édito - Pays du Grand Briançonnais
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1. Pays et Conseils de D veloppement sont sou vent m connus dans leur existence leur fonc tionnement et dans les dynamiques qui sont l uvre La r alit de ces instances encore mergentes solidarit go t pour la chose pu blique responsabilit engagement de nos con citoyens partenariat public priv r v le en fait une grande richesse et une grande diver sit En pratique les Pays et les Conseils de D veloppement sont souvent g n rateurs d id es de projets et d actions innovantes Au fil des ans leur pr sence est peu peu devenue in dispensable au d veloppement des territoires la recherche d un int r t g n ral sans cesse r inventer Ils contribuent aussi fortement au renouvellement des pratiques d mocratiques Ces instances existent et fonctionnent dans le territoire qui constitue votre quotidien et votre bassin de vie depuis 2004 pour le Conseil de D veloppement et 2006 pour le Pays sous sa forme associative actuelle Les actions men es pass es pr sentes et futures sont nombreuses les chantiers immenses que vous allez d couvrir est le 1 num ro d une parution qui se veut totalement en phase avec cet avec ses lus ses habitants et ses usagers No tre souhait est de susciter dans l esprit de tout un chacun que soient non seulement des valeurs propres aux zones de montagne mais qu elles se traduisent de fa on sp cifique dans le Pays du Grand Brian onnais Bonne lecture2. toutes et tous Pierre Chamagne sommaire Pays du Grand Rriangonnais es Ecrins Av Queyras s i LT i e tri gagn u terrain le Pa Les d P Le pa aw P Les Festiv Hauts Ambiance des ste est des modes qui passent et d autres qui s installent I y a quelques ann es lorsque les premi res ont atterri dans la r gion les plus conservateurs ont souri Pr ts parier que les habitants de ces tentes am lio r es ne tarderaient pas regagner une habitation en dur ils ne voyaient l qu une excentricit de plus de la part de certains marginaux D autres plus curieux ou plus pragmati ques ont trouv dans cette habitation mill naire des steppes asiatiques plus d un atout Durant la construction de ma maison la yourte a t le meilleur moyen d habiter sur mon f 5 L ee ore RE p i O w Thi P ioia T l aa terrain moindre frais Je ne pouvais pas assumer un loyer et les traites du cr dit en m me temps explique Nicolas Maspeyrat auto constructeur d une maison en paille sur la commune de Prelles Log depuis mai 2008 dans une yourte de 36 m avec sa compagne et son enfant de 6 ans il sa voure ces moments de d paysement et de s r nit Vivre dans une yourte c est partir en voyage en restant ici De aire la f te tout en tant respectueux de la plan te C est la ligne de conduite du festival D
3. n geffroy paysgrandbrianconnais fr e web http www paysgrandbrianconnais fr Ce journal semestriel est gratuit Publi par le Conseil du D veloppement du Pays du Grand Brian onnais des Ecrins au Queyras et sur son initiative Il est coordonn par l ADSCB Association pour le D veloppement Socio Culturel du Brian onnais et financ par la R gion Provence Alpes C te d Azur Si ge social 19 Avenue Beauregard A 05120 L Argenti re La Bess e T l 04 92 23 04 46 Courriel cd paysgrandbrianconnais fr Impression LYonne R publicaine D p t l gal n en cours Directeur de la publication Pierre Chamagne Maquette www montagnecreative com FSI
4. D TONNANLES cer Le bilan co est positif m me s il reste des choses am liorer Un des points noirs du projet est l absence au niveau local de syst me de compostage pour les d chets des toilettes s ches Ce sont des prestataires de la Dr me qui nous ont fourni les toilettes Ils ont ramen avec eux les d chets Ils ont ensuite t d pos s chez des agriculteurs dr mois d j sensibilis s ce syst me qui les utilisent comme engrais en les m langent lo paille ou ou fumier explique Laetitia Coduri membre actif de l association L id al serait de trouver au niveau local des exploitants qui souhaitent r cup rer les d chets des toilettes ajoute t elle Une autre difficult est de proposer des repas bio Faire appel un traiteur bio demande un peu plus de moyens financiers et cuisiner soi m me partir de pro duits bio achet s en gros n cessite davantage de moyens humains pr cise notre interlocutrice Le plein d id es et d envies est fait pour la prochaine di tion avec la mise disposition d un compost les d chets v g taux ne seront donc pas perdus mais utilis s comme engrais ou nourriture pour les animaux ou encore l organi sation du co voiturage en fixant des points de rendez vous Une initiative qui permettrait de r duire consid rablement le rejet de CO2 dans l atmosph re d conomiser de l ar gent et en plus de faire de nouvelles connaissances A cela s ajo
5. Et lorsque le soin arrive son terme les traits de son visage se d tendent Merci les filles maintenant les bros de maman vite edura ble seca adultes encadrant ou intervenant aupr s d organismes ducatifs et socio ducatifs Marie Lison quant elle a suivi un parcours plus scientifique formation Gestion et Protection de la Nature mise en place d activit s scientifiques sur l environnement l eau et les nergies re nouvelables En 2005 apr s un court s jour au Qu bec l occasion d un stage dans un Parc National elle d cide de venir s installer sur Brian on Vos enfants l auront crois e au sein du Centre de loisirs Zanzibar o elle s occupait de la mise en place de projets p dagogiques sur l environnement Depuis peu elle a rejoint l association Un p le environnemental mobile Derni re innovation en date de l association la mise en place d un p le environ n N nemental en partenariat avec des associations et ou professionnels de l envi ronnement Les Faiseurs de R ve ont imagin de d placer le tout hommes savoir faire et convictions sous une structure amovible la volont tant de rendre accessible cette n buleuse environnementale aux communes ne disposant pas forc ment d infrastructures C est ainsi qu ont t fabriqu s les d mes des alpes On parle ici de trois d mes g od siques constructions cologiques facilement d montables et transportables qui servent de support a
6. et Academia Mag giore di Arte Contemporanea Alpina en italien a t cr e L action de cette association est de contribuer organiser la mise en lumi re par l image artistique des professions m tiers savoir faire l ouverture d un p le cyber m dia interactif de communication valorisant les diff rentes professions la diffusion d un programme m diatique f d rateur et interactif par l image artistique la communication par un site web r alis en 3 langues Fran ais Italien Anglais Un site internet Premi re partie du projet un site web dynamique du type vitrine interactive qui informe ouvre les portes sur une visite au c ur des Esa divers univers professionnels Il est m1 d j en ligne Anne Pancaldi usant de son me d artiste et de sa pers v rance a pass des centai nes d heures sa r alisation visites prises de vues choix montages r alisation pour chacun des m tiers pr sent s On y retrouve tout son savoir faire artisti que bien entendu mais aussi une technique informa tique savamment ma tris e Ce site d une rare qualit se veut la hauteur de son ambition porter haut et loin non seulement les savoir faire mais aussi la qua Innovation l a ro club de Saint Cr pin epuis septembre 2008 un treuil destin lancer les planeurs en vol est install sur l a rodrome de Saint Cr pin Un gros engin mobile de 19 tonnes qui lorsqu il est en uvr
7. qu une partie d checs de haut niveau sauf qu en plus l on n a pas le droit de toucher aux pi ces Au lieu de d penser beaucoup d nergie faire un grand plan d action et essayer de le g rer il peut tre plus effi cace de s atteler cr er une plateforme qui permettra tous les acteurs du territoire de mettre en uvre leurs id es de mani re coh rente et interd pendante de mettre quelques lignes directrices et de laisser les acteurs locaux initier inno ver cr er de supporter et d inviter les acteurs locaux dans ces processus Arr ter de changer le pansement et penser le chan gement Il y a des exp riences tous niveaux qui montrent qu il y a tout int r t agir a marche Oui les choses changent oui a motive et donne envie et oui il y a int r t agir tr s vite car personne ne sait si on change assez vite Si pas maintenant quand Si pas ici O Si pas Vous et moi qui Propos recueillis par St phanie Besson A lire voir 80 hommes pour changer le monde Sylvain Darnil et Mathieu Le Roux Le livre de poche Hors s rie Courrier International Une vie meilleure Oct D c 2009 Voir Artisans du changement sur Ushua a TV ou sur wwu artisansduchangement tv serie tele Voir la vid o Story of Stuff d Annie Leonard le film La 11 Heure Fondation Nicolas Hulot guides conseils au quotidien et 7 N co reporta
