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Le journal de l`Adeda78

1. Les Anglo Saxons Anglais Am ricains taient l poque farouchement oppos s cette norme Nous Fran ais avons d fendue cette norme car nous pensions qu en la retravaillant pour la faire pouser davantage les usages archivistiques des autres pays ce serait un bon outil Cette th se a fini par l emporter et on a alors cr le SCll Sous comit international dans l ISO qui s est prolong dans les autres pays par des commissions nationales comme la CN11 Commission nationale au sein de l AFNOR en France Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 15 Dossier sp cial Records management Comment s est d roul e l laboration de la norme internationale Les Australiens avaient d j r alis un gros travail de r flexion au niveau national et poss daient une exp rience forte et r ussie dans la mise en application de ces concepts en particulier dans le domaine de la sant Ils ont re u la pr sidence du SC11 et assur le secr tariat Les autres pays devaient en premier lieu apporter la connaissance g n rale les l ments de sp cificit de leur tradition archivistique Apr s quoi ils ont particip l criture de certains chapitres ainsi qu la discussion de l ensemble du texte Par exemple au niveau fran ais nous avons pris en charge une partie concernant les r les et responsabilit s en mati re de records management et la mani re dont ils se distribuent dans un
2. Mes premi res connaissances professionnelles je les ai obtenues dans le cadre du DESS Au quotidien j utilise la liste de diffusion de l ADEDA78 pour communiquer avec mes coll gues Je prends beaucoup d information galement par la liste de diffusion lectronique de l AAF par l Internet L atout majeur du DESS a t de pouvoir constituer au cours de la formation puis au sein de l association un r seau de professionnels Il m aide encore aujourd hui dans mon poste face aux difficult s que je peux rencontrer Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 27 Le journal de l Adeda 78 R daction c o Fran oise Cohen C assuto 42 rue Saint Maur 75011 Paris T l 06 60 47 54 30 adeda 78 vyahoo fr Directrice de la publication Chlo ROELENS R dactrice en chef Fran oise COHEN CAS SUTO Secr taire de r daction Alexis DOUCHIN Marina Remerciements DAL SOGLIO Catherine DH RENT Genevi ve DROUHET lisabeth MORINEAU pour le temps qu elles ont g n reusement accord la r daction Et aux membres de l association ADEDA78 qui ont contribu par leur aide toujours si pr cieuse la sortie de ce num ro ADEDA78 La r daction du Journal de l Adeda78 est responsable de la titraille des textes de pr sentation encadr s photographies illustrations et l gendes Elle d cline toute responsabilit sur les positions et avis d fendus par des per
3. ellement et ce jour je n ai pas encore vu d expertises issues d autres domaines capables d apporter des solutions efficaces Que faut il faire alors Comment les Australiens s y sont ils pris lls ont une dynamique diff rente par exemple le pr sident du SC11 est consultant pour de grands cabinets tels Deloitte and Touche Ernst amp Young etc Dans ces cabinets ils proposaient du records management pour r soudre des probl mes li s aux syst mes d information lectroniques En France on ne prend pas en consid ration le records management dans des cabinets analogues et il n y a aucune demande de ce type dans les entreprises Moi m me j ai exp riment l int rieur de M d ric jusqu o on peut aller Face aux impasses dans lesquelles nous nous sommes trouv s nous allons devoir s parer le centre d archives site de production et de conservation rattach la logistique d un d partement appel Gestion de l information qui fera du records management sans le dire C est un gros changement dans ma vision des choses Jusqu pr sent j ai fait tous les efforts pour remplir le mot archives et tenter de le recentrer dans le c ur des activit s du Groupe sans succ s ce jour j abandonne le mot archives pour tenter sous une autre appellation de d velopper le records management Il y a quand m me le souci du risque de la perte d un document vital en France En France je crois eff
4. Association des dipl m s du DESS Archives et image de Montauban L association AICI Archives Image Communication et Informatique regroupe un peu plus de 20 anciens tudiants et tudiants du dess Archives et Image de Montauban N e depuis quelques mois nous entamons cette premi re ann e avec des projets de mise en place d un r seau de solidarit entre les membres et la cr ation d un site internet Maud Sallansonnet la tr sori re adjointe Secteurs d activit bureau emploi collecte et diffusion des offres d emploi et de stage a fusionn en 2004 avec le bureau d emploi de l ADEDA78 bulletin de ADAL Paroles d archivistes site internet nouvelle adresse http www adak lyon com organisation de visites de services et de d monstrations de logiciels d archivage plus particuli rement destin es aux tudiants organisation de journ es d tudes dont 2005 verra se d rouler la 6e dition la coop ration internationale recherche d information sur les pistes de stages l tranger et changes avec des archivistes de l tranger Association des archivistes suisses notamment Pour prendre contact avec l association Universit Jean Moulin Lyon 3 74 me Pasteur 69635 Lyon Cedex nouvel e mail adal adatlyon com Les objectifs que se fixe AICT 1 Cr er et d velopper un esprit de solidarit entre les l ves et anciens l ves du DESS A
5. Genevi ve Drouhet pourquoi la France travers l AFNOR a t elle mis en place une commission sur le records management Genevi ve Drouhet Revenons au d marrage de cette norme et de cette commission En juillet 1997 nous tions parmi les premiers avec Sylvie Dessolin Baumann et Philippe Barbat Londres appuyer la norme australienne alors appel e Gestion des enregistrements La France a jou d s lors un r le majeur en proposant la cr ation d une commission Pour la petite histoire la norme australienne avait t pr sent e en premier lieu aux biblioth caires du fait de sa traduction ambigu Les biblioth caires se sont alors rendus compte qu elle ne les concernait pas et l ont adress e aux archivistes Je venais alors de prendre le poste que j occupe actuellement au sein du Groupe M d ric Ce poste me confrontait chaque jour des probl mes de type records management Mais cette poque je n avais comme outil que la loi sur les archives de janvier 1979 Lorsque j ai lu cette norme je l ai trouv e conceptuellement tr s int ressante et je me suis rendue compte que c tait exactement ce dont nous avions besoin pour progresser L AFNOR nous a donc mandat s tous les trois afin de savoir si la norme propos e par les Australiens pouvait devenir une norme internationale En juillet 1997 il s agissait de voter en faveur ou en d faveur de cette proposition
6. en g n ral dans des services de documentation ou par le biais de banques de donn es S ils utilisent peu de administratifs pour crire leurs papiers c est certainement moins d leur m connaissance de la proc dure d acc s documents qu au mauvais rendement qu offre la r colte d information au regard du temps pass la consultation d archives C est une des principales raisons expliquant la faible fr quentation des services d archives par les journalistes de l urgence Cependant il arrive que des journalistes d investigation fassent une enqu te plus pouss e et plus longue sur un v nement cette fin ils consulteront des fonds de biblioth ques et d archives Sans vouloir mettre en question la richesse vidente d une information r colt e la suite d une longue recherche et partir de sources crites de premi re main put on pour autant minorer l int r t d une information construite partir de sources orales en lien direct avec l v nement Car s il est vrai que le journaliste est plus attach l information qu son support la diff rence de l historien il utilise cependant la source orale bien plus que les autres chercheurs d histoires gt La diff rence entre ces deux types de conteurs d histoires r side alors dans le d lai temporel existant entre la source et le r cit Les historiens analysent un v nement apr s un laps de temps plus long cette pratique pe
7. es pour leur assurer une fiabilit et une p rennisation D o la n cessit de consigner des m tadonn es au moment de l enregistrement dans le syst me de conservation et aussi de les enrichir tout au long de la vie du document Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 16 Dossier sp cial Records management On est typiquement dans le records management car on a la fois l archivistique et la diplomatique qui se m lent En ce sens la critique formelle du document sera consign e avec ces l ments de description Notre groupe a commenc par travailler sur les aspects g n raux des m tadonn es Ce travail a trouv son aboutissement dans une nouvelle norme sous le num ro 23081 Actuellement nous assurons la traduction fran aise de la premi re partie de cette norme et travaillons sur une deuxi me partie qui concerne la mise en uvre d un programme de gestion de m tadonn es Pour chaque type de document il s agira d abord de d terminer quels sont les l ments de description n cessaires pour caract riser le document les acteurs les activit s les processus Ensuite on envisagera la fa on de les recueillir automatiquement ou manuellement tout en assurant un contr le de gestion sur les documents dans le temps C est en quelque sorte le lien entre le records management et le document num rique M me si on peut d duire du records management des id es int ressantes et fructueu
8. et sans rejeter les acquis traditionnels de la discipline la strat gie globale de construction d un syst me d information documentaire efficace de m me qu au type d instrument de recherche r aliser choix du ou des fonds d crit s d terminer en fonction de la progression de la publication et des attentes des lecteurs niveau de description de l instrument de recherche pertinence des l ments employ s dans l analyse profondeur de l encodage n cessit genre et normalisation de l indexation etc Enfin il ne faut pas n gliger la question du dialogue avec les instruments de recherche existants quels que soient leur forme leur support mat riel ou leur qualit Pour qu une conversion en EAD d anciens instruments de recherche soit possible ceux ci doivent imp rativement tre conformes la norme ISAD G Cette mise niveau est donc la premi re et souvent la plus longue tape laquelle doivent se soumettre les archivistes Les corrections entreprises sur les instruments de recherches anciens ne dispenseront toutefois pas de relire et d amender les differentes versions successivement encod es Les Archives de la Ville de Gen ve ont ainsi d cid de limiter le nombre des l ments EAD employ s dans l encodage de leurs instruments de recherche afin de mettre ces derniers plus rapidement la disposition des chercheurs sur leur site Internet Le journal de l Adeda78 janvier 20
