Janvier 2009 - Blog de Charles Guené
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1. Avec Fran ois Fillon et Nicolas Sarkozy lors de l inauguration du M morial Charles de Gaulle Colombey les Deux Eglises le 11 novembre 2008 Photo Eric Girardot SENATEUR DE LA HAUTE MARNE Sur fond de crise se joue actuellement une partie tr s serr e celle de la r forme des collectivit s locales Le Pr sident de la R publique nous a demand de parvenir un consensus avant l t 2009 en mutualisant les moyens pour tre plus efficaces Il ne s agit pas seulement de remettre sur le m tier une ultime fois des outils datant de bient t deux si cles et que nous nous vertuons depuis 25 ans moderniser pour les adapter aux temps nouveaux de la vitesse des NTIC et du fait urbain Nous devons aussi et surtout construire une d mocratie plus citoyenne et plus responsable C est l le c ur de la r forme Le syst me ancien que r gissaient d invariables rapports entre les Hommes et les territoires dans un contexte de croissance permanente s est essouffl L tat ne peut plus seul conserver la responsabilit du partage des ressources et demeurer le bouc missaire du d s quilibre financier que le consommateur a substitu l difice citoyen d antan Au del des rivalit s troites entre les chelons la r forme de la fiscalit est indispensable et elle devra s accompagner d une r volution de la gouvernance des ressources Faute de quoi nous assisterons p riodiquement des seco2. j ai t confirm par la Commission des finances du S nat pour si ger au Comit des Finances Locales CFL J ai t galement reconduit dans les fonctions que j occupais la Conf rence Nationale des Services d Incendie et de L avenir de La Poste Secours Bureau et la Cour de Justice de la R publique D autre part j ai t d sign comme Vice Pr sident de l Association des Maires de France au sein du Conseil d Adminis tration parmi les 36 Maires de l Hexagone appel s repr senter l Association au sein de la Commission Ailleret J ai t d sign pour faire partie des 24 personnalit s amen es si ger au sein de la Commission AILLERET voulue par le Pr sident de la R publique pour valuer l impact de l entr e de La Poste dans un univers concurrentiel partir de 2011 et les diff rentes options juri diques et conomiques envisageables pour son d veloppement J ai pu participer certaines des 15 r unions et auditions qui se sont achev es le 19 d cembre 2008 par la rencontre avec le Pr sident SARKOZY qui a arr t les principes de la future structure Ce sera une soci t de capitaux 100 contr l e strat giques revues Du livre blanc seront d clin es deux lois de programmation militaire Nous entrons dans la premi re 2009 2014 Dans le cadre de ce premier rapport pour lequel je suis intervenu la Tribune le 20 novembre 2008 jai insist sur la n
3. vidence discutons en pas trop quand m me Un rendez vous important la R gion fin janvier l initiative du Pr sident SIDO nous permettra de discuter avec Jean Paul BACHY sur ce sujet L enjeu m apparait de taille Il est de bon ton pour d aucuns de se gausser de l ge canonique des s nateurs qui couleraient des jours pour ne pas dire des siestes paisibles entre hommes sous les ors et dans le confort du Palais du Luxembourg que n atteindraient pas les bruits et les probl mes du monde ext rieur Sans doute faut il excuser l ignorance de certains mais il convient aussi de confronter les id es re ues la r alit des faits Le renouvellement triennal du S nat qui a eu lieu le 21 septembre dernier portait sur seulement 114 si ges Il fait appara tre une diversit ind niable Et qui progresse un rythme qui pourrait inqui ter les pensionnaires du Palais Bourbon femmes 18 18 21 87 18 540 de de 50 ans 4 50 9 40 27 38 0 de 61 70 ans 43 90 44 60 29 120 Les chiffres tordent le cou aux vieilles lunes et l observateur impartial ne peut que les ent riner Je crains cependant que des analystes autoproclam s ne continuent entonner le refrain bien connu sur des s nateurs cacochymes voire momifi s at Le nouveau Pr sident du S nat G rard LARCHER Maire de Ram bouillet et S nateur des Yvelines docteur v t rinaire 59 ans dans la moyenne est par aille
