JNDN_55 2014 PRESS revue_press v0_50 (140325_1600 - AP-HM
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1. 52 Marie Christine MORIN 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a ACTUALIT S EN NUTRITION GLUTEN INTOL RANCE ET SENSIBILIT Mme M C MORIN Unit de Di t tique Th rapeutique H pital Nord Chemin des Bourrely 13915 Marseille cedex 20 Depuis quelques temps le th me des bienfaits de alimentation sans gluten est r guli rement abord par les m dias Il nest de ce fait pas facile de faire la diff rence entre un r el traitement et une alimentation sant port e par un courant Il est clair que l unique traitement de la maladie c liaque repose actuellement sur le r gime sans gluten RSG La sensibilit au gluten elle est une notion nouvelle laquelle il convient de rester l coute Son traitement passerait galement par la suppression du gluten Supprimer le gluten est en apparence simple mais n cessite en fait des connaissances tr s pr cises et une vigilance permanente Au quotidien adh rer un tel r gime s av re tre contraignant Aux patients dont le traitement impose un RSG il faut donner les moyens d y arriver Ceux ci doivent donc b n ficier d un accompagnement m dical et di t tique appropri 53 A K De Z 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition RZ Pr Patrice DARMON pdarmon ap hm fr 54 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt2. emes h Journ es Nationales de Dietetique 2 NUE 4 s p 1 E SA ee f p r r Pr Pa ce Vas v se gt DA EN Aa i DOSSIER DE PRESSE F2 v 2 A 4 L R Y a VE d Nn94 5 7 4 Pr sident Eror pe Let H PITAL DE LA TIMONE MARSEILLE 31 mars 1 2 avril 2014 lt e k s pea 31 mars 1 2 avril 2014 C CCC Le Comit d organisation adresse sesvifs remerciements aux Collectivit s aux Laboratoires et Soci t s qui gr ce a leur aide et soutien permettent la tenue de ces journ es nationales La ville de Marseille Le Conseil G n ral des Bouches du Rh ne La Caisse R gionale d Assurance Maladie du Sud Est CONSEIL GENERAL Du Et les laboratoires et soci t s SANOFI DIAB TE v8 ACTUALIT S EN DI T TIQUE ET NUTRITION ABIOSOME Compl ments alimentaires nutritionnels DANONE HOMEPERF Prestataire de service domicile JANSSEN LABORATOIRE D Plantes MONT ROUCOUS Eaux min rales naturelles 55 mes Journ es Nationales 0 1 4 de Di t tique et de Nutrition AN REVUE DE PRESSE DU CONGR S ANNUEL DES JNDN R DACTION ADMINISTRATION COMITE SCIENTIFIQUE H pital Sainte Marguerite Martine ARMAND Service du Pr D Raccah Thierry C COSTE Pavillon 6 4 tage pe 270 Boulevard de Sainte Marguerite Patrice DARMON 13 009 Marseille Charles S MERCIER T l 04 91 49 69 98 si RACCAH
3. Or les personnes qui ont une alimentation plus riche en aliments sources d antioxydants ont statistiquement moins de risque de survenue de ces affections Le probl me est que l immense majorit des tudes o des com pl ments alimentaires antioxydants ont t donn s des sujets n ont montr aucun b n fice voire dans certains cas un risque ac cru de cancer chez les fumeurs Alors que faut il en penser Que faut il faire et manger Qui et que faut il croire 67 lt E PA g D S N PN 4 68 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition ASA XO7 LU POUR VOUS Guide des aliments ANTIOXYDANTS Juliette Pouyat Lecl re Thierry Souccar Editions et LaNutrition fr ISBN 978 2 36549 032 0 102 pages prix 6 99 2013 Juliette Pouyat Lecl re Docteur es sciences journaliste scientifique sp cialis e en nutrition et sant veut avec cet ouvrage nous faire comprendre les ph nom nes oxydatifs qui ont un retentissement n gatif sur notre sant et clairer nos choix alimentaires pour lutter contre eux Apr s une partie th orique tr s abordable dans laquelle tous les termes sont clairement d finis les rappels aux diff rentes mesures et tudes bien relativis s nous voil pourvus d une liste d aliments dont le pouvoir antioxydant est clairement indiqu dans le but de nous aider
4. F4 MA 7 AN T a ACTUALIT S EN NUTRITION ALIMENTATION M DITERRAN ENNE ET PR VENTION CARDIOVASCULAIRE PRIMAIRE L TUDE PREDIMED Pr P DARMON Service de Nutrition Maladies M taboliques et Endocrinologie H pital Sainte Marguerite 13274 Marseille Cedex De nombreuses tudes d observation ont montr une corr lation inverse entre adh sion au r gime m diterran en et risque de diab te de type 2 de maladie cardiovasculaire et de mortalit ce jour la plus c l bre tude prospective randomis e visant valuer les b n fices de ce type de r gime tait la Lyon Diet Heart Study publi e la fin des ann es 1990 et montrant chez des patients en pr vention secondaire apr s un infarctus du myocarde qu un r gime de type m diterran en tait associ une r duction de 50 70 du taux de mortalit et d v nements cardiovasculaires 4 ans L tude PREDIMED est une tude espagnole visant valuer le b n fice de l alimentation m diterran enne sur le plan cardiovasculaire chez 7447 patients haut risque en pr vention primaire Il s agit d une vaste tude multicentrique randomis e contr l e comparant deux types de r gimes m diterran ens le premier suppl ment en huile d olive extra vierge le second suppl ment en noix et d un r gime contr le hypolipidique Les sujets inclus taient des hommes g s de 55 80 ans et des femmes g es de 60 80 a
5. d mie d ob sit particuli rement dans les pays occidentaux La NASH Non Alcoholic Steato Hepatitis ou h patite st atosique non alcoolique repr sente actuellement la pathologie h patique chro nique la plus r pandue 3 10 de la population g n rale avec une pr valence inqui tante chez les enfants et adolescents C est un probl me de sant publique entra nant des co ts de sant non n gligeables L volution de la NASH est induite par l insulinor sistance et l ob sit andro de la s dentarit et une alimentation d s quilibr e sont des facteurs favorisants De nombreuses tudes ont prouv efficacit de la perte de poids progressive et du r gime alimentaire pour pr venir voire inverser la progression de la pathologie laquelle non trait e peut voluer vers la fibrose la cirrhose et le cancer La prise en soin nutritionnelle est donc primordiale dans le traite ment de la NASH associ e bien s r aux autres th rapeutiques et la pratique d une activit physique r guli re La r duction mod r e des apports nerg tiques la r duction de exc s de glucides notamment du fructose la r partition lipidique avec apport optimal des AGPI w3 la suppl mentation en vitamine E ont un effet b n figue L ajout de pro ou pr biotiques pourrait galement s av rer int ressant 19 lt E PA g D S N PN 4 20 55 mes Journ es Nationales de Di t
6. 04913415 69 e mail jndietetique orange fr e Secr tariat du congr s partir du Lundi 31 mars 2014 H pital Adulte de La TIMONE 264 Rue Saint Pierre 13 385 MARSEILLE Cedex 05 T l 04 91 49 69 98 Le secr tariat sera ouvert dans le hall de l H pital de l amphith tre HA1 Le lundi 31 mars 2014 d s 13 h 00 Les mardi 1 et mercredi 2 avril 2014 d s 8 h 30 2 31 mars 1 2 avril 2014 CCC 2 1113SAVN 3NOWIL YVI 30 IVIIdOH 31 mars 1 2 avril
7. Fax 04 91 34 15 69 Florence ROSSI e mail jndietetique orange fr DIRECTEUR DE PUBLICATION Charles Symphorien MERCIER PUBLICITE IMPRESSION DIFFUSION DFS JOURNEES NATIONALES 1140 Rue AMPERE ACTIMART DE DIETETIQUE ET NUTRITION 3 All e des INGENIEURS H pital Sainte Marguerite 13851 AIX EN PROVENCE CEDEX 3 Service du Pr D Raccah Pavillon 6 46 tage T l 04 42 90 04 21 270 Boulevard de Sainte Marguerite Fax 04 42 90 04 75 13 003 Marseille T l 04 91 49 69 98 Fax 04 91 34 15 69 e mail indietetique orange fr Les articles sign s n engagent que la responsabilit de leurs auteurs Commission Paritaire A S 73 027 D p t l gal 18 d cembre 2008 Illustration couverture M B FRANCHAISE Mise en forme amp R alisation DrC S MERCIER A D K e RZ 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition ditorial Chers Amis Nous sommes nouveau tr s heureux de vous accueillir Marseille pour ces 55 Journ es Nationales de Di t tique et de Nutrition Le programme est organis autour de sessions th matiques approfondies qui vont s int resser cette ann e aux complications h patiques du syndrome m tabolique aux nouveaux traitements et perspectives dans le diab te de type 2 aux effets sant de diff rentes structures et matrices alimentaires et nous perp tuons cette ann e encore la session consacr e aux actualit s en nutrition La premi re session sera consacr e aux c