9. information vais je avoir besoin demain gt et cela va jusqu la cr ation ou l am nagement de types de documents C est la diff rence et important apport par le records management l archivistique telle que pratiqu e jusqu aujourd hui en France le compl ment Actuellement il y a un fr missement dans le monde des entreprises qui prennent conscience de l objet documentaire de son r le dans la conduite des activit s des co ts et des risques d coulant d une absence de gestion des documents Les audits largissent leur champ des documents autres que financiers et comptables D finir une strat gie documentaire devient une n cessit Pour vous la d marche du records management doit tre appliqu e un organisme dans son ensemble ou par petits morceaux en l appliquant sur certains services uniquement Appliquer le records management sur toutes les activit s et tous les documents d un organisme semble difficile r aliser aujourd hui parce que co teux mais galement inutile L entreprise fera des choix s lectionner les activit s et les types de documents qu elle consid re devoir g rer et conserver parce que n cessaires pour conduire et prouver ses activit s AU records manager de rep rer d cider de g rer ou non pour des raisons d utilit ou de co ts risques selon le principe du records management Puisqu on ne peut pas le faire parce que c est t
10. l adresse suivante http www knaw nl ecpa sepia workinggr oups wp5 cataloguing html Cet outil a t cr dans le cadre du projet SEPIA Safeguarding European Photogra phic Images for Access Il permet notamment la description des images plusieurs niveaux int gre une fonction de recherche et permet l extraction de m tadonn es de type Dublin Core 1 Conseil international des archives 2 Centre historique des Archives nationales La DAF a lanc en octobre dernier une grande tude sur les fonctionnalit s de description documentaire offertes par les logiciels de gestion d archives au regard des normes internationales de description des documents ISAD G et DTD EAD et EAC Cette enqu te s adresse aux services d archives utilisateurs de ce type de logiciels L tude de l utilisation des logiciels permettra la DAF de fournir une information pr cise aux services d archives engag s dans le choix d un outil et d apporter son aide aux diteurs qui souhaiteraient am liorer la conformit de leur produit a International L Irak fait nouveau partie du CIA depuis octobre 2004 Le CIA souhaite apporter son aide notamment la Biblioth que et aux Archives nationales irakiennes fortement touch es par les incendies et les pillages d s la guerre L gislation Une nouvelle loi relative la protection des personnes physiques l gard des traitements de donn es caract re personnel Cette
11. le groupe m tier de l AAF ADBS travaille d abord pour l AAF et l ADBS et nous n avons pas forc ment les m mes objectifs que la Commission m me si on a tout int r t changer Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 20 L ADEDA78 organise sa premi re journ e d tude le 18 janvier 2005 l universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines L ADEDA78 s implique fortement dans l archivage lectronique Le Comit de coordination logistique compos de trois tudiantes de la 3 promotion du DESS raconte la mise en uvre de la journ e d tude Un mois avant la date butoir du 18 janvier 2005 tout le monde s affaire autour des derniers pr paratifs pour la premi re journ e d tude organis e par l ADEDA78 En effet les deux comit s le comit de programme et d organisation d une part et le comit de coordination logistique d autre part r glent les ultimes d tails de cette manifestation Le projet a t lanc par les tudiants de la premi re promo du DESS M tiers de la culture archives de Versailles Saint Quentin en Yvelines L id e est n e lors d une r union de l Assembl e g n rale de l association en d cembre 2003 Un projet initial avait alors t lanc par une premi re quipe compos e de Quentin Dupuis Marie Bouquet Gilles Latournerie Beno t Doessant et Thomas Friederich Cette premi re quipe avait envisag d tudier la probl matique d
12. points abord s les probl mes discut s les futurs travaux ainsi que l accueil des travaux fran ais En fonction du calendrier les groupes de travail se constituent et prennent en charge tel ou tel sujet Compte tenu du nombre de travaux en cours il est important d avoir de nombreux experts couvrant des domaines diff rents Aujourd hui la CN11 se rapproche d autres m tiers comme les qualiticiens et les sp cialistes de la GED de mani re apporter un souffle nouveau nos r flexions Quels sont les objectifs de la CN11 L objectif de la CN11 est double apporter d une part sa contribution aux diff rents travaux et r flexions tout en maintenant la position de la France dans ce concert international qui a pour cadre l ISO et d autre part communiquer pr voir des formations assurer la promotion des normes r alis es afin qu elles puissent tre mises en uvre en France Les Anglo Saxons moteurs au sujet de norme sont aujourd hui la r vision de la Les Fran ais jouent un r le important sur quelques sujets comme par exemple les m tadonn es ou encore l laboration d un guide d audit du records management Tous ces sujets d coulent de la norme et nous les travaillons en petits sous groupes Le sous groupe M tadonn es que j anime r fl chit sur les pr cautions prendre de mani re conserver les documents num riques Autrement dit comment d crire au mieux nos donn
13. projets d outils de communication de fa on parall le Au fur et mesure certains aboutissent et d autres d marrent Peut tre qu on arr tera de travailler sur la communication quand le records management sera une chose vidente la fois pour tous les professionnels de l information mais aussi pour le monde de l entreprise et des institutions publiques Pour l instant je pense qu on a encore du travail pendant plusieurs ann es Comment faites vous le lien avec les travaux de la Commission de normalisation Records management AFNOR CG46 CN11 Je suis de loin faute de temps les travaux de cette commission m me s il est vrai que dans l absolu ce serait opportun de savoir exactement ce qui s y fait Je pense que ces groupes sont compl mentaires Il convient de rappeler quel est mon int r t et notre int r t de communiquer sur le records management Il y a bien s r l int r t pour le records management de faire conna tre quelque chose qui nous int resse mais plus loin c est aussi l occasion de communiquer sur nos associations et notre m tier qui ne sont pas forc ment suffisamment connus L AFNOR et m me l ISO sont tr s connus Je pense que l AFNOR est plus connue que l AAF ou l ADBS Lorsque les travaux du groupe m tier Records management de l AAF ADBS auront avanc il serait alors int ressant d avoir des changes avec la Commission mais il ne faut pas de confusion des genres
14. son organisme d autorit pour Imposer une telle p d marche Sinon cela pourrait tre Ce n est pas une d marche facile pour un pr judiciable la fonction elle m me jeune II lui faut d j tre reconnu dans son organisme et surtout ne pas se Ceci me fait penser que ce n est pas un planter gt II lui faut galement disposer poste de d but de carri re mais plut t un d une exp rience pour se faire couter des objectif de carri re niveaux hi rarchiques les plus lev s de son institution II faut pouvoir parfois dire sa hi rarchie que ce qui se fait n est pas bien fait La d marche records management doit s installer en douceur dans un organisme sans rupture C est un travail de fond et de longue haleine Et c est aussi un travail collectif et partag dans tout l organisme Tant que les archives seront marginalis es de cette fa on on ne pourra pas avancer dans le records management gt Genevi ve Drouhet directrice du service Archives du Groupe M d ric a t parmi les premi res personnes en Europe r fl chir sur le concept du records management notamment travers l ouvrage collectif Records management mode d emploi Aujourd hui membre de la Commission de normalisation Records management AFNOR CG46 CN11 elle nous raconte comment travers cette commission nationale s laborent les travaux du Sous comit Records management gt au sein de l ISO LJ DA78
15. 05 n 2 23 La conversion peut s effectuer manuellement r daction directe dans un diteur XML ou automatiquement Dans ce cas un instrument de recherche papier sera d abord num ris les images obtenues feront ensuite l objet d une reconnaissance optique de caract res qui fournira un document textuel un document existant sous forme lectronique sera pour sa part directement balis la main ou par programme informatique et ventuellement enrichi d un index par exemple Quoi qu il en soit la mise en uvre de l EAD par saisie directe ou par r troconversion repr sente pour un service d archives un important investissement Un important investissement humain et mat riel La mise en place de l EAD dans un service suppose avant tout que le personnel connaisse et applique la norme ISAD G La premi re tape sera donc la formation ISAD G puis la formation la DTD EAD De nombreux stages sont propos s notamment par la Direction des archives de France sur ces sujets La normalisation de l indexation point d acc s important pour les chercheurs n cessite de m me souvent une formation aux normes internationales ISO et nationales AFNOR actuellement en vigueur Outre l investissement humain la qualit du soutien financier demeure aussi un facteur important pour la mise en place de l EAD En l absence de logiciel libre satisfaisant il faut en effet envisager l achat de plusieurs licences souv