8. D veloppement est l pour analyser les crins pendant 4 ans Pierre Chamagne nous parle du f Pays du Grand Brian onnais dont il pr side le Conseil de D veloppement depuis 2008 Il a succ d Bertrand Chapurlat Quelques priorit s pass es et venir Le Conseil de D veloppement a impuls l organisation des journ es de l eau il est l origine d un lancement d tudes sur la petite enfance il s est investi fortement pour la Charte Foresti re Aujourd hui il se penche sur un Forum autour de la question du tourisme et d veloppement durable il participe l tude du R seau Ville H pital Brian on Aiguilles Il entretient des relations avec les associations locales existantes sur le territoire avec les entreprises et institutions comme les Parcs pour tre au plus pr s des pr occupations quotidiennes et pour encore une fois cr er une synergie Et quelle est l ambition de Bourgeon le Journal du Conseil de D veloppement I s agit pour l instant du galop d essai d un journal qui devrait para tre deux fois par an et sera distribu dans toutes les bo tes aux lettres des r sidents permanents du Pays Il souhaite uvrer pour que les habitants s appro prient le territoire Il est un appel aux citoyens qui d sirent participer des ateliers de r flexion nos c t s dossiers prioritaires Propos recueillis par Brigitte Alglave DEAR LC LCL LC LCL CERCLE CRC RCE A DR AR AR eo SLR
9. In ternet que se sont d roul es la plupart des r unions de travail Aujourd hui des difficult s d ordre technique ne permettent plus cette communication plut t innovante Parmi les animations mises en place pour les 28 jeunes du RAJ un s jour de vacances est organis chaque t pour les 13 17 ans Les six animateurs du R seau sou haitent que les adolescents participent la pr paration de leur s jour En 2009 les jeunes sont partis dans le Verdon Utiliser les nouvelles technologies Mais le r seau conna t des difficult s pour impliquer les jeunes sur du long terme Notre interlocuteur pense des solutions Utiliser les nouvelles technologies pour rait tre une fa on ludique pour les jeunes de se r unir r guli rement sur la toile afin de discuter de leur pro chain s jour d t L ann e prochaine le s jour d t pourrait se d rouler en Italie dans la province de Cun o Ce futur s jour m lera sport nature et culture Il s inscrit dans le cadre du programme transfrontalier Alcotra Faire ensemble Ce sera l occasion de faire se rencontrer jeunes Italiens et Fran ais La Meije terre d artistes suce tions pr sentant chaque ann e environ 15 spectacles Les spectacles ont lieu le soir ou en apr s midi en plein air ou dans des lieux tels que des granges caf s restaurants des lieux simples et vivants C est gr ce aux b n voles et aux fr quents coups de pouce des loca
10. LC LC LC LC ER CLR CRC RC RC RC RC RC RC RC RC RC RC RC LCR CRC EC NAINA No NEVACHE LA GRAVE LE MONETIER LES BAINS _ VILLAR D AR NE association du Pays du Grand DPR Z LA SALLE Brian onnais des Ecrins au Queyras LES ALPES N est constitu e par quatre communaut s ST CHAFFREV MONTGENEVRE Be Ov E E de communes la communaut de BRIAN ON ME communes du Brian onnais CUI DE g la communaut de communes du Pays VILLARD TE A gt T PANCRACE des Ecrins la communaut de communes du Guillestrois et la communaut de ie communes de l Escarton du Queyras 2 oo g CHATEAU Son conseil d administration est compos TE a de repr sentants de ces 4 entit s ARVIEUX OIRE Il coordonne la mise en uvre des Line cpen EN QUEYRAS actions et des projets men s au niveau du territoire L association est OR SAINT VERAN actuellement pr sid e par M Bernard CD IMONI P DAUPHIN CEILLAC Esmieu pr sident de la communaut de GUILLESTRE I BRIAN ONNAIS SUR DURANCE communes du Guillestrois an E PAYS DES CRINS VARS GUILLESTROIS L ESCARTON DU QUEYRAS Pays VOUS avez dit Pays Is sont nombreux s tre pr t s au jeu du micro trottoir pour voquer librement leur vision du PAYS Pass le premier instant de surprise et parfois m me de r ticence les langues se d lient Qui que l on soit le mot PAYS ne laisse pas indiff rent M lange de rudesse et de beaut il forge les mes La montagne N e
11. Montgen vre et Eric Daugu r f rent PACA de Mountain Riders Ces actions sont instaur es en partenariat avec la Commu naut de Communes du Brian onnais et le pr sident de l association des commer ants Ce travail en commun vise galement am liorer les services de collecte cartons pro fessionnels huiles de fritures usag es Dans une volont d associer l ensemble des acteurs de la montagne Moun tain Riders souhaite rattacher la f d ration de p che et les clubs d eau vive et de voile cette d marche pour r aliser en concomitance le nettoyage des cours d eau et du lac de Serre Pon on Courezannoncer la nouvelle aux poissons Contacts Mountain Riders 06 10 48 70 52 ou mail eric mountain riders org Site Internet http www mountain riders org Mairie de Montgen vre 06 30 11 67 53 52 ou mail jurag hotmail fr Site Internet http www montgenevre com DE CHAUFFAGE SOCIETE FORESTIERE BRIANCONNAISE Jacques Chevallier GRANULES EO2 ET PLAQUETT 5 POUR CHAUFFAGE S TRAVAUX ee SCIERIE Ad DE cn L nergie qui respires ON O O N 4 LL gt LL Z gt O lt Z Z O Lla es 4 O am lt J A Ne Gestion des d chets le tri gagne duU terrain unnes Chaque Fran ais en produit 380 kg par an leur poids total a doubl au cours des 40 derni res ann es M me si nous l oublions parfois les d chets font pa
12. climat de France Et si on veut passer du temps dans une telle habitation il vaut mieux pr voir un budget plus cons quent en gage de tranquillit www shaimak com et leur fonctionnement consulter le site http www reseau amap org de mai octobre 46 paniers distribu s et un contrat hiver mis en place pour novembre d cembre avec 28 paniers distribu s Contact Elsa Hanrot 06 76 84 43 80 Anne Delemazure 04 92 24 75 46 amirakern yahoo fr prix l amapien est la recherche de qualit et de confiance D o le besoin de proximit Mais dans une r gion o le tout tourisme passe avant tout il n est pos facile de trouver des terrains pour les agriculteurs Et il serait temps que les lus consacrent plus de surface aux producteurs car du c t des consommateurs la de mande est grande conclut Anne EE RG Des professionnels avant gardistes www brianconnais pro des professionnels vo tre service un slogan choc pour une initiative qui ne l est pas moins Cinquante huit personnes artistes professionnels entreprises commer ants et artisans du Pays du Grand Brian onnais et prochainement du Pi mont ltalie ont d cid de se f d rer et de se mettre en r seau pour cr er un outil de communica tion durable Pour concr tiser ce projet et l initiative d Anne Pancaldi artiste peintre graphiste une asso ciation l AMACA Acad mie Majeure des Arts Con temporains Alpins en fran ais
13. clore fleurir etse ramifier l chelle de notre territoire L quipe de BOURGEON vous souhaite une bonne r colte au gr des pages de ce premier num ro Et n h sitez pas glaner les alentours et nous rapporter des graines d id es Nous les s merons au printemps dans le prochain num ro de BOURGEON Contact cd paysgrandbrianconnais fr L quipe de r daction R gion PACA Notion administrative qui recouvre une communaut g ographique historique conomique humaine Dans les faits une coquille vide sans moyens sans pouvoir A C est l endroit que je connais et avec lequel j ai des liens affectifs C 60 ans Brian on Une structure de mutualisation donc c est bien Mais au niveau administratif on a du mal s y retrouver car une structure de plus pour laquelle on ne sait pas qui g re quoi B Queyras Pour moi qui suis parisienne ce pays l c est le soleil avant tout J y suis depuis 1967 J ai trouv des gens sympa thiques d autres moins H 80 ans Guillestre ll est li pour moi un sentiment d appartenance un mode de vie dans un lieu pr cis et aux histoires d antan C est une notion qui se modifie avec l volution du mode de vie Lucia 52 ans N vache D abord l environnement sauvage Ensuite les gens qui y vivent et qui l utilisent D racin e jeune j ai choisi ce pays pour la montagne mais je trouve les gens d ici rudes avec les nouvea
