Examem-professionnel-ingénieur territorial 2009
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1. CINE PE EXAMEN PROFESSIONNEL D ING NIEUR TERRITORIAL DE PROMOTION INTERNE 1 alin a SESSION 2009 R daction partir des l ments d un dossier remis au candidat d une note faisant appel Pesprit d analyse et de synth se de l int ress EPREUVE N 1 Dur e 4h Coefficient 3 SUJET Dans un premier temps vous tablirez une note de synth se sur l impact des normes dans une collectivit territoriale 42 points Dans un second temps vous tablirez en qualit d ing nieur territorial un ensemble de recommandations l attention des lus afin que la normalisation contribue am lioration de la qualit du service rendu lusager d une collectivit 8 points DOCUMENTS JOINTS Document n 1 Assainissement non collectif De nouveaux proc d s pour Page 3 r duire les co ts Fabienne NEDEY La Gazette des Communes 8 septembre 2008 Document n 2 La commission consultative d valuation des normes Page 5 Techni Cit s 8 novembre 2008 Document n 3 Des services de meilleure qualit dans la restauration scolaire Page 6 Claudine FARRUGIA TAYAR La Gazette des Communes 5 janvier 2009 Document n 4 A Rouen les services d accueil sont certifi s Qualiville Page 7 Patrick BOTTOIS La Gazette des Communes 23 mars 2009 Document n 5 Vices et vertus de la norme Page 8 Environnement Magazine 1 octobre 2006 pu NOTA gt 2 points seront retir s au total de la note sur 20 si la cop2. PME de Limoges qui promeut depuis quelques ann es la cytom trie de flux pour l analyse agroalimentaire et environnementale Nous ne sommes que deux dans le monde utiliser pour ces applications explique Nicolas Bujaud ie directeur commer cial Impossible donc d envi sager une narmalisation Mais son march n est pas fig peur autant D abord parce que tout comme a PCR avant narmalisa tion cette m thode d analyse fait ses preuves en permet tant aux industriels par auto contr le d anticiper des inci dents et d viter des co ts plus lev s de traitement ou d arr t de production Mais aussi parce que M tis mise sur d autres moyens pour la faire recon na tre H existe une norme de validation des m thodes de mesure qui permet d montrer essais interlaboratoires l ap pui que notre technique est aussi efficace que la m thode de r f rence explique Nico las Bujaud qui se lance dans cette d marche pour plusieurs tests agroalimentaires Cette technique sera bient t op ra tionnelte dans le domaine de l eau confirme Jean Michel Remy responsable du d velop pement au COS Eaux de Afnor En attendant que les promoteurs de nouvelles m thodes r alisent ces travaux de validation tres co teux rien n emp che un industriel de faire lui m me ses comparaisons En p riode de crise les industriels n hesi teront pas s appuyer sur ces donn es dans leurs disc
3. Gestion des d chets d activit 7 Gestion de l entretien et de la maintenance Cr er un environnement int rieur sain et confortable Confort 8 Confart hygrothermique 9 Confort acoustique 10 Confort visuel 11 Confort olfactif Sant 12 Qualit sanitaire des espaces 13 Qualit sanitaire de air 14 Quafit sanitaire de l eau Nouvelles normes quelles nplications pour l avenir 2 a A A A avalanche de suggestions techniques l ensemble noy dans un discours dont la complexit se veut sans doute Un gage de cr dibilit mais dont lessen ce peut se r sumer au c l bre adage selon lequel tout est dans tout et r ciproquement il semble en fait aujourd hui que la HQE a trop longtemps t sous esti m e en raison de cet exc s de verba lisation qui a tendu la marginaliser Alors qu il est ais de comprendre que construire des b timents conomes en nergie agr ables vivre et respec tueux de l environnement n cessite de mobiliser maitres d ouvrage archi tectes ma tres d uvre et corps de m tier autour d une m me approche Mais la simplicit reste rarement le fait des visionnaires C est pourquoi on peut esp rer que la r cente reconnaissance institutionnelle de la HQE travers la certification vien dra en corriger les p ch s de jeunesse et en faire mieux partager les enjeux Une certification d marche HQE a en effet t mise en place depuis ja
4. enfant au c ur de ses pr occupations tra vets plusieuts principes connais sance de ses go ts participation au rangement ducation Venviron nement par le biais du tri des d chets Les taux d encadrement seront aussi v rifi s pat exemple l adulte pour 12 enfants en mater nelle Claudine Farragia Tayar Contact www afnor nr Page 1 1 La Gazette DOCUMENT N 4 23 03 2009 meaa OL a a iles agents qui y y vaillent b ml er tapii la direction du ervice Service Documentation Page 1 1 Bulletin Documentaire Environnement Magazine OCUMENT N 5 01 10 2006 VE DER Les atouts de ta norme p 38 La r f rence prise en d faut p 40 Sur tous fes fronts p 42 La norme dispose de nombreux atouts En offrant un cadre technique aux produits syst me el proc d s elle s curise les changes favorise la diffusion de bonnes gratiques et rassure le consommateur Pour rem dier aux variahilit s in vitables de mise en uvre d une m me norme l id al serait de certifier acteurs et sites Une exigence difficilement envisageable dans la pratique L environnement et l eau sont Pohjet de deux comit s d orientation strat giques sp cialis s mais les th matiques environnementales envahissent tous les projets Pangrama des d bats en cours VICE LECTEURS N 32 Service Documentation Page 1 7 Bulletin Documentair
5. euro p ennes est l origine de la saisine D s la transmission du dossier complet un accus de r ception est adress au minist re demandeur partir de ce moment commence courir le compte rebours et la commission dispose alors d un d lai de cing semaines pour rendre son avis Ce d lai peut tre reconduit a ta demande de son pr sident ou r duit 72 heures en cas d urgence Les dossiers transmis la commission pour examen comportent le projet de texte un rapport de pr senta tion mettant la mesure en perspective et une fiche sim plifi e d impact financier permettant justement de mesurer ses cons quences financi res pour chaque type de collectivit Cette fiche permet de d terminer en particulier si le co t est ponctuel ou r current s il est annuel ou pluriannuel et de pr ciser les sommes en jeu en int grant aussi bien les charges directes que les co ts indirects locaux mat riels Esp rons au moment o les collectivit s connaissent de r elles tensions financi res que cette commission ne soit pas seulement un alibi mais contribue r ellement freiner l inflation juridique et r duire les surco ts impos s au secteur public local par des modifications ininterrompues de r glementation Page 1 1 La Gazette 05 01 2009 DOCUMENT N 3 he AAN NORMALISATION Des services de meilleure qualit dans la restauration scolaire P ur am liorer la qualit des ser vices dan
6. la d clinaison sectorielle L Afnor anime une plate forme d changes dans ce but a Le d t durable et la res Hit lt soci tate sont enfin deux sujets en devenir La SD 21000 avec son fasci cute de documentation et son guide d auto valuation pourrait voluer vers des accords pour valider des approches sp ciales ou des d clinaisons plus d taill es par secteurs ou pour les tr s petites entreprises Pour les collectivit s u ler fascicule existe depuis janvier 7006 et devrait faire l objet d un guide d application Quant aux questions de responsabilit soci tale elles sont abord es travers un comit technique international qui fournira dans un premier temps des lignes directrices Une commission nationale a t cr e pour d finir la position fran aise COS Eaux les enjeux sanitaires au premier plan Ce comit d orientation strat gique anime une vingtaine de commissions de normalisation et preduit environ 100 normes par an Ses axes de travail sent fortement li s la r glementation Mais la multiglication de la sous traitance des interfaces el des prestataires impose aussi amo e Dl DU A rl d al hs it man a ma mt a MR a mp NI A mn r domaine couvre galement les travaux sur la l gionelle Apr s ta publication de ta norme PCR la r vision de ta norme de r f rence est en cours afin notamment d offrir la possibilit de donner des resultats interm diaires et de clarifier les rapports sur les es