16. OU SU a D O v T m LE sq 5 own Ta LH U qy O E EEF ji j LR ER a CELS RRETEE Ca wL Jag Ras U Sai R Saan 2 5 F n O EN E Sn kai y gt Ww Bi ess sa k Z eD lt e ere 59S E oD RE 2g 253 s R WA d Sri 3 gt k L u TATA MAI alau are sg En hs http adeda78 free fr Sommaire dito Le mot du Pr sident Les br ves Communiqu Le collectif A5 et les associations de dipl m s universitaires en archivistique Dossier sp cial sur le records management Interviews de Catherine Dh rent Genevi ve Drouhet lisabeth Morineau et Marina Dal Soglio Dossier r alis par Fran oise Cohen Cassuto Organisation de la 1 journ e d tude de l ADEDA78 par le comit de coordination logistique JE 2004 2005 Audrey Poirson Alexandra Machado Anne Sophie Meyer Journ es europ ennes sur les DTD EAD et EAC d octobre 2004 par Marie Bouquet Alexis Douchin et Sandrine Soulas Prendre ses fonctions en tant que jeune attach e de conservation Les premi res impressions de Chlo Roelens Propos recueillis par Fran oise Cohen Cassuto Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 3 11 21 22 26 dito Du journaliste de l archiviste et des conteurs d histoires Courant d cembre 2004 un d bat a t lanc sur la liste de diffusion lectronique de VAAF Association des archivistes fran ais concernant l utilisation des archives par les journal
17. a r forme de la fonction publique le travail de l AEDAA concernant le statut des archivistes a servi de base aux propositions du Collectif AS qui sont en cours d tude par l AAF et l ABACC Voici les membres du bureau de l association Pr sidente Katell BONNEBAS Ma trise 2000 2001 Vice pr sidente Mathilde ARMAND DESS 2003 2004 Secr taire Gullaume DELAUNAY Ma trise 2004 2005 Secr taire adjointe Florence LECLERCQ DESS 2004 2005 Tr sorier Jean MERLET DESS 2004 2005 Tr sori re adjointe H l ne PARISOT DESS 2003 2004 Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 9 Communiqu Association des dipl m s en archivistique de Lyon ADAL Naissance 1997 Nombre d adh rents environ 70 Nature des adh rents en majorit issu du DESS M tiers des archives de l Universit Lyon 3 ou de son anc tre le DESS Information et communication archivistique condition pas obligatoire Objectifs promotion de la formation lyonnaise et des m tiers des archives en g n ral ainsi que l insertion professionnelle des adh rents Bureau renouvel en 2003 prochaines lections en 2005 Agn s Macheboeuf la pr sidente Agn s Dejob la pr sidente adjointe C line Fournier la secr taire Sylvie Vasseur la secr taire adjointe Micha l Douvegheant le tr sorier A ICI Association AICI Association Archives Image Communication amp Informatique
18. ait qui m a sans doute aid e c est que notamment au sein de la direction des Collections un certain nombre de directeurs de d partements taient issus de la m me cole que moi Tout ce faisceau de raisons fait que le travail est agr able mener parce qu il y a d une part une volont du Pr sident et de la Directrice g n rale et d autre part une bienveillance des coll gues C est un cas qui sur certains points est peut tre exceptionnel Je souhaite que cette exp rience soit pilote et donc promouvoir le records management gr ce ce que j aurais appris l la Biblioth que mais en m me temps je sais qu il y a des l ments que je ne retrouverai pas ailleurs Apr s un an d application de la norme Records management trouvez vous que celle ci s adapte bien notre pays Tout juste un an puisque je ne suis l que depuis janvier 2004 rires En fait je ne fais que m appuyer sur la norme ISO 15489 Il faut bien dire que cette norme est extr mement g n rale et je ne peux pas dire qu elle me serve norm ment aujourd hui dans mon travail Elle n en donne que les grandes lignes Et plus que de la norme je m inspire particuli rement d une m thode australienne appel e DIRKS C est un manuel pratique pour mettre en uvre le records management Il a t r dig dans le pays qui avait une norme sur le records management avant qu il n y ait la norme ISO 15489 Donc ce
19. alises Tag Library permet d acc der aux d finitions des diff rents l ments et attributs ainsi qu aux r gles qui r gissent leur emploi La version fran aise traduite de l anglais par le groupe ad hoc d experts de UAFNOR a t publi e sur Internet en octobre 2004 et est d sormais accessible l adresse suivante http www archivesdefrance culture gouv fr Lfr archivistique index html L EAD pour quoi faire Outre les progr s sanctionn s par la norme ISAD G tels que les principes de description plusieurs niveaux du g n ral au particulier l utilisation de l EAD permet entre autres d augmenter l efficacit des recherches men es par les publics des archives dans les instruments de recherche lectroniques d changer des donn es standardis es des balises de d but et de fin de contenu ces balises sont rep r es par des codes du type lt hom de 1a balise gt pour la balise ouvrante et lt nom de 1a balise gt pour la balise fermante Les attributs servent qualifier l l ment et en pr cisent le sens Ils suivent imm diatement le nom de l l ment dans la balise ouvrante Dans le code on obtient donc des expressions telles que lt nom de la balise nom de l attribut valeur de 1l attribut gt Contenu de l l ment lt nom de la balise gt 1 International standard for archival description General norme g n rale et internationale de description archivist
20. choisi de faire partie de l aventure gt Il y a eu un travail de recrutement au sein des deux associations Un noyau de six sept personnes s est donc constitu Au d but on ne s est pas brid on ne s est pas fix d objectif particulier a a t plut t des s ances de brainstorming Pourriez vous expliquer comment se d roule une s ance de brainstorming Rires En bon fran ais la temp te sous un crane c est du Victor Hugo rires Il devrait y avoir un copyright pour Les mis rables de Victor Hugo Disons qu on a mis toutes nos id es bonnes ou mauvaises sur la table sur le qui quoi comment communiquer sur le records management et vers qui pourquoi Bref il y a eu plein d id es plus ou moins r alisables ou farfelues On en a retenues certaines comme la r daction d articles records management cibl s pour des revues sp cialis es La r alisation de planches PowerPoint dans l id e de mettre en place des conf rences sur le records management Un confr re revenant du Congr s international des archives de Vienne nous a soumis une id e assez originale qui tait de se servir de supports de communication comme les sous bocs c est possible ou m me des post it pour vendre ou parler du records management Donc vous voyez qu on ne s est pas brid Rires J en oublie certainement mais en fait on a plein d id es en cours On ne se fixe pas de limite et nous menons plusieurs
21. ctifs de promouvoir la formation en archivistique de l Universit d Angers d entretenir des relations privil gi es avec les services d archives les autres formations les associations professionnelles nationales et internationales de faciliter l int gration des tudiants et jeter des ponts promotions de faciliter l insertion des jeunes dipl m s dans la profession nouveaux entre les Aujourd hui forte de 250 membres l AEDAA est un relais privil gi des pr occupations de ses adh rents tudiants et dipl m s L AEDAA propose ainsi ses adh rents Des offres d emploi rapidement diffus es gr ce l espace adh rent de notre site Internet et la liste de diffusion aedaa_info L annuaire des adh rents r guli rement mis jour Un bulletin trimestriel Archivore Des sorties de d couverte du patrimoine angevin Un soutien financier et mat riel l organisation des journ es d tudes par les tudiants en DESS Le site Internet archinet est d changes et d informations membres de l association un lieu entre les Enfin l association a d velopp des relations avec les autres associations professionnelles Gr ce son implication dans les activit s du Collectif AS qui regroupe les associations des formations universitaires en archivistique cette ann e une grande enqu te sur l insertion professionnelle a t lanc e A l occasion de l
22. e conservation L utilisation de l EAC par les archives mais aussi par les biblioth ques et les mus es permettra terme d ouvrir des portails informatiques de recherche transcendant les champs de comp tences respectives des institutions de la conservation Marie Bouquet Alexis Douchin Sandrine Soulas 15 d cembre 2004 1 Extensible stylesheet language transformations Encoded archival context contexte archivistique encod 3 International standard for archival authority records Corporate bodies persons families norme internationale sur les notices d autorit archivistiques relatives aux collectivit s aux personnes et aux familles Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 24 Bibliographie a CLAVAUD Florence Guide pour la mise en uvre de la DTD EAD 2002 au Centre historique des Archives nationales octobre 2004 accessible sur le site Internet du CHAN rubrique Quoi de neuf A CONSEIL INTERNATIONAL DES ARCHIVES ISAAR CPF norme internationale sur les notices d autorit archivistiques relatives aux collectivit s aux personnes et aux familles seconde dition 2004 2 CONSEIL INTERNATIONAL DES ARCHIVES ISAD G norme g n rale et internationale de description archivistique deuxi me version adopt e par le comit sur les normes de description du Conseil International des Archives 2000 E Encoded Archival Description Tag Library version 1 0 Traduction de l anglais par le grou
23. e Elle anime un Afin de r pondre ses innombrables service emploi avec mise disposition des adh rents en r alit de 80 100 personnes par an adh rents d offres collect es ou directement re ues sur victimes de d sint r t ou attir s par d autres cieux la BAL d di e adelitad_job hotmail com Elle essaie aussi de maintenir un lien entre la fac et les anciens dipl m s et d entretenir une convivialit entre ses membres Enfin elle publie tous les 5 ans un annuaire des dipl m s de la formation derni re mise jour 2000 archivistiques l association s est donn e les moyens de poursuivre les objectifs suivants Contribuer au d veloppement de la formation Faciliter l entr e des tudiants et jeunes dipl m s dans le monde du travail Contribuer promouvoir toute action tendant am liorer le rayonnement et l efficacit des NOs coordonn es postales ADELITAD FLSH 10 services d archives et de documentation rue des fr res lumi re 68093 Mulhouse C dex Et sur le net http adelitad free fr et le webmaster adelitad free fr amp adelitad job hotmail com Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 8 Communiqu association des tudiants et dipl m s en archivistique d Angers 11 boulevard Lavoisier 49045 ANGERS CEDEX 1 aedaa voila fr http archinet aedaa free fr Cr e en 1995 par les tudiants en archivistique de l Universit d Angers AEDAA a pour obje