4. put Alain GEST La r flexion se nourrit galement des rapports produits sur le sujet dont les plus r cents sont le rapport WARSMANN Assembl e Nationale pi ce essentielle mais aussi les contributions d Alain LAMBERT S nat sur la comp tence g n rale et aussi VALLETOUX Conseil Economique et Social RICHARD Budget et Collectivit s locales PERBEN Assembl e Nationale PUECH Observatoire de la D centralisation ou encore le rapport BALLIGAND LAFFINEUR en cours et dont je recommande la lecture aux plus int ress s R forme des Collectivit s mode d emploi d une petite r volution Les grandes directions l exception des Pays dont le sort semble scell on s achemine vers le maintien des collectivit s existantes mais en consti tuant un nouveau couple l instar de celui de l intercommunalit et qui r unirait les D partements et les R gions sans pour autant les dissoudre Il serait g r alors par des lus communs proc dant d un m me scrutin Reste s entendre sur lequel et surtout sur les circonscriptions retenues L id e d lire les d l gu s communautaires au suffrage universel direct semble abandonn e mais on pourrait imaginer leur fl chage lors des scrutins municipaux Une fois ce bel difice format il conviendra de r partir les comp tences entre les uns et les autres Autre Innovation le jacobinisme aurait v cu et le syst me national ne serait plu
5. collegues e Visant responsabiliser les acteurs du cr dit la consommation et lutter Contre ureideremenanleilIbbe MARINI cosign e le 1 d cembre elendant garantir la parit de financement entre les coles primaires publiques et priv es sous contrat d association lorsqu elles accueillent des l ves scolaris s hors de leur commune de r sidence Jean Claude CARLE cosign e le 16 octobre Adopt e en 1 eve autel eme AN S7 aires Travaux parlementaires Vers une Profession Veterinaire du XXE si cle J ai remis mon rapport Michel BARNIER Ministre de l Agriculture le 8 janvier 2009 et l ai pr sent devant la Profession le 14 janvier au Minist re Depuis juin 2008 la demande du Premier Ministre j ai pr par un rapport parlementaire sur la place du V t rinaire lib ral et l volution de son r le dans le syst me de surveillance et de gestion des risques de la fili re animale ainsi que sur les moyens de revaloriser la profession et d en renforcer l attractivit J ai proc d de nombreuses auditions qui se sont r v l es int ressantes et instructives par leur vision crois e de la situation actuelle et des relations entre les diff rents intervenants de la fili re de sant animale leveurs bovins et ovins Pharmaciens Organisations profession nelles agricoles Institutions fran aises et europ ennes et bien sur Ordre et Syndicats de V t rinaires Etablir le
6. de l Agriculture Michel BARNIER cf page 4 jai pu obtenir pour les communes ayant form recours un entretien avec les experts nomm s pour la r vision des d limitations Elles ont pu le 13 janvier 2009 l INAO d Epernay d fendre leur dossier de vive voix et en montrer l enracinement dans le tissu socio conomique et les projets de d veloppement locaux A suivre Le Pr fet BLANC charg d une mission de redynamisation du Grand Est en Haute Marne ma demande le Pr fet Hubert BLANC a bien voulu examiner de plus pr s les probl matiques haut marnaises au regard de la d prise militaire C est ainsi qu avec Bruno SIDO nous l avons re u au Conseil G n ral le 8 d cembre 2008 avec les Parlementaires Sophie DELONG et Fran ois CORNUT GENTILLE le Maire de Langres Didier LOISEAU et le Pr fet Yves GUILLOT Nous avons pu voquer tous les dossiers en instance en termes d infrastructure et de d veloppement d chelon r gional et national Il nous reste souhaiter que le Pr fet BLANC puisse inscrire quelques priorit s haut marnaises dans les propositions de son rapport final et particuli rement Langres Delle Je ne sais si d ici la parution de ce bulletin nous aurons d j tenu notre point SNCF Chalindrey mais je ne peux r sister m exprimer nouveau sur ce sujet ou me fendre de quelques remarques ainsi que le disent les m dias Je persiste prendre la d fense
