtention d iridemnit s qu elles soient amiables ou judiciaires H pitaux et cliniques personnel 38620 12 novembre 1990 M Bernard Pona rappelle M le ministre d l gu la sant qu il lui avait pos une ques ion concernant le fait que le suppl ment familial de traitement n est pas accord aux m decins non universitaires Dans la r ponse cette question n 27064 J O Assembl e natio nale Questions du 8 octobre 1990 il est dit que les praticiens hospitaliers la diff rence de la quasi totaiit des autres cat gories de personnel de l h pital sont assujettis un statut parti culier et non pas en application des statuts g n raux des fonc tions publiques de l Etat des collectivit s territoriales ou hospitali res Cet argument ne lui para t pas PATE car c est bien par assimilation avec les fonctionnaires d Etat ou les fonctionnaires hospitaliers que les m decins hospitaliers non uni versitaires ont obtenu d une part comme les fonctionnaires hos pitaliers la gratuit des soins dans leur h pital et d autre part le recul d une ann e de la cessation d activ
67. de 140 francs en de duquel la S P R E ne peut r clamer de rede vance Une remise en cause de ce dispositif mis en place par les repr sentants des ayants droit et des redevables ne peut tre envi sag e Les repr sentaris des titulaires de ce roi voisin cr par la loi du 3 juillet 1985 s efforcent d am licrer la perception notamment dans le secteur des lieux sonoris s par la conclusion d accords particuliers d terminant les modalit s de versement des r mun rations 11 appartient aux f d rations des associations concern es de se rapprocher cet effet de la S P R E Politique ext rieure Thailande 32099 30 1990 M Desanlis attire l attention de M le ministre de a culture de la communication des nd travaux et du Bicentesaire sur l imp rieuse n cessit de aire conna tre et notre pays par la voie des ondes dans le monde entier lui demande en particulier s il compte donner rapidement une suite au projet d installation d une antenne terrienne de R F I en Tha lande qui permettrait de dif fuser notre culture et nos informations nationales sur un vaste continent allant du territoire indien aux rives du Pacifique R ponse La n cessit de faire entendre la voix de la France dans les zores g ographiques les plus vastes est un souci que le Gouverneraent partage avec l honorable parlementaire Ainsi un plan de d veloppement de Radio France Internationale a t il t adopt
68. de 6 000 francs par mois La satisfaction de cette demande aboutirait un gain important pour la s curit sociale ei pallierait en plus le manque de place dans les tablissements sp cialis s Handicap s allocation compensatrice 35656 12 novembre 1990 M Philippe Auberger appelle l attention de M le secr taire d Etat handicap s et aux accident s de vle sur les difficult s en particulier financi res rencontr es par des parents voulant soigner leur domicile un enfant handicap ou accident de la vie Alors que les adultes handicap s per oivent diverses allocations et notamment celie ame tierce personne les handicap s de moins de vingt ans sont la charge de leurs parents presque enti rement 11 lui demande donc s il entend rem dier cette situation injuste en pr voyant un rapprochement entre la situation des adultes handicap s et celle des enfants handicap s et en aidant ains financi rement les familles qui conservent aupr s d elles leurs enfants handicap s Handicap s allocation compensairice 35657 12 novembre 1990 M Ren Couvelahes attire l at tention de M le secr taire d Etat aux handicap s et aax accl deat s de la vie sur la situation des familles dont un enfant est gravement handicap myopathe par exemple Le handicap de ces enfants exige une pr sence continue pour les soins d hygi ne l mentaire ce qui oblige la m re interrompre son activit profes sio
69. de M ie ministre d Etat ministre de i du cation nationale de la jeunesse et des sports sur le r le important jou par certains personnels de l enseignement catho lique Elle lui pr cise que les directeurs d cole accomplissent la demande des divers services de l inspection acad mique et de la pr fecture des t ches administatives nombreuses dc m me les documentalistes et les psychologues ne sont pas reconnus sans un syst me de subventionnement raison invoqu e r sulte du fait que ces personnels n existaient pas dans l enseignement public lors de la parution des d crets de 1960 ou que leur profil ne rejoint pas celui de leurs homologues de l ducation nationale La question de leur reconnaissance financi re se pose avec acuit Elle lui pose la question de savoir si l on peut pr tendre aujourd hui duquer avec les seuls moyens qu on utilisait hier et sans b n ficier des progr s accomplis en ducation Elle lui demande en cons quence que l enseignement catholique qui veut tre reconnu comme associ de l enseignement public puisse b n ficier des m mes avantages que ce dernier et en particulier quant au subventionnement des directeurs d cole des documen talistes et des psychologues Enseignement priv personnel 35582 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibiiie appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de l du cation nationale de ia jeunesse et des sports sur le recrute ment
70. de l administration E xc poe do H s agit en particulier de r vocations d guis es en icenciements de surveillants l ves ou stagiaires d exclusions temporaires de services de plusieurs agents dc retenues de salaire allant de 600 francs plus de 2000 francs d oraux d examens rofessionnels pour l acc s au grade de premier surveillant trans orm s en tribunal En cons quence il lui demande de bien vouloir prendre les mesures permettant de r tablir un climat de s r nit dans les prisons fran aises et de lui pr ciser pour cela le projet de ses Intentions D O M T O M Guadeloupe justice 35513 12 novembre 1990 M Ernest Moutoussamy attire l attention de M ie garde des sceaux miaistre de ia justice sur l inqui tante situation des juridictions du d partement de la Guadeloupe Il lui rappelle que les locaux des greffes sont indignes d un grand service public et ne permettent pas un fonc tionnement efficace et protecteur de la vie priv e des justiciables Les insuffisances chroniques de la formation permanente sont accentu es par l insularit et l lolgnement des autres juridictions et rendent impossible tout acc s aux concours organis s par le minist re En outre il craint que la situation des effectifs des magistrats d j tendue ne soit rendue catastrophique par la vacance prochaine de plusieurs postes qu ll sera difficile de povr voir en raison de l insuffisance de l aide la mobilit regrette enf
71. de service des sports assurant des t ches d encadrement seraient int gr s sur un grade d avancement Educateur sportif qualifi ce qui ne correspond pas aux fonctions exerc es leurs fonctions s apparentant un cadre de cat gorie A Ces diff rents agents que sont les maitres sau veteurs les chefs de bassin les chefs d tablissement de bain et chefs de ser vice des sports ont particip l essor des tablissements de bain et des activit s aquatiques par la prise en compte de la s curit de l animation de l enseignement ainsi que de la formation la ratique sportive 11 souhaitent b nficier des mesures accord es la fili re administrative tout en s inspirant des positions com munes prises lors des Assises nationales des ducateurs sportifs ui se sont d roul es Annecy les 27 et 28 avril 1990 11 lui de pr ciser les dispositions qu il compte prendre dans le cadre de la fili re sportive S curit sociale sapeurs pompiers 35661 12 novembre 1990 M Plerre R my Houssin attire l attention de M le miaistre d l gu aapr s du ministre de l jat rieur sur le m contentement grandissant des sapeurs pompe mangas Au moment o des textes vont prochainement re publi s leur f d ration nationale d nonce un manque total de concertation Aussi elle r clame la reconnaissance et la d fini tion du r le des sapeurs pompiers au service de sant tout comme elle revendique l ass
72. des lieutenants de sapeurs pompiers professionnels qui d finit les modalit s de recrutement et de formation initiale de ceux ci pr cise que ur tre admis l Ecole nationale des sapeurs mpiers les candidats doivent d un D U T option ygi ne et s curit bac 2 ou de l un des dipl mes quiva lents dont la liste est fix e par arr t du ministre charg de la s curit civile 11 lui demande tout d abord si cette liste a t fix e et publi e Il lui demande galement si le dipl me d infir mier qui est obtenu au terme de trois ann es d tudes apr s le baccalaur at peut tre consid r comme quivalent au D U T option Hygi ne et s curit 11 souhaite enfin savoir si l ann e en cours doit 3 consid r e comme une ann e de transition au cours de laquelle les anciennes normes de recrutement restent applicables ou bien au contraire si les dispositions du d cret ci dessus cit seront applicables d s le mois de mars 1991 Communes conseillers municipaux 15418 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson attire l attention de M ie ministre de l int rieur sur la situation sui vante Dans un arr t en date du 29 juin 1990 n 68473 le Conseil d Etat a jug que les conseillers municipaux ont le droit d tre inform s de tout ce qui concerne les affaires communales ce qui autoriserait les int ress s prendre connaissance de projets ou de documents pr paratoires une d cision O
73. des enjeux devrait tre plus lev Toutefois ii a t demand France Loto d examiner tous les cas dignes d un r el int r t notamment dens Ies zones rurales tr s d peupl es afin que des d rogaiions puissent tre accord es lorsque la mesure prise par la soci t aboutit des cons quences manifestement disproportionn es pour les usagers Ld DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Enssignement m decine scolaire 18943 16 octobre 1989 Fabien Thi m attire latten tion de M ministre d Etat ministre de l ducation matio sale de ia jeunesse et des sports sur l organisation des ser vices de sant dans les tablissements scolaires priv s 11 semble qu aucune obligation ne ieur solt faite en ce domaine 11 se trouve donc des tablissements certains poss dant un internat qui ne disposent pas de personnel m dical et infirmier Une telle carence esi tout fait pr judiciable tant sur le plan de la pr ven tion que sur celui des soins Elle l se les int r ts des parents et des enfants scolaris s dans le priv En cons quence il lui demande de lui Indiquer ies mesures qu il compte prendre afin de ettre chaque tabiissement scoiaire de se doter d un de sant comp tent ECKE UP UM la cda tH PP Po d R ponse En l tat actuel de la l gislation concernant les ta blissements d enseignement priv s sous contrat l Etat prend en charge la r mun ration des maitre
74. des maltres de l enseignement priv Elle lui pr cise que le recrutement des maitres est devenu une question cruciale pour le syst me ducatif frangais les diff rents ministres de l ducation nationale ont signal l urgence de r soudre ce probl me Depuis des ann es la question d une aide par l allocation d tudes aux tudiants des centres de formation p dagogique de l enseigne ment priv ler degr reste pendante non tudi e Par ailleurs les maitres du second degr pour devenir contractuels sont contraints d tre auxiliaires passage oblig pour qu ils puissent faire l option enseignement priv apr s avoir t re us des concours Elle lui demande en cons quence si cette voie de recrutement pourrait pas tre am nag e de fa on beaucoup plus judicieuse en tenant compte du fait que les enseignants publics et priv s doivent tre associ s part enti re Enseignement priv financement 35583 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibilie appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de i du cation nationale de ia jeunesse et des sports sur le forfait de l externat en faveur de l enseignement priv Elle lui pr tise qu en 1987 en application de la loi une commission technique avait tabli quelle hauteur devait se situer le montant du for fait d externat d par l Etat aux tablissements priv s Ces der niers ont accept que le r ajustement se fasse s
75. difficult afin de les faire b n licier d un suivi particulier et de faciliter leur insertion scolaire Sur le plan de la pr vention les int r ts des enfants scolaris s dans les ta blissements priv s ne sont donc nullement l s s sur le plan des soins il est noter que tous les tablissements scolsires publics ne sont pas dot s d une poste d infirmi re Minist res et secr tariats d Etat ducation nationale jeunesse et sports personnel 23994 12 f vrier 1990 M Dominique Baudis attire l at tention de M le misistre d Etat ministre de l ducation mationale de jeunesse et des sports sur le projet de statut int ressant les inspecteurs p dagogiques r gionaux En effet dans le cadre de la mise en uvre des objectifs d finis par la loi d orientation pour l ducation les inspecteurs p dagogiques r gionaux sont appel s jouer un r le toujours plus important tant du point de vue p dagogique o ils ont un r le de r gula tion et d harmonisation des enseignements de conseils aupr s des enseignants et d valuation des projets p dagogiques locaux que du point de vue relationnel Or il semble que cette double fonc tion qui est la leur ne soit pas r ellement reconnue par le projet de statut Ce dernier paralt en effet en retrait par rapport un premier pr sent en octobre 1989 et qui semblait devoir donner enti re satisfaction l ensemble des mensres de cette profession jui
76. dont ils devraient tre b n fi Il lui demande quand ces engagements seront tenus Education physique et sportive personnel 34479 12 novembre 1990 M Ciaude Gailiard appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de l ducation aationaie de la jeunesse et des sports sur la situation particu li rement critique des professeurs d E P S Devant l augmentation importante des t ches qu ils doivent assumer dans des conditions quasiment inchang es trop peu de nouveaux postes finance ments fig s surfaces de travail maintenant trop faibles les ensei gnants d E P S d plorent vivement fes carences de la Desup concernant les mesures de fevalorisation de leurs fonctions Par ailleurs la hors classe pose un probl me particuli rement aigu en raison d obstacles r p t s acc s En outie le contingent pr vu pour la hors classe a emp ch nombre d enseignants ayant un bar me sup rieur au dernier promu dans le second degr d tre retenus Aussi il lui demande quelles mesures sont pr vues our op rer r ellement une revalorisation de la Tonction de pro esseur d E P S viter des in galit s choquantes telles que celle d crite ci dessus mais aussi garantir tous les enseignants d tach s dans le sup rieur une notation quitable et si une ges tion globale de l ensemble de la hors classe des professeurs d E P S de tous secteurs ne serait pas envisageable Enseignement agricole pe
77. e l unanimit par le groupe d partemental de Loire Atlantique de l Unlon nationale des combattants U N C U N C A F N dans les termes ci apr s L Union nationale des combattants U N C U N C A F N r unie en congr s d partemental pour la Loire Atlantique Missillac le 2 septembre 1990 1 rappelle avec constance et insistance au Gouvernement de la France ses obligations envers le monde combattant et particuli rement les combattants en Afrique du Nord auxquels justice n est pas rendue les conditions d attribution de la carte du combattant tant trop s lective l am nagement de leur acc s la retraite professionnelle n tait envisag 2 d plore le manque dc consi d ration apport aux combattants par les moyens de communica tion modernes le moindre tant la regrettable omission dans l in formation le pire tant le discr dit port voire la d rision injuneuse 3 d nonce la remise de m dailles nationales hors ambassade par une d l gation trang re pratique qui ne manque pas de perp tuer des querelles et de fuste des sensibilit s patriotiques 4 en cas de conflits ext rieurs mena ants compte tenu de l volution technologique des armements demande aux responsables politiques d engager prioritairement les sp cialistes de carri re nos familles restant encore meurtries par des mobili sations pass es multiples moins que la patrie ne se trouve directement en danger et fasse appel t
78. e dans le cadre de la r flexion pr cit e POSTES T L COMMUNICATIONS ET ESPACE Postes et t l communications personnel Nord 33754 24 septembre 1990 M Georges Hage fait observer M le miaistre des postes des t l commuaications et de l espace que en d pit de d cisrations diverses ei rassurantes les sept postiers du centre de tri automatique de Lezennes n ont tou jours pas t r ini gr s leur poste de travail et si l apaisement recherch ne consiste point avant tout dans leur r int gration leur poste de travail R ponse Sept postiers de la r gion Nord Pas de Calais ont comparu devant le consell central de discipline et six d entre eux ont fait l objet de sanctions disciplinaires Parmi ces six agents trois ont t d plac s d office un quatri me a t exclu temporairement de fonctions pour une dur e de quinze jours avec sursis total mais maintenu au centre de ch ques o il tra vaillalt Ces postiers ont donc t r admis en service il y a plualeurs mois d j Quant aux deux autres agents sanctionn s par des exclusions temporaires de fonctions plus importantes ils ont b n fici d une mesure de cl mence qui a consist mettre fin d une facon anticip e et compter du 2 juillet 1990 aux effets de leur exclusion de fonctions Ces deux agents ont re u une affectation dars des bureaux situ s dans communaut urbaine de Lille r entrainant donc aucun changement de
79. en fin de compte une taxe dont ils sont par ailleurs individuellement exon r s 1 lui demande de lui faite aavoir quelles mesures ils comptent prendre en vue de d charger de la taxe d habitation les associations gestionnaires de maisons de retraite Imp ts locaux taxe d habitation 74793 26 f vrier 1990 M Lucien Richard appelle l atten tion de M ministre d l anpr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg du budget sur la situation des pensionnaircs des maisons de retraite au regaid de taxe d habitation lui expose que ces personnes sont personnellement imposables lorsqu elles ont la disposition d une chambre particuli re ou d un studio titre privatif ei qu en revanche si le r glement int rieur de l tablissement com cas le plus fr quent des restrictions au libre usage des ocaux ia taxe d habitation est tahiie non pas au nom des pen sionna res mais au nom du gestionnaire de l tablissement sous Une Sotsunique Miui fast oltereertissiamsnt camme lloocation lui en a t donn e lors d une r cente question orale que dans la pratique la taxe d habitation mise la cote unique est r per cut e dans le prix de journ e sur les pensionnaires qui supportent ainsi l imp t sans pouvoir b n ficier des d gr ve ments auxquels plus des trois quarts d entre eux pourraient pr tendre s ils taient nerennnellement redevables de cette
80. en plus de citoyens ran ais se voient refuser la d livrance d une fiche d tat civil parce qu ils n ont que le passeport pour justifier de leur identit Cette mesure est d autant plus coniest e par le grand public que le passeport et la carte d identit sont tous deux tablis sur pr sentation du m me document soit partir de l acte de naissance Aussi il lui demande s il entend consid rer le passeport comme pi ce de r f rence la d livrance de la fiche d tat civil Elections et r f rendums cumul des mandats 35463 12 novembre 1990 M Marc Dolez remercie M le rainistre de l int rieur de bien vouloir dresser un bilan de la loi relative au cumul des mandats Il souhaiterait notamment connaltre combien de fois chaque type de situation de cumul a t rencontr e et quels ont t alors les choix des lus 1l souhai terait galement savoir si des statistisques identiques ont pO tre dress es pour les lus qui ont d cid d anticiper l application de la E en choisissant de ne pas soliciter le renouvellement de leut mandat Communes personnel 35465 12 novembre 1990 M Jean Laborde appeile l at tention de le ministre de l int rieur sur la situation des ani mateurs et des animatrices municipaux dont la fonction sp ci fique ne semble pas avoir t prise en compte dans la r forme de la fonction publique territoriale puisqu ils doivent tre reclass s dans des emplois administratifs 11
81. envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont il assure la tutelle et par les setvices d pendant des conseils g n raux les dispositions pr vues les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 aveur des personnes handicap es afin que cessent ces entorses admissibles l Etat de droit ASSEMBL E NATIONALE 5201 Handicap s C D E S et COTOREP 35486 12 novembre 1990 M Andr Labarr re appelle l attention de M le secr taire d Etat aux handicap s et aux accident s de la vie sur le Livre blanc r alis par l Associa tion des paralys s de France Le document recense un certain nombre de d cisions prises par les COTOREP ou les services d partementaux de l aide sociale l encontre des personnes han dicap es et qui sembleraient restrictives par rapport l nonc du texte l gislatif Il souhaiterait conna tre le sentiment de M le ministre de la solidarit de 1a sant et de la protection sociale sur cette interpr tation et dans le cas o il partagerait sa mani re de voir quelles sont les mesures que son administration envisage de prendre afin que soient confort es les dispositions pr vues notamment par la loi d orientation du 30 juin 1975 Handicap s C D E S et COTOREP 35487 12 novembre 1990 M Plerre Jeaa Daviand appelle l attention de le secr taire Etat aux handicap s et aax accident s de la vie sur sa pr occupation apr s avoir p
82. et allocation parentale d ducation 38655 12 novembre 1990 M Xavier Hunauit attire l at tention de Mme ie secr taire d Etat ia famiiie et aux per soanes g es sur les lacunes concernant la perception de l allo cation pour jeune enfant A P JE et l allocation parentale d ducation A P E En effet cette A P J E n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du premier anniversaire des enfants leurs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serve de condition de ressources la famille ne touche qu une A P J E La cons quence est la suivante une famille de jumeaux perd 20376 francs une famille de tripl s perd 40752 francs une famille de quadrupl s perd 61128 francs une famille de quintupl s perd 81 504 francs une famille de sextupl s perd 101880 francs sur ces deux ans bar me au ler janvier 1990 De plus l allocation parentale d ducation n est pas cumulable avec l A P J E La famille doit choisir la plus int ressante des deux Dans tous les cas la famille de muitifies per oit de ces deux prestations la m me somme qu une famille naissance unique On ne tient pas compte du nombre des enfants lever ce qui est pour le moins un para doxe en pleine p riode de r cession d mographique lui demande une modification de de ces deux presta tions familiales afin que les familles naissances inultiples ne solent plus p nalis es FONCTION PUBL
83. et aussi que dans l avenir de telles anomalies ne se reproduisent pas Agroalimentaire miel 38616 12 novembre 1990 M Edouard Landraia interroge M le miniatre de l agriculture et de la for t propos de l avenir des professionnels de l apiculture Ceux ci ont de plus en plus de difficult s et s interrogent sur le sort qui sera le leur dans ASSEMBL E NATIONALE 5185 les prochaines ann es Au dire des apiculteurs la seule am liora tion durable suppose la n cessaire r affirmation de la politique agricole 1nettant l accent sur l emploi de plans de pollinisation intensive comme vecteu s d am lioration des rendeinents agr coles 11 aimerait connaitre ses intentions sur les aides qui pour raient tre accord es aux apiculteurs et la mise en place d une politique agricole sp cialement adapt e au monde apicole Imp ts locaux taxes fonci res 35627 12 novembre 1990 M Jacques Farran appelle l at tention de M le ministre de l agriculture et de a for t sur le m contentement croissant de nos agriculteurs face aux contraintes toujours plus importantes qui s imposent eux dans l exercice de leurs professions A diverses reprises des proposi tions simples et faciles mettre en uvre avaient t avanc es pour diminuer de fa on cons quente les charges des entreprises agricoles La plupart de ces propositions n ont ce jour pas t appliqu es malgr les souhaits des organisations agricol
84. et commerciaux soit en tablis sements publics caract re administratif Si dans le premier cas compte tenu du d psrt industriel et commercial la gestion doit s effectuer selon les r gles du droit priv et donc permettre de placer l ensemble des activit s dans le r gime ce m ca nisme n est pas possible dans le second cas Il lui demande donc compte tenu des acvcttivit s de service epublic des syndicats mixtes s l extension du b n fice du fonds de compensation de la T V A ne peut m jure enviseg dans le cas o ces structures comprennent des chambres consulaires Imp t sur le revenu charges ouvrant droit r duction d imp t 38602 12 novembre 1999 Soucieuse de proposer des mesures ayant des effets positifs sur la facture nerg tique de la France et sur la qualit de notre environnement Mme Marie France Stirbois appelle l attention de M ie ministre d Eiat miaistre de l conomie des finances et du budget sur la n cessit d une politique Cus deem long terme pour 18 France et propose d tendre la port e des incitations fiscales aux travaux concourant aux conomies d nergie ces mesures ayant 5194 montr par le pass leur efficacit aux travarx r alis s par les locataires en vue d augmenter le nombre des logements co nomes en pe aux mat riels de r gulation et de programma tion aux syst mes de ventilation double flux et hygro r glabie et aux pompes chal
85. et doivent apporter une large participation la pr para tion des jeux Oiympiques de 1992 Il lui demande quelles mesures peuvent tre prises pour pr server ce potentiel cono mique notamment par des concours bancaires sp cifiques et des reports d ch ances en mati re fiscaie et sociale trans M le ministre des affaires sociales et de la solidarit Textiie et habillement aides et pr ts 24381 19 f vrier 1990 M Michel Noir appelie l attention de M le ministre d Etat miaistre de l conomie des finances et du budget sur ies difficuit s rencontr es notamment par les industries sp cialis es dans i habillement de sport d hiver dont G HA qq mg M n co gt mn l activit peut tre fortement perturb e par les conditions m t o rologiques ll lui demande de bien vouloir lui pr ciser si le Gou vernement envisage de prendre des dispositions pour pr server le potentiel conomique de ces entreprises souvent tr s perfor mantes l exportation Envisage t il de consentir des reports d ch ances en mati re fiscale et sociale et d encourager des concours bancaires sp cifiques aux entreprises et aux commerces sp cialis s dans l habillement de sport d hiver Question
86. familles les plus modestes puissent obtenir syst matiquement une remise gracieuse totale de l ind lorsque leur bonne foi est mise en vidence R ponse Certains particuliers ayant per u par erreur d un organisme de s curit sociale des prestations d un montant sup rieur celles qui devaient normalement leur tre attribu es peu vent avoir des difficult s rembourser ces trop per us Les com missions de recours amiable des organismes de s curit sociale saisies de demandes de remise gracieuse de ces indus examinent l tat de pr carit de ces d biteurs et peuv nt proc der au vu de chaque situation une reinise partielle ou totale de ces dettes En ce qui concerne la branche famille l approche sociale de l ac tion en recouvrement se caract rise par un chelonnement des remboursements sur les prestations choir dans la limite de 20 p 100 maximum desdites fs s a en outre t indiqu aux organismes cue psuvait tre admise comme pr caire la situa tion de l allocaiaire caract ris e par des ressources modestes et devenant insuffisantes pour subvenir l entretien de sa famille en cas de remboursement en tout ou partie de la dette m me de fa on chelonn e Par ailleurs dans le cadre de l application de la loi n 89 1010 du 31 d cembre 1989 relative la pr vention et au r giement des difficult s li es au surendettement des particu liers et des famiiles les organismes qui servent les pres
87. financiers 11 lui demande enfin s il envisage d organiser dans les plus brefs d lais un d bat d orientation au Parlement sur les graves probl mes dans les banlieues les tensions croissantes illustr s par les r cents v nements de Vaulx en Velin et plus g n ralement sur la politique de la ville et le mal vivre qu elle doit combattre Pr sident de la R publique protocole 35568 12 novembre 1990 M Eric Raoult attire l attention de M ie Premier ministre sur la n cessit d laborer un statut de conjoint du chef de l Etat En effet pour viter toute pol ou ventuelle critique l gard de l pouse du Pr sident de la R publique il conviendrait de mieux fixer par voie institu tionnelle ia limite de ses droits et devoirs l expression d un mili tantisme trop actif dans cette fonction pouvant surprendre voire choquer car elle est contraire une discr tion qui tait aupara vant de coutume 11 lui demande de bien vouloir laborer dans f rsdre procolaire un cadre juridique de conjoint du chef de Etat Droits de l homme et libert s politiques 35569 12 novembre 1990 Francois Aseasi appelle l at tention de M ie Premier ministre sur un probl me inqui tan au regard de l Etat de droit Un citoyen avait saisi la commission nationale Informatique et libert s au sujet de pi ces figurant ill galement dans un fichier le concernant ainsi que sur la collecte
88. ia saat et de 1 protec tion sociale sur le projet de nomenclature des actes de kin sith Ce texte fut adopt par la commission permanente de 1 nomenclature mais ii est encore en attente de tout avis et accep tation par les services de l administration L int r t des malades est directement en cause la derni re nomenclature datant de 1972 d autant qu en vingt ans les techniques ont volu de telle en que les m mes traitements ne peuvent pius tre appliqu s lui demande si le traitement de ce dossier est en cours et doit bient t aboutir Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30407 18 juin 1990 M Etieane Piate attire l attention de M le mlaistre de la solicarit de la saat et de la protection sociale sur l impatience des kin sith rapeutes de voir ent riner par le Gouvernement le projet de nouvelle nomenclature des actes de r ducation tabli et approuv le 20 semere 1989 par la commission permanente de la nomenclature lui demande de blen vouloir s en expliquer Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31265 9 juillet 1990 M Domiaique Gambier attire l at tention de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la lon sociale sur les difficult s que rencontrent aujourd hui opp eia La nomenclature qui r git cette profession date de plus de quinze ans De nouvelles activit s sont apparues et les techniques de soin ont fortemen
89. jour nalier est support pat le personnes admises dans les tablisse ments sanitairea st m dico sociaux Pour les aduites handicap s admis en tablissement de soins les articles 821 8 et 821 9 du code de la s curit sociale pr volent qu au del du soixan tl me jour d hospitalisation le montant de l allocation est r duit de 20 p 100 sl l allocatalre est mari de 50 p 100 s il est c liba taire sous r serve que l int ress conserve apr s acquittement du forfait au moins 12 p 100 du montant de l A A H taux plein Pour les personnes handicap es admises en maison d accueil sp cialis e l article R 821 13 pr voit qu partir du pre mier jour du mois suivant une p riode de quarante cinq jours l allocation subit une r duction calculte de telle sorte que le b n ficiaire conserve apr s paiement du forfait journalier 12 p 100 du montant mensuel de taux plein Aucune r duction n est effectu s 1 lorsque le b n ficiaire est mari sans enfart si son conjoint ne travallle pas pour un motif reconnu vilable par la COTOREP 2 lorsque le b n ficiaire a un ou plurieurs enfants ou un ou plusieurs ascendants charge En toute hypoth se la r duction de l allocation n est op r e que pendant 11 p riodes o l adulte handicap s journe effective ment dans l tablissement l exclusion de p riodes de cong ou de suspension de ia prise en charge Ce dispositif vise
90. l Edmond Alphand ry souhaiterait obtenir de M le ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget les r cisiona suivantes 1 cette taxe constituant une imposition ndirectement affect e au profit d une collectivit locale ne peut ellr pas a agissant de la d termination des revenus fonciers tre consid r e comme une charge d ductible au sens de lar ticle 31 1 1 c du code g n ral des imp ts 2 dans d pes o le minist re de l conomie des finances et du budget ne retiendrait cette solution ne se trouve t on pas d s lors dans un cas d in galit des redevables devant l imp t puisque a d une part les assujettis de la r gion Ile de France seraient les seuls supporter ce mode de financement de certains quipe ments sans b n ficier de la possibilit d en d duire le co t de leurs revenus fonciers alors qu il s agit d une charge fiscale ayant ee oc 00 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 le ca act re d une imposition locale b d autre part les per sonnes physiques seraient p nalis es par rapport aux personnes sovmises l imposiuon des B I C ou l imp t sur les soci t s pour lesquelles cette charge est fiscalement d ductible d s 10 3 que la 101 ne pr voit pas express ment le contraire qu il s agisse d un propri taire occupant ou d un propri taire bailleur R ponse La taxe annuelle sur les locaux usage de bureaux
91. l at tres 5180 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Foren t moignages d internements abusifs de tortures inflig es des tudianis des opposants politiques m me des enfants lui demande en cons quence de lui faire connaitre la position du Gouvernement sur cette situation et les initiatives qui peuvent tre prises pour que soient respect s les principes admis par la communaut internationale Politique ext rieure Vietnam 35320 12 novembre 1990 Mme Martine Daugreilh attire une nouvelle fois l attention de M ie ministre d Etat ministre des affsires trang res sur les relations entre la France et la R publique du Vietnam La Communaut conomique euro p enne a fait r cemment part de son intention de renouer ses contacts avec ce pays Or les responsables gouvernementaux viet namiens se sont signal s r cemment par une s rie de d clarations pour le moins inqui tantes Ainsi le ministre de l int rieur M Mai Chi Tho a d nonc ceux qui veulent introduire le plu ralisme politique le multipartisme et la d mocratie bourgeoise au Vietnam Face de tels propos et contrairement la pr c dente r ponse du ministre Journal officiei du 2 juillet 1920 il piss peu certain que les autorit s vietnamiennes aient mesur importance que la France attache au respect des droits et libert s fondamentales Dans ces conditions elle lui demande que la France et ses partenai
92. l lui demande quelles mesures il compte prendre pour inverser la tendance actuelle qui risque de poser d importants probl mes dans un avenir proche R ponse Les transformations d emplois pr vues par le statut de 1988 qui ont permis de prononcer 550 avancements de grade d s 1989 jointes aux r visions indiciaires intervenues d s la ren tr e de 1988 repr sentent un cr dit de 260 millions de francs sur cing ans pour 12 000 personnes Toutefois les d cisions arr t es l gard des corps enseignants et d inspection dans les plans de revalorisation de 1989 justifient une certaine harmonisation des dispositions prises en avril 1988 l gard des personnels de direction Un certain nombre de mesures ont d ores et d j t d cid es C est ainsi que pour tenir compte des dispositions arr t es l gard des corps enseignanis d ducation d informa tion et orientation il t d cid de supprimer terme a 3e classe du corps des personnels de direction de 2 cat gorie La transformation des emplois correspondants sera achev e d ici au 31 d cembre 1995 Par voie de cons quence le pourcentage sta tutaire des emplois de lre classe de 2 cat gorie sera au cours de la m me p riode port de 15 20 P 100 Le pourcentage statu taire des emplois de 1 classe de 1 cat gorie 30 p 100 sera quant lui atteint d s 1992 Ces dispositions permettent en parti culier de garantir aux p rsonnels de direction
93. la n cessit de faire droit aux grandes revendications du monde combattant l occasion de la pr paration du budget 1991 Une vaste n gociation devrait s ou vrir dans cette perspective avec l ensemble des associations repr sentatives des trois g n rations du feu en vue de revenir au prin cipe et au respect du rapport constant de supprimer les mesures restrictives l encontre des pensionn s de guerre introduites par la r forme des suffixes d instaurer une v ritable des pensions d accorder la campagne double aux anciens com battants d Afrique du Nord et la retraite anticip e ceux d entre eux qui sont ch meurs en fin de droit ou pensionn s de lever les forclusions encore oppos es aux cartes de C V R 11 lui demande s il entend agir en ce sens R ponse est exclu de remettre cause les mesures prises par la loi dc finances pour 1990 en ce qui concerne le nouveau dispositif du rapport constant et la r forme des suffixes 1 Ce nouveau dispositif assure le respect du rapport constant et ermet en 1990 une augmentation suppl mentaire de 300 mil ions de francs met fin aux contentieux quasi permanents que suscitait l ancien r gime 2 En ce qui concerne la r forme du m canisme des suffixes i est apparu souhaitable de corriger cer incoh rences du mode de calcul des pensions militaires d invalidit afin d viter que dans des cas extr mes nne incapa cit Een ne soit
94. la r forme de la fonction publique territoriale Les r flexions en cours men es depuis deux ans maintenant n ont en effet toujours pas t soumises la consultation des f d ra tions concern es 11 lui demande en cons quence de bien vouloir lui communiquer toutes informations utiles cet gard Fonction publique territoriale politique et r glementation 345808 12 novembre 1990 M Jesn Ciaude Lefort attire l attention de le misistre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur a suppression des concours de commis r dacteur et attach communal animation et de la formation per mettant leur pr paration En 1981 une option animation tait Introduite dans ces concours Celle ci permettait aux personnels exer ant l emploi d animateur d tre reconnus en tant 955 tels et de pouvoir b n ficier d un statut La formation dispens e pour la pr paration de ces concours a cess en 1987 Les derniers concours ont eu lieu en 1989 La d marche de r tablissement de ces concours ainsi que la nenne de la formation faites par les animateurs maternelle des villes de Vitry sur Seine Orly Choisy le Roi Le Kremlin Blc tre Villejuif Ivry sur Seine Maisons Alfort Alforiville L Haf les Roses ont valeur plus g n rale 11 lui demande donc de bien vouloir lui faire connaitre son opinion ce sujet et de lui indiquer en particulier s il entend r tablir ces concours ainai que les formations permettant de les
95. les Am ricains ont exerc e au Viet Nam C est une sorte de d mocratie o le peuple n est pas souverain Ces d clarations alarmantes ne sont pas rest es sans cons quences Fin mai dernier une vague de r pression s est abattue sur le pays Des pr tres des membres du parti qui ont os mettre des avis quelque peu critiques sur la direction du P C ont t empri sonn s Les agences de presse annon aient l arrestation de plu sieurs milliers de personnes En cons quence M Geo Mesmia demande M le ministre d Etat ministre affaires trang res quelle le on il entend tirer de ces faits 11 lui demande s il entend continuer aider conomiquement et financi rement un r gime dont les plus hauts dirigeants non seu lement traitent les gouvernements des pays libres avec le plus vif m pris et le plus grand cynisme mais encore vilipendent les valeurs de soci t de l Occident A quelques jours des premiers renvois forc s des boat people de ong Kong il lui demande quelle est le position du gouvernement fran ais sur ces mesures inhumaines R ponse Le Gouvernement se f licite de l appr ciation posi tive que l honorable parlementaire porte sur l efficacit des mesures axopises par le gouvernement fran ais l gard de l Afrique du Sud En revanche il ne peut pas retenir le parall le qu il tablit entre ie r gime de ce pays et celui du Viet Nam Le gouvernement fran ais suit avec une particuli re vigilance les d a
96. lui demande quel est l avenir qu il pr voit ces personnels qui ont pourtant un r le de plus en plus important aupr s des enfants des kanep des personnes g es et qui ont besoin pour bien remplir leur mission d une qualification croissante D linquance et criminalit lutte et pr vention Yvelines 35496 12 novembre 1990 M Pierre Lequiller appelle l attention de M ie ininistre de l int rieur sur les probl mes de s curit et de tension qui se posent actuellement dans un certain nombre de villes et de quartiers et dont l actualit a t brutale ment rappel e lors des v nements de Vaulx en Velin 11 lui indique par ailleurs que la ville de Chanteloup les Vigres qui compte 10000 habitanis dont 80 p 100 vivent dans une cit H L M situ e dans les Yvelines est aux prises avec des pro bl mes quotidiens de d linquance et d ins curit dus pour l es sentiel un manque de moyens humains policiers et finsnciers mais aussi des carences certaines au niveau du suivi judiciaire des dossiers ll lui demande de lui pr ciser les moyens qu il compte mettre en uvre pour faire face avec d termination une d linquance qui commence envahir la vie de tous les jours des habitants des quartiers d favoris s et qui faute de traitement pourrait entrainer des cons quences tr s graves lui demande par ailleurs s il ne serait pas n cessaire de doter la ville de Chanteloup les Vignes des forces de police
97. ministre sur l urgence des mesures prendre compte tenu du fait que les handicap n vivent cela au quotidien et que pour les plus jeunes c est une sorte de condamnation sans appel rendant la poursuite de leurs tudes et toute tentative pour mener une vie normale totalement impossibles D partements fonctionnement Rh ne 35608 12 novembre 1990 Mme Bernadette isanc Slbille appeiie l attention de M le ministre des affaires sociales et de solidarit sur les difficult s des personneis m dicosociaux des services du d partement du Rh ne Elle lui pr cise que la situa tion du service social polyvalent apr s la mise disposition l Etat de trente deux assistantes sociales d partementales devient de plus en plus pr occupante Depuis trois ans les personnels multiplient les actions pour d noncer les effets pervers de cette d cision savoir notamment le non remplacement lors du d faut des assistantes sociaies mises la disposition de l Etat soit par voie de mutation soit par voie de d tachement Actuelle ment dix postes ne sont plus pourvus depuis plusieurs mois sur des zones urbaines particuli rement sensibles telles que V nis sieux et Villeurbanne Cette situation s aggrave par le droit d op tion reconnu ce personnel pour r int grer le d partement seize personnes ont demand b n ficier de leur retour cette ann e dans les services d partementaux Elle lui indique que cette situation est d
98. novembre 1990 M Claude G rard Marcus attire l attention de M le ministre de l int rieur sur les embarras occasionn s quotidiennement par les cyclomoteurs tr porteurs ou motocyclettes qui stationnent de n anarchique sur les trottoirs de Paris sources de g ne et d ins curit pour les pi tons Cette nuisance est particuli rement ressentie dans les quartiers centraux de Paris notamment les 2 3 et 10 arrondis sements o la pr sence de ces v hicules est li e aux nombreux magasins et entrep ts de grossistes install s dans des rues troites La situation s est particuli rement aggrav e depuis la cr ation des axes rouges Les fonctionnaires de police de voie ne peuvent que constater l inefficacit des sanctions abltuellement utilis es dans ce cas en ce sens qu elles touchent rarement les utilisateurs des v hicules bien que l article L 21 et 34 du code de la route pr voit que le conducteur d un v hicule est responsable p nalement des infractions commises lui dans la conduite dudit v hicule la responsabilit p nale du commet tant pouvant galement tre engag e En fait qu il s agisse de cyclomoteurs utilis s par des jeunes gens ou par les coursiers des magasins les amendes de police sont pay es quand elles le sont effectivement par ies parents ou psr l employeur Le contreve nant n est donc que rarement touch personnellement par la sanction C est pourquoi il lui demande
99. pond au niveau 2 bac 3 Cette d cision n est pas en rapport avec lea responsabilit s qu assument chaque jour sur le terrain les assistants sociaux Elle ane tient pas compte de l volution conatante de l action sociale et compromet la reconnaissance du dipl me d Etat sur 1 plan europ en Elle lui demande de bien vouloir homologuer la qualification professionnelle des assistants son juste niveau et de garantir par une formation adapt e Retraites g n ralit s b n ficiaires 38623 12 novembre 1990 Mme Monique Papon attire l attention de M le ministre des affaires sociales et de la soli arit sur la situation d une centaine de Fran ais qui ayant exerc leur activit au Cameroun et cotis au r gime de protec tion suciale de ce pays se voient lorsqu ils prennent leur retraite en France riv s du versement de leur pension Or la suite de n gociations de s curit sociale qui se sont d roul es Paris en janvier 1988 ertre les autorit s fran aises et camerounaises une convention sociale de r ciprocit franco camerounaise t para ph e en 1989 par les deux parties elie n a toujours pas t aign e Elle lui demande donc quels moyens il compte mettre en uvre afin de r gler dans les meilleurs d lais les dossiers de ces retrait s francais Professions param dicales infirmiers et infirmi res 38624 12 novembre 1990 M Patrick Baikany attire l at tention de M le min
100. quences sont dommageables pour les pr teurs et dramatiques pour les int ress s Dans cette optique outre l enca drement de certaines pratiques commerciales la loi du 31 d cembre 1989 a d cid la mise place par la Banque de France avec l accord et sous le contr le de la Commission natio nale de l informatique et des libert s d un fichier national recen sant les mesures conventionnelles ou judiciaires mises en uvre dans le cadre de z loi ainsi que les inforniations sur les incidents de paiement caract ris s li s aux cr dits accord s aux personnes hysiques pour des besoins non professionnels Le mode de onctionnement de ce ficnier a t pr cis par un r glement du comit de r glementation bancaire qui a fait l objet d une tr s large concertation et a t homologu par un arr t du 11 mai 1990 La mise en place de ce fichier am liorera tr s sensi blement l information des tablissements de cr dit et leur per mettra d accorder leurs pr ts dans de meilleures conditions 11 est r vu de revoir le contenu de cette loi dans un d lai de deux ans partir de sa promulgation afin d y apporter les modification souhaitables Automobiles et cycles commerce et r paration 29041 28 mai 1990 M Pierre M tals attire l attention dz Mime le secr taire d Etet aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des fiaances et dm budget charg de 1 consommations sur les difficult s rencontr es par les
101. r gime successoral a opt pour la T V A sur les location et effectue r guli rement les d clarations fiscales aff rentes Tou tefois elle se voit r clamer r guli rement les d clarations de r sultat des soci t s civiles immobili res de personnes ainsi que diverses pi ces fiscales obligatoires pour ce type de soci t En cons quence i souhaite qu il lui pr cise les obligations d clara tives fiscales pesant sur les indivisions successorales exploitant des locaux commerciaux ainsi que les r gimes de d claration des r sultuts pertes et b n fices constat s sur un exercice fiscal qui leur est applicable P trole et d riv s imp ts ei taxes 35547 12 novembre 1990 M Jacques Farran appelle l at tention de le ministre d l gu au budget sur le souhait des professionnels de l agriculture de b n ficier des mesures de d taxe de certains produits p troliers appliqu es jusqu alors et particuli rement aux trans peur routiers et aux agriculteurs utilisateurs de moyens de chauffage de serres 11 souhaite qu il lvi pr cise si les agriculteurs t dirigeants d entreprises agricoles b n ficier d une taxe totale sur le fioul et le gazole uti lis s dans le cadre de leu s exploitations tant pour les chauffages des serres et b timents que pour le fonctionnement des v hicules et engins moteur Diesel i Communes finances locales Yvelines 35577 12 novembre 1990 M August
102. rapie a t vot par la commission permanente de nomenclature mais n a pas re u l avis du ministre En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer ses intentions sur tous ces points et si prochainement des solutions pourront tre apport es Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30179 18 juin 1990 M Didier Chowuat appelle l atten tion de M le micistre de solidarit de 1 ssat et de la protection sociale su tes revendications exprim es par les mas seurs kin sith rapeutes r ducateurs et aui portent sur lcs deux points suivants la valeur de la lettre cief A M M qui n a pas volu depuis mars 1988 le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer l tat d avancement de ces dossiers Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30181 18 juin 1990 M Richard Cazeaave attire l atten tion de M le ministre de solidarit de is saat et de la rotectioa sociale sur deux dossiers qui pr occupent gravement a profession des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs En premier lieu la valeur de la lettre clef A M M n a pas volu depuls mars 1988 Conform ment au texte de la convention nationale les n gociatlons tarifaires avec les caisses d assurance maladie ont t engag es d s le mois d avril 1989 Un accord sur la base de revalorisation tarifaire en est issn mais n
103. rations 38420 12 novembre 1990 M Didier Juiia expose M ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget le souhait dont viennent de lui faire part les salari s de l Etat et des collectivit s territoriales de Seine et Marne de voir supprimer le syst me des abattemerts de zones En effet le chan gement de lieu de travail peut se traduiie et parfois m me la auite d une promotion par une forte perte de r mun ration du seul fait de l application de ce syst me Cet effet se produit en faveur de Paris et de sa premi re couronne ce qui n est pas sans poser des probl mes au d partement de Seine et Marne qui a vu sa population augmenter de 262 000 habitants entre les deux derniers recensements et dont les offres d emplois qualifi s res tent insatisfaites 11 lui demande de bien vouloir lui pr ciser s il entend supprimer ce syst me devenu obsol te Guyane ventes et changes 38458 12 novembre 1990 M Elie Castor appelle l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de i conomie des finances et du budget sur les cons quences de l a gmentation r vue pour les frais d acquisition des immeubles vendus en tat utur d ach vement 11 indique qu une telle disposition ne serait pas sans danger pour le d veloppement de l activit du b timent en Guyane ol la conjoncture de l immobilier est d j difficile en raison des difficult s rencontr es par
104. rofesseurs de lyc e professionnel du premier grade aura t int gr dans le second grade trop peu de transformations de P L P P L P 2 sont intervenues pour que les int ress s puis sent tre satisfaits 11 lui demande en cons quence quelles sont mesure qu il envisage pour qu court terme ce probl me soit r gl Enseignement perscnnel enseignants 38648 12 rovembre 1990 M Charies F vre attie l atten tion de M ministre d Etat ministre de l ducation natio anle de la jeunesse et des sports sur l attribution de l indem nit de suivi et d orientation des l ves institu e par le d cret du 6 juillet 1989 en faveur des personnels enseignant dans les ta blissements scolaires du second degr En effet cette indemnit est vers e aux professeurs stagiaires des centres p dagogiques r gionaux alors qu elle est refus e aux professeurs stagiaires de l cole normale nationale d apprentissage 11 lui demande de lui faire connaitre s il ccmpte dans un souci d quit rem dier cette situation Retraites fonctionnaires civils et militaires montant des pensions 34646 12 novembre 1990 M Jean Besson appelle M le ministre d Etat ministre de l ducation aatiosale de esee et des sports la situation des retrait s P L P 1 des yc es professionnels qui semblent tre les oubli s du plan de ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 revalorisation de la fonctio
105. s aux fonctionnaires des cat gories C et D pa l arr t du 5 juin 1987 lui demande de bien vouloir lui faire connaitre les mesures qu il envisage de prendre ce sujet Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 34474 12 novembre 1990 M Maurice Briand attire l at tention de M le secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur les requ tes de la F d ration nationale des fils des morts pour ia rrance Nombreux sont les orphelins de guerre confront s aux difficult s du march du travail aux quelles par l absence d un p re une pr paration insuffisante dans leur jeunesse ils n ont pas t pr par s Ces h ritiers des Morts pour la France demandent en effet 1o pouvoir postuler aux emplois r serv s de l administration 2o b n ficier de la majo ration d un dixi me des points dans les concours administratifs 3 b n ficier de la r cente loi conceinant l emploi des handi cap s dans le commerce et l industrie 4 b n ficier d une retraite anticip e I1 lui demande de bien vouloir lui donner son avis sur ces revendications et lui indiquer les dispositions que compte prendre son minist re cet effet Anciens combattants et victimes de guerre Afrique du Nord 38501 12 novembre 1990 M Xavier Hunauit a l honneur de porter la connaissance de M ie secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre la motion vot
106. s locales pour le financement de l enseignement R ponse Le minist re de l ducation nationale de 1 jeunesse et des sports est pleinement conscient de l effort corsenti notam ment par les coilectivit s locales pour a cr ation du premier d partement du secteur secondaire sis Tarbes qui jusqu pr sent ne pouvait accueillir ses premi res promotions d tudiants que dans des locaux provisoires lou s l cole nationale d ing nieurs de Tarbes Afin de surmonter dans les meilleurs d lais les difficult s actuelles et dans le souci d assurer la qualit des enseignements d livr s au sein de cette entit i a t d cid d at tribuer au profit de ce d partement compl ment financier C es dans cette perspective qu t obtenu le principe de l oc troi en 1991 d une subvention de cr dit bail quivalent 6 mil lions de francs en mati re d quipement Enseignement secondaire personnel personnel de direction 30835 2 juillet 1990 M Le Vern attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la Jeunesse et des sports sur le nombre croissant de postes de el rae non pourvus Ainsi pour 825 postes pourvoir 05 candidats suivent actuellement une formation Le d ficit risque de s aggraver terme si cette fonction ne devient pas plus attractive par une revalorisation une meilleure formation et une modification des modalit s de l examen
107. taire des inspecteurs pre des affaires sociales et qu a 616 retenu le principe du futur statut des m decins de sant scolsire Les pharmaciens inspecteurs de la sant seront donc les seuls dans le cadre da projet d administration et du renouveau du ser vice public n avoir pas obtenu d ajustement statutaire lui demande de bien vouloir faire proc der une nouvelle tude de ce probl me et esp re que sera prise une d cision favorable au corps des pharmaciens inspecteurs de la sant Racisme lutte et pr vention 35589 12 novembre 1990 M Christian se r f rant sa d claration du 27 mars 1990 demande M ie Premier ministre de lui pr ciser l tat actuel de mise en place dans les d partements d une cellule de coordination de la lutte contre le racisme et l antis mitisme et plus particuli rement de la mise a mut de cette cellule dans tiois ou quatre d partements sen sibles Professions pararn dicales infirmiers et infirmi res 35619 12 novembre 1990 M Hubert Faico appelle l at tention de M Premier ministre sur la perpiexit des infir miers lib raux suite la r ponse du ministre des affaires sociales la demande de revalorisation tarifaire des soins Ils contestent les chiffres pr sent s par le ministre et les statistiques des caisses d assurance rnaladie qui ont fait l objet de critiques s v res dans le rapport de la Cour des comptes Il lui demande les raisons qui ju
108. tionnaires ne connaissant pas le secteur d intervention De plus ces nouvelles disposltions vont impliquer la construction dans chaque d partement d un ou plusieurs C T A Centre de traite ment de l alerte ou 0 0 1 Centre op rationnel d parte mental d incendie et de secours dont les co ts financiers sont estim s entre dix et cinquante millions de francs par unit Le d lai minimum de mise en place de tels tablissements tant de l ordre de dix huit vingt quatre mois nos concitoyens dans ce ar de temps risquent d tre expos s des d lais d intervention rallong s alors qu en la mati re chaque seconde compte De plus aucun cr dit n existant pour le financement de ces nouvelles structures il semble qu une fois de plus l Etat en se d senga geant d une pr rogative qui lui est pourtant propre souhaite faire supporter cette charge suppl mentaire aux collectivit s territo riales 11 lui demande par cons quent quelques claircissements sur le mode de financement de ces structures et quelles mesures il compte prendre afin qe ces nouvelles dispositions n entrainent aucune cons quence n faste pour la population S curit civile personnel 35404 12 novembre 1990 M Ren Beaumont appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur la situation de
109. un avancement de classe dans le cadre du d roulement de carri re D autre part comme pour les personnels enseignants dans le cadre du plan de revalorisation un certain nombre de mesures indemnitaires ont t arr t es compter de la rentr e 1990 les indemnit s des rinsipaux de coll ge sont align es sur celles des oroviseurs de et des proviseurs de iyc e professionn l excep nn faite de l indemnit de suj tions sp ciales des proviseurs de lyc es de 4 cat gorie A compter de la m me date afin notamment de rendre plus attractifs les d buts de carri re des personnels de direction ies indemnit s des chefs d tablissement adjoints sont mortes KN n 100 de celles des chefs d tebliscement En outre les indemnit s de l ensemble des personnels de direction seront majortes d un montant uniforme de 4300 francs par an dont une moiti au titie du budget de 1991 l autre au titre du budget 1992 D autre part l indemnit de suj tions particuli res 6200 francs pr vues pour les enseignants exer ant dans des conditions difficiles sera attribu e aux personnels de direction des tablissements concern s compter du ler janvier 1991 De nouvelles mesures dans le cadre du protocole d accord sur la grille de fonction publique sont pr vues Ainsi des disposi tions relatives la mcdification du classement des lyc es et l am lioration des bonifications indiciaires attach es aux emplois de directi
