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et Échevins de la Région de Bruxelles€apitale F 02 514 40 22
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1. GOUVERNEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES CAPITALE N Le Ministre Pr sident CONTACT Laurent DEMARQUE A Mesdam essi s Bourgmestres T 02 506 32 03 Mes es et Messieurs le gmes E02 114020 et Echevins de la R gion de Bruxelles Capitale Idemarque picqueirisnet be NOS REF JLAD 2 VOS REF CONCERNE ANNEXES BRUXELLES Appel projets relatif au Plan bruxellois de pr vention et de proximit 2011 2014 Note interpr tative 26 07 201 Mesdames et Messieurs les Bourgmestres Mesdames et Messieurs les chevins La pr sente note a pour but de pr ciser les termes de l appel projets relatif au Plan bruxellois de pr vention et de proximit 2011 2014 transmis aux pouvoirs locaux le 14 mars 2011 Il s agit sur base des remarques et commentaires formul s lors de la r union d information du 28 mars 2011 ainsi que lors des r unions men es avec les communes du 30 mai au 1 juin 2011 d apporter les pr cisions jug es n cessaires la bonne compr hension des termes de ce document I est noter que le texte de base dans le cadre de la mise en uvre du Plan bruxellois de pr vention et de proximit reste ledit appel projets 1 Priorit s r gionales La fixation de priorit s r gionales r pond un double objectif recentrer le contenu des dispositifs subventionn s par la R gion dans le cadre des plans locaux de pr vention et de proximit au regard des constats observations et valuations
2. l intention est de voir les priorit s r gionales appliqu es avec souplesse pour les anciens projets L objectif est de laisser aux communes le temps n cessaire pour traiter les projets actuels rencontrant des difficult s Les adaptations ne devront donc pas tre op r es du jour au lendemain mais les fiches projets rentr es par les communes devront mettre en vidence leur volution Par ailleurs au cours des rencontres avec les communes et les acteurs de la pr vention il est apparu n cessaire de pr ciser d assouplir voire de reprendre certains types de projets dans les diff rents axes de travail Ces adaptations sont pr sent es ci apr s Enfin il est important de souligner que les priorit s nonc es par la R gion dans l appel projets du 14 mars 2011 sont le reflet d attentes exprim es un niveau supra local les b n ficiaires potentiels ne sont donc en rien tenus de r pondre toutes les attentes r gionales Les moyens octroy s par la R gion seront en effet d livr s en fonction de besoins locaux av r s relev s dans le cadre du diagnostic local de s curit DLS notamment voir infra Axes de travail Assurer une pr sence visible et rassurante dans les espaces publics Les missions des gardiens de la paix cit es dans l appel projets p 3 correspondent celles nonc es dans la r glementation f d rale Les passages relatifs la s curisation du chemin de l cole et la
3. projets d velopp s dans chaque commune il est n cessaire que ces quelques l ments soient compl t s par des tableaux de bord plus pr cis permettant une approche op rationnelle de lapplication des directives r gionales Cette t che de construction des tableaux de bord est du ressort des acteurs locaux eux m mes comme dans le cadre des plans mis en uvre partir de 2009 En d autres termes les tableaux transmis doivent tre compl t s et pr cis s par les l ments objectifs crit res et indicateurs d valuation que les pouvoirs locaux estiment n cessaires pour rendre compte de la gestion des dispositifs Calendrier second semestre 2011 Ann e 2011 Les documents cit s ci dessus seront annex s aux conventions conclues entre la R gion et les communes pour l ann e 2011 Sur base de l arr t relatif aux plans locaux 2011 approuv par le Gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale le 14 juillet 2011 l octroi des subventions sera notifi aux b n ficiaires Ann es 2012 2014 L administration proc dera une analyse d taill e des documents d crits dans l appel projets DLS fiches projets etc transmis pour le 30 septembre 2011 Les b n ficiaires seront invit s pr senter le contenu de leur projet de plan local durant le mois de novembre 2011 au cours d un comit de suivi Une fois valid s par la R gion les plans locaux feront galement l objet d une convention portant s