7. le CEA et pr sident de la com mission d normalisation photo volta que qui juge la certifica tion essentielle pour le s rieux d une fili re tout comme elle l est pour les produits co labeliis s Mais force est de constater que le processus est bien lourd La certification des produits reste en effet une d marche co teuse et dans certains secteurs comme le photovalta que des dizaines de mod les diff rents sont quati 0 fier Par ailleurs bien qu il y ait abondance de normes de carac t risation des performances sur les modules eux m mes les sys t mes pompage clairage et bient t sur les produits integr s notamment aux toits le sec teur bute sur le manque de labo ratoires accr dit s d livrer cette certification Le d ve loppement de la certification est tributaire de l volution du march Certifier les modules est devenu une activit renta ble avec l explosion du march ce qui a amen les laboratoires investir dans les moyens de contr le Mais ce n est pas le cas encore pour les batteries et cela viendra pour les compo sants int gr s de type toiture comment l expert qui pr co nise donc le d veloppement dans les organismes de contr le d autres activit s formation assistance technique assurant une rentabilit la structure en attendant le d ploiement du march mergent Impossible cependant d env sager une certifi
8. les toilettes s ches ainsi que l pandage individuel des mati res de vidange Spancl d adopter une r ponse homog ne bas e sur la responsabilisation des usagers Lorsqu un MER AAN nique r capitulant les avantages inconv nients CHIEN particulier qui choisit un filtre plant de roseaux alternatives filtres plant s ou d rogatoires dis pour les agriculteurs le d partement a propos aux services publics d assainissement non collectif particulier manifeste sa volont d installer un sys teme de ce type le Spanc lui fournit une note tech timites et contraintes de la solution qu il souhaite adopter ainsi qu une d claration signer Ainsi le que cette fili re n est pas r glementaire ll s enga ge Uentretenir r aliser ses frais une analyse annuelle de la qualit des rejets et en cas de dys fonctionnement ou de non conformit du rejet Le remplacer par un dispositif r glementaire Le Spanc n engage pas sa responsabilit puisqu il ne donne pas un avis conforme mais l usager est ain si mieux inform et responsabilis Depuis la mise en place de cette proc dure y a un peu plus d un an une dizaine de cas de fili res alternatives ou d rogatoires surtout des fili res a base de plan tes ant t instruits par les Spanc FICHE TECHNIQUE e Nombre de Spanc 40 sur le d partement Nombre de techni ciens sp cialis s 19 e Charte celle de ANC associant institu ti
9. n ral le sel est utilis pour produire du chlore actif par lectrolyse de la saurmure infection de l eau Il ne pas tre mis en contact avec des agents oxydants tels que de l acide sulfurique ou de l acide phosphori que De m me la consommation de sel pour la g n ration lectrochimi que de chlore varie en fonction de la technique appliqu e elle peut tre comprise entre 1 7 et 3 kg de NaCl par kilogramme de chlore Le chlo rure de sodium mest pas combusti ble et son stockage ne pr sente pas de risque incendie CF Pour en savoir plus www afnor org Page 1 1
10. ne habi Sera accom rence du diagnostic plomb celui ci n au au ve deur Hs inscrit cependant dans up logique de labellisation qui evrait terme concerner l ensemble de la vie immobili re d ores et d j te diagnostic de performance nerg ti que devra compter du 1 juillet 2007 tre annex tout contrat de location Ma s l avenir il y a fort parier qu l image des appareils lectrom nagers locaux et logements feront l objet d un tiquetage nerg tique flattant la conscience civique de l acheteur ou du locataire travers la r duction des missions de CO mais soulageant du m me coupses factures gr ce aux co nomies d nergie Pierre Antoine L gouti re pa legoutiere free fr NE ee ET ARAN iy Notes 0 http Mwww assohqe org 2 Lire ce sujet notre dossier p 42 53 Pour en savoir plus consulter la brochure Bonnes pratiques 2005 B timents tertiaires et D marche HQE sur le site www estb fr l inverse de la HQE les haute et tr s haute performance nerg ti que HPE et HPTE correspondent depuis origine une norme tout fait pr cise d finie par un texte r glementaire Ces deux labels se sont en effet substitu s aux points qualit s lors de l adoption de la r glementation thermique 2000 iis attestent la conformit des b timents nouveaux un r f rentiel int grant la fois les exigences de la r
11. projet ayant recueilli accord de l ensemble des ministres concern s ou pr alablement soumis mon arbitrage La r gularit de la proc dure suppose que ce projet soit accompagn d un rapport de pr sentation et d une analyse des incidences financi res pr visionnelles directes et indirectes La transmission s op re uniquement sous forme d mat rialis e aupr s du secr tariat de la commission CCEN interieur gouv fr Pour la d livrance de son avis la commission dispose d un d lai de cinq semaines ventuellement reconductible au terme duquel son avis est r put avoir t rendu Ce d lai doit tre pris en consid ration avec attention dans la programmation des mesures d application des lois en envisageant le plus t t possible la r alisation de l analyse des incidences financi res et en conjuguant cette proc dure avec les autres consultations ventuellement n cessaires AF 48 23 septembre 2008 JOURNAL OFFICIEL DE LA R PUBLIQUE FRANCAISE Texte 1 sur 67 AU amaso atou ns SEP aariaa aasam o 0 GS ammm a aa aaa a ana uaan ama ya meen aaee e an a aaa aea ma o La reconduction du d lai est de droit la demande du pr sident de la commission sauf d claration d urgence de ma part Dans les cas o l urgence commande une entr e en vigueur sous quelques jours il m est galement possible de demander au pr sident de la commission titre exceptionnel un examen sous 72 heures Si la situation vous para t de
12. 4735 sur la pr paration des echantitlons de d chets avant les essais toxicologiques a L ann e 2006 marque aussi la volont d harmoniser les m thodes de mesure et de r duire leur nombre Exemple un projet men par un consortium europ en visant d finir une m thode commune de contr le microbiologique sur diverses matrices sols boues biod chets e La r cente commission de normalisation biosurveillance de Pair se fixe pour 2008 un objectif de trois normes sur le suivi de ozone par le tabac la bioaccumulation des m taux par le ray grass et l valuation de la qualit globate de l air partir des lichens Une norme sur les protocoles de mise en place sur le terrain de mousses est galement pr vue ainsi qu terme un document sur le suivi des COY par les choux s Sur les d chets une norme exp rimentale de caract risation des OM en entr e des centres de tri a t publi e en 2005 avec un guide d application Un groupe de suivi est en place pour r vi ser et compl ter ce guide ou en faire une norme compl te Le bruit sera galement un secteur central avec la n cessit de r pondre aux exigences de la directive imposant des carta graphies La norme actuelle est en r vision pour une publication l i ta publication de r f rentiels Les travaux repr sentatifs A AAA pe Anna di a L analyse des substances prioritaires n cessaire l apptica tion de la directive s av re un sujet suffi