24. e collectivit C est une collectivit de la r gion parisienne cr e en 1964 Les fonds sont donc videmment importants et le mode de constitution est diff rent de celui des autres d partements II a fallu s habituer d j ce mode de fonctionnement et ces fonds Mes r flexions C est aussi bien que je l imaginais C est passionnant diversifi et tonnant on d couvre et on apprend de nouvelles choses tous les jours C est un vrai plaisir pour moi de travailler sur un Prendre ses fonctions en tant que jeune attach e de conservation au sein des Archives d partementales des Hauts de Seine Les premi res impressions de Chlo Ma crainte c est peut tre de ne pas pouvoir aborder tous les aspects du m tier darchiviste gt fonds contemporain Mes craintes seraient de me limiter un peu trop aux archives contemporaines En fait dans le m tier d archiviste il existe plusieurs m tiers gt le travail aupr s des services ducatifs l accueil du public la mise en valeur des fonds par la r alisation d expositions de sites Internet de publications le traitement des archives modernes ou anciennes des archives iconographiques ou encore des archives lectroniques bien s r Beaucoup d aspects peuvent tre abord s dans la carri re d un archiviste Ma crainte c est peut tre de ne pas pouvoir aborder tous ces aspects du m tier qui m int ressent tous Je sais que je ne peux pas t
25. e l Adeda78 janvier 2005 n 2 12 Dossier sp cial Records management au fur et mesure Ceux ci ont t r alis s par des conservateurs mais pas selon des techniques archivistiques Une autre couche constitu e par le d partement des Imprim s se trouve r partie entre plusieurs d partements th matiques depuis 1994 L un des d partements th matiques le d partement Litt rature et art issu de ce d partement des Imprim s d tient aussi quelques dizaines de m tres des archives de l tablissement concernant surtout les imprim s Cette couche chevauche la couche conserv e par le d partement des Manuscrits Elles se recoupent sur certains points comme le pr t aux lecteurs mais sur des fourchettes chronologiques successives par exemple Pour ce d partement nous disposons simplement d une liste que j affine galement leurs leurs D autres d partements poss dent propres archives conserv es dans propres petits locaux d archives Ensuite il y a cette Mission des archives qui s est constitu e il y a une quinzaine d ann es mais qui l origine tait cr e pour r cup rer plusieurs grands ensembles D une part les archives de la construction qui commen ait cela quivaut presque un magasin d archives d autre part la Mission conservait divers documents s riels sans s lection Il y a eu aussi un autre ensemble historique qui s y est ajout concernant les arc
26. e l archivage lectronique sous l angle des supports de stockage Une deuxi me quipe Julie Alexandre Fran oise Cohen Cassuto et Chlo Roelens a ensuite repris le flambeau en tachant de s inspirer du travail des initiateurs Le premier travail pour le comit de programme et d organisation a consist compiler et compulser diff rentes lectures sur l archivage lectronique lectures d ailleurs conseill es par le groupe projet pr c dent Des th matiques se sont alors dessin es Il est apparu qu une partie th orique reprenant les principes de base sur le sujet pr c derait une partie enti rement constitu e de retours d exp rience En effet l ambition de cette d tude n est pas tant d apporter une ni me r flexion sur l archivage lectronique mais bien de proposer des exemples d applications concr tes R daction d un appel tablissement du budget ont d s lors concentr les efforts du comit de programme et d organisation entre septembre et octobre 2004 Chacune des journ e intervention organisatrices se sont ainsi partag les intervenants potentiels contacter Les premiers accords sont parvenus rapidement de m me que les propositions d intervention des orateurs Celles ci permettaient au comit de mieux organiser la journ e et surtout de veiller l encha nement logique des interventions sans chevauchement partir de l le programme tait n et mis e
27. e records management implique des co ts importants et visibles dus la n cessit pour les utilisateurs de changer fortement leurs pratiques de production et de gestion des documents M me si court terme les co ts sont amortis dans l imm diat la n cessit d accompagner les utilisateurs est l une des difficult s d application du records management Peut tre qu on arr tera de travailler sur la communication quand le records management sera une chose vidente gt Comment Marina Dal Soglio responsable de la Fonction centrale Archives Snecma Moteurs et son sous groupe de travail envisagent de communiquer sur le records management Des r ponses in dites pour LJ DA 78 LJ DA78 Marina Dal Soglio vous travaillez au sein du groupe m tiers commun l AAF et l ADBS sur le records management Pourriez vous nous expliquer comment est n ce groupe inter association et nous d crire les objectifs qu il s est fix Marina Dal Soglio J ai int gr le groupe m tiers de l AAF ADBS sur le records management au d but de l ann e 2004 C est donc un groupe qui existait d j depuis environ un an Lorsque j ai int gr le groupe de travail les travaux en cours concernaient surtout l analyse de la norme en regard des situations et des pratiques des membres du groupe constat es sur le terrain Cependant ce qui m int ressait dans un groupe de travail sur le records management c tai
28. ectivement que la meilleure piste pour implanter le records Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 17 Dossier sp cial Records management management passe par le prisme de cette notion de risque et des programmes de s curit En cas de crise comment red marrer une entreprise et lui permettre de continuer effectuer ses missions essentielles Quelles sont les 2 10 Yo d archives vitales les priorit s L le records management trouve sa place et il y a une demande Aujourd hui il y a un fr missement dans le monde des entreprises gt lisabeth Morineau informaticienne de formation et consultante en strat gie documentaire analyse cinq ans apr s la parution de l ouvrage collectif Records management mode d emploi l volution du records management en France LJ DA78 lisabeth Morineau apr s avoir particip la r daction de l ouvrag intitul Records management mode d emploi en 2000 quel regard portez vous cinq ans apr s sur le records management et notamment sur son application en France lisabeth Morineau Il convient avant tout de pr ciser ce qu est le records management Le records management c est permettre l entreprise de disposer tout moment du document dont elle a besoin avec des garanties d authenticit de fiabilit d int grit et de tra abilit Ceci implique que l entreprise ait une vision prospective qu elle se dise de quelle
29. eda78 janvier 2005 n 2 13 Dossier sp cial Records management l esp rais pas Jusqu pr sent je n ai eu qu me f liciter d tre arriv e ici parce que j ai un contexte de travail tr s satisfaisant mais qui est d plusieurs facteurs mon avis D une part il y a le fait que le Pr sident a affich tout de suite sa volont C est du reste indispensable dans une politique de records management Avant que je n arrive il avait pr cis qu il voulait r nover la politique d archivage et qu il avait donc demand un sp cialiste de venir travailler au sein de l tablissement Je suis arriv e le 5 janvier Il a r dig une lettre annon ant ses objectifs prioritaires de l ann e et parmi eux il y avait aussi la r novation de la politique d archivage D s que je suis arriv e il m a demand e de venir la r union de direction du lundi matin Et donc participant cette r union non seulement j avais une certaine l gitimit mais je recueillais aussi toute l information n cessaire pour mener au mieux mon travail D autre part avant mon arriv e j avais demand ce que le rattachement hi rarchique de cette mission soit modifi Maintenant dans l organigramme je suis un service totalement transversal relevant directement de la directrice g n rale J ai cette capacit d intervenir o je veux dans la maison Et cela a facilit grandement le travail Le dernier f
30. ent co teuses d un diteur de documents XML et souvent faire intervenir des prestataires sp cialis s en informatique documentaire pour toutes les t ches qui d passent les comp tences d un service d archives De la r daction la publication Lorsque le travail d encodage a t r alis il reste diffuser ces instruments de recherche A l heure actuelle il existe peu d outils permettant la publication sur un site Internet Une premi re m thode consiste transformer ces documents XML EAD en HTML au moyen de programmes de transformation appel s XSL T D autre part on a d velopp des applications permettant l affichage la vol e de fragments de documents EAD en environnement Web Depuis 2003 PLEADE un outil libre permet ainsi de consulter en ligne des instruments de recherche structur s au format XML EAD et d y faire des recherches Une DTD EAC pour d crire les producteurs d archives De cr ation plus r cente que l EAD l EAC est la DTD permettant d encoder des notices d autorit d crivant les producteurs d archives C est la transposition dans le domaine informatique de la norme ISAAR CPF Son d veloppement qui accompagne la mise en uvre de l EAD doit permettre d am liorer et de valoriser les recherches documentaires par producteur et donc par fonds notion fondamentale de l archivistique Ainsi on parvient reconstituer virtuellement des fonds dispers s dans plusieurs lieux d
31. ent surtout les aspects de communication car je trouve que la norme n est encore pas suffisamment connue et reconnue que ce soient chez les professionnels de l information ou dans le monde de Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 19 Dossier sp cial Records management l entreprise Au d part il s agissait de permettre aux adh rents de l AAF et de l ADBS d changer et d avoir une r flexion commune sur le records management On peut dire modestement que j y ai apport un deuxi me objectif en souhaitant axer un travail en particulier sur la communication et la promotion du records management Et la suite de mes propositions il a t d cid de cr er un sous groupe Communication au premier trimestre de l ann e 2004 Et donc l heure actuelle nous b n ficions la fois d un travail transversal sur le records management au sein des deux associations et aussi de celui de deux sous groupes de travail un sous groupe R f rent et un sous groupe Communication que j anime Pourriez vous nous raconter comment est n ce sous groupe et nous livrer l tat actuel de ses r flexions sur le records management Le sous groupe consacr la communication sur le records management est parti d un noyau de personnes travaillant d j dans le groupe m tier initial sur le records management Les personnes particuli rement int ress es par la communication sur le records management ont
