Paul BISSON - Cercle d`Archeologie
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1. 231 La perspective 1 dab 233 La perspective cvl dique ad 234 Les appareils panoramiques 234 TABLE DES MATI RES QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU DU MuLTIM DIA Aux HYPERM DIAS Prises de vues utilisant la perspective plane 235 Prises de vues utilisant la perspective poly drique 2s 236 Prises de vues utilisant la perspective cylindrique a a 236 L APPAREIL DE PHOTOGRAPHIE PANORAMIQUE DE JEAN DAMOIZEAU APPAREILS DE PHOTOGRAPHIE PANORAMIQUE CONTEMPORAINS AVEC LEURS IMAGES CORRESPONDANTES Usage et mode d emploi d un appareil panoramique 247 Comment choisir sa vue nia 248 Comment doit tre regard e une preuve panoramique 2 255 Diverses applications ose d Rhode 261 La projection panoramique 264 Projection et reproduction des photographies panoramiques 268 Les tirages photographiques de dimensions exceptionnelles 269 Les MyrotamM s a d tiber E 275 Le na tma mu am E 277 CINEMA PANORAM2. Cie No k Selection de textes de th se de Paul Bisson Alain Bisson TUDES ARCH OLOGIQUES Paul BISSON des moyens techniques de la produire DU MULTIMEDIA AUX HYPERMEDIAS Paul BISSON N le ler juin 1966 D sertines Allier d c d le 9 mai 2008 Montlu on mari deux enfants Il eut un parcours atypique 1984 baccalaur at au Lyc e d Etat Mixte de Montlucon s rie philosophie lettres 1985 entre l Ecole Francaise d Enseignement Technique Paris 1986 1987 assistant r alisateur salari 1987 dipl me de l Ecole Frangaise d Enseignement Technique Paris niveau BTS options photographie et audio visuel mention bien 1988 1995 sc nariste concepteur r alisateur ind pendant poursuit parall lement une activit de photographe 1995 reprend des tudes universitaires Il obtient la licence Arts du spectacle option tudes cin matographiques et audiovisuelles mention bien la ma trise technologies sp cifiques aux syst mes audiovisuels et cin matogra phiques h misph riques mention tr s bien le dipl me d Etudes Approfondies d Esth tique option cin ma t l vision audiovi suel mention assez bien et poursuit dans le m me temps ses activit s professionnelles 1999 est enseignant contractuel des Arts Appliqu s et assistant dans l enseignement sup rieur 1999 obti
3. 401 R alit virtuelle avec la Cybersphere eee 401 volution e dub naa 407 PN GONGDDSIONS S Le Sy td M EM QUELQUES EXEMPLES D IMAGES COMMENTEES eene REMERGIEMENTS EH KEE Tee RE EE TABLE DES EE HCH LR TR E TABLE DES MATI RES 461 EN QU TE DE VALEURS ESTHETIQUES ET RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU DU Mu LTIMEDIA AUX HYPERM DIAS
4. de conf rences d veloppait un travail d ing nierie pour la cr ation d une infrastructure audiovisuelle modulaire totalement sph rique qui combinerait des environnements r els et virtuels en trois dimensions appartenait au laboratoire de recherche Ergolab Universit de Paris 8 Sportif accompli mens sana in corpore sano il participa entre autres aux marathons de Lisbonne Paris Paris Londres Mende Marvelol Marseille Cassis Il tait membre du Groupe des 94 du Groupe Images associations de photographes de peintres et de plasticiens du Cercle d Arch ologie de Montlu on et de la R gion de la Soci t des gens de lettres Auteur de le de la Villette un lieu de synth se entre science et spectacle Edition l Harmattan Sa th se en qu te de valeurs esth tiques et relationnelles l aube d un si cle nouveau du multi m dia aux byperm dias peut tre consult e la Biblioth que Universitaire o elle est d pos e 10 Nous poss dons rien jamais qu un peu de temps Guillevic Mon fils Paul est mort la naissance de l aube de 9 mai 2008 Joies et accidents de sa vie partag s de cette vie qui ne l a pas privil gi avaient soud le clan familial Parce qu aussi nous avions une grande complicit intellectuelle je me trouvai abandonn ampu t brutalement orphelin Paul tait un tre simple modeste travailleur acharn
