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Promouvoir la santé et prévenir la maladie

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1. a jini jier sai FD CLR sm sharla er pate Manette L LL Prpa al Lae pel 4 _ Dal fe AM paalit ind L sab if hai Ai ew l affaire de tous les profess ASSEMBLEE GENERALE ANNUELL vendredi 6 novembre 2015 8 h Opiq med med AT TT Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec E E juillet 2015 z La a 2 i J E E me iL volume num ro Nouveau de Root avec Masimo Capnographie Te Nomoline pas d humidit dans les tubulures R duction des co ts grace plus d utilisation et la compatibilit avec les canules g n riques ISA se connecte l aide des ports Masimo Open Connect MOC 9 Pour en apprendre plus veuillez visiter p o www masimo com capnography isa capnography htm V ANM 2015 Masimo All rights reserved Pour un usage professionnel Voir le mode d emploi pour obtenir des informations de prescription compl tes dont des indications contre indications avertissements pr cautions et v nements ind sirables 888 336 0043 30 ans un v nement digne de mention n cette p riode de l ann e o apr s un dur hiver de froid polaire nous avons l impression de rena tre de nos cendres un ditorial plus ludique et festif s impose On murmure entre les branches que l automne sera chaud C est une vidence puisque OPIQ f tera ses 30 a
2. ire NOIRE F ie inhalothorapeutos ju unis 1 Le programme financier de la Banque Nationale constitue un avantage offert aux sp cialistes de la sant audiologistes denturologistes ergoth rapeutes hygi nistes dentaires inhaloth rapeutes opticiens orthophonistes pharmacologues physioth rapeutes psychologues sages femmes technologistes m dicaux et technologues en radiation m dicale qui d tiennent une carte Platine MasterCard de la Banque Nationale et qui sont citoyens du Canada ou r sidents permanents canadiens Une preuve de votre statut professionnel vous sera demand e 2 Compte bancaire avec privil ge de ch ques 3 Financement octroy sous r serve de l approbation de cr dit de la Banque Nationale Certaines conditions s appliquent MasterCard est une marque d pos e de Master Carddhterdatid aNne Usaget 20t ris Bange Nationale du Canada 1 Tout En Un Banque Nationale est une marque d pos e de la Banque Nationale DEONTOLOGIE Le conflit d int r ts savoir le reconna tre et l viter martien par M Magali Cournoyer Proulx associ e Lavery de Billy en collaboration avec Bernard Cadieux inh M A P M Sc syndic OPIQ Bon an mal an le Bureau du syndic de l OPIQ est interpell sur des situations all gu es de conflits d int r ts La modification des pratiques en raison notamment de l mergence du secteur priv ou de l utilisation des technologies comme les m dias sociaux
3. ET M DECINE UNIVERSITAIRE op cit p 2 8 INSTITUT NATIONAL DE SANT PUBLIQUE DU QUEBEC 2009 Coup d il sur l alimentation des adultes qu b cois R sum du rapport La consommation alimentaire et les apports nutritionnels des adultes qu b cois Qu bec Gouvernement du Qu bec Cit dans MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANT ET M DECINE UNIVERSITAIRE op Cit p 2 MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX en collaboration avec L INSTITUT NATIONAL DE SANT PUBLIQUE DU QUEBEC et l INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC op cit Cit dans MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANTE ET MEDECINE UNIVERSITAIRE op cit p 3 MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANTE ET M DECINE UNIVERSITAIRE op cit p 2 GUTHRIE B et collab 2011 Multimorbidity the impact on health systems and their development dans OECD Health Reform meeting the challenge of ageing and multiple morbidities Paris OECD Publishing p 173 220 Cit dans MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANTE ET M DECINE UNIVERSITAIRE op cit p 5 BUSTROS LUSSIER G MILOT D M ROY A Janvier 2014 Promotion et pr vention en sant Outil destin aux tudiants de m decine Formation destin e aux tudiants l externat des programmes canadiens de m decine diapositive 18 En ligne http extran
4. Nese ME me Jos e Prud Homme inh Adm A M A R POPP eee eee eee EE EEE ETE O EEE EEE EEE EEE HEHEHE EEOEEE THEE EEE OEE E ETE OEE EHO EHE HES ELEE HELE EEE L HELLO E EEE LELEELEOEEEB EELS l organisation et l administration des tablissements LRR chapitre S 5 r 3 01 permet aux m decins de ne plus mettre des ordonnances verbales uniquement des cat gories pr cises de professionnels Depuis l entr e en vigueur de cette disposition toute ambigu t a t dissip e quant au droit des inhaloth rapeutes de recevoir et consigner au dossier de Ordonnance l usager les ordonnances verbales ou autres peu importe leur nature qu il s agisse d un m dicament ou d un traitement administr par lui m me o par un autre professionnel l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 41 42 FORMATION A DISTANCE FORMATION A DISTANCE V velopper vos connaissances cliniques avec LE CERTIFICAT EN INHALOTH RAPIE ANESTHESIE ET SOINS CRITIQUES l Le Formation labor e par des anesth sistes et des cliniciens chevronn s Cours reconnus en formation continue de l OPIQ Cours offerts sur DVD Examens dans votre localit ou proximit j J eds LE CERTIFICAT EN INHALOTHERAPIE ANESTHESIE ET SOINS CRITIQUES SCL1416 Ph nom ne de la douleur SCL2703 Anesth sie et types de chirurgie SCL2706 Inhaloth rapie dans des contextes d urgence SCL2707 Le patient en soins intensifs SCL271
5. coce de maladie silencieuse asymptomatique ou de facteurs de risque pouvant mener vers des probl mes de sant 4 La m dication pr ventive p ex prescription d acide folique chez la femme enceinte afin de r duire le risque de malformations du tube neural chez l enfant na tre Le saviez vous Au niveau canadien le principal groupe d experts ind pendants mettant des recommandations sur les pratiques cliniques pr ventives est le Groupe d tude canadien sur les soins de sant pr ventifs delete 2 Le GECSSP mis sur pied par l Agence de la sant publique du Canada ASPC labore des guides de pratique clinique qui appuient les fournisseurs de soins de sant primaires dans la prestation de soins de sant pr ventifs Les recommandations du GECSSP sont jug es en fonction notamment des chelles de recommandation du syst me GRADE Grading of Recommendations Assessment Develooment and Evaluation et sur l valuation de la qualit des donn es probantes Groupe d tude canadien sur les soins de sant pr ventifs Appli mobile janvier 2015 Note L quivalent am ricain de ce groupe est le United States Preventive Services Task Force USPSTF 22 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Conclusion Que l approche en sant soit individuelle ou populationnelle il faut retenir que des mesures soutenues de promotion de la sant et de pr vention des maladies sont n cessai
6. comp tence 1 La Charte d Ottawa pour la promotion de la sante la sant pour tous d ici l an 2000 et au del LA par Marise T treault inh M A coordonnatrice au d veloppement professionnel OPIQ A En novembre 1986 la ville d Ottawa fut l h te de la premi re Conf rence internationale pour la promotion de la sant Cet v nement orchestr conjointement par l Organisation mondiale de la sant le minist re de la Sant et du Bien tre social du Canada et l Association canadienne de sant publique ACSP a vu le jour en r action l attente de plus en plus manifeste d un nouveau mouvement de sant publique dans le monde 212 d l gu s venus de 38 pays diff rents assistaient cette rencontre tenue du 17 au 21 novembre 1986 Ottawa afin d changer leurs connaissances et leurs exp riences en mati re de promotion de la sant In November 1986 Ottawa was the host city of the first International Conference on Health Promotion This event jointly organized by the World Health Organization Health and Welfare Canada and the Canadian Public Health Association CPHA originated from the evident and pressing need of a move towards a new worldwide approach to public health Two hundred and twelve participants from 38 countries met from November 17 to 21 1986 in Ottawa to exchange experiences and share knowledge of health promotion IER ien que les discussions se soient conc
7. depuis la r duction des facteurs de risque les traitements pour limiter leur volution jusqu la r duction des cons quences Pr vention primordiale Approche de pr vention qui cible les d terminants sous jacents de la sant en modifiant les politiques sociales dans le but d am liorer l tat g n ral de sant La cr ation de communaut s saines l am lioration de l hygi ne et les r formes conomiques en sont des exemples Pr vention de l apparition des facteurs de risque eux m mes Pr vention primaire Pr vention de l apparition d une maladie en modifiant les facteurs de risque les comportements ou les expositions qui peuvent y mener ou en prot geant contre l effet de l exposition un agent pathologique Pr vention secondaire Pr vention de la manifestation ou de l volution d une maladie une fois qu une personne l a contract e Pr vention tertiaire Pr vention dela r apparition d une maladie que l on a trait e en phase aigu Elle vise limiter ou reporter l impact de la maladie sur les fonctions la long vit et la qualit de vie du patient sujet promotion OMS Promotion de la sant Le processus qui conf re aux populations les moyens d assurer un plus grand contr le sur leur propre sant et d am liorer celle ci R f rence Charte d Ottawa pour la promotion de la sant OMS Gen ve 1986 AFMC Promotion Ensemble d activit s qui visent am liorer la s
8. vous renseigner sur vos possibilit s d pargne dans le confort de votre foyer ou lors de vos d placements gr ce l application pour iPad Passez l action des maintenant Rappelez vous que pour vivre des projets la hauteur de vos attentes une bonne planification s av re essentielle En commen ant conomiser d s maintenant vous allongez votre p riode d pargne et mettez toutes les chances de votre c t afin d augmenter vos rendements et diminuer les montants p riodiques n cessaires votre projet Une fa on simple d all ger votre budget et de vivre pleinement en attendant la concr tisa tion de vos grandes id es ry Avez vous une id e Utilisez Monld e d s maintenant bnc ca monidee MD iPad est une marque d pos e d Apple inc enregistr e aux Etats Unis et dans d autres pays UN PROGRAMME FINANCIER POUR VOTRE VIE APRES LE TRAVAIL La Banque Nationale a un programme financier adapt aux inhaloth rapeutes qui donne acc s des privil ges sur un ensemble de produits et de services tels que Le compte bancaire en CA ou en US La carte de cr dit Platine MasterCard Banque Nationale Les solutions de financement comme la marge de cr dit et le Tout En Un P1 3 gt Les solutions de placement et de courtage offertes par nos filiales Fi re partenaire de BANQUE NATIONALE cs Eb bnc ca specialistesante Fa lem Adh sion en succursale
9. 13 DOSSIER 14 Tableau 2 Axes strat giques pour promouvoir la sant extrait de la Charte d Ottawa 1986 strategie 1 Elaboration de politiques pour la sant 2 Cr ation d environnements favorables 3 Renforcement de l action communautaire 4 Acquisition d aptitudes individuelles 5 R orientation des services de sant Description La promotion de la sant va bien au del des simples soins de sant Elle inscrit la sant l ordre du jour des responsables politiques de tous les secteurs et tous les niveaux en les incitant prendre conscience des consequences de leurs d cisions sur la sant et en les amenant admettre leur responsabilit cet gard Nos soci t s sont complexes et interconnect es et l on ne peut s parer la sant des autres objectifs Les liens qui unissent de fa on inextricable les individus leur milieu constituent la base d une approche socio cologique l gard de la sant Le grand principe directeur pour le monde entier comme pour les r gions les nations et les communaut s est la n cessit d une prise de conscience des t ches qui nous incombent tous les uns envers les autres et vis vis de notre communaut et de notre milieu naturel Il faut attirer l attention sur le fait que la conservation des ressources naturelles o qu elles soient doit tre consid r e comme une responsabilit mondiale La promotion de
10. COURS D veloppement des outils aff rents l approche par comp tence pour l inspection professionnelle AUTOMNE 2015 44 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 P riodes de test des diff rents outils d velopp s et consultation HIVER 2016 Int gration des commentaires dans les outils et poursuite des tests EN CONTINU Implantation et lancement des nouveaux outils d coulant d une approche par comp tence PRINTEMPS 2016 Formation continue Guides de pratique clinique Lignes directrices sur la s dation analg sie CMQ OIIQ OPIQ Lignes directrices rempla ant celles du Coll ge des m decins du Qu bec Utilisation de la s dation analg sie 2009 et le guide de pratique clinique de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec La s dation analg sie 2009 Lignes directrices qui ont pour objectif d harmoniser la pratique clinique de la s dation analg sie Elles d crivent l ensemble des conditions exig es lorsque l on proc de une intervention diagnostique ou th rapeutique sous s dation analg sie que ce soit pour un adulte ou un enfant Elles sont con ues dans le but d offrir des recommandations visant un degr optimal de s curit notamment en ce qui concerne l valuation la surveillance clinique y compris le monitorage et la m dication peu importe l endroit o la s dation analg sie est effectu e Elles d crivent galement les comp tences pro
11. code ainsi qu une clause ayant pour effet d autoriser la communication de cette entente sur demande l Ordre loue ou utilise des locaux des Aucune location ou quipements ou autres utilisation de locaux ressources de toute personne y ou d quipements compris d un vendeur oud un quipourrait fabriquant d quipement de compromettre m dicaments ou d autres l ind pendance produits li s l exercice de professionnelle linhaloth rapie moins qu il ait une entente crite comportant une d claration attestant que les obligations qui en d coulent respectent les dispositions du pr sent code ainsi qu une clause ayant pour effet d autoriser la communication de cette entente l Ordre sur demande Article 19 2 Libell Commentaire Malgr l article 19 1 Acceptation d un l inhaloth rapeute nest pas rabais d un dans une situation de conflit fournisseur est d int r ts s il accepte un rabais limit e certaines d un fournisseur pour l un des situations pr cises motifs suivants 1 pour prompt paiement usuel lorsque le rabais est inscrit la facture et quil est conforme aux r gles du march en semblable mati re 2 en raison du volume de ses achats de produits autres que des m dicaments lorsque le rabais est inscrit la facture ou l tat de compte et qu il est conforme aux r gles du march en semblable mati re Linhaloth rapeute dans Impossible de l exercice de sa pro