14. dans le milieu des arts vivants En 2007 l association Les Faiseurs de R ve est cr e son initiative II multiplie les interventions artistiques et devient leader dans le domaine de l co marionnette I met en place des modules de formation destin s aux L ost opathie a s donne rendez vous aux petits budgets r e en 2004 les Mercredis de l Ost opathie association loi 1901 a pour objectif principal de favoriser l acc s aux soins ost opathiques Cette association d ost opathes s adresse dans cette d marche aux familles faibles revenus ainsi qu aux enfants handicap s L adh sion l association co te 15 par enfant r pondant ces crit res et par ann e scolaire pour le nombre de consultations n cessaires L ost opathie dixit le Petit Larousse est une m decine douce visant soigner les maladies par des manipulations des membres des vert bres ou du cr ne Parfois ce sont les m decins qui envoient ces consultations C est le cas de Mohamed 9 mois Depuis sa naissance il avait un il rouge vif et un coulement permanent C est son ophtalmologiste qui a conseill ces soins sa maman Durant le soin le petit Mimo est assez impressionn Heureusement sa maman n est jamais bien loin Et la lumi re clignotante de mon appareil photo le distrait quelque peu I semble vouloir dire Mais que font ces mains toucher mon corps Il grimace A e Oui c est bien l que j ai mal
15. dans les Vosges je reviens l air vif avec plaisir pr s de ma fille pour terminer une vie bien remplie J 86 ans Brian on Le lieu o l on se sent bien o l on aime rester revenir L histoire des gens qui y vivent des coutumes une fa on de vivre D La Salle Les Alpes Du village paysan rural o tout le monde se conna t l entit administrative et parfois mouvante jusqu la fronti re nationale ou continentale en pointill sur une carte et au del la fronti re de l infini Firenze 49 ans Brian on Les origines les racines les attaches l quilibre et la s r nit F 39 ans Les Vigneaux Nos racines nos attaches notre culture Lieu qui influe sur notre moi intime le fondement de notre fa on d tre m me si le pays est riche de diversit s Baya 44 ans Une identit un milieu montagnard un pays en soi enclav o tout reste inventer cr er Une le paisible o on se ressource qu il faut quitter r guli rement pour mieux y revenir S 41 ans Fressini res L endroit o l on vit o on se sent bien V 51 ans La Salle Les Alpes Votre Bourgeon Difficile de baptiser le journal du Pays du Grand Brian onnais Apr s quelques h sitations nous avons choisi BOURGEON Un nom surprenant suscitant la curiosit et l effeuillage un nom vocateur d voilant un jardin de projets innovants diff rents raisonn s qui ne demandent qu
16. de Vollouise et de la Roche de Rame Et nous leur assurerons pour commencer une commande r guli re de 10 20 paniers por semaine raison de 10 15 par panier explique Anne Delemazure fondatrice de AMAP des Hautes Vall es n e le 11 septembre dernier Par ailleurs nous passerons des contrats ponctuels avec d autres producteurs pour des produits que l on consomme moins r guli rement que les l gumes Nous sommes en contact avec un leveur de volailles avec un apiculteur afin de taire profiter aux membres de l AMAP d aliments de qualit reprend elle Car plus que de r duction de 4 Cum LEEA PA For CF i eg engag e P CG 4 j CA Champ de kde r Chanson francaise Pop rock wmi te a b di EICO VA d h te ij Fe TONA e free fr L association l Otarie Risoul loue des toilettes s ches Pensez les contacter pour vos prochaines manifestations foires f tes de villages festivals v nement sportifs Contact 06 15 75 09 51 E mail l otarie live fr WWW eCOCUP eU d environ 27m import e co te environ 3000 La m me yourte fabriqu e en France et plus adapt e notre climat vaut 6000 La m me Surface pour une yourte dite contemporaine revient entre 10 et15000 Pour cette derni re de conception plus r cente les mat riaux utilis s seront plus r sistants et plus efficaces Selon Simon Liberelle les mod les mongols ne sont pas adapt s au
17. deux ter ritoires Un exemple bient t concret de ce que le tra vail en commun peut apporter aux communaut s e Queyras 1652 tonnes dont 21 tri es e Brian onnais 14189 tonnes dont 14 tri es Pays des crins 3113 tonnes dont 25 tri es e Guillestrois 3875 tonnes dont 22 tri es e TEOM La taxe d enl vement des ordures m nag res est calcul e en fonction de la surface b tie de chaque habitation quel que soit le nombre de personnes au foyer et le temps d occupation des lieux En pratique plus votre logement est spacieux plus la taxe est lev e e Redevance Elle est calcul e pour chaque foyer en fonction du service de ramassage rendu et s adosse g n ralement au nombre de personnes qui y r sident En pratique plus votre famille est importante plus la redevance est lev e e Redevance incitative Gr ce un syst me de pes e lectronique au niveau des camions de collecte chaque foyer paie une redevance individualis e au prorata du poids de ses ordures m nag res En pratique plus vous triez moins VOUS payez Eviter les produits suremball s les produits jetables et les doses individuelles lingettes plats cuisin s et eo ters d enfants capsules de caf Privil gier plut t les produits r utilisables avec des corecharges pour lessives produits d entretien en vrac fruits et l gumes de saison charcuterie fruits secs de grande contenance en v rifiant la dat
18. en Agricole pour le D veloppement Rural FEADER et des fi nancements de la R gion Provence Alpes C te d Azur et du D partement des Hautes Alpes pour soutenir des projets innovants contribuant au d veloppement conomique du territoire du Grand Brian onnais Anne Pancaldi Le Pays croit autant que NOUS ce r seau de socio professionnels Son soutien donne de l amplitude notre projet en l tendont l chelle du Pays des 4 communaut s de communes Cela donne un caract re officiel notre r seau Au del du soutien financier le Pays participe concr te ment au projet aux r unions la logistique c est un relais aupr s des lus il est un soutien technique de territoire Cette op ration devrait se r aliser entre le 1 septembre 2009 et le 1 septembre 2010 Affaire suivre E GL l espace agricole de montagne our l agriculteur le morcellement des terres est un lourd handicap La commune d Abri s n chappe pas la r gle avec un parcellaire exigu titre d exem ple une surface de 1200 m ne compte pas moins de 50 parcelles de 7 153 m Un vrai casse t te pour un agriculteur qui exploite en moyenne 600 parcelles de terre et doit donc pour les louer contacter la bagatelle de 50 propri taires Cr ation d une association fonci re pastorale Abri s C est pour r soudre ce probl me que la municipalit d Abri s a cr le 24 avril 2003 non sans mal une Asso
19. et ont trouv que la production d nergie solaire tait un choix conomi quement viable Pourquoi pas nous Il y a des actions en cours la fili re bois l utilisation de notre patrimoine g ologique etc Globalement l important est de toujours se demander si ce que l on d cide de faire aide transformer le syst me plus rapidement ou pas Aller voir ce que d autres ont r ussi inventer pour s rieusement am liorer le syst me et r pondre ces questions Est ce que mon action r pond de mani re constructive un besoin fondamental personnel celui d autres individus ou de la soci t Est ce qu en faisant cela je vais dans la bonne direction et d une mani re qui me permettra de rebondir vers d autres actions tout en tant une bonne d cision tout de suite main tenant Est ce que j ai regard suffisamment loin et large autour de moi pour prendre en compte tous les points de vue et tous les l ments importants Est ce que j utilise au maximum les leviers qui sont port e de ma main et est ce que j vite de passer trop de temps discuter de tous les leviers sur lesquels je n ai aucun contr le et malgr toutes ces questions pr alables ne pas oublier que l important c est d agir pas de r fl chir ind finiment Il existe d innombrables guides agendas livres sites internet sur ce que l on peut faire au quotidien chez soi en prendre un inventer
20. faire face aux variations de population que la communaut de commune a choisi de s quiper de containers semi enterr s Un choix qui n a rien d exceptionnel puisque ses trois homo logues au sein du Pays ont fait de m me mais qui prend tout son sens sur ce territoire Ces points de collecte de grande capacit permettent la r gie intercommunale de s adapter en toutes circonstances Les tourn es peuvent tre optimis es gr ce la r duction des passages en intersaison et les fr quences peuvent tre augment es en hiver et en t notamment en station Autre avantage ces quipements permettent de r duire la p nibi lit de la collecte pour les agents Avec la neige et la glace les bacs sur roulettes posent de gros probl mes indique St phanie Marcellin Charg e de mission en d veloppement conomique et communication cette jeune femme a assur l int rim la t te des services techniques jusqu l arriv e en septembre dernier de Jean Fran ois Rivens Cr ation d une station de m thanisation Pour Jean Fran ois Rivens s ouvrent d sormais plusieurs chantiers l agrandissement pr vu de la d chetterie d Aiguilles pour recevoir les d chets verts et les gravats et surtout la cr ation d s l ann e prochaine d une station de m thani sation Jouxtant la station d puration d Abri s kistolas elle permettra de r cup rer le m thane qui se d gage des boues des bio d chets et du pe