7. Chalindrey reste une belle id e mais je persiste dire que la fr quence de cette destination depuis l aire d attraction de Chalindrey rel ve d un irr alisme conomique au regard des services rendus Reste alors le TER qui reliera en juillet Troyes Dijon en 2h20 alors que par autoroute on relie sans exc s les deux villes en 1h30 Est il besoin de pr ciser que cette ligne TER ne peut avoir d s lors qu un r le de desserte locale et Infrastructures et d veloppement Il y a GARE et gare faire deux condition de Chalindrey Troyes et Chaumont Dijon et non pas d utiliser une seule machine effectuant le trajet entier en 2h20 I tron ons Venons en aux petites lignes de desserte de proximit Celles ci n cessitent des arr ts tous les 20 30 km afin d irriguer et de relier le territoire aux villes y compris Dijon Elles servent amener les gens leur travail ou l universit et acc der aux correspondances C est la richesse de notre terroir et tout particu li rement du Pays de Langres dont c est la vocation d accueillir cette population migrante qui est en jeu Et dans ce cas ce serait une h r sie de fermer la gare de Langres Il serait moins d raisonnable de remettre en route la Cr maill re je gal je un bon bus suffirait et il convient galement de rouvrir une gare au sud Vaux pourquoi pas et si certains souhaitent que je n en sois plus le maire pour en admettre l
8. ation des plus values plus homog ne et plus juste ele toilettage du code de d ontologie et du code rural vis vis de l entreprise v t rinaire ela pr cision et les modalit s de d l gation de l acte v t rinaire vaccination FCO L ensemble de ces mesures a t pl biscit e tant par la Profession que par les Eleveurs et le Gouvernement Des mesures rapides vont tre prises sur les plans r glementaires et l gaux pour mettre fin aux tensions et redynamiser le m tier Six mois de travaux intensifs m ont permis de d couvrir un monde nouveau et de lui apporter des ouvertures prospectives dans le cadre de ce rapport parlementaire Pour ceux qui le souhaitent ce rapport peut tre consult en ligne sur htto agriculture gouv fr sections publications rapports rapport guene sur view Avec Michel Barnier lors de la remise de mon Rapport Paris au Minist re le 8 janvier 2009 gt DED Champagne le combat se poursuit Le 8 novembre avec mon col l gue et ami Bruno SIDO nous tions Lafert sur Aube pour soutenir EL la cr ation de l Association de la Haute Vall e de l Aube Champenoise pr sid e par Robert ROTH Autour des lus locaux nous avons pu t moigner de notre ferme d termination et de l appui des parlementaires cette d marche essentielle pour le vignoble haut marnais Par ailleurs dans le cadre de mes travaux actuels et de mes contacts avec le Ministre
9. cessit d une parfaite mise en uvre des mesures d accompagnement territorial des restructurations en cours et pr sent 4 amendements pour favoriser notamment les reclassements aupr s des EPIDE Etablissements Publics d Insertion de la D fense et un amendement tendant mieux valuer le co t des op rations int rieures OPINT D s la rentr e avec mes coll gues Fran ois TRUCY UMP et Jean Pierre MASSERET PS nous allons entamer l examen du Projet de Loi de programmation militaire Pr 4 A ge CE SR NS TE Et TE pe ER ES Ce on PE tA LE par l Etat qui pourra aussi disposer travers notamment de la Caisse des D p ts des 3 milliards n cessaires sa reconversion et sa mutation Le statut des personnels y sera conserv Dans ce cadre j ai pu y d fendre la position de l Association des Maires de France le 19 novembre Bercy Nous avons cet gard obtenu gain de cause ela contribution de La Poste l am nagement du territoire avec des points pivots sera maintenue e es financements des charges li es sa mission de service public seront garantis par une p r quation d centralis e et p renne avec Le service universel sur toute la France Le transport et la distribution de la presse et l accessibilit bancaire Ces points essentiels devront tre int gr s dans la Loi mise en chantier d s 2009 devant le Parlement Propositions de Loi pr sent es avec mes
