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1. PB est qu est ce qui change d apr s la m thodologie Kanban AB Avez vous d j ouvert le ppt que je vous ai envoy cf FIG 1 AB Voil l illustration sur le slide no 3 repr sente un Tableau Kanban et vous remarquerez facilement que ce dernier est similaire un tableau Scrum Toutefois les fonctionnalit s features ou User Stories n ont pas de dimension temporelle comme par exemple des story points une dur e estim e ou d une simple date de debut et de fin etc et aucune fonctionnalit n est d taill e au niveau de ses t ches r aliser Dans un syst me Kanban le travail en cours est seulement limit par le nombre maximum d User Stories simultan ment en production en anglais Work in Process ou WIP Le temps de cycle Cycle Time est le temps qu il faut produire un User Story et ce dernier n est d termin qu au moment o il passe au WIP A la fin les User Stories produits sont class s sous la colonne compl t e complete dans le tableau Kanban Le temps de cycle est le temps n cessaire la r alisation d une fonctionnalit Or le statut r alis ne signifie pas seulement tre programm e mais ce statut veut dire qu elle soit pr te tre exp di e colonne compl te dans cet exemple Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du
2. L am lioration harmonisation des standards existants en mati re de ETF r duit le taux de rejet des PSI 3 2 Electronic Found Transfert Les instituts financiers ont largement investi pour le d veloppement des syst mes de paiement de transfert lectronique Gr ce ces opportunites qui ont merg d s la d mocratisation d internet des syst mes IS avanc s et de nouveaux moyens de t l communication offrent un transfert lectronique des transactions financi res toujours plus confortable rapide et s curis Le transfert lectronique est connu sous le terme anglais Electronic Found Transfer EFT L EFT interbancaire se sert des transactions en ligne pour transf rer des fonds Ces derni res transactions en ligne qui transf rent entre tablissements bancaires interbancaires ou entre banques et clients sont bas es sur des r seaux priv s Dans une telle construction les banques jouent un double r le elles interviennent la fois comme payeurs et b n ficiaires FIG no 3 1 EFT Processus de Paiement Commercial bank B Commerci Clearing al bank A house AIC to B s deposit Credit i Settlement A C transfer i positions Central bank bank A Transfer Source Zuh D 2002 p 17 la diff rence des paiements classiques e g par ch que bancaire les avantages de l ETF sont la rapidit un co t marginal et l effort fournir marginal et quasi nul 3 3 S curit amp
3. Extrait de l IAS 39 Notion de la Juste valeur Juste valeur Le Groupe d termine la juste valeur de ses instruments finan ciers sur la base de la hi rarchie ci apr s i La juste valeur des instruments financiers cot s sur les marches actifs repose sur leur cours de cl ture 4 la date du bilan C est notamment le cas pour les d riv s actifs et passifs sur mati res premi res et d autres actfs finan ciers tels que les placements dans des instruments de capitaux propres li La juste valeur des instruments financiers non cot s sur un march actif est d termin e sur la base de techniques d valuation faisant appel des donn es observables sur les march s Il s agit de techniques d valuation telles que l actualisation des flux de tr sorerie des mod les de valori sation standard bas s sur des param tres de march des avis de courtiers pour des instruments similaires et l utili sation de transactions comparables r alis es dans des conditions de concurrence normale Par exemple la juste iii La juste valeur d un petit nombre d instruments est d termin e partir des valorisations propres chaque entit l aide de param tres ne reposant pas sur des donn es observables sur les march s param tres non observables Lorsque la juste valeur d instruments non cot s ne peut tre valu e avec une fiabilit suffisante le Groupe valorise de tels instruments au co t d duc tion faite des pertes de v
4. pr l vement e Capabilit du processus i des chantillons e Contr le syst mique Qualifi s e Multifonctions Manque de flexibilit e Bonne flexibilit Utilisation du travail physique e Utilisation du travail physique et des Culture de l organisation bas e sur le contr le et connaissances la loyaut e Culture de l organisation bas e sur l int gration l autonomisation et la responsabilisation empowerment Beaucoup d informations qui circulent longtemps e Information s lective e Circulation rapide Les agents de production 4 Leseure Zajkowska E 2012 Th se de doctorat en G nie Industriel Contribution l implantation de la m thode Lean Six Sigma dans les PME pour l am lioration des processus Ecole Centrale de Lille et l Universit Technique de Gdansk Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 103 Annexe IV Les 7 types de muda du domaine de services Les sept cat gories de Waste du domaine du service sont issues du livre Lean Six Sigma for Service George M L 2003 et elle d rivent des cat gories standards du Lean Management Dans la publication supervis e et r dig e par Escobar D amp Revilla E 2005 ces sept cat gories de Muda sont reprises et compl t es avec des exemples r els d une entreprise antonymie du sect
5. L ensemble de ces l ments repr sente notamment l infrastructure install e aupr s des clients pour garantir le bon fonctionnement du PMS Dans le cas d un acc s online aux syst mes PMS l ensemble de l infrastructure est g n ralement mis disposition par le fournisseur de service Ces fonctionnalit s techniques du PMS ont pour but de calculer et d actualiser les differents positions d un ou de plusieurs portefeuilles Les informations par rapport aux diff rentes positions du portefeuille sont sauvegard es sur le serveur de base de donn es ci dessus Database server Ce serveur contient les donn es relatives aux clients aux positions des portefeuilles et la s curit mot de passe etc Le serveur de fichiers File server contient une base de donn es avec le dernier tat des prix des diff rents actifs Ces deux derniers serveurs composent la base de donn es Le Portfolio Management Server PM Server contr le les diff rentes interfaces dans le cas illustr 2 Data update et Portfolio Sync Insterface qui alimentent a une fr quence donn e les donn es des deux serveurs de la base de donn es N B le Database server et le File server Dans le cas du VWD Portfolio Manger une connexion s curis e internet alimente la base de donn es Data update avec les nouvelles informations des marches financiers Ces derni res proviennent d une source externe aux clients dite VWD Market Data Pool Database La synchronisatio
6. galement le chef de projet e un d veloppeur de la banque en question qui se joint ponctuellement l unit de programmation e un Relationship Manager amp un responsable de la ligne de produit ce r le est souvent repr sent par une personne Question 4a PB Est ce que les chefs de projet ou les membres ont suivi une formation de gestion de projet ou sont ils certifi s JF Non aucune certification ou formation en gestion de projet est n cessaires pour le chef de projet ou les membres Aujourd hui ils apprennent les le ons quant la gestion de projet directement au travail En plus je pense que les competences techniques et des produis importent davantage Question 4b PB Comment qualifieriez vous alors la maturit en termes de gestion de projet dans votre entreprise JF Il faut distinguer les projets de d veloppement d interfaces de ceux du d veloppement d une nouvelle version ou d un nouveau produit de logiciel PMS Dans ce dernier cas la maturit en gestion de projet est bonne ou avanc e avec des quipes qui d passent largement le nombre de 20 participants des dur es plus consequentes et des budgets lev s Le chef de projet est effectivement certifie avec des formations en gestion de projet et il se sert des outils informatis s a la fois pour la planification et pour la gestion du temps Par contre le d veloppement d une nouvelle interface bancaire suit une appro
7. 1 Add nothing but value eliminate waste le pr sent principe se r f re a la notion fondamentale de valeur ajout e et de l limination continuelle des activit s non cr atrices de valeur Waste Toutefois les cat gories de Waste mentionn es dans la partie pr c dente sont adapt es au contexte du d veloppement de software et r sum es dans le tableau suivant Tableau 2 Tableau comparatif des 7 gaspillages du LSD Les 7 Waste du Lean Les 7 Waste du LSD Comment Extreme Programming XP Production 3 considere Waste La surproduction L exc dent de Ne d veloppe que les histoires d aujourd hui fonctionnalit s features Les stocks excessifs Les besoins requirements Les t ches inutiles Le travail suppl mentaire Seules les it rations actuelles sont pr cis es un niveau de d tail lev La programmation suit troitement des histoires et obtient toute v rification avec les clients de fa on verbale Les mouvements inutiles L obtention de R unit tout partie prenante dans une et la l information m me r union client y compris Les produits d fectueux Les d fauts non identifi s Effectue toujours des s ries de testes par les par les s ries de teste d veloppeurs et les clients Le temps d attente Le temps d attente pour T Proc de par d veloppement d incr ments par le d veloppeur et les fonctionnalit s clients Le transport inutile Les tapes i Les d veloppeurs colla
8. Avec des langages de mod lisation standards 1 comme par exemple AADL Architecture Analysis and Design Language qui est d di aux sp cifications de l architecture d un logiciel Dissaux P 2004 Bodeveix J P amp al 2005 ou le Unified Modeling Language connu sous son acronyme UML OMG 2010 4 on vise un d veloppement rationnel des logiciels Ces standards sont principalement destin s la visualisation l analyse a la definition des specifications et a la mise en ceuvre des logiciels Le deuxi me l ment constitutif de l approche scientifique pr sent e est celui d une utilisation syst matique d une approche mod le appliqu e l ensemble des phases du d veloppement 2 En mati re de gestion des connaissances cette approche pr sente ind niablement une avanc e consid rable car elle repr sente toujours une des meilleures fa ons de ma triser la complexit accrue en mati re En effet le but est la progression syst matique de la connaissance l aide de la d couverte de la formation ou de l organisation des tels concepts Des approches mod les sont aujourd hui nombreuses et parmi les plus connues nous pouvons citer citer l IDM Ing nierie Dirig e par les Mod les la MDA Model Driven Architecutre la MIC Model Integrated Computing le projet Ptolemy etc D une part quelques mod les sont descriptifs et facilitent des activit s qualitatives comme l analyse la v rification la validation etc D a
9. De ce fait les options apparaissent comme des instruments extr mement pr cieux pour la macrocouverture du risque de taux encouru par les banques et les institutions financi res Les options peuvent tre utilis es pour se couvrir contre le risque de taux d int r t et pr sentent l avantage non n gligeable de poser moins de probl mes comptables que les futures lorsqu elles sont utilis es des fins de macrocouverture Mishkin 2007 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 86 2 9 Synth se des entretiens amp contribution personnelle Les liens entre les difficult s de la comptabilisation et de cette analyse de l environnement d un PMS se situent en niveau de la reproduction et de la repr sentation des tats financiers dans un PMS En effet la reproduction et la repr sentation des tats financiers en un bilan dans un PMS posent des difficult s similaires celles qu un comptable rencontre dans l exercice de comptabilisation Pour les deux activit s la finalit recherch e consiste dans la synth se un moment donn de ce qu une personne ou une entreprise poss de Unanimement ce sont les produits d riv s qui posent les plus grandes difficult s en la mati re Tout comme le secteur financier les normes comptables concernant les instruments financiers seront accompagn es de cha
10. En plus des trois contraintes abord es le contexte conomique exerce une forme de pression globale sur les projets de d veloppement en exigeant une livraison de logiciel toujours plus rapide et efficace Pourtant seuls 25 des projets aboutissent dans le temps et les co ts impos s ce constat figure parmi les conclusions de plusieurs analyses entreprises dans ce domaine El Emam K amp Koru G A 2008 Effectivement ce pourcentage s est democratise chez les experts en gestion de projet et ces derniers n h sitent pas consid rer ces 25 comme tant la r gle g n rale Le dernier sujet qui pr c de la conclusion de ce chapitre concerne l tat de l art du concept de l interface L importance des interfaces bancaire fut bri vement expliqu e sous la notion de la performance du PMS mais demeure dor navant au c ur de l int r t de ce travail tant donn son lien troit avec la question de recherche 2 5 Concept d interface La question de recherche traite notamment du processus d interfa age entre les diff rents syst mes d information SI et les PMS dans le contexte d crit ci dessus et s articule de la fa on suivante Existe il des l ments potentiel non exploit pour r duire le taux de rejet d une PSI Avant de poursuivre avec une description et une analyse qualitative du processus macro de PMS dans les chapitres suivants cette derni re partie de la revue de la litt rature aborde th oriquement le c
11. Hypoth se H L apparition d une nouvelle technologie influence positivement la performance des PSI H8 Une collaboration troite transfert savoir faire m tier entre les op rateurs du centre de traitement et des d veloppeurs d une PSI s av re positive quant la g n ration de nouvelles id es permettant la r duction du taux de rejet 5 3 5 2 Conclusions amp contributions La technologie existante des PMS ou PSI avec leur niveau de maturit respectif ne figure pas parmi les sujets trait s et approfondis En effet les experts en mati res les d veloppeurs font partie int grante des actuels et futurs projets de d veloppement et sont largement repr sent s parmi les membres d une quipe Par cons quent ce paragraphe sur les technologies PMS et PSI ne dispose pas de premi re partie de d veloppement th orique et d marre directement avec les pr sentes conclusions et contributions S agissant d un logiciel enti rement programm par le groupe allemand la composante technologique principale d une PSI influen able par une avanc e technologique est le langage de programmation employ Selon l entretien r alis avec l employ du groupe allemand ce dernier n attend pas l apparition d un nouveau langage de programmation dans les cing ans venir qui permettrait une am lioration des PSI en r duisant leur taux de rejet JAVA est le langage actuellement employe par l quipe de d veloppeurs et ce langage cor
12. Question 3 PB Pour l instant on a r cenc un certain nombre de pistes qui peuvent am liorer la situation actuelle J aimerais vous les expliquer bri vement pour conna tre votre avis par rapport chacune des propositions Question 3a PB 1 Cr ation et entretien d une base de donn es centrale pour les questions li es l unicit de prix et la cr ation des produits non identifiables 1 Instrument financier inconnu 2 Op ration inconnue JF En effet les bases de donn es centrales ne se sont jamais d mocratis es chez les producteurs de PMS et je crois que c est d des raisons de difficult s juridiques dont je connais les d tails pour pouvoir vous fournir une r ponse compl te Les probl mes l gaux sont certainement aussi li s au contexte transfrontalier de notre mod le d affaire et la sensibilit des donn es financi res obtenues par les diff rentes banques Question 3b PB Changement du langage de programmation e g Scala ou autre JF D abord je nai pas connaissance d un nouveau langage de programmation qui r volutionne la performance d un produit logiciel et je n ai pas non plus appris que nos quipes de d veloppement exp rimentent d ventuels nouveaux langages Ensuite un changement de la technologie signifie un investissement important en temps n cessaire pour l apprentissage En effet les d veloppeurs font actuellement preuve d une tr s bonne maitris
13. Schematisation du processus macro d un PMS Transactions Orders rface Inte Transactions Orders Portfolio PMS U Management Banques March s d positaires Trading System Ex cutions Interface taux de rejet Transactions Mise jour Source Site Web du groupe VWD graphique modifi 2013 1 Banques d positaires 1 1 Hypoth ses H1 L am lioration du niveau de qualit des informations produites par les IS bancaires r duit le taux de rejet des PSI H Une collaboration plus troite avec les employ s bancaires dans la recherche de solutions avance la probl matique quant la r duction du taux de rejet des PSI ae htto www vwd de vwd files PIB_PSI_deu_4_Einzelseiten pdf Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 77 1 2 D veloppement Les banques d positaires sont un acteur clef dans le processus schematise ci dessus car il s agit de l acteur qui fournit les PMS avec la mati re premi re la plus importante Concernant cet acteur strat gique les deux principaux facteurs clefs indispensables au bon fonctionnement de l interfa age de donn es sont premi rement les syst mes d informations bancaires en anglais Information System ou IS et deuxiemement le savoir faire et les connaissances tacites ou et formelles quant au traitement d
14. Someone with an interest in the outcome of a project either because they have funded it will use it or will be affected by it Team A cross functional group of people that is responsible for managing themselves to develop an increment of product every Sprint Time box A period of time that cannot be exceeded and within which an event or meeting occurs For example a Daily Scrum meeting is time boxed at fifteen minutes and terminates at the end of fifteen minutes regardless For meetings it might last shorter For Sprints it lasts exactly that length Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 107 Annexe VII sch ma du processus Scrum ssa201d 1sn py sanpe pue 5255222n sJU2WW2AO1dUWI 553201d SSNISIG JaUMOQ PNPO14 pue Wea Aq papuany JaiseW WNS Aq uny sinoy Z JO T 0 pexog owiy anpadsoney jun1ds aAndadsonsy yuuids SSNISIP NY Ua Du SaleNSUOW EP Wee UOISSNISIG JEUONeUUOJUI ewou We Aq papuany Jayseyw WNS Aq uny sinoy p 10 Z 0 pexog awiy MaiAay yuiids 151 SYDOIg BUI SeIepdn Jase WNS 30ppeg 1uuds au selepdn wes Aem Aw ul seum E Aepo Op l 2euM Z Aepsaisa pip I0eUM T suonsanb JaMsUY Aep duane adejd awn awes yeads 10u Op ssapjoyeaxers le Aq papuany JINSNI WNS Aq uny saMuli ST 0 paxoq auuil uns Ajieg OM Anea Zoppeg juuds ZS sAep N uud
15. Toutefois les d finitions du mod le d affaire sont nombreuses et varient en fonction de la philosophie d un Family Office Malgr cette confusion une segmentation possible d un Family Office se fait partir de sa structure organisationnelle d un c t et du nombre de clients sous gestion d un autre c t Ehlern S 2006 FIG no 17 Segmentation d un Family Office External Family Office Buy External Family Office service provider or specialised team with one single client Very rare Organisational Set up Make Setup One Client Multiple Clients Number of Clients Source Ehlern S 2006 p 250 La mission tant la conservation des int r ts patrimoniaux d une famille un Family Office doit faire preuve d un savoir faire multidisciplinaire huit neuf disciplines clefs en planification et en gestion de fortune cf FIG no 18 FIG no 18 R le centrale du Family Office Source University of St Gallen amp VP Bank 2008 p 31 Selon un expert de la place genevoise la masse critique en termes de fortune sous gestion pour un Family Office a Geneve voire en Suisse s l ve CHF 500 millions ou plus Selon l estimation du m me expert l ensemble des co ts op rationnels d une telle structure se chiffre entre trois et quatre millions de CHF y compris les salaires des cinq sept employ s sp cialis s dans la gestion de fortune Des telles structures de FOSP caract risent le client t
16. amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 47 6 3 Analyse de l ad quation entre ALM amp l environnement Suite aux paragraphes pr c dents la pr sente analyse poursuit l objectif du choix du mod le propice au d veloppement des interfaces bancaires les plus performantes tant donn la complexit de son environnement L analyse se structure en deux temps et en fonction des crit res cit s dans le Tableau 1 Dans un premier temps l analyse presente l tat de la situation actuelle avec ses forces et faiblesses Ensuite l tat futur et la recommandation d un type de mod le sont abord s dans un deuxi me temps L tat futur recommand est notamment fond et en coh rence avec les conclusions de l analyse qualitative du processus macro PMS cf paragraphe no 5 4 Conclusion de l analyse du processus macro PMS p 38 La base comparative avec les criteres environnementaux sont repris des travaux de Ken Schwaber et synthetises sous forme de tableau pour une lecture plus confortable Tableau 1 Tableau comparatif des mod les ALS par rapport aux crit res environnementaux Mod le Crit re 1 Processus En cascade V Y Pr d fini amp exig D termin au stade de la planification 3 Co t du projet 5 R activit avec l environnement 7 Transfert des connaissances D termin au stade de la planification D term
17. cuter sa profession 4 3 1 Etat actuel des PMS tudi s Les PMS tudi s dans ce manuscrit s appellent VWD Portfolio Manger VWD Market Manger et PortfolioNet Des 2009 la propri t intellectuelle de la technologie des trois logiciels appartient int gralement au groupe VWD AG En revanche ce dernier n a d velopp que les deux PMS cit s en premier lieu PortfolioNet fut d velopp par l entreprise zurichoise PC amp S AG et ce logiciel est caract ris par sa grande compatibilit avec les besoins du march et des clients suisses Les PMS mentionn s g n rent un nombre remarquable de portfolios Selon les chiffres publi s par Galeo SA le syst me PortfolioNet avec une quarantaine de clients g re plus de 3 500 portefeuilles qui sont compos s de plus de 29 000 instruments actifs Ces donn es proviennent de plus de 150 banques d positaires avec un volume annuel de 500000 transactions soit pr s de CHF 30 milliards sous administration ces entreprises de consolidation ne g rent pas de fonds http www galeo ch files galeo_corpo_EN pdf consulte en 01 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI En guise de rappel la probl matique consiste en la r duction du taux de rejet titre d exemple avec un taux de rejet de 95 et un nombre de 29 000 transactions interfac es par
18. fondements pour l analyse et le choix d un mod le organisationnel qui occupe la deuxi me partie du manuscrit Dans l objectif d amener une amelioration de la performance r duction du taux de rejet par une approche organisationnelle plus ad quate au d veloppement d interface bancaire la probl matique finale de recherche se pr sente comme Quel mod le organisationnel de d veloppement de PSI pr sente la meilleure ad quation avec l environnement du PMS pour r duire son taux de rejet Afin d apporter une contribution cette probl matique les objectifs suivants ont t pos s e Compr hension du processus de PMS analys avec ses facteurs et les niveaux de maturit respectifs Identification des cat gories de rejet Recensement de pratiques m tiers quant au traitement manuel des informations financi res aujourd hui rejet es par les PSI D termination d un mod le organisationnel propice au d veloppement des PSI plus performants Elaboration d un catalogue d argumentaire contextuel pour la mise en uvre du mod le organisationnel retenu dans l entreprise analys e Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 1 2 Contributions amp limites 1 2 1 Contributions Les contributions sont de nature a la fois scientifique et manageriale Les contributions scien
19. http www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id ISIN Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 93 version de la norme ISO 6166 Suite au Global ISIN Access Mechanisme d velopp en 1994 le succ s de la norme n a plus cess 3 7 Code VALOR Le code VALOR sert galement l identification des titres et des instruments financiers et il est int gr au code ISIN pour les instruments financiers suisses Le code ne divulgue aucune information sur la nature du produit car ce dernier est attribu de fa on successive par l entreprise SIX Financial Information l ancienne Telekurs AG Il s agit de l identifiant unique le plus utilis par les instituts financiers en Suisse et il sert a des fins diverses pour l identification d un instrument financier Selon l entretien avec les employes de l entreprise Galeo en combinaison avec le code MIC et le code devises le code VALOR sert identifier de mani re unique un instrument n goci 3 8 Conclusion des entretiens amp contribution personnelle l oppos les standards internationaux SWIFT ISIN VALOR etc repr sentent un l ment souvent r p t dans les divers entretiens conduits Le niveau d influence des producteurs pour l am lioration de ces standards demeure toutefois modeste En plus un meilleur niveau de connaissanc
20. il s av re que la collaboration entre les quatre cinq d veloppeurs durant la phase de d veloppement est marqu e par un esprit fortement compatible avec celui des mod les agiles avec un change vif et un niveau de flexibilit relativement lev En revanche la grande majorit des tapes du d veloppement suit un mod le lin aire ce qui limite galement l esprit agile des d veloppeurs Le mod le observ ressemble principalement aux mod les de cycle en V ou au RAD avec ses caract ristiques pr dictifs typiques lin arit planification pr coce absence de s paration des aspects fonctionnels li s au m tier et la technique avec forte tendance technique etc mais avec toutefois quelques tendances agiles Concernant les quatre premiers crit res de l analyse 1 du processus 2 du produit final 3 du co t de projet et 4 de la date de fin ces cat gories sont g n ralement marqu es par un niveau relativement lev de maitrise des entreprises analys es Cette maitrise est d une part fond e sur la grande exp rience des quipes de d veloppement et d autre part le r sultat de la structure mise en place par les entreprises En Europe le groupe VWD occupe une place de leader dans la consolidation des informations bancaires et fait preuve d une grand habilit et d un savoir faire important dans le traitement des donn es agr g es par des applications bancaires et des syst mes de PMS Par rapport aux questi
21. la phase d immersion ces entretiens visaient galement l atteinte d un double objectif Le premier objectif est celui d une compr hension int grale et profonde des syst mes et du processus de PMS Le deuxi me objectif en revanche est directement en lien avec la probl matique du travail et concerne la r duction du taux de rejet des PSI interfaces bancaires La strat gie par rapport ce deuxi me objectif comprenait galement des entretiens et des observations passives avec un employ qui est responsable de la mise jour quotidienne des portefeuilles dans les PMS Cette activit comprend notamment le traitement des transactions rejet es par les interfaces PSI Le premier entretien conduit dans le domaine bancaire a vis une meilleure compr hension des produits financiers et de la mani re dont ces derniers sont administr s par les employ s bancaires majoritairement du Back Office dans les IS bancaires respectifs En r sum les entretiens avec l entreprise de consolidation et des banques avaient notamment constitu la phase d immersion 1 et servi de base pr paratoire pour l analyse du processus macro de PMS Dans un deuxi me temps les entretiens poursuivaient l objectif d approfondir les connaissances et de tester la pertinence des diff rentes hypoth ses mises durant ladite analyse du processus macro de PMS cf chapitre no 5 Analyse du processus macro PMS p 24 Les entretiens avec un responsable des contra
22. le d interm diaire entre les parties une transaction sur titres en se substituant au vendeur vis a vis de l acheteur et vice versa En endossant le risque de contrepartie la CCP permet ainsi un meilleur fonctionnement des march s 3 3 Clearing and Settlement Provider Le clearing en fran ais compensation est aujourd hui per u comme un processus de gestion du risque pour les titres tant assist soit par une chambre de compensation ou une CCP le clearing vise viter des paiements superflus entre banques o les cr ances oppos es sont compos es et seuls les soldes restants sont pay s 34 Le Settlement en fran ais r glement correspond au transfert de propri t des titres et leur change et marque la fin de la transaction Il est en principe mis en uvre par un organisme de d p t collectif national CSD ou international ICSD FIG no 3 2 Swiss and International Supervisory Arrangements of the Trade Infrastructure Bafin SFBC SNB FSA Trade CCP Clearing and SE M a euroSIC SIC Stock Exchange SWX Group Payment System Swiss Interbank Clearing Clearing and Settlement Provider SIS SegalnterSettle Mainly Controlled Owned by Foreign Providers Source Gisiger M amp Weber W 2005 p 54 32 Source SWX sur le site http www six swiss exchange com statistics annual_statistics 2012_en html 33 D finition SWX sur http www six swiss exchange com knowh
23. les m canismes volu s tels que des syst mes de contr le interne ou une gestion proactive visant l am lioration continue une erreur n est pas syst matiquement d couverte dans la m me journ e de sa saisie Finalement parmi les transactions Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 87 transf r es des banques aux centres de traitement des donn es pour un PMS se situent quasi toujours des transactions erreurs qui peuvent potentiellement poser des probl mes de compr hension Une autre difficult concernant la saisie d un achat ou d une vente d un produit structur est celui de la juste valeur des contrats terme ou des op rations sans identifiant unique e g options am ricaines les produits du marche primaire ou encore ceux d un march non public de OTO Identiques aux pratiques comptables les gestionnaires bancaires saisissent de telles op rations en deux fois au moins notion de la comptabilisation initiale et ult rieure et celle de la juste valeur En l absence de l identifiant unique toute banque a recours une base de donn es interne et m me dans certains cas une multitude de bases de donn es pour l allocation de prix un produit Par ailleurs de telles transactions sont potentiellement comptabilis es avec des comptes qualifi s de fiduciaires Un
24. me partie de ce travail Quel mod le organisationnel de d veloppement de PSI pr sente la meilleure ad quation avec l environnement du PMS pour r duire son taux de rejet Le manuscrit contient une pr sentation synth tique des r sultats L int gralit de l analyse qualitative avec des sources et des r f rencements compl mentaires est jointe dans l annexe no Le design de recherche est compos d une partie th orique bas e sur des r sultats scientifiques et appliqu s et d une partie qui r sume les r sultats du travail de terrain avec divers entretiens dont certains sont transcrits de fa on formelle et figurent en annexes cf annexe no VIII 5 3 Analyse qualitative du processus macro PMS L analyse s organise laide des l ments constitutifs du processus macro de PMS cf FIG no 12 Sch matisation du processus macro d un PMS p 24 une compr hension approfondie de chacun de ces l ments est n cessaire l optimisation des logiciels PSI Au del de la compr hension ces elements pr sentent une source importante d inspiration dans la recherche de nouvelles id es Les cing th matiques abord es sont notamment 1 La banque d positaire avec le r le du IS bancaire le Back Office et le Front Office 2 Le march et la nature des instruments financiers 3 Le transfert lectronique de donn es 4 Les clients abord s par la notion du Family Office 5 Les technologies PMS amp PSI
25. riences en mati res je trouve les bons mots pour l expliquer que je deviendrai son ennemie si j accepte la vente d un PMS dans ces conditions CF Absolument afin de synchroniser des informations de bonne qualit coh rentes et uniques il faut encore du travail manuel Finalement la probl matique de vouloir automatiser la synchronisation 100 est bien et toujours li e un grand paradoxe l augmentation de l automatisation de la synchronisation pr sente un danger non contr l pour l int grit des donn es Sans l expertise d une personne concernant les produits financiers sans code ISIN des donn es davantage incoh rentes vont figurer parmi les donn es du PMS Finalement la nature complexe des donn es oppose notre capacit actuelle en termes de d veloppement d application En plus l effort sera multipli par le nombre de banques d positaires qui alimentent un PMS qui sont multi banques et multi comptes ie Sa re f 7 x Question 7 CD par rapport au multi banking quels sont les syst mes possibles pour garantir l unicit de l valuation des positions d un portefeuille CF X propose videmment galement un fichier composant les informations relatives aux prix des positions et des transactions En plus chaque client poss de son propre compte de eBusiness o chaque confirmation de mandat de vente d achat etc sont envoy s En cas d incoherence du prix les clie
26. tier informatique Une nouvelle approche avec la composition d une quipe a comp tence multifonctionnelle exige une ouverture d esprit et une volont forte d explorer de nouvelles id es novatrices Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 37 5 4 Conclusion de l analyse du processus macro PMS L analyse qualitative du processus macro et la v rification des hypoth ses mises permettent non seulement une immersion compl te dans la probl matique globale la r duction du taux de rejet mais galement l identification d un certain nombre d l ments d taill s d am lioration Le choix d une analyse qui porte sur la globalit du processus est motive par l obtention de cette vision int grale des l ments influant le taux de rejet de la PSI En revanche l analyse exploratoire souffre indubitablement d un manque de repr sentativit des r sultats et une application en dehors du contexte sp cifiquement analys serait des lors d conseill e En r sum le processus analys se situe dans un environnement particuli rement complexe qui est caract ris par les interactions de diff rents acteurs et technologies des changements rapides et un niveau g n ralement modeste d influence et de maitrise Notre probl matique concerne l incapacit technologique de PSI dans le traitement des informations
27. volutif Par sa responsabilit pour la rentabilit du produit le Product Owner priorise la Product Backlog en fonction des clients et de leurs sens de la valeur ajout e d une fonctionnalit La signification du terme valeur est effectivement vague et n cessite souvent une d finition beaucoup plus pr cise sous forme de crit res concrets Finalement la valeur ajout e d un tel lot de travail peut se traduire en termes de priorit donn e par les clients de risque d alignement strat gique ou encore d autres facteurs La repr sentation des clients ou d autres parties int ress es par le projet Chicken Role qui ne font pas directement partie des Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 59 membres de l quipe est galement assur e par le Product Owner Cette responsabilit clef pour la conception du produit final exige une interaction constante avec l ensemble de ces parties int ress es Dans le langage Scrum les membres fortement engag s dans le projet sont appel s Pig il s agit g n ralement du Product Owner des membres de l quipe Scrum et du Scrum master et les parties int ress es chicken Team Member Les membres appartenant l quipe r alisent la production selon les fonctionnalit s demand es par le Product Owner La composition de l quipe se carac
28. 1 3 R le de I IS bancaire Le r le de I lS bancaire est donn par la d finition de Reix mentionn e ci dessus Par contre son historique importe davantage pour la pr sente question de recherche Par rapport la situation actuelle des IS bancaires les conclusions du travail de doctorat de Sylvie Michel 2011 sont identiques celles que les professionnels rencontr s nous ont confirm es En comparaison avec les autres secteurs les banques ont t parmi les premi res investir consid rablement dans les nouvelles technologies des IS et Sylvie Michel d crit ainsi l actuelle situation La plupart des SI bancaires r sultent de empilement de strates historiques d informatisation Les couches applicatives aux fonctionnalit s mal d finies et souvent redondantes se sont succ d es La scientifique conclut toutefois que le secteur en a pris conscience et que travers les fusions et rapprochements entre tablissements bancaires qui ont eu lieu ces derni res ann es les SI ont d tre harmonis s ce qui est une tendance actuelle lourde du secteur Un tel syst me IS bancaire base sur des empilements de base de donn es et des applications mal d finies se situe l oppos d un syst me d livrant un niveau de qualit de l information r pondant aux exigences d une technologie telle qu un Portfolio Mangement Interface En effet le succ s de l interfa age et du traitement de l information repose sur
29. 2008 Collaborative Application Lifecycle Management with IBMRational Products An IBM Redbooks publication RedBooks 2008 DeGrace amp Stahl 1990 Wicked Problems Righteous Solutions A Catalogue of Modern Software Engineering Paradigms Yourdon Press PTR Prentice Hall Building Englewood Cliffs NJ 07632 USA Henzinger T A amp Sifakis J 2006 The embedded systems design challenge 14th International Symposium on Formal Methods FM Lecture Notes in Computer Science Springer USA JKLM Jacobson l Booch G amp Rumbaugh J 1999 The Unified Software Development Process Addison Wesley Publishing Karsai G Sztipanovits J Ledeczi A amp Bapty T 2003 Model integrated development of embedded software Proceedings of the IEEE 91 1 145 164 Jan 2003 McKinsey amp Company 2012 The tripple transformation Achieving a sustainable business model 2 McKinsey Annual Revie on the banking industry Kirtesh J Sujata Manisha J amp Manisha A 2011 Lean Software Development As a Survival Tool in Recession International Journal of Software Engineering and Its Application 2011 Vol 5 No 3 p 63 70 Kuokka D amp Harada L 1995 On using KQML for matchmaking Proceedingso f the First International Conference on Multi Agent Systems 239 245 San Francisco AAAPI Press Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration
30. 4 4 Portfolio Sync Interface 22 4 4 1 Etat actuel des PSI etudies 22 4 4 2 Architecture des PSI tudi s 22 5 Analyse du processus macro PMS 23 5 1 Description du processus macro d un PMS 24 5 2 Objectifs de l analyse 25 8 9 11 5 9 5 4 Analyse qualitative du processus macro PMS 5 3 1 Banques d positaires 5 3 2 March amp nature des instruments financiers 5 3 3 Transfert lectronique de donn es 5 3 4 Utilisateurs d un PMS Family Office 5 3 5 Technologies PMS amp PSI Conclusion de l analyse du processus macro PMS Nouvelle organisation du d veloppement des PSI 6 1 6 2 6 3 6 4 Developpement des systemes logiciels Processus de developpement de logiciel 6 2 1 Modeles de cycle de vie 6 2 2 Conclusion des mod les de processus de d veloppement Analyse de l ad quation entre l ALM amp l environnement 6 3 1 Pr sentation de l tat actuel 6 3 2 Pr sentation de l tat futur Lean Management Recommandations manag riales 1A 1 2 HAE 7 2 2 1 25 1 24 Lean Software Development Scrum Mod le Scrum R les Meetings Tableau de bord amp art facts 7 2 5 Techniques Synth ses amp conclusions Bibliographie 10 Table des figures et tableaux 10 1 10 2 Tables des figures Tables des tableaux Annexes 25 26 28 31 34 36 38 41 41 42 42 47 48 49 50 52 53 99 08 08 59 61 62 66 67 11 15 15 15 76 Remerciements Je souhait
31. Cette approche sur mesure bas e sur le savoir faire l exp rience et l intervention manuelle de l quipe de Galeo permet de combler les actuelles faiblesses des syst mes de PMS FIG no 5 Conception int grale des services market feed banking data management PortfolioNet interfaces and processing internet access center a transaction tickets reports mail fax email estimations performances Source Galeo SA Brochure Corporate Presentation 2013 La demarche de Galeo correspond a la fois aux exigences et aux reels besoins de sa clientele Le niveau de customisation atteint par l quipe de l entreprise fait preuve de leur parfaite connaissances des produits et des march s financiers d une grande ma trise des technologies en mati res de PMS et d un engagement et d un d vouement consid rable Avec pour objectif de pouvoir automatiser le processus d interfa age Galeo poursuit sa recherche d une technologie et des proc d s innovateurs en mati re de PMS et PSI En effet l id e consiste dans la cr ation d une plateforme capable de reconna tre et d interfacer l ensemble des produits financiers sans intervention manuelle tant donn e du co t humain lev de l actuel syst me L tat actuel des technologies ne permet pas encore une telle approche visant l automatisation totale de l interfa age des donn es Au contraire les ressources humaines intervenant dans l analyse et la correcti
32. En outre je me souviens des avantages que N K un autre coll gue et consultant avait num r lors d une pr sentation par rapport l utilisation du Kanban Boards e Le board Kanban est un moyen tr s facile de g rer le travail et de le visualiser pour tout le monde e On obtient un sentiment de progr s parce que vous pouvez voir ce qui se fait et ce qui doit encore tre fait ll permet une gestion plus facile du changement scope chane parce que les gens peuvent voir rapidement l impact des changements presque sans demander e ll est facile a mettre en place C est donc une victoire rapide short win pour tous les projets sur lesquels j ai pu travailler ll donne aux clients le sentiment que nous savons ce que nous faisons e l aide d un Kanban Board vous pouvez rapidement identifier les barrages et blocage or il ne s agit pas d un simple fichier Excel D ailleurs vous vous tes rendu compte que ce dont je parle dans notre conversation concerne galement la gestion des processus d affaires et non seulement le d veloppement de logiciel La combinaison du Kanban Board ou autre tableau de visualisation de travail avec les Gemba Walks contribue troitement l am lioration les r sultats et la livraison de la valeur dans une organisation agile Ces derniers m canismes permettent a tout le monde dans une organisation de contribuer troitement a l am lioration aussi con
33. HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 35 quotidienne En cas d absence des telles ressources internes les Family Office ont galement la possibilit de sous traiter cette activit une entreprise sp cialis e 5 3 4 4 Acteurs principaux Les acteurs de la pr sente section sont repr sent s par les clients des syst mes de Portfolio Management et ils sont distingu s par la personne qui utilise notamment l outil PMS utilisateur et celle qui se charge de sa mise jour PMS mise jour G n ralement les employes d une structure de Family Office sont des personnes avec des comp tences multidisciplinaires PMS client utilisateur Les comp tences des utilisateurs types sont particuli rement int ressantes pour le d veloppement des outils PMS En revanche ces conseillers ne sont sollicit s que dans une moindre mesure pour le d veloppement des PSI PMS client PSI mise a jour Avec un profil similaire a celui de l employ Back Office bancaire l employ charg de la mise jour des PMS est un partenaire strat gique dans le d veloppement des interfaces bancaires Les atouts majeurs d un employe du type PSI mise jour sont ses comp tences a la fois techniques quant l utilisation du PMS ou du PSI et m tiers quant aux instruments financiers 5 3 5 Technologies PMS amp PSI 5 3 5 1
34. Productivity Press Development Team 1998a 1998b 20024 2002b et Womack et Jones 1996 Domaine d application schema du processus de Calculer les temps d op rations dans le cycle de production production Diagramme Spaghetti Repr senter la disposition des postes de travail et les trajectoires Value Stream Mapping VSM illustrer une cartographie de la cha ne de la valeur Valeur ajout e en anglais value Calculer la valeur ajout e dans le cycle de r alisation de la added ou VA commande Repr senter ne les processus Non valeur ajout e en anglais Calculer le temps gaspill dans le cycle de r alisation de la dans le temps non value added ou NVA commande et dans Lead time Calculer le d lai depuis la reception de la commande client jusqu la l espace livraison du produit final Takt time Donner le rythme de la demande du client qui correspond a la cadence de fabrication d un produit Temps de cycle Calculer le temps total de fabrication d un produit par un op rateur dans sa cellule ou dans la ligne de production Goulot d tranglement Identifier l activit la plus lente de la cha ne logistique pour augmenter son rendement Syst me 5S Organiser le poste de travail pour le rendre ergonome et performant Eliminer les stocks et les attentes des op rateurs Equilibrage de ligne Equilibrer les charges des op rateurs de la ligne de production One piece flow Effectuer le flux de mati res pi ce pi ce pa
35. Scrum se poursuit du d but a la fin d un projet En effet la priorisation continuelle du travail et son respect dans l ex cution sont des pratiques qui s inscrivent profond ment dans l esprit Scrum Il s agit d une simple astuce qui incite chaque membre garder une vision globale du projet avant de mettre contribution ses forces pour la liquidation du travail m me Cette technique organisationnelle optimisant l allocation des ressources est d autant plus importante dans le cas de ressources limit es Dans l annexe no XIII des techniques simples pour un exercice de groupe visant la priorisation avec un syst me point sont expliqu es Story Point estimation Les Story Points ont merg comme tant de meilleures pratiques pour mesurer la vitesse de d veloppement de mod les agiles En effet il s agit d une mesure d effort fournir en termes d efforts et non pas en termes d heures La faiblesse des estimations exprim es en heures est souvent une certaine confusion faite entre la port e d un travail e g complexit quantit etc et la vitesse a laquelle un individu particulier peut faire ce travail Pourtant les personnes ont rarement les m mes capacit s ou les m mes competences et ces facteurs se traduisent par une vitesse variable des employes quant l ex cution d une t che Les Story point estimations se situent seulement au niveau de la planification du Product Backlog High Level L unit de mesure de la planif
36. Tests unitaire Source Collonvill Th 2010 tant toutefois un mod le pr dictif le cycle en V est d j caract ris par une plus grande r activit permettant une correction plus ais e des erreurs commises au d but du processus de d veloppement de logiciel c Cycleen Y Toujours consid r comme un mod le pr dictif et proche du cycle en Cascade le mod le en Y apporte une grande innovation par rapport aux cycles pr c dents en r tablissant le r le central des acteurs clefs d un projet de d veloppement de logiciel Roques P amp Vall e F 2002 En effet en s parant les aspects fonctionnels li s au m tier et ceux li s la technique le mod le en Y reconna t l importance d une collaboration troite entre les diff rents acteurs afin de r duire le Delivery Gap cf FIG no 27 Approche traditionnelle de d veloppement de software p 55 FIG no 22 Cycle en Y Besoins Techniques Besoins Fonctionnels Analyse Analyse Fonctionnelle Implantation Technique Source Collonvill Th 2010 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 43 d e Cycle en Spirale Au c ur du mod le du cycle en spirale d fini par Barry Boehm Boehm B W 1988 se situent quatre phases importantes voire ci joint 1 La d t
37. cette m thodologie Malgr cela l approche interpretativiste permet galement d introduire la complexit psychologique pour mieux comprendre les motivations des sujets tudi s Pour cette approche les techniques qualitatives de recherche sont donc bien adapt es En r gle g n rale la compr hension des ph nom nes se traduit par l analyse du discours des acteurs Maurand Valet A 2010 Comme empreinte de la HEG Geneve voire plus pr cis ment du Prof Emmanuel Fragniere le recueil de donn es suit une d marche ethnographique Sauders M amp al 2007 d crivent dans leurs travaux l objectif d une telle strat gie Son but est la description et l explication de la vie sociale du sujet tudi la mani re dont les observateurs le d criraient et expliqueraient C est une strat gie tr s appropri e dans la recherche en gestion d entreprise dans la mesure ou les chercheurs visent d acqu rir une connaissance approfondie sur un contexte particulier et ce dernier est interpr t du point de vue de ceux qui y sont impliqu s i 3 3 Entretiens Globalement les professionnels rencontr s lors des diff rents entretiens sont issus des divers m tiers qui touchent au domaine des syst mes PMS Ces experts sont notamment un responsable d une entreprise de consolidation vente d outils PMS mandats de conseil et sous traitance de la mise jour quotidienne des portefeuilles les op rateurs du centre de traitement resp
38. chapitre 4 est une prolongation du chapitre 1 et de l introduction et approfondit les diff rents domaines qui constituent l environnement du syst me analys Ce chapitre est compos de diff rentes descriptions notamment celles du march des informations financi res et des outils de PMS du march financier des acteurs clefs analys s des syst mes de Portfolio Management PMS et des interfaces de Portfolio Synchronisation PSI Le chapitre 5 avec l analyse qualitative du processus macro PMS permet une meilleure comprehension des diff rents facteurs qui influencent les interfaces et les taux de rejet et il avance les premi res id es quant aux ventuels changements conceptuels d une PSI Seuls les l ments pertinents quant aux diff rentes hypotheses examin es lors de l analyse sont contenus dans ce chapitre L int gralit de l analyse figure dans l annexe no l Le chapitre 6 pr sente un tat de l art des mod les organisationnels de d veloppement de logiciel A la suite de cette introduction le chapitre se poursuit avec une analyse qui d termine dans un premier temps le mod le actuellement employe dans l entreprise analys e Dans un deuxi me temps l analyse aboutit au choix du mod le organisationnel propice au d veloppement d une interface plus performante tout en consid rant les r sultats et les conclusions du chapitre 5 La derni re partie du chapitre 6 conclut avec la description d une cole voire d une philosophie
39. cision des membres de l quipe et du Product owner 7 2 2 1 Aujourd hui vs demain Actuellement l organisation de travail du d veloppement d une nouvelle interface se r sume la gestion de projet avec des documents et des cycles standardis s avec cahier des charges mapping des bases de donn es etc Le seul outil informatis dans la gestion de projet sert pour la comptabilisation des heures de travail des d veloppeurs Il n existe pas d autres outils qui auraient pour but une optimisation de l organisation du travail ou des projets Le noyau de l quipe de d veloppement est compos par quatre cinq d veloppeurs avec un chef de projet Pour la collaboration avec la banque d positaire concern e par l interface un informaticien suppl mentaire de cette derni re se joint p riodiquement l quipe Au d but et vers la cl ture d un projet l un des responsables commerciaux du groupe VWD s ajoute galement au projet Pour l heure aucune formation en gestion de projet ou dans une m thodologie de d veloppement nest exig e par le groupe allemand Le principe de repr sentativit des aspects la fois techniques et m tiers n est pas bien respect Demain le Product owner sera responsable du produit final selon une approche m tier et orient e solution les membres de l quipe de la r alisation du travail et le Scrum master de l efficacit des pratiques de Scrum Avec cette d marche l organisation du travail se
40. comme celles de la production du service apr s vente logistique et bien videmment de la direction La premi re phase de d veloppement consiste d abord dans la planification d une it ration qui est appel e Sprint dans le langage Scrum La dur e d un Sprint varie selon les entreprises mais se situe g n ralement entre 1 et 6 semaines Dans la production des produits logiciels tr s innovateurs je sugg re des Sprint courts et dans la production d un produit mature et bien connu par les quipes des sprints de plus longue dur e Avant de d marrer un Sprint il faut toutefois encore planifier avec l quipe Scrum les diff rentes t ches r aliser Il importe toujours de respecter l ordre de la priorit des diff rentes fonctionnalit s de la Product Backlog qui est donn par le chef de produit En ce qui concerne les autres aspects organisationnels l quipe est enti rement autonome dans l organisation du Sprint La transcription des items de la Product Backlog en t ches r alisables le r el cahier des charges s effectue l aide du Sprint Backlog La phase de planification est critique et exige souvent des Soft skills de la part du responsable de produit pour assurer une profonde compr hension des fonctionnalit s et pour aligner les diff rents int r ts de chaque membre d une quipe dans la m me direction Cette phase est souvent accompagn e par le Scrum Master qui intervient comme un coach pour la fois le res
41. con u pour ajouter de l nergie de l alignement focus de l vidence et de la transparence la planification et la mise en uvre d un projet de d veloppement de logiciel Sa mission consiste dans 1 l augmentation de la vitesse de d veloppement 2 l alignement des objectifs d un projet ceux de l organisation 3 la cr ation d une culture propice la performance 4 la cr ation de valeur ajout e pour les parties prenantes 5 l tablissement d une communication transparente de la performance tous les niveaux et 6 l am lioration du d veloppement des competences des membres et de leur qualit de vie 1 2 1 Mod le Scrum Le mod le Scrum avec ses r les clefs ses diagrammes et ses v nements est illustr par la figure ci apr s cf FIG no 29 l annexe no VI avec la thermologie des expressions Selon Scrum l organisation du travail d un projet est effectivement structur e l aide de plusieurs cycles de lot de travail appel s Sprint La dur e d un tel sprint ne d passe g n ralement pas quatre semaines et les diff rents cycles se succ dent sans pause jusqu la fin d un projet En fonction de la dur e du Sprint les membres d une quipe choisissent leur travail de fa on autonome Le choix des lots de travail est seulement dict par la priorit des diff rents lots de travail qui composent la totalit d un projet Product Backlog L organisation du travail m me est sous l enti re responsabi
42. conditions quant sa qualit En principe le traitement lectronique requiert une information de qualit coh rente disponible et unique Cependant dans la r alit la complexit de certains instruments financiers les d faillances des SI bancaires et d autres irr gularit s concernant cette mati re premi re s opposent actuellement au principe nonc par rapport la qualit de l information financi re La complexit de ces informations lectroniques pr sente donc un autre facteur qui contribue l augmentation de la complexit de base Etant donn cette complexit la pr occupation de ce manuscrit s articule autour de l analyse des l ments d terminants et autour du choix et de la mise en place d un mod le organisationnel de d veloppement d une nouvelle interface bancaire pour les PMS La condition de base de l interface d velopper est une r duction du taux de rejet des informations financi res aujourd hui non reconnaissables par la technologie de ces PSI Par cons quent l introduction de cet indicateur a savoir le taux de rejet comme crit re de r ussite dans l valuation d un projet semble une d marche toute fait logique et banale En revanche les cons quences de cette d marche qui parait simple se concr tisent par des aspects qui sont parfois plus difficiles r aliser Key Words Aspects organisationnels du d veloppement de logiciel interface Lean management Lean Software Developm