13. 996 par FAs sociation HOE d clar e d utilit pu blique qui regroupe les acteurs de la construction ma tres d ouvrage pu blics collectivit s locales habitat so cial SEM entreprises experts et maitres d uvre Dans la pratique depuis une dizaine d ann es la HQE a inspir une nouvel le fa on d appr hender les process de construction ou de r habilitation il s agit d une approche syst me al lant du choix des mat riaux jusqu l tude des comportements des indivi dus au sein des b timents en passant par les modes d utilisation de l ner gie le tout au service des 14 cibles qu en constituent le credo La HQE a suscit jusqu une p riode as sez r cente des jugements assez nuan c s S il est vrai comme le rapportait le Journal des Maires d s octobre 2002 p 76 78 qu elle s apparente pour Service Documentation Bulletin Documentaire ceux qui ont eu la pratiquer un ensemble de choses relevant du ban sens elle appara t en revanche au novice comme une proclamation d in tentions g n reuses tay e par une Les 14 cibles de la HQE a Maitriser les impacts sur l environnement ext rieur Eco construction 1 Relations harmonieuses des b timents avec leur environnement imm diat 2 Choix int gr des proc d s et produits de construction 3 Chantiers faibles nuisances Eco gestion 4 Gestion de l nergie 5 Gestion de l eau 6
14. ans l nonc du sujet sont porter sur la copie Les preuves sont d une dur e limit e Aucun brouillon ne sera accept la gestion du es faisant partie int grante des preuves Lorsque les renvois et annotations en bas d une page ou la fin d un document ne sont pas joints au sujet cest qu ils ne sont pas indispensables la La Gazette 08 09 2008 ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF pour r duire le a La nouvelle r glementation devrait doper l innovation technique a Le m tier du contr leur de Spanc va devoir progressivement voluer e secteur de l assainissement non collectif est sur le point de prendre un tournant ma jeur Par rapport la loi sur l eau de 1992 la loi n 2006 1772 sur l eau et les milieux aquatiques Lema du 30 d cembre 2006 a pr cis les obligations des particuliers et leur impose d sormais de r ali ser dans un d lai de 4 ans les tra vaux prescrits apr s diagnostic Elle pr cise aussi les obligations des col lectivit s territoriales s agissant des E AVIS DE XPERT E Beno t Mouline secr taire de TAsseciation nationale des personnels des Satese pde et expert au sein de groupes de travail nationaux sur l assainissement non collectif Vers un contr le a posteriori y Actuellement L essentiel du contr le consiste valider le choix de la fili re en fonction du sol et v rifier Le respect de la r glementation et des r gles de l art lors de
15. cation derri re chaque norme D o limpor tance sans doute comme le souligne Catherine Clauzade Aliapur de veiller en amont ce que Les groupes de travail sur ces normes soient parfajte ment repr sentatifs des acteurs du secteur et qu ils vitent le consensus mou CEM Contacts Niveau national Afnor t l 0141628000 wat afror fr COS Enmaronuement Sylvie Fernandez t l 0141628659 COS nergie et Transport Catherine Moutet t l 0141628655 COS Eaux milieux et usages Jean Michel Remy t l 0141628745 e UTE Union technique d dlectricit t l 0810 767 883 www ute fT com Niveau europ en O CEN t l 00 32 2550 08 11 www cenorm be 8 Cenetec lectrotechnique t l 00 32 2519 68 71 wen cenelec org avon international 7S0 r f OC 4 27747 01 11 HAL SO Org CEI lectrotechnique t l 00 41 22919 02 11 wen los ch Page 5 7 Environnement Magazine 01 10 2006 rep eree vrer n es Sur tou Recenser la totalit des d marches de normalisation en environnement est une gageure Car au del des deux comit s d orientation strat gique COS Eau et Environnement l envirennement envahit de pius en plus les projets normatifs durable eras ysiemy Ai mr le de dl K gt CELDA e LO O muani A Ni a mahia A pu pm Po e M e l chantilionnage reste au c ur des pr occupations de tana lyse environnementale On notera par exemple le projet de norme NF EN 1
16. ch Cepen dant ces syst mes de traitement ont aussi leurs d fauts la consomma tion d nergie et la production de boues L entretien va aussi devenir plus crucial que jamais car le dispo sitif le plus performant ne marchera pas sil n est pas entretenu La plu part des fabricants proposeront cer tainement des contrats d entretien et il me semble que c est la bonne solution note Jacques Chandellier Fabienne Kedey du Lol t l CS 65 53 43 45 Page 2 2 Techni Cit s 08 11 2008 DOCUMENT N 2 L tat est conduit dans le cadre de ses missions adopter un grand nombre de textes r glementaires dont certains entra nent des co ts suppl mentaires pour les collectivit s territoriales Une commission sp cifique mise en place le 25 septembre 2008 a justement pour objet d valuer l impact financier de ces mesures Pour plus d informations www dci interieur gouv fr dsections les collectivites _te finances_locales les_ cA commission_consulat Service Documentation Bulletin Documentaire article 97 de la loi de finances rectificative pour A 2007 pr voit la cr ation d une commission es consultative d valuation des normes dont un d cret n 2008 9947 du 22 septembre 2008 fixe ta com position Ses missions Cette commission intervient obligatoirement pour tous les projets relatifs des mesures r glementaires d crets ou arr t s int ressant les collectivit s ter
17. d un produit tel qu un module photovol ta que est un moyen de se differencier des productions de moindre qualit import es des pays du Sud explique Patrick Jourde president du Comit fran ais de normalisa tion photovoltaique au sein de 1 L Union technique de l lectri cit UTE Autre vocation des normes soutenir une politique publi que en apportant le cadre technique n cessaire sa mise en place C est le cas des diagnostics du plomb dans le b timent Autre exemple dans l nergie Les objectifs de pr servation des ressources et de limitation des gaz effet de serre n cessitent de sou tenir les produits et services conomes en nergie partici pant cet objectif gt explique Catherine Moutet en charge de ces sujets 1 Afnor Idem encore dans le domaine de l eau o l annonce d un cre dit d imp t sur les cuves de r cup ration d eau pluviale a conduit l Afnor rencontrer la direction de l Eau du minist re de l cologie et les construc teurs pour clarifier l offre H ne s agit pas de r it rer les faiblesses du PMPOA qui sub ventionnait les fosses d pu ration Sans norme quinze ans apr s c est un chec commente Jean Michel Remy responsable du secteur eau Une reconnaissance officielle La norme devient un puis sant vecteur de diffusion des bonnes pratiques et produits s curise l entreprise vis vis de sa responsabilit g n rale sur les produits e
18. e dans un d lai de trois semaines au plus une analyse des incidences techniques et financi res pr visionnelles directes et indirectes de la proposition pr sent e selon le mod le mentionn plus haut L avis de la commission sera port la connaissance de la d l gation fran aise en charge de la n gociation de la proposition de texte Vous trouverez sur le site de la commission http www ccen decl interieur gouv fr les informations suppl mentaires utiles la mise en uvre de cette proc dure FRAN OIS FILLON La Gazette 15 09 2008 NORMALISATION DOCUMENT N 8 0 PP e PO Traitement de l eau sous surveillance 5 norme NF EN 14805 relative au chlorure de sodium pour la g n ration lectrochimique de chlore utilisant des technologies non membranaires sp cifie les exi gences et les m thodes d essai pour son emploi lors du traitement de teau Des exigences minimales de puret ont t fix es par exemple selon la leuishition europ enne un agent antimo tant Phexacyanole de 15 mu kg danse produit fini En annexe des Informations g n Service Documentation Bulletin Documentaire rales sur le chlorure de sodium on distinguera le sel gemme extrait de mines de sel dans des formations g ologiques correspondant d angan se peuvent alt rer l ef cacit de l ensemble de g n ration lectrochimique En cons quence ces deux l ments doivent tre inf rieurs 10 mg kg En g