8. ga 3 pour piloter leur deve nir dans l organisme en ciblant une ou plusieurs des tapes impli qu es dans la biodisponibilit 38 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 39 4 lt k Z LA 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 4 Dr Anthony FARDET anthony fardet clermont inra fr 40 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T n STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT SUCRES LENTS PR HYDROLYSE GERMINATION ET PR FERMENTATION DES MATRICES V G TALES Dr A FARDET Charg De Recherches INRA UMR 1019 UNH CRNH Auvergne Clermont Universit Universit d Auvergne Unit de Nutrition Humaine BP 10448 F 63000 CLERMONT FERRAND France La qualit nutritionnelle des produits alimentaires d origine v g tale peut tre am lior e par de nombreux proc d s technolo giques plus ou moins drastiques Parmi les proc d s drastiques on distingue notamment la cuisson extrusion et le raffinage Ces 2 trai tements g n ralement diminuent la valeur nutritionnelle des produits v g taux soit en r duisant drastiquement les teneurs en compos s bioactifs d int r t densit nutritionnelle via le raffinage soit en d s tructurant la matrice alimentaire d origine et en g latinisant l amidon excessivement cuisson extrusion hautes pressions Aujourd hui on recherche des trai
9. mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a ACTUALIT S EN NUTRITION PHOSPHATIDYLS RINE ET TROUBLES COGNITIFS Dr Thierry C COSTE Directeur scientifique de Novastell ZI Chemin de la Porte Rouge 27150 Etr pagny Les phospholipides sont des constituants essentiels de nos membranes cellulaires Les phospholipides et les acides gras qui les constituent vont influencer la fois la fluidit membranaire mais galement l activit de certaines prot ines membranaires ainsi que les voies de signalisation Parmi les diff rents phospholipides des Suppl mentations avec de la phosphatidyls rine ont t particu li rement tudi es dans toute une s rie de pathologies cognitives au sens large la phosphatidyls rine se retrouvant particuli rement concentr e dans le cerveau Les effets b n fiques d une suppl mentation en phosphatidyls rine ont t observ s depuis la fin du si cle dernier dans la pr vention du d clin cognitif les maladies neurod g n ratives le stress et le trouble du d ficit de l attention avec hyperactivit L apparition d une nouvelle phosphatidyls rine li e aux acides gras om ga 3 a permis de combiner un apport en phosphatidyls rine et en acides gras om ga 3 avec des r sultats encourageants dans ces pathologies L efficacit de la phosphatidyl s rine li e ou non aux acides gras om ga 3 dans le traitement des troubles cognitifs re
10. t tique et Nutrition COMPLICATIONS H PATIQUES DU SYNDROME M TABOLIQUE NASH pronostic et volution vers la cirrhose Dr P BORENTAIN Marseille NASH prise en charge th rapeutique hors di t tique Dr I PORTAL Marseille Prise en soin nutritionnel de la NASH Mme O CASTELLO Marseille d a RE CU LE 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition RZ Dr Patrick BORENTAIN 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D F4 MA g 7 A T a COMPLICATIONS H PATIQUES DU SYNDROME M TABOLIQUE NASH PRONOSTIC ET VOLUTION VERS LA CIRRHOSE Dr P BORENTAIN Service d H pato Gastroent rologie de la Conception Unit Mixte de Recherche 911 27 boulevard Jean Moulin 13385 Marseille cedex 05 La NAFLD et la NASH repr sentent un probl me mondial majeur de sant publique qui touche aussi bien les pays riches que les pays pauvres Il n existe actuellement pas suffisamment d vidence pour justifier un screening pour la NASH la maladie h patique avanc e dans la population g n rale Il est imp ratif d tablir un diagnostic chez tous les patients qui pr sentent des facteurs de risque pour une NASH Les patients avec facteurs de risque n auront pas tous une NAFLD ou une NASH inversement tous les patients avec une NASH ne pr sentent pas les facteurs de risque habituels Il n est pas n cessaire d instaurer un traitement agressif chez tous
11. d un m lange entre un corps gras et un l ment aqueux Elle pr sente l avantage d augmenter la dispersibilit de la vitamine D3 chaque micro gouttelette se m lange facilement dans un liquide 1 goutte 10 ug 400 UI 200 des AJR Quel que soit votre ge avoir un bon taux de vitamine D est n cessaire toute la famille La S4D Plantes LABORATOIRE Compl ment alimentaire d apport en vitamine D3 Pourquoi retenir cette vitamine D3 Pas de go t particulier pas d odeur tr s facile d en faire un geste quotidien le matin au petit d jeuner La vitamine D3 Emulsion se disperse et se dissout tr s facilement dans un liquide de l eau un jus de fruits du lait Convient toute la famille et particuli rement aux personnes qui pr sentent une fragilit digestive 1 goutte par jour toute l ann e pour toute la famille 4 Conseil d utilisation prendre 1 goutte par jour dilu e dans un verre d eau Pendant 1 mois renouveler Agiter le flacon avant emploi Conserver au frais Colorant 23 Flacon compte gouttes Gluten de 30 ml R f 0284030 04 75 53 80 09 www dplantes com 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D G A D a li 59 ZA 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 60 Dr Thierry C COSTE thierry coste novastell com 55
12. et maladies m taboliques au CHRU de Lille et l Institut Pasteur de Lille Nous lui avons demand de venir faire le point avec nous sur les antioxydants dans tout le monde a entendu parler mais dont personne ne sait exactement ce qu ils sont et surtout quand comment et pourquoi les utiliser Je tiens remercier les membres du comit d organisation pour leur d vouement leur travail et leur efficacit ainsi que les m c nes des industries pharmaceutiques et agroalimentaires qui nous apportent leur soutien L aide de collectivit s locales est importante et particuli rement appr ci e commencer par l Assistance Publique H pitaux de Marseille et la Facult de M decine de Marseille qui permettent ces Journ es de se d rouler en leurs locaux la Caisse R gionale d Assurance Maladie du Sud Est la Ville de Marseille a N lt Ai e e S 4 K 4 zi 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 5 y K 4 2o ditorial le Conseil G n ral des Bouches du Rh ne et le Conseil R gional Provence Alpes C te d Azur Tous ces acteurs priv s et institutionnels permettent chaque ann e le bon d roulement et participent au succ s de ces Journ es Je vous souhaite un tr s bon s jour Marseille qui certes n est plus en 2014 la Capitale Europ enne de la Culture mais qui sera la Capitale Fran aise de la Nutrition puisque Marseille aura galement le plaisir d accueillir
13. les int grer notre alimentation quotidienne D o l on retient que fruits et l gumes sont des bienfaits que leurs couleurs rouge et orang sont int ressantes et que le secret de la bonne sant r side dans une alimentation tr s vari e et moins carn e Le meilleur m dicament c est vous Dr Fr d ric Saldmann Editions Albin Michel ISBN 978 2 226 24536 6 260 pages prix 18 90 2013 Ce livre est pr sent par son auteur cardiologue nutritionniste et sp cialiste de la m decine pr dictive r put comme une ordonnance pas de m dicaments mais la d livrance d un secret pour loigner la maladie et bien vieillir savoir contr ler son poids am liorer son alimentation et avoir une activit physique r guli re Ce n est pas vraiment un secret mais ce livre a le m rite de mettre simplement en avant toutes une s rie de recommandations appliquer sans attendre par nos concitoyens pour tre acteur de leur sant La pr vention primaire pour corriger les causes et non les effets n cessite d activer le pouvoir de gu rison qui sommeille en nous tous dans notre cerveau et tout le reste de notre corps se soigner par une alimentation saine et r duquer sa sati t le je ne s quentiel par simple pression des doigts en choisissant la bonne posture corporelle en dormant mieux en boostant son cerveau et sa m moire avec 30 minutes quotidiennes d exercices physi