43. cout salarial de l employ qui intervient et ce co t nuit la rentabilit globale du syst me PMS Outre la dimension conomique tout effort qui a une action sur la r duction du taux de rejet de la PSI se justifie galement par sa relation forte avec la valeur per ue du produit par les clients La perception de la valeur est fonction de la qualit des attributs saillants perceptibles sur la cha ne de valeur d un produit ou d un service La PSI est un tel attribut saillant qui ajoute de la valeur au service et son dysfonctionnement se traduit par une diminution imm diate de la valeur per ue Pour un client tout type de rejet d une interface PSI est synonyme de dysfonctionnement L objectif du pr sent travail vise l am lioration des aspects organisationnels du d veloppement d une interface pour r duire son taux de rejet La d marche poursuivie consiste dans un premier temps dans la compr hension de l univers des syst mes PMS et de ses dimensions qui ont une r elle influence sur l organisation du d veloppement et sur la performance des interfaces elles m mes Or il s agit de r pondre des questions telles que quelle est la nature de ces informations financi res et quelle est sa qualit et comment est elle chang e Quels sont les diff rents niveaux de maturit de ces domaines et dans quelle direction voire quelle vitesse evoluent ils Peut on influencer l volution d un ou de plusieurs domaines Etant donne
44. d un cahier de charge au d part du projet qui sert de guide de conduite Suite la phase de planification et la d finition dudit cahier de charge relativement peu de changements surviennent par la suite Question 5a PB Qu en est il du transfert du savoir des connaissances JF Le transfert de connaissance s effectue surtout du collaborateur de la banque d positaire l quipe de d veloppeur et entre l unit de d veloppeurs m mes En dehors peu de r activit survient ou est sollicit e En revanche les d veloppeurs interagissent continuellement dans la recherche des solutions quant aux ventuels probl mes d o ladite approche agile que je viens de mentionner Question 6 PB Comment qualifieriez vous actuellement la culture d entreprise d apr s de votre groupe JF Aupr s du groupe l organisation est fortement d centralis e avec un Holding et divers filiales voire des entreprises qui appartiennent aujourd hui au groupe par l acquisition Par cette d centralisation ces filiales ont souvent et largement conserv leur mentalit et culture d o galement cette diversit de mentalit s et culturelle aupr s du groupe Effectivement je n arriverais pas a qualifier la culture d entreprise pour cette raison Question 6a PB A votre avis le groupe et ses collaborateurs s agit il d un environnement propice au changement JF Oui Je pense qu on est g n ralement ouvert au c
45. d velopp 2 figure galement parmi les crit res de succ s avec ce m me taux mentionn de r ussite Tout comme la question du co t et de la dur e d un projet la d finition des fonctionnalit s des interfaces est standardis e et d finie au d part du projet sans remise en question ult rieure Par exemple le taux de rejet ne figure pas parmi les crit res d terminants pour la qualit En contraire les cat gories principales de rejets li s la nature complexe des produits financiers sont suppos es exog nes et non d terminantes pour la performance d une interface bancaire Donc la tol rance quant au facteur du taux de rejet est actuellement relativement grande malgr son impact fort sur la performance globale du syst me de PMS Au niveau du transfert des connaissances 7 et en particulier de la r activit avec l environnement 5 le syst me actuellement en place est fortement limit par son approche lin aire En effet concernant le transfert des connaissances ce dernier se r sume une structure pr d finie de s ance au d part du projet Apr s le d marrage du projet le caract re des s ances est davantage informatif Ainsi le transfert des connaissances est fortement ax technique ceci est d la composition des membres de l quipe En effet ces membres pr sentent un profil technique avec un change technique et ils sont la recherche de solutions techniques Les conclusions sont similaires a celles de
46. de nos interfaces et il n est galement pas consid r par nos quipes de d veloppement comme tant un probl me r el r soudre Question 1 a PB G n ralement de quelle nature sont les rejets tous confondus actuellement recens s d une telle interface bancaire JF Alors les rejets les plus r currents qui exigent une intervention manuelle par les utilisateurs d un PSI sont premi rement les instruments inconnus par l interface L absence d un num ro d identifiant unique tel que le no ISIN en est la cause et les options am ricaines entrent typiquement dans cette premi re cat gorie Deuxi mement les op rations inconnues A la diff rence des instruments inconnus les op rations non identifiables proviennent du fait qu il s agit d une fraction d information d un instrument connu mais pas int gralement transmis par les banques d positaires au PMS Typiquement l ensemble des contrats terme ou le droit et l obligation n est toujours pas ex cut sont des exemples les plus parlant La troisi me cat gorie est celle de la r ception de donn es incoh rentes de la part des banques d positaires Backend Portfolio Data Dans ce cas des erreurs de calcul ou d autres s opposent un traitement automatique par l interface Question 1 b PB Poss dez vous des statistiques sur ce ph nom ne du taux de rejet JF Non ma connaissance aucune statistique existe avec le taux et les cau
47. des PMS ont naturellement d velopp des strat gies afin de contourner quelques unes des difficult s discut es Or la syst matisation de telles pratiques repr sente galement un certain potentiel non exploit d am lioration d une interface bancaire HS Les pratiques recens es sont Le code d op ration des IS bancaires Le code d op ration d signe la nature d une transaction financi re et ce code est souvent propre a la banque Outre les codes d identifiant uniques e g ISIN VALOR les codes d op ration sont une source pr cieuse d information pour l exercice de l identification d un produit financier d un PSI Ce dernier facteur est d autant plus important pour les transactions sans identifiant unique En cas de changement des codes d op ration e g cr ation d un nouveau code les d veloppeurs d une interface doivent imp rativement en tre inform s afin d actualiser l interface concern e Base de donn es centrale interne dans le cas d absence d un identifiant unique Pour l allocation d un prix unique un titre sans identifiant unique une propre base de donn es centrale est entretenue dans l intervalle de la regularisation cr ations d un code ISIN etc Cette pratique permet le respect du principe d unicit de l information En m me temps l entretien de sa propre base de donn es pour les produits non r gularis s augmente l efficience de la gestion lectronique Sans une telle pratique ces derniers instrumen
48. des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 72 Lakoff G amp Johnson M 1998 Philosophy in the Flesh Basic Books New York Laurel B 1990 Introduction What s an interface In Brenda Laurel Ed The art of human computer interface design pp xi xii Boston Addison Wesley Leseure Zajkowska E 2012 These de doctorat en Genie Industriel Contribution l implantation de la m thode Lean Six Sigma dans les PME pour l am lioration des prcessus Ecole Centrale de Lille et l Universit Technique de Gdansk Liker J K 2004 The Toyota way 14 management principles from the world s greatest manufacturer McGraw Hill New York Lister Martin Dovey Jon Giddings Seth Grant lain amp Kelly Kieran 2003 New media A critical introduction New York Routledge Manovich L 2002 The language of new media Cambridge MA MIT Press Markowitz H 1991 Portfolios election efficient diversification of investments Cambridge MA B Blackwell 274 Ed Marra R 1996 Human computer interface design In Piet A M Kommers R Scott Grabinger amp Joanna C Dunlap Eds Hypermedia learning environments Instructional design and integration pp 115 134 Mahwah N J Lawrence Erlbaum Associates Maurand Valet A 2010 Choix m thodologiques en sciences de gestion Pourquoi tant de chiffres in Revue Crises et nouvelles probl matiques de la Valeur Nice FR no 42 http nal a
49. des ressources limit es au d veloppement d une nouvelle interface G n ralement les contraintes d un tel projet sont ses co ts sa dur e et sa qualit Par cons quent le niveau des ressources allou es est directement li au volume attendu des transactions futures au chiffre d affaires suppl mentaire attendu ou l importance Strat gique d une nouvelle interface La reponse ces derni res questions doit permettre la couverture de l investissement d une nouvelle interface avec ses revenus g n r s sur un certain laps de temps ROI 11 http www vwd de vwd files PIB_PSI_deu_4_Einzelseiten pdf consult en 01 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 23 5 Analyse du processus macro PMS Suite cette pr sentation g n rale des march s des acteurs analys s et des notions clefs de l environnement du PMS et de la PSI nous allons effectuer une analyse qualitative des l ments constitutifs du processus de PMS Avant la synth se des r sultats nous allons dans un premier temps d crire le processus PMS afin de faciliter la compr hension des lecteurs Les diff rents l ments pris en compte par cette premi re analyse figurent sur le sch ma ci apr s cf FIG no 12 FIG no 12 Sch matisation du processus macro d un PMS Transactions Orders Interface Banque
50. deuxi me cat gorie Les troisi me et D finition Interface Oxford English Dictionary online htto oxforddictionaries com definition english interface consult en 02 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI quatri me cat gories concernent notamment l interfa age de contenu pour la r solution de probl mes Program Content et pour le processus d apprentissage Instructional Objectives FIG no 1 Concept HCI amp categories constitutives Program Content Program Ergonomic Operation Arrangement instructional Objectives Source Rose Marra 1996 Les recherches et les publications de scientifiques comme Palme Carroll et Reisner Palme J W 1983 Carroll J M 1987 Reisner P 1987 ont contribu consid rablement une meilleure compr hension des ph nom nes concernant les questions li es a la complexit et a la nature des transactions entre l humain et la machine ordinateur Selon ces travaux les transactions entre l homme et l ordinateur sont caract ris es par une forte asym trie que tout d veloppeur d une interface doit imp rativement prendre en compte Cette asymetrie s explique principalement par la nature de l tre humain En effet l humain interpr te contextuellement les r gles et ne r agit pas de fa on homog ne des stimul
51. disposition Finalement l absence de tout test d int grit des contenus explique la raison pour laquelle nous n avons pas de taux de rejet pour la partie du processus de transfert de donn es que nous g rons En revanche en cas de probl mes techniques ou de l interruption du chargement des fichiers sur la plateforme XLink nous nous en rendons bien compte et rectifions les fichiers concern s dans la mesure du possible ose Au total nous actualisons quotidiennement trois types de fichiers et les mettons disposition Il s agit premi rement d un fichier avec l ensemble des positions d tenues par les agents deuxiemement un fichier avec les transactions effectu es et finalement un qui s appelle fichiers techniques Dans le cas de l aboutissement du chargement de chaque fichier ces deniers sont flagged ce qui nous signale l aboutissement du processus Je me r p te mais le fait qu on consid re le chargement des fichiers comme abouti cela ne concerne qu en moindre mesure l int grit des contenus des fichiers Dans le cas contraire les fichiers demeurent en statut on hold et nous devons reprendre le chargement des fichiers en question Il peut rarement arriver que nous ne parvenions pas remplacer les fichiers erron s et ces derniers sont t l charg s par les clients avant rectification Or dans ce cas exceptionnel il s agit effectivement d une transmission soit non complete soit avec des positions a dou
52. dominante dans l analyse du processus de fonctionnement d un PMS malheureusement au d triment d autres elements D un point de vue technique la d finition suivante de Reix 2004 permet de poser les fondements des IS Un syst me d information est un ensemble organis de ressources mat riel logiciel personnel donn e proc dure permettant d acqu rir de traiter de stocker des informations sous forme de donn es textes images sons etc dans et entre les organisations Cette derni re d finition se compl te ais ment avec celle de Rowe 2002 Un syst me d information est un ensemble d acteurs sociaux qui m morisent et transforment des repr sentations via des technologies de l information et des modes op ratoires Etant compos e d une dimension la fois technique et sociale il appara t qu un rapprochement purement technique la th matique risque de s av rer incomplet En effet ce constat se confirme non seulement par les th ories en mati re mais galement et surtout par le travail de terrain qui a accompagn la r alisation de ce document Dimensions techniques Le traitement des informations financi res dans des syst mes de PMS tout comme le succes de l interfa age repose sur des IS capables de produire une information de qualit coh rente en temps r el et unique unicite de l information Pourtant la r alit des banques par rapport aux IS est toute autre Cet cart
53. du produit et aussi le degre de r ussite d un projet D sormais tout type de rejet confondu nuira non seulement la qualit d une interface produit mais influencera galement et directement la notion de Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 50 succes d un projet Les autres facteurs clefs qui d terminent la probabilit de r ussite d un projet 8 restent inchang s et concernent notamment le co t 3 et le respect de la dur e d un projet 4 Les contraintes de la dur e et des moyens financiers ne seront pas enlev es dans le nouveau mod le mais g r es selon le nouveau paradigme Dans le syst me futur les membres d une quipe seront d sormais responsables de la d termination et du respect de la dur e d un projet En effet l organisation auto g rante des quipes exige l analyse de la complexit des fonctionnalit s et leur traduction en t ches concr tes et r alisables Ce travail de structuration et d organisation est effectu directement par les membres d une quipe qui valuent les ressources n cessaires quant l accomplissement des t ches Le nouveau mod le de d veloppement devrait proposer des structures qui soutiennent un tel niveau d autonome du travail des quipes 1 A court terme le cout des projets risque d atteindre un niveau sup rieur au co t moyen a
54. e avec la notion de la chaine de valeur 3 les gens et finalement 4 l organisation Personnellement et d apr s mes exp riences professionnelles je recommanderais toute structure ou id alement a toute entreprise de se convertir en Lean car je ne connais aucune autre m thodologie qui convainc avec des principes facilement compr hensifs et qui font du sens Si tu souhaites d en savoir davantage recherche des articles en Lean Software Development des conjoints Poppendieck les v ritables parents du LSD Selon mes connaissances les d veloppeurs de logiciel ont opt rapidement pour les principes Lean pour am liorer l organisation du travail car une simple approche de gestion de projet s est souvent av r e insuffisante La gestion de projet structure les grandes lignes du travail voire plus pr cis ment le d roulement du travail mais elle ne r pond pas aux nombreuses questions qu on se pose quotidiennement en travaillant Enfin les conjoints Poppendieck ont publi et recherch beaucoup en la mati re et furent parmi les premiers se sp cialiser en LSD Question 2 PB alors le LSD d finit le cadre et la philosophie du travail avec ses nombreuses pratiques et valeurs Or selon quelle pratique ou tool de la bo te outils LEAN organises tu tes projets concr tement Finalement s agit il d une m thodologie sp cifique qui permet l organisation de A Z d un projet ou s agit il davantage d une multitude de
55. entreprise Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 69 Attestation Je d clare sur l honneur que j ai effectu ce Travail de Master seul sans autre aide que celles d ment signal es dans les r f rences et que je n ai utilis que les sources express ment mentionn es Je ne donnerai aucune copie de ce rapport un tiers sans l autorisation conjointe du Responsable de l Orientation et du Professeur charg du suivi du Travail de Master et de l institution ou entreprise pour laquelle ce travail a t effectu Pascal A Bopp Geneve le 2 septembre 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 70 9 Bibliographie ABCD Alexander C 1979 The Timeless Way of Building Oxford University Press New York Arens Y Chee C Y Hsu C N amp Knoblock C A 1993 Retrieving and integrating data from multiple information sources nternational Journal of Intelligent and Cooperative Information Systems 2 127 58 Association Suisses des Banquiers ASB amp The Boston Consulting Group BCG 2011 Le secteur bancaire en pleine mutations Perspectives d avenir pour les banques en Suisse Badot O amp Navarre C 2002 L achat de v hicule
56. explications quant son utilisation et sa mise en uvre La partie des recommandations manag riales est accompagn e par un catalogue d argumentaires contextuels quant a la m thodologie et a sa mise en uvre dans l entreprise analys e 1 2 2 Limites Les limites sont li es d une part au p rim tre large du travail et d autre part aux limites de la m thodologie Pendant une premi re phase importante du travail la question de recherche Existe il des elements potentiel non exploit pour r duire le taux de rejet d une PSI est particuli rement large et exige une immersion dans un p rim tre important de recherche Le choix d une analyse qui porte sur la globalit du processus des PMS est motiv par l obtention d une vision int grale des elements influant le taux de rejet de la PSI En revanche les r sultats ne sont pas assez repr sentatifs quant une ventuelle application a d autres contextes La force de la d marche ethnographique ou de la m thode de l interpr tativisme peut galement tre r interpr t e comme une faiblesse L int r t de l auteur est la compr hension du comment et du pourquoi sans vidence statistique des differents propos L esprit du travail d immersion est fond sur l herm neutique l observation et l immersion profonde Malgr les efforts mis en place afin de renforcer chaque aspect de ce travail par les nombreux r sultats des publications scientifiques cit es le d part de t
57. galement les meilleures connaissances quant aux d faillances mais aussi aux fonctionnalit s r ellement n cessaires des IS bancaires Ces connaissances tacites sous forme d exp riences sont pr cieuses pour tout projet d am lioration en la mati re En r alit les besoins en termes de fonctionnalit s s orientent fortement vers les charges de client le ces derniers tant m me qualifi s de locomotive qui tire les autres d partements constat fait lors d un des entretiens Historiquement ces commerciaux bancaires ont toujours b n fici d une meilleure consideration de la direction des banques En revanche l image des employ s du Front Office est li e une connotation n gative travail r p titif simple moins important etc Avec l volution croissante de l importance des IS bancaires et d internet une r elle revalorisation de l importance du travail du Back Office doit imp rativement accompagner la reconstruction des IS bancaires globaux Sans cette reconsideration les erreurs du pass risquent de se reproduire et les causes du probleme ne pourront pas tre resolues Les experts rencontres ont toutefois mentionne que les problemes du Gap technologique ne concerneraient pas seulement le secteur bancaire Ce phenomene se constate davantage dans de grandes structures entreprises multinationales gouvernements secteurs bancaires etc Un deuxi me element important et gourmand en ressources humaines est
58. l adaptation continue des syst mes d informations bancaires aux r glements nationaux et internationaux par rapport aux exigences en termes de transparence des banques En effet la mise en norme des IS ralentit sensiblement les autres projets en phase de planification voire aussi d ex cution En mot de conclusion l importance des connaissances tacites des employes du Back Office est imortante non seulement pour la probl matique de l am lioration des IS bancaires mais galement pour la coop ration durant les activit s financi res et la nature des donn es Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 80 2 Les activit s financi res et la nature des donn es 2 1 Hypoth ses HS Le transfert des connaissances des m tiers financiers est la clef pour la conception d un PSI HA La complexit des instruments financiers est la cat gorie des causes les plus importantes de l actuel taux de rejet des PSI 2 2 D veloppement Une demi d cennie apr s la derni re crise financi re le march mondial des banques est continuellement sous pression forte Les tablissements sont globalement confront s des changements r glementaires profonds un environnement technologique en volution rapide et une forte volatilit macro conomiques Ces dynamiques impactent consid ra
59. l analyse de la dimension de la r activit avec l environnement L approche actuelle propose une prise en compte des int r ts d un nombre r duit de parties prenantes Or le niveau d interaction et de r activit se limite une vue interne avec la seule ouverture au d partement IT bancaire La collaboration avec les banques d positaires se r sume la d finition de la structure des donn es Backend Portfolio Data et ne comprend pas une r elle recherche de solutions pour l laboration d interfaces plus performantes Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 49 6 3 2 Presentation de l tat futur La pr sentation de l tat futur se structure galement suivant les m mes huit crit res et comporte pour chacun une description d une situation ou dun comportement souhait En guise de rappel ces situations ou comportements souhait s sont propices au d veloppement d une interface plus performance en coherence avec les conclusions de l analyse macro du processus PMS cf paragraphe no 5 4 p 38 Avant de parcourir les huit criteres un bref resume des conclusions permet egalement de poser les fondements pour la description de l tat futur qui va suivre Or l environnement des PMS est caract ris par un niveau lev de complexit d aux interactions et aux interd pendances fortes entre
60. l expert en LS titulaire d un certificat Lean au niveau de Black Belt amp Scrum Master qui travaille dans un groupe multinational gt 50 000 employ s La langue de l entretien est l anglais mais pour la transcription ci joint le fran ais Pr sence 2 personnes AB PB lt Pr sentation mutuelle par vid o conf rence et introduction l entretien avec pr sentation du cadre et des objectifs du pr sent travail de master gt Question 1 PB Qu est ce que signifie Kaban en d veloppement de logiciel AB En effet il existe en Lean Software Development d sormais abr g par LSD une m thodologie appel e Kanban mais l oppos des autres m thodologies cette derni re n est pas bas e sur des sprints fixes ces derniers galement appel s iterations Vous connaissez sans doute X s Agile Expedition euhhh a vous dit quelques choses mais vous savez que des quipes agiles planifient le travail en fonction de deux l ments dont premi rement leur capacit et deuxi mement la dur e fixe Cette derni re notion celle de la dur e fix e est justement nomm e Sprint ou it ration Par exemple dans le cas o la dur e d un Sprint est de quatre semaines la quantit de travail effectuer pour un tel sprint est bas e sur les estimations et l exp rience d une quipe combien de User Stories peuvent d tre termin es par l quipe en quatre semaines
61. l ouvrage de Georges Lakoff et Mark Jonson dont le dernier livre s appelle Philosophy in the Flesh Lakoff G amp Johnson M 1998 Du point de vue de la philosophie postmoderne cette approche m taphore a t aussi influenc e par les travaux de Richard Coyne qui relia la m taphore au d veloppement du logiciel Coyne R 1995 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 46 6 2 2 Conclusion des mod les de processus de d veloppement En guise de conclusion chacune des m thodes propos es suit une approche syst matique et rationnelle de l organisation de la production de logiciels en poursuivant l atteinte des deux objectifs fondamentaux Ces objectifs sont notamment de rationaliser les activit s intervenant tout le long du processus de d veloppement d une part et d optimiser la gestion des acteurs qui y interviennent d autre part L objectif ultime du projet en revanche consiste dans la livraison d un produit a une qualit correspondant aux attentes du client dans les d lais pr vus et un co t contr l L cart entre la qualit livr e et celle demand e cf FIG no 27 Approche traditionnelle de d veloppement de software p 55 se manifeste par les erreurs commises pour des raisons diverses Toute erreur tant suppos e engendrer un co t ce dernier a la propri t de
62. la valeur ajout e constituent la base du concept Lean qui vise augmenter continuellement la proportion de la valeur ajout e Or si une activit de la cha ne logistique ne contribue pas l augmentation de la valeur ajout e elle sera consid r e de muda car le client n aura pas envie de la payer et elle ne fera qu augmenter les co ts Leseure Zajkowaska E 2013 En Lean Mangement les entreprises distinguent le Waste commun ment entre sept et neuf cat gories 1 La surproduction 2 Le temps d attente 3 Le transport inutile d placements inutiles des objets personnes informations 4 Les t ches inutiles 5 Les stocks excessifs 6 Les mouvement inutiles ergonomie du travail places de travail 7 La fabrication de produits d fectueux 8 Les biens ne r pondant pas aux besoins du client 9 La mauvaise gestion des ressources humaines talent Dans les travaux d Escobar D amp Revilla E 2005 les scientifiques ont traduit ces sources potentielles de gaspillage dans le contexte du domaine de service cf annexe no IV Les 7 types de muda du domaine de services En anglais la valeur ajout e est appel e added value AV et elle correspond a la fois la valeur per ue par le client et aussi a son consentement payer Dans ce contexte la notion de la cha ne de valeur est fondamentale En effet la philosophie du Lean Management incite repenser la valeur qu apporte un
63. la nature des donn es d autre part l automatisation totale du transfert des donn es des banques aux PMS avec un PSI a z ro taux de rejet Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 96 pr sente un paradoxe Est ce que l automatisation totale n a pas un effet inverse sur la qualit du service voire sur l information mise disposition d un PMS Effet n gatif de l automatisation totale Les personnes consult es pour la pr sente analyse sont unanimes pour obtenir un niveau de qualit suffisant d un PMS les utilisateurs Family Office doivent investir dans une personne qui se charge quotidiennement du nettoyage des donn es avant l interfa age dans un PMS Par experience un tel test d integrite dure entre une a deux heures par jour et s entreprend directement des la reception des donn es bancaires habituellement le matin entre 8h et 10h Aujourd hui les technologies du march ne sont pas encore sur le point de pouvoir fournir automatiquement un tel niveau de qualit Finalement il appara t que les clients ou d autres acteurs avec des telles connaissances tacites approfondies des PMS voire plus pr cis ment des PSI sont des partenaires strat giques quant au d veloppement ou l am lioration de produit Or on se situe typiquement dans une situation de d centralisatio
64. le d int grit des donn es des fichiers obtenus par les banques ou des transactions rejet es et reconnues par la PSI Ce type de travail manuel est non seulement gourmand par rapport aux temps de travail mais galement exigent en termes de connaissance m tier bancaire et informatique Le travail d analyse comprend 90 le traitement du contenu des informations obtenus La correction des transactions non indentifiables par la PSI est fond e sur une analyse des caract ristiques et de la nature d une transaction rejet e e g maturit mouvement de cash settlement out of money etc Faute de maturit des logiciels de PMS ce travail d expert est incontournable et contribue troitement et de fa on importante la valeur ajout e du r sultat final du service Afin de r tablir une vision globale des tats financiers d un utilisateur de PMS tout PSI doit imp rativement disposer d une fonctionnalit permettant la cr ation d un compte virtuel La n cessit d une telle fonctionnalit est directement motiv e par les pratiques bancaires en termes de comptabilisation des produits financiers e g comptes techniques car ils omettent galement une partie importante des transactions d un portefeuille client Ce dernier point doit figurer dans le cahier des charges pour la conception d une interface PSI entre les banques et les syst mes PMS Un autre sujet d une importance accrue auquel tout concepteur de PMS doit imp rativemen
65. lioration de syst me de logiciel avec un niveau de maitrise relativement lev Pour le d veloppement d un nouveau logiciel en suivant une approche gestion de projet les autres m thodes de livraison agiles qui utilisent des sprints ou it rations de temps en bo te use time boxed sprints me semblent plus ad quates Ce dernier est principalement d au caract re urgent de ces projets En revanche pour les domaines op ratives et les projets de maintenance o le rythme durable semble avoir plus d importance que la rapidit de livraison je trouve que Kanban fonctionne tr s bien et m me mieux dans certains cas Kanban Board amp Gamba Walk Question 3 PB Comment communiquez et visualisez vous autour d un projet e g l avancement les probl mes qui surviennent etc AB Permettez moi de vous r pondre avec une histoire que j ai v cu au sein de l entreprise X Quelques ann es en arri re on avait embauch une consultante indienne G N Tout a commenc par un cri et son constat vous avez un blocage Quand je lai demand e des explications quant sa r action elle m a expliqu que c tait la premi re fois qu elle voyait une de nos cartographies board avec une colonne bloqu pour les User Stories en question En r fl chissant sa r action on se rend compte de la puissance d un tel board mais en combinaison avec des Gamba walks Depuis le d but de mon trav
66. lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 108 Annexe VIII Transcription des entretiens 1 Entretien Banque Priv e Pour les annexes du travail de Master l entretien suivant sera enti rement transcrit en anonymisant l ensemble des participants tiers Entretiens la banque priv e d partement IT lundi le 24 juin 2013 9 14 dur e 1 heure Pr sents CF AB CD PB RL Question 1 RL Quel est le syst me actuel en place chez X pour assurer la transmission de donn es et quels sont vos actuels probl mes avec ce dernier CF Xlink d formation du terme d origine est notre solution bancaire en ligne destin e nos clients priv s et professionnels ainsi qu aux g rants de fortune ind pendants Or il s agit davantage d une plateforme qu un canal de distribution m me si nous l appelons ainsi car nous y mettons diff rents fichiers disposition pour le t l chargement des clients En revanche le t l chargement est enti rement dans la responsabilit des clients qui pour la plupart installent des routines dans leurs PMS qui automatisent ce dernier processus de t l chargement Du c t de X nous ne proc dons ni un test d int grit des donn es ni sont ces derni res zipp es ou encore scrip es Or de tels proc d s permettront dans le cas ch ant de se rendre compte d ventuels probl mes des contenus des donn es mises
67. massivement investi Du point de vue du concept les CRM poursuivent l alignement des processus informatiques sur la strat gie d une banque en pla ant le client au c ur du processus des activit s et de la culture d entreprise Thieriez 2002 Dans l op ration en revanche les CRM facilitent la communication avec les clients soutiennent les activites d analyse et de reporting et permettent l automatisation des contacts quotidiens entre l entreprise et les clients Finalement le r le du charg de client avec celui du responsable d une agence sont des questions centrales de la strat gie de chaque banque En effet les activit s li es la distribution et la relation client le pr sentent un avantage concurrentiel important pour toute banque Retour amp al 2006 et 2008 1 6 Clients bancaires Le multi channel et d autres moyens de contacts acquis gr ce internet influencent fortement le comportement actuel et futur des clients au d triment de la fr quentation des agences Malgr ce fait les gestionnaires des agences sont toujours le premier point de contact 33 avec toutefois une baisse de la fr quentation de l ordre de 6 8 par an Agefi 2010 30 La migration se fait au profit des automates et d internet Parall lement ce ph nom ne profite galement aux autres produits et services financiers disponibles online 1 7 Synth se des entretiens Le ph nom ne du Gap Technologie nous a t confirm d
68. montre plusieurs faiblesses du syst me actuel qui s opposent a ces conditions assurant un bon fonctionnement En r alit l environnement du processus de PMS est caract ris par le gap technologique des IS bancaires et d autres instituts intervenant l h t rog n it des pratiques quant au traitement de l information des irr gularit s des normes de l EFT et la nature particuli re de certains produits financiers A long terme l volution de chacun de ces l ments tend vers une am lioration qui contribue un meilleur niveau de qualit des informations lectroniques Par cons quent ces ph nom nes permettront la r duction du taux de rejet des PSI Toutefois ces changements syst matiques des technologies n auront pas lieu court ou moyen terme et les id es propices la production d une interface plus performante sont n cessairement fond es sur d autres r flexions Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 67 Par leurs connaissances m tiers la capacit r elle d interfacer les transactions rejet es incombe un employ d un tablissement bancaire d un centre d op ration ou encore d un Family Office A court terme une piste possible d am lioration des logiciels d interfa age consiste dans le transfert et la traduction de ces connaissances m tiers aux d veloppeu
69. nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 119 actuelle je nai aucune id e des autres projets en cours ind pendamment de son statut Nous avons effectivement relativement peu de visibilit du Sales Funnel des projets au cours Question 5b PB Pourquoi pensez vous que la visibilit de l avancement et de la qualit produite est mauvaise JF Je ne peux que constater que dans mon r le en qualit de responsable de ligne de produit je n obtiens pas d information quant au d veloppement de l interface pendant le d veloppement Finalement ma participation active se limite au d but et la fin d un projet Entre deux il n existe aucun outil qui me permettrait de suivre ou d intervenir Cependant les d veloppeurs collaborent troitement durant la phase de d veloppement pour pouvoir accomplir l uvre En guise de rappel les comp tences techniques et les connaissances du produit sont primordiaux Je pense que durant le d veloppement l unit de programmeurs jouit d une grande autonomie et seule l quipe voit l tat de l avancement tant donn leur forte implication En dehors en revanche personne ne peut r ellement dire qu est ce qui a t accompli qu est ce qui reste finir etc Cette approche que je qualifierais collaborative et agile est la raison du manque de visibilit Leur libert est toutefois fortement limit e par la d finition
70. par leur competence purement technique D sormais les solutions possibles sont multidisciplinaires et contiennent des aspects des diff rents m tiers et composants du processus global de PMS Or cette m me pluralit doit se refl ter dans les diff rentes comp tences disponibles au sein de la nouvelle quipe de d veloppement Par cons quent ce rapport recommande que des personnes Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 68 avec un profil Back Office bancaire ou op rateur du centre de traitement consolidation voire m me un client PSI mise jour s ajoutent toujours l actuelle quipe Les facteurs clefs de r ussite de l organisation d un projet agile sont une r activit forte et continue avec son environnement une cr ativit et une autonomie lev e des quipes et le transfert r el de connaissances G n ralement les nouveaux mots clefs quant au cadre organisationnel et la gestion de l quipe gagnante sont Acceptation de l incertitude dans un cadre defini Equipes et projets autogerant Chevauchement des phases de developpement iterations Competences multidisciplinaires Contr le subtil Transfert des le ons et meilleures pratiques apprises Le choix du mod le organisationnel a port sur Scrum pour sa forte compatibilit avec ces derniers principes organisationnel
71. processus de d veloppement de la PSI 113 Si le temps de cycle est trop long ou le flux d articles en WIP est trop important la limite de WIP doit alors tre ajust e Dans l exemple suivant la limite de WIP simultan ment en production est de trois L expression Flow repr sente le nombre du total des lots se situant en WIP ce dernier ne peut tre gale ou inf rieur la limite sup rieure Dans le cas o le cycle time est trop important ou le flux d articles en WIP trop important alors la limite de WIP doit tre ajust e Dans l exemple du tableau de Kanban que je vous ai montr l actuel WIP correspond trois articles FIG 1 Tableau no 1 de Kanban WIP To Do rine 7 Tu ENE User Story User Story User Story b 3 1 User Story User Story User Story 7 4 2 User Story User Story J 5 User Story 9 D s l accomplissement d une fonctionnalit User Story un signal Kanban est envoy l tape pr c dente pour tirer pull plus de travail en WIP mais jamais plus que le nombre de la limite sup rieur du flux possible en WIP On peut juste a titre explicatif supposer que la limite des User Stories possible dans notre exemple revient galement a trois Si vous visualisez le tableau no 2 et le comparez avec le tableau no 1 vous constatez que les user stories 4 et 5 sont d plac s de la colonne WIP la colonne complete En cons quence les user stories
72. qu on vient d aborder Du fait je et j oserais m me parler au nom de mes coll gues informatiques qualifierait cette tendance encore de pr matur e et m me de l utopie PB RL Merci infiniment pour le temps que vous venez de nous consacrer 2 Entretien Scrum Pour les annexes du travail de Master l entretien suivant sera enti rement transcrit en anonymisant l ensemble de participants Entretien par Skype conf rence vid o avec l expert en LSD amp Scrum titulaire d un certificat Lean au niveau de Black Belt amp Scrum Master qui travaille dans un groupe multinational gt 50 000 employ s La langue de l entretien est l anglais mais pour la transcription ci joint le fran ais Pr sence 2 personnes VK PB lt Pr sentation mutuelle par vid o conf rence et introduction l entretien avec pr sentation du cadre et des objectifs du pr sent travail de master gt Question 1 PB Quel est le d roulement typique d un projet de d veloppement de logiciel suivant le Lean Software Development d sormais abr vi par LSD VK LSD est pareil au Lean et il s agit notamment d une cole de pens e ou d une cole manag riale sp cifiant un cadre id al pour le d veloppement de logiciel selon les valeurs et principes de Lean Ces dernier sont principalement 1 l limination continue de gaspillage Waste 2 la d finition des activit s ou caract ristiques qui apportent de la valeur ajout
73. rappel le d veloppement d un syst me de logiciel est une entreprise complexe et exige la prise en compte de nombreux aspects et concepts dont fondamentalement les aspects du g nie de logiciel et ceux des m tiers Aujourd hui la composition des quipes de d veloppement est fortement ax e sur les aspects techniques du d veloppement avec des d marches techniques de r solution de probl mes rejet d interface Pourtant la capacit r elle d interfacer les transactions rejet es obvient a un employ d un tablissement bancaire d un centre d op ration ou encore d un Family Office A court terme une piste possible d am lioration des logiciels d interfagage consiste dans le transfert et la traduction des connaissances m tiers d un tel employ un employe technique et responsable pour la programmation d interface Le d veloppeur quant lui tente de comprendre et de reproduire quelques unes des pratiques m tiers par le logiciel des interfaces Pour le d veloppement des interfaces les aspects techniques pr dominent aujourd hui dans les changes les pr occupations et les interactions des diff rents acteurs Lesdits acteurs sont choisis en fonction de leurs capacit s et de leurs connaissances techniques Or l environnement est fortement imprim par des discours techniques entre des informaticiens de diff rents m tiers Par ailleurs les cat gories de rejet les plus courantes qui sont li es la complexit des instr
74. res proviennent de plus de 150 banques a travers des interfaces d velopp es et leur actualisation sans rejet est assur e par une quipe de 20 personnes qui travaillent dans le centre de traitement de l entreprise Le travail des collaborateurs comprend notamment la saisie et la correction de l ensemble des transactions et les interfaces bancaires ne sont pas trait es automatiquement 4 2 2 2 PortfolioNet Online L acc s s curis au PortfolioNet est online et l outil se pr sente avec les fonctionnalit s communes d un PMS 4 2 2 3 PortfolioNet Reporting Pour la version PortfolioNet Professional le client jouit d un acces au module reporting Ce module offre un large choix de rapports standardis s repr sentant les tats financiers des portefeuilles sous gestion L utilisateur a galement la possibilit de modifier les rapports existants voire de cr er ses propres mod les types Au cours des ann es 2008 et 2009 PC amp S AG fut repris par le groupe allemand VWD AG Dans une logique de croissance VWD cr a d j en 2007 une entit sous le nom de VWD Information Solutions AG en Suisse qui continue coexister avec la filiale de PC amp S AG Ainsi le groupe allemand adresse galement ses propres produits et services au march suisse En ce qui concerne Galeo l entreprise genevoise assume avec succes son r le de repr sentant pour le produit PortfolioNet d velopp par PC amp AG pour le march de la Suisse romande voi
75. s se d roulent sur des march s secondaires second hand qu on appelle commun ment bourse Or les march s secondaires sont bien connus par le grand public il s agit notamment du New York Stock Exchange Wall Street de la Bourse de Tokyo Kabuto Cho du London Stock Exchange de l Euronext etc Par ailleurs les diff rentes notions et d finitions financi res succinctement abord es seront davantage expliqu es dans l analyse jointe en annexe no La complexit accrue de certains produits financiers pose un certain nombre de probl mes d un point de vue technique par rapport leur comptabilisation et leur traitement lectronique dans des IS bancaires ou autres Les liens entre les difficult s de la comptabilit et cette analyse se situent au niveau de la reproduction des tats financiers Les syst mes de PMS rencontrent ces m mes difficult s li es la nature et au traitement des donn es financi res et le taux de rejet d une PSI y est galement li Les diff rentes notions concernant les principes de la comptabilit des instruments financiers sont trait es dans des normes comptables dont la norme IAS 39 qui pr cise les notions de comptabilisation initiale ult rieure et celle de la juste valeur Par la nature particuli re des produits d riv s contrat particulier ces derniers posent 14 Association Suisse des Banquiers 2011 La gestion de fortune en Suisse Etat des lieux et tendances 15 Les traduct
76. se r v le correcte et pr sente un potentiel int ressant d am lioration de la situation actuelle En effet les op rateurs sont dans une situation id ale pour amener davantage de connaissances sur la r elle Structure de ces taux de rejet existants Par des analyses en forme de workshop ou par une approche de Daily Management des taux de rejet le groupe des centres de traitement peut clairer sur le nombre exact de transactions rejet es les cat gories et les causes de rejet et sur la m thodologie avec laquelle la correction est effectu e Pour l heure aucune statistique n existe qui prouverait l existence d une telle analyse et l ensemble des parties interrog es enumerent d apr s leur experience les cat gories Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 99 6 Bibliographie Association Suisse des Banquiers ASB 2011 La gestion de fortune en Suisse Etat des lieux et tendances Association Suisses des Banquiers ASB amp The Boston Consulting Group BCG 2011 Le secteur bancaire en pleine mutation Perspectives d avenir pour les banques en Suisse The Boston Consulting Group BCG 2013 Global Wealth 2013 Maintaining Momentum in a Complex World Davies D W amp Price W L 1989 Security for Computer Networks John Wiley NY Ehlern S 2006 Global Private Wealth Managemen
77. sportif des travaux d lkujiro Nonaka et d Hirotaka Takeuchi et partagent leur vison des caract ristiques n cessaires l organisation d une quipe gagnante 1 Acceptation de l incertitude dans un cadre d fini 2 quipes et projets autog rant 3 Chevauchement des phases de d veloppement 4 Comp tences multidisciplinaires 5 Contr le subtil 6 Transfert des le ons et des meilleures pratiques apprises Quant a la structure du pr sent chapitre les recommandations manag riales se poursuivent d abord avec la pr sentation des principes du Lean Software Development LSD La fusion du Lean avec ses valeurs et un d veloppement agile constitue l environnement propice au mod le Scrum La r elle mise en uvre des principes Lean contribue a une meilleure gestion des co ts des d lais des risques de la communication ou encore de la transmission du savoir faire m tier Ensuite les explications avec un argumentaire contextualis quant Scrum figurent dans la derni re partie du manuscrit 7 1 Lean Software Development Le Lean Software Development LSD est la traduction des principes Lean au langage du domaine du d veloppement de logiciels et ses principes sont conceptualis s dans l ouvrage de reference des conjoints Mary et Tom Poppendick Lean Software Development An Agile Toolkit publi en 2003 La principale motivation d appliquer Lean au domaine du d veloppement de logiciel est fond e sur d
78. succ s de ces entretiens d pend troitement de la comp tence du Scrum Master Id alement cette personne est fortement impliqu e dans le travail et pr sente de tr s bonnes comp tences en communication et compr hension des quipiers Soft Skills Durant les R tro perspectives des sujets souvent sensibles sont abord s qui touchent l organisation du travail ou des quipes et de l entreprise Souvent les ventuels blocages sont li s des questions politiques et dans la responsabilit de la direction et du senior management Or pour d bloquer une telle situation le Scrum Master doit communiquer avec tous les niveaux de la hi rarchie et la hi rarchie voire la direction doit imp rativement supporter cette d marche Dans le cas contraire les quipes Scrum perdent la confiance et le sens des s ances r tro perspectives Question 5 PB Qu est ce qui importe avant tout l organisation d un projet suivant Scrum VK Le Scrum Master doit effectivement assurer un double r le D abord il assure que l ensemble des pratiques de Scrum sont correctement comprises et appliqu es par les membres des quipes Ensuite cette personne doit avoir de multiples comp tences telles que la communication l autorit naturelle l coute et la capacit de lire entre les lignes Finalement il importe pour le Scrum Master qu il soit per u comme une personne de confiance par l ensemble des parties qui travaillent av
79. t quant la question est ce que c est termin par la d finition du terme termin l aide de crit res exhaustifs quant sa signification En mati re de d veloppement de logiciel le statut termin d une User Story ou m me d une t che peut n cessiter qu elle soit cod e inspect e test e selon Test Driven Development TDD int gr e et document e etc Or une User Story ne serait consid r e comme termin e qu partir du moment o l int gralit de ces conditions seraient satisfaites Il appartient au Scrum master de determiner la liste avec les conditions et de s assurer que chaque membre d une quipe en ait connaissance R tro perspectives La m thodologie des r tro perspectives permet une am lioration continue du produit et des pratiques quant Scrum En effet l objectif est l identification des aspects am liorer a court terme des le d marrage du prochain cycle ou moyen terme Par la contrainte des ressources limit es seuls quelques uns des aspects identifi s sont r alis s par la suite Pour assurer un d ploiement efficace et dans les meilleures conditions plusieurs pratiques existent quant la r alisation des Scrum ou Sprint Retroperspectives Dans le cadre du pr sent manuscrit un avis d experts concernant l organisation des r tro perspectives figure dans l annexe no XIII Priority Rating Etant une des bonnes pratiques la priorisation de chaque aspect d un projet
80. team The Team and Product Owner collaborate to help the Team determine how much Product Backlog it can turn into 4 Sutherland J 2011 The Scrum Paters Nut Bolts and Origins of an Agile Framework Scrum Inc Cambridge MA USA p 32 34 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 106 functionality during the upcoming Sprint The Team commits to this at the end of the first four hours During the second four hours of the meeting the Team plans how it will meet this commitment by designing and then detailing its work as a plan in the Sprint Backlog Sprint Retrospective meeting A time boxed three hour meeting facilitated by the ScrumMaster at which the complete Team discusses the just concluded Sprint and determines what could be changed that might make the next Sprint more enjoyable or productive Sprint Review meeting A time boxed four hour meeting at the end of every Sprint where the Team collaborates with the Product Owner and stakeholders on what just happened in the Sprint This usually starts with a demonstration of completed Product Backlog items a discussion of opportunities constraints and findings and a discussion of what might be the best things to do next potentially resulting in Product Backlog changes Only completed product functionality can be demonstrated Stakeholder
81. tests and customer tests Waiting Including Customers Deliver in small increments Transportation Handoffs Developers work directly with customers Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 105 Annexe VI Terminologie des expressions du Scrum Sutherland J 201 Di Burn Down The trend of work remaining across time in a Sprint a Release or a Product The source of the raw data is the Sprint Backlog and the Product Backlog with work remaining tracked on the vertical axis and the time periods days of a Sprint or Sprints tracked on the horizontal axis Chicken Someone who is interested in the project but does not have formal Scrum responsibilities and accountabilities Team Product Owner ScrumMaster Daily Scrum A short meeting held daily by each Team during which the Team members inspect their work synchronize their work and progress and report and impediments to the ScrumMaster for removal Follow on meetings to adapt upcoming work to optimize the Sprint may occur after the Daily Scrum meetings Done Complete as mutually agreed to by all parties and that conforms to an organization s standards conventions and guidelines When something is reported as done at the Sprint Review meeting it must conform to this agreed definition Estimated Work Remaining Sprint Backlog ite
82. tests d int grit tests logiques est effectu e par les PSI cf paragraphe no 4 4 Portfolio Sync Interface p 21 par rapport aux syst mes Push et Pull En partie l objectif du test d int grit des donn es consiste dans l limination de toute erreur vidente et commise par les banques d positaires durant la pr paration des fichiers Backend Portfolio Data Etant galement conseill par les instituts financiers ce test consiste notamment dans la v rification du nombre de transactions de leur int gralit et d apr s la date de l occurrence En outre il permet galement l limination de toute transaction en double ou encore d autres erreurs li es la production ou la transmission des donn es Le test d int grit des donn es s effectue avant l interfa age et se termine par la sauvegarde des fichiers un emplacement sp cifique pour permettre l extraction des donn es par la PSI dans l tape qui suit Le d roulement de l interfa age m me ce dernier tant la deuxi me phase se r sume au d clenchement de la fonctionnalit interfacer dans le logiciel PSI A l exception du d clenchement par l utilisateur l int gralit du d roulement de l interfa age est automatis e en suivant les diff rentes fonctionnalit s ex cut es par le logiciel PSI L objectif de l actuelle phase est double et consiste d abord dans la conversion des donn es entr es en diff rents formats e g WSIFT XML MMASC
83. tools Lean qui sont sollicit s des stades diff rents de l avancement de la production d un nouveau logiciel VK Il existe de nombreux mod les de d veloppement mais seuls les mod les agils sont effectivement compatible avec Lean La raison pour laquelle je dis a est bas e sur les risques du projet de d veloppement qui sont identiques ceux de tous les projets savoir le d passement du co t des d lais et une qualit insuffisante En ce qui concerne les projets de d veloppement de logiciel les risques li s la qualit sont particuli rement lev s et connus sous delivery gap Delivery gap veut notamment dire l cart entre ce qui tait produit et ce que le client final avait r ellement souhait La cause du delivery gap provient d une mangue de visibilit tout au long du projet Or aucune intervention n est possible sans la visibilit pour conduire d ventuelles actions correctives Ce manque de visibilit est connu sous effet de tunnel finalement l effet de tunnel est la cause du probl me du delivery gap et les mod les agiles proposent des solutions concr tes quant la r solution de la cause du probl me et non pas par le traitement de quelques effets la surface des probl mes Dans ce sens les mod les agiles d coupent un projet en plusieurs parties et chacune de ces parties est ensuite organis e comme un mini projet En outre les personnes qui travaillent sur ces projets ne sont plus s
84. tout comme les services propos s par les agences d informations financi res soutiennent principalement des structures se situant dans les march s qui concernent la gestion de fortune Disputant la position du leader le march suisse de la gestion de fortune pr sente videmment un potentiel int ressant pour les producteurs de PMS D un autre c t les b n fices d un syst me PMS sophistiqu pr sentent un avantage concurrentiel pour les banques suisses dans l am lioration de la performance des march s concern s par la gestion de fortune tant donn la forte pression actuelle et les nouveaux d fis relever 4 2 Acteurs clefs analyses Dans la partie suivante du manuscrit les trois acteurs clefs brievement exposes sont premierement la societe genevoise Galeo SA deuxi mement l entreprise zurichoise PC amp S AG avec son produit PortfolioNet et troisiemement le groupe allemand Vereinigte Wirtschaftsdienste VWD AG Or il ne s agit pas d une description g n rale des acteurs clefs de l environnement PMS mais des acteurs reels qui ont servi de laboratoire pour ce travail d approfondissement Pour l auteur l entreprise de contact etait Galeo SA qui collabore pour ses activit s de consolidation de portefeuille avec les deux entreprises citees en deuxieme et troisieme position En effet le groupe VWD AG et l entreprise PC amp S AG cette derni re appartenant galement au groupe VWD AG proposent des syst mes de PMS tels que
85. un b timent voire en une seule entreprise Le deuxi me b n fice de l actuelle approche concerne le niveau lev de sp cialisation des op rateurs employ s dans ces centres de traitement Non seulement d un point de vue organisationnel o la division du travail au niveau des t ches est essentielle a toute activit humaine et l obtention d une meilleure efficacit de l organisation Mintzberg H 1999 mais galement du point de vue de la formation des ressources humaines cette approche pr sente des avantages et des b n fices certains Toutefois les pratiques en mati re observ es am nent conclure que les approches de d veloppement mettent davantage l accent sur les aspects techniques La consid ration des connaissances m tiers dans la r solution des probl mes ne joue qu un r le secondaire malgr l avantage d un niveau lev de centralisation des connaissances Finalement la derni re hypoth se 8 se r v le correcte et pr sente un potentiel int ressant d am lioration de la situation actuelle En effet les op rateurs sont dans une situation id ale pour amener davantage de connaissances sur la r elle Structure de ces taux de rejet existants Par des analyses en forme de workshop ou par une approche de Daily Management des taux de rejet le groupe des centres de traitement peut clairer sur le nombre exact de transactions rejet es les cat gories et les causes de rejet et sur la m thodologie avec laqu