19. e en oxyg ne sur 5 jours Ce dernier propose une r vision de la proc dure d autorisation des dispo sitifs Il reprend un certain nombre des dispositions pr sentes dans lar r t du 3 d cembre 1996 pour les dispositifs ayant fait leurs preuves et Pabjet de normalisation et mettra en place une proc dure d autorisation des dispositifs de traitement autres que par le sol sur la base des essais du marquage CE Le rejet en milieu hydraulique superficiel devra res ter exceptionnel y compris pour ces dispositifs d taille Jessica Lambert charg e de mission au Meeddat Autre nouveaut introduite par ce texte la possibilit de recourir aux toilettes s ches et aux lits filtrants plant s 1 permettra terme d augmenter l offre technique pour les particuliers notamment celle des niques applicables aux installations fili res de traitement dites inno Page 1 2 La Gazette 08 09 2008 Les industriels fourniront les proc s verbaux des essais r alis s weg vantes ou alternatives telles que les filtres compacts et les mi crostations Mais cette volution de la r glementation ne devrait pas porter ses fruits avant au moins un an estime Beno t Mouline mg nieur territorial charg de l assai nissement non collectif ANC au conseil g n ral du Calvados se cr taire de l Association nationale des personnels des Satese et expert au sein de groupes de travail na tionaux sur PANC La r vi
20. e j Environnement Magazine 01 10 2006 Les atouts de la norme Normaliser un produit un proc d un syst me de management c est harmoniser les pratiques Une garantie qui explique que les normes sont aujourd hui au centre des relations industrielles et commerciales La norme garantit la qualit du produit roulettes fabriqu es avec de a poudrette tir e de vieux pneus Service Documentation Bulletin Documentaire vec un catalogue de 30000 r f rences les normes font partie de notre quotidien Elles se sont naturellement impos es dans ment conomique affirment te secteur de l environnement apportant un cadre technique aux proc d s produits et m thodes analytiques Bien que majoritairement bas es sur le volontariat certaines se retrouvent cit es en r f rence dans Les textes r gle mentaires et deviennent dans 2 des cas obligatoires y a des enjeux de s curit sani taire ou environnementale de court terme qui imposent ce cadrage extr me explique t on l Afnor l Association fran aise de normalisation Mais m me d application libre les normes ont pris une place majeure car leurs vertus sont nombreuses C est avant tout un outil de d veloppe l unanimit les experts La norme clarifie ta transaction puisque le langage ou la qua lit techniques sont connus des deux parties Disposer de normes pour d finir les perfermances
21. efficace des instal tations C est beaucoup plus cher de traiter une tour agro r frig rante et encore plus co teux d arr ter une exploitation ou de verser des dommages et int r ts que de pratiquer r gu li rement un test rapide non normalis rappelle Bertrand Coissac Ouvrir le parapluie juridique gr ce la norme de r f rence ne suffit plus con firme Nicolas Bujaud Ces remarques s averent tout aussi pertinentes dans d autres AA Page 4 7 Environnement Magazine 01 10 2006 Si les boues urba nes compost es sont normalls es ce n est pas entere le cas de Epandage gut n est ni contr t nl certifi secteurs Des travaux en cours Afnor cherchent d finir des crit res pour lier es m thodes alternatives aux m thodes de r f rence On ne peut pas ignorer tous les moyens dis ponibles m me non normali s s confirme Colette Senan directrice scientifique des laboratoires Mygefac sp ciali s s dans la mesure des odeurs En la mati re la r glementa tion ne fait r f rence qu aux mesures olfactom triques pour lesquelles on dispose de normes choix du panel et mat riel de pr sentation des chantillons dilu s Mais face une norme ta fia bilit contest e de nombreux experts se battent aujourd hui pour faire valoir les analyses physico chimiques d l ments traceurs En faisant appel au nez humain et des odeurs de r f rence la norme existan
22. glementation thermique et le respect d un niveau de performance nerg tique globale sup rieur l exigence r glementaire Sch matiquement le label HPE correspond une consommation d nergie inf rieure de 8 la consommation conventionnelle de r f rence d finie par arr t 15 pour le label HTPE Voir l ar t du 18 d cembre 2003 relatif au ronrenn at aux conditions d attribution du labels haute performance Snerg tique JO n 302 31 d cembre 2003 p 22822 Page 2 2 DOCUMENT N 7 23 septembre 2008 JOURNAL OFFICIEL DE LA R PUBLIQUE FRAN AISE Texte 1 sur 67 rculaires omt 4 D crets arr t s c TEXTES G N RAUX PREMIER MINISTRE Circulaire du 22 septembre 2908 relative ja mise en place de la commission consultative d valuation des normes NOR PRMX08227420 Paris le 22 septembre 2008 Le Premier ministre Monsieur le ministre d Etat Mesdames et Messieurs les ministres Mesdames et Messieurs les secr taires d Etat Monsieur le haut commissaire Les travaux de la r vision g n rale des politiques publiques portant sur les relations entre l Etat et les collectivit s territoriales ont mis en vidence l accroissement des charges qui r sulte pour ces derni res de l inflation des textes les concernant de la complexit croissante des proc dures qu elles doivent mettre en uvre et du caract re parfois excessivement d taill des r gles techniques encadrant l activit de
23. ie contient plus de 10 fautes d orthographe ou Document n 6 Document n 7 Document n 8 Document n 9 Document n 10 Docume Document n 12 Document n 13 de syntaxe e Les candidats ne doivent porter aucun signe distinctif sur les copies pas de signature signature apposer uniquement dans le coin gomm de la copie rabattre ou nom grade m me fictifs Seuls la date du Nouvelles normes quelles implications pour Pavenir Pierre Antoine LEGOUTIERE Journal des maires 1 juin 2006 Circulaire du 22 septembre relative la mise en place de la commission consultative d valuation des normes JO du 23 septembre 2008 Traitement de l eau sous surveillance La Gazette des Communes 15 septembre 2008 Eco accessibilit une marque collective pour les diagnostics dans les ERP Claudine FARRUGIA TAYAR La Gazette des Communes 26 janvier 2009 Bureaux et coles mieux clairer et d penser moins Extraits Techni Cit s 23 mai 2008 La normalisation nouveaux enjeux Extraits Contrats Publics 1 avril 2005 S curit renforc e pour les batan oires Claudine FARRUGIA TAYAR La Gazette des Communes 1 septembre 2008 Des activit s de plein air pour tous les publics Monique TRANCART La Gazette des Communes 20 octobre 2008 Page 15 Page 17 Page 19 Page 20 Page 21 Page 26 Page 38 Page 39 concours et le destinataire celui ci est clairement identifi d