14. les patients avec une st atose Un r gime appropri et un programme d exercice physique devraient tre mis en place chez tous ces patients Une biopsie h patique devrait tre pratiqu e uniquement chez les patients avec des facteurs de risque pour une NASH et ou d autres maladies h patiques Les patients avec une NASH ou des facteurs de risque pour une NASH devraient d abord tre trait s par un r gime amaigrissant et un programme d exercice physique avec l adjonction ventuelle de vitamine E ou de pentoxifylline Un traitement exp rimental ne devrait tre envisag que par des praticiens exp riment s et uniquement chez les patients qui n ont pas r ussi atteindre une perte pond rale de 5 10 apr s 6 mois une ann e de modification r ussie de leur style de vie 11 A K CU LE 4 27 y A o 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Une chirurgie bariatrique devrait tre envisag e chez les patients chez qui les mesures d crites ci dessus ont chou et elle devrait en tout cas se faire avant que les patients ne d veloppent une cirrhose Une transplantation h patique peut tre couronn e de succ s chez les patients r pondant aux crit res d une insuffisance h patique mais une NASH peut se reproduire apr s transplantation les patients avec une ob sit morbide peuvent se voir refuser une transplantation La NAFLD et la NASH sont en train de devenir un probl me de plus en
15. pharmacologiques Ainsi le resv ratrol est un antagoniste du r cepteur aux hydrocarbures et pr vient ainsi de l effet n faste de certains polluants environnementaux dioxine fum e de tabac particules diesel etc Il poss de aussi des propri t s anti inflammatoires en inhibant les voies NF KB et AP 1 Enfin il est impliqu dans la protection cardiovasculaire R cemment notre laboratoire a montr que cette mol cule se comportait comme un pr biotique en normalisant la flore intestinale alt r e par un r gime riche en graisse De plus la fonction intestinale physiologique est restaur e et l intestin s cr te nouveau l hormone intestinale GLP 1 qui r gule la s cr tion d insuline Le resv ratrol appara t donc comme une mol cule de choix en compl ment d une th rapeutique antidiab tique ou en pr vention de l installation de la pathologie 31 1 lt F4 _ 8 2 A S N D 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Mme Patricia FIQUET patricia fiquet cch aphp fr 32 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D F4 MA g 7 AN T a NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 LA PLACE DE L INDEX GLYC MIQUE DANS L DUCATION DU PATIENT DIAB TIQUE Mme P FIQUET H pital Cochin APHP Unit de di t tique 27 rue du Faubourg Saint Jacques 75014 Paris Pendant tr s longtemps les patien
16. A z S Dr Martine ARMAND martine armand univ amu fr 36 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 3 A 8 A gt N ZN AN KA ee STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT MATRICES LIPIDIQUES ET R GULATION DE LA BIODISPONIBILIT DES LIPIDES Dr Martine ARMAND Di t ticienne Chercheur INSERM Ph D en Nutrition UMR CNRS 7339 CRMBM Aix Marseille Universit Facult de M decine Timone Marseille Les lipides sont des nutriments indispensables la vie et les recommandations nutritionnelles stipulent qu ils doivent couvrir 30 40 des apports nerg tiques totaux lls jouent en effet de multiples r les dification des membranes de toutes les cellules de notre organisme production d nergie ATP via la B oxydation r serve nerg tique pr curseurs de la synth se de m tabolites impliqu s dans diff rents processus inflammation immunit neu roprotection h modynamique expression de g nes La biodispo nibilit des lipides alimentaires 96 triglyc rides 2 4 phos pholipides 0 5 1 de cholest rol est assur e par toute une s rie d tapes savoir la digestion par les lipases du tube digestif esto mac intestin gr le proximal ou duod num l absorption par l intes tin la resynth se dans l ent rocyte le transport dans la circulation sanguine sous forme de livoprot ines et l utilisation cellulaire au niveau des organes Cependant u
17. am bellet 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition SESSION OUVERTE AVEC D BAT lt F4 MA 7 AN T a ANTIOXYDANTS FAUT IL Y CROIRE Pr J M LECERF Service de Nutrition Institut Pasteur de Lille Que sait on des antioxydants On croit tout savoir lIs sont sur la devanture des pharmacies et sur les publicit s des cos m tiques et des compl ments alimentaires Pour la plupart des consommateurs cela reste cependant flou On leur attribue tous les bienfaits possibles contre les pathologies modernes les m faits du vieillissement voire contre le vieillissement jouvence d ternit Apr s tout ils liminent la rouille de l organisme Qu en est il en v rit Qui sont ils d abord Un ensemble de mol cules extr mement nombreuses appartenant de tr s nombreuses cat gories de nutriments et de microphytoconstituants IIS s op posent effectivement des mol cules agressives mais parfois utiles que l on appelle radicaux libres issues de la respiration et produits en exc s sous l effet de certains facteurs pollution tabac rayon nements divers exc s de sport inflammation infection nutriments oxyd s Ce d s quilibre entre les deux g n re ce que l on appelle le stress oxydatif Celui ci va entra ner des alt rations des prot ines tissulaires des lipides circulants et de l ADN cellulaire facteurs de pathologies d g n ratives li es l ge
18. ar voie orale prolongeant la demi vie du GLP 1 endog ne et d agonistes du r cepteur du GLP 1 adminis tration par voie sous cutan e plus r sistants l action enzyma tique de cette enzyme a permis d introduire une nouvelle classe de m dicaments permettant de compl ter l arsenal th rapeutique de lutte contre le diab te de type 2 Au niveau de la strat gie th rapeutique ces mol cules se positionnent de fa on compl men aire aux traitements d j existants que ce soit la Metformine ou l insuline permettant un meilleur contr le de l excursion glyc mique postprandiale et de la glyc mie basale une am lioration de l h moglobine glyqu e et de la survenue d hypoglyc mies mais galement moins de prise de poids 25 J 26 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition R F RENCES Dr Laurent MOLINES 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 LES INHIBITEURS DU SGLT2 Dr L MOLINES H pital Sainte Marguerite CHU MARSEILLE De nombreuses classes th rapeutiques antidiab tiques sont actuellement disponible pour la prise en charge du dia b te de type 2 Une nouvelle classe d hypoglyc miants oraux va prochainement tre commercialis e celle des inhibiteurs de SGLT2 Ceux ci vont r duire la r absorption du glucose au niveau du tubule contourn