4. r el ces montants quivalant l intervention maximale de la R gion a frais de fonctionnement trois cat gories de d penses sont ligibles 4 les formations ponctuelles destin es au personnel en lien direct avec ses missions ainsi que les supervisions destin es au personnel soumis une charge psycho sociale dans le cadre de ses missions 2 l achat d uniformes pour les gardiens de la paix uniquement tenue de travail requise par l arr t minist riel du 7 d cembre 2008 3 l acquisition de moyens de communication destin s la s curit des gardiens de la paix GSM talkie walkie abonnements de t l phonie mobile Le financement de la formation des gardiens de la paix faisant l objet d une intervention r gionale sp cifique les moyens octroy s dans le cadre des plans locaux frais de fonctionnement ne peuvent tre destin s couvrir ce type de d pense Le d tail des r gles appliquer concernant l introduction et le contr le des pi ces justificatives sera pr cis dans la convention pass e entre chaque commune et la R gion Proc dure administrative Suite au report des d lais de transmission des documents DLS fiches projets plan pr visionnel des d penses cadre du personnel au 30 septembre 2011 la mise en uvre de l appel projets sera effective partir du 1 janvier 2012 p riode 2012 2014 Ann e 2011 Concernant l ann e 2011 le principe de base est que les p
5. s relevant directement des priorit s r gionales Les activit s d animation devront donc tre clairement li es une activit principale r pondant elle m me aux termes de l appel projets priorit s r gionales Par exemple dans le cas d activit s sportives il conviendra de mettre en vidence dans les fiches projets le tien avec une des priorit s r gionales telle que la lutte contre le d crochage scolaire Ces activit s d animation ne doivent pas tre per ues comme une fin en soi mais bien comme un m canisme d accroche permettant d atteindre les publics et les objectifs vis s par les priorit s r gionales Concernant ce travail en rue les pouvoirs locaux sont ainsi invit s mettre en uvre effectivement les missions de zonage de suivi individuel de relais g n ralement pr vues dans les fiches projets descriptions et tableaux de bord Dans un but de professionnalisation du personnel et afin d assurer au mieux la qualit des actions des travailleurs de rue ainsi que leur suivi une norme d encadrement sera fix e par Ja R gion en termes de formation notamment tout en n excluant pas l exp rience acquise M diation de conflits Sont ligibles les dispositifs de m diation ayant pour objectif de faciliter la communication et d aider les parties en conflit particuliers et ou groupes parvenir un accord concernant les modalit s et les conditions permettant l apaisement et ou la r parat
6. devoirs l accompagnement et le soutien scolaire qui seront fournis devront s inscrire dans une d marche contribuant viter que l l ve en passe de d crocher n interrompe son parcours scolaire Par soutien scolaire la R gion n entend pas une tude dirig e mais plut t une approche p dagogique permettant au jeune de s investir dans sa scolarit La m diation scolaire est galement envisageable dans le cadre de la m diation de conflits dans le respect de la vision r gionale d velopp e ci dessous paragraphe M diation des conflits Par ailleurs des contacts avec les parents et avec les coles fr quent es par ces l ves doivent tre privil gi s et permettre ainsi une approche globale des jeunes en difficult En effet l int gration des parents dans le suivi scolaire l ducation et le soutien de leurs enfants est un l ment essentiel du soutien la scolarit Concernant les liens avec le Dispositif d accrochage scolaire DAS voqu s la page 5 de l appel projets la R gion attend des pouvoirs locaux qu ils fassent tat de la situation existante leur niveau dans ce domaine Si aucune collaboration n est envisag e o m me possible les acteurs locaux ont la possibilit de le faire savoir et d exposer les l ments expliquant un tel tat de fait via les tableaux de bord et les rapports d activit s annuels Enfin pour ce qui est du contr le de l obligation scolaire page 5 de l a