12. expose les professionnels diff rentes situations de conflits d int r ts r els apparents ou potentiels Les activit s profes sionnelles en soutien domicile sont un autre exemple o de plus en plus les inhaloth rapeutes se heurtent des r flexions thiques et morales Nos client les souvent captives vuln rables et en perte d autonomie d pendent de nos conseils soins et services Or en aucun temps ne doit on utiliser ce lien de d pendance pour influencer cette relation notre avantage e devoir d viter toute situation de conflit d int r ts provient du statut de professionnel et du titre d inhaloth rapeute Lint grit valeur morale qui doit guider toutes nos activit s professionnelles est la pierre d assise des principes qui r gissent les situations de conflits d int r ts La section II du Code de d ontologie des inhaloth rapeutes du Qu bec d finit largement tous les attendus qui couvrent les conflits d int r ts en traitant de l int grit de l ind pendance et du d sint ressement de la disponibilit de la diligence ainsi que de la responsabilit professionnelle Dans ce texte en deux parties nous avons voulu prendre une approche la fois pr ventive et ducative tant conscients que nous ne pouvons r pondre l ensemble des situations auxquelles sont expos s nos professionnels Nous souhaitons n anmoins susciter une r flexion thique et d ontologique sur ce sujet et guide
13. la sant passe par la participation effective et concr te de la communaut la fixation des priorit s la prise des d cisions l laboration et la mise en uvre des strat gies de planification en vue d atteindre une meilleure sant La promotion de la sant appuie le d veloppement individuel et social gr ce a l information l ducation pour la sant et au perfectionnement des aptitudes indispensables la vie Ce faisant elle donne aux gens davantage de possibilit s de contr le de leur propre sant et de leur environnement et les rend mieux aptes faire des choix judicieux Dans le cadre des services de sant la t che de promotion est partag e entre les particuliers les groupes communautaires les professionnels de la sant les tablissements de services et les gouvernements Tous doivent uvrer ensemble la cr ation d un syst me de soins servant au mieux les int r ts de la sant Par del son mandat qui consiste offrir des services cliniques et curatifs le secteur de la sant doit s orienter de plus en plus dans le sens de la promotion de la sant linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Exemple e Loi antitabac e Maladies d claration obligatoire e Salubrit des milieux hospitaliers e Syst me int gr de r cup ration des seringues et aiguilles usag es e B n volat ou mentorat e Action communautaire e Regroupements communautaires pour les populations vu
14. les 6 et 7 novembre au Fairmont Le Ch teau Frontenac Une nouveaut pour cette ann e anniversaire o nous soulignons les 30 ans de notre adh sion au syst me professionnel nous lan ons un site Internet enti rement d di au congr s www congresopigq org Convivial ergonomique complet et mis jour r guli rement il permettra une communication accrue avec les congressistes et les partenaires Vous y trouverez toute l information concernant le programme l inscription l h bergement etc Les inscriptions commencent le 14 juillet Sur ce je vous souhaite un t la fois reposant et nergisant question d tre pr ts pour le tumulte in vitable de la rentr e 0 Line Pr vost inh r d a Coordonnatrice aux communications Es texte hyperli page hyperli e COMMUNICATIONS Responsable Line Pr vost inh r d a Collaborateurs Bernard Cadieux inh M Sc M A P M Magali Cournoyer Proulx Sandra Di Palma inh M Andr e Lacoursi re Elaine Par inh Ph D Marise T treault inh M A ORDRE PROFESSIONNEL DES INHALOTHERAPEUTES DU QUEBEC 2015 Tous droits de reproduction r serv s Les textes publi s n engagent que leurs auteurs Bibliotheque et Archives Canada ISSN 2368 3112 Conception graphique r alisation r vision correction et traduction Fusion Communications amp Design inc Photos des membres de l OPIQ Manon Prud Homme Photo Gari py Publicit CPS M di
15. profession Dans cette premi re partie nous ferons d abord tat des concepts th oriques qui encadrent la notion de conflit d int r ts et nous aborderons ensuite le cadre normatif qui la r git Dans une seconde partie para tre dans le prochain num ro de linhalo nous discuterons de certaines situations pouvant donner lieu des probl matiques de conflit d int r ts et offrirons quelques conseils afin de les viter Dans le cadre de l application du R glement de la formation continue obligatoire des membres de l OPIQ l inhaloth rapeute doit s assurer de l exactitude des renseignements qu il fournit l Ordre art 40 1 Responsabilit du membre 34 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 du Code de d ontologie des inhaloth rapeutes 1 Quelques d finitions Le conflit d int r ts est une situation o le professionnel peut tre amen m me sans intention pr f rer ses propres int r ts professionnels ou personnels ou ceux d un tiers au d triment de ceux de son client L int r t personnel peut ainsi influer sur l objectivit de la pratique et alt rer d favorablement son jugement et sa loyaut envers le client En cons quence le conflit d int r ts suscite des doutes ou des soup ons sur l int grit et l impartialit des personnes en position d autorit Les int r ts en question peuvent tre financiers personnels moraux et maner d une relation affective d aff
16. professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec qui pr voit notamment que l inhaloth rapeute qui n a pas produit les pi ces justificatives demand es dispose compter de la r ception d un dernier avis du secr taire de l Ordre d un d lai de 60 jours pour rem dier son d faut apr s quoi le Conseil d administration suspend son droit d exercice de la profession La suspension demeure en vigueur jusqu ce que l inhaloth rapeute ait fourni au secr taire de l Ordre la preuve qu il a rem di au d faut dont il a t inform dans les avis qui lui ont t transmis Jos e Prud Homme Adm A M A P Secr taire de l Ordre Cette personne s est r inscrite depuis la suspension et est maintenant membre en r gle de l OPIQ 40 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Assembl e g n rale annuelle des membres de POPIQ 6 novembre 2015 a8h Avis de convocation Juin 2015 Cher e s membres Vous tes convoqu e s ala prochaine assembl e g n rale annuelle des membres de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec qui aura lieu le vendredi 6 novembre 2015 8 h dans la Salle de bal du Fairmont Le Chateau Frontenac a Qu bec Veuillez prendre note que conform ment l article 7 de la Politique sur les assembl es g n rales de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec adopt e par le Conseil d administration de OPIQ vous pouvez amener une proposition
17. un conflit d int r ts Site web de l Ordre des ing nieurs du Qu bec En ligne http www oia ac ca Documents DCAP chroniques PLAN ethique deontologie Reconna treX20 conflit 20int r ts pdf ORDRE DES INFIRMI RES ET INFIRMIERS DU QUEBEC 2006 Pour des relations professionnelles int gres Orientations l intention des infirmi res concernant l ind pendance professionnelle et les conflits d int r ts En ligne httos www oiig org oublications repertoire oour des relations orofessionnelles integres TRUCHON S Chroniques d ontologie Ordre des infirmi res et infirmiers du Qu bec En ligne www oiig org pratique infirmiere deontologie chroniques particuli rement wwwoiia org bratique infirmiere deontologie chroniques une question de confiance s d 2010 www oiig org oublications le journal archives janvier fevrier 2013 vollO no 1 chronique deonto la sauvegarde de l 2013 www oiig org poratique infirmiere deontologie chroniques independance professionnelle et les conflits d interets 2006 SECTION FRANCAISE DE TRANSPARENCY INTERNATIONAL s d Site Web Www transparency France org l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 39 Avis de radiation temporaire des activit s professionnelles 40 15 035 Prenez avis que le 4 mai 2015 le conseil de discipline de l Ordre Le ou vers le 11 octobre 2014 l intim e alors quelle exe
18. ve 36 p En ligne htto Awhaliodoc who int hq 1998 WHO_ HPR_ HEP 981 fre pdf consult le 26 mai 2015 2 ASSOCIATION DES FACULT S DE M DECINE DU CANADA AFMC R SEAU D ENSEIGNANTS EN SANT PUBLIQUE s d Cybermanuel Notions de sant des populations En ligne http ohprimer afmc ca inner ContenuduGuide consult le 26 mai 2015 Permis Creative Commons BY NC SA 3 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT 22 juillet 1946 Pr ambule la Constitution adopt par la Conf rence internationale sur la Sant New York 19 22 juin 1946 Actes officiels de l OMS n 2 p 100 Cit dans OMS G ossaire de la promotion de la sant op cit Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec AT congr s 6 et 7 novembre 2015 Fairmont Le Chateau Frontenac Qu bec ANS DE RECONNAISSANCE ANS D INSPIRATION DOSSIER competence La salutogen se 7 un terme pas aussi inusit c Nous pouvons d finir la salutogen se comme un mouvement allant vers le p le sant d un continuum sant maladie Aaron Antonowsky e paradigme qui a cours en m decine depuis la nuit des temps est celui de la pathogen se terme compos de deux mots grecs pathein souffrir et g n sis origine La patho gen se s int resse donc l origine de la maladie et c est aussi dans ce contexte que les concepts de prophylaxie et de pr vention ont t d velopp s au fil du temps Le terme d
19. 1 D faillances aigu s prise en charge clinique SCL3101 Ventilation et intubation difficiles 1 cr SCL3102 Technologies avanc es en ventilation m canique 1 cr SCL3103 Technologies avanc es en ventilation m canique lI 1 cr SCS2217 Pharmacoth rapiel COM2708 Communication intervention et thique 2 cours optionnels ces cours peuvent faire l objet d une reconnaissance des acquis partir des cours de votre DEC Tj Universit du Qu bec en Abitibi T miscamingue Renseignez vous 1 877 870 8728 poste 2610 sc sante uqat ca uqat ca inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 L ORDRE Y TAIT Conseil interprofessionnel du Qu bec CIQ assembl e des membres assembl e g n rale forum des directions g n rales r union des pr sidents des ordres professionnels Comit directeur du Forum des syndics Formation sur le r le conseil dans le d veloppement d activit s de formation captivantes et performantes l valuation des formations Alliance nationale des organismes de r glementation en th rapie respiratoire rencontre r guli re comit des secr taires g n raux CQTS r union du C A Colloque de pneumologie Centre de formation continue de la Facult de m decine Universit de Sherbrooke Congr s annuel de la Soci t des th rapeutes respiratoires Lancement de l nonc de position conjoint OIIQ CMQ OPQ sur la collaboration interprofes
20. 5 a 8 h PERMANENCE de la sant Coordonnatrice l inspection professionnelle Sandra Di Palma inh l inhalo MEMBRES DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE L ORDRE PROFESSIONNEL DES INHALOTHERAPEUTES DU QUEBEC Pr sident Jocelyn Vachon inh DESS en enseignement coll gial Line Pr vost inh r d a Marise T treault inh M A Francine Beaudoin Administrateurs Isabelle Alain inh Jos e Boudreault inh Genevi ve Chevrier inh Roselyne H tu inh Francine LeHouillier inh Nathalie Lehoux inh Karine Pellerin inh Annie Quenneville inh B Sc Julie Roy inh France St Jean inh Isabelle Truchon inh Mich le Vincent F lix inh Charg e de projet Secr taire de direction Cl mence Carpentier Administrateurs nomm s par l Office des professions Marie Andr e Cova Laurier Boucher Louise Lafreni re Guy Simard Jean Pierre Tremblay Lise Lafrance Syndic Jocelyn Vachon inh DESS en enseignement coll gial Directrice g n rale et Secr taire Jos e Prud Homme Adm A M A P Adjointe la direction g n rale Me Andr e Lacoursi re DESS droit et politiques Coordonnatrice aux communications Coordonnatrice aux technologies de l information laine Par inh Ph D en p dagogie Secr taire l inspection professionnelle 30 ans de reconnaissance 50 ans d inspiration C est le th me de la 41 dition du congr s annuel qui aura lieu cet automne
21. 81 Boucher Monelle 78076 Carre Fabienne 81042 Chagnon Lemay Maryse 79063 Champagne Guy 75023 Ch nard C line 78082 Chevalier Catherine 95079 Cloutier Martine 76098 Collin Sylvie 81074 Cyr Fran ois 79090 Denoncourt Anne 78061 Depatie Lucie 76070 retraite suite Drolet Guy 87030 Duranleau H l ne 76086 Faucher Carole 79010 Filion G Carole 77015 Fillion Lucie 78044 Fontaine Lucie 75064 Fortier Elizabeth 75094 Fortin Claude 77041 Gaudreau Helene 78078 Gaudreau Manon 74089 G linas Annie 97006 Gervais Line 80081 Godbout Normande 77081 Gosselin Marlene 79050 Gosselin Raymond 70003 Guillemette Johanne 79051 Hebert Bouchard Suzanne 77101 Houle Pauline 87025 Labb France 83077 Lamer Daniel 77005 Larose Solange 75060 L vesque C line 78047 Meloche Richard 75041 Miclette C line 76100 Mielle Mich le 76033 Perron Diane 78050 Pinette Gilberte 82044 Poirier Lucie 78069 Proulx Michel 99022 Ricard Ga tane 76064 Rochon Monique 80014 Roy Claudette 75092 Roy Lise 76042 Roy Micheline 73034 Roy Sylvie 80062 Savard Odette 77095 Vincent Denise 76022
22. Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec m m T O FINANCES t te Testez Monld e par le service de r daction Banque Nationale artir en affaires ou en voyage acheter une maison ou une moto planifier un retour aux tudes ou sa retraite Pour la planification de vos petites et grandes id es il y a MonId e Cet outil convivial et efficace est con u pour vous accompagner dans la portion financi re des projets qui vous tiennent c ur Selon les co ts pr vus et le temps dont vous disposez pour pargner vous obtiendrez un plan d action adapt a votre r alit MonId e c est le point de d part de vos projets Planifier en trois tapes Commencez par inscrire les renseignements relatifs votre projet et votre situation financi re bnc ca monidee Obtenez un plan con u sur mesure pr sent sous forme de tableau et comprenant les recommandations qui pourraient vous aider atteindre vos objectifs financiers Mettez votre plan ex cution avec ou sans conseiller L histoire de Julie jeune professionnelle de 30 ans qui r ve de voyages Jeune professionnelle Julie f tera ses 30 ans l an prochain Pour souligner ce moment important de sa vie elle souhaite visiter l Europe un voyage qui selon son estimation lui co tera 10 000 Pour r aliser son r ve elle a d j accumul 4 000 En inscrivant les renseignements relatifs son projet dans l outil Monld e Juli
23. Petit guide pour promouvoir la sant Bengt Lindstr m et Monica Ericksson trad par M Roy et M O Neill Presses de l Universit Laval octobre 2012 140 p ISBN version imprim e 978 2 7637 9683 3 prix 24 95 ISBN version num rique 9782763796840 Dans ce petit ouvrage crit en 2010 deux chercheurs pr sentent de mani re claire et concise ce qu est la Alege es ee pe Miinid pee Big Aaa We DAL Pis 00 o salutogen se en tant qu id e g n rale en plus de faire le point sur les d veloppements consid rables que la th orie salutog nique d Antonovsky a connus l chelle de la plan te depuis une quinzaine d ann es et de w discuter des acquis et des d fis qui la confrontent Ce livre permet pour la premi re fois en langue fran aise de comprendre les possibilit s et les limites de la salutogen se non seulement en tant que th orie mais aussi en tant quorientation g n rale pour aborder les enjeux de sant du XXI si cle ce titre ilint ressa au premier chef les chercheurs et praticiens des diverses disciplines du domaine de la sant et des services sociaux mais aussi un grand public averti curieux de constater les vidences scientifiques dont on dispose quant l effet d une approche salutog nique pour promouvoir la sant des individus des groupes et des populations Promotion de la sant au Canada et au Qu bec perspectives critiques ous la direction de Michel O Neill Sophie Dup
24. a Jean Philippe Thibault conseiller publicitaire 43 avenue Filion Saint Sauveur Qu bec JOR 1RO T l 450 227 8414 T l c 450 227 8995 Courriel jpthibault cpsmedia ca Coordonnatrice au d veloppement professionnel Publication trimestrielle de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec 1440 rue Sainte Catherine Ouest bureau 721 Montr al Qu bec H3G 1R8 T l 514 931 2900 1 800 561 0029 T l c 514 931 3621 Courriel info opiq qc ca Envoi de publication contrat n 400 647 98 Le genre masculin employ dans ces textes d signe aussi bien les femmes que les hommes Secr taire l accueil et services aux membres l inhalo n est associ aucune publicit apparaissant dans ses pages Bernard Cadieux inh M Sc M A P 4 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Produits d anesth sie g n rale de marque Cardinal Health Le soutien dont vous et vos patients avez besoin Qualit Fiabilit S ret Constance Renseignez vous sur notre gamme de produits d anesth sie g n rale jetables qui sont le fruit des activit s de recherche et d veloppement de Cardinal Health e Masques d anesth sie e Circuits respiratoires personnalisables e Circuits respiratoires standards e Accessoires pour circuits CardinalHealth Essentiel aux soins de sant Pour de plus amples renseignements communiquez avec Elisa Bisante Sp cialiste des v
25. a on qui favorise et maintient une bonne sant AFMC Comp tence Terme qu on utilise souvent de mani re interchangeable avec le terme capacit proprement parler il s agit d un terme l gal d signant le droit de prendre une d cision Selon la pr somption l gale tous les adultes sont comp tents et seul un juge peut d clarer qu une personne est incomp tente 24 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Afin d assister l inhaloth rapeute dans la compr hension d id es et de notions fondamentales en mati re de promotion de la sant ou de pr vention de la maladie voici un minidico tir de deux sources aussi fiables que variables selon le contexte d application clinique z publi par l Organisation mondiale de la sant OMS en 1999 publi par l Association des facult s de m decine du Canada AFMC s d comportement OMS Comportement en mati re de sant Toute activit entreprise par une personne quel que soit son tat de sant objectif ou subjectif en vue de promouvoir de prot ger ou de maintenir la sant que ce comportement soit ou non objectivement efficace dans la perspective de ce but R f rence Health Promotion Glossary 1986 Comportement a risque Comportement dont on a constat qu il est li une vuln rabilit accrue l gard d une maladie d termin e ou de certains probl mes de sant AFMC Comportement li a la maladie Actions d une per
26. ablit profession avec la personne qui il fournit des services d abuser de cette relation pour avoir des relations sexuelles de poser des gestes abusifs caract re sexuel ou de tenir des propos abusifs caract re sexuel Constituent galement des Des actes de actes d rogatoires la dignit collusion de de la profession le fait pour un malversation professionnel 1 decommettre dabus de confiance un acte impliquant de la ou de trafic collusion de la corruption de la d influence malversation de l abus de constituent des confiance ou du trafic actes d rogatoires d influence 2 de tenter de la dignit commettre un tel acte ou de de la profession conseiller une autre personne de le commettre 3 de comploter en vue de la commission d un tel acte Nul professionnel ne peut poser Interdiction de un acte d rogatoire l honneur poser des actes ou la dignit de sa profession d rogatoires ou la discipline des membres de l honneur ou la lordre niexercerune profession dignit dela un m tier une industrie un profession commerce une charge ou une fonction qui est incompatible avec l honneur la dignit ou l exercice de sa profession inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 2 3 Loi sur les services de sant et les services sociaux et le Code civil du Qu bec Article 275 LSSSS Libell La donation faite au propri taire l administrateur ou l empl
27. ai 2015 Isabelle Truchon inh Roselyne H tu inh Sylvianne Landry inh e 27 mai dernier nous proc dions au si ge de l Ordre au d pouillement du scrutin des lections 2015 Au terme de la p riode de mise en candidature des scrutins ont eu lieu dans deux 2 des cinq 5 r gions lectorales en lection soit les r gions de Montr al et de l Estrie Il n y a pas eu d lections dans les r gions suivantes o un seul si ge tait en jeu car il n y avait qu une candidate dans chaque r gion Outaouais Abitibi T miscamingue Qu bec Chaudi re Appalaches Bas Saint Laurent Gasp sie les de la Madeleine et Saguenay Lac Saint Jean C te Nord Nord du Qu bec Dans les r gions o il y a eu lection 293 inhaloth rapeutes sur un potentiel de 1584 ayant droit de vote ont pris part l lection soit un taux de participation de 19 la suite de ce scrutin le Conseil d administration comptera un nouveau membre puisque madame Sylvianne Landry a t lue pour un premier mandat de quatre 4 ans pour la r gion de Montr al Dans cette r gion madame Roselyne H tu et monsieur Jocelyn Vachon ont t r lus pour un second mandat respectif Dans la r gion de l Estrie madame Nathalie Lehoux a t lue pour un premier mandat de quatre 4 ans apr s avoir t coopt e par le Conseil en 2014 Dans les r gions qui n taient pas en lection madame Isabelle Truchon a t lue par a
28. aire de la notion de conflit d int r ts 2 1 Code de d ontologie des inhaloth rapeutes du Qu bec Consid r comme tant au c ur de nos obligations professionnelles le Code de d ontologie pr sente dans plusieurs de ses articles des nonc s qui ont un lien avec la notion de conflits d int r ts Le tableau ci dessous pr sente ces articles avec de courts commentaires pour alimenter la r flexion Article Libell Commentaire D L inhaloth rapeute doit Devoir favoriser les mesures d information et d ducation et d information en inhaloth rapie Il doit aussi poser les actes n cessaires pour que soit assur e cette fonction d ducation et d information d ducation sacquitter de ses obligations professionnelles avec int grit En plus des avis et des conseils Linhaloth rapeute doit Devoir respecter le choix du client de d ind pendance et consulter un autre membre de de d sint ressement l Ordre ou un membre d un vis vis de la autre ordre professionnel personne qui rend le service Linhaloth rapeute doit Devoir d int grit Primaut de l int r t l inhaloth rapeute doit fournir du client dans les son client les explications conseils formul s n cessaires la compr hension qui doivent tre et l appr ciation des services suffisants pour qu il lui rend obtenir un consentement clair Linhaloth rapeute doit subordonner son int r t personnel celui de la
29. aires ou familiale Les int r ts d un proche ou d un partenaire les profits ou les pertes financi res peuvent influer sur la conduite d un professionnel Le conflit d int r ts na t lorsque le jugement professionnel est influenc par des consid ra tions qui ne rel vent ni de l int r t du client ni de l int r t du public 1 1 Trois types de conflits d int r ts a Le conflit r el est une situation o le conflit est survenu ou est en cours et que l ind pendance du professionnel est ou a t affect e Par exemple un inhaloth rapeute fait la promotion d un quipement pour obtenir en retour un cadeau consid rable un voyage d agr ment une ristourne sur la vente d quipement ou tout autre b n fice financier Dans ces cas la fonction est influenc e par les int r ts priv s b Le confit apparent est une situation qui peut tre raisonnable ment interpr t e comme porteuse d un conflit r el sans que l ind pendance du professionnel en ait n cessairement t affect e Un conflit apparent peut exister qu on se trouve ounon en pr sence d un conflit r el Par exemple un inhaloth rapeute en valuation MPOC n aborde qu un seul m dicament aupr s de la client le Il faut dans ce cas pr senter l ensemble des m dica ments offerts et laisser le soin aux m decins de prescrire le m dicament adapt Ici aussi la fonction semble tre influenc e par les int r ts priv s Les faits en cause ne s
30. ance s occupe de la d fense des droits de ses membres offre des services conseils et par le biais d un assureur des services d assurance participe aux grands d bats publics tablit des liens avec des organismes ax s sur le mieux tre des retrait s e publie l Echo du RIIRS journal d information Le RIIRS est pr sent dans chaque r gion du Qu bec Pour vous pr valoir du privil ge de transtert de votre assurance vie il est essentiel que vous deveniez membre du RIIRS dans les 60 jours suivant la date de votre prise de retraite Informez vous d s aujourd hui en nous contactant Regroupement interprofessionnel des intervenants retrait s des services de sant T l 418 626 0861 S F 1 800 639 9519 info riirs org e www riirs org 28 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 sujet Sant publique OMS La science et l art de favoriser la sant de pr venir la maladie et de prolonger la vie grace aux efforts organis s de la soci t R f rence adapt de Acheson Report Londres 1988 AFMC La science et l art de pr venir les maladies et de promouvoir la sant au moyen d une action soci tale organis e La d finition de la sant publique est controvers e Les expressions comme la sant communautaire ou la sant des populations sont souvent utilis es comme synonymes ry A R f rences 1 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT 1999 G ossaire de la promotion de la sant Gen
31. ant par l ducation et au moyen d interventions organisationnelles conomiques et politiques afin de favoriser des changements comportementaux propices la sant Promotion de la sant La promotion de la sant vise tout le moins la pr vention des maladies Elle vise aussi renforcer les comp tences et la r silience des personnes et des groupements de populations Elle se distingue de la protection de la sant qui veille liminer les influences n gatives Medical Ltd De la configuration initiale l usage quotidien Astral offre plus de libert des soins s rs et une efficacit visant enrichir la vie des patients m Capacit s sup rieures de ventilation compl te et non a invasive Les capacit s de ventilation compl te et non invasive de l Astral en font l instrument id al pour assurer un soutien respiratoire domicile comme l h pital Mobilit L ger 3 2 kg et portable Les piles internes assurent 8 heures de fonctionnement tandis que les piles externes en g n rent 24 Le bo tier rigide sert aussi de sac de transport et de fixation pour fauteuil roulant Surveillance facile Les formes d ondes et l information sur le patient sont affich es en temps r el sur l cran couleur tactile pour assurer une installation correcte et suivre l volution de la condition du patient Le FiO2 et le SpO2 sont int gr s pour compl ter le tableau Faible co t de propri t Gar
32. antie de 2 ans et PM tous les 2 ans Ventilateur construit pour durer 35 000 h deux fois plus que la comp tition avant son remplacement Une formation initiale et une garantie prolong e sont offertes i n eh je SIU OO www carestreammedical com info carestreammedical com _ T Distribu par l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 27 DOSSIER sujet sante OMS 1999 Un tat de complet bien tre physique mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d infirmit OMS 1946 Note la d finition n a pas t modifi e depuis 1946 AFMC Un tat caract ris par l int grit anatomique physiologique et psychologique la capacit de jouer des r les valoris s par l individu sur les plans familial professionnel et communautaire la capacit de composer avec une situation de stress physique biologique psychologique et social R f rence STOKES J J Community Health 1982 8 33 41 Traduction Last J M Dictionnaire d pid miologie 2004 p 204 FUTURS RETRAITES Le RIIRS est pour tous les infirmiers et infirmi res infirmiers et infirmi res auxiliaires inhaloth rapeutes techniciens en circulation extracorporelle perfusionnistes et pu ricultrices RETRAITES sans gard aux champs d activit s et aux fonctions occup es au cours de leur carri re Le RIIRS e donne une voix collective et entretient un sentiment d apparten