86. 10 11 DE a Sprint Total 537 580 570 500 Source projet r el 2013 La mise jour par le Product Owner est une d marche imp rative la pr paration du d marrage d un nouveau cycle de sprint 7 2 4 1 Versus aujourd hui Les documents utilis s dans le d veloppement d une interface par le groupe VWD ne permettent que difficilement une vue globale du futur produit ou de l tat d avancement des diff rents chantiers en cours Le manque de maturit et de professionnalisme quant l organisation du travail ou de la gestion de projet en est une des deux causes principales La faiblesse quant la visibilit du projet est amplifi e par l approche centrale pratiqu e en gestion de projet avec un chef de projet qui actualise seul les diff rents rapports concernant la gestion du travail et de projet a l exception de la comptabilisation des heures La deuxi me cause provient d une asymetrie de l importance strat gique au d savantage du d veloppement des interfaces bancaires compar celui des syst mes de Portfolio Management En effet la situation quant au d veloppement des syst mes PMS se pr sente dans une toute autre lumi re L entreprise investit des montants consid rables pour le d veloppement de ses syst mes de Portfolio Management avec des outils informatis s de la gestion de projet et des chefs de projet professionnels En outre la tailles des quipes monte jusqu une vingtaine de personne Cependant les bonnes p
87. 6 et 7 ont t retir s de la colonne To Do pour les placer en colonne WIP L ordre de fonctionnalit s d velopper et tre d plac es de To Do en WIP est toujours en fonction de la priorit la plus lev e d un article FIG 2 Tableau no 2 de Kanban wilt Complete User Story l User Story g User Story User Story User Story 4 b 2 User Story User Story User Story 10 7 4 User Story User Story 11 5 Avec l avancement du projet les diff rents lots de travail passent de la colonne To Do la colonne WIP et finalement apr s l ach vement la colonne Complete Cependant les diff rents lots de la colonne To Do sont continuellement prioris s d s l accomplissement d un lot en WIP en vue du choix du prochain l ment d velopper Le faite de prioriser continuellement le travail en statu To Do tient compte du principe des syst mes flux tir s un des concepts clef en Lean Management L avantage du syst me Kanban comme m thode agile en LSD provient du fait que les quipes puissent am liorer le temps de cycle en liminant les gaspillages Waste l oppos les autres m thodes agiles prennent davantage de ressources aux quipes pour d terminer et planifier en d tail les sprints ou les it rations En particulier des quipes qui ne sont pas sous une contrainte temporelle forte peuvent b n ficier d une gestion du tra
88. A l exception du sujet no 5 chacune des probl matiques 1 a 4 est subdivis e en quatre parties 1 Hypothese s 2 D veloppement 3 Conclusions amp contributions et 4 acteurs principaux L analyse se termine avec une conclusion g n rale du processus macro d un PMS Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 25 5 3 1 Banques d positaires 5 3 1 1 Hypoth se HT L am lioration du niveau de qualit des informations produites par les IS bancaires r duit le taux de rejet des PSI H Une collaboration plus troite avec les employ s bancaires dans la recherche de solutions avance la probl matique quant la r duction du taux de rejet des PSI 5 3 1 2 D veloppement Les banques d positoires sont l un des acteurs fondamentaux du processus illustr dans le sch ma ci dessus cf FIG no 12 Schematisation du processus macro d un PMS p 24 En effet elles repr sentent le r le du fournisseur de sa mati re premi re input il s agit ici notamment des informations financi res Fond es sur le transfert lectronique les informations financi res chang es proviennent principalement des syst mes d information bancaires en anglais Information System ou IS Ces derniers voire plus g n ralement les technologies des IS occupent souvent une place pr
89. Bruxelles d Amsterdam et de Lisbonne Les devises et les d riv s sont cot s aupr s d autres march s secondaires Marches organises et marches de gr gre Les march s secondaires peuvent s organiser soit de fa on organis e en centralisant l change des titres soit d apr s le mod le des marches de gr gr ou over the counter OTC Dans le cas d un march organis la bourse r unit dans un lieu unique r el ou virtuel les vendeurs et les acheteurs Le mod le d une bourse centralis e s applique principalement pour l change des titres des grandes soci t s cot es la bourse En revanche si les march s ne sont pas formellement organis s l change de titres suit une approche march OTC Dans ce deuxi me cas des teneurs dealers de marche d tiennent des listes de titres pour lesquels ils sont dispos s vendre ou acheter une contrepartie qui accepte le prix L un des marches OTC les plus importants est le NASDAQ National Association of Securities Dealers Automated Quotations System etant donne le nombre important de petites et moyennes entreprises PME americaines cotees aupres de ce dernier marche En revanche en Europe seule une proportion relativement modeste de PME est cot e aupr s d un marche OTC Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 83 March mon taire e
90. East and Africa Caribbean and Panama United Kingdom United States Other Luxembourg Latin America North America Eastern Europe Total 8 5 Total 8 5 Source BCG Global Wealth Market Sizing Database 2013 Communement les secteurs d activite bancaires sont le Privant Banking les affaires avec les clients prives les affaires avec la clientele Entreprises l Investment BAnking et I Asset Management La gestion de fortune englobe a la fois les activites du Privat Banking et celles de l Asset Management Par le Privat Banking on entend les affaires transfrontali res ainsi que celles avec la client le suisse fortunee L Asset Management englobe la gestion de fortune institutionnelle pour les caisses de pension et les compagnies d assurance tout comme le Retail Asset Management Hedge Funds et Private Equity pour les clients prives et les placements alternatifs Les d p ts g r s par les banques suisses englobent des actions des parts de placements collectifs des obligations des produits structur s et des papiers mon taires En 2010 selon la Banque Nationale Suisse BNS les actions les parts de placements collectifs et les obligations repr sentent 92 avec des parts quasi identiques entre 28 et 33 suivies par les produits structur s avec 4 8 et finalement par les papiers mon taires 3 2 R put de dynamique et d innovant le marche Suisse des produits structur s est en premiere position mondiale en
91. Electronic Data Interchange Des montants ph nom naux sont transf r s quotidiennement par voie lectronique et la notion de la s curit devient fondamentale En effet la s curit des informations transf r es ou non repr sente aujourd hui une des premi res pr occupations du domaine du digital Les technologies du web proposent un environnement id al pour le transfert lectronique des donn es en anglais Electronic data interchange ou EDI le eBusiness ou la r cup ration des donn es Palmer J W amp Griffith D A 1998 Cette tendance ne s arr te pas au secteur financier Au contraire ce dernier a un potentiel fort de croissance avec l EFT Avec l offre des possibilit s en EFT fortement croissante e g paiements lectroniques transfert lectronique eBanking etc la question de la s curit a galement gagn de l importance ces derni res ann es Wang Lee and Wang 1998 En general les cinq l ments suivants caract risent la s curit de r seau 1 Confidentialit 2 Contr le d acc s 3 int grit 4 Authentification de l origine des donn es 5 Non r pudiation Zuh D 2002 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 91 3 4 Bourse lectronique Un des indicateurs clefs en mati re de transferts lectroniques des fonds est l volution et le niv
92. Hes MSc HES SO en Business Administration Management amp Ing nierie des Services Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement d une PSI R alis par Pascal Bopp Conseiller au travail de master Emmanuel Fragni re Professeur HES Gen ve le 2 septembre 2013 Table des mati res Table des mati res Remerciements II Abr viations IV Preambule V 1 Introduction 1 1 1 Probl matique et objectifs de recherche 2 1 2 Contribution amp limites 3 1 2 1 Contribution 3 1 2 2 Limites 3 1 3 Organisation du document 4 2 Revue dela litterature amp proposition de recherche 5 2 1 Commerce lectronique amp multicanal 5 2 2 Influence du multicanal au milieu bancaire 5 2 3 Portfolio Management Systeme 6 2 4 Developpement des systemes de logiciels T 2 5 Concept d interface 8 2 6 Conclusion 10 3 M thodologie 11 3 1 Design de recherche 11 3 2 M thodologie 11 3 3 Entretiens 11 3 4 Population amp chantillon 12 4 Description de l environnement 13 4 1 March s des informations financi res amp du secteur financier 13 4 1 1 March de l information financi re amp des solutions informatiques 13 4 1 2 March financier 13 4 2 Acteurs clefs analyses 15 4 2 1 Galeo SA 16 4 2 2 PC amp S AG avec son PMS PortfolioNet 17 4 2 3 VWD Groupe 17 4 3 Portfolio Management System 19 4 3 1 Etat actuel des PMS tudi s 19 4 3 2 Architecture des PMS etudies 21
93. I etc dans le format adopt par la technologie de la PSI e g MMASCII et apr s dans l importation des donn es converties dans les diff rents bases de donn es du PMS cf FIG no 11 Illustration de l interface p 23 ou aussi le paragraphe no 4 4 2 Architecture des PSI tudi s p 22 Toute transaction identifi e comme non conversible aboutit des transactions rejet es L tape terminale concerne le nettoyage ou la correction manuelle des transactions rejet es Cette derni re phase n cessite des connaissances m tiers profondes des produits financiers et galement un bon sens analytique du gestionnaire en charge du processus d interfa age Par ailleurs les produits financiers concern s par le rejet et les pratiques quant l analyse et au traitement de ces operations sont explicit es dans les parties pr c dentes de l actuelle analyse cf paragraphe no 5 3 2 et les meilleures pratiques sous le chapitre Le march et la nature des instruments financiers p 29 Finalement il s av re que la mise en place d un logiciel de PMS implique galement la mise en place d une Structure organisationnelle avec des ressources humaines sp cialis es Les experts en mati re de technologie PMS sont unanimes quant la n cessit de cette personne sp cialis e et d di e temps partiel approximativement 20 du temps de travail ou entre 1 et 2 h par jour pour le travail de la mise jour Travail de Master e MSc
94. IFT repr sentent un l ment fondamental souvent r p t comme tant une des causes principales du rejet Le niveau d influence aux ventuels changements des standards par les producteurs des PMS demeure toutefois modeste Par ailleurs un meilleur niveau de connaissances des standards selon les experts interrog s a t consid r non propice l avancement de la probl matique Effectivement la fa on dont la technologie des PSI traite les standards est qualifi e d efficiente et les causes de rejet sont principalement dues l absence de standards VS mauvais traitement des standards par un PSI En guise de rappel les transactions concern es par l absence d un tel identifiant unique sont majoritairement les produits d riv s et quelques autres titres qui proviennent des march s non organis s OTC march s primaires Les experts rencontr s ne reconnaissent pas de signes pr curseurs indiquant un changement majeur ces prochaines ann es des syst mes actuels en mati re d EFT ou des standards de transfert Le contraire semble le cas car les normes et les standards de transparence appliqu s aux tablissements du secteur financier s av rent tre un facteur ralentissant l volution du transfert lectronique En outre la complexit de l environnement du transfert lectronique va s accroitre ces prochaines ann es Ceci peut s expliquer par des v nements tels que la privatisation et la fusion des bourses et d autres institu
95. Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 94 4 Family Office ou Single Family Office SFO 4 1 Hypoth ses H Une collaboration plus troite avec les utilisateurs d un PMS voire PSI contribue l am lioration du taux de rejet des PSI 4 2 D veloppement Selon la d finition du Family Office Exchange FOX la plus grande communaut mondiale du domaine le Family Office est une soci t multidisciplinaire au service d une ou plusieurs familles tr s fortun es concernant le conseil et la gestion de leur patrimoine Toutefois les d finitions du mod le d affaire du Family Office sont nombreuses et chaque entreprise du secteur a sa propre d finition La raison de cette pluralit s explique par une confusion faite par les experts du secteur En effet la d finition du Family Office s attache davantage a la philosophie cette derni re tant comment parvenir aux besoins de cette client le particuli rement fortun e et non pas une description simple du mod le d affaires Malgr cette confusion la segmentation d un Family Office est bas e d une part sur sa structure organisationnelle et d autre part sur le nombre de clients sous gestion Ehlern S 2006 Organisational Set up Make Setup Buy FIG no 4 1 Segmentation d un Family Office External Family Office External Family Office service provider or specialised team with one s
96. Liu X Ludvig J Neuendorffer S Sachs S amp Xiong Y 2003 Taming Heterogeneity Ptolemy Apprach Proceeding of the IEEE v 91 No 2 Escobar D amp Revilla E 2005 IE Working Pater Study The Customer Service Process The Lean Thinking Perspective Empresa Institut Operations and Tech Management Department Madrid Spain Evans D S Hagiu A amp Schmalensee R 2006 Invisible Engines How Software Platforms Drive Innovation and Transform Industries MIT Press Favre J M Estublier J amp Blay Fornarino M 2006 L Ing nierie Dirig e par les Mod les au del du MDA Hermes Paris Fenneteau H 2002 Enqu te entretien et questionnaire Dunod Paris Frazier G 1999 Organizing and managing channels of distribution Journal of the Academy of Marketing Science 27 2 226 240 Gavard Perret M L Gotteland D Haon C amp Jolibert A 2008 M thodologie de la recherche r ussir son m moire ou sa these en sciences de gestion Pearson Education FR Paris Gisiger M amp Weber M 2005 Swizterland s Financial Infrastructure Today and Tomorrow Vierteljahrshefte zur Wirtschaftsforschung 74 2005 4 p 51 62 Girod S ville M amp Perret V 1999 Fondements pist mologiques de la recherche M thodes de recherche en management sous la direction de R A Thietart Edition Dunod pp 13 33 Gothe M Pampino C Monson P Nizami K Patel K Smith B M amp Yuce N
97. S Dans ce secteur VWD offre une vaste gamme de produits tels que des systemes de donn es de marche des applications web des solutions en Portfolio Management System ou encore des solutions de contenu La deuxi me categorie appel e Technology Solutions TS se compose d une part par des solutions technologiques de transactions de donn es et d autre part par des services de conseillers et de sous traitance Dans le troisieme et dernier secteur VWD propose des services de consultant quant aux concepts de marketing communication et gestions de risques aux tablissements financiers l oppos des deux groupes am ricains Thomson Reuters et Bloomberg VWD vise davantage des entreprises taille petite ou moyenne PME qui se situent dans les diverses r gions europ ennes La force de l entreprise allemande est sa capacit de pouvoir offrir un portefeuille r pondant aux besoins sp cifiques de ladite client le tout en b n ficiant de ressources partag es Les effets positifs de ces conomies d chelle et la strat gie par la vente additionnelle dite aussi vente crois e ou cross selling se sont av r s efficaces durant ces derni res ann es Selon l entreprise Vereinigte Wirtschaftsdienste VWD AG compte parmi les acteurs les plus importants du march europ en des services et des solutions d informations financi res Avec ses 481 employes et un chiffre d affaires en 2012 d EUR 87 millions l entreprise compte aujourd hui 14 filia
98. The Scrum Papers Nuts Bolts amp Origins of an Agile Method Boston Scrum Inc Takeuchi H amp Nonaka 1986 The New New Product Development Game Business Harvard Review January February 285 305 UWZ University of St Gallen amp VP Bank 2008 Family Office in Asia The Evolution of the Asian Family Office Market St Gallen Wang H Lee M K O amp Wang C 1998 Consumer Privacy Concerns about Internet Marketing Communications of the ACM 41 pp 63 70 Womack J P Jones D T amp Roos D 1990 The Machine that Changed the World The Story of Lean Production Harper Collins New York USA Zuh D 2002 Security Control in Inter Bank Fund Transfer Journal of Electronic Commerce Research VOL 3 NO 1 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 74 FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG FIG 10 Table des figures et tableaux 10 1 Tables des figures no 1 Concept HCI amp cat gories constitutives ccc eceescessesesssssssesssesessssecsessessesseseesaesasseseeseeseeseesaesaesateass 9 no 2 Cr ation de valeur des services financiers cccesceseecssecsecsccsecsccesse
99. a voie lectronique et la notion de s curit devient fondamentale En effet la s curit des informations transf r es ou non repr sente aujourd hui une des premi res pr occupations du domaine du digital Avec une offre de possibilit s en EFT fortement croissante e g paiements lectroniques transfert lectronique eBanking etc la question de la s curit a gagn de l importance ces derni res ann es Wang Lee and Wang 1998 En g n ral les cinq elements suivants caract risent la s curit de r seau 1 Confidentialit 2 Contr le d acc s 3 Int grit 4 Authentification de l origine des donn es 5 Non r pudiation Zuh D 2002 Un des indicateur clefs en mati re de transferts lectroniques des fonds est l volution et le niveau des capitalisations boursi res En effet les infrastructures informatiques telles que la bourse lectroniques sont Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 31 devenues la colonne vert brale des places financi res Au niveau international la Suisse dispute une des premi res places en termes de volume annuel de capitalisation boursi re avec CHF 973 milliards1e La chaine de valeur de l infrastructure boursi re est fond e sur trois l ments cf FIG no 16 FIG no 16 Swiss and International Supervisory Arrangements o
100. acit globale des march s financiers suisses Toutefois les prochaines ann es seront marqu es par des changements majeurs dus la globalisation et la pression toujours plus forte sur les co ts Gisiger M amp Weber W 2005 16Source SWX sur le site www six swiss exchange com statistics annual_statistics 2012_en html consult en 07 2013 17 D finition SWX sur www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id CCP Central Counterparty consult en 07 2013 18 D finition SWX sur www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id Clearing consult en 07 2013 19 D finition SWX sur www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id Settlement consult en 07 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 32 Cependant l aboutissement du transfert d une transaction financi re est non seulement li l infrastructure technique mais galement aux diverses normes et standards existants qui identifient internationalement les valeurs mobiles Dans le cas des syst mes de Portfolio Manger analys s les trois standards suivants qualifi s d identifiant unique dans le cadre de ce travail importent davantage ISIN Selon la d finition de SIX fournisseur principal en termes de services d infrastructure financi re en Suisse ISIN est l abr
101. action processing performance see target performance metrics on Wiki RARE RON 1 CAE PE TS LEA es DRE DS ES DS E E E T a a E SRE a Ge DES NE itarget performance Metrics On Wik ammeter fen EE Upgrade all servers to Apache 2 2 3 ie sf 5 Diagnose and fix the order processing script errors bugzilla ID_ OCR VE T E Seessscesssesed As a shopper I want to create and save a wish List ise a une a SE RE ae Se SE SE As a shopper I want to to add or delete items on my wish list 8 4 20 E i E scmsssnmsssansselalancnhannessnnessnnsasnsscsnnssnnnsacnsssnnessanssasensascnssssssssnmsannessssssdlesanssssnnnsannsasanes thatssanssasnntscnnsscnssrasnsssnnsssnsssssssssanibessnsscnnssssssscnnsscsessAccsscccsscsssscssssssessccssedhasssenssscsssssenssscsssssotedhossssecsssansersnsssensscnsssdbossssnsssanssessssscncssasess Source projet r el 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 62 Du d but jusqu la fin du projet seule une liste existe et la seule sous cat gorie dont la coexistence est admise est la Release Backlog Cette derni re est un extrait de la Product Backlog qui se r duit aux User Stories items avec une priorit lev e Les diff rentes User Stories r sument les attributs saillants du futur produit et son laboration exige des connaissances profondes des besoins clients du
102. agissant d un logiciel enti rement programm par le groupe allemand la composante technologique principale d une PSI influen able par une avanc e technologique est le langage de programmation employ Selon l entretien r alis avec l employ du groupe allemand ce dernier n attend pas l apparition d un nouveau langage de programmation dans les cinq ans venir qui permettrait une am lioration des PSI en r duisant leur taux de rejet JAVA est le langage actuellement employ par l quipe de d veloppeurs et ce langage correspond galement au savoir faire de ces derniers Or un changement signifie galement l apprentissage du nouveau langage une maitrise moins importante pendant une premi re phase d introduction et une r sistance quant au changement En principe l hypoth se no 7 s av re correcte mais avec un niveau lev d incertitude quant a la nouvelle technologie et sa planification temporelle Selon l avis d experts l quipe de d veloppeurs ne changera pas ses technologies quant au d veloppement d une PSI ces prochaines ann es Dans ce m me intervalle le facteur technologique n est pas une source d innovation am liorant la situation actuelle concernant le taux de rejet des PSI Selon notre travail de terrain le niveau de maturit de la technologie des PMS n a g n ralement pas encore atteint l automatisation complete de l ensemble des activit s de soutien n cessaires pour actualiser les diff rentes positions d un
103. ail dans l entreprise X l un des concepts les plus difficiles impl menter a t les tableaux Kanban en particulier sa r alisation physique et visible tous En effet ce sujet a suscit de nombreuses discussions anim es quant a son importance et a sa valeur au sein d une organisation agile mais il demeurera toujours juste que voire c est croire Finalement l quipe agile de la maintenance a t la premi re utiliser ce type de visualisation du flux de travail Les Kanban Boards sont des outils de communication et ils sont particuli rement pr cieux car ils informent sur le niveau d effort encore fournir pour atteindre une certaine valeur escompt e de la part de la direction d une entreprise La visualisation s applique aux projets tout comme aux activit s op rationnelles De tels outils de communication sont nombreux et d autres moyens que le Kanban Board existent Il peut s agir notamment des Scrum Board pour ceux qui utilisent Scrum ou une forme plus g n rique souvent appel un task board D apr s moi les bonnes pratiques par rapport au Kanban Board partagent les caract ristiques suivantes La mise jour est faite par les membres qui effectuent le travail e Am liore la communication si les membres d quipe effectuent le stand up pr sentation e Visualise donne une vue d gag e aux parties prenantes le travail port e de main e Facilement accessibles et ne sont pas lim
104. ailleront sur le projet et le nombre d heures qui correspond a leur disponibilit respective cf FIG no 32 FIG no 32 Disponibilit des ressources Sprint Length Workdays during Sprint Available Available Total Team Days During Hours per Available Member y Phillip Source projet r el 2013 L organisation est enti rement dans les comp tences du Scrum Team qui affine chaque User Story ou Use Case en plusieurs t ches concr tes et r alisables Avant ou durant le Sprint Planning II les membres d finissent ces t ches estiment le temps n cessaire l accomplissement et les r partissent entre les membres Le document Sprint Backlog cf FIG no 33 r sume ce travail organisationnel FIG no 33 Sprint Backlog New Estimates of Effort Remaining as of Da Initial Estimate of Product Backlog Item ee Task PSE modfydatabase database create webpage UI ee As a buyer I want to place create webpage Javascript logic ae a book in a shopping cart write automated acceptance tests update buyer help webpage DRE OO merge DCP code and completelyerievdtests 5 ocessing performance complete machine order for prank 5 processing performance complete machine order for pRank change DCP and reader to use pRank tpar 13 TT Source projet r el 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration de
105. ain niveau de compr hension quant aux contenus chang s Par les limites actuelles des IS bancaires niveau de qualit non optimale cette comprehension des contenus devient encore plus centrale Enfin la d finition des r gles pour un PSI exigerait une coop ration troite entre le d veloppeur de la PSI et la personne qui conna t la fois les caract ristiques du produit financier et la mani re dont ce dernier est trait par l IS bancaire en question Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 27 5 3 2 March amp nature des instruments financiers 5 3 2 1 Hypoth se HS Le transfert des connaissances des m tiers financiers est la clef pour la conception d un PSI HA La complexit des instruments financiers est la cat gorie des causes les plus importantes de l actuel taux de rejet des PSI 5 3 2 2 D veloppements Le march financier m me sous pression repr sente toujours un pilier majeur pour l conomie suisse cf paragraphe no 4 1 2 March financier p 14 Les d p ts g r s par les banques suisses englobent principalement des actions des parts de placements collectifs des obligations des produits structur s et des papiers mon taires En 2010 selon la Banque Nationale Suisse BNS les actions les parts de placements collectifs et les obligations r
106. aleur si applicable Source Norme l IAS 39 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 85 D un point de vue comptable les d riv s futures et options doivent tre trait s comme n importe quel autre instrument financier dans la mesure o ils sont mobilis s des fins sp culatives ou de n goce VS utilisation des fins de couverture de risques D s son acquisition un produit d riv sera valu et port au bilan son co t d acquisition notion d valuation et de comptabilisation initiale et ult rieurement d s connaissance de sa juste valeur le titres sera reajuste notion de comptabilisation ult rieure Les montants d achats ou de ventes sont comptabilis s parmi les actifs de l acheteur parmi les passifs du vendeur Une troisi me et derni re notion concerne la r alisation des gains ou des pertes que le domaine financier qualifie d op ration de denouement gain ou de d comptabilisation perte Dans le cas d une entreprise le gain ou la perte affecte positivement ou n gativement sa tr sorerie et il est imput au r sultat de l exercice concern Missonier F 2012 Nature diff rente des produits d riv s par rapport l valuation et la comptabilisation initiale d un produit d riv un contrat terme en anglais future se distingue d une option En eff
107. ant de fonctionnalit s Les exigences quant au bon fonctionnement et la fiabilit de ces syst mes logiciels sont lev es car un dysfonctionnement signifie g n ralement une baisse de productivit voire un risque pour la s curit d une entreprise Messerschmitt D G amp Szyperski C 2003 Evans D S Hagiu A amp Schmalensee R 2006 Dans leurs travaux sur des syst mes logiciels Thomas Henzinger et Joseph Sifakis 2006 concluent ces syst mes sont d sormais devenus des syst mes de grande envergure et sont de plus en plus sensibles la moindre erreur Par leur r le souvent strat gique et tant donn e la nature complexe et fragile des logiciels le processus de d veloppement est devenu une des premi res pr occupations consid rer et am liorer En effet le d veloppement des syst mes de logiciels est une entreprise complexe car elle exige la prise en compte de nombreux aspects et concepts Fondamentalement ces derniers aspects sont divis s en deux domaines le g nie logiciel et les aspects m tiers L art du d veloppement de logiciel consiste dans la ma trise de la totalit des aspects ce qui exige un haut niveau de comprehension et d expertise dans les diff rentes mati res concern es Collonville Th 2010 En ce qui concerne la d finition du g nie logiciel celle de Sommerville Sommerville 2006 permet de poser les fondements Le g nie logiciel est la discipline inf
108. ar une instabilit due aux changements continus une forte h t rog n it et une certaine incertitude A titre illustratif le sch ma ci joint pr sente le processus d un PMS avec ses notions et acteurs clefs Transactions Orders Interface Banques March s d positaires Trading Transactions R Orders Portfolio Family Office Management System Ex cutions Interface taux de rejet Transactions Mise jour Source Site Web du groupe VWD graphique modifi Des approfondissements de l ensemble de ces derni res notions figurent dans chapitre no 4 Description de l environnement p 13ss Quant au fonctionnement du processus schematise ci dessus l analyse qualitative pr sente dans le chapitre no 5 une introduction de ce dernier au point no 5 1 Description du processus macro d un PMS p 24 Finalement il s av re que la conception d un syst me de PMS ou des interfaces bancaires avec ses sous syst mes est une entreprise exigeante et qui requiert la ma trise parfaite de plusieurs facteurs de r ussite Bien videmment ces facteurs sont de nature diverse et d pendent des volutions technologiques de l environnement du savoir faire technique d une entreprise de la disponibilit des syst mes ou encore de la proximit par rapport au march et aux clients La notion de proximit ne se limite pas seulement sa dimension g ographique mais comprend galement une dimension soci
109. ation d une entreprise dite Lean est centr e sur le client en lui facilitant l acc s aux biens ou aux services qu il valorise dont le travail est dict par la chaine de valeur Toutefois l organisation d une grande majorite des entreprises actuelles se presente comme tant fonctionnelle et orient e d partements Des cultures qualifi es de silo des probl mes de communication des indicateurs de mesure de la performance d partementale dit indicateur de mesure sub optimal et non accord s par rapport la r elle performance des activit s cr atrices de valeur en sont quelques uns des effets les plus communs Il faut donc op rer un changement de culture o les indicateurs de performance seraient en relation avec la performance globale les besoins des d partements seraient mutuellement per us comme tant la demande d un client interne et o l organisation s adapterait continuellement la cha ne de valeur En guise de r sum les introductions au Lean Management et au Lean Software Development posent les fondements organisationnels propices au mod le Scrum Ces deux notions mettent un certain nombre de principes ou de conseils concernant l organisation et la culture d entreprise Quant a Scrum ce dernier est une m thodologie pour organiser concr tement le travail les quipes et l ensemble des parties int ress es par le projet de d veloppement d une PSI plus performante D finition du BTC Lean Glossary Producin
110. atique tout en intervenant constamment sur celles qui interviennent avec une fr quence la plus lev e Avec la d finition d objectifs quant au seuil acceptable des diff rentes raisons d une ristourne cette gestion active permet galement un certain contr le du risque li la probl matique expliqu e En guise de conclusion de nombreuses id es et pistes d am lioration emergent de l analyse des standards des pratiques de comptabilisation et du traitement des donn es dans les centres de traitement G n ralement la difficult est accrue par les connaissances tacites d centralis es entre les diff rents acteurs Aussi il faut la fois des connaissances approfondies du contenu m tier et galement du contenant technique des informations partag es Pour la construction des nouvelles interfaces ou l am lioration des interfaces existantes il importe effectivement de s asseoir autour d une table afin de construire un dialogue ouvert permettant le transfert des connaissances La table repr sente videmment un moyen qui permet un change syst matique qui doit avoir lieu entre les differents acteurs d un tel projet de d veloppement d interface Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 90 3 Transfert lectronique Standards de messageries amp institutions clefs 3 1 Hypoth ses HS
111. au march et aux clients 5 la taille critique de l entreprise et 6 la capacit d investissement Le d veloppement et la maintenance des diverses interfaces avec les instituts financiers e g la bourse les banques d positaires etc sont particuli rement co teux mais ont un r le central pour les services des agences d informations Le traitement de telles donn es agr g es par des applications bien sp cifiques ces derni res tant d velopp es par les agences elles m mes exigent un grand savoir faire qui rel ve la fois du domaine du d veloppement de logiciel et de celui des banques avec leurs produits financiers complexes 4 1 2 March financier Une demi decennie apres la derni re crise financi re le march mondial des banques est continuellement sous pression forte Les tablissements sont globalement confront s des changements r glementaires profonds un environnement technologique en volution rapide et une forte volatilit macro conomique Ces dynamiques impactent consid rablement la rentabilit des activit s bancaires et leur comp titivit la fois sur le plan national et international Ces derni res caract ristiques sont r v l es par le dernier rapport de l institut McKinsey 2nd Review on the banking industry McKinsey 2012 qui r sume l environnement actuel du march bancaire Cependant de ce nouveau contexte r sultent non seulement des d fis consid rables mais galement des
112. autre demi heure est d di e la clarification des questions plus g n rales quant l ensemble du projet Je dirais que le temps du meeting ne devrait pas d passer une heure En effet le d passement du temps pr vu signifie g n ralement l existence d autres probl mes plus profonds et li s d autres aspects du projet Finalement ces entretiens repr sentent la colonne vert brale de la m thodologie et permettent une interaction constante et profonde avec les personnes qui avec leurs connaissances et savoir faire peuvent faire la diff rence pour le d veloppement d un nouveau logiciel En effet chaque entretien pr sente de nombreuses opportunit s pour obtenir un feedback du comment am liorer soit le projet soit l organisation du travail Une autre opportunit de recherche active d am lioration continue du projet sont les entretiens entre l quipe Scrum et le Scrum Master la fin de chaque Sprint les soit disons r tro perspectives Ces entretiens visent galement l am lioration du produit ou de l organisation de travail depuis la perspective de l quipe Scrum les personnes les plus impliqu es durant un projet Malheureusement l exp rience montre que ces entretiens ne sont pas cat goriquement conduits pour cause de manque de ressources En effet il importe non seulement d identifier les am liorations possibles mais galement de pouvoir les mettre en pratique dans un d lai le plus court possible En outre le
113. ble ou m me avec d autre probl mes de contenu Par cons quence il importe aux clients d effectuer des tests d int grit des contenus d un fichier d information t l charg D abord il faut bien v rifier la date du fichier qu il s agit de celui avec les nouvelles donn es et non pas de celui du jour d avant Ensuite les lignes dans les fichiers sont successivement num rot s et un contr le de continuit de cette numeration consiste en un deuxi me test d integrite des contenus or est ce qu il y a des lignes double Est ce qu il y a des lignes manquant entre deux num ro et autres De tels tests d int grit des donn es galement appel s tests logiques sont souvent effectu s automatique automatiquement par les PMS des clients En effet les clients programment des applications appel es routine qui v rifie les contenus des fichiers avant l importation voire tout traitement ult rieur par leurs syst mes et applications Par ailleurs il s agit des recommandations qu on met normalement d s qu on entame une nouvelle collaboration avec un client En parall le nous travaillons sur un syst me d alarme Alerts pour pr venir les clients en cas de probl me Aujourd hui une multitude de diff rents fichiers sont mis a disposition r pondant aux besoins sp cifiques des clients Toutefois la nature des donn es du contenu ne concerne que les trois types d ja expliqu s Finalement les c
114. blement la rentabilit des activit s bancaires et leur comp titivit sur un plan la fois national et international Ces caract ristiques sont relev es dans le dernier rapport de l institut KcKinsey 210 Review on the banking industry 2012 qui resume l environnement actuel du march bancaire De ce nouveau contexte r sultent des d fis consid rables mais galement des opportunites D s lors il appartient aux banques d adapter voire de r orienter leurs activit s et leurs moteurs de croissance afin d assurer leur rentabilit En Suisse l activit bancaire demeure d une grande importance repr sentant 35 milliards de francs suisses soit 6 du PIB 2011 d apr s les chiffres du Secr tariat d Etat cf figure no 2 1 En termes de contribution l emploi l Office f d ral des statistiques publia en juin 2011 le chiffre de 123 119 emplois dans les banques soit 58 par rapport au total du secteur financier avec un effectif de 210 334 personnes cf figure no 2 2 FIG no 2 1 Cr ation de valeur des services financiers 120 000 25 100 000 oon 80 000 15 60 000 10 40 000 20 000 9 0 0 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 meme Assurances mms Banques et assurances mm Banques ma Total services financiers Source Seco Autres services financiers Source Seco chiffres en millions de CHF et du PIB FIG no 2 2 Contribution des services financiers l emplo
115. borent troitement suppl mentaires dans le avec les clients processus handoffs Source Original du tableau comparatif en annexe no III T Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 56 Inspir e par les travaux de Kirtesh amp al 2011 une deuxi me notion connue sous l expression anglaise Do It Right The First Time faire juste d s la premi re fois compl te ce principe Malgr des d formations r centes au niveau de son interpr tation il tr ne une augmentation des responsabilit s de la main d uvre et une approche d autogestion des quipes Or la responsabilit accrue incite g n ralement un comportement plus responsable afin de s assurer premi rement que tout le monde effectue le travail selon le meilleur de ses capacit s et de ses connaissances et deuxi mement que tout probl me affectant la qualit d un produit soit signalis des son apparition 2 Center on the people who add value en Lean l organisation du travail est fortement orient e quipes et employes qui contribuent troitement la cr ation de la valeur ajout e d un bien ou d un service Dans la pratique du LSD ce principe de base signifie 2 1 L investissement constant dans le d veloppement des comp tences des employ s 2 2 La cr ation des quipes autonomes en d l gant les res
116. c Tracy amp Sam NN ie 21212 1 01 write automated acceptance tests Sarah i S 15 15 15 15 10 update buyer help webpage Sanjay amp Jing 3 1313131310 g 20 oes i SE DONNE S OR S i merge DCP code and complete layer l OO 5 5 complete machine order for pRank Bn ae 3 16 8 6 8 i change DCP and reader to use pRanki l Er LSLS f 0 1 2 3 4 5 8 9 Total person Day hours 50 49 48 44 43 34 Source projet r el 2013 L incontestable valeur ajout e du diagramme pour l quipe et le Product Owner est sa capacit pr senter l tat actuel et l effort qui reste encore mettre en uvre jusqu la fin d un sprint Cet outil facile mettre en place permet une intervention quasi imm diate et vite les mauvaises surprises de l effet tunnel Quant la cr ation du diagramme Sprint burndown ce dernier se construit aussi facilement la main sur un tableau blanc qu avec Excel Sa mise jour est n cessaire avant le Daily Scrum car le diagramme actualis constitue la base pour la pr sentation des tats de l avancement par chaque membre Update Product Backlog amp burndown chart identique au Sprint Burndown Chart la Product Backlog a son propre diagramme visualisant l tat d avancement en termes d heures ou de jours restant jusqu la fin du projet Ce diagramme est enti rement sous la responsabilit du Product owner et le Sprint Review ou Retroperspective sont typiquement des v nement
117. cat gories de rejet de l interface en d veloppement pour identifier l importance des diff rentes cat gories de rejet et collaborer troitement avec des experts du milieu financier en leur expliquant le fonctionnement de l analyse par nature de produit L approche de r solution de probleme par les interfaces serait d sormais caract ris e par plusieurs dimensions et cette pluralit n cessiterait galement la conception d une quipe de d veloppement multidisciplinaire avec des comp tences la fois techniques et m tiers Cette d marche est en enti re ad quation avec les th ories en mati re de g nie de logiciel qui explicitent cette n cessit d avoir une consid ration simultan e des aspects techniques et m tiers Parall lement la nouvelle approche serait imp rativement bas e sur une r activit et une interaction continue avec son environnement complexe et fortement volutif 5 D sormais ce dernier se compose toujours par les m tiers techniques comme les d veloppeurs des PSI et les informaticiens des IS bancaires mais s largit par les m tiers du domaine financier Pour leur bon niveau de connaissances m tiers et techniques IS les profils des op rateurs des centres de traitement des PMS des employ s bancaires Back Office et des clients comp tents pour la mise jour des PMS se sont av r s particuli rement int ressants pour cette recherche de nouvelles solutions Outre la r activit continue avec l env
118. cessus de r tablissement est long et en partie ralenti par d autres projets d adaptation des IS aux nouvelles normes bancaires Par cons quent l hypoth se d une am lioration de la qualit des informations produites par les IS bancaires s av re correcte mais irr aliste sur un horizon a court voire moyen terme Dans le contexte actuel le projet du d veloppement d une interface PSI plus performante doit reposer sur d autres hypoth ses que celles des IS bancaires plus performants En revanche la deuxi me hypoth se se r v le particuli rement interessante car l id e d une collaboration plus troite avec des collaborateurs bancaires du Front voire du Back Office dans le d veloppement d une interface plus performante est unanimement partag e par les professionnels rencontr s Le b n fice escompt par une telle collaboration serait non seulement une meilleure compr hension globale des contenus d information financi re trait s par les IS ou les PSI mais galement un change approfondi quant aux pratiques appliqu es par les utilisateurs des IS dans la phase de production de l information L ventuelle reproduction des pratiques m tiers par les technologies de PSI pr sente donc toujours un certain potentiel non exploit de r duction du taux de rejet Finalement la deuxi me hypoth se sugg re le rapprochement des personnes ayant connaissance des contenus trait s par la PSI avec celles qui d veloppent ces logici
119. che moins professionnelle en termes de gestion de projet A mon avis c est galement justifi par l ampleur et le budget relativement modeste des projets de d veloppement d interface Je crois que l unique outil concernant la gestion de projet pour l quipe des interfaces est un logiciel leur permettant de comptabiliser les heures de travail Sinon la planification est sous la responsabilit du chef de projet qui se sert des moyens simples pour la planification etc Question 4c PB Comment se d roule alors concr tement un projet de d veloppement Comme je lai d j mentionn la dur e d un projet de d veloppement varie entre trois six mois et ce facteur est souvent fonction du niveau de connaissance du client de nos produits Id alement le client conna t nos logiciels de PMS voire celui du PSI pour pouvoir rapidement d finir la structure Backend Portfolio Database Avec de telles connaissances techniques nous parvenons terminer en trois mois environ Dans le cas contraire la dur e moyenne de la construction d une nouvelle interface se situe plus proche des six mois Tout projet d marre avec la d finition des sp cifications En Allemagne les banques participent m me financi rement au co t de d veloppement Les sp cifications sont toutefois fortement standardis es et varient relativement peu Toutefois cette phase est d terminante pour la suite du projet qui suit par la suite troitement le plann
120. clients de PMS La proximit des processus entre la PSI et le PMS et un niveau de sp cialisation des op rateurs des centres de traitement sont deux des b n fices les plus importants qui d coulent d une telle approche de sous traitance de service La proximit des processus se r f re la notion de transaction des connaissances En effet les Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 36 employ s du d veloppement et ceux du centre de traitement se situent id alement dans un m me immeuble et appartiennent une m me entreprise Cette proximit g ographique et culturelle par rapport la culture d entreprise e g m me langage r duit des barri res emp chant un transfert ais des connaissances Le transfert de connaissances est galement n cessaire pour le d veloppement d un logiciel tant donn le niveau lev de sp cialisation des diff rents m tiers qui interviennent Pour r sumer de fa on simpliste la personne qui travaille au quotidien avec un logiciel PMS PSI ou autres et qui conna t ses d faillances par rapport aux exigences m tiers n est pas la personne qui d veloppe ce logiciel Or un transfert efficace des connaissances est un l ment clef et la proximit des processus y pr sente un avantage majeur tant donn la centralisation des diverses connaissances en
121. compte fiduciaire aussi appel compte technique est une construction virtuelle pour pouvoir g rer typiquement des contrats forward contrats terme sur devises en d bitant le montant d aux clients et en versant ce montant sur ce type de comptes virtuels Dans ce dernier cas la probl matique se posant tous les syst mes de PMS est la r ception d une information fractionn e tant donn que le compte technique n est pas directement li un portefeuille client les informations quant ce dernier compte ne se trouvent pas parmi les transactions interfac es Statistiquement un PMS constate une r duction d une position du portefeuille client sans pour autant reconnaitre que ce dernier d tient un produit Aujourd hui des telles operations apparaissent comme rejets dans un PSI et sont ensuite trait es manuellement par les gestionnaires des centres de traitement ou par les clients dans le cas o ceux ci g rent de fa on autonome l interfa age avec un PSI Par rapport au c t technique le travail du gestionnaire client d une banque est soutenu par un syst me IS bancaire pour la saisie des transactions Or un syst me bancaire conditionne et syst matise ce travail d enregistrement La nature de chaque transaction se traduit par un code d op ration pr d fini dans le syst me Tout changement est videmment motiv par un nouveau besoin des gestionnaires du Backoffice mais son changement demande l intervention des informa
122. conseils quant aux s ances r tro perspectives lors d un projet Scrum AB En rapport avec Scrum ou d autres m thodologies il est int ressant de demander aux membres d une quipe de signaliser si les am liorations n cessaires sont caus es oui ou non par la m thodologie Il y a une technique tout fait simple pour obtenir la r ponse cette question vous demandez simplement que chaque membre ajoute syst matiquement une abr viation que vous allez d cider sur les diff rents points Ces abr viations vous permettent finalement d identifier quelles points sont en lien ou caus s par la m thodologie et lesquels ne le sont pas Par exemple vous prenez C si le point am liorer est caus par Scrum N B Caused by Scrum sans Scrum cette difficult n existera pas E si le point am liorer est expos par Scrum N B Exposed by Scrum Scrum ne cause pas le probleme mais sans Scrum le point serait inconnu U si le point am liorer n est pas caus par Scrum N B Unrelated to Scrum Scrum n est pas la cause pour le point am liorer Cette m thodologie vous aide comprendre les faiblesses de la m thodologie mais expose l quipe la force de Scrum par tous les points qui n auraient jamais merg sans Scrum 4 Entretien Responsable de produit PMS Pour les annexes du travail de Master l entretien suivant sera enti rement transcrit en anonymisant l ensemble de
123. cts organisationnels lies au d veloppement d une interface PSI plus performante cette derni re tant galement l un des deux facteurs principaux qui d terminent la performance globale du PMS En effet la performance du PMS d pend premi rement de sa capacit acc der de fa on instantan e aux informations N B l architecture et la performance des interfaces et deuxiemement de l efficacit de ses fonctionnalit s dans le traitement N B la priorisation et la visualisation des informations Kuokka D amp Harada L 1995 Arens Y amp al 1993 Collet C Huhns M amp Shen W 1991 Or toute contribution qui influence directement ou indirectement la performance des interfaces de mani re positive pr sente une r elle valeur ajout e pour la performance globale des systemes de Portfolio Management 3 2 M thodologie Entre les diff rentes approches pist mologiques l auteur a opt pour l interpr tativisme comme m thodologie pr dominante du pr sent travail D une part ce choix est motiv par un certain niveau de d pendance entre l auteur et la majorit des objets tudi s la question de l acc s l objet D autre part la pr occupation premi re de ce travail est la compr hension du comment et du pourquoi Girod S ville M amp Perret V 1999 et non l obtention d une vidence statistique Ces deux l ments pr sentent la principale justification de l auteur quant au choix de
124. ctuel Cependant ce co t suppl mentaire est un investissement pour une qualit sup rieure des interfaces avec un taux de rejet moindre Au del de la qualit am lior e des interfaces les ressources humaines de l entreprise b n ficient galement de la nouvelle structure organisationnelle La nouvelle place de travail des employ s se caract rise par une r activit intense avec l environnement une autonomie accrue des quipes un transfert de connaissances des quipes multifonctionnelles etc En g n ral ces facteurs contribuent au d veloppement des comp tences des employ s et pr sentent un facteur de motivation lev terme ces m mes facteurs sont b n fiques pour l entreprise et pour l am lioration de ses structures de co t des projets Dans ce sens le nouveau mod le de d veloppement de logiciel devrait troitement soutenir ces b n fices escompt s pour l entreprise et assurer l atteinte du ROI quilibr des projets dans les meilleurs d lais possibles En r sum les caract ristiques environnementales propices au d veloppement des interfaces plus performantes dans l esprit de ce manuscrit sont celles des mod les agiles Ce choix est fond sur la limitation des autres mod les particuli rement quant la conception du produit final 2 au niveau de r activit possible avec l environnement 5 la capacit de transfert des connaissances 7 et a la flexibilit des quipes dans la g n ration de nouve
125. d e en quipe et non plus par le chef de projet ou une tierce personne Ces derniers peuvent se sentir l s s par le nouveau syst me De m me l autonomie des quipes exige un changement comportemental au niveau de la hi rarchie car une intervention directe e g changement de priorit court terme etc ne serait possible que dans une moindre mesure Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 60 Le dialogue et la recherche de solutions avec la hi rarchie font partie des responsabilit s importantes assur es par le Scrum master Au c ur des dialogues se situent des sujets qui bloquent actuellement les quipes ou l avancement g n ral des projets videmment la nature des probl mes varie fortement mais concerne souvent des sujets sensibles voire m me politiques La visualisation des probl mes et leur gestion pragmatique est une des forces incontestables de Scrum En revanche la culture d entreprise et les dirigeants doivent faire preuve d ouverture d esprit et soutenir ce pragmatisme dans la r solution de probl mes En principe Scrum ne vise pas un changement des rapports de force dans une entreprise Au contraire la m thode sugg re de mettre les comp tences et l autorit de la hi rarchie au profit de la resolution des blocages existants 7 2 3 Meetings Sprint Planning La reunion d
126. d r comme mod le agile ou semi agile le mod le en spirale d le RAD e PUP amp RUP f le Scrum g ou le XP h seront pr sent s dans la deuxi me partie du paragraphe suivant 6 2 1 Mod les de cycle de vie a Cycle en Cascade inspir du b timent ce mod le en cycle en Cascade Royce W W 1970 est purement s quentiel avec un enchainement logique et lin aire des activit s planii es d avance et un niveau de d tail lev La planification est principalement bas e sur le d roulement attendu d un projet son stade initial approche pr dictive Cependant le mod le fut adapt avec des it rations permettant la v rification et le retour aux tapes pr c dentes Toll Gate afin de rem dier la souplesse manquante du mod le initial FIG no 20 Mod le du cycle en Cascade N VW N Vv N y N Vv N Vv Int gration Source Collonvill Th 2010 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 42 b Cycle en V Consid r comme le standard en d veloppement de logiciel le cycle en V est non seulement le plus utilis mais galement la base pour l apparition d autres standards qui en ont d riv McDermid J amp Ripken K 1984 FIG no 21 Cycle en V Sp cification Implantation Tests de validation Tests d in t gration
127. d sormais d ploy vers des activites plus forte valeur ajout e ce qui de mani re globale est b n fique terme pour la qualit des services fournis par une banque Finalement ce virage strat gique vers le multicanal impacte galement sur le r le du client et sur son niveau de coproduction de service Rowe F 1994 Le multicanal repose techniquement sur le syst me d information S en anglais Information System ou IS et l enjeu est centre sur la relation avec les clients d un c t et sur l information d un autre c t Les enjeux par rapport l information se traduisent par une exigence lev e en termes de qualit de coherence de disponibilit et d unicite afin de correspondre aux attentes des clients Or tout IS bancaire doit assurer lesdits principes en vue des informations recueillies a travers les differents canaux de distribution Michel 2011 Une description pr cise de la d finition des IS et de son r le au sein d une entreprise est donn e dans le cadre de l analyse du ph nom ne qualifi de gap technologique cf paragraphe no 5 3 1 Banques d positaires dans Analyse qualitative du processus macro PMS p 26ss Ce dernier est d velopp dans la deuxi me partie du pr sent manuscrit qui s int resse la recherche de solutions car le gap technologique s oppose actuellement aux principes d une information de qualit coh rente disponible et unique Suite cette pr