7. era appliquer la loi fonctionnaire sanctionnateur assistant administratif m diateur cf art 3 de la loi du 17 juin 2004 modifiant la nouvelle loi communale ou gardiens de la paix constatateurs L intervention r gionale ne concerne donc pas des agents relevant du cadre organique ou du corps communal Secr taire communal Directeur du service juridique etc Travail de rue L appel projets pr voit que la mission principale des ducateurs de rue est d aller au contact du public cibl en rue et d assurer un relais vers les structures d accueil et ou d accompagnement ad quates Dans cette optique les ducateurs de rue ont donc une fonction rassurante et visible sur le terrain au plus pr s des lieux de vie des publics cibl s Les dispositifs de travail de rue sont consid r s par la R gion comme un dispositif transversal dont les liens avec les dispositifs de m diation d accrochage scolaire et de pr sence visible doivent tre d velopp s et encourag s Ainsi l action des travailleurs de rue doit tre envisag e comme compl mentaire celle des autres agents impliqu s dans le processus de pr vention tout en restant distincte de celle sp cifique men e par les gardiens de la paix par exemple Actuellement le travail de rue s accompagne d activit s que l on peut reprendre sous le terme g n rique d activit s d animation Ces activit s d animation devront tre accessoires par rapport aux activit
8. es est modifi Dor navant les moyens consacr s au fonctionnement pris en charge par la R gion sont limit s 4 du budget octroy tandis que f les d penses de personnel pourront tre prises en charge 100 par la R gion En toute logique la nature des d penses prises en charge par les communes va conna tre une volution inverse augmentation de la prise en charge des frais de fonctionnement et diminution des d penses de personnel En d autres termes la R gion entend bien que les communes maintiendront leur contribution aux dispositifs de pr vention existants Ann e 2011 En termes de d penses ligibles hormis les passages relatifs aux investissements les circulaires du 29 d cembre 2008 et du 28 d cembre 2008 restent valables Concernant les projets mis en uvre dans le cadre de l application de la loi relative aux sanctions administratives les termes de l article 6 de la convention 2010 restent d application Ann es 2012 2014 Les d penses ligibles dans le cadre des plans locaux sont ies suivantes frais de personnel pour rappel aucun forfait nest appliqu par la R gion Les b n ficiaires estiment les montants n cessaires la mise en uvre des projets en respectant le montant maximum qui leur est octroy chaque ann e tableau annex l appel projets Par exemple une commune peut introduire le co t r el estim d un agent o un montant correspondant 80 du co t
9. ion des faits l origine du conflit H s agit explicitement de conflits entre particuliers et non de conflits avec une administration un service priv ou une entit commerciale Ainsi la m diation de conflits interpersonnels au sein des tablissements scolaires r pond galement aux attentes de la R gion En d autres termes le m diateur se pr sente comme un tiers neutre disposant d outils de communication et d une expertise en mati re de gestion de conflits lui permettant d accompagner les parties en conflit vers une r solution ou tout le moins un adoucissement de celui ci Concernant la m thodologie d termin e voqu e la page 6 de l appel projets les attentes de la R gion portent sur la n cessit pour les acteurs de terrain concern s de mener leur action selon une m thode de travail d termin e leur niveau et pouvant tre expos e aux autorit s r gionales dans le cadre de leur suivi des plans D une mani re g n rale les actions caract re social pouvant tre men es au niveau local par le CPAS par exemple dans le cadre de ses missions de base ne seront pas financ es dans le cadre du Plan bruxellois de pr vention et de proximit Dans cet esprit la m diation de dettes et l aide juridique ne cadrent pas avec les termes de l appel projets Concernant les dispositifs sp cifiques consacr s la prise en charge des primo arrivants la mise en uvre de projets visant ce type de p
10. ppel projets l approche r gionale est similaire celle d crite ci dessus les acteurs locaux sont invit s faire conna tre la R gion la d marche adopt e en la mati re leur niveau et pouvoir l expliquer Lutter contre les incivilit s Sanctions administratives communaies La fusion des budgets octroy s ant rieurement dans le cadre de la pr vention et de la mise en uvre de la loi sur les sanctions administratives n quivaut pas n cessairement l inclusion 3 idem d un dispositif ou d un service charg de cette mati re dans un service de pr vention communal Comme dans le cas des autres axes de travail la masse budg taire g n rale devant tre utilis e par les acteurs locaux en fonction de leurs besoins l application de la loi sur les sanctions administratives ne doit pas obligatoirement tre abord e en tant que proje sp cifique La vision r gionale cet gard consiste consid rer l approche des incivilit s et des comportements inciviques permise par la loi sur les sanctions administratives comme un outi compl mentaire aux dispositifs de pr vention des fins de lutte contre le sentimen d ins curit et d impunit Tout dispositif mis en uvre pour aborder ce type de probl matique sera donc consacr l application de la loi relative aux sanctions administratives Le budget affect devan permettre la commune de couvrir la r mun ration d agents dont la mission consist
