Home
Lire l`article complet
Contents
1. Sevrage tabagique mode d emploi vous aviez encore quelques doutes sur l efficacit des substi tuts nicotiniques dans le sevrage tabagique nous vous recommandons la lecture in exten so du num ro sp cial du Courrier des Addictions consacr aux nouvelles strat gies d aides l arr t du tabac Sous l avis qualifi de multiples intervenants concern s par la tabacologie psychiatres alcoologues car localisation facteurs de risque vasculaire associ s tude de la paroi an vrismale en cin IRM etc On con oit donc que le traite ment neurochirurgical ou endovasculaire ne puisse tre envisag que par une quipe sp cialis e pluridisciplinaire D apr s Kalamarides M Jarraya B Les an vrismes art riels intracr niens asymptomatiques conduite tenir quand traiter La lettre du Neurologue d cembre 2001 vol 5 n 10 G M Polyarthrite rhumato de et maladies cardiovasculaires Certes la polyarthrite rhumato de ne consti tue pas la principale affection prise en charge par les angiologues ou les internistes vascu laires Mais le rapporteur du congr s de l ACR American College of Rheumatology 2001 nous rappelle opportun ment que la principale cause de mortalit chez les sujets atteints de PR reste les maladies cardiovascu laires Il souligne que des tudes r centes ont entre autres montr que la PR est un facteur de risque ind pendant de l appar
2. 32 me COTES ondance n erne D apr s Herpin D Gosse P La masse ventriculaire gauche est elle un bon cri t re de substitution chez l hypertendu Actualit s en Hypertension et pr ven tion cardiovasculaire sep tembre 2001 vol 13 n 7 ACTUALITES T Hypertension Masse ventriculaire gauche et HTA La normalisation des chiffres tensionnels objectif arithm tique du traitement de P HTA doit tre associ e la mise en vidence d un r el b n fice en termes de morbi morta lit L tude de l volution de la masse ventri culaire gauche MVG fait partie de divers crit res interm diaires c est dire per mettant l analyse avant terme des tudes cli niques longues en voie de validation Les auteurs s interrogent sur la MVG en retenant trois pr requis sa mesure est elle simple et fiable son augmentation a t elle une signifi cation pronostique chez l hypertendu sa r gression est elle possible et si oui est elle b n fique Apr s l tude critique de chacun de ces param tres 1ls en concluent que la MVG pourrait devenir un excellent crit re de substitution voire devenir le plus performant G M Bon poids bon ge D tomones Mt Toutes les tudes confir ment l augmentation du poids avec l ge dans les deux sexes et jusqu 65 ans environ puis ensuite sa diminution Chez la femme le statut hormonal avant ou apr s m n
3. e de dyslipid mie hypercholest rol mie pure mixtes avec ou sans diab te associ D autre part comme dans le contr le actuel de P HTA plut t une association de divers hypo lip miants qu une augmentation de la drogue jusqu alors utilis e en monoth rapie G M D apr s Fournier M Que faut il attendre des futurs m dicaments hypolip miants Actualit s en Hypertension et pr vention cardiovasculaire septembre 2001 vol 13 n 7 An vrismes art riels intracr niens lesquels et comment traiter Avec une pr valence de 5 en moyenne dans la population g n rale les an vrismes art riels intra cr niens m ritent une meilleure connaissance de la part des m decins vas culaires Dans le groupe h t rog ne des an vrismes intracr niens non rompus AINR les formes asymptomatiques pr dominent mais il existe aussi des formes occasionnant des manifestations neurologiques transitoires OPH pileptiques d ficitaires Les auteurs font un revue quasi exhaustive des bonnes conduites visant avant tout pr venir la sur venue d une h morragie sous arachno dienne sachant la mortalit lev e qui en d coule plus de 50 Apr s leur mise en vidence fortuite ou lors de screening familial par angio scanner et IRM il convient d analyser les nombreux crit res influen ant la d cision th rapeutique taille de l an vrisme 10 mm ant c dent d autre rupture ge