24. ile que la PCR pour la legio nelle lt Le principal enjeu est la reconnaissance publique de notre technologie sauligne Bertrand Coissac chef de pro duits chez Genesystems Fun des acteurs de c prajet de nor matisation qui voit aussi dans RE a RE AE me A CLP A cn AI Elabora LESA 5 PETON vers s ADO AN er 2 a l harmonisation des pratiques le moyen d carter des pres tataires peu scrupuleux Une solution moins s rieuse qu une autre peut jeter le discr dit sur l ensemble de ta technolo gig conviennent l ensemble des experts interrog s Chris tophe Breso responsable qua lit du groupe Sphere en a lui aussi parfaitement conscience Producteur des premiers sacs d chets m nagers biod grada bles il souhaite voir se mettre en place une marque NF qui retienne bien s r les crit res de la norme de biodegrada bilit et ceux de la marque NF sacs d chets mais avec en plus des exigences sur la d fendues au plan international l ISO ou au CEN Comit europ en de normalisation Incontour nable l appr che internationale impose d avoir une expertise nationale forte pour ne pas se laisser imposer des m thodes inad quates C est d autant plus important que les normes europ ennes EN sont reprises obligatoirement dans la liste fran aise dur e de vie du produit Une opinion partag e par G raldine S journ responsable marke ting de Novamex qui fabrique des pr
25. la mise en uvre Avec la mont e en puissance des fili res com pactes La conception sera minimale et Le r le du Spanc diff rent Le technicien s appuiera toujours E sur le XPOTU amp 4 1 pour les fili res classiques et pour celles alternatives sur les documenta tions des industriets les avis techniques Les r sultats des essais marquage CE des essais amp compl mentaires et le retour d exp rience 9 duy terrain Le m tier va progressivement oa voluer d un contr le a priori vers du conseil A sur les technologies et un contr le a posteriori A bon fonctionnement Le Spanc de demain A devra tre mieux inform sur les techniques P les performances et travailler en r seau Service d assistance lecanique a 5x exploitants de stations d puration Service Documentation Bulletin Documentaire DOCUMENT N 1 A A A A A a comp tences obligatoires c est dire la r alisation d un diagnostic avant le 31 d cembre 2012 puis se Jon une p riodicit de 8 ans maxi mum et des possibilit s de pren dre des comp tences facultatives entretien r habilitation etc Elle ouvre aux services publics d assai nissement non collectif Spanc la possibilit de fixer des prescriptions techniques par exemple des restric tions sur les choix de fili res ou des pr conisations sut P tude de sol La toi r affirme le droit d acc s des agents du Spanc la propri t pri
26. nature justifier une d claration d urgence voire d extr me uigence vous demanderez au secr tariat g n ral du Gouvernement la mise en uvre de cette proc dure De telles demandes devront tre pr sent es avant la saisine de la commission et tre motiv es de fa on circonstanci e 4 La commission consultative d valuation des normes est enfin appel e mettre un avis sur les propositions de textes communautaires ayant un impact technique et financier sur les collectivit s territoriales et leurs tablissements publics L obligation de consultation concerne les propositions de texte de port e g n rale dont le Conseil de l Union europ enne est saisi sur proposition de la Commission ou des autres institutions organes et organismes de l Union Il s agit des propositions de r glements et de directives ainsi que des propositions de d cisions du Conseil ayant une poit e g n rale au sens de la jurisprudence de la Cour de justice des Communaut s eulop ennes qu ont un impact technique et financier sur les collectivit s territoriales ou leurs tablissements publics La proc dure consultative est analogue celle pr c demment expos e s agissant des projets de r glementation nationale Toutefois la saisine de la commission sera effectu e par le secr tariat g n ral des affaues europ ennes SGAE A son invitation le minist re d sign comme chef de file dans la n gociation de la proposition de texte devra lui transmettr
27. ndustriels int ress s par nos m thodes nous ont interpell s sur les questions d assurance qualit explique t elle La normalisation doit apporter un gage de s rieux et de qualit Nous voulons montrer que te protocole est rigoureux et soumis le moins possible la subjectivit Des travaux d in tercalibration sont d aitieurs programm s M me son de cloche du c t d Aliapur l organisme f d rateur de la fili re des pneus usag s Baign e dans a cutture de la normalisation lors de ses fonc tions pr c dentes Catherine Clauzade la responsable R amp D a vite convaincu de l int r t de la norrnatisation pour la fili re Notre motivation est de faire passer le granulat de pneu du Les normes sont labor es par des experts r unis en commission de normalisation au sein des COS comit s d orientation strat gique C est aupr s de ces COS qu il faut se faire conna tre pour tre tenu au courant des travaux et participer aux enqu tes pbbliqes C est au sein deces commissions que s labarent aussi les positions fran aises qui seront statut de d chet celui de produit commente t elle Ce qui implique au minimum un langage commun et surtout des r gles uniques de caract risa tion des produits Rien de pire en effet que de d courager un utilisateur en tui fournissant sous une m me d nomination des produits h t rog nes C est aussi l en jeu d une m thode d analyse te
28. ntes e Des normes sont attendues dans plusieurs domaines un document normatif Bonnes pratiques des produits phytosanitaires des normes sur le diagnostic nerg tique la quatit environnementale des b timents les composants photovolta ques int gr s aux b timents avec UTE les citernes de trans port de mati res dangereuses ou encore les atmospheres de travail d crivant les exigences g n rales sur les proc dures de mesure des agents chimiques Page 7 7 DOCUMENT N 6 Journal des Maires 01 06 2006 PP mme n em 45 Environnement et nergie en voie de normalisation AS A qq mt mm nr CN qqn rr mn 0 P 1 om mn HQE t HPE On entend de piss en pe souvent sont leurs de ic duabcas sur l avenir des politiques La haute qualit environnementale une d marche volontariste d sormais labellis e Ponctuant r guli rement tes discours sur l cologie et les pro bi mes nerg tiques le concept de haute qualit environnementale HQE semble d une clart prometteu se En fait H est suffisamment vaste pour m riter d tre explicit Apparu au d but des ann es 1990 la HQE se pr sente comme une d marche au service des enjeux du d veloppe ment durable Concr tement la d mar che HQE vise atteindre 14 cibles regroup es dans 4 grandes cat gories d objectifs voir l encadr ci contre La HQE a t formalis e et d clin e en mode d action partir de 1
29. nvier 2005 Baptis e NF B timents Terti ires D marche H E elle ne concerne pour l heure que certains b timents ter tiaires locaux d enseignement et bu reaux mais devrait progressivement s tendre l ensemble des b timents du secteur tertiaire et habitat Certes comme le souligne l Associa tion HQE la certification n est pas une obligation Mais elle permet ceux qui la sollicitent de poursuivre diff rents objectifs induits valorisa tion d image challenge de mobilisa tion interne r ponse aux exigences d investisseurs Elle ouvre aussi l acc s des aides publiques ADEME ARENE DIREN etc Dernier stade de cette reconnaissance AFNOR a mis en plate une commission de normalisation Qualit environ nementale des produits de construc tion et des b timents qui devrait permettre d extraire la HQE de la sphe re du prociamatoire pour l int grer Page 1 2 Journal des Maires 01 06 2006 e a aaao AG Le b timent nergie positive quintessence de la HRE bien compar e des valeurs de r f Le h timent nergie positive est voqu juste raison comme objec tif atteindre en mati re d architec ture respectueuse de l environ d nergie qu il en cons davantage L l ment essentiel construction repos sur deux l ments fondamentaux e optimisation de l architecture bioclimatique ofientation du b ti ment r cup rati n de