128. d a 2 jusqu 4 semaines Si l quipe de d veloppement adopte elle m me les principes des mod les agiles dans ce cas le risque se r duit d avantage et l intervention en cas de probleme peut survenir le jour m me de l apparition d un probl me Question 3 PB Existe t il plusieurs mod les agiles et si oui lequel recommandes tu et pourquoi VK En fait mod le agile de d veloppement d signe toute une nouvelle g n ration de m thodes de d veloppement et je dirais que le Scrum eXtrem Programming Feature Driven Development FDD Dynamic Systems Development Methods DSDM Test Driven Development TDD sont les plus connus Par contre le plupart des mod les se distinguent principalement par leur nom et fonctionnent de fa on identique pr sent j ai principalement travaill et galement fait de tr s bonnes exp riences avec Scrum Fortement compatible avec Lean Scrum se pr sente comme un comprim des meilleures pratiques en mati re de d veloppement de logiciel En effet les feedback et les exp riences que j ai pu faire dans mon r le de consultant en pr sentant Scrum une nouvelle quipe de programmation ont t enti rement positifs En r gle g n rale tout ce que je pr sente est d j connu par l audience ou les nouveaut s que j apporte sont imm diatement comprises Scrum structure principalement ces pratiques et permet qu on les applique de fa on structur e Question 4 PB e
129. de Swift est illustr l aide des descriptions suivantes 3 6 Code ISIN Selon la d finition de SIX fournisseur principal en termes de services d infrastructure financi re en Suisse ISIN est l abr viation pour International Securities Identification Number gr ce auquel tout papier valeur n goci en bourse est identifiable M me n goci e dans diff rentes monnaies ou sur des places financi res diff rentes l action conserve le m me ISIN puisqu il s agit toujours du m me titre Le code ISIN est constitu de 12 caract res alphanum riques les 2 premiers chiffres du code sont r serv s l identification du pays de cotation Le NSIN les neuf chiffres qui suivent le code du pays est attribu par SIX Financial Information pour les titres cot s en Suisse Le douzi me et dernier chiffre sert de clef de contr le FIG no 3 3 Composition du code ISIN 1 2 34567891011 12 code du NSIN cle ce pays contr le Source http www trading school eu glossaire bourse L adaptation primaire de la norme ISIN date de 1981 mais sa reconnaissance par les acteurs financiers importants fut modeste En 1989 les pays membres du G30 ont recommand son acceptation pour r gulariser et faciliter l change lectronique des informations financi res L ann e suivante un comit de sp cialistes de l institut ISO a form et approuv l Association of National Numbering Agencies ANNA qui publia la premi re 36 D finition SWX
130. de management qui propose un cadre id al quant aux valeurs et la culture d entreprise n cessaires pour le d veloppement d une interface plus performante selon l esprit du pr sent travail Le chapitre 7 d crit principalement le mod le organisationnel retenu lors de l analyse du chapitre pr c dent En partie ce chapitre se lit comme un mode d emploi pour la mise en place du mod le choisi Des recommandations contextualis es mettent non seulement les avantages du mod le en vidence mais elles abordent galement des sujets sensibles lies l entreprise analys e Surnomm Recommandations manageriales ce chapitre presente la partie la plus importante en termes de valeur ajout e Le chapitre 8 conclut en rappelant les l ments importants de ce manuscrit et en donnant les perspectives consid r es Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 2 Revue de la litt rature amp proposition de recherche L accumulation de connaissance n est pas LA connaissance Ren Barjavel La revue de la litt rature pose les fondements th oriques quant l tat de l art des diff rents axes qui constituent l univers des PMS et les sujets relatifs au d veloppement de logiciel d une interface bancaire plus performante Les th mes approfondis sont notamment le commerce lectronique avec la s
131. disposer de la fonction de la e Back Office bancaire Compte fiducies cr ation d un compte virtuel mais avec certaines astuces le logiciel peut potentiellement identifier ces transactions reconstitution d une information fractionn e Cette pratique est g n ralement utilis e pour la correction des transactions e PMS consolidation rejet es Par la compr hension des v nements li s aux transactions d un e Back Office bancaire logiciel e g maturit mouvement de cash settlement out of money etc ce dernier arriverait a diminuer le taux de rejet Par une analyse quotidienne ou hebdomadaire des transactions rejet es on e PMS consolidation connaitrait le nombre exact et les causes des diff rentes cat gories de rejet Cette pratique est la premi re d marche dans la r solution de probleme N B la comprehension des donn es Les s ries de tests sont conduites lors du d veloppement d une interface Des e PMS consolidation fonctionnalit s mal d finies et test es se traduisent potentiellement par des taux o PSI d veloppeur de rejet plus lev s caus s par des probl mes techniques initiaux ie IS bancaire e Back Office bancaire Tests d int grit des Les tests consistent dans la verification des donn es obtenues Backend e PMS consolidation donn es manuels Portfolio Data par des tests manuels suppl mentaires e PSI mise jour Source Auteur 2013 Code d op ration R f rentiel de prix Analyse de tran
132. diversification dans l optimisation d un portefeuille Son objectif consiste tablir le prix d un actif tant donn son risque par rapport au risque moyen du march Markowitz 1991 Du point de vue de la technologie les avanc es r centes offrent l acc s une masse d informations toujours plus vaste et contribuent de sorte l obtention d une vision plus globale Cette tendance s av re galement b n fique pour les utilisateurs d un outil PMS qui ont pu am liorer la qualit de leurs choix d investissement et r duire les risques qui y sont li s Les exigences technologiques quant elles sont devenues plus demandeuses en vue du traitement d une masse d informations fortement croissante En effet et de nombreux scientifiques en sont unanimes les outils qualifi s de PMS capables de traiter un tel volume sont incontestablement caract ris s par un niveau lev de performance et de sophistication Kuokka D amp Harada L 1995 Arens Y amp al 1993 Collet C Huhns M amp Shen W 1991 Dans les m mes travaux ces scientifiques pr cisent galement que la performance de la technologie des outils PMS est principalement li e la performance respective de deux facteurs Le premier de ces deux facteurs concerne l acc s instantan aux informations et deuxi mement sa capacit de priorisation et de synth se des informations trait es N B les fonctionnalit s li es la gestion de 2 Dans le cadre du pr s
133. du taux de rejet s est av r plus compliqu que pr vu initialement a cause de l absence de statistiques En effet les r sultats obtenus varient entre 5 et 15 En revanche les r ponses obtenues quant au recueil des cat gories de rejet taient unanimes La cat gorie de rejet la plus importante est celle li e la nature particuli re de certains instruments financiers Cette description est large mais la cat gorie comprend principalement les produits sans identifiant unique ISIN IBAN options am ricaines produits des march s primaires etc et certains autres produits d riv s contrats particuliers La deuxi me grande cat gorie de rejet concerne les incompatibilit s des contenus de donn es transf r es par les banques incompatibilite des Backend Portfolio Datas L analyse de l environnement et du processus de PMS a relev que les exigences quant au d veloppement d un outil de PMS sont effectivement lev es Une telle affirmation s explique par la complexit lev e la fois des fonctionnalit s de l outil et de son environnement En guise de rappel le contexte du d veloppement d un tel logiciel de PMS ou de PSI est qualifi par son instabilit son h t rog n it et son incertitude En m me temps le concept d interfa age et celui d un traitement lectronique des informations financi res reposent sur une information de qualit coh rente en temps r el et unique Cependant l analyse qualitative conduite d
134. e gt 50 000 employ s Quant aux experts des m thodologies ALM ces derniers sont employ s par une entreprise multinationale am ricaine gt 50 000 employ s Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 4 Description de l environnement Ce 4 me chapitre se pr sente comme une suite de l introduction et comprend la description du contexte g n ral du syst me analys L objectif de cette premi re immersion consiste en une pr sentation et un approfondissement des l ments partir desquels le processus macro de PMS est construit Ce processus macro de PMS cf FIG no 12 Sch matisation du processus macro d un PMS p 24 importe au chapitre suivant Analyse du processus macro PMS p 23 car il constituera la base pour cette analyse qualitative Outre la compr hension du processus les l ments arbor s lors du pr sent chapitre permettent galement de contextualiser les diff rents r sultats et recommandations qui mergent au fur et mesure de ce manuscrit En effet une proportion pr dominante des recherches de terrain entreprises est troitement li e aux acteurs et leurs produits PMS ou PSI ici pr sent s Dans ce sens la description de ces notions d limite de fa on pr cise le p rim tre du domaine analys En ce qui concerne l organisation du chapitre ce dern
135. e bancaire Revue Frangaise de Gestion n 168 169 p 205 220 Retour D Dubois M amp Bobillier Chaumon M E 2008 La triade charg de client le syst me d information et client en milieu bancaire analyses et cons quences sur les comp tences en jeu Revue Systeme d information et Management vol 2 n 13 p 33 60 Roques P amp Vall e F 2002 UML en action Eyrolles 2 ed Rowe F 1994 Des banques et des reseaux Productivite et avantages concurrentiels ENSPTT Economica Paris Royce W W 1970 Managing the development of large software systems IEEE Wescon pages 1 9 ochwaber K 1997 Scrum Development Process In OOPSLA Business Object Design and Implementation Workshop J Sutherland et al Eds London Springer ochwaber K amp Beedle M 2002 Agile Software Development with Scrum Upper Saddle River New Jersey Sommerville 2006 Software Engineering 8 Revised ed Addison Wesley Educational Publishers Inc UK Stone M Hobbs M amp Khaleeli M 2002 Multichannel customer management The benefits amp challenges Journal of Database Marketing 10 1 39 52 Sauders M Lewis P amp Thornhill A 2007 Research methods for business students 4th ed Harlow Pearson Education Upper Saddle River NJ sutherland J 2011 The Scrum Paters Nut Bolts and Origins of an Agile Framework Scrum Inc Cambridge MA USA p 7 9 sutherland J amp Schwaber K 2007
136. e en forme de contrat particulier de certains produits d riv s pr sente la deuxi me categorie de causes la plus importante Ces deux cat gories de causes de rejet savoir celle de l absence d un identifiant unique et celle de la nature particuli re sont troitement li es et les produits d riv s sont les principaux concern s Dans ce contexte la difficult se trouve dans la comptabilisation initiale et ult rieure d un produit financier voire aussi dans la d termination de la juste valeur d un produit lapprofondissement de ces trois notions est joint sous le paragraphe no 0 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 29 Comptabilisation des instruments financiers dans l analyse de l annexe no Par ailleurs l hypoth se no 4 se confirme galement lors des diff rents entretiens et la premiere cause de rejet est effectivement due la complexit des produits financiers A court ou moyen terme une am lioration significative de cette probl matique syst matique de l environnement financier n est que peu probable Dans l intervalle une reduction du taux de rejet concern par ces cat gories peut potentiellement r sulter de la capacit d une interface de reproduire les astuces m tiers Les employes bancaires ceux des centres de traitement des PMS ou galement les utilisateurs
137. e les entretiens informels tout comme l esprit g n ral du pr sent travail ont suivi une d marche ethnographique Ainsi la structure des entretiens semi structur s se pr sente comme suit 1 L interrogateur rencontre une ou plusieurs personnes interrog es et recense d abord des informations concernant ses caract ristiques sociodemographiques ge sexe entreprise position hi rarchique 2 L interrogateur pr sente bri vement la probl matique et commence ensuite poser les cinq dix questions pr par es Pour la totalit des entretiens formels la divulgation d informations quant l identit des personnes et des entreprises a t convenue 3 4 Population amp chantillon La population est constitu e par le processus macro de PMS suisse romande cf no 5 1 p 24 et son chantillon se d finit par les diff rentes entreprises et professionnels consult es durant les entretiens Pour la dimension temporelle ces entretiens ont eu lieu d s le mois d cembre 2012 et ce jusqu la fin du mois d ao t 2013 Le profil des entreprises directement actives dans le secteur du PMS est d crit dans les paragraphes no 4 2 1 Galeo SA p 16 et no 4 2 3 VWD Groupe p 18 Les personnes rencontr es dans le domaine bancaire travaillent soit dans une grande banque priv e suisse gt 17000 employes ou du moyen orient gt 1000 employ s soit dans une banque universelle allemande gt 100 000 employ s ou suiss
138. e concernant le PSI en lui m me sont principalement mobilis es pour le d veloppement des PMS Contrastant avec l approche classique la figure ci apr s cf FIG no 19 schematise les differents membres avec les connaissances respectives d une quipe de d veloppement PSI future FIG no 19 Equipe comp tence multidimensionnelle PMS Consolidation Back Office bancaire Source Auteur 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 39 G n ralement le transfert des connaissances est une discipline particuli rement complexe et les publications de la litt rature scientifique a ce sujet sont nombreuses Pour le pr sent travail cette discipline n est toutefois pas approfondie et la preoccupation du document s articule autour de l ad quation entre l approche organisationnelle de d veloppement de logiciel PSI et l environnement du processus de PMS Cependant l approche organisationnelle pour le d veloppement des interfaces bancaires doit imp rativement consid rer l h t rog n it plus marqu e des connaissances des participants La recomposition des membres d quipe avec une pluralit de connaissances amplifie la d centralisation de connaissances et augmente le niveau de difficult quant la coordination de ces derni res Finalement les nouvelles m thodologies doivent
139. e de Portfolio Management qui sont premi rement son syst me d alimentation e g interfaces bancaires saisie manuelle etc et deuxi mement l efficacit de ses fonctionnalit s quant la gestion de portefeuilles N B le traitement la priorisation et la visualisation des informations Or l efficience du syst me de l alimentation des PMS sugg re fortement une approche visant l automatisation totale En effet un tel proc d automatis augmente consid rablement la vitesse d interfagage des donn es tout en r duisant l intervention manuelle En parall le les erreurs commises par la saisie manuelle se trouvent galement fortement r duites Ainsi il en r sulte non seulement une meilleure efficience du processus de Synchronisation des donn es mais galement une meilleure qualit des informations d sormais disponibles pour le PMS 44 2 Architecture des PSI tudi s D un point de vue conceptuel la PSI lie les bases de donn es externes dites Backend Portfolio Data avec le PM serveur qui est une partie int grale au PMS cf FIG no 10 Architecture du VWD Portfolio Manger PMS p 21 Une base de donn es Backend Portfolio Data contient les donn es des diff rentes banques d positaires et la cr ation d une telle base de donn es fait partie du projet de d veloppement d une nouvelle interface bancaire Dans la Backend Portfolio Data chaque champ qui contient une information d une transaction e g code d o
140. e du langage JAVA et un changement signifierait d abord une perte de performance des interfaces et seulement ensuite avec un meilleur niveau de maturit une ventuelle am lioration des interfaces Finalement je ne pense pas qu un tel projet influencera positivement la performance court terme Question 3c PB Reproduction des pratiques m tiers par l interface bancaire JF En effet cette approche serait tout fait r volutionnaire pour nos quipes de d veloppement car la recherche de solution est aujourd hui effectivement fortement orient r solution technique de probl me et pas orient clients m tiers Le d veloppement est une affaire technique et les seules impulses autres voire m tiers proviennent des s ances Back Feature Meetings Ces s ances de feedback visent l change entre les diff rentes d partements et experts en mati re En revanche ces s ances concernent davantage le d veloppement des PMS voire concernent elles l am lioration continue g n rale de l entreprise Je pense que peu d impulse des Back Feature Meetings influencent le d veloppement des interfaces Question 4 PB Actuellement comment se caract rise le d roulement du projet de d veloppement de la production d une nouvelle interface JF Alors les personnes qui participent actuellement au projet de d veloppement sont e l unit de programmation cette derni re est compos e de 4 5 personnes dont
141. e et le taux de rejet d une interface moins performante Ces taux ont t recens s lors de l entretien avec du groupe VWD AG http www vwd com vwd produkte htm u 0 amp k 0 amp sektion 2 amp seite produktfamilie amp familienid 4 consult en 01 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 20 4 3 2 Architecture des PMS tudi s Du point de vue technique les differents composants qui forment un syst me de PMS sont illustr s a l aide du sch ma suivant cf FIG no 10 qui repr sente l architecture du VWD Portfolio Manger FIG no 10 Architecture du VWD Portfolio Manger PMS Customer infrastructure Workstation pm components Application Crystal Documentation vwd Brokerage Shared directory Middleware pm server Customer data Ris portfolio data Price data service security data File system https Oracle MS SQL 2 Data update Portfolio Sync Online Database server File server Interface market data Database vwd services https vwd Market Backend DELT Bele Portfolio data Source Site Web VWD10 2013 Comme illustr ci dessus les syst mes sont principalement bas s sur trois composants Premi rement 1 des bases de donn es deuxi mement 2 des serveurs et troisi mement 3 un ordinateur avec acc s internet
142. e fa on unanime par l ensemble des personnes rencontr es du domaine IT bancaire En effet la probl matique ne semble pas dater d hier car plusieurs banques d marrent ou ont d marr des projets avec l objectif d harmoniser leurs syst mes informatiques En revanche aucune personne interrog e ne ressent d effets positifs quant aux ventuelles actions d j entreprises L empilement de strates d application sans l int gration totale de ces sous systemes dans l IS bancaire principale aura abouti a la situation actuelle L exemple d une banque qui n arrive m me plus garantir l unicit des prix de certains de ses propres produits figure parmi les exemples le plus parlants de la probl matique ae D finition Le reporting en fran ais un compte rendu est l op ration consistant pour une entreprise a faire rapport de son activit Il s agit notamment de la pr sentation p riodique de rapports et bilans analytiques sur les activites et r sultats d une organisation d une unit de travail ou du responsable d une fonction destin e en informer ceux charg s de les superviser en interne ou en externe ou tout simplement concern s par ces activit s ou r sultats Sur htip www microsoft com france serveur cloud decisionnel besoins aspx Consult le 4 8 2013 30 Agefi Les banques doivent mettre profit l information multicanal 06 10 2010 http www agefi fr articles les banques doivent mettre a profit l information
143. e planification d un cycle de travail s organise en deux temps Sprint Planning et II Au Sprint Planning le Product owner presente d abord la vision globale du produit en presence de l int gralit de l quipe Ensuite il expose la Product Backlog avec la priorisation des fonctions r aliser souligne d ventuels changements contextuels et les autres v nements lies au projet La reunion se cl t avec une revue de l tat d ach vement des derniers items notion du done is done Pour le Sprint planning Il seule la presence des membres de l quipe de d veloppement est n cessaire et l objectif de la s ance concerne la selection des items de la Product Backlog pour le d veloppement au prochain Sprint L quipe est libre dans son choix avec toutefois les contraintes de la priorit donn es par le Product owner d une part et la limitation de ses ressources d autre part En revanche l quipe planifie ind pendamment l organisation du travail sans intervention du Product owner L intervention ventuelle du Scrum master se limite galement aux ventuelles questions methodiques Le d roulement de l organisation du travail durant cette phase II d bute avec la d termination de la disponibilit des ressources pour le prochain Sprint cf FIG no 32 Ensuite les pr occupations concernent le futur design du produit ou des fonctionnalit s d velopper qui sont con ues avec crayon amp papier sur un tableau blanc La
144. e pr occupe que dans une moindre mesure les dirigeants et les employ s du groupe analyse Ce changement vers sa non tol rance et l introduction du mod le agile de d veloppement de logiciel doivent s accompagner par un changement de la culture d entreprise et les principes du Lean Management soutiennent troitement ce changement et proposent une base stable pour la nouvelle culture vis e Suivant la philosophie du Lean Management Lean Thinking ou simplement Lean une entreprise tente d am liorer continuellement ses op rations en apportant de la valeur ajout e du point de vue du client tout en liminant voire en r duisant les gaspillages En effet la traduction du verbe anglais lean est maigre ou d graiss Ce dernier tant fortement repr sentatif de l objectif final que visent l ensemble des m thodologies regroup es sous le concept Lean le mot lean symbolise l image d une entreprise d graiss e qui optimise continuellement ses ressources qui sont indispensables pour la r alisation de sa mission l oppos le gras est synonyme pour les activit s consommatrices de ressources sans contribution la valeur ajout e perceptible par les clients Dans le jargon du Lean Management on parle soit de waste le mot anglais pour gaspillage soit de muda sa traduction japonaise En effet ces deux notions abord es premi rement celle du Waste et deuxi mement celle de
145. e remercier en premier lieu mon coach personnel Claude Diserens de m avoir accueilli de nombreuses reprises pour discuter de ce travail et de m avoir autant soutenu dans la r alisation de ce m moire Un grand merci galement aux membres de l entreprise Galeo pour leur hospitalit et leur soutien Je tiens galement exprimer ma profonde gratitude au Professeur Emmanuel Fragni re pour avoir accept d encadrer ce travail pour ses conseils prodigu s ses mots motivants et la confiance qu il m a t moign e tout au long de l laboration ce travail Ce manuscrit doit beaucoup aux professionnels du secteur bancaire financier et informatique J adresse donc mes remerciements toutes les personnes qui m ont ouvert les portes et soutenu durant mes d marches d immersion dans ces diff rents domaines Je remercie sp cialement les associ s du DBS pour le temps consacr a mon initiation en Lean Software Development et pour les conseils prodigu s Enfin j ai une pens e affectueuse reconnaissante et silencieuse pour les amis et la famille qui m ont accompagn durant les deux derni res ann es de ma formation Merci toutes amp tous Pascal A Bopp Geneve le 2 septembre 2013 AADL ALM ASB AuM BCG BNS CCP CRM DSDM EDI EFO ETF FOSP HEG HCI IDM IS SI LSD MDA MFO MIC MScBA OTC Pdm PIB PME PMS PSI SECO RAD SFO SWIFT UML UP amp RUP VWD XP Abr viations Architecture Analysis and Design Lan
146. e serait envisag e pour l entretien constant de cette derni re base de donn es et pour l laboration d autres solutions Front Office bancaire utilisateur Les comp tences des utilisateurs types sont particuli rement int ressantes pour le d veloppement des outils PMS En revanche les connaissances concernant la mise jour des PMS par les conseillers clients ne sont sollicit es que dans une moindre mesure pour le d veloppement des PSI 5 3 3 Transfert lectronique de donn es 5 3 3 1 Hypoth se HS L am lioration harmonisation des standards existants en mati re de PETF r duit le taux de rejet des PSI 5 3 3 2 D veloppements Les instituts financiers ont largement investi pour le d veloppement des syst mes de paiement de transfert lectronique Le transfert lectronique est connu sous le terme anglais Electronic Found Transfer EFT LEFT interbancaire se sert des transactions en ligne pour transf rer des fonds Ces derni res transactions en ligne qui effectuent des transferts entre des etablissements bancaires interbancaires ou entre des banques et des clients sont bas es sur des r seaux priv s FIG no 15 EFT Processus de Paiement Commercial bank B Commerci al bank A i to B s deposit Credit i Settlement A C transfer positions A C Central bank bank A Transfer Source Zuh D 2002 p 17 Des montants ph nom naux sont transf r s quotidiennement par l
147. eau des capitalisations boursi res En effet les infrastructures informatiques telles que la bourse lectronique sont devenues la colonne vert brale des places financi res Dans la comparaison internationale la Suisse dispute une des premi res places en termes de volume annuel de capitalisation boursi re avec CHF 973 milliards 2 L infrastructure de la bourse lectronique Suisse est fournie par trois entit s ind pendantes cf figure no 3 2 En revanche la structure de l actionnariat pour les trois entit s est quasi identique et fond e sur le principe de l int gration verticale de service Dans ce cas les propri taires sont les clients et vice versa Les b n fices escomptes par cette structure sont avant tout la diminution des co ts par l effet des conomies d chelles La chaine de valeur de l infrastructure boursi re est fond e sur trois l ments 1 Trade les entreprises offrant les infrastructures ad quates l change lectronique des transactions boursi res Sous le groupe de SWX Group ce dernier tant poss d par les instituts financiers suisses trois entit s proposent l infrastructure boursi re la premi re entit est la Swiss Exchange SWX celle ci est situ e Zurich la deuxi me entreprise est bas e Londres virt x et la troisi me une entreprise commune avec la Deutsche B rse est install e Frankfurt l Eurex 2 CCP Contrepartie Centrale personne morale qui joue le r
148. ec le Scrum Master C est la raison pour laquelle je dirais que sa neutralit est particuli rement importante II ne doit pas prendre des d cisions mais r unir les personnes qui doivent se parler pour trouver d ventuel consensus En outre le respect des structures des diff rents s ances savoir le Sprint Planning le Daily Scrum les show amp tell la fin d un Sprint et les r tro perspectives d autres m thodes importent au fonctionnement du Scrum En g n rale dans un tel environnement plusieurs m thodes facilitent galement le travail et la communication il s agit notamment et au moins du Done is Done es Story Points pour l estimation de l effort des Retro perspectives et Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 112 surtout et toujours le respect de la priorit du travail faire Ce dernier commence avec les priorit s qui sont donn es par les clients par le VOC ou des sondages clients ou m me par le bon sens de l employ m me En ce qui concerne le travail avec les quipes multifonctionnelles le transfert des connaissances est une notion clef mais galement particuli rement complexe En effet par rapport au transfert de connaissance j apprends et je continuerai apprendre chaque jour o j ai l opportunit de travailler dans un tel environnemen
149. elle la correction est effectu e Pour l heure aucune statistique n existe qui prouverait l existence d une telle analyse et l ensemble des parties interrog es enumerent d apr s leur exp rience les categories 5 3 5 3 Acteurs principaux Fondamentalement ces suivants deux acteurs sont des clefs pour le futur processus de d veloppement consid rant des expertises m tiers de l op rateur PMS consolidation mis jour PSI et du g nie logiciel du PSI d veloppeur L art du d veloppement de logiciel consiste dans la maitrise de la totalit de ses aspects ce qui exige un haut niveau de comprehension et d expertise dans les diff rentes mati res concern es Leur proximit g ographique et culturelle permet un transfert des connaissances agile et profond PMS consolidation mise jour PSI Son capital de connaissances devrait tre mobilis et mis profit pour le processus de d veloppement de logiciels PSI plus performants En effet les comp tences des op rateurs quant l analyse des donn es d termination des cat gories et des causes et la r solution m tier des rejets quelle cat gorie est corrig e avec quelles astuces permettrait une compr hension approfondie un niveau propice de sa r solution PSI d veloppeur Avant tout les d veloppeurs sont des acteurs clefs pour les connaissances concernant le processus actuel de d veloppement les fonctionnalit s du logiciel et leur savoir faire dans le m
150. els Pour son bon niveau de connaissance du syst me d information bancaire et des march s et produits financiers l employ du Back Office appara t comme tant l acteur le plus ad quat pour un tel r le d inter m diateur 5 3 1 4 Acteurs principaux La rubrique des acteurs principaux anticipe d j la question concernant l identification des parties prenantes pour un projet de d veloppement d une interface bancaire plus performante PSI Une partie prenante est activement repr sent e dans le projet avec des objectifs bien d finis IS bancaire Cette personne certainement un informaticien du d partement IT d une banque doit imp rativement poss der un niveau lev de connaissances quant l architecture concept du syst me d information bancaire Le r le technique consiste principalement d finir de mani re globale le processus d interfa age d finition de la structure des contenus de la Backend Protfolio Data e g d finition du type de fichiers chang s des langages utilis s de la fr quence de la mise jour voire de la communication etc Back Office bancaire L agent du Back Office appara t comme un acteur clef pour le d veloppement d une interface PSI performante tant donn son niveau de connaissances m tiers et des IS bancaires Toute PSI fait un travail de traduction des contenus livr s par les banques dans un langage compris et parl par un PMS Ce travail de traduction exige un cert
151. ement amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 61 7 2 3 1 Versus aujourd hui L approche actuelle en gestion de projet et en organisation du travail propose des inspections du travail achev seules la fin des cycles et avec la possibilit limit e de r troaction par l ensemble des acteurs L analyse qualitative du processus macro a r v l que les s ries de tests effectu es s av rent parfois insuffisantes et une interface concern e peut pr senter des rejets cause de probl mes techniques initiaux Selon Scrum toute fonctionnalit ou User Story de l interface finale est soumise une d monstration et une approbation pendant un ou plusieurs Sprint Reviews les ventuels probl mes pendant le d veloppement sont quotidiennement revus dans le Daily Scrum l effort de chaque membre est mis contribution pour l laboration des specifications pour chaque User Story et l am lioration globale du produit est discut e dans les Sprint Retroperspective Les structures bien d finies et les techniques des s ances permettent une tr s bonne efficience malgr le nombre relativement lev de points de rencontre L am lioration continue du produit est en grande partie fond e sur cet aspect communicatif de Scrum En effet ce syst me incite la contribution active et a la r troaction positive des membres tout en recherchant l am lioration continue du produit
152. emi re partie de la revue de la litt rature qui pose les fondements th oriques quant l mergence des besoins des technologies et du comportement des diff rents acteurs du commerce lectronique la deuxi me partie propose l tat de l art des Portfolio Mangement Systemes PMS des approches organisationnelles quant au d veloppement des syst mes logiciels le PMS tant galement un logiciel et du concept de l interface 2 3 Portfolio Management Systeme Un Portfolio Management System PMS est un outil informatis d aide la d cision pour des questions de Strategie d investissement Avec son interface graphique utilisateur cf Fig no FIG no 9 User Interface du VWD Market Manger p 20 ce logiciel visualise les diff rentes positions d un portefeuille et offre une vision synth tique et int grale des tats financiers d une personne particuli re Ainsi le PMS am liore non seulement les connaissances du d cideur quant aux tats financiers de son client mais il permet galement le suivi et le contr le de l efficacit des strat gies d investissement du pass Les fonctionnalit s fondamentales d un outil PMS soutiennent la gestion de portefeuille dont les r gles sont dict es par la th orie moderne du portefeuille galement connu sous le terme portefeuilles de Markowitz En r sum Harry Markowitz expose dans ses contributions des hypoth ses pour savoir comment l investisseur rationnel emploie la
153. ent ou CRM Finalement le r le du charge de clients et celui du responsable d une agence sont centraux quant la strategie d une banque En effet les activit s li es la distribution et la relation client le pr sentent un avantage concurrentiel important pour toute banque Retour amp al 2008 La derni re dimension sociale est repr sent e par les clients bancaires dont le comportement concernant la consommation de services bancaires se mute vers le multicanal cf chapitre de la revue de la litt rature sous paragraphe no 2 1 Commerce lectronique amp multicanal et no 2 2 Influence du multicanal au milieu bancaire p ss et l internet En effet l utilisation des acc s disponibles sur le web est en pleine croissance Ce ph nom ne se fait au d triment de la fr quentation des agences avec une baisse de l ordre de 6 8 par an Agefi 2010 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 26 5 3 1 3 Conclusions amp contributions Le ph nom ne du gap technologique est r el et nous a t confirm unanimement par les professionnels des diff rents m tiers que nous avons rencontr s lors de l laboration de ce travail Ces derni res ann es le secteur bancaire en a pris conscience et a galement commenc investir des sommes consid rables Toutefois ce pro
154. ent LSD mod les agiles de d veloppement de logiciel multicanal Portfolio Management System PMS Portfolio Synch Interface PSI Processus du PMS Scrum 1 Introduction La gestion de fortune est aujourd hui troitement soutenue par divers instruments informatis s qui peuvent aider les conseillers clients obtenir une vision globale du patrimoine sous gestion d cider des strat gies d investissement et enfin v rifier la performance de ces strat gies L un de ces instruments d aide la d cision est le Portfolio Management Systems PMS et tout au long de ce travail nous allons nous int resser l am lioration de sa performance Plus pr cis ment la question de recherche s articule autour de la performance d un des aspects du syst me Portfolio Management notamment les dimensions organisationnelles qui contribuent positivement au d veloppement d une interface plus performante Ces interfaces galement nomm es Portfolio Sync Interface ou PSI alimentent les PMS avec sa mati re premiere la plus importante les informations financi res Les diff rents acteurs et les notions qui constituent l environnement d un PMS ou d une PSI sont effectivement particuli rement complexes Cette complexit provient d une part de la difficult li e la gestion de portefeuille et d autre part de la complexit m me de l environnement financier Ce dernier environnement avec ces divers march s et instruments est caract ris p
155. ent manuscrit le concept de PMS fait g n ralement r f rence un outil informatis qui se mat rialise sous la forme d un syst me de logiciel Toutefois l univers PMS comprend non seulement un logiciel mais se d cline galement en diff rents aspects tels que les services fournis par des entreprises sp cialis s dans le domaine de la consolidation de portefeuilles Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI portefeuille En outre la complexit de la consolidation d informations s accentue par la multitude des sources d o proviennent les diff rents l ments d informations En ce qui concerne l environnement des technologies et des services de consolidation les chercheurs Decker Sycarar amp Zeng ont conduit plusieurs tudes ce sujet Dans ces travaux les trois caract ristiques suivantes ont t identifi es comme tant les plus repr sentatives 1 Instabilit g n rale de l environnement qui est due aux changements continuels des tats de l information d un c t et l inexistence d une structure de base des informations d un autre c t 2 Forte h t rog n it de la nature des informations consid r es et fusionn es N B les diff rents formats et types des fichiers consolid s comme des rapports d analyse de marche des rapports financiers des mod les technique
156. entifi e mais il s agit bien d un identifiant unique qui est propre la banque Or sans cette connaissance de non codes d identification nul ne peut proc der au traitement ult rieur des donn es Ce code d op ration est n cessaire pour le traitement de notre propre syst me Avalog Ce syst me e t achet par X 20ans en arri re mais nous avons entrepris des adaptations et des customisation multiples Question 3 CD et comment le code d op ration se construit t il CF il est bas sur le code ISIN en concordance avec la Telekurs AG des donn es des grandes agences d information financi re telles que Reuters Bloomberg amp Co Question 4 CD mais les op rations justement soumis sur les march s premiers tel que les v nements titres des nouvelles missions d actions ou d obligations des splitting etc qui n ont pas encore un identifiant uniques ISIN ou autres Voire galement les options am ricaines qui galement n ont pas de code ISIN comment g rez vous ces types de transactions CF Dd l absence d un identifiant unique ces op rations sont g r es l aide d un code d op ration pseudo En fait il s agit du code d op ration qui commence avec double ZZ Dans ce cas de figure on sait qu il n a toujours pas de code ISIN cette op ration sp cifique En revanche d s la cr ation d un code ISIN pour une op ration li e un tit
157. epr sentent 92 avec des parts quasi identiques entre 28 et 33 suivis par les produits structur s avec 4 8 et enfin les papiers mon taires 3 2 R put dynamique et innovant cf aussi paragraphe no 5 3 3 p 31 par rapport la bourse lectronique le march suisse des produits structur s est en premi re position mondiale en termes de volume cf FIG no 13 FIG no 13 Valeurs en portefeuille par cat gories de titres 2002 2009 100 5935 6000 90 006 80 4 G D ir 5000 70 g 4000 z ET CET 50 3000 ME a i 30 F 2000 20 4 1000 10 4 1 0 T T T T T T T T t 0 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 10 Produits structur s Parts de placements collectifs mum Actions mam Obligations mam Papiers mon taires 8 Total Source BNS suite des recherches men es par ASB 201114 Les principaux produits structur s galement connus sous le nom de d riv s sont les forwards les options les futures et les swaps L change des produits financiers par des actes de vente ou d achat se d roule sur des march s dits organises ou gr gr Un nouveau produit financier est initi par une banque d affaires aux marches primaires ces derniers sont peu connus et souvent non publics et ceci par une op ration d sign e de underwriting En revanche les changes ult rieurs des titres cot
158. ermination des objectifs 2 L identification des risques 3 Le d veloppement et les tests 4 La planification de lit ration suivante Le concepteur de ce mod le it ratif s est largement inspir du mod le en cycle en V mais en portant une attention particuli re aux risques car ces derniers s accroissent au fur et mesure de l avancement d un projet FIG no 23 mod le du cycle en spirale ent Mod lisation Conception Tests Systeme logiciel Implantation Source Collonvill Th 2010 Cycle avec Prototypage Rapide RAD la fin des ann es 1980 la m thode RAD Rapid Application Development est pionni re en proposant d abord un mod le semi agile avec l introduction du principe des iterations et en remettant les besoins clients au centre du processus de d veloppement Martin J 1991 La m thode RAD se d cline en cinq phases dont les deux premieres se succ dent de fa on lin aire selon l approche descendante comme celle en cascade ou en V les phases trois a cing en revanche se placent dans une approche iterative Les cing cycles sont notamment 1 l initialisation et 2 le cadrage o d abord le p rim tre et les ressources n cessaires et ensuite les besoins et les fonctionnalit s sont d finis Des 3 la conception des mod les une approche collaborative pr ne cette phase et elle se poursuit aussi durant 4 la construction et la phase finale de 5 la finalisation o la validatio
159. es Liker J K 2004 Panizzolo R 1998 P rez M P amp Sanchez M 2000 et d autre part au potentiel important de reduction de co t Womack J P Jones D T amp Roos W 1990 En r sumant une entreprise empreinte d une forte culture de Lean opte pour une am lioration continue et syst mique de son efficience a l aide de deux leviers puissants dont le premier est celui de l limination de toute source r elle ou potentielle de gaspillage Le deuxi me levier en revanche est celui de la connaissance profonde qu une entreprise a de sa cha ne de valeur en d finissant en adaptant et en r inventant constamment Sa proposition de valeur En outre il s agit galement de la capacit d une entreprise a mettre en place un environnement propice la r alisation de ses deux leviers qui constitue l avantage concurrentiel apport par Lean Poppendieck M 2002 Finalement une culture forte du Lean exige des choix bien differents d une entreprise et ce tant au niveau Strat gique qu au niveau op rationnel En annexe no Ill le tableau Tableau comparatif entre une Lean Entreprise et une entreprise classique synth tise les principales diff rences culturelles et strat giques Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 53 7 Recommandations manag riales Stop runni
160. es de petite taille ou de taille moyenne l approche pr ne les competences multidisciplinaires des membres et la capacit d int gration sociale des parties prenantes h eXtreme Programming XP L eXtreme Programming XP met le processus de d veloppement conventionnel litt ralement sur le c t au lieu de planifier d analyser et de concevoir au pr alable XP pr voit ces activit s en effectuant des petites iterations au fur et a mesure du processus Beck K 1999 FIG no 25 XP et l volution des mod les it ratives Waterfall Iterative XP b Scope c Source Beck K 1999 Les pratiques de XP quant elles ne sont pas enti rement novatrices et ressemblent celles des autres m thodes agiles En effet elle est particuli rement similaire la m thodologie Scrum avec sa capacit d adaptation rapide vis vis des changements technologiques ou organisationnels Takeuchi H amp Nonaka l 1986 XP se caract rise par une s paration stricte du pouvoir d cisionnel en fonction de la nature de d cision Suivant cette pratique un informaticien n est comp tent que pour des d cisions techniques et un chef de produit ne l est que pour prendre des d cisions li es au design d un logiciel Cependant ce principe de s paration du pouvoir d cisionnel est issu de la gestion de projet et date de la fin des ann es 1970 Alexander C 1979 L origine de l utilisation des m taphores par XP provient de
161. es des standards ne conduit pas selon les experts interrog s une am lioration des taux de rejet Actuellement les PSI traitent les standards pour l identification des transactions financi res relativement efficacement et les rejets sont principalement dus l absence de standards Concernant l industrie bancaire les experts n anticipent pas de tendance particuli rement forte quant a une meilleure gestion des standards interbancaires et internationaux Comme pour le d veloppement des IS bancaires les standards et normes de transparences des tablissements bancaires ralentissement galement les efforts entrepris en termes de normes du transfert lectronique interbancaire Le niveau d influence des entreprises PMS est relativement faible car celles ci ne vont que recevoir des donn es lectroniques produites par les banques dans des fichiers que ces derni res mettent leur disposition niveau d influence faible Entretien Pictet CF 24 6 2013 pas de tendance pour une harmonisation vers des standards interbancaires unifies en ce qui concerne l industrie bancaire bien au contraire les ressources sont investies pour l adaptation des IS bancaires aux normes normalisation amp pour l unification des IS bancaires Agences d informations financi res Thomson Reuters Bloomberg VWD etc Analyse de la nature du produit l aide du code VALOR Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp
162. es logiciels de la revue de la litt rature cf paragraphe no 2 4 D veloppement des syst mes de logiciels p 7 Le deuxi me l ment de la question de recherche se r f re l ad quation de l environnement des PMS analys s ces derniers furent principalement examin s lors des chapitres no 4 et no 5 et des mod les organisationnels La reponse a cette question est explor e a l aide d une deuxi me analyse qui compare ces deux aspects selon des crit res tablis Le chapitre se termine avec la pr sentation d une philosophie de management qui se caract rise par sa grande comptabilit avec le mod le organisationnel retenu Par ailleurs la culture pr n e par cette philosophie est g n ralement propice l am lioration continue de l ensemble des activit s d une entreprise 6 1 D veloppement des syst mes logiciels En science les trois approches suivantes permettent une meilleure maitrise globale du processus de d veloppement de logiciel 1 L utilisation des langages de mod lisation communs 2 Le respect des mod les permettant l utilisation syst matique de langage de mod lisation 3 Le respect des mod les de cycle de d veloppement Utilis e seule une approche isol e ne permet cependant pas une meilleure gestion de la complexit de la mati re Collonvill Th 2010 Or l approche scientifique en mati re de d veloppement de logiciel est fond e sur un d ploiement simultan des trois approches
163. es r sultats int ressants obtenus dans les autres domaines Poppendieck M 2002 Les deux notions fondamentales du Lean d une part la valeur ajout e et d autre part la reduction continuelle des gaspillages Waste s appliquent galement au LSD D j dans les ann es 1990 des entreprises telles qu eBay Dell Digital River ou Microsoft se sont fortement inspir es des outils tels que le Just In Time dans le but d acc l rer le temps de d veloppement d un logiciel Time To Market Les gains d une telle reduction en temps r pondent non seulement la demande client mais ils permettent galement une meilleure gestion des risques et des co ts d un projet de d veloppement Un autre outil qui figura parmi les premiers avoir t adapt pour l industrie informatique est celui du Value Stream Map qui fut l origine d un facteur nettement meilleur entre les fonctionnalit s d velopp es et celles r ellement demand es par les utilisateurs finaux Aujourd hui le LSD est devenu le synonyme pour les pratiques et les principes de d veloppement en mati re du g nie logiciel d apr s la philosophie du Lean Ces b n fices principaux sont une meilleure ad quation entre livrable et demande une gestion plus efficiente du temps des risques et aussi des co ts d un projet de d veloppement Kirtesh J amp al 2011 Des tels avantages r sultent notamment d une r duction du Delivery Gap Ce ph nom ne d signant l car
164. et 3 communication ouverte et transversale Collonville Th 2010 Une iteration repr sente un d coupage du processus de d veloppement int gral et de quasi chaque iteration dont la dur e moyenne est de deux six semaines le travail effectuer s organise selon un mini processus de d veloppement Les b n fices r sultant d un tel fractionnement du travail sont multiples mais l approche am liore consid rablement la difficult de la visibilit cf effet tunnel et implique davantage les clients dans les processus de d veloppement En effet ces derniers collaborent troitement avec l quipe de d veloppement non seulement pour la d finition des sp cifications mais galement pour les tests de fonctionnement Ce mod le collaboratif permet en outre une meilleure r activit quant la r solution de probl mes ou la prise en compte des besoins des clients volutifs L ensemble de ces facteurs permet au final une meilleure gestion de la qualit du prix et du respect des d lais l oppos des approches pr dictives les membres de l quipe d une gestion des processus agile travaillent davantage de fa on multidisciplinaire et requi rent des comp tences multiples Ainsi des facteurs tels que l ambiance collaborative la communication la prise de responsabilit l adaptation au changement et bien d autres sont remarquablement renforc s Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management
165. et la nature d un future ne permet pas une comptabilisation initiale tant donn que la valeur d un contrat terme est toujours nulle a l exception d un contrat standardis n goci sur un marche organis qui est galement li au versement d un d p t de garantie l oppos une option engendre un co t initial sous forme de prime Cette derni re sert de base pour l valuation initiale de l option put ou call Missonier F 2012 FIG no 2 6 Flux d un contrat terme gauche et d une option droite Flux Flux Gain Gain A j A A XS K Sr 0 0 gt 0 gt S gt C S aM T K Les flux d un forward Call Les flux d une option Put Position longue fi f Position courte fi p K prix de livraison de l actif sous jacent S prix spot de l actif la date T Achat de Call Max S K 0 Achat de Put Max K Sr 0 Source Missonier F 2012 2 8 Probl mes comptables des futures vs options Dans le cas des op rations de macrocouverture une autre raison peut pousser la banque pr f rer l utilisation d options celle de futures Les gains et les pertes r alis es sur les futures peuvent poser des probl mes comptables parce que ces gains ou ces pertes ne peuvent pas du point de vue l gal tre compens s par des variations de la valeur des autres l ments du portefeuille de la banque si ces variations ne sont pas encore r alis es Si une banque vend des
166. et des comp tences de l quipe Scrum La nouvelle approche hautement collaborative met au profit les comp tences multidisciplinaires des membres la r alisation d une meilleure interface Cette pluralit n est b n fique que dans la mesure o le nouveau syst me propose des possibilit s d change ou a lieu un r el transfert de connaissances Aujourd hui l laboration des Sp cifications d une interface est g r e par le chef de projet Avec Scrum la traduction des User Stories en sp cifications devient une t che r alis e avec l ensemble des membres En effet il s agit d une t che clef car les sp cifications de l interface d terminent troitement sa qualit finale En g n ral ce travail analytique n cessite entre 5 et 10 du temps de travail d un Sprint Pour l optimisation du temps une bonne pratique consiste dans l organisation d un workshop entre les membres avec l ventuelle participation du Product owner Le caract re officiel d un workshop assure une presence et une concentration elev e des participants car il ne doit pas coincider avec d autres activit s ou engagements Quelques Scrum master sugg rent m me l organisation de tels workshops avant la fin d un Sprint Dans ce cas les membres d un workshop pr parent le cahier des charges des items de la Product Backlog qui y figurent avec une priorit lev e A la prochaine s ance du Sprint Planning Il le choix des items pour le Sprint qui succedera est hau
167. eulement les d veloppeurs mais les personnes qui peuvent r ellement r soudre les probl mes notamment on introduit une certaine s paration du pouvoir d cisionnel o seul un expert d cide sur l approche pour la r solution d une certaine question Concr tement on s pare les m tiers techniques des m tiers d affaire tout en approchant les clients dans le processus de d veloppement En outre l organisation m me de ces increments s organise selon leur Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 111 importance et cette derni re est dict e par les clients Or on commence d velopper les fonctionnalit s les plus importantes pour nos clients et lesent pr sente en forme d inspection d mo directement la suite de leur programmation Les clients ou les repr sentants des clients inspectent ces fonctionnalit s et les approuvent ou les rejettent Finalement ce proc d est r p t jusqu l ach vement du logiciel Par un tel d coupage du produit en incr ments une approche multidisciplinaire des quipes et une communication voire une implication des d cideurs finaux les risques li s l effet de tunnel est fortement r duit En effet au lieu de devoir supporter ces risques sur la quasi totalit de la dur e d un projet ils sont diminu s la dur e d un increment qui correspon
168. eur de la t l communication THE CUSTOMER SERVICE PROCESS THE LEAN THINKING PERSPECTIVE IE Working Paper WP05 13 11 03 2005 Daisy Escobar Elena Revilla Instituto de Empresa Instituto de Empresa Operations and Tech Management Dep Operations and Tech Management Dep Maria de Molina 12 5 planta Maria de Molina 12 5 planta 28006 Madrid Spain 28006 Madrid Spain daisy escobar ie edu elena revilla ie edu This waste can be defined specifically for services in the following way George 2003 a Overproduction production of services above and beyond what is necessary for immediate use performing a service which the customer only requires at a later stage or providing them with a service they have not requested This waste is linked to the company s desire to achieve 100 per cent use of its resources So for example a telecommunications operator may choose to bring forward the date for transferring a line to a customer simply because it proves more convenient because it has staff to keep busy or because with this request it can put together an economic batch of services b Waiting time any delay between one activity and another It is waste which cannot be recovered It may arise from staff difficulties in knowing what has to be done because of lack of training lack of regularisation or lack of information And all this applies equally to the customer since they are co producers of the service c Defective products any aspec
169. eur est li la performance du syst me permettant un acc s instantan aux informations Le dernier des deux facteurs est le point o les syst mes bancaires d un c t et le PMS d un autre c t se rencontrent et interagissent l interface Portfolio Sync PSI N anmoins peu de recherches portent r ellement sur la probl matique de l architecture ou de la performance des syst mes PSI En m me temps le comportement des entreprises rencontr es dans le secteur de l information financi re nous laisse penser qu elles accordent une plus grande importance strat gique au premier facteur concernant la performance des fonctionnalit s du PMS Par cons quent il est donc primordial de r veiller l int r t pour les interfaces PSI et les facteurs qui influencent positivement le d veloppement l architecture et la performance des syst mes alimentant les PMS tant donn e la complexit de son environnement qui est qualifi d instable de tr s h t rog ne et d incertain Pour la premi re partie et avec comme indicateur de performance le taux de rejet notre probl matique de recherche peut donc tre pos e comme Existe il des l ments potentiel non exploit pour r duire le taux de rejet d une PSI L objectif dans un premier temps est l immersion dans l environnement des PMS et PSI a l aide de la v rification de plusieurs hypoth ses quant aux diff rents acteurs La compr hension de l environnement pose les