21. il recule dans le Pays des crins Cette baisse n est pas spectaculaire mais c est un signe ind niable que les habitants sont sur la bonne pente celle du tri r flexe Pour autant la gestion des d chets ne co te pas moins cher Au contraire Et pour le responsable du service d chets David Fourrat la collectivit ne peut pas tout La TGAP taxe g n rale sur les activit s polluantes a augment de 4 por tonne en 2009 En parall le nous essayons de limiter les co ts Mois ce n est pos facile Pas facile non plus de continuer sensibiliser les usagers On voudrait ne jamais rel cher la communication mais avec les aides qui ont peu peu disparu on manque de EMPS La communication un outil indispensable La communication reste pourtant l outil indispen sable pour faire encore progresser le tri aupr s des touristes par exemple dont les habitudes ne sont pas forc ment les m mes que celles des r sidents per manents Ce n est pas qu ils trient mal observe David Fourrat mais ils trient comme chez eux Il y a un v ritable probl me d uniformisation des con signes de tri Dans certains endroits le papier est accept avec les emballages e Queyras Francis Martin Brian onnais Pierre Leroy Pays des crins G rard S miond e Guillestrois Christian Berthalon Pour diminuer l impact des d chets sur l environne ment la collectivit ne m nage pourtant pas ses ef for
22. le tri s lectif est pr sent sur tout son territoire Ordures m nag res emballages verre pa pier chaque cat gorie de d chets est collect e s par ment et suit sa fili re de traitement Les ordures m nag res qui consti tuent encore la part la plus importante sont envoy es au centre du Beynon dans le sud du d partement C est aussi le cas des emballages qui y sont tri s Parmi eux un taux de refus de pr s de 30 reste constant depuis plusieurs ann es Un chiffre sou mis controverse d autant plus qu il est peu pr s le m me pour toutes les collectivit s La m thode d valuation de ce taux de refus serait elle revoir Quand on sait que le traitement de ces d chets exclus des emballages lors du tri est factur deux fois la collectivit la question m rite d tre pos e Une volont politique Mais derri re les questions techniques la gestion des d chets est aussi une affaire de volont politique C est pour quoi une commission d chets est en place regroupant un lu de chaque commune L id e g n rale est de sortir de la logique purement communale pour travailler concr tement dans l int r t communautaire Dans le m me esprit une personne r l rente est sp cialement en charge de la Recycler toujours plus a communaut de communes de l Escarton du Queyras est vaste et comporte un maillage clat de hameaux souvent isol s C est pour cette raison mais aussi pour
23. personne d sign e l avance assure la communi cation entre le producteur et les acheteurs c est le r f rent De cette mani re il n y a pas de probl mes qui restent sans solution En plus c est les amapiens les consommateurs qui assurent tour de r le la pes e et la distribution des denr es Ainsi Guillestre tous les vendredis soirs la livraison s effectue La composition du panier est affich e et deux volontaires s ef forcent de remplir les cabas que chacun apporte Au d but on n a pos trop l habitude avec la balance et les poids de chaque produit s excuse une des distributrices Mais ne t inqui tes pos on n est pos press Regardes tout le monde discute personne n est stress rassure C cile la mara ch re De l autre c t de la balance Agn s attend avec neuf paniers On est un groupe de L Argenti re La Bess e Plut t que de tous descendre choque fois on se relaie explique t elle L entraide fait partie de l tat d esprit de AMAP Et l on vient de loin pour participer celle de Guillestre car ce genre d exp rience n est pas commun dans la r gion La faute au climat peut tre qui rend difficile la production de l gumes sur une p riode assez longue Toutefois devant le succ s des AMAP et la demande grandissante des consommateurs une nouvelle association s est mont e Ll Argenti re La Bess e Nous travaillerons de fin avril fin octobre avec des producteurs
24. ses id es commencer par ce qui motive et ce qui permettra ensuite de faire les choses plus compliqu es Un objectif diminuer le plus vite possible la schizophr nie des deux casquettes qui fait croire qu on est une personne au tra vail et une autre chez soi Se demander quoi son entreprise son commerce va res sembler dans un syst me durable et comment arriver ce niveau au plus vite et d une mani re bien s r r aliste court terme R fl chir avec ses clients et ses fournisseurs la fa on et au moyen de prendre sa part dans le changement n ces saire R inventer Toujours se demander est ce que j ai vraiment besoin de cet achat Voir la vid o Story of Stuff d Annie Leonard version sous titr e en fran ais comment se sortir du cercle vicieux tra vailler plus pour consommer plus pour se sentir mieux mais a ne marche pas donc on travaille plus pour consommer plus pour se sentir mieux etc Pour la nourriture la r flexion est la m me que pour tout achat sauf qu en plus on est ce qu on mange Un point im portant manger de la viande tous les repas est et sera im possible faire pour tout le monde et demande une nergie impossible fournir Si on tait en dictature avec un chef clair les lus bien infor m s pourraient nous guider tr s vite vers la sortie Un expert su dois dit une strat gie de d veloppement du rable dans une commune c est aussi compliqu
25. tonnantes festival de musiques actuelles au f minin qui se d roule Brian on depuis deux ans Lorsque le festival D tonnantes se pr pare l quipe pense la programmation musicale mais aussi limiter son em preinte cologique Et elle passe l action Le son est l cer tes mais aussi des rempla ant le tout l gout ou les toilettes chimiques des poubelles de tri des en amidon de ma s du jus de pommes achet en grandes bouteilles afin de r duire les emballages des produits locaux notamment pour le choix de la bi re et du jus de pommes des cendriers de poche disposition sur toutes les tables des affiches imprim es sur du papier 50 recycl du bio accueil des artistes avec une assiette compos e d aliments bio des petits d jeuners bio pour tous L effort porte aussi sur les produits quita bles avec du cola bio et des tee shirts en coton bio issus du commerce quitable Cette ann e en collaboration avec d autres festivals du Grand Brian onnais 3000 verres r utilisables ont t ache t s en commun et partag s lors des festivals A la vente ou consign s les festivaliers ont test le concept l t dernier Derri re les co actions du Festival D tonnantes c est Un Temps Festif une association qui veut faire bouger les choses De nombreux soutiens financiers lui ont t accord s pour l aider mettre en place le festival et les co actions plus l
26. tre en prise directe avec la popu lation C est gr ce ce lien troit que de nouveaux services voient le jour Suite aux demandes de plusieurs personnes la collecte des seringues usag es et des huiles alimentaires a ainsi t mise en place Et bient t l amiante aussi pourra tre collec t e Pour autant la collectivit n a pas vocation s occuper de tout Pour Pascale Prothon les professionnels doivent prendre Philippe Wyon CPIE de la Haute Durance leurs responsabilit s et organiser leurs propres fili res de ges tion des d chets Mais c est aussi en uvrant en troite col laboration avec eux que des progr s pourront tre faits Cela passe par des mesures de bon sens comme la sensibilisation des commer ants qui dans le cadre de leur politique d achat peuvent privil gier les produits avec peu d emballage Le Guillestrois l a bien compris chaque action est un pas de plus sur la voie de la de l impact de nos d chets sur l environnement La route est encore longue mais la direction est la bonne Priorit l int r t commun est un des l ments dont la communaut de communes du Pays des crins peut tre fi re Comme partout ailleurs le volume global des d chets collect s augmente d ann e en ann e Com me partout ailleurs la proportion des d chets tri s est en hausse significative Mais contrairement d autres endroits o le poids des ordures m nag res continue progresser