5. uvres de Richard WILSON 1714 1782 peintre gallois pr curseur du style anglais des paysages du si cle Il voulait rendre les effets d une nature nostalgi quement id ale Snowdon from Llyn Nantlle gauche est une des premi res manifestations du romantisme pictural anglais La pratique de l aquarelle conduisit R WILSON une recherche de l instantan it et de l atmosph re qu il concilia avec la tradition classique de Claude LORRAIN dont il subit une forte influence lors de son s jour en Italie de 1750 1757 Les ceuvres de Richard WILSON inaugureront la tradi tion du paysage de montagne qui sera jusqu William TURNER un des grands th mes de la peinture roman tique anglaise L invention du panorama pictural par Robert BARKER s inscrit dans le prolongement de ce contexte artistique xm ARIA Es pm TA h ETag Ci dessus le demi panorama d Edimbourg en cosse r alis par Robert BARKER du haut de la cath drale Saint Gilles On se rend compte des transpositions et des adaptations faites par R BARKER des techniques picturales de l poque et de la distribution des perspectives sur les 180 pour permettre de rabattre le regard du spec tateur vers la ligne d horizon 162 HISTOIRE ET TECHNOLOGIE DES SUPPORTS AUDIOVISUELS Ci dessus et droite deux uvres de Joseph Mallord William TURNER 1775 1861 peintre anglais v
6. Parcours visuels imaginables en fonction d images composites ae 5 430 UNE SALLE AUDIOVISUELLE SPH RIQUE D R UNE SALLE AUDIOVISUELLE SPH RIQUE 431 OUVRAGES ECRITURE SCENARIO DE ARTE POETICA LIBER ditions du Seuil 1980 ECRIRE POUR LE TH TRE Marie Christine AUTANT MATHIEU LES ENJEUX DE L CRITURE DRA MATIQUE C N R S 1995 FADE IN THE SCREEN WRITING PROCESS Robert BERMAN Michael Wiese editions 1988 THE ELEMENTS OF SCREEN WRITING Irwin R BLACKER Collier books 1986 ECRIRE UN SC NARIO Michel CHION ditions Cahiers du cin ma 1985 WRITING GREAT SCREENPLAYS FOR FILM amp TV Dona COOPER First editions Arco 1994 THE SCREENWRITER S WORKBOOK Syd FIELD Dell publishing editions 1984 TECHNIQUES DU SC NARIO Pierre JENN ditions KE M LS 1991 U CRITURE CIN MATO GRAPHIQUE Pierre MAILLOT ditions M ridiens Klincksieck 1989 THE SCREENPLAY A BLEND OF FILM FORM AND CONTENT Margaret MEHRING Focal press 1990 REALISATION AUDIOVI SUELLE MONTAGE ECLAIRAGE CADRA GE DES LUMI RES ET DES OMBRES Henri ALEKAN Centre National des Lettres 1991 ESTH TIQUE DU MONTAGE Vincent AMIEL di tions Nathan 1999 GRAMMAIRE DU LANGAGE FILM Daniel ARJON ditions Dujarric 1989 LES NOUVELLES IMAGES Pierre BARBOZA ditions C S L 1997 LA CHAMBRE CLAIRE Roland BA
7. ativit r investit l auteur dans l criture jamais assujettie cette forme de contrain te interd pendante et b n ficiant de chaque impulsion nouvelle pr te dire tant mieux chaque nouvel handicap occasion d un d passement La dynamique des TIC est telle que des moyens de production et de diffusion la fois plus puis sants et financi rement all g s voient le jour Le monopole de fait des productions pour les g odes et Plan tarium pourra tre contourn par des producteurs d un nouveau type f d rant des r alisateurs de talent et artistiquement ambitieux comme Paul Bisson Se gardant bien de dissocier valeurs esth tiques et relationnelles il est clair que Paul Bisson cherche d marquer la communication aux exigences thiques des manipulations hyper ins trument es et que le ressourcement individuel s op re dans une relation On pourra d ailleurs noter qu il privil gie l option pour un espace architectur habitable partag alors que l volu tion technologique rend de plus en plus cr dible l mergence de dispositifs individuels par casques sophistiqu s exo isomorphes des champs r tiniens ou encore directement projet s sur la r tine par des faisceaux lasers 22 Comment faire sorte que l motion ressentie par un public soit plus simplement une somme de cons quences psycho physiologiques g n r es par des syst mes mais re devienne un v ritable ph nom ne de percepti