110. une autre sdresse dans cette m me commune un autre tablissement il lui demande si on doit consid rer qu il y a ces sation d sctivit en ce qui concerne le premier tablissement avec application de l article 1478 1 2 alin a si par hypoth se l acti vit n a pas t c d e ou si le successeur exerce une activit dii f rente et cr ation d tablissement en ce qui concerne le second tablissement ouvert avec les cons quences attach es cette cr ation vole l evon reation de taxa nr vue l article 1578 11 av 58 du code g nciai des imp ts R ponse Lorsqu un contribuavie 55555 toute activii dans un tablissement sans avoir c d cette activit son successeur ves tuel il peut obtenir un d gr vement prorata temporis de ia t xc rofessionnelle tablie i ann e de la cesaation au titre de cet ta lissement Toutefois un contribuable ne pourrait tre consid r comme ayant cess son activit dana un tabiissement iorsqu ii a simplement proc d un transfert l int rieur d une m me com ni re mune et qu il continue exercer la m me activit pour la m me cient le Dans la situation voqu e Her l honcrable parlemen taire ie contribuable peut obtenir le d gr vement pr vu au de l article 1478 du code g n ral des imp ts si d une part il n a pas c d son activit dans l tablissement de d part et si d autre pari il exerce une autre activit ou s adress
111. zone de destinstion Prix du num ro 3 F e e Perle Imprimerie des Journeux officiels 28 rue Desalx 133000060 001190 a
112. 1990 Louls Colombanl attire l at tention de M le secr talre d Etat aux anclens combattants et victimes de guerre sur les pr occupations exprim es par les veuves d anciens combattants et victimes de guerre Elles souhai teraient pouvoir b n ficier du patronage de l Office national des anciens combattants et victimes de guerre et tre reconnues leur vie durant ressortissant de cet office Ce souhait correspond aux v ux a pt s par le conseil d administration de cet office les 21 1984 et 23 juin 1987 qui se d clarait favorable l exten sion de la qualit de ses ressortissants aux ayants cause d un res sortissant d c d En cons quence quelle suite le Gouvernement entend il donner cette demande Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35636 12 novembre 1990 M Alain Bocquet attire l atten tion de M le secr taire d Etat aux anclens combattants et victimes de guerre sur le probl me des orphelins de guerre et des pupilles de la nation En effet la loi du 27 juillet 1917 a cr l titre de pupille de la nation institu les organismes charg s de sen occuper O N A C et S D A C et mis en place certains droits sociaux Cette l gislation ne s appliquant qu aux mineurs au del de leur majorit sociale les pupilles de la nation sont exclus du b n fice des fonds d Etat Tout comme l acc s aux emplois obligatoires et r serv s n est possible que jusqu l g
113. 1990 Andr Bertho demande M le ministre de l int rieur des pr cisions relatives au rempla cement des conseillers municipaux dans les communes de moins de 3 500 habitants L article L 258 du code lectoral pr cise que lorsque le conseil municipal a perdu par l effet de vacances sur venues le tiers de ses membres il est dans le d lai de deux mois dater de la derni re vacance proc d des lections compl mentaires 11 aimerait savoir si dans cas i convient de pro c der nne nouvelle lection du maire et de ses adjoints ou si au SUBIT ceux ci restent en place jusqu la fin de leur mandat Mort cimeti res 34410 12 novembre 1990 M Bertho rappelle M le ministre de l int rieur qu aux termes de l article L 391 26 du code des communes article applicable aux communes des d partements de la Moselle du Bas Rhin et du Haut Rhin dans les communes o l on professe plusieurs cultes chaque culte a un lieu d inhumation particulier 11 lui demande de bien vouloir pr ciser les conditions que doit r unir l exercice d un culte non reconnu pour ouvrir droit l attribution d un lieu d inhumation perticulier D autre part il aimerait savoir si la commune est tenue de fournir un lieu d inhumation particulier une communaut dont le lieu de culte se trouve sur le territoire d une auire commune Voirie voirie rurale Moselle 35411 12 novembre 1990 M Andr
114. 1990 M Christian Kert demande M ie garde des sceaux ministre de ia justice de lui pr ciser l tat actuel du projet de modification de l article 175 du code p nal qui a pour effet d interdire aux maires et aux adjoints au maire une parcelle dans un lotissement communal Puisqu il indiquait qu un avant projet de texte a t labor par la chancellerie et communiqu pour avis au minist re de l int rieur Il devrait permettre de concilier les imp ratifs de moralit de la vie publique avec les besoins l gitimes de logement des lus locaux J O S nat 10 ao t 1989 p 1256 Il lui demande donc l tat actuel de ces r flexions et propositions Syst me p nitentiaire personnel 35666 12 novembre 1990 M Francisque attire l attention de M le garde des sceaux ministre de ia justice sur les revendications l gitimes des personnels p nitentiaires En effet malgr plusieurs mouvements de protestation il semble u aucune revendication r elle n ait t ens pe ou envisag e est pourquoi il lui demande de bien vouloir pr ciser quelles mesures il compte prendre pour am liorer les conditions de tra vail des personnels de surveillance et leur permettre de remplir avec efficacit leur difficile mission 5210 ASSEMBL E NATIONALE i2 novembre 1990 LOGEMENT Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont l auteur renouvelle les termes N
115. 1990 par des conomies et des recettes nouvelles taxe professionnelle de nouveaux sacrifices sont demand s la ville en pleine p riode de tensions notamment par des conomies de fonctionnement et un alourdissement de la fiscalit particuli rement difficile accepter dans une ville qui a le potentiel fiscal le plus faible du d parte ment risquant m me de compromettre la progressive d augmentation de ses recettes propres pmp antation d une zone industrielle et cr ation d emplois locaux Il lui demande de pr ciser la position du Gouvernement par rapport au probl me bud g taire de Chanteloup qui aggrave dangereusement les tensions existantes et notamment de d terminer au plus vite le moyen d quilibre pour 1990 en tenant compte du v u formul per le conseil municipal Il lul propose par ailleurs d envisager pour l avenir dans le cadre d un plan pluriannuel une dotation pr a lable de l Etat n goci e sur la base des besoins r els de la ville permettant un fonctionnement satisfaisant des services ainsi qu une r duction cons quente des d lais de versement des accomptes du moyen d quilibre 11 lui deraande enfin s il ne serait pas envisageable de proc der une valuation pr cise des besoins structurels de la ville permettant l Etat de r gler d fini tivement ces probl mes ta un apport de moyens destin s com bler les retards accumul s depuis 1977 par l implantation de la Z A C La No
116. 3399 Francis Gens 33400 Georges Durand AGRICULTURE ET FOR T Nos 33299 Gilbert Gantier 33327 Denis Jacquat 33330 Pierre R my Houssin 33338 Jean Marc Nesme 33365 Arnaud Lepercq 33366 Richard Cazenave 33367 Richard Cazenave ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE Nos 33393 Didier Julia 33304 Didier Julia 33305 Didier Julia 33318 Didier Julia 33319 Didier Julia BUDGET Nos 33301 Maurice Sergheraert 33392 Marc Reymann COMMERCE ET ARTISANAT Nos 33326 Michel Cr peau 33352 Jacques Farran CONSOMMATION 33368 Charles Miossec CULTURE COMMUNICATION ET GRANDS TRAVAUX 33302 Eric Raoult CONOMIE FINANCES ET BUDGET Nos 33306 Fran ois Fillon 33308 Jean Paul Chari 31513 Jean Paul Chari 33315 G rard L onard 33347 G rard Lon guet 33350 Francis Geng 33369 Ren Garrec DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Nos 33325 Marc Reymann 33329 Jean Tardito 33335 Bruno Bourg Broc 33348 G rard Longuet 33370 Jacques Godfrain 33371 Adrien Zeller 33372 Claude Gaits 33373 G rard L o nard 33376 Ren Couanau Debr ET NATURELS MAJEURS Nos 33316 Jean Louis Masson 33358 Jean Louis Masson a G rard Longuet 33378 Henri de Gastines 33379 Alain ousin QUIPEMENT LOGEMENT TRANSPORTS ET MER No 33309 Philippe Auberger 33351 Francis Geng 33357 Jean Louis Masson FAMILLE ET PERSONNES AG ES Nos 33381 Georges Durand 33384 Christian 333
117. 408 10 septembre 1990 M Charles Miossec a pris bonne note de la r ponse de M le mialstre de la solidarit de la saat et de la protection sociale sa question crite no 27185 du 30 juillet 1990 relative aux pr occupations des masseurs kin sith rapeutes 1l lui rappelle cependant que ia Caisse nationale d assurance maladie a AR un avis favorable le 22 janvier 1990 une demande de r valuation de la lettre cl AMM et que le rapport de la commission permanente de la nomenclature des actes professionnels concernant la refonte du titre XIV relatif la r ducation la r adaptation fonction nelle lui a t remis en septembre 1989 Par cons quent il lui demande sous quels d lais une r ponse concr te sera faite aux demandes de r valuation tarifaire et de r forme de la nomencla ture exprim es par les masseurs kin sith rapeutes Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33604 17 septembre 1990 Andr Santini attire nou veau l attention de le mlaistre de 1 solidarit de la sant et de protection sociale sur la situation des masseurs kin si th rapeutes r ducateurs 11 lui demende de bien vouloir lui apporter une r ponse pr cise sur le d lai de mise en uvre des po sitions tarifaires pr sent es conjointement par les masseurs in sith rapcutes et Jes caisses d assurance maladie et de prendre sur la r forme de la nomenclature des actes profes si
118. 425 carri res lui fait remarquer que contraire ment aux engagements qui ont t pris trois mesures importantes qui sont 1 l int gration des certifi s 2 l acc s l chelle des professeurs des coles 3 les mesures sociales de reclassement de certains auxiliaires ne sont toujours pas ccacr tis es Il lui demande de bien vouloir lui yr ciser les raisons de ce reterd qui p nalise les enseignants des tablissements priv s et s il entend y rem dier Enseignement priv personnel 38423 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur la d ception des ma tres de l enseignement priv sous contrat qui constatent que ia mise en uvre des conclusions sign es le 31 mars 1989 a pris un retard consid rable en ce qui es concerne En effet les d lais sont respect s s agissant des mesures nouvelles prises en faveur de l enseignement public En revanche il n en est pas de m me pour l enseignement priv puisque aucune des trois mesures les pas importantes ne leur est actuellement applicable 11 s agit de int gration des certifi s qui est attendue depuis septembre 1989 de l acc s l chelle des professeurs des coles et du reclasse ment de certains auxiliaires Ce sont 120 000 ma tres des coles des coll ges et des lyc es priv s qui attendent la r alisation des engagements qui ont t pris et
119. 6 modi fiant l article L 1 du code de la sant qui pr voyait l existence dans chaque d partement d un r glement sanitaire d partemental ompte tenu que seuls deux d crets d application de cette ioi ont t publi s il lui demande notamment l tat actuel de pr para et d application plus de quatre ans apr s la promulgation de la loi du d cret relatif la salubrit des habitations Handicap s soins et maintien domicile 35600 12 novembre 1990 M Michel Voisin appelle l at tention de M ie ministre des affaires sociales et de la solida rit sur le cas des personnes handicap es qui souhaitent tre soi n es leur domicile En milieu hospitalier les personnes don incapacit permanente atfsint 80 p 100 voient la totalit des soins pris en charge 100 p 100 Par contre d s leur r it gra tion domicile seuls les mat riels n cessaires aux soins figurant au T LP S tarif interminist riel des creations sanitaires peu vent donner lieu remboursement Il lui demande quelles dispo sitions il compte adopter pour rem dier cette injustice flagrante ui condammne les handicap s dont les familles disposent de aibles revenus pour vivre leur vie durant dans des centres sp cialis s alors que l on devrait encourager la r insertion domi cile beaucoup moins co teuse pour la soci t et facteur d qui libre et d panouissement pour les int ress s I1 insiste aupr s de monsieur le
120. 85 Roger Lestas 33386 Roger Lestus FONCTION PUBLIQUE ET R FORMES CZ iAINISTRATIVES Nos 33339 Alain Jupp 33387 Henri de Gastines FORMATION PROFESSIONNELLE 33354 Mme Monique Papon INDUSTRIE ET AM NAGEMENT DU TERRITOIRE No 33307 Jean Paul Chari INT RIEUR Nos 33300 Gilbert Gantier 33322 Briane 33337 Jacques Becq 33341 Georges Colombier 33360 Mme Martine Daugreilh 33390 G rard L onard 33395 L on Vachet INT RIEUR ministre d l gu Nes 33389 Jean Ueberschlag 33393 Dominique Baudis 33394 Dominique Baudis JUSTICE Nos 33297 Georges Durand 33336 Andr Berthol 33396 Jean Louis asson 33397 Jean Louis Masson 33398 Georges Durand LOGEMENT Nos 33333 Olivier Dassault 33343 Dominique Baudis 12 novembre 1990 POSTES T L COMMUNICATIONS ET ESPACE 33312 Alexis Pota SANT Nos 33310 Pierre Lequiller 33321 Pierre Lequiller 33344 Mme Christine Boutin 33356 Bernard arles 33402 Jean Frangois Mancel 33404 Philippe Auberger 33406 Robert Montdargent ASSEMBL E NATIONALE 5173 TRANSPORTS ROUTIERS ET FLUVIAUX Nos 33314 Philippe Legras 33380 Pierre Goldberg TRAVAIL EMPLOI ET FORMATION PROFESSIONNELLE Nos 33324 Mme Gilberte Marin Moskovitz 33332 Jacques Godfrain 33346 Adrien Zeller 33409 L on Vachet 2 QUESTIONS CRITES 5176 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 INDEX ALPHAB TIQUE DES AUTEURS DE QUESTIONS
121. 90 M Goulet appelle l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protec tioa sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes Un projet de nouvelle nomenclature des actes de r ducation a t tabli puis approuv en date du 20 septembre 1989 par la com mission permanente de la nomenclature Depuis cette date le ministre de la sant n a donn aucune suite ce projet Parall le ment alors que d autres tarifs m dicaux ont pu voluer par centre depuis mars 1988 ceux des masseurs kin sith rapeutes demeurent incnang s En cons qzence il lui demande de bien vouloir lui faire connaitre s il envisage de d bloquer rapidement cette situation Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30178 18 juin 1990 M Jean Yves Gateaud attire l atten de M le ministre de solidarit de sant et de la protection sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs En effet la valeur de la lettre clef A M M n a volu depuis mars 1988 Comme le pr voyait le texte de la convention nationale les n gociationa tarifaires avec les caisses d assurance maladie se sont engag es d s le mois d avril 989 Un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est intervenu entre les partenaires mais il n a pas encore t ent rin ce jour par le Gouvernement Par ailleurs le projet de nomenclature des actes de kin sith
122. ALES Quesiion emeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 24160 Mme Bernadette Isaac Sibiile RELATIONS AVEC LE PARLEMENT Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 21303 Charles Miossec SANT Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 9678 Fran ois Rochebloine 21865 Dominique Gam bier 31248 Xavier Deniau 31475 Jean Yves Autexier H pitaux et cliniques fonctionnement 35383 12 novembre 1990 M Denla Jacquat attire l atien tion de M le ministre d l gu la sant sur les subventions d quipement accord es aux tablissements hospitaliers Le r gime du ionds de compensation de la T V A ne s appliquant pas aux h pitaux l Etat r cup re au titre de cette taxe la quasi totalit des fonds vers s dans le cadre des subventions d quipe ment De ce fait la participation effective de l Etat demeure tr s limit e 11 lui demande s il est possible d tendre aux tablisse ments hospitaliers le r gime du fonds de compensation de la T V A qui s applique aux collectivit s territoriales H pitaux et cliniques centres hospitaliers Vosges 35386 12 novembre 1990 M Christiaa Spiller appelle l attention ze M le ministre d l gu la sant sur l inqui tude qee suscit
123. Ann e 1990 45 A N Q SSN 242 8787 Lundi 12 novembre 1990 ge a DE LA APUDAS ohne es ASSEMBL E NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 9e L gislature QUESTIONS CRITES _ REMISES A LA PR SIDENCE DE L ASSEMBL E NATIONALE R PONSES DES MINISTRES 5170 ASSEMBL E NATIONALE SOMMAIRE 1 Liste de rappel des questions crites auxquelles il n a pas 616 r pondu dans le d lai de deux mois 040900464909 000 0000 00000 000007004700 00000700 088909860800808000600090 98020808098088082529 82 9 2 Questions crites du n 35368 au n 35872 inclus Index alphab tique des auteurs de questions ss Premier Affaires trang res Affaires europ ennes Affaires sociales et solidarit Agric lture et Anciens combattants et victimes de guerre Budget ses cervi errem evrov em Commerce et Commerce Comntnunieati n n P 5 ConsomrDatioh adio ugar atis Cuiture communication et grands travaux D fense Droits des femmes eese Economie finances et budget Education nati
124. Ces enseignants quand on fait appel eux travaillent dans les pires conditions de tra vail souvent en dehors de leur discipline de qualification parfois sur plusieurs tablissements et loin de leur domicile dans des classes parfois les plus difficiles Cette situation constitue un v ritable paredoxe et semble d couler de l inadaptation des concours nationaux actuels C A P E S et C A P E T aux besoins actuels est n cessaire de sortir de l impasse C est ce que pro pose le Syndicat national de l enseignement secondaire qui a pro pos toute une s rie de mesures dont la garantie de r emploi et de traitement pour tous les maitres auxiliaires l arr t du recrute ment de nouveaux ma tres auxiliaires l am nagement des concours afin que tous les maitres auxiliaires puissent avoir une r elle chance de r ussite l augmentation des postes de titulaires rempla ants de facon couvrir tous les besoins en remplace ments Devant l urgence de l adoption d un plan d ensemble pour r pondre aux besoins en enseignants de la soci t fran ise il lui demande de lui faire savoir les dispositions qu il compte prendre concernant les ma tres auxiliaires Bourses d tudes bourses d enseignement sup rieur 35648 12 novembre 1990 M Yves Coussain attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports sur les conditions d attribu tion de bourses d enseignement sup rie
125. En effet ce texte vot par la commis sion permanente de nomenclature attend l avis du ministre de la rotection sociale pour tre applicable Il en d coule donc que int r t du malade est directement en cause puisque la derni re nomenclature date de 1972 et que de 1972 1990 les techniques ont volu de telle fa on qu il n est plus possible d appliquer les m mes traitements Aussi il lui demande de bien vouloir lui faire savoir dans quels d lais ii compte traiter ce dossier Frofessions param dicales masseurs kin sith rapeutes 29416 4 juin 1990 M Serge Charles attire l attention de M le mlaistre de la solidarit de la saat et de la protection sociale sur le projet dc nomenclature des actes de kin sith ranie En effet il semblerait que le texte vot par la commission perma nente de la nomenclature soit dans l attente de l avis du Gouver nement Le retard ainsi apport son entr e en application risque de porter r judice la sant des patients puisque la der ni re nomenclature date de 1972 Or force est de constater que depuls cette date les de kin sith rapie ont tellement volu qu il n est plus possible d appliquer les m mes traitements En cons quence 11 lui demande dans quel d lai l avis minist riel sera formul Professions param dicaies masseurs kin sith rapeutes 30176 18 juin 1990 M Patrick Balkany attire l attention de M ie ministre de 1 solidarit de
126. IQUE ET R FORMES ADMINISTRATIVES Fonctionnaires et agents publics r mun rations 35369 12 novembre 1990 M Fran ois Michel Gonnot attire l attention de M ministre d Etat ministre de ia fonc tica publique et de r formes administratives sur l volution du pouvoir d ac nat des fonctionnaires les statistiques de l i N S E E font apparaitre une perte de pouvoir d achat de 0 4 p 100 durant le premier semestre 1990 Les cons quences de la crise du Golfe ne doivent pas tre support es par une seule cat gorie de Fran ais 11 demande en cons quence quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour revaloriser les salaires et les retraites de la fonction publique et rattraper le retard pris ces derni res ann es Service national objecteurs de conscience 38488 12 novembre 1990 M Jean Claude Boulard attire l attention de M le m aistre d Etat ministre de ia fonction blique et des r formes administratives sur la situation des onctionnaires et agents public anciens objecteurs de conscience au regard de la prise en compte du temps de service national actif pour le calcul de l anciennet de service exig pour l avancement et la retraite En effet l article 63 du code du ser vice national pr voit que le temps de service national actif accompli dans l une des formes pr vues au titre 111 dudit code est compt dans la fonction publique pour sa dur e effective le calcul de l arciennet de se
127. MMERCE EXT RIEUR Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes 31653 Xavier Deniau COMMUNICATION Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 18692 Jean Yves Autexier 22887 Charles Miossec T l vision programmes 33428 12 novembre 1990 M Michel Terrot attire l atten tion de Mme le miaistre d l gu la communication sur la vive protestation dont il a t saisi pir la f d ration des familles du Rh ne association regroupant 13 000 familles du d partement la suite de la diffusion sur Antenne 2 le 24 septembre 1990 16 heures de l mission intitul e Ca va tanguer consacr e au march de l rotisme consid re que la diffusion de telles images propos es aux enfants entre deux dessins anim s leur retour de l cole peut l gitimement choquer un grand nombre de familles aitach es des principes et des valeurs parfaitement respectables lui demande par cons quent de bien vouloir lui indiquer s il n estime p souhaitable que les missions destin es aux enfants puissent faire l objet d un contr le a priori exerc au niveau du Conseil sup rieur de l audiovisuel CONSOMMATION Banques et tablissemnts financiers Banque de France 34414 12 novembre 1990 M Louis de Broissia demande Mme secr taire d Etat
128. Mme le secr taire d Etat la famille et aux per sonnes g es sur les conditions de versement de l allocation logement 11 lui demande de lui pr ciser les raisons pour les quelies seion le d cret du 29 juin 1972 le locataire lorsqu il est ascendant du propri taire ne peut pr tendre cette aide et dans quelle mesure cette r glementation est modifiable Logement allocations de logernent 38481 12 novembre 1990 M Joseph Gourmelon appelle l attention de Mme le secr taire d Etat a famille et aux rsonnes g es sur les modalit s d attribution de l allocation de ogement sociale aux personnes h berg es dans les unit s et centres de long s jour Ces modalit s ont t d finies par le d cret 90 535 du 29 jui 1990 Comme c tait le cas d j pour les maisons de retraite ne peuvent en b n ficier que les occu pants d une chambre un lit de 9 m tres carr s au moins ou les occupants de chambres deux lits de 16 m tres carr s au moins Or il y a quelques ann es les centres de long s jour construits l ont t selon le syst me dit des unit s normalis es type V 2 ne pr voyant que des chambres un lit ou des chambres trois lits 11 lui demande s il lul semble normal qu une telle conception arr t e par l Etat l poque p nalise aujourd hui doublement les usagers d une part en leur imposant la promiscuit et d autre pers en leur refusant dans le m me temps le b n fice de l allo
129. NALE 12 novembre 1990 duction est directement menac e par ces importations Il lui demande s il envisage de demander l application de cette clause de sauvegarde face aux s rieuses menaces qui p sent sur les pro ducteurs fran ais Probl mes fonciers agricoles baux ruraux 33426 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson attire l attention de M ministre de l agriculture et de ia for t sur les dispositions de l article L 415 11 du code rural aux termes desquelles le d un bail ferme ne peut invoquer le renouvellement de la lo ation lorsque la personne morale de droit public bailleresse lui a notifi sa d cision d utiliser les biens lou s une fin d int r t gen ral Aussi il souhaiterait savoir ce qu il faut entendre par une fin d int r t g n ral qui a semble t il une signification plus large que la notion d utilit publique Elevage bovirs et ovins 35470 12 novembre 1990 Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre de l agriculture et de la for t sur les lourdes pertes financi res enregistr es par les leveurs francais L arriv e massive en France d animaux des conditions d fiant toute concurrence a entra n l effondrement des cours ce qui ne fait qu aggraver 13 crise qui affecte le march de la viande ovine et bovine 11 lui demande comment il envisage de compenser les financi res cons quence d une ouverture pr cipit e des r
130. NT TRANSPORTS ET MER Voirie pollution et nuisances Nord 26099 9 avril 1990 M Alain Bocquet attire l attention de M ministre de l quipement du logement des transports et de la mer sur le probl me de nuisances phoniques occa aionn es aux riverains de l autoroute A 23 qui traverse la com mune de Petite For t 59410 En effet et alors que les lus wocaux demandent depuis 1987 la construction d un mur anti bruit aucune r ponse ne leur a t apport e par les services concern s M me les r sultats d une enqu te promise et semble t lui demande quelles mesures il compte prendre pour rem dier cette situation tant en ce qui concerne le probl me de l informa tion des lus que celui de la mise en uvre d une solution per mettant d en finir avec les nuisances phoniques R ponse Le ministre de l quipement du logement des transports et de la mer est conscient des nuisances que subissent les riverains de l autoroute 23 Petite For t peut ainsi indi uer que les services locavx de l quipement ont proc d une tude et des mesures de bruit qui mntrent que deux secteurs sont effectivement soumis un niveau de bruit important celui de la rue Jean Jaur s et du chemin des Foss s d une par et celui de Bonne Esp rance Sud d autre part Des protections doi vent donc tre r alis es sur ces sites au moyen d crans anti bruit et d isolation de facades pour les habitations respectan
131. NT OBTENU UNE OU PLUSIEURS R PONSES Edmon 32406 conomie finances et budget Jacqueline Mme 25116 budget Philippe 33238 affaires sociales et solidarit B Bacbelet Pierre 26207 consommation Patrick 30176 affaires sociales et solidarit 33846 affaires sociales et solidarit Bapt G rard 31266 affsires socisles et solidarit Bernier Miche 29992 ducation nstionale jeunesse et sports mc Philippe 32999 sffaires sociales et solidsrit paeme Tomp 23994 dp nationale jeunesse et sports Beyard budget 31443 anciens combattants et vic times de guerre as s s rang res Bocg Jacques 27322 ducation nstionale jeunesse et sports Jean Michel 31830 affsires sociales et solidarit cde Claude 34031 affaires sociales et solidarit Roland 33407 affaires sociales et solidarit oai Alala 26093 quipement logement trsnsports et Besson Bernard 33117 affaires sociales et solidarit Brane 29323 Premier ministre Bootin Christine Mme 30182 af sires sociales et solidarit Brana Pierre 29426 affsires socisles et solidarit Briese Joan 77771 affsires sociales et solidarit 33045 sffaires sociales et solidarit Broissia Louis 34121 sffaires sociales et solidarit C Catieud Jean Paul 21142 consommation 33661 consommation 34197 conomi
132. R ponse L assujettissement cotisations sociales des cachets prix et primes v l occasion d preuves cyclistes auxquelles participent 1es amateura r sulte des dispositions des articles L 311 2 et L 242 du code de la s curit sociale et de leur interpr tation par les tribunaux aux termes de cette interpr ta tion chaque comp tition ou chaque preuve place le coureur cycliste quel que soit son statut professionnel ou amateur sous la su ination de l organissteur de l preuve et les cachets prix ou primes per us par l int ress m me vers s par des tiers constituent la contrepartie de la prestation fournie cass soc 7 f vrier 1974 U R S S A F de l Eure C Anquetil cour d appel de Caen 14 novembre 1988 V lo Club Lexovien C U R S S A F du Calvados Le ministre charg de la s curit sociale est ou tefoia conscient dea difficult s pos es par l application de ces mesurea l encontre des petits clubs et plus g n ralement des petites associationa aportives Aussi il a charg les services com eri de mener une tude visant mieux appr hender le statut socia des r tributions susvis es La conclusion de cette tude sera port e la connaissance de l honorable parlementaire Professions m dicales m decins 27673 30 avril 1990 Mime Elisabeth Hubert appelle l at tention de M le ministre de la solidarit de sant et de la sociale sur l avenir de l allocation de d part en retraite qui
133. Retraites fonctionnaires civils et militaires politique l gard des retrait 35477 12 novembre 1990 M Raymond appelle l attention de M ie ministre de in d fense sur la situation des retralt s militaires de la gendarmerie 11 apparait en effet que lors de la liquidation des pensions de cette cat gorie de personnel l indemnit sp ciale de police n es pas prise en compte et ne pas le montant de leurs retraites Aussi il lui demande de lui indiquer quelles dispositions il envisage de prendre l occa sion de la revalorisation de la grille indiciaire actuellement en cours pour y inclure pr cis ment cette majoration des molu ments de traitement afin de permettre de retenir ce gain indi ciaire pour le calcul des retraites et sensions de r version Anciens combattants et victimes de guerre carte du combattant 35478 12 novembre 1990 M Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre de la d fense sur le statut des militaires ayant accompli une mission au Tchad et au Liban Ces personnes souhaitent depuis de nombreuses ann es que soit reconnue la walit du combattant aux personnes militaires ayant pris part 24 actions de feux men es par la France au Liban au Tchad liadagsscar en Mauritanie et au Zalre Il lui demande donc de bien vouloir lui communiquer sa positlon ce sujet Industrie a ronautique entreprises Bouches du Rh ne 35812 12 novembre 1990
134. U S A et en Su de R ponse Les taux des bar mes des droits de succession en vigucar en France en R F A en Italie au Royaume Uni aux Etats Unis et en Su de varient selon le montant de l actif succea soral immposable et en g n rai selon le degr de parent de l ayant droit avec le d funt Compte tenu de l ampleur de la comparaison internationale demand e il ne peut tre r pondu la question pos e selon la proc dure des r ponses aux questiona RITES Une r ponse directe est adress e l honorable parlemen taire p en Enregistrement et timbre mutations titre on reux 31734 23 juillet 1990 M Denis Jacquat appelle i atten tion de M le ministre de l quipement du logemeat des transports et de ia mer sur la r cente prise de position de la f d ration nationale des promoteurs constructeurs qui d nonce le handicap fiscal effarant de la France en mai re de construc tion immobili re En effet les droits de mutation sont de 20 p 100 contre 2 p 100 en R F A et 1 p 100 en Grande Bretagne 11 lui demande en cons quence si a r duction de ces droits est envisag e par le Gouvernement Question transmise M le ministre d Eiat ministre de l conomie des finances et du R ponse La taxe d partementale exigible sur les mutations titre on reux d immeubles est depuis 1984 et 1985 en ce qui concerne les immeubles uaage d habitation transf r e aux d partements Ses tarifs
135. a t implant e par l Etat dans un village de 1 500 personnes sans que les infrastructures indispensables ne soient r alis es Depuis 1977 la ville subit une situation de tutelle budg taire qui tous les ans oblige la municipalit r aliser des conomies drastiqu s privant la ville d un fonctionnement r pondant aux attentes de la popula tion Cette situation est eacore gene par le fsit que la ville partie prensnte dans le proc dure du d veloppement socia urbain doit faire face de nombreux probl mes sociaux d int ation et de d linquance Aussi au 1 novembre le budget de a ville pour l ann e en cours n est toujours pas arr t par l auto rit de tutelle Malgr les efforts r els de la municipalit de r d uire le d ficit 51 p 100 en 1982 17 p 100 vot s 1990 par dea conomies et des recettes nouvelles taxe professionnelle de nouveaux sacrifices sont demand s la ville en pleine p riode de tensions notamment par des conomies de fonctionnemen et un alourdissement de la fiscalit particuli rement difficile accepter dans une ville qui a le potentiel fiscal le plus faible du d parte ment risquant m me de comp omettre la politique progressive d augmentation de ses recettes propres implantation d une zone industrielle et cr ation d emplois loceux I lui demande de pr ciser la osten du gouvernement par rapport au probl me bud g taire de Chanteloup qui aggrave dangereusement les te
136. a t institu dans le but de tenir compte du pr judice moral particuli rement grave r sultant de l horreur des cir constances du d c s survenu dans les camps d extermination C est pourquoi il ne peut tre envisag d tendre cette mesure aux veuves de d port s d c d s depuis leur rapatriement quelle que soit la dur e du d lai dans lequel ce d c s a pu survenir 2 Les indices des pensions militaires d invalidit de 10 100 p 100 ne sont pas actuellement proportionnels l chelle des taux d invalidit et le r tablissement de cette proportionnalit constitue une revendication permanente du monde combattant Sans aller jusqu au r tablissement de la proportionnalit par ra port ia pension de 100 p 100 le Conseil des ministres du 17 septembre 1980 avait adopt le principe d une revalorisation des pensions correspondant une invalidit globale de 10 80 p 100 r aliser par tranches successives et devant conduire terme instituer la proportionnalit des indices de ces pensions au taux de soldat par rapport l chelle des taux d invalidit La premi re tranche de cette revalorisation a t r alis e compter du 1e janvier 1981 en application de l article 62 de Is loi de finances pour 1981 n 80 1094 du 30 d cembre 1980 Apr s plu sieurs ann es pendant lesquelles les moyens disponibles ont t affect s au rattrapage du rapport corstant l article 101 de la loi de finances pour 1988
137. a vaux Berthelot Marcella 35571 logement Berthol Andr 35408 int rieur 35409 int rieur 35410 int rieur 35411 int rieur 35412 int rieur 34413 int rieur 35518 agriculture et for t 38632 anciens combattants et victimes de guerre Besson 35519 logement 35843 affaires sociales et solida rit 35646 ducation nationale jeunesse et sports 35669 sant Bocquet Alala 35505 fonction publique et r formes administra tives 38506 conomie finances et budget 35636 anciens com battants et victimes de guerre 35671 travail empioi et formation professlonnelle Bois Jean Citude 35482 handicap s et accident s de la vie Boulard Jean Claude 35455 fonction publique et r formes admi nistratives Bourg Brec Bruno 25556 int rieur Brana Pierre 35617 handicap s et accident s de la vie Bret Jean Paul 35456 int rieur 34457 int rieur Briand Maarice 35474 anciens combattants et victimes de guerre Briase Jena 35407 int rieur ministre d l gu Brolsin Louis de 35414 consommation 35415 consommation 34416 consommation Bruse Alala 35468 affaires sociales et solidarit C Cabal Christian 35417 int rieur ministre d l gu 11 Jesa Paal 35491 logement Castor Elle 35458 conomie finances et budget Char Jeas Paal 35631 anciens combattants et victimes de guerre Cheva
138. a m me p riode Ainsi au titre de l ann e 1990 les pensions de retraite n ont t aug ment es que de 1 2 p 100 au let avril alors que les prix ont connu une progression de 2 5 p 100 du ler janvier au 31 ao t d os une baisse du pouvoir d achat de 1 3 p 100 confirment leur d termination de d fendre la conception de la pension dans la fonction publique art L 1 ainsi que les garanties fondaman tales la p n quation notamment art L 13 L 14 L 15 du code des pensions civiles et militaires de retraite demandent que le minimum de pension de r version soit align sur le montant garanti de pension personnelle l indice nouveau major 200 et que le taux de la r servation soit port de 50 60 p 100 r affir 12 novembre 1990 ment leur attachement une protection de haut niveau bas e sur les pineper de solidarit et de justice sociale 11 lui demande quelle suite i compte lui donner HANDICAP S ET ACCIDENT S DE LA VIE Questions demeur es sans r ponse plus do trois mois apr s leur publication ei dont les auteurs renouvellent les termes No 27348 Jean Yves Autexier 32534 Mme Bernadette Isaac Sibille Handicap s allocation compensatrice 38482 12 novembre 1990 M Jean Claude Rois attire l at tention de le secr taire d Etat aux handicap s et aux accl dent s de la vie sur un aspect de la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des pcs handicap es Un certain nombre
139. a pollution saline totale d une rivi re est de 200 milligrammes Minist res et secr tariats d Etat environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs pers nne 35650 12 novembre 1990 M Ren Couveinhes attire Fat tention de M ie ministre d l gu l environnement et ia pesar des risques technologiques et natureis majeurs sur es d sirs exprim s par le syndicat des gardes de l Office national de la chasse et de la protection de la nature Celui ci souhaite ue soit cr un corps de la police nationale de la nature 1 lui emande de bien vouloir faire connaitre les mesures qu il crea prandre afin de r pondre aux aspirations des gardes de l O N C P N QUIPEMENT LOGEMENT TRANSPORTS ET MER Questior demeur e sans r ponse plus de irois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 5565 Jean Yves Autexier Voirie tunnels 35406 12 novembre 1990 M Joseph Henri Maujo an du Gasset expose M ie ministre de l quipement du logement des transports et de ia mer que le tunnel sous la Manche est sur le point d aboutir Le premier courant d air entre les deux pays a d j t tabli Il lui demande au vu de cette information quand cet ouvrage d art sera op rationnel S N C F tarifs voyageurs 35418 12 novembre 1990 M Jean Louis Debr appelle l attention de M le ministre de quipement du logement des transports et de ia mer su
140. a situation des salari s l gard de ce droit est clairement tablie par la nature de l activit exerc e commis d agent de change sur la place de Paris fonctionnaires ou agents des assembl es parlementaires inspecteurs d assurances interne des h pitaux de Paris journa listes professionnels au sens de l article L 761 2 du code du tra v il etc Dans d autres cas essentiellement lorsque l int rieur d une m me entreprise titre d exemple les entreprises de trans port et dans une moindre mesure les entreprises du b timent seuis certains salari s peuvent en b n ficier l U R S S A F peut exiger afin de clarifier la situation que ce droit soit reconnu par une d cision expresse donc crite de l administration fiscale seule comp tente en tout tat de cause en cette mati re o em Textile et habillement aides et pr ts 23983 12 f vrier 1990 M Francisque Perrut appelle l at tention de M fe ministre d Etat ministre de l conomie des finances et d a budget sur les pr judices importants subis par les industries de l habiilement sp cifique des sports d hiver par suite du manque de neige pendant les mois de d cembre et jan viet Dans certaines r gions rotamment en Rh ne Alpes ces industries ont une place importante dans l quilibre conomique Leur p rennit ne doit pas tre remise en cause en raison d un accident m t orologique d autant que la plupart sont tr s perfor mantes
141. a soci t sur un fond d clatement de la famille largie faudrait qu une d cision de principe soit prise au niveau de l Etat afin que toutes les familles naissances mul tiples de France b n ficient d une aide domicile largie Elle souhaite qu elle fasse des propositions de solution Farille politique de la famille 35654 12 novembre 1990 Mme Eiisabeth Hubert appelle l attention de Mme ie secr taire d Etat ia famiiie et aux persoanes fig es sur la simultan it des co ts d ducation des enfants issus d un accouchement multiple de la petite enfance aux tudes sup rieures ll serait quitable que cette simultan it des frais d ducation auxquels doivent faire face ces familles nalssances multiples soit compens e par une adaptation des allo cations familiales des prestations familiales et du quotient fami lial des parts fiscales et des abattcinents par enfant charge ainsi que des points pris en compte lors de l laboration d un dossier de bourse scolaire Afin de donner aux enfants issus d un accouchement multiple comme leurs fr res et s urs n s lors d une naissance unique les m mes chances que dans les autres familles nombieuses il est n cessaire de tenir compte de la sp ci ficit de ces familles en adaptant la l gislation en place Elle lui demande de pr ciser ses intentions en ce domaine important de notre politique famtiliale Prestations familiales allocation pour jeune enfant
142. abaisser le quoia de un sur quatre pour la premi re cat gorie Fonction publique territoriale statuts 35407 12 novembre 1990 M Jean Briane attire l atten tion de M le mlaistre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur la situation des maltres nageurs sauveteurs 11 lui demande de bien vouloir lui pr ciser quelles sont les dispositions qu il compte prendre dans le cadre de la fili re sportive Suite une note de pr sentation r sumant les orientations des diff rents cadres d emplois de cette fili re parue dans une revue profession nelle les ma tres nageurs sauveteurs s inqui tent juste titre de la non int grati n de toutes les volutions sociales culturelles et sportives des professions concern es maitre nageur sauveteur chef de bassin chef d tablissement de bains L ensemble des maltres nageurs sauveteurs chefs de bassin chefs d tablisse ments de bains souhaite b n ficier des mesures accord es la fili re administrative tout en s inspirant des positions communes prises lors des assises nationales des ducateurs sportifs 11 lui demande de bien vouloir lui indiquer quelle est la position du Gouvernement et les mesures envisag es Fonction publique territoriale statuts 38417 12 novembre 1990 M Christian Cabal attire l at tention M le ministre d i gu aupr s du ministre de l int rieur sur les mesures l tude en faveur de la fili re sportive dans le cadre de
143. accompagnement 11 est ainsi demand que la T V grevant les achats de fioul domestique usage agricole soit f cup rable en totalit compter du 1er vier 1991 Sur un plan fiscal il serait souhaitable que soit permis aux exploitants soumis un r gime r ei d imposition de prati quer une d duction gale 25 p 100 des b n fices et que le cr dit d inp t recherche soit tendu aux entreprises horticoles Les entrepns s agricoles nouvellement cr es devraient galement pouvoir o n ficier des all gements d imp t pr vus pour les entre prises nouvelles exer ant une activit industrielle commerciale ou artisanale 11 lui demande en cons quence quelle suite il entend donner aux pr occupations des horticulteurs exprim es par l in term diaire d la F d ration nationale des producteurs de l horti culture et des Elevage commerce ext rieur 38387 12 novembre 1990 Denis Jacquat attire tion de M le miaistre de l agriculture et de la for t sur la n cessit de r guler les arriv es massives d animaux en France compte tenu des difficult s auxquelles sont confront s actuelle ment les producteurs de viande fran ais Conform ment l ar ticle 4 du r glement de la C E E du 16 juillet 1990 ia France peu en sa qualit de membre demander que soient examin es es modalit s d ouverture des fronti res si elle estime qu une pro 5184 ASSEMBL E NATIO
144. action de contingent d appel Lorsque le report arrive cheance les b n ficiaires sont avis s 70 jours avant la date d appel Les jeunes gens volontaires povr un appel avanc et ceux d sireux de mettre fin leur report d in corporation re oivent d s r ception de leur demande confirms tion de la prise en compte de leur souhait Enfin les jeunes gens ui n effectuent aucune d marche en vue d un appel avanc ou un report d incorporation re oivent un pr avis d appel au plus tard d s la publication de l arr t qui d termine tous ies deux mois 45 jours avant la d appel la composition de leur frac tion de contingent A l issue des op rations de r partition de chaque fraction de contingent les affectations prononc es sont alors notifi es aux int ress s l aide de l ordre e appel qui leur parvient une quinzaine de jours avsnt leur d part Ce document indique dans le cas g n ral la formation rejoindre Ainsi conform ment la r glementation en les jeunes sont inform s au ininimum 45 jours avant leur incorporation Ces d lais sont suffissmment longs pour leur permettre de pr venir leur ventuel employeur sans attendre la r ception de l ordre d appei et de sinsi les dispositions g n rales fix es le code du travail D PARTEMENTS ET TERRITOIRE D OUTRE MER D O M T O M Guadeloupe baux 25563 12 mars 1990 M Dominique Larifla attire l atten tion d
145. afin de faire b n ficier de l A C T P les enfants de moins de vingt ans ayant besoin de soins constants Permis de conduire auto coles 38484 12 novembre 1990 M Michel Terrot attire l atten tion de M le secr taire d Etat aux handicap s et aux acci dent s de la vie sur les difficult s particuli res que rencontrent les personnes handicap es qui souhaitent passer le permis de conduire 11 lui demande de bien vouloir lui indiquer s il entre dans les intentions du Gouvernement d inciter les organismes d auto coles proc der aux investissements permettant d adapter un v hicule cole l apprentissage de la conduite auto mobile pour les personnes hsndicap es Handicap s C D E S et COTOREP 38485 12 novembre 1990 Michel Meylan fait part M le secr taire d Etat aax handicap s et aux accident s de la vie de s stup faction apr s avoir pris connaissance du Livre blanc publi par l Association des paralys s de France concer nant iss d cisions ill gales ou arbitraires prises par les COTOREP ou les services d partementaux de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l application de la loi Compte tenu de ia gravit il souhaite savoir qu il a ordonn l ouverture d une enqu te pour analyser de mani re approfondie les informations ex es dana ce document Dans l affirmative il lui demande quelles mesures il
146. aires sociales et solidarit Lepercq Arnaud 34236 affaires socisles et solidarit M Alala 29417 affaires sociales et solidarit Madreile Bernard 32994 affaires sociales et solidarit Maacel s Francols 3233 budget Maria Moskevitz Gilberte Mme times de guerre Masson Jean Louis 32995 sant Massot Fran ois 34094 budget Mattel Jess Fran ols 32999 affsires socisles et solidarit da Gasset Joseph Heari 630 budget 32556 culture communicstion et grsnds travaux Mesmia Georges 31163 affaires trang res M tais Pierre 29041 consommation Mexandesu Louis 31560 affaires sociales et solidarit Michel 19275 budget Mille Glibert 9796 budget 32214 affaires sociales et solidarit 32215 affaires sociales et solidarit 32798 handicap s et acci dent s de la 33608 affaires vociales et solidarit 33606 affaires sociales et solidarit Miossec Charles 33408 affaires sociales et solidarit Miqueu Claude 30698 ducation nationale jeunesse et sports N Noir Michel 24382 affaires sociales et solidarit Nuagesser Roland 33930 postes t l communications et espace P Pandrand Robert 33535 d fense 33567 d fense Papos Menique Mme 31702 affaires sociales et solidarit Peretti della Rocca de 29402 affaires socisles et so
147. aires sociales et solidarit 35545 famille et per sonnes g es 35651 quipement logement transports et mer Godfrala Jacques 35523 industrie et am nagement du territoire 35526 famille et personnes g es 35527 ducation nationale jeunesse et sports 35564 affaires sociales et solidarit Gonnot Francols Michel 35369 fonction publique et r formes administratives 35469 affaires socialea et solidarit 35480 envi ronnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs Gonlet Daniel 38828 int rieur Gourmeloa Joseph 35481 famille et personnes g es Gouze Hubert 35430 quipement logement transports et mer Grussenmeyer Francola 35642 d fense Guyard Jacques 35431 quipement logement transports et mer H Housin Pierre R my 35566 transports routiers et fluviaux 35662 int rieur ministre d l gu Hubert Elisabeth Mme 35622 affaires sociales et solidarit 35682 famille et personnes g es 35653 famille et personnes g es 35654 famille et personnes g es Hassalt Xavier 35500 quipement logement transports et 34501 anciens combattants et victimes de guerre 3526 fonction E i et r formes administratives 35685 famille et personnes g es 12 novembre 1990 I lacha Michel 35566 agriculture et for t Isaac Siblile Berzadctte Mme 35581 ducation nationale jeunesse et sport
148. airtre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie L int r t du malade est directement en cause puisque la derni re nomenclature date de 1972 et que de 1972 1990 les techniques ont volu de telle facon qu il n est plus ssible les m mes traitements En cons quence il ui demande de lui pr ciser la position du Gouvernement dans ce domaine et quelle date il pense transmettre son avis la com mission permanente de la nomenclature lication des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la commission perma nente de nomenclature g n rale des actes professionnels de aire des propositions au ministre charg de ia s curit sociale sur ies actualisations de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans ie cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modificatlons apporter la nomenclature en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonctionnelles effectu s notamment R ponse En a 12 novembre 1999 ASSEMBL E NATIONALE 6226 ar les masseurs kintsith rapeutes La commission a fait parvenir l administration des propositions qui font actuellemert l objet d une tude par les services Professions param dicales masseurs kin sithtrapeutes 31417 9 juillet 1990 M Dominique Dupllet demande le miaistre de la sol
149. aisiblement rejoihdre leur domicile Or l acc s au m tro La Tour Maubourg comme la plupart des rues permettant de rejoindre de proches moyens de transport tait enti rement interdit par des cordons de C R S 11 a fallu de longs pourparlers pendant que certains C R S mena aient le public de leur matraque pas tous et c est l honneur de ceux qui ne se sont pas livr s ce petit jeu pour qu enfin l acc s au m tro soit lib r Sans l attitude responsable des pacifistes de graves v nements auraient pu se produire 11 m a d ailleurs t rapport qu une personne courageuse habitant sur les lieux tait venue dire aux forces de police qu en cas d incidents t moignerait des provocations polici res Aussi il lui demande de lui faire connaitre les dispositions qu il entend prendre pour que le droit manifester dans le calme et la dignit son m con tentement soit enti rement recoanu Police fonctionnement 35515 12 novembre 1990 M Louls Pierna interpelle M le ministre de l int rieur sur deux manquements aux droits de la d fense Le 15 octobre 1990 des mesures de s curit excep tionnelles taient prises autour du palais de justice de Paris l occasion d un proc s A l entr e du parking de la place Dau phine des policiers en tenue demandaient la carte d avocat et sur pr sentation de cette carte exigeai nt n anmoins la visit du coffre et du moteur de la voiture Deux avocat
150. aissances multiples ne soient plus p nalis es Famille politique de la famille 35653 12 novembre 1990 Mme Elisabeth Hubert sppelle l attention de Mime le secr taire d Etat la famille et aux rsonnes g es sur le probl me de l aide domicile chez les amilles naissances multiples par les travailleuse familiales En effet cette aide achoppe sur trois points l insuffisance des prises en charge la participation familiale lev e au regard du nombre d heures de travailleuses familiales effectu es le quo tient familial butoir appliqu par toutes les caisses qui exclut cer taines familles dites revenus importants de l aide domicile Une enveloppe sp cifique Aide domiclle naissance mul tiples int gr e dans l s prestations l gales en cas de naissar ces multiples E de la solidarit nationale et repr sente l unique solution aux difficult s d aide domicile que rencontrent ces familles nombreuses Une augmentation des cr dits des conseils g n raux sur ce poste ne r soudrait le probl me qu en partie En effet plusieurs accouchements multiples exceptionnels dans un d partement la m me ann e p naliseraient toutes les familles demandeuses d aide domicile qui seraient n cessairement moins sid es que dans un d partement voisin car l enveloppe 5200 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 des travailleuses familiales est quasiment fixe depuis 1945 malgr l volution de l
151. ance de cette modification lls se trouvent donc dans l obligation de repasser les preuves du permis de condulre avec tous les frais qui y sont attach s 11 souhaiterait savoir si des hen nns ne pourraient pas tre envisag s pour les trangers idant en France et circulant dans notre pays depuis plus de cinq ans avec un permis tranger Enseignement sup rieur personnel enseignants 35556 12 novembre 1990 M Bruno Bourg Broc demande M le ministre de l int rleur de bien vouloir lui indiquer si dans ie cadre des mesures portant mobilit des fonctionnaires il existe un moyen de faire en sorte qu un professeur d universit enseignant plus particuli rement dans le domaine de la gestion des collectivit s locales puisse occuper d une fa on ou d une autre des fonctions de sous pr fet de secr taire g n ral de mairie ou de directeur des services de d partement tant entendu qu une telle mesure aurait l avantage de permettre une meilleure appr hension des probl mes pratiques et de favoriser dans la gestion quotidienne l exp rience de th oriciens D linguance et criminalit lutte et pr vention Yvelines 35576 12 novembre 1990 M Auguste Legros appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur les probl mes de s curit et de tension qui se posent actuellement dans un certain nombre de villes et de quartiers et dont l actualit a t brutale ment rappel e lors des v nements de Va
152. arc Doiez attire l atten tion de M ie ministre d l gu au logement sur l volution des cr dits affect s l Action socio ducative li e au logement A S E L L 11 lui rappelle que ceux ci sont pass s de 30 millions de francs en 1989 10 millions de francs en 1990 Etant donn l importance de ces actions et alors que le droit au logement constitue ne priorit du Gouvernement il lui demande de bien vouloir lui indiquer s il entend affecter des cr dits plus impor tants ces missions essentielles dans les prochains budgets D O M T O M D O M logement 35519 12 novembre 1990 M Jean Besson appelle l atten tion de le ministre d i gu au logement sur lar ticle L 613 3 du code de la construction et de l habitation celui ci ayant t modifi par l article 21 de la loi no 90 449 du 31 mai 1990 En effet ce dernier fixe la p riode pendant laquelle les expulsions sont interdites du lef novembre au 15 mars de l ann e suivante Cependant l application de cette disposition dans les d partements d outre mer n est pas justifi e comme en m tropole par les conditions climatiques difficiles durant 1 p riode pr cit e Ces textes apportent sans raison valable une g ne au suivi des dossiers d engagements de location r sili s et d expulsions Aussi il lui demande s il ne pourrait pas envisager la modification de ces textes pour que soient mis hors du champ d application de cette disposition les d p
153. artements d outre mer Logement logement social Seine Saint Denis 35571 12 novembre 1990 M Marcelin Bertheiot attire l attention de M le ministre d l gu au logement sur le com portement de la soci t S C I C vis vis des locataires de la cit Flor al Saint Denis La S C I C a obtenu des financements d Etat pour r habiliter la cit concern e Elle s est empress e de r actualiser les loyers avant m me que les travaux aient t conduits leur terme Or il s av re que les travaux r ellement effectu s sont la fois en quantit et en qualit finitions mal fa ons loin par eur ampleur du projet initial sur lequel la soci t S C LC a obtenu les financements projet qui avait en outre fcit l objet d un accord avec les locataires Dans ce contexte il lul demande d une part s il entend prendre des mesures pour que les augmentations de loyers li es des r habi litations soient chelonn es sur une p riode suffisamment longue et d autre part s il entend donner des instructions aux pr fets 12 novembre 1990 pour que des v rifications soient effectu es durant et la fin des travaux de r habilitation afin que le produit fini corresponde au projet inicial Logement construction Ile de France 35891 12 novembre 1990 M Christian Kert appelle l at tention de M ie ministre d l gu au logement sur un recent rapport du comit conomique et social d lle de France indi
154. ation de l tat qui a justifi son attribution En effet dans ce cas sa suppression constitue un d saveu de la premi re d cision sans que celui ci soit d ment motiv De plus elle laisse sans ressource une per sonne qui n est pas bien souvent en tat de subvenir ses besoins ce qui est socialement inacceptable Par ailleurs dans bien des cas o la d cision de suppression a n anmoins t priae l tat de la personne a subi une aggravation D s lors les recours aupr s des commissions nationales et r gionales apparaissent comme une clause de style totalement inadmissible puisque jamais une r vision de la d cision de la commission d partemen tale n a pu tre constat e Ajoutant cela qu aucun moment au niveau de ces voies de recours un examen m dical appre an du padent n est mis en uvre il lui demande quelles sont les mesures qu il entend prendre pour mettre fin une telle injustice R ponse En l tat actuel de la r glementation la d cision d attribution de l allocation aux adultes handicap s A A H est prise pour une dur e d termin c pour une p riode au moins gale un an et au plus gale cinq ans Lorsque le handica n est pas susceptible d une volution favo able la COTORE peut fixer une p riode d attributlon exc dant cinq ans sans tou tefois d passer dix ans Les caisses d allocation et les COTOREP ont t activement invit es renforcer leurs liens afin d viter des interr
155. attention de M le ministre d i gu supr s du ministre de il int rleur sur les importantes difficult s auxquelles se heurtent notamment les maires des communes rurales en ce qui concerne la connaissance et la maitrise des r gles de domanialit publique Cet tat de fait s explique en partie par un r gime juridique h t rog ne jurisprudence code du domaine de l Etat dispositions propres aux collectivit s territoriales etc En cons quence il lui demande s il ne lui parait pas opportun voire n cessaire de regrouper dans un seul et m me code l ensemble de ces r gles parses afin de simplifier ce r gime juridique disparate donc en permettre une meilleure connaissance Communes domaine public et domaine priv 35562 12 novembre 1990 M Jean Marie Demange demande M le mialsire d i gu aupr s du ministre de i in t rleur de bien vouloir lui pr ciser si le conseil municipal peut majorer la redevance d occupation d un logement du domaine public communal lorsque la convention liant les parties ne pr voit ni date ni crit re d augmentation de ladite redevance Collectivit s locales domaine public et domaine priv 35563 12 novembre 1990 M Jean Marie Demange prend note de la r ponse donn e M ie ministre d i gu aupr s du ministre de i Int rleur sa question crite n 32615 Journal officiel du 10 septembre 1990 p 4266 aux termes de laquelle aucun texte ne r git le doma