27. ambiance l int rieur est vraiment tr s apaisonte reprend il Ravi de cette exp rience elle restera pour Nicolas une parenth se rigolote le temps de la construction car une fois son chantier termin il compte revendre sa yourte Mais pour d autres ce mode de vie plus pr s de la nature et des l ments est un choix plus r fl chi La yourte tait un r ve qui me tenait c ur depuis longtemps assure Sonia qui vit avec son mari et ses deux filles dans une yourte de 35 M aux Vigneaux Pour cette famille aussi cette habita tion tait un moyen de pouvoir construire une maison sans s endetter avec un loyer et un cr dit Mais elle repr sente plus que a et la parenth se s est p rennis e dans le temps Cela fait 3 ans et demi que la yourte est pos e sur le terrain Le chantier de leur maison arrive terme mais contrairement Nicolas Sonia esp re pouvoir la garder pour un usage professionnel Th rapeute en m decine chinoise elle voit l un outil id al L nergie dans cet espace est vraiment tr s sp ciale L archi tecture int rieure est superbe et tr s reposante Outre la qualit de vie que procure cette habitation celle ci pr sente des avantages financiers non n gligeables Bien moins ch re qu une maison voir encadr elle peut ven tuellement ne pas tre soumise certaines taxes Mais ces avantages ont aussi leur revers Et l entr e dans essous colo du festival
28. ciation Fon ci re Pastorale dont le but est la gestion rationalis e de l es pace agricole Elle est un interm diaire entre les propri taires et les utilisateurs des parcelles Il a t instaur un tarif unique de location de ces derni res quels que soient l emplacement et la nature du terrain Les utilisateurs versent une location l AFP alpage fauche etc et celle ci reverse aux propri tai res une location correspondant aux hectares poss d s et non pas seulement aux hectares utilis s Cette association pr sente l avantage de g rer la fois les ter res du haut alpages mais aussi celles du bas situ es autour du village Chaque adh rent per oit des revenus pour la location de ses parcelles mais reste propri taire de ces der ni res L AFP se charge uniquement de leur gestion Son statut est celui d une ASA Association Syndicale Autoris e Le principe de gestion de l AFP est avant tout la souplesse Les d cisions sont prises sereinement en concertation l occasion de la tenue des Conseils Syndicaux et des As sembl es G n rales Une Lettre de l AFP envoy e aux propri taires et aux exploitants donne le compte rendu de toutes les r unions Centre commercial Sud 05103 BRIAN ON Cedex T l 04 92 23 10 09 Certains travaux incombent l AFP comme l am nagement des cabanes pastorales l cobuage ou l entretien des ca naux Par contre la construction de nouvelles caban
29. couverte du patrimoine et de la vall e les artistes sont libres de choisir leur d marche et leur support de cr ation pour l ann e sui vante Ils peuvent leur gr discuter avec les habitants avec les touristes ou tout simplement contempler marcher pour stimuler leur imagination Toutes les formes artistiques sont invit es photo sculpture th tre musique danse cin ma Le seul point commun existant entre toutes ces cr ations est la vall e de la Haute Romanche comme support d expression En sus d tre b n fique pour la cr ation cette d marche est positive pour la vie de la vall e Elle cr e du mouvement et de l activit conomique Chaque printemps et t diff rentes compagnies viennent vivre sur le territoire Ce sont autant de bouches nourrir En suppl ment 3 emplois sont cr s le temps d une saison artistique estivale Du 20 juillet au 15 ao t les compagnies pr sentent leurs cr a La Jeunesse en F SEAU sine roue r er des moments de rencontre et de partage entre les jeunes des diff rentes communes du Pays du Grand Brian onnais tel est l objectif du R seau d Acteurs Jeunesse RAJ Une initiative n e du constat suivant les jeunes ont un espace de vie souvent limit leur lieu de r sidence ils connaissent peu le territoire sur lequel ils vivent Les ados ont un grand besoin d changes entre eux mais ils fonctionnent beaucoup por groupes restreints C est e
30. de Mountain Riders 75 des d chets qui ont t r colt s sont d origine profes sionnelle palettes en bois planches ferrailles Et 25 sont des d chets vacanciers m gots en grande quantit emballages de biscuits bouteilles en verre canettes prin cipalement retrouv s sous les t l si ges les balcons et en bordure des routes Soit 80 de d chets recyclables Apr s la r colte le triage la fin du ramassage l ensemble des participants s est alors efforc de trier les d chets r colt s la fin du ramassage Ce pendant les quantit s taient si importantes qu il n a pas t possible de mettre chaque d chet dans la bonne poubelle savoir une bouteille en plastique jet e dans la nature met 100 1000 ans dispara tre polluant les sols tout au long de sa d sagr gation Mise dans une poubelle de tri s lectif elle est recycl e et r utilis e plusieurs fois selon sa composition La solution id ale R duire ses d chets la source en achetant une gourde utilisable vie Sensibiliser la population locale et touristique Nous misons sur la sensibilisation de la population locale et touristique stand de sensibilisation sur le front de neige destination des skieurs ou des cyclistes distribu tion d un guide du ramassage organisation de la journ e de sensibilisation des commer ants au tri expliquent Julien Ragueneau Animateur Qualit la Mairie de
31. e limite de p remption et chaque fois que c est possible recycl s et dot s d un co label Penser aux alternatives lachat louer pour bricoler se d placer etc r parer et inversement donner pr ter ou vendre les objets qui ne servent plus afin qu ils trouvent un nouvel usage e Limiter les emballages inutiles sur le lieu d achat pour faire ses courses un cabas un chariot ou un panier font l affaire e Pour les emballages qui n ont pu tre vit s le tri est le pr alable indispensable toute la cha ne du recyclage Pr voir un espace ou mieux une poubelle plusieurs compartiments pour stocker les d chets recyclables avant de les d poser dans les conteneurs pr vus cet effet en bas de l immeuble ou au coin de la rue Source www defipourloterre org E tions Depuis 20 ans depuis la Su de et aujourd hui partout et tous niveaux The Natural Step sensibilise inspire accompagne des individus entreprises et collectivit s de tou tes tailles dans leurs cr ations et mise en uvre de strat gies de d veloppement dura ble Depuis 5 ans Renaud Richard participe professionnellement au d veloppement de l utilisation de cette d marche en France et Pinternational Il y a quelques ann es personne ne connaissait le terme de d veloppement durable aujourd hui il y a peut tre trop de d finitions Celle que j utilise est la durabilit sera atteinte quand les g n rations du
32. e sur le terrain interpelle bon nombre de curieux Le projet ayant abouti cette installation a t r alis dans le cadre du P le Excell Air Hautes Alpes Le Club de Saint Cr pin a b n fici des aides du FNADT Pr fec ture des Hautes Alpes Fonds National d Am nagement et D veloppement du Territoire du Conseil R gional PACA du Conseil G n ral des Hautes Alpes ainsi que de la F d ration Fran aise de Vol Voile ainsi que de la volont et du soutien appuy de la Mairie de St Cr pin Daniel Badaroux conseiller technique r gional vol voile pour les planeurs un homme passionn et tenace a t le porteur de ce projet qui lui tenait particuli rement c ur Apr s avoir visit plusieurs pays europ ens dont la Hollande o l utilisation de treuils est tr s r pandue il a constat que l ambiance autour de ces derniers cr ait une famille un peu plus assidue De l il a export le concept Saint Cr pin Tout n a pas t facile Il a fallu sortir des habitudes convaincre que l on avait peut tre int r t voir l avenir avec ce genre de mode de lancement Ensuite il a fallu apprivoiser la machine former les instructeurs qui ont en charge les l ves et aussi former des pilotes pour man uvrer cet engin Lancements r ussis Le treuil a effectu en 2009 sa premi re saison compl te avec environ 1800 mises en l air L objectif atteindre pour l an prochain est de 2500 soit 80 de
33. es des synergies entre collectivit s peuvent contribuer concr tement optimiser la gestion des d chets Pour optimiser les politiques de gestion des d chets le CPIE souhaite cr er un nouveau chantier d insertion qui assurera La collecte s parative des d chets d origine encombrants m nagers ou d chets industriels banals en pr servant leur tat afin de pouvoir envisager une valorisation par r emploi Cette collecte s effectuerait par le biais des d chetteries et de collectes compl mentaires Le tri le contr le le nettoyage la r paration de ces objets afin de leur rendre toute leur valeur La revente des objets constitue l aboutissement de la fili re r emploi et permet d assurer une part de ressources propres pour assurer la p rennit des emplois cr s La mise en place de collectes adapt es et de lieux de valorisation r emploi et recyclage c est une dynamique locale qui permettra de salarier des personnes priv es d emploi en difficult sociale et professionnelle de diminuer le tonnage des d chets qui partent en centre d enfouissement r duction induite des d chets ultimes et des co ts pour les collectivit s de r duire les transports et de minimiser les impacts environnementaux Ce qui permet aux usagers d avoir un interlocuteur identifi Le choix de la est politique par souci d quit C est la philosophie de notre territoire poursuit Pos cale Prothon Nous voulons