8. ri table pr impressionniste qui subordonna sa tech nique de l aquarelle une expression des forces de la nature lib r e de toute discipline formelle M me dans ses tableaux mythologiques l motion po tique prend le pas sur l vocation d un classicisme d cadent partir de 1840 il donnera libre cours son attrait pour la lumi re vue et sentie comme un pouvoir uni versel de dissolution d abolition des formes et de la mati re HISTOIRE ET TECHNOLOGIE DES SUPPORTS AUDIOVISUELS 163 t Ci dessus coupe d taill e de la rotonde de Robert BARKER dans Leicester Square Londres en 1789 Elle permet de suivre et de mieux comprendre le cheminement complet des spectateurs jusqu la plate forme Elle permet aussi de se rendre compte de l importance du b timent et de la toile Ci dessus une gravure repr sentant le b timent de Leicester Square qui accueillit le premier panorama complet 360 HISTOIRE ET TECHNOLOGIE DES SUPPORTS AUDIOVISUELS 167 EN QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU MurTIME EDIA aux HYPERM DIAS TABLEAU N 2 Variations visuelles envisageables partir d une image panoramique 426 UNE SALLE AUDIOVISUELLE SPH RIQUE UNE SALLE AUDIOVISUELLE SPH RIQUE 427 EN QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU MurTIME DIA aux HYPERM DIAS TABLEAU N 3
9. 1 OPENING NIGHT John CASSAVETES 1978 LE VOYAGE FANTASTIQUE Richard FLEISCHER 1966 NAPOL ON Abel GANCE 1935 INTOLERANCE David Wark GRIFFITH 1916 LE BARON DE M NCHAUSEN Terry GILLIAM 1988 BRAZIL Terry GILLIAM 1985 ALPHAVILLE Jean Luc GODARD 1965 2001 ODYSS E DE L ESPACE Stanley KUBRICK 1968 METROPOLIS Fritz LANG 1926 ZAZIE DANS LE M TRO Louis MALLE 1960 LEVEL FIVE Chris MARKER 1989 AUTOUR DE LA LUNE Georges M LI S 1902 KOYAANISQATSI la proph tie Godfrey REGGIO 1982 PLAYTIME Jacques 1967 LE BARON DE M NCHAUSEN Josef VON BAKY 1943 448 BIBLIOGRAPHIE ABLE DES MATI RES INTRODUCTION a kahuk ka a PREFACE VERS UN NOUVEL ORDRE ESTHETIQUE GONE re Ort Ee 25 over or not Pr cisions sur l utilisation de l image panoramique 39 R vocation du g ocentrisme audiovisuel 39 HISTOIRE ET TECHNOLOGIE DES SUPPORTS AUDIOVISUELS LES SYSTEMES PRECURSEURS n Lon LN nadie Les proc d s primitifs nta el MN ad 60 Des proc d s divertissants et scientifiques 65 DE LA PHOTOGRAPHIE AU CINEMA eege Ee 457 QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU DU M
10. ELL ditions Gallimard KE M LS 1989 PROPRI T LIT T RAIRE ET ARTISTISTIQUE ET DROITS VOISINS Claude COLOMBET Dalloz 1999 L EUROPE ET LES ENJEUX DU G A T T sous la direction de DOUTRELEPONT DANS LE DOMAINE DE L AUDIOVISUEL ditions Bruylant 1994 LES RAPPORT VERTS GRIS VERT DE GRIS Jean Marc MANACH ann es 70 en France le cin ma exp rimental ditions Paris Exp rimental ou Pinstitutionnalisation impossible 2001 POLITIQUE AUDIOVISUELLE DE L UNION EUROP ENNE 1998 C E C A C E E C E E A Bruxelles 1997 MISSION DE R FLEXION DE PROPOSITIONS Georges PROST rapport sur les relations entre les diffuseurs et les producteurs 28 f vrier 1989 L CONOMIE DES M DIAS Nadine TOUSSAINT DESMOULINS P U F 1992 POUR UN V RITABLE MARCH AUDIOVISUEL EN EUROPE F PINTO BALSEMAO d veloppement de la cr ation n cessit sInstitut Europ en de la communication conomiques besoins de la soci t 1995 L ERE NUM RIQUE ET LA POLITIQUE AUDIOVISUELLE EUROP ENNE E C S C E H E C Bruxelles 1998 REVUES ARTICLES ET COLLOQUES LE CORPS EN IMAGES de Buster Keaton John Cassavetes Vincent AMIEL Revue Esprit 1995 ART ET NOUVELLES TECHNOLOGIES L aventure humaine Association Diderot diteur 1995 ART EXHIBIT AUDIENCES SELECTED FINDING ON WHO COMES WHY WHITH WHAT EFFECTS Sean K BIGMAN Wissenschaftsverlag 1989 NOUS SOM