156. au dsmande M le ministro de d fense les mesures rapides qu ii compte prendre pour incorporer un pius grand nombre de jeunes gens l universa le contingent et de renforcer sinon de revenir du service national 9 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Service national dur e 33867 17 septembre 1990 M Robert Pan drnud demande M le ministre de la d fense s il envisage toujours de r duire dix mois la dur e du service militaire R ponse Le 14 juillet 1990 18 Pr sident de la R publique s est prononc en faveur d une r duction de deux mois de 18 dur e du service militaire sur ia base des propositions que lvi avait soumises le ministre de la d fense Cette r forme est rendue possible par le resserrement pr vu des effectifs de l arm e de terre Elle appelle en contrepartie un accroissement sensible du nombre de volontaires pour un service long et une augmentation de leur solde Elle permettra d incorporer un plus grand nombre de jeunes gens dans le contingent pour un nombre de postes donn renfor ant ainsi l universalit du service national Par ail leurs depuis le ler juillet 1990 de nouvelles normes d aptitude au service actif ont t sdopt es la s lection Elles devraient ermettre d abaisser ie taux d exemption qui a t de 0 18 p 100 en 1989 Elles tiennent compte de la diminution du nombre des naissances du milieu des ann es 1970 qui entraine une d flat
157. au cours du trimestre civii ou des trois mois pr c dant le d c s 11 lui demande donc s il envisage de prendre rapi demert les mesures n cessaires pour que cette jurisprudence soit u e tous les cas identiques sans que les ayants droit aient d clencher de longues co teuses et inutiles proc dures Imp t sur le revenu revenus fonciers 38599 12 novembre 1990 M Ciaude Dhinnin appelle l attention de M le ministre d l gu au budget sur le fait qu une part importante du parc immobilier priv comprend des immeubles v tustes Les propri taires de ces immeubles du fait de la faiblesse des loyers qu ils per oivent et de leurs propres revenus souvent modestes ne peuvent entreprendre les travaux de r habilitation qui s imposent 11 iui demande s il n estime pas souhaitable de pr voir des avantages fiscaux en faveur des pro pri taires qui effectueraient des travaux de r habilitation tout en s engageant ne pas augmenter les loyers de leurs locataires Imp t sur le revenu charges d ductibles 38637 12 novembre 1990 M Lombard attire l atten tion de M le ministre d l gu an budget sur la demsnde for mul e par la Mutualit fran aise afin d autoriser la d duction fis cale des cotisations mutualistes xau d pr sent le Gouvernement s y est refus en se basant sur l article 13 du code g n ral des imp ts et en indiquant qu elles ne figuraient pas parmi ies charges d ductibles
158. axe Sachant que cette discrimination a conduit ie Gouvernemen engager une tude sp cifique sur ce probl me et surseoir toute d cision sur les requ amp ves dont il est saisi il lui demande de bien vouloir lui indiquer dans quel d lai et si possible dans quel sens les r sultats de cette tude seront connus et pris en compte R ponse Lorsque la taxe d habitation exigible au titre des maisons de retraite g r es sans but lucratif est tablie au nom du gestionnaire et l tablissement en raison des conditions d occupa tion des locaux le gestionnaire pourra d sormais obtenir un d gr vement correspondant celui dont auraient b n fici les pensionnaires s ils avaient t personnellement impos s la taxe d habitation Des instructions vont tre donn es aux services des imp ts pour mise en uvre de cette mesure 88 998 a Imp ts locaux taxe nrofeccionnelle aj 19275 23 octobre 1989 M Michel Meylan attire l atten tion de M le miaictre aupr s dp ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg du sur l article 1478 1 2 alin a du code g n ral des imp ts loi no 86 1318 du 30 d cembre 1986 relatif la cessation d activit et notamment lorsqu une entreprise ayant un tablisse ment dans une commune cesse toute activit dsns cet tablisse ment Quelques mois plus tard et dans la m me ann e civile elle ouvre
159. blique dans les termes reproduits ci apr s Les membres de la F d ration g n rale des retrait s de la fonction publique section de la Loire Atlantique r unis en assembl e g n rale d partementale d automne le 9 octobre 1990 Nantes mairie annexe de Doulon conscients des inqui tudes provo qu es par les v nements du Golfe exigent que la rigueur si elle est in vitable puisse tre r partie le plus quitablement possible regrettent qu en ce d but d octobre aucune amorce de n gociation salariale n ait encore t bauch e constatent ce jour un d calage croissant entre l volution des prix et celle de leurs pensions de retraite depuis le ler janvier 1990 aggravant le contentieux n de la rupture de l accord salarial pour 1988 1989 dont le gouvernement porte la responsabilit d noncent de nou veau l information gouvernementale puis m diatique selon laquelle le pouvoir d achat des fonctionnaires aurait augment en 1988 et 1989 l accroissement de la masse budg taire qui les concerne n est d qu au truchement des promotions changements de corps atttribution de primes et indemnit s nouvelle prise en compte du G V T Les retrait s qui eux n ont pu b n ficier d au cune de ces mesures r serv es aux seuls actifs ont constat une baisse significative de leur pouvoir d achat pour s en convaincre il suffit de mettre en parall le l volution de leurs pensions et celle des prix au cours de l
160. ca tion Personnes g es soins ef maintien domicile 38526 12 novembre 1990 M Godfrain rappelle Mme le secr taire d Etat la et aux personnes Ag es qu une question au Gouvernement relative aux mesures prendre en faveur des personnes Ag es d pendantes il avait t r pondu que l administration avait examin ce probl me et la bor plusieurs rapports et qu il fallait adapter l indemnit com pentatrice et d autres prestations avsit t ajout qu en octobre on serait en mesure de proposer un plan qui organisera la solidarit nationale famillale et du voisinage Compte tenu de ASSEMBL E NATIONALE 5199 l extr me importance du probl me en cause il lui demande quelles seront les orientations g n rales de ce plan et les formes qu il prendra dispositions l gislatives et ou r glementaires Enseignement politique et r glernentation 35545 12 novembre 1990 Le co t la rentr e scolaire ar l ve a t pr sent par la conf d Tation syndicale des amilles le 5 septembre 1990 580 francs en cole primaire 1361 francs en classe de 4 2 480 francs en classe de seconde etc Cela repr sente de 31 73 p 100 du budget mensuel des familles aux revenus modestes Si les variations de prix ont sensi blement peu volu par rappor l ann e pass e 0 7 p 100 les produits de mauvaise qualit et les articles de bas de gamme peu r sistants se multipl
161. carnoise oblig e d ailer se faire soigner l h pital de Quimper d j largement satur par ses propres activit s Si la population peut comzrendre que la haute technicit des soins modernes exige un appareillage extr mement co teux dont il est difficile de g n raliser l implantation elle ne peut admettre que des service traditionnels tels que la gyn co obst trique ou la p diatrie leur soient totalement sup prim s obligeant les patients et leurs familles des d placements co teux et p nibles lui demande quelles sont les mesures qu il compte prendre pour que la population de Concarneau puisse continuer de b n ficier de services hospitaliers qui lui sont indis pensables localement Gouvernement cabinets minist riels 35521 12 novembre 1990 M Bernard Debr attire l at tention de M le ministre d l gu la sant sur la composition de son cabinet dont on a eu connaissance r cemment Il est surpris et inquiet de constater que parmi les professions para m dicales seules les infirmi res semblent repr sent es lui demande de bien vouloir lui indiquer qui s occupera de toutes les autres professions param dicales au sein de son minist re H pitaux et cliniques personnel 35588 12 novembre 1990 M Christian Kert demande M le ministre 9616056 ja sant de lui pr ciser la suite qu il envisage r server la proposition du m diateur de la R pu blique tendant la cr ation
162. cation exceptionnelle qui aurait par ailleurs introduit une dis crimination au sein des retrait s affili s ce fonds selon leur r gime de r mun ration d activit En cons quence il ne peut qu tre confirm l honorable parlementaire qu il n est pas envi sag d tendre le champ d application des dispositions de l ar ticle 6 du d cret no 89 803 du 25 octobre 1989 relatives au verse ment d une allocation exceptionnelle au profit des retrait s civils et militaires de l Etat b n ticiaires au 1 novembre 1989 d une ou plusieurs pensions au titre du code des pensions civiles et militalres de retraite ou du r gime local d Alsace Lorraine HANDICAP S ET ACCIDENT S DE LA VIE Handicap s allocation aux adultes handicap s 29790 11 juin 1990 Roland Huguet appelle l attention de le secr taire d Etat aupr s du mixistre de la solidarit de la sant et de ia ectioa sociale charg des handicap s et des accident s de la vie sur la situation des personnes handi cap es en cas d hospitalisation Compte tenu du montant du for fait hospitalier et de la r duction appliqu e sur l allocation aux adultes handicap s ceux ci se trouvent pratiquement sans res sources En outre le forfait hospitalier augmente plus rapidement que l allocation aux adultes En cons quence il lui emande quelles mesnires il envisage de prendre en leur faveur R ponse institu par la lol du 19 janvier 1983 le forfait
163. ce n a d autre part rien agne de la recherche du sensationnel qui peut r sulter de telles initiatives C est pourquoi il lui demande de lui pr ciser sa posi tion sur ce probl me Assurances assurance automobile 35550 12 novembre 1990 M Joseph Henri Maujo an du Gasset demande M ie garde des sceaux ministre de ia jus tice de lui indiquer o en est l heure actuelle le probl me de la responsabilit en cas d accident du conducteur automobile vis vis d un auto stoppeur qu il a pris en charge b n volement Chasse et p che droits de chasse 35558 12 novembre 1990 M Jean Marie Demasge attire l attention de M ie garde des sceaux miaistre de ia justice sur de r cents jugements rendus par les tribunaux de grande ins tance de Metz et Thionville dans le cadre de litiges relatifs la chasse En cons quence il y a tout lieu de penser que ces juri dictions sont comp tentes pour conna tre du contentieux qui peut r sulter de la location du droit de chasse Aussi il Ini demande de bien vouloir lui apporter toutes pr cisions sur la r ponse qm a donn e sa question n 22465 J O du 5 mars 1990 age 1075 aux termes de laquelle il peut tre r pondu que es litiges r sultant de la location de la chasse en Alsace Moselle dans la mesure o ils rel vent des tribunaux judiciaires rel vent des tribunaux d instance Communes maires et adjoints d e 34665 12 novembre
164. ce sous tutelle une ias curit croissante faute de moyens de police suffisants et des retards consid rables dans les versements des subventions aux associations Il lui rappelle que lors de son intervention l occasion du colloque Villes en marche le 28 septembre dernier il r affirm toute l importance accord e aux associations dans la politique de la ville Dans le m me dis cours il a d nonc les lenteurs administratives qui ont entrain une interruption d activit dans cette m me ville lui demonde de lui pr ciser les d marches qu il compte entreprendre pour per mettre aux associations locales de b n ficier avant la fin de l ann e 1990 des plus de 5 millions de francs de subventions actuellement en attente et dont pr s d un tiers est ant rieur 1990 et qui correspondent en grande partie des actions entre prises respectivement des salaires vers s tous les mois Il lui demande par ailleurs s il est envisag d accorder aux asso ia tions en question dea subventionnements exceptionnels leur per mettant de prendre en charge les frais financiers tr s lev s caus s par ces retards de versements par rapport aux actions entreprises il lui sugg re la mise disposition imm diate des fonds accord s d s la d cision d attribution afin que les associa tions puissent b n ficier au fur et mesure du d roulement de l action sous forme une r gie d avance exon r e de frais
165. ciales et solidarit rs Jean Yves 30173 affaires sociales et solidarit Gaulle Jean de 30424 affaires sociales et solidarit Gayssot Jean Claude 30754 affaires sociales et solidarit Geageawin Germala 31276 culture communication et grands tra vaux God rala Jscques 33359 d fense Goldberg Pierre 34122 affaires sociales et solidsrit Goulet Dasiel 30177 affaires sociales et solidarit Guichos Luciea 33178 sant H Hage Georges 33754 t l communications et espsce Harcourt Fran ois 4 31158 consommstion 31566 sffaires sociales et solidarit Hubert Elisabeth Mme 27673 affaires sociales et solidarit 29400 affaires socisles et solidarit 31829 affaires socisles et solidsrit Huguet Roland 29790 handicap s et accident s de 18 vie J Jacquat Desis 31734 conomie finances et budget Jacquemin Michel 33844 affaires sociales et solidarit Jegou Jeaa Jacques 32651 sffaires sociales et solidarit Jonemaaa Alain 33735 sffaires sociales et solidsrit L Larifia Domiaique 25563 d partements et territoires d outre mer Le Meur Daalei 32670 snciens combattants et victimes de guerre 32891 anciens combsttants et victimes de guerre Le Vera Alala 39835 ducation nationale jeunesse et sports Lecuir Marie France Mme 32992 atfaires sociales et solidarit L otard Fran ois 33736 aff
166. cidose Les propositions concernant les actes de r ducation et de r adaptation fonctionnelles effectu s notamment par les masseurs kin sith rapeutes font actuellement l objet d une tude par les services Professions param dicales masseurs kin sith repeutes 32212 30 juillet 1990 M Henri Cuq appelle l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de a protection sociale sur les pr occupations des kin sith rapeutes Outre la cr stion d une juridiction professionnelle que devrait semble t il instituer un prcjet de loi non encore examin la profession sou haiterait voir deux autres aspects r vis s la r forme de ses tudes la r actualisation de la nomenclature de ses actes En ce qu concerne la r forme des tudes les kin sith rapeutes atten ent qu un certain nombre d exp riences soient men es Pour ce ui est de la r actualisation de la nomenclature des actes la pro ession attend encore que son minist re veuille bien donner suite au projet qui a t tabli et approuv le 20 septembre 1989 par la commission permanente de la nomenclature Il lui fait parall le ment observer toutes fins utiles que si certains tczifs m dicaux ont pu voluer ces derniers temps ceux des kin cith rapeutes demeurent incheng s depuis mars 1988 cons quence il lui demande s il est dans ses intentions d examiner s rieusement situation de cette profession et dans l affirmative il s
167. ctu es par certains inspecteurs et notam ment les responsabilit s administratives des 1 D E N Le co t budg taire de l ensemble de ces mesures statutaires et indemni taires s l ve plus de 72 millions de francs Par ailleurs les missions des LE N et des 1 1 sont red finies selon une approche plus globale et valuative en coh rence avec les cispo sitions de la loi d orientation et en fonction des nouvelles mis sions attribu es l inspection g n rale de l ducation nationale L objectif est de mieux coordonner les actions d valuation dans le cadre de programmes acad miques de travail Une note de ser vice du 4 juillet 1990 a d ores et d j pr cis les dispositions du nouveau statut en la mati re et en particulier le r le et les moda lit s g n rales d laboration des programmes acad miques de tra vail Enfin un important effort a t consenti afin d am liorer les conditions de travail de ces personnels C est ainsi que les dota tions allou es la cr ation ou la r novation des locaux utilis s par les 1 D E N vont tre doubl es et que 3 millions dc francs ont t inscrits au budget pour 1990 dans le but de moderniser les quipements dont ils disposent Cet effort doit tre reconduit dans le budget de 1991 Celui ci doit galement comporter la cr ation de trois emplois 4 1 1 et de dix emplois d l E N Education physique et sportive enseignement maternel et primaire
168. d envisager la possibilit d une proc dure analogue la mise en fourri re Cette mesure permettra t sans priver d finitivement de son bien le propri taire du v hicule de connaltre l identit du contrevenant et de rendre plus dissuasive une ventuelle r cidive S curit sociale sapeurs pompiers 35993 12 novembre 1990 M Jean Claude Mignon appelle l attention de M ministre de l int rieur sur les cons quences de la circulaire minist rielle du 16 ao t 1990 entrant en vigueur en 1991 et portant niodification de la proc dure d alerte des corps de sapeurs pompiers par l interm diaire de la gendarmerie En effet afin d all ger les astreintes aux qus elle est soumise la direction g n rale de la gendarmerie a cid de centraliser progressivement sur chacun de ses groupe ments d partementaux les alertes re ues par ses brigades sur le aum r 18 Cette nouvelle proc dure a certes un but louable celui de confier la gestion des alertes aux professionnels que sont les om pre N anmoins elle a galement des cons quences n fastes sur la s curit et la vie quon de nos concitoyens savoir hurlements fr quents de la sir ne de jour comme de nuit g nant ainsi la population non s lection des effectifs de sapeurs pompiers n cessaires pour une intervention d lai d intervention des personnels trop long possibilit s accrues d erreurs de transmission dans l alerte occasionn es par des sta
169. de Et en 1991 l annonce de l arr t du financement des P A P par le livret va rendre les choses encore plus difficiles 1 lul demande donc de lui pr ciser l tat actuel de ce dossier et les perspectives de son action minist rielle cet gard Logement logement social 34667 i2 novembre 1990 M Bernadette Isaac Sibille appelle l attention de M le ministre d l gu au logement sur le combat que m nent les femiiles es plus d munies pour acqu rir un logement et aux actions de suivi social qui en consti tuent la condition de r ussite Elle lui pr cise que les dispositifs mis en place ces derii res ann es n ont pas eu les effets escompt s Les cr dits du suivi social pour 1990 justifient ses craintes Ces cr dits d un montant de 45 millions de francs pour 1990 sont r partis entr le minist re de la solidarit de la sant et de la protection sociale pour 10 milli ns de francs le minist re de l quipement du logement des transports et de la mer pour 25 millions de frarcs et le fonds d action sociale pour les travailleurs immigr s pour 10 millions de francs ne peuvent r pondre l ensemble des demandes pr sent es par les orga nismes de lcz z nts et les associations 120 millions de francs ASSEMBL E NATIONALE 5211 Elle lui indique en outre que la r duction drastique enregistr e sur la ligne ASEL 10 millions en 1990 contre 30 millions en 1985 ne p uvt tre ainsi compens e par d aut
170. de prendre pour faire respecter les textes et notamment la loi du 30 juin 1975 en faveur des personnes handi cap es INDUSTRIE ET AM NAGEMENT DU TERRITOIRE Electricit et gaz distribution de l lectricit Nord 35447 12 novembre 1990 M Robert Anselln attire l at tention de M le ministre de l Industrie et de l am nagemeat du territoire sur les graves probl mes rencontr s par la popula tion de la commune de Coutiches 59310 quant l implantation d une ligne tr s haute tension 2 x 400 000 volts en surplomb d habitations 11 lui demande de prendre des dispositions urgentes afin de faire stopper les travaux et de faire tudier par E D F un nouveau trac Retraites r gimes autonomes et sp ciaux politique l gard des retrait s 35523 12 novembre 1990 M Jacques Godfraln appelle l attention de M le mluistre de l industrie et de l ans nage ment du territolre sur la situation des retrait s qui rel vent du r gime dit des services militaires et des services d ouvriers des mines de fer En effet le protocole d accord du 23 d cenibre 1970 qui confiait la gestion de ce r gime au r gime minier a t d nonc avec effet au 31 d cembre 1990 lui demande de bien vouloir lui pr ciser les mesures qu il entend prende pour maintenir aux int ress s les avantages qui taient i s leur statut Minerais et m taux or 35541 12 novembre 1990 M Henri Bayard demande
171. de deux ans pour la mise en epplicalion du d cret afin de permettre aux m nages futurs acc dants de constituer leur apport Il lui demande les mesures qu il envisage de prendr pour att nuer les inqui tudes ainsi manifcst es Question transmise Mme le secr taire d Etat la consommation R ponse Les textes publi s le 17 f vrier 1990 constituent un ensemble coh rent visant am liorer la s curit financi re des op rations d accession aid e la propri t L augmentation de la quotit des pr ts P A P de 72 5 90 p 00 du co t de l op ra tion et exigence d un apport personnel r el de 10 p 100 auront pour effet d viter le recours des pr ts compl mentaires taux lev et d am liorer la structure du plan de financement de prunteur Ces mesures sont compl t es par un rel vement des plafonds de ressources qui devrait perme tre d orienter des m nages plus solvables vers l accession L obligation d un apport personnel minima de 10 p 100 s inscrit dans le cadre de 1a poli tique de promotion de l pargne et de lutte contre le surendette ment des m nages La pratique courante des tablissements de cr dit est d exiger un apport personnel d au moins 20 p 100 du co t de l op ration Il parait donc inopportun de pr voir une norme plus basse L impact de ces mesures sur l activit du sec teur de la construction individuelle ne peut clairement tre appr ci compte tenu de leur caract re
172. de kin sith rapie a t vot par la commission permanente de la nomen clature mais que ce texte attend pour l instant l agr ment minis t riel D autre part la valeur de la lettre cl A M M reste inchang e depuis mars 1988 accord sur la base de la revalo risation tarifaire est intervenu apr s n gociations avec les caisses d assurance maladie mais pour le moment cet accord n a pas t ent rin par le Gouvernement En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer les raisons qui expliquerit ces retards Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31566 16 juillet 1990 M Fr is d Harcourt attire l at tention de M le ministre de la solidarit de ia sant et de ia protection sociale sur les difficuli s que rencontrent les kin si th rapeutes dans la mise en uvre d une nouvelle nomenclature et la revalorisation de la lettre clef A M M La commission per manente de la nomenclature a vot un texte actualisant la nomenclature des diff rents actes accomplis par les kin sith ra peutes Cette modification tait souhaitable en raison de l volu tion des techniques de soins en sorte que l ancienne tait devenue obsol te Par ailleurs la suite de n gociations avec la caisse d assurance maladie un accord est intervenu pour qu une revalorisation tarifaire de la lettre clef A M M soit r alis e A ce jour il apparaltrait que le Gouvernement n a pas ent rin cet accord i
173. de loi n 1230 relatif l organisation de la profession des sages femmes et l organisation de certaines professions d auxiiialres m dicaux n a jamais t discut en commission interprofessionnelle du Conseil sup rieur des professions param dicales C S P P M mais uni quement en commission sp cialis e 11 lui demande galement de lul Indiquer s il pense que ce projet sera mis l ordre du jour au cours de la pr sente session parlementaire Assurance maladie maternit g n ralit s quilibre financier 35538 12 novembre 1990 Jean Proriol attire l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de 1 soli arit sur noe d penses de sant qui ont pro de 9 p 100 en 1989 En effet les Fran ais consomment deux fois plus de m dics ASSEMBL E NATIONALE 5181 ments que lcs Britanniques quatre fois plus que les Hollandais et 70 p 100 de plus que les Allemands C est pourquoi il lui demande d une part quelles sont les causes de cette surconsom mation d autre part s il envisage de modifier nouveau le ys t me de remboursement de certains m dicaments et enfin quelles dispositions il entend prendre pour sensibiliser la population afin de limiter la charge financi re de la s curit sociale Retraites g n ralit s financement 35539 12 novembre 1990 M Jean attire l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur l important d
174. de parents d enfants de moins de vingt ans et lourdement handicap s souhaitent accueillir chez eux leur enfani avec l ac compagnement m dical et psychoiogique n cessaire 115 se heur tent alors de graves difficult s financi res co t de certains soin non pris en charge obligation pour l un des parents de cesser toute activit professionnelle et de ne recevoir qu une allo cation d ducation sp ciale d un montant de 1948 francs actuels ar mois Ces parents souhaitent donc que le r le de soignant eur soit reconnu et que l A C T P actuellement vers e aux handi cap s adultes et aux personnes g es soit tendue aux enfants ayant besoin de soins constants 11 serait d sireux de savoir ce que est possible d envisager pour aider les familles d sireuses affronter la maladie ou le handicap de leur enfant Handicap s allocation compensatrice 35483 12 novembre 1990 M Daniel Chevallier attire l at tention de M le secr taire d Etat aux handicap s et aax acci dent s de la sur le versement de allocation com postes Pour tierce personne r serv e aux adultes handicap s montant de l allocation d ducation sp cialis A E S vers pour les enfants de moias de vingt ars ne permet pas d assurer des conditions de vie satisfaisantes pour un enfant handicap ayant besoin de soins constants soign domicile En cons quence il lui demande de bien vouloir lui pr ciser ce qu il envi sage
175. de pour faciliter l acc s de ces stagiaires trangers des formations pro fessionnelles dans les universit s fran aises Papiers d identit r glementation 38456 12 novembre 1990 M Jean Paul Bret appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur les copies certifi es conformes de documents administratifs Les services municipsux de l tat civil se r f rent toujours 15 circulaire du 24 novembre 1976 selon laquelle les copies de cartes d identit et de cartes de s jour ne peuvent tre certifi es conformes Pourtant les demandes sont de plus en plus nombreuses Aussi il lui demande s il entend prendre des dispositions pour r actualiser la circulaire du 24 novembre 1976 J RARAA Q m Ai A5MMDnn nn A Etat civil actes 35457 12 novembre 1990 M Jean Paul Bret appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur l tablissement de la fiche d tat civi Une fiche d tat civil ne peut tre d livr e qu partir de l acte de naissance du iivret de famille ou de la carte nationale d identit En aucun cas elle ne peut tre tablie sur du passeport Or de plus
176. de s il s agit l d un simple oubli ou d une r elle volont d exclure ces agents qui exercent des fonctions de chef de garde mais ne sont pas reconnus en tant que tels o S curit civile sapeurs pompiers 35400 12 novembre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int Meur sur le nouveau statut des sapeurs pompiers tel qu il a t publi au Journal officiel du 26 septembre 1990 11 lui demande quand sortiront les textes d finissant les unit s de valeurs gour la nomination aux grades sup rieurs sans lesquels il est impossible de mettre en application le d cret du 25 septembre 1990 S curit civile sapeurs pompiers 35401 12 novembre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de M ie ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur le nouveau statut des sapeurs pompiers tel qu il a t publi au Journal officiel du 26 septembre 1990 Le d cret n 90 850 du 25 septembre 1990 portant dispositions communes l ensemble des sapeurs pompiers professionnels ne fixe pas de mani re claire les responsabilit s de chacun Aussi il lui demande sous quelles responsabilit s sont plac s les sapeurs pompiers professionnels S curit civile politique et r glementation 35402 12 novembre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rleur sur le d cret relatif la constit
177. demande de bien vouloir engager une v ritable concertation avec les organisations repr sentant les 1 et de bien vouloir faire connaitre sa position l gard de ce corps d inspecteurs R ponse L importance renouvel e de la fonction d valuation du syst me ducatif soulign e par la loi d orientation sur l du cation a conduit le ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports engager un large processus de concertation en vue de concevoir une r forme d ensemble des corps d inspeciion p dagogique Leur situation ant rieure tait caract ris e par l existence de 5 corps sp cialisis inspecteurs d acad mie inspecteurs principaux de l enseignement tech TRE 1 P E T inspecteurs d partementaux de l ducation natio nale 1 inspecteurs de l enseignement technique I E T inspecteurs de l information et de l orientation 1 1 0 Leurs mis sions le niveau de leur recrutement et ieurs carri res avaient vieilli et devaient tre modernis s Le d cret 90 675 du 18 juillet 1990 r duit le nombre de ces corps deux celui des inspecteurs de l ducation nationale L E N et celui des inspec teurs p dagogiques r gionaux inspecteurs d acad mie K P R 1 A l ve syst matiquement le niveau de recrutement de ces personnels respectivement la licence et la maitrise et d cloisonne leurs carri res Les futurs ILEN et 1 P R 1 4 rece vro
178. des grandes consultations sociales qu ozganise le Gouvernement Assurance maladie maternit frais pharmaceutiques 35509 12 novembre 1990 Un d cret minist riel relatif la m dicalisation du remboursement du m dicament devrait tre prochainement publi au Journal officiel Celui ci pr voirait l ins taurstion d un accord pr alable de la s curit sociale avant tout remboursement d ordonnance et qu un nouveau m dicament sera rembours si il est jug plus efficace ou se r v le moins co teux pour une efficacit identique La mise en uvre d un tel syst me rev t un caract re purement arbitraire et porte une nouvelle atteinte au droit la sant M Jean Claude Gayssot demande M le ministre des affaires sociales et de la solidarit d an nuler ce projet inacceptable et de lui faire connaltre les inten tions du Gouvernement sur cette question Enfin il lui rappelle la proposition des d put s communistes qui permettrait de r sorber le d ficit de la s curit sociale plut t que de p naliser les malades et les usagers faire cotiser les revenus financiers au m me taux que les salari s 13 6 p 100 ce qui rapporterait cume ann e 40 milliards soit quatre fois le montant du d ficit actuel Professions m dicales sages femmes 34522 12 novembre 1990 M Bernard Debr demande M le ministre des affaires sociales et de solidarit de lui faire par des raisons pour lesquelles le projet
179. des propositions au ministre charg de la s curit sociale sur les actualisations de la nomen clature qui lul apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux ia commission a d sign 3 rapporteurs pour examiner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les traltements de chimioth rapie domicile et d anti bioth rapie pour mucoviscidose effectu s per les infirmi res Les propositions d actualisation de la nomenclature relatives aux trai tement pr cit s que la commission permanente a falt parvenir l administration ont t accept es par les pouvoirs publics confor m ment su contenu des arr t s du 13 octobre 1989 publi au Journal officiel du 20 octob e 1989 et du 27 juin 1990 publi au Journal cfficiel du 5 juillet 1990 Professions param dicales orthophonistes 33609 17 septembre 1990 M L once Deprez sppelle l at tention de M le miaistre de la solidarit de ia saat et de 1 protection soc zle sur les pr occupations des orthophonistes Ceux ci au del des discussions en cours concernant le dossier avenant tarifaire sont pr occup s juste titre psr la d fini tion de r gles professioanelles sp cifiques dossier en suspens 1959 et par la mise jour du d cret de comp tence 24 ao t 1983 11 lui demande donc la suite qu il envisage de r server ces l gitimes pr occupations R ponse La revalorisation de la lettre cl AMO qui r m
180. des sommes tr s importantes de l ordre de 400 millions de francs furent engag es pour am nager le camp de La Cavalerie qui peut ioger 3 hommes de troupe Or il en compte actueliement vingt fois moins Ii para trait logique et par ticuli rement souhaitsble pour le d partement de l Aveyron qu un des r giments de retour d Allemagne au cours des ann es qui viennent soit cantonn au camp de La Cavalerie Il lui demande si les premiers l ments du plan sans doute en cours d tiabora tion pour le stationnement des troupes actuellement en R F A pr voient cette hypoth se R ponse La densification des implantations sur les sites exis tants notamment dans les cape et la r occupation des caserne ments r cemment lib r s constituent des axes de recherche privi l gi s dans le cadre du resserrement du dispositif de l arm e de terre en m tropoie Toutefois l installation d un r giment dans un camp ne doit pas ob rer ies capacit s de man uvre et de tir offertes par ce dernier c est le cas tout particuli rement au Larzac sur iequel est install le centre d entrainement de l infan terie au tir op rationnel qui re oit annuellement plus de 80 com pagnies pour les stages ds 8 jours Pour le moment aucune finitive e peut tre donn e en ce qui concerne la den si on du camp du Larzac compte tenu de sa vocation actuelle Service national politique et r glementation 33838 17 septembre 1990 Redert Pan r
181. du revenu globai qui sont limitati vement num r es par la loi Cette loi pouvant tre modifi e comme cela a t fait pour les cotisations syndicales il lui demande A rie dispoaitions il compte prendre afin de mettre sur un pied d gslit cotisants mutualistes et assur s sociaux par ASSEMBL E NATIONALE 5189 rapport d autres b n ficiaires des d ductions fiscales n ayant pas un caract re budg taire primes d assurance vie capitalisa tion plans d pargne populaires cotisations syndicales COMMERCE ET ARTISANAT Retraites r gimes autonomes et sp ciaux artisans commer ants et industriels politique l gard des retrait s 35476 12 novembre 1990 M Fen Besumont appelle l at tention de le ministre d l gu au commerce et l arti sanst sur le fait que depuis l abaissement de l ge de la retraite soixsnte ans en 1983 il n est plus possible un commer ant ou un industriel ind pendant qui souhzite percevoir sa pension de retraite de continuer son activit ant rieure contrairement la totale libert de travail qui pr valait agua cette date pour les retrait s En effet la loi du 9 juillet 1984 a tendu aux non salari s du commerce de l industrie et de l artisanat la limitation du cumul entre une activit et une rension de retraite institu e pour le r gime g n ral salari s par une ordonnance de 1982 ourtsnt cette mesure de limitation du cumul emploi ret
182. e et de chefs de service au sein de l administration cen rale Enseignement secondaire centres d information et d orientation 27322 16 avril 1990 M Jacques Becq zttire l attention de M le ministre d Etat ministre de i ducation antionsie de ia jeunesse et des sports sur l inqui tude manifest e par les direc teurs de centres d information et d orientation de l 2cad mie d Amiens Il lui demande donc de bien vouloir lui pr ciser guae mesures il cc mpte prendre rapidement pour r pondre aux emandes de revalorisatior de carri re et d am lloration de statut de ces personnels enseignement secondaire centres d information t d orientation 27745 30 avril 1990 Andr appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de l ducation aationaie de la jeunesse et des sports sur le m contentement des directeurs de centre d information et d orientation de l acad mie d Amiens exisptres par les blocages minist riels dans le traitement de leurs statuis et de leurs missions lls ne peuvent admettre que la mise en uvre des engagements pris soit sans cesse diff r e Ils exi gent la mise en application imm diate des mesures de revalorisa tion annonc es par le ministre de l ducation nationale dans le relev de conclusion En outre ils exigent la reprise imm diate des n goclatlons concernant 1 le statut des 2 la reva lorisation de leur carri re 5 l indemnit des charges admin
183. e est rappel que d ores et d j en 1990 les taux de l indemnit sp ciaie qu lis per oivent ont t seisibiement gm Or ii sembie d apr s les int ress s qu ur arbitrage avorabie ait t rendu par ses services li iui falt observer 1 tel est ie cas que cette position est particuli rement regrettable compte tenu de i importance des missions actuelles des pharma ciens Inspecteurs de sant ainsi que des enjeux sant ASSEMBL E NATIONALE 5179 publique et conomiques qui en d coulent L industrie pharma ceutique fran aise ne conservera son quatri me rang mondial que si intrins quement et travers l administration qui la contr le elle reste performante Le statut des pharmaciens inspecteurs de la sant date de 1950 poque durant laquelle ils taient les ins pecteurs des officines de pharmacie alors qu ils sont aujourd hui essentiellement les inspecteurs de l industrie pharmaceutique Le corps des pharmaciens inspecteurs de la sant est en situation tr s difficile avec une crise du recrutement et des d missions qui se multiplient Il semble que le rejet du projet pr sent par le ministre de tutelle ne laisse esp rer aucune court terme permettant de rem dier au profond malaise et l injustice que ressent ce corps de fonctionnaires lui rappelle que des arbitrages favorables ont t rendus r cemment en faveur des m decins inspecteurs de la sant des ing nieurs du g nie sani
184. e une client le diff rente dans le nouvel tablissement T V A champ d application 25116 5 mars 1990 Mme Jacqueline Alquier attire l at tentjon de M le miaistre d l gu aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances ct du budget charg dau budget sur le r gime de la T V A en cas de transfegt d une ope ration immobili re d int r t g n ral par une commune un syn dicat intercommunal mais galement sur la prise en compte ou non des subventions publiques en l esp ce des subventions de la C E E par le moyen du F E D E R textile hors quota dans l as siette de ladite taxe Une commune ayant acquis un vaste b ti ment industriel d saffect dans lequel elle a r alis un centre d affaires offrant la vente et la iocation 1000 m tres carr s de bureaux dans un premier temps 2000 m tres carr s terrae cela aid par une subvcntion du F E D E R avec exon ration de toute rception au profit du Tr sor conform ment Par ticle 1042 du code g n ral des imp ts se voit assujettie au titre de l article 257 7 du m me code pour la construction et l am nagement de ce b timent en vue de sa revente Or il se trouve que l enjeu conomique de cette r alisa tion pour cette agglom ration est d une telle importance que les communes qui la composent ont d cid de se constituer en syn dicat intercommunal avec pour objet de commercialiser la pre mi re tranche de
185. e de vingt cinq ans Enfin a t remis en cause le droit des orphelins de guerre handicap s de b n ficier du cumul de leur pension d orphelin et de celle d adulte handicap En cons quence il lui demande s il entgnd prendre les dispositions n ces saires pour faire des pupilles de la nation et des orphelins de guerre des ressortissants de l O N A C sans condition d ge ainsi que pour leur permettre l acc s aux emplois r serv s y compris au del de l ge de vingt cinq ans en conservant le statut d or phelin de guerre et non pas en tant consid r comme handicap social Il lui demande galement en ce qui concerne le cumul de la pension d orphelin et de l allocation adulte handicap de revenir la pratique d avant 1983 BUDGET Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 32073 Fabien Thi m Imp ts locaux taxes fonci res 35438 12 novembre 1990 Mme Christiane Mora attire l attention de M le ministre d l gu au budget sur tion du d cret n 74 1024 du 25 novembre 1974 relatif au classe ment d m la taxe fonci re des propri t s non b ties dans le roupe Terrains b tir En mati re de lotissement le classement ans le groupe des terralns b tir est effectu d s l ann e sui vant celle de l arr t pr fectoral Ce classement tant ind pendant de l op ration de viabilisation des parcelles le
186. e finances et budget Certes 31888 affsires sociales et solidsrit Casalet Robert 31463 affsires socisles et solidsrit Casenave Richard 30181 sffsires sociales et solidarit Charles Bersard 33195 consommation Cheries Serge 29416 affsires sociales et solidarit Chavames Goerges 32495 anciens combattants et victimes de guerre Chevaliier Daniel 22642 ssnt Cheuet Didier 30179 affsires socisles et solidarit Colembeal Louis 34139 budget Cag 32212 affaires sociales et solidarit D Andr 33243 affaires sociales et solidsnt Dolettre Froncio 33613 sffaires sociales et solidarit Depron L once 31349 Premier miaistre 33609 affsires sociales et solidarit Jean 32099 culture communication et grands travsux ete n Mme 31796 consommation 30404 conomie finsnces et budget 27391 affaires sociales et solidarit 27469 affaires sociales et solidarit 31417 affsires sociales et solidarit Derteux Jess Poal 32991 affaires sociales et solidarit impe 29630 affaires sociales et solidarit 34065 fonc EDT et r formes administratives Durr Andr 33295 affaires sociales et solidarit F Fillon Freacols 33528 ducation nationale jeunesse et sports Foucher Jean Pierre 31825 affaires sociales et solidarit G 31268 affaires so
187. e Legros attire l at tention de M le ministre d l gu au budget sur la situation budg taire de la ville de Chanteloup les Vignes Yvelines Cette ville conna t un d ficit budg taire structurel depuis 1977 date laquelle une cit H L M comptant plus de 8 000 habitants a t implant e par l Etat dans un village de 500 personnes sans que les infrastructures indispensables ne soient r aiis es Depuis 1977 la viile subit une situation de tutelle budg tairg qui tous les ans oblige la municipalit r aliser des conomies dra ques privant la ville d n fonctionnement r pondant aux attentes de E tion Cette situation est encore aggrav e par le fait que la ville partie prenante dans la proc dure du d veloppement social urbain doit faire face de nombreux problemes sociaux d int ration et de d linquance Aussi au 1 novembre le budget de a ville pour l ann e en cours n est toujours pas arr t par l auto rit de tutelle Malgr les efforts r els de la municipalit de r duire le d ficit 51 p 100 en 1982 17 p 100 vot s en 1990 par des conomies et des recettes nouvelles taxe professionnelle de nouveaux sacrifices sont demand s la ville en pleine p riode de tensions notamment par des conomies de fonctionnement et un alourdissement de la fiscalit particuli rement difficile accepter dans une ville qui a le potentiel fiscal ie plus faible du d parte ment risquant m me dc coiapr
188. e M le ministre des d partemeats et territoires d outre mer sur l volution alarmante des ioyers d habitation en Guade loupe Entre 1987 et 1989 ies hausses constat es font apparaltre une volution des loyers sup rieure de 75 100 celle enregis tr e en m tropoie pour ia m me p riode Les tensions inflation nistes sur le march locatif guadeloup en dues pour une grande partie l augmentation des prix des terrains construire svite 12 novembre 1990 l application de la loi de d fiscalisation des investissements immobiliers ne manqueront pas de s accroitre dans le contexte actuel de reconstruction de la Guadeloupe Afin de mettre un terme l volution incontr l e des loyers Suadeloune un d cret en Conseil d Etat tel que pr vu par l article 18 de 1 loi 89 462 du 6 juillet 1989 devrait intervenir dana des d lais brefs Ce d cret qui ne pourra s appliquer qu aux cas de pre mi re iocation de logements ne r pondant pas aux normes nini males aux logements vacants ainsi qu aux cas de renouvel ement de contrats aura le m rite d viter la surench re que pro oque le voisinage de logements neufs loyer libre Cette n cessaire mesure d urgence devra tre compl t e par un dispositif d roga toire la ioi du 6 juiilet 1989 et visant r glementer de fa on lus compl te et g n rale l volution des loyers en Guadeloupe 1 lui demande de lui exposer les prochaines initiatives q
189. e cette p riode compte pour troia fois sa dur e dans le c 01 de la retraite Afin de pr ciser le contenu de cette revendication il a t propos aux associations concern es de participer une r union qui doit se tenir au cours dea prochaines semaines 2 Carte de combattant Les conditions d attribution ont t am lior es par rapport aux g n rations pr c dentes afin de tenir compte de la sp cificit du conflit en d cembre 1988 le secr taire d Etat les a encore largies en abais sant de trente six trente te nombre de points permettant l attri bution de la carte titre individuel Actuellement pr s de 900 000 cartes ont t attribu es S il n a pas paru possible de se reporter aux unit s de gendarmerie pour attribuer la carte du combattant tous le anciens d Afrique du Nord en revanche une tude est actuellement en cours sur une r forme d ensemble des conditions d attribution de la carte du combattant qui com pl terait la l gislation en ce domaine sans toutefois diminuer la valeur morale attach e cette carte 3 Pathologie A l initiative du secr taire d Etat la commission m dicale institu e en 1983 pour tudler une ventuelle pathologie propre aux anciens d Afrique du Nord a repris ses travaux et devra d poser un rap port l automne aux commissions des affaires sociales au Parle ment 11 Rapport constant Le nouveau dispositif mls en place permet de tenir compte de toutes les mesu
190. e connues pour la fin de 1 pr sente ann e le sch ma directeur devant tre arr t en juin 1991 Ce n est qu l inue de ces tudes quc les besoins de l tablissement seront d finitivement connus et il semble indispensable de conserver cette r serve fonci re pour une ventuelle utilisation hospitali re si les besoins conduissient r aliser une unit hors des limites de l h pitsi Notre Dame de Bon Secours HApitaux et cliniques fonctionnement 33178 3 septembre 1990 M Lucien Guichon appelle l at tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la ection sociale sur les d lais extr mement longs n cessaires appiobation des budgets des tablissements hospitaliers La fixation du montant des dotations 3 hales et des tarifs des pres tations devrait tre connue au 1 janvier de l exercice consid r Or il ci c r que dans de nombreux d partements ces l ments ne sont fix s qu en juin ou juillet perturbant consid rablement la estion des h pitaux 1l lui demande ses intentions pour rem dier le ministre l avenir cette situation Question transmise M la sant R ponse Le d cret du 11 ao t 1983 modifi a fix les d lais d approbation des budgets des tablissements publics et de fixa tion des tarifs ainsi que de la dotation globale par l autorit de tutelle au 1 janvier de l ann e laquelle ils se rapportent li convient que ces dispositions soient respect es
191. e de la fonction d valvation du syst me ducatif soulign e par la loi d orientation sur l du cation a conduit le ininistre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports concevoir dans le cadre du plan de evalorisation de la fonction enseignante une r forme d ensemble des corps d inspection p dagogique Leur situation ant rieure tait caract ris e par l existence de cinq corps sp cia lis s inspecteurs d acad mie 1 inspecteurs principaux de l enselgnement technique L P E T inspecteurs d partementaux de i ducation nationale I D E N inspecteurs de l enseignement technique 1 inspecteurs de l information et de l orientation 1 1 0 Leurs missions le niveau de leur recrutement et lcurs Carri res avaient vieilli e devaient tre modernis s Le d cret ne 96 675 du 18 juillet 1990 r duit nombre de ces corps 5n ELE 5240 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 deux celui dec inspecteurs de l ducation nationale LE N et celui 25 inspecteurs p dagogiques r gionaux inspecteurs d aca d mie 1 P R 1 11 l ve syst matiquement le niveau de recru tement de ces personnels respectivement la licence et la msl trise et d cloisonne leurs carri res Les futurs l E N et 1 1 recevront d sormais une formation initiale d une ann e La situa tion de ces inspecteurs est enfin revaloris e selon des modalit s indiciair
192. e de soixante ans dans le secteur priv Seuls les d port s intern s et patriotes r sistant l occupation des d partements du Rhin et de la Moselle incarc r s en camps sp ciaux P R O pensionn s 60 p 100 et plus b n ficient d une mesure exceptionnelle dans ce domaine en effet ils peuvent cesser leur activit professionnelle ans et cumuler leur pension militaire d invalidit et leur pension d inva lidit de la s curit sociale par d rogation au droit commun qui interdit l indemnisation des m mes affections au titre de deux r gimes d invalidit diff rents Or cette cessation d activit n im plique pas la liquidation de leur retraite qui n a lieu qu soixante ans L adoption d une telle mesure en faveur des anciens combattants d Afrique du Nord conduirait rompre l galit avec les autres g n rations du feu qui n en ont pas b n fici et place 12 novembre 1990 les int ress s dans la m me situation que les victimes du r gime concentrationnaire nazi ce qui n est pas envisagea le Cependant le secr taire d Etat charg des anciens combattants et des victimes de guerre tudie cette question en liaison avec ses coll gues charg s de l emploi et de la solidarit En tout tat de cause d apr s les premi res investigations il n apparait pas pos sible J accorder la retraite anticip e une cat gorie particuli re quel qu ait t son m rite Quoi qu i
193. e la communication et des grands travaux L action de la direction du patrimoine porte sur les 215 000 objets prot g s au titre des monuments historiques Ceux ci religieux pour la plus grand part appartiennent l Etat des collectivit s locales des propri taires priv s La on contre le voi com mence par ia bonne connaissance des objets prot ger Le recen sement des uvres d art est poursuivi odiquemen assorti de campegnes photographiques et de l infcrmatisation en cours des donn es recueiliies Des campagnes d inventaire pes nien du marquage des objets ont en outre t lanc es dans les ch teaux appartenant i Etat La protection ausei ei surtout la pr vention Dans le sadze de la loi de programme relative au patrimoine monumental couvrant la p riode 1988 1992 un effort particulier a t consenti en vue de l am nagement de tr sors notamment d amp s les cath drales et de d p ts d art sacr susceptibles de favoriser le regroupement dans des lieux pro t g s d objets religieux provenant d glises paroissiables avoisi nantes En outre priorit est donn e aux travaux de s curit Ceux ci scellements mises en vitrine pose de grilles de protec tion installation de syst mes d alarme sont pris en charge tota lement par l Etat dans les difices qui lui appartiennent L Etat encourage aussi les collectivit s pour une aide technique et une financi re de la moiti
194. e mesure ia situation kin sith rapeutes va tre envisag e globalement Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30424 18 juin 1990 M Jean de Gaalle attire l attention de M le ministre de solidarit de sant et de protec scciale sur les pr occupations actuelles des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs Plus pr cis ment il pens d une part que la valeur de la lettr cl AMM n a pas volu depuis mars 1988 Comme oyait le texte de la convention nationale les n gociations tari aires avec les caisses d assurance maladie se sont engag es d s le mois d avril 1989 et un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est irtervenu mais pour l instant cet accord n a pas t ent rin par le Gouvernement D autre part concernant le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie ce texte vot par la commission permanente de la nomenclature attend l avis du minist re L int r t du malade est directement en cause puisque la nomenclature date de 1972 et que depuis les techniques ont volu de telle mani re qu il n est plus possible uer les m mes traitements 11 lui demande en cons quence de bien vouloir lui pr ciser quelles sont ses intentions concernant ces deux probl mes Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30566 25 juin 1990 M Adrien Zeller appelle l attention de M le ministre de la solidarit de la sa
195. e r glement en num raire du suppl ment de portlon h rtditaire d au copartageant l s soit les droits de mutation titre on reux exigibles sur l acte qui op re le transfert de pro pri t de biens au profit du copartageant 1636 Collectivit s locales fonctionnzment 34094 8 octobre 1990 M Fran ois Massot appelle l at tention de M le miaistre d l gu aupr s du minietre d Etat miaistre de l conomie des finances et du budget charg du 8 sur l int r t vident qu il y aurait all ger les pi ces justificatives produites aux comptables publics l appui des mandats relatifs aux acon ptes sur march s publics des collecti vit s locales et d tendre ces march s la r elle simplification r suitant de la lextre circulalre CD 5571 L C 343 du 6 novembre 1989 A cet gard il lui demande quel est l tat d avancement de la r forme entreprise par le Gouvernement et dont il a t fait mention en r ponse 1 question crite no 18080 parue au Journal officiel du 22 janvier 1990 De plus n y aurait il pas lieu d envisager une r flexion peur progresive ment augmenter le sevil de 70 p 100 vis dans ia lettre circulaire pr cit e afin d atteindre par paliers celui de 90 p 100 pour all ger les op rations de contr le des publics locaux ce qui permettrait de raccourcir les d lais de paiement des mandats et de mettre ainsi fin aux lourdeurs administratives d nonc e
196. el d lai cette concertation pourrait avoir lieu avec quels participants et sur quelles propositions Patrimoine arch ologie 35641 12 novembre 1990 Paul Lombard attire l atten tion M le ministre de culture de lo commualcaii n et des rands travaux sur la situation des personnels de l arch ologie ors que dans le rapport Goudineau de mai 1990 un certain nombre de propositions taient faites pour am liorer la situation d la profession et de l arch ologie comme la globalisation des moyens financiers la refonte de la l gislation arch ologique afin de surmonter les incoh rences de la pratique acturile le regrou pemert des activit s de sauvetage de rechercho des pratiques administratives et de terrain le minist re vient de prendre des mesures allant syst matiquement l encontre des aspirations de l ensemble de la profession Ceci entralne un profond m conten tement parmi toutes les personnes concezn es par l arch ologie C est pourquoi il lui demande quelles dispositions il compte prendre afin que les propositions du rapport Goudineau soient r ellement mises en uvre et pour que les demandes formul es par la Coordination nationale des arch ologues soient satisfaites Arm e personnel 35362 12 novembre 1990 Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre de la d fense sur les pr occupations du personnel civil de la d fense employ par les conomats suite aux projets de rapat
197. elancer l conomie agricole et r pondre aux besoins d un march paraissint prometteur Une telle initiative permet trait d apporter une am lioration aux revenus des agriculteurs et de freiner l exode rural Enseignement agricole personnel 35374 12 novembre 1990 M Andr Rossi appelle l atten tion de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la revalorisation des personnels de l enseignement agricole et parti culi rement l int gration des adjoints d enseignement et des charg s d enssignement dans le corps des certifi s 1l lui pr cise que son pr d cesseur avait donn son accord sur la base de 194 emplois en 198 et autant pour la rentr e 1990 les int gra tions devant se poursuivre jusqu en 1998 pour que tous les adjoints d enseignement soient int gr s dans le corps des cer tifi s Or il semblerait que le minist re du budget conteste cette d cision et ne propose que 64 emplois par an Dans ces condi tions il lui demande de vouloir bien faire respecter la d cision prise par son pr d cesseur Horticulture horticulteurs et p piri ristes 35376 12 novembre 1990 M Henri Bayard appelle l at tention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur les difficult s actuelles de la fili re horticole Les entreprises horti coles se sont en effet engag es dans un vaste mouvement ds rat trapage du r gime g n ral par le r gime agricole qui n cessite un certain nombre de mesures d
198. elle concernant les professiona param di es l R ponse La revalorisation de 1 lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le blala d avenants tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et prouve ensuite par arr t s interminist riela Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Par ailleurs en application des dispositlona de l arr t du 28 janvier 1986 modifi 11 appartient 19 Commission permanente de la nomea clature g n rale des actes professionnels de faire des propoai tions au ministre charg de la s curit sociale aur les actualisa tions de nomenclature qui lul apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les actea de r ducation et de r adaptation fonc tionnelies effectu s notamment par lea masseur kin sith rapeutes La commission a fait parent l administration des propositions qui font actuellement l objet d une tude par les services Par ail leurs les diff rentes organisations professionnelles d auxiliaires m dicaux ont formul diverses reprises le vau de se voir doter d instances disciplinaires et de es professionnelles dont l ap me inter
199. en la sortie et remise d un m moire Or l arr t minist riel du 26 juillet 1989 a homologu la forma tion au niveau c est dire baccalaur at 2 Les assistants sociaux sont juste titre m contents de la non prise en compte de leur r elle formation et sont inquiets des cons quences qui pourraient en d couler pour la reconnaissance du dipl me d Etat sur le plan europ en Un groupe de travail a t mis en place cet effet I1 lui demande donc s il pense pouvoir prochainement prendre un nouvel arr t minist riel pr voyant la reconnaissance de la formation au niveau II Handicap s allocation compensatrice 35615 12 novembre 1990 Lors de l iaboration de la loi n 90 86 portant sur diverses dispositions relatives la s cu rit sociale et la sant le s nateur Lucien Neuwirth pr sident du conseil g n ral de la Loire avait soumis M le ministre des affaires sociales et de la solidarit un projet d amendement visant la cr ation d une allocation de J pendance pour personnes g es et permettant ainsi de r server le versement de l aillocation compensatrice aux seules personnes handicap es Cet amende ment avait re u l assentiment d une tr s large majorit de s na teurs puisque 228 s taient prononc s pour son adoption lors de la s ance de 13 d cembre 1989 M le ministre s tait alors engag examiner cette question et devait se prononcer sur les moda lit s de versement de