34. es et les missions de CO2 li es au transport sont ainsi vit es Dans cette optique ces fili res locales sont incontestable En prise directe avec la population ans le Guillestrois comme ailleurs le tri s lectif a constitu une petite r volution Une r volution de velours mais qui continue progresser d ann e en ann e Sur le territoire de la comcom le volume tri a ainsi doubl entre 2001 et 2007 Pour Pascale Prothon en charge du service de gestion des d chets c est une vidence partir du moment o les dispositifs sont pr s hits les gens suivent ment des solutions d avenir Pourquoi payer et polluer pour transporter des d chets plus de 100 km s il existe un moyen de les traiter localement Pour Didier Raulot il faut se con centrer sur des d chets simples traiter et bien calculer les co ts de fonctionnement long terme La piste du compos tage est suivre et il manque aussi sur notre territoire une plate forme de valorisation des d chets inertes Des pistes pour lesquelles l chelle intercommunale ne sera pas suffisante Pour les faire d boucher sur des so lutions concr tes c est l ensemble du Pays du Grand Brian onnais qui devra les suivre re W 5 T Wu A h A g VAS as RTS En E l Ei TA T 1 Pa Re j gt i me EF 1 i a PE Et les dispositifs existent bel et bien dans le Guillestrois Comme dans les autres comcom du Pays
35. es h bergements hivernaux mongols pour les touristes venant skier Mon tier Les Bains les premi res choses foire si on veut vivre dans une yourte sont de se mettre d accord avec la mairie en pr cisant la dur e de l installation de la yourte et de choi sir un mod le bien adapt nos climats E RG Amap toi mem r ce mon contrat avec l AMAP je mange des l gumes frais a toutes les semaines et je limite consid rablement mon temps pass faire les courses lance Claire maman de trois enfants et femme press e Qu est ce qu elle dit Son contrat avec quoi Par AMAP il faut entendre Association pour le Maintien d une Agri culture Paysanne Et on pourrait rajouter de proximit Ces associa tions qui se d veloppent un peu partout en France et en particulier dans notre r gion visent mettre en relation directe producteurs et consommateurs Le principe est simple Un groupe de consomma teurs passe commande un producteur pour une p riode donn e D un c t le producteur s engage fournir chaque semaine un panier de l gumes vari s De l autre l acheteur paye sa commande l avance d s la signature du contrat Outre l avantage financier que procure ce contrat au mara cher il lui facilite grandement la distribution de ces produits En effet c est le consommateur qui BOURGEON N 1 AUTOMNE HIVER 2009 vient chercher son panier une date et dans un lieu donn En cas de litiges une
36. es pas torales reste prise en charge par la commune Cette initiative a essuy au d part une opposition farouche des propri taires Elle est aujourd hui approuv e par la ma jorit des personnes concern es Ainsi lors de la premi re r union 95 des propri taires ont vot contre Un an apr s le m me vote a obtenu 90 de oui Aucune voix contre Seule l opposition s est abstenue Un succ s pour ce projet port par la municipalit et plus particuli rement par son premier adjoint Yves Go c devenu directeur de la structure Rappelons que cette action se trouve l gitim e par le fait qu elle figurait au nombre des promesses lectorales de l quipe de l actuelle maire Jo lle Ocana MIG L e ASA Association Syndicale Autoris e tablissement public permettant la gestion et l entretien frais communs de travaux d am nagement d un p rim tre compos des parcelles des propri taires concern s les adh rents La SAB 2 magasins 5 avenue de Vallouise 05120 L ARGENTIERE LA BESSEE T l 04 92 23 20 66 boucherie sab wanadoo fr BOURGEON N 1 AUTOMNE HIVER 2009 ON N o LLJ Z T LL Z O D lt mn Z Z O LLJ o O am Lorsque les arts vivants rencontrent le d veloppemen ette rencontre c est celle que proposent Les Faiseurs de r ve Nom po tique pour une asso ciation qui lie art environnement et nature par le biais d activit s ducatives S
37. es projets ses actions ont la particularit de favoriser la mutualisation d expressions cr atives Ate liers spectacles et d bats sont organis s pour sensibiliser l environnement apprendre recycler et d velopper la cr ativit l imaginaire Portraits f Quand je parle d art et de r cup ration l image qui me vient l esprit est f sans nul doute un clich de mon enfance o je fabriquais mes jeux partir d objets r cup r s et assembl s Ce n tait pos seulement le r sultat de a conditions sociales modestes Cela provenait d un mouvement social ducatif cr atif et conomique de l poque appel le syst me D Eric Pagenel n est jamais en panne de mots pour d crire son parcours et parler de l association qu il semble porter bout de bras Th tre photo arts plastiques ont toujours eu une place pr pond rante dans sa vie Issu du secteur socio culturel il se sp cialise en co tourisme En 2003 il invente son m tier co marionnettiste Il est le seul en France Il cr e des spectacles et int gre les arts de la rue avec des d ambulations de marionnettes g antes dont une fourmi de 2m50 Vous les avez certainement crois es au d tour de festivals lors de D am bulations Carnavalesques dans le Queyras au Festival de la Lune la Coupe Icare Saint Hilaire du Touvet ou encore au dernier Festival du Vent Calvi Peu peu il cr e son m tier et fait sa place
38. futur pourront vivre au moins aussi bien que celles du pr sent Et donc le d veloppement durable c est trans former au plus vite notre syst me qui aujourd hui nous entraine dans un entonnoir nous laissant de moins en moins de marge de man uvre Il faut en sortir avant que les parois se referment Changer le syst me au plus vite c est a pour moi le d veloppe ment durable Toutes les actions intelligentes et possibles aujourd hui pour cr er entretenir acc l rer les dynamiques de changement doivent tre mises en uvre du pro gressif oui si a va vite et permet aussi les change ments en rupture du coup de poing oui si a ne cr e pas de r actions hostiles En France comme ailleurs c est tr s dur dire Parmi les surprises a priori les grands m chants tels qu on pr sente parfois les entreprises bougent en fait plus vite que l individu lambda pas forc ment pour des raisons thiques mais parce qu utiliser moins de ressources et polluer moins permet d assu rer la p rennit de l entreprise Les choses bougent de partout dans tous les secteurs La plupart de mes coll gues pensent comme moi que le point de bas cule quand la boule de neige devient avalanche tait en 2007 2008 Toute la question est de savoir si on changera assez vite Il y a 6 mois ou un an j aurais dit la peur de pas ser pour un colo id aliste ou que les autres ne soient pas pr ts Cette difficult disparai
39. ges qui incluent des solutions mises en uvre BOURGEON N 1 AUTOMNE HIVER 2009 Maire de Pelvoux pendant de nombreuses ann es Pr sident de la Communaut de Communes du Pays des Le Pays le Conseil de d veloppement Bourgeon Que repr sente la notion de Pays N y a t il pas risque de confusion pour les gens Oui Mais si les comp tences des collectivit s locales sont difficiles comprendre je n ai aucune crainte car le Pays n est pas une collectivit Il porte en lui une dynamique structurante Le Pays m inspire confiance Si on dit aux habitants que c est une partie du territoire de la R publique des Escartons ils comprendront Quelle est la vocation du Pays du Grand Brian onnais Constitu de quatre Communaut s de Communes allant des crins au Queyras en passant par le Guillestrois jusqu au Brian onnais l objectif principal de cette entit est de favoriser une synergie territoriale de cr er une instance qui aille au del des projets de territoire communaux afin d obtenir une harmonie dans le d veloppement des projets Quel est le lien entre Pays et Conseil de D veloppement Le Conseil de D veloppement a t cr simultan ment au Pays Il est consid rer comme une force de proposition au Pays il agit pour le maintien des services publics La soci t civile y est repr sent e sous forme consulaire associative syndicale qui en sont les structures et personnes ressources Le Conseil de