32. erm diaires de l ISO Organisation internationale de normalisation Elle poursuit les objectifs de travail fix e par l ISO pour la France En revanche le groupe m tier Records management ouvert aux professionnels adh rents des associations AAF ou ADBS a pour but de promouvoir et professionnaliser le records management en France Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 11 Dossier sp cial Records management Je suis venue la Biblioth que pour mieux g rer ses archives C est une premi re gt Comment Catherine Dh rent chef de la Mission pour la gestion et la production documentaire et des archives la Biblioth que nationale de France s y est elle prise pour mettre en place une d marche de records management au sein de la BNF Voici apr s moins d un an le r cit de son exp rience pilote pour la France LJ DA78 est ce par go t du d fi que vous avez quitt vos anciennes fonctions au sein de la DAF pour prendre vos nouvelles fonctions la BNF en janvier 2004 dans un poste assez nouveau pour les archivistes la fran aise gt puisqu il s agit en partie de mettre en uvre une d marche de records management la BNF Catherine Dh rent Ce n est pas par go t du d fi mais il est vrai que c est un d fi Ce n est pas par go t du d fi car j avais l occasion de relever des d fis la direction des Archives de France par exemple pour essayer d introduire les technologies de
33. eurs adh rents de r fl chir sur leur m tier son volution et son recadrage en regard des volutions actuelles Une des directives des deux associations pour ce groupe c tait de fonctionner l instar d un groupe projet avec un objectif de production et un calendrier Actuellement il existe deux groupes de travail Ces sous groupes fonctionnent bien m me en tant peu nombreux Il y a Le sous groupe R f rent qui m ne une r flexion sur l application du records management dans nos pratiques archivistiques fran aises Et un autre sous groupe Communication qui travaille et labore diff rents produits de communication et de promotion sur le records management Il serait peut tre int ressant de fonder de nouveaux sous groupes pour travailler sur d autres sujets comme les logiciels de RM l actualisation r guli re de la bibliographie d j r alis e Je ne sais pas comment ce groupe va voluer J aimerais que les participants du groupe aient des exigences et de l ambition pour ce groupe On a souvent l impression quand on lit des documents relatifs au records management de voir appara tre une sorte de baguette magique Le records management tant alors per u comme un syst me permettant de r soudre tous nos probl mes Qu en pensez vous Ce qui me surprend toujours c est d entendre que le records management ne co te pas cher Ce n est pas vrai la mise en place d une d marche d
34. ge sur l insertion professionnelle de l ensemble des membres des cinq associations vient d aboutir notre action pourra d sormais se baser sur ses r sultats Enfin la cr ation d un observatoire des offres d emploi permettra de mesurer les volutions de notre profession sur un plus long terme Puissions nous ainsi aider notre profession dans ses mutations Quentin DUPUIS Pr sident de l ADEDA78 de 2002 2004 Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 5 Les br ves Administration lectronique Des demandes de subventions simplifi es gr ce au site Polivilleweb Depuis 2002 un dispositif permettant de traiter les demandes de subventions en ligne a t lanc par la D l gation interminist rielle pour la ville DIV Avec l adh sion de 14 d partements ce site a servi de support l quivalent de 20 000 demandes de subventions La d mat rialisation des march s publics Les textes relatifs l archivage de ces donn es num riques sont disponibles dans le Vade mecum au chapitre 13 publi en septembre par le Min fi Vous pourrez consulter le Vade mecum cette adresse http www mi nefi gouv fr minefi publique marches_ publi cs index htm La d mat rialisation de l ensemble de la proc dure est pr vue pour 2007 64 campus num riques labellis s depuis avril 2003 Un campus num rique se d finit comme un dispositif de formation centr sur l apprenant proposant des services innova
35. hives du Secr tariat g n ral de la Biblioth que de 1930 1984 cette poque l une secr taire g n rale qui tait archiviste l origine a voulu d velopper une sorte d archivage centralis en cr ant pour cela un plan de classement inspir de celui des services historiques de la Marine au minist re de la D fense Puis elle a demand que tous les documents passent entre ses mains C tait une forme de pouvoir Cela a constitu un ensemble de quelques dizaines de m tres de rayons qui ont ensuite t int gr s aux Archives On dispose en mati re d instrument de recherche de fiches cartonn es avec des intitul s la fa on des vedettes de biblioth ques sans dates ni contexte Elles renvoient simplement au plan de classement mais je dois aller dans les bo tes chaque nouvelle recherche pour v rifier le contenu des documents Il n y avait pas m me de syst me de cotation pas de proc dures II n y a jamais eu de r gles de bonnes pratiques Rien n a t dict dans le domaine II y a de surcro t des documents non r pertori s partout dans les bureaux et il y a des gens qui voyagent avec leurs documents d un bureau un autre Voire des gens qui sont partis avec leurs documents rires Donc c tait une situation assez catastrophique je dirais J ai donc mis en uvre un r pertoire qui permet d avoir une vue virtuelle globale de ce fonds Le vrai d fi la Biblioth q
36. ique XML extensible markup language est un metalangage de balisage informatique n en 1998 11 repose sur un ensemble de recommandations produites par le W3C consortium de r gulation du web C est un langage ouvert c est dire qu il est possible de cr er ses propres balises Contrairement au HTML hypertext markup language XML est un langage de structuration qui s applique uniquement au contenu et non la forme du document XML permet donc de saisir une fois pour toutes l information port e par un document sans se soucier de la pr sentation ou des traitements futurs 3 AFNOR Association fran aise de normalisation groupe CG46 CN357 GE3 donc de recherche notamment constituer archivistique Internet et portails de sur des d assurer la mise jour l enrichissement la conservation long terme et la migration des donn es contenues dans les travaux des archivistes Ces avantages en font de pr cieux outils pour la diffusion des instruments de recherche Mais avant d arriver cette ultime tape le service d archives sera confront au probl me de la production d instruments de recherche en XML EAD Produire des documents EAD La production d instruments de recherche en EAD est un travail particuli rement exigeant La r ussite d un projet de mise en uvre de l EAD pour un service d archives tient pour beaucoup aux choix scientifiques des archivistes II convient de r fl chir avec soin
37. istes En effet les archivistes n ayant jamais vu de journaliste mettre les pieds dans leurs salles de lecture peuvent se demander partir de quelle source ils travaillent Comme en cho au d bat pr c dent le manque de compr hension ou simplement la m connaissance des journalistes au sujet de l acc s aux documents administratifs tait par ailleurs d nonc sur la m me liste Derri re ces questions on s interroge sur l id e que se font les journalistes du monde des archives et des archivistes Serait ce encore l image d pinal d un rudit plong dans des piles de documents poussi reux et dont les codes d acc s sont aussi compliqu s qu sot riques En r alit il faut tenir compte du fait que l information recherch e par les journalistes est bien souvent une information tr s r cente quasi simultan e La d marche m thodologique du journaliste consistera dans ce cas trouver une source tout aussi fra che et vivante que l information elle m me D o l utilisation tr s fr quente du fameux carnet d adresses cher cette profession Et les recours non moins fr quents aux biblioth ques centres de documentation bureaux de presse et autres organismes professionnels Cette information de l imm diat est alors souvent crite partir de sources orales ou encore de sources crites de deuxi me main Car les journalistes c est connu sont friands des dossiers documentaires qu ils trouvent
38. l information de la meilleure fa on possible dans le r seau des archives En revanche c est vrai qu arriver la BNF peut tre consid r comme un d fi pour un archiviste Pourquoi parce que je pense que les biblioth ques et les archives sont deux mondes tr s diff rents et il est assez difficile de passer d un domaine patrimonial un autre faut faire ses preuves On a des langages et techniques diff rents il faut donc bien comprendre la fa on dont s expriment et travaillent les coll gues C est un d fi de passer du monde des archives celui des biblioth ques et il se trouve que tr s peu de personnes le font Je suis le seul conservateur avoir fait le pas dans ce sens tandis que dans l autre sens il y a d j eu des personnels de biblioth que qui sont pass s aux archives donc cela arrive de temps en temps Dans mon cas c tait vraiment particulier puisque je changeais de corps et en plus je gardais ma fonction d archiviste Je suis venue la Biblioth que pour mieux g rer les archives de la Biblioth que C est une 1 Anciennement chef du D partement de l innovation technologique et de la normalisation au sein de la Direction des Archives de France a pen jaan premiere C est 2 vraiment le gros d fi mettre en uvre une vraie proc dure archivistique dns un tablissement qui n en avait pas tonnant la est un sembler nationale Cela peut Bibli