11. IQUE 5 Le Cyclorama dafs lab di e prt 287 Petite gen se du cin ma panoramique 294 Le Cin orama ballon ou Cin cosmorama Sanson 298 Le Cin matorama le Graphophonoscope et le Cin matorama parlant 308 Le Circarama et autres proc d s similaires sss 318 VOLUTION DES SALLES DE SPECTACLE sn ET OUVERTURES SCENOGRAPHIQUES Le G orama et ses mules sph riques 337 fid eS ese p Porra e tp RR Dopo 342 Le th tre deux salles naar celica n 349 La salle de th tre parabolique 357 HYBRIDATION DES MOYENS DE REPRESENTATION Le F tutama Ea 366 460 TABLE DES MATI RES 380 L Giieta 384 Les Plan tariums et autres proc d s quivalents 385 Atmosph rium D m rama PETIT TOUR D HORIZON ACTUEL na La R alit Virtuelle 389 e Le Plan tarium bead 390 LE r 1a aE E ELEA A 395 R alit virtuelle et image panoramique
12. K Whalesback books 1995 DISNEY WORLD Georges PLANEL ditions des sept vents 1990 AUDIOVISUEL ET MUS OLO GIE LA CIT DES SCIENCES Henri Louis POIRIER ditions C S I 1991 SC NOGRAPHIE S MIOGRA PHIE Jacques ditions Deno l 1971 447 QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU DU MuLTIM DIA Aux HYPERM DIAS L ART L GE LECTRONIQUE Franck POPPER ditions Hazan 1993 VOIRS ET SAVOIRS Anne SAUVAGEOT P U F 1963 LA COMMUNICATION sous la direc tion de Lucien SFEZ P U F 1991 TRAIT DE PEINTURE L onard de VINCI ditions Berger Levrault 1987 SOCIOLOGIE PHILOSOPHIE LANGAGE ET CULTURE DES M DIAS Pierre BABIN ditions universitaires 1991 L EXPLOSION DE LA COMMUNICATION LA NAISSANCE D UNE NOUVELLE ID OLOGIE Pierre BRETON ditions Bor al 1989 LE LANGAGE ET LA PENS E Paul CHAUCHARD P U F 1968 L IMAGINAIRE DES TECHNIQUES DE POINTE sous la direction GRAS et S POIROT l Harmattan 1989 L HOMME NUM RIQUE Nicolas NEGROPONTE ditions Robert Laffont 1995 TECHNOLOGY AND THE FUTURE Albert A TEICH Six editions 1993 M DIAS ET NOUVELLES TECHNOLOGIES Sous la direction d Andr VITALIS POUR UNE SOCIO POLITIQUE DES USAGES ditions universitaires 1991 ECONOMIQUE FINANCIER JURIDIQUE LA VINGT CINQUI ME IMAGE Ren BONN
13. MES SUJETS AUX IMAGES Daniel BOUGNOUX Revue Esprit 1993 EXPLICATION D DUITE DE L EXP RIENCE DE PLUSIEURSEug ne CHEVREUL PH NOM NES DE VISION CONCERNANT LA PERSPECTIVE Acad mie des Sciences 1859 CIN MA D ANIMATION amp CRAN G ANT Colloque de la G ode Paris La G ode 22 janvier 2001 DE G TENBERG AUX AUTOUROUTES DE L INFORMATION Colloque de Rouen ditions Comellia 1995 L IMAGE TEMPS Gilles DELEUZE ditions de minuit 1985 D PART VERS LA POLYVISION Abel GANCE Les cahiers du cin ma d cembre 1954 L IMAGE MENAC E PAR LE VISUEL J r me GIUDICELLI Revue Esprit 1994 LES PANORAMAS DE L EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1900 Georges MARESCHAL Le st r orama le transib rien le mar orama La nature 1900 le cin orama ballon PROBLEMS OF INSTALLATION IN MUSEUMS OF ART Arnold W MELTON News series N 14269 D IMAGE 360 ET L ESPACE SC NIQUE Jacques POLIERI C N R S 1963 VERS UNE CULTURE DE L INTERACTIVIT De l image au regardJean Louis WEISSBERG Naissance des nouvelles images et des nouveaux langagesFranco TORRIANI De la participation l interactivit dans les Arts plastiquesFranck POPPER di tions 5 1 1988 FILMOGRAPHIE SELECTIVE MATRIX Andy amp Larry WACHOWSKI 1998 MATRIX RELOADED Andy amp Larry WACHOWSKI 2001 TERMINATOR James CAMERON 1984 TERMINATOR 2 LE JUGEMENT DERNIER James CAMERON 199