40. munaut de communes devrait exp rimenter la rede vance incitative d s l ann e prochaine Techniquement nous sommes pr ts affirme Didier Raulot responsable du service d chets Pour les Brian onnais ce serait l occasion de mesurer la quantit de d chets qu ils produisent l aune de ce qui sort de leur porte monnaie Une incitation mieux trier et un changement d approche radical pour ce territoire qui fonctionne aujourd hui avec une taxe d enl ve ment sur les ordures m nag res forc ment in galitaire La cinqui me d chetterie du territoire intercommunal Un autre projet d envergure est en cours et va se poursui vre en 2010 I s agit de r habiliter la d charge de Saint Cha frey pour y installer la cinqui me d chetterie du territoire intercommunal Son ouverture devrait nous permettre d avoir une meilleure r partition des diff rents usagers mais aussi d en mobiliser de nouveaux gr ce la proximit estime le chef du service Sans compter qu une fourri re automobile y sera int gr e tout comme un lieu de stockage pour les d chets inertes Valorisation locale D autres mat riaux en revanche peuvent tre valoris s C est le cas du bois et de la ferraille qui comme dans les autres communaut s de communes du Pays trouvent pre neurs parmi les entrepreneurs locaux Double avantage la valorisation diminue le volume des d chets et permet d co nomiser de nouvelles mati res premi r
41. n partie cause des contraintes g ographiques de notre territoire de montagne allongeont la dur e des d placements les emp chant parfois neige C est aussi d au fait que les ados osent difficilement aller la rencontre de nouvelles personnes Proposer des mo ments de rencontre por le biais d activit s de sorties de s jours en commun est un moyen de d velopper les changes et les liens sociaux d largir le cercle d ami ti Il en va de m me pour les animateurs jeunesse peu nombreux sur le territoire et pour certains fortement isol s D o notre volont de cr er un R seau d Acteurs Jeunesse explique Olivier Antoy coordinateur du P le Jeunesse la MJC Centre Social du Brian onnais Ce r seau existe depuis 2005 et rassemble six animateurs jeunesse travaillant sur diff rentes structures du territoire MJC de Brian on Communaut s de Communes du Pays des Ecrins et du Guillestrois Association Culturelle Sociale et Sportive du Queyras Il a t mis en place sur la p riode 2005 2007 dans le cadre du programme europ en LEADER Ils travaillent ensemble la mutualisation des programmes d animation pour les jeunes Des visio conf rences pour pallier la distance Tandis que le R seau se mettait en place la communica tion par visio conf rence s est impos e Cet outil multi m dia palliait la difficult de se rencontrer en personne C est donc chacun derri re son ordinateur travers
42. que la vaccination la dur e de l allaitement ou encore la croissance de l enfant Contact Les mercredis de l Ost opathie 04 92 20 04 15 faut se l avouer dans notre pays de montagnes de neige de ski et d alpinisme la culture n a pas forc ment la plus belle part du g teau Les spectacles restent peu fr quents la cr ation artistique parfois limit e Nous avons de belles montagnes me direz vous on ne peut pas tout avoir Pour Etienne Albert et Yves Grenier il n tait pas possible de se r signer cela Ils ont souhait aller plus loin La terre alpine peut devenir un lieu de cr ation artistique Cette am bition s est concr tis e sur les communes de La Grave et Villar d Ar ne Ils ont cr il y a maintenant 10 ans une association les rencontres de la Haute Romanche dont le but est de favoriser la cr ation et d implanter des artistes sur la dur e en ces hauts lieux Des compagnies d artistes sont s lectionn es puis invi t es travailler composer sur la vall e Ces compagnies sont toutes professionnelles l association des r sidences d artistes se charge de recueillir des financements pour les loger les nourrir et les salarier En plus de favoriser la cr a tion leur but est d implanter le temps de quelques mois des artistes sur la vall e de les ins rer dans la vie du village et de participer dynamiser le canton Apr s un simple accueil la premi re ann e la d
43. r all grement M GL travailler autrement Projet LEADER GAL Entreprendre du Pays du Grand Brian onnais lit d accueil et de vie au Pays du Grand Brian onnais des Ecrins au Queyras Des bornes interactives La seconde partie du projet pr voit l installation de bornes interactives r parties dans le Pays du Grand Brian onnais Ces bornes v ritables uvres d art contemporaines en bois permettront aux usagers de conna tre les entreprises du territoire et de les visiter virtuellement Le projet commence pren dre forme Mais sa r alisation est beaucoup plus on reuse que celle du site web Ainsi PAMACA doit partir sur les sentiers europ ens la recherche de subventions pour d cliner ce projet l chelle du Pays du Grand Brian onnais L association de vient pour l occasion un d l gataire de prestations de services qui regroupe les savoir faire d une ar tiste peintre graphiste d un b niste d art Thierry Ollagnier de traducteurs et du groupe de musique celtique de Turin Labgraal Elle sera soutenue techni quement par le Pays du Grand Brian onnais dans le cadre de l organisation d une d marche th matique G rer Programme LEADER Le Pays du Grand Brian onnais a lanc en d but d ann e un nouveau programme LEADER GAL Entreprendre dont l enjeu est le soutien l entreprenariat 11 fiches dispositifs une enveloppe de pr s de 2 8 millions d euros aliment e par le Fonds Europ
44. rtie de notre quotidien Leur gestion est indispensable et a consid rablement chang gr ce av nement du Compostage containers semi enterr s fili res locales de recyclage Aujourd hui plus que jamais toutes les id es sont bonnes prendre pour trier toujours plus et pr server notre territoire Bourgeon donne BOURGEON N 1 AUTOMNE HIVER 2009 la parole aux communaut s de communes pour faire germer des solutions et les synergies de demain Favoriser les fili res locales est le bassin de population le plus important du Pays Et comme tous les autres il est fortement soumis la saisonnalit Mais contrairement ses trois homologues la communaut de communes du Brian onnais a d l gu la gestion de ses d chets un prestataire priv Un contrat qui court actuellement jusqu en 2013 Cela n emp che pas pour autant le service des d chets de la collectivit d uvrer au quotidien Et cela commence par la communication aupr s des usagers L ambassadeur du tri est sur tous les fronts pour sensibiliser la population aux pratiques vertueuses actions dans les coles informations des touristes dans les stations porte porte etc Tous les moyens sont bons pour faire voluer les pratiques Et a marche M me s il reste encore du chemin faire la part du tri s lectif dans le volume global des d chets collect s est en constante augmentation Pour donner un coup d acc l rateur cette tendance la com
45. rtistique et fonctionnel aux activit s propos es par l association et ses partenaires Le d me central est un espace d accueil d information de documentation et d change qui aborde des th mes li s l environnement les nergies renouvelables les probl mes climatiques Les deux autres plus petits sont des lieux d activit s Art et Nature Faiseurs de r ve et d mes g od siques se baladent dans le Pays du Grand Brian onnais et sur l ensem ble du massif alpin Pour savoir o les retrouver rendez vous sur http lesfaiseurs2reve wifeo com C tait sa deuxi me s ance D j suite la premi re de nettes am liorations avaient t ressenties Mohamed avait l il bien moins rouge Cette s ance ci devrait tre tout fait efficace Toutefois si la maman le souhaite elle pourra toujours revenir consulter une troisi me fois Mutualiser les comp tences Lors de chaque s ance deux praticiens sont l afin de travailler ensemble sur l enfant Ils mutualisent ainsi leurs ner gies ou peuvent galement travailler sur plusieurs endroits en m me temps De plus pour les ost opathes travailler en bin me leur permet d changer d apprendre les uns des autres Chaque bin me est compos d un jeune praticien et d un confr re plus exp riment Durant les consultations les praticiens sont aussi souvent sollicit s afin de donner leur avis sur des questions que peuvent se poser les parents telles
46. s mises en l air 7 800 mises en l air seront faites par avion Economie d nergie Pour une mise en vol avec le treuil un litre de gasoil est utilis ce qui co te 13 Tandis que six sept litres d essence sont n cessaires lorsqu elle est r alis e par un avion pour un prix de 30 Une r percussion co logique mais aussi conomique int ressante de cette installation Le treuil permet aussi d mettre moins de nuisances sonores une dimension non n gligeable pour l environnement Le projet de l a ro club ne s arr te pas l L utilisation de voiturettes mues par l nergie solaire pour d placer les c bles sur la piste fera partie d une deuxi me phase Une conomie d nergie fossile suppl mentaire avec une consommation r duite 0 5 litres de gasoil par lancement Deux m thodes de mise en vol L a ro club dispose d sormais de deux m thodes de mises en vol Un avantage certain que l a ro club pro pose aux 20 30 planeurs pr sents sur la plate forme en p riode estivale et dans le cadre de la formation Le Comit d Entreprise d Air France ne s y est pas tromp Il confirme pour plusieurs ann es de suite sa venue Saint Cr pin pour la formation de jeunes pilotes Daniel Badaroux souhaite galement organiser Saint Cr pin hors saison des manifestations importantes comme des championnats Avec lui du r ve la r alit il n y a qu un pas qu il saura tr s certainement franchi