170. evue est la d monstration du travail effectu et la mise jour des statuts pour chaque item de travail au cours est ce qu il est enti rement et partiellement repris dans le cycle prochain et avec quelle priorit ou est ce qu il est accompli done Ainsi l avancement du projet et la qualit atteinte du produit final sont continuellement visibles pour l ensemble des acteurs Le Sprint Review met galement l accent sur la confrontation du Product owner avec la situation r elle et v cue par les quipes d une part et l inverse la confrontation des membres avec la r alit du Product owner et du march d autre part tell En termes de temps la revue se d roule en une heure avec une trentaine de minutes d di e la d monstration le temps restant invite la discussion entre les diff rentes parties Sprint Retroperspective La Sprint Retroperspective se d roule galement l issue de chaque cycle mais les participants se limitent aux membres et au Scrum master avec la participation facultative du Product owner L objectif de la r union r tro perspective est l inspection et l adaptation du produit en discutant de ses differents aspects et de ses am liorations potentielles L annexe no VIII contient des conseils et pratiques quant l organisation des s ances r tro perspectives et la mise en uvre des propositions d am lioration qui en r sultent Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Manag
171. f the Trade Infrastructure CCP ol uo M A NN and _ GRAN O OO en em el Ged neal vein eh de euroSIC SIG Stock Exchange SWX Group Payment System Swiss Interbank Clearing Clearing and Settlement Provider SIS SegalnterSettle Mainly Controlled Owned by Foreign Providers Source Gisiger M amp Weber W 2005 p 54 1 Trade les entreprises offrant les infrastructures ad quates l change lectronique des transactions boursi res 2 CCP Contrepartie Centrale personne morale qui joue le r le d interm diaire entre les parties une transaction sur titres en se substituant au vendeur vis a vis de l acheteur et vice versa En endossant le risque de contrepartie la CCP permet ainsi un meilleur fonctionnement des march s 7 3 Clearing and Settlement Provider le clearing en fran ais compensation est aujourd hui per u comme un processus de gestion du risque pour les titres Etant assist par une chambre de compensation ou par une CCP le clearing vise viter des paiements superflus entre les banques Le Settlement en fran ais r glement correspond au transfert de propri t des titres et leur change et marque la fin de la transaction 1 Le concept de l infrastructure et les technologies modernes du syst me boursier Suisse permettent un traitement hautement efficient des transactions boursi res et ces facteurs repr sentent une contribution troite l effic
172. financi res ces derni res synonymes pour la mati re premi re des PMS input et cette incapacit se manifeste par un taux de rejet des transactions non identifiables L tat actuel du taux de rejet des interfaces bancaires suisses correspond approximativement 15 D apr s les informations obtenues du groupe VWD concernant leurs interfaces ce taux se situe entre 5 et 8 pour leurs meilleures interfaces et entre 10 et 15 pour les interfaces moins performantes Toute transaction rejet e est analys e et ressaisie manuellement La PSI alimente les PMS avec la mati re premi re la plus importante les informations financi res reproduites et graphiquement repr sent es par le PMS L interfa age automatique ou manuel ajoute d s lors directement de la valeur au service final des PMS et repr sente un l ment important dans sa cha ne de valeur En aval l approvisionnement de la mati re premi re l information arrive par voie lectronique des banques d positaires des bourses lectroniques ou d autres agents d information financi re e g Bloombert Thomson Reuters etc Ces acteurs produisent ou transforment les informations financi res avec des syst mes d informations et les transf rent par les moyens de l EFT A la base chacun des acteurs se situant sur cette chaine d approvisionnement est confront au niveau lev de complexit de l environnement d crit ci dessus En amont de la chaine d approvisionnement la comp
173. futures pour se couvrir contre une hausse des taux d int r t en termes de macrocouverture et que les taux d int r t chutent le prix des contrats a terme ferme chute et la banque r alise des pertes importantes du fait de la vente des futures Bien entendu ces pertes sont compens es par des gains potentiels ailleurs dans le portefeuille d actifs de la banque mais la banque ne pourra pas au niveau comptable annuler ces pertes par les gains potentiels Donc m me si la macrocouverture est parfaitement efficace pour prot ger la banque contre le risque de taux il n en reste pas moins que des pertes comptables appara tront dans le bilan de la banque si le taux d int r t baisse Dans la r alit des dirigeants de banque ont perdu leur emploi du fait d une couverture a l aide de futures parfaitement adapt e mais ayant caus des pertes comptables la banque Il est donc logique que les dirigeants des banques puissent tre reticents l id e de proc der aux op rations de macrocouverture l aide de futures Les options permettent aux dirigeants de r soudre ce probl me En effet si une macrocouverture est pratiqu e l aide d options achat de puts au lieu de vente de futures dans le cas d une baisse des taux d int r t et d une augmentation du prix des obligations au dessus du prix d exercice des puts la banque ne fera pas de pertes et ne subira donc pas de pertes comptables parce qu elle d cidera de ne pas exercer ses options
174. g more than one piece of an item and then moving those items forward to the next operation before they are all actually needed there Thus items need to wait in a queue Also called Batch and Push contrasted with continuous flow Pull Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 57 2 Scrum La m thodologie Scrum est un d riv des th ories sur les syst mes complexes th ories de la complexit et s oriente troitement d apr s les meilleures pratiques du domaine du d veloppement de logiciel Avant tout ce mod le agile de d veloppement convainc avec sa simplicit quant a la mise en uvre et l application dans l op rationnel Pour ce facteur Scrum jouit effectivement d une grande popularit aupr s des entreprises qui la pratiquent Scrum se pr sente comme un condens des meilleures pratiques en termes de d veloppement de logiciel de ces cinquante derni res ann es Par ailleurs les experts et la litt rature accordent une importance moindre au c t m thodologique ou processus formel au paradigme Scrum Les diff rentes bonnes pratiques pr n es par Scrum pr sentent effectivement le centre d int r t du public Poppendieck M 2005 Sutherland J 2011 Selon Dr Jeff Sutherland co fondateur de la fondation Scruminc 27 et expert incontestable de la m thodologie Scrum est
175. galement proposer des outils et des solutions concr tes pour affronter une telle nouvelle situation Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 40 6 Nouvelle organisation du d veloppement des PSI Les chapitres pr c dents ont t enti rement consacr s l approfondissement de la probl matique de l approche opt e pour la r solution et aux aspects constitutifs du fonctionnement et du processus des syst mes de Portfolio Management Cette comprehension pose les fondements pour l analyse qui va suivre et le choix du mod le organisationnel finalement recommand En effet l int r t de ce chapitre et du suivant est de r pondre la question de recherche finale qui se presente comme Quel mod le organisationnel de d veloppement de PSI pr sente la meilleure ad quation avec l environnement du PMS pour r duire son taux de rejet Cette derni re question de recherche est principalement compos e de deux l ments Le premier l ment concerne les mod les organisationnels de d veloppement de logiciel existants Or ce document se poursuit en premier lieu avec un tat de l art des l ments concernant le d veloppement des syst mes de logiciel et des diff rents mod les de processus de d veloppement Cette partie s inscrit comme la suite de l introduction du d veloppement des syst m
176. ge des donn es doivent tre assur es avec le plus grand soin Selon les personnes consult es le profil type d un employ d un Family Office correspond bien et souvent celui d un employ du Front Office bancaire avec une pr f rence pour les activit s de conseils et commerciales Le profil d un employ Back Office avec le sens pour le travail administratif est typiquement sous repr sent dans les structures classiques de SFO ou celles d une petite MFO Caract ris par sa nature administrative les t ches n cessaires la mise jour d un PMS entrent classiquement dans les responsabilit s d un employ Back Office Les experts en mati re de PMS soulignent l importance du r le de la PSI et du processus d interfa age sans lequel le potentiel d un PMS ne pourrait tre r alis qu insuffisamment En effet une information incoh rente et incompl te due au dysfonctionnement du processus d interfa age repr senterait non seulement un risque pour la gestion de portefeuille mais elle r duirait galement une partie importante de la valeur ajout e qu apporte un syst me de PMS L interfa age se d roule en trois phases en commen ant par 1 le test d int grit des donn es obtenues pr paration de l interfa age en proc dant ensuite 2 l interfa age m me des donn es et en finissant par 3 le nettoyage des transactions rejet es par le billet d une correction et saisie manuelle Dans certains cas une partie des
177. giciel Lister M amp al 2003 Ces composants symboliques se visualisent g n ralement sous forme de texte ou de graphique repr sent s sur l cran l aide d un Graphical User Interface GUI Le c t symbolique du concept de l HCI preoccupera encore ces prochaines ann es les experts et scientifiques du domaine Ainsi il appara t que la d finition du terme interface dans le domaine de l lectronique ait continuellement volu dans le temps Initialement une interface a ete commun ment d finie voire limit e ses composants soft ou hardware n cessaires l interaction entre la machine et l humain Laurel B 1990 Aujourd hui le concept de l interface a volu et s est largi en comprenant des aspects cognitifs et motionnels de l exp rience des utilisateurs L interface est l endroit de l interaction entre les aspects techniques humains sociaux et culturels qui constituent l actuel univers de l informatique et celui des nouveaux m dias de la communication De ce point de vue l interface devient centrale dans la cr ation et la d termination des relations entre l humain et la machine Manovich L 2002 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 2 6 Conclusion En guise de conclusion l tat de l art avec l approfondissement de ces derni res notions constit
178. guage Application Lifecycle Management Association suisse des banquiers Asset under management Boston Consulting Group Banque nationale suisse Central Counterparty en fran ais Contrepartie centrale Customer Relationship Management Dynamic Systems Development Method Electronic Data Interchange External Family Office Electronic Found Transfer Family Office Service Provider Haute cole de Gestion Human Computer Interaction Ing nierie Dirig e par les Mod les Information System Systeme d information Lean Software Development Model Driven Architecutre Multi Family Office Model Integrated Computing Master of Science in Business Administration Over the counter en fran ais gr gr Part de marche Produit int rieur brut Petites et moyennes entreprises Portfolio Management System Portfolio Sync Interface ou Sync est l abr viation pour Synchronisation Secr tariat d tat l conomie Rapid Application Development Single Family Office Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication Unified Modeling Language Unified Process amp Rational Unified Process Vereinte Wirtschaftsdienste eXtreme Programming Pr ambule Complexit Aujourd hui les logiciels sont omnipr sents et concernent tous les aspects de notre vie moderne L organisation de leur d veloppement est n anmoins une entreprise complexe qui exige la prise en compte de nombreuses m thodes et techniques qui permetten
179. hangement Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 120
180. hui surnomm Xivalog o X fait r f rence notre banque et au niveau lev de customisation Finalement nous sommes revenus la situation de d part avec un grand besoin d harmonisation et d unification des bases de donn es internes L environnement de l IS est caract ris par une multitude de progiciel et le d fi d aujourd hui et de demain consiste dans l harmonisation videmment les nouvelle exigences en terme de transparence impos es par la Finma les Etats Unis ou encore l UE ralentiront ce processus car la mise jour du syst me par rapport aux nouvelles r glementations demande non seulement des ressources mais sera galement prioritaire Question 10 PB dans le secteur bancaire et celui des IS bancaires existe t il des tendances vers une harmonisation unification des syst mes Par exemple unification des codes d op ration pour les actifs extra ISIN Ou les pratique de comptabilisation de tels produits CF D cidemment non Par rapport cette question d unification harmonisation des IS sur un niveau industriel par exemple j ai d j tait invit des conf rences mais de tels projets ont la vie courte Dans l actuel environnement financier la complexit est telle que nous ne parvenons pas ma triser l ensemble des questions techniques dans l IS bancaire interne Par cons quence les produits IS manquent toujours de maturit pour pouvoir aller vers une harmonisation des sujets
181. i 6 4 200 000 E g i j i l l 64 fi E 6 3 150 000 6 3 0 100 000 Gen 6 2 50 000 6 1 6 1 0 6 0 mm Autres services financiers memm Part de l emploi mms Assurances Banques Source OFS en ETP et de l ensemble Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 81 En 2011 la Banque Nationale Suisse BNS rapporta le nombre de 312 tablissements bancaires en Suisse avec deux acteurs forts dominants elle seule UBS en repr sente 30 et Cr dit Suisse 22 du part de march pdm loin devant le Groupe Raiffeisen avec 6 pdm la Banque cantonale de Zurich 5 5 pdm et HSBC Private Bank 2 pdm Les avoirs des banques suisses avec au total Frs 2 793 milliards d actifs repr sentant cing fois le PIB Suisse sont r partis de mani re gale entre les tablissements se situant sur le terrain de la Conf d ration Suisse et a l tranger avec toutefois 82 du total de l effectif employ aupr s des tablissements domestiques Suivant le rapport publi en septembre 2011 par l Association Suisse des Banquiers et le Boston Consulting Group ASB amp BCG 2011 les revenus bruts des banques Suisses s levaient Frs 58 6 milliards avec une croissance positive progressant de 1 8 par an sur les cinq prochaines ann es plus long terme les opportunit s se pr sen
182. i pourtant identiques Par cons quent son comportement est dict par un certain niveau d impr visibilit A l oppos le comportement d un ordinateur est fortement pr visible car il ne peut r agir de fa on syst matique en suivant les r gles qui lui ont t programm es La probl matique et le domaine des interactions entre l humain et l ordinateur sont plus que jamais d actualit et les scientifiques sont unanimes en recommandant d effectuer d autres tudes ce sujet Une avanc e remarquable de la question quant la d finition du concept d interface est due aux travaux de la scientifique Teena A M Carnegie qui approfondit les aspects de l interaction d une interface en cat gorisant cette derni re en fonction de la nature de l metteur et du r cepteur Selon cette approche le ph nom ne de l interface existe tout endroit et a tout moment des lors que des interactions entre un utilisateur et un ordinateur entre un utilisateur et un logiciel entre un ordinateur et un logiciel entre un utilisateur et un contenu entre un logiciel et un contenu entre un utilisateur et une culture et m me entre deux utilisateurs aient lieu Carnegie T A M 2009 De fa on g n rale les d finitions de HCI du pass mettent l accent sur les composants physiques voire fonctionnelles des interfaces Les d finitions plus r centes en revanche introduisent la notion de la symbolique de l utilisation d un ordinateur par le billet du lo
183. ibuts de la culture d une organisation capable d affronter les nouveaux d fis de l conomie mondiale En effet l environnement conomique cologique et social des entreprises a fondamentalement entam une transformation et les approches lin aires de l organisation ne permettaient ni la flexibilit ni la vitesse n cessaire pour r ussir 23 Traduction litt rale Arr tez de courir la course de relais et commencez jouer Rugby Mettant cette d claration dans son contexte the Relay est un synonyme pour une approche lin aire en d veloppement de software pr dictive et le jeu am ricain Rugby un synonyme pour une approche holistique agile de d veloppement de produit 24 Traduction litt rale Selon l approche rugby le processus de d veloppement de produit merge de l interaction constante d une quipe multidisciplinaire et cueillie la main qui collabore du d but jusqu la fin 25 Traduction litt rale comme en Rugby le ballon s change entre les membres d une quipe et cette derni re se d place interagit comme une unit Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 54 Dans le contexte du d veloppement d une PSI plus performante les recommandations manag riales du present chapitre soutiennent enti rement l esprit
184. ication d taill e pour la Sprint Backlog se fait en termes d heures ou de jours 7 2 5 1 Aujourd hui versus demain Aucune des techniques expos es dans ce paragraphe n a t identifi e pendant les entretiens Propices l am lioration continue ou la clarification ces techniques sont pourtant des moyens simples et faciles r aliser pour une entreprise Ces techniques dont le nombre peut varier consid rablement sont mises en place pour r soudre des probl mes qui apparaissent syst matiquement au sein d une quipe ou d une entreprise G n ralement elles visent la clarification des ambig it s par la sp cification des r gles partag es comprises et accept es par les personnes concern es Le besoin d avoir de telles astuces nait naturellement dans le contexte professionnel et par l interaction sociale Or la r elle difficult quant leur mise en place n est pas leur justification d tre mais leur identification Avec le r le du Scrum master l entreprise dispose d une personne qui est sensible ces ph nom nes et qui s int resse galement leur r solution Typiquement l laboration l acceptation la communication et la mise en pratique correcte des quatre techniques mentionn es ci dessus sont sous la responsabilit du Scrum Master Le choix des quatre techniques est enti rement fond sur le conseil des experts lors des entretiens car elles taient toutes qualifi es comme tant particuli rement puissan
185. idienne des projets et plus au niveau de la quasi totalit de la dur e A court terme le cout des projets risque de d passer le cout moyen actuel Cependant ce co t suppl mentaire est un investissement pour obtenir une qualit sup rieure des interfaces avec un taux de rejet moindre Au del de la qualit am lior e des interfaces les ressources humaines de l entreprise b n ficient galement de la nouvelle structure organisationnelle avec un poste de travail plus valorisant int ressant et motivant terme ces m mes facteurs b n ficient l entreprise et l am lioration de ses structures de co t des projets Scrum soutient troitement ce processus et assure l atteinte du ROI quilibr dans des d lais int ressants Parall lement la probabilit de r ussite est un des facteurs clefs et d cisifs face tout changement organisationnel En g n ral le facteur de r ussite avec Scrum est particuli rement lev Dans le cas pr sent du d veloppement d une PSI les crit res de r ussite de projets comprendront d sormais galement le taux de rejet comme tant le nouveau crit re d cisif Cette d marche de qualit assure l alignement strat gique des projets de d veloppement des interfaces et acc l re le changement de la culture d entreprise Les principes du Lean Management et du Lean Software Development soutiennent troitement un tel changement et proposent galement une base stable pour la nouvelle culture d
186. ier d bute avec une description des march s pertinents se poursuit par la presentation des acteurs clefs du syst me PMS analys et se termine avec l approfondissent des deux notions de Portfolio Management System PMS et de Portfolio Sync Interface PSI propos es par ces acteurs clefs 4 1 Marches des informations financi res amp du secteur financier Les l ments exposes du marche des informations financi res et de ses solutions informatiques e g les systemes PMS sont suivis par un apercu du marche financier Ce choix est motive par une dependance forte entre ces marches qui s explique sur plusieurs niveaux Le marche financier et les activit s qui y sont li es constituent notamment la raison d tre du march des informations financi res et des outils informatiques les visualisant Toute chose tant gale par ailleurs la demande pour des solutions permettant l optimisation de la gestion de portefeuilles se comporte conform ment a l offre du marche financier Un autre facteur justifiant la pertinence du choix est bas sur la n cessite des connaissances profondes des march s financiers pour tout producteur d outil PMS Cette relation est n cessaire tout d abord au bon fonctionnement du syst me de PMS et elle figure de fa on plus d taill e dans le paragraphe no 5 3 2 2 dans la partie d veloppement par rapport a l analyse qualitative du point Marche amp nature des instruments financiers p 29 4 1 1 Marche de l
187. in au stade de la planification Limit e au stade de la planification Limit par l approche holistique En moyen de formations s ances avant le projet Base En spirale Semi Agile Pr d fini amp exig Pr d fini D termin au stade de la planification projet Partiellement variable projet Partiellement variable Principalement au stade de la planification Chaque iteration Limit par l approche holistique l approche holistique En moyen de formations s ances formations s ances avant le projet Base moyenne Moyenne nn Elabor durantle Elabor durantle Elabor durantle ee E S Limit e aux fins de Pr d fini pour les phases planification amp cl ture Elabore durant le projet Elabor durant le projet Elabor durant le projet Continue Illimit par l approche it rative En moyen de Continue avant le projet Elev e Source Schwaber K 1997 p 11 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 48 6 3 1 Pr sentation de l tat actuel Le mod le de d veloppement de logiciel actuellement pratiqu pr sente des caract ristiques la fois selon une approche agile et lin aire avec toutefois une dominance nette pour l approche lin aire En effet
188. information financi re amp des solutions informatiques Le marche des informations financi res n est que difficilement separable du marche des solutions technologiques e g PMS car les agences de l information financi re sont galement ses propres producteurs et propri taires intellectuels des technologies et plateformes en question Toutefois la grande h t rog n it du march aura permis un nombre important d acteurs de se sp cialiser dans une des nombreuses niches du march et ces derniers se positionnent soit comme des producteurs de logiciel PMS soit comme des entreprises de service dans la consolidation G n ralement le march europ en et international est fortement h t rog ne et concurrentiel avec un nombre important d acteurs de petite taille ou de taille moyenne Par ailleurs l environnement est hautement concurrentiel tant donn e la tendance forte pour des strat gies de croissance par fusions et acquisitions en anglais merger and acquisition ou M amp A des acteurs Par cons quent l environnement est en changement continu Cependant dans trois sous secteurs du march celui de l information professionnelle celui de l information financi re et enfin celui de l information juridique les deux agences Thomson Reuters et Bloomberg disputent une position fortement dominante Ces deux acteurs am ricains Thomson Reuters avec plus de 50 000 employ s et Bloomberg avec plus de 10 000 employ s jo
189. ing convenu par l ensemble de l quipe de d veloppement Ensuite le 80 du total du travail consiste dans le d veloppement par l unit de programmation Cette phase d bute avec une collaboration tr s proche avec la banque pour d finir la future structure de la base de donn es Backend Portfolio Data Sa cartographie se con oit commun ment en forme de mapping avec l ensemble des couplages des donn es entre la structure de cette base de donn es avec le PMS Ce travail de couplage est effectu par la PSI et l unit de programmation d veloppe les fonctionnalit s y n cessaires Ensuite la derni re phase avant la documentation et la cl ture d un projet les s ries de tests sont d terminants pour liminer les probl mes techniques initiaux Cette derni re phase est nouveau conduite avec l int gralit de l quipe Question 5 PB Quelles sont les forces faiblesses de l actuel syst me JF L quipe exp riment e avec son taux de succ s des projets impressionnant En effet je dirais que 80 des projets sont accomplis dans le respect des d lais du budget et de la qualit initialement pr vue Au niveau des faiblesses le manque de visibilit pour les personnes en dehors de l unit de programmation et le manque de visibilit g n rale des projets en cours sont parmi les d savantages de l actuel syst me A l heure Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing
190. ingle client Very rare One Client Multiple Clients Number of Clients Source Ehlern S 2006 p 250 Les caract ristiques communes des Family Offices University of St Gallen amp VP Bank 2008 1 Famille amp Office La signification des termes Family et Office est la premi re et la plus vidente caract ristique commune Family en fran ais la famille se r f re aux notions du priv et de la protection des int r ts d une ou plusieurs familles La famille est une construction sociologique troitement influenc e par sa culture ses valeurs et son eduction Le deuxi me terme celui de Office introduit la notion des affaires dans le concept du Family Office Ce dernier tant le d fendeur des int r ts multiples d une famille les employes du Family Office g rent conseillent sous traitent les activit s n cessaires la gestion du patrimoine Le graphique suivant cf figure no 4 2 illustre le r le central du Family Office entre la famille et ces differents intervenants Soci t multidisciplinaire La mission d un Family Office tant la conservation des int r ts patrimoniaux d une famille ce dernier doit faire preuve d un savoir faire multidisciplinaire entre huit et neuf disciplines clefs en planification et gestion de fortune En fonction de ces structures organisationnelles les Family Offices doivent faire des choix strat giques quant la sous traita
191. ions en fran ais de ces termes ne sont pas videntes et conduisent des p riphrases longues D emploi universel les expressions anglaises sont d s lors les plus pr cises Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 28 des difficult s quant a ces trois notions car leur valeur initiale se chiffre souvent z ro et s ajuste avec l ex cution des droits et des obligations FIG no 14 Flux d un contrat terme gauche et d une option droite Flux Flux Gain Gam A i Z V4 K y ST 0 0 0 gt Q _ gt S 7x E f Z f 4 Les flux d un forward Call Les flux d une option Put Position longue fi f Position courte fi p K prix de livraison de l actif sous jacent S prix spot de l actif la date T Achat de Call Max Sr K 0 Achat de Put Max K Sr 0 Source Missonier F 2012 Les contrats a terme futurs posent des probl mes de comptabilisation dans le cas d une op ration de macrocouverture concernant la notion de la juste valeur des gains et des pertes r alis es Par contre ces op rations de macrocouverture de risque n ont qu une influence modeste sur la capacit d un PSI tant donne l usage principalement sp culatif des d riv s dans le cadre de la gestion de portefeuille 5 3 2 3 Conclusions amp co
192. ironnement la cr ativit et la flexibilit des quipes 6 tout comme le transfert des connaissances 7 pr sentent des facteurs clefs de r ussite dans l tat futur En effet la limitation de la cr ativit et de la flexibilit des quipes par l actuel syst me qui opte pour une approche pr dictive dans la d finition des fonctionnalit s d une future interface ne sera plus adapt e Au contraire la nouvelle quipe multifonctionnelle avec des experts des diff rents domaines n cessite g n ralement une grande libert quant la recherche et la cr ation de nouvelles solutions Une quipe auto g rante avec un niveau lev d autonomie soutient galement le processus de cr ation des innovations 1 Au sein de l quipe la n cessit du transfert des connaissances serait d sormais donn e sans limitation et ce tout au long d un projet de d veloppement L approche collaborative d une quipe multifonctionnelle et le d veloppement des solutions innovatrices exigent une grande ouverture d esprit pour les membres des quipes tout comme pour la direction et le management de l entreprise qui les soutiennent L ouverture d esprit et le changement de mentalit accompagnent la prise de conscience de la n cessit d un nouvel indicateur de qualit des interfaces futures le taux de rejet D s l introduction du nouveau mod le le taux de rejet sera consid r comme tant l un des indicateurs importants qui d terminera la qualit
193. it s par des couches de s curit Tr s bonne visibilit e Tr s bonne transparence e Permet autant au management qu aux membres d une quipe d identifier les goulets d tranglement Bottlenecks le workflow ou aussi la chaine de valeur Value stream e Encourage les parties prenantes pour aller a la Gemba Ce dernier point me ram ne au Gemba Walk Qu est ce que c est Gemba Le management IT ou g n ralement le management d crit Gemba comme faire sortir les dirigeants et les manager de leurs bureaux pour qu ils aient dans les lieux de travail Je pense que cette description est bonne mais seulement pour commencer En plus je crois que Gemba Walk est un concept qui ne s applique pas seulement au management et les leaders Toutes les parties prenantes doivent tre encourag es participer aux Gemba Walk afin d am liorer la compr hension g n rale de ce qui se passe dans l organisation Gemba Walks permettent souvent une connaissance plus approfondies du travail et impliquent des questions pr cises R cemment j ai particip un Gemba Walk du d partement de Marketing ma grande surprise j ai d couvert que ce d partement n a pas mis un mais deux Gemba Boards en place voire les deux photos ci apr s Fig no 4 amp 5 Pendant le Gemba Walk j ai demand MH directeur du d partement marketing produit et SW directrice de MarCom deux questions po
194. ivers types d actifs FIG no 8 Vision globale de la chaine de valeur du portefeuille banks estimation and paintings securities consolidated analysis cars lawyers of assets sculptures notaries jewellery insurances real estate hedges funds planes private placements boats rights brevets horses Source Galeo SA Brochure Corporate Presentation 2013 Les fondements th oriques li s au concept PMS sont abord s dans la section de la revue de la litt rature cf 2 3 Portfolio Management Systeme p 6 En resume il s agit d un syst me et d un outil informatis d aide a la decision dont les fonctionnalit s soutiennent la gestion de portefeuilles et sont notamment dict es par la th orie de portefeuilles de Markovitz La performance de l outil PMS est principalement li e a deux facteurs et son environnement complexe est caract ris par un niveau lev d instabilit d h t rog n it et d incertitude Dans la pratique la gestion des portefeuilles est soumise aux tablissements financiers tels que les banques ou les fiducies sp cialis s dans la gestion de fortune ces derniers sont d sormais principalement abord s par la notion du Family Office Aujourd hui l activit de la gestion de fortune est fortement informatis e et r alis e par une main d uvre hautement qualifi e Or des tels outils d aide la d cision sont devenus incontournables pour qu un charg de clients puisse correctement ex
195. jour le nombre des transactions rejet es revient a 2 755 transactions dont chacune n cessite l analyse et la ressaisie manuelle par un des employ s du centre de traitement L interface d utilisateur cf FIG no 9 se pr sente de fa on moderne et fonctionnelle et op re dans un environnement Windows L objectif de cette interface qui se presente commun ment sous forme de fen tre Windows est double Premi rement l User Interface permet l emploi ais des diverses mais toutefois complexes fonctions n cessaires la gestion et l analyse des portefeuilles Deuxi mement ces masques windows facilitent galement la saisie efficace order entry des transactions et permet la personnalisation des diverses configurations selon les pr f rences de l utilisateur FIG no 9 User Interface du VWD Market Manger res market maneg e nr atts lel iG TETE EE ee Lee ere rare Pee eee peasy eT Ae 409 5 t t L ww 5 in em CRETE 20 9 SOIS XETRA GER oxowz zeo EYSEFENSEY YE HSE AKTIEN VORRERICHT ICHTE BERRESHEERESS Eye 22ILILERAEA IISG cn financial solutions 2 R z _haot e a l ee t o Il Ice in fine NEC pee Sins BE pages ee SEE REG Ts j ee TT rtf Ur FET Ty eh DP eus t Too a RTS se 4s Source Site Web VWD 2013 8 95 2 2 5 8 2 10 15 il s agit du pourcentage de la moyenne entre le taux de rejet moyen d une interface performant
196. lateforme s curis e pour le t l chargement des entreprises PMS ou 3 Syst me Pull o les banques d positaires d posent les fichiers a l aide d un logiciel sur une plateforme s curis e de l entreprise PMS L achevement du processus d importation constitue la condition de d marrage du processus d interfa age des donn es avec une PSI et les trois phases de ce processus d interfa age figurent au paragraphe no 5 3 4 3 sous les conclusions de l analyse macro par rapport au sujet de Utilisateurs d un PMS Family Office p 35 En attendant la PSI soutient galement deux des trois syst mes d importation des donn es Backend Portfolio Data mentionn s ci dessus savoir le syst me Push 2 et de Pull 3 Dans ces deux cas les contenus des fichiers sont simultan ment import s et v rifi s l aide des tests logiques Or ces tests logiques sont automatis s par le logiciel PSI et consistent dans la v rification de la comptabilit des donn es avec le format et la structure pr d finis Dans le cas affirmatif la PSI proc de la conversion des donn es Celle ci concerne la traduction des diff rents formats des fichiers entrant e g WSIFT XML MMASCI etc dans le format compatible avec la technologie des PSI et PMS e g MMASCII Apres avoir converti les formats la PSI effectue le couplage des nouvelles donn es avec les diff rentes bases de donn es du PMS Cette derni re phase est notammen
197. le PortfolioNet ou le VWD Portfolio Manager Une description g n rale des acteurs clefs du processus macro de PMS figure n anmoins au niveau de l analyse qualitative cf chapitre no 5 partir de la page 24 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 42 1 Galeo SA La soci t ind pendante Galeo SA une entreprise genevoise a taille humaine avec seulement sept employ s dont deux au Luxembourg est aujourd hui le representant officiel des produits du groupe VWD pour le marche des syst mes de PMS en Suisse francophone aux pays Benelux et en France Cependant le c ur du m tier de Galeo est la consolidation des portefeuilles cf le paragraphe no 4 3 Portfolio Management System p 19 Avec un premier abord r ducteur cette d finition d crit toutefois pr cis ment les activit s de base de la PME Du point de vue de Galeo le m tier de consolidation de portefeuilles consiste en une pr sentation globale et coh rente de l int gralit des actifs et des valeurs d un client La grande valeur ajout e pour sa client le priv e et institutionnelle i e Family Office Service Provider FOSP fiduciaires caisses de pensions voire m me banques offerte par Galeo est fond e sur l int gration de l ensemble des l ments de chaine de consolidation dans la conception de ses services cf FIG no 5
198. le avec des phases de stabilisation sustainablity phase FIG no 26 Amelioration continue am lioration durable par tape AR GE Future State Vision Current State Source www lean org Le Lean Management s inscrit dans la mission d une entreprise et poursuit des objectifs multiples Bas sur une profonde connaissance du Lean Thinking le management est charg de cr er un environnement et une culture propice au Lean Thinking de faciliter et d encourager l application des methodologies du Lean bo te outils du Lean Production et de soutenir son fonctionnement Emiliani B 2008 3 Le Lean Manufacturing ou Production se visualise ais ment l aide de l image d une boite outils contenant les methodes techniques indicateurs et autres de la methodologie En annexes le tableau r capitulatif resume plus de 35 outils en les classant selon leur domaine d application cf annexe no Il Boite a outils Lean Historiquement le p re du Lean est l entreprise Toyota avec son Toyota Production System TPS ou le Lean Thinking persiste toujours comme mani re standard de penser Liker J K 2004 Issu du milieu de l automobile Lean emergea dans les autres secteurs notamment dans le milieu militaire et dans les milieux concernes par la production a la cha ne Sa popularit fortement croissante ces derniers d cennies est d une part due a la grande adaptabilite du concept et de ses m thodologi
199. le niveau de maturit des domaines analys s est ce le bon choix d automatiser en r duisant l intervention humaine paradoxe Dans un deuxi me temps l objectif d une autre analyse consiste dans le choix d un mod le organisationnel permettant le d veloppement d interfaces plus performantes Le choix est fond sur une comparaison qualitative entre l environnement du processus PMS et des caract ristiques des diff rents mod les organisationnels Dans ce contexte les r ponses aux questions suivantes sont au c ur de notre pr occupation quels sont les l ments qui influencent un tel choix Qui participe et avec quelles contributions au d veloppement des interfaces Comment peut on assurer d appartenir aux 25 de projets qui aboutissent dans les d lais et les co ts et avec la qualit impos e Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 10 3 M thodologie 3 1 Design de recherche D apr s les connaissances de l auteur le pr sent travail est le premier document publique qui analyse avec une approche scientifique la question de l am lioration de la performance d un Portfolio Management System avec comme objectif la reduction du taux de rejet des interfaces bancaires PSI Plus pr cis ment cette recherche exploratoire poursuit l objectif d approfondir les connaissances quant aux aspe
200. les dans cinq pays europ ens diff rents Le sch ma suivant cf FIG no 7 repr sente la structure d centralis e du groupe avec sa holding VWD AG a Frankfurt FIG no 7 Structure organisationnelle VWD Group Source VWD Gesch ftsbericht 2012 Le groupe VWD est cot a la bourse allemande et son capital est aujourd hui majoritairement d tenu par la Vienna GmbH Debut d cembre 2012 cette derni re d clara l achat de la majorite du capital d actions correspondant a 98 78 de l ensemble des actions droit de vote soit 25 440 147 actions droits de vote ou a la somme d EUR 71 232 411 60 La Vienne GembH est sous contr le du Fonds Carlyle Europe Technology Partners Il Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 4 3 Portiolio Management System Le Portfolio Management System PMS est une solution informatis e permettant l obtention d une vision globale du patrimoine d une personne Commun ment appel portefeuille client le patrimoine se compose g n ralement de divers d actifs et d objets de valeur Outre la fonction de visualisation un PMS dispose de fonctionnalit s sophistiqu es soutenant la gestion de portefeuille et il sert d outil d aide la d cision pour des questions de choix d investissement La figure FIG no 8 illustre une vision int grale d un portefeuille avec ses d
201. les diff rentes technologies et les diff rents acteurs les banques d positaires lS bancaire avec son gap technologique le transfert lectronique des donn es la complexit lev des produits financiers etc Par cons quent le niveau moyen de la qualit des informations trait es par une interface bancaire se traduit par un taux de rejet des informations non identifiable Pourtant la probl matique concerne la reduction de ce taux de rejet par la production d une interface plus performante tout en supposant la qualit de l information comme tant un facteur exog ne et non influencable En parall le les m tiers et les personnes confront s cette m me difficult concernant le traitement des informations financieres ont developpe des strategies et des pratiques permettant la resolution de problemes tant donn ces facteurs exogenes et non influencables court terme Finalement les pistes d am lioration explorees suggerent une consideration et une reproduction des telles pratiques qui permettent une amelioration significative du taux de rejet 2 Or l une des nouvelles fonctionnalit s d une interface d velopper par l quipe exprim e en forme de User Story ou Use Case pourrait tre L interface imite trois pratiques de l analyse par nature des produits qui permettent l interfa age des trois cat gories de rejet les plus courantes Avec une telle fonctionnalit l quipe devrait a un moment donn analyser les
202. lexit quant au traitement d une information financi re se trouve tendanciellement accrue tant donn le nombre important d intervenants et l h t rog n it des pratiques de traitement des informations financi res Le concept d interfa age voire g n ralement celui du transfert d information repose sur une information de qualit coh rente en temps r el et unique unicite de l information Pourtant l analyse qualitative entreprise d montre plusieurs faiblesses du syst me actuel qui s opposent a ces conditions assurant un bon fonctionnement En r alit l environnement du processus de PMS est caract ris par le gap technologique des IS bancaires et d autres instituts intervenants l h t rog n it des pratiques quant au traitement de l information des irr gularit s des normes de l EFT la nature particuli re de certains produits financiers contrat terme impliquant les notions de comptabilisation initiale ou ult rieure voire galement celle de la juste valeur A long terme l volution de chacun de ces derniers elements tend vers un meilleur niveau de qualit des informations correspondant aux conditions d crites Simultan ment ce ph nom ne permettra la r duction du taux de rejet des PSI En revanche ces changements syst matiques des technologies n auront pas lieu court terme ou a moyen terme et les id es propices a la production d une interface plus performante seront n cessairement fond es sur d aut
203. lients ne tel chargent pas syst matiquement tous ces trois types de fichiers et il n est pas simple d identifier qui t l charge quels contenus et si nous constatons des probl mes avec un fichier sp cifique de savoir qui doit on pr venir A pr sent nous laborons une cartographie des clients et des fichiers t l charg s pour pouvoir les pr venir en cas de besoin Mais ce projet n est toujours en stade de d veloppement et a l heure actuelle nous n entreprenons pas des activit s d alerte vis a vis de nos clients Nous n avons galement pas encore d cid avec quels moyens nous contacterons les clients en cas de probleme mailing telephone etc Question 2 CD parlons galement de la fa on dont vous traitez les diff rents produits financiers En particulier les produits qui n ont pas d identifiant unique voire de r f rence ISIN comment votre syst me les reconnait voire comment les entreprises tierces peuvent elles traiter voire comprendre la nature des transactions les prix les valorisations etc CF En effet c est bien de refocaliser le sujet pr sent je vous ai davantage expliqu le syst me du transfert des donn es entre la banque et des entreprises tierces Or cette approche est totalement ax e sur le transfert des donn es et non pas sur le contenu voire le traitement ult rieur des donn es l aide du code d op ration toute op ration transmise peut tre id
204. lioration des activites par la reduction des activit s dites destructives de valeur typiques le taux de rejet La section actuelle se poursuit avec la pr sentation des principes du Lean Management qui est compl t e par la description du LSD la section no 7 1 p 55ss Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 6 4 Lean Management Globalement le changement du mod le de d veloppement vers un propice a la g n ration d un tel niveau d innovation doit galement s accompagner d un changement de la culture de l entreprise Actuellement le groupe VWD AG met l accent principalement sur le d veloppement des fonctionnalit s et la performance des syst mes PMS Les moyens cons quents qui y sont allou s comme l approche professionnelle quant l organisation des projets PMS en sont la preuve Pourtant la performance globale des syst mes de Portfolio Management d pend a la fois et avec la m me intensit de la qualit des fonctionnalit s du PMS et de la performance des interfaces syst me d alimentation du PMS L incorporation de ces r sultats des recherches scientifiques et appliqu es dans les strat gies d une entreprise n cessiterait d abord la reconnaissance des telles vidences par les dirigeants pour ensuite pouvoir conduire aux changements n cessaires Actuellement le taux de rejet n
205. liser les informations d un PMS les banques d positaires envoient quotidiennement des fichiers avec l tat actuel des titres poss d s par un client l aide d une interface PSI sp cifique chaque banque les donn es des fichiers sont extraites et reproduites dans un langage compatible avec celui du syst me de PMS 12 http www vwd de vwd files PIB_PSI_deu_4_Einzelseiten pdf consult en 01 2013 13 existe divers syst mes de mise disposition des donn es par les banques d positaires 1 Envoi des fichiers par courriel lectronique 2 Systeme Push o les banques d positaires proposent les fichiers sur leur propre plateforme s curis e pour le telechargement des entreprises PMS ou 3 Systeme Pull ou les banques d positaires d posent les fichiers a l aide d un logiciel sur une plateforme s curis e de l entreprise PMS Quant a l analyse du present document l exploration de possibilit s propices la diminution du taux de rejet de la PSI aucun de ces trois syst mes ne semble influencer positivement ou n gativement le taux de rejet Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 24 De fa on g n rale cette mise jour s effectue quotidiennement et concerne l interfa age des donn es financi res de la veille Les donn es parviennent a un centre de traite
206. lit des quipes en suivant quelques bonnes pratiques FIG no 29 Mod le Scrum ScrumMaster fi Input from End Users Product Daily Scrum Customers Team and Backl Meeting and Other Stakeholders SRS Refinement Artifacts Update Product Owner Team i i i i Review Team Selects How Much To f CommitToDo awe BySprint sEnd Potentially No Changes Shippable Product Sprint Planning Sprint in Duration or Goal Increment Meeting Backlog r Parts 1 and 2 i i Product f f Backlog Retrospective Source Sutherland J 2011 p 16 a http scruminc com who we are html consult en 08 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 58 La priorit des diff rents l ments qui constituent la Product Backlog cette derni re est commun ment qualifi e de work breakdown structure WBS ou en fran ais de structure de r partition du travail SRT dans la gestion de projet suit une hi rarchisation effectu e partir des besoins dict s par les clients La Product Backlog r sume la vision et un niveau lev les fonctionnalit s du futur produit d velopper Pour pr parer un sprint l quipe multifonctionnelle choisit les lots en suivant les priorit s de la Product Backlog et d finit les diff ren
207. lles solutions novatrices Comme cela a t bri vement abord pr c demment le succ s du d veloppement des meilleures interfaces selon un mod le agile d pend galement de la capacit de l entreprise et de ses dirigeants de conduire un changement de mentalit de la culture d entreprise Aujourd hui les cat gories de rejet les plus r currentes sont suppos es tre exogenes la sph re d influence de l entreprise car elles sont li es la qualit de l information Par cons quent leur existence est g n ralement tol r e par les dirigeants et les employ s Demain la r duction des taux de rejet deviendra un des objectifs de l entreprise qui devra s en approprier et y allouer les ressources n cessaires pour la recherche de solutions possibles Ce repositionnement du statut vers une intol rance des taux de rejet se traduit parall lement par une d marche de qualit Cette d marche de qualit consiste notamment dans une r valuation de la qualit vis e des interfaces produites et entretenues qui est galement d finie par la notion du taux de rejet Par cons quent le taux de rejet concerne galement la notion de succ s d un projet de d veloppement d une interface Une culture d entreprise propice aux mod les agiles de d veloppement en particulier pour le mod le recommand nomm Scrum est le Lean Management et le Lean Software Development LSD Un des fondements principaux du Lean est la recherche continue d am
208. me IS mais qu il ait galement une meilleure comprehension des contenus trait s par les IS Ses connaissances m tier et son savoir faire technique sont particuli rement pr cieux dans le cas d un syst me IS produisant un niveau de qualit m diocre de l information financi re 1 5 R le du Front Office Tout comme le r le du Back Office le r le et les responsabilit s d un employ du Front Office bancaire varient en fonction des banques Cependant l activit principale consiste conseiller des clients sur les services et les produits offerts par une banque Les activites d un employe du Front Office ce dernier tant galement qualifi de charge de clients s articulent autour de trois dimensions 1 une dimension commerciale 2 une dimension relationnelle et 3 une dimension administrative Retour amp al 2006 La nature des taches est a la fois analytique et op rationnelle Les taches typique du travail du Front Office sont notamment la gestion des contrats de la connaissance et de l historique des clients patrimoine strat gies d investissements historique des entretiens personnels etc Le travail d un charge de client le bancaire est galement troitement soutenu par lIS bancaire sous forme de diverses applications Les progiciels int gr s de Gestion de la Relation Client en anglais Customer Relationship Management ou CRM repr sentent une des applications clef sur laquelle les instituts bancaires ont
209. ment ou directement l utilisateur d un PMS Family Office par la voie lectronique et sous forme de diff rents types de fichiers A la hauteur d environ 90 du total des transactions le processus d interfa age est automatis mais requiert la saisie manuelle des transactions rejet es par la PSI soit 10 des transactions Suite l interfa age automatique et manuel des donn es au PMS ce logiciel dresse les diff rentes positions et permet finalement la visualisation et l analyse des tats actuels d un patrimoine 5 2 0bjectifs de l analyse L objectif initial de l analyse de l environnement consiste obtenir une meilleure compr hension globale de la probl matique afin de pourvoir r pondre la question de recherche Existe il des l ments potentiel non exploit pour r duire le taux de rejet d une PSI l aide de diff rentes hypoth ses cette d marche vise la compr hension des ph nom nes propices la production d une information de bonne qualit et l identification des niveaux de maturit de ses divers aspects En m me temps Ja qualit de l information tant suppos e non influen able le recensement d un certain nombre de pratiques des m tiers financiers permettant un traitement manuel des informations financi res presente un deuxi me objectif de l analyse Ensuite les l ments pr sent s dans cette section anticipent partiellement la question de recherche qui nous pr occupera lors de la deuxi
210. minants A elles seules UBS et Credit Suisse representent respectivement 30 et 22 des parts de marche pdm loin devant le Groupe Raiffeisen avec 6 pdm la Banque Cantonale de Zurich 5 5 pdm et HSBC Private Bank 2 pdm Les avoirs des banques suisses avec au total Frs 2793 milliards d actifs repr sentant cing fois le PIB suisse sont repartis de mani re gale entre les tablissements se situant sur le terrain de la Conf d ration suisse et l tranger avec toutefois 82 du total de l effectif employ aupres des etablissements domestiques Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 14 Suivant le rapport publi en septembre 2011 par l Association Suisse des Banquiers et le Boston Consulting Group ASB amp BCG 2011 les revenus bruts des banques suisses s elevaient Frs 58 6 milliards avec une croissance positive progressant de 1 8 par an sur les cinq prochaines ann es plus long terme les opportunit s se pr sentant pour le secteur bancaire et se r sument par une multipolarit croissante du contexte conomique l mergence d une large couche sociale ais e dans de nombreux pays et un environnement concurrentiel accru et plus international Toutefois l environnement du secteur financier sera accompagn de changements profonds concernant le renforcement des normes prudentielle
211. ms The number of hours that a Team member estimates remain to be worked on any task This estimate is updated at the end of every day when the Sprint Backlog task is worked on The estimate is the total estimated hours remaining regardless of the number of people that perform the work Increment Product functionality that is developed by the Team during each Sprint that is potentially shippable or of use to the Product Owner s stakeholders Increment of Potentially Shippable Product Functionality A complete slice of the overall product or system that could be used by the Product Owner or stakeholders if they chose to implement it Sprint An iteration or one repeating cycle of similar work that produces increment of product or system No longer than one month and usually more than one week The duration is fixed throughout the overall work and all teams working on the same system or product use the same length cycle Pig Someone exercising one of the three Scrum roles Team Product Owner ScrumMaster who has made a commitment and has the authority to fulfill it Product Backlog A prioritized list of requirements with estimated times to turn them into completed product functionality Estimates are more precise the higher an item is in the Product Backlog priority The list emerges changing as business conditions or technology changes Product Backlog Item Functional requirements non functional requirements and issues prio
212. multicanal 1153029 htmlAgefi Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 79 Finalement des IS bancaires produisent souvent un niveau de qualit insuffisant des informations n cessaire au bon fonctionnement du processus d interfa age L exigence est pourtant lev e car un niveau suffisant se caract rise par une information de qualit coh rente en temps r el et unique unicit de l information Outre les IS bancaires la complexit des produits financiers a t cit e comme tant une autre cause de la situation actuelle Dans un tel contexte l employ qui entre traite et en partie produit les informations devient un acteur clef pour le processus d interfa age En effet la compr hension du contenu des donn es transf r es est indispensable afin de r duire l actuel taux de rejet Mais le fonctionnement des logiciels de PSI ne pourra r ellement tre am lior seulement en approchant une personne avec les connaissances des contenus transf r s une personne en charge du d veloppement du logiciel Pour faire avancer les technologies IS des banques les personnes interrog es ont sugg r de valoriser davantage le r le du Back Office dans l analyse des besoins de fonctionnalit s n cessaires S agissant des employ s du Back Office qui se situe le plus proche des IS ces derniers ont
213. n 12 2000 p 665 676 Perronne J M 2007 Une contribution Objet pour la conception de syst mes logiciels de commande plus s rs Habilitation diriger des recherches Universite de Haute Alasace Le troisi me et dernier l ment constitutif au d veloppement Poppendieck M 2002 Principles of Lean Thinking Poppendieck LLC Eden Prairie MN USA Poppendieck M 2005 A History of Lean From Manufacturing to Software Development in JAOO Conference Aarhus Denmark Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 13 Poppendieck M amp Poppendieck T 2003 Lean Software Development An Agile Toolkit for Software Development Managers 3 d ISBN 0 321 15078 3 Upper Saddle River US Pearson Education Reisner P 1987 Discussion HCI what is tit and what research is needed In J Caroll Ed Interfacing human thought pp 337 352 Cambridge MA MIT Press Reix R 2004 Systemes d information et management des organisations Vuibert 5 me dition Reix R amp Rowe F 2002 La recherche en syst mes d information de l histoire au concept Ed F Rowe In Faire de la recherche en syst mes d information Ed Vuibert Collection Fnege p 1 17 Retour D Dubois M amp Bobillier Chaumon M E 2006 Les professionnels de la banque le cas des charg s de clientel