30. oduits m nagers vendus sous la marque l Arbre vert C est aussi une question de clart dans les discours Avec un colabel un autre type de norme produit nous sommes inattaquables sur les aspects environnementaux et en ter mes de performance du pro duit Ma s pour cela m me des PME comme nous doivent s impliquer pour faire avancer tes r f rentiels dont elles ont besoin E CC Service Documentation Page 3 7 Bulletin Documentaire Environnement Magazine 01 10 2006 La r f rence prise en d faut Sans remettre en cause les points forts de la normalisation des sp cialistes soulignent que les r f rentiels ne sont pas labri de tout Genesysioms La technologie PCR pour fes l glonelles remporte du succ s depuis qu elle est normalis e Service Documentation Bulletin Documentaire our une technologie l existence d une norme est indeniabiement la cl de son developpement com mercial La technologie PCR pour les l gionelles en est un parfait exemple Certains de nos clients exprimaient claire ment leur attente d une norme pour utiliser cette technique rappelie Bertrand Coissac chef de produits chez Genesystems Aujourd hui ses promoteurs tablent sur une reconnaissance r glementaire et esp rent que cette premi re norme va ouvrir la porte d autres textes sur ta PCR et autres bact ries Cela dit La norme n fait pas tout T moin M tis Biatech nologies
31. ons collectivit s st professionnels Quatre d clarations types et DEEE EME ELEC TE D AU POI O TR VAS RIAD mme D PEN aa 2 indique Jacques Chandellier ani mateur du groupe de travail euro p en qui a d fini ces r f rentiels De nombreux acteurs fran ais consid rent n anmoins que la pro c dure du marquage CE n cessite d tre compl t e Elle permet la li bre circulation de certains produits sur des bases minimales communes aux tats membres mais n apporte pas les paranties environnementa les demand es par le l gislateur sur les ouvrages Un cadrage r glemen taire est donc n cessaire d autant que tous les produits ne b n ficient pas encore d un marquage pr cise ou un dispositif compact reconna t tre inform ERA r A N I pam rais Y zz Beno t Monuline Des essais compl mentaires sont pr vus pour toutes les fili res non classiques dans le cadre d un protocole d agr ment en cours d laboration Performances De nouvelles tech nologies pourront tre agr es des microstations et des filtres com pacts faisant appel des technolo gies in dites en France L tude me n e par Veolia Eau depuis 2005 sur la plateforme du CSTB Nantes a mis en vidence les excellentes per formances de certaines de ces fih res notamment celles du filtre co i notes techniques sont aussi propos es aux particuliers peaux de coco propos par la soci t canadienne Premier Te
32. ontradiction avec les pratiques fran aises actuelles e La qualit des services est enfin bien engag e dans la norma lisation avec des exp rimentations en cours sur les indicateurs de suivi Normes attendues pour 2007 e noter enfin des travaux en hydrom trie au niveau europ en li s aux inondations une norme forage quasi termin e et les pr mices d une d marche en mati re de t l rel ve Les autres dossiers cl s A ee PL A qe CE 4 PP A A PE D CIC O A qu e e Pneus usag s depuis juillet 2006 il existe une norme exp rimentale sur le format des broyats Pour 2007 les travaux sur le calcul de la granulom trie des recyciats et leur chantillonnage pour les mesures devraient aboutir La caract risation des produits sera compl t e ensuite par la mesure des impuret s et par la caract ri sation chimique travaux men s au niveau europ en dans le cadre d un programme sur la caract risation des d chets combustibles solides El a Ma trise de l nergie il existe depuis 2000 un forum ayant pour r le de promouvoir la ma trise de l nergie dans les travaux normatifs Cette structure aura contri Service Docurnentation Bulletin Documentaire CE TS Et chaman eia A bu l laboration d un r f rentiel de bonnes pratiques sur te diagnostic nerg tique dans l industrie mais galement de o normes sur les chaudi res et de m thodes de diagnostic des installations exista
33. res quali tatifs et de s curit qui vont u del des exigences de la regle mentation sut la valorisation agronomique des boues de 1997 et 1998 Sur le papier rien redire Tout comme les mati res issues de pneus il s agit de cr dibiliser la fili re de vatorisa tion Pourtant l Assembl e permanente des chambres d agriculture APCA on se veut O Panneaux solalres int gr s bute extr mement prudent Contrai rement la r glementation sur l pancase la norme Produits reste muette sur l essentiel Le respect de la qualit l origine des produits entrant en com postage et le mode d emploi du produit compost C est la porte ouverte aux d rives avec des moyens de contr ie tres r duits souligne t on APCA o Pon craint un retour de b ton s v re et finalement un discr dit sur toute la fili re Nous ne sommes pas dans un monde parfait o celui qui dit suivre la norme le fait effec tivement comment ce sp cialiste La certification des acteurs ou des sites pourrait garantir le respect de la norme et sa valeur On pourrait aussi int grer dans les missions de l organisation ind pendante de contr le des plans d pandage le suivi des composts et des produits normalis s lance un sp cialiste du d partement e nvironnement Vers plus de contr les Cette precaution et cette volont de transparence rejot gnent parfaitement les propos de Patrick Jourde expert pour
34. rito riales et leurs tablissements publics En revanche elle n est pas comp tente pour les textes relatifs la s ret nationale pour tes actes unilat raux tels que d finis par la jurisprudence administrative fran aise ni pour les textes pr voyant la mise en place de normes techniques Afnor Iso qui n entra nent obligations po les collectivit s Pour les lois la consultation deja com mission n est pas obligatoire Sa composition La commission consultative d valuation des normes est une manation du Comit des finances locales compo s e de vingt deux membres dont quinze lus et sept repr sentants de l tat Le quorum est atteint d s lors que trois membres au moins peuvent d lib rer dont au minimum le pr sident ou l un des vice pr sidents l un des repr sentants des lus nationaux ou locaux l un des repr sentants de l tat De m me pour statuer les membres peuvent tre physiquement pr sents au si ger distance par conf rence vid o ou t l phonique La proc dure Toute la proc dure de saisine de la commission est d mat rialis e pour permettre une meilleure r activit Les changes s op rent par l interm diaire d un site intranet d di ou par courriel Lorsqu it s agit d une r glementation fran aise le minist re l origine du projet saisit la commission en informant le Premier ministre Dans le cas d un projet de r glementation europ enne le Secr tariat g n ral des affaires
35. s apparts sa laires en hiver protection contre les surchauffes estivales par la v g tali sation des abofds et de l enveloppe du b timent la red finition du r le de lenva loppe du b fiment qu au del de sa fonction iniflale de protection vis vis de l ext fieur int gre des fonctions nouvelles l conomie et de produc tion d nergie Celles ci passent non seulement par dans le champ du possible et au del du souhaitable w La r glementation thermique une norme pour les B timents neufs et la r habilitation La r glementation ther mique RT est un dispositif r glermen taire port par un d cret qui vise r duire la consommation nerg tique des b timents Elle est p riodiquement r vis e la RT 20D5 vient ainsi succ der la RT 2000 et devrait l tre tous les 5 ans endant les deux d cennies venir RT fixe des objectifs de consomma tion globale en mati re de chauffage de ventilation d eau chaude d clairage et de climatisation tout en laissant les concepteurs de b timents fibres du choix des moyens La RT dans sa concep tion d origine ne concernait en effet que tes b timents neufs Cependant afin dese conformer une directive europ enne de 2002 la RT s int resse d sormais aux immeubles de plus de 1 000 rr fai sant l objet d une r habilitation lourde Entranten vigueur le 1 septembre pro chain la RT 2005 se montre beaucoup plus exigeante q