47. t tr s peu de gens demandent pourquoi changer mais comment Un autre facteur freinant la croyance que a co te cher Mon outil pr f r pour r pondre a est un livre qui a remport la fois un prix litt raire des droits de l homme et un prix d conomie Rotary du livre d entreprise 80 hommes pour changer le monde Ed Livre de Poche Pris strat giquement et intelligemment quand on arrive penser en amont et trouver des solutions innovantes m me la crainte du co t des ventuels in vestissements initiaux disparait Et quand on n a pas la chance d avoir ces possibilit s de rupture les retours sur investissements sont tr s valables surtout si l on arrive enfin se sortir de l absurdit des rendements obligatoires sur le trimestre suivant Pour notre territoire comme pour les autres qui conque prendra de l avance aura plus de chances de mieux r sister au changement qui pourrait ne pas tre aussi doux qu on pourrait le souhaiter Et il n y a plus de fronti re qui tienne soit on s en sort peu pr s tous soit on va tous dans le mur D o limpor tance que chacun fasse ce qu il peut son niveau sans attendre Notre territoire a encore moins d excuses que d autres on vit sur une mine d or nerg tique co logique sociale conomique Il faut qu on en profite qu on rattrape notre retard Les allemands ont s rieu sement moins de soleil que nous
48. tit lait des fromageries pour chauffer le centre m dical d Aiguilles et des b timents communaux terme nous envisageons aussi de produire de l lectricit partir de ce gaz mais le proc d est compliqu mettre en uvre estime le nouveau directeur des services Exp rimentations Cette alternative au compostage traditionnel n a pas em p ch la communaut de communes de mener des exp rimentations depuis 2006 une op ration de compostage de quartier est en cours sur le hameau de Villargaudin commune d Arvieux Les habitants sont invit s d poser leurs d chets termentiscibles dans des bacs de 60o litre Devant le succ s de l op ration un troisi me bac est venu rejoindre les deux pre miers et un quatri me va tre install prochainement En l espa ce de deux ans la part de ces bio d chets dans l ensemble des ordures collect es sur le hameau est pass e de 43 36 Pour St phanie Marcellin ce n est pas norme mais c est d j bien C est l addition de plusieurs op rations comme celle ci qui permet de recycler toujours plus Des op rations queyrassines mais aussi des collaborations intercommunautaires Un partenariat avec le Guillestrois existe au quotidien Le ver re collect dans le Queyras transite par le quai de transfert du Guillestrois en change de quoi les services techniques du Queyras effectuent la collecte sur le hameau excentr de Bramousse Preuve que m me petit
49. ts En 2006 six d charges pr sentes sur son ter ritoire ont t r habilit es Une op ration de grande envergure qui a n cessit des moyens cons quents allant jusqu lh liportage Aujourd hui c est une autre d charge qui pose probl me Le centre de stockage de d chets inertes du territoire est encore viable mais seulement pour un deux ans Une solu tion doit rapidement tre trouv e Vers une mutualisation de la gestion des d chets Cela passera peut tre par une r flexion l chelle du Pays du Grand Brian onnais Car pour rester rai sonnable au niveau des transports tout en conser vant des co ts de gestion raisonnables des cono mies d chelle sont n cessaires Pour David Fourrat aucun doute On aurait int r t faire en commun quelque chose de plus cons quent L int r t commun c est d j ce qui a guid le Pays des crins lorsqu il s est associ avec le Guillestrois pour cr er le SMICTOMGA Aujourd hui ce syndi cat mixte assure la gestion du march pass avec le centre du Beynon pour le traitement des d chets des deux collectivit s La structure permet la mutualisa tion des quipements comme le quai de transfert du Guillestrois mais aussi de faire merger des projets qui n auraient pas t viables l chelle communau taire C est le cas de la plate forme de compostage qui devrait voir le jour dans les prochains mois et qui permettra de valoriser les bio d chets des
50. ute une volont particuli re nous souhaitons encou rager lo mutualisation des besoins avec les autres festivals ce qui permettrait de d velopper et d tendre nos actions conclut Laetitia Coduri L union fait la force L t prochain fa tes la f te sans laisser de trace EE ce cercle de feutre n est pas toujours aussi ais e qu il n y para t Ainsi certaines municipalit s demeurent r ticentes accueillir ces habitations nomades Nicolas et Caroline le savent bien Nous n avons pos les moyens d acheter une maison et nous n avons pos envie de gaspiller de l argent dans un loyer la yourte nous semble un bon compromis Mais nous avons beaucoup de mal trouver un endroit o NOUS poser Au del des difficult s administratives la yourte pr sente des contraintes oubli es dans notre soci t actuelle La yourte est un habitat traditionnel Plac e dans un rythme de vie moderne elle exige une organisation particuli re pr vient Sonia Le po le bois chauffe tr s vite mais s il s teint la temp rature avoisine rapidement celle de l ext rieur L hiver il faut donc toujours pr voir du bois en r serve En plus dans cet espace restreint il faut toujours ranger Les yourtes mon goles ne supportent pas le poids de la neige A la moindre chute il faut d neiger de jour comme de nuit pr cise Si mon Liberelle Pour ce dernier qui a v cu trois hivers dans une yourte et qui propose actuellement d
51. ux arrivants Louise Vallouise lci les gens se sentent isol s d laiss s ne se sentent pas appartenir au pays mais plut t les laiss s pour compte la fronti re des Hautes Alpes et de l Is re ni d ici ni de l bas ils n ont d autre choix que de vivre en autonomie Face aux difficult s rencontr es et au manque d information les jeunes se tournent davantage vers l auto entreprise Agathe P 23 ans Pays de la Meije D abord la France puis le Pays du Guillestrois enfin Brian on et les alentours avec une politique et un syst me de communication communs Delphine 27 ans Guillestre Une zone g ographique le lieu o l on vit avec des enjeux communs Est ce qu ici on fait vraiment partie du grand Brian onnais Jacqueline 59 ans Risoul Propos recueillis par Brigitte Alglave Le Conseil de D veloppement ouvre ses pages aux annonceurs dont la d marche associative ou d entreprise rel ve de pratiques vertueuses dans les champs d action du d veloppement durable social conomie environnement culture Les annonceurs pourront faire preuve d originalit dans leur espace en valorisant par exemple une bonne pratique un produit sp cifique ou un label particulier Merci de contacter le Conseil de D veloppement Contact Conseil de D veloppement du Pays du Grand Brian onnais des crins au Queyras 19 av Beauregard 05120 L ARGENTI RE LA BESSEE T l 04 92 23 04 46 Fax 04 92 53 98 61 courriel
52. ux que ces v nements peuvent avoir lieu Les jeunes et les moins jeunes sont investis parfois dans la cr ation en tant au acteurs parfois dans la logistique ou l organisation Prochainement l quipe des Rencontres de la Haute Romanche tendra son travail sur le Pays du Grand Brian onnais Une premi re pr figuration Danse et Arts Plastiques verra le jour L Argenti re La Bess e en ao t 2010 D autres territoires suivront Contacts Rencontres de la Haute Romanche Etienne Albert etienne levannoirnet 04 76 79 90 00 ou Yves Grenier yvesgrenier42 hotmail fr 06 82 19 14 64 Ski et d chets moi non D US are 40 m de d chets collect s C est le bilan de la journ e Ramassage de d chets organis e au mois de juin der nier sur la commune de Montgen vre ombreux taient les b n voles mobilis s pour ce grand nettoyage de printemps service technique coles police de l air et des fronti res cole de ski lus du conseil municipal locaux et touristes Au total une cinquantaine de personnes tous ges confondus ont mis la main la p te sur plusieurs circuits de ramassage sportif front de neige et village Cette journ e organis e par la Mairie de Montgen vre sous l impulsion de l association Mountain Riders est n e d un ros le bol de voir le spectacle d solont de la montagne re couverte de d chets chaque fonte de neige explique Eric Daugu r f rent PACA
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