200. en vouloir lui pr ciser quelle suite il compte donner aux ievendications pour lesquelles il a recu un dossier Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35630 12 novembre 1990 M Jean Prorlol attire latten tion de M ie secr taire d Etat aux anclens combattants et victimes de guerre sur les revendications des cheminots anciens combattants En effet leur cahier revendicatif pr sente toute une s rie de mesures aussi bien au niveau g n ral que corporatif visant compenser les pr judices subis pendant les guerres par rapport leurs coll gues n ayant pas t soumis aux m mes obli gations En cons quence il lui demande quelle suite il entend r server ce dossier Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35631 12 novembre 1990 M Jean Paui Chari appelle l attention de M ie secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur les nombreux souhaits exprim s par l Association nationale des cheminots anciens combattants Les int ress s demandent sur un plan g n ral lo l attribution imm diate aux anciens combattants des deux points indiciels accord s aux fonctionnaires de la cat gori D depuis le ler juillet 1987 2o le maintien du syst me d ancrage du rapport Constant ainsi que le respect de son appli cation 3 le retour la proportionnalit des pensions ainsi que la prise en compte de la s
201. endre position sur la r forme de la Nomencla ture des actes professionnels 3o enfin quelle session parle mentaire sera pr sent le projet de juridiction professionnelle concernant les param dicaux Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34031 ter octobre 1990 M Michel Teirot attire l atten tion de M le miaistre de ia solidarit de la sant et de la protection sociale sur un certain nombre de pr occupations leinement l gitimes au demeurant exprim es par les masseurs in sith rapeutea r ducsteurs S agissant en premier lieu du pro bl me tarifaire il rappelle que d s le 22 janvier 1990 la caisse d assurance maladie s tait prononc e en faveur d une r valua tion de la lettre clef A M M conform ment la demande pr sent e par les masseurs kin sith rapeutes 11 acuhaiterait par cons quent connaltre l tat d avancement de ce dossier et 1 posi tion officielle du Gouvernement concernant cette question Par ailleurs le rapport de la commission permanente de la nomencla ture des actes professionnels concernant la refonte du titre XIV relatif la r adaptation ayant t transmis aon d partement minist riel au mois de septembre 1989 il le remercie de bien vouloir iui faire connaltre aon opinion sur ce projet de r forme Enfin su niveau des r gles professionnelles il lui demande de lui r ciser quelie session parlementaire seca pr sent e le projet de c professionn
202. enou velable une fois Associations politique et r glementation 33195 3 septembre 1990 M Bernard Charles attire l at tention de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg de consomantion sur l absence de dispositions l gislatives ou r glementaires permettant le remboursement des charges sala riales des personnes qui durant leur temps de travail sont appel es represent des associations de consommateurs agrees Une telle possibilit est offerte aux repr sentants d asso ciations familiales notamment par l arr t du 11 juin 1990 du secr tariat d Etat charg de le famille 11 lui demande les mesures qu elle compte prendre pour que le mouvement consommateur puisse b n ficier des m mes dispositions et tre ainsi renforc dans son action Associations politique et r glementation 33661 24 septembre 1990 M Jean Paul Calleud appelle l attention de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget de in consommation sur la revendication des associa tions de consommateurs dont les membres ssla i s contraints dans e cadre de leurs mandats d administrateurs d assumer des fonctions de repr sentation officielles au sein de diff rents orgs nismes sont oblig s de prendre le temps n cessaire sur leurs cong s annuels 11 lui demande si la mise en place d un statut de l lu
203. ent de la part des populations concern es les menaces e fermeture qui p sent sur la maternit de l h pital de ASSEMBL E NATIONALE i2 novembre 1990 G rardmer Il lui expose que le service hospitalier ainsi menac qui dispose de tout l quipement n cessaire et n a jamais donn lieu la moindre critique tant de l autorit de tutelle que de la part des accouch es au contraire tr s sensibles l ambiance leureuse et humaine qui y r gne dessert un secteur de montagne d pourvu de moyens coilectifs de communication alors que la vocation touristique d t comme d hiver fait plus que doubler 1 opulation pendant plusieurs mois de l ann e Consid rant que es avantages hypoth tiques de la mesure envisag e seraient plus qu effac s par les inconv nients aussi bien mat riels et pratiques que psychologiques d un rattachement des tablissements hos pitaliers dont l loignement de plus de 30 kilom tres se trouve aggrav par le fait des conditions climatiques hivernales parfois tr s dures il lui demande s il ne lui paraltrait pas opportun d y renoncer H pitaux et cliniques centres hospitaliers Finist re 35503 12 novembre 1990 M Alain Madelln s inqui te de la fermeture progressive de l h pital de Concarneau Il attire l at tention de M le minlstre d l gu la aant sur les cons quences catastrophiques de cette fermeture sur l emploi local et sur la g ne apport e la population con
204. entation 35499 12 novembre 1990 Les m dias se sont fait l cho de la mission confi e au cours de l t dernier par le ministre des affaires europ ennes l diteur tristement c l bre du livre Sui cide mode d emploi Cette mission a pour objet la distribution des uvres audiovisuelles europ ennes Cette nomination des res i officielles a caus un grand d sarroi parmi les amilles des victimes de l incitation au suicide pr n e par le livre et a provoqu des Interrogations justifi es sur la moralit des pouvoirs publics En effet l int ress a proc d la r dition de son livre violans la loi du 31 d cembre 1987 qui r prime la pro vocation au suicide Par ailleurs l ancien diteur reste inculp d homicide invclontaire et de non assistance personne en danger aux termes du code de la sant publique Cette nomina tion une mission officielle apparait comme une v ritable cau tion choquante plus d ur titre C est pourquoi M Georges Mesmin demande le ministre d l gu aux affaires europ ennes s il est dans son intention de revenir su la d cision sign s par son pr d cesseur Entreprises P M E 38837 12 novembre i990 M Jean Prorloi demande Mme le mialstre d l gu aux affaires europ ennes de bien vouloit lui pr ciser les perspectives de r alisstion et de publica tion de i tude confi e M Ren sur les difficult s que les petites et moyennes
205. ente de ia nomen clature g n rale des actes professionnels de faire des tions au ministre charg de ia s curit sociale sur les actualisa tions de la nomenclature qui iui apparaic ent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter ia nomenclature en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonc tionnelles effectu s notamment par les masseur kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administration des propositions qui font actuellement l objet d une tude par les services Par ail leurs les diff rentes organisations professionnelles d auxiliaires m dicaux ont formul diverses reprises le vaeu de se voir doter d instances disciplinaires et de r gles professionnelles dont l ap interviendra par d cret Aussi les travaux men s en col aborstion troite avec les repr sentants des diff rentes profes sions int ress es au sein des groupes de travsil qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils abouti un projet de loi actuellement soumis l examen de ia commission des affaires culturelles familiales et sociales l Assembi amp e nationale S curit sociale cotisations 33243 3 septembre 1990 M Andr Delattre appelle l st tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur ies difficult s que rencontrent les clubs amateurs organisateur
206. entreprises auront affronter dans 18 grand march europ en Insiitutions europ ennes personnel 35540 12 novembre 1990 M Henri Bayard demande Mme le ministre d i gu aux affaires europ ennes de bien vouloir lui ndiquer pour le dernier exercice connu 1989 quel tait le nombre de fonctionnaires fran ais employ s dans les divers organismes de la Communaut europ enne et quelle a t pour chacun d eux la contribution budg taire de la France Entreprises 35549 12 novembre 1990 M Yves Coussaln demande Mme ie ministre d l gu aux affaires europ ennes de bien vouloir lui pr ciser les perspectives de r alisation et de ipe tion de l etude confi e M Ren Ricol sur les difficult s que les petites et moyennes entreprises auront affronter dans le grand march europ en AFFAIRES SOCIALES ET SOLIDARIT Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication e dont les auteurs renouvellent les termes No 26127 Dominique Gambier 27847 Pierre Forguss 31092 Mme Bernadette Isaac Sibill 31842 Jean Yves Autexier Naissance m res de substitution 35377 12 novembre 1990 M Heari Bayard appelle l at tention de M ie ministre des affaires sociales et de 1 solida rit sur les arr ts rendus par la cour d appel de Paris autorisant la pratique de la maternit de substitution Ces d cisions vont l encontre des avis mis par le Com
207. er le d veloppement des activit s h teli res en France Justice conseils de prud hommes Moselle 35424 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson appelle l attention de M le garde des sceaux ministre de ia justice sur les difficult s que connait actuellement le greffe du conseil des prud hommes de Metz difficult s qui tiennent l augmenta tion constante du nombre d affaires alors que les moyens en per sonnel s amenuisent Cette auginentation des affaires culturelles tait en ao t 1990 de plus de 50 p 100 par rapport la m me date de 1989 cependant que les effectifs du secr tariat greffe se trouvent r duits de 25 p 100 hui agents et demi l effectif r el contre douze l effectif th orique Depuis mars 1990 le conseil compte un greffier en chef un greflier en chef adjoint deux greffiers quatre agents de cat gorie C dont un emploi r serv et un agent de service un greffier en chef tant d l gu deux fois par semaine au conseil des prud hommes de Thionville depuis le d but de l ann e n est pas possible de faire appel du per sonnel vacataire pour pallier le manque crucial d agents de cat C les cr dits d l gu s cet effet la Cour d appel tant puis s depuis plusieurs mois Le rapport diagnostic de fonc tionnement des conseils de prud hommes tabli par l l D E T C E G O S pour le compte du conseil sup rieur de la prud homie en 1985 estime qu une charge de tra
208. er un avis sur l attribution des cartes de C V R examinera avec le plus grard soin les dos siers transmis sur la base d attestations Cette commission est incontestable et de par sa composition appr cie les dossiers qui lui sont soumis en toute connaissance de cause ll s agit l de garanties n cessaires et suffisantes Toutefois le secr taire d Etat veillera personaellement dans un esprit d quit l application concr te des dispositions en cause IV Avenir de l Office national des anciens combattants et victimes de guerre Contrai rement ce que certaines all gations laisseraient supposer le Gouvernement n entend pas remettre en cause l existence de J Of fice national des anciens combattants et victimes de guerre ni de ses services ext rieurs La qualit des personnels des directions d partementales l utilit sociale qu elles pr sentent la ticuli re et incontest e qu elles occupent au sein des divers ser vices administratifs dans les d partements jouent effectivement un r le irrempla able aupr s des ressortissants de l office et m me parfois au del 11 ne saurait donc tre envisag de se priver et de priver le monde combattant d un tel outil son service Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 32670 6 ao t 1990 M Daniel Le Meur attire l attention de M le secr taire d Etat charg des anclens combattants et des victimes de guerre sur
209. ers et des charges qui depuis de nombreuses ann es d passent largement celles de l inflation et des revenus salariaux Elles contrioueront si rlen n est fait d grader tou jours plus le pouvolr d achat des familles et notamment les plus modestes En cons quence ll iul demande de prendre toutes ies mesures n cessaires pour permettre le blocage du prix du fuel celul correspondant fin julllet 90 ains qu une baisse des tsxes qui lul sont appliqu es Consid rant les normes b n fices r a lis s par les compagnies p troli res suite aux augmentations abu slves de ces derniers mois au nom de la crise du Golfe ainsi que ceux de l Etat au travers des taxes intol rables qu il pr l ve et dont le produit en a t augment d autant ces mesures de blo cage des prix et de baisse des taxes sont justes et possibles 1l convient donc de les mettre en cuvre le plus rapidement pos sible Epargne livrets d pargne 35553 12 novembre 1990 M Hubert Faico attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget su le taux de r mun ration particuli re ment bas des livrets de caisse d pargne et livret A de la poste qui est de 4 5 p 100 Le taux d inflation pour l aan e 1989 s est lev 3 8 p 100 et pour les neuf premiers mois de l ann e 1990 3 1 p 100 Compte tenu des v nements internationaux et d une conjoncture conomique difficile l inflation risque de d
210. es Ainsi 11 souhaite qu il lui pr cise les intentions du Gouvernement en mati re de suppression ou d all gement des taxes sur le foncier non b ti lesquelles p nalisent directement l outil de travail de ces professionnels ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE D corations r glementation 35442 12 novembre 1990 M Daniel Reiner appelle l at tention de le secr taire d Etat aux raciens combattants et victimes de guerre sur la d coration dite Croix des combat tants de l Europe Il lui demande de bien vouloir lui faire connaitre toutes pr cisions relatives celle ci Anciens combattants et victimes de guerre d port s intern s et r sistants 35471 12 novembre 1990 M Adrlen Zeller souhaite attirer l attention de M le secr taire d Etat aux anciens com battants et victimes de guerre sur la situation des anciens pri sonniers du camp de Tambow et camps assimil s En effet soumis un m me r gime de pension d invalidit que les intern s des camps de Rawa Ruska et autres ct les prisonniers du Viet Minh par les d crets no 73 74 du 18 janvier 1973 no 77 1088 du 20 septembre 1977 et no 81 315 du 6 avril 1981 ces trois cat gories d anciens prisonniers ont subi des diff rencia tions par la l gislation ult rieure Consid rant que les conditions de et les pathologies cons cutives ces conditions sont de m me nature le Gouvernement n estime t il pas souhaitable d accorder aux a
211. es ayant proiest contre le contr le particuli rement tatillon dont elles avaient fait l objet cela provoqvait de la part des policiers une r action qui est all e jusqu embarquer une des avocates dans le car de lice apr s l avoir menott e et elle n a d d tre rel ch e qu intervention du b tonnier Le 26 octobre 1990 un autre avocat ayant t appel assister d urgence un tranger qui faisait l objet d une mesure de reconduite la fronti re se rendait au lieu de r tention administrative pr vu par la loi pour communi uer avec son client librement comme la loi le pr voit pour tablir le recours qui devait tre d pos le jour m me au tribunal Apr s avoir d attendre anormalement il n a pu obtenir l entre tien confidentiel pcrte close auquel il avait droit Apr s qu il ait parlement vainement on a fini par lui opposer qu il midi et qu il devait revenir 14 heures non sans lui lancer Jeune homme ici vous tes dans un commissariat Vous pr sentez des demandes nous d cidons Son client a ensuite t transf r de telle sorte qu il n a pas pu librement communiquer 11 lui demande donc quelles dispositions il prendre pour que eu gard aux difficult s de leur t che les fonctionnaires de police t moignent d un minimum de respect pour les droits de la d fense et ceux qui en ont la charge Police personnel 38828 12 novembre 1990 M Daniel Goulet appelle
212. es et indemnitaires comparables celles retenues pour les corps enseignants Au sein du corps des 1 dans lesquel seront int gr s notamment les actuels I D E N et 1 1 0 les personnels se verront offrir une possibilit de promotion de classe qui leur permettra d scc der l indice terminal 1015 indice de fin de carri re d un professeur agr g Les emplois cor respondants seront cr s dans un d lsi de deux ans compter du let mars 1990 et een 30 p 100 des effectifs du corps Ce pourcentage offre tous les membres du corps la garantie d une promotion dans le cadre d un d roulement normal de car ri re En outre les possibilit s d acc s des 1 au corps des I P R 1 A ont t consid rablement largies Les 1 pourront ainsi se pr senter au concours de recruternent sans autre condi tion que celle d avoir exerc leur fonctions pendant au moins cinq ans Par ailleurs un tour ext rieur leur est r serv concur rence de 25 p 100 des vacances d emplois 11 convieni de noter que l acc s au corps des LP R LA offre aux personnels concern s le b n fice du groupe hors chelle A La revalorisation comporte d autre part une refonte globale du r gime indemnitaire des corps d inspection qui met un terme aux disparit s ant rieures 2rsqu elles n taient y ge justifi es par la sp cificit des fonctions exerc es Elle prend en compte les t ches particuli res susceptibles d tre effe
213. es pour sortir de cette impasse ce secteur d activit s TRANSPORTS ROUTIERS ET FLUVIAUX P trole et d riv s carburants et fioul domestique 38568 12 novembre 1990 M Pierre R my Houssia attire l attention de M ie secr taire d Etat aux trausports routiers et fluviaax sur les cona quences graves que repr sente la hausse tr s importante du gazole pour les entreprises de transport En effet les faillites de ces entreprises ont d j augment de plus de 30 100 en un an chiffze qui ne pourra qu augmenter consid rabiement avec les prix actuels du gazole Aussi i lui demande uelles mesures il compte prendre pour att nuer les effets de l augmentation de l nergie pour les entreprises de transport Circulation routi re r glementation e s curit 38670 12 novembre 1990 M Yves Coussaia attire l atten uon de M le secr taire d Etat aux transports routiers et flu viaux sur les difficult s li es au port obligatoire compter du ler d cembre 1990 de la ceinture LA s curit l arri re des v hi cules automobiles notamment pour les familles nombreuses de trois enfants et plus En effet la plupart des v hicules dc tou risme ne comportent que quatre ceintures ce qui posera un pro bl me de choix En cons quence il lui demande sil n estinie pas opportun de laisser aux passagers l arri re le libre choix d uti liaer ou non la ceinture TRAVAIL EMPLOI ET FORMATION FROFESSIONNELLE demeur e
214. es que lorsque l enfant a atteint 20 ans et qu il peut alors tre b n ficiaire de l al ocation adulte handicap Cet tat de fait cr e une situation tr s difficile pour les parents d enfant handicap laqueile il semble n cessaire de rem dier 11 lui demande quelle est sa position sur ce sujet et quelles dispositions il compte prendre pour aider les parents d enfants handicap s 5202 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Handicap s allocation compensatrice 35618 12 novembre 1990 M Maurice Ligot attire i atten tion de M le secr taire d Etat aux hrudicap s et aax acci dest s de la vie sur les difficult s que rencontrent les parents d enfants handicap s qui souhaitent s occuper de leurs enfants domicile La place d un enfant handicap quand les soins qui doivent lui tre dispens s peuvent tre assur s par szs parents est dans sa famille ei non dans un tablissement sp cialis L in fluence du milieu familial et affectif contribue amplifier les am liorations Malheureusement la r glementation de la s curit sociale ne va pas du tout dans ce sens L aide financi re apport e aux parents pour assurer les soins et la pr sence constante d une personne aupr s de l enfant est actuellement de 1 900 francs par mois ll lui dernande de bien vouloir envisager d accorder Chaque famille dont des membres se consacrerait exclusive ment la garde de l en ant handicap une allocation
215. et de leurs quipe ments v hicule transmission indispensables pour endiguer l in s curit qui est en progression depuis 1988 moyenne mensuelle de 37 faits en 1988 et de 51 faits en 1990 et qui vient d entralner la fermeture d un commerce situ en plein centre de la cit H L M 11 lui rappelle enfin que la ville de Chanteloup les Vignes sous tutelle budg taire depuis 1977 ne connalt ce jour toujours pas son budget primitif pour 1990 ce qui en plus de ses moyens tr s insuffisants ne permet pas un fonctionnement satis a int et il s inqui te du devenit conomique et social de cette ville Ordre public maintien 34814 12 novembre 1990 M Louie Pierna interpeile M le ministre de l Int rieur sur les faits qui lui ont t rap port s par plusieurs associations ou personnes de Stains comme s tant produits l issue de la manifeststion du 20 octobre der nier contre la guerre dans le Golfe de nombreuses sonnalit s pr s de l esplanade des Invalides En effet pour les Stanois pr sents l issue de cette manifestation il y a eu volont de la psrt des forces de l ordre de provoquer des incidents Apr s 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5205 ue les personnes participant cette manifestation et comprenant es enfants des femmes et des personnes g es eurent pacifique ment fait connaitre leur refus d une escalade dans le Golfe et de la guerre elle souhaitaient p
216. et industriels politique l gard des retrait s 34639 12 novembre 1990 M Jean de Gaulle appelle l at tention de M le miairtre d l gu am commerce et Parti sur l assurance vieillesse des non salari s de l industrie et du commerce En effet depuis l abaissement de de la retraite soixante ans et l interdiction du cumul entre une acti vit et une pension de retraite il n est plus possible un com mer ant o un industriel ind pendant qui souhaite percevoir pension de retraite de continuer son activit ant rieure contrsirement la totale libert de travail qui pr valait ant rieu rement pour les retrait s Or cette mesure de limitation du cumul emploi retr ite est on reuse pour les r gimes d assurance vieil 5190 D lesse qui se voient priv s de cotisations vers es autrefois par les retrait s en activit En outre s il iait esp r une diminution du par transfert des postes lib r s les retrait s des actifs la recherche d emploi force est de constater aujourd hui qu il n en a rien t puisque aussi bien le nombre des commer ants actifs n a pas augment au contraire et que nombre de commerces ont du mal trouver un repreneur Aussi il lui demande quelles suites il entend donner ce probl me compte tenu d ses implications en mati re de financement des retraites mais aussi en mati re d am nagement de l espace rural CO
217. eur aux d penses relatives l utilisation des nergies renouvelables aux remplacements des chaudi res non performantes quel que soit l ge du logement De plus il apparait indispensabl de remettre en vigueur une rubrique fis caie pour les travaux concourant aux conomies d nergie dis tincte de celle des grosses r parations l impact d une telle mesure tant dans la pratique tr s important Culture Institut du monde arabe 35605 12 novembre 1990 M Christlan Kert demande M le ministre amp Etat ministre de l conomie des finances et du budget de lui pr ciser ann e par ann e le montant des contributions de la France au budget de fonctionnement de l I M A Institut du monde arabe en fonctionnement depuis le d but de l ann e 1988 11 lui demande aussi de lui pr ciser ann e par ann e la part de la contribution de la France l ensemble du budget de fonctionnement de cet Institut Rapatri s politique l gard des rapatri s 35610 12 novembre 1990 M Arthur Paecht attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur la situation actuelle des rapatri s 11 lui indique que le dispositif de suspension automatique des pour suites institu par la loi du 13 janvier 1989 portant diverses mesures d ordre social en faveur des rapatri s ayant demand un Bret de consolidation tdit initialement limit au d cembre 1989 11 lui rappel
218. eurs parte naires conventionnels ainsi qu avec le minist re de la sant il s agit d une part des svenants tarifaires des auxiliaires m dicaux et d autre part de la r forme de a nomenclature de leurs actes Ces deux dossiers ont abouti depuis plusieurs semaines vn accord conventionnel pour le premier avec leurs partenaires ce l assurance maladie et pour le second un accord du ministre de tutelle Dans les deux cas ils attendent encore aujourd hui une r ponse qui d pend de l arbitrage de monsieur ie Premier ministre Il s tonnent en outre du refus de la prise en consid ration de leurs revendications Aussi lui demande t il de bien vouloir lui pr ciser l tat d avancement de cette situation et l tat d esprit du Gouvernement ce sujet Professions pcram dicales r mun rations 33016 27 ao t 1990 Jean Rigal appelle l atiention de le ministre de la solidarit de saat et de la protection sociale sur ies propositions conjointes de revalorisations tar faires et de r novations des actes professionnels inscrits la nomenclature qui lui ont t transmises par les caiss 5 de s cu rit sociale et les professions param dicales infirmi res masseurs kin sith rapeutes orthophonistes o thoptistes 11 lui demande s il compte sgr r ces propositions qui r pondent aux souhaits des professions param dicales R ponse La revalorisation des lettres cl s qui r mun rent l activi
219. fectu s notamment les masseurs kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administration des propositions qui font actuellement l obiet une tude par les services Par ailleurs les diff rentes organisa tions professionnelles d auxiliaires m dicaux ont formul diverses reprises le v u de se voir doter d instances discipli naires et de r gles professionnelles dont l application interviendra r d cret Ainsi les travaux men s en collaboration troite avec es repr sentants des diff rentes professions int ress es au sein des groupes de travail qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils abouti un projet de loi actueliement soumis l examen de commission des affeires culturelles familiaies et sociales de l As sembl e nationale sitions de l arr t du Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34031 1 octobre 1990 M Claude Birraux attire de nou veau l attention de M le miaistre de ia solidarit de la saat et de ia protection sociale sur 1 situation des masaeurs kin sith rapeutes r ducateurs de France et plus particuti re ment de Haute Savoie Ceux ci aimeraient en effet obtenir de la part du minist re une r ponse claire et concr te aux trois ques tions suivantes 1 quelle date vont tre tudi es les proposi tiona tarifaires conjointes Denies par les masseurs kin sith r peutes et les caisses d assurance maladie 2 quand le minist re va t il pr
220. garagistes vendeurs de voitures d occasion pour r cup rer les fonda relatifs une vente lorsque celle ci est r gl e au moyen d un ch que sana proviaions Les services de la pr fecture tant en possession de tous les renseignements concernant le v hicule num ro d imma triculation num ro du ch ssis etc ne serait il pas possible de pr voir un fichier de ces v hicules et de r cup rer l argent au moment de la revente pour d dommager le garagiste 11 iui demande s il n envisage pas de prendre des mesures allant dans ce sens R ponse Les garagistes vendeurs de voitures d occasion ren contrent des difficult s pour r cup rer les fonds relatifs une vente lorsque celle ci est r gl e au moyen d un ch que sans pro vision La solution consistant utiliser l information contenue les fichiers des pr fectures et relative l identit du v hi cule et celle de son pour r cup rer les sommes impay es au moment de la revente du v hicule ne parait pas t pondre de facon aatisfaisante aux difficult s dea garagistea car la revente peut tre tardive en tout tat de cause la r cup ra tion des fonds auppose une action devant les tribunaux Il est rappel l honorable parlementaire que les profesaionnels ont comme tout autre le moyen de se pr munir contre ces difficult s per le biais du ch que certifi qui garantit su b n ficiaire l exia tence de la provision Aussi 1 pr f
221. gng e depuis mars 1988 11 lui rappelle les difficult s actuel lement rencontr es par cette profession et vi demande quelles mesures il entend prendre afin que soit rapidement trait ce dos sier Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32990 20 ao t 1990 M Philippe Bassinet attire l atten tion de M le miaistre de 1 solidarit de la sant et de la protection so lale sur l tat d avancement de deux dossiers concernant les masseuzs kin sith rapeutes 11 s agit tout d abord de la valeur de la lettre clef AMM qui n a pas volu depuis mars 1988 Un accord avec les caisses d assurances maladie sur la base de la revalorisation tarifaire est bien intervenu mais il n a ce jour pas encore t ent rin par le Gouvernement Par Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune p 5223 apr s la question n 33736 12 novembre 1990 ailleurs le projet de texte manant de la commission permanente de la nomenclature des actes de kin sith rapie n a toujours pas re u l avis minist riel Les kin sith rapeutes s inqui tent du blo cage de ces deux dossiers Il lui demande donc de lui indiquer les l ments de ponse de nature apaiser leurs craintes Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32991 20 ao t 1990 M Jesa Paul Durieux attire l atten tion de M le ministre 4e la solidarit de la saat et de la protection sociale sur la situat
222. hors des principes du droit et la communication de pi ces des personnes n ayant pas qualit pour les connaitre Ce fichier n tant pas irformatis cette saisine tait d pos e en vertu des dispositions du chapitre VII article 45 de la loi no 78 17 du 6 janvier 1978 qui inclut les fichiers non automatis s Or la com mission refuse d ouvrir les enqu tes aff rentes et d instruire ladite plainte se contentant de transmettre la commission d acc s aux documents administratifs qui n a pas qualit pour r gler ce ty de probl me En annulant ainsi contre la volont du l gisla teur une partie des dispositions de la loi de 1978 la C N I L parait ne pas respecter les principes pass par la Conveniiun europ enne des droits de l homme et les citoyens concern s se trouvent priv s de toute possibilit de recours dans le cadre national 11 ne leur reste que la saisine de la Commission euro p enne des droits de l homme et le cas ch ant la Cour euro p enne des droits de l homme Il souhaite connaitre le princi de l galli en l esp ce La C N LL est elle tenue d instruire les plaintes concernant les fichiers non informatis s comme l impose f article 45 de la loi de 1978 ou peut elle s en affranchir sans fournir les motivations aff rentes la loi du 11 juillet 1979 ce qui la placerait hors du cadre juridique et constitutionnel en vigueur Urbanisme politique de l urbanisme Yvelines 35575 12 novembre 1990
223. i repr sente un r seau de points vente extr mement dense sur l ensemble du territoire national Sur ce total 2 000 points de vente connaissent une exploitation d ficitalre les enjeux hebdomadaires tant inf rieurs au seuil de 10000 francs 1 convient en effet de pr ciser que l quipement des points de vente en valideuses ainsi que les transmissions des donn es relatives aux enjeux sont la charge de France Loto Sur ces 2000 points de vente d ficitaires seulement 15 p 100 ont fait l objet d une d cision de fermeture 11 s agit de ceux qui r a lisent un montant d enjeux inf rieur 6 000 francs largement en de du seull de rentabilit Pour Ies autres France Loto a invit les d taillants examiner les moyens les enjeux Le r seau n a donc pas t modifi que de fa on inarginale pour des raisons d am lioration de la gestion qui sont de la responsa bilit de l entreprise Le crit re retenu par cette derni re est celui du chiffre d afzaires et non pas celui de la localisation g ogra phique Les suppressions de valideuses ne concernent donc pas seulement les zones rurales mais gaiement les zones urbaines La perte de recettes pour les d taillants reste marginale on ne peut pes soutenlr que cette perte fasse peser une menace grave sur l avenir du commerce de d tail en France d autant que chaque valideuse retir e est destin e tre install e dans un nou veau point de vente l o le montant
224. i se trouve confront e de nom reus s difficult s il demande si le Gouvernement ne serait pas d accord pour modifier l arr t du 17 avril 1981 par un autre texte r glementaire visant permettre aux taxidermistes profes sionnels de pouvoir traiter en prestation de service tout animal prot g mort accidentellement et tout must lid mort Il faut observer que cette proposition de r forme a re u un accueil tr s favorable du comit permanent du Conseil national de la protec tion de la nature Pollution et nuisances bruit 35497 12 novembre 1990 M Henri Bayard demande M ministre d l gu l environnement et ia pr vention des risques technologiques et natureis majeurs s il ne pense pas que dans la lutte contre le bruit il ne conviendrait pas d am iorer celui provoqu par les petits avions d entrainement des a roclubs afin d en r duire les nuisances pour les habitants des communes riveraines de ces a roclubs qui bien entendu sont les plus survol es s agissant de vols courts et asse altitude Chasse et p che politique et r glementation 38557 2 novembre 1990 M Jean Marie Demange demande M le ministre d l gu l environnement et ia prenne des risques technologiques et naturcis majeurs de ien vouloir lui pr ciser si dans les d partements du Rhin et de Moselle les propri taires fonciers peuvent s opposer l exer cice de la chasse sur leurs terres en invoquan
225. idarit de la sant et de la protection sociale s il envisage d tablir une nouvelle nomenclature des actes de r ducation suite au projet tabli et approuv le 20 sep tembre 1989 par la ccmmission permanente de la nomenclature A ponse En application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1956 modifi il appartient la commission perma nente de la nomenclsture g n rale des actes professionnels de faire des propositions au ministre charg de a s curit sociale sur les actualisations de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter ia nomencleture en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonctionnelles effectu s notamment ar les mass urs kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administration der propositiona qui font actuellement l objet d une tude par les services Professions param dicales r mun rations 21828 23 juillet 1990 M Jean Pierre Boucher attire l at tention de M le de la solidarit de la saat et de 1 protection sociale sur la situation dans laquelle se trouvent les auxiliaires m dicaux orthophonistes orthoptistes infirmiers masseurs kin sith rapeutes Depuis dix mois en effet l ensemble de leurs repr sentants sont en n gociation sur deux dossiers tr s importants pour l exercice de leurs professions avec l
226. idiction les effectifs en personnel accusent un retard cons quent Le greffe du conseil de prud hommes de Metz fonc tionne actuellement avec neuf agents pour pr s de 2 000 dossiers nouveaux comptabilis s au 20 ao t 1990 Les retards s accumu lent dans le traitement des affaires et les principales t ches sont mat riellement tr s mal assur es En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures d urgence qu il compte prendre pour rem dier cette situation et de lui pr ciser le nombre de postes qu il envisage de cr er en 1991 en faveur du conseil de prud hommes de Metz Baux baux commerciaux 35498 12 novembre 1990 M Edouard Fr d ric Dupont expose M ie garde des sceaux ministre de ia justice que la loi n 85 1408 du 30 d cembre 1985 a institu 1 facult pour les locataires b n ficiant d un bail commercial et partant la retraite de c der leur bail avec changement d activit Cette dis position introduite dans le d cret no 53 960 du 30 septembre 1953 relatif aux baux commerciaux sous le num ro d article 34 3 1 n a ioutefois pas pr cis si le tailleur ayant recu notification de l in tentioa du locataire d user de la facult ci dessus vis e pouvait se pr valoir de l article 34 3 aux termes duquel le changement d activit peut motiver le paiement la charge du locataire d une indemnit gale au montant du pr judice dont le baiileur tablirait l existence Ce dernier peu
227. iement r gleme t direct 1 soci t de psrking par apo ou remboursement au salari des frais engag s par 1 demande en cons quence au Gouvernement les disposi tions qu il envisage de dre pour clarifier une situation impr cise pour un sujet de plus en plus pr occupsnt dans les villes de we Les frais li s au stationnement des v hicules des sont susceptibles d tre exclus de l assiette des cotisations sociales quand ils pr sentent le caract re de aget sp ciaies inh rentes l emploi ou la fonction ce caract re peut tre reconnu titre d exemple aux d penses effectu es lors de sta tionnements provisoires par ie personnel non s dentaire de i en troprise v urs repr sentants placiers ou agenis commerciaux salari s qui du fait de leurs fr quenis d placemenis profes sionaels sont dans l obligation d utiliser un v hicule Un tel caract re peut difficilement tre admis pour les d penses de sta tionnement effectu es par le personnel s dentaire puisque dans ce dernier cas de figure l utilisation du v hicule en rmettant un stationnement proloug proche du lieu de Vet grease beaucoup plus comme ie r sultat d une convenance personnelle que d une obligation professionnelle nonobstant le fait que les services publics de transport urbain puissent tre insuffisants ou inezistanis Le ministre charg de la s curit sociale n envisage pes dans l imm diat de prendre des mesures sp cifique
228. ient Avec le d veloppement du ch mage et de la pr carit la baisse du pouvoir d achat le S M I C inf rieur 6 500 francs le montant insuffisant des bourses scolaires la part au coll ge s l ve 168 30 francs depuis 1979 gouvernement de M Barre le droit l enseignement est remis en cause pour des miliions d enfants En cons quence M Jean Claude Gayssot demande Mme le secr taire d Etat la famille et aux personnes g es si elle compte prendre des mesures concr tes pour mettre en uvre les propositions des parlemen taires communistes pour une v ritable gratuit scolaire un trei zi me mois d allocations familiales vers lors de la rentr e sco laire porter le montant des allocations familiales 700 francs par mois et par enfant d s le ler enfant gratuit des livres sco laires pendant toute la scolarit gratuit des transports sco laires doublement du montant des bourses dont les crit res d attribution doivent tre revus et largis Si les d put s socia listes sont favorables ces mesures elles peuvent tre vot es au cours de la session parlementaire d put s communistes et socia listes disposant de la majorit l Assembl e nationale Pour les financer les moyens existent en pr levant en faveur de l cole 40 milliards sur le budget de surarmement que seuls les parle mentaires communistes n ont pas vot Cette proposition a d j recueilii le soutien de millions de F
229. ient per mettant de calculer es capitaux repr sentatifs dcs rentes vers es pendant une p riode de r f rence ceux ci sont inf neurs au montant des arr rages de rentes vers es pendant la m me p riode id r f rence Elle aurait souhait que cette indication soit chif R ponse Les statistiques tablies par la Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s font ressortir que chacune des ann es 1987 et 1988 derni res ann es connues ce jour les arr rages de rentes accidents du travail vers es se sont lev es respectivement 17 970 et 18437 millions de francs alors que les capitaux repr sentatifs des rentes servant calculer les taux bruts de cotisation repr sentaient pour chacune de ces ann es respectivement 10 093 et 10236 millions de francs Une tude dont les r sultats ne sont pas encore disponibles est actuellement en cours la Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s afin de d terminer quel devrait tre l montant des coefficients repr sentatifs des rentes et des accidents mortels pour que les capitaux obtenus correspondeni aux arr rages de rentes 5224 ER liL Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 29491 4 juin 1990 M Jean Pierre de Peretti della Rocca attire l attention de M le mlaistre de ia solidarit de la sant et de la protection sociale sur le projet de nomenclature des ctes de kin sith rapie
230. igne d au moins deux porte avions Arm e armements et quipements 35394 12 novembre 1990 M Fran ois L otard attire l at tention de M le ministre de d fense sur les probl mes ren contr s par Thomson C S F dans 1 mise au point du radar RBG voqu e dans le rapport Boucheron p 322 et des retards que cela ut entralner dans la livraison des avions de combat Marine A ronavale 11 lui demande quelles sont les dispositions prises pour r aliser dans les d lais pr vus par la programmation mili taire le programme Rafale Marine Service national appel s 35427 12 novembre 1990 M Eric Raoult attire l attention de M le mialstre de d fense sur 1 pr sence de deux appel s du service national en uniforme lors de manifestation paci fiste qui s est tenue Paris le samedi 20 octobre de 1 R pu blique la Bastille Cette pr sence en uniforme est tout fait inadmissible dans le contexte international actuel car elle pour rait symboliser l ext rieur une d mobilisation morale de notre ys ll lui demande donc quelles suites il compte donner cet ncident tr s regrettable Service national appel s 35461 12 novembre 1990 M Marc Dolez remercie M le m sietre de ia d fense de bien vouloir dresser le bilan de actions de lutte contre l illettrisme entreprises l occasion du ser vice national 5192 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990
231. ii darit P ricard Michel affaires sociales et solidarit Perrut Francisque Affaires sociales et solidarit 33734 affaires sociales et Le snciens combattsnts et vic 12 novembre 1990 Plat Yaaa Mme 27866 ducation nationale jeunesse et sports Louis 31703 handicap s et accident s de la vie Plate Etienne 30407 affaires sociales et solidarit P stre Charles 13891 affaires sociales et solidarit 32236 co nomie finances et budget Poalatcwski Ladisias 33841 affaires sociales et solidarit Pons Bernard 32358 anciens combattants et victimes de guerre Proveux Jean 34124 affaires sociales et solidarit Richard Lucien 24793 budget Rigal Jeaa 33016 affaires sociales et solidarit Rigaud 32095 conomie finances et budget Rinchet Roger 22664 sant Rochebloltne Francois 29399 affaires sociales et solidarit Rossi Andr 27746 ducation nationale jeunesse et sports 30433 ducation nationale jeunesse et sports S Sasmarco Philippe 34123 affaires sociales et solidarit Saatini Andr 33604 affaires sociales et solidarit ASSEMBL E NATIONALE 5217 T s Terrot Michel 34032 affaires sociales et solidarit Thi m Fabieu 18933 ducation nationale jeunesse et sports U Ueberschiag Jess 33563 d fense W Wacheux Marcel 33508 ducati
232. iil Lid en septembre portant notamment sur l emploi et la ormation des femmes en milieu rural leurs conditions de vie et d environnement leur statut Ce groupe devait tre en outre charg de proposer des solutions en vue d am liorer et de diver sifier les fonristiofis de promouvoir les secteurs de d veloppe ment local d am liorer les syst mes d insertion et d aide cono mique CONOMIE FINANCES ET BUDGET Questions demeur es sans r ponse plus dc trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 27514 Mme Bernadette Isaac Sibilie 32343 Bernard ons Epargne livrets d pargne 35380 12 novembre 1990 M Michel Meyian appelle l at tention de M ie ministre d Etat ministre de i conomie des finances et du budget sur les inconv nients pour les pargnanta du syst me actuel de souscription pour un livret bancaire ou un livret A qui implique une comptabilisation des int r ts par quin zaine et des agios bancaires tr s imporiants en cas de compte d biteur En effet on sait que toutes les sommes vers es par l pargnant sur son livret en cours de quinzaine ne commencent porter int r t que le l r ou le 15 qui suit En revanche toute somme retir e dans le m me n cesse de porter int r t le 30 ou le 15 qui pr c de tandis que la banque impose des agios de l ordre de 17 18 p 100 Certes la diff rence des autres pays europ ens la France est le seul pays o
233. imilation des sapeurs pompiers pro fessionnels aux cadres techniques territoriaux Aussi il lui demande de surseoir la publication des textes tels qu ils sont envisag s afin de prendre en compte r ellement les propositions des sapeurs pompiers JEUNESSE ET SPORTS Education physique et sportive persgnnel 35432 12 novembre 1990 M Jean Pierre Lapaire appelle l attention de M le secr taire d Etat is jeunesse et aux ris sur les inconv nients pr sent s par la nouvelle organisa tion de l examen d obtention du brevet d Etat d ducation spor tive ll est en effet maintenant obligatoire de passer et d obtenir les pteuves du tronc commun avant de passer les preuves sp cifiques de la discipline choisie Ces nouvelles modalit s s av rent d motivantes pour les candidats Ils pouvaient auparavant subir d abord les preuves sp cifiques de leur d ipline Les ayant obtenues ils se sentaient plus confiants pour aborder les preuves du tronc commun ll lui demande en cons quence s il envisage de prendre des mesures pour pallier cet inconv nient dommageable pour la formatlon et la promotion sociale des du cateurs sportifs Sports football 35663 12 novembre 1990 Yves Coussain attire l atten tion de M le secr taire d Etat 1 jeunesse et aux sports sur la tr s vive motion exprim e par les pr sidents des lignes r gio nales de la f d ration francaise de football face aux menaces qui
234. in es 22 janvier 1990 la Csiane nationaie d assurance maladie n ont toujours pas t accept es per le Gouvernement Les m mbres de cette profession ne peu vent se satisfaire de ia formule immuable employ e par ie ministre en r ponse aux questions crites qui lui ont t pos es ASSEMBL E NATIONALE 5183 ce sujet et selon laquelle les pouvoirs publics tudient actuelle ment les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles 1 s tonne par ailleurs que le ministre n ait pes donn suite au rapport de la commission per manente de la nomenclature des actes professionnels concernant la refonte des dispositions relatives la r ducation et la daptation fonctionnelles qui lui a t transmis en septembre 1989 demande enfin au Gouvernenient de pr ciser ses intentions quant l examen par le Parlement des dispositions devant emet la juridiction professionnelle des professions param di cales AGRICULTURE ET FOR T Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes 13638 Charles Miossec Produits d eau douce et de la mer pisciculture 35372 12 novembre 1990 M Raymond Marcellia demande M le ministre de l agriculture et de ia for t s il n estime pas souhaitable d encourager dans les r gions s y pr tant la pisciculture d tang activit naissante en France qui pourrait r
235. in le recours abusif aux contrats de solidarit et les d plo rables conditions d incarc ration notamment la maison d arr t de Basse Terre Il lui demande ce qu il compte falre pour am liorer le plus vite possible cette situation et cr er les conditions d exercice et de pratique d une justi digne de la France Justice fonctionnement 35533 12 novembre 1990 Fran ois Rochebioine attire l attention de M ie garde des sceaux ministre de ia justice sur l enregistrement d une audience correctionnelle qui a eu lieu Sarreguemines le 25 octobre dernier Les images du proc s ont t diffus es dans les journaux t l vis s r gionaux Or l ar ticle 38 ter de la loi du 29 juille 1881 sur la libert de la presse prohibe d s l ouverture de l audience l emploi de tout appareil posee d enregistrer de fixer ou de transmettre la parole ou image La loi du 11 juillet 1985 n autorise l enregistrement des audiences que dans des conditions tr s strictes et seule fin de constituer des archives de la justice L enregistrement et diffu sion imm diate d un proc s est en outre particuli rement cho quante Se trouvent menac es la vie priv e et la s curit des per sonnes concern es et en premier lieu celles du pr venu qui bien que pr sum innocent risque d tre pr sent comme un coupable des millions de t l spectateurs au nom de l exemplarit de telle ou telle affaire La s r nit de la justi
236. ine public des collectivit s locales Or il s tonne de cette affirmation et lui rappelle notamment les importantes dispositions de l article 13 de la loi n 88 13 du 5 janvier 1988 d am lioration de la d centralisation et celles relatives aux voies communales et routes d partemen tales ccntenues dans le code de la voirie routi re En cons quence il lui demande de bien vouloir lui apporter plus de pr ci sions sur l extrait de sa r ponse rapport ci dessus Fonction publique territoriale statuts 35661 12 novembre 1990 M Rene Couvelakes attire l at tention M le mlalstre d i gu aupr s du mialstre de l int rieur sur les pr occupations de la F d ration nationale ccs maitres nageurs sauveteurs suite la note de pr sentation r su mant les orientations des diff rents cadres d emplois de la fili re sportive paru dans une revue professionnelle En effet a les maltres nageurs sauveteurs qui ont suivi des formations profes sionnelles avant la transformation du dipl me et en attente de passer les conditions particuli res du B E E S A N en raison du grand nombre de candidats sont p nalis s par leur int gration au grade de moniteur principal 5j les chefs de bassin ont sous leur des agents qui vont tre situ s au m me grade c les chefs d tablissement de bain responsables de leur quipe ment aquatique sont souvent nomm s sur des emplois sp cifiques de cat gorie d les chefs
237. ins d un faible int r t compte tenu de la modestie des sommes en jeu N anmoins l instar de la prise en charge directe par l Etat des cons quences financi res de d gr vement pour les collectivit s locales au titre des imp ts directs locaux il lui demande si l Etat ne devrait pas non plus assurer cette prise en charge sp cifique et exceptionnelle au titre des droits d enregistrement Pour le moins il demande de lui faire connaltre la situation globale des d partements concern s ainsi que les motifs de fonds de la hausse exponentielle constat e depuis 1989 dans le Haut Rhin D un point de vue strictement local ces restitutions constituent un moins ind niable en recettes consacrer aux services publics de proximit Imp t sur le revenu quotient familial 35643 12 novembre 1990 Gautler Audinot attire l at tention de M ie miaistre d Etat ministre de i conomie des fiaances et du budget sur le souhait des anciens combattants titulaires de la carte combattant Ces derniers d s lors qu ils sont g s de solxante quinze ans b n ficient ce titre d une d duction fiscale hauteur d une demi part et demandent l lar issement de cette mesure une part enti re d duire sur I R P P Il le remercie de bien vouloir lui donner son avis sur le sujet pr cit et lui indiquer les dispositions que compte prendre son minisi re cet effet ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Imis
238. ion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur l important dossier qu a consacr l LN S E E l avenir des retraites conomie et statistique no 233 juin 1990 En effet il met en vidence que si aucune d cision n est prise le taux de cotisation devrait tre port de 16 3 p 100 actuellement 40 p 100 l an 2040 l I N S E E pr conise une r forme en rofondeur du syst me des retraites et pour parer au plus urgent a n cessit de constituer d s 1990 des r serves temporaires Cependant ce recours la capitalisation semble impossible r aliser dans le cas de certains salari s qui ne pouvant pargner our s assurer un compl ment de retraite d cent seraient p na is s C est pourquoi il lui demande de lvi pr ciser quel plan rigoureux il entend pr senter afin d assurer l avenir des retrait s sans remettre en cause le syt me de solidarit entre les g n ra tions Retraites g n ralit s pensions de r version 35564 12 novembre 1990 M Jacques God rala expose M le ministre des affaires sociales et de la solidarit qu il a eu connaissance d un document mentionnant comme source l O C D E document relatif l attribution de 1 pension de r version dans un certain nombre de pos europ ens Selon celui ci la pension de la veuve d un assur serait la suivante 1 Bel gique 80 p 100 imm diatement s il y a un enfant si la veuve a plus de quarante cinq ans
239. ion de la ressource potentielle pour les ann es venir Ce gain serait susceptible de faire passer le pourcentage des jeunes gens appel s aux environs de 75 p 100 de facon sub venir aux besoins estim s de la d cennie Service national appel s 33568 17 septembre 1990 Ueberschlag attire l attention de M le misistre de la d fense sur la situation cri tique des entreprises confront es l insuffisance des d lais laiss s leurs employ s jeunes appel s entre la r ception de l ordre d incorporation et leur affectation 11 est en effet d usage que ies jeunes appel s soient inform s de date de leur incorporation sous les drapeaux quinze jours avant leur d part Ce d lai tr s court a pour effet de d sorganiser la vie des petites entreprises artisanales qui n ont ni le temps ni la possibilit de pourvoir au remplacement imm diat de leurs employ s ou de leurs apprentis dort les contrats se trouvent brusquement interrempus 11 lui demande par cons quent s il ne lu semble pas opportun d in former les jeunes appel s de leur contingent d incorporstion su moins deux mois avant la date de leur d part R ponse En mati re d appel au service national il y a lieu de distinguer trois situations diff rentes Les jeunes gens plac s sur leur demande en report d incorporation re oivent d s l oc troi de celui ci une notification de leur nouveile situation pr ci sant la date d ch ance et la fr
240. ion des masseurs kin sith rapeutes qui demeurent dans l attente de l application des accords inter venus entre les repr sentants de la profession et les pouvoirs publics permettant la revalonsation tarifaire avec les caisses d as surance aaladie ainsi qu une nouvelle nomenclature des actes de kin sith rapie adapt e aux techniques nouvelles 11 lui demande de bien vouloir lui indiquer ses intentions dans ce domaine Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32994 20 ao t 1990 Bernard Madrelle attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de sant et de ia rotectloa soclale sur 1 situation des masseurs in sith rapeutes La valeur de la clef AMM demeure inchang e depuls mars 1988 Comme le pr voyait le texte de la Convention nationale les n gociations tarifaires avec les caisses d assurance maladie se sont engag es d s le mois d avril 1989 et un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est intervenu mais n a toujours pas t ent rin D autre part un projet de nouvelle nomenclature des actes de r ducation approuv le 20 septembre 1989 par la Commission permanente de la nomenclature n atterd plus que l avis de M le ministre En cons quence il lui demande uelles mesures il compte prendre pour qu aboutissent ces deux ossiers dans le cadre de 1a politique de revalorisation des pro fessions de la sant Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33
241. ire l aten tion de M le ministre aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des et du budget charg du budget sur les dispositions de l article 186 du livre des proc dures fiscales permettant l administration d exercer pendant dix ans le droit de reprise notamment en ce qui concerne les droits d enregistrement droits de bail il lui demande quelle est la compatibilit de ces dispositions avec la r gle de la d ch ance quadriennale dont b n ficient les collectivit s locales R ponse L article 1e la loi n 68 1250 du 31 d cembre 1968 pr voit que 16 cr ances sur l Etat les d parte ments et les communes se prescrivent en quatre ans lorsqu elles sont certaines Pour les cr ances fiscales pr sentant le m me caract re les articles L 274 et L 275 du livre des pzoc dures fiscales pr voient au profit des contribuables d bitzurs un d lai identique de quatre ans Mais cette d ch ance uadriennale ne s applique pas l action en reprise dont dispose l administration de l Etat ou d une collectivit locale un redevable qui n a pas accompli ses obligations fiscales En ce qui concerne le droit de bail cette action en reprise s exerce pendant dix ans compter du fait g n rateur dc ce droit conform ment l article L 186 du livre des proc dures fiscales n existe donc aucune incompatibi lit entre les deux textes voqu s qui ont des domaines d appli cation totalement distincts
242. istra tives 4 l int gration imm diate de tous les directeurs de dans la hors classe 59 l attribution de la totalit de l I S O 11 lui deriande quelles mesures il entend prendre pour r pcndre aux pitoscupations des int ress s R ponse Un proje de d cret portant statut du corps des directeurs de centre d Information et d orientation et conseillers d orientation psychologues visant la mise en uvre des mesures 4e revalorisatlon de carri re concernant ces personnels a t labor Ce texte actuellement soumis aux instances consulta iivea concern es pr volt la mise en plsce de nouvelles modalit s de recrutement des conseillers d orientation psychologues en har monie avec le dispositif de recrutement des personnels ensei nants et d ducation du second degr 1 recrutement par voie concours externe et d un concours interne au niveau de la licence licence de psychologie suivi d un stage de formation de deux ann es sanctionn par le dipl me d Etat de conseiller d orientation psychologue 2 suppression des limites d ge 3o ouverture du concours Interne aux fonctlonnaires de l Etat des collectivit s territoriales et des tablissements publics qui en d pendent et aux personnels non titulaires exer ant des fonc tions d information et d orientation dans les sesvices d informa tion et d orientation et tablissements publics relevant du ministre charg de l ducation justifiant les u
243. istre des affaires sociaies et de ia solida rit aur la question des infirrni res lib rales Lors de trois ques tiona pos es dans le pass aucune r ponse satisfaisante n a t fournit aux interrogations soumises au Gouvernement Par ail ieurs les rares informations amp pport es s appuyaient sur des statis tiques fausses Si le nombre et les coefficients des actes accomplis aont en augmentation les infirmi res lib rales n ont aucune responsabilit 11 ne peut s agir que de ia cons quence de pzeacriptions m dicales d une part et d autre part d un juste retour dea choses au regard d un b n volat souvent d velopp Par ailleurs l augmentetion des honoraires de 15 p 100 est large ment pond r c par le co t de l exon ration du ticket mod rateur en hausse constante compte tenu du nombre croissant de b n fi ciaires Enfin les statistiques des caisses d assurance maladie reposent aur les relev s du syet me national interr gimes dont le nombre extracrdinaire d erreurs 8 mu sque la Cour des comptes dans son dernier rapport 11 lui demande donc de r pondre enfin aux questions pos es en se r f rant des chiffres plus fiables que ceux invoqu s Professions param dicales massevrs kin sith rapeutes 35625 12 novembre 1990 M Alain Madelin rappelle M le mialstre des affaires sociales et de la solidarit que les de revalcrisation tarifaires des masseurs inesith rageutes qu a ent r