11. r sultant du suivi des pr c dentes programmations et rencontrer les objectifs de la d claration de politique g n rale de la R gion de Bruxelles Capitale La politique de pr vention communale ne d pend pas uniquement du budget r gional octroy dans le cadre du Plan bruxellois de pr vention et de proximit D autres ressources et moyens qu ils soient humains ou financiers au niveau local r gional communautaire f d ral ou europ en sont la disposition des communes L appel projet r gional pour le quadriennat ne remet donc aucunement en question l ensemble des projets mis en uvre au niveau local mais refl te la volont de la R gion d affecter de mani re plus pr cise les moyens r gionaux consacr s la pr vention de l ins curit urbaine Rue Ducale 7 9 T 02 506 32 31 1000 Bruxelles F 02 514 40 22 info picque irisnet be t f Les projets communaux qui seront subventionn s devront s inscrire dans le cadre fix par la R gion Les actions men es dans des domaines tels que les politiques de sant ou d galit des chances pour lesquelles des budgets sp cifiques existent ne seront donc plus subsidi es par le biais du pr sent plan La plupart des projets communaux subventionn s actuellement par la R gion sont Subsidiables dans le cadre de cet appel projets Certains projets devront tre adapt s afin de rencontrer les priorit s r gionales Toutefois comme annonc
12. rojets d velopp s en 2010 sont reconduits en 2011 Hormis dans les cas de modification suppression ou cr ation d un dispositif les fiches projets ne doivent pas tre transmises l administration Seuls les tableaux de bord crit res et indicateurs d valuation adapt s 2011 doivent tre communiqu s Pour ce qui est des donn es budg taires et des cadres du personnel le formulaire utiliser a t transmis aux dispositifs de coordination des plans locaux sous formats Excel et OpenOffice Ann es 2012 2014 Les donn es transmettre pour le 30 septembre 2011 DLS fiches projets cadres financiers et du personnel le seront par le biais du formulaire adapt la p riode 2012 2014 transmis aux fonctionnaires de pr vention et aux valuateurs internes Ces l ments feront l objet d une analyse par l administration en lien avec les DLS Ce fichier est compos des feuilles suivantes Mode d emploi cette feuille reprend les instructions relatives l encodage des donn es demand es Cadre financier cette feuille synth tise par ann e l ensemble des donn es relatives au plan local personnel et budget et sera annex e la convention pass e avec la R gion 5 feuilles fiches projets une par axe de travail r gional comportant chacune les l ments n cessaires la pr sentation des dispositifs mis en uvre 5 feuilles tableaux de bord une par fiche projet reprenant les
13. s curisation des axes de communication refl tent une volont r gionale sp cifique faisant notamment r f rence aux buts poursuivis dans le cadre du Plan S curit initi en 2007 Comme indiqu dans la loi du 15 mai 2007 les missions des gardiens de la paix sont men es afin de contribuer une am lioration du sentiment de s curit des citoyens de pr venir les nuisances publiques et la criminalit par le biais d une ou plusieurs des activit s cit es La mention au minimum indiqu e dans l appel projets ne doit donc pas tre prise en compte Plus sp cifiquement la R gion n attend pas des pouvoirs locaux que les gardiens de la paix soient tous des agents charg s de la constatation des infractions vis es l art 3 4 de la loi pr cit e agents dits constatateurs Concernant les fonctions de gardiens de parcs ou de gardiens d espaces publics ant rieurement subventionn es dans le cadre de certains plans locaux l intervention de la R gion sera d sormais limit e aux dispositifs conformes aux dispositions l gales relatives la fonction de gardien de la paix lesquelles pr voient que diff rents types d agents gardiens de parcs surveillants etc deviennent gardiens de la paix voir la r glementation f d rale ce sujet 1 Loi relative la cr ation de ja fonction de gardien de la paix la cr ation du service des gardiens de la paix et la modification de l article 119 bi