33. ation de conflits d int r ts Texte d une conf rence tenue dans le cadre du congr s de l OPIQ les 19 et 20 octobre 2012 Lac Leamy Gatineau BYRNE C C Ao t 2009 Quand le rapport entre l avocat et son client devient trop hot Le Journal Barreau du Qu bec p 32 32 COLLEGE OF PHYSIOTHERAPISTS OF ONTARIO 2007 Norme d exercice professionnel propos e Conflit d int r ts 5 p GARZON C 2012 Conflits d int r ts dans L COTE et J F SAVARD dir Le Dictionnaire encyclop dique de l administration publique En ligne www dictionnaire enap ca POIRIER S 1998 Les conflits d int r ts des cadres du personnel des professionnels et l exclusivit de fonctions des cadres sup rieurs des tablissements publics de sant et des services sociaux guide 28 p publi en collaboration avec l Association des CLSC et des CHSLD du Qu bec l Association des h pitaux du Qu bec la F d ration de la r adaptation en d ficience physique du Qu bec la F d ration qu b coise des centres de r adaptation pour les personnes pr sentant une d ficience intellectuelle QU BEC Code de d ontologie des inhaloth rapeutes du Qu bec RLRQ chapitre C 26 QUEBEC Code des professions RLRQ chapitre C 26 QUEBEC Code civil du Qu bec RLRQ c C 1991 Q UEBEC Loi sur les services de sant et les services sociaux RLRQ chapitre S 4 2 HOVINGTON M Mars 2011 Sauriez vous reconna tre
34. aux agents infectieux A titre d exemple o mettre en place un programme de vaccination o duquer et renseigner le parent asthmatique et fumeur afin qu il puisse prendre des d cisions clair es concernant le tabagisme et l abandon du tabac p ex utiliser l outil d aide la pratique ou diriger le parent fumeur d un enfant asthmatique vers une ressource appropri e p ex La pr vention secondaire comprend les m thodes de d tection et de traitement des changements pathologiques pr cliniques afin d enrayer l volution des maladies titre d exemple o mettre en place un programme de d pistage de sant publique p ex un programme de mammographie o mettre en place un programme de d pistage individuel p ex la prise r guli re de la tension art rielle au cabinet du m decin La pr vention tertiaire veille r duire l impact de la maladie sur les fonctions la long vit et la qualit de vie du patient en cherchant modifier les comportements du patient pour r duire la probabilit de r currence titre d exemple 20 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 o suivre un programme de r adaptation cardiaque chez un patient ayant subi un infarctus du myocarde o apporter des changements l environnement afin de r duire l exposition aux allerg nes chez un patient asthmatique o encourager les patients vivant avec une maladie pulmonaire obstructive chronique MPOC dans l ado
35. bref es maladies chroniques sont le fait de l adoption de certaines habitudes de vie et de processus biologiques li s la g n tique ou au vieillissement Caract ris es par une volution lente les maladies chroniques cardiopathies accidents vasculaires c r braux cancer affections respiratoires chroniques diab te etc sont des affections de longue dur e et pour un certain nombre de patients la ma trise de la maladie n cessite un recours au syst me de soins de sant long terme De m me les effets d une maladie chronique nuisent consid rablement la qualit de vie de l individu qui en est affect et peuvent lui causer des incapacit s Enfin nul ne peut n gliger le fait que les maladies chroniques ne sont pas sans cons quence sur la vie des proches des personnes qui en sont atteintes Bien que ce type de maladie soit connu depuis de nombreuses ann es le nombre croissant d individus affect s ou qui cumulent un ou plusieurs facteurs de risque vitables p ex tabagisme s dentarit ou alimentation inad quate est un ph nom ne qui para t tre plus r cent Par ailleurs de nombreux facteurs tels que le vieillissement de la population l exposition aux facteurs de risque les avanc es th rapeutiques et l augmentation de l esp rance de vie contribuent la croissance du nombre de malades chroniques Et cela il faut ajouter que de nombreux patients sont atteints de plus d une maladie chroni
36. cclamation pour la r gion F licitations aux candidats lus Jocelyn Vachon inh Nathalie Lehoux inh Karine Pellerin inh de l Outaouais Abitibi T miscamingue pour un nouveau mandat de quatre 4 ans Deux autres inhaloth rapeutes ont galement t r lues Ainsi pour la r gion de Qu bec Chaudi re Appalaches Bas Saint Laurent Gasp sie les de la Madeleine madame Genevi ve Chevrier a t lue pour un premier mandat apr s avoir t coopt e en 2014 Dans la r gion du Saguenay Lac Saint Jean C te Nord Nord du Qu bec madame Karine Pellerin a t r lue pour un autre mandat Les administrateurs lus ou d clar s lus entreront en fonction lors de la premi re r union du Conseil d administration qui suivra la tenue de l assembl e g n rale annuelle qui se tiendra le 6 novembre 2015 Puisque le mandat de deux 2 ans du pr sident de l Ordre monsieur Jocelyn Vachon viendra ch ance cette date une lection au suffrage des administrateurs lus aura alors lieu pour choisir le prochain pr sident En terminant nous tenons remercier mesdames Dominique Brault M lanie Grondin et Nicole St George qui agissaient titre de scrutatrices et madame milie Blair qui agissait titre de scrutatrice substitut lors du d pouillement du vote Me Andr e Lacoursi re Adjointe la direction g n rale Administrateur un premier mandat Genevi ve Chevrier inh Old OPIA
37. die oathogen se Son d c s pr matur dans les ann es 1990 ralentit le d veloppe ment de cette th orie qui avait d j commenc susciter beaucoup d int r t Deux chercheurs scandinaves int ress s la promotion de la sant Bengt Lindstr m et Monica Ericksson ont pris le relais au d but des ann es 2000 et ils sont devenus depuis une ref rence internationale de la recherche scientifique concernant la salutogenese R f rences Cit dans LINDSTROM B et M ERICKSSON Octobre 2012a La salutogen se Petit guide pour promouvoir la sant Adaptation francaise par M Roy et M O Neill Qu bec Presses de l Universit Laval PUL p 7 Extrait en ligne L consult le 27 mai 2015 GLOCKLER M 2006 Sa utogen se O trouver les sources de la sant physique psychique et spirituelle Sommaire p 3 En ligne consult le 27 mai 2015 Ibid ROY M responsable du comit scientifique La pertinence des approches positives pour l am lioration des actions de sant publique R sum d atelier Journ es annuelles de sant publique JASP 27 novembre 2012 En ligne L consult le 27 mai 2015 GL CKLER op cit p 4 LINDSTR M B et M ERICKSSON Octobre 2012b La salutogen se Petit guide pour promouvoir la sant Adaptation fran aise par M Roy et M O Neill Qu bec Presses de l Universit Laval PUL Description en ligne consult le 27 m
38. e conna t rapidement les montants qu elle devrait conomiser p riodiquement pour r aliser son projet En plus de ces projections l outil produit un rapport d taill qu elle peut sauvegarder imprimer ou encore envoyer par courriel son conseiller Et puisqu elle a g n ralement plusieurs id es en t te Monld e lui offre la possibilit d enregistrer un sc nario de projet parall lement un sc nario de retraite 32 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Monld e pour la retraite En plus de vos projets actuels MonId e vous permet de planifier vos pargnes en pr vision de votre retraite En effet l outil vous fournira non seulement un aper u de l pargne n cessaire pour subvenir vos besoins mais galement une estimation des revenus que vous recevrez cette p riode en fonction de vos conomies actuelles Vous aurez donc tous les moyens n cessaires pour valuer votre strat gie d pargne actuelle et v rifier si elle vous permet de prendre votre retraite l ge d sir Un outil avantageux que vous soyez client ou non Que vous d teniez un compte la Banque Nationale ou non l outil vous est accessible d s maintenant vous permettant de profiter de plusieurs avantages Vous pourrez sauvegarder imprimer et mettre jour votre plan puis en faire le suivi partager vos r sultats avec votre conseiller acc der vos donn es tout moment obtenir des recommandations gratuitement
39. e de la promotion de la sant au moyen de cinq axes strat giques d intervention pour promouvoir la sant tableau 2 page 14 10 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Tableau 1 Conditions pr alables et perspectives favorables a Conditions pr alables la sant Plaidoyer pour la sant Mise en place de moyens M diation La sant exige un certain nombre pouvoir notamment e se loger e acc der l ducation e se nourrir convenablement e disposer d un certain revenu e b n ficier d un cosyst me st e compter sur un apport durable e avoir droit la justice sociale e La bonne sant est une ressource et individuel et une importante dit Divers facteurs politiques cor comportementaux et biologiques atteinte La promotion de la sant a pr cis sensibilisation les conditions favc L effort de promotion de la sant Le but est de r duire les ecarts ac les moyens et les occasions voull Cela suppose notamment que ce avoir acces l information posse judicieux en mati re de sant ets d opter pour une vie saine Sans prise sur les divers paramet parvenir un tat de sant optim Le secteur de la sant ne peut a lt la sant La promotion de la sant exige er gouvernements secteur de la sar organisations non gouvernement Quel que soit leur milieu les gens de membres d une famille ou d ur Les groupes professionnels et soc a eux particuli rem
40. e l ensemble des groupes concern s communaut s secteurs public et priv m dias etc et impliqu s dans l am lioration de la sant publique se sont parfois av r s difficilement conciliables Afin de souligner le 25 anniversaire de cette Charte le R seau francophone international pour la promotion de la sant REFIPS a pris l initiative de produire un ouvrage collectif sur les retomb es de la Charte d Ottawa dans divers pays francophones d Afrique d Am rique d Europe et du Moyen Orient Publi en 2012 l objectif de cet ouvrage tait de susciter une r flexion d ensemble sur l volution de l influence de la Charte d Ottawa sur la pratique de sant publique au cours des 25 derni res ann es et d en envisager une meilleure utilisation future Cette r flexion collective a permis de porter un regard critique sur les interventions li es la promotion de la sant et ce dans une perspective d am lioration des pratiques 0 Note cette publication coordonn e par la Section des Am riques du REFIPS recueille plusieurs textes de promoteurs de sant au profil socio d mographique distinct chercheurs tudiants enseignants intervenants de terrain gestionnaires d cideurs etc au sein de la Francophonie 25 ans d histoire les retomb es de la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant dans divers pays francophones 25 ans de la Charte d Ottawa l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015
41. e r glementation de la th rapie respiratoire ANORTR Les changes enrichissants avec nos homologues ont confirm encore ici et sur bien des aspects que nous ne formons pas une soci t si distincte En effet nous avons les m mes pr occupations l gard de la protection du public cela alimente nos r flexions et oriente nos d cisions De plus des repr sentants qu b cois ont t invit s travailler avec l ensemble des repr sentants canadiens un nouveau r f rentiel de comp tences en th rapie respiratoire lors d un atelier de validation de ce nouveau cadre de r f rence Une table de travail francophone a donc particip la r vision de certaines comp tences du r f rentiel mettant des commentaires et formulant des suggestions au demeurant fort appr ci s et consid r s par les responsables du projet cet effet un sondage pancanadien sera men aupr s des inhaloth rapeutes l automne pour ent riner le contenu de ce document Je vous invite y r pondre en grand nombre pour donner voix au Qu bec dans ce projet Il importe de faire valoir notre expertise dans certains secteurs d activit en assistance anesth sique notamment Je compte sur vous Nous avons aussi discut du niveau de formation n cessaire afin que les comp tences requises soient acquises et int gr es par un inhaloth rapeute l entr e dans la pratique Tous les organismes canadiens de r glementation s entendent sur le rehauss
42. e salutogen se pour sa part se compose du mot latin salus salutis sant et du mot grec g n sis origine La salutogen se pose donc la question de lorigine de la sant et de ce fait elle fonde aussi un paradigme nouveau Ce changement de perspective a encourag le d veloppement des approches positives en sant telles que la r silience la hardiesse l autonomisation et l autoefficacit Selon cette conception les questions de premier plan deviennent donc d o vient la sant et comment peut elle tre invit e et non plus d o vient la maladie et comment peut elle tre vit e titre d exemple en pr sence d une maladie infectieuse Conception pathog nique Quima transmis cela Comment s appelle le virus ou la bact rie Est ce qu un antibiotique peut tre prescrit si oui lequel Conception salutog nique Pourquoi est ce uniquement moi qui ai eu cette infection alors que mon entourage a gard sa sant Qu est ce qui fait que je nai pas t prot g alors que certains individus l ont t Pourquoi tous n ont ils pas t contamin s alors qu ils taient pareillement expos s 30 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Fondateur de la salutogen se Ily a environ 30 ans le sociologue de la sant Aaron Antonovsky a propos le terme sa utogen se pour d signer ce qui produit la sant en contraste avec ce qui cause la mala
43. ement de la formation initiale pour que les finissants assument pleinement leur r le dans la prise en charge des patients confi s leurs soins LANORTR effectue donc des d marches afin de rehausser au niveau universitaire l entr e dans la pratique Il s agit d un dossier sur lequel POPIQ s active depuis fort longtemps Je joindrai d ailleurs le comit de travail leur demande Travaillant ainsi de concert j ai bon espoir que nous r aliserons ce projet Tout au long du congr s j ai rencontr des inhaloth rapeutes qui se distinguaient dans leur milieu de travail respectif par l expertise et la passion d montr es Comme individu et comme collectivit nous sommes responsables de l avancement et du d veloppement de notre profession Pour paraphraser la directrice g n rale the sky has no limit Je termine en remerciant les inhaloth rapeutes qui ont pos leur candidature aux postes d administrateurs et tous les membres qui ont vot lors des lections pour les r gions de Montr al et Sherbrooke Merci d avoir pris quelques minutes de votre temps pour lire votre repr sentant au sein du Conseil d administration de POPIQ Je remercie aussi les lecteurs de la r gion de Montr al de m accorder un deuxi me mandat me permettant de poursuivre mon implication au sein del Ordre J en profite pour f liciter au passage les autres membres lus ou r lus Sur ce je vous souhaite un bel t Jocelyn Vachon in