14. N son Directeur de th se de l avoir ouvert sur un homme et son h ritage encore 13 Jacques Directeur MCEHDR 7Oe Paris Guy CHAPOUILLE Directeur Ecole Sup rieure d Audiovisuel Toulouse Le Mirail Gilles BERNARD Professeur des universit s informatique 27e Paris 8 Herv LE GOFF journaliste Henri Louis POIRIER r alisateur qui lui ont d cern le titre de docteur en science de l information et de la communication avec mention tr s honorable et f licitations sans oublier Jo l DUPLAIX pour son aide technique la confection de la maquette de ce livre 14 RAPPORT SUR LE MEMOIRE DE THESE DE PAUL BISSON lt En qu te de valeurs esth tiques et relationnelles la dimension d un si cle nouveau du multi m dia aux byperm dias gt Rarement aussi vaste et riche inventaire aura pr sid l invention d un domaine qui trouve son point d orgue dans l inscription h mi sph rique la fois nef architecturale d inscription et habitacle sc nographique superlative caverne de Platon photosensible comme nos r tines Lieu dispendieux d illusions travesties de vulgarisation scientifique plan tarium d sacralis Espace trois fois cyclop en 1 dans le sens usuel de colossal 2 corr l d il unique comme les titans 3 enfin indicatif de la perception st r oscopique C est dire au passage combien l illustration embl matique de cette th se est bien choisie cette s
15. RTHES ditions Gallimard Seuil 1980 METTRE EN SC NE Sergue EISENSTEIN Vladimir NINY ditions 10 18 1973 THE ART OF DIREC TING W KIRK BELLAS Editions Wadsworth Publishing Company 1985 G N ALOGIE DE LA LUMI RE DU PANORAMA AU CIN MA Patrick DESILE l Harmattan 2000 L GIL ET L ESPRIT Maurice MERLEAU PONTY ditions Gallimard Folio essais 1964 PH NOM NOLOGIE DE LA PERCEPTION Maurice MERLEAU PONTY ditions Gallimard 1945 LE CIN MA EXP RIMENTAL Jean ditions Seghers Cin ma 2000 1974 D ANALYSE DES SPECTACLES Patrick PAVIS di tions Nathan 1996 WHAT MACHINES CAN T DO Robert J THOMAS University of California press 1994 ID OLOGIE DU MONTAGE OU L ART DE LA MANIPULATION Alain WEBER l Harmattan 1983 COMMENT OUVRIR L OREILLE SANS FERMER L IL AU CIN MA Claude BAILBL Magiemage 1993 3D SOUND FOR VIRTUAL REA AND MULTIMEDIA Durand R BEGAULT A P professionnal 1994 SYST MES AUDIO ET VID O NUM RIQUES Jean No l GOUYET LN A 1993 LE R LE DU SON DANS LE R CIT CIN MATOGRA PHIQUE Antoni GRYZIK Minard 1984 PR CIS D ANALYSE DE LA BANDE SON Laurent JULLIER di tions Armand Colin 1995 ANALOGIQUE ET SON NUM RIQUE Jean ROUCHOUSE ditions Dujarric 1992 SON ET ENREGISTREMENT Francis RUMSEY Tin McCORMICK ditions Eyro
16. Technitama secs 126 87 458 TABLE DES MATI RES ATR EE 126 LeCGinemaScope 2 MM sc a 127 Le Super Panavision D alc 128 LUltra Panavision EE 128 L aenneren tet A UL Cuv 129 Elma A ak 150 Les po veadux Systemes nrn Eet 137 LES SYSTEMES A FILMS MULTIPLES La Polyvision syst me 138 Le ri UD TT E 141 Le Cinerama Kinopanorama nt Deb 144 EeCinemiracle en 154 Le Wonderama 155 DES PROCEDES CARACTERES Repr sentations panoramiques picturales et spectacles Panoramas cycloramdsus abc tibi rata b 158 Le Diorama PN E 180 Mc 189 e ST R O dido bash OSES 198 Le Traussib ri n o ode er uates 200 Po me de 4 mgl tota pu ROW ES 206 Le IM 210 LES APPORTS DE LA PHOTOGRAPHIE PANORAMIQUE Le panorama dans sa conception m thodique fondamentale 226 La mise en perspective d un panorama 231 La perspective plane