19. aspects r glementaires Ce livre est en parfait accord avec notre 21 me si cle qui se doit d tre plus protecteur de la sant du consommateur en renfor ant la s curit alimentaire et en proposant des alternatives l utilisation de conservateurs chimiques dans les aliments transform s ici la biopr servation Ouvrage tr s int ressant et bien construit Structure des aliments et effets nutritionnels Anthony Fardet Isabelle Souchon Didier Dupont coordinateurs Editions QUAE Collection SYNth ses ISBN 978 2 7592 2012 0 461 pages prix 65 2013 Cet ouvrage tr s complet est le fruit du travail coll gial de 56 chercheurs en Nutrition et en Sciences des Aliments Inra Inserm Cirad Universit s sous la coordination notamment de Anthony Fardet charg de recherche en Nutrition Humaine l Inra Il nous livre travers 5 parties et 28 chapitres les donn es les plus r centes sur tout ce qu il faut savoir sur la physiologie digestive les diff rentes matrices alimentaires classiques les avanc es dans la mod lisation du devenir digestif des aliments en recherche pour terminer sur l exploitation des 72 connaissances acquises dans la cr ation de nouvelles matrices nutritionnelles plus fonctionnelles c est dire permettant d atteindre un effet sant cibl suivant le groupe de population concern e enfants seniors traitement de pathologies ou pr vention des maladies Ce livre est indis
20. cette ann e les 52 mes Journ es d tude de l AFDN Association Fran aise des Di t ticiens Nutritionnistes du 5 au 7 juin Denis RACCAH Pr sident des Journ es Nationales de Di t tique amp Nutrition 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition A 2 lt y w a A A S A C2 D 8 PN 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Sommaire DITORIAL COMPLICATIONS H PATIQUES DU SYNDROME M TABOLIQUE NASH physiopathologie sssssssnessssesssseessseesssressso Pr R GEROLAMI Marseille NASH pronostic et volution vers la cirrhose Dr P BORENTAIN Marseille NASH prise en charge th rapeutique hors di t tique Dr I PORTAL Marseille Prise en soin nutritionnel de la NASH esseseeneeneneesseene Mme O CASTELLO Marseille NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 Les iNcCr tinesS ana na asso airs dose Pr D RACCAH Marseille Les inhibiteurs du SOLE scescssne dei ndaiossecs Dr L MOLINES Marseille Le resv ratrol au service du diab te Dr E SER E Marseille La place de l index glyc mique dans l ducation du patient diab tique Mme P FIQUET Paris STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT Matrices lipidiques et r gulation de la biodisponibilit des LE 0 ET Dr M ARMAND Marseille Sucres lents pr
21. er l utilisation postprandiale des acides amin s pour la synth se des prot ines cor porelles Par contre la g lification du lait en ralentissant la vidange gastrique pourrait au contraire avoir un effet n gatif sur l assimilation des prot ines La structure des aliments semble avoir peu d effet sur la nature des peptides lib r s lors de la digestion Cependant en modifiant leur cin tique d apparition elle pourrait conduire l accu 43 A K CU LE 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 27 K 4 o mulation transitoire de certains dans la lumi re digestive pouvant justifier une activit biologique locale ou p riph rique int ressante pour la sant humaine peptides bioactifs Les manipulations de la structure des aliments par les proc d s de transformation chauf fage formation de gel hachage marinage etc constituent ainsi des leviers int ressants pour optimiser la qualit nutritionnelle des sources de prot ines 44 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 45 7 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D F4 _ A K X Rachel PONTCHARRAUD pontcharraud r chu toulouse fr 46 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D 4 E MA 7 5 T a STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT GESTION DI T TIQUE DES ALLERGIES ALIMENTAIRES Mme Rachel PONTCHARRAUD d
22. guerite 13 009 Marseille T l 04 91 49 69 98 Fax 04 91 34 15 69 e mail jndietetique orange fr 4 6 a S A a eSa 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 Les incr tines Pr D RACCAH Marseille Les inhibiteurs du SGLT2 Dr L MOLINES Marseille Le resv ratrol au service du diab te Dr E SER E Marseille La place de l index glyc mique dans l ducation du patient diab tique Mme P FIQUET Paris 23 ha 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 24 Pr Denis RACCAH 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 LES INCR TINES Pr D RACCAH H pital Sainte Marguerite CHU MARSEILLE L anomalie de la voie des incr tines est l une des derni res d couvertes dans la physiopathologie complexe du diab te de type 2 Les incr tines GLP 1 et GIP sont des hormones intesti nales qui renforcent la s cr tion d insuline et inhibent la s cr tion de glucagon apr s un repas contenant des glucides permettant un meilleur contr le de l hom ostasie glyc mique Ces incr tines sont tr s vite d grad es apr s leur lib ration intestinale par une enzyme appel e DPP4 La mise au point d inhibiteurs de cette enzyme administration p
23. hain essai de r introduction Le di t ticien a alors un grand r le jouer afin d adapter ses conseils la situation individuelle de chaque patient et de sa famille ge habitudes alimentaire dose introduire etc ce qui va contribuer la r ussite de ce traitement 47 A K DS Z 4 27 K A 2o 48 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition En parall le des s ances d ducation th rapeutique de groupe sont propos es pour les patients pr sentant des poly allergies ou des allergies s v res Celles ci permettent de r actualiser les connais sances et les pratiques quotidiennes li es lallergie 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 49 lt E PA g D S N PN 4 50 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt A A N ZN AN KA E gt 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition ACTUALIT S EN NUTRITION Gluten intol rance et sensibilit Mme M C MORIN Marseille Alimentation m diterran enne et pr vention cardiovasculaire primaire l tude PREDIMED Pr P DARMON Marseille Phosphatidyls rine et troubles cognitifs Dr T C COSTE tr pagny Le site internet C tojaime un outil destin au professionnel etau patient pour le r gime c tog ne Mme D VINCENT Strasbourg 51 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition RZ m
24. hydrolyse germination et pr fermentation des matrices v g tales Dr A FARDET Clermont Ferrand Matrices alimentaires et m tabolisme prot ique Dr D R MOND Clermont Ferrand Gestion di t tique des allergies alimentaires Mme R PONTCHARRAUD Toulouse 002 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D A 8 A gt N ZN AN H Poo N ACTUALIT S EN NUTRITION Gluten intol rance et sensibilit 053 Mme M C MORIN Marseille Alimentation m diterran enne et pr vention cardiovasculaire primaire l tude PREDIMED 055 Pr P DARMON Marseille Phosphatidyls rine et troubles cognitifs 061 Dr T C COSTE tr pagny LesiteinternetC tojaime un outildestin au professionnel et au patient pour le r gime c tog ne 063 Mme D VINCENT Strasbourg CONF RENCE D BAT OUVERTE AU GRAND PUBLIC SUR INSCRIPTION Antioxydants faut il y croire 2 067 Pr J M LECERF Lille LU POUR VOUS 069 AGENDA 075 Le Comit d Organisation n est pas en mesure de publier le texte de cette intervention et vous prie d accepter ses excuses lt E PA g D S N PN 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 4 lt 16 a N A a s T 55 mes Journ es Nationales de Di
25. i t ticienne 330 avenue de Grande Bretagne TSA 70034 31059 TOULOUSE CEDEX 9 Chaque di t ticien tout en ayant des pratiques profession nelles communes poss de ses sp cificit s dans la prise en charge des patients allergiques Sur prescription m dicale j interviens aupr s d enfants de 0 16 ans lors de consultations externes d hospitalisations de jour ou de s ances d ducation th rapeutique de groupe La d couverte de l allergie alimentaire la diversification alimentaire la r introduction de l allerg ne l induction de tol rance orale et les s ances d ducation th rapeutique sont les motifs principaux de demande de prise en charge di t tique Lors de la d couverte de l allergie les points cl s aborder sont le r gime d viction la r glementation de l tiquetage et la gestion du quotidien Au moment de la diversification les conseils seront ax s sur la n cessit d une diversification identique celle d un enfant du m me ge ne souffrant pas d allergie sauf pour le ou les aliments exclure Lorsque le moment de r introduire l aliment est possible la mission du di t ticien est d aider et de rassurer les familles gr ce des conseils concrets tr s pratiques Si la r introduction compl te de l aliment n est pas encore possible l allergologue peut tre amen prescrire une induction de tol rance orale ITO quotidienne sur une dur e minimum de 6 mois avant le proc