36. s la restauration sco laire Afnor certification a labor avec l Association nationale des di recteurs de la restauration munici pale ANDRM la certification NF service restauration scolaire bas e sur la norme fran aise NE X50 220 Celle ci va permettre aux collecti vit s locales de disposer de rep res pour mieux ma triser le service Confort et hygi ne Tous les as pects sont abord s l am nagement des locaux l accueil le temps consa ct au repas la garantie de service public le personnel des restaurants scolaires etc Une collectivit certi f e devra disposer de mobilier ou de vaisselle adapt s pour le confort des enfants Elle devra laborer des me nus quilibr s lutter contre le bruit dans son r fectoire le niveau sonore ne devra pas d passer 76 dB A Sur le plan de la logistique les trajets aller retour des enfants de l cole vers le restaurant scolaire devront Service Documentation Bulletin Documentaire Bruits et stress repas froids couverts peu ergonomiques la nouvelle certification permettra d am liorer la qualit des cantines tre bien encadr s L acc s aux sa nitaires le respect des mesures d hy gi ne seront particuli rement pris en compte Le suivi des comp ten ces du personnel ainsi que liden tification des besoins en formation devront tre galement planifi s Une collectivit qui entreprendra cette d marche indiquera aux ad ministr s qu elle place l
37. s projets de mesures r glementaires cr ant ou modifiant des normes caract re obligatoire concernant les collectivit s territoriales leurs groupements et leurs tablissements publics gt art L 1211 4 2 du code g n ral des collectivit s territoriales Cette consultation trouvera s appliquer une part significative de la production r glementaire du Gouvernement elle est pr voir tant pour les projets de d ciets que pour les projets d art t s minist riels ou interminist riels pr sentant un caract re r glementaire Les normes techniques qui constituent de simples r f rences professionnelles telles que les normes AFNOR ne sont pas concern es sauf si elles acqui rent une port e juridique contraignante par d cision de l autorit publique sont soumis cette consultation non seulement les textes se rapportant sp cialement aux collectivit s d centralis es mais galement ceux qui les concernent concurremment avec d autres personnes publiques ou priv es notamment la r glementation de certaines activit s d int r t g n ral restauration collective spectacles cr ches par exemple ou des quipements installations ou autres moyens habituellement n cessaires aux services publics locaux r glementation des tablissements recevant du public s curit des aires de jeux par exemple 3 Vous proc derez la consultation de la commission consultative d valuation des normes sur la base d un
38. s services publics locaux Ce ph nom ne ne peut tre ma tris sans une meilleure association des collectivit s territoriales l laboration des projets de textes les concernant A cet effet Particle 97 de la loi de finances rectificative pour 2007 a cr au sein du comit des finances locales une formation restreinte la commission consultative d valuation des normes appel e formuler un avis sur l impact financier des projets de r glementation nouvelle qu elle soit nationale o communautaire A la suite de la publication du d cret n 2008 994 de ce jour fixant sa composition et ses modalit s de fonctionnement l installation de cette commission est pr vue le 25 septembre prochain 1 S agissant des projets de loi il vous appartient d analyser l impact ventuel des dispositions envisag es sur les collectivit s territoriales ou leurs groupements le plus en amont possible et de proc der la concertation n cessaire avec les associations d lus Ces l ments d appr ciation ont vocation tre int gr s dans l tude d impact accompagnant la transmission de l avant projet de loi mon cabinet Vous veillerez par ailleurs me signaler toute question qui vous semble appeler une consultation formelle de la commission consultative d valuation des normes 2 S agissant des projets de textes r glementaires il vous appartient d sormais de consulter la commission consultative d valuation des normes sur le
39. sais Il est galement pr vu de prendre en compte la particularit des tours a ror frig rantes TAR Notons qu une plate forme d change sur ies risques sanitaires des TAR et du thermatisme se mettra en place d ici quelques semaines Elle pourrait aboutir des projets de normes sur la conception des TAR et des reseaux Page 6 7 Environnement Magazine 01 10 2006 Des travaux sont aussi envisag s sur la d clinaison de la PCR a d autres param tres Par ailleurs la validation des m thodes alternatives par rapport aux m thodes de r f rence d j uti lis e dans l industrie agroalimentaire devrait arriver dans le domaine de l eau e Le secteur des boues reste galement actif avec des normes para tre en mati re de caract risation et un projet de guide de bonnes pratiques sur les techniques de valorisation agricole Paur l assainissement le travail normatif est tir par la gestion des r seaux en particulier pour le d veloppement de normes sur le curage et la r habilitation des r seaux en int grant le concept de d veloppement durable travers une gestion int gr e des r seaux Notons galement un regain d activit sur les normes en mati re de canalisations li la directive Produits de construc tion L autre th me central est l assainissement non collectif avec la r vision de la norme de mise en uvre des installations DTU et l arriv e de normes europ ennes sur les microstations en c
40. samment d licat pour d finir une position fran aise d fendre dans Les discussions internationales Dans le domaine de atimentation en l eau enjeu tient a i EAS European Acceptance Scheme qui remplace i ACS attes tation de conformit sanitaire Le groupe de travail europeen est anime par ia France Autre sujet les produits chimiques de traitement sur lesquels un gros travail est en cours avec une quarantaine de normes deja publi es sur 80 pr vues Ce Service Documentation Bulletin Documentaire 7 COS Environnement m trologie et d veloppement Beux grands axes d finissent les travaux du GOS Environnement des travaux sur ja mesure et Panalyse environnementales dans diverses matrices et des travaux m thodologiques couvrant les grands enjeux du d veloppement durable et de la ma trise de l nergie Les travaux repr sentatifs O ep og me RE Lomme A A en one mm pe p t e MMM ah a ram ur marne ar cmt an te 2 que pr vue en 2007 Notons aussi des travaux en cours sur le bruit des oliennes e En mati re de management le gros chantier est celui du mana gement par tapes Le premier fascicule actuellement exp ri mente doit aboutir en 2007 un document normatif finalis En parall le un groupe de travail europ en a t cr sur ce theme en mars 2006 anim par les Britanniques e Autre domaine cl l coconception pour laquelle une norme g n rique est dej parue L objectif actuel est