17. attentif aux autres g n reux et d un exemplaire courage On l aimait au premier regard affirmait une amie canadienne Tous ceux qui l ont connu disaient de lui qu il tait extra ordinaire en deux mots j y tiens A la lecture et la relecture de sa th se j ai d couvert mon fils et l Homme qu il tait tant il est vrai qu on apprend les siens quand ils ont disparu avait en t te d laguer son texte d expurger les chapitres des sch mas trop scientifiques pour ne conserver que la substantifique moelle dont pourraient se nourrir l historien le cin aste le photographe l amateur le curieux Nous tions convenus d effectuer ce travail d s qu il aurait recouvr suffisamment de forces Las C est pourquoi j ai d cid de r aliser l objectif qu il s tait fix J ai donc pris le parti comme il l envisageait d un livre qui traiterait de l arch ologie de l ima ge du th tre d ombres aux images panoramiques Il m a sembl cependant important d ajouter le chapitre dans lequel il d veloppe l analyse de l image cin matographique photographique ou picturale Je n ai en rien modifi son texte ni l ordonnance qu il avait retenue pour sa th se J ai respect son criture et mis en vidence la conception obsessionnelle qu il avait de l image de son pou voir et des possibilit s qu elle offrait pour faire du regardeur non plus un consommateur pas sif mais un cr ateur actif Je voudrais remercier Patrick CURRA
18. br e de rappels historiques tat de l art technologique et critiques de l existant prospective enfin les dispositifs actuels permettant d chapper au statu quo Ces approches sont reli es par une pr occupa tion syst mique r unir concr tement les moyens de ce r investissement 1 ART CULTURE DE MASSE ET COMMUNICATION 2 VERS UN NOUVEL ORDRE ESTHETIQUE 3 HISTOIRE ET TECHNOLOGIE DES SUPPORTS AUDIOVISUELS 4 UNE SALLE AUDIOVISUELLE TOTALEMENT SPHERIQUE 5 ORIENTATIONS NARRATIVES ET SCENARISTIQUES Sur la forme comme sur le fond l ouvrage est impeccable clairement r dig et richement illus tr Les r gles de la mise en forme doctorale y sont respect es alors qu une forte inclination aurait pu porter l auteur vers une structure multi index e hyperm diatique qui probablement verra le jour aux lendemains de la synth se prospective qu est toute soutenance Holistique sys t mique il s agit d un v ritable outil de travail professionnel pour r investir dans ces pra tiques comme pour les interroger L introspection est omnipr sente dans cette th se et son auteur chappe de peu l affaiblisse ment d une critique sans complaisance qui un moment donn se tapit pour mieux bondir sur son auteur L son honn tet intellectuelle peut conduire au pessimisme et au constat d un d j fait technologique comme les propositions impressionnantes et un peu crasantes de Polieri la cr
19. ent le Prix de la meilleure bande son au Festival International Multi images EILM D de Chelles 2003 tablit de nombreux dossiers d tudes prospectives techniques et artistiques pour la r alisation de spectacles de plan tarium Cit de l Espace Toulouse St Etienne 2005 th se de Doctorat enjeux sociaux et technologies de la communication sec tion n 71 la Maison des Sciences de l Homme mention tr s honorable avec f licitations du Jury Enseignant chercheur en sciences de l Information et de la Communication sp cialis dans le domaine de la r alisation audiovisuelle au sein d espaces sph riques et h misph riques pla n tariums g odes il participe de nombreux colloques et conf rences scientifiques et tech niques en France et l tranger 2006 labore un projet innovant de recherche et de d veloppement dans le domaine des sciences de l information et de la communication intitul nouvelles com munications nouvelles repr sentations qui pr voyait la construction d une salle sph rique modulaire de spectacle audiovisuel la fois conservatoire des tech niques anciennes production et de diffusion laboratoire d veloppement et de mise au point de technologies nouvelles et espace de recherches esth tiques initiant de nouveaux modes de communication et de repr sentation 2007 qualifi par la section 18 du Conseil National des Universit s aux fonctions de