244. it consultatif national d thique et il semble urgent de proposer des solutions l gisla tives pour faire face cette question compte tenu du d veloppe ment des sciences de la vie 11 lui demande en cons quence quelles sont les initiatives qu il compte prendre sur ce dossier Sant publique SIDA 35388 12 novembre 1990 M Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur la situation des personnes contamin es par le virus V I H avant 1985 au cours d une transfusion sanguine n cessit e par une op ration c ur ouvert Compte tenu du nombre limit de cas il lui demande d tendre aux personnes concern es le fonds de solidarit mis en place en faveur des h mophiles contamin s Retraites r gime g n ral calcul des pensions 35422 12 novembre 1990 M Didier Julia appelle l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur la diff rence de traitement qui existe ce qui concerne la retraite entre un salari devenu invalide et un salari devenu ch meur En effet dans l hypoth se o ces deux personnes ont r uni l ge de soixante ans 134 trimestres de cotisations la s curit sociale il s av re que le salari devenu invalide cinquante sept ans touchera une pension d invalidit jusqu soixante ans ge de sa mise obligatoire la retraite sur la base de 134 trimestres sans coefficient d abattement De
245. it lorsqu iis avaient lev trois enfants En cons quence il paralt d fendable que ies m decins hospitaliers non universitaires b n ficient galement du suppl ment familial de traitement Il lui demande de bien vouloir faire proc der une nouvelle tude du probl me en insistant compte tenu de l argument qui pr c de pour que soit prise la d cision quitable qu il lui sugg rait dans sa pr c dente question 12 novembre 1990 Minist res et secr tariats d Etat sant perzonnel 35669 12 novembre 1990 M Jean Besson appelle latten tion de M le mialstre d l gu la sant sur le statut des pharmaciens inapecteurs de la sant En effet le statut des phar maciens inspecteurs de la sant date de 1950 poque o ils talent inspecteurs dea officiries de pharmacie Ce statut ne cor reapond plus la situation actuelle ils sont aujourd hui easentiel lement des inspecteurs de l industrie pharmaceutique De plus ce aecteur est en situation tr s difficile avec une crise de recrute ment et des d miaaions qui se multiplient Alors que dans le cadre du projet d administration et du renouveau du aervice public l ensemble des corps techniques services ext rieurs du miniat re dea affaires sociales et de la sant auront obtenu un ajustement statutaire seul celui des pharmaciens inspecteurs la sant reste inchang Aussi il lu demande ses intentions quant la prise de nesures urgent
246. ites r gime g n ral cclcul des pensions 38443 12 novembre 1990 Mme Marie Jacq attire l atten tion de M le ministre du travail de l empiol et de la forma tioa professionnelle sur un probl me de calcul de retraite apr s indemnisation Assedic Si un salari b n ficiant des Assedic prend une activit commerciale ou artisanaie pendart un certain terips puis suite l arr t de cette activit est repris pour une p riode l gale au titre de l indemnisation Assedic cette p riode n est pas prise en compte pour le calcul de la retraite parce qu elle ne suit pas une activit salari c Cette situation fait suite aux dispositions du d cret no 50 1225 du 17 septembre 1950 article 58 6 compl t par une lettre du ministre du travail en date du 17 janvier 1962 1 s av re que les salari s sont en fait repris en charge par les Assedic au titre de la rupture de leur contrat de travail pour la p riode l gale d indemnit restant courir En cons quence elle lui demande s il peut r tudier une solution plus juste pour les salari s concern s Minist res et secr tariats d Etat travail emploi et formation professionnelle personnel 35454 12 novembre 1990 M Roland Beix appelle l atten tion de M le elaistre du travail de l emplol et de la forma tion professionnelle sur le probl me de la revalonsation des classifications fonction publique des contr leurs du travail En effet apr s l accord donn en f
247. itions d attribution de ces types d aides devrait se r aliser au cours des prochains mois Quatre mois s tant coul s depuis cette derni re r ponse il lui demande d indiquer quelles mesures d harmonisation ont t mises en uvre et quelles dispositions particuli res ont t prises en aveur des jeunes agriculteurs de montagne Pa Imp ts et taxes pr l vements et perceptions destin s au B A F S A 35555 12 novemb 1990 M Philippe Auberger appelle l attention de M le ministre de l agriculture et de for t sur le probl me du d mant lement des taxes concernant les c r aliers et les betteraviers per ues au profit du B A P S A En effet le Gouvernement s tait pr c demment engag ce que ce d mante lement et la r forme des cotisations sociales agricoles soient deux op rations men es simultan ment Ainsi M Henri Nallet d cla rait devant le S nat le 22 juin 1989 qu il y tenait particuli re ment Or le montant des taxes figurant au B A P S A diminu d environ 239 millions de francs ce qui ne correspond qu plication de d cisions ant rieures Il est regrettable que le d man t lement des taxes ne soit pas aussi rapide que l entr e en vigueur de la r forme des cotisations alors que les deux mouve ments auraient d concomittants 11 lui demande donc quelles mesures il entend prendre afin de respecter les engage ments gouvernementaux qui assuraient ce d mant lement fa
248. ituation des familles des Mort pour la France 4 la reconnaissance pleine et enti re des droits des r sistants ainsi que la prise en compte des caract ristiques de la guerre d Alg rie de facon que les anciens d Alg rie Tunisie et Maroc b n ficient de l galit des droits En ce qui conceme les robl mes particuliers aux cheminots ils souhaitent 1 le b n ice de la loi du 26 d cembre 1964 pour les retrait s de la ant rieurement au ler d cembre 1964 2 la campagne double pour tous les combattants volontaires de la r sistance 3e l galit des droits bonification de campagne pour les intern s d port s et r sistants entre les agents de la S N C F et ceux des r seaux secondaires et tramways 4 la prise en compte des bonifications de campagne 8 mai 1945 pour les pri sonniers de guerre vad s 5 l inscription l ordre du jour des travaux parlementaires des propositions de loi tendant accorder aux anciens combattants d A F N fonctionnaires services publics et assimil s le b n fice de la campagne double 11 lui demande de bien vouloir lui faire connaitre les suites qu il entend donner aux diverses revendications des cheminots anciens combattants Anciens combattants et victimes de guerre offices 35632 12 novembre 1990 M Andr Berthol appelle l at tention de M ie secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur le souhait exprim
249. itut national de la consommation sont ils pass s de 78 millions de francs en 1989 98 millions de francs en 1990 Parall lement la cr ation d un Fonds commun des consommaleurs qui serait ear de r partir l argent public entre les diverses associations fait l objet d une concertation cette occasion ces associations auront la facult de tenir compte de la dimension europ enne de plus en plus importante de leur action D s 1989 alors que cette rtition tait faite sous la seule responsabilit du secr taire d Etat une enveloppe sp cifique a t r serv e cet effet Consommation cr dit 26207 26 mars 1990 M Pierre Bachelet attire l attention de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances ei du budget de la consommation sur les cons quences pr visibles que la loi du ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 31 d cembre 1989 relative la pr vention et au r glement des difficult s li es au surendettement des particuliers et des familles entr e en vigueur le te mars 1990 ne manquera pas de pro duire Plus de 200 000 familles sont actuellement surendett es C est dire qu elles supportent des mensualit s de remboursement G passsnt 60 p 100 de leur revenu disponible Une telle situation s explique pour plusieurs raisons La premi re tient la banalisa tion du cr dit sa vulgarisation dans notre soci t de consom mation A tel
250. l at tention de M ie ministre de l int rieur sur les souhaits exprim s par l Union des syndicats cat goriels de la police Les int ress s constatent en effet une baisse du pouvoir d achat des fonctienriaires de la police depuis 1980 le blocage des d roule ments de carri re et l augmentation des servitudes inh rentes leur fonction 11 souhaitent que des n gociations salariales soient rapidement engag es et que le probl me de l am lioration des d roulements de carri re soit abord lls demandent galement une majoration de 10 p 100 des points d indices au titre du rat trapage du pouvoir d achat et des servitudes particuli res 11 lui demande de vouloir lui faire connaltre les mesures qu il envisage de prend e ce sujet Permis de conduire r glementation 35832 12 novembre 1990 M Pierre Mauger sppelle l at tentlon de M le ministre de l int rieur sur la modification intervenue le 6 f rier 1989 des conditions de reconnaissance et d change des permis de conduire d livr s tranger 11 est en effet stipul que tout titulaire d un permis de conduire national tranger doit obligaioirement demander l change de ce titre contre un permis fran ais pendant le d lai d un an qui suit l ac quisition de sa r sidence normale en France 11 lui signale que souvent les trangers vivant en France depuis de nombreuses ann es ont conserv le permis de leur pays d origine et n ont pas eu connaiss
251. l at tention de M le ministre de la solidarit de ls sant et de la protection sociaie sur d ception et l irritation qui r gnent pue les masseurs kin sith rapeutes Cette profession consid re a r ponse publi e au Journal officiel du 30 juillet 1990 comme vasive et peu conforme la r alit des faits Elle d nonce notamment la lenteur avec laquelle les services comp tents d une part donnent leur accord sur les positions tarifaires et d autre part prennent position sur la r forme de la nomenclature des actes professionnels L ensemble de la profession souhaite galement conna tre si le projet de loi sur la juridiction profes sionnelle concernant les param dicaux sera inscrit l ordre du jour de le prochaine session parlementaire li iui demande velles propositions il entend faire pour r pondre aux interroga tions de cette profession R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par ie biais d avenan s tarifaires la con amp nt on nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par srr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les proposiiions de revalorisation tarifaire formul es par ies parties conventionnelles Par ailleurs en application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la Commission perman
252. l en soit des solutions les mieux adapt es cette situation douloureuse sont recherch es 6 Titre de combattant volontaire de la R sistance il convient d insister sur le fait que la loi num ro 89 295 du 10 mai 1989 qui permet aux demandeurs de carte de C V R dont les services n ont pas pu tre homologu s de pouvoir n anmoins voir leurs dossiers examin s est le r sultat d une longue pr paration ainsi que d une longue consultation des anciens en est de m me du d cret num ro 89 771 du 19 octobre 1989 pris en appli cation de l article 2 de la loi sus cit e Ce dispositif offre les garanties n cessaires et suffisantes Toutefois le secr taire d Etat veillera personnellement dans un esprit d quit l application concr te des dispositions en cause Retraites fonctionnaires civils et militaires calcul des pensions 32823 20 ao t 1990 M Jean Jacques Weber attire l at tention de M le secr taire d Etat charg des anciens combat tasts et des victimes de guerre sur les conditions d attribution de la campagne double pour les personnels ayant servi en Afrique du Nord entre le 1 janvier 1952 et le 2 juillet 1962 En effet la qualit de combattant est accord e sous certaines condi tions aux militaires ayant particip aux d Afrique du Nord entre 1 1e janvier 1952 et le 2 juillet 1962 ce qui laisse entendre qu une guerre s est d roul e durant cette p riode sur ces territoires En cons
253. l lui demande quelies mesures il pourrait envisager de prendre pour d une part permettre au dossier de modification de nomenclature d aboutir et d autre part appliquer l accord de revalorisation tarifaire Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31702 23 xe 1990 Mme Monique Papon attire l at tention de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la pom sociale sur les pr occupations actuelles des m sseurs in sith rapeutes il ap peres que la valeur de la lettre clef A M M n a pas volu depuis mars 1988 Ainsi que le pr voyait texte de ia convention nationale les n gociations tarifaires avec les Caisses d assurance maladie se sont engag es d s le mois d avril 1989 et un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est intervenu sans tre pour l instant ent rin par le Gouverne ment D auire part concernant le Ape de nomenclature des actes de kin sith rapie ce texte vot par la commission perma nente de nomenciature attend l avis du minist re L int r t des malades est directement en cause puisque la nomenclature appli cable actuellement date de 1972 et que depuis les techniques ont largement volu Elle lui demande en cons quence de bien vou loir lui indiquer quelles sont ses intentions concernant ces deux points Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31829 23 juillet 1990 Mme Elisabeth Hubert appelle l attention de M le m
254. laistre de la soiidarit de sant et de la protection sociale sur la situation des kin sith rapeutes las de l indiff rence des pouvoirs publics La commission perma nente de la nomenclature a adopt le 20 septembre 1989 une nouvelle nomenclature des actes de r ducation Celle ci cepen dant n est toujours pas appliqu e De m me la revalorisation de la lettre cl vot e par la C N A M n est pas encore entr e en vigueur et bloque ainsi les honoraires des kin sith rapeutes depuis mars 1988 Elle lui rappelle que la cr ation C une juridic tion professionnelle ne suffira pas ele seule sauvegarder la qualit de la kin sith rapie au service public et lui demande de veiller ce que les d cisions prises soient appliqu es le plus rapi dement possible Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31830 23 juillet 1990 M Jeaa Michel Beiorgey appelle l attention de M le mlaistr de la solidarit de la sant et de protection sociale sur la situation des masseurs kin sith ra peutes r ducateurs Depuis mars 1988 la valeur de la lettre cl n a pas t r valu e et malgr la n gociation tarifaire qui s est engag e au mois d avril 1989 comme le pr voyait le texte de la convention nationale aucune revalorisation tarifaire n est encore intervenue Par ailleurs la commission permanente de la nomenclature a adopt un projet de r vision de la nomen clature des acte
255. le enseigne que certains seraient port s croire qu il est devenu la r gle le paiement comptant constituant une cufieuse exception La seconde refl te une inorganisation totale d un tel diapositif qui repose sur ls seule confiance de l orga nisme de cr dit C est ainsi quc les normes de solvabilit ne peuvent s appliquer que dans la mesure o l emprunteur pr sente au pr teur une situation financi re exacte L organiame cr dit ne peut en effet avoir connaissance de l existence d autres cr dits ant les revenus du demandeur que si ce dernier en fait tat cr dit est une excellente chose entre les mains d un consom mateur averti et responsable c est ia pire pour l usager qui se comporte en cigale 11 lui demande donc afin d viter plus longtemps que des situations dramatiques plongent des familles enti res dans une d tresse sans nom ce permettre la constitution d une structure charg e de centraliser l ensem le des demandes de cr dits afin d viter que l irresponsabilit de certains consom mateurs ne mette en p ril l harmonie de nombreux m nages dans notre pays R ponse La loi du 31 d cembre 1989 vot e par l honorable perlementaire comporte outre l organisation du r glement dea situations de surendettement des particuliers et des familles un tr s important volet pr ventif 11 convient en effet d viter que ne puissent reproduire l avenir des situations de surendettement dont les cons
256. le minist re de la sant n a donn aucune suite ce projet Par ailleurs en d pit de l avis favoraole en date du 22 janvier 1990 de la Caisse nationale d as surance maladie la r valuation de la lettre cl A M M n est tou jours pas entr e dans ies faits 11 lui demande en cons quence quelles suites il entend r server aux requ tes formul es par la peksan concernant cette r valuation tarifaire et la r forme de a nomenclature Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33736 24 septembre 1990 M Fran ois L otard attire l at tention de M le ministre de ia solidarit de la saat et de la protection sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs lui demande dans quel d lai son minist re don nera son accord aux propositions tarifaires conjointes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie un accord intervenant dans un d lai de six moi ou un an ne pourrait tre de nature satisfaire les partenaires sociaux En outre il souhaiterait galement savoir dans quel d lai son administration prendra position sur la r forme de la nomencla ture des actes professionnels Enfin il voudrait qu il lui indique quelle session parlementaire sera pr sent le projet de juridiction professionnelle concernant les param dicaux R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeu
257. le ne peut tre accord e des trangers conform ment la loi fran aise L 821 1 du code de la s curit sociale que existe un accord de r ciprocit de nature sauvegarder les drolts des Fran ais dans ce pays C est le cas de la Su de en vertu de la convention sign e le 12 d cembre 1979 Cette condition est gale ment remplie par les travailleurs ressortissants C E E et les membres de leur famille en application des r glements commu nautaires Cette condition de nationalit n est pas requise par contre pour l octroi d une pension d invalidit Tout salari tranger ou non dont l tat de sant se d grade peut sous r serve de remplir les conditions administratives et m dicales demander le b n fice d une pension d invalidit Cette demande doit d ailleurs tre faite prioritairement celle de Enfin les personnes de nationalit trang re r sidani r guli rement en France et d pourvues de ressources suffisantes peuvent d poser une demande de revenu minimum d insertion Handicap s allocation aux adultes handicap s 32798 20 ao t 1990 M Glibert Millet expose M le secr taire d Etat aupr s du ministre de 1 solidarit de la sant et de 1 protection sociale charg des handicap s et des accident s de la vle le caract re inconvenant de la non reconduction au del de dix ann es de l allocation adulte handi cap A A H lorsqu il n y a pas d am lior
258. le que ces dispositions ont t ensuite prorog es d une ann e par la loi du 31 d cembre 1989 relative la pr vention et au r glement des difficult s li es au surendettement des particuliers et des familles 11 lui demande si our tenir compte des probl mes que continuent de rencontrer es rapatri s il n estime pas n cessaire de proposer une nouvelle prorogation de cette mesure D partements finances locales Haut Rhin 35611 12 novembre 1990 M Jean Jacques Weber attire l attention de M ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur le probl me de la restitution par le d partement du Haut Rhin l instar d autres d une partie du roduit des droits d enregistrement perqu au cours d un exercice n effet la suite de contr les fiscaux ou de demandes gra cieuses de d gr vement les services fiscaux sont appel s parfois rembourser aux redevables un trop per u de droits d enregistre ment De ce fait il est demand l administration d partemen tale du Haut Rhin de restituer un certain montant qui s l ve 752 940 francs au l r novembre 1990 1 043 334 francs en 1989 Cet tat de chose conduit doter de fa on substantielle une ligne du budget ouverture li e de surcrolt la suppression e la proc dure des d bits d office circulaire du 3 novembre 1981 11 semblerait cependant que dans certains d partements ce dossier soit m connu ou pour le mo
259. les frais tippl mentaites occasionn s sont importants alors m me que s ils avaient eu connaissance du montant r el de leur achat d s le d part ils ne se seraient probablement pas engag s Il Ini demande en cons uence quelles mesures 11 ertend prendre pour viter type affichage trompeur Pauvret surendettement 35640 12 novembre 1990 M Christian Kert demande Mime le secr taire d Etat ia consommation de lui pr ciser s il est exact que la loi sur le surendettement des m nages serait mal appliqu e et que selon des d clarations qui lui sont attri bu es les deux tiers des plans de redressement labor s par les commissions d partementales de conciliation n aboutissent pas la plupart des organismes de cr dit la consommation tant ferm s tite solution amiable La Lettre politique et parlementaire no CULTURE COMMUNICATION ET GRANDS TRAVAUX Cin ma aides et pr ts 34453 12 novembre 1990 M Jean Pierre Bequet appelle l attention de M le ministre de ia culture de la commanica et des grands travaux sur la n cessit d aider la cr ation cin matographique francophone 1l souhaite ce sujet savoir si valuation de l application du d cret no 86 175 du 6 f vrier 1986 relatif au soutien financier de l Etat l industrie dea programmes audiovisuels a t effectu e et dans l affirmative en connaitre les d tails Musique orchestres 35507 12
260. les soci t s immobili res publiques ou semi publiques 11 lui demande de bien vouloir lui pr ciser e bien fond de cette mesure Jeux et paris statistiques 35464 12 novembre 1990 M Marc Dolez remercie M ie miaistre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget de lui indiquer pour chaque jeu organis par France Loto le P M U etc sous ia tutelle de l Etat le pourcentage de pr l vements l gaux effectu s sur le montant total des enjeux avant r partition des gains 11 le remercie de pr ciser galement pon chacun de ces jeux a contribu au budget de l Etat en 1989 P trole et d riv s carburants et domestique 35506 12 novembre 1990 M Aiaia Bocquet attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de i conomie des finances et du budget sur le probl me des hausses des produits p troliers qui Influent tr s fortement sur le prix de l nergie ser vant au chauffage des Les pr visions de l Union nationale des orgsnismes H L M tablies fin ao t mais aujour d hul largement d pass es peuvent laisser cralndre une augmenta tion des postes r serv s au chauffage sup rieure 30 p 100 Ce qui quivaut en fin d ann e un treizi me mois de loyer Tous les types de chauffages sont concern s Suec que soit l nergie utllis e dans la mesure ou leur co t est plus ou moins index sur celul des hydrocarbures Ces augmentations vont s ajouter celles des loy
261. lier Daniel 35483 handicap s et accident s de la vie Colembeal Louis 35635 anciens combattants et victimes de guerre Coussas Ren 39396 int rieur ministre d l gu 35397 int rieur ministre d l gu 38390 int rieur ministre d l gu 34399 Int rieur ministre d l gu 34400 int rieur ministre d l gu 35401 int rieur ministre d l gu 35402 int rieur miniatre d l gu 34403 int rieur ministre d l gu Coussain Yves 35548 agriculture et for t 36849 affaires euro p ennes 35551 affaires sociales et solidarit 35628 anciens combattants et victimes de guerre 35634 anciens combattants et victimes de guerre ducation nationale jeunesse et sports 35663 jeunesse et sports 35670 transports routiers et flu aux Couvelnhes Ren 35650 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 38687 handicap s et acci dent s de la vie 35661 int rieur ministre d l gu Cuq He srl 38896 int rieur D Daugreilh Martine Mme 35520 affaires trang res Daviaud Plerre Jeau 35487 handicap s et accident s de ia vie Debr Bernard 35521 sant 35522 affaires sociales et solidarit Debr Jean Louls 35418 quipement logement transports et mer Demange Jean Marle 35557 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 35558 iustice 35559 agricu
262. litique contractuelle 11 lui demande que les engagements relat s soient tenus et souhaiterait savoir quelle date et dans quelles conditions ils le seront Agriculture aides et pr ts 35567 12 novemtre 1990 M Phiilrpe Legras appelle l attention de M ministre de l agriculture et de ia for t sur la circulaire du 5 juin 1990 relative aux aides l installation des jeunes agriculteurs et aux conditions relatives l installation socittaire Le C N J A lui a fait valoir propos de ce texte que les pre agriculteurs de nombreux d prrtements consid rent u il constitue un recul par rapport au d cret du 23 f vrier 1988 ont l objectif tait avant tout l obtention du revenu minimal d partemental U T A F unit de travail agricole familial 115 estiment que les exigences de cette circulaire vont l encontre de la transmission progressive de l exploitadon et que le jeune agri culteur va devoir rechercher une exploitation ext rieure pour l apporter la soci t ou cr er un atelier Ces exigences entrai nent galement un endettement suppl mentaire cr ent une nou velle concurrence sur le foncier et risquent de pousser la concentration des moyens de production pour des jeunes qui quelques ann es plus tard risquent de se retrouver seuls sur l ex ploitation Ainsi de nombreux jeunes qui pouvalent jusque l se voir octroyer des aides risquent d tre exclus du b n fice de ces derni res ce qui est d auta
263. llet 1990 M Bernard Pons expose M ie secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de uerre qu un mouvement de r sistance dans le cadre de lioration des pensions de guerre lui a fait part de ses suggestions qui concernent l attribution de la pension de veuve de guerre au taux exceptionnel toutes les veuves de d port s d c d s dans les six mois suivant leur lib ration la proportionnalit des pen sions de 10 80 p 100 par rapport l indice 628 pension de 100 p 100 sans TIT de grand mutil la proportionnalit des pensions de 85 95 p 100 par rapport aux indices 1000 ou 628 selon que le titulaire est b n ficiaire ou non de l allocation de grand mutil 1 lui demande quelle est sa position l gard des propositions en cause R ponse Les v ux voqu s par l honorable parlementaire appellent les r ponses suivantes 1 Aux termes des articles L 138 et L 214 du code des pensions militaires d invalidit et des victimes de la guerre les pensions allou es aux veuves de d port s r sistants et politiques morts en d portation b n ficient du suppl ment exceptionnel sans condition d ge d invalidit ou de ressources Les dispositions pr cit es ont t tendues par la loi n 89 1013 du 31 d cembre 1989 aux veuves des prisonniers du Viet Minh d c d s au cours de leur d tention Li un contexte historique bien d termin cet avantage exorbitant du droit commun
264. lou il est possible que les I U F M ne concernent pas l enseignement priv Enseignement priv financement 35585 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibille appelle l attention de ie ministre d Etat ministre de l du cation nationale de ia jeunesse et des sports sur la suppres sion de l allocation de scolarit pour l enseignement priv dans le projet de budget pour 1991 Elle lui pr cise que cette allocation institu e en 1951 s l ve 13 francs par trimestre et par en ant Malgr sa modicit elle repr sente pour un grand nombre de petites coles priv es l unique concours de l Etat pour la r mun ration des enseignants Elle tient lvi faire part du m contente ment de face une telle mesure et lui demande ses intentions cet gard Retraites fonctionnaires civils et militaires montant des pensions 35616 12 novembre 1990 M Henri Bayard appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation aationaie de ia jeunesse et des sorts sur la situation des enseignants retrait s P L P 1 des lyc es professionnels qui constatent avec indignation qu ils sont les seuls enseignants avec les professeurs actifs P L P 1 n avoir obtenn aucune augmenta tion de leur retraite dans le cadre des mesures de revalorisation de la fonction enseignante Bien qu il soit envisag de faire appli cation de l atticle 16 du code des pensions lorsque l ensemble des
265. lture et for t 35560 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 35561 int rieur ministre d l gu 35562 int rieur ministre d l gu 35563 int rieur ministre d l gu Derosier Bernard 35459 quipement logement transports et mer 35460 quipement logement transports et mer Dhlanis Claude 35599 budget Dolez Marc 35461 d fense 35462 budget 35463 int rieur 35464 conomie finances et budget 35493 logement pin in Andr 35872 travail emploi et formation profession nell E Ehrman Charles 35373 ducation nationale jeunesse et sports F Fslco Hubert 35553 conomie finances et budget 35619 Pre mier ministre Farraa Jacques 35544 budget 35546 agriculture et for t 35347 budget 35627 agriculture et for t F vre Charles 35517 d fense 35645 ducation nationale jeu nesse et sports Floch Jacques 35492 logement vire er Edouard 35498 justice 33554 affaires tran g res G Galllard Claude 35479 ducation nationale jeunesse et sports Galts Claade 35668 recherche et technologie Gambier Dominique 35429 consommation Gastines Henri de 35419 ducation nationale jeunesse et sports 35597 agriculture et for t Gaalle Jena de 35639 commerce et artisanat Gayssot Jeaa Claude 35507 culture communication et grands tra vaux 35509 aff
266. m 29 les conseils g n raux sont peu inform s de la 12 novembre 1990 situation de ces familles 115 ont peu pris conscience par exemple de l augmentation des accouchements triples due aux rocr ations m dicales assist es et des besoins sp cifiques de ces amilles La d centralisation semble se faire au d triment de ces fainilles 1 lui demande donc d une part de bier vouloir lui communiquer pour l ann e 1990 et par d partement les rensei nements suivants 1 le nombre d accouchements multiples dif renci s 2 le nombre de familles a d es domicile par la C A F moyenne des heures par famille et par type d interve nant 3 le nombre de familles aid es domicile par la D I S S moyenre des heures par famille et par type ntervenant se permet d autre part de lui rappeler qu en p riode de r cession d mographique 1 y a paradoxe n gliger la sp cificit de ces jeunes familles nombreuses Enseignement sup rieur ecamens et concours 35622 12 novembre 1990 Mme Elisabeth Hubert appelle l attention de M le ministre des affaires sociaies et la soil darit sur l homologation du dipl me d assistant de service social La qualification des assistants sociaux t gravement d valoris e par ui arr t minist riel du 26 juillet 1989 La forma tion des assistants de service social y est homologu e au niveau 3 bac 2 alors que la dur c des tudes de trois ann es corres
267. ment du sport allou es aux f d rations spor tives li lui rappelle que le football sport populaire est acces sible tous les milieux avec un prix de licence parmi les plus faibles et qu il doit son rayonnement l action et au d vouement de dizaines de milliers de b n voles Ces mesures constitueraient une grave remise en cause de toute une mission socio ducative en faveur de la jeunesse pr s d un million de pratiquants ont moins de vingt ans En cons quence il lui demande quelles sont ses intentions afin d attribuer au football des cr dits suffisants pour continuer ses actions de masse ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 JUSTICE Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renourellent les termes Nos 29020 Jean Yves Autexier 21 76 Jean Yves Autexier 31863 Dominique Gambier H tellerie et restauration r glemen ation 35405 12 novembre 1990 Michel Pelchat attire l at tention de M ie garde des sceaux ministre de la justice sur les articles 1952 1954 du code civil qui engagent la responsabi lit des h teliers et aubergistes pour tous les objets v tements et d p ts divers appartenant au voyageur logeant chez eux en incluant leur voiture La France est le seul pays de la Commu naut tendre cette responsabilit 11 lui demande s il ne serait as souhaitable de modifier l article 1954 du code civil afin de acilit
268. mes autonomes et sp ciaux artisans commercants et industriels politique l gard des retrait s 35638 12 novembre 1990 M Jean Ciaude Mignon attire l attention de M le miaistre d l gu commerce et l arti sanat sur les effets de la loi du 9 juillet 1984 ayant r pondu aux non salari s du commerce de l industrie et de l artisanat la limi tation cumul entre une activit et une pension de retraite ins titu e pour le r gime g n ral des salari s Ce dispositif visant une diminution du ch mage en offrant les postes lib r s par les retrait s actifs la recherche d un emploi a eu en r alit des cons quences contraires au but recherch En effet on constate que non seulement le nombre de commer ants actifs n a pas sugment mais que la mise en retraite de certains d entre eux entralnant la fermeture des fonds a conduit au licenciement des employ s Ce ph nom ne est d autant plus grave en milieu rural qu il contribue sa d sertification 11 lui demande par cons quent de bien vouloir examiner avec int r t les dol ances des professionnels concern s dont il se fait l cho savoir l la non reconduction de la l gislation actuelle expirant au 31 d cembre de cette ann e 2 le r tablissement de la libert de cumul partir de soixsnte cinq ans ge normal de la retraite avant la r forme de 1983 Retraites r gimes autonomes et sp ciaux artisans commer ants
269. mise au point le 19 juillet 1988 visait encourager le d part en retraite de 3 009 m decins Le dispositif labor pour deux ans se termine le 10 mai 1990 et a suscit le d part de 1 000 m decins environ En cons quence elle souhaiterait savoir si son application sera prolong e jusqu la fin de l ann e 1990 tant donn que son effet n est apparu que fin 1988 Elle d sire galement connaitre les possibllit s de reconduction de ladite mesure pour une autre p riode de deux ans avec quelques modi fications statutaires en particulier pour les m decins qui ont une petite activit salari e R ponse Le m caniame d incitation la cessation anticip e d activit des m decins conventionn s M I C A institu pa l ar ticle 4 de ta loi n 88 16 du 5 janvier 1988 vient d tre prorog par l article 12 de la loi n 90 590 du 6 juillet 1990 pour une dur e de deux ans compter du 10 mai 1990 Afin de permettre aux m decins exer ant simultan ment une activit lib rale et salari e de b n ficier effectivement de ces dispositions l alloca tion de remplacement peut tre cumul e squs certaines conditions et dans la limite d un plafond avec les revenus de l activit sals ri e De m me la limite de cumul de cette allocation avec un avantage de retraite fix e actuellement la moiti de l alloca tion aux vieux travci eurs salari s aoit 7 495 francs devrait tre r vis e La fixation de ces plafo
270. n dans un sens favorable du droit appli cable aux enfants de divorc s ui h ritent de leurs ds parents 11 souhaite tre inform de l avis du Gouvernement sur ce point et le cas ch ant de ses intentions R ponse Le tarif des droits de mutation titre gratuit appli cable une donation est fonction du lien de parent qui ex ste entre le donateur et le donataire tel qu il r sulte des r gles du droit civil D s lors les donations consenties par les grands parents leurs petits enfants b n ficient du tarif des droits appli cables en ligne directe quelle que soit la situation de famille des arents des donataires En revanche l abattement de 75000 francs n est applicable qu aux enfants et au conjoint Cela tant i est admis que cet abattement soit partag entre les petits enfants qui h ritent de ieurs grands parents al rs que leurs parents sont d c d s Ces vont dans le sens des pr oc cupationa exprim es par l hcnorable parlementaire Enregistrement et timbre mutations de jouissance 32236 30 juillet 1990 M Charles Pistre appelle l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget sur lea termea d enploi applicables aux transmissions titre gratuit En e fet pour les transmissions titre gratuit entre vifs ou par d c s la valeur imposable de la nue propri t ou de l uaufruit est obtenue d apr s le bar me de l administration fond sur le p
271. n enseignante Le 27 ao t 1990 le ministre avait r pondu sa question crite n 23761 que tou tefois il tait envisag de faire application aux personnels retrait s des dispositions de l article 16 du code des pensions civiles et militaires de retraite lorsque l ensemble des P L P du premier grade aura t int gr dans le second et qu ainsi ils pourront b n ficier de l chelonnement indiciaire de cette cat gcrie du personnel pour le calci du montant de leur pension de retraite Toutefois compte tenu cu nombre de transformations de P L P 1 en P L P 2 intervenues jusqu ici il lui demande si dans le budget pour 1991 il a pr vu es mesures allant dans ce sens pour permettre aux retrait s actu ls le b n fice de cette revalori sation Enseignement secondaire personnel maitres auxiliaires 35647 12 novembre 1990 M Paui Lombard attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la been et des sports sur la situation pr caire des maitres auxiliaires de l ducation nationale Alors que le minis t re lui m me reconnait l ampleur sans pr c dent de la crise de recrutement qui frappe l ducation nationale ce sont bient t 45 000 auxiliaires de l enseignement qualifi un niveau gai et parfois sup rieur celui des tituiaires qui n aspirent qu une chose tre enseignant part enti re et pour cela tre fonction naire titulaire de l ducation nationale
272. n est envisag e pour la rentr e universitaire 1991 qui devrait tre marqu e par une nouvelle progression des effectifs de bour siers et du montant des bourses A ce titre 192 millions de francs sont pr vus en mesure nouvelle dans le piojet de loi de finances pour 1991 Pour les ann es ult rieures un accroissement continu mais progressif de la d pense corr lative l augmentation de la population tudiante devra tre envisag Toutefois le seul sys t me des bourses ne peut r pondre en totalit aux besoins nou veaux induits par cette volution 1 est donc apparu n cessaire de mettre en place une vari t d allocations d tudes adapt e cette volution de la population tudiante C est dans cet esprit qu un syst me de pr ts garantis allou s sur crit res sociaux et universitaires va tre exp riment 1990 1991 Il sera compl mentaire du syst me des bourses Les allocations d tudes pour ront donc prendre soit ia forme d une bourse soit celle d une bourse cumul e avec un pr t soit celle d un pr t Un cr dit de 60 MF est pr vu dans le projet de loi de finances pour 1991 au titre de l ouverture d un fonds de garantie institu au niveau national qui sera aliment en majeure partie par l Etat mais ga lement titre compl mentaire par les universit s gr ce aux sommes qu elles auront recueillies aupr s des collectivit s territo riales et des entreprises selon des modalit s actuellement
273. n qui doit se tenir au cours des prochaines semaines Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 32891 20 ao t 1990 M Daniel Le Meur attire l attention ce M le secr taire d Etat charg des anciens combattants e des victimes de guerre sur la n cessit de permettre aux orphelins de guerre et aux pupilles de la nation maieurs de devenir ressortissants part enti re de l Office national des anciens combattants comme l ensemble des autres victimes de guerre 11 lui demande s il est dispos agir en ce sens R ponse La question pos e par l honorable parlementaire appelle la r ponse suivante L article L 470 du code des pensions militaires d invalldit et des victimes de la guerre d finit les conditions qui permettent aux enfants adopt s par la nation de b n ficier de la protection et du soutlen moral et mat riel de l Etat pour leur ducation L Office national des anciens combat tants et victimes de guerre dont les attributions sont d finies par l article D 432 du code susvis accorde en compl ment des aides du droit commun allocations famillales bourses d tudes etc et dans le cas d insuffisance des ressources de la famille des subventions aux orphelins de guerre et aux pupilles de la nation mineurs pour leur entretien et leur ducation Ces subventions peuvent tre maintenues jusqu au terme des tudes sup rieures d s lors qu elles ont t entreprises avant la majori
274. nciens de Tambow le statut de prisonnier de Tambow et camps assimil s comme cela est le cas pour les prisonniers du Viet Minh et les intern s r sistants des camps de Rawa Ruska et autres afin de proc der une unifica tion de ces trois r gimes Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35472 12 novembre 1990 M Bernard appelle l attention de M le secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur les revendicaions formul es par les cheminots anciens combattants dans un cahier revendicatif du droit r paration lls demandent la mise en uvre d un certain nombre de mesures afin de compenser les pr judices subis pen dant les guerres par rapport leurs coll gues n ayant pas t soumis aux m mes obligations En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer les dispositions qu il compte prendre pour satisfaire aux l gitimes revendications des int ress s Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35473 12 novembre 1990 Michel Barrier appelle l at tention de M le secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur l inqui tude des anciens combattants quant au respect du rapport constant Les int ress s ET ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 dent en effet leur soit attribu le b n fice des deux points d indice accord
275. nds doit intervenir prochainement par voie conventionnelle Professions param divales masseurs kin sith rapeutes 17771 30 avril 1990 M Jean Briane attire l attention une nouvelle fois l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le souhait des masseurs kin sith rapeute de voir pleinement reconnu leur r le dans la sant publique 11 lui demande de bien vouloir iui faire le point sur la mise en appiication concr te des mesures annonc es dans sa r ponse la question crite n 10263 parue au Journal officiel Assembl e nationale D bats parlementaires questions du 28 ao t 1989 R ponse La revalorisation de la iettre ci AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventlonnel et approuv s ensuite par les arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelies Par ailleurs en application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 6 il appartient la Commission permanente de la clature gtn rale des actes professionnels de faire des propositions au ministre charg de la s curit sociale sur ies actualisations de la nomenclature qui lu apparaissent souhaitables Dan
276. ne diminution du prix de vente pour le calcul de l base d imposition de la plus value imposable dans le cadre de l article 160 du code g n ral des imp ts Par ailleurs il est ga jement dans l acte de cession une clause de garantie du passif Dans ces conditions les sommes pay es par le vendeur au titre de cette garantie du passif peuvent elles venir en d duction de la plus value imposable De plus si les sommes au titre de la garantie du passif ne sont pay es qu apr s l imposition de la plus value est il possible de d duire cette charge sur la d cla ration de revenu global de l ann e du paiement Dans la n ga tive est il possible de faire une demande de d gr vement alin d obtenir une diminution de base d imposition de la plus value et cans e d lai l r clamation doit elle tre effectu e pour tre recevable i2 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 0193 Imp t sur le revenu charges d ductibles 35395 12 novembre 1990 M Joseph Henri Maujo an du Gasset expose M le ministre d Etat ministre de i conomie des finances et du budget le cas de M X militaire dans les F F A en Allemagne et propri taire d une maison en France ll lui demande s il est possible de consid rer cette maison comme r sidence principale et si il peut d duire de sa d claration d imp ts sur le revenu les charges d emprunts aff rents cette msison Fonctionnaires et agenis publics r mun
277. nistre d l gu au logement de bien vouloir lui indiquer pour les exercices 1989 1990 le montant des cr dits destin s au logement social qui ont t accord s par l Etat la ville de Paris leur taux d utilisation r elle Pour l exercice 1990 il souhaiterait connaltre le montant de ces m mes cr dits et leur taux d utilisation la date de r ponse la question Logement H L M Paris 35449 12 novembre 1990 M Jean Yves Autexier attire l attention de M le ministre d l gu au iogement sur une r cente d cision du conseil d administration de l office H L M de la ville de Paris de mettre en vente 5 000 logements sociaux soit pr s de 6 p 100 du parc existant La vente aurait lieu au profit des locataires en titre aux conditions du march avec paiement comptan et sans aide au financement 7 lui demande donc de bien vouioir v rifier si cette d cision est conforme en tous points la l gislation existante et quelle attitude entendent adopter les pavan publics dans une affaire de ce genre dans la mesure o a vente ne peut avoir lleu sans l aval de la pr fecture Il lui rappelle en 2ffet que plusieurs dizaines de milliers de Parisiens ont d pos des demandes de logements sociaux reconnues priori taires et qu une ali nation d un partie du patrimoine ne pourrait terme qu aggraver la situation en r duisant le nombre de loge ments sociaux disponibles Logement logement social Hauts de Seine 34482
278. nnelle Parfois la famille est aussi oblig e de d m nager ce qi entralne des importants ajouter la perte d un des eux salaires 1l lui demande donc s il ne serait pas possible d ac corder au parent qui cesse son activit salari e pour pouvoir s oc cuper de son enfant une allocation comparable celle qui est aux adultes handicap s dans la mesure o cette cessation vite une hospitalisation permanente bien plus co teuse La soli darit nationale qui s exerce en faveur des handicap s adultes ne devrait elle pas s exercer aussi en faveur des familles ayant un enfant gravement handicap 11 lui demande de bien vouloir lui faire conna tre s il est possible d envisager une telle mesure Handicap s allocation compensatrice 38688 12 novembre 1990 M G rard Vignoble attire l at tention de M le secr taire d Etat aux handicap s et aux acci deat s de vie sur ies probl mes financiers que rencontrent les familles ayant en charge un enfant lourdement hagdicap du fait d un grave accident de la circulation lui demande s il envisage d tendre aux enfants ayant besoin de soins constants le b n fice de la tierce personne A C T P actuellement r serv aux handi cap s adultes ou personnes g es Cette allocation permet trait de r aliser d importantes conomies dans le domaine de l hospitalisation publi ue tout en soulageant les finances des familles concerr es Handicap
279. no 87 1060 du 30 d cembre 1987 a r alis la deuxi me et derni re tape de cetie valorisation Au terme de ces deux tranches l indice de la pension de 10 p 100 a t relev de 42 48 points entra nant notamment le rel vement 384 de celle 80 100 Ainsi l indice de la pension de P 100 repr sente d sormais le huiti me de celui de la pension de 80 p 100 Les dispositions nouvelles sont entr es en vigueur le ler jan vier 1988 Elles ont profit plus de 400 000 pensionn s soit une proportion sup rieure quatre pensionn s sur cinq Elles ont am lior principalement les petites pensions d un taux inf rieur 30 p 100 dont l augmentation s est lev e 9 p 100 Toutefois la proportionnalit des pensions de 10 100 p 100 pr vue par ia loi du 31 mars 1919 pour des tarifs alors exprim s en francs et non en points d indice et abandonn e d s 1921 constitue une revendication ancienne et prioritaire du monde combattant En tenant compte du fsit que la r forme envisag e ne profiterait pas aux pensions cristallis es exclues psr principe du champ d appli cation des mesures nouvelles le r tablissement de la proportion nalit des pensions en paiement inf rieur 100 p 100 et non assorties de l allocation de grand mutil cr e en 1935 reviendrait actuellement 285 MF co t lev d une telle mesure ne permet donc pas d envisager sa r alisation dans l imm diat En tout tat de cause la r
280. nous envisager les mesures sui vantes d lai entre l annonce de l ouverture et le d but de l en qu te publique port un mois actuellement quinze jours annonce de l enqu te non seulement dans les journaux d an nonces l gales ma s dans le Bulletin municipal Au cas o la commune n dite pas de bulletin municipal envoi d une lettre IIS foyer de la commune dur e minimum de l enqu te publique port e quarante cinq jours en p riode d t juin juillet et ao t rapport du commissaire enqu teur vis les lus locaux pour s assurer que Jes remarques d oppositions for mul es verbalement sont reprises dans le rapport Handicap s acc s des locaux 35651 12 novembre 1990 Dans de nombreux tablisse ments publics dans la r alisation du tramway reliant bient t les communes de Bobigny Drancy La Courneuve Saint Denis la question de l accessibilit pour les personnes handicap es est prise en compte En revanche les stations de m tro ne leur offrent pas encore les m mes possibilit s les privant ainsi d un moyen de iransport rapide Indispensable En cons quence M Jean Claude Gayssot demande M le ministre de l qui pemeat du logement des traasports et de la mer les mesures concr tes qu il envisage prendre pour mettre fin cette discrimi nation FAMILLE ET PERSONNES AG ES Logement allocations de logement 38435 12 novembre 1990 M Martin Malvy appelle l at tentlon de
281. novembre 1990 M Gayssot appelle l attention de M le ministre de Ja cuiture de ia com munication et des grands travaux sur les l gitimes inqui tudes des musiciens de l orchestre de Paria 11 souligne le danger qu il y aurait sous pr texte de r sorber un d ficit valu 9 milllons de francs de r duire lea prestations et donc le rayonnement d un de nos orchestres les plus prestigieux 11 s inqui te des conr quences n fastes de plusieurs d cisions prises pour la direction de l or chestre telles celles qui ont conduit cinq aolistes d missionner en trois ans ou celle qui a annul sans explication s rieuse une tourn e en Italie alourdissant ainsl par le d dit in vitable le 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5191 poids du d ficit En cons quence il lui demande qu une subven tion exceptionnelle soit accord e l orchestre de Paris dans le cadre du budget 1991 et que le plan de redressement financier soit examin dans la plus large concertation avec les repr sen tants du de l orchestre D une mani re g n rale 1 situation des orchestres et des musiciens fran ais tant tr s pr oc cupsnte il lui demande quelles mesures concr tes il envisage de prendre pour renforcer nos capacit s crchestrales sans plus tarder ce qui imp ique de T la disposition progressive de nos musiciens et de nos orchestres et est une condition pour romouvoir uvec tou
282. ns et les autres de trois ann es de services pubiics 49 organisation titre transitoire pour les sessions 1991 et 1992 d un concours en vue de la d li vrance du certificat d aptitude aux fonctions de conseiller d orientation aux l ves conseillers d orientation justifiant de deux ann es de scolarit en centre de formation Pourront gale ment se pr senter ce concours transitoire les nersonnels non titulaires exer ant des fonctions d information et d orientation dans les services d information et d orientation et tablissements publics relevant du minisire charg de l ducation justifiant de trois ann es de services publics et d tenteurs d une licence ou d un titre ou dipl me du niveau bac 3 S agissant de la struc ture du corps celui ci comporte toujours deux grades le grade de directeur de centre d information et d orientation et le grade de conseiller d orientation nsychologue Cependant la classe exceptionnelle du grade de conseiller d orientaiion est supprim e compter de la rentr e scolaire 1990 compte tenu de la revalori sstion indiciaire du onzi me chelon de ce grade devant inter venir cette m me date Par ailleurs le grade de directeur de C 1 O comporte compter du lef septembre 1990 six chelons au lieu de onze actuellement L ensemble du corps est revaloris indiciairement Le nouveau grade de conseiller d orientation psy chologue b n ficiera d ici la rentr e scoleire 1992 de l
283. nsions existantes et notamment de d terminer au plus vite le moyen d quilibre pour 1990 en tenant compte du v u formul par le conseil municipal 11 lui propose par ailleurs d envisager pour l avenir dans le cadre d un plan pluriannuel une dotation pr a lable de l Etat n goci e sur la base des besoins r els de la ville permettant un fonctionnement satisfaiscnt des services ainsi qu une r duction cons quente des d lais de versements des acomptes du moyen d quilibre lui demande enfin s il ne sermit pas envisageable de proc der une valuation pr cise des besoins structurels de la vihe permettant l Etat de r gler d fini tivement ces probi mes un apport de moyens destin s com bler les retards accumul s depuis 1977 par l implantation de la Z A C La No Assurance invalidit d c s capital d c s 35586 12 novembre 1990 M Christian Kert demande M le ministre d l gu au budget 1 suite qu il envisage de r server la proposition du m diateur de la R publique tendant permettre 1 versement du capital d c s aux ayants droit d un fonctionnaire d c d dans les jours suivant sa mise la retraite Il lui cappelle qu un arr t de 1 Cour de cassation du ler f vrier 1990 a d cid que le capital d c s tait bien d lorsque le fonctionnaire remplissait les conditions l article 313 3 du code d gt la s curit sociale savoir s il a travaill 200 heures
284. nt et de protec tion sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes qui souhaiteraient engager avec la Caisse nationale d assurance maladie une n gociation dans le cadre conventionnel qui r git leur profession Les professionnels souhaitent par ailleurs dis poser d une nomenclature en application du d cret d ao t 1985 Il lui demande de bien vouloir lui faire connaitre les mesures que le Gouvernement envisage de prendre d une part pour favoriser la n gociation conventionnelle d autre part pour permettre 1 mise T application dans ce secteur d activit s du d cret de 1985 susvisc Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 30754 25 juin 1990 mati re tarifaire le Gouveme mert n a toujours pas avalis l accord intervenu entre les organisations professionnelles repr sentatives des kin sith rapeutes et les caisses nationales d assurance maladie d s le mois d avril 1989 Il n a pas non plus donn son avis sur le projet de nomenclature des actes de Lin silh rapie texte vot par la commission perma nente La nomenclature en vigueur actuellement date de 1972 En cons quence M Jean Claude Gayssot demande M miaistre de ia solidarit de la sant et de ia protection sociale quelles dispositions il envisage de prendre dans l int r t de ces professions et des malades Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31259 9 juillet 1990 M Michel P ricard
285. nt la totalit de leur production sur des terrains en secteur diffus soumis un taux de T V A de 13 p 100 Les candidats la construction demandent pour une grande partie d entre eux un pr t P A P en secteur diffus une partie de ce pr t 40 p 100 maximum peut tre d bloqu e en vue de l achat du terrain Quoi u il en soit dans tous les cas la d cision favorable pour l obten tion d un pr t P A P en secteur diffus est d livr e par la direc tion d partementale de l quipement tude du permis de construire Enfin le pr t ne sera d bloqu qu apr s l obtention du permis de construire soit avant l achat du terrain Les lotis seurs vendent leurs terrains avec un taux de T V A de 13 p 100 et les notaires ent rinent cette T V A dans l acte authentique il ne s agit pas d une vente en tat futur d ach vement qui rentre dans des cadres juridique contrats m de construire et financier P A P group tout fait diff rents En cons quence il lui demande quel taux de T V A doit alors tre appliqu Imp t sur le revenu caicul 35444 12 novembre 1990 M Michel Sapin attire l atten tion de M le ministre d l gu au budget sur les revenus non commerciaux accessoires per us titre personnel par des contri buables Lorsque ces revenus n exc dent pas 21000 francs par an ces contribuables peuvent se dispenser de produire la d clara tion sp ciale no 2035 ou 2037 et b n ficient d un re
286. nt d sormais une formation initiale d une ann e La situation de ces inspecteurs est enfin revaloriste seion des modalit s indl ciaires et indemnitaires comparables celles retenues pour les corps enseignants Leurs missions sont red finies en coh rence avec les dispositions de la loi d orientaticn et en fonction des nouvelles missions attribu es l inspection g n rale de l duca tion nationale Les futurs I P R I A y voient notamment confirmer la totalit de leurs fonctions actuelles et largir leurs missions La r criture de ces r les doit permettre de mieux coor donner les actions d valuation dans le cadre de programmes m de travail La cr ation du corps des 1 1 cor respond la vciont d unifier les deux corps pr existants 5nspec teurs d acad mie et inspecteurs principaux de l onseignement 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5239 technique 1 en un seul corps Le corps des 1 est mis en extinstion Ses membres seront int gr s dans le corps des I P R I A dans un d lai maximum de cinq ans ce qui garanxit tous une fin de carri re du groupe hors chelle A alors que jus qu pr sent seulement 10 p 90 des emplois en b n ficiaient Les scrv ces du ministre d Eat ministre de l ducation nationale de jeunesse et des sports continuent tudier la possibilit d acc l rer encore ce d lai Contorm ment au statui g n ral de la foncti
287. nt plus regrettable qu il s agit souvent de projets dont la viabilit semble assur e 11 lui demande quelles remarques appellent de sa part les observations dont il vient de lui faire part Risques naturels s cheresse 35597 12 novembre 1990 M Henri de Gastines attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la situation de nombreux leveurs qui se volent refuser le b n fice de l indemnisation au titre de la s cheresse 1989 du fait du bar me qui est appliqu pour d terminer le b n fice th orique qu est sens procurer l levage en hors sol des animaux en l oc currence celui des porcelets en post sevrage dans le cadre d une production int gr e Le motif de cet errement trouverait son ori gine dans le fait que dans le cas d une production int gr e le paiement recu s apparente un revenu et non un produit 11 s agit en fait dans une large mesure d une fiction car dans le cas d esp ce ce revenu est cependant grev de frais nombreux qui peuvent atteindre voire d passer les 50 p 100 S agissant des porceiets il faut videmment compter avec les consommations d eau d lectriclt d amortissement des b timents d levage etc Pour toutes ces raisons il demande s il ne lui appara t pas n ces saire de modifier d urgence la r glementation en cause de permettre la r vision des dossiers des leveurs concern s d viter qu ils soient injustement p ualis s