26. ier R MOND Dr V ronique SANT LHOUTELLIER Dr Didier DUPOND 1 UMR1019 Unit de Nutrition Humaine INRA de Clermont Fd Theix 63122 St Gen s Champanelle 2 UR370 Qualit des Produits Animaux INRA de Clermont Fd Theix 63122 St Gen s Champanelle 3 UMR1253 Science et Technologie du Lait et de l uf INRA de Rennes Agrocampus Ouest 35042 Rennes L impact de la structure des aliments sur leurs propri t s biologiques et nutritionnelles est un sujet d int r t r cent Les tra vaux r alis s sur les produits laitiers et les produits carn s princi pales sources de prot ines dans notre alimentation montrent que la matrice alimentaire ses diff rentes chelles peut modifier le potentiel nutritionnel des prot ines qu elle renferme A l chelle mi croscopique les modifications de conformation des prot ines et les agr gations mol culaires qui ont des effets oppos s sur l accessi bilit des enzymes digestives leurs sites de coupure participent la d termination de la vitesse de digestion Celle ci est galement affect e par la structure macroscopique des aliments notamment le degr de d structuration dans le cas des aliments solides La vitesse de digestion est un param tre important dans la d termination de l efficacit d utilisation des prot ines alimentaires surtout chez les personnes g es Par exemple pour ces personnes le hachage de la viande en acc l rant la digestion permet d optimis
27. ne consommation excessive de lipides et qualitativement d s qauilibr e trop d acides gras satur s et de cholest rol trop d acides gras polyinsatur s om ga 6 et pas assez d acides gras polyinsatur s om ga 3 sera responsable du d veloppement de maladies cardiovasculaires diab te ob sit syndrome m tabolique hyperlipid mies l inverse il existe des probl mes d insuffisances transitoires ou irr versibles de diges tion absorption biosynth se notamment des om ga 3 nouveau n s terme ou pr matur s mucoviscidose vieillissement situa tions de d faut de fonctionnement des d saturases longases Il s av re donc n cessaire de mettre en place des strat gies nutritionnelles pour un meilleur contr le de la biodisponibilit des lipides alimentaires afin de la limiter ou de l am liorer suivant la 37 A K DS Z 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 27 K A 2o situation concern e Les chercheurs du secteur acad mique et les industriels sp cialis s en agroalimentaire ou en nutrition clinique recherchent activement des matrices alimentaires lipidiques fonc tionnelles effet sant La plupart des d marches visent mettre profit les propri t s physicochimiques intrins ques des lipides organisation des globules lipidiques granulom trie et composi tion de la surface interfaciale structure mol culaires des lipides vecteurs sp cifiques d apport des om
28. ns sans ant c dent cardiovasculaire mais pr sentant soit un diab te de type 2 50 de la population soit au moins trois autres facteurs de risque donc haut niveau de risque cardiovasculaire Sur la base des r sultats interm diaires l tude PREDIMED a t interrompue apr s une m diane de suivi de 4 8 ans L analyse multivari e montre un b n fice significatif des deux modes d alimentation m diterran enne par rapport au 55 56 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition r gime contr le r duction de 30 du crit re primaire infarctus du myocarde accident vasculaire c r bral ou d c s d origine cardiovasculaire dans le groupe r gime m diterran en enrichi en huile d olive et de 28 dans le groupe r gime m diterran en enrichi en noix Les deux r gimes m diterran ens conf rent une protection cardiovasculaire de niveau quivalent Par ailleurs parmi les 3541 patients initialement indemnes de diab te il existe une diminution significative 40 du risque de d velopper un diab te de type 2 dans le groupe r gime m diterran en enrichi en huile d olive versus r gime contr le cet effet favorable persiste apr s ajustement sur les facteurs confondants et n est pas li une perte de poids Au final la publication de l tude PREDIMED constitue un v nement important dans le domaine de la nutrition puisqu elle vient confirmer avec un haut niveau de
29. ntifique comment une d faillance ou un moins bon fonctionnement de l un de ces quatre maillons peut donner lieu des perturbations d ordre fonctionnel troubles de l humeur diarrh es tendinites Dans une troisi me partie et selon le concept des poup es russes l auteur insiste sur la n cessit de consid rer les nutriments en fonction de leurs interactions nerg tiques fonctionnelles nutrig nomiques i e possibilit de moduler l activit de certains g nes et digestives laissant ainsi de c t la vision traditionnelle et le dogme du contenu exclusivement nerg tique de l assiette La derni re partie de l ouvrage est consacr e des conseils pratiques permettant d accompagner les individus dans leurs pratiques sportives Des exemples de menus pour les jours pr c dents une comp tition sont ainsi fournis Une mine d or pour les apprentis coureurs et les marathoniens chevronn s qui ont entre les mains et dans les baskets les ingr dients n cessaires la r alisation des plus belles performances Poids mode d emploi en finir avec les r gimes ama grissants Dr Sylvain Ch dru Editions Mosa que Sant ISBN 978 2 849 39079 5 256 pages prix 14 90 2013 Apr s l avoir d finie l auteur met en exergue le caract re complexe et multifactoriel de l ob sit Il voque les diff rentes d marches d raisonnables face au poids Bonne approche globale qui insiste su
30. nts avec facteurs de risque n auront pas tous une NAFLD ou une NASH inversement tous les patients avec une NASH ne pr sentent pas les facteurs de risque habituels Il n est pas n cessaire d instaurer un traitement agressif chez tous les patients avec une st atose Un r gime appropri et un programme d exercice physique devraient tre mis en place chez tous ces patients Une biopsie h patique devrait tre pratiqu e uniquement chez les patients avec des facteurs de risque pour une NASH et ou d autres maladies h patiques Les patients avec une NASH ou des facteurs de risque pour une NASH devraient d abord tre trait s par un r gime amaigrissant et un programme d exercice physique avec l adjonction ventuelle de vitamine E ou de pentoxifylline Un traitement exp rimental ne devrait tre envisag que par des praticiens exp riment s et uniquement chez les patients qui n ont pas r ussi atteindre une perte pond rale de 5 10 apr s 6 mois une ann e de modification r ussie de leur style de vie 15 A K CU LE 4 27 K A 2o 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Une chirurgie bariatrique devrait tre envisag e chez les patients chez qui les mesures d crites ci dessus ont chou et elle devrait en tout cas se faire avant que les patients ne d veloppent une cirrhose Une transplantation h patique peut tre couronn e de succ s chez les patients r pondant aux crit res d