214. n et d asymetrie des connaissances qui se pr sentent de fa on non structur e Afin de mobiliser ces connaissances et de les mettre au profit d une entreprise ces parties prenantes doivent imp rativement tre repr sent es directement voire indirectement dans un projet de d veloppement d interface Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 97 5 Technologies PMS amp PSI 5 1 Hypothese H L apparition d une nouvelle technologie influence positivement la performance des PSI H8 Une collaboration troite transfert savoir faire m tier entre les op rateurs du centre de traitement et des d veloppeurs d une PSI s av re positive quant a la g n ration de nouvelles id es permettant la r duction du taux de rejet 5 2 Conclusions amp contributions La technologie existante des PMS ou PSI avec leur niveau de maturit respectif ne figure pas parmi les sujets trait s et approfondis En effet les experts en mati res les d veloppeurs font partie int grante des actuels et futurs projets de d veloppement et sont largement repr sent s parmi les membres d une quipe Par cons quent ce paragraphe sur les technologies PMS et PSI ne dispose pas de premi re partie de d veloppement th orique et d marre directement avec les pr sentes conclusions et contributions S
215. n Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 110 RL titre d illustration je vous pr sent le graphique ci apr s Evolution technologique Courbe d volution des interfaces L intelligence devient ambiante Les syst mes se font ubiquitaires La mobilit merge L ordinateur Gap Technologique communique Naissance de l informatique 1960 1970 1990 2000 2005 2013 Temps En fait ledit Gap Technologique repr sente l cart s agrandissant d une vitesse sup rieure de l volution des IS outres bancaires e g interfaces compar e aux IS bancaires En effet le d veloppement des IS bancaires est aujourd hui bas sur une multitude d applications mal con ues et interconnect es et ne permettent plus la production d une information d un niveau de qualit lev e unique coh rente et instantan e CF Tout fait et ce sujet est d une telle actualit que la derni re grande s ance concernant l unification du IS ne date que de vendredi dernier Aujourd hui nous avons dans quasi l ensemble des filiales bancaires de X le syst me Avaloq Banking System Ce syst me int gr jouit d une excellente r putation et ces caract ristiques r pondent tr s bien aux exigences du milieu financier et celles de notre banque Toutefois le produit est aujourd
216. n du livrable des clients a lieu Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 44 f Unified Process et Rational Unified Process Similaire la m thode pr c dente Unified Software Development Process ou Unified Process UP est une approche hybride entre une m thode predictive et agile Jacobson amp al 1999 D rivant de l UP le Rational Unified Process RUP fait aujourd hui partie des approches les plus connues les plus affinees et aussi les plus documentees Dans une collaboration visant la rationalisation des processus de d veloppement Ivar Jacobson Grady Booch et James Rumbaugh collaborateurs de Rational Software Corporation qui fut rachetee par IBM en 2003 tant connus comme les p res de ladite m thode ont fourni un guide des meilleures pratiques en mati re de d veloppement moderne de logiciel fond sur six principes 1 D marche incrementale et iterative pilot e par les risques et les cas d utilisation 2 Gestion rigoureuse des exigences 3 D veloppement centr sur l architecture 4 Mod lisation graphique des exigences 5 Contr le omnipresent de la qualit 6 Ma trise des changements n cessaires Le respect et la mise en pratique de ces derniers principes incitent fortement un comportement similaire celui souhait par les approches agiles de d
217. n entre le PM Serveur install localement chez le client et les bases des donn es des diff rentes banques d positaires Backend Portfolio Data s effectue l aide du Portfolio Synchronisation Interface PSI Ces donn es chang es sont notamment celles qui repr sentent le flux des informations financi res des banques d positaires et il est g n ralement concern par un certain taux de rejet des transactions non identifiables par la PSI 10 htto www vwd de vwd files sysom5 JPG consult en 01 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 21 4 4 Portfolio Sync Interface Pour ce document l int r t porte davantage sur le Portfolio Sync Interface qui alimente les PMS avec des informations financi res En l absence de ces informations financi res tout syst me de PMS perd la quasi totalit de sa valeur ajout e car aucune analyse ni de cr ation de rapport des tats financiers ou d autre activit li e la gestion de portefeuilles ne serait r alisable 4 4 1 Etat actuel des PSI tudi s L int gralit et la qualit des donn es financi res constituent la base pour tout syst me de PMS afin de pouvoir reproduire les tats financiers d un portefeuille Or l automatisation du processus de synchronisation moindre rejet devrait pr senter une preoccupation centrale la fois p
218. nce de certaines activit s Dans le cas d un niveau de sous traitance lev le mod le d affaire suit davantage les principes d un External Family Office voire d un FOSP cf figure no 4 2 Toutefois le r le central du Family Office ne change pas dans la mesure o ce dernier demeure responsable pour la coordination des activit s sous trait es Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 95 FIG no 4 2 R le central du Family Office Source University of St Gallen amp VP Bank 2008 p 31 3 Nombre de clients Le nombre de clients sous gestion est le dernier et troisi me d nominateur commun Ce choix est principalement dict par la structure de co ts Les co ts de salaires et les autres couts operationnels sont couverts ou non par les commissions en faveur des professionnels Afin d assurer une structure quilibr e la fortune sous gestion doit s lever au dessus d un certain seuil masse critique et ce dernier se calcule au moyen de fraction des actifs sous gestions en anglais Asset under Management ou AuM D apr s diverses enqu tes effectu es ce niveau seuil se situe entre 50 et 100 points de bases de son AuM Or un SFO n est profitable qu partir d une fortune moyenne d environ 250 mio USD Au dessous de cette masse critique les entreprises optent davantage pour u
219. ne PSI s am liore si ce logiciel arrive traiter les comptes fiduciaires en imitant les pratiques employ es par un professionnel dans sa correction Analyse par nature de transaction Les gestionnaires corrigent les transactions rejet es par un PSI dans un centre de traitement en proc dant une analyse des caract ristiques et de la nature de la transaction rejet e Ayant compris les v nements li s aux transactions e g maturit mouvement de cash settlement out of money etc le gestionnaire parvient saisir manuellement la transaction dans la PSI Par des observations passives des gestionnaires le recensement des proc d s li s cette pratique et la reproduction par une PSI de certaines de ces pratiques le taux de rejet peut potentiellement tre am lior S rie de tests dans la phase de d veloppement d une interface PSI Un certain nombre de rejets est li des s ries de tests effectu es suite des probl mes techniques initiaux En effet les s ries de tests durant la phase de d veloppement d une nouvelle interface sont parfois insuffisantes ou mal conduites et peuvent ensuite tre responsables d un taux de rejet plus cons quent Malgr une identification pr coce de ces d fauts techniques la correction d une interface n a pas syst matiquement lieu imm diatement Daily Management des transactions erron es ristournes Une approche de gestion fond e sur l identification des causes pe
220. ne approche multi clients MFO ou FOSP Selon l associ Claude Diserens lors d une entrevue le 28 juin 2013 la masse critique de fortune sous gestion pour un SFO a Geneve voire en Suisse s l ve 500 moi CHF En moyenne l ensemble des co ts op rationnels d une telle structure se chiffre entre trois et quatre millions de CHF y compris les salaires pour les cinq sept employ s sp cialis s en gestion de fortune De tels SFO repr sentent les clients types de l entreprise Galeo et certainement galement un des segments des PMS 4 3 Conclusion des entretiens amp contribution personnelle l occasion de plusieurs entretiens M C Diserens rel ve l importance des comp tences d un gestionnaire sp cialis dans les t ches typiques telles que celles qui sont effectu es dans un Back Office bancaire pour le bon fonctionnement de tout PMS En effet et afin d assurer une bonne qualit des donn es dans le PMS l utilisateur d une telle technologie doit imp rativement proc der un contr le d int grit des donn es Ce contr le consiste d abord la v rification des donn es au niveau des fichiers obtenus par les instituts bancaires NB v rification du nombre de transactions de la date des transactions limination d ventuelles transactions en double etc et apres par le contr le des transactions m me dans la PSI Certaines technologies de PSI offrent la possibilit d alerter en cas de transaction erron e e g na
221. ng the relay race and take up rugby Hirottaka Takeuchi amp Ikujiro Nonaka HBR 1986 Scrum litt ralement traduit de l anglais signifie une m l e et d signe une formation tactique en Rugby am ricain o six membres ou plus de chaque quipe s affrontent et se bloquent mutuellement avec leurs paules et leurs t tes L objectif final de cette tactique consiste lib rer de mani re contr l e la balle gr ce l unicit et l effort des quipes Avec des telles m taphores inspir es du Rugby les deux scientifiques H Takeuchi et Nonaka ont soutenu leurs th ses novatrices dans une publication parue en 1986 dans le tr s renomm Haward Business Review L innovation des approches propos es revient la transformation fondamentale du processus de d veloppement de produit qui fut fortement fond e sur des philosophies et des mod les lin aires et inspir e par une approche holistique propice l innovation D autres parall les clefs du texte pour lesquels les deux experts se sont aussi r f r s au Rugby sont par exemple Under the rugby approach the product development process emerges from the constant interaction of a hand picked multidisciplinary team whose member work together from start to finish 24 voire galement as in Rugby the ball gets passed within the team as it moves as a unit up the field 25 Ces derni res et d autres m taphores visualisent les attr
222. ngements profonds concernant les exigences en mati re de transparences Etats Unis avec le Dodd Frank Act UE avec les directives Mi FID OPCVM AIFM EMIR des syst mes de remuneration et enfin de la fiscalite OCDE 26 FATCA et retenue a la source liberatoire ASB amp BCG 2011 Dans le cadre du present travail de terrain plusieurs specialistes ont souleve cette problematique de la juste valeur dans la comptabilisation d un produit financier Ces sp cialistes travaillent soit pour l entreprise Galeo soit dans les banques ou galement dans la comptabilit pour des soci t s de Trust Chacun des sp cialistes travaille avec une solution propre a son m tier mais une compr hension globale permet toutefois l identification d un certain nombre d l ments permettant l avancement de la probl matique de base La synth se se structure en deux parties D abord la premi re d crit la cause du probl me celle de l absence d un identifiant unique et dans la deuxi me suit des explications d un certain nombre de pratiques permettant le contournement et la continuit des affaires malgr les difficult s rencontr es Valorisation des positions financi res en l absence d un identifiant unique Dans plusieurs situations l absence d un identifiant unique e g ISIN VALORS ou autres rend la t che de la valorisation des produits financiers particuli rement complexe Ce probl me survient notamment avec les produits achetes vendus su
223. ntre diff rents articles Dans l illustration sur la page suivante de la PPTX il y a quatre membres d quipe et chacun dispose de deux points pour les accorder aux items d action FIG no 7 Retroperspectif Action ltems apr s allocation de points Actions For Improvement PE RE MDN Te Research TDD Practices and Give 1 hr report to team Everyone pair programs at least 1 day out of the Week Use Projector at Daily Stand Up include IT Meet with Auditor by Day 2 o Sorint Security in Daily Stand Up Integrate Builds Upgrade the Build Server to v2 56 every other day Start using burn up chart Dans l exemple pr sent il est effectivement ais d identifier les deux articles avec la priorit la plus lev e Upgrade the Build Server to v2 5 et Research TDD Practices and Give 1 hr report to the team Apr s d termination des priorit s les membres s inscrivent volontairement aux actions qu ils veulent mener take ownership Le membre responsable d un article d action ne travaille pas obligatoirement seul sur ce dernier mais il est responsable pour sa r alisation globale et des r sultats Vous trouvez galement dans les slides que je vous ai envoy s un r el exemple de la m thode dont on vient de parler Nous avons r cemment organis une s ance de brainstorming pour identifier des noms potentiels de produits futurs Quatre personnes ont particip au work
224. ntributions Les aspects pr sent s des march s et des instruments financiers requi rent des connaissances sp cialis es tacites ou formelles du point de vue des m tiers financiers Le syst me global du transfert des informations financi res est pourtant fond sur l change lectronique dont les diverses lacunes sont galement analys es dans ce chapitre Une des difficult s principales pour la conception d un syst me de PSI consiste dans l quilibre entre les diff rentes natures de connaissances n cessaires au d veloppement technologique Une approche purement technique ne permet ni le d veloppement ni l am lioration d une interface bancaire performante En forte ad quation avec l hypoth se no 2 celle prononc sous no 5 3 2 1 H Le transfert des connaissances des m tiers financiers est la clef pour la conception d un PSI s av re galement confirm e Selon l analyse du pr sent aspect l absence d un identifiant unique e g ISIN VALORS ou autres repr sente la cat gorie la plus importante des v nements emp chant l interfa age automatique En effet sans identifiant unique les produits financiers ne peuvent que difficilement tre identifi s et valoris s notion de la juste valeur Ce probl me survient notamment avec les produits trait s sur les march s primaires ou gr gr Outre les march s non publics les options am ricaines pr sentent cette m me caract ristique La nature particuli r
225. ntroduction des diverses cat gories de titres les produits structur s sont devenus d importantes sources de profits pour les banques Toutefois les d riv s sont issus d un processus d innovation des tablissements financiers afin de r duire les risques li s au march des obligations et des actions En effet d s les ann es 1970 et de fa on croissante les ann es qui ont suivi les risques auxquels ces tablissement ont t confront s se sont continuellement accrus De ce fait les produits structur s sont galement utilis s des fins de couverture des risques par le biais de produits levier ou des fins de gestion des risques de change par le biais de produits de change Une telle op ration financi re visant la r duction partielle ou enti re des risques que supporte un institut financier est connue sous l expression anglaise hedging Forward utilis la couverture contre le risque de taux d int r t le forward est un contrat particulier engageant une partie a vendre un titre de dette l autre partie en fixant d avance la date et le prix Ces contrats souples sont soumis au risque de d faut de la contrepartie et leur march est peu liquide Mishkin 2007 Future ayant des fortes ressemblances avec une op ration forward dans ses caract ristiques un future s change sur un march institutionnalis Ce contrat particulier n est donc pas soumis au contraire du forward au risque de contrepartie et ne
226. nts n ont qu consulter les tickets en question et ils savent exactement quel moment quelle quantit et quel prix un produit a t achet ou vendu Question 8 PB Dans le cas d un gestionnaire qui g re des clients avec des banques multiples Apparemment il est courant qu un client d tienne un m me produit financier aupr s de plus qu une seule banque mais la valorisation de ce produit varie selon la banque Dans le cas d un PMS l objectif consiste en pr sentant une unicit galement par rapport la question du pricing or sur quelle information financi re doit on se baser CF Effectivement cette difficult ne se pose pas dans le cadre de notre travail car nous offrons des fichiers avec des positions des transactions et techniques par rapport aux donn es internes de la banques En revanche et d sormais j y pr terai davantage d attention les fichiers qu on met disposition pour pouvoir pricer les positions ne concernent que nos propres produits positions et nous les maitrisons par cons quence Mais par cette question je me rends compte que d autres entreprises tierces pourraient potentiellement se servir comme base de donn es centrale et valoriser nos produits mais galement ceux d autres banques Or ce fichier pr sente selon quoi une grande importance que nous avons n glig e jusqu pr sent Par rapport a votre question sur quelle base centrale faut il se ba
227. nu sous Kaizen En outre les m thodes dont on vient de parler permettent aussi et principalement l identification des blocages et des obstacles emp chant l avancement voire des causes de ralentissement de projet La mise en place des revues de projet devant les tableaux visuels stand up permet galement d am liorer la capacit de l organisation livrer dans les d lais pr vus Retroperspectifs Question 4 PB Quel est l objectifs et les l ments important d un r troperspectif AB Alors j insiste sur la n cessit des mesures prendre action item pour assurer que l quipe ne fait pas seulement des inspections mais qu elle r alise surtout des am liorations qu elle d tecte au cours des projets en question Si vous avez d j conduit ou participer un entretien de r troperspectif vous avez alors bien probablement un bon nombre de mesures prendre item actions pour am liorer l organisation du travail ou l objet m me d un projet Un exemple d un tableau se trouve sch matis galement dans la pr sentation la page x Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 116 FIG no 6 Retroperspectif Action Items Actions for Improvement OO er gt Arr THD Everyone pair Research IDI Practices ana Give 1 hr report to team programs at leas
228. od mographique Or la connaissance des clients requiert avant tout une connaissance profonde des instruments et des march s financiers Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 1 1 Probl matique et objectifs de recherche La mati re premi re des syst mes de Portfolio Management est l information financi re qui permet de dresser un bilan actuel et coh rent d un portefeuille avec ses diff rents types d actifs Une partie importante de cette information financi re volue en fonction de la performance des divers produits du march financier Par cons quent l automatisation du syst me d alimentation des PMS avec une telle mati re premi re volutive pr sente un int r t conomique pour l utilisateur et un avantage concurrentiel pour le producteur de PMS Avec l apparition d internet le comportement de l utilisateur a galement volu et nous pouvons remarquer que celui ci a besoin de mani re toujours plus prononc e d un acces illimit au portefeuille avec des tats financiers continuellement actualis s La litt rature s accorde pour souligner l importance de deux facteurs qui d terminent principalement la performance du syst me global des PMS Or le premier facteur concerne notamment la performance des fonctionnalit s du PMS par rapport la gestion de portefeuille et le deuxi me fact
229. oduit PMS Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI Annexes 76 Annexe Analyse qualitative de l environnement PSI L objectif initial de l analyse de l environnement consistait dans l obtention d une meilleure compr hension globale de la probl matique afin de pourvoir r pondre la question de recherche Existe il des l ments potentiel non exploit pour r duire le taux de rejet de la PSI Le design de recherche se compose par une premi re partie th orique bas e sur des r sultats scientifiques et appliqu s et une deuxi me partie de travail de terrain qui enrichit et compl te les premiers l ments th oriques Le travail de terrain est principalement bas sur des entretiens L analyse s articule autour de th matiques composant l environnement des PMS cf figure no 1 Schematisation du processus macro de PMS et pour lesquelles une compr hension approfondie est n cessaire afin de pouvoir optimiser les logiciels PSI Il s agit notamment des cinq th matiques suivantes 1 La banque d positaire avec le r le du IS bancaire le back office et le front office 2 Le march et la nature des instruments financiers 3 Le transfert lectronique de donn es 4 Les clients utilisateurs PMS Family Office 5 Les technologies PMS amp PSI FIG no 1 1
230. omson Reuters propre base ou autres S agissant d un aspect important du concept du PMS l entreprise g re cette question de prix de fa on transparente avec ses clients et communique ouvertement ce sujet l oppos du principe de l unicit du prix la r cup ration des prix obtenus par les diff rentes banques s offre galement comme option La consequence d une telle option se traduit par l ventualit de pluralit des prix affich s apr s consolidation du m me produit mais aupr s de plusieurs banques e g un portefeuille est compos d un certain nombre d options sur une action X dont 50 du volume est g r dans une banque Y et 50 dans une banque Z Afin d viter tout confusion aux utilisateurs de PMS l entreprise doit ouvertement communiquer sur son choix strat gique et faire preuve de transparence Une des phases critiques de la conception d interfaces pour la d couverte de probl mes ce sont les series de tests Aujourd hui les interfaces g rent de fa on autonome entre 75 80 du total des transactions suite un projet de d veloppement prosp re N anmoins il arrive couramment que les interfaces s av rent lacunaires et subissent des maladies d enfant Les causes les plus souvent cit es sont 1 des s ries de tests mal conduites 2 un changement ult rieur du contenu des transactions transf r es 3 un changement structurel du contenu transf r e g champs suppl mentaire etc Avan
231. on des transactions rejet es repr sentent aujourd hui un des facteurs clefs de r ussite des services propos s par Galeo Fond en 2003 par les deux associ s Claude Diserens et Patrick Baudet Galeo propose des services non seulement dans la consolidation mais galement dans l analyse de patrimoine sans pour autant intervenir dans la gestion des fonds Par ce choix strat gique l entreprise se positionne comme partenaire a part entier vis a vis des tablissements financiers ces derniers tant leur fournisseur de mati re premi re et tisse des relations d affaires long terme et bas es sur la confiance mutuelle Le 19 mars 2012 Galeo annonce l ouverture d une filiale au Luxembourg qui se consacre la promotion de solutions de consolidation de patrimoine aux pays Benelux et en France Le march de la consolidation est en pleine croissance et l expansion de Galeo Luxembourg en est une des preuves selon l annonce publi e de l entreprise Sans d voil son chiffre d affaires Galeo projette une croissance de 15 a 20 en 2013 selon l article apparu dans le quotidien Le Temps article publi mardi le 18 juin 2013 p 16 9 http www galeo ch files galeo_corpo_EN pdf consulte en 01 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 16 42 2 PC amp S AG avec son PMS PortfolioNe
232. oncept des interfaces Le concept Interface appara t dans une multitude de disciplines et il est commun ment employ des fins tr s vari es De nombreux r f rencements au concept existent notamment dans le domaine de la chimie de la g ologie de l lectronique par rapport la technologie des ordinateurs et de la t l communication Par exemple en chimie et plus pr cis ment dans la science des surfaces le concept de l interface concerne une surface entre deux produits o a lieu une catalyse Barthel E 2006 En g ologie ce m me concept d crit un lieu d change conomique ou culturel entre deux pays ou r gions Debarbieux B amp Fourny M C 2004 Ainsi il appara t que la d finition du concept de l interface se definisse en fonction de son contexte et de l environnement A la base la d finition d une interface ou du concept d interface concerne un point o deux syst mes sujets organisations etc se rencontrent et interagissent Or le concept de l interface s applique a tout contexte ou deux choses se rencontrent et interagissent de fa on syst mique Par analogie on peut dire qu une interface facilite et d finit une interaction et qu elle se mat rialise non seulement par une forme tr s concr te mais galement par des formes et concepts abstraits Dans le domaine de l lectronique voire plus pr cis ment dans celui de la technologie des syst mes d information le concept de l interface couv
233. ons directement li es aux processus 1 l actuel syst me est hautement standardis avec un degr de flexibilit relativement lev quant la phase de d veloppement qui se pr sente tr s agile En revanche les comp tences de l quipe de d veloppement sont troitement li es au m tier technique du d veloppement et cette homog n it des comp tences limite la recherche de nouvelles solutions ax es m tiers ou autres 6 G n ralement le d roulement des diff rentes phases se succ de lin airement sans profonde remise en question de la phase de planification cette derni re tant galement hautement standardis e La r alisation d un projet suit une approche de gestion de projet qui souffre de certaines faiblesses dans l ex cution Toutefois les entreprises analys es n exigent pas de comp tences sp cifiques quant la gestion de projet ou aux m thodologies de d veloppement Aujourd hui le titre du chef de projet revient un des d veloppeurs d une nouvelle interface Actuellement la question du co t 3 et de la dur e 4 influence l valuation du succ s d un projet 8 par le groupe allemand VWD Dans environ 80 des cas les projets se terminent en respectant le budget et la date de fin pr vue Cette bonne ma trise s explique galement par la grande exp rience de l entreprise et de ses employ s dans le domaine et par la standardisation de l approche suivie En outre la question de la qualit du produit
234. onsables de la mise jour interfa age des portefeuilles des responsables de l IS bancaire des informaticiens experts en LSD des conseillers clients bancaires des employ s Back Office bancaires des experts comptables sp cialis s dans les produits financiers et des utilisateurs d outils PMS Its purpose is to describe and explain the social world that the research subjects inhabit in the way in which they would describe and explain it It is a very appropriate strategy in business if the researcher wishes to gain insights about a particular context and better understand and interpret it from the perspectives of those involved Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI L organisation de la structure globale des entretiens se d cline en trois phases durant lesquelles diff rents entretiens formels et informels ont eu lieu La premiere phase tait notamment celle de l immersion 1 suivie par une phase d analyse et de v rification des hypoth ses mises 2 pour finalement pouvoir construire et verifier le mod le recommand 3 Dans un premier temps les experts rencontr s se r sumaient aux employ s de l entreprise de consolidation et des tablissements bancaires Par rapport l entreprise experte en service et technologie des PMS plusieurs entretiens formels et informels ont constitu
235. onse argument e quant la question de recherche fondamentale pour ce manuscrit Quel mod le organisationnel de d veloppement de PSI pr sente la meilleure ad quation avec l environnement du PMS pour r duire son taux de rejet La l gitimit de concentrer les efforts de ce travail l importance du d veloppement des interfaces PSI est fond e par le lien direct entre la performance de ces interfaces et la performance globale des PMS En effet la question de recherche s inscrit au c ur d un facteur d terminant de la performance d un logiciel de Portfolio Management Les deux facteurs clefs sont notamment la performance des fonctionnalit s permettant la gestion de portefeuille et l acc s instantan l information e g les interfaces Du point de vue du responsable de produit la r duction du taux de rejet d une PSI se justifie par son influence n gative sur la valeur ajout e du PMS En effet les interfaces sont un des attributs saillants d un logiciel PMS et son dysfonctionnement se traduit par une diminution de la valeur per ue par le client Le dernier argument justifiant le choix du sujet de recherche concerne la rentabilit de l utilisation du produit Par un niveau bas du taux de rejet l utilisation d un tel outil de PMS n cessite un investissement moindre en ressources quant son entretien mise jour Or ce dernier l ment am liore le ROI de l acquisition du produit Le recensement de l tat actuel
236. opfloor Portland Oregon 2002a 44 The Productivity Press Development Team Standard Work for the Shopfloor Productivity Press New York 2002b 45 Womack J P Jones D T Lean Thinking Banish Waste and Create Wealth in Your Corporation Simon and Schuster London 1996 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 101 Domaine d application Oo e G rer les flux physiques o l application du flux continu est impossible File d attente FIFO Limiter le volume du stock en cours a une valeur maximale Heijunka Effectuer le lissage de la production pour viter les p riodes de travail intenses et les p riodes d inactivit Juste temps JAT Livrer au bon moment le produit n cessaire Tourn e du laitier Optimiser le temps du transport des produits chez client Poka Yoke R duire au minimum les d fauts gr ce au feedback et l action corrective imm diate Contr le visuel Pr venir et r agir rapidement aux non conformit s Standardisation du travail Ex cuter la s quence d op rations de la meilleure fa on possible identifi e jusqu maintenant Takt time Fixer le rythme du travail Sequence de travail standard D crire l ordre des t ches Maintenirles Carte de standardisation du Faciliter et surveiller le travail en formalisant le mode op ratoire am liorations travail et d
237. opportunit s Des lors il appartient aux banques d adapter voire de r orienter leurs activites et leurs moteurs de croissance afin d assurer leur rentabilit pour les dix vingt prochaines ann es En Suisse l activit bancaire demeure tr s importante et repr sente 35 milliards de francs suisses soit 6 du PIB 2011 d apr s les derniers chiffres publi s par le Secr tariat d tat de l conomie cf FIG no 2 En termes de contribution l emploi l Office f d ral des statistiques publia en juin 2011 le chiffre de 123119 emplois dans les banques soit 58 par rapport au total du secteur financier avec un effectif de 210 334 pers cf FIG no 3 FIG no 2 Cr ation de valeur des services financiers 120 000 25 100 000 80 000 15 60 000 FIG no 3 Contribution des services financiers l emploi 6 4 6 4 6 3 6 3 200 000 150 000 6 2 6 2 6 1 6 1 6 0 10 100 000 40 000 20 000 9 90 000 0 0 O So o N 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2001 2002 2003 2010 2011 Autres services financiers Part de l emploi mums Assurances Banques Source Seco chiffres en millions de CHF et du PIB mum Assurances Banques et assurances meme Banques m Total services financiers Source Seco Autres services financiers En 2011 la Banque Nationale Suisse BNS rapporte le nombre de 312 tablissements bancaires situ s en Suisse avec deux acteurs forts do
238. ormatique rassemblant l ensemble des techniques et m thodes permettant la mise en uvre d un produit logiciel Cette d finition fait reference a la fois la rationalisation de la production d un logiciel avec des m thodes des techniques et des outils et la ma trise globale des contraintes li es au co t au temps et la qualit Concernant la rationalisation de la production d un logiciel des outils de pilotage ont t d velopp s Ces derniers sont connus sous l expression anglaise Application Lifecycle Management ALM Les ALM permettent une meilleure gestion des diff rents processus qui interviennent lors des cycles de d veloppement et se mat rialisent sous formes d approches ou d outils Gothe M amp al 2008 L tat de l art de ces approches se poursuit dans la section no 6 1 D veloppement des syst mes logiciels p 41ss La culture des entreprises et le style du management qui y r gne sont des facteurs d terminants non seulement pour le choix d une des approches de cycle de d veloppement mais galement pour l efficacit et le succes de Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI sa mise en place Pour une question de coherence de r daction l approfondissement th orique se situe galement dans une partie ult rieure sous la section no 6 4 p 52
239. our les utilisateurs et les producteurs d un tel outil PMS Pour les utilisateurs la saisie ou la correction manuelle des donn es d un portefeuille est une activit gourmande en ressources e g temps en main d uvre qualifi e et sa r duction se traduit non seulement par une meilleure productivit quant a l utilisation de l outil mais galement par un taux de retour sur investissement ROI optimis Pour les producteurs d un PMS ce m me taux de rejet impacte la performance globale de son produit et nuit aussi sa valeur per ue par les clients Selon les personnes rencontr es l tat actuel des technologies ne permet pas encore une approche visant l automatisation totale de l interfa age des donn es Au contraire les ressources humaines intervenant dans l analyse et la correction des transactions rejet es repr sentent aujourd hui un des facteurs clefs quant au bon fonctionnement de l outil Actuellement le taux de rejet s l ve a environ 15 pour les interfaces bancaires suisses D apr s les informations obtenues du groupe VWD ce taux se situe entre 5 et 8 pour leurs meilleures interfaces et entre 10 et 15 pour les interfaces moins performantes Le syst me de l alimentation des PMS avec les diff rentes donn es financi res est une question centrale qui d termine tant la rentabilit d utilisation de l outil que sa performance globale N oublions pas les deux facteurs principaux influen ant la performance de tout syst m
240. oute d marche commence avec une conversation ou une observation Le monde social est fait d interpr tations de la vision de la r alit et par le contact proche entre l objet et le ou les sujet s de recherche le principe de la neutralit dans l intervention de l auteur peut potentiellement tre mis en question Enfin la m thodologie organisationnelle qui figure dans les recommandations a largement fait ses preuves dans le monde des entreprises En revanche la m thode n a toutefois pas encore t mise l preuve dans l entreprise analys e dans le cadre du pr sent travail Par cons quent ce manuscrit ne contient pas de r sultats ni d observations qui temoigneraient d une ventuelle am lioration observ e de la performance des interfaces PSI Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 1 3 Organisation du document La suite du travail se poursuit sur sept chapitres Le chapitre 2 pr sente un tat de l art des principaux domaines qui constituent le syst me analys Cette revue de la litt rature se termine avec des questions auxquelles ce manuscrit vise de r pondre Le chapitre 3 r sume les principales m thodologies mobilis es pour la r alisation de ce travail en pr sentant le design de recherche les m thodologies la structure des entretiens et l chantillon choisie Le
241. ouvee en mars 1995 la norme traite les Instruments financiers Information fournir et pr sentation IAS 39 En vigueur d s le 1 janvier 2001 la norme concerne les Instruments financiers comptabilisation et valuation IFRS 7 Instruments financiers information fournir D apr s le professeur Frank Missonier Piera Missonier F 2012 intervenant dans le cadre des cours au sein de la MCCF l Universit de Geneve et l Universit de Lausanne les changements suivants interviendront l horizon de 2013 2015 IAS 32 Instruments financiers Hformation fourar pr sentation IAS 39 Instruments financiers comptabilisation et valuation IFRS 7 Instruments financiers information fournir IFRS 9 Nouvelle norme traitant les instruments financiers Pour r sumer la norme IAS 32 traite des dispositions relatives la pr sentation des instruments financiers e g classification des instruments financiers des int r ts des dividendes des profits et des pertes ou encore l num ration des circonstances dans lesquelles les actifs et passifs doivent tre compenses et l information qui doit tre fournie en la mati re e g les principes comptables ou les facteurs influen ant le montant l ch ance et le degre de certitude des flux de tr sorerie La norme IAS 39 en revanche pr cise les notions de comptabilisation initiale ult rieure et celle de la juste valeur FIG no 2 5
242. ow popup glossary_fr html id CCP Central Counterparty 34 Definition SWX sur http www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr htm id Clearing 35 Definition SWX sur http www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id Settlement Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 92 Le concept de l infrastructure et les technologies modernes du syst me boursier Suisse permettent un traitement hautement efficient des transactions boursi res et ces facteurs repr sentent une contribution troite l efficacit globale des march s financiers suisses Cette robustesse permet de r duire des risques tels qu un manque de liquidit s ou un risque de cr dit Globalement le syst me est bas la fois sur une int gration verticale pour les transactions domestiques et une architecture ouverte liant la bourse aux acteurs importants mondiaux En r sum l infrastructure boursi re suisse jouit d une tr s bonne r putation Toutefois les prochaines ann es seront marqu es par des changements majeurs dus la globalisation et la pression toujours plus forte sur les co ts Gisiger M amp Weber W 2005 3 5 SWIFT La Society for Worldwide Inter bank Financial Telecommunications ou SWIFT intervient dans le transfert s curis de transactions financi res En bref SWIFT est un sys
243. p ration code ISIN date valeur devise etc est identifi lors du d veloppement et sa structure globale est document e en forme de mapping Quotidiennement les banques d positaires mettent disposition les nouvelles transactions en respectant cette structure pr d finie Les donn es Backend Portfolio Data sont habituellement mises jour durant la nuit sur la base de l tat du jour d avant n 1 jour sans la moindre intervention manuelle des banques d positaires Ensuite le processus d importation de ces donn es d marre des le lendemain et sa responsabilit appartient soit l utilisateur d un PMS soit une entreprise de consolidation dans le cas de sous traitance En r gle g n rale une interface est sp cifiquement d velopp e pour chaque banque d positoire afin d assurer un transfert integral Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 22 et s curis des donn es Malgr les efforts entrepris d automatiser la totalit du processus d interfa age plusieurs approches coexistent allant de proc d s quasi manuels jusqu l automatisation compl te Le groupe VWD supporte principalement trois syst mes d importation des donn es 1 Envoi des fichiers par courriel lectronique 2 Syst me Push o les banques d positaires proposent les fichiers sur une propre p
244. ponsabilit s de l organisation du travail processus design et aptes g rer des probl mes complexes 2 3 Le management soutient et facilite le travail des quipes vs d cide de l organisation du travail not tell them what to do 3 Flow value from demand delay commitment La r f rence Lean par rapport l actuel principe de base est la notion du flux tir Push System ou du fuste a temps Just In Time o la cadence de la production s oriente principalement selon la vitesse de sa demande Or en absence de la demande en aval une activit est mise en attente en amont en annexe no VIII interview Kanban En mati re de LSD ce principe rompt avec l habitude du batch and queue 26 car il int gre non seulement des boucles courtes de r troaction feedback loop mais il priorise galement le backlog du travail strictement en fonction de la demande et de la r troaction des clients En outre l actuel principe d un Pull System vise r duire les ruptures possibles en niveau du flux de travail hands off par une limitation du nombre des transferts d information et par une maximisation de la masse d information transmise par change Suivante cette m me logique le nombre de documents est galement r duit un strict minimum En revanche le nombre d change et de tests avec les clients est largement augment pour une question de qualit du produit final 4 Optimize across organizations L organis
245. ponsable du produit et des membres de l quipe Scrum En effet le Scrum Master joue est la clef pour la m thodologie mais galement pour la communication entre les membres de ou en dehors de l quipe Finalement le quotidien entre le d but et la fin d un sprint est surtout caract ris par le daily Stand up entretien Toujours au m me moment de la journ e l quipe se rencontre pour illustrer l avancement du travail Grace a cette s ance un document qui s appelle Sprint Burndown est mis jour pour illustrer l avancement r el du projet Une particularit de la Sprint Burndown Chart est le fait qu on y rapporte le nombre d heures encore n cessaires jusqu la r alisation de l ensemble des t ches r aliser pendant l actuelle p riode Cette technique permet le suivi proche de l int gralit du projet Toutefois l objectif premier des s ances quotidiennes est le management d ventuels probl mes qui surviennent et emp chent l avancement d une t che sp cifique ou du projet galement pour les Daily Scrum le Scrum Master assiste d une part pour aider le groupe appliquer les meilleures pratiques de Scrum et d autre part pour la r solution des probl mes dans un d lai court N B jusqu au lendemain la fin d un Sprint le travail effectu est pr sent l ensemble des parties prenantes qui constituent le projet Souvent pendant une demi heure on fait une d monstration du travail effectu et une
246. portefeuille client L tat actuel des PMS est toujours caract ris par des activit s de soutien manuelles et indispensables au bon fonctionnement des processus de PMS En particulier le processus d interfa age et bas sur des interventions manuelles qui sont assur es soit par les clients eux m mes soit par un centre de traitement Pour ce deuxi me cas de figure les employ s d un centre de traitement entreprennent les d marches n cessaires l interfa age des donn es financi res des banques aux diff rents comptes clients de PMS La proximit des processus entre la PSI et le PMS et un niveau de sp cialisation des op rateurs des centres de traitement sont deux des b n fices les plus importants qui d coulent d une telle approche de sous traitance de service La proximit des processus se r f re la notion de transaction des connaissances En effet les employ s du d veloppement et ceux du centre de traitement se situent id alement dans un m me immeuble et appartiennent une m me entreprise Cette proximit g ographique et culturelle par rapport la culture d entreprise e g m me langage r duit des barri res emp chant un transfert ais des connaissances Le transfert de connaissances est galement n cessaire pour le d veloppement d un logiciel tant donn le niveau lev de sp cialisation des diff rents m tiers qui interviennent Pour r sumer de fa on simpliste la personne qui travaille au quotidien a
247. pr sence du Product owner n est pas toujours imperative pour ces discussions mais il est toutefois conseill que ce dernier reste disponible ou joignable par t l phone La phase qui proc de la conception du design est d abord le choix des lots de travail qui constituent le prochain Sprint et ensuite sa planification d taill e l aide du document appel Sprint Backlog cf FIG no 33 Daily Scrum Cette r union quotidienne d une dur e maximum de 15 minutes est la colonne vert brale de Scrum dont l objectif est de r aliser le rapport de l tat de l avancement En principe seuls l quipe et le Scrum master participent cette revue quotidienne qui se caract rise par sa structure fortement standardis e Toujours au m me moment de la journ e chaque membre fait tat 1 du travail accompli d s le dernier Daily Scrum 2 du travail en cours ou planifi jusqu au prochain Daily Scrum et 3 des ventuels obstacles qu il rencontre Tout sujet qui d vie de cette structure est report a l ventuel Meeting Following up qui si n cessaire a lieu directement a la suite du Daily Scrum La presence du Scrum master est justifi e par son r le de facilitateur en cas d obstacles et de probl mes Sprint Review show amp tell Chaque Sprint est cl tur avec une revue Sprint qui vise l inspection et l adaptation show du travail effectu en pr sence de l int gralit de Scrum Team et des parties int ress es Un aspect de la r
248. produit du march et d autres aspects comme par exemple l ergonomie ou les proc d s de production L importante partie de cette pr paration se d roule avant voire au d but d un projet en collaboration avec les parties int ress es et l quipe Scrum La mise jour de la Product Backlog est n anmoins un processus continu tant donn le nombre important de changements intervenant tout au long d un projet de d veloppement e g nouveaux besoins clients le ons apprises changements structurels Ou organisationnels etc La Product Backlog se pr sente de fa on simple et comprehensible avec une description br ve du User Story une priorisation d terminant l ordre de r alisation une estimation quant a sa valeur une autre estimation en termes de Story Points quant l effort n cessaire pour sa r alisation et un diagramme de Gantt D s qu une User Story est choisie pour le Sprint l estimation de l unit d effort en heures ou en jours est report e dans la partie Gantt avec un nombre qui correspond l estimation de l quipe Scrum Sprint Backlog La Sprint Back log est une description d taill e cahier de charges de chaque User Story de la Product Backlog Son laboration entre g n ralement dans la planification d un Sprint cf sous paragraphe no 7 2 3 Sprint Planning II Avant tout l quipe Scrum d termine les ressources disponibles lors du prochain Sprint Il s agit simplement de lister les personnes qui trav
249. produit ou un service et rechercher continuellement de nouvelles sources de valeur ajout e Selon les th ses d E Leseure Zajkowska 2012 le terme Lean est compose des trois elements suivants qui sont notamment la philosophie du Lean Lean Thinking des techniques du mangement Lean Management et des methodes de la production Lean Manufacturing ou Production D apres les scientifiques il est indispensable que ces trois elements soient correctement compris et instaur s dans la culture d une entreprise afin de b n ficier des effets positifs du potentiel de l id ologie Lean Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 52 1 Le Lean Thinking est la mani re standard de penser s appuyant g n ralement sur quatre principes de base 1 1 Identification des l ments op rations fonctions etc contribuant positivement la valeur per ue d un bien ou service 1 2 Pour chaque famille de produit identification de sa chaine de valeur en anglais Value Stream pour pouvoir identifier et optimiser les goulots d tranglements 1 3 Elimination voire r duction d ventuelles ruptures de flux de la valeur 1 4 Adaptation de la production aux besoins reels approche pull 2 Am lioration continue bas e sur le paradigme du PDCA Plan Do Control Act et par phase en interval
250. professionnalise subitement avec des responsabilit s et des r les pr cis D sormais le Scrum master soutient les quipes multifonctionnelles dans l apprentissage et dans la mise en uvre des pratiques recommand es Un responsable commercial dans son r le de Product Owner collabore troitement avec l quipe de d veloppement et intervient tout le long du projet avec des responsabilit s bien d finies Une des differences principales sera une pr sence accrue des int r ts de l ensemble des parties prenantes qui interviennent non seulement plusieurs reprises mais qui seront galement repr sent es continuellement par le Product owner Selon Scrum le r le d un chef de projet ne sera pas retir car la priorisation du travail faire est d finie par le Product owner et l organisation m me du travail est g r e par l quipe Les effets positifs d une telle quipe qui se g re avec une grande autonomie se traduisent g n ralement par un comportement plus responsable des membres qui s assurent premi rement que la qualit du travail corresponde au meilleur de leur competence et deuxi mement que les ventuels probl mes qui apparaissent soient signalis s et trait s au plus vite Durant l introduction de Scrum les principaux d fis relever taient de nature humaine En effet de nouveaux r les signifient parall lement un changement dans la structure actuelle de l organisation Par exemple l organisation du travail est d ci
251. r le march primaire ou sur le marche gr gr Outre les march s non publics les options am ricaines ont la m me caract ristique du manque d identifiant unique telle qu un num ro d ISIN ou de VALOR de Telekurs AG pour les options suisses Dans la recherche des causes d une telle situation la reponse la plus r p t e concerne la nature sp ciale des produits d riv s En effet sa nature ne ressemble pas une transaction financi re classique mais un tat contractuel a plusieurs inconnus quant sa juste valeur Un contrat terme en anglais future n engendre pas de frais directs au moment de son achat mais l ch ance cela oblige la vente ou l achat Par consequent sa valeur au moment de l achat est purement hypoth tique Or l absence de ce facteur tangible d une telle transaction d s le d but de la relation contractuelle jusqu la r alisation de ses obligations augmente premi rement la difficult de comptabilisation des banques et deuxi mement sa transmission hors banques aux tiers g rants tels qu un fournisseur de solution PMS Tant dans les banques que dans le cas d un interfa age des donn es dans PMS un traitement manuel est incontournable Face une telle situation les diff rents m tiers analys s ont labor des pratiques laborieuses afin de pouvoir dresser les tats financiers d un portefeuille de clients selon le meilleur de leurs connaissances Les derniers paragraphes suivant ce presen
252. r les machines sans arr t et sans d faut Entonnoir de vari t de la Identifier les processus o commence la diff renciation des produits R gulariser les production flux et stabiliser Maintenance Productive Totale Am liorer le rendement des machines et de l quipement les processus TPM Taux de Rendement Calculer le taux d utilisation de machines Synth tique TRS Single Minute Exchange of Die Changer la s rie de production en moins de 10 minutes SMED Syst me Kanban Fabriquer la quantit strictement n cessaire pour r aliser la commande Carte Kanban G rer la production et les stocks afin d approvisionner les postes de Cellules en U Am nager les postes de travail en U dans l ordre du flux physique 37 Blondel F Gestion de la production Comprendre les logiques de gestion industrielle pour agir DUNOD Paris 1997 38 Liker J K Becoming lean Free Press New York 1996 39 Masaaki l Gemba kaizen a common sense low cost approach to management McGraw Hill NY 1997 40 Rother M Shook J Learning to see Value stream mapping to create value and eliminate muda The Lean Enterprise Institute Brookline Massachusetts 1999 41 The Productivity Press Development Team 5S for Operators Productivity Press Portland Oregon 1998a 42 The Productivity Press Development Team Just In Time for Operators Productivity Press Portland Oregon 1998b 43 The Productivity Press Development Team Kanban for the Sho
253. r requests being needlessly passed from one member of staff to another from one department to another because no one knows what to do with the request or no one is in charge of the process or because staff performance indicators work against it being addressed 47 George M L 2003 Lean Six Sigma for Service The McGraw Hill Companies New York 48 Escobar D amp Revilla E 2005 IE Working Pater Study The Customer Service Process The Lean Thinking Perspective Empresa Institut Operations and Tech Management Department Madrid Spain WP05 13 2005 p 3 4 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 104 Annexe V Les sept source des gaspillages en LSD Tableau comparatif des sept Wastes gasipillages du Lean Software Development LSD d apr s les travaux de Mary Poppendieck The 7 Wastes of Lean The 7 Wastes of LSD How Extreme Programming XP Manufacturing Addresses Waste Overproduction Extra Features Develop only for today s stories Story cards are detailed only for the Inventory Requirements a current iteration Code directly from stories get Extra Processing Steps Extra Steps verbal clarification directly from customers Motion Finding Information Have everyone in the same room customer included Defects Defects Not Caught by Tests Test first both developer
254. ratiques des projets de d veloppement des PMS ne se refl tent pas aux projets de d veloppement des interfaces Scrum permet avec ces bonnes pratiques et des outils simples concernant la gestion et la visualisation de l organisation du travail un d roulement contr l des projets et ce m me avec une quipe plus grande Avec la Product et la Sprint Backlog et les deux diagrammes de Burndown l ensemble des parties int ress es obtient une vision int grale et r elle de l ampleur et de l tat d avancement du projet Avec Scrum l effet de tunnel et la probl matique du delivery gap sont fortement r duits En effet les risques li s ces deux ph nom nes se situent d sormais seulement au niveau de la dur e d un Sprint voire d un jour selon l efficacit des Daily Scrum et plus au niveau de la quasi totalit de la dur e d un projet L organisation du travail par Sprint avec des dur es pr d finies permet galement une meilleure concentration et une vitesse acc l r e de l quipe Scrum Les membres choisissent de fa on autonome et selon les principes expliqu s leur travail pour le prochain Sprint En revanche d s le d marrage d un nouveau Sprint aucune modification n y est apport e Tout changement dans la Product Backlog n est consid r qu partir du Sprint prochain Ce principe pr sente des avantages la fois pour les membres d une quipe et pour le Product owner Les membres b n ficient d une certaine stabili
255. rchivesouvertes fr docs 00 47 94 81 PDF p46 pdf Messager Rota V 2007 Gestion de projet Vers les methodes agiles Eyrolles 16 e Ed Messerschmitt D G amp Szyperski C 2003 Software Ecosystem Understanding an Indispensable Technology and Industry MIT Press Michel S 2011 Contribution a l volution du syst me d information bancaire These de doctorat Ecole Doctorale de sciences Economiques Gestion et D mographie E D 42 Universit Montesquieu Bordeau IV Mintzberg H 1999 Estructura e Dinamica das Organisac es Publica es D Quixote Lisboa p 20 Missonier Piera F 2012 Cours de Master of Science in Accounting MCCF Control and Finance Comptabilit des Instruments Financiers Chapitre 4 5 amp 6 Comptabilisation des instruments d vir s Cooperation entre HEC Geneve amp HEC Lausanne Switzerland PRST Palme J 1983 A human computer interface encouraging user growth In M E Sime amp M J Coombs Eds Cognition education a multimedia Exploring ideas in high technology pp 163 2005 Hillsdale NJ Lawrence Erlbaum Associates Panizzolo R 1998 Applying the lessons learned from 27 lean manufacturers The relevance of relationships management International Journal of Production Economics vol 55 n 3 p 223 240 Perez M P amp Sanchez A M 2000 Lean production and supplier relations a survey of practices in the Aragonese automotive industry Technovation vol 20