14. s de la nouvelle loi communale 15 mai 2007 Moniteur belge du 29 juin 2007 2 Voir les r f rences l gales cit es dans l appel projets p 3 note 2 Pour ce qui est des dispositions relatives la tenue de travail et la formation des gardiens de la paix les communes sont invit es tout mettre en uvre de mani re respecter lesdites dispositions dans les plus brefs d lais compte tenu des contraintes inh rentes chacune de celles ci Lutter contre le d crochage scolaire D une mani re g n rale cet axe de travail concerne l ensemble des actions et dispositifs mis en uvre au niveau du territoire communal pour lutter contre le d crochage scolaire en mobilisant les acteurs et les ressources existants afin de permettre aux l ves de se d velopper dans un environnement bienveillant s curisant et structurant En d autres termes les projets pouvant tre d velopp s dans ce cadre concernent l ensemble du soutien scolaire y compris les coles de devoirs que ce soit dans ou en dehors des tablissements scolaires toujours en dehors de l horaire scolaire obligatoire Si un dispositif li l accrochage scolaire est d velopp au sein d un tablissement scolaire son public ne devra pas tre limit celui de cette cole Les enfants du quartier ou issus d autres coles doivent galement pouvoir y acc der Dans le cadre des dispositifs d aide l apprentissage de type coles de
15. tableaux de bord destin s l valuation de la mise en uvre des projets et de chaque plan local dans son ensemble Pour ce qui est des donn es budg taires un cadre financier devant tre d fini pour chaque ann e 2012 2013 et 2014 le fichier doit donc tre compl t trois fois un fichier pour chaque ann e de validit de la convention Concernant ies tableaux de bord destin s l valuation de la mise en uvre des projets et de chaque plan locai dans son ensemble chaque feuille comporte quelques l ments communs finalit s objectifs op rationnels crit res et indicateurs d valuation lesquels doivent permettre aux autorit s r gionales d appr hender la mise en uvre du Plan bruxellois de pr vention et de proximit Chaque crit re et indicateur doit tre pris en compte Dans le cas d un indicateur de type Oui Non le fait d indiquer Non ne signifie pas pour la R gion que le pouvoir local n a pas atteint l objectif fix une telle r ponse signifie que la commune entend ne pas poursuivre lobjectif en question Le tout pour la commune tant de pouvoir expliquer sa d marche 1 Comme par exemple l int gration d un dispositif charg de l application de la loi sur les sanctions administratives 2 Par courrier lectronique du 7 juin 2011 3 Par courrier lectronique du 28 juin 2011 Par ailleurs afin de permettre une valuation la plus compl te possible du fonctionnement des
16. ublic pourra tre provisoirement financ e par le biais des plans de pr vention Concernant le lien avec l application de la loi sur les sanctions administratives voqu la page 6 de l appel projets la m diation telle qu entendue dans le cadre de cet axe de travail ne se r sume pas la m diation pr vue sp cifiquement par cette loi Pour autant comme expos ci dessus les acteurs locaux sont invit s utiliser au mieux les outils pr vus par cette m me loi dont la m diation en tant qu outil de r solution de conflit et de r paration afin de poursuivre son application en compl ment aux autres dispositifs existants dont les projets sp cifiques de m diation 2 Conditions d octroi Budgets et d penses admissibles Le nouveau mode de financement adopt dans le cadre des plans locaux r daction d un seul arr t reprenant l ensemble des budgets affect s ant rieurement au Plan bruxellois de pr vention et de proximit et l aide dans le cadre de la loi sur les sanctions administratives communales frais de fonctionnement plafonn s 4 du budget octroy a pour but budget constant de mettre l accent sur le financement du personnel employ dans le cadre des dispositifs de pr vention et d assurer une meilleure stabilit au Plan bruxellois de pr vention et de proximit Le subside octroy par la R gion est donc constant En revanche le type de d penses prises en charge par la R gion et les commun
17. ur la p riode allant du 1 janvier 2012 au 31 d cembre 2014 Une fois l arr t relatif aux plans locaux 2012 2014 approuv par le Gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale l octroi des subventions sera notifi aux b n ficiaires d cembre 2011 Le Ministre Pr sident du Gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale charg des Pouvoirs locaux de l Am nagement du Territoire des Monuments et Sites et dede ret publique i ji j
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