20. ires prot iformes qui abritent ou donnent naissan ce des personnages fabuleux hideux monstrueux minuscules ou gigantesques Sur les vo tes de cette surface d inscription cyclop enne Paul Bisson n h site pas relayer reprendre la d marche poi tique d Antoine de Saint Exupery Comme dans les dessins du Petit Prince la prise en compte du regard de l enfant y atteste cette capacit artistique non pas restituer des l ments manufactur s du r el mais lt rendre visible gt des productions authen tiques de l imaginaire Patrick Curran Juin 2005 23 19 Ci dessus la salle des taureaux de la grotte de Lascaux Dordogne La disposition des peintures sur les parois nous montre que l art pari tal tait destin tre vu en groupe Il s affiche un peu comme les grandes fresques peintes sur les parois des glises et atteste de pr occupations reli gieuses m l es un souci esth tique Dans toute l histoire humaine l art est li la fois l artisanat et au religieux l utilitaire et au sacr L art pr his torique est sans aucun doute associ des croyances et des pratiques sacr es comme le fut l essentiel de l activit artistique jusqu r cemment dans l histoire de l humanit VERS UN NOUVEL ORDRE ESTH TIQUE 33 QU TE DE VALEURS ESTH TIQUES RELATIONNELLES L AUBE D UN SI CLE NOUVEAU DU MuLTIM DIA Aux HYPERM DIAS Ci contre et ci dessous trois
21. lles 1994 ESTHETIQUE ORGANISATION SCENIQUE REPRESENTATION PANORAMIQUE DER GOLDENE SCHNITT Albrecht BEUTELSPACHER Wissenschaftsverlag 1989 LE PLAN TARIUM DE LA VILLETTE UN LIEU DE SYNTH SE Paul BISSON l Harmattan 2000 L IMAGE MOUVEMENT Gilles DELEUZE ditions de minuit 1983 TEMPS Gilles DELEUZE ditions de minuit 1985 LE PORT DE L OMBRE ESSAIS SUR L EXP RIENCE PHOTO GRAPHIQUE R gis DURAND La diff rence 1990 LE MIROIR MAGIQUE DE M C EscHER Bruno ERNST Taschen 1986 PICTORIAL BEAUTY ON THE SCREEN Victor O FREEBURG Arno press New York times 1970 LA PERSPECTIVE DANS IMAGE Robert GIORDANI Voir savoir savoir voir 1987 TRAIT DES COULEURS Johann W von G THE Triades 1990 THINKING ABOUT EXHI BITIONS R GREENBERG B W FERGUSSON Routledge London 1996 L CRAN TOTAL POUR UN CIN MA SPH RIQUE Philippe JAULMES ditions l Herminier 1981 INSTALLATION THE INVEN TION OF CONTEXT Leslie JOHNSON Aurora bor a ls 1985 POUR COMPRENDRE LES M DIAS Herbert Marshall MCLUHAN Seuil 1968 LE GRAND ART DE LA LUMI RE ET DE OMBRE Laurent MANNONI Nathan universit 1995 PANORAMIC MEEHAN ditions Amphoto 1997 DU PANORA MA PICTURAL AU CIN MA CIRCULAIRE Emmanuelle MICHAUX l Harmattan 1999 ART AS EXPRES sION Henry W PEACOC
22. ma des origines le Septi me art a eu une intuition globale mais pr matur e de ses possibilit sc naristiques ce paradis a rapidement t perdu pour cause habituelle de pr cocit le d calage avec les technologies mergentes Comme la diffusion tridimensionnelle le mieux s est av r ennemi du bien n a pas t ma tris et joue un r le d cevant par rapport aux esp rances que l on pouvait investir en ces progr s 14 En qu te de valeurs esth tiques et relationnelles pour un Monde nouveau Du Multim dia aux Hyperm dias Paul Bisson Th se de Doctorat soutenue sous la direction de Patrick Curran UPS 2005 15 Le Plan tarium de La villette un lieu de synth se entre science et spectacle Paul Bisson pr face de Patrick Curran L Harmattan 2000 21 C est le paradoxe du m moire de Paul Bisson que d tre travers d une exp rience intense mais relativement br ve D avoir eu des aspirations ajust es d avoir pu les mettre en uvre puis tre par une sorte de fatalit cart du dispositif Le temps s coulant d autres approches suivant la tendance entropique de l re Berlusconi ont co ncid au sein du m me dispositif avec la maturation r flexive de ce chercheur exigeant alliant les capacit s en ing nierie audiovisuelle celle de l criture multimodale qui tient une place importante dans ses propositions Le sommaire ci dessous de sa th se en six parties atteste la proportion quili