256. re galement une multitude de disciplines Dans ses travaux portant sur les interactions entre l humain et les ordinateurs la scientifique Rose Marra 1996 qualifie le concept Human Computer Interaction HCI comme tant le concept d interface le plus courant Par ailleurs le domaine de l HCI est vaste car il comprend l ensemble des textes des publications des designs ou encore d autres plans techniques et conceptuels qui concernent les interactions entre l humain ce dernier tant l utilisateur et l ordinateur Sur un plan acad mique le HCI se d finit comme une intersection des sciences informatiques comportementales et plus r cemment galement de design Les publications en mati re sont aussi nombreuses que la d finition du concept HCI Pourtant le premier r f rencement au concept date de l ann e 1975 et concerne une recherche psychologique analysant justement les interactions humain ordinateur Malgr cette pluralit de d finition Rose Marre classifie l ensemble des disciplines composant le concept de l HCI en quatre cat gories majeures avec toutefois la possibilit de classer une discipline en intersection entre deux et quatre cat gories cf FIG no 1 La premi re cat gorie est celle des syst mes informatiques e g ordinateurs avec leurs composants physiques et leurs configurations ergonomiques Les programmes et syst mes logiciels software permettant l interaction entre l utilisateur et l ordinateur forment la
257. re le num ro pseudo sera remplac par le r el num ro Question 5 PB Et comment voire par qui ce travail de matching entre une op ration et son cod d op ration s effectue t il CF Il s agit du travail du Back Office BO bancaire qui alimente notre IS bancaire Cette activit est complexe et requiere des connaissances des produits et des marches NB m tier d une part et une tr s bonne compr hension des IS bancaire d autre part Toutefois le travail du BO est bien et souvent encore sous valu et a une connotation n gative Pourtant ce travail est particuli rement pr cieux et le devient davantage avec l informatisation croissante des activit s bancaire Question 6 PB et comment est ce que ce savoir tacite m tier du gestionnaire du BO peut il tre transmis et mis en b n fice du c t du PMS voire dans le but d augmenter l automatisation de l interfa age des donn es dans un PMS Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 109 CF En effet il s agit d une activit hautement complexe dont la solution l heure actuelle au moins n est pas dans une automatisation du transfert des donn es Au contraire tel qu il est le cas dans le BO bancaire les fiduciaires ou autres Single Family Offices SFO qui tra
258. re id e moins novatrice et orient e vers le futur compl te la notion abord e de l unicit de prix Dans la recherche d accomplissement de cet objectif la possibilit de construction d une base de donn es centrale de prix pour l ensemble des banques d positaires pourrait tre tudi e En effet au lieu de recourir des agences d informations financi res telles que Thomson Reuters Bloomberg ou autres la construction d une propre base de donn es contenant l ensemble des transactions g r es par le PMS se propose comme une alternative Les avantages sont notamment une compatibilit totale des syst mes la r duction de la saisie r p titive des prix par op rateur et par produit et l int gralit des donn es Toutefois la question du r f rentiel demeure une probl matique centrale mais techniquement la construction d une telle unit propose des avantages certains Lors de l entretien avec GT 12 5 2013 une bonne pratique de la gestion des ristournes et des mauvaises manipulations a pu tre recensee Une ristourne est synonyme d une correction de transaction dans un IS bancaire Similaire aux pratiques comptables une telle manipulation demande g n ralement la saisie de deux nouvelles entr es dans le syst me 1 d abord l op ration corrective avec la ristourne et apr s 2 la saisie de l op ration corrig e En outre la correction d erreur diminue la productivit d une quipe d o la n cessit de r duire con
259. re plus r cemment galement pour les march s des pays Benelux et de la France En m me temps elle a su approfondir sa collaboration avec le groupe VWD et offre galement les deux PMS appel s VWD Portfolio Manager et VWD Market Manager pour ces m mes march s htto www pcsag ch _med pix pfnetServ gif consult en 03 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 4 2 3 VWD Groupe VWD Group est un des leaders europ ens avec une part de march d environ 70 du traitement informatis des informations g n r es par les divers acteurs du march financier Le mod le d affaire du groupe et de ses filiales est base sur cette consolidation d informations pour pouvoir revendre les contenus de fa on cibl e a des segments bien sp cifiques Avec ses services l entreprise vise le secteur de l Asset Mangement le Retail Banking le Privat Banking et le Wealth Mangement Dans ces domaines elle soutient cette clientele sp cialis e avec ses syst mes d informations financi res ses Portfolio Management Systems PMS standardis s ou customises et ses diverses expertises en la matiere Sa gamme de produits et de services est classifi e en trois secteurs distincts Le premier est celui des produits standardis s de consolidation et de gestion de portefeuilles financiers Market Data Solution ou MD
260. res approches En ce qui concerne la technologie des interfaces cette derni re correspond aux langages de programmation habituellement utilis s principalement JAVA Toutefois un changement imm diat de cette technologie de programmation n est pas attendu par les experts sollicit s Par ailleurs le changement du langage de d veloppement est un processus long et lourd car l quipe des d veloppeurs doit s approprier cette nouvelle technologie pour atteindre un niveau de maitrise similaire celui d aujourd hui G n ralement la m connaissance des contenus d information financi re par une interface bancaire est actuellement la principale raison de rejet En cons quence toute fonctionnalit additive d une PSI qui permet la reconnaissance syst matique d un certain type de transactions aujourd hui rejet es presente un certain potentiel d am lioration non exploit Par cons quent toute approche de d veloppement de logiciel bas e sur le transfert des connaissances m tiers et encline aux interactions agiles entre une quipe qui se caract rise par sa pluralit de comp tences N B g nie informatique et connaissances m tier se r v le tre un v ritable facteur clef de succ s dans la production d une interface plus performante Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 38 En guise de
261. respond galement au savoir faire de ces derniers Or un changement signifie galement l apprentissage du nouveau langage une maitrise moins importante pendant une premi re phase d introduction et une r sistance quant au changement En principe l hypoth se no 7 s av re correcte mais avec un niveau lev d incertitude quant la nouvelle technologie et sa planification temporelle Selon l avis d experts l quipe de d veloppeurs ne changera pas ses technologies quant au d veloppement d une PSI ces prochaines ann es Dans ce m me intervalle le facteur technologique n est pas une source d innovation am liorant la situation actuelle concernant le taux de rejet des PSI Selon notre travail de terrain le niveau de maturit de la technologie des PMS n a g n ralement pas encore atteint l automatisation complete de l ensemble des activit s de soutien n cessaires pour actualiser les diff rentes positions d un portefeuille client L tat actuel des PMS est toujours caract ris par des activit s de soutien manuelles et indispensables au bon fonctionnement des processus de PMS En particulier le processus d interfa age et bas sur des interventions manuelles qui sont assur es soit par les clients eux m mes soit par un centre de traitement Pour ce deuxi me cas de figure les employ s d un centre de traitement entreprennent les d marches n cessaires l interfa age des donn es financi res des banques aux diff rents comptes
262. ritized in order of importance to the business and dependencies and estimated The precision of the estimate depends on the priority and granularity of the Product Backlog item with the highest priority items that may be selected in the next Sprint being very granular and precise Product Owner The person responsible for managing the Product Backlog so as to maximize the value of the project The Product Owner is responsible for representing the interests of everyone with a stake in the project and its resulting product Scrum Not an acronym but mechanisms in the game of rugby for getting an out of play ball back into play ScrumMaster The person responsible for the Scrum process its correct implementation and the maximization of its benefits Sprint Backlog A list of tasks that defines a Team s work for a Sprint The list emerges during the Sprint Each task identifies those responsible for doing the work and the estimated amount of work remaining on the task on any given day during the Sprint Sprint Backlog Task One of the tasks that the Team or a Team member defines as required to turn committed Product Backlog items into system functionality Sprint Planning meeting A one day meeting time boxed to eight hours for a four week Sprint that initiates every Sprint The meeting is divided into two four hour segments each also time boxed During the first four hours the Product Owner presents the highest priority Product Backlog to the
263. rmet la mise en place d actions correctives des probl mes qui surviennent le plus fr quemment Cette pratique est issue d une banque mais serait facile reproduire dans un centre de traitement pour l am lioration continue des technologies des PSI Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 30 5 3 2 4 Acteurs principaux Back Office bancaire amp PMS Consolidation PSI mise jour Malgr une insuffisante de la qualit des informations les professionnels des m tiers financiers parviennent contourner ces faiblesses Les op rateurs des centres de traitement de mise jour des PMS se servent quotidiennement de certaines techniques et astuces pour corriger les transactions rejet es Les employ s des Back Office bancaires ont une exp rience profonde quant au traitement des informations financi res dans les IS bancaires Les competences de ces deux m tiers seront donc mises profit afin d am liorer les PSI IS bancaire L informaticien avec ses competences techniques et ses connaissances profondes quant a l architecture des syst mes IS avec ses diff rentes bases de donn es constitue galement un acteur clef Actuellement les informaticiens bancaires sont des acteurs sollicit s pour la cr ation d une base de donn es Back end Portfolio Data Demain une collaboration plus troit
264. rs des interfaces Le d veloppeur quant lui tente de comprendre et de reproduire quelques unes des pratiques m tiers cf Tableau 3 par le logiciel des interfaces Tableau 3 Meilleures pratiques m tiers Description Acteur s clef s Le code d op ration d signe la nature d une transaction financi re mais il est e IS bancaire propre la banque Dans le cas de l absence du no ISIN d autres difficult s la e Back Office bancaire banque d termine d j la nature du produit Or le code d op ration peut servir d ventuel identifiant unique quant un produit Les banques entretiennent une propre base de donn es dans le cas d un produit ie IS bancaire Base centrale des sans identifiant unique d riv en forme de contrats particuliers options e Back Office bancaire produits am ricaines produits OTO etc D s la r gulation d un tel instrument financier il est reallou l identifiant unique des march s lectroniques Dans le cas courant de consolidation multi banque la cr ation d un r f rentiel de e PMS direction prix constitue une solution possible pour garantir l unicit des prix Cette pratique o PSI d veloppeur vient du milieu bancaire mais ne s est pas encore d mocratis e chez les ie PMS consolidation entreprises PMS cause de difficult s juridiques ll s agit d un compte technique purement virtuel qui permet la gestion des e PMS consolidation contrats terme sur devise Or tout PMS doit
265. s Aede juuds suie3e sarewns q saines ssnipe wea 30eg 1uuds e oui samea Pedajes sesodwodep wee Jaseyy winds Aq uny sinoy p O1 Pexog auiy g ued sainiea 150wdo1 5122125 3 SUONSEND syse weal wea O1 JOUMO VNPOId Aq peiuesesd Jopeg INposg jo doy 1209 yuuds quepeag aise wns Ag uny sinoy p O1 pexog awiy Yy ued 3uluuejd zu11ds SsSs JOld sgu N 3N0OQ 30 uou p 3efosd 0 Zuip1032e paluawn20p 7 pa1531 Aujeuonouny BUDO M jqeddi s Aenu3104 WNnposd au JO UOISJJA yu w 1u p Ajos J imun 151 UO ARs yxD0 g Jayseyy WNS Aq paUMO suoIsD p Zuipuad 7 5 201q J0 135 4511 SH20 g u sayipow wea AIUO wea Aq paumo 30ppeg INposg jo uoruod e Aq uaAug 151 Se2 pesodwoseq Zojy2eg JuLds wee Ag pa1d222y JIUMO WNPOJg Aq peuyeg AsQwwns a2uUaquas JUO 209 yulids quuds sanre JUL Sundaye oyum Juey ued anjea sseuisng Aq paznuoudg u 0 ppe ue gt ApoqAuy J aumo 1npo1d q paumo Su w INb jo 151 20p gt eg PNpold SOeLUY oseg E UO WINDS consult en 07 2013 SSIAPe 3 21M35q0 siap oy2ye3s 55213014 UOdey yoM 2ZIU8310 Dnpo14 dojarsg wes 52018 PAOW SY sainy 2220ju3 wee 121014 5522014 aBeuey Winds Yee 19 SeIA WNS 30ph2eg 1NpOsg Ieue SeNLOU 125 13UMO Pnpoig Se O htto dotnetslackers com Community blogs asiemer image_5AE6828B png 50 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am
266. s accroitre au fur et a mesure de l avancement du projet Finalement la meilleure gestion des risques revient non seulement au contr le rigoureux de la qualit d un produit mais galement la capacit du syst me de qualit de d tecter les probl mes le plus t t possible Les mod les pr dictifs se sont incontestablement av r s comme tant tr s efficaces avec la rigueur qu ils imposent En revanche et dans un contexte caract ris par un niveau lev d incertitude l id e de base des mod les predictifs de tout pouvoir planifier d avance ne correspond que dans une moindre mesure la r alit du domaine En effet ce postulat s av re facilement irrealiste dans le cas de la production de logiciel novateur ou aussi dans le cas d un environnement complexe Sommerville l 2006 En outre les approches pr dictives souffrent d un manque de visibilit quant l tat de l avancement du projet en cours Ce dernier ph nom ne est qualifi effet tunnel Messager Rota V 2007 Ainsi la d tection d ventuels probl mes ou d erreurs est souvent retard e ce qui augmente les co ts li s sa correction Confront es ces difficult s les m thodes agiles ont t d velopp es et elles s articulent autour de trois notions clefs 1 organisation du travail d apr s le principe de l it ration 2 collaboration intense au sein des acteurs clefs en les repositionnant au centre des pr occupations
267. s B le Ill Too gib to fail les exigences en mati re de transparences Etats Unis avec le Dodd Frank Act UE avec les directives Mi FID OPCVM AIFM EMIR les syst mes de r mun ration et enfin la fiscalit OCDE 26 FATCA et retenue la source liberatoire pr sent la r cente tude publi e par le Boston Consulting Group BCG 2013 sur l tat actuel des march s financiers rel ve que la Suisse dispute la premi re place en gestion de fortune avec plus de 2 200 milliards de dollars sous gestion Offshore Wealth soit 26 du total des fonds mondiaux g r s en 2012 cf FIG no 4 En se positionnant sur les cing ans a venir le BCG devrait maintenir une situation stable en d fendant sa position de leader avec une part d environ 25 du total et ceci devant le Singapore qui se place en seconde position 10 en 2012 12 en 2017 FIG no 4 Offshore Wealth 2012 La Suisse en premi re position Origins of offshore wealth Destinations of offshore wealth 2012 trillions 2012 trillions Western Europe Switzerland Hong Kong and Singapo Asia Pacific SS a ee Channel Islands and Dublin Middle East and Africa Caribbean and Panama United Kingdom United States Other Luxembourg Latin America North America Eastern Europe Total 8 5 Total 8 5 Source BCG Global Wealth Market Sizing Database 2013 S agissant d un outil qui am liore la qualit des d cisions d investissement les syst mes de PMS
268. s participants Entretiens avec un responsable produit d un Portfolio Manager La langue de l entretien est l allemand mais pour la transcription ci joint directement le fran ais L objectif de l entretien est double et concerne d une part l tat actuel des PSI question 1 3 et d une autre part l approche gestion de projet ou ALM de l entreprise en question questions 4 6 Pr sence 2 personnes JF PB lt Pr sentation mutuelle et introduction avec pr sentation du cadre et des objectifs du pr sent travail de master gt Question 1 PB Quel est l actuel taux de rejet et la nature de ces taux par rapport a vos interfaces Schnittstellen JF Tout d pend de la maturit d une interface en question G n ralement je diviserais actuellement les interfaces en deux grandes cat gories en fonction de leur performance d une part les interfaces de tr s bonne qualit o seul un taux de rejet d environ 5 est recens D une autre part les interfaces moins performantes avec en moyenne un taux de rejet qui s l ve vers les 15 Toutefois cette diff rence de performance ne s explique pas par la performance m me de l interface mais par la nature des transactions Stammdaten qui sont interf r es par les banques En effet le rejet d une transaction est caus par la nature de la transaction qui est incompatible avec les donn es de base de l interface Ce type de rejet n est pas une question de performance
269. s March s d positaires Trading Transactions Orders Portfolio Family Office Management System Ex cutions Interface taux de rejet Transactions Mise jour Source Site Web du groupe VWD 2 graphique modifi 2013 5 1 Description du processus macro d un PMS Un logiciel de PMS permet son utilisateur d sormais qualifi de PMS User ou galement abord par la notion de Family Office la visualisation et l analyse des tats financiers d un portefeuille et la prise de d cisions quant aux questions d investissement Cet outil d aide a la d cision qui est soit install localement sur son ordinateur soit disponible on line a l aide d un acc s s curis permet donc une gestion vente et achat de titres optimis e et soutient troitement le travail du g rant de fortune dans une structure telle qu un Family Office Concernant le processus d un PMS son objectif consiste reproduire l int gralit de la cha ne de valeur d un patrimoine Ce dernier est compos de diverses cat gories d actifs cf FIG no 8 Vision globale de la chaine de valeur du portefeuille p 19 dont le portefeuille des titres En termes de quantit de donn es les informations obtenues par les banques repr sentent la grande majorit des donn es trait es par un syst me de PMS Ces donn es concernent justement les informations quant aux divers titres qui composent un portefeuille client Afin d actua
270. s aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 63 Visual Management Afin de visualiser l avancement du travail au quotidien une pratique courante est celle d un tableau blanc avec une colonne faire To Do une deuxi me en progr s WIP et une troisi me termin Done Au d part les Sprint Tasks sont tous mis dans la premi re colonne et ensuite r partis entre les deux autres colonnes selon l tat d avancement des t ches Chaque t che Sprint Task figure s par ment sur un fichier avec premi rement le nom de la t che et deuxiemement le nom de la personne responsable cf FIG no 34 FIG no 34 Visual Management Sprint Backlog Source projet r el 2013 Sprint Brundwon Chart La mise jour quotidienne des heures jours n cessaires restant jusqu l accomplissement d une t che dans le document Sprint Backlog permet la visualisation de l avancement du projet Le Sprint brundown chart cf FIG no 35 affiche les heures encourues et encore effectuer en termes d heures et l entretien du diagramme est enti rement sous la responsabilit des membres de l quipe FIG no 35 Sprint burndown chart New Estimates of Effort Te emma so Initial jo o jo joo o Estimate of 7 E E E ER a Noel 4 28 a imi LL remaining fortheteam iMOdifydatabase Sanjay a SS NENE S ja create webpage UI UN Seb Beeb Beeb Of OE JP create webpage Javascript logi
271. s automobiles sur internet un exemple d articulation multi canaux ep rientielle Actes de la 7 journ e de Recherche en Marketing de Bourgogne Dijon Barthel E 2006 M canique de surface du verre et physico chimie d interface These HDR Universite Paris VI Paris 2006 Beck K 1999 Embracing Change with Extreme Programming IEEE Computer Society Press Los Alamitos USA Volume 32 Issue 10 P 70 77 Benavent C amp Gardes N 2006 volution des canaux de distribution Revue Banque n 606 p 28 33 B zivin J 2004 In search of a basic principe for model driven engineering The European Journal for the Informatics Professional 2 21 24 Bodeveix J P Filali M amp Strecke M 2005 Towards formalising AADL in proof assistants Electron Notes Theor Comput Sci 141 3 153 169 Boehm B W 1988 A spiral model of software development and enhancement IEEE Computer 21 61 72 The Boston Consulting Group BCG 2013 Global Wealth 2013 Maintaining Momentum in a Complex World Carnegie T A M 2009 Interface as exordium the rhetoric of interactivity Computers and Composition 26 pp 164 173 Caroll J M 1987 Preface In J Carroll Ed Interfacing human thought Cambridge MA MIT Press Collet C Huhns M amp Shen W 1991 Resource integration using a large knowledge base in Carnot Computer Collonville Th 2010 These de doctorat Elaboration de processus de developpements logiciel
272. s aux produits ou aux services figure parmi les premiers avantages Badot amp Navarre 2002 Du c t des entreprises ces derni res sont fortement motiv es par le potentiel int ressant de r duction des co ts et d augmentation des ventes tout en am liorant la qualit des relations client les Stone Hobbs amp Khaleeli M 2002 2 2 Influence du multicanal au milieu bancaire Le milieu bancaire a su reconna tre l immense potentiel et les opportunites que le multicanal a pu offrir d s sa naissance et ses pratiques et technologies se sont largement d mocratis es entre temps D ploy dans le contexte bancaire le multicanal consiste galement dans la diversification et l int gration de canaux d change entre les banques et leurs clients Les diff rents moyens de mettre en place le multicanal bancaire sont notamment les agences les automates le t l phone l internet e banking les t l phones mobiles les SMS les applications des Smartphones et tablettes etc Ces nouveaux modes d change repr sentent aujourd hui un des enjeux strat giques des banques En g n ral les b n fices escompt s par les banques sont identiques ceux cit s par Badot et Navarre mais avec une pr f rence pour la ma trise des co ts de distribution Effectivement la r duction des co ts operatifs occupe la premiere place parmi les crit res qui influencent les d cisions d investissement pour la mise en place d un nouveau canal de distrib
273. s et l environnement des PMS ou PSI Scrum est un mod le fortement agile qui se base sur une planification et un d roulement du travail par cycle appel Sprint Avant tout Scrum se pr sente comme un condens des meilleures pratiques en termes de d veloppement de logiciel de ces cinquante derni res ann es Les diff rentes dimensions de ses pratiques s articulent autour des r les des revues et adaptations s ances des art facts tableau de bord et des techniques Scrum soutient troitement l approche hautement collaborative qui met au profit les comp tences multidisciplinaires des membres la r alisation d une meilleure interface L quipe de d veloppement est g r e avec un haut degr d autonomie Les b n fices de telles approches se traduisent g n ralement par un comportement plus responsable des membres En revanche ces modes de travail exigent une grande ouverture d esprit pour ces membres tout comme pour la direction et le management qui les soutiennent Scrum permet avec ces bonnes pratiques et des outils simples quant la gestion et la visualisation de l organisation du travail un d roulement contr l des projets et ce m me avec une quipe plus grande Avec scrum l effet de tunnel et la probl matique du delivery gap sont fortement r duits En effet les risques li s ces deux ph nom nes se situent d sormais au niveau de la dur e d un Sprint voire d un jour selon l efficacit de la gestion quot
274. s financiers des rapports analytiques des nouvelles financi res etc 3 Incertitude relativement lev e li e l incertitude g n rale du secteur financier Decker K Sycara K amp Zeng D 1996 Les exigences quant au d veloppement d un syst me de logiciel d un tel outil de PMS sont effectivement lev es Ce constat s explique la fois par l outil lui m me et par la complexit de son environnement ce dernier tant qualifi d instable de tr s h t rog ne et d incertain Quant l outil les fonctionnalit s n cessaires la gestion de portefeuille la capacit et les syst mes n cessaires l acc s instantan e g l interfa age des donn es et le niveau de performance n cessaire au traitement d une quantit consid rable et croissante d information r sument quelques uns des facteurs contribuant au niveau lev d exigence La discipline du g nie logiciel traite ces diff rents aspects qui entrent dans le processus de d veloppement et propose des approches permettant l aboutissement de projets dans les meilleures conditions possibles tant donn les co ts le risque et le niveau de qualit du syst me logiciel d velopper 2 4 D veloppement des syst mes de logiciels Les syst mes logiciels sont aujourd hui omnipr sents et utilis s aussi bien dans un contexte priv que professionnel Ces syst mes sont souvent int gr s dans les syst mes de gestion des entreprises et assurent un nombre croiss
275. s qui permettent le recueil des informations n cessaires sa mise a jour modifications des estimations d effort suppression ou addition d une User Story r priorisation statut r el du travail effectu et effort consomm etc Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 64 FIG no 36 Product Backlog burndown chart New Estimates of Effort Remaining at end of Sprint 600 Durngown ine 230 current esbmate of gt _ work remaining for Details Initial 300 the leam wiki Estimate Estimate Sik URL Priority of Value of Effort 4 al gt 450 j a As a buyer I want to place a book in a shopping cart i ES see UI sketches on wiki page 1 5 E NG As a buyer I want to remove a book in a shopping cart bu e l 350 bi Improve transaction processing performance see target 3 300 ee performance metrics on wiki 3 a Investigate solutions for speeding up credit card f a validation see target performance metrics on wiki 4 3 2 ua Upgrade all servers to Apache 2 2 3 5 13 13 5 7e Diagnose and fix the order processing script errors bugzilla ID 14823 2 3 3 3 3 3 As a shopper I want to create and save a wish list e 7 a 40 40 5 As a shopper I want to to add or delete items on my se wish list 4 20 20 20 20 nn i 2 6 8 9
276. s specifiques et orientes mod les Application aux syst mes a v nements discrets Universit de Haut Alsace Mulhouse France Combessie J C 1999 La m thode en sociologie La D couverte Paris Coyne R 1995 Designing Information Technology in the Postmodern Age MIT Press Cambridge Mass Davies D W amp Price W L 1989 Security for Computer Networks John Wiley NY Decker K Sycara K amp Zeng D 1996 AAAI Technical Report WS 96 06 Designing a Multi Agent Portfolio Management Stystem The Robotics Institute Carnegie Mellon University Pittsburgh PA USA McDermid J amp Ripken K 1984 Life cycle support in the ADA environment University Press Dissaux P 2004 Using the AADL for mission critical software development In ERTS conference Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 71 EFGH Ehlern S 2006 Global Private Wealth Management An international Study on Private Wealth Management and Family Office Services for Ultra High Net Worth Individuals Universitat Zurich Zurich El Emam K amp Koru G A 2008 A replicated survey of IT software project failures IEEE Software 25 5 84ss Emiliani B 2008 The Keys to Sustaining Lean Management The Center For Lean Business Management Wethersfield Eker J Janneck J W E Lee A Liu J
277. saction par nature Daily Mangement S rie de tests Avec comme objectif le d veloppement d un certain nombre de nouvelles fonctionnalit s imitant les pratiques m tiers l analyse de l ad quation entre le mod le organisationnel et l environnement PMS d marre A titre d exemple l une des nouvelles fonctionnalit s pourrait s articuler comme l interface imite trois pratiques de analyse par nature des instruments financiers qui permettent l interfa age des trois cat gories de rejet les plus courantes Les caract ristiques de l organisation actuelle du d roulement d un projet de d veloppement d une nouvelle interface ressemblent fortement au mod le de cycle en V ou de RAD avec une pr f rence pour les caract ristiques des mod les pr dictifs planification initiale d roulement lin aire absence de s paration des aspects li s aux diff rents m tiers mais avec toutefois un certain degre de libert En effet l interaction entre les diff rents membres de l quipe de d veloppement avec un transfert r el des connaissances et un niveau lev de dialogue est marqu e par un esprit fortement favorable une approche agile Cette dynamique permet une plus grande reactivite quant a la detection et a la correction des erreurs de planification commises Pour la recherche de nouvelles id es novatrices propices a la resolution d une partie du probleme du taux de rejet l quipe actuelle de d veloppeurs est limit e
278. sationnels du processus de d veloppement de la PSI 45 g Scrum Inspir par des publications de Takeuchi amp Nonaka dans le renomm Haward Business Review en Takeuchi H amp Nonaka l 1986 le terme Scrum apparut pour la premi re fois dans un ouvrage de DeGrace amp Stahl en 1991 DeGrace amp Stahl 1990 et sera finalement employ comme m thode d s 2002 suite l ouvrage clef Agil Software Development with Scrum de Schwaber amp Beedle L organisation du travail des quipes d apr s Scrum est bas e sur une approche agile par le d coupage du travail en iterations courtes Schwaber K amp Beedle M 2002 Ces iterations aussi appel es Sprint ont une dur e de deux quatre semaines et elles sont d finies voire hi rarchis es partir des besoins dict s par les clients Les deux notions premi rement celle de la visibilit de l avancement et deuxi mement celle du respect de la qualit attendue par l adaptation en corrigeant d ventuels carts sont vraiment des notions clefs En effet chaque jour est consid r comme une it ration durant laquelle ces deux derni res notions sont quotidiennement inspect es Dans un esprit d am lioration continue chaque sprint est suivi par un entretien r tro perspectif afin de faire un bilan sur son d roulement d une part et de proc der d ventuels changements concernant la suite du projet d autre part tant une m thodologie id ale pour des quip
279. scscssessecsessesssscsesaessessesessessessesseesaeseeseseesees 46 no 26 Am lioration continue am lioration durable par tape VU 53 no 27 Approche traditionnelle de d veloppement de software 55 n 28 Approche agile en LSD een tan tensteseree msn sessions ten 56 lela NO cee 01 a ee eet a a ee no 58 HO SD Resume de SMU a ee eee 59 FV Sse FONG 2161100 PR eats age stance stare E A E E 62 no 32 Disponibilit des ressources 63 no 33 Sprint Backlog i ns 63 no 34 Visual Management Sprint Backlog 4 64 no 35 Sprint burndown CA er ee a rc 64 no 36 Product Backlog burndown chart 65 10 2 Tables des tableaux Tableau 1 Tableau comparatif des mod les ALS par rapport aux crit res environnementaux cceeeeee 48 Tableau 2 Tableau comparatif des 7 gaspillages du LSD oo eeceeccsscsscecsesessessesessessessesessesseseeseesaesaeeass 56 Tableau 3 Meilleures pratiques m tiers 68 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 75 11 Table des mati res des annexes Annexe Analyse qualitative de l environnement PSI 1 6 Banques d positaires 1 1 Hypoth ses 1 2 D veloppement 1 3 R le de l IS bancaire 1 4 Role du Back Office bancaire 1 5 R le du Front Office 1 6 Clients bancaires 1 7 Synthese des entretiens Les ac
280. ser pour valoriser les positions d un PMS cette d cision appartient soit au client final soit l entreprise qui d veloppe un PMS mon avis il importe de bien communiquer sur cette question de pricing afin qu au moment de l utilisation d un PMS il soit conscient que les positions sont valu es d apr s Bloomberg Thomson Reuters ou autres CD T as absolument raison il importe de se baser sur une base de donn es centrale et il faut bien communiquer avec ses clients Outre les questions de la valorisation des positions les pratiques en termes de comptabilisation des produits financiers structur s sont galement tr s importantes Ce concernant les pratiques varient aussi selon la banque et le syst me en question Pour pouvoir ma triser cette probl matique les PMS doivent imp rativement permettre la cr ation de nouvelles positions Sans cette fonctionnalit additive le gestionnaire qui se sert d un PMS n obtient pas une vue globale et int grale des portefeuilles sous gestion et ne parviendra pas une gestion optimale Ce travail galement manuel est un autre argument pour justifier une personne traitant manuellement une partie des donn es d un PMS Question 9 CD Parlez moi galement de votre syst me informatique la performance l architecture permet il la production d un niveau de qualit lev instantan coh rent et unique Travail de Master e MSc HES SO i
281. ses des rejets Question 1 c PB Par rapport la derni re cat gorie avec des donn es incoh rentes de la Backend Portfolio Data collaborez vous avec les banques d positaires pour la r solution proactive de tels probl mes JF Des fois En effet les causes de ce probl me s identifient relative facilement mais nous n entreprenons pas cat goriquement les d marches pour contacter les banques et r soudre ces probl mes techniques L identification se fait l aide des tests d int grit des donn es Validity Checks Pour une r solution de probl me il faut compter environ 4 semaines ce qui est relativement court compar au temps de d veloppement qui s l ve entre trois six mois En effet ces probl mes sont potentiellement li s aux probl mes techniques initiaux qui n taient pas correctement identifi s lors des s ries de tests Question 1 d PB et de la part du client ce dernier n a actuellement pas la simple fonctionnalit de signaliser un probl me directement dans le PMS ou la PSI Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 118 JF Non nous ne proposons actuellement pas une telle fonction qui permet de signaler des probl mes directement depuis les syst mes tels qu on les conna t tous des produits MS Office par exemple Q
282. shop et chaque personne a obtenu quatre points allouer comme d crit pr c demment Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 117 FIG no 8 M thode d mocratique de priorisation ee savoir que le nombre des choix s tait lev 26 avant votation et en moins de 10 minutes nous avons r ussi r duire le choix totale a seulement 8 Selon le nombre d l ments qui doivent tre prioritaires ce type de vote compl tement d mocratique peut prendre plus ou moins de temps Revenons a l exemple precedent nous avons initialement eu quelques notes stickies un point mais elles taient rejet es par notre approche relativement radicale d cartement weeding Rappelez vous votre quipe aura besoin de prioriser efficacement l ensemble des items d actions pour d abord r aliser les items a plus grande valeur ajout e Le concept pr sent de votation par l allocation de points les aidera ne pas se laisser submerger par les nombreuses actions qui surviennent normalement au cours des r tro perspectives Au d part la r alisation prosp re des entretiens r troperspectifs peut prendre quelques sprints ou iteration mais avec la pratique les quipes apprendront a mieux adapter leurs processus pour livrer le meilleur produit possible Question 5 PB Quelques
283. souffre pas de probl mes de liquidit Les futures peuvent tre utilis s pour se couvrir contre le risque de taux d int r t Mishkin 2007 Option instrumentalis pour la couverture une option est un contrat particulier qui donne une personne le droit mais pas l obligation de vendre put ou d acheter call un actifs sous jacent un prix et un moment ou durant une p riode d termin e l avance Mishkin 2007 Swap une op ration swap permet d une part de r aliser des operations de couverture long terme et d autre part la couverture contre le risque de taux d int r t Un tel contrat de swap de taux d int r t permet d changer des paiements d int r ts taux fixe contre des int r ts taux variable Mishkin 2007 Les traductions en fran ais de ces termes sont difficiles et conduisent des p riphrases longues D emploi universel les expressions anglaises sont d s lors les plus pr cises Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 84 2 7 Comptabilisation des instruments financiers Ci apr s un bref aper u des normes comptables suisses actuellement en vigueur par rapport la comptabilisation des instruments financiers IAS 30 Information fournir dans les tats financiers des banques et des institutions financi res assimil es IAS 32 Appr
284. ssessesseseesaesessassessesseseesaesansataees 14 no 3 Contribution des services financiers l emploi 14 no 4 Offshore Wealth 2012 La Suisse en premi re position 15 no 5 Conception int grale des services 16 NGO Piers CUP OO NON a ae aa ee a ee 17 no 7 Structure organisationnelle VWD Group 18 no 8 Vision globale de la chaine de valeur du portefeuille 19 no 9 User Interface du VWD Market Manger UV 20 no 10 Architecture du VWD Portfolio Manger PMS 21 no 11 Illustration de l interface iii 23 no 12 Sch matisation du processus macro d un PMS cceececsecsessessessesseecsecsecsesseseeseessasatcaecatsansenenneees 24 no 13 Valeurs en portefeuille par cat gories de titres 2002 2009 28 no 14 Flux d un contrat terme gauche et d une option droite 29 no 15 EFT Processus de Paiement nn 31 no 16 Swiss and International Supervisory Arrangements of the Trade Infrastructure 32 no 17 Segmentation d un Family Office 34 no 18 R le centrale du Family OMICR SR ren med eeireme sense ee on 34 no 19 Equipe comp tence multidimensionnelle 4 39 no 20 Mod le du cycle en Cascade 42 OA EEA ee ee ee 43 RO 22 PO CIO O T a a ee ee deasee ciety 43 no 23 mod le du cycle SSD a en ee 44 no 24 Development lt ratif created value 45 no 25 XP et l volution des mod les it ratives cc cececesscsscs
285. suisses disputent la premi re position en mati re gr ce aux diverses innovations entre autres les technologies de pointe Or les outils sophistiqu s de PMS repr sentent galement aujourd hui un r el avantage concurrentiel pour les banques et les instituts financiers tant donn la tension actuelle dans les march s financiers Le centre d int r t de ce document sera l organisation d un projet de d veloppement d une interface dont la performance est exprim e en fonction de son taux de rejet L objectif consistera alors a pouvoir proposer une Structure qui permettrait une collaboration plus prosp re entre l ensemble des intervenants Evidemment la finalit recherch e est une structure organisationnelle propice au d veloppement d une interface plus performante En attendant la fonction de l interface en question est tr s proche de la d finition la plus simple du concept d interface qui peut tre pos e comme l interface ou le concept d interface concerne un point ou deux syst mes sujets organisations etc se rencontrent et interagissent En effet une Portfolio Sync Interface PSI se situe entre les banques d positaires et le syst me de PMS avec comme objectif d alimenter ce dernier avec sa mati re premi re la plus importante les informations financi res A nouveau et en th orie le traitement d une information financi re lectronique par un syst me d information SI ou galement par la PSI pose quelques
286. t An international Study on Private Wealth Management and Family Office Services for Ultra High Net Worth Individuals Universitat Zurich Zurich Gisiger M amp Weber M 2005 Swizterland s Financial Infrastructure Today and Tomorrow Vierteljahrshefte zur Wirtschaftsforschung 74 2005 4 p 51 62 McKinsey amp Company 2012 The tripple transformation Achieving a sustainable business model 2 McKinsey Annual Revie on the banking industry Michel S 2011 Contribution a l volution du syst me d information bancaire These de doctorat Ecole Doctorale de Sciences Economiques Gestion et Demographie E D 42 Universite Montesquieu Bordeaux IV Mishkin F 2007 Monnaie banque et marche financier Complement au chapitre 8 Les produits d riv s 8 d ISBN 978 2 7440 7202 4 Paris Pearson Education Missonier Piera F 2012 Cours de Master of Science in Accounting MCCF Control and Finance Comptabilit des Instruments Financiers Chapitre 4 5 amp 6 Comptabilisation des instruments d vir s Coop ration entre HEC Gen ve amp HEC Lausanne Switzerland Palmer J W amp Griffith D A 1998 An Emerging Model of Web Site Design for Marketing Communication of the ACM Vol 41 no 3 p 45 51 Reix R 2004 Systemes d information et management des organisations Vuibert 5 me dition Reix R amp Rowe F 2002 La recherche en syst mes d information De l histoire au concep
287. t Historiquement Galeo commen a sa collaboration en 2003 avec l entreprise Protfolio Consuting amp Service PC amp S AG situ e Zurich comme repr sentant officiel du Produit PortfolioNet Ce logiciel appartenant galement la cat gorie des Portfolio Management Systems PMS se d marque par sa forte compatibilit avec les besoins du march suisse son acc s s curis online permettant une disponibilit illimit e et enfin par sa mise jour quotidienne Le produit est propos en deux versions Pour une clientele priv e il existe dans une version PortfolioNet Private La version PortfolioNet Professional offre la possibilite de consulter simultan ment plusieurs clients finaux traitement de plusieurs Portfolios et correspond davantage aux besoins d une client le professionnelle Toutefois le PortfolioNet est une combinaison entre une solution technologique et des services de sous traitance qui est bas e sur les trois composants suivants cf FIG no 6 FIG no 6 Piliers du PortfolioNet PortfolioNet Online Data Management PortfolioNet Reporting Source PC amp S AG 2013 4 2 2 1 Data Management ll s agit de la partie op rationnelle d sormais sous trait e par l quipe de l entreprise PC amp S AG Ces activites concernent l actualisation quotidienne des tats financiers pour notamment 38 clients et leurs 3 500 portefeuilles qui g n rent 500 000 transactions par ann e Ces derni
288. t durant un Sprint qui se traduit principalement par une meilleure concentration Quant au Product owner un meilleur engagement personnel et une plus grande tol rance quant aux changements des membres sont les deux b n fices les plus int ressants Par l organisation autonome du travail de l quipe ses membres s engagent produire un certain nombre de t ches jusqu la fin d un Sprint Avec l exp rience croissante de l quipe la qualit des estimations s am liore consid rablement et l engagement personnel accro t g n ralement le sens de responsabilit La tolerance accrue d une quipe Scrum vis a vis des changements provient de l organisation par it ration En effet durant un Sprint aucun changement n est admis En revanche pour le prochain Sprint tout changement de priorit de direction de sp cification etc est acceptable G n ralement la prochaine occasion propice au changement se pr sentant au Product Owner se limite a une dur e moins importante que celle d un sprint Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 65 7 2 5 Techniques Done is done Le principe du done is done en fran ais termin termin permet d avoir une vision coh rente et r elle du statut de chaque t che constituant un projet En g n ral cette technique permet de r duire l ambigu
289. t 1 day out of the Week Use Projector at Daily Stand Up include IT Meet With Auditor Q curity in D aly ec di Stand Up by Day 2 of Sprint Integrate Builas Upgrade the every other day Builda Server to v2 5 Start using burn up chart ll est toutefois rare qu une quipe sera en mesure de r aliser la totalit des faiblesses qu elle identifie lors d un entretien de r troperspectif Le Team va devoir prioriser et choisir les actions qu elle r alisera imm diatement lors du prochain sprint Dans certain cas une quipe va devoir introduire un pic Spike dans le processus de d veloppement pour traiter certaines de ces actions Toutefois les quipes voire le Product Owner sont totalement libres dans leurs choix quant l ordre de r alisation des actions identifi es Dans l exemple ci dessus supposant qu une quipe doit introduire certaines des actions dans l it ration suivante Alors que pensez vous comment l quipe se d cide en choisissant les actions prioritaires Evidemment il existe de nombreuses fa ons de r duire le choix mais l un des plus simples est de jouer le jeu de la d mocratie en votant Les r gles sont relativement simples mais connues par nous tous Chaque membre de l quipe re oit par exemple un certain nombre de points et il peut les utiliser comme il le souhaite Chaque membre peut mettre l ensemble des points sur un article ou les r partir de mani re gale ou non gale e
290. t Ed F Rowe In Faire de la recherche en syst mes d information Editions Vuibert Collection Fnege p 1 17 Retour D Dubois M amp Bobillier Chaumon M E 2006 Les professionnels de la banque le cas des charg s de client le bancaire Revue Francaise de Gestion no 168 169 p 205 220 Retour D Dubois M amp Bobillier Chaumon M E 2008 La triade charg de client le syst me d information et client en milieu bancaire analyses et cons quences sur les comp tences en jeu Revue Syst me d Information et Management Vol 2 no 13 p 33 60 Thieriez A 2002 Un CRM europ en pour la banque Revue Banque Strat gie no 193 p 569 582 University of St Gallen amp VP Bank 2008 Family Office in Asia The Evolution of the Asian Family Office Market St Gallen Switzerland Wang H Lee M K O amp Wang C 1998 Consumer Privacy Concerns about Internet Marketing Communications of the ACM Vol 41 p 63 a 70 Zuh D 2002 Security Control in Inter Bank Fund Transfer Journal of Electronic Commerce Research Vol 3 no 1 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 100 Annexe Il Bo te a outils Lean M thodes techniques outils et indicateur du domaine du Lean selon Blondel 1997 Liker 1996 Masaaki 1997 Rother et Shook 1999 The
291. t Pour les cours que je donne au Scrum Master et aux quipes Scrum je propose toujours les ouvrages d Ikujiro Nonaka Ryoko Toyama et Noboru Konno SECI Ba and Leadership a Unified Model of Dynamic Knowlegde Creation En ce qui concerne la gestion des risques il est primordial d actualiser les deux Brundown graphiques il s agit notamment du Sprint Burndown et de la Backlog Burndown En effet ces graphiques permettent la visualisation de l avancement d taill du projet Avec un tel d tail souvent m me jusqu un niveau quotidien les risques li s l effet de tunnel et le delivery gap sont fortement sous contr le En m me temps l ensemble des parties prenantes ont une vision int grale et coh rente de l tat effectif d un projet videmment le d coupage du travail en Sprint et surtout les revues chaque fin de Sprint permettent galement la r duction du delivery gap Question 6 PB Quels sont les principaux avantages de Scrum VK En fait je pense les avoir d j tous mentionn es mais en r sum il s agit de la visualisation du travail l approche r solution de probleme avec les quipes multifonctionnelles la meilleure motivation des membres d quipes et une implication et prise de responsabilit accrue des membres En effet la planification du travail m me est dans l enti re responsabilit des quipes qui s engagent commit finir une t che dans un certain temps Or il ne s agi
292. t me qui permet l change international des fonds ou EFT Les propri taires de SWIFT sont plus de 1400 banques membres et ces derni res se situent dans plus de 600 pays membres Davies and Price 1989 Le transfert lectronique des fonds par SWIFT est bas sur un formatage des ordres de paiement en messages standardis s Concernant les types de paiement par SWIFT on distingue principalement les cat gories suivantes 1 Les paiements clients 2 Les transferts interbancaires 3 le change pr t d p ts 4 Les collections documentaires 5 Les titres 6 lt r serv a l utilisation future 7 Le cr dit documentaire 8 Les m canismes de paiement sp ciaux 9 Les messages particuliers La structure de son r seau est bas e sur trois centres d op ration situ s aux Etats Unis aux Pays Bas et en Belgique et des serveurs locaux dans chaque pays membres sont g r s par des centres de traitement processors contract s Chaque banque membre est connect e par une ligne standard avec le centre de traitement le plus proche et avec une ligne de s curit un centre de traitement alternatif afin d assurer la continuit des transferts en cas de panne Le syst me SWIFT sauvegarde l ensemble des messageries financi res transferees des 14 derniers jours back up Les donn es transf r es sont r ceptionn es a l aide du SWIFT interface terminal avec un software sp cifique Zhu D 2002 titre d exemple un co
293. t rise par une forte h t rog n it des comp tences n cessaires la r alisation du projet comp tences m tiers bancaires des bases de donn es et IS bancaires analytiques en programmation de testing en design de l architecture des syst mes etc L organisation autog rant des quipes est accompagn e par un niveau lev d autonomie En effet la multitude de competences que les membres mettent au benefice du d veloppement d un produit permet une telle approche o les membres d cident de la mani re dont le travail doit tre r alis et des d lais respecter Les revues quotidiennes et le tableau de bord permettent toutefois un suivi proche de l avancement et une intervention en cas de difficult ou de blocage A l oppos les entrevues r guli res permettent un change continu d id es pour am liorer le produit final Scrum master Le r le du Scrum master est le soutien du Product owner et du team dans l apprentissage et dans la mise en pratique de Scrum En effet la valeur ajout e cr e par Scrum ne b n ficie l entreprise et a ses collaborateurs que par sa mise en uvre coh rente et int grale Le r le du Scrum master diff re consid rablement de celui d un manager car son objectif est d une part la protection du Product owner et de l quipe Scrum des interf rences externes et d autre part le conseil d un emploi judicieux de Scrum aucun moment le Scrum master n intervient dans le processus de d
294. t de conclure cette section les deux paragraphes suivants d crivent bri vement deux id es potentiel non exploit dans la recherche du taux de rejet optimis Les deux id es concernent la conception et le d veloppement futur des interfaces d une part et galement l architecture globale des syst mes PMS d autre part Une premi re piste de r flexion concerne le travail du programmeur et les aspects techniques de son travail Il s agit notamment du d veloppement d un software auto apprenant qui s inspire voire apprend par le travail fait manuellement par des op rateurs des centres de traitement Effectivement cet historique quant aux manipulations manuelles dans un PSI contient une partie importante de la connaissance tacite que mobilise un op rateur pour son travail Sur la base de l analyse et de la systematisation de cet historique un PSI b n ficierait d un environnement id al l apprentissage et l am lioration de ses capacit s Toutefois la difficult consiste bien et toujours dans la simplification et la systematisation des l ments qui se pr sentent dans son tat initial de fa on non structur e D autres pistes telles que d ventuelles avanc es technologiques dans les langages de programmation comme SCALA en comparaison avec JAVA peuvent galement tre explor es Selon plusieurs tudes SCALA simplifie le travail de programmation et permet une augmentation de la vitesse d ex cution des programmes L aut
295. t entre les livrables produits et des besoins volutifs de l utilisateur La figure ci jointe illustre ce ph nom ne en prenant le cas d une approche classique de d veloppement de software caract ris par sa lin arit FIG no 27 Approche traditionnelle de d veloppement de software Delivery Gap Represents business changes unknown requirements l incorrect analysis user misperceptions and IT misunderstandings of user requirements More Time and Money are required to bring produci closer to user expectations in a mandatory Phase 2 Software fails to meet user needs or business requirements Phase 1 Fhase 2 Due Date Penod of Project Design Code GA Testing requirement Start Complete Complete gathering amp ee ER NEEDS analysis a us CHANGI i Delivery Gap a PROJECTED PROJECT PATH all Source www gosolstice com consult en juin 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 55 Dans le contexte du pr sent document les rejets par une PSI se repr sentent ais ment l aide du ph nom ne du delivery gap En se r f rant aux r sultats de l analyse macro du processus de PMS cf paragraphe no 5 3 1 3 p 27 et l annexe no ce gap r sulte d une faiblesse du processus de d veloppement actuel au niveau du transfert du savoir m tier des banq
296. t la mise jour des donn es des deux serveurs de la base de donn es En revanche si le test logique identifie des anomalies quant certaines transactions ces derni res sont rejet es Toute transaction rejet e est signalis e par la PSI et seule sa saisie manuelle dans la PSI assura l int gralit des informations dans le syst me PMS Pour r sumer les fonctionnalit s techniques de la PSI cf FIG no 11 ces derni res assurent l approvisionnement des diff rentes bases de donn es du PMS avec les nouvelles donn es pour actualiser les diff rentes positions des portefeuilles Son r le pr cis se resume l importation s curis e des Backend Portfolio Data provenant des banques d positaires 1 Importation la conversion du langage format de ces donn es en un compris par le PMS 2 re Conversation langage au test de plausibilit des donn es extensives et complexes 3 me Tests logiques et aussi au couplage des donn es converties et plausibles avec les diff rentes bases de donn es du PMS 4 me Couplage La derni re fonction de la PSI est celle de l identification des transactions rejet es 5 me taux de rejet FIG no 11 Illustration de l interface Asset Manager 1 PSI Transaction Data ata Data Conversion gt mmascii gt impot gt DB Source Site Web VWD11 2013 Pour des questions economiques et dict es par le ROI return on investment une entreprise productrice n alloue que
297. t la mise en uvre d un nouveau produit logiciel L art de l organisation d un tel projet n cessite donc la ma trise de la totalit des aspects qui entrent en jeu La definition de la totalit des aspects peut para tre large et vague mais celle ci d termine troitement le niveau de la complexit finale En th orie les approches et les outils de langages de mod lisation les mod les facilitant l utilisation syst matique de tels langages de mod lisation ou encore les mod les de cycle de d veloppement permettent une meilleure gestion des diff rents processus qui interviennent lors des projets Cependant en pratique seulement 25 des projets de d veloppement du domaine du g nie logiciel aboutissent dans le temps et les co ts planifies En general le d veloppement d un nouveau logiciel s av re donc complexe mais qu en est il si en plus l environnement du logiciel d velopper est galement marqu par une complexit accrue Par exemple dans le cas du d veloppement de l un des l ments constitutifs d un Portfolio Management System PMS En effet l environnement des PMS et de la gestion de fortune est caract ris par une grande instabilit une forte h t rog n it et un niveau lev d incertitude N anmoins la gestion de fortune n est pas seulement complexe celle ci est aussi tr s importante pour l conomie aussi bien nationale que mondiale Avec plus de CHF 2 200 milliards sous gestion les banques
298. t march des capitaux Sur les march s mon taires seuls les instruments court terme dont l ch ance originelle est inf rieure un an y sont chang s Ce march financier est pr vu pour les titres avec une faible maturit A l oppos des titres a plus long terme et les actions des entreprises sont chang s sur le march des capitaux 2 4 Actions Les actions sont des droits sur les revenus et sur l actif d une soci t qui les a mises Les actions sont d tenues par les m nages par des instituts financiers e g les fonds de pension les fonds collectifs d investissement les assurances de vie etc mais galement par des entreprises 2 5 Obligations Principalement on distingue trois types diff rents d obligation il s agit notamment 1 des obligations d tat 2 des obligations priv es et finalement 2 des obligations hypoth caires 2 6 Produits structur s ou d riv s Apr s des ann es de croissance la demande des produits structur s a recul suite la crise financi re et la faillite de Lehman Brothers En parall le avec la normalisation du march des actions le march Suisse des produits structur s se normalise et demeure toujours inf rieur au niveau record de 2007 avec CHF 334 milliards Les principaux produits structur s galement connus sous le nom de d riv s utilis s par les banques sont les forwards les options les futures et les swaps Comme cela a t expos dans l i