44. ent responsal manifestent l gard de la sant Les programmes et les strat gies possibilit s et aux besoins locaux syst mes sociaux culturels et ec la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant fut cr e afin d agir en vue de la sant pour tous en l an 2000 et au del sant extrait de la Charte d Ottawa 1986 de conditions et de ressources pr alables l individu devant able gt de ressources t un traitement quitable majeure pour le d veloppement social conomique mension de la qualit de la vie lomiques sociaux culturels environnementaux peuvent tous la favoriser ou au contraire lui porter ment pour but de cr er gr ce un effort de rables indispensables l panouissement de la sant ise l quit en mati re de sant tuels dans l tat de sant et de donner tous les individus IS pour r aliser pleinement leur potentiel de sant ux ci puissent s appuyer sur un environnement favorable der les aptitudes n cessaires pour faire des choix avoir tirer profit des occasions qui leur sont offertes res qui d terminent la sant les gens ne peuvent esp rer ale autant pour les femmes que pour les hommes 1i seul assurer le cadre pr alable et futur le plus propice fait l action coordonn e de tous les int ress s t et autres secteurs sociaux et conomiques ales et b n voles autorit s locales industries et m dias sont ame
45. entes Produits respiratoires consommables Elisa bisante cardinalhealth ca cardinalhealth ca T l 514 241 3146 CH Anesthesia Fr_INHALO_CHC_15 144 PRESIDENT Echos de Calgary a Soci t canadienne des th rapeutes respiratoires tenait les 21 22 et 23 mai dernier a Calgary la 51 dition de son congr s annuel Ce fut un v nement fort agr able Je tiens souligner la performance de l ensemble des conf renciers du volet scientifique francophone Par la ma trise et la diversit des sujets trait s ils n ont pas qu int ress l auditoire attentif ils ont aussi d montr que l expertise qu b coise se d marque et quelle est reconnue Certes la pratique professionnelle des inhaloth rapeutes qu b cois diff re un peu de celle de nos homologues canadiens mais partout le souci de la qualit des soins guide chaque geste pos Ainsi bien que l on qualifie le Qu bec de soci t distincte nous inhaloth rapeutes et th rapeutes respiratoires travaillons ensemble des objectifs communs Dans le m me ordre d id es Michael MacArthur et Marco Zaccagnini inhaloth rapeutes du Qu bec ont remport le Sputum Cup des Olympiades de l intubation pour la 2 ann e cons cutive une premi re Nous pouvons tre fiers de nos repr sentants Bravo tous En marge des diff rentes activit s de formation continue destin es aux inhaloth rapeutes se tenaient des r unions de l Alliance nationale des organismes d
46. ention o des mesures sont prises pour viter l apparition de certaines maladies par exemple un programme de vaccination 13 R f re la nature des conflits d int r ts ou tout ce qui a une valeur p cuniaire compromet les d cisions professionnelles 15 Se dit d une maladie de r f rence qui constitue l int r t primaire de l intervention 16 Pratiques cliniques pr ventives 17 R f re la nature des conflits d int r ts ou le statut du professionnel est utilis pour tenter d influencer un client ou un tiers pour obtenir directement ou indirectement un benefice Veuillez imprimer cette page pour remplir la grille de l entrecrois Selon l application utilis e pour la lecture l entrecrois peut tre rempli l cran 5 6 12 19 19 21 pour soi m me o pour un autre conjoint parent ami proche 18 tude du ou des processus par lequel une cause pathog ne agit sur l organisme 19 Capacit surmonter les chocs traumatiques 20 Qualit d une personne qui ose sans se laisser intimider 21 Type de conflit ou il y a pr sence d int r ts qui pour l heure ne sont pas encore conflictuels mais qui sont susceptibles de le devenir 22 Principale cause de d c s vitable l chelle internationale Verticalement 1 Se disent des maladies caract ris es par une volution lente et de longue dur e pour lesquelles certains ont recours au syst me de soins de sant lo
47. ention riment avec sant 16 Passe moi le dico S V P 24 La salutogen se un terme pas aussi inusit qu il para t 30 de la sant et des services sociaux mais celles de nos patients auront toujours la primaut C l brer cette occasion permet de se r unir de se f liciter et de se dire collectivement MERCI Merci pour les efforts consacr s l am lioration des soins des personnes atteintes de maladies cardiorespiratoires Merci d tre des professionnels collaboratifs Merci de braver vents et mar es pour offrir des soins s curitaires et de qualit Je sais que l automne sera chaud pour plusieurs mais je vous invite en grand nombre au congr s annuel pour souligner avec nous ces 30 ann es de reconnaissance professionnelle D ici l je vous souhaite un bel t h eiee 2 WD nme Jos e Prud Homme Directrice g n rale et Secr taire Elections 2015 Finances Chronique d ontologie Entrecrois Des livres et vous Inspection professionnelle Babillard sommaire ER AVANT PROPOS L information la promotion de la sant et la pr vention de la maladie des accidents et des probl mes sociaux aupr s des individus des familles et des collectivit s sont comprises dans le champ d exercice du membre d un ordre dans la mesure o elles sont reli es ses activit s professionnelles Ainsi exprim l on con oit bien que linhaloth rapeute constitue un acteur cl en mati re de promoti
48. entr es sur les besoins des pays industrialis s en mati re de promotion de la sant les probl mes de toutes les autres r gions ont aussi t abord s lors de cette conf rence En conclusion de cette rencontre la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant fut cr e afin d agir en vue de la sant pour tous en l an 2000 et au del Concr tement l adoption de la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant est le fruit du travail de nombreux intervenants qui ont pos les jalons d un nouveau mouvement de sant publique dans le monde La Charte marque en outre une tape charni re dans l histoire de la sant publique moderne soulignant l importance d agir sur les d terminants de la sant particuli rement les conditions sociales et conomiques influant sur la vie des populations De fa on plus sp cifique la Charte a d fini la promotion de la sant comme une d marche qui donne aux individus la fois davantage de ma trise de leur propre sant et de moyens pour l am liorer Elle tablit aussi la sant comme une ressource de la vie quotidienne et non comme le but de la vie ce qui en fait un concept positif mettant l accent sur les ressources sociales et personnelles et sur les capacit s physiques De plus elle pose les conditions pr alables ainsi qu un ensemble de perspectives favorables la sant tableau 1 ci contre et elle offre un nouveau cadre de r f rence pour la mise en uvr
49. et santemonteregie ac ca userfiles file sante publique la direction Outil bedagogique PPpdf consult le 27 mai 2015 Ibid diapositive 6 UNIVERSIT D OTTAWA s d Promotion de la sant Notions essentielles En ligne htto www med uottawa ca sim data Health_Promotion_f htm consult le 26 mai 2015 BUSTROS LUSSIER MILOT et ROY op cit diapositive 21 SARGIUS P Mars 2007 Pr vention et gestion des maladies chroniques verre moiti plein ou moiti vide dans S rie de rapports de synth se sur la mise en commun des connaissances Fonds pour l adaptation des soins de sant primaires Ottawa Publications Sant Canada p iii En ligne htto www hc se gc ca hcs sss alt_formats hpb dgps odf orim 2006 chronic chroniques fra pdf consult le 26 mai 2015 17 20 21 22 25 24 DOSSIER ASSOCIATION DES FACULT S DE M DECINE DU CANADA R SEAU D ENSEIGNANTS EN SANT PUBLIQUE Partie 1 La th orie r fl chir 4 la sant Chapitre 4 Les concepts de base de la pr vention de la surveillance et de la promotion de la sant Les tapes de la pr vention En ligne htto ohprimer afmc ca Latheoriereflechiralasante Chapitre4LesConceptsDeBaseDeLaPrventio nDeLaSurveillanceEtDeLaPromotionDeLaSant Lestapesdelaprvention consult le 26 mai 2015 Permis Creative Commons BY NC SA Tir et adapt de I ASSOCIATION DES FACULT S DE M DECINE DU CANADA op cit L histoire natu
50. fession s exon rer de sa engage pleinement sa responsabilit responsabilit civile Il lui est professionnelle donc interdit d ins rer dans un contrat de services professionnels une clause excluant directement ou indirectement en totalit ou en partie cette responsabilit d inciter quelqu un de fa on Inhaloth rapeute ne pressante ou r p t e soit peut faire de personnellement ou par pression pour offrir l entremise d une personne ses services physique ou morale d une soci t d un regroupement ou d une association recourir ses services professionnels d utiliser des renseignements L information de nature confidentielle au confidentielle ne pr judice d un clientouenvue peut servir ses d obtenir directement ou int r ts personnels indirectement un avantage pour lui m me ou pour autrui de recevoir l exception de la Aucune ristourne ou r mun ration laquelle il a commission droit de verser oude s engager possible verser tout autre avantage ristourne ou commission relativement l exercice de sa profession l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 37 38 2 2 Code des professions Libell ER Constitue un acte d rogatoire la dignit de sa profession le CHRONIQUE DEONTOLOGIE Commentaire L abus de la relation des fins sexuelles fait pour un professionnel est d rogatoire pendant la dur e de larelation la dignit dela professionnelle qui s t
51. fessionnelles n cessaires pour la r alisation d une s dation analg sie optimale et s curitaire les ressources humaines et mat rielles requises la marche suivre les pr cautions relatives au bien tre et la s curit du patient ainsi que les l ments qui doivent tre inscrits au dossier Elles ont t con ues pour que les membres de chacun des ordres puissent facilement s y reconna tre selon les modalit s qui encadrent l exercice de leur profession respective dans un contexte de pratique interprofessionnelle Le document est offert gratuitement en format PDF De m me il est possible de remplir un questionnaire en ligne aux fins de formation continue des membres de l Ordre 2 h Des frais de 20 s appliquent para tre bient t Les troubles respiratoires du sommeil Volet diagnostique Fascicule Evaluation pr tude du sommeil probabilit clinique Fascicule Il preuves diagnostiques du sommeil Deux nouvelles activit s de formation e OPIQ 901 Urgences n onatales e OPIQ 902 Le sommeil chez l enfant et l adolescent Note importante concernant la formation OPIQ 303 Les arythmies cardiaques AVIS aux inhaloth rapeutes inscrits ou ayant termin cette activit de formation L activit a t bonifi e par l ajout de e la m thode de calcul de la fr quence cardiaque e untableaudes arythmies Profitant de ces ajouts l activit de formation a aussi fait l objet d une nouvelle
52. h DESS en enseignement coll gial Pr sident 6 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 ins ih g fe a F ia b i P3 F3 AstraZeneca Banque Nationale Cardinal Health Canada CAREstream La Capitale assurances g n rales 12 19 21 33 5 27 23 W WORT J R 1 THE PRESIDENT Masimo Merck RIIRS UQAT index des annonceurs Echoes from Calgary he Canadian Society of Respiratory Therapists held its 51 annual convention from May 21 to 23 2015 It was quite an enjoyable event I would like to highlight the performance of all the speakers who took part in the francophone scientific section By the mastery and variety of the subjects covered they not only captivated the audience they also demonstrated that Qu bec s expertise distinguishes itself and is recognized Indeed the professional practice of Qu bec s respiratory therapists differs slightly from our Canadian counterparts but everywhere each action is guided by a shared concern about the quality of care that is provided So even though Qu bec is said to be a distinct society we respiratory therapists work together toward a common goal Similarly Michael MacArthur and Marco Zaccagnini respiratory therapists from the province of Qu bec have won the Intubation Olympics Sputum Cup for a second year in a row a first We can be proud of our representati
53. ituation sociale ou conomique tat biologique comportement ou environnement qui sont li s ventuellement par une relation de cause effet une vuln rabilit accrue une maladie des probl mes de sant ou des traumatismes d termin s AFMC Cause l origine d une maladie caract ristique ou d un comportement qui augmente la probabilit que la maladie survienne Ne pas porter de ceinture de s curit en automobile est un exemple de facteur de risque car cela fait augmenter la probabilit de blessure en cas de collision 26 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 sujet Indicateur OMS Indicateur de sant Caract ristique d un individu d une population ou d un environnement qui se pr te des mesures directement ou indirectement et peut tre utilis e pour d crire un ou plusieurs aspects de la sant d un individu ou d une population qualit quantit et temps AFMC Indicateur Non disponible sujet prevention OMS Pr vention de la maladie La pr vention de la maladie comprend des mesures qui visent non seulement emp cher l apparition de la maladie telle que la lutte contre les facteurs de risque mais aussi en arr ter les progr s et en r duire les cons quences R f rence adapt du Glossaire de la s rie Sant pour tous OMS Gen ve 1984 AFMC Pr vention La pr vention des maladies englobe les mesures visant pr venir les maladies