39. les archivistes dans leurs pratiques et r flexions Nous changeons et commentons galement des travaux synth tiques et partageons nos exp riences archivistiques Deux ans c est aussi l ge de l insertion dans le monde ADEDA78 souhaite son tour faire profiter de son exp rience ses formateurs de l Universit de Versailles Saint Quentin et des Archives d partementales des Yvelines afin d am liorer la formation de nos futurs coll gues Pour eux comme pour tout archiviste l association organise une journ e d tude marquant l importance de la bonne gestion des archives lectroniques pour la soci t Elle offrira les outils m thodologiques permettant aux archivistes d y tenir leur r le Ce souci d mulation parmi les archivistes ne pourrait tre fructueux sans changes entre nous tous nous d butons des relations amicales avec notre trisa eule AAF Mais surtout nous approfondissons nos relations de travail avec nos s urs archivistes universitaires Avec ADAL de Lyon nous mutualisons la collecte et la diffusion des offres d emploi et stage Avec ADAL encore ADELITAD de Mulhouse AEDAA d Angers et la nouvelle AICI de Montauban nous nous rencontrons au sein du collectif A5 pour comprendre et agir sur le sort des archivistes Ainsi le collectif a d j arr t et diffus des propositio ns communes d am liorations des statuts des archivistes de la fonction publique Une enqu te plus lar
40. loi n 2004 801 du 6 ao t 2004 est la transposition en France de la Directive europ enne 95 46 CE du 24 octobre 1995 sur la protection des donn es personnelles Ce nouveau texte modifie la loi n 78 17 du 6 janvier 1978 relative linformatique aux fichiers et aux libert s JO du 7 Ao t 2004 Deux projets de loi pour la protection du patrimoine audiovisuel et t l visuel pr sent s en Conseil des ministres le 3 novembre 2004 Ces deux textes la convention et son protocole propos s et adopt s par le Conseil de l Europe ont pour but d instituer un mod le commun de protection du patrimoine audiovisuel Ces textes sont une r ponse la prise de conscience du risque de la perte d uvres audiovisuelles en l absence de syst me l gal de protection et de restauration 3 Direction des archives de France 4 Conseil international des archives Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 7 Communiqu L A5 collectif d associations de dipl m s universitaires en archivistique Le collectif A5 est n en 2003 d une volont des associations de dipl m s en archivistique de faire valoir leurs int r ts communs en unissant leurs forces Il a vocation devenir un r seau de solidarit et de circulation de l information Quatre associations ont particip ce jour sa mise en place l ADELITAD Mulhouse l AEDAA Angers l ADAL Lyon et nous l ADEDA78 L AICI Toulouse Le Mirail Montauban no
41. n ligne sur le site de l ADEDA78 fin d cembre Durant ces quelques mois la volont de l ADEDA 78 pour la mise en uvre de cette journ e d tude a t forte malgr des difficult s rencontr es au plan financier aucune subvention n a ce jour t obtenue Les nombreuses r ponses et inscriptions cette journ e d tude laissent entrevoir l importance de cette probl matique Actuellement de nombreux services d archives publics comme priv s se lancent dans un projet d archivage lectronique Ce sujet mobilise d ailleurs d autres professions comme des informaticiens ou des juristes Pour les tudiants du DESS la r alisation de cette journ e d tude par l ADEDA78 offre une approche int ressante du m tier de ses volutions et de ses enjeux Elle est galement l occasion de rencontrer des professionnels et d changer avec eux sur cette r volution technologique Si une telle journ e peut donner des r ponses comme elle ambitionne de le faire sur l archivage lectronique elle n cessite cependant beaucoup d investissements humains et de disponibilit s Nous saluons l implication consid rable des deux comit s et l accueil de l universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Alexandra Machado Anne Sophie Meyer et Audrey Poirson Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 21 La Direction des archives de France organisait les 7 et 8 octobre 2004 Paris au Mus e
42. national des Arts et traditions populaires les journ es europ ennes sur les DTD EAD et EAC Compte rendu et r flexions Des outils informatiques innovants pour la diffusion des instruments de recherche L EAD et l EAC mod les informatiques documentaires internationaux utilis s pour la normalisation de la description des fonds et des producteurs d archives semblent aujourd hui s imposer comme des mod les porteurs de r ponses particuli rement efficaces et pertinentes Ils permettent la fois de diffuser largement et de p renniser l information contenue dans des instruments de recherche lectroniques Mais quelles en sont les implications techniques humaines et financi res Une manifestation grand succ s Les journ es EAD EAC ont r uni plus de 280 participants archivistes biblioth caires conservateurs de mus es consultants en informatique tudiants etc repr sentant en tout dix sept pays Les intervenants choisis parmi les meilleurs sp cialistes fran ais et trangers de la question taient galement tr s nombreux plus d une quarantaine et venaient de diff rents pays France Allemagne tats Unis Grande Bretagne Portugal Pays Bas Suisse Espagne Pologne La traduction simultan e en anglais et fran ais a permis chacun de comprendre l ensemble des interventions Organisation des travaux Les travaux se sont organis s autour de quatre sessions trois portaient sur la DTD EAD
43. nier congr s du CIA Vienne sont parus et publi s l adresse suivante http www wien2004 ica orqg Le guide de mise en uvre de la DTD EAD au CHAN est accessible en ligne en pages HTML cette adresse http www archivesnationales culture gou V fr chan chan infopro fr index html Fabrique des archives fabrique de l histoire C est sous ce titre que vient de para tre le tome 125 de la Revue de synth se voir http www ehess fr acta sy nthese Confront s aux carences des r flexions sur une pist mologie des archives les auteurs du dossier conservateurs aux Archives nationales et chercheurs en histoire entament autour du statut des archives un dialogue visant critiquer et clairer les processus de construction du savoir historique Paris Editions Rue d Ulm 28 dans presque toutes les bonnes librairies La Documentation fran aise publie en ligne un rapport sur l engagement des collectivit s territoriales en faveur du patrimoine sign par Ren R mond Acc der au rapport cette adresse http www ladocumentationfrancaise fr br p notices 044000566 shtml Le premier article r dig en fran ais sur le groupe international InterPARES vient d tre publi dans Document num rique intitul Archivage et p rennisation d octobre 2004 5 Informatique Un logiciel open source pour la gestion documentaire des photos baptis SEPIADES est accessible gratuitement
44. ntions s int ressaient ainsi plus particuli rement aux outils informatiques permettant de structurer en XML les instruments de recherche d crivant des documents d archives et des donn es d autorit Les actes complets de ces journ es d tudes para tront dans la revue am ricaine The Journal of archival Organization au cours du premier semestre 2005 Qu est ce que la DTD EAD L EAD est la DTD permettant d encoder des 1 Encoded archival description description archivistique encod e Une DTD Document type definition d finition de type de document est un mod le qui permet de structurer de fa on efficace et contr l e tout document de m me type La DTD se compose d une s rie d l ments et d attributs elle d finit leur imbrication leur organisation leur association et leur caract re n cessaire ou facultatif Un l ment est un fragment du document paragraphe phrase mot etc d limit par Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 22 instruments de recherche dans les archives C est la transposition dans le domaine informatique de la norme ISAD G elle s appuie d sormais sur le m talangage XML N e dans le monde des biblioth ques l Universit de Berkeley en 1993 la DTD EAD est la propri t de la Society of American Archivists La version 1 0 de la DTD date de septembre 1998 Depuis 2002 il existe une nouvelle version appel e EAD version 2002 Un dictionnaire des b
45. nts ind pendants appliquent la norme mais partiellement le plus souvent Pourtant une formation a bien t cr e Le DU dipl me universitaire Gestion de l information et conduite de projet est une formation continue de second cycle tablie sur deux ans Elle est dirig par l universit d Angers en partenariat avec la soci t de conseil SERDA SA Alors Si tous les ingr dients existent pour la mise en uvre de cette nouvelle pratique de gestion des archives courantes et interm diaires pourquoi le records management n est il pas plus connu et appliqu en France la diff rence des pays anglo saxons o il jouit d un plus vif int r t Qu est ce qui n a pas fonctionn Peut on encore se contenter d incriminer les archivistes et leur pi tre inclination la communication travers ce dossier nous avons tent de trouver des r ponses aupr s de praticiens et d experts uvrant au sein de groupes de travail la mise en pratique du records management en France Citons la Commission de normalisation Records management gt AFNOR CG46 CN11 et le groupe m tier Records management commun VAAF et l ADBS que nous avons interrog s pour leurs visions et perspectives de travail compl mentaires La Commission de normalisation Records management de l AFNOR Association fran aise de normalisation est l manation nationale du sous comit SC 11 Gestion des archives courantes et int
46. nts via des technologies num riques C est ce qu on appelle aussi l offre nationale de formation ouverte et distance FOAD Pour en savoir plus http www educnet educatio n fr superieur campus htm a Association L Adeda 78 organise le 18 janvier 2005 sa premi re journ e d tude aux Archives d partementales des Yvelines Elle sera consacr e l archivage lectronique sous l angle concret de retours d exp rience Les actes de cette journ e seront disponibles apr s la manifestation sur le site de notre association http adeda78 free fr Le collectif A5 ADAL ADEDA 78 ADELITAD AEDAA AICI a mis des propositions pour une refonte des statuts des archivistes de la fonction publique Un message sera diffus sur la liste de discussion de l AAF courant janvier 2005 pr cisant la localisation du texte de ces 1 Minist re de l conomie des finances et de l industrie propositions sur le site internet de l AAF L AEDAA a inaugur son nouveau site Web en fin d ann e 2004 l adresse suivante http archinet aedaa free fr Le Comit fran ais du Bouclier Bleu organise une journ e de sensibilisa tion le 8 avril 2005 la m diath que de Toulouse Elle sera ouverte aux professionnels autant qu aux lus et aux particuliers La finalit de cette journ e est de constituer des groupes r gionaux ou des formations Pour plus d information consulter son site cette adresse http ic