299. t of the service which does not meet the customer s requirements It can range from losing information to failing to meet agreed deadlines causing the customer to be dissatisfied Some defects are caused by incorrect information or by incorrect instructions to name just two causes Someone in the flow realises there is a defect and has to reprocess the request or go back on themselves The waste associated with defective products is the cost of the extra material minimal or non existent in the case of processes where the input is information which cannot be recovered at the end of the process as well as the costs of production work for the service the time spent responding to the request in vain d Jnventory any work on processes in excess of what is required to be produced for the customer this could be calls on hold requests for papers pending e mails awaiting a reply people in a queue e Motion referring to the needless movement of employees to find information for example This waste is rare in services f Process trying to add more value to a service product than what the customer wants to pay for it that is to say doing more work than is absolutely necessary to satisfy customers for example multiple steps in order to approve something or multiple calls in order to get an answer g Transport referring to the unnecessary movement of work in a call centre the movement of information for example This waste appears as custome
300. t organis s en bourse de valeurs stock exchange en anglais 2 3 March s financiers Les diff rentes d finitions ci apr s commen ant par le paragraphe pr sent 2 1 jusqu au 2 4 inclus se basent sur l ouvrage Monnaie banque et march s financiers de la maison d dition Pearson Education France Mishkin 2007 Une meilleure compr hension des diff rents termes financiers importe la pr sente analyse dans la mesure o ils permettent une meilleure visualisation du contexte financier ce dernier repr sentant l un des aspects principaux du syst me global de PMS March primaire et march secondaire est peu connu par le grand public car les banques d affaires Investment Bank y proposent les nouvelles missions de titres d actions ou d obligations a des acheteurs souscripteurs La vente initiale de nouveaux titres na pas lieu publiquement et les banques d affaires garantissent le placement underwriting un certain prix et les vendent soit gr gr soit par une offre publique L change de titres pr c demment mis se d roule sur le march secondaire de seconde main ainsi les Bourses sont des march s sur lesquels un certain nombre de titres sont cot s et chang s Les Bourses les plus connues pour l change des actions sont le New York Stock Exchange aussi appel e Wall Street la Bourse de Tokyo Kabuto Cho le London Stock Exchange et l Euronext cette derni re r unit notamment les Bourses de Paris de
301. t pas d un chef qui planifie les t ches faire avec le niveau de d tails tels d un cahier des charges mais ce sont les membres m mes qui analysent la situation et d finissent les diff rentes t ches Finalement par leur connaissance approfondie quant la complexit de l ensemble des t ches les estimations du planning sont hautement justes En outre l engagement personnel augmente g n ralement le sens des responsabilit s des membres Ce facteur augmente galement la pr cision du planning Finalement le dernier point fort de la m thodologie Scrum est son planning tr s pr cis Question 7 PB As tu encore quelque chose ajouter que tu veuilles partager avec moi par rapport au Scrum VK Je pense que la meilleure fa on de comprendre les forces de Scrum est de pouvoir observer une quipe qui travaille avec Scrum Si tu es disponible je t organise volontiers une d monstration sur un site qui se situe pr s de Gen ve Je te propose de participer au moins une phase de planification d un Sprint et un ou deux Daily Scrum Qu en penses tu PB Avec grand plaisir et merci beaucoup pour ces conseil et le temps consacr l entretien 3 Entretien Lean Software Development LSD Kanban Gemba Walk amp Retroperspectif Pour les annexes du travail de Master l entretien suivant sera enti rement transcrit en anonymisant l ensemble des participants Entretiens par Skype conf rence vid o avec
302. t quelle sont ces meilleures pratiques et comme se d roule t il un projet suivant Scrum VK Le future design du produit est exprim et divis dans ses fonctionnalit s avec des descriptions compr hensives En effet on utilise souvent des User Stories pour d crire la fonctionnalit et si je te les envoyais tu serais capable de les comprendre et visualiser le futur design du produit En effet les user stories sont r dig s en forme de solution statement ou problem statement La simplicit importe la communication transversale entre l ensemble des parties prenantes stake holders car ces derni res ne sont largement pas toutes des d veloppeurs ou informaticiens Un outil Lean particuli rement puissant pour d finir les fonctionnalit s du futur produit est le VOC Voice of the Customer qui dicte tout ce travail Ensuite l ensemble de ces fonctionnalit s constituent la Product Backlog Dans le cas de mon activit professionnelle actuelle nous travaillons avec un outil qui s appelle Vision 1 pour la gestion informatis e du projet mais un simple fichier d un tabulateur Excel ou autre est largement suffisant pour construire et mettre jour la Product Backlog Cette activit est dans la responsabilit du responsable de produit ou de la ligne de produit En g n rale cette personne n est pas un informaticien mais un commercial qui rencontre les clients les concurrents les autres personnes dans entreprises
303. t r pondre de fa on ad quate est la question de la comptabilisation des instruments sa juste valeur Lors des entretiens Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 88 bancaires il s est av r que la pratique bancaire revient la cr ation d une nouvelle base des donn es pour assurer l unicit du prix des produits sous gestion Tel que cela a t expos dans les parties pr c dentes l importance de cette derni re probl matique est largement amplifi e pour tout produit sans identifiant unique Ensuite le contexte bancaire n est pas identique celui d une entreprise d veloppant des logiciels de PMS Effectivement l environnement est notamment caract ris par le traitement de donn es provenant d une multitude de banques Cet l ment du sourcing multi bank ne change rien l exigence de pouvoir offrir un niveau de qualit des donn es obligeant l unicit des prix A titre illustratif une telle norme en termes de qualit requi re l affichage d un produit financier toujours un prix de base identique ind pendamment de son origine Dans la pratique les banques disposent souvent de prix de base diff rents Finalement il importe que la direction de toute entreprise proposant des services de consolidation prenne cette d cision et choisisse un r f rentiel e g Bloomberg Th
304. t sous chapitre traitent de ces pratiques diverses en commen ant d abord par celles des banques et en terminant avec celles des entreprises proposant des solutions en PMS Par rapport aux tablissements bancaires les deux acteurs intervenant sont d une part le Backoffice o les diff rentes op rations sont trait es et d autre part les quipes IT qui g rent le syst me IS bancaire Les employ s du Backoffice bancaire rencontrent des difficult s tout a fait similaires a celles que rencontre un comptable dans la comptabilisation des instruments financiers En effet la saisie d un achat ou d une vente dans le syst me bancaire IS est une des activit s typiquement trait es au sein de ce dernier d partement Or le Savoir faire quant aux pratiques propres aux produits mais galement propres une banque y est particuli rement concentr L mergence des coles de management dans les banques avec une harmonisation des processus ne date pas d hier mais les pratiques de saisie varient toutefois en fonction du gestionnaire La complexit accrue des produits d riv s se traduit par un taux d erreur plus important du travail du Backoffice Toute transaction erron e et ristourn e est ressaisie d s sa d couverte Les causes des erreurs sont variables mais principalement dues au manque de formation des nouveaux employ s la saisie sous situation de stress ou au manque de communication entre le Backoffice et le Frontoffice bancaire Malgr
305. t utile qu partir d une certaine taille de projet NB dur e de projet nombre de User Story nombre de d veloppeurs etc Une autre option qui permet la gestion des plus grands projets consiste ajouter des colonnes ou des Kanbans suppl mentaires Toutefois plus d interruptions hand offs ou plus de colonnes WIP pour permettre une gestion contr l e des projets NB de permettre aux quipes de g rer leur travail signifie davantage d obstacles de goulots d tranglement bottlenecks ou de Waste expression Lean pour des activit s non cr atrices de valeur qui emp chent les quipes d une production de logiciel plus Lean et rapide Un exemple pour des colonnes suppl mentaires est un projet o la colonne WIP est remplac e par deux colonnes la premi re intitul e d velopper to develop et la deuxi me revoir to review et chacune avec sa propre limite de lots possibles NB de dur e L organisation id ale d un projet Kanban aurait le moins de colonnes ou Kanbans possible en raison de l efficacit Dans l exemple du projet o je viens de vous montrer la photo du tableau nous avons utilis des points rouges pour indiquer les obstacles et tant donn la taille relativement petite des projets aucune colonne suppl mentaire n a t n cessaire h las Comme je viens de vous illuster l aide de ces derniers exemples Kanban est efficace en cas de maintenance ou d am
306. tant au secteur bancaire se r sument une multipolarit croissante du contexte conomique l mergence d une large couche sociale ais e dans de nombreux pays et un environnement concurrentiel plus international et accru Toutefois l environnement du secteur financier sera accompagn de changements profonds concernant le renforcement des normes prudentielles B le Ill Too gib to fail d exigences en mati re de transparence Etats Unis avec le Dodd Frank Act UE avec les directives Mi FID OPCVM AIFM EMIR de systemes de remuneration et enfin de fiscalite OCDE 26 FATCA et retenue a la source lib ratoire pr sent la r cente tude publi e par le Boston Consulting Group 2013 sur l tat actuel des march s financiers rel ve que la Suisse dispute la premi re place en gestion de fortune avec plus de 2 200 milliards de dollars sous gestion Offshore Wealth soit 26 du total des fonds mondiaux g r s en 2012 cf figure no 2 3 Pour les cing ans a venir le BCG suppose que sa situation sera stable et defendra cette position leader avec une part d environ 25 du total et ceci devant le Singapore qui se place en seconde position 10 en 2012 12 en 2017 FIG no 2 3 Offshore Wealth 2012 La Suisse en premi re position Origins of offshore wealth Destinations of offshore wealth 2012 trillions 2012 trillions Western Europe Switzerland Hong Kong and Singapore Asia Pacific Channel Islands and Dublin Middle
307. technologique qualifi de gap technologique dans la suite du document r sulte d un empilement de couches applicatives fonctionnalit s mal d finies et non int gr es En outre les banques ont une histoire particuli rement longue avec les syst mes d information car ce secteur fut l un des premiers investir consid rablement dans ces technologies Sylvie M 2011 L existence du gap technologique nous a galement t unanimement confirm lors de diff rentes rencontres avec des professionnels du m tier Dimensions sociales Le profil d un employ du Back Office et du Front Office est propice la pr sente analyse des dimensions sociales s agissant d un acteur qui combine la fois des connaissances m tiers marches et instruments financiers culture d entreprise clients etc et une bonne maitrise quant a l utilisation et la comprehension des IS bancaires Les agents des Back Offices s occupent essentiellement des t ches administratives et sont en contact quasi permanent avec les IS bancaires En revanche les t ches d un employ du Front Office ce dernier tant galement connu sous le nom de charg de clients s articulent autour de trois dimensions 1 une dimension commerciale 2 une dimension relationnelle et 3 une derni re dimension administrative Retour amp al 2006 Ses outils IS principaux sont des logiciels int gr s de gestion de la relation client le en anglais Customer Relationship Managem
308. tement r aliste tant donne les connaissances approfondies de la complexit de chaque item par l quipe Scrum Par cette approche proactive la s ance de planification se r sume au choix des User Stories a developper et a la transformation du cahier de charges en Sprint Backlog Finalement l axe communicative de Scrum poursuit l objectif de diminuer l asym trie des informations entre les differents membres et acteurs durant la production d une nouvelle interface Les tableaux de bord et les autres artefacts pr sent s dans la partie suivante aident visualiser un certain nombre de ces informations clefs qui permettent egalement une gestion plus efficiente des projets 7 2 4 Tableau de bord amp art facts Product Backlog Au d part d un projet le Product owner partage sa vision du futur produit dont les fonctionnalit s sont d velopp es sous forme de User Story ou Use Case dans la Product Backlog cf FIG no 31 L tablissement et la mise a jour de cette Product Backlog sont sous l enti re responsabilit du Product owner FIG no 31 Product Backlog New Estimates of Effort Remaining as of Sprint Details Initial wiki Estimate Estimate of i i i Item URL Priority of Value Effort 1 i 2 3 4 5 6 PIATI AA nn cae se ER aa a a a a a a Sea sketches on wiki page reana anne le ad As a buyer I want to remove a book in a shopping cart 2 6 CE a ee a ee Improve trans
309. termes de volume cf figure no 2 3 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 82 FIG no 2 4 Valeurs en portefeuille par categories de titres 2002 2009 100 6000 90 80 70 60 90 40 30 20 10 0 a a 4000 3000 2000 1000 _ EE BE mi 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 10 Produits structures mmm Parts de placements collectifs mam Actions E Obligations mum Papiers mon taires D Total Source BNS suite a des recherches men es par ASB 2011 Actions ou action ordinale repr sente une part du capital d une entreprise En possession d un tel titre l actionnaire NB la personne qui d tient le titre a des droits sur les revenus et les actifs de l entreprise ainsi que sur Sa gouvernance Les droits de gouvernance sont ex cut s travers la participation l assembl e g n rale o les actionnaires d cident des principales orientations de l entreprise et nominent ses dirigeants Obligations est un titre de dette qui promet des paiements p riodiques sur une dur e d termin e Le march des obligations est la fois important pour l activit conomique car il permet la fois aux entreprises et aux gouvernements de financer leurs activit s un taux d int r t donn Les march s des actions sont principalemen
310. tes efficientes et simples Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 66 8 Syntheses amp conclusions Ainsi le choix de mod le de d veloppement s est port sur Scrum et ce dernier serait id alement soutenu par une transformation de certaines valeurs de la culture de l entreprise En effet le Lean et les principes du Lean Software Development pr sentent un cadre id al pour obtenir un travail prosp re avec Scrum Mais avant tout l organisation de ce m moire s est construite autour d une question clef la reponse celle ci a requis une d marche qui s est d roul e en deux temps Tout d abord une analyse qualitative aura permis d approfondir les dimensions du processus des syst mes de Portfolio Management la recherche des l ments qui contribuent la r duction du taux de rejet des interfaces bancaires En guise de rappel la premi re et globale question de recherche s est articul e autour des elements potentiel non exploit mais propices la r duction du taux de rejet des interfaces qualifi es de PSI A partir de cette premi re recherche qualitative de nombreuses possibilit s ont ete explor es a l aide de huit hypoth ses mises et au fur et mesure v rifi es Toutefois l ensemble de ces efforts et de ces d marches entreprises ont ensuite vis une seule r p
311. textuel et argument d un tel mod le de cycle qui permet d optimiser l organisation quant au d veloppement d une interface PSI plus performante Or cette importance accrue motive un approfondissement plus d taill de ce troisi me aspect 6 2 Processus de d veloppement de logiciel Le paragraphe pr sente un bref tat des lieux desdits cycles de vie en commen ant par les mod les plus classiques et en finissant par les plus r cents qui offrent de nouveaux concepts Ces outils de pilotage aussi connus sous l appelation ALM Application Lifecycle Management tablissent les liens vers les langages de mod lisation et vers les mod les qui int grent ces langages e g Ptolemy IDM MDA MIC Les premiers cycles de vie ci joint a en Cascade b en V et c en Y d sormais qualifi s de mod les classiques ou pr dictifs ont permis de poser les bases pour un d veloppement syst matique des logiciels Parall lement ils nous am nent galement vers une approche gestion de projet avec ses aspects fondamentaux tels que l analyse des besoins la conception l implantation et les tests etc Cependant la rigidit li e a leur linearite r pond de moins en moins aux exigences du contexte actuel du d veloppement de logiciel Des nouvelles approches bas es sur l agilit permettent davantage de souplesse et r tablissent le r le central du transfert des connaissances par l interaction agile entre les divers acteurs tant consi
312. ticiens Pareillement la cr ation de bases de donn es pour enregistrer des donn es du prix initial dans l attente de l ajustement a sa vraie valeur ou la possibilit de cr ation de comptes fiduciaires sont des activites techniques qui obviennent au d partement IT S agissant des demandes m tiers bien sp cifiques les ERP Enterprise Ressources Planner bancaires dans leur version standard ne savent souvent pas y r pondre et les solutions se trouvent dans la customisation des syst mes bancaires avec des logiciels tiers ou la cr ation d une propre solution informatique Un tel empilement technique de bases de donn es est un autre facteur s ajoutant a la complexit de la probl matique cf section no 1 3 Le r le de l IS bancaire Identiques l analyse des banques les pratiques d crites ci jointes ont t recens es aupr s de deux acteurs diff rents dans l entreprise Galeo une entreprise proposant galement la sous traitance de l interfa age des donn es bancaires dans un Syst me PMS Un premier acteur m tier celui du gestionnaire responsable du contr le quotidien d int grit des donn es et du nettoyage des rejets signal s par la PSI et un deuxi me acteur technique qui intervient dans le processus de d veloppement des interfaces ont t interrog s cette fin Du c t des contr les de traitement les gestionnaires corrigent les transactions erron es ou non identifiables au moyen dudit contr
313. tifiques consistent en une meilleure comprehension des differents elements qui constituent le Processus de PMS Dans le cadre du pr sent travail la performance d une interface PSI est la principale preoccupation et elle s exprime en fonction de son taux de rejet Le processus d interfacage n cessite une information de bonne qualit coh rente disponible et unique pour que celle ci soit efficace En l absence de ces elements un processus d interfacage ne pourra aboutir et une information financi re non identifiable sera rejet e Dans un premier temps l objectif de l analyse qualitative vise la comprehension des ph nom nes propices la production d une information de bonne qualit pour les syst mes de PMS et l identification des niveaux de maturit de ces ph nom nes respectifs En m me temps la qualit de l information tant suppos e non influencable la comprehension de quelques pratiques de m tiers financiers quant au traitement manuel des informations financi res pr sente un deuxi me objectif de l analyse Dans un deuxi me temps l objectif d une analyse consiste dans le choix d un mod le organisationnel permettant le d veloppement d interfaces plus performantes Le choix est fond sur une comparaison qualitative entre l environnement du processus PMS et des caract ristiques des diff rents mod les organisationnels Les contributions manag riales concernent quant elles le mod le organisationnel retenu avec des
314. tinuellement les sources d erreurs potentielles Ensuite la bonne pratique consiste dans le recensement de la nature d une erreur qui n cessite une correction dans le syst me bancaire Syst matiquement un gestionnaire qui effectue ou exige une ristourne signale sa Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 89 demande via un formulaire lectronique pour l exemple en question le formulaire est cr partir d une base de donn es cr e dans le logiciel Lotus Notes Sur le formulaire figure non seulement la version corrig e de la transaction mais galement la raison principale de la transaction erron e A la fin d une p riode donn e les informations entr es dans la base de donn es Lotus Notes font l objet d une analyse des causes des erreurs pour pouvoir planifier et r aliser des actions correctives FIG no 2 7 Daily Management a at R zl A a r Sy ae E E D LA DE Ye cr 4 TT E z es a Ki E Li a TRE EY 4 REX E 1 oc TAR vr ws iy da Ram Te wp a Source Notes personnelles lors de l entretien avec GT photo prise le 12 05 2013 Un tel syst me de gestion active est exemplaire dans une philosophie d am lioration continue En effet cette approche permet a une entreprise d aboutir aux causes de cette probl m
315. tions soutenant la structure de l EFT ou la part toujours plus importante des produits chang s sur des march s OTC Finalement l hypoth se H L am lioration harmonisation des standards existants en mati re de PETF r duit le taux de rejet des PSI se rel ve juste mais irr aliste selon les experts rencontr s court terme voire moyen terme le potentiel non exploit de r duction du taux de rejet de la PSI de l hypoth se HS est infime 5 3 3 4 Acteurs principaux Non applicable pour cause de rejet de l hypoth se H court terme voire a moyen terme 20 D finition SWX htto www six swiss exchange com knowhow popup glossary_fr html id ISIN consult en 07 2013 Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 33 5 3 4 Utilisateurs d un PMS Family Office 5 3 4 1 Hypoth se H6 Une collaboration plus troite avec les utilisateurs d un PMS voire PSI contribue l am lioration du taux de rejet des PSI 5 3 4 2 D veloppements L utilisateur type d un logiciel de PMS est abord par la notion de Family Office Selon la d finition du Family Office Exchange FOX la plus grande communaut mondiale du domaine le Family Office est une soci t multidisciplinaire au service d une ou plusieurs familles fortun es concernant le conseil et la gestion de leur patrimoine
316. tivit s financi res et la nature des donn es 2 1 Hypoth ses 2 2 D veloppement 2 3 March s financiers 2 4 Actions 2 5 Obligations 2 6 Produits structur s ou d riv s 2 7 Comptabilisation des instruments financiers 2 8 Probl mes comptables des futures vs options 2 9 Synth se des entretiens amp contribution personnelle Transfert lectronique Standards de messageries amp institutions clefs 3 1 Hypoth ses 3 2 Electronic Found Transfert 3 3 S curit amp Electronic Data Interchange 3 4 Bourse lectronique 3 5 SWIFT 3 6 Code ISIN 3 7 Code VALOR 3 8 Conclusion des entretiens amp contribution personnelle Family Office ou Single Family Office SFO 4 1 Hypotheses 4 2 Developpement 4 3 Conclusion des entretiens amp contribution personnelle Technologies PMS amp PSI 5 1 Hypoth se 5 2 Conclusions amp contributions Bibliographie Annexe II Bo te a outils Lean Annexe Ill Tableau comparatif entre une Lean Entreprise et une entreprise classique Annexe IV Les 7 types de muda du domaine de services Annexe V Les sept source des gaspillages en LSD Annexe VI Terminologie des expressions du Scrum Sutherland J 2011 Annexe VII schema du processus Scrum Annexe VIII Transcription des entretiens 1 2 3 4 Entretien Banque Privee Entretien Scrum Entretien Lean Software Development LSD Kanban Gemba Walk amp Retroperspectif Entretien Responsable de pr
317. trat gie du multicanal son influence en milieu bancaire en mettant l accent sur les syst mes d information bancaires et sur le ph nom ne du gap technologique la notion des Portfolio Management System la premiere partie d une introduction aux syst mes de d veloppement de logiciel et le concept d interface Enfin la conclusion pr sente une synth se des l ments principaux et pertinents la probl matique de base et met quelques questions auxquelles ce manuscrit tente de r pondre 2 1 Commerce lectronique amp multicanal Ces deux derni res d cennies le paysage des entreprises a t fortement marqu par les impulsions de la globalisation et des changements technologiques profonds Gr ce ces avanc es les canaux de vente et les points de contact se sont galement multiplies et de nombreuses entreprises optent aujourd hui pour le commerce lectronique Cette strat gie la multiplication des points de contact est connue sous le terme multicanal Le multicanal consiste notamment proposer une multitude de moyens de contact aux clients existants ou potentiels et ces moyens se caract risent par leur disponibilit th oriquement illimit e vingt quatre heures sur vingt quatre sept jours sur sept Les b n fices d une telle approche sont nombreux et les clients en b n ficient autant que les entreprises Du point de vue des clients la disparition des fronti res g ographiques et temporelles quant l acc
318. ts financiers figureraient r guli rement sur une liste avec les transactions rejet es R f rentiel de prix Afin de garantir l unicit des prix des instruments financiers les banques construisent leur propre base de donn es centrale Cette derni re pratique ne s est toutefois pas encore d mocratis e chez les producteurs des PMS m me si elle pr sente de v ritables avantages En effet la cr ation d une telle base de donn es pose quelques difficult s de nature juridique En revanche ce r f rentiel de prix rel ve d une importance strat gique pour une entreprise PMS qui consolide des informations financi res en provenance d une multitude de banques Avec ou sans r f rentiel de prix il importe toujours d expliquer la clientele d un PMS d apr s quelle logique ce produit valorise les actifs financiers e g r f rentiel comme Bloomberg Thomson Reuters ou reproduction des prix obtenus par les banques d positaires Les comptes fiduciaires Il s agit d un compte technique purement virtuel qui permet typiquement la gestion des contrats forward contrat terme sur devise Le compte technique fractionne l information financi re qui est transf r e par la banque aux diff rents syst mes de PMS Ce fractionnement est une des causes de rejet d une interface PSI car cette derni re est aujourd hui dans l incapacit de reproduire les l ments manquants des instruments en question Par consequent le taux de rejet d u
319. ts tiers du d partement IT bancaire une experte comptable pour les produits financiers galement active dans le milieu bancaire d autres employ s bancaires Front et Back Office et un utilisateur d un logiciel PMS dans une structure de Family Office Service Provider FOSP fondaient la base pour cette analyse macro Or ces derniers entretiens avec en parall le d autres avec l entreprise de consolidation formaient la deuxi me phase de l analyse et de la v rification des hypoth ses 2 Durant la phase finale de la construction et de la v rification de la viabilit du mod le recommand 3 les entretiens du type d change d expertise avec deux experts en d veloppement Lean de logiciel et un responsable d une ligne de produits Portfolio Manger du groupe VWR AG concluaient ce travail L observation passive du mod le recommand a galement permit de renforcer l argumentaire des recommandations Tout entretien formel du pr sent travail s est d roul d apr s le protocole d un entretien semi structur ou semi dirig Combessie J C 1999 Fenneteau H 2002 qui permet aux personnes interrog es une relativement grande libert quant leurs r ponses tout en cr ant un espace propice la discussion et au partage d exp rience Le chercheur quant lui peut soit intervenir pour rediriger l entretien sur d autres sujets soit proc der d autres entretiens Gavard Perret M L amp al 2008 En revanch
320. ts time box du Sprint time box d signe la dur e estim e pour un lot de travail Pendant le cycle ni l organisation du travail ni la composition des membres l quipe n ont chang Le progres la micro planification au niveau journalier voire hebdomadaire la mise jour des diagrammes du tableau de bord les difficult s rencontr es sont revues et directement g r es lors des br ves s ances quotidiennes A la fin d un sprint l quipe r unit les diff rentes parties prenantes pour examiner la qualit l aide de d monstrations concr tes du travail achev Les r troactions ainsi obtenues sont directement incorpor es dans les cycles qui suivent Scrum souligne l importance de la notion du statut termin done is done d un lot de travail et d finit concr tement les conditions remplir pour atteindre ce statut Ce principe ajoute de la transparence l tat effectivement atteint d un projet et r duit l effet tunnel Dans l annexe no VII la description de ce d roulement est sch matis e l aide d une repr sentation graphique de ce processus Suite ces explications par rapport aux grands principes du fonctionnement de Scrum les paragraphes suivants r sument les notions clefs NB les r les meetings tableau de bord techniques du mod le avec pour chaque point la comparaison avec l environnement analys et la situation actuelle La figure Resume de Scrum cf FIG no 30 pr sente graphiquement la struct
321. ture de transaction inconnue etc Dans tous les cas faut il parcourir l int gralit des transactions de la PSI avant l interfa age dans le PMS En outre ces derniers propos concernant l importance de tests d int gralit des donn es nous ont galement t confirm s par l entretien bancaire du 24 juin 2013 Les comp tences n cessaires d un tel contr le d int gralit des donn es obviennent typiquement celui d un employ du back office bancaire Diff rents entretiens savoir ceux avec plusieurs employ s de l entreprise Galeo des clients de Galeo et des entretiens bancaires confirment unanimement que le travail du Back Office est souvent n glig dans une structure de Family Office Les causes d une telle situation sont effectivement diverses et les raisons sont par exemple l image connotation n gative du travail de back office travail r p titif non exigeant etc un travail jug comme non cr ateur de valeur un profil des employ s types du SFO qui correspond davantage celui d un front office ou aussi un tat d esprit mentalit des employ s du SFO non propice au t ches administratives D autres raisons soutenant l importance d un contr le syst matique de l int grit des donn es sont galement les syst mes bancaires et le niveau insuffisant de la qualit des donn es qu on obtient voire galement paragraphe no x Par rapport cette complexit provenant des IS bancaires d une part et de
322. u contenu des IS bancaires En ce qui concerne ce qu on entend par IS de nombreuses d finitions existent Dans un premier temps on peut retenir la d finition fr quemment cit e et qui tait initialement donn e par Reix 2004 Un syst me d information est un ensemble organis de ressources mat riel logiciel personnel donn e proc dure permettant d acqu rir de traiter de stocker des informations sous forme de donn es textes images sons etc dans et entre les organisations D un point de vue technique cette d finition permet de poser les fondements mais elle se compl te ais ment par celle de Reix et Rowe 2002 Un syst me d information est un ensemble d acteurs sociaux qui m morisent et transforment des repr sentations via des technologies de l information et des modes op ratoires Cette d finition nous permet de mettre l accent la fois sur les dimensions techniques et sociales De ce fait l analyse de l acteur se divise en deux parties la premiere correspond la description du r le et des potentiels d am lioration de lIS bancaire La deuxi me partie quant elle traite des aspects sociaux des personnes qui sont la base du traitement de l information dans les IS bancaires Pr cis ment il s agit du travail du Back Office et dans une moindre mesure du Front Office bancaire et de ses collaborateurs qui entrent et corrigent le cas ch ant les transactions financi res
323. uant l univers des PMS souligne l envergure et la complexit d un projet de d veloppement d une interface Cette complexit est non seulement li e aux exigences lev es quant aux fonctionnalit s du logiciel m me mais galement son environnement qui se qualifie d instable de tr s h t rog ne et d incertain La question de recherche du pr sent manuscrit s articule autour de la r duction du taux de rejet des interfaces bancaires PSI et s inscrit au c ur d un facteur clef et d terminant pour la performance globale des syst mes de PMS En effet l acc s instantan a l information ainsi que les technologies le permettant sont un des deux l ments clefs conditionnant la performance globale du PMS Or la principale pr occupation de ce document concerne les l ments qui potentiellement contribuent une am lioration de la performance des interfaces bancaires Ces derni res galement qualifi es de Portfolio Sync hronisation Interface se situent entre les banques d positaires et les syst mes PMS et alimentent les PMS avec sa mati re premi re les donn es des informations financi res Le concept d interfa age ne se limite pas a une plateforme purement technique mais comprend toute une s rie de sous syst mes entre autres la correction manuelle des transactions rejet es La recherche de solutions minimisant ce taux de rejet se justifie de toute vidence par une contrainte conomique Pr cis ment il s agit du
324. ues back office banquier aux d veloppeurs d interface l oppos le LSD pr ne une approche d am lioration continue en s lectionnant planifiant d veloppant testant et d ployant une fonctionnalit la fois et en r p tant ces tapes pour chacune des fonctionnalit s approche par iteration Ainsi les divers facteurs de risque li s au projet ne se situent qu un niveau des fonctionnalit s et non plus un niveau global du projet Or d ventuels carts entre le livrable et le besoin volutif du client se g rent plus rapidement et avec une meilleure efficience des ressources La figure suivante repr sente l ajustement continue du livrable son environnement l aide du LSD FIG no 28 Approche agile en LSD Solstice k Modified Agile Adjusted aia Based on iara comechons to user requirements and changes in business process along the way Eliminates the a Gaph by closely fol a wing changing user needs amp correct understanding of Due Date requirements ving time and money Completion Date Short budgeting Weekly user HG USER NEEDS period and meetings CHANGIN T initial analysis OJECT PA of what is wanted D PR T T T i rada dalana PROJECTED PROJECT PATH _ Dally code deliver TERATIONS Source www gosolstice com consult en juin 2013 D apr s l ouvrage des conjoints Poppendieck Poppendieck M amp Poppendieck T 2003 le LSD est fond sur quatre principes de base
325. uestion 2 PB Pour l heure y a t il des projets ou des initiatives en cours qui visent l am lioration des interfaces bancaires JF Les projets actuellement en cours et qui visent l am lioration des interfaces concernent une conversion des anciens num ros de comptes des banques d positaires vers les num ros de compte IBAN En m me temps ce projet permet d am liorer le taux de rejet de quelques transactions aujourd hui rejet es Un autre projet et la banque d affaire X Suisse a t parmi les premi res concern es du changement est l automatisation du t l chargement des donn es de la Backend Portfolio Date par le syst me Pull ou Push En effet l automatisation par un syst me Batch push ou pull s est av r tre une tr s bonne pratique qui permet l automatisation des tests d int grit et la r duction d ventuels probl mes de l interfa age ult rieur Par cons quence les grands clients seront dans la mesure du possible convertis vers un tel fonctionnement d change de donn es par Batch Au del plusieurs projets sont parall lement et continuellement en cours pour l am lioration de la structure de la Backend Portfolio Database Question 2 a PB Quelle est la priorit strat gique de ce sujet qui concerne l am lioration des interfaces bancaires JF En comparaison avec le d veloppement des PMS l importance strat gique du d veloppement des interfaces est clairement subordonn e
326. uissent d une r putation mondiale ayant chacun des filiales dans plus 100 pays Les segments cibl s par Thomson Reuters et Bloomberg sont ceux des grandes banques d investissement avec comme clients des banques et d autres tablissements financiers de grande taille D autres concurrents de renomm e mondiale sont notamment SunGard Telekurs et IDC ainsi que des concurrents locaux r gionaux voire de niche tels que Markit Superdivatives ou Xinhua Finance Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI En outre le march des agences de l information financi re se caract rise par une grande h t rog n it des clients d une part et de ses besoins en termes de type d information d autre part D ailleurs cette client le exigeante est principalement la recherche de solutions ergonomiques et faciles l utiliser G n ralement six facteurs de clefs de succ s conditionnent les acteurs du march en question 1 La capacit d adaptation n cessaire par rapport aux changements technologiques ou sociod mographiques changement de la demande des clients est le facteur le plus important Les cinq autres facteurs concernant ce secteur de l information financi re lectronique et sont les suivants 2 le savoir faire 3 la disponibilit des syst mes et des produits 4 la proximit g ographique
327. uments financiers absence d un identifiant unique nature de contrat particulier de certains produits fractionnement des instruments par pratique bancaire des comptes fiduciaires sont m connues et qualifi es d externes la sph re d influence des d veloppeurs En revanche la nouvelle approche propos e et approfondie dans la suite du document r organise le d roulement et la priorisation des projets de d veloppement et recompose les quipes Incontestablement ce changement de paradigme vers cette approche valorisant les contributions et les connaissances des intervenants bouleverse les valeurs des approches classiques et actuellement suivies Dans l analyse du processus macro de PMS les competences des acteurs tels que l employ bancaire l op rateur du centre de traitement PMS ou les clients finaux Family Office se sont r v l es b n fiques au d veloppement d interface En effet le gestionnaire du Back Office bancaire et l op rateur du centre de traitement font preuve de comp tences la fois techniques et m tiers avec leur bon niveau de connaissances des syst mes d information et des produits financiers Du c t des clients l employ en charge de l interfa age est particuli rement int ressant pour son point de vue externe mais galement pour ses connaissances quant l administration de la PSI Les connaissances du client utilisateur du PMS et du conseiller bancaire ces derniers n ayant pas de connaissanc
328. un SI capable de d livrer une information de qualit coh rente en temps r el et unique unicit de l information Afin d atteindre une information d une telle qualit les banques doivent travailler sur des syst mes int gr s permettant d agr ger toutes les informations Si un client r alise la vente d une obligation la veille il faut que cette information soit disponible d s l interfa age qui suivra et que les diff rents syst mes des banques communiquent et soient int gr s en termes de bases de donn es G n ralement on constate actuellement un cart gap technologique des IS bancaires Il en r sulte un niveau insuffisant de qualit de l information qui est entre autres transmise aupr s de l entreprise tierce Principalement ce dernier fait s oppose l interfa age des donn es totalement automatis et z ro rejet Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 78 1 4 R le du Back Office bancaire Les agents des Back Offices s occupent essentiellement des t ches administratives commen ant par la gestion courante des cr dits de la gestion de documents du recouvrement et des contentieux des r glements interbancaires des successions et finissant par des assurances Ce r le administratif implique qu un gestionnaire ne soit pas seulement en contact permanant avec le syst
329. ure choisie Par ailleurs chacune des notions abord es est compl t e par les recommandations et conseils recens s lors des entretiens avec les experts en Lean Software Development cf Annexe no VIII de l ouvrage du Dr Jeff Sutherland 2012 et Dr Ken Schwaber 2007 qui y synth tise une vingtaine de publications apparues et les meilleures pratiques par rapport Scrum FIG no 30 R sume de Scrum 7 2 2 R les 7 2 3 Meetings 7 2 4 Tableau de Pig Roles Project bord Product Owner Planning Project Team Members Retrospective Product Backlog Scrum Master oes Stories Points Sprint Burndown Chicken Roles Planning amp II Clients Daily Scrum Sprint Distributeurs Sprint Review Sprint Backlog _ Managers Show amp Tell Tasks hours Tiers Retrospective Burndown 7 2 5 Techniques Story Point Priority Rating Done is Done Retrospective Estimation ie R e Source Auteur 2013 7 2 2 R les Trois differents r les constituent l quipe Scrum Product Owner Etant le responsable du ROI du produit le Product Owner d finit les fonctionnalit s priorise et pr sente ces derni res en une liste appel e Product Backlog En r alit une grande partie de ce travail est planifi e d avance ou au d marrage d un projet mais avec une grande libert th oriquement illimit e quant aux changements ult rieurs pour assurer une coh rence continue avec les contraintes et les besoins de l environnement
330. urquoi utilisez vous un Kanban Board et Quelles sont les avantages quelle est la valeur ajout e du tableau Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 115 FIG no 4 Exemple d un tableau Kanban Board Projects Marketing La r ponse de SW tait que son d partement MarCom utilise un tableau Gemba la fois pour am liorer la visibilit d un projet et pour la responsabilisation ownership des personnes L avantage le plus important pour elle serait qu il tait beaucoup plus facile pour tout le monde de savoir ce que les autres membres font qui travaille sur quel projet de voir l tat d avancement des activit s et de voir ce que l quipe accompli D apr s SW un tel tableau et son management maintient les projets et les t ches en mouvement et permet de r duire la qui travaille sur quoi confusion FIG no 5 Exemple d un tableau Kanban Board Projects MarCom La r ponse de MH tait galement tr s int ressante car il m expliquait que lui et ses quipes taient la recherche d une option l g re qui permet la gestion de projet ou au moins permet ajouter de la visibilit aux statuts des diff rentes activit s en cours La valeur d apr s lui a t d aider clairer nettement le travail que les personnes font
331. ution Benavent amp Gardes 2006 Selon les travaux de Sylvie Michel l int r t du multicanal est fond sur l externalisation des operations faible valeur ajout e et chronophages pour un conseiller client aux clients ou d autres entreprises tierces Elle 1 Le terme multicanal en fran ais distribution par canaux multiples utilis soit comme adjectif soit comme substantif est un n ologisme issu de la litt rature La d finition suivante r serve l expression quant son utilisation sp cifique Lorsque plus d un canal principal est utilis pour vendre la m me gamme de produit au march cible Frazier G 1999 Suivant cette m me d finition Frazier d crit les canaux comme tant des composants d un syst me de vente et de service Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI constate que la maturit du multicanal a atteint un niveau qui permet une grande autonomie aux clients dans la gestion de leurs affaires bancaires Aujourd hui les tablissements bancaires offrent une multitude de services aux clients leur permettant de consulter leurs comptes sur internet d ouvrir un compte de r aliser un virement de faire un retrait etc et le tout sans avoir jamais rencontr un conseiller client bancaire Michel S 2011 En parall le l effectif bancaire sera
332. utre part il existe des mod les normatifs exigeant une grande masse d information et un niveau de certitude plus lev car ils sont fond s sur des mod les math matiques Perronne J M 2007 Par ailleurs on distingue ces mod les selon leur orientation soit acteurs soit 21 OMG OMG Unified Modeling Language TM OMG UML Infrastructure Version 2 3 http www omg org spec UML 2 3 consult en 05 2010 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 41 mod les Orient acteurs le framework environnement appel Ptolemy Project II 2 permet la conception de mod les vari s et h t rog nes Eker J amp al 2003 En revanche ceux orient s mod les sont par exemple le MIC lIDM ou aussi le MDA Le premier mod le MIC avec son m ta mod le FCO First Class Object permet la conception de langages de mod lisation tr s sp cifiques Karsai G amp al 2003 Les deux autres mod les savoir l IDM et le MDA fournissent des concepts plus g n raux de d veloppement de logiciels Bezivin J 2004 Favre amp al 2006 La description du troisi me et dernier l ment celui d une approche de mod le de cycle de d veloppement 3 sera faite dans le paragraphe suivant En effet l apport principal en termes de valeur ajout e du pr sent manuscrit se traduit par un choix con
333. vail selon une approche Kanban Il s agit souvent des quipes qui travaillent dans la maintenance ou dans l am lioration de logiciel Dans l entreprise X nous nous servons typiquement cette approche agile pour les quipes de maintenance et un exemple d un tableau est illustr au slide 6 de la PPTx que je vous ai envoy cf FIG no 3 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 114 FIG no 3 Agile Services Kanban Board Question 2 PB quelles sont les limites de la dur e des WIP A vrai dire nous ne travaillons actuellement pas avec des limites en niveau de la dur e des Lots en WIP Ce choix est non seulement motiv par la petite taille de notre quipe mais galement par le niveau faible de r sistance qui s oppose a nos quipes Kanban de d veloppement de logiciel Pour les projets que j ai Supervises voire galement pour ceux des quipes de maintenance des syst mes logiciels la dur e des cycles s l ve g n ralement a quelques jours l oppos de la dur e de plusieurs semaines des sprints et iterations des autres m thodes agiles La dur e relativement courte des User Stories concernant les projets Kanban est un principaux avantages Cependant nous avons d j song imposer des limites de la phase WIP par User Story mais cette limite ne serai
334. vaillent avec un PSM doivent davantage investir dans les ressources humaines et dans la cr ation d un Back Office CD ou de travailler avec nous ou avec d autres services similaires En effet notre entreprise se charge du nettoyage des donn es tel qu effectu par un BO bancaire Au moment de la synchronisation il faut au moins une personne exp riment e dans les produits financiers qui proc de des tests d int grit du contenu de chaque fichier et les nettoie Il s agit d un travail qui doit tre effectu syst matiquement tous les jours de premi re heure et avec chaque fichier qui sera import dans le PMS En effet une grande partie de la valeur ajout e que propose notre entreprise se situe exactement dans ce travail nous am liorons la qualit de l information financi re lectronique qu on obtient par les IS bancaires a un niveau souhait par les clients et requis pour une gestion efficace de portefeuille En revanche si un client souhaite acheter un PMS sans b n ficier de notre service BO dans la synchronisation des donn es nous communiquons pr cis ment ce que cette strat gie signifie en termes d investissement en ressources Jusqu pr sent par exemple j aurais toujours refus de vendre un PMS une fiduciaire one man show S il n a pas une quipe se chargeant des t ches administratives dans le dos des conseillers l emploi d un PMS est de l utopie Avec mon argumentaire et mes exp
335. vec un logiciel PMS PSI ou autres et qui conna t ses d faillances par rapport aux exigences m tiers n est pas la personne qui d veloppe ce logiciel Or un transfert efficace des connaissances est un element clef et la proximit des processus y pr sente un avantage majeur tant donne la centralisation des diverses connaissances en un b timent voire en une seule entreprise Le deuxi me b n fice de l actuelle approche concerne le niveau lev de sp cialisation des op rateurs employ s dans ces centres de traitement Non seulement d un point de vue organisationnel o la division du travail au niveau des t ches est essentielle a toute activit humaine et l obtention d une meilleure efficacit de l organisation Mintzberg H 1999 mais galement du point de vue de la formation des ressources humaines cette approche pr sente des avantages et des b n fices certains Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 98 Toutefois les pratiques en mati re observ es am nent conclure que les approches de d veloppement mettent davantage l accent sur les aspects techniques La consid ration des connaissances m tiers dans la r solution des probl mes ne joue qu un r le secondaire malgr l avantage d un niveau lev de centralisation des connaissances Finalement la derni re hypoth se 8
336. veloppement de logiciels Les neuf disciplines et les quatre phases de processus constituant le paradigme de l UP voire galement celui du RUP figurent sur le graphique suivant cf FIG no 24 En troisi me dimension indiqu e en surface ce m me graphique illustre galement l intensit du travail pour chaque phase en fonction de sa discipline La nature agile de la m thode s explique par l organisation des projets de d veloppement o les quatre phases sont rigoureusement parcourues par chacune des neufs disciplines FIG no 24 Development Iteratif created value Organization along time PHASES Elaboration Construction Core Process Workflows Business Modeling Requirements Analysis amp Design Organization Implementation along content _ Test Deployment Core Supporting Workflows Configuration amp Change Management Project Management Preliminary iter 1 iter 2 iter n iter n 1 iter n 2 iter m iter m 1 Iterations ITERATIONS Source RUP Guide for Best Practices Software Development Rational Unified Process Guide for Best Practices for Software Development 1998 Rational Software http www ibm com developerworks rational library content 03July 1000 1251 1251_bestpractices_TP026B paf consult en 06 2013 Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organi
337. velopper i le potentiel Work In Process WIP Respecter la taille minimale du stock en cours qui assure l ex cution humain r guli re d op rations sans arr t du flux de mati res Cross training Partager les connaissances au sein du groupe de travail Kaizen Poursuivre la d marche d am lioration continue Syst me de suggestions du D velopper le potentiel humain et am liorer les performances personnel Evaluer la Valeur ajout e VA Calculer la valeur du produit du point de vue du client satisfaction client Travail de Master e MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 102 Annexe Ill Tableau comparatif entre une Lean Entreprise et une entreprise classique Tableau comparatif selon les theses de Leseure Zajkowska E 2012 Ar ge Entreprise traditionnelle Lean Entreprise production Organisation e Syst me de production rigide e Syst me flexible de production proportionne de la aux besoins production Planning e Base sur des previsions e Base sur les commandes client e Travail individuel des experts e Travail d quipe Technologie et construction Faible consid ration du client de la production e Consideration du client de la production de de l achat et de la logistique l achat et de la logistique Production orient e sur l efficacit e Production orient e sur le flu
338. viation pour International Securities Identification Number gr ce auquel tout papier valeur n goci en bourse est identifiable M me n goci e dans diff rentes monnaies ou sur des places financi res diff rentes l action conserve le m me ISIN puisqu il s agit toujours du m me titre20 VALOR Le code VALOR sert galement l identification des titres et des instruments financiers et il est int gr au code ISIN pour les instruments financiers suisses SWIFT La Society for Worldwide Inter bank Financial Telecommunications ou SWIFT intervient dans le transfert s curis de transactions financi res Ainsi SWIFT est un syst me qui permet l change international des fonds ou EFT Les propri taires de SWIFT sont plus de 1400 banques membres et ces derni res se situent dans plus de 600 pays membres Davies amp Price 1989 5 3 3 3 Conclusions amp contributions Le transfert lectronique est indiscutablement un des piliers principaux d un syst me de PMS m me si ce dernier ne contribue que dans une moindre mesure l am lioration de la probl matique trait e du pr sent manuscrit En effet les l ments recherch s par ce travail concernent les contenus des informations transf r es l oppos les questions li es l architecture des syst mes de l EFT ou d autres abordent principalement les fa ons l emballage dont les contenus sont transf r s En revanche les standards internationaux e g ISIN VALOR SW
339. x continu de Stocks de production mati res D pend de l quipement Gestion de la Production la commande production bas e sur le planning e Depend de l assortiment de produits Production par lots e Gestion de la production bas e sur la Stabilit de la production grace au stock commande client important e Flux continu e Stabilit de la production grace la fiabilit et la synchronisation des processus Production Production en grande s rie e Production en petite serie correspondant aux Quantite economique besoins des clients e Minimisation des co ts Taille de lot Bas coefficient de rotation des stocks e Haut coefficient de rotation des stocks oe planifi s e Livraison fr quente Grand stock e R duction des stocks Usine e Processus de production sp cialis s e Processus de production flexibles Organisation e Par technologies d partements cellules e Conception de cellules en U des ateliers Machines complexes ch res et tr s efficaces e Machines simples et pas ch res e Maintenance curative par un e Maintenance le syst me 5S la prevention et la e sp cialiste conservation par l op rateur Rotation des stocks Machines R duire la fr quence des changements d outils e R duire le temps n cessaire aux changements Temps de changements d outils importants d outils e Changements rapides d outils Changements d outils Gestion des flux d information coce cuie i Contr le statistique de la qualit
340. ype de l entreprise Galeo et repr sentent un des segments importants du march suisse des PMS Travail de Master MSc HES SO in Business Administration e Management amp Ing nierie de Service Am lioration des aspects organisationnels du processus de d veloppement de la PSI 34 G n ralement la fortune sous gestion doit s lever au dessus d un certain seuil une masse critique et ce dernier se calcule au moyen de la fraction des actifs sous gestion en anglais Asset under Management ou AuM D apr s diverses enqu tes effectu es ce niveau seuil se situe entre 50 et 100 points de bases de son AuM Or une structure SFO n est profitable qu partir d une fortune moyenne d environ USD 250 millions par famille Au dessous les entreprises optent davantage pour une des approches multi clients en optant pour des structures organisationnelles de MFO ou de FOSP University of St Gallen amp VP Bank 2008 5 3 4 3 Conclusions amp contributions Le bon fonctionnement d un PMS est fond sur l int grit et l int gralit des donn es de titres obtenues par les banques d positaires Or le processus d interfa age l aide d une interface du type PSI y presente un l ment clef En consid rant l interfa age comme un service une structure de Family Office peut soit opter pour la sous traitance soit pour l int gration de cette activit dans sa propre structure organisationnelle Dans tous les cas les activites de l interfa a

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