41. sion de cet arr t va donc substituer un objectif de r sultat la logique de moyens liste de fili res autoris es qui existait jusque l Cette vo lution r glementaire devrait don ner une plus grande libert tou tes les innovations techniques Des techniques courantes dans l assai nissement collectif cultures fix es cultures libres pourront trouver une place en ANC sous r serve de passer avec succ s l ensemble des tests note Patrick Flour sous di recteur des collectivit s l agence de Peau Adoux Garonne Maravage CE Les nouvelles fili res devront faire la preuve de leurs per formances Au niveau europ en une intense activit normative a permis ces derni res ann es de mettre en place les r f rentiels servant de sup port Patribution du marquage CE norme EN 12 566 Dans ce cadre les industriels devront fournir des proc s verbaux des essais r alis s er un laboratoire notifi sur les performances des produits la pro duction de boues ou la consomma tion d nergie On pourra ainsi en fonction des performances attein dre normes de rejets et des perfor mances des produits sur lesquelles les fabricants s engageront conce Laa oi des installations satisfaisantes smava Serice ocur Buletin CIOCUIT or Un protocole original Es au vide technique et r glementaire qui r gnait ces derni res ann es sur Les fili res positifs compacts
42. t surtout eile prot ge le consomma teur En un mot elle assoit une cr dibilit IL existe quatre types de normes Les normes fonda mentales portant sur la terminologie les signes les conventions les normes de sp cifications caract risant un produit ou un service les normes de m thodes d essai et d analyse et enfin les normes d organisation et de services Pour se lancer dans la normalisation une commu naut doit exister autour du produit ou du proc d et la norme doit servir l int r t g n ral Pour ceux cui n ont pas Le degr de maturit ou de stabilit n cessaire une normalisation classique il existe des outils simplifi s du type norme exp rimentale accord fascicule de documentation ou r f rentiels de bonnes pratiques Il y a en outre des documents d aide la mise en uvre de normes tels que des guides L quilibre trouver est subtil pour coor donner le plus t t possible les travaux mais aussi laisser tes acteurs progresser suffisomment avant de fixer une norme explique Mme Fernandez responsable du secteur environnement Page 2 7 Environnement Magazine 01 10 2006 A _ _ La cr dibilit est d ailleurs le mot cl employ par les sec teurs mergents Chantal Van Haluwyn chercheur l univer sit de Lille sp cialis e dans ta biosurveillance de l air a ainsi t en pointe dans la d mar che engag e par les experts du secteur l an dernier Des i
43. te est sujette une tr s grande variabilit entre laboratoires et bureaux d tudes souligne Colette Senan qui r sume ainsi une opinion largement expri m e lors d une r cente journ e de r flexion au sein d Ecrin Les experts avaient alors insist sur les efforts de normalisation mener pour am liorer le sys teme il n y a pos de compa raison entre laboratoires sur des effluents r els soulignait un sp cialiste Difficile par can s quent de ne jurer que par la norme alors que les laboratoires s y r f rant ne sont ni homolo gu s ni accr dit s et ne sont donc pas contr l s La formation du personnel son exp rience ta fa on de proc der tout en etant conformes la norme peuvent modifier les r sultats Service Documentation Bulletin Documentaire i La certification des toitures sur le manque de laboratoires accr dit s pour la d livrer Vaccreditation avec les bonnes pratiques qu elle impose est un moyen d att nuer les variations li es l intervention humaine La question du contr le et de la certification s pose donc afin de pallier tes lacunes de la normatisation La valoris tion agronomique des boues urbaines en est a parfaite illustration La recherche d une am licra tion qualitative des boues afin qu elles passent du statut de d chets cel i d produits est en soi une d rnarche louable De fait la norme sur le compost de boues retient des crite
44. ue le texte ant rieur enrenfor ant de 15 l am lioration de la performance energ tique des b timents Service Documentation Bulletin Documentaire l am lioration de l isalatian mais aus si par l int gration de dispositifs de production d nergie solaire ther mique panneaux solaires photovoi ta ques r cup ration des eaux de pluie etc Ce type d ouvrage peut fa fois int grer les technologies les plus avan c es et exploiter les techniques les plus ancestrales Pr sent comme un projet futuriste le b timent nergie positive a fai l objet de plusieurs exp rimentatighns dans l industrie du b timent y compris au plus haut niveau Ainsi construit au milieu des nn es 1980 Chaj lenger le Siege du groupe de BTP Bouygues es uffisant en pro ductian de chal ur et maintient une temp rature interne de 19 degr s jusqu une temp rature ext rieure de 5 degr s Le diagnostic de performance ner g tique un nouveau venu dans les transactions immobili res ore trop m connu le diagnostic de perfort mance nerg tique va d sormais faire partie du quotidien des fran ais En ef fet partir du 1 juillet 2006 celui ci sera exig lors de la vente d un b timent ou d une partie de b timent au m me titre que le diagnostic amiante plomb ou termites Ce diagnostic pr sentera la consomma tion d nergie effective ou estim e du rence pour un b timent oy
45. ussions avec les autorit s sanitai e critique a res m me si les r sultats ne sont pas officiels souligne Nicolas Bujaud Autre raison de ne pas se foca liser sur la norme si celle ci donne un cadre de mise en uvre technique les r sultats ne sont pas garantis sur toutes les matrices r elles C est le caprice de ia microbiologie Il est parfois extr mement diffi cile de transposer une m thode normalis e ou valid e sur matrice aqueuse standard ta r atit de la pa llasse On a d j constat que la norme r glementaire pour l analyse microbiologique culture en bo tes de P tri peut ne pas fonctionner cause du stress des bact ries li faut donc con server un esprit critique face aux resultats et savoir choisir une m thode adapt e ses propres beso ns Une m thode au quate Car l obiectif est d abard d of frir aux industriels des outils pour g rer leurs risques En clair viter l incident tant pour des raisons de responsa bilit que pour des questions financi res Les industriels de l agroalimentaire ont par exem ple depuis janvier justifier du choix d une m thode d analyse qui ne leur est plus impos e Sans parler de transposition l environnement cette appro che met en relief Les limites des normes servant de r f rence r glementaire En mati re de suivi des l gioneltes sur les tours a ror frig rantes le test normalis trop lent ne permet pas un suivi
46. v e et cr e une possibilit de sanc tion en cas de refus la majoration de la redevance de 100 A la suite de la publication de ce texte l gisla tif le contexte r glementaire volue vers une approche en termes de per formances qui va remplacer le sys t me d autorisation nominative de telle ou telle fili re de traitement Ce changement va dans le sens de la logique adopt e aujourd hui dans la majorit des pays europ ens ba s e sur des objectifs de performan ces Elle sera de nature assurer une meilleure protection du milieu et avec l augmentation de la concur rence elle devrait entra ner une r duction des co ts Proc dure d autorisation La pu blication des nouveaux arr t s est attendue pour la fin de l ann e Il s agira d une part d un arr t relatif aux modalit s d ex cution de la mis sion de contr le et d autre part d un arr t relatif aux prescriptions tech is Microstation d puration station d puration no soique compacte ii Filtres compacts supports synth tique textile ou organi que constitu s de milieux filtrants alter natifs comme la fibre de noix de Coco a Epandage compact install au dessus d une aire d panda ge d un filtre sable ou d un tertre d infiltration m Filtre plant macrophytes repose sur l utilisation d un milieu filtrant plant recevant une charge brute inf ricure 1 2 kg jr de DBOS demande bio logiqu
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