288. nt sur les pro bl mes auxquels sont confront es les entreprises artisanales sous traitantes de pavillonneurs lorsque ceux ci d posent leur bilan Victimes de situations dans lesquelles ces entreprises ne portent aucune responsabilit elles en subissent n anmoins souvent de graves cons quences puisqu il n est pas rare qu elles soient elles m mes accul es au d p t de bilan Il lui demande en cons quence de bien vouloir lui pr ciser si des mesures tendant prendre en compte ce probl me sont l tude notamment dans le cadre du projet de loi sur la r forme du contrat de construc tion de maison individuelle dont le d p t a t annonc devant le Parlement Logement A P L 35492 12 novembre 1990 M Jacques Floch attire l atten tion de M ie ministre d l gu au logement sur la situation de certains tudiants pour se loger En effet de nombreux tudiants par manque de chambre se voient dans l obligation de se tourrer vers la location d appartements non conventionr s donc exclus de l A P L De plus ces tudiants ont souvent peu ou pas de ressources Ils doivent donc fair appel leur famille pour r gler le loyer mais dans l ta actuel de la r glementation 115 ne peu vent pr tendre percevoir l allocation logement En cons quence il lui demande si des dispositions sont susceptibles d tre prises afin de rem dier cette situation Logement logement social 35493 12 novembre 1990 M M
289. ntal du tra vail pour lui demander d acc l rer la publication des autres noms donn s par leur organisation 11 porte donc sa connaissance v en date du 30 octobre 1990 et selon les informations dont il ispose seule cette organisation a fourni une liste de repr sen tants mais M le pr fet n a toujours pas pris la d cision de signer l arr t de nomination en attendant que passe l Assembl e nationale et au S nat la session d automne un compl ment 6214 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 ce texte Or il lui pr cise que chaque jour ce syndicat est solli cit pour assister des personnes en difficult et le comble c est ue lc pr fet refuse d appliquer un texte vot et paru au ournal officiel le 28 novembre 1989 C est pourquoi il lui demande ce qu il compte faire pour que soit sign dans les d lais les plus brefs l arr t de nomination m me si un nouveau ext dut venir plus long terme en discussion l Assembl e nationale Minist res et secr tariats d Etat travail emploi et formation professionnelle services ext rieurs 35671 12 novembre 1990 M Alala Bocquet attire l atten tion de M le ministre du travail de l emplol et de la forma tion professionnelle sur la situation pr occupante des services de l inspection du travail couvrant le sud du d partement du Nord Normalement ce service est dot de six postes d inspec teurs auxquels s ajoute celui d un inspecteur
290. oinettre la panique progressive d augmentation de ses recettes propres Vo antation d une zone industrielle et cr ation d emplois locaux Il lui demande de pr ciser la position du Gouvernement par rapport au probl me bud g taire de Chanteloup qui aggrave dangereusement les tensions exisiantes et notamment de d terminer au plus vite le moyen d quilibre pour 1990 en tenant compte du v u formul par le conseil municipal 11 lui propose par ailleurs d envisager pour l avenir dans le cadre d un plan une dotation pr a lable de l Etat n goci e sur la base des besoins r els de la ville permettant un fonctionnement satisfaisant des services ainsi qu une r duction cons quente des d lais de versements des accomptes du moyen d quilibre 11 lui demande enfin s il ne serait pas envisageable de proc der une valuation pr cise des besoins structure s de la ville permettant l Etat de r gler d fini tivement ces probl mes par un apport de moyens destin s com bler les accumul s depuis 1977 par l implantation de o Communes finances locales Yvelines 38880 12 novembre 1990 M Alain Madella attire l atten tion de M le mlalstre d l gu au budget sur la situation bud g taire de la ville de Chanteloup les Vignes Yvelines Cette ville connait un d ficit budg taire structurel depuis 1977 date 12 novembre i laquelle une cit H L M comptant plus de 8 000 habitants
291. on professionnelle cumulable dans certaines conditions avec pr pr t social qui b n ficient de onditions d amortisse ment plus favorables que celles consenties aux autres cat gories de ressortissants de l office national Enfin 1 ccnseil d adminis tration de l office a soulign de multiples reprises la possibilit r affirm e dans la directive g n rale n 2 du 22 f vrier 1988 por tant refonte de l action sociale individuelle de l Office de venir en aide sur les fonds propres de l tablissement public aux orphelins de guerre quel que soit leur lorsque siteation fait apparaitre des motifs piausibles au regard He l action sp cifique de l office national maladie absence de ressources perte d emploi g ne momentan e Ainsi un nombre important de mesures ont t tendues aux orphelins de guerre et pupilles de la nation sans limitation d ge Les seuls avantages dont ne b n ficient pas les majeurs sont les subventions accord es aux mineurs sur les cr dits d l gu s par l Etat pour leur entretien et leur ducation En 1988 1067 interventions financi res de fice ont profit des pupilles majsurs pour une d pense de 3 379 347 francs imput e sur les fonds propres 214 pr ts pour un montant de 1 995 498 franc et 853 secours d urgence pour montant de 383 849 francs moyenne 1662 francs ces sommes s ajou ent des interventions exceptionnelles plus
292. on et le mode de calcul de l aide personnalis e au logement et laborer un plan pluriannuel de r habilitation des foyers de travailleurs Logement 35593 12 novembre 1990 M Christian Kert demande M ie ministre dei gu au iogement de lui pr ciser l tat actuel de ses r flexions relatives l exigence r cente d un apport r el de 10 p 100 dins le financement de l accession la propri t P A P ll lui demande si cette d cision n est pas de nature diminuer l accession la propri t sans la moraliser les acc dants la propri t pouvant recourir des subterfuges d faut de pouvoir b n ficier d n financement normal pour l apport de 10 p 100 le Moniteur 24 ao t 1990 Logement pr ts 35609 12 novembre 1990 Christian Kert appelle l at tention de M le ministre d l gu au logement sur les r centes statistiques relatives l accession sociale la pro ri t Comme le soulignait le d l gu g neral de l Union des H L M devant le 51 Congr s du mouvement qui s est tenu en juin 1990 Mar seille le total des pr ts et des pr ts cunventionn s avec A P L est pass de 200006 pr ts financ s en 1985 100 000 en 1989 soit une diminution de moiti en quatre ans Le d l gu g n ral a estim que tout se passe comme si depuis plusieurs ann es on voulait trangler l accession aid e en restreignant la fois l offre et la deman
293. on implant s dans les tablissements de i e cat gorie seront envisag es rapidement dans le cadre de la r partition de l enveloppe qui sera allou e au minist re de l ducation nationale au titre des nouvelles bonifications indicisires Par ailleurs les proie de carri re des personnels de 2 classe de la e cat gorie seront examin es dans le cadre des adaptations pr voir compte tenu de la d termination du nouvel indice ter minal arr t pour les corps des attach s Enfin les personnels ASSEMBL E NATIONALE prochaines ann es de la 5241 g s de cinquante cinq ans au moins au ler janvier 1990 seront dispens s de l obligation de mobilit requise pour une ventuelle inscription au tableau d avancement Enseignement sup rieur tudiants 33508 17 septembre 1990 M Marcel Wacheux attire l at tention de M le ministre d Etat miaistre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur la n cessit d ac compagner l effort consenti pour le d veloppement de l eriseigne ment sup rieur par l accroissement des aides directes aux tu diants pour le financement de leurs tudes En effet la d mocratisation de i enseignement sup rieur appelle le r am na ement du syst me actuel de bourses bas sur le quotient fami ial qui n est pas de nature couvrir la totalit des besoins des tudiants Au lendemain de a tenue du colloque Universit s 2000 et suite la publication du rapp
294. on nationale jeunesse et sports Weber Jesn Jacques 32823 anciens combattants et victimes de guerre Z Zeller Adrien 30566 affaires sociales et solidarit 31750 fonc tion publique et r formes administratives Li 6218 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 R PONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS CRITES PREMIER MINISTRE Prestations familiales cotisations 29323 4 juin 1990 M Bruno Bourg Broc attire l attention de M le Premier miaistre sur l absence de politique concert e avec les partenaires sociaux men e par certains de ses ministres C est ainsi que la nouvelle augmentation des charges des profes sionnels lib rsux r sultant des taux des cotisations dues au titre des prestations familiales pour 1990 a t d cid e unilat rale ment La publication du d cret fixant ces nouveaux taux est en effet intervenue sans consultation de l assembl e permanente des chambres des professions lib rales malgr les engagements pris par le Gouvernement de ne les d cider qu apr s concertation avec les organisations repr sentatives des professions lib rales 11 lui demande si cette attitude est conforme ses instructions et sil n y a pas lieu de appeler aux diff rents membres de son Gouvernement la n cessit de conduire des politiques en concer tation avec les diff rentes cat gories qui en sont partie prenante R onse Les repr sentants des professions lib rales ont t consul
295. on publique le corps des I P R I A sera d sormais recrut ar concours organis sur titres dont le niveau minimal est fix la maitrise et par un tour ext rieu dont le pourcentage de recrutement 25 p 100 est proche de celul arr t par le Gouver nement dans le cadre de l accord sur la r vision de la grille de la fonction publique 20 p 100 I a galement t proc d une acc l ration importante du d roulement de carri re des I P R LA qui est raccourci de quatre ans Enfin l occasion de cette r forme statutaire il a t proc d une modification du statut d emploi des actuels inspecteurs d acad mie directeurs des services d partementaux de l ducation L accroissement des t ches de ces personnels r sultant notamment de la d certralisa tion et des mesures de d concentration qui l ont suivie justifiuit en effet une revalorisation de leur mission Une augmentation des emplois qui implant s dans les pius gros d partements com portent une fin de carri re au groupe hors chelle B a ainsi t d cid e L volution des responsaoilit s de ces personnels justi fiait d autre part qu il soit proc d un certain d cioisonnement de leur recrutement les emplois d inspecteur d acad mie pour ront ainsi tre pourvus concurrence de 5 p 100 par des admi nistrateurs civils Simultan ment les 1 1 se voient offrir la possihilit d acc der un nombre comparable d emplois d
296. onale jeunesse et sports 4969499594 992989294450988989992490905998008885323590882309 490990880 90 06 900020008090929498200020292008099828 9 DU 0000 0 00000000 00400 00000000 01400000 00000 000850 004044000940 000 000000006000 00000000 00000000 00000000 400000000000 0100 006000000000 00000000 000000000000 000000000040 0000900000 0000 UD PO 00000000 92999952a25420009590 8900410908098908820085289922909002406068086064949229980 00000 80000008 000600 0009000000 tt00 600000000000 EEEE E 000000000000 040000000000 000000000000 sean 0100 000000000000 000000000000 600000000000 010000000000 00000 soso ne se De 0m 000000000000 bottes 600 ttes tte 000090 000000000000 400000004000 06810000 cute 001000000000 00m 010000000000 00000000 00000 004000400400 00000 06 00 000000000000 000000070000 000000000000 000000000000 00000 00m 000000000000 06000060 00000 00000000 00000040 040000000400 99004 9 68982009090088088059059008080000a2008004 6 028020 80209008800080089258009209 29400998204008400 0284149 Environnemen
297. oncerne les actes de r ducation ei de r adaptation fonc tionnelles effectu s notamment par les masseurs kIn sith rapeutes La Commission a fait parvenir l administra tion des propositions qui font actuellement l objet d une tude par les services ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE Pensions militaires d invalidit et des victimes de guerre pensions des invalides 30589 25 juin 1990 Mme Gliberte Marin Moskovitz attire l attention de M le secr taire d Etat charg des anciens combattants et des victimes de guerre sur le souhait exprim par des sncien combaitants que soit examin e la possibilit d ac corder le b n fice de la pr somption d origine aux classes com prises entre les ann es 1947 et 1955 En effet la reconnaissance de la pr somption tablie 1937 supprim e compter du ler juillet 1946 pour les militaires appel s ou engag s accomplis sant leur service actif a t r tablie par l article L 13 de la loi du 13 ao t 1955 En cons quence elle lui demande quelles dis positions 11 lui semble possible de prendre en leur faveur R ponse 11 est exact que la pr somption d origine n est pas accord e pendant la dur e l gale de leur service aux militaires appel s ou engag s appartenant aux classes comprises entre les ann es 1946 1955 Conscient de cette anomalie le secr taire d Etat charg des anciens combattants et des viciimes de guerre n est pas oppos ce qu une
298. onnelles dont l application interviendra par d cret Aussi les travaux men s en collaboration troite avec les repr sentants des diff centes professions int ress es au sein des groupes de travail qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils abouti un projet de loi actuellement soumis l examen de la commission des affaires culturelles familiales et sociales de l Assembl e nationale S agia sant des tudes de masseur kin sith rapeute deux exp riences sont actuellement men es Clermont Ferrand et Dijon compor tant une ann e pr paratoire au sein d une unit de formation et de recherche m dicale suivie de trois ans d tudes au sein des coles de kin sith rapie de Vichy et de Dijon Il convient de dia poser de l valuation de ces exp riences avant de se prononcer sur leur ventuelle extension Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32215 30 juillet 1990 M Gilbert Millet attire l attention de M le mlalstre de la solidarit de sant et de la protec sociale au sujet de la valeur de la lettre clef AMM concer nant les kin sith rapeutes Celle ci en effet n a pas volu depuis mars 1988 Ainsi que le pr voyait le texte de la conven tion nationale les n gociations tarifaires avec les caisses d assu rance maladie se sont engag es d s le mois d avril 1989 et un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est intervenu ll lui demande quelles mesures il entend prendre
299. onnels Professions param dicales masseuvs kin sith rapeutes 33605 17 septembre 1990 M Gilbert Millet expose M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale le vif m contentement des masseurs kin sith rapeutes devant la lenteur de ia r valuation de leur cl A M M dont le principe a t accept d s le 22 ue 1990 par la Caisse natio nale d assurance maladie 11 lui rappelle en outre leur souhait ue soit r vis e au plus t t la nomenciature des actes profes sionnels relatifs la r ducation et la r adaptation fonction nelle ils soulignent que les moyens pour aborder ce travail sont d j en place puisque le rapport de la commission permanente de la nomenclature des actes professionnels concernant ce domaine est d pos il lui demande de bien vouloir r pondre ces interrogations l gitimes ASSEMBL E NATIONALE 5223 Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33613 17 septembre 1990 M Francis Delattre attire l at tention de M le ministre de la solidarit de sant et de la protection sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes et notamment sur le probl me de la r actualisation de la nomenclature de leurs actes professionnels Un projet de nouvelle nomenclature des actes de r ducation a t tabli et fut approuv le 20 septembre 1989 par la commission permanente de la nomenclature Depuis cette date
300. ons quences tr s graves lui demande cet gard s il ne serait pas n cessaire de doter la ville de Chanteloup les Vignes des forces de police et de leurs quipe ments v hicule transmission indispensables pour endiguer l in s curit qui est en progression depuis 1988 moyenne mensuelle de 37 faits en 1988 et de 51 faits en 1990 et qvi vient d entrainer la fermeture d un commerce situ en plein centre de la cit H L M ll lui rappelle enfin que la ville de Chanteloup les Vignes sous tutelle budg taire depuis 1977 ne connait ce jour toujours pas son budget primitif pour 1990 ce qui en plus de ses moyens tr s insuffisants ne permet pas un fonctionnement satis et il s inqui te du devenir conomique et social de cette ville Ordre public maintien 38601 12 novembre 1990 Mme Marie Fraace Stirbois s tonne aupr s de M le ministre de l int rieur qu aucun ordre n ait t donn pour arr ter les vandales qui ont mis sac des boutiques boulevard Saint Germain le lundi 5 novembre Des hordes de jeunes beurs et de jeunes blacks ont saccag et pill restaurants et kiosques journaux apr s avoir agress pas sants et journalistes sous l ail impavide des gardes ous les moyens en hommes et mat riels taient pourtant mass s moins de cinquante m tres de l pr ts intervenir Pourquoi n a t on pas mis fin ces exactions La preuve est faite une fois de lus que lo
301. onti res combin e un rench rissement des co ts de produc tion Bois et for ts politique foresti re 35518 12 novembre 1990 M Andr Berthol attire l atten tion de M le ministre de l agriculture et de for t sur les cons quences importantes des temp tes du mois de f vrier der nier qui ont d vast des secteurs entiers de for t communale Si bon nombre de communes de circonscription soucieuses d une bonne gesticn du patrimoine forestier communal et de la conser vation de la for t entendent replanter dans les meilleurs d lais elle n en ont maiheureusement plus les moyens En raison de l effondrement du cours du bois les finances communales ont d supporter les freis d exploitation ce qui n a pas t simple et ne sont plus m me de d gager en d pit des efforts consentis par la population et de la gestion au moindre co t des agents de l Office national des for ts les sommes n cessaires la replanta tion 11 lui deniande ce qu il entend mettre en uvre pour apporter aux collectivit s une participation cons quente de l Etat au qu il import nos communes de d buter sans tarder j Probl mes fonciers agricoles baux ruraux 35829 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson demande le ministre de l agriculture et de for t bien vouloir lui pr ciser si le droit de reprise instaur par l ar ticle L 411 58 du code rural est applicable lorsque le bailleur est une pe
302. oqu R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avenants tarifaires convention natlonale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s Interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Par ailleurs en applicstion des dispositions i l srr t du 2 janvier 1986 modifi il appartient la Commi sion permanente de la nomen clature g n rale des actes professionnels de falre des propositions au ministre charg de la s curit sociale sur les actualisations de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour exs miner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonction nelles effectu s notamment notamment par les masseurs kin sith rspeutes La commission a fait parvenir l administra tion des propositlons qui font actuellement l objet d une tude par les setvices cms Professions param dicales infirmiers et infirmi res 33606 17 septembre 1990 M Gilbert Millet expose M le miaistre de la solidarit de la saat et de la protection sociale le m contentement des infirmi res lib rale
303. ord s depuis 1983 Or il semblc que la r partition de ces moyens suppl mentaires dcs Z E P ne permet pas certains ta blissements et notamment ceux qui sont hors d veloppement social des quartiers d assurer l enseignement le soutien et les activit s p riscolaires comme ils le faisaient pr c demment Par ailleurs une indemnit sp ciale de suj tion avait t promise aux enseignants de ces m mes tablissements en avril 1989 La fai blesse des cr dits imput s au rectorat ne permettra de verser cette indemnit qu au tiers des enseignants travaillant en Z E P Les autres devront attendre les exercices 1992 et 1993 pour en b n fi cier Elle lui demande en cons quence 1 le montant des cr dits Z E P dont b n ficie le d partement du Rh ne 2 la r partition et les crit res de r partition des moyens de fonctionnement Pur gogique aux diff rents tablissements du d partement 3 le montant et les modalit s d attributions de l indemnit sp ciale de suj tion aux enseignants Z E P du Rh ne Enseignement politique de l ducation 35373 12 novembre 1990 M Charies Ehrmann attire l at tention de M le ministre d Etat ministre de i ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur les graves incidents qui se sont produits dans un certain nombre d tablissements 1 lui fait part de son sentiment selon lequel force de vouloir ouvrir l cole sur l ext rieur d en faire un lieu de
304. orme Ces personnes compte tenu des fonctions des responsabilit s occup es aupr s des collectivit s territoriales par exemple des m mes conditions de reclassification que le per sonnel actuellement en activit aupr s de chaque exploitant Quelle sera la date de mise en application de cette reclassifica tion pour le personnel de cat gorie A Il lui demandc de bien vouloir lui apporter des pr cisions ce sujet T l phone raccordement Bouches du Rh ne 38552 12 novembre 1990 M G rard Longuet appelle l attention de M le ministre des postes des t l communica tlons et de l espace sur les conditions de desserte t l phonique de la zone industrielle chimique de Lavera Sud Martigues D apr s certains chefs d entreprise il semblerait que France T l com ait demand chaque entreprise souhaitant disposer de lignes t l phoniques soit une dizaine environ une avance sans initr t de 500 000 francs sur cinq ans 11 lui demande si ces ren seignements sont fond s et qu elle en est l explication au regard de la notion de service public 5212 T l phone facturation 35606 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibllle appelle l attention de M le ministre des postes des t l com munications et de i espace sur la situation des abonn s au t l phone ch meurs de longue dur e Elle lui pr cise qu un nombre important de ch meurs la recherche d un empl i ne peuvent fai
305. ort Carraz il lui demande les mesures qu il envisage de prendre pour d velopper les aides directes aux tudiants ainsi que les conditions de mise en place de l allocation d tude qui pourrait tre op rationnelle titre exp rimental au cours de la prochaine ann e universitaire R ponse Comme le Pr sident de la R publique et le Premier ministre l ont indiqu la Sorbonne le 26 juin 1990 tion des conditions de vie des tudiants figure au rang des prio rit s du Gouvernement pour d velopper l enseignement sup rieur l horizon de l an 2000 compte tenu de l accroissement dans les emande de formation manant de couches sociales de plus en plus larges Cet objectif se concr tise par le plan social en faveur des tudiants que le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports a propos d s le 19 juillet 1990 leurs organisations repr senta tives dans le cadre d une conceriation approfondie Ainsi en mati re d aides directes apr s une augmentation de 5 p 100 du montant des bourses d enseignement sup rieur la rentr e 1990 il est pr vu de d velopper et de rationaliser ce syst me notam ment par une meilleure prise en consid ration de la situation de l tudiant plut t que des membres de sa famille d j retenue le cas ch ant par d autres syst mes d aide sociale prestations familiales par exemple ou par le syst me fiscal Cette r orienta tio
306. os 27709 Jean Yves Autexier 28665 Jean Yves Autexier 30100 Jean Yves Autexier Communes urbanisme 35433 12 novembre 1990 M Jean Laurain appelle l at tention de M le ministre d i gu au logement sur l application de l article 7 de la loi n 89 550 du 2 ao t 1989 portant disposi tions diverses en mati re d urbanisme et d agglom rations nou velles L alin a 1V de cet article stipule que L expropriation des immeubles parties d immeubles installations et terrains ayant fait l objet d une d claration d tat d abandon manifeste peut tre poursuivie au profit d une commune dans les condi tions pr vues par le code de l expropriation pour cause d utilit publique L expropriation doit avoir pour but soit la construction de logements soit tout objet d int r t collectif relevant d une op ration de restauration de r novation ou d am nagement Il lui demande de bien vouloir lui indiquer si l immeuble acquis par une commune l issue d une proc dure d expropriation peut tre revendu un particulier int ress par le bien aux fins d ex tension de son logement l immeuble ayant fait l objet de la pro c dure tant accol au logement dont l extension est projet e et de lui pr ciser d une mani re g n rale dans quel cas un particu peut b n ficier d une telle proc dure d expropriation Logement logement social Paris 35448 12 novembre 1990 M Jean Yves Autexier demande M le mi
307. ossier qu a consacr l I N S E E l avenir des retraites Economie et statistique n 233 juin 1990 En effet il met en vidence que si aucune d cision n est prise le taux de cotisation devrait tre port de 16 3 p 100 actuellement 40 100 l an 2040 L IL N S E E pr conise une r forme en rofandeur du syst me des retraites et pour parer au plus urg nt a n cessit de constituer d s 1990 des r serves temporaires Cependant ce recours la capitalisation semble impossible r a liser dans le cas de certains salari s qui ne pouvant pargner pour s assurer un de retraite d cent seraient p na is s C est pourquoi il lui demande de lui pr ciser quel plan rigoureux entend il pr senter afin d assurer l avenir des retrait s sans remeitre en cause le syst me de solidarit entre les g n ra tions S curit sociale personnel 35543 12 novembre 1990 Jean Besson appelle l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur la d gradation du climat social les organismes de s cu rit sociale Il lui demande s il envisage de rem dier au manque de concertation maintes fois r clam e par les partenaires sociaux an niveau national et s il va ouvrir le dialogue pour r soudre au plus vite le contentieux latent depuis d j plusieurs ann es Retraites g n ralit s financement 35551 12 novembre 1990 Yves Coussaia attire l atten t
308. ouhaiterait obtenir une r ponse au regard des points voqu s R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es pa les parties conventionnelles Par ailleurs en application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la commission permanente de la nomen clature g n rale des actes professionnels de faire des proposi tions au ministre charg de la s curit sociale sur les actualisa tions de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans la cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonc tionnelles effeciu s notamment par les masseurs kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administra tion des propositions qui font actuellement l objet d une tude par les services D autre part les diff rentes organisations profes sionnelles d auxiliaires m dicaux ont formul diverses reprises v u de se voir doter d instances disciplinaires et de r gles pro fessi
309. our l attribution des r compenses au titre du perfection nement des r serves et en particulier quel nombre de points il faut un sous officier de r serve pour obtenir la m daille des services militaires volontaires chelon Bronze Arm e personnel 34642 12 novembre 1990 M Fra Grussenmeyer attire l attention de M le ministre de d fense sur le sort des personnels civils travaillant 1 suite des forces fran aises en Allemagne Une fois le des forces fran aises effectu ces salari s perdront la fols leur emploi leur logement et ie droit de s jour en Allemagne Certaines situations a annon cent particuli rement douloureuses Expatri s depuis parfois vingt ov trente ans nombreux sont ceux qui n ont point de chute en France En outre dans bien des cas chef de famille et conjoint perdront en m me temps leur emploi et iront augmenter le nombre de ch meurs fran ais 11 lui demande donc de lul communiquer les mesures qu il ne manquera pas de prendre afin de pourvoir au reclassement de ces personnes civila DROITS DES FEMMES Femmes politique l gard des femmes 34604 12 novembre 1990 M Christian Kert demande Mme ie secr taire d Etat aux droits des femmes de lui pr ciser la nature les perspectives et les ch ances des travaux du groupe de travail interminist riel sur les probl mes des femmes en milieu rural mis en place en juin 1990 et devant remettre un
310. ous ses enfants o devant les blocages gouvernementaux en appelle au Pr sident de la R publique pour que les droits des anciens combattants soient honor s et que leur minist re de tutelle ne soit pas tenu pour d suet 11 lui demande s il compte donner une suite si oui laquelle Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 34628 12 novembre 1990 M Yves Coussain attire l atten tion de M le secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur les revendications des cheminots anciens combattants En effet leur cahier revendicatif pr sente toute une s rie de mesures aussi bien au niveau g n ral que corporatif visant compenser les pr judices subis pendant les guerres par rapport leurs coll gues n ayant pas t soumis aux m mes obli gations En cons quence il lui demande quelle suite il entend r server ce dossier Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 35629 12 novembre 1990 Mme Monique Pzpon attire l attention de ie secr taire d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur le cahier revendicatif pr sent par l As sociation nationale des cheminots anciens combattants l occa sion de sa campagne nationale pour compenser les pr judices sp cifiques subis pendant les guerres par rapport leurs col l gues n ayant pas t soumis aux m mes obligations Elle lui demaade en cons quence de bi
311. p sent sur le financement du sport fran ais et du football en particulier En effet devant la baisse des enjeux sur le loto sportif il est question de taxer les retransmissions sportives t l vis es et de diminuer les dotations r gionales du Fonds national pour le d veloppement du sport allou es aux f d rations spor tives lui rappelle que le football sport populaire est acces sible tous les milieux avec un prix de licence parmi les plus faibles et qu il doit son rayonnement l action et au d vouement de dizaines de milliers de b n voles Ces mesures constitueraient une grave remise en cause de toute une mission socio ducative faveur de la jeunesse pr s d un million de pratiquants ont moins de vingt ans En cons quence il lui demande quelles sont ses intentions afin d attribuer au football des cr dits suffisants pour continuer ses actions de masse Sports football 35664 12 novembre 1990 M Jean Proriol attire l atten tion de M le secr taire d Etat ia jeunesse et aux sports sur la tr s vive motion exprim e par les pr sidents des ligues r gio nales de le f d ration fran aise de football face aux menaces qui p sent sur le financement du sport francais et du football en particulier En effet devant la baisse des enjeux sur le loto sportif i est question de taxer les retransmissions sportives t l vis es et de diminuer les dotations r gionales du Fonds national pour le d veloppe
312. par les ve ves de com battants prisonniers de guerre et de combattants d Alg rie Tunisie et Maroc d tre admises l Office national des anciens combattants en remplacement de leurs poux d c d s et cela leur vie enti re Il lui demande en cons quence de lui indiquer les mesures qu il compte prendre en leur faveur Anciens combattants et victimes de guerre offices 35633 12 novembre 1990 Jean Proriol attire l atten tion de M ie secr talre d Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur le souhait exprim par les veuves de com battants prisonniers de guerre et de combattants d Alg rie Tunisie et Maroc d tre reconnues leur vie durant ressortissants de l Office national des anciens combattants et victimes de guerre 11 lui demande quelles sont ses intentions en ce domaine 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5187 p Anciens combattants et victimes de guerre offices 35634 12 novembre 1990 M Yves Coussala attire l atten tion de M le 21 d Etat aux anclens combattants et victimes de guerre sur le souhait exprim par les veuves de com ba ants prisonniers de guerre et de combattants d Alg rie Tunisie ei Maroc d tre reconnues leur vie durant ressortissants de l office national des anciens combattants et victimes de guerre lui demande quelles sont ses intentions en ce domaine Anciens combattants et victimes de guerre offices 35535 12 novembre
313. pas g n rateurs de surendettement Ce sont en effet les pr ts la consommation contract s post rieurement aux pr ts immobiliers qui sont l origine des situations de suren dettement Enfin il apparaitrait que pour diminuer l impact n gatif du d sengagement de l Etat on diff rerait des autorisa tions ce qui permettrait d affirmer tort que la demande subit une forte r gression Aussi il lui demande de lui faire connaitre les mesures que dans un souci de justice et d quit il compte PTS pour permettre nouveau une v ritable accession sociale la propri t Groupements de communes finances locales 35595 12 novembre 1990 M Aiain Rodet attire l atten tion de M ministre d Etat ministre de i comomie des fiaances et du budget sur la liste des b n ficiaires du fonds de compensation de la T V A fix e limitativement par la loi L en semble des collectivit s locales leurs regroupements leurs ta blissements publics les syndicats mixtes constitu s des pr c dents b n ficiaires peuvent pr tendre au b n fice du fonds de compen sation de la T V A sur leurs investissements Il apparait qu il n en est pas de m me pour les syndicats mixtes comprenant des chambres consulaires Or ces syndicats mixtes se voient dans la plupart des cas attribuer des comp tences identiques aux b n fi ciaires pr cit s et leurs staiuts permettent de les classer soit en tablissements publics industriels
314. politique de concertation active entre consomma teurs et professionnels se pr occupe d am liorer les conditions d exercice de la repr sentation des consommateurs dans les ins tances cr es par les pouvoirs publics 11 est notarsment sensible au fait que dans cette concertation les repr sentants des profes sionnels peuvent quant eux inscrire leur participation s le cadre de leur activit professionnelle normale L ventualit de la cr ation d un cong repr sentation fait donc l objet d une m avec ies repr sentants des consommateurs et des profes sionnels PR CULTURE COMMUNICATION ET GRANDS TRAVAUX Propri t intellectuelle droits d auteur 31276 9 juillet 1990 M Germain Gengenwis attire l at tention de M le misistre do la cultur de 1 communication een travaux et du Bicentenaire sur la mise en place de minima de versements touchant plus particuli rement les assoc a tions organisant de petites manifestations caract re culturel ou convivial sans but lucratif Aussi il lui demande s il compte prendre des mesures pour que la redevance S P R E ne s ap plique pas en dessous d un montant minimal de versement annuel la S A C E M par exemple 3 000 francs R ponse La S P R E Soci t civile pou ia ion de la r mun ration quitable de la communication au public des pho nogrammes du commerce a t cr e conform ment au titre IV de la loi du 3 juillet 1985 par les soci t s d a
315. port de la commission permanente de la Nomenclature des actes professionnels concernant la refonte du titre XIV relatif la r ducation et la r adaptation fonctionnelles est sur le bureau du ministre depuis septembre 1989 11 a t r dig par des experts la comp tence reconnue apr s deux ans de travail Dans une r ponse r cente le ministre de l2 solidarit de lu sant et de la protection sociale semble mettre en cause la qualit de ce travail pour expiiquer la longueur de l examen de cette ques tion par ses services I1 lui demande donc combien de mois lui semblent n cessaires pour prendre enfin position sur la r forme de cette nomenclature Par ailleurs les professions param dicales attendent toujours que soit d battu le projet de juridiction pro fessionnelle les concernant 11 demande en outre quand ce projet sers inscrit l ordre du jour du Parlement ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 R ponse En lication des dis 25 janvier 1986 modifi il pudet la Commission perma 1 de la nomenclature g n rale des actes professionnels de faite dea propositions au ministre charg de la s curit sociale sur les a tualisations de la nomencisture qui lui apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les actes de r uca ion et de rtadaptation fonctionnelles ef
316. pour la branche transport d pendant du minist re du transport Or actuellement apr s mutations il y a plus d un an et la d mission d un autre il ne reste en tout et pour tout que trois postes occup s sur les sept postes budg tis s Cette situation est dangereuse pour les salari s des secteurs concern s En cons quence il lui demande les mesures qu il entendre prendre pour rem dier au plus vite cet situation en pourvoyant comme il se doit les postes existants Minist res et secr tariats d Etat travail emploi et formation professionnelle services ext rieurs 35672 12 novembre 1990 M Fablen Thl m attire l atten tion de M le ministre du travall de l emplol et de la forma tlon professionnelle sur la situation de l inspection du travail dans le sud du d partement du Nord et particuli rement l arron dissement de Valenciennes Normalement ce service est dot de six postes d inspecteurs du travail auxquels s ajoute celui d un inspecteur pour la branche transport d pendant du minist re du transport Or actuellement apr s mutation il y a plus d un an et la d mission r cente d un inspecteur il ne reste que trois postes occup s sur les sept postes pris en compte par le budget Aussi il emande ce qu il compte faire afin de rem dier cet tat de ait 3 R PONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS CRITES ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 INDEX ALPHAB TIQUE DES D PUT S AYA
317. pr parer S curit civile politique et r glementation 35936 12 novembre 1990 M Adrien Zeller souhaite attirer i attention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur aur le d cret du 31 juillet 1990 portant sur l organi sation des corps de d fense En effet les sapeurs pompiers i i i i i e iii er e i i OS er OM ra riii a prn HUI E P ri a PME e lr or I I gi HP HIE P is HP AI TTE volontaires manifestent une inqui tude l gitime et s interrogent sur la composition l organisation et le commandement futur de ces corps de d iense La disponibilit le d vouement et la connaissance du terrain des apeurs pompiers volontaires restent indispensables dans l action de sauvegarde de la s curit des per sonnes et de lutte contre les catastrophes naturelles ce qui jus tifie une association plus troite de ceux ci la constitution et l organisation des corps de d fense dans le souci d une coordina tion plus efficace De m me les jeunes volontaires devraient ouvoir tre affect s en priorit aux futurs corps de d fense Il ui demande si un r el dialogue avec les organismes repr sen tatifs des sapeurs pompiers volontaires afin de clarifier la situa tion et de chercher ensemble des solutions au malaise existant est envisag dans des d lais rapproch s Communes domaine public et domaine priv 35561 12 novembre 1990 M Jean Marie Demange attire l
318. r ducateurs Ceux ci attendent en effet deux d cisions essentielles l exercice de leur profession d une part la signature de l accord intervenu avec les caisses d assu rance maladie sur la revalorisation tarifaire d autre part le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie 11 lui demande de bien vouloir lui faire conna tre sous quel d lai il Fa de prendre ces d cisions dont l urgence apparait mani este Professions param dicales r asseurs kin sith rapeutes 31555 16 juillet 1990 M Bernard Carton atire l atten tion de M le miaistre de ia soildarit de ia sant et de la protection sociale sur la r actualisation de la nomenclature des actes des kin sith rapeutes Un projet de nouvelles nomenclature des actes de r ducation a en effet t approuv le 20 sep tembre 1989 par la commission permanente de la nomenclature mais est rest aans suite Parall lement depuis mars 1988 les tarifs dea kin sith rapeutes sont demeur s inchang s lui demande de lui indiquer comment il entend donner une issue aatisfaisante ce dossier Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31560 16 juillet 1990 M Louis Mexandeav appelle iat tention de M le mlaistre de la solidarit de la sant et de la ection sociale sur les pr occupations que connaissent les masseurs kin sith rapeutes r ducateurs En effet il apparait que d une part le proie de nouvelle nomenclature des actes
319. r ce jugement serait en contradiction avec la jurisprudence corstante d gag e par la Commission d acc s aux documents adminisifaiifs C A D A En cons quence il souhaiterait avoir son avis sur c t aspect du droit la communication Etrangers cartes de s jour 35437 12 novembre 1990 Mme Christiane Mora attire l attention de M ie ministre l iat rieur sur une mesure dont il serait souhaitable qu elle soit prise tr s rapidement par le Gou vernement il s agit de permettre des stagiaires trangers cadres d entreprise ou agents de maitrise venant dans les uni versit s francaises pour des formations professionnelles d obtenir sans difficult une carte de s jour En effet les visas pour tudes tant attribu s par les ambassades mais les cartes de s jour d li vr es par les pr fectures comme chacun le sait ces derni res exi gent l inscription en universit dans des dipl mes d Etat en for mation initiale pour la d livrance des cartes de s jour cela exclut d office les tudiants inscrits des dipl mes d universit venant en France en tant que stagiaires de la formation profes sionnelle Or les universit s et nota ment les instituts universi taites et technologiques ont d j et auront l avenir de plus en pur de demandes de la part des stagiaires trangers pour des ormations professionnelles 11 lui demande de bien vouloir lui dire quelles mesures il peut prendre dans un d lai rapi
320. r si dence 11 convient de souligner que les nouvelles affectstions de toua ces agents sont situ s dsns le d partement du Nord Ces agents ont b n fici des mesures d apaisement prises l occasion de la signature du protocole d accorr du 9 juillet 1990 relatif la r forme des En cons quence les dossiers des agents concern s oni t expurg s des l ments relatifs aux sanctions intervenues Postes et t l communications courrier 33930 1er octobre 1990 M Roland Nu F attire l at tention de M le ministre des postes des t uaications et de l espace sur le fait que les institutions et grands services publics attendent a p riode des vacances pour diffuser les revues brochures et upports concernant leurs activit s Non seu lement celles ci n rcrivent pas facilement leurs destinataires souvent en d plac ment mais surtout elles aggravent les diffi cult s de l administation des P T T qui est d j surcharg e cette p riode de l annse Il lui demande s il ne serait pas possible d inviter les organismes int ress s diffuser leurs publications en dehors des p riodes de cong s R ponse La poste est tenue de distribuer tous les jours ouvrables le courrier qui lui est confi 1i lul appartient d ajuster son organisation et ses moyens au trafic d et non l inverse Elle ne peut pas intervenir dans le fonctlonnement des autres ser vices publics qui sont seuls juges de la date de cr ation e
321. r contre pas de m me pour l enseignement priv puisqu aucune des trois mesures les ne importantes ne leur est actuellement applicable s agit de int gration des certifi s qui est attendue depuis septembre 1989 de l acc s l chelle des professeurs des coles et du reclasse ment de certains auxiliaires Ce sont 120 000 maitres des coles des coll ges et des lyc es priv s qui attendent la r alisation des engagements qui ont t pris et dont ils devraient tre b n fi claires Il lui demande quand ces engagements seront tenus Parlement relations entre le Parlement et le Gouvernement 35542 12 novembre 1990 M Charles Mlossec renouvelle M le ministre d Etat ministre de i ducation natiomale de ia jeunesse et des sports les termes de sa question crite n 5398 parue au Journal officiel D bats parlementaires Assem bl e nationale Questions du 21 novembre 1988 page 3295 rela tive l abseace d allocations d tudes pour les l ves instituteurs de l enseignement priv Cette question malgr plusieurs rappels J O du 17 avril 1989 et du 4 d cembre 1989 demeurant tou jours sans suite il lui demande si apr s plus de vingt trois mois de r flexion il envisage de lui apporter une r ponse ou s il s es time dispens de pr ter attention aux interrogations des parle mentaires Enseignement priv financement 35581 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibilie appelle l attention
322. r la possibilit de pr voir une r duction des tarifs ferroviaires pour les invalides civils En effet les invalides civils ue disposent pour leurs propres d placements d aucune tarification sp cifique Ne serait il pas possible notam ment pou les courts trajets effectu s par les non voyants et ceux qui ne peuvent conduire un v hicule automobile de leur accorder une carte les autorisant circuler gratuitement sur le r seau S N C F Certains handicap s malgr leur handicap peuvent voyager sans accompagnement par cons quent cette mesure serait tr s tile Architecture enseignement 35430 12 novembre 1999 M Hubert Gouze appelle l at tention de M ie ministre de quipement du iogement des transports et de ia sur le n cessaire d veloppement de l en seignement de l architecture dans notre pays 1 lui demande s il envisage dans cette perspective de proposer la sepr sentation nationale une loi de programmation budg taire pluriannuelle Architecture enseignement 38431 12 novembre 1990 M Jacques Guyard attire l at tention de M ie ministre de l quipement du iogement des transports et de ia mer sur la formation des tudiants en archi tecture dans la perspective des ch ances europ ennes de 1993 En effet l enseignement sup rieur de l architecture est d fini par le d cret du 9 avril 1984 compl t par les directives europ ennes sur l architecture du 10 juin 1985 entr es en vig
323. rable parlementaire Pur 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 6227 ailleurs les associations qui rencontrent des difficult s d ordre administratif peuvent aux fins d explication des formalit s mais galement de ls r glementation en vigueur tou jours prendre un contact utile avec l U RS S A F dont elles d pendent Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33497 10 septembre 1990 Roland Blum attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de 1a saat et de la protection sociale sur l appel lanc par le syndicat national des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs au sujet de l augmenta tion de leur lettre clef et de l agr ment de la nouvelle ture des actes issue d un accord entre les syndicats repr sentatifs de la profession de la C N A M et de la commission g n rale des sctes professionnels Depuis plusieurs snn es le pouvoir d achst de ces agents de sant ne cesse de se d t riorer Les frais d instsllation de inaintenance vont croissant Par contre les pres criptions des m decins tendent vers une mod ration en nombre A cela s ajoute un d s quilibre enregistr par l arriv e dans cette profession d un nombre plus grand de nouveaux dipl m s non compens par des d parts en retraite proportionnels Devant l in qui tude manifest e il lui demande quelles dispositions il envi sage de prendre l gard du probl me v
324. raite est on reuse puisqu elle prive les r gimes d assurance vieillesse de cotisations vers es autrefois par les retrait s en activit sans dif f rer pour autant l ge effectif de d part la retraite qui n a cess de baisser au cours des r centes ann es 1 apparait de plus que cette limitation est inefficace tant au plan social qu au plan conomique car elie a des cons quences contraires aux buts recherch s La l gislation visait en effet une diminution du ch mage en offrant les postes lib r s par les retrait s des actifs la recherche d un emploi Or force est de constater que le nombre des commer ants actifs n a pas augment cu contraire Par ailleurs si l on peut esp rer que le d part la retraite d un salari entrainera l embauche d un nouveau salari il n en va pas du tout de m me dans le cas de commerces qui ont du mal trouver ur repreneur La fermeture du fonds non seulement ne lib re dans ce cas aucun emplo mais peut ventuellemer t favo riser le licenciement d employ s Ces fermetures fr quentes en zone rurale accentuent de plus ie mouvement de d sertification des campagnes En cons quence il lui demande s il ne lui parait pas opportun de ne pas reconduire la l gislation actuelle qui expire au 31 d cembre 1990 En tout tat de cause la libert de cumul telle qu elle existait autrefois devrait tre r tablie au moins partir de l ge de soixante cinq ans Retraites r gi
325. rangais Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 35652 12 novembre 1990 Mme Elisabeth Hubert appelle l attention de Mme le secr taire d Etat ia famille et aux rsonnes g es sur les lacunes concernant la perception de l al ocation pour jeune enfant et l allocation parentale d ducation A P E En effet cette A P JE n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du premier anniversaire des enfants leurs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serve de condition de ressources la famille ne touche qu une A P J E La cons quence est la suivante une famille de jumeaux perd 20376 francs une famille de tripl s perd 40 752 francs une famille de quadrupl s perd 61128 francs une famille de quintupl s perd 81 504 francs une famille de sextupl s perd 101880 francs sur ces deux ans bar me au ler janvier 1990 De plus l allocation parentale d ducation n est pas cumulable avec l A P JE La famille doit choisir la plus int ressante des deux Dans tous les cas la famille de misiles per oit de ces deux prestations la m me somme qu une famille naissance unique On ne tient pas compte du nombre des enfants lever ce qui est pour le moins un para doxe en pleine p riode de r cession d mographique Elle lui demande une modification de l application de ces deux presta tions familiales afin que les familles n
326. rd intervenu avec les caisses d assurance maladie n a toujours pas t ent rin par le Gouvernement D autre part la derni re nomenclature des actes date de 1972 11 est vident que depuis cette date les techniques ont volu de telie sorte qu il n est plus possible d appliquer les m mes traite ments lui demande donc dans quels d lais il compte traiter ces deux dossiers Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 29426 4 juin 1990 M Pierre Brana attire l attention de M k ministre de solidarit de la sant et de la protection sociale sur deux d cisions concernant les kin sith rapeutes Le premier concerne 15 valeur de la clef A M M qui n a pas volu depuis mars 1988 comme le pr voyait le texte de la convention nationale les n gociations tarifaires avec les caisses d assurance maladie se sont engag es d s le mois d avril 1989 et un accord sur la base de la revalorisation tarifaire est intervenu Cet accord n a pas encore t ent rin et les kin sith rapeutes lui ont fait part de leur souhait de connaitre la position du Gouvernement ce sujet Le deuxi me dossier concerne la nomenclsture des actes de kin sith rapie En effet ce texte vot par la commission per manente de la nomenclature n attend plus que l avis de M le ministre L int r t du malade semble directement concern puisque ia derni re nomenclature date de 1972 et que depuis cette date les techniques ont
327. re 1988 M Henri Bayard appelle l atten tion de M le ministre d l gu aupr s du ministre d Etat miaistre de l conomie des finances et du budget charg du budget sur l assujettissement la taxe d habitation des maisons de retraite et r sidences pour personnes 2g es Cette situation est tout fait paradoxale dans la mesure o les occupants sont g n ralement exon r s de cette taxe en raison de leurs ressources Il lui demande en cons quence s il n apparait pas n cessaire de revenir sur cette disposition 5232 ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Imp ts locaux d habitation 9796 20 f vrier 1989 Gilbert Millet appeile l atten tion de M le minisfre d anpr du miaistre d Etat aslaietre de l conomie des aces et budget charg du buds sur les effets perveis de l application de la taxe d habita aux maisons de retraite apparait que la taxation tablie sous une cote unique au nom des associations gestionnaires m me conventionn es au titre de l aide sociale entraine pour celles ci l obligation de r percuter le co t de cette imposition sur le prix de journ e seule fin de maintenir son quilibre finan cier alors m me que les r sidents occupent pas les locaux titre privatif La d cision des directions des aervices fiscaux implique donc une pates contraire aux dispositions de l ar ticle 1414 du code g n ral des imp ts les r sidents payant
328. re du jour Les professionnels concern s tr s m contents de la situation actuelle s inqui tent de ce report constant 11 souhaiterait donc savoir quelle date le Gouvernement entend inscrire ce texte l ordre du jour du Parle ment Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 35613 12 novembre 1990 M Paul Louls Tenallion attire l attention de le ministre des affalres soclaies et de la soll darlt sur le grand m contentement des kin sith rapentes r du cateurs d aux questions de revalorisation tarifaire Le Gouver nerient annonc au mois de juillet dernier ou il proc dait l tude des propositions formul es par les parties convention nelles Or le 22 janvier 1990 la Caisse nationale d assurance maladie s tait d clar e favorable sur cette demande de r valua tion de la lettre cl AMM II lui demande donc si le Gouverne ment ne peut pas ce jour se prononcer sur les propositions tarifaires conjointes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie Enseignement sup rieur examens et concours 35614 12 novembre 1990 M Jean Luc Pr el attire l at tention de M le ministre des affaires sociales et de la solide rit sur ia situation des assistants sociaux qui pour acc der leurs fonctions doivent suivre actuellement une formation de trois ann es apr s le baccalaur at en cole sp cialis e avec concours l entr e exam
329. re face au r giemen de leurs factures de communications t l phoniques Or il s av re que le t l phone est un moyen rapide pour r pondre des offres d emploi Elle lui demande en cons quence s il serait possible de permettre ces usagers d acc der aux num ros des services d urgence et de revevoir des appels Ces deux mesures ne se traduiraient pas par une augmentation des communications mais elles contribueraient ind niablement donner un visage plus humain l administration en faveur des personnes les plus d favoris es RECHERCHE ET TECHNCLOGIE Animaux protection 35668 12 novembre 1990 M Claude Galts attire tion de M le ministre de la recherche et de la technologie sur ie grave probl me que pose l exp rimentation animale pratiqu e par certains laboratoires pharmaceutiques notamment Le r cent d mant lement d un trafic d animaux en Ari ge illustre les abus qui sont commis dans ce domaine Certaines mesures visant restreindre ces exp rimentations et d velopper des m thodes substitutives ont t prises mais se r v lent insuffisantes 11 lui serait agr able de connaltre l tat d avancement des travaux de la Commission nationale de l exp rimentation animale charg e de faire des propositions et que soient pr cis es les mesures qui peuvent tre rapidement prises pour renforcer le contr le tant au niveau des leveurs que des laboratoires RELATIONS CULTURELLES INTERNATION
330. res cr dits eux aussi fortement mobilis s comme ceux de la gestion sociale de roximit Elle lui demande en cons quence de bien vouloir lui indiquer les mesures qu il entend prendre afin de rem dier cet tat de fait pour le moins choquant Produits d eau douce et de la mer p che maritime 35371 12 novembre 1990 Raymond Marcellin appelle l attention M ie ministre d l gu mer sur les difficult s rencontr es par les poissonniers En effet leur march est per turb par les ventes des p cheurs plaisanciers lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour rem dier cette situation Transports maritimes personnel 35594 12 novembre 1990 M Raymond Marcellin appelle l attention de M le ministre d l gu amp ia mer sur la situation des dockers En raison de la crise du trafic maritime il apparalt que le statut qui r git cette profession s av re de plus en pius inadapt Aussi il lui demande quelle solution il envisage d ap porter ce probl me POSTES T L COMMUNICATIONS ET ESPACE Postes et t l communications personnel 35379 12 novembre 1990 M Michel Meylan rappelle M le ministre des postes des t l commaunlcations et de les pace qu aux termes de la loi portant r forme des postes et t l communications les personnels des nouveaux exploitants auto nomes de droit Sulis La Poste et France T l com restent fonctionnaires soumis aux titres 1 e
331. res europ ens fassent preuve cle vigi nce dans la reprise de leurs relations avec la R publique du ietnam Conf rences et conventions internationales convention relative aux droi s de l enfant 38554 12 novembre 1990 M Edouard Fr d ric Dupont signale M le ministre d Etat ministre des affaires tran g res qu l occasion du premier anniversaire de la convention relative aux droits de l enfant adopt e le 20 novembre 1989 par l assembl e g n rale des Jations Unies et ratifi e par la France le Gouvernement frangais a cru devoir faire une r serve l ar ticle 6 de cette convention lequel dispose Les Etats parties reconnaissent que tout enfant a un droit inh rent la vie Notre Gouvernement a officiellement remis au secr taire g n ral de l Organisation des Nations Unies notre d claration dite inter preme aux termes de laquelle cette convention notamment article 6 ne saurait tre interpr t e comme faisant obstacle l application des dispositions de la l gislation fran aise relative l Interruption volontaire de grossesse Cette r serve n a t faite ar aucun autre pays Il lui demande s il n estime pas contralre a tradition fran aise et chr tienne que pour affirmer que notre pays est champion de l avortement il ait pu se permettre lui seul une r serve au principe que tout enfant a un droit inh rent la vie AFFAIRES EUROP ENNES Audiovisuel politique et r glem
332. res sp cifiques statu taires dont peuvent b n ficier les fonctionnaires Cette impor tante am liorstion du rapport constant se tiaduira par la mise en uvre d un dispositif transparent automatique et incontournable et permettra denc de mettre fin aux contentieux qui sont apparus au cours des ann es pr c dentes Le d cret pris pour lica tion de cette mesure n 90 755 du 23 ao t 1990 a t publi au Journal iel du 25 ao t La commission charg e d mettre un avis sur la modification de la vaieur du point de pension sera mise en place Incessamment 111 Attribution du titre de battant volontaire de la R sistance C V R La loi no 89 295 du 10 mai 1989 qui permet aux demandeurs de carte de C V R dont les services n ont pas pu tre homologu s de pouvoir n anmoins voir leurs dosaiers examin s est le r sultant d une longue pr pa ration ainsi que d une longue consultation des anciens r sistants li en est de m me du d cret 89 771 du 19 octobre 1989 pris en application de l article 2 de la loi pr cit e Le secr taire d Etat avait particuli rement insist sur le contenu du futur d cret d ap ication lors de 18 discussion au Parlement du texte de loi elui ci adopt l unanimit a regu l avia favorable du Conseil d Etat si l une de ses dispositions avait t contraire la loi le Conseil d Etat n aurait donc pas manqu de la relever Enfin la commission nationale charg e de donn