31. omplications h patiques du syndrome m tabolique et particuli rement la NASH Non Alcoholic Steato Hepatitis En effet cette affection est totalement asymptomatique dans une grande majorit des cas et il para t donc essentiel de mieux conna tre sa physiopathologie son pronostic et son volution vers la cirrhose ainsi que l arsenal th rapeutique disponible pour sa prise en charge La prise en soin nutritionnel de la NASH qui est un compl ment indispensable de la th rapie sera galement abord e La seconde session fera le point sur les nouveaux traitements et les perspectives dans le diab te de type 2 En effet il nous a paru int ressant de faire le point sur les nouvelles classes de m dicaments disponibles mol cules utilisant la voie des incr tines ainsi que les inhibiteurs du SGLT2 et leur positionnement dans la strat gie th rapeutique du patient diab tique de type 2 Outre ces mol cules m dicamenteuses le potentiel th rapeutique du resv ratrol polyph nol naturel pr sent dans le raisin noir sera galement voqu et notamment son action sur la voie des incr tines Enfin l accent sera mis sur l index glyc mique qui reste un outil important dans l ducation th rapeutique du patient diab tique de type 2 et qui devrait tre plus largement utilis Lors de la troisi me session nous nous int resserons aux effets sant pouvant r sulter d une modification de la structure des aliments En effet la biodis
32. otamment les diab tes de type 2 avec insulinor sistance signi ficative insulinotrait s ou non qui constituent actuellement la population cible de cette nouvelle classe th rapeutique mais galement pourquoi pas le diab te de type 1 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 29 gt lt F4 _ 8 2 S N R PN 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 30 Dr Eric SER E seree eric gmail com 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 3 PA 8 A gt N ZN AN KA a NOUVEAUX TRAITEMENTS ET PERSPECTIVES DANS LE DIAB TE DE TYPE 2 LE RESV RATROL AU SERVICE DU DIAB TE Dr N SRENG Dr E SER E Pr S CHAMPION TINRA UMR1260 1062 INSERM AMU Nutrition Ob sit et risque thrombotique 27 boulevard Jean Moulin Marseille F 13385 France 21MBE UMR CNRS 7263 IRD 237 Mutagen se Environnementale Aix Marseille Universit Facult de Pharmacie 27 Bvd Jean Moulin Marseille F 13385 France Le resv ratrol est un polyph nol naturel que l on trouve dans de nombreuses esp ces v g tales Il est synth tis par la plante pour se d fendre d agressions ext rieures comme les UV ou les attaques fongiques Le resv ratrol est utilis depuis de nombreuses d cennies pour ses propri t s antioxydantes Mais les travaux scientifiques d montrent que le resv ratrol poss de de nombreuses autres propri t s
33. pensable tous les tudiants en di t tique nutrition agroalimentaire pour acqu rir des connaissances solides et actualis es et tout professionnel voluant dans le domaine vaste qu est la nutrition pour rester dans le bain bon entendeur 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition ASA xy Ne nourrissez plus votre douleur Micronutrition et fibromyalgie Denis Rich Editions De Boeck ISBN 978 2 8041 7570 2 152 pages prix 25 2013 Le Dr Denis Rich est le sp cialiste fran ais de la micronutrition et il est tr s pr sent dans le domaine du sport avec la publication de plusieurs ouvrages dont un ouvrage de r f rence intitul Micronutrition sant et performance voir critique dans cette rubrique Dans ce tout dernier ouvrage Denis Rich explore plusieurs pistes pouvant mettre en relation l alimentation et la douleur tout en essayant de comprendre les m canismes impliqu s dans la fibromyalgie La fibromyalgie est une pathologie en pleine expansion ces derni res ann es avec plus de 2 millions de cas recens s en France Dans cette pathologie la douleur existe priori sans support l sionnel Mais la fibromyalgie semble s installer prioritairement chez des patients pr sentant des tats inflammatoires chroniques et souffrant de d r glements immunitaires voire d hyperperm abilit intestinale Par l interm diaire de 4 questionnaires outils de la cons
34. plus s rieux chez les enfants y compris chez les enfants de moins de 10 ans En fin de compte la NAFLD et la NASH constituent des diagnostics d exclusion et il faut consid rer soigneusement tout autre diagnostic Tout comme le clinicien ne peut tablir un diagnostic de NASH uniquement sur la base des donn es cliniques le h patologue peut documenter des l sions de st atoh patite l histologie mais ne peut pas distinguer de fa on certaine si ces l sions sont d origine non alcoolique ou au contraire d origine alcoolique 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 13 A K De Z 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition RZ Dr Isabelle PORTAL 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a COMPLICATIONS H PATIQUES DU SYNDROME M TABOLIQUE NASH PRISE EN CHARGE TH RAPEUTIQUE hors di t tique Dr I PORTAL Service d H pato Gastro Ent rologie H pital de la Conception Marseille La NAFLD et la NASH repr sentent un probl me mondial majeur de sant publique qui touche aussi bien les pays riches que les pays pauvres Il n existe actuellement pas suffisamment d vidence pour justifier un screening pour la NASH la maladie h patique avanc e dans la population g n rale Il est imp ratif d tablir un diagnostic chez tous les patients qui pr sentent des facteurs de risque pour une NASH Les patie
35. ponibilit des lipides d pend des matrices lipidiques 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition utilis es On peut agir sur les r ponses glyc mique et lip mique en modifiant la structure des glucides complexes et se servir de la germination et de la pr fermentation pour g n rer de nouveaux compos s d int r t nutritionnel La modification des structures prot iques peut permettre une augmentation de leur digestibilit qui peut tre un point critique chez la personne g e par exemple Enfin les probl mes d allergies alimentaires seront abord s et notamment leur gestion au quotidien La session consacr e aux actualit s en nutrition traitera cette ann e des diff rences entre l intol rance et la sensibilit au gluten des r sultats de l tude PREDIMED montrant une efficacit de l alimentation m diterran enne dans la pr vention cardiovasculaire primaire des effets d une suppl mentation en phosphatidyls rine dans le traitement des troubles cognitifs et du retour en force du r gime c tog ne dans le traitement des pilepsies r sistantes par la mise en place d un site d di C tojaime simplifiant la vie au quotidien des patients mais galement celle des prescripteurs et di t ticiens Comme c est devenu la tradition depuis 4 ans une conf rence ouverte au grand public cl turera ces Journ es Cette ann e nous avons invit le Pr Jean Michel LECERF m decin sp cialiste en nutrition
36. pratiques professionnelles Des outils de calcul ont t cr s et le site in ternet C tojaime destin au professionnel comme au patient a vu le jour fin 2072 Il est le fruit de la r flexion de di t ticiens de p diatrie de la SFEIM du travail pluridisciplinaire du service de p diatrie du CHRU de Strasbourg et du financement de plusieurs associations Pour le professionnel le site internet C tojaime facilite consi d rablement la mise en place des r gimes c tog nes simplifie l ducation nutritionnelle du patient et am liore leur suivi au long cours Il permet d avoir une r activit quasi instantan e entre les prescripteurs les di t ticiens et les patients Pour le patient onglet recettes permet une variation l infini de la composition de ses repas dans le respect de la prescription ainsi que la consultation des recettes partag es par l ensemble des utilisateurs La facilit d utilisation du site rend le r gime accessible au plus grand nombre Le r gime c tog ne tant de 63 lt E PA g D S N PN 4 64 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition SESSION OUVERTE AVEC D BAT Antioxydants faut il y croire Pr J M LECERF Lille r lt S A X ER 65 4 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 66 Dr Jean Michel LECERF s