54. l assembl e g n rale L article 7 se lit comme suit Sauf s il y a consentement de tous les membres pr sents l assembl e une proposition sur un sujet qui n est pas inscrit l ordre du jour doit parvenir par crit au si ge social de l Ordre l attention du secr taire au moins 5 jours francs avant la tenue d une assembl e Au plaisir de vous y rencontrer Acceptez cher e s membres l expression de nos salutations distingu es La Secr taire C Nese ia KE re Jos e Prud Homme inh Adm A M A P VRAI OU FAUX L inhaloth rapeute peut recevoir et consigner au dossier une ordonnance verbale m me s il ne s agit pas de m dicaments ou traitements qu il administrera lui m me VRAI En effet depuis juillet 1990 le R glement sur lt i 0piq Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec INSPECTION Assembl e g n rale annuelle des membres de POPIQ 6 novembre 2015 a8h Ordre du jour NODU Constatation du quorum et ouverture de l assembl e Lecture et adoption de l ordre du jour Lecture et adoption du proc s verbal de l assembl e g n rale annuelle du 31 octobre 2014 Affaires d coulant du proc s verbal de l assembl e g n rale annuelle du 31 octobre 2014 Pr sentation du rapport annuel 2014 2015 Nomination de l auditeur ind pendant Cotisation 2016 2017 Divers Lev e de l assembl e La Secr taire a
55. la Sant de la Promotion de la sant et du Mode de vie sain s d p 1 En ligne http www phac aspc gc ca hp ps hl mvs declaration odf dop fra odf consult le 26 mai 2015 2 Ibid 3 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANT ET M DECINE UNIVERSITAIRE Sous la direction de Galarneau Y et F Dub 2012 Cadre de r f rence pour la pr vention et la gestion des maladies chroniques physiques en premi re ligne P 2 En ligne http publications msss gouv ac ca acrobat f documentation 2012 12 942 01F pdf consult le 26 mai 2015 4 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT s d Maladie chronique En ligne Chtto wwwwho int topics chronic_diseases fr consult le 26 mai 2015 5 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT 2003 Des soins novateurs pour les affections chroniques l ments constitutifs rapport mondial P 12 En ligne htto whalibdocwho int oublications 2003 9242590177 odF consult le 26 mai 2015 6 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANT ET M DECINE UNIVERSITAIRE op cit p 2 7 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX en collaboration avec L INSTITUT NATIONAL DE SANT PUBLIQUE DU QUEBEC et INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC 2011 Pour guider l action Portrait de sant du Qu bec et de ses r gions Minist re de la Sant et des Services sociaux 156 p Cit dans MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICES DE SANT
56. ln rables e Programmes d ducation la sant p ex programmes scolaires et communautaires de pr vention du tabagisme e Campagnes de communication et outils p ex campagne de lutte antitabac e Pratique clinique pr ventive p ex counseling en abandon du tabac e Clinique de vaccination e Clinique jeunesse e Pratiques cliniques pr ventives PCP DOSSIER R f rences ASSOCIATION CANADIENNE EN SANTE PUBLIQUE Hiver 2011 2012 S lection sant D dicace en l honneur du 25 anniversaire de la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant Vol XXXV n 4 En ligne htto www cpha ca fr about digest xxxv 4 9 aspx consult le 26 mai 2014 AGENCE DE LA SANT PUBLIQUE DU CANADA 1986 Charte d Ottawa pour la promotion de la sant une conf rence internationale pour la promotion de la sant p 2 En ligne htto www pohac aspc gc ca oh sp docs charter chartre index fra oho consult le 26 mai 2014 RESEAU FRANCOPHONE INTERNATIONAL POUR LA PROMOTION DE LA SANT REFIPS 2012 25 ans d histoire les retomb es de la Charte d Ottawa pour la promotion de la sant dans divers pays francophones p 95 En ligne f http refips org files international Retombeescharteottawa_vfpdf l consult le 26 mai 2015 AGENCE DE LA SANT PUBLIQUE DU CANADA op cit 5 REFIPS op cit p 5 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT Bureau r gional de l Europe 1986 Promotion de la
57. n s intervenir en tant qu individus ou titre 1e communaut aux tout comme les personnels de sant sont quant oles de la m diation entre les int r ts divergents qui se Jans la soci t de promotion de la sant doivent tre adapt s aux des pays et des r gions et prendre en compte les divers nomiques Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec OPI a piq L acc s ce contenu publicitaire est r serv aux professionnels de la sant DOSSIER la promotion de la sant comme une d marche qui donne aux individus la fois davantage de ma trise de leur propre sant et de moyens pour l am liorer Xy Bien que plus de 25 ann es se soient pass es depuis cet v nement historique la Charte d Ottawa document phare de la promotion de la sant demeure au nombre des documents de r f rence pour de nombreux inter venants et professionnels de sant gestionnaires et d cideurs Cela dit son contenu et son application ont fait l objet de nombreuses critiques et ce notamment lors des c l brations de son 20 anniversaire titre d exemple soulignons les conditions pr alables la sant qui rel vent de l utopie pour de nombreux pays ainsi que les cing axes strat giques de promotion de la sant qui ont t critiqu s tant sur le plan de leur interpr ta tion conceptuelle que sur celui de leur mise en uvre De m me les int r ts divergents d
58. n Swartz 01002 inhaloth rapeute exer ant la profession au 160 avenue Stillview Pointe Claire Qu bec fait l objet d une suspension d exercice prononc e par le comit ex cutif de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec en vertu de l article 52 1 du Code des professions jusqu ce que la proc dure de l examen m dical pr vue l article 48 du Code des professions soit termin e et que le comit ex cutif ait pris une d cision la suite de l tude des rapports des m decins experts La d cision du comit ex cutif tant ex cutoire le jour de sa signification l inhaloth rapeute concern en vertu de l article 182 3 du Code des professions la suspension de monsieur Jason John Swartz est donc ex cutoire depuis le 8 avril 2015 Le pr sent avis est donn en vertu des articles 182 9 du Code des professions Jos e Prud Homme Adm A M A P Secr taire de l Ordre Avis de suspension du droit d exercice Conform ment l article 182 9 du Code des professions avis vous est donn que lors de sa s ance du 8 mai 2015 le comit ex cutif de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec a suspendu du Tableau de l Ordre madame Jessica Dufour 04032 ayant son domicile professionnel au 520 boul Arthur Sauv Saint Eustache La d cision du comit ex cutif a t prise en conformit avec l article 10 du R glement sur la formation continue obligatoire des membres de l Ordre
59. ne approche proactive l gard de la prestation des soins de sant ainsi qu une d marche centr e sur le patient y compris un engagement actif du patient dans la gestion de sa sant Survenant un moment ou l autre dans le continuum des soins de sant diff rentes activit s peuvent tre faites par les professionnels de la sant et celles ci s ins rent au gr de l histoire naturelle de la maladie dans un objectif d en freiner ou d en ralentir l volution Pour simplifier l application de mesures pr ventives il peut tre pratique de les classer en quatre grandes tapes tableau 1 page 20 m me si ces derni res ne sont pas clairement d limit es La pr vention primordiale d signe les mesures prises pour r duire les dangers futurs pour la sant et ainsi inhiber les facteurs de manifestation environnementaux conomiques sociaux comportementaux culturels qui augmentent les risques d tre atteint d une maladie titre d exemple o promouvoir un mode de vie sain d s le jeune ge Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec OPI a piq L acc s ce contenu publicitaire est r serv aux professionnels de la sant DOSSIER La pr vention primaire veille pr venir l apparition de certaines maladies par la r duction des risques associ s soit par la modification des comportements ou la r duction des expositions soit par l am lioration de la r sistance
60. ng terme 3 Mod le de r f rence qui oriente les diff rents courants de pens e et la science 4 Type de conflit o la situation peut tre raisonnablement interpr t e comme porteuse d un conflit r el sans que l ind pendance du professionnel en ait n cessairement t affect e 5 Un des quatre axes des pratiques cliniques pr ventives Action d immuniser 10 11 12 14 oo 11 14 N Discipline de la philosophie ayant pour objet l examen des principes moraux au regard de ce qui est jug souhaitable et qui sont la base de la conduite d un individu Ou d un groupe Type de conflit qui est survenu ou qui est en cours et o l ind pendance du professionnel est ou a t affect e Type de pr vention ou des mesures sont prises afin de pr venir les dangers futurs pour la sant Un des quatre axes des pratiques cliniques pr ventives Il se fait de fa on pr coce pour entre autres mettre en vidence les maladies asymptomatiques Type de pr vention qui comprend les m thodes de d tection et le traitement des changements pathologiques pr cliniques afin d enrayer la maladie Un des quatre axes des pratiques cliniques pr ventives Relation d aide en situation S applique entre autres dans le contexte des centres d abandon du tabagisme CAT Solution a la page 45 commentaires l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 43 DES LIVRES ET VOUS La salutogen se
61. ns d appartenance au syst me professionnel qu b cois La v ritable date anniversaire tait en d cembre 2014 Mais an dernier afin d accorder cet v nement toute l attention m rit e nous avons plut t pr f r c l brer les 50 ans de la profession de concert avec nos coll gues canadiens la faveur du congr s annuel de la SCTR Et bien honn tement avouons le nous d sirions souligner les 30 ans de l Ordre entre nous et avec vous Et bien s r avec quelques pr cieux partenaires qui au fil des derni res d cennies ont contribu au d veloppement de notre organisation et de notre profession Au Qu bec tre membre d un ordre professionnel conf re une cr dibilit ind niable et plusieurs professionnels et travailleurs souhaiteraient obtenir la possibilit d y adh rer Pensez aux enseignants et aux ambulanciers pour ne nommer que ceux l Nous pouvons donc tre fiers des professionnels que nous sommes La profession a tellement volu au cours des derni res ann es en mati re d autonomie et de responsabilit professionnelle Nous avons certes un devoir de satisfaire et de r pondre aux attentes de nos coll gues du r seau ditorial Avant propos Mot du pr sident Dossier Promouvoir la sant et pr venir la maladie l affaire de tous les professionnels de la sant La Charte d Ottawa pour la promotion de la sant la sant pour tous d ici l an 2000 et au del 8 Quand promotion et pr v
62. nt du second Cette obligation se retrouve aussi dans les politiques d tablissements et dans la LSSSS pour la loyaut l tablissement IND PENDANCE tat d une personne qui est libre de toute d pendance asservissement assujettissement soumission subordination etc MORALE Ensemble de normes de r gles de conduite propres une soci t donn e Fait appel la th orie du bien et du mal Admettre que quelque chose est bien ou mal THIQUE Qui concerne les principes de la morale Partie de la philosophie qui tudie les fondements de la morale IND PENDANCE PROFESSIONNELLE Le fait d exercer sa profession avec objectivit et de faire abstraction de toute intervention d un tiers qui pourrait influer sur l ex cution de ses obligations professionnelles et causer un pr judice au client Source OIIQ Chronique d onto L ind pendance professionnelle et les conflits d int r ts Sources Le Petit Larousse illustr dition 2011 et Le nouveau Petit Robert de la langue fran aise 2009 R f rences AQESSS 2012 Code d thique et de d ontologie des administrateurs d un tablissement de sant et de services sociaux projet type BARIBEAU L Ao t 2007 Pr vention des conflits d int r ts Le doute est salutaire Le Journal Barreau du Qu bec p 29 BAUDOUIN C et M COURNOYER PROULX 2012 La sauvegarde de l ind pendance professionnelle tre ou ne pas tre en situ
63. on de la sant et de pr vention de la maladie au m me titre que tout autre professionnel de la sant Souhaitant souligner le r le d terminant de l inhaloth rapeute clinicien dans la promotion de la sant cardiorespiratoire et la pr vention de la maladie cardiorespiratoire aupr s de toute population nous vous proposons une s rie d articles qui aborde chacun leur fa on le th me choisi pour cette dition Parce qu il vaut mieux pr venir que gu rir suivant une approche pr ventive et ducative vous y trouverez galement le premier volet de deux articles sur les conflits d int r ts sign s par M Magali Cournoyer Proulx en collaboration avec monsieur Bernard Cadieux syndic 1 Art 39 4 Code des professions 2002 RLRQ chapitre 33 art 4 Cit dans le Guide d application de la Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions l gislatives dans le domaine de la sant OPIQ avril 2006 p 6 VERSION INTERACTIVE C A courriel Rep rez ces ic nes qui indiquent des liens MEMBRES DU COMIT EX CUTIF ADMINISTRATIF Pr sident O 1 vice pr sidente Dune Francine LeHouillier inh 2 vice pr sidente Isabelle Truchon inh Tr sori re Annie Quenneville inh B Sc Administrateur nomm par l Office des professions Louise Lafreni re LA SANT HR LA MALADIE l affaire de tous les professionnels de la sant ASSEMBL E G N RALE ANNUELLE vendredi 6 novembre 201
64. onne une fiducie ou une entreprise l exception a d un membre de l Ordre b par 1 des articles 4 et 5 du R glement sur l exercice de la profession d inhaloth rapeute en soci t donne une commission une Aucun partage de ristourne un avantage ou toute commission ou de autre consid ration de m me ristourne possible nature relativement l exercice de linhaloth rapie Article 19 1 3 Libell re oit en plus de la r mun ration laquelle il a droit une commission une Commentaire Inhaloth rapeute au priv ne peut recevoir de ristourne un rabais un ristourne avantage ou toute autre Inhaloth rapeute en consid ration de m me nature CH ne peut accepter de toute personne ycomprisun de cadeaux de vendeur ou un fabricant clients Il ne peut d quipement de m dicaments accepter d avantages ou d autres produits li s de la part de l exercice de l inhaloth rapie repr sentants l exception des remerciements m dicaux vs l octroi et des cadeaux de valeur de contrats modeste b n ficie d une marge de cr dit Aucun avantage d un vendeur ou d un fabricant financier qui d quipement de m dicaments pourrait ou d autres produits li s compromettre l exercice de l inhaloth rapie l ind pendance moins qu il ait entente crite professionnelle comportant une d claration attestant que les obligations qui en d coulent respectent les dispositions du pr sent