47. om museum bouclierbleu html L association pour la documentation num rique en XML ADNX dispose depuis peu d un site Web et d une liste de discussions Voici les adresses http adnx org pour dle site et adnx subscribe adnx org pour s inscrire la liste de discussions Rappelons que l ADNX a pour objet de favoriser la diffusion et la promotion des ressources libres en mati re de documentation num rique utilisant la norme XML I nternethon les micros du c ur C est l op ration lanc e depuis quatre ans par l Association francophone des utilisateurs du Net Le but est recycler des vieux PC et de redistribuer des coles des h pitaux des associations en France et dans les pays en d veloppement favorisant ainsi l acc s aux nouvelles technologies et la soci t de l information http www internethon afnet fr a Biblio Les actes du symposium 2003 relatif la pr servation des documents lectroniques sont parus et publi s l adresse suivante http www cci icc qc ca symposium2003 index_f shtml Le symposium s est d roul du 15 au 18 septembre 2003 Ottawa La manifestation a connu un succ s retentissant II s agit du plus gros symposium que l ICC ait jamais organis avec plus de 350 d l gu s inscrits Association des tudiants et dipl m s en archivistique d Angers Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 6 Les br ves Les actes du der
48. organisme Comment s est constitu e la commission fran aise L arriv e en France travers l AFNOR de la norme australienne avait fait un certain bruit dans le monde des archives et soulev des d bats contradictoires en particulier dans le cadre de l AAF Section des entreprises Les premiers membres de la CN11 sont issus de cette section de l AAF et une majorit d entre eux repr sentait le secteur priv Je ne veux pas dire pour autant que le secteur public est rest indiff rent au sujet au contraire La Direction des archives de France a toujours anim ce dossier d s l origine et assur la pr sidence de la CN11 Rosine Cleyet Michaud En parall le l ADBS s tait int ress e au sujet de fa on autonome et il me semble que c est elle qui a r alis le premier d bat sur le records management en France Elle s est donc engag e naturellement dans la CN11 Au cours des ann es la composition de la CN11 a volu et la commission s est ouverte vers des expertises autres que celle des archivistes La pr sidente actuelle de la CN11 est Catherine Dh rent chef de la Mission pour la gestion et la production documentaire et des archives la Biblioth que nationale de France Comment fonctionne la CN11 La commission se r unit r guli rement apr s les r unions du SC11 pour retransmettre aux membres fran ais qui n ont pas pu assister aux r unions internationales ce qui s est dit les
49. oth que tablissement qui g re tr s bien ses collections videmment C est l tablissement mod le celui qui impose les normes au reste des biblioth ques fran aises et malgr tout ce qui est tr s curieux cet tablissement n a jamais recouru un sp cialiste des archives pour g rer ses archives Il y avait une gestion extr mement sommaire et complexe Quand je suis arriv e il y avait ce qui s appelait une Mission des archives qui prenait uniquement en charge ce qu on voulait bien lui verser Et des versements tr s peu formalis s Les services se d barrassaient de leurs archives dans un magasin identifi archives Et cela depuis une quinzaine d ann es pas plus C est quand on a commenc r fl chir la cr ation du site de Tolbiac qu il y a eu un d but d archivage dans les magasins Qu en tait il ant rieurement Ant rieurement la situation a t extr mement complexe plusieurs entit s g raient les archives de la maison Par exemple la couche la plus ancienne des archives de l tablissement se trouve conserv e au d partement des Manuscrits Parce que les documents taient produits sous forme manuscrite on les a naturellement confi s au d partement des Manuscrits qui les a int gr s ses collections Cette premi re couche comporte des documents allant du XVII jusqu la fin du KIKE si cle Nous disposons de deux inventaires que j affine Le journal d
50. out faire en m me temps mais c est vrai que ma crainte en tant que jeune attach e serait de ne pas pouvoir toucher tout Dans le m tier des archives on se sp cialise de plus en plus qu en penses tu Oui c est n cessaire parce que ce m tier demande des technicit s Mais sans concentrer toute son nergie tous les aspects du m tier c est vrai que par passion j aimerais bien toucher un peu tout sans m y consacrer 100 Maintenant qu une ann e s est coul e depuis que tu as pass le concours quel le s r flexions ou conseils as tu envie de faire partager aux lecteurs de LJ DA78 D abord de passer les concours le plus t t possible apr s le DESS La formation du DESS a t ce qui m a le plus aid e De bien insister sur les cours du DESS qui peuvent servir la pr paration des concours l histoire des institutions la note de synth se Et surtout en profiter pour se faire une culture archivistique Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 26 g n rale L UE de dissertation de culture g n rale assez p nible passer par exemple pr pare bien au concours d attach Sinon de ne pas se d concentrer dans la r flexion dans l apprentissage l apport de connaissance car apr s le DESS il faut continuer dans cette optique collecter des informations et se tenir au courant Il ne faut pas s accorder de p riode de transition parce que lorsque le tra
51. pe AFNOR CG46 CN357 GE3 octobre 2002 z Encoded Archival Description Tag Library version 2002 Traduction de l anglais par le groupe AFNOR CG46 CN357 GE3 octobre 2004 accessible sur le site Internet des Archives de France rubrique archivistique E ISO 999 Norme internationale deuxi me dition 1996 11 15 Information et documentation Principes directeurs pour l laboration la structure et la pr sentation des index Ca NF Z 44 060 Norme fran aise d cembre 1996 Documentation catalogage d auteurs et d anonymes forme et structure des vedettes de collectivit s auteurs NF Z 44 061 Norme fran aise juin 1986 Documentation catalogage forme et structure des vedettes noms de personne des vedettes titres des rubriques de classement et des titres forg s ca NF Z 44 070 Norme fran aise ao t 1986 Documentation indexation analytique par mati re a NF Z 44 081 Norme fran aise septembre 1993 Documentation catalogage des documents cartographiques Forme et structure des vedettes noms g ographiques a NF Z 47 102 Principes g n raux pour l indexation des documents octobre 1993 s http www loc gov ead site Internet officiel de la DTD EAD ca http www archivesdefrance culture gouv fr fr archivistique index html site des Archives de France rubrique Archivistique La http noticesautorites bnf fr site Internet des notices d autorit de la BnF F http www pleade org fr index html si
52. rchives et image 2 Promouvoir les exp riences et comp tences des dipl m e s 3 Centraliser et mettre disposition des membres de l association des ressources professionnelles gt 4 S informer et participer la r flexion et aux d bats scientifiques actuels gt 5 Soutenir des initiatives pouvant aider la r alisation de l objet de l association Le bureau pour l ann e 2004 2005 est repr sent par Delphine Le Piolet pr sidente Fr d ric Baillard vice pr sident et Eva Ferr s tr sori re Vous retrouvez toutes les informations sur notre site internet www univ tlse2 fr multimedia bazaut Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 10 Dossier sp cial Records management Quatre ans apr s la parution de la version fran aise de la norme ISO 15489 intitul e Information et documentation Records management o en est la mise en uvre du records management en France On parlait en 2001 de r volution pour le m tier des archives d une nouvelle profession le records manager impliquant une red finition du r le de cet archiviste de l re interactive de la n cessit alors de cr er de nouvelles formations initiales ou continues Aujourd hui on ne peut pas dire que la r volution ait eu lieu ni m me que ce nouveau profil d archiviste ait fait son apparition dans le monde des entreprises ou dans le secteur public Seuls quelques organismes ou consulta
53. rmettant de prendre davantage de recul par rapport aux v nements et par l de gagner en sens critique Et c est encore vrai pour les historiens de l histoire imm diate Malgr tout le travail du journaliste constitue pour l historien une source de premi re importance quasiment au m me plan que les documents d archives On voit ici poindre comme une sorte de relais entre les deux professions Ne pourrait on pas ainsi pr tendre que les journalistes recueillent en quelque sorte les archives orales que nous archivistes avons encore des difficult s faute de moyens collecter Bien s r les techniques diff rent notamment dans la pratique de l interview Mais voici peut tre un lien entre les deux professions Fran oise Cohen Cassuto Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 4 Le mot du Pr sident AREUH AREUH Et de deux ADEDA78 a bien grandi et souffle ses deux bougies Ses parents sont bien plus nombreux s occuper d elle et une nouvelle g n ration coordonne depuis peu ses activit s Tant d attentions la ravit D autant que les cadeaux confectionn s sont toujours plus scintillants un second num ro du journal plus fourni et ouvert sur le monde suivi bient t d un site Internet refondu et enrichi Ses parents souhaitaient galement se doter d un r seau d entraide professionnelle Nous avons donc mis en route une veille mutualis e sur les informations int ressant
54. rop cher autant dire qu on ne le fait pas Pensez vous qu un records manager aurait en France le pouvoir de diriger toute la production documentaire Aujourd hui en France c est un r le difficile car ce n est pas lui qui dirige il fait en sorte que gt Il est garant du bon fonctionnement de la gestion et de la conservation des documents mais n a pas d autorit hi rarchique sur les collaborateurs de l entreprise qui produisent et exploitent les documents C est en quelque sorte un consultant interne avec une certaine autorit quand m me On a malgr tout du mal en France imaginer qu une soci t demande l appui d un tel profil de records manager pour produire mieux C est pourtant ce qui commence poindre en France Justement la surinformation et la surdocumentation est telle que le besoin Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 18 Dossier sp cial Records management est l Aujourd hui il est important de communiquer davantage vers les directions et les utilisateurs que vers les professionnels afin de faire conna tre le records management Pour quelles raisons vous tes vous lanc e dans la constitution et l animation d un groupe m tier consacr au records management commun l AAF et l ADBS Parce que j aime travailler avec les gens du terrain Le groupe m tier a t mis en place par les deux associations AAF et ADBS pour permettre l