37. preuve scientifique les b n fices m taboliques et cardiovasculaires du r gime m diterran en chez des sujets sans ant c dent cardiovasculaire LABORATOIRE D PLANTES M MOIRE CONCENTRATION PS NUT PS Nut NU Phosphatidyls rine v g tale 6 Phospholipide issu du soja DPlantes GALL Non OGM Le stress et l oxydation alt rent les membranes cellulaires Cette alt ration associ e au vieillissement entraine une d gradation des capacit s cognitives et de la m moire La nouvelle formule de PS NUT enrichie en vitamines du groupe B et en zinc contribue e au fonctionnement du syst me nerveux e des fonctions psychologiques et des performances intellectuelles normales e une fonction cognitive normale e r duire la fatigue Ingr dients Phosphatidyls rine issue du soja non OGM vitamine B3 zinc vitamine B5 B6 BT B9 B8 B12 Conseil d utilisation 3 capsules par jour Gamme Nutrith rapie 45 60 capsules 500 mg R f 0125060 d 04 75 53 80 09 mp www dplantes com iv D Plantes QE LABORATOIRE LABORATOIRE D PLANTES Vitamine D38 Emulsion Issue de la lanoline D PLANTES LABORATOIRE FORMULE EXCLUSIVE ep INGR DIENTS m en vitamine D3 Wa Huile vierge de colza eau gomme acacia vitamine D3 d origine naturelle Quel est le principe de la micro mulsion Une micro mulsion r sulte
38. proximal et induire une glycosurie permanente Cela permet de r duire la glyc mie et par cons quent PHbA1c de 0 5 0 9 Le m canisme tubulaire est ind pendant de insulin mie et de la sensibilit l insuline ex pliquant l efficacit de cette classe chez des patients diab tiques de type 2 insulinotrait s Les effets ind sirables sont la polyurie le risque d insuffisance r nale fonctionnelle par d shydratation les mycoses g nitales On ne conna t pas les ventuels effets r naux d l t res d une glycosurie permanente induite par ces compos s dans un contexte de diab te de type 2 Cette nou velle classe permet de r duire le poids de 4 5 kg gr ce la perte calorique li e la glycosurie Les inhibiteurs de SGLT2 seront probablement utilis s en association avec d autres hypo glyc miants oraux et ou une insulinoth rapie Les inhibiteurs de SGLT2 sont une nouvelle classe d hypoglyc miants oraux dont le mode d action est d induire une glycosurie Ces compos s sont des inhibiteurs comp titifs de SGLT2 transporteur impliqu dans la r absorption du glucose dans le tubule r nal proximal L action des inhibiteurs de SGLT2 ne d pend ni de la pr sence d insuline ni de la sensibilit l insuline du tubule proximal Cela permet d envisager de traiter toutes les cat gories de diab te 27 4 a A CU LE gt K A Lo 28 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition n
39. ques avoir des animaux domestiques etc 69 K amp 4 r 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition RZ D jouez les pi ges et arnaques nutritionnels des r gimes en tout genre B atrice de Reynal Editions Vuibert Pratique ISBN 978 2 311 00297 3 171 pages prix 18 2011 Nutritionniste sp cialis e dans l innovation et tr s attach e l thique B atrice de Reynal s attaque dans ce livre aux conseillers et cr ateurs de r gimes Dans notre soci t actuelle la gestion du poids est devenue quelque soit l ge et le sexe une pr occupation de chaque instant B atrice de Reynal explique tout au long de son livre comment et pourquoi perdre du poids est toujours possible mais en reprendre davantage est le lot de tous et que finalement il serait sans doute raisonnable d apprendre ne pas prendre de poids pour ne plus jamais faire de r gime Ainsi apr s une revue exhaustive des divers quilibrages physiologiques que notre corps rec le le pond rostat qui guide nos choix alimentaires l hypothalamus qui r gule notre app tit le concept de 70 g n tique nutritionnelle qui justifie nos diff rences et particularit s individuelles etc B atrice de Reynal nous entraine dans les m canismes de notre histoire pond rale prise et perte de poids tout au long de notre vie et nous propose de multiples astuces alimentaires et solutions comportementale
40. r la priorit Sant sur la n cessit d une solution adapt e chaque personne et la prise en compte de nombreux facteurs personnels Apr s avoir lu cet ouvrage le lecteur devrait ne plus tomber dans le pi ge des promesses miraculeuses mais se projeter sur une d marche long terme partant d un constat se fixant des objectifs raisonnables et personnalis s Un livre faire d couvrir un large public avant la p riode estivale 71 Res D K LR RZ 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Flores protectrices pour la conservation des aliments Monique Zagorec Souad Christieans coordinatrices Editions QUAE Collection SYNth ses ISBN 978 2 7592 1920 9 145 pages prix 29 2013 Cet ouvrage propose des solutions int ressantes pour la conservation de nos aliments savoir mettre profit des microorganismes non pathog nes bact ries lactiques bact riophages Il a t crit par des experts issus d tablissements de recherche et d enseignement publics et priv s r unis dans le cadre d un r seau mixte technologique RMT autour de la th matique des flores protectrices Les 7 chapitres nous informent sur les crit res de s lection et les m canismes d action des microorganismes protecteurs et passent en revue les applications dans diff rentes fili res alimentaires produits laitiers carn s de la mer produits v g taux pour terminer sur les
41. s de la SFNEP www journeesdeprintemps com 21 juin 2014 BIARRITZ 2 me Journ e Di t tique Conjointe NSFA AFDN wwWw nsfa asso fr 28 juin 2 juillet 2014 STOCKHOLM Su de 11th Biennial ISSFAL Congress www issfal org conferences 2014 stockholm 6 9 septembre 2014 GEN VE Suisse 36 me ESPEN Congress www espen org geneva 2014 14 17 septembre 2014 MONTPELLIER 12th Euro Fed Lipid Congress www eurofedlipid org meetings montpellier2014 Septembre 2014 dates pr ciser CLERMONT FERRAND Universit d t de Nutrition www univete crnh auv fr 76 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 8 A N S A a bV 9 12 novembre 2014 LAS PALMAS DE GRAN CANARIA Espagne 3rd World Congress of Public Health Nutrition www nutrition2014 0org Novembre 2014 date pr ciser PARIS Journ e du Groupe Lipides et Nutrition www lipides et nutrition net journees gin conferences 10 12 d cembre 2014 BRUXELLES Belgique Journ es Francophones de Nutrition www lesifn fr 77 lt E PA g D S N PN 4 78 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Les Infos Pour tous renseignements s adresser au e Secr tariat des Journ es jusqu au Vendredi 28 mars 2014 H pital Sainte Marguerite Service du Pr D Raccah Pavillon 6 4 tage 270 Boulevard de Sainte Marguerite 13 009 Marseille T l 0491 49 69 98 Fax
42. s pour nous aider maintenir notre poids de forme quels que soient les tapes et diff rents v nements que nous traversons depuis notre naissance Donc pour viter de prendre du poids B atrice de Reynal met l accent sur l importance de la pr vention dans ce domaine en s appuyant sur les comp tences de nombreux acteurs notamment les m decins et les di t ticiens afin de d jouer les pi ges et arnaques nutritionnels 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition ASA XO7 Micronutrition sant et performance Denis Rich avec la collaboration du Dr Didier Chos Editions De Boeck ISBN 978 2 8041 5235 2 372 pages prix 41 2008 Dans un ouvrage extr mement complet et document Denis Rich nous livre les bases th oriques et pratiques de la micronutrition approche consistant individualiser les besoins en micronutriments oligo l ments min raux vitamines afin de r pondre aux multiples besoins de l organisme souvent perturb des sportifs Apr s une br ve exposition des concepts et principes de base de la micronutrition il aborde dans un second chapitre de plus de 120 pages la notion de maillons faibles selon quatre axes la cellule la membrane la sph re digestive et le syst me nerveux central Bien que certains passages n cessitent un minimum de bagages dans le domaine de la physiologie Denis Rich d montre avec une tr s grande rigueur scie