333. riement des forces Fran aises en Allemagne Les cons quences de ia d tente sont dramatiques pour ces civils saiari s qui faute de client le risquent de perdre leur emploi leur logement et leur droit de s jour en Allemagne 1 lui demande s il envisage la mise en place d un plan social essentiei iement ax sur le reclassement du personnel Arme armements et quipements 35369 12 novembre 1990 M Francois L otard attire i at tention de M le ministre de la d fense sur le programme d avion de combat marine 11 iui demande ai la commande de quatre vingt six appareils actueiiement pr vue dars les versions pour couvrir le taux d attribution pr visible durant la avions nucl aire n 2 dont la n cessit devient imp rative r connaissance interception et attaque ne sera pas insuffisante riode de vie op rationnelle de et quelles sont les dispositions qu il compte prendre pour y rem dier Arm e armements et quipements 35390 12 novembre 1990 M Fran ols L otard attire l at tention de M le ministre de la d fense sur l abandon anrionc par les m dias de la composante sol sol balistique strat gique et ses cons quences sur la cr dibilit de la dissuasion nucl aire fran aise lui demande quelles sont les mesures envisag es pour maintenir les capacit s op rationnelles des forces nucl aires strat giques qui ne reposeraient plus que sur le seul d ploiement de nos sous ma
334. rincipe que la valeur de l usufruit d croit tandis que celle de la nue propri t augmente au fur et mesure qu l usufruitier devient pius g article 762 du code g n ral des imp ts Or ce bar me est fond sur des tables de mortalit du d but du si cle qui ne correspondent plus la r a lit en raison de l accroissement de la dur e de vie moycnne Aussi il lui demande s il ne serait pas utile de modifier le bar me afin de faciliter la croissance de ce type de transmission qui pourrait eu particulier tre utile pour la transmission progressive des entreprises R ponse Pour la liquidation des droits de mutation titre gratuit la valeur de la nue propri t et de l usufruit est d ter min e par une quotit de la valeur de la propri t enti re confor m ment au bar me fix l article 762 du code g n tal des imp ts quels que soient les droits r els transf r s par le dona teur 11 n est pas envisag dans l imm diat de modifier ce bar me Imp ts et taxes taxe annuelle sur les locaux de bureau lie de France 32406 6 ao t 1990 L article 14 de la loi de finances rectifi cative pour 1989 loi no 89 936 du 29 d cembre 1989 a institv une taxe annuelle sur lea locaux usage de bureaux situ s dans la r gion Ile de France destin e financer certains quipements dont une partie de la charge incombe l Etat Cette taxe est exigible le mars de chaque ann e compter de 1990
335. rins nucl aires lanceurs d engins Arm e armements quipements 35391 12 novembre 1990 M Fran ois L otard attire i at tention de M le ministre de d fense sur le progranime de modernisation des avions Crusader de i A ronavale Il lui demande si les dispositions prises au niveau du renforcemen de la celiule seront suffisantes pour assurer la s curit des pilotes notamment lors des catapultages et appontages En effet la modi fication de masse ou de centrage induite par les am nage nients pr vus nouveau si ge jectable l instal stion des syst mes de navigation et d armes Mirage 1 et l zlourdissement des structures de la cellule ainsi que la fragilit du train d atterris sage dc cet appareil qui devrait supporter une charge accrue paraissent hypoth quer l faisabilit de ce programme Arm e armements et quipements 38392 12 novembre 1990 M Fran ois L otard attire l at tention de M le ministre de la d fense sur le renvoi la pro chaine loi de programmation militaire de 1 commande du porte e par les missions op rationnelles de plus en plus fr quentes sssign es la marine nationale ainsi que par le vieillissement acc l r des porte avions Foch et Clemenceau qu elles entra nent Il lui demande quelles sont les dispositions qu il compte prendre afin d assurer l horizon 2000 2005 la permanence du d ploiement du groupe a ronaval qui n cessite la mise en l
336. ris connaissance du Livre blanc publi par l Association des paralys s de France concernant les d cisions ill gales ou arbi traires prises par les COTOREP ou les services d partementaux de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce docu ment montre une d rive inqui tante dans l application de 1a loi 11 lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont il assure la tutelle et par les services d pendant des conseils g n raux les dispositions pr vues ar les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en aveur des personnes handicap es Handicap s C D E S et COTOREP 35488 12 novembre 1990 M G rard Bapt attire l atten tion de M le secr taire d Etat aux handicapes et aax acci deat s de la vie sur le Livre blanc publi par l Association des paralys s de France concernant des d cisions arbitraires ou contestables prises par les COTOREP ou les services d parte mentaux de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document montre preuves LT une d rive inqui tante dans l application de 1 loi 1 lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont il assure la tutelle et par les services d pendant des conseils g n raux les dispositions pr vues par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des personnes handi cap es afin que cessent les entorse
337. rrn aise des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs L absence de prise de d cisiona les atermoiements du minist re provoquent chez ces profes aionnels une certaine impatience Ceux ci s tonnent qu autant de temps soit n cessaire tant pour tudier les propositions tarifsires conjoirtes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie que pur adopter une position sur la r forme de la nomenclature des actes professionnels Il lui demande les dispositions qu il entend prendre pour r pondre l attente des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34123 8 octobre 1990 M Philippe Saamarco attire l at tention de M le mlaistre des affaires sociales et de 1 solida rit sur ia aituation des masaeurs kin sith rapeutes en ce qui concerne ls r valuation de ieur cl A M M qui n a toujours pas t appliqu e malgr l accord sign entre la Caisse nationale d assurance maladie et les syndicats repr sentatifs de la profes sion Par ailleurs il lui rappelle le souhait des masseurs kin sith rapeutes de voir r viser au plus t t la nomenclature des actes professionnels relatifs la r ducation et 18 r adaptation fonctionnelle suite l accord pass entre ces m mes syndicats et la commission g n rale dea actes professionnels 11 lui demande de bien vculoir lui faire connaltre les suites qu il envisage de r se
338. rsonne morale de droit public Probl mes fonciers agricoles baux ruraux 35534 12 novembre 1990 M Fran ois Rochebloine fait part M le mialstre de l agriculture et de la for t de l in ui tude des preneurs bail du fait de l importante augmenta tion dans des proportions inacceptables du prix du bl servant au calcul des fermages Une telle hausse des charges intervient l heure o les prix de la plupart des produits agricoles sont en balsse et o l agriculture connalt de graves difficult s Il lui demande donc quelles mesures il compte prendre pour que les int r ts des bailleurs et des preneurs de bai soient pr serv s Agriculture exploitants agricoles 38546 12 novembre 1990 M Jacques Farran appelle l at tention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur l volution des projets visant instaurer en Fraiice un v ritable r gime de 1 pluriactivit permettant aux explo tants agricoles d exercer conjointement une activit salari e accessoire ou non de leur activit principale Divers textes ont jusqu alors permis d am nager de facon ponctuelle certains probl mes tels que le r gime des diverses cotisations sans cependant r pondre compl tement aux attentes du monde agricoie en la mati re La cr ation d un v ritable r gime de la piunactivit avec un dispositif fiscal et social sp cialement adapto cette situation serait de nature r pondre aux attentes des profe
339. rsonnel 35566 12 novembre 1990 M Michel Inchausp expose M le ministre de l agriculture et de la for t que le syndicat natlonal de l enseignement technique agricole public S N E T A P a appel son attention sur le fait que le pr c dent ministre de l agriculture aurait sign le 21 juin 1989 avec cette organisation syndicale un relev des conclusions portant sur la revalorisation de la situation des personnels de l enseignement agricole Ce texte pr ciserait en ce qui concerne le probl me de l int gration des adjoints de UE dans le corps des pro fesseurs certifi s Int gration des adjoints d enseignement dns le corps des certifi s en plus des possibilit s offertes actuelle ment Date d effet rentr e 1989 194 emplois su total ren tr e 1990 194 emplois au total Ces int grations se poursuivront jusqu en 1988 un rythme suffisant pour int grer tous les adjoints d nseignement dans le corps des certifi s Elles se font indice gal ou imm diatement sup rieur Le S N E T A P fait tat du fait que le minist re du budget se serait oppos cette d cision et n aurait propos la cr ation que de 64 emplois la rentr e 1989 et autant celle de 1990 il estime que le non respect de l engagement du ministre de l agriculture est inaccep table car il remet en question l indispensable confiance qui doit exister dans les engagements pris par un Gouvernement ainsi que la cr dibilit de la po
340. rsonnel Yvelines 38802 12 novembre 1990 M Pierre Lequilier attire l at tention de M ic ministre d Etat ministre de i ducation nationale de jeunesse et des sports sur la situation des pro fesseurs de la cat gorie des adjoints d enseignenient et plus par ticuli rement sur les inqui tudes des professeurs adjoints du lyc e agricole et horticole de Saint Germain en Laye En effet le ministre du budget a refus d appliquer d int grer l ensemble des adjoints d enseignement en deux ans dans le corps de professeurs certifi s du minist re de l agriculture Cet engagement tait convenu dans le relev de conclusions sign conjointement par le ministre de l agriculture et les repr sentants des personnels En cons quence il lui demande de bien vouloir lui pr ciser les mesures qu il compte prendre de facon prendre en consid ration les int r ts de cette cat gorie de personnel Enseignement priv personnel 38527 12 novembre 1990 Jacques Godfrain appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de i amp ucation nationale de jeunesse et des sports sur la d ception des maitres de l enseignement priv sous contrat qui constatent que la mise en uvre des conclusions sign es le 31 mars 1989 a pris un retard consid rable en ce qui les concerne En effet les d lais sont respect s s agissant des mesures nouvelles prises en faveur de l enseignement public n en est pa
341. rsque M le ministre de l int rieur r clame des cr dits fait fausse route Ce qui fait d faut aujourd hui c est la volont clairement affich e de d fendre les citoyens En un mot ce qui manque c est la volont politique Cantons limites 35607 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson attire l attention de M le ministre de l int rieur sur le fait qu une instruction a t adress e aux pr fets en leur demandant de pr arer un red coupage des cantons D s pr sent il apparait que es effectifs de certains conseils g n raux sont pl thoriques Sans contester la n cessit d un r quilibrage d mographique entre les diff rents cantons d un m me d partement il souhaiterait qu il iul indique s il ne pense pas qu il serait judicieux de proc der au d coupage susvis en essayant de ne pas augmenter le nombre des conseillers g n raux INT RIEUR ministre d l gu S curit sociale sapeurs pornpiers 38396 12 novembre 1990 M Ren Couannu appelle l at tention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur le nouveau statut des sapeurs pompiers tel ubll au Journal officiel du 26 septembre 1990 Les d crets du 5 septembre 1990 ne tiennent pas compte de la formation des sapeurs pompiers professionnels et volontaires Pourtant par lettre du 13 f vrier 1989 le ministre de l int rieur avait charg M Dupuls pr fet d une mission sur la formation des sapeurs pomplers
342. rtistes interpr tes Adami et Spedidam et les soci t s de producteurs de phono grammes S C P P et S P P F pour percevoir et ir ses membres la r mun ration pr vue l articie 22 de la loi pr cit e l occasion de la communication directe de phonogrammes du commerce soit dans un lieu public sauf dans le cadre d un apec tacle soit radiodiffusion cu distribution par c ble aimul tan e et int e A titre exceptionnel le l gislateur a institu cet effet une licence l gale au profit des utilisateurs afin d al l ger leurs contraintes de gestion notamment celles des radiodif fuseurs et ouvert un droit r mun ration dont les conditions de fixation rel vent de n gociations contractuelles par branche d ac tivit La commission r unie efiet compos e de repr sen tants des utilisateurs et des b n ficiaires a fix un bar me pour les lieux sonoris s qui s applique aux associations organisant des manifestations sonoris zs par la diffusion de musique enregistr e Ce bar me consiste en un pourcentage des redevances per ues par la S A C E M au titre des droits d auteur Pour tenir compte de ia diversit des activit s concern es dans le secteur des lieux sonoris s et de leur nombre la commission a estim n cessaire de mettre en piace un taux progressif qui est de 14 100 ur 1990 troisi me ann e d application de la d cision fixant le me Un minimum a galement t pr vu d un moriant
343. rver cea revendications Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34124 8 octobre 1990 M Jean Proveux attire l attention de M le miuistre des affaires sociales et de la solidarit scr la situation des maaseurs kin sith rapeutes Comme le pr voyait le texte dele Convention nationale des n gociations tarifaires se sont engag es d s le mois d avril 1989 avec les caisses d assu rance maladie Un accord est intervenu mais pas encore t ent rin le Gouvernement Par ailleurs un projet de nomencla ture des actes de kin sith rapie vot par la commission permanente de la nomenclature doit tre soumis l avis du minist re de la sant de la solidarit et de la protection sociale convient en effet de souligner le caract re obsol te de cette nomenclature qui n a pas t modifi e depuis 1972 malgr les progr s consid rables des techniques de traitement Il lui demande donc de lui faire connaltre les mesurea qu eatend e le Gouvernement pour r pondre l attente de cette pro ession Professions param dicales masseurs kin si h rapeutes 34236 8 octobre 1990 M Arnaud Leperceq rappelle M le ministre des affaires sociales et de 1 solidarit ia r ponse faite sa question crite n 27247 relative au yes de nomenclature des sctes de kin sith rapie La r ponse J O estions du 9 juillet 1990 indique que les pouvoirs publics tu dient actuellement de
344. rvice exig e pour l avance ment et la retraite Le service des objecteurs de conscience d une dur e de deux ans a t ins r dans le titre 111 du code du ser vice national par la loi no 83 605 du 8 juillet 1983 publi e le il juillet 1983 Les services accomplis depuis cette date par les fonctionnaires comme objecteurs de conscience peuvent tre pris en compte pour le calcul de l anciennet de service exig e pour l avancement et la retraite l inverse et en application du prin cipe de non r troactivit la loi ne s appliquant en l absence de dispositions expresses que pour l avenir les fonctionnaires ayant accompli leur service national en qualit d objecteurs de conscience entre le 21 d cembre 1963 date d application de la loi instituant le premier statut des objecteurs de conscience et le 11 juillet 1983 ne peuvent pr tendre b n ficier des dispositions de l article 63 Un grand nombre de fonctionnaires anciens objecteurs de conscience bien que se trouvant dans une situation objective comparable ayant accompli deux ann es de services civils au profit de la collectivit celle auxquels est reconnu ce droit se trouve exclu de son b n fice lui demande donc de bien vouloir lui faire part de son opinion sur cette question et de lui indiquer si le Gouvernement entend proposer au Parlement une de la loi permettant l ensemble des objecteurs de conscience de b n ficier des dispositions de l article 63 du
345. s l Etat de droit Handicap s C D E S et COTOREP 35489 12 novembre 1990 Mme Christiane attire l attention de M le secr taire d Etat handicap s et aux accident s de 1 vie sur la lecture du Livre blanc r alis par l Association des paralys s de France recensant les d cisions arbitraires ou ill gales prises par des COTOREP ou des services d partementaux de l aide sociale Les faits signal s prouv s par la reproduction de documents indiscutables sont inadmissibles dans la mesure o ils refl tent unc grave d rive dans l applica tion de la r glementation Elle lui demande d intervenir nergi quement aupr s des structures plac es sous sa tutelle et des ser vices d pendant des conseils g n raux et que leur soit rappel e l obligation du respect de la loi Handicap s allocation compensatrice 35617 12 novembre 1990 M Pierre Brama attire l atten tion de M le secr taire d Etat aax handicap s et aax acci dent s de la vie sur la situation des enfants handicap s ayant besoin de soins constants Face au handicap de leur enfant nom breux sont les parents qui souhaitent faire face la maladie et apporter les soins n cessaires domicile afin d apporter l enfant la vie familiale qui l aidera progresser et tre heu reux Mais aujourd hui l A E S est tr s insuffisante pour faire face des soina m dicaux tr s on reux et les familles ne sont vraiment aid
346. s 35582 ducation nationale jeunesse et ports 35583 ducation nationale jeunesse et sports 35584 ducation natio nale jeunesse et sports 35585 ducation nationale jeunesse et sporta 3 postes t l communications et espace 35608 affsires sociales et solidarit 35667 logement J Mme 35443 travail emploi et formation profession de Denis 35382 d fense 35383 Sant 35384 travail emploi et rofessionnelle 35385 ducation nationale jeunesse et s 387 sgriculture et for t 35388 affaires sociales et soli 35470 agriculture et for t 35478 d fense Jalla Didier 35420 conomie finances et budget 35421 int rieur 35422 affaires sociales et solidarit 35587 Premier ministre K Christian 35586 budget 35588 sant 35589 Premier ministre 35590 sffaires sociales et solidarit 34591 logement 35592 logement 35593 logement 34604 droits des femmes 35605 conomie finances et budget 35609 logement 35640 consommation 35665 justice Emile 35416 budget L Laberr re 35486 hsndicap s et accident s de la vie Laborde Jena 38465 int rieur Lan rain Edouard 34626 agriculture et for t Lapaire eee 35431 Jeunesse et sports Laarsia 35433 logement 35490 justice Le Meur Daaiel 35513 industrie et am nagement du territoire Lefort Jean Claude
347. s paralt tre la seule issue Enfin l accroissement du nombre des demandes rend absolument n cessaire la cr ation d un voire deux postes de greffiers suppl mentaires 11 lui demande les dis positions qu il envisage de prendte pour rem dier la situation qu il vient de lui exposer Justice fonctionnement Seine et Marne 33443 12 novembre 1990 M Alain Vivien attire l atten tion de M le garde des sceaux ministre de ia justice sur ta r alisation de la nouvelle cit judiciaire de Melun Cette op ra tion reconnue urgente par le minist re b n ficie du soutien de la municipalit de Melun un site de Tue proximit de la gare S N C F ayant t retenu li lui demande 1 si le lance ment des tudes et les acquisitions fonci res sont bien pr vues au budget 1991 titre V service judiciaire quipement 2 si la construction de la cit judiciaire pourra tre financ e par tranche partir du budget 1992 pn P HC I2 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5209 Justice conseils de prud hommes Moselle 35490 12 novembre 1990 M Jean Laurain attire l atten tion de M ie garde des sceaux ministre de ia justice sur la situation du conseil de prud hommes de Metz Alors qu une aug mentation constante du nombre d affaires est enregistr e dans cette jur
348. s allocation compensatrice 38659 12 novembre 1990 M Jena Claude Mignon attire l attention de M le secr talre d Etat aux handicap s et aax accident s do 13 vie sur la situation des parents d enfants handi de moins de vingt ans ayant d cid de garder leur enfsnt leur domicile Le plus souvent l un des parents devra cesser toute activit professionnelle pour prodiguer les soins n cessaires et ne b n ficiera alors que d une allocation d ducation sp cis lis e d un montent de 1948 francs par mois Ainsi le montant actuel de l A E S ne permet il pas d assurer des conditions de vie correctes un enfsnt hsndicap soign domicile 11 lui demande par cons quent quelle mesure il entend prendre afin lus an d am liorer les dispositions de loi de 1975 dans un sens favorable aux familles d cid es affronter a maladie ou le dicap de leur enfant Handicap s C D E S et COTOREP 38660 12 novembre 1990 M Lombard attire l atten tion de M le secr taire d Etat aux handicap s et aux accl deat s de 1 vie sur le livre blanc publi par l Association des paralys s de France qui reprend les d cisions ill gales ou arbi traires prises par les COTOREP ou les services d partementaux de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce docu ment montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l ap plication de la loi 11 lui demande quelles mesures il envisage
349. s masseurs kin sith rapeutes 29399 4 juin 1990 M Fran ois Rochebloine appelle l attention de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la protection aociale sur les probl mes dec masseurs kin sith rapeutes lui rappelle qu un accord est intervenu entre les organisations repr sentatives de ces derniers et les caisses d assurance maladie pr voyant pour 1989 une r valuation de la valeur de la lettre clef AMM mais que cet accord n a pu entrer en vigueur du fait de l opposition des minist res de tutelle 11 lui indique que cette situation cause un pr judice sensible aux mas seurs kin sith rapeutes dont les charges globales ont sensiplement augment au cours des derni res ann es 11 lui rappelle galement que la commission permanente de la nomenclature r cemment adopt une nouvelle nomenclature des actes de kin sith rapie sans que le minist re de la solidarit ait donn l aussi l accord indispensable 11 lui demande quelles mesures rapides il envisage de prendre pour r soudre les probl mes ainsi pos s aux masseurs kin sith rapeutes et leurs patients t Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 29417 4 juin 1990 M Alain Madelin attire l attention de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la protec tion sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs La valeur de la lettre clef A M M n a pas volu depuis 1988 car l acco
350. s ajoutent les charges augmentatives du prix ou par la valeur v nale du bien si elie est sup rieure cette valeur tant appr ci s ind pendamment du prix de revient Enfin la taxe due au titre de ces cessions sera d ductible par l acqu reur dans les conditions de droit commun Enregistrement et timbre partages 32338 30 juillet 1990 M Jean Frasncois Muncel appelle l attention de M le ministre d l gu aupr s du miuistre d Etat ministre de l conomie den finances et du budget charg du budget sur le r gime fiscal de l indemnit offerte au copartageant l s Pt l autre copartageant qui veut arr ter l ac tion n rescision du partage en offrant le suppl ment de tion h r ditaire conform ment l article 891 du code civil Il lui demande de lui indiquer si dans ce cas s applique le droit de partage de 1 p 100 ou celui des droits de mutation en ligne irecte R ponse Lorsqu un partage est attaqu par voie de rescision l aricle 891 du code civil permet au d fendeur d en arr ter le cours en offrant et en fournissant au demandeur le suppl ment de sa portion h r ditaire soit en num raire soit en nature Dans cas et sous r serve que les droits de mutation par d c s et le droit de partage aient t r guli rement liquid s sur la valeur v nale des biens de la succession il est per u soit le droit fixe pr vu l article 680 du code g n ral des imp ts sur l acte qui constate l
351. s allocations susceptibles de maintenir domicile ies personnes g es et les personnes handicap es A ce jour aucune mesure nouvelle dans ce domaine n a t prise hormis la lettre circulaire du 25 mai 1990 tendant g n raliser le versement de l allocation compensatrice aux personnes g es h berg es en centre de long s jour M Henrl Bayard sollicite qu un d bat s instaure sur a finalit de l allocation compensatrice qui selon l esprit de la loi du 30 juin 1975 en faveur des per sonnes handicap es doit concourir au maintien domicile de cette population et non contribuer au financement d h bergement d s personnes g es Il demande M le miaistre des affaires et de solidarit quelles sont ses intentions en la mati re Famille politique familiale 35621 12 novembre 1990 M L on Vachet attire l atten tion de M le ministre des affaires sociales et de la solidarit sur le probl me de l aide domicile chez les familles nais sances multipies effectu e par les travailieuses familiaies ou les aides m nag res La r ponse de Mme le secr taire d Etat charg de la famille ma question n 26314 parue au Journal officiel du 11 juin 1990 semble m connaitre le probl me En effet les famille nombreuses sp cifiques vivent une carence des pouvoirs publics au nom de la d centralisation 1 le budget de l action sociale des C A F est limit et n am iiore qu en partie ie probl
352. s de courses cyclistes du fai des cotisations sociales r clam es par l U R S S A F sur les prix distribu s l issue des preuves amateurs Les b n voles qui organisent les courses ne sont pas habitu s aux diverses d clarations adminis tratives et sont d courag s 11 est donc demand s il ne peut tre envisag de mettre en place un syst me simple et co teux de cotisations sociales de nature ne pas aboutir ia disparition des courses cyclistes amateurs tout en permettant aux coureur cyclistes concern s de faire valider l assujettissement aux cotisa tions sociales pour le calcul de leur retaite R ponse L assujetticsement cotisations sociales des prix distribu s l issue d preuves cyclistes auxquelles participent les amateurs r suite des dispositions des articles L 311 2 et 1 242 1 du code de ia s curit sociale et de leur interpr tation par les tribunaux Cass soc 7 f vrier 1974 U R S S A F de l Eure ci Anquetil Cour de cassation 14 Novembre 1988 V lo Club Lexo vien c U R S S A F du Calvados Conscient des difficult s pos es par l application de ces dispositions l encontre des petiis clubs cyclistes et des petites associations sportives en g n ral le ministre charg de ia s curit socisle a charg les services comp tents de mener une tude visant mieux hender le statut social des r tributions susvis es La conclusion de cette tude sera port e la connaisaance de l hono
353. s de kin sith rapie qui n a pas encore t pris en compte par le minist re alors m me que la nomenclature actuelle date de 1972 et que les techniques ont consid rablement volu depuis cette poque 11 lui demande en cons quence quelles sont les intentions concernant le r glement de ces deux dossiers Professions param dicales masseurs kin sith ra eutes 32692 6 ao t 1990 M Jean Jacques Jegou attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de sant et de la protection sociale sur 12 situation des kin sith rapeutes En effet la r zctualisation de ia nomenclature des actes de r duca tion pour laquelle un projet a t tabli approuv le 20 sep tembre 1989 par la commission permanente de la nomenclature n a toujours pas t appliqu e De m me la revalorisation de leurs honoraires n est toujours pas appliqu e et ce depuis mars 1988 Il lui demande donc quelles sont les intentions des pouvoirs publics pour le r glement de ces deux questions Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32989 20 ao t 1990 M Jean Fran ois Mattel attire l at tention de M ie mlalstre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la situation des kin sith rapeutes En effet cetie profession attend toujours une r actualisation de la nomenclature des actes celle en cours datant de 1973 ainsi qu une revalorisation de la valeur de la lettre cl inch
354. s devant 1 d valorisatlon de leur lettre cl qui conduit un certain nombre d entre elles augmenter consid rablement leur charge de travail pour maintenir leur d achat Dsns ces conditions le fac teur temps qui repr sente un des crit res de qualit de leur pra tique se trouve gravement mis en cause l heure o s lsrgit le champ de leur mission Notamment la prise en charge des per sonnes g es leur domicile n cessite de leur part la comp tence ui les caract rise mais aussi la disponibilit et l coute La valorisation morale et mat rielle de leur profession conduit d valoziser aussi ics alternatives l hospitalisation et la politique du maintien domicile Il lui demande en cons quence quelles voie ll compte prendre pour r pondre leur juste revendica tion R ponse La revalorisation de la lette cl AMI qui r mun re l activit des infirmiers et des infirmi res est effectu e par le bials d avenants tarifaires la convention nationale de la profession n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles En applica tion des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la commission permanente de la nomenclature g n rale des actes professionnels de faire
355. s et les d partements qui sont les victimes de projets et d cisions incoh rents et inexplicables Il lui demande donc de rapporter cette suppression ou tout le moins de pr voir une dotation pour contrebalancer cette charge suppl mentaire pesant sur les communes et d partements 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5197 ENVIRONNEMENT PR VENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES ET NATURELS MAJEURS Animaux naturalisation 35480 12 novembre 1990 M Fran ois Michel Gonnot attire l attention de M ie ministre d l gu l environnement et ia pr vention des risques technolo es et natureis majeurs sur les probl mes de r glementation auxquels se heur tent les taxidermistes professionnels dans l exercice de leur pro fession Les arr t s du 17 avril 1981 interdisant ia naturalisation des sujets prot g s m me morts accidentellement et la naturalisa tion de tous les must lid s m me class s nuisibles Contraire ment aux apparences ce texte ne va pas dans le sens de l int r t de la d fense de ia nature On doit en effet d plorer que de plus en plus d animaux se font tuer accidentellement sur les routes Ces animaux morts ne peuvent pas tre ramass s en raison de cet arr t du 17 avril 1981 de nombreux pr dateurs trouvent leur nourriture sur les routes et se font galement tuer accidentel lement Afin de limiter ce carnage et poui venir en aide la rofession des taxidermistes qu
356. s il est envisag l occasion du d bat sur l instauration de 1 cotisation sociale g n ralis e pr vu l au tomne d voquer l hypoth se d un contr le parlementaire sur les r gimes sociaux R ponse L iastitution d une contribution sociale g n ralis e permettra de renforcer le r le du Parlement dans la d termina tion des grandes orientations de la protection sociale Comme l indique l expos des motifs du projet de loi adopt par le 1 des ministres du 3 octobre 1990 1 repr sentation natio nale fixera le taux de la C S G La transparence des choix sur les ressources et d penses des r gimes sociaux y gagnera sans que soit remis en question le mode des partenaires sociaux dans 1 gestion des organismes de s curit sociale AFFAIRES TRANG RES Politique ext rieure Viet Nam 31163 9 juillet 1990 Alors que les mesures adopt es par le gouvernement fran ais l gard de l Afrique du Sud semblent aujourd hui porter leurs fruits on est en droit d attendre des mesures similaires pour amener le r gime stalinien de Hanoi respecter les droits de l homme Or la r alit de notre politique trang re est contraire cette logique puisqu elle encourage et d veloppe nos relations avec le Viet Nam A l Assembl e natio nale le 11 avril 1990 le secr taire d Etat l action humanitaire d clarait Nous devons d velopper nos relations avec le Viet Nam et faire en sorte que ses ressortissant
357. s le cadre de ses travaux la commlasion a d sign un rapporteur pour exa miner les modifications apporter la nomenclature ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonction nelles effectu es notamment par les masseurs kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administration des propositions qul font actuellement l objet d une tude par les services Par ail leurs les diff rentes organisations professionnelies d auxiliaires m dicaux oat formul diverses reprises ie v u de se voir doter ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 d instances disciplinaires et de r gles professionnelles dont l ap lication interviendra par d cret Aussi les travaux men s en col aboration trolte avec les repr sentants des diff rentes profes sions int ress es au sein des groupes de travail qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils ebouti un projet de loi actuellement soumis l examen de la commission des affaires culturelles fsmiliales et sociales de l Assembl e nationale Enfin en ce qui concerne la formation le nouveau programme annex au d cret n 89 633 du 5 septembre 1989 modifiant le d cret du 29 mars 1963 relatif aux tudes p et aux preuves du dipl me d Etat de masseur kin sith rapeute a t publi au Bul letin officiel du minist re de la solidarit de la sant et de la pro tection sociale du 21 novembre 1989 fascicule n 89 38 Professions param dicale
358. s les pays des amp changes musicaux riches de confrontation des apports de chacun Patrimoine arch ologie 35535 12 novembre 1990 M A rien Zeller souhaite attirer l attention de M le ministre de la culture de la com munication et des grands travaux sur la situation actuelle de l arch ologie fran aise En effet si depuis juillet 1980 la loi interdit la destruction des gisements ach ologiques d couverts l occasion de travaux d am nagement avant la reconnaissance scientifique de ces d couvertes l Etat n a toujours pas les moyens de traiter galement toutes les d couvertes Le recours syst ma tique l A F A N pose de nombreux probl mes et en particulier celui du financement des recherches puisque celui ci repose sur la contribution volontaire des am nageurs implantant des projets sur des terrains recelant des vestiges arch ologiques Par ailleurs le statut pr caire des personnes employ es par l A F A N ne permets plus aujourd hui d assurer un d bouch s r et une for mation continue de qualit aux jeunes arch ologues ce qui bien videmment conduira terme un d ficit chronique d tudiants et de chercheurs sp cialis s en arch ologie Aussi compte tenu du fait que M le ministre exprim sa volont de voir l arch o logie maintenue dans le service public et a soulign l urgence d une large concertation ce sujet il souhaite savoir quel est l tat d avancement de ses r flexions dans qu
359. s per sonnels de d minage la suite du regrettable accident qui a co t la vie cinq d mineurs Epervans en Sa ne et Loire A cet gard il lui demande notamment quels moyens mat riels nou veaux et plus performants susceptibles d pargner des vies humaines seront mis la disposition de cette cat gorie de per sonnels dont plus de 600 ont d j trouv la mort en service com mand depuis 1945 On peut en effet s interroger sur l quipe ment mat riel de ces quipes qui apparait obsol te et tr s dangereux alors que dans ce domaine comme dans d autres la technologie a fait d importants progr s 11 se permet d insister sur l urgence des mesures prendre cet effet pour pargner la vie d hommes courageux qui orit d j pay un trop lourd tribu la s curit de leurs concitoyens Collectivit s locales finances locales 35408 12 novembre 1990 M Andr Berthol demande M le ministre de l int rleur de bien vouloir lui foumir des pr isions en ce qui concerne les pi ces justificatives que doivent fournir les collectivit s locales en Alsace Moselle 1 aimerait qu il lui indique s il suffit une collectivit condamn e en justice au paiement des d pens de fournir au comptable l tat des frais pr sent par la partie adverse ou s il est n cessaire de demander au greffe de ta juridiction concern e la d livrance d une ordon nance de taxe Communes maires et adjoints 35409 12 novembre
360. s petites communes ui chelpnnent la viabilisation sont d favoris es puisque l inten tion r elle d affectation la contruction n existe que our les lots viabilis s et compte tenu du nombre peu lev de demandes de ermis de construire les lots restants ne feront peut tre jamais de travaux de viabilisation Elle lui demande si l appica tion du d cret n 74 1024 ne pourratt tre modifi afin que le classement dans le groupe Terrains b tir n intervienne qu apr s le des travaux de viabilisation tranche tranche Imp t locaux taxe d habitation et taxes fonci res 35439 12 novembre 1990 M Bernard Nayral attire l at tention de M le ministre d l gu au budget sur la situation particuli re des possesseurs de mobil home et caravanes au regard des imp ts locaux Suite l obtention d un permis de construire il leur est possible d occuper des terrains de disposer de l eau de l lectricit du t l phone et m me de louer ces habi tations sans acquiter la taxe d habitation et la taxe sur le foncier b ti lui demande quelles mesures peuvent tre prises afin de d dommager les communes d accueil et de faire cesser cette in galit de traitement au regard de l imp t taux 35440 12 novembre 1990 M Alain N rl appelle l atten tion de M le ministre d l gu au budget sur le probl me fiscal suivant Les constructeurs de maisons individuelles construise
361. s propositions de revalorisation tarifsires formul es par les parties conventionnelles alors que en date du 22 janvier 1990 la nationale d assurance maladie se pro 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE non ait fsvorablement une demande de r valuation de la lettre clef A M M Aussi il lui demande de lui indiquer combien de mois lui seront n cessaires pour tudier les propositions tarifaires conjointes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie R ponse La revalorisation de la lettre cl AMM qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avensnts tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionel et approuvi ensuite par arr t s interminist nels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Par ailleurs en application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la Commission permanente de la nomen cisture g n rale des actes professionnels de faire des proposi tions au ministre charg de la s curit social sur les actualisa tions de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour examiner les modifications apporter la nomenclature en ce qui c
362. s que tous les indicateurs de ASSEMBL E NATIONALE 5213 ch mage diminuent ou se stabilisent il aoparait que le ch mage des femmes ne fait que croltre souhaiterait connaltre les mesures sp cifiques qu il envisage prendre face ce ph nom ne d ampleur Handicap s r insertion professionnelle et sociale 38436 12 novembre 1990 M Marcel Moceur attire lat tention de M le miaistre du travail de l empioi et de ia for matioa professionnelle sur les dispositions du troisi me plan pour l emploi pr sent par le Premier ministre qui pr voit de aupprimer les contrats individuels d adaptation professionnelle C I A P sp cifiques aux travailleurs handicap s qui avaient vu le jour en 1984 Or les C I A P prouv s depuis six ans sur le terrain ont donn toute satisfaction Ils ont permis de reclasser sur la base de contrats dur e ind termin e un tr s d nombre de personnes handicap es pour la seule ann e 1988 il a t fait 2000 fois recours aux 1 Les C I A P ont t le meilleur outil des quipes de pr paration suite et reclassement des persoanes handicap es E P S R et les Contrats de Retour l Emploi C R E ne pourront tre utilis s par les E P S R avec la m me souplesse 11 lui demande s il ne serait pas judicieux de conserver les Contrats Individuels d Adaptation Professionnelle pour permettre un acc s l emploi moins al atoire pour les per sonnes handicap es Retra
363. s qui exercent dans les classes sous Contrat ainsi que les d penses de formation initiale et continue de ces maltres et contribue sous une forme forfaitaire aux d penses de r rnun ration des personnels non enseignants aff rentes l externat dans les tablissements d enseignement priv s du second degr sous contrat d association Cette contribu tion doit tre culcul e par r f rence aux co ts moyens constat s dans les tatlissements d enseignement public Correspondants ur ces cat gories de personnels Ces co ts de r f rence qui ont t d termin s pa une commission d tude et par cons quent le forfait d externat vers aux tablissements incluent la r mun ta tion des infirmi res et des assistantes sociales pour leur activit consacr e l externac Par ailleurs dans la mesure o les disposi tions l gislatives du code de la sant publique relatives la sant scolaire ont rendu obligatoire la visite m uivale pour tous les enfants au cours de leur sixi me ann e art L 191 le service d Etat de sant scolaire est amen intervenir cette fin aussi bien dans les coles publiques que priv es sous contrat Ce sont des quipes itin rantes m decin infirmi re qui effectuent en liaison avec la P M I ce bilan de sant complet de tous les enfants soit en grande section de maternelle soit l entr e en cole primaire Il s agit bien d une action de pr vention visant rep rer les enfants en
364. s salaires vers s tous les mois Il lui demande par ailleurs s il est envisag d accorder aux associa tions en question des subventionnements exceptionnels leur per mettant de prendre en charge les frais financiers tr s lev s caus s par ces retards de versement par rapport aux actions entreprises Il lui sugg re 1 mise disposition imm diate des fonds accord s d s la d cision d attribution afin que les associa tions puissent en b n ficier au fur et mesure du d rouiement de l action sous forme d une r gie d avance exon r e de frais financiers I1 lui demande enfin s il envisage d organiscr dans les plus brefs d lais un d bat d orientation au Parlement sur les graves probl mes dans les banlieues les tensions croissantes illustr s par les r cents v nements de Vaulx en Velin et plus g n ralement sur la politique de la ville et le mal vivre qu elle doit combattre Urbanisnte politique de l urbanisme Yvelines 34578 12 novembre 1990 M Alain Madelin appelle l at tention de M le Premier ministre aur les probl mes que ren contre la ville de Chanteloup ies Vignes Yvelines dans le cadre de la politique de d veloppement social urbain confront e des probi mes sociaux d int gration et de d linquance particuli re rent graves dont les m dias se font r guli rement l cho Les probi mes de cette ville qui fait partie du dispoitif de d veloppe ment social urbain sont encore aggra
365. s sur ce sujet Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33117 27 ao t 1990 M Bernard Bosson appelle tout sp ciaiement l attention de M le inlaistre de solidarit de in sant et de la protection sociale sur ies termes de ia r ponse apport e sa question crite n 28196 qu il avait pos e le 7 mai 1990 propos de ia situation dans laquelle se trouvent les kin eith rapeutes 11 lui est annon en effet que ia commis sion a fait parvenir l administration dcs propositions qui font actuellement l objet d une tude par services 11 lui demande de iui indiquer tr s is ment quels sont les d lais n cessaires son d partement minist riel pour tudier les propositions tari faires conjointes pr sent es Te les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie et quand entend t il prendre posi tion sur la r forme de la nomenciature des sctes professionnels Par ailleurs il souhaiterait savoir quand sera soumis au Parle ment le projet de juridiction professionnelle concernant les para m dicaux Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33195 3 septembre 1990 M Andr Durr rappelle M le ministre de la solidarit de la saat et de la protection sociale que par sa question crite n 27768 il avait appel son attention sv le fait que ie projet de nomenciature sur les actes des masseurs kin ei peutes adopt par la commisaion a nen
366. s vivent dans des conditions telles qu ils quitteront moins leur pays Je ne me fais aucune illusion sur ce point mais c est la seule solution Or cette politique n est pas la seule solution comme le montre l exemple de l Afrique du Sud Elle co ie de l argent aux contri buables et porte un mauvais coup l image ce la Franc En effet deux mois peine apr s le voyage du ministre des affaires au Viet Nam et apr s avoir obtenu de la France un don de 45 millions de francs le secr taire g n ral du parti com muniste vietnamien M Nguyen Van Linh d clarait Nous devons rester vigilants face la d mocratie bourgeoise et la libert anarchique Nous ne permettrons pas que soient n gligtes la lutte de classe et la lutte contre l imp rialisme et les r action naires Nous proc derons une r pression r solue de toute tenta tive de trouble de l ordre public et de la s curit Le g n ral Doan Chuong rench rissait dans un article du 23 mai 1 du journal L Arm e du peuple En se fondant sur le concept de pluralisme politique l ennemi critique notre syst me antid mo cratique parce que nous n avons pas de parti d opposition Est ce une opposition au r le dirigeant du P C Si c est le cas il est logique de conclure que cette opposition est aussi une opposition contre la souverainet populaire et c est ce que nous rejetons d finitivement Notre peuple sait quelle sorte de d mocratie les Fran ais et
367. sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes 18991 Mme 1saac Sibille Tourisme et loisirs personnel 38378 12 novembre 1990 M Bayar appelle l at tention de M le ministre du travail de l emplol et de la for mation professionnelle sur l avia instr au Journal officiel du 16 octobre 1990 relatif l extension d avenants la convention collective nationale de l animation culturelle I est ainsi ME de rendre obligatoire pour tous lea employeurs entrant dans le champ de la convention les dispositions d un avenant portant sur une prime de rattrapage au titre de l ann e 1989 sur la base de 1 95 franc par point d indice prime qui serait verser d but 1991 11 est difficile pour les employeurs concern s d ac cepter que cea dispcaitiona interviennent plus de 10 mois apr s la cl ture de l exercice alors que lea diverses participationa et sub ventions aont arr t es sans aucune possibilit de r gularisation Une telle d cision devant aggraver lea budgets dont les produits sont pratiquement r alis s i lui demande s il n y a p lieu de reporter la publication de l arr t actuellement envisag Femmes emplol 38364 12 novembre 1990 M Deals Jacquat attire l atten tion de M le miaistre du travail de l emploi et de forma professionnelle l ar gmentation pr occupante du ch mage dea femmes Actuellement alor
368. seils d administration des coles d architecture qui pourront tre renouvel es aupr s des parlementaires au moment du d bat budg taire afin de demander que d s 1991 les postes budg taires nous concernant soient encore am lior s dans une redistribution interne notre minist re Le Conseil demande que tr s rapidement en pr vision de la conf rence bud g taire pour 1992 soit tabli un v ritable plan pluri annuel de redressement de la situation de telle sorte que le co t d un l ve en cole d architecture se rapproche du co t moyen d un l ve ing nieur particuli rement des coles d pendant de notre propre minist re 11 s inqui te enfin du fait que le cadre statutaire des personnels et des personnels de 1 recherche des coles d architecture n ait fait jusqu ce jour l objet d aucune n gociation positive et demande instamment M le ministre de l quipement de faire le n cessaire aupr s de M le ministre du budget pour que des situations inacteptabies ou bloqu es puissent tre r gl es soit par redistribution de postes soit par repyramidage soit par requalification Le conseil d admi nistration de l cole d architecture de Nantes a estim que le contexte actuel reste pr occupant et n est pas rassur sur ies moyens pris et prendre pour une r elle progression de l ensei gnement et de la recherche en architecture ll attend des garanties pour l avenir Il lui demande s il
369. smise M le ministre d Etat ministre de la fonction publique et des r formes administratives R ponse La formation des fonctionnaires de l Etat la connaissance du droit et des institutions communautaires constitue une priorit gouvernementale S agissant des administra tions centrales des formations interminist rielles sont organis es depuis plusieurs ann es d j en particulier sur les techniques d int gration en droit interne des normes communautaires Paral l lement une session de formation la n gociation a t orga nis e destination de personnels d encadrement Conscient qu un nombre insuffissnt de responsables a recu une formation ce jour le Gouvernement a entrepris de renforcer son action dans deux directions en encourageant financi rement par le biais du fonds interminist riel de formation la mise en uvre de pro grammes de perfectionnement organis s en mati re de droit com munautaire par les administrations en organisant l chelon interminist riel des sessions de formation qui en 1990 et 1991 devraient atteindre la grande majorit des administrations cen trales Par ailleurs le minist re de l fonction publique et des r formes administratives concourt au d veloppement des forma tions aux questions europ ennes l intention des responsables des services ext rieurs qui sont autant concern s que les cadres des administrations centrales par les ch ances europ ennes Enfin
370. son c t le salari devenu h mevr ou b n ficiaire du F N E cinquante cinq ans va percevoir une indemnisation vers e par les Assedic jusqu soixante cinq ans date de sa mise la retraite sur 1 base de 154 trimestres taux plein Il lui demande s il n estime pas ue cette situation qui p nalise le salari devenu invalide essen tiellement du fait que le r gime de la s curit sociale met d office l retraite soixante ans pour inaptitude le salari invalide devrait tre modifi e Retraites g n ralit s calcul des pensions 38441 12 novembre 1990 M Fran ois Patriat appelle l attention de M le miaistre des affaires sociales et de ia soli darit sur 1a situation des ch meurs g s non indemnis s par le r gime d assurance ch mage ou le r gime de solidarit et qui ne 12 novembre 1990 peuvent faire valider pour leur retraite l int gralit des ann es ch m es En effet certains ch meurs de plus de cinquante cinq ans ne peuvent b n ficier ni de l allocation de fin de droits jus qu l ge auquei ils peuvent liquider leur retraite taux plein et au plus tard l ge de soixante cinq ans ni de l allocation de solidarit quand les revenus per us par le m nage exc dent les conditions de ressources admises 11 lui demande quelles mesures il entend prendre pour rem dier cette situation Retraites g n ralit s b n ficiaires 35468 12 novembre 1990 M
371. ssionnels de l agriculture et des lus locaux de communes rurales en butte la d sertification de leurs communes et qui voient dans la pluriactivit un incontes table facteur de regain 11 lui demande de lui pr ciser les inten tions du Gouvernement en la mati re Mutualit sociale agricole cotisations 35548 12 novembre 1990 M Yves Coussain expose M le ministre de l agriculture et de la for t que les exon ra tions partielles des cotisations sociales sont accord es aux jeunes agriculteurs qui s installent sur une superficie comprise entre 0 75 et 3 S M I dans la limite de 80 hectares limite qui n est pas opposable aux exploitants situ s en zone de montagne Il lui fait observer que la S M I retenue pour le d partement du Cantal est inf rieure au tiers de 80 hectares l exception des p turages de transhumance En cons quence les jeunes agriculteurs de ce d partement bien loin de pouvoir b n ficier de l exon ration ar del des 80 hectares comme le voudrait leur installation en zone de montagne en sont priv s d s lors qu ils exploitent des super ficies d au moins 75 ou 63 hectares selon les cas 11 lui fait Observer que ie crit re de superficie a t abandonn pour l attri bution de la D S A Il lui rappelle enfin que le Gouvernement a promis plusieurs reprises et notamment dans sa r ponse du S juillet 1990 la question no 7563 de M le s nateur Claude Hutiet que l harmonisation des cond
372. stifient l absence de revalorisation des soins infirmiers depuis trente trois rnois d s lors qu elle ne peut r pondre des motiva tions conomiques ralsonnabies AFFAIRES TRANG RES Etrangers Albanais 35375 12 novembre 1990 M Henri Bayard demande M le ministre d Etat ministre des affaires t de bien voulolr lui pr ciser ce qu il est advenu des r fugi s albanais arriv s en France en ao t dernier et dont l accueil a semble t il pos certains probl mes Politique ext rieure U R S S 35466 12 novembre 1990 M Charles Miossec appelle nouveau l attention de M le ministre d Etat ministre des affaires trang res sur l indemnisation des porteurs de titres d emprunts russes La signature le 29 octobre dernier entre M Ie Pr sident de R publique et M Gorbatchev d un trait de coo p ration franco sovi tique a fait na tre de nouveaux espoirs de solutions dans la mesure o cette convention pr voit un r gle ment des contentieux mat riela et financiers entre les deux pays Il iui demande de blen vouloir pr ciser sous quels d lais et sui vant quelles modalit s une telle indemniaation deviendra r elit Politique ext rieure Maroc tencion de M le ministre d Etat ministre des affaires g res sur la situation des droits ie l homme au Maroc Plusieurt associations humanitaires et de d fense des droits de homme 35467 12 novembre 1990 M Jean Paul attire
373. sure galement l animation de rencontres sportives interclasses auxquelles participent plus d un niillion et emi d ves Enfin dans le cadre des contrats d am nagement du temps de l enfant de nombreuses activit s sportives sont propos es en prolongement des enseignements de l cole Ces actions font l objet d une attention et d une aide torte particu li re des services du ministese de l ducation nationale de la jeu nesse et des sports Enseignement personnel m decine scolaire 30533 25 juin 1990 M Andr Rossi appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation aationale de la jeunesse et des sports sur le probl me des secr taires de sant scolaire qui souhaitent dans leur int gration l ducation natio nale voir reconnue la sp cificit de leur fonction en m me temps que l int gration pour tous sans perte financi re l int gra tion des secr taires vacataires et des secr taires d partementales demande donc quelles mesures sont envisag es pour tenir compte de la technicit et de la sp cificit de ces personnels R ponse La situation de l ensemble de ces personnels fait actuellement l objet d un examen attentif dans la perspective du transfert des m decins et des personnels de secr tariat exer ant dans le service de sant scolaire du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale celui de l ducation natio nale de 1 jeunesse e
374. t qui est tou ASSEMBL E NATIONALE 5231 jours fix e pour cette cat gorie en regard des avantages conf r s par le code vingt et ur ans Elles compl tent les bourses de l ducation nationale ou pallient eur absence Saisi d un vau tendant une nouvelle fois obtenir que les pupilles de la naticn et les orphelins de guerre puissent leur vie durant b n ficier de l assistarce de l Etat sans conditior d ge le Conseil d Etat a rappel le 15 f vrier 1983 que l office national a la possibilit d accorder dans des circonstances exceptionnelles des pupilles majeurs des allocations pr lev es sur le produit Ges dons et legs faits l tablissement public et des aides imput es sur ses res sources propres De ce fait les orphelins de guerre et pupilles de la nation entr s avant leur majorit dans la vie active ayant eu des probl mes de sant ou voulant parfaire en raison d aptitudes articuli res leurs tudes au del du cycle normal peuvent apr s eur majorit obtenir une subvention sur les fonds propres de l tablissement public pour mener bien les tudes engag es dans le m me souci l office ouvre ses coles de r ducation pro fessionnelle aux pupilles et orphelins de guerre m me majeurs la recherche d un premier emploi D autre part les pupilles de la nation et orphelins de guerre peuvent obtenir sans condition d ge des pr ts pr t de prerii re installation pr t d installati
375. t civile sapeurs pompiers 35398 12 novembre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de M ie ministre d l gu aupr s du ministre de l int rleur sur le nouveau statut des sapeurs pompiers tel qu il a t publi au Journal officie du 26 septembre 1990 Le d cret 90 852 du 25 septembre 1990 e statut particu ier du cadre d emplois des lieutenants de sapeurs pompiers profes sionnels ne favorise pas le d roulement de carri re des officiers lieutenants En effet la mise en place de quotas bloque le d rou lement de carn re pour une majorit de ces agents 11 lui demande s il n aurait pas t pr f rable de ramener ia classifica tion deux grades plut t qu trois comme le stipule le d cret S curit civile sapeurs pompiers 38399 12 novembre 1990 M Rene Couanau appelle l at tention de M ie ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur nouveau statut des sapeurs pompiers tel qu il a t publi au Journal officiel du 26 septembre 1990 Le d cret n 90 851 du 25 septembre 1990 portant statut particulier du cadre d emplois des sapeurs pompiers professionnels non offi ciers am ne une r ponse satisfaisante aux probl mes ant rieurs concernant i avancement la promotion et le d roulement de car ri re des sous officiers professionnels 11 remarque toutefois que la cat gorie des adjudants chefs n est pas mentionn e au niveau des nouvelles grilles indiciaires Il lui deman
376. t des auxiliaires m dicaux est effectu e par le biais d ave nents tarifaires la convention nationale de chaque profession r goci s entre les parties signataires du texte conventicnnel et approuve ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Concernant les orthoptistes le nouveau texte conventionnel arr t par les signataires n a pas pr vu de revalorisation tarifaire de la ettre cl AMY Cette convention t approuv e par arr t interminist riel en date du 28 ao t 1990 publi au Journal officiel du 23 1990 Par ailleurs en application des disposi tions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartiect la Commission permanente de la romenclature g n rale des actes profesaionnela de faire des propositions au ministre charg de la s curit sociale sur les actualisations de nomenciature qui lui apparaissent aouhaitablea Dana le cadre de ses travaux la com mission a fait parvenir l administration dea propositions Cer taines mesures ont d ores et d j t prises par arr t s du 13 octobre 1989 et du 27 juin 1 en ce qui concerne le bilan orthoptique les traitements de chimioth rapie domicile et les traitements d antibioth rapie pour mucoviscidose effectu s les infirmi res les actea d orthophonie les actes de kin sith rapie pour mucovis