65. ont pas certains aucun int r t particulier n a pu tre prouv Une analyse de la situation doit tre men e pour carter tout doute sur la probit de la personne suspect e c Le conflit potentiel est une situation o il y a pr sence d int r ts qui pour l heure ne sont pas encore conflictuels mais qui sont susceptibles de le devenir Par exemple un inhaloth rapeute travaillant en milieu hospitalier et pour une compagnie priv e qui est appel recommander certains soins ou services ses clients La fonction pourrait tre influenc e l avenir par les int r ts priv s du professionnel 1 2 Nature des conflits d int r ts a propos de l argent Tout ce qui a une valeur p cuniaire qui compromet ou m me semble compromettre les d cisions profes sionnelles P ex cadeaux ristournes marques d hospitalit rabais qui ne profitent qu au professionnel etc Un conseil s applique dans ce cas il faut viter de participer des d cisions o l int r t financier personnel est en jeu b propos de l information L utilisation d informations privil gi es obtenues dans le cadre des fonctions financi re professionnelle li e au dossier m dical pour s en servir ses fins personnelles ou au profit d un tiers est proscrire Par exemple proc der des tests de polysomnographie et utiliser ces r sultats pour donner la liste de clients atteints une compagnie qui offre des soins e
66. oy d un tablissement quinest ni le conjoint ni un proche parent du donateur est nulle si elle est faite au temps o le donateur y est soign ou y re oit des services La donation faite au membre d une ressource de type familial l poque o le donateur y demeure est galement nulle Commentaire Un employ d un tablissement public de sant ne peut recevoir de don d une personne qui re oit des soins et des services de cet tablissement Le legs fait au propri taire l administrateur ou l employ d un tablissement qui nest ni le conjoint ni un proche parent du testateur est sans effet s ila t fait a l poque ou le testateur y tait soign ou y recevait des services Le legs fait au membre d une ressource de type familial l poque o le testateur y demeurait est galement sans effet Il ne peut non plus h riter de cette personne La donation faite au propri taire l administrateur ou au salari d un tablissement de sant ou de services sociaux quinest ni le conjoint niun proche parent du donateur est nulle si elle est faite au temps o le donateur y est soign ou y re oit des services La donation faite un membre de la famille d accueil l poque o le donateur y demeure est galement nulle Le Code civil du Qu bec nonce galement une telle restriction 2 4 Politiques et r glements en tablissement de sant Enfin par le
67. pr sentation visuelle et d une r organisation des sujets Notez qu il vous est toujours possible d acc der gratuitement cette activit de formation et ce m me si vous l avez d j termin e Assistant inhalo http inhalotherapie com Deux nouveaux outils cliniques accessibles en ligne La r gle ECG Surveillez le bulletin mensuel l Ordonn e pour conna tre les nouvelles activit s de formation du 2 o4 Suivez ce lien pour conna tre les activit s de formation externes l OPIQ e Activit s de formation externes l OPIQ QUESTIONNAIRE LE QUESTIONNAIRE DE LA REVUE L INHALO EST DESORMAIS ACCESSIBLE UNIQUEMENT SUR LE CAMPUS OPIQ Solution de l entrecrois clo miolrisiiloliiri ele ja H Al P nirlolrimlalrliloln R P Al A D R IRJ E Gf N mi T E zjol hl l lel D Calendrier des v nements Semaine de linhaloth rapeute du 25 au 31 octobre 2015 Semaine des th rapeutes respiratoires du 25 au 31 octobre 2015 transfusionnelle 5 novembre 2015 41 congr s de OPIQ Fairmont Le Chateau Frontenac Qu bec les 6 et 7 novembre 2015 Congr s qu b cois en sant respiratoire L vis 12 13 novembre 2015 A 2 Journ e scientifique en m decine Oo 6 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 45 Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec Oph a piq Liste des personnes retirees du Tableau des membre
68. ption de comportement de sant p ex encourager le patient participer en partie ou en entier au Les pratiques cliniques pr ventives PCP Les pratiques cliniques pr ventives regroupent un ensemble d interventions individuelles efficaces de nature diverse et r alis es par un professionnel de la sant clinicien aupr s d un patient Ces pratiques visent promouvoir la sant et pr venir les maladies les blessures et les probl mes psychosociaux et elles permettent d agir en amont des probl mes de sant Les pratiques cliniques pr ventives font g n ralement r f rence au travail des cliniciens uvrant en premi re ligne quoique certaines d entre elles puissent aussi tre mises en pratique en deuxi me ligne Par ailleurs les crits scientifiques nous indiquent que si l on s est pench principale ment sur la pr vention clinique exerc e par les m decins tous les autres professionnels de la sant en relation directe avec des patients sont galement concern s Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec OPI a piq L acc s ce contenu publicitaire est r serv aux professionnels de la sant DOSSIER Les pratiques cliniques pr ventives se d finissent typiquement selon les quatre axes d intervention suivants 1 Le counseling sur les habitudes de vie p ex counseling en abandon du tabac 2 Limmunisation p ex la vaccination 3 Le d pistage pr
69. que pr sentant des d fis consid rables quant leur gestion 18 linhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Comorbidit ou multimorbidit e Comorbidit pr sence d au moins une autre maladie dans une population en pr sence d une maladie index constituant l int r t primaire de l intervention Multimorbidit pr sence au moins deux maladies chez un m me individu sans accent particulier sur l une ou lautre des maladies en pr sence Promotion de la sant et de pr vention de la maladie De fa on g n rale et bien qu une approche en sant puisse tre indivi duelle ou populationnelle celle ci est typiquement individuelle chez les cliniciens dont le sujet d int r t est le patient De m me si les concepts de promotion de la sant et de pr vention de la maladie sont distincts mais sentrecoupent ils peuvent tre d sign s ensemble sous l acronyme PP Par ailleurs la promotion de la sant est un concept g n ral par contraste a la pr vention qui elle a trait une maladie sp cifique Cela dit la promotion de la sant et la pr vention des maladies peuvent tre int gr es a chacune des approches quoique la pr vention des maladies soit plus facilement applicable et commune en contexte individuel La pr vention et la gestion des maladies chroniques dont l objectif est d viter ou de retarder des complications co teuses n cessitent un large ventail de comp tences u
70. r Ann Patricia Pederson Irving Rootman Les Presses de l Universit Laval octobre 2006 540 p ISBN 2 7637 8449 6 prix 49 Depuis la Charte d Ottawa de 1986 le champ de la promotion de la sant a profond ment influenc l volution des syst mes de sant partout au monde Au coeur de cette volution le Canada et le Qu bec Plus de 80 auteurs incluant les experts les plus reconnus sur les sc nes internationale canadienne et qu b coise de m me que des auteurs des g n rations montantes analysent de mani re critique l tat du champ au Canada et au Qu bec ainsi que son influence internationale depuis 1994 Cette premi re dition en francais d un ouvrage classique passionnera les intervenants professionnels et communautaires d cideurs tudiants enseignants chercheurs militants et personnes du grand public de toute la francophonie souhaitant comprendre ce quest la promotion de la sant ici et ailleurs ry INSPECTION PROFESSIONNELLE 2015 l OPIQ en route vers une approche par competence Dans les prochains mois vous remarquerez une s rie de capsules visant vous informer sur un nouveau virage qu entreprend l Ordre sur les plans de l inspection professionnelle et du d veloppement professionnel Grace aux pictogrammes illustr s ci dessous vous serez inform s en continu toutes les phases d volution du projet D but des campagnes d information sur une nouvelle approche par comp tence EN
71. r ait sa professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec a impos s ance profession d inhaloth rapeute au Centre hospitalier universitaire tenante madame Sabrina L vesque 11191 inhaloth rapeute CHU de Qu bec a administr de l pin phrine une coll gue une radiation temporaire d un 1 mois du Tableau de l Ordre pour ce qui de travail sans ordonnance m dicale contrevenant ainsi au Code concerne le seul chef reproch la plainte Enfin le conseil de discipline de d ontologie des inhaloth rapeutes ainsi qu l article 59 2 a condamn madame Sabrina L vesque payer tous les frais et d bours s du Code des professions de la cause Madame Sabrina L vesque a t reconnue coupable d avoir commis Madame Sabrina L vesque est donc radi e de fa on temporaire du une infraction en vertu de l article 6 du Code de d ontologie des inhalo Tableau de l Ordre compter de la date de l audition soit le 4 mai 2015 th rapeutes du Qu bec ainsi qu l article 59 2 du Code des professions tel qu il appert de la plainte portant le num ro 40 15 035 d pos e au greffe Montr al ce 21 jour de mai 2015 de discipline le 21 janvier 2015 Les actes reproch s a la professionnelle ont notamment trait a Maria Gagliardi avocate Secr taire du conseil de discipline de l Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec Avis de suspension du droit d exercice AVIS est par les pr sentes donn que monsieur Jason Joh
72. r les professionnels afin d aider pr venir d ventuelles d nonciations Le but est d amener les inhaloth rapeutes bien int grer les principes directeurs suivants dans leur quotidien professionnel SP ANIDITC On average OPIQ s Bureau du syndic is called upon to look at alleged conflict of interest situations The change occurring in our practice particularly because of the emergence of the private sector or the use of social media technologies exposes profes sionals to many real apparent or potential conflict of interest situations Home care professional activities represent another example where more and more respiratory therapists are faced with an ethical and moral dilemma Our clientele often captive vulnerable and in loss of autonomy depends on our advice care and service And yet this bond of dependency must never be used to turn this relationship to our advantage exercer la profession avec objectivit ind pendance morale et mat rielle ne pas se laisser influencer par un tiers dans la pratique professionnelle ne pas se laisser influencer par rapport nos obligations professionnelles et ainsi causer un pr judice aux clients Il importe de rappeler que le fait de se trouver en conflits d int r ts ne signifie pas pour autant que l inhaloth rapeute concern est malhonn te Toutefois le seul fait de se trouver dans cette situation peut miner la confiance du public l gard de notre
73. relle de la maladie En ligne htto ohprimer afmc ca Latheoriereflechiralasante Chapitre4LesConceptsDeBaseDeLaPrventionDeLaS urveillanceEtDeLaPromotionDeLaSant Lhistoirenaturelledelamaladie consult le 26 mai 2015 MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX SERVICE DES ORIENTATIONS EN SANT PUBLIQUE 2007 L int gration de pratiques cliniques pr ventives Guide pour la promotion et le soutien des pratiques cliniques pr ventives p 4 En ligne htto oublications msss gouv qc ca acrobat f documentation 2007 07 272 02 pdf consult le 27 mai 2015 Ibid BUSTROS LUSSIER MILOT et ROY op cit diapositive 34 ASSOCIATION CANADIENNE EN SANT PUBLIQUE op cit p 1 ASSOCIATION CANADIENNE DE PROTECTION MEDICALE Cs d Prendre soin de patients atteints de maladie chronique En ligne https www cmpa acom ca fr caring for patients with chronic diseases consult le 26 mai 2015 GROULX S Mai 2005 La pr vention chez l adulte une occasion saisir au vol Le M decin du Qu bec vol 40 n 5 p 66 En ligne http lemedecinduquebec org Media 86442 065 073DrGroulxO505 pdf consult le 27 mai 2015 AVANTAGES EXCLUSIFS AUX EMPLOYES ET RETRAITES DES SERVICES DE LA SANTE d tre la au quotidien pour nous et nos familles JUSQU 24 DE RABAIS EXCLUSIF ADDITIONNEL sur vos assurances auto habitation et vehicules de loisirs parce que vou
74. res et ce m me pour les personnes d j atteintes d incapacit s ou de maladies chroniques De plus il est aujourd hui reconnu que la promotion de la sant et la pr vention de la maladie figurent parmi les strat gies optimales d une prise en charge efficace des patients vivants avec une maladie chronique Cela dit puisque la pratique clinique peut prendre de l avance ou du retard sur les preuves scientifiques il est convenu que le jugement du clinicien le point de vue du patient et l analyse du contexte de l intervention doivent jouer un r le pr pond rant dans la pratique du clinicien Concr tement pour l inhaloth rapeute clinicien cela peut se traduire par l int gration de strat gies cibl es et adapt es de promotion de la sant et de pr vention de la maladie ou des blessures dans ses activit s cliniques De cette fa on il lui sera possible d aider les patients mieux comprendre les comportements de sant et de les amener prendre leur responsabilit lorsque possible concernant les comportements risque pour leur sant ou celle de leurs proches Voyons l une occasion d encourager nos patients et leurs proches dans l adoption de saines habitudes tout au long de leur vie y R f rences 1 ASSOCIATION CANADIENNE EN SANT PUBLIQUE Pour un Canada plus sain faire de la pr vention une priorit D claration sur la pr vention et la promotion de la part des ministres canadiens de
75. s pour non paiement de la cotisation abandon d c s ou retraite non paiement de la cotisation 46 Andrada Lerena Enrique Daniel 11020 Baddyr Sarah 05135 Bahad Siham 09018 Batty Alison 95118 Beaudoin Stephane 09094 Cantin Elo se 12209 Cator Patrick 97059 Chenaa Mohamed 13158 Deslongchamps Audrey 14118 Douillard Caroline 07123 Ferland V ronique 00030 Gagn Jessie 01031 Garneau Joanne 75020 Gingras Catheryne 14096 Gionet Jason 05165 Goulet Marie Christine 95060 Houle H l ne 79035 Landry Rita 77022 Laurin Claude 68018 Lee Angela 13202 Losier Guy 91040 M nard Richard 97013 Petiote David Junior 11041 Pilon Am lie 06138 Plamondon Sophie 07183 Reyes Eric 14068 Roy Audrey 10200 Sabbagh Marie Helene 93024 Sara Cecilia 11069 Smountas Argyrios 95045 Therrien Jos e 12177 Tremblay Louise 70041 Villeneuve Isabelle 00083 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 abandon Beaudoin Desjardins Jos e 78055 Corneau Jessica 14191 David Liette 89046 Eloi Louis Philippe 11138 Forget Marie Helene 09166 Montambault Nadia 02024 Moquin Marie France 91050 Normandin Michaud Tania Anne 02024 Paquette Francois 03033 Pare Marie 80056 Petrella Michael Anthony 09119 Provost Claudine 82063 Seller Lori 95090 Shahidi Maryam 99019 Tremblay Caroline 11199 Turcotte Dany 91031 Vinet Romy 06074 retraite Allard Lucie 79026 Beaulieu Celine 75084 B lisle Ginette 79021 Betit Raymonde 76089 Bonin Francine 750