43. ste toutefois confirmer au travers de grandes tudes multicentriques bien standardis es Une suppl mentation en phosphatidyls rine pourrait tre un outil nutritionnel int ressant inclure dans les strat gies th rapeutiques des diff rents troubles cognitifs 61 7 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition Mme D VINCENT dominique vincent chru strasbourg fr 62 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 MA 7 AN T a ACTUALIT S EN NUTRITION LE SITE INTERNET C TOJAIME UN OUTIL DESTIN AU PROFESSIONNEL ET AU PATIENT POUR LE R GIME C TOG NE Mme D VINCENT amp Dr Anne DE SAINT MARTIN H pital de Hautepierre CHRU Strasbourg 1 Avenue Moli re 67098 STRASBOURG Cedex Le r gime c tog ne appliqu aux Etats Unis d s les an n es 1920 dans le traitement d pilepsies s v res puis abandon n progressivement avec l arriv e de m dicaments anti convulsi vants plus efficaces a t red couvert depuis les ann es 1990 Outre son efficacit d montr e dans certaines pilepsies phar maco r sistantes il a trouv sa place dans le traitement de quelques maladies du m tabolisme nerg tique de Vivo d fi cit en PDH et est pressenti comme traitement possible dans d autres pathologies Le r gime c tog ne tant difficile appliquer un consensus francophone a t finalis en 2009 pour harmoniser les
44. tements technologiques moins drastiques afin de pr server la fois la structure physique des produits v g taux effet sur la sati t et leur densit nutritionnelle en compos s bioac tifs comme les fibres min raux vitamines et phytonutriments Par ailleurs connaissant les propri t s fonctionnelles de certains ingr dients on sait aujourd hui comment rendre l amidon plus lentement digestible sucres lents afin de r duire la r ponse glyc mique Parmi les traitements technologiques dits moins drastiques ou pr servant une certaine naturalit de l aliment l utilisation de la pr hydrolyse des fibres permet de les rendre plus solubles et viscosifiantes afin d agir sur les r ponses glyc mique et lip mique La pr fermentation et ou la germination des aliments est galement beaucoup utilis e notamment dans les pays en d veloppement afin d augmenter la densit nutritionnelle en compos s bioactifs en lib rant leur fraction li e dans la matrice alimentaire ou en g n rant via le m tabolisme bact rien de nouveaux compos s d int r t 41 Pd RE CU LE 4 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition kr y A 2o RQA Dr Didier R MOND didier remond clermont inra fr 42 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D 4 E MA 7 5 T a STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT MATRICES ALIMENTAIRES ET M TABOLISME PROT IQUE Dr Did
45. tique et Nutrition ON POUVAIT D PASSER LES CONTRAINTES DU DIAB TE y DES m dicaments reconnus Des dispositifs m dicaux innovants Des S l tions de sant personnalis es N a be mN y re Loi ro O O O O N u W LL ci S Zs s SANOFI y FORMATION CONTINUE DES DI T TICIENS DE LA R GION PACA Dans le cadre de la formation continue les Journ es Nationales de Di t tique ont depuis 1980 gr ce un partenariat avec l Universit via la Facult de M decine cr une formation annuelle sp cifique destin e aux dipl m s d Etat Cette formation unique en France dans cette structure comporte par ann e civile de janvier d cembre 15 demi journ es de conf rences Elle offre aux di t ticiens une remise jour permanente de leurs connaissances et une analyse objective de l actualit di t tique et nutritionnelle Cette formation est prise financi rement en charge par les employeurs selon le texte en vigueur sur la Formation Continue Pour les di t ticiens en non activit ou les jeunes dipl m s des conditions sp ciales peuvent tre accord es INSCRIPTIONS 2015 Pour tout renseignements et demande de formulaires d inscription s adresser au secr tariat administratif de la Formation Continue JOURN ES NATIONALES DE DI T TIQUE H pital Sainte Marguerite Service du Pr D Raccah Pavillon 6 4 me tage 270 Boulevard de Sainte Mar
46. ts diab tiques ont d limiter leur consommation de glucides jug s nocifs par rapport l volution de leur pathologie La distinction entre sucres lents et sucres rapides a permis d assouplir un peu ces conseils stricts Cette classification est cependant totalement d pass e depuis l introduction de l index glyc mique mesure beaucoup plus objective de l effet hyperglyc miant d un aliment ainsi que de la notion de charge glyc mique Malgr le fait qu il soit peu utilis en pratique l index glyc mique reste un outil important dans l ducation th rapeutique du patient diab tique de type 2 permettant d am liorer la consommation de glucides sans aggraver l quilibre glyc mique 33 lt E PA g D S N PN 4 34 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition STRUCTURE DES ALIMENTS amp EFFETS SANT Q Matrices lipidiques et r gulation de biodisponibilit des lipides Dr M ARMAND Marseille Sucres lents pr hydrolyse germination pr fermentation des matrices v g tales Dr A FARDET Clermont Ferrand 7 6 O S A X 4 D et Matrices alimentaires et m tabolisme prot ique Dr D R MOND Clermont Ferrand Gestion di t tique des allergies alimentaires Mme R PONTCHARRAUD Toulouse 35 1 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt F4 _ 8 e IS P
47. ultation de micronutrition ce livre propose la prise en charge des patients avec un protocole di t tique et micronutritionnel anti douleur Les premiers r sultats sur une petite cohorte de patients semblent prometteurs Avec cet ouvrage Denis Rich d veloppe encore une fois une vision avant gardiste qu il entend mettre au service des professionnels de sant afin de traiter avec plus de succ s les patients atteints de fibromyalgie Un livre duquel les nutritionnistes m me les plus chevronn s apprendront beaucoup 73 lt E PA g D S N PN 4 74 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition 7 6 3 S A D 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition AGENDA 2014 28 31 Mai 2014 SOFIA Bulgarie 21 me Congr s International de l ob sit www eco20I4 easo org 5 7 Juin 2014 MARSEILLE 52 mes Journ es d Etudes de l AFDN wwWw afdn org 9 12 juin 2014 J RUSALEM Isra l 47th ESPGHAN Annual Meeting www espghan2014 org 12 13 juin 2014 LILLE 16 mes Entretiens de Nutrition de l Institut Pasteur de Lille www pasteur lille fr nutrition 18 20 juin 2014 COPENHAGUE Danemark 3rd International Conference on Nutrition and Food Sciences www icnfs org 75 EE Z A zZ D p 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition A 19 20 juin 2014 PARIS Journ es de Printemp
48. une insuffisance h patique mais une NASH peut se reproduire apr s transplantation les patients avec une ob sit morbide peuvent se voir refuser une transplantation La NAFLD et la NASH sont en train de devenir un probl me de plus en plus s rieux chez les enfants y compris chez les enfants de moins de 10 ans En fin de compte la NAFLD et la NASH constituent des diagnostics d exclusion et il faut consid rer soigneusement tout autre diagnostic Tout comme le clinicien ne peut tablir un diagnostic de NASH uniquement sur la base des donn es cliniques le h patologue peut documenter des l sions de st atoh patite l histologie mais ne peut pas distinguer de fa on certaine si ces l sions sont d origine non alcoolique ou au contraire d origine alcoolique 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition JA S 17 LA RE cd y 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition D e S X Mme Odile CASTELLO o castello diet wanadoo fr 18 55 mes Journ es Nationales de Di t tique et Nutrition lt 3 A 8 A gt N ZN AN KA a COMPLICATIONS H PATIQUES DU SYNDROME M TABOLIQUE PRISE EN SOIN NUTRITIONNEL DE LA NASH Mme O CASTELLO H pital Europ en Marseille 6 rue d sir e Clary 13331 MARSEILLE Cedex 03 Les NAFLD NonAlcoholic Fatty Liver Diseases ont une pr valence en augmentation dans le monde parall lement l pi
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