377. t volu Un d cret de comp tence avait en 1985 reconnu un certain nombre de ces vo lutions Un nouveau texte a t adopt par la commission perma nente de in nomenclature 11 lul demande s il envisage de prendre des mesures concr tes sur ce dossier et si oui selon quels d lals Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 31266 9 juillet 1990 M G rard Bapt attire l attention de M le miaistre de ia solidarit de sant et de la protection sociale sur ie projet de nomenclature des actes de kin sith rapie En effet ce texte vot par la commission permanente de ia nomenciature est actuellement en cours d agr ment L int r t du malade est directement en cause puisque la derni re ture date de 1972 et que de 1972 1990 les techniques ont volu de telie fa on qu il n est plus possible d appliquer les m mes traitements lui demande en cons quence selon quels d lais il de donner son avis sur le projet de nomencla ture des actes de kin sith rapie ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32214 30 juillet 1990 M Glibert Millet attire l attention de M le de la solidarit de la sant et de la protec sociale sur le projet de nomenclature des actes de kin sith rapie En effet ce texte vot par la commission permanente de la nomenclature n attend plus que l avis du minist re
378. t pr vention des risques technologiques et naturels Equipement logement transports et mor Famille et personnes g es 90088346920 944030008286909489g 999598028888539050490000299880490590009000099809999289920990884522 9 Fonction publique et r formes administratives p 9 S O A Hshdicap s et accidbnpt s de ree cerner eret nen ata eo ta o see oo ra ux EV o uoa ai UR RIS o Industrie et am nagement du territoire D o Int rieur ministre d l gu Jeunesse et 000000000000 000000000000 9 460944 02049288080044900904 60909088008044008048289 000100 0000000 90400 004000000040 0006000000 000000000010 0000000000 tce 00100 000000000400 0000040800 04400004 04400 040004000000 ton 0000020808098g98990G802020004 0089506 60 00090282004000U00092084 90409389 00 0660000940489 mr moment Jen BUT E Postes t l communications et espace Recherche et technologie Relations cuiturelles internationales Relations avec ie Parlement L ji mW I
379. t s avant l laboration du d cret du 30 mars 1990 notam ment par le biais de l U N A P L et de l U P A Ce d cret fixe 4 9 p 100 sur la totalit de la r mun ration et 2 1 p 100 sur la r mun ration plafonn e les taux de la cotisation d allocation familia des travailleurs ind pendants soit un taux global de 7 p 100 en baisse d un point par rapport 1989 Ces taux per mettent de prendre en compte la situation sp cifique des travail leurs ind pendants et des professions lib rales en application de la volont du Gouvernement et du l gislateur exprim e lors du vote de la loi du 13 janvier 1989 Ces dispositions all gent la charge qui aurait r sult pour les membres de ces professions titulaires de revenus lev s d un d plafonnement total Le taux de d plafonnement est en effet sensiblement inf rieur celui applicable aux r mun ratiors vers es aux salari s alors que le taux global est identique celui applicable aux cotisations d allo cationa familiales sur salaires De la sorte le surco t que 1 mesure aurait pu engendrer pour les travailleurs ind pendants hauts revenus se trouve r duit alors que ies travailleurs ind pen dants dont les ressources sont inf rieures au plafond de la s cu rit sociale notamment les jeunes qui s installent verront leurs cotisations diminuer S curit sociale cotisaticns 31349 9 juillet 1990 M L once Deprez demande M le Premier ministre
380. t 11 du statut g n ral des fonctionnaires de l Etat et des collectivit s territoriales Cepen dant ils sont plac s en dehors des cat gories A B C D et leurs statuts particuliers peuvent d roger aux dispositions du statut g n ral qui ne correspondraient pas aux besoins propres des corps et des services Dans cette optique la commission com pos e pour partie de repr sentants des organisations syndicales est charg e de proc der une nouvelle classification des per sonnels avantageuse tous les niveaux tenant compte de la sp cificit des m tiers exerc s et des qualificaticns qu ils impliquent L objectif de la r forme dus classifications est donc de recon les diff rents m tiers d appr cier les grades auxquels ils correspondent et de les classer dans une gnlle indiciaire plus ambitieuse La r flexion engagee en concertation avec les organi sations syndicales tend une meilleure correspondance entre le grade et la fonction la r duction du nombre des corps et grades l am lioration des perspectives de carri re l augmenta tion des r mun rations la revalorisation de la fonction d enca drement Toutefois le champ d application de la r forme des postes et t l communications soul ve quelques interrogations On constate notamment que l avenir du personnel actuellement en situation de d tachement n a pas t voqu Quelle sera leur situation compter de la mise en application de cette r f
381. t 1989 a t r partie en 1990 entre les organisations tudiantes repr sentatives devrait contribuer ren forcer lea capacit s de proposition et de gestion des tudiants gage d une politique d action sociale qui ccrresponde aux aspira tions des int ress s Enseignement sup rieur tudiants Pays de la Loire 33528 17 septembre 1990 Francois Fillon attire l at tention de M le ministre d Etat ministre dc ducation matioasle de la jeunesse et des sports sur la situation dans laquelle se retrouvent des dizaines d tudiants sarthois et mayennais souhaitant suivre des tudes su rieures de psycho logie lors de leur inscription en universit Ces tudiants qui ont obtenu leur baccalaur at au mois de juin voient leurs demandes d inacription rejet es par l universit de Nantes seule de l aca d mle roposer un cursus complet en psychologie au motif ue cet tablisseraent donne priorit aux seuls candidats des partements de Loire Atlantique et de Vend e d laissant ainsi les tudiants des trois autres d partements de l acad mie 11 lui demande les mesures qu il entend prendre pour rem dier cette s lection qui compromet gravement l galit des tudiants quant leur formation R ponse La tr s forte demande d inscription des nouveaux bacheliers a amen cette ann e certains pr sidents d universit s soucieux de ne pas les capacit s d accueil de leur ta bilssement pour en pr
382. t de diffusion de leurs diff rents ouvrages En outre certaines publi cations doivent respecter une p riodicit r gull re et ne peuvent cesser de para tre pendant les mois d t La Poste n anmoins fournit toute indication utile aux d posants pour favoriser l cou lement du trafic Enfin 11 est remarquer qu aucune augmenta tion significative du volume du trafic g n r par les services publics n a t constat pendant la ode estivale et n a entrain de probl mes d acheminement ou de distribution parti culiers Certes l t est une p riode plus d licate en raison de la n cessit d adaptation des effectifs la variation du trafic et l attribution des cong s Ce toutes les mesures sont prises pour sssurer dans de bonnes conditions la continuit du service public ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 SANT Professions m dicales r glementation 22642 8 janvier 1990 M Chevalller attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de la saat et la protection sociale sur le r le des pharmaciens dans les zones rurales des d partements de montagne La pr sence des prophar maciens r pond un r el besoin des populations et permet aux personnes g es qui r sident en milieu rural d tre soign es sans attente 1 lui demande de bien vouloir lui pr ciser s il envisage de remettre en cause le statut des propharmaciens Question transmise M le ministre d l g
383. t de conf rer au cr ancier b n ficiant d une hypoth que de ler rang un avantage par rapport aux autres cr anciers D o la difficult de mettre en place des p ans de redressement En cons quence il iui demande de bien vouloir lui indiquer si une r forme du droit civil a t envisag e pour l adapter au traite ment du surendettement ou si d autres solutions ont t retenues Professions immobili res r glementation 35434 12 novembre 1990 M Guy Lengagne attire l atten tion de Mme le secr taire d Etat ia consommations sur les imperfections de la r gler cntation en mati re d affichage de prix dans les agences immobili res Ces derni res pevvent en effet proposer notamment leurs clients vendeurs deux cat gories de mandats selon la formule choisie le vendeur devra ainsi assumer tout ou partie des frais d agence Or dans o une part en principe la moiti des frais reste la charge de l acqu reur le prix affich par l agence ne prend gu re en consi d ration ce surplus payer De telle sorte que ce n est qu une fois la d cision prise au moment de la transaction et au vu d un prix incomplet que les acheteurs prennent connaissance du mon tant plus lev qu ils ne l avaient pr vu de leur op ration Ainsi d j d cid s acheter un bien d une valeur qui atteint en g n ral lusieurs centaines de milliers de francs les acqu reurs ne veu ent plus renoncer l op ration m me si
384. t des sports dont l ch ance est fix e au ler janvier 1991 Les conditions de ce tranfert ont fait l objet de discussions approfondies entre les d partements minist riels int ress s permettant de garantir terme une remise niveau des emplois et la stabilisation de la situation statutaire et financi re des personnels Par ailleurs il convient de pr ciser qu il n existe pas l ducation nationsle de corps sp cifique correspondant aux fonctions exerc es par les secr taires de sant scolaire sus ceptible de les accueillir et que le dispositif du transfert est ind pendant des possibilit s d am lioration de la carri re des agents concern s Cependant il sera tenu compte des situations indivi duelles et des dispositions seront mises en uvre pour garantir le maintien de la r mun ration ant rieure globale de ces personnels Enseignement sup rieur tablissements Hautes Pyr n es 30698 25 juin 1990 M Claude Miqueu interroge M ministre d Etat ministre de l ducatlos satlosale de la jeu nesse et des sports sur les difficult s rencontr es par l I U T de Tarbes pour mettre en place les quipements n cessaires au bon fonctionnement de son d partement G nie m canique et produc tique La Commission p dagogique nationale comp tente a reconnu en 1986 un besoin en quipemenis de 14 miliions de francs soit 16 3 MF valeur 1990 Ses services ont annonc une dotation de l Etat de 1 3 MF compl
385. t en outre en contrepartie de l avantage procur demander au monient de la transformation la modification du prix du bail sans qu il y ait lieu d appliquer les dispositions des articles 26 28 ci dessus En raison de cette lacune les tailleurs interpr tent le silence du l gislateur dans le sens qui leur est le plus favorable et exigent du locataire ayant demand b n ficier de ses droits la retraite l indemnit ou la modification du prix du bail pr vus per l article 34 3 pr cit ou encore les deux Cette position du bailleur revient vider de sa port e l article 34 3 1 puisque l exigence d une indemnit ou d une augmentation du prix du bail ont pour effet sur le plan partique d emp cher le iocataire ayant demand b n ficier de ses droits la retraite de c der son droit au bail un acheteur autre qu un successeur dans son commerce lui demande s il peut pr ciser que l article 34 3 du d cret du 50 septembre 1953 n est pas applicable en cas d usage par le locataire des disposi tions de l article 34 3 1 Syst me p nitentiaire personnel 35504 12 novembre 1990 M Francisque Perrut attire l attention de M ie garde des sceaux miniatre de ia justice sur le malaise persistant qui r gne encore aujourd hui parmi les personnels p nitentiaires en effet pr s d un an apr s les mouve ments qui ont agit les prisons fran aises ceux ci ont le senti ment d tre victimes de sanctions de la part
386. t et taxes centres de gestion et associations agr s 35644 12 novembre 1990 M Patrick Balkany attire l at tention de M ie ministre d Etat ministre de l conomie des finances et u budget sur les centres de gestion agr s Un simple retard dans l envoi de deux d clarations dans l ann e emp che les entreprises inscrites un centre de gestion agr de b n ficier des avantages fiscaux alors que pour les salari s les abattements sont maintenus m me si leur d claration de revenu est envoy e avec retard 11 souhaite connaitre les raisons d une telle discrimination et demande qu il y soit mis fin en tendant la tol rance aux entreprises DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 19585 Pierre Forgues 20583 Mme Bernadette Isaac Sibille 25155 Mme Bernadette Isaac Sibilie 27036 Mme Bernadette Isaac Sibille 27163 Mme Bernadette Isaac Sibille 31474 Jean Yves Autexier Enseignement fonctionnement 35370 12 novembre 1990 Mme Marie Jos pfhe Sublet attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de l duca nationale de Ia jeunesse et dec sports sur le fonctionne ment des zones d ducation prioritaires dans le d partement du Rh ne Compte tenu des difficult s d enseignement propres aux tablissements de ces zones des moyens suppl mentaires leur sont acc
387. t le droit de non chasse attribut du droit de propri t Chasse et p che politique et r glementation 38860 12 novembre 1530 M Jean Marie Demange demande M le ministre d l gu l environnement et ia r vention des risques technologiques et natureis majeurs de bien vouloir lui pr ciser si la pratique de la chasse l aide d un arc est l gale dans les d partements du Bas Rhin du Haut Rhin et de la Moselle Par un jugement du 12 pn dernier le tribunal ae Ch lons sur Marne aurait en effet reiax un chasseur ayant abattu un chevreuil l aide de cette arme Cours d eau tangs et lacs pollution et nuisances Lorraine 38898 12 novembre 1990 M Jean Louis Masson attire l attention de ministre d l gu l environnement et is r veution des risques technologiques et naturels majeurs sur le fait que la pollftion de la Moselle par les chlorures rejet s par les Soudi res de Meurthe et Moselle est l origine de nuisances Importantes par les utilisateurs situ s en aval 11 souhaiterait qu il iul Indique s il est s rieusement envisag de mettre en uvre des mesures r glementaires obligeant les Soudi res d une part r duire leurs rejets totaux annuels et d autre part r duire le seuil de 400 milligranimes par litre fix pour la pollution saline additionnelle qu elles sont autoris es cr er A titre de compa raison il lui rappelle que la norme europ enne pour l
388. t le crit re d ant riont par rapport l autoroute Le dossier tech nique correspondant est aujourd hui quasiment termin Cette dhtration n ayant pas t retenue contrat conclu entre l Etat et la r gion il restera l inscrire un programme de financement compte tenu des disponibilit s budg taires FONCTION PUBLIQUE ET R FORMES ADMINISTRATIVES Fonctionnaires et agents publics fo 1 1tion professionnelle 31750 23 juillet 1990 M Adrien Zeller rppelle l attention de M le Premier ministre sur certaines observations particuli rement pertinentes figurant dans le rapport rendu public le 30 mai dernier par le vice pr sident du Conseil d Etat concer nsnt notamment la n cessit pour l administration de v rifier de facon tr s la compatibilit entre les dispositions envisag es et le droit europ en ce qui implique nne am liora tion de la connaissance du droit communautaire dont le Conseil pr cise qu elle demeure en r gle insuffi sante lui demande de bien vouloir lui faire conna tre les dispositions que le Gouvernement envisage de prendre pour donner suite aux propositions de la Haute Assembl e singuli re ment pour assurer la formation des personnels d encadrement de l Etat sur les questions de droit communsutaire et faire en sorte que les sdministrations centrales disposent des moyents suffisants en personnels form s au droit europ en et la n gocia tion tran
389. tations familiales sont invit s demander aux allocataires de leur signaler leur vsntuelie situation de surendettement examiner au plus la situation de ces personnes et se rapprocher des commissions charg es d laborer ies plans conventionnels de r glement des dettes Cependant la remise partielle ou totale des dettes de ne peut constituer une pratique syst ma tique et g n ralis e de l organisme Celle ci serait incompatible avec la n cessaire galit de traitenient des aliocations et le souci de rigueur financi re qui incombent aux organismes S curit sociale cotisations 27469 23 avril 1990 M Dominique Dapilet appelle l at tention M ministre d Etat ministre de l conomie des finances et budget sur la situation des petits ciubs sportifs qui doivent acquitter des cotisations U R S S A F sur les prix en esp ces qu ils offrent aux participants de courses ou de tournois Un club cycliste qui par exemple octroie des primes aux courses lors d un crit rium cycliste pour un montant global de 000 francs paiera en fait pr s de 8 700 francs Compte tenu que les clubs sportifs les plus modestes sont anim s par des b n voles et financ s uniquement par des subventions et des dons il lui demande s il ne juge pas opportun de ies exon rer du versement de ces charges sociales transmise M le ministre des affaires sociales et de ia solidarit
390. taxes sur la valeur aiout s d s lors qu il est que les subventions vers es par la communaut conomique europ enne ne soient pas 3ou misss la Per ws cessions envisag es seront sou mises aux r gles suivantes Si les travaux de r habilitation qui conduisent la livraison d un immeuble neuf ne sont pas ter min s la cession du b timent au syndicat intercommunal doit dans tous les cas soumise la tzie la valeur ajout e immobili re La revenic du b timent par le syndicat sera gale ment imposable la taxe sur ls valeur ejout e immobili re si elle 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE intervient dans les cinq ans de l ach vement 2 Si ia cession du b timent au syndicat intercommunal intervient apr s l ach ve ment des travaux elle sera soumise a taxe sur la valeur ajout e immobili re si elc est r aliste dans les ans de l ach vement des travaux La revente du b timent par le syndicat consid r comm ur mazchand de biens d s lors qu il s agit d une op ra tion de r novation industrielle effectu e dans le cadre du d cret 82 809 du 22 septembre 1982 sera galement soumise la taxe sur la valeur ajout e immobili re si elle intervient dans les cinq ans de l ach vement Dans les deux hypoth ses la base de l imposition la taxe sur la valeur ajout e de l immeuble c d est constitu e par le prix stipul dans l acte auquel
391. te de 1 nomenclature demeurait dans l attente d une d cision minist riell depuis septembre 1989 Elle voquait ement le probl me tarifaire en faisant valoir que depuis le 22 jan vier 1990 is C N A M s tait pronon favorablement une demande r r valuation de la lettre cl A M M Dans la r ponse cette quostion crite J O A N du 9 juillet 1990 il tait sim dit que in commission de ia nomenclature des actes pro essionnel avai d s un orient ur examiner les modifi csticrs ipporter la nomenclature En conclusion il tait dit cette commission avait fait des propositions l administra Da qve celles ci faisaient actuellement l objet d une tude Une telle r ponse ne peut tre consi comme satisfaisante li omnee d calme al alie re n n sur la r forme a nomenclature des actes professionnels ainsi que sur les propositions tarifaires conjointes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 caisses d assurance maladie 11 est vider qu un accord donn six mois ou un an apr s les propositions faites ne peut tre de nature satisfaire les professionnels int ress s 11 souhaiterait galement savoir quand sera soumis au Parlement ie projet de indien professionnelle concernent les professionnels param icaux Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 33735 24 septembre 1990 M Alain Jomemann attire
392. ter entre les seules mains de la ville alors que pour la premi re fois dans l histoire locale vient de se concr tiser sur ce projet une volont po tique d inter communalit 11 serait grand dommage que tout cet effort qui r pond la fois un besoin conomique vital et une volution politique indispensable soit battu en br che par une difficult technique de cete nature Des difficult s tenant l application du r gime de ia se renconirent d ailieurs tout moment dans ce type d op rations et il semble qu il faille sans plus tarder doter les collectivit s territoriales qu elles agissent seules ou group es des outiis juridiques adapt s la notion d int r t g n ral l conomie Difficile encore d obtenir une r ponse coh rente ct claire propos de l inclusion dans l assiette de la des subventions publiques grend eiles sont apport es aux collectivit s territoriales et elles seules et que de ce fait celtes ci deviennent des relais oblig s dans ies a era tions d immobilier d entreprises Ces subventions sont elies ou non assinusvies des subventions d quipement au sens fiscal du terme Elle lui demande quelle solution il pense pouvoir apporter sur ies divers points voqu s meest R ponse Dans la situation d crite la subvention vers e par la fonds europ en d developpement des conomies r gionales IFE DER la commune n est pas imposable 2
393. tes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par es parties conventionnelles Par ailleurs en application des dispositions de l arr t du 28 janvier 1986 modifi il appartient la Commission permanente de la nomen clature g n rale des actes professionnel de faire des propositions au minist re charg de la s curit sociale sur les actualisations de la nomenclature qui lui apparaissent souhaitables Dans le cadre de ses travaux la commission a d sign un rapporteur pour exa miner les modifications apporter la nomenclature en ce qui concerne les actes de r ducation et de r adaptation fonction nelles effectu s notamment par les masseurs kin sith rapeutes La commission a fait parvenir l administration des propositions qui font actuellement l objet d une tude par les services B timent et travaux publics risques professionnels 29400 4 juin 1990 Mme Elisabeth Hubert appelle l atten tion de M le mlaistre de la solidarit de ia sant et de la protection sociale sur la r ponse la question crite 18554 parue au Journal officiel du 5 mars 1990 11 est voqu dans cette r ponse que malgr l augmentation 77 p 100 du coeffic
394. tm d volution politique conomique et sociale au Viet Nam comme ailleurs il se pr occupe de respect des droits de l homme C est pourquoi tout au long des entretiens que lc ministre a eus lors de la visite qu il a effectu e au Viet Nam en f vrier dernier il a tenu souligrer aupr s de ses interlocuteurs ue France esp rait voit Viet Nam s engager plus avant ans la voie du respect des libert s et droits fondamentaux et avancer r solument dans celle des r formes non seulement cono miques mais galement politiques L aide que nous accordons ce pays contribue l mergence de conditions conomiques plus favorables de nature freiner l exode des r fugi s de la mer Comme elle l a fait par le pass dans d autres pays la France 2 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5219 estime qu il est de son devoir de soutenir aujourd hui au Viet Nam les tendances r formatrices et d encourager le d bat d id es qui doit permettre de faire progresser le processus de d mocrati sation d un r gime encore marqu par le poids du pass Le gou vernement fran ais est convaincu que les autorit s vietnamiennes ont mesur l importance que la France attachait ces questions Conf rences et conventions internationales accord sur ia r unification de l Allemagne 34414 15 octobre 19 M Heart Bayard demande M le miaistre d Etat mi stre des affaires trang res si l ac cord cons
395. tr s r cent Certains m nages ayant un projet d accession seront conduits diff rer leur op ration afin de conatituer leur apport personnel Jl autrea m nages au contraire exclus du b n fice du P A P en raison de leurs revenus pourront b n ficier du rel vement des bar mes ce qui les incitera s engager dans une op ration d accession Il convient enfin de rappeler que l aide po en faveur de l ac cession sociale la propri t ne se limite pas aux seuls pr ts P A P Le dispositif en vigueur repose pour l essentiel sur les aides la personne dont les bar mes ont t relev a de mani re substantielle pour 1990 et qui sont vers es sous condition de ressources aux b n ficiaires de P A P et de pr ts conventionn s Pauvret surendettement 31796 23 juillet 1990 Mme Marie Madeleine Dieulan gard attire l attention de Mime le secr taire d Etat aupr s du mlaistre d Etat ministre de l conomie des fiannces et du budget charg de ia consommation sur une cons quence pos sible de la loi sur le surendettement des m nages Les commis sions concern es ne peuvent pas toujours facilement statuer sur les dossiers qui leur sont pr sent s dans les deux mois requis en raison de leur trop grand nombre Les huissiers requis pour le recouvrement des cr ancea relancent par cons quent les d biteurs tout fait l galement l iaaue des deux mois coul s Elle lui demande s il ne faudrait pas pr voir la
396. traitements de la fonc tion publique 11 s tonne donc qu un tel arr t soit rest ignor de la part des services du minist re de la fonction publique puisque dans sa r ponse M le ministre exclut ces retrait s et veuves de la liste des b n ficiaires de la prime de croissance sous ri qu ils ne r pondent pas aux crit res pr vus l ar ticle 6 du d cret no 89 803 du 25 octobre 1989 Il ne comprend d ailleurs pas que cette prime ait t refus e aux retrait s et veuves alors qu elle vait t accord e au personnel actif des ouvriers des parcs et ateliers Au vu de cettc d cision inique il ne peut admettre que ce soient les seuls agents retrait s de l Etat tre exclus du b n fice de cette indemnit 11 lui demande donc de bien voulolr proc der un nouvel examen de ce dossier et ce u il compte faire pour que soit accord e justice et donc satis action ces retrait s et veuves R ponse Les ouvriers des parcs et ateliers en activit dont la r mun ration est index e comme le rappelle l honorable parle mentaire sur les traitements de la fonction publique ont b n fici de la prime exceptionnelle de croissance pr vue par le d cret n 89 803 du 25 octobre 1989 11 n a en revanche pas paru pos sible d imposer au fonds sp cial des pensions des ouvriers des tablissements industriels de l Etat dont les d penses ne sont pas directement support es par le budget de l Etat l charge d une allo
397. trans mise M le ministre des affaires sociales et de la solidarii R ponse Les probl mes rencontr s par les industries de l ha billement des sports d hiver suite au manque de neige constat depuis plusieurs saisons ont t pris en compte par le ministre des affaires sociales et de la solidarit Des instructions sont r guli rement donn es aux directeurs des unions de recouvrement concern es pour que soient examin es avec la plus grande bien veillance les demandes de d lais de paiement ou de remise de maiorations de retard manant des cotisants dont l activit est ainsi directement compromise S curit sociale contr le et contentieux 27391 16 avril 1990 M Dominique Dupilet attire l atten tion de M le ministre de solidarit de ia sant et de la protection sociale sur les probl mes importants que rencontrent certains particuliers pour rembourser des sommes ind ment per ues des organismes sociaux est fr quent que la s curit sociale la caisse d allocations familiales l Assedic versent par erreur des prestations d un montant sup rieur aux sommes devant tre normalement attribu es Ces familles croyant en toute bonne foi que ces versements sont normaux les utilisent et se trouvent confront es d importantes difficult s lorsqu elles doivent rembourser un trop per u touch pendant une longue p riode 11 lui demande en cons quence lese mesures qu il compte prendre pour que les
398. trimoine immobilier des houill res qui puisse se r aiiser en parfaite coh rence avec les programmations P L A et Palulos H L M et vite ainsi une concurrence qui mettre en p ril les situations financi res des organismes H L M Architecture enseignement Loire Atlantique 34990 12 novembre 1990 M Xavier Hunauit a l honneur de porter la de M ie ministre de l quipement lu t des transports et de ia mer la d lib ration prise l unanimit par les membres du conseil d administration de ASSEMBL E NATIONALE 12 novembre 1990 l cole d architecture de Nant zs dans les termes ci apr s Le conseil d administration de l cole d architecture de Nantes r uni le 4 octobre 1990 a pris connaissance des conditions dans les uelles s effectuait la rentr e 1990 1991 Inform des d clarations e M Michel Delebarre ministre de l quipement du logement des transports et de la mer sur l enseignement de l architecture il se f licite de la volont politique affirm e et des nouveaux moyens pr vus pour am liorer les structures et le budget des coles Toutefcis cette avanc e sur le plan budg taire bien que significative est apparue bien timide et surtout sans garantie quant la poursuite d un tel effort dans les prochaines ann es Ainsi le conseil d administration de l cole d architecture de Nantes s associe toutes les d marches de la conf rence des pr sidents des con
399. ts annonc s par l usine Sodetal Tronville en Barois Meuse du 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5203 groupe italien Redaclii Tecna Sap 11 lui rappelle que cette entre rise nationale a t brad e en 1988 au groupe Redaell malgr opposition des travailleurs concern s Les promesses faites par le repreneur n ont pas t tenues et de nouveau 85 salari s sont menac s dans leur emploi Il avait pourtant attir son attention sur cette situation en 1988 et il lui avait t r pondu l poque que l int gration de l usine meusienne dans ce groupe italien de renomm e mondiale apparait comme une opportunit favorable pour Sodetal qui va pouvoir ainsi b n ficier de la comp tence technique de l implantation commerciale endue et de l appui en mati re d achat de fil machine de Redaell Alors que les r sultats du premier semestre 1990 s annoncent particuli rement positifs plusieurs dizaines de travailleurs sont de nouveau menac s dans leur emploi Aussi il lui demande quelle mesures il compte prendre pour maintenir l emploi chez Sodetal et dans tout le d partement de la Meuse INT RIEUR Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publication et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 4555 Pierre Forgues 21754 Mme Bernadette Isaac Sibille 27513 Mme Bernadette Isaac Sibille 31840 Jean Yves Autexier Stationnement r glementation Paris 35368 12
400. u la sant Professions m dicales r glementation 22664 8 janvier 1990 M Roger Rinchet attire l attention de M le ministre de la solidarit de la saat et de la protec sociale svr la menace qui p serait sur la situation des m decins propharmaciens Les m decins ruraux propharmaciens sont que 200 environ sur tout le territoire fran ais 8 ne ven dent que des produits pharmaceutiques remboursables conform ment aux articles L 594 et L 595 du code de sant et ne ven dent aucun produit de parapharmacie Leur activit de nuit donc pas aux marges b n ficiaires des pharmaciens et permet dans des zones rurales c une pharmacie ne pourra jamais s installer de disposer proximit des m dicaments n cessaires sans tre oblig de parcourir plusieurs dizaines de kilom tres 11 lui demande donc de bien vouloir l informer de ses intentions sur ee ouestion Question transmise M le ministre d l gu la sant R ponse Les articles L 594 et L 595 du code de la sant publique permettent aux m decins tablis dans des communes d pourvues d officiae d avoir un d p t de m dicaments destin s aux personnes auxquelles ils donnent leurs soins Le ministre de la sant est pleinement conscient du service que les propharma ciens apportent des populations souvent g es install es dans des zones de montagne ou des zones rurales isol es et de l atta chement des populations concern es
401. u il envi sage de prendre afin de r soudre cet pineux probl me ponse La l gislation actuelle telle qu elle r sulte de la loi du 6 juillet 1989 tendant am liorer les rapports locatifs vise r quilibrer les rapports entre bailleurs et locataires et notam ment pr venir les hausses pouvant apparaitre comme abusives Sa stricte application doit permettre de limiter les tendances inflationnistes du march locatif guadeloup en aliment es par wne p nurie de logements encore accrue par le paasage du cyclone Hugo La mise en uvre d un programme de reconstruc tion de 10 500 logements en trois ans contribuent terme un accrcissement du parc de logements qui devrait all ger la pres sion actuelle du march Par ailleurs dans l ensemble des d par tements d outre mer avec les assises locales de l habitat une phase de r flexion d analyse et d valuation des actiona engag es qui devra aboutir des propositions d adaptation et d am lioration des dispositifs existants Le probl me de l volu tion des loyers sera particuli rement tudi dans le cadre de ces assises CONOMIE FINANCES ET BUDGET Imp ts et taxes politique fiscale 30484 25 juin 1990 M Marc Dolez remercie M le ministre d Etat ministre de l conomie des fisances et du budget de bien vouloir dresser ur tat compar du taux de l imp t sur isa successions en France en R F A en Italie en Grande Bretagne aux
402. uant leur obligation de respecter les pr rogatives du Pa lement Qwestion transmise M le ministre d l gu la sant R ponse Le ministre de la sant informe l honorable parle mentaire qu effectivement le centre hospitalier r gional de Metz Thionville a t amen entreprendre depuis plusieurs ann es un certain nombre de travaux pour am liorer le fonctionnement de l h pital Bon Secours Les travaux entrepris bien qu importants n ont jamais eu pour objectif d augmenter la capacit en lits de l h pital Bon Secours ils taient en grande partie destin s am liorer les ccnditions d hospitalisation des malades en transf rant hors de l enceinte de l tablissement tous les services n ayant pas un lien direct avec l activit de soins Ces transferts qui ont n cessit au lable des acquisitions immobili res ont concern entre autres la direction g n rale les coles param dicales Les surfaces ainsi lib r es ont paf allleurs de r aliser des opt rations d humanisation et de transfert de services qui permettront d s leur ach vement de faire b n ficier les malades de conditions d h bergement et de soins plus adapt es leur tat S agissant du 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5245 terrain acquis par le C H R avec l aide financi re de l Etat son utilisation hospitali re reste soumis l laborstion du plsn direc teur du C H R dont les premi res esquisses doivent tr
403. ueur le 21 ao t 1987 permettant de reconnaitre l existence des diff rents dipl mes ou certificats accordant le titre d architecte en Europe Cependant l enseignement de l architecture en France n atteint actuellement pas le niveau des enseignements similaires 5198 en Europe du Nord ni celui dispens dans les coles frangaises d ing nieurs 11 lui demande s il envisage d int grer l enseigne ment de l architecture aux universit s ou aux instituts universi taires afin de permettre une formation doctorale en architecture pour viter d une part la reproduction professionnelle et d autre part d ouvrir notre pays aux chercheurs trangers qui souhaite raient s initier notre culture Hcndicap s acc s des locaux 35450 12 novembre 1990 M Jean Paul Bachy attire l at tention de ie ministre de l quipement du iogement des transports et de la mer sur les d crets des der f vrier 9 d cembre 1978 et 4 ao t 1980 pris en application de l article 49 de la loi d orientation en faveur des personnes handicap es Ces diff rents d crets traitent de l accessibilit des lieux ouverts au et des logements collectifs Mais tant incluses au code de urbanisme les mesures qu iis dictent ne peuvent pas faire l objet d un contr le a priori sur le permis de construire par les services de la D D E Lesdits services ne peuvent effectuer qu uri contr le a posteriori des ouvrages termin s et constater ventuel
404. ulx en Velin 11 lui indique par ailleurs que la viile de Chanteloup les Vignes qui compte 10000 habitants dont 80 p 100 vivent dans une cit H L M situ e dans les Yvelines est aux prises avec des bl mes quotidiens de d linquance et d ins curit d s pour les sentiel un manque de moyens humains policiers et financiers mais aussi des carences certaines au niveau du suivi judiciaire des dossiers lui demande de lui pr ciser les moyens qu il compte mettre en uvre pour faire face avec d termination une d linquance qui commence envahir la vie de tous les jours des habitants des quartiers d favoris s et qui faute de traitement pourrait entra ner des cons quences tr s graves 11 lui demande par ailleurs s il ne serait pas n cessaire de doter la ville de Chanteloup les Vignes des forces de police et de leuis quipe ments v hicule transmission indispensables pour endiguer l in s curit qui est en progression depuis 1988 moyenne mensuelle de 37 faits en 1988 et de 51 faits en 1990 et qui vient d entralner la fermeture d un commerce situ en plein centre de la cit H L M Il lui rappelle enfin que la ville de Chanteloup les Vignes sous tutelle budg taire depuis 1977 ne connalt ce jour toujours pas son budget primitif pour 1990 ce qui en plus de ses moyens tr s insuffisants ne permet pas un fonctionnement satis faisant et il s inqui te du devenir conomique et social de cette ville D
405. un re l activit des orthophonistes est effectu e par le binis d avenants tarifaires Is convention nationale de la profession a goci s entrc les parties signstaires du texte conventionnel et Rp ensuite psr arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Cependant les propositions rela tives aux actes d orthophonie que la Commission permanente de la nomenclature g n rale des actes professionnels a fait parvenir l administration ont t int gralement accept es ps les pou voirs publics conform ment au contenu de l arr t du 27 juin 1990 paru au Journal officiel du 6 juillet 1990 L autre part les diff rentes organisations professionnelles d auxiliaires m dicaux ont formul diverses reprises le veu de se voir doter d instances disciplinaires et de r gles professionnelles dont l ap paron interviendra par d cret Aussi les travaux men s en col aboration troite avec les repr sentants des diff rentes profes sions int ress es au sein des groupes de travail qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils abouti un projet de loi actuellement soumis l exsmen de la commission des affaires culturelles familiales et sociales de l Assembl e nationaie Professions param dicales orthophonistes 33844 24 septembre 1990 M Michel Jacquemia rappelle M le ministre de la solidarit de la sant et de
406. uptions dans le versement des prestations De m me les caisses d allocations familiales veillent conseiller aux b n fi ciaires de d poser leur demande de renouvellement plusleurs mols avant l expiration de leurs droits Enfin la g n ralisation l informatisation des COTOREP contribue acc rer les proc dures Le secr taire d Etat charg des handicap s et des accident s de la vie est n anmoins conscient que peuvent encore se pr senter les situations d crites par l honorable parle mentaire Si les personnes handicap es ne dolvent pas ment tre les victimes de retards qui leur sont imputables il convient cependant de veiller ne pas d responsabiliser les 5244 COTOREP qui doivent se sentir imp rativement tenues d agir dans les d lais prescrits La r flexion actuellement men e sur le fonctionnement des COTOREP est l occasion d analyser l en semble des proc dures dont certaines pourraient encore tre sen siblement all g es Des instructions pr cises sont actuellement donn es aux COTOREP pour qu elles attribuent chaque fois que n cessaire c est dire lorsque le handicap ne pas suscep tible d voluer positivement des cartes d invalidit titre d fi nitif Peut ire laudrait il en s entourant des pr cautions n ces saires pour viter des abus envisager d tendre cette possibilit d autres types de d cision La question est pos e et est examin
407. ur En effet la circulaire du 25 mai 1990 pr cise que la dotation aux amortissements est r int grer au revenu imposable des artisans et commergants Or i lui rappelle que sur le plan conomique cette dotation est une charge destin e assurer la p rennit de l entreprise et non un revenu sur lequel peut puiser l entrepreneur pour ses d penses courantes et familiales Cette mesure p nalise donc les familles d artisans ef commer ants en emp chant certains jeunes d effec tuer des tudes d enseignement sup rieur C est pourquoi il lui demande s il n estime pas opportun de r viser le mode de calcul des ressources de ces cat gories professionnelles Enseignement allocation Barang 35649 12 novembre 1990 M Patrick Baikany appelie l attention de M le ministre d Etat ministre de l educatioa nalioualc de 12 iouneses e des ennrta cur lee conc ouez ces de la suppression dans le budget 1991 de l allocation pr vue par la loi Barang Cette loi tablissait l allocation d une somme de 13 francs par trimestre et par l ve pour l entretien des coles et des coll ges Malgr les tonitruantes d clarations gouvernemen tales sur l augmentation des cr dits allou s l enseignement l ducation et la recherche la suppression de ces ressources constitue un mauvais coup que les collectivit s locales devront compenser afin que les l ves ne soient pas l s s Une fois de plus ce sont les municipalit
408. ur trois ans les 5196 modalit s d application 0 pas donn lieu des litiges Elle lui demande en cons quence de lui pr ciser dans queiles conditions cette mesure va tre prorog e et quelle sera la structure qui en suivra les modalit s d application Il convient en effet d viter tout retard en ce domaine Enseignement priv personnel 34584 12 novembre 1990 Mme Bernadette Isaac Sibilie appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l du aationale de jeunesse et des sports sur la mise en place des instituts universitaires de formation des maitres Elle jui pr cise que suivant unc logique l gale l enseignement priv n est pas concern par leur mise en place Toutefois elle lui indique que les modifications dont b n ficie l enseignement public et qui sont novatrices et k a fiques auront ind niablement des cons quences sur la formation des maitres dans l enseigne ment priv Car il lui apparait pour le moins curieux qu une cir culaire manant du service de la statistique r clame des tablisse ments priv s qu ils donnent un compte rendu du d veloppexaent de leur projet d cole or cette question est hors du champ d application de la loi Debr Elle rel ve que ce souci de parte entre l enseignement public et l enseignement priv para t ambigu Elle lui demande en cons quence de lui expliquer com ment dans un contexte juridique aussi f
409. ure du d roulement de l action sous forme d une r gie d avance de frais financiers 11 lui demande enfin s il envisage d organis dans les plus brefs d lais un d bat d orientation au Parlement sur les graves probi mes dans les banlieues les tensions croissantes illus tr es par les r cents v nementa Vaulx en Velin et plus g n diesen sur ja politique de la ville et le mal vivre qu elle doit combattre Minist res et secr iariats d Etat affaires sociales et solidarit zersonnel 35587 12 novembre 1990 M Didier Julia expose M le Premier ministre qu il avait pos au miniatre de la solidarit de la sant et de la protection sociale une question crite aur ia situation des pharmaciens Inspecteurs de la sant no 27675 J O A N Questions du 30 avril 1990 Cette queation n a pas obtenu de r ponse Par contre une question crite Charles a obtenu une FIRE 29414 J O A N Questions du 24 septembre 1990 Ceile ci rappelle le r le essentiel jou par ce corps des pharmaciens ir pecteuzs la sant dans on de la sant pubilque i ajoute L iargissement du p des missions des pharmaciens Inspecteurs de la sant des derni res ann es ne s est accom d aucune am lioration dans leur d rouiement de carri re Ainsi le Gouvernement tudie t ii actuei lement ies conditions de revalorisation de leur situation statutaire et indemnitair
410. ution et l organisation du corps de d fense de la s curit civile et l utilisation 4 dn ui contingent publi au Journal officiel du 1e ao t 1 demnnde par qui sera r alis l encadrement de ces appel s 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5207 Fonction publique territoriale statuts 35403 12 novembre 1990 M Ren Couanau appelle l at tention de Je ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur sur le d cret no 90 126 du 9 f vrier 1990 portant statut par ticulier du cadre d emplois des ing nieurs territoriaux Comme le pr voit l article 10 du d cret pr cit les fonctionnaires territo riaux mentionn s l article 6 du m me d cret peuvent tre recrut s en qualit d ing nieurs subdivisionnaires stagiaires raison d un recrutement gu titre de la promotion interne pour cing recrutements intervenus dans la collectivit Depuis le d cret no 90 829 du 20 septembre 1990 l article 44 porte cette propor tion d une nomination pour cinq recrutements une nomination ur Quatre recrutements compter du ler ao t 1990 et jusqu au 1 juillet 1993 Si cette proportion n est pas difficile atteindre pour des grandes villes elle ne laisse pratiquement aucune chance aux fonctionnaires des villes moyennes pouvant pr tendre un tel recrutement Aussi il lui demande s il ne serait pas envi sageable d tablir une distinction entre ville moyenne et grande ville et d
411. uvi me chelon Une bonification d an ciennet de deux ans sera accord e aux conseillers d orientation psychologues nomm s avant le lef septembre 1992 et ayant atteint le quatri me chelon de leur grade Minist res et secr tariats d Etat ducation nationale jeunesse et sports personnel 27866 30 avril 1990 Mme Yann Piat attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la unesse et des sports sur les probl mes que rencontrent les inspecteurs d partementaux de l ducation nationale dans l exer cice de leur activit En effet charg s des trois fonctions indisso Ciables suivantes p dagogique administrative et relationnelle les inspecteurs d partementaux ont l impression d tre les laiss s poem te de l ducation nationale C est la raison pour aquelle ils r clament une relavorisation immediate de l ensemble de ieur carri re avec incidence sur les pensions de retraite une am lioration du r gime indemritaire r troactivement compter du 1e septembre 1989 et l obtention d un reclassem nt quitable dans les nouveaux corps d un taux de passage satistaisant du ler au 2 grade minimum 30 100 du corps des LE N et du corps des LE N celui des 1 8 d passant le 1 6 actuellement propos En cons quence elle lui demande s il a l intention de donner satisfaction aux inspecteurs d partementaux de l duca tion nationale R ponse L importance renouvel
412. v s par un d ficit budg taire structurel certes en diminution mais qui la piace sous tutelle budg talre une ins curit croissante faute de moyens de police suffisants et des retards consid rables dans les versements des subventions aux associations 11 lul rappelle que lors de son Intervention l occasion du colloque Villes en marche le 28 septembre dernier il r affirm toute l importance accord e aux associations dans la politique de la ville Dans le m me dis cours il a d nonc les lenteurs administratives Qui ont entrain une interruption d activit dans cetie m me ville I1 lui demande de lui pr ciser les d marches qu il compte entreprendre pour per mettre aux associations locales b n ficier avant 1 fin de l ann e 1990 des plus de 5 millions de francs de subventions actuellement en attente et dont pr s d un tiers est ant rieur 1990 et qui correspondent en grande partie des actions entre prises respectivement des salaires vers s tous les mois Il lui demande par ailleurs s il est envisag d accorder aux associa tlons en question des subventionnemnts exceptionnels leur per mettant de prendre en charge les frais inanciers tr s lev s caus s par ces retards de versements par rapport aux actions entreprises Il lui sugg re la mise disposition Imm diate des fonds accord s d s la d cision d attribution afin que les associa tions puissent en b n ficier au fur et mea
413. vail de cent dossiers par personne tous eflectifs confondus est tout fait supportable D apr s ces crit res le conseil de prud hommes de Metz devrait compter actuellement plus de vingt agents Enfin un des greffiers se trouve partir de novembre 1990 en cong de maternit La nomination d un greffier en septembre 1990 est tout fait insuffisante et le greffe risque de se trouver dans l im possibilit d assurer sa mission de service public et de rendre dans des d lais normaux les d cisions qu at endent les justi ciables Depuis quelques mois certaines t ches sont accomplies dans des conditions difficiles accueil des justiciables assistance aux conseillers prud hommes suivi de la documentation dont la connaissance est pourtant indispensable tant pour le greffe que pour les conseillers pr paration des bordereaux de vacations et des frais de d placement ce qui p nalise les conseillers Prochai nement il y a risque que des retards soient pris dans la notifica tion des d cisions voire dans le suivi mat riel des affalres en instance Le conseil de prud hommes de Metz ne peut supporter plus longtemps qu un greffier en chef soit mi temps d l gu dans un autre conseil et il est n cessaire qu intervienne un ren forcement de l quipe d agents techniques de bureau pour le porter l effectif budg taire th orique Les mutations tant quasi inexistantes dans la r gion l organisation d un concours r giona li
414. valu e au taux correspondant une incapacit compl te de l organe ou du membre affect Pour revenir plus de coh rence dans la mise en auvre du droit r paration le l gislateur a adopt la limitation de la valeur de chaque suffixe concurrence du taux de l infirmit laquelle il se rapporte lorsque celle ci est d compt e au dessous de 100 p 100 3 Pro portionnalit des pensioris militaires d invalidit la proportion nalit des pensions de 10 100 p 100 pr vue par la loi du 31 mars 1919 pour des tarifs alors exprim s en francs et non en points d indice et abandonn e d s 1921 constitue une revendica tion ancienne et prioritaire du monde combattant Son co t important n cessite une tude approfondie En effet compte tenu des conditions particuli res auxquelles est subordonn e l attribu tion des allocations de grands mutil s G M le r tablissement de la proportionnalit des indices de pensions d invalidit de 10 100 p 100 ne peut tre envisag dans l imm diat Le co t de cette mesure a t valu au 1 janvier 1988 1 444 milliard de francs 4 Campagne double il a t propos aux associations concern es de participer une r union qui doit se tenir au cours des prochaines semaines 5 Retraite anticip e aux anciens com battants d Afrique du Nord Tout d abord il convient de souli gner qu il n existe pas de g n rale d anticipation de la retraite avant l g
415. ve Par cons quent il lui demande s il envisage que cette mesure soit gal ment prise au o n fice du P L A facilitant ainsi les montages financiers qui sont parfois difficiles boucler sur des zones o le march du logemen est particuli rement tendu agglom ration urbaine dynamique Logement logement social 38460 12 novembre 1990 M Bernard Derosier attire l at tention de M le ministre de i quipement du iogement des transports et de ia mer sur l objectif du Gouvernement qui est de r habiliter 2000 3000 logements par an du patrimoine immobilier des houill res pour atteindre une r novation compl te de ce patrimoine en dix ans Cet objectif va s accompagner d un effort financier suppl mentaire de l Etat La diminution du nombre d habitants dans ces r gions en crise r v l e par les pre miers r sultats du recensement fait apparaitre un march du logement faible ou en diminution dans certains secteurs 11 sou haite savoir si cette production de logements r habilit s ne risque pas de cr er une concurrence n faste pour le patrimoine des organismes H L M eux m mes implant s dans ces zones en crise souvent class es en site D veloppement social urbain avec donc des besoins en restructuration urbaine ou en r habilitation pour les offices publics H L M importants Aussi souhaite t il connaltre ses intentions quant une programmation des cr dits d Etat destin e la r habilitation du pa
416. venu net imposable correspondant d termin apr s application d un abat tement de 25 p 100 lui demande s il envisage de r viser la hausse le montant de 21 000 francs qui est rest inchang depuis des ann es Imp t sur le revenu quotient familial 35446 12 novembre 1990 M Vivlen attire l atten tion de M le ministre d l gu au budget sur les dispositions actuelles qui permettent d accorder jusqu l ge de vingt cinq ans aux contiibuables une demi part pour chacun de leurs enfants poursuivant des tudes Au del de cet ge seule la d duction d une pension alimentaire est admise avec demande de justificatifs des d penses engag es pour les enfants poursuivant leurs tudes Or certains tudiants ceux de m decine notamment g n ralement leurs tudes jusqu vingt sept ans Il ui demande d valuer les incidences d une extension jusqu vingt sept ans du syst me des demi parts pour les tudiants dont le terme des tudes exc de vingt cinq ans Dans l hypoth se o la simulation montrerait une au plan fiscal entre le b n fice de la demi part et la d duction de la pension alimen taire justifi e ne para trait il pas opportun d adopter la premi re iet de r duire d autant les t ches administratives de v ri ication Imp t sur le revenu calcul 35451 12 novembre 1990 M Jean Pierre Balligand appelle l attention de M le ministre d l gu
417. vie ou un espace de libert on s expose y faire entrer des ind si rables et lui demande en consequence de bien vouloir lui pr ciser s il n envisage pas de recentrer l cole sur sa vocation ini tiale qui est d apporter le savoir aux l ves vocation dont elle n aurait jamais d s carter Enseignement secondaire enseignement technique et professionnel 35385 12 novembre 1990 M Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de natio maie de ia jeunesse et des sr its sur les dangers que fait peser sur nos fili res de formation technique la suppression du brevet de technicien Il est l heure actuelle l un des rares dipl mes our des l ves ayant choisi un cycle d enseignement court tre reconnu comme dipl me de haute valeur ses titulaires se plagant bien sur le march de l emploi Plut t que de le sup primer au profit d un baccalaur at trop g n raliste il serait plus opportun de mieux faire connaitre les d bouch s de cette fili re 12 novembre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 5185 Enseignement priv personnel 35419 12 novembre 1990 M Henri de Gastines appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de i ducation mationaie de ia jeunesse et des sports sur les diff rences importantes qui xistent entre l enseignement public et l enseigne ment priv en ce qui concerne les mesures de promotions et de revalorisations
418. viendra par d cret Aussi les travaux men s en col aboration troite avec les repr sentants des diff rentea profes sions int ress es au aein des groupes de travail qui se sont tenus en 1988 et 1989 ont ils abouti un projet de loi actuellement soumis l examen de la commission des affaires culturelles familiales et sociales de l Assembl e nationale Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34121 8 octobre 1990 M Louis de Broissia appelie nouveau l attention de M le miaistre des affaires sociales et de solidarit sur les pr occupations exprim es par le Syndicat national des masseurs kin sith rapeutes r durateurs Celles ci portent en effet sur le fait que d ann e en ann e toute d cision concernant cette profession et particuli rement son statut juri dique et la nomenclature de aes actes est perp tuellement repouas e De plus il semble que rien n est fait pour que le texte conventionnel existant soit respect par les caisses d assurance maladie En cons quence il lui demande de bien vouloir prendre les mesures n cessaires afin de r pondre aux l gitimes aspirations profesaionnels qui rendent d immenses services collec tivite Professions param dicales masseurs kin sitk rapeutes 34122 8 octobre 1990 M Pierre Goldberg attire l atten tion de M le mialstre des affaires sociales et de 1 solidarit aur les revendications de F d ration f
419. vo rables aux producteurs betteraviers et c r aliers Chasse et p che politique et r glementation 35859 12 novembre 1990 Jean Marie Demaage attire l attention de M le ministre de l agriculture et de ia for t sur la r ponse donn e par M le miitre d l gu aupr s du Premier ministre charg de 27 et de pr vention des risques technologiques et naturels majeurs sa question no 32612 parue au Journal officiel Assembl e nationale D bats parlemen taires questions du 15 octobre 1990 page 4844 aux termes de laquelle les dispositions relatives aux droits et devoirs propres aux adjudicaiaires des for ts domaniales sont fix es par un cahier des clfuses g n rales national et habituellement des clauses sp ciales qui concernent l ensemble des lots d une unit de gestion foresti re et des clauses particuli res propres chaque lot Ces dispositions locales sont d termin es par les chelons comp tents de l Office national des for ts qui sont seuls m me de donner les pr cisions propres chaque cas d esp ces Au vu de ces pr cisions il souhaiterait donc savoir s il a connaissance de dispositions propres au d partement de la Moselle qui per mettraient au titulaire du droit de chasse en for t domaniale d emp cher le gibier de circuler librement en employant diff rents moyens pour le retenir dans la for t 12 novembre 1990 Enseignement agricole pe
420. vrier 1990 laissant l alternative ouverte entre le classement de ces derniers dans la cat gorie Type et B ou CII indiciaire interm diaire des corps de B i en r sulte l examen du budget 1991 travail emploi que le Gouvernement ne semble pas s appr ter res pecter l engagernent pris devant la repr sentation nationale En cons quence il lui demande donc s il envisage le reclassement indiciaire professionne en cat gorie B afin que les engage ments pris par le Gouvernement soient maintenus Licenciement r glementation 35572 12 novembre 1990 M Andr Durom a interpelle M ie miaistre da travail de l empiol et de la formation pro fessioanelle quant l application du d cret n 89 861 du 27 novembre 1989 qui permet d assister un salari lors d un entretien pr alable en vue d une sanction ou d un licenciement 11 lui rappelle que ce texte comporte des lacunes graves en particu lier le que l assistance se fait comme pr cis dans le texte titre gratuit ce qui occasionne des pertes de salaire pour les militants 11 lui indique que malgr cela la C G T a fourni une liate de repr sentants pour le d partement de la Seine Maritime 11 lui signale par ailleurs qu en date du 27 avril un acte d Etat de la pr fecture de la Seine Maritime a t publi concernant quelques anciens conseillers prud hommes de F camp et que ie syndicat C G T a alors relanc le directeur d parteme

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