4. ition d une atteinte coronaire De m me il semble exister une augmentation du risque cardiovasculaire chez les sujets atteints de PR facteurs rhu mato des positifs et nodules rhumato des Les hypoth ses pathog niques sont envisag es et parmi les plus probantes une augmentation du rapport CT HDL cholest rol chez les cas de PR les plus actives Des orientations th rapeutiques corticoth rapie intense par exemple visant corriger l indice ath rog ne du cholest rol permettent d esp rer une dimi nution de la mortalit cardiovasculaire dans cette affection invalidante G M IDM et SAPL D apr s Mariette X Wendling D Le compte rendu de la section Polyarthrite rhumato de de l ACR 2001 Num ro sp cial ACR 2001 La Lettre du Rhumatologue janvier 2002 n 276 diologues pneumologues neurobiologistes pharmaciens conomistes de la sant tous les aspects physiopathologiques et cliniques de la d pendance tabagique sont pass s en revue Un chapitre recommandations la pr sentation claire sera utile au praticien d ci d soutenir et suivre les efforts de son patient en mal de sevrage tabagique G M D apr s Le Courrier des Addictions num ro sp cial Les entretiens du Carla 2001 n 3 vol 3 LE observation clinique originale m diter un infarctus du myocarde chez un patient de 36 ans sans aucun facteur de risque vasculaire n1 ant c dents fami
5. liaux sp cifiques En revanche le bilan rel ve des anticorps anticardiolipine positifs Le diagnostic de syndrome des anticorps antiphospholipides SAPL sera port et le malade mis sous AVK en vue d obtenir un INR entre 3 et 3 5 La raret de l atteinte coronarienne dans le SAPL ne doit pas dispenser de le rechercher en particulier chez les malades indemnes des facteurs de risque car diovasculaire habituels G M D apr s Bernard F et al L infarctus du myocarde une complication rare du syndrome des anticorps antiphospholipides La Lettre du Cardiologue f vrier 2001 n 351
6. ns plus conventionnelles tel l int r t confirm de l exercice physique qui ne remettent pas en cause nos encouragements lire cet article G M D apr s Lecerf JM Surpoids et ge M ta bolismes Hormones et Nutrition juillet ao t 2001 vol V n 4 Futurologie des hypolip miants Les f rus de lipidologie trouveront dans cette publication mati re assouvir leurs pen chants L auteur M Fournier passe en revue les mol cules soit en cours de d veloppement clinique dans les familles d j existantes soit dans de nouvelles classes m dicamenteuses Des statines de 3 g n ration aux activateurs des PPAR Peroxisome Proliferator Acti vated Receptors en passant par les inhibi teurs de l absorption intestinale du cholest rol et les nouvelles r sines s questrantes des acides biliaires l ventail des possibilit s th rapeutiques des dyslipid mies et des troubles glyc miques associ s s largit gran dement pour un avenir proche Si on y ajoute les inhibiteurs du transporteur des acides biliaires de la MTP prot ine soluble micro somiale h pato intestinale et de l ACAT Acyl CoA cholest rol acyl transf rase on con oit la n cessit pour le praticien de ter rain d actualiser ses connaissances Quant aux strat gies de traitement qui vont bient t en d couler elles semblent s orienter selon deux axes D une part une modulation des drogues prescrites en fonction du typ
7. opause n est qu un des facteurs intervenant dans la modification pond rale et la r partition du tissus adipeux La r duction de l activit physique semble de loin l l ment d terminant Quant aux apports alimentaires chevaux de bataille des nutritionnistes et des campagnes de pr ven tion pour les maladies cardiovasculaires 1ls diminuent avec l ge et ne paraissent donc pas intervenir au premier chef La relation lin aire prise de poids ge serait donc surtout mettre sur le compte d une diminution des processus d oxydation m tabolique et ou d une augmentation des capacit s de stockage des lipides L int ressant article de J M Lecerf s efforce ensuite de d m ler l cheveau des relations complexes entre ge mortalit et surpoids Car si nous avons la conviction que l ob sit massive induit un sur risque de mortalit pr coce plus incertaine para t l incidence d un surpoids mod r Et de jongler avec l indice de masse corporelle IMC le rapport taille hanche RTH l ge et les tudes internatio Le Courrier de M decine Vasculaire 2 n 1 janvier f vrier mars 2002 nales pour nous livrer des conclusions qui peuvent remettre en cause nos certitudes Sachez ainsi qu un surpoids mod r est b n fique sur le plan osseux et que rien ne prouve l int r t d une r duction des apports alimen taires chez le sujet g ob se Il est d autres informatio
Download Pdf Manuals
Related Search
Related Contents
FT EXTRAPLAS VERDE 2011 MeASURinG TRAnSdUCeRS USER MANUAL - team nash italia DANGER / PELIGRO / DANGER KOHLER K-1162-G-0 Installation Guide 取扱説明書 321 Studios 9356130 User's Manual Processor Expert - University of New Hampshire Manual de Usuario Copyright © All rights reserved.
Failed to retrieve file