23. on individuelle crit Paul Bisson dans son r sum revendi quant ainsi sa mani re le progr s d cisif apport par A Damasio aux neurosciences r sumable en une formule les motions sont fondatrices de la raison Cette red couverte a t favori s e par l volution des m thodes d investigation c r brale de la d finition spatiale vers la r solu tion temporelle A plus d une occasion Paul Bisson montre la corr lation d une technique et d une criture et cette interd pendance se retrouve d ailleurs dans le contexte politique et conomique du Monde avec certains effets de sym trie entre Hitler et Staline repris par l Uchronie d Orwell 1984 et plus r cemment les sc narii de propagande r dig s par la CIA pour accompagner la lutte contre le terrorisme de G Bush Loin des zones insalubres que la t l vision traverse et clone sous pr textes conviviaux aux anti podes des reality show l auteur de cette th se recherche par calques successifs et moirages l espace temps syncr tique du spectacle de demain lt Les arts ant rieurs seront sc nographi quement associ s l ensemble des arts plastiques cin tiques appliqu s ou du spectacle pour rendre possible un spectacle qui ne nous appartient pas celui de la vie qui se dessine de la sensibilit qui s veille des contradictions qui naissent des interrogations qui jaillissent le tout s exprimant l int rieur de paysages imagina
24. ph re de Sisyphe est support e bout de bras pour montrer que cela est possible l lever au dessus de sa t te mais possiblement si elle n advient pas plus l g re que l air la renvoyer au loin jusqu aux abysses plutoniens de ses origines Il y a beaucoup d amour et d aspirations dans les crits de Paul Bisson mais aussi la r volte d un Capitaine Nemo dont on aurait pour finir vendu le Nautilus Walt Disney J accumule volontairement les qualificatifs contrast s pour exprimer ces impressions qui res semblent l inventaire d une vie pas un testament d finitif car assorti d un vif espoir de r in vestissements La citation terminale de 2001 Odyss e de l Espace atteste cette capacit de renaissance pr c d e d une vertigineuse r capitulation Par accumulation quitable le constat est terrible la massification l entropie t l visuelle se clone en France comme ailleurs en direction d un voyeurisme audiovisuel qui s autojustifie d tre audimat Toujours la traine les instances qui vendent et r gulent les exc s d alcool de tabac et autres toxiques qui taxent l achat des v hicules rapides et l usage des vitesses d ri soires en viendront l gif rer lorsque cette malnutrition m diatique aura d montr ses ob si t s La recherche objective et la qu te cr ative sont marqu es de paradoxes spatiotemporels D une certaine fa on on pourrait consid rer que comme pour la Photographie le Cin
25. uLTIM DIA Aux HYPERM DIAS Nic phore Louis Jacques Mand 75 Edward James Muybrid e oa tun nd 80 E Tales eae 82 EE T UU MT 84 LE CINEMA ART OU INDUSTRIE CINEMATOGRAPHIQUE LESASIANDES BIGURES uie u h au Thomas Alva Edison William Kennedy Laurie Dickson 88 August et Lows satis 94 Georges Melis cesarean pti REM e 101 VOLUTION DES FORMATS CINEMATOGRAPHIQUES 155522 e UR 107 L Mm SONO Irene penas t Sites Net 110 LES FORMATS ECRANS LARGES ntm EE 111 E MN SCOPE T T UU Rien 111 L SAP SCOR uhu ees 115 L SupeScope 123 EAR dudes 115 L AG352 be cal 116 Keren AN e rd 116 Le syst me 2P ou die dd 117 35 117 L 118 Le Super 35 235 ou Super Techniscope eene 118 LES FORMATS DE PRISE DE VUES SUPERIEURS 35 Le E 122 eU RR p ete ET ta bae o hs 123 LE 123 VISTAVISIOD 124 L
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