55. ses pour am liorer le traitement des archives papier pour moi le records management s applique typiquement au document num rique Je sais que beaucoup de gens ne partagent pas cet avis mais la r flexion sur les m tadonn es qui accompagne la mise en place d un syst me de records management plaide en faveur de notre point de vue Comment analysez vous le fait que la norme internationale sur le records management n ait pas remport un plus grand int r t en France C est un gros d bat Il me semble d ailleurs que la France ne parvient pas non plus adopter une attitude claire vis vis de l archivage lectronique Le fait aussi que le terme de records management ne trouve pas une traduction satisfaisante en fran ais marque la difficult pour la France d int grer cette nouvelle probl matique Dans le syst me fran ais les archives si elles ne sont pas historiques ont une image qui n est ni valoris e ni valorisante Et du coup ce message relatif aux archives n est pas pris en compte Les archives n ont pas leur mot dire dans le monde de l entreprise On se r approprie occasionnellement le discours des archivistes en le d formant bien souvent au gr des situations aussi cela ne peut rien apporter de constructif Tant que les archives seront marginalis es de cette fa on on ne pourra pas avancer dans le records management C est un probl me fondamental car la probl matique existe r
56. sonnes trang res la r daction Adh sion Si vous souhaitez adh rer notre association et recevoir ce bulletin d information vous devez remplir un formulaire d adh sion t l charger l adresse suivante http adeda78 free fr Une fois rempli vous enverrez le formulaire accompagn du r glement correspondant 10 pour les tudiants et ch meurs 20 pour les actifs et retrait s par courrier postale Julie ALEXANDRE 44 rue Pastourelle 75003 Paris
57. sont des gens tr s en avance Et cette m thode d finit huit tapes reprises dans un petit sch ma dans la norme ISO Ce manuel est extr mement d taill et pratique Je me suis inspir e de cette m thode surtout depuis le mois de mai Ant rieurement j avais produit des outils semblables aux tableaux de gestion de la DAF Je m en suis par la suite loign e apr s m tre plong e dans la m thode DIRKS J ai commenc utiliser cette m thode apr s tre all e voir ce que faisait la Banque europ enne d investissement o est mis en uvre un syst me de ecords management depuis trois ans On est bien s r aussi conduit avoir quelques divergences avec un tel outil Par exemple nos plans de classement sont plus profonds que ne le pr conisent les normes australiennes Il faudra effectivement faire voluer la norme ISO 15489 qui est incompl te et dont l articulation des deux parties est peu claire Un questionnaire a t lanc par l ISO en juin de cette ann e et une r union du comit ISO a eu lieu d but novembre Sydney La refonte de la norme y a t engag e Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 14 Dossier sp cial Records management ques Sue Poe un jeune En bref il faut pouvoir disposer d une rofessionnel des archives souhaitant votre CORNE PA SR er de ristar mettre en uvre une d marche de records bonne dose de diplomatie et suffisamment management dans
58. te Internet de PLEADE a http www iath virginia edu eac site officiel de la DTD EAC Le journal de l Adeda78 janvier 2005 n 2 25 Roelens LJ DA78 Chlo tu es depuis le mois de septembre dernier une toute jeune attach e de conservation aux AD des Hauts de Seine Quelles ont t tes premiers tonnements tes r flexions tes craintes ou tes r ves sur ce poste et sur ta nouvelle fonction Chlo Roelens Je vais commencer par mes r ves puisque j ai choisi ce m tier par passion et pour r aliser un r ve de petite fille en devenant archiviste Mes r ves ont t jusque l combl s Lorsque je suis arriv e dans ce nouveau poste la mission Archives contemporaines tait d j bien dynamique et bien form e II y avait plein de projets mener et faire aboutir puisque beaucoup n taient pas termin s J ai r alis mon r ve savoir tre une archiviste accomplissant les diff rentes t ches de communication en salle de lecture de collecte aupr s des services versants d valuation par la r alisation de tableaux de gestion de conservation de classement de traitement archivistique et de mise en uvre d instruments de recherche pour le public Mes tonnements ont t la d couverte d une collectivit que je ne connaissais pas encore J avais eu l occasion d j de travailler en Archives d partementales mais ici il faut s habituer un nouveau service une nouvell
59. ue c est a c est r ussir avoir une vue compl te de sa production ant rieure et mettre en place un syst me de records management La priorit portait plut t sur quel aspect L objectif du Pr sident de la Biblioth que tait d avoir une id e de ce qui existait en tant que documents historiques l int rieur de la Biblioth que Car le Pr sident est un historien contemporain et il tait tr s frapp par l tat de d sh rence des archives Mais il m a parl aussi de tra abilit des documents car il n avait aucune vision de ce que devenaient les dossiers Ce qui m int ressait c tait d avoir une bonne connaissance des documents d s l amont et aussi d aider am liorer la production documentaire Donc am liorer la production en amont assurer la tra abilit dans le temps et assurer la gestion de la partie d finitive des archives avec la communication C est vraiment toute la cha ne a n est pas que le records management mais c est aussi le traitement de type patrimonial comme on le trouve dans les services d archives traditionnels C est un syst me pilote Vous avez parl de la m fiance qui existe entre les mondes des biblioth ques et des archives mais est ce qu il y avait de la m fiance au niveau de la m thode Pas du tout et cette m fiance existait avant que je n arrive mais j ai t en fait re ue dans cette Biblioth que comme je ne Le journal de l Ad
60. une sur la DTD EAC Ont ainsi t successivement trait s les imp ratifs pour la mise en uvre de la DTD normalisation de la description formation des professionnels la production d instruments de recherche en EAD les outils de publication et de diffusion les origines caract ristiques et applications de la DTD EAC Ces deux journ es ont t tr s riches en enseignements puisque les intervenants se sont attach s pour la plupart donner des solutions pratiques et envisageables pour nombre de services d archives d sireux de structurer leurs documents De plus des stands de d monstration install s dans le hall d entr e de l auditorium ont permis aux participants de d couvrir la mise en uvre pratique de ces DTD Le chemin parcouru La premi re conf rence europ enne des utilisateurs de l EAD vocation g n raliste s tait tenue au Public Record Office Kew dans la banlieue de Londres en octobre 1999 En France on se souvient de la manifestation organis e en 2002 la Biblioth que nationale de France sur l EAD et ses applications patrimoniales dans les archives et les biblioth ques Depuis l EAD a fait son chemin et de nombreuses personnes travers le monde l utilisent ou souhaitent l utiliser marquant ainsi leur int r t pour la normalisation Cette ann e les organisateurs des journ es EAD EAC ont donc choisi de centrer le propos sur les aspects pratiques les interve
61. us a rejoint en octobre 2004 Les membres de ces associations ont d cid de mettre en commun des r flexions des bilans des id es ainsi que des nergies allant souvent dans la m me voie mais limit s une sph re propre leur formation archivistique Au del de la r f rence autorouti re ou du format standard cher aux archivistes ce nom de bapt me un peu court comporte l essentiel une lettre un chiffre le A de Association et le nombre de partenaires Pour mieux nous conna tre voici les autoportraits dress s par nos v n rables cons urs ADELITAC Pour ce faire le bureau compos pour l ann e 2005 des membres suivants r organisation du bureau en Association des dipl m s en cours archivistique de Mulhouse Nelly COTTET ma trise 2000 Isabelle FILLON DESS 2001 Pascal LEGRAND DESS 2002 L ADELITAD Association des DESS et des St phanie LETOUX DESS 2001 licences en techniques d archives et de documentation Marjolaine MEESCHAERT DESS 2002 est la doyenne de toutes les associations Et pour Florence SIGURET DESS 2001 cause elle a t cr e en 1980 3 ans apr s la naissance de la formation dispens e PU H A de Mulhouse sous le nom de MECADOCTE devenue COonsacre ses efforts l dition d un bulletin de liaison aujourd hui MECADOCTO Post Scriptum et la parution d un num ro de sa revue Archi V attach mettre en lumi re un aspect des archives du m tier d archivist
62. vail a t arr t c est tr s difficile de s y remettre Et cela permet d avoir une vision globale sur plusieurs ann es Ce qui n est pas n gligeable quand on passe le concours et que Von se retrouve devant un jury o il faut conna tre les nouveaut s mais aussi ce qui s est pass ant rieurement pour appr hender toute l volution Mon conseil serait de ne pas l cher la barre En te retournant plus loin encore sur ton pass pourraistu faire un petit bilan de ce que ta apport le DESS et que tu utilises au quotidien dans ton nouveau poste Le DESS c est ma premi re formation en archivistique v ritablement Que ce soit le classement la culture g n rale les outils utiliser la bibliographie Bref tout cela je l ai appris au cours du DESS Au del cette ann e de formation m a permis de m ouvrir des th mes de l archivistique que je connaissais mal records management archivage lectronique archives r gionales hospitali res associatives Mais je dirais m me qu au sein du DESS ce sont les stages qui m ont le plus apport e J ai eu la chance de r aliser un stage passionnant aux Archives de la r gion le de France qui a t ma premi re exp rience concr te des archives contemporaines et c est cela qui m a particuli rement aid e dans l exercice de mes fonctions actuelles au sein de la Mission des archives contemporaines des Archives d partementales des Hauts de Seine

Le journal de l`Adeda78

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