76. s tes membre de l OPIQ RETENUE SALARIALE DISPONIBLE pour simplifier le paiement de vos primes CONCOURS EXCLUSIF 20 week ends d tente gagner Obtenez une soumission 1 800 322 9226 lacapitale com opiq vopiq i awe F1 LaCapitale i g cre cofa mye Assurances g n rales ie fu er eos Cabinet en assurance de dommages En tout temps seul le contrat d assurance pr cise les clauses et modalit s relatives nos protections Certaines conditions et exclusions s appliquent 1 Le concours se termine le 31 d cembre 2015 D tails et r glement disponibles au lacapitale com opiq l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 23 DOSSIER comp tence a Passe moi le dico S V P par Marise T treault inh M A coordonnatrice au d veloppement professionnel OPIQ epuis plus de 30 ans l inhaloth rapeute est un professionnel de la sant aux multiples facettes et son expertise est mise a profit dans divers milieux et contextes cliniques multidisciplinaires Par voie de cons quence il est essentiel qu un langage commun et de sens uniforme soit utilis d un inhaloth rapeute l autre ou au sein d une m me quipe de soins multidisciplinaires afin que tous puissent se comprendre avec justesse comp tence OMS Comp tences en mati re de sant Aptitudes cognitives et sociales qui d terminent la motivation et la capacit des individus obtenir comprendre et utiliser des informations d une f
77. s are in unison about improving the initial training so that graduates fully encompass their role in taking charge of patients under their care The NARTRB is thus taking steps to upgrade to university education the practice entry level It is an issue that has been on OPIQ s agenda for some time now At their request I will take part in the working committee By working together I am confident that we can make it happen Throughout this convention I have met respiratory therapists who distinguish themselves in their respective professional fields by the expertise and passion they have shown us Individually and collectively we are responsible for the advancement and development of our profession To paraphrase our general manager the sky has no limit I will end by thanking the respiratory therapists who placed their candidacy for administrative posts and to all the members who voted in the Montreal and Sherbrooke elections Thank you for taking the time to vote for your representative on OPIQ s board of directors I also thank voters from the Montreal region for giving me a second mandate so that I may continue my involvement in the Ordre Finally I congratulate elected or re elected members On that note I wish you a wonderful summer 0 Jocelyn Vachon inh DESS en enseignement coll gial President inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 7 te OTTAWA CHARTER FOR HEALTH PROMOTION CHARTE D OTTAWA POUR LA PROMOTION DE LA SANT
78. s maladies chroniques et les blessures Or une grande portion de ces maladies et de ces blessures peuvent tre vit es ou leur apparition retard e gm Consid rant que le r seau de la sant est principalement ax sur le diagnostic le traitement et la prestation de soins des strat gies de promotion de la sant et de pr vention de la maladie des accidents et des probl mes sociaux doivent tre mises en place afin d assurer la sant et le bien tre de tous et ce chapitre l inhaloth rapeute y joue un r le d terminant Au m me titre que tout autre professionnel de la sant centered around diagnosis treatment 2 The main causes of death disease and disability in Canada are chronic diseases and injuries Yet a large part of these diseases and injuries may be avoided or their appearance delayed gt onsidering that the health secto is mainly providing care strategies of health promotion and prevention of diseases accidents and social problems must be implemented in order to ensure the health and well being of everybody and on that subject the respiratory therapist plays a determining role the same as any other health professional l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 17 DOSSIER K la promotion de la sant est un concept general par contraste la pr vention qui elle a trait a une maladie sp cifique Les maladies chroniques en
79. s pouvoirs qui leur sont d volus en vertu de la Loi sur les services de sant et les services sociaux et le R glement sur l organisation et ladministration des tablissements les tablissements ont adopt des r glements et politiques qui viennent a leur tour encadrer la situation de conflits d int r ts pour les professionnels qui ceuvrent dans un tablissement public Dans l ensemble des tablissements l on retrouve des codes d thique qui viennent galement baliser la nature des inter ventions possibles et qui requi rent que les professionnels vitent toute situation de conflit d int r ts Les multiples r f rences qui pr c dent illustrent quel point le devoir d int grit d ind pendance et de d sint ressement se trouve au c ur des obligations professionnelles qui incombent aux inhaloth rapeutes Ilimporte de bien saisir la port e de cette obligation Dans le prochain num ro nous aborderons certaines situations de conflit d int r ts et nous noncerons quelques conseils pour les pr venir ry Lexique INTEGRITE Qualit d une personne int gre honn tet probit loyaut PROBIT Observation rigoureuse des principes de la justice et de la morale LOYAUT Honn tet droiture fid lit Le devoir de loyaut pr suppose qu un professionnel vite de se placer dans une situation o il devrait choisir entre un int r t priv et l int r t du client en pr f rant le premier au d trime
80. sant Charte d Ottawa p 1 En ligne htto www eurowho int __data assets odf_file 0003 129675 Ottawa_Charter_F odf consult le 26 mai 2015 Ibid p 1 4 Ibid p 5 9 bid p 1et 2 Ibid p 3 et 4 BUSTROS LUSSIER G MILOT D M ROY A Janvier 2014 Promotion et pr vention en sant Outil destin aux tudiants de m decine Formation destin e aux tudiants l externat des programmes canadiens de m decine diapositives 98 102 En ligne http extranet santemonteregie ac ca userfiles file sante publique la direction Outil bedagogique PPpdf consult le 27 mai 2015 REFIPS op cit p 5 et 6 REFIPS op cit p IL DESCHAMPS P 2008 Une relecture de la Charte d Ottawa Promotion et ducation 15 8 p 8 13 En ligne http ped sagepub com content 15 1_ suppl 8 full odf Cit dans REFIPS op cit p 12 Beslisle M et Laurin 2008 Public Health and Poverty Review of Health Promotion and Education Online cit dans REFIPS op cit p 12 REFIPS op cit 0 6 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 15 DOSSIER 1 1 comp tence 1 Quand promotion et pr vention riment avec sant LA par Marise T treault inh M A coordonnatrice au d veloppement professionnel OPIQ 7 16 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 A L Les principales causes de d c s de maladie et d incapacit au Canada sont le
81. sionnelle 6 congr s mondial du Secr tariat international des infirmi res et infirmiers de l espace francophone SIDIIEF ENTRECROISE par Elaine Par inh Ph D en p dagogie charg e de projet OPIQ L entrecrois de l t Comme l habitude les mots de cet entrecrois sont pour la plupart tir s des diff rents articles qui constituent ce numero l exception de l article intitul Passe moi le dico s v p L exercice peut s av rer ardu tant donn les diff rents th mes abord s Je vous entends dire Et les vacances alors D sol e Le d fi est lanc Bon t Ref rences REY DEBOVE J et A REY 2009 Le nouveau Petit Robert Paris Editions Le Robert 2838 p CALAN D et collab 2010 2014 Le Robert Dixel Mobile iPhone diteur Roger Rainero 2014 Editions Le Robert amp Diagonal Horizontalement 1 Pr sence d au moins une autre maladie en presence d une maladie index ou primaire 2 Promotion et pr vention 5 Refere la nature des conflits d int r ts ou l information privil gi e obtenue dans le cadre des fonctions du professionnel est utilis e des fins personnelles ou au profit d un tiers 6 Caract re d une personne qui est honn te et impartiale 8 Type de pr vention qui veille r duire l impact de la maladie sur les fonctions la long vit et la qualit de vie en cherchant modifier les comportements du patient 10 Type de pr v
82. soci t au sein de laquelle il exerce sa profession ou dans laquelle ila des int r ts et celui de toute autre personne exer ant sa profession au sein de cette soci t l int r t de son client Primaut de l int r t du client sur l int r t personnel 36 l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 Article 16 1 Libell Linhaloth rapeute ne peut conclure aucune entente ayant pour effet de mettre en p ril l ind pendance le d sint ressement l objectivit et l int grit requis pour l exercice de sa profession Commentaire Limite quant la possibilit de contracter avec un tiers Linhaloth rapeute doit ignorer toute intervention Primaut de l int r t du client vis vis de d un tiers qui pourrait influer toute intervention sur l ex cution de ses devoirs d un tiers professionnels au pr judice de son client Linhaloth rapeute doit Distance n cessaire sabstenir d intervenir dans les avec nos clients affaires personnelles du client Il est pr f rable sur des sujets qui ne rel vent de ne pas traiter pas de sa comp tence un proche professionnelle Linhaloth rapeute doit Devoir proactif sauvegarder entouttempsson d viter les ind pendance professionnelle situations de et viter toute situation o il conflits d int r ts pourrait tre en conflits d int r ts conflit d int r ts s il partage ses revenus de profession avec une pers
83. sonne en r ponse a un malaise un mal tre ou une maladie ressentie y compris le fait de chercher ou non a recevoir des soins de sant et de suivre ou non les recommandations d un th rapeute Ce comportement est influenc en partie par le r le de malade d fini socialement Ordre professionnel des inhaloth rapeutes du Qu bec OPI a piq L acc s ce contenu publicitaire est r serv aux professionnels de la sant DOSSIER sujet d terminant OMS D terminants de la sant Les facteurs personnels sociaux conomiques et environnementaux qui d terminent l tat de sant des individus ou des populations AFMC D terminant Caract ristique de la soci t qui fa onne la sant et le bien tre des personnes et des communaut s Parfois d finis comme les causes des causes d une condition les d terminants sont des facteurs sociaux comme une r cession conomique ou des situations personnelles comme la pauvret sujet education OMS Education pour la sant L ducation pour la sant comprend la cr ation d lib r e de possibilit s d apprendre gr ce une forme de communication visant am liorer les comp tences en mati re de sant ce qui comprend l am lioration des connaissances et la transmission d aptitudes utiles dans la vie qui favorisent la sant des individus et des communaut s AFMC Education Non disponible sujet facteur de risque OMS S
84. t services en AOS e obtenir des informations privil gi es aupr s d un tablissement public diagnostic m dical renseignements personnels acc s au dossier m dical donn es li es un appel d offres ou de services etc pour favoriser sa compagnie priv e ou celle d un ami En plus de constituer un bris au devoir de confidentialit l utilisation de telles informations son b n fice personnel constitue une situation de conflit d int r ts c propos de l influence Le statut de professionnel induit une forme d influence en raison de la comp tence l expertise et l information d tenues Il faut viter d utiliser son statut pour tenter d influencer un client ou un tiers pour obtenir directement ou indirectement un b n fice pour soi m me ou pour un autre conjoint parent ami proche Par exemple e influencer la d cision d un client d acheter un dispositif m dical ou pharmaceutique de l entreprise o le conjoint occupe un poste de repr sentant commercial e diriger le client vers la compagnie de polysomnographie d un ami plut t qu une autre compagnie e favoriser ind ment un individu une soci t commerciale au d triment d une autre L inhaloth rapeute ne peut administrer des m dicaments quels qu ils soient sans une ordonnance m dicale valide Code des professions art 37 1 par 7 e l inhalo Vol 32 N 2 juillet 2015 CHRONIQUE DEONTOLOGIE 2 Encadrement r glement
85. ves Congratulations to all In addition to various continuing education activities intended for respiratory therapists meetings of the National Alliance of Respiratory Therapy Regulatory Bodies NARTRB were held The enriching exchanges with our colleagues have also confirmed here and on many aspects that we do not make up a society as distinct as we think In fact we share the same concerns about protecting the public this feeds our thoughts and directs our decisions Furthermore Qu b cois representatives have been invited to work with other Canadian representatives toward a new respiratory therapy competence universal set during a workshop about this new reference framework A francophone workgroup thus took part on revising some competencies that make up the universal set voicing commentaries and formulating suggestions well appreciated and taken into account by the people leading this project To this effect a Canada wide survey will poll respiratory therapists this fall to ratify the contents of this document I invite you to participate in great numbers in order to give Qu bec a voice in this project It is important to make our expertise count in certain sectors of activity notably in anaesthetic assistance I am counting on you We also talked about the training level needed to ensure that the required competence level be acquired and integrated by a respiratory therapist beginning his her practice Canadian regulatory organization

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