10. constat pour ne pas dire le diagnostic tait indispensable pour mettre en lumi re les probl mes et proposer les moyens d y rem dier Il est apparu clairement qu en un demi si cle le contexte de l exercice de la Profession avait radicalement chang suite e l volution de la soci t notamment l augmentation du nombre d animaux de compagnie et par cons quent de la pratique citadine e la formation des exploitants agricoles e la mondialisation dans laquelle s inscrit d sormais l agriculture e la mise en place de l espace europ en et de la PAC eet l apparition r cente d pizooties faisant craindre pour la sant humaine Or mes recherches ont rapidement montr la fois que le v t rinaire est plus que jamais un intervenant indispensable dans le cadre du mandat sanitaire mais que la profession est vieillissante et a du mal attirer des jeunes Cette dualit est au c ur m me du probl me dont elle est l une des causes principales avec la faiblesse des revenus d gag s par les v t rinaires ruraux C est pourquoi deux objectifs me paraissent primordiaux e a conservation d un r seau v t rinaire en milieu rural l o un maillage est essentiel pour l levage en termes de service et de r activit e Et la dynamisation de la Profession en la tirant vers le haut notamment en harmonisant la dur e des tudes avec celle du cursus europ en en d l guant certains actes et
11. de la plateforme multimodale de Chalindrey parce qu elle va dans le sens de l histoire et de l conomie Et avec mon ami Jean Luc BOUZON une fois n est pas coutume je r it re l urgence de prendre en compte l opportunit de la liaison Nord Sud en terme marchand Le site de Chalindrey doit cet gard r fl chir de mani re prospective son positionnement et pas seulement en termes de d fense de l existant Il reste que JjJ entretiens quelques divergences avec certains concernant le trafic Voyageurs et je ne crains pas de d fendre ma position minoritaire comme tant mieux fond e Lorsque je vois se propager le concept de gare unique du Sud je redoute que nous nous r engagions dans un syndrome du type lectrification du Paris B le qui nous a co t un quart de si cle Il faut cet gard distinguer deux approches celle du trafic grandes lignes et celle du d placement local En mati re de grandes lignes Nous devons continuer nous battre Le doublement du TGV Paris Lyon poss de encore une chance de passer Dijon via Troyes et il ne faut pas refuser de tendre la main Messieurs REBSAMEN et PATRIAT la liaison Clermont Ferrand ne le remplacera jamais La Champagne Ardenne pourrait y mettre tout son poids Seule cette option pourrait nous laisser imaginer une nouvelle gare haut marnaise qui ne serait s rement ni centre ni sud L id e de stopper le TGV Nancy Marseille
12. en valorisant les autres et en luttant contre les distorsions de concurrence l analyse a galement mis en lumi re que la vaccination contre la Fi vre Catarrhale Ovine FCO avait suscit ou plut t r v l des divergences de vues entre les V t rinaires et les Eleveurs notamment sur la d finition des actes que ces derniers avaient le droit d effectuer eux m mes cet gard une clarification me parait absolument indispensable dans une optique d efficacit et afin apaiser des tensions qui ne peuvent qu tre st riles pour l ensemble de la fili re Il est imp ratif d tablir une lisibilit nouvelle qui vitera de tels antagonismes et inscrira dans la continuit des soins la compl mentarit les responsabilit s et l ind pendance de chacun Au terme de l audition des parties prenantes de mes observations et de mes r flexions je pr conise donc vingt mesures avec une mise en uvre chelonn e en 3 tapes imm diate 2 ans et 5 ans notamment et tr s sch matiquement e demander la Commission europ enne de publier la liste des Ecoles v t rinaires europ ennes r ciproquement reconnues e a r forme des tudes v t rinaires en ce qui concerne les bourses d tude les frais de scolarit et le tutorat AN ela tarification r gionale des actes de prophylaxie et le paiement par l Etat dans de meilleurs d lais ela facilitation de la transmission d entreprise en rendant la tax
13. extes minist riels mettant avis favorables recommandations ou avis d favorables Ma participation cette commission me permet d alerter l Association des Maires de France des textes int ressant nos collec tivit s susceptibles de para tre prochainement au Journal Officiel voir Bulletin des Maires de Haute Marne de d cembre 2008 page 2 Le rapport sp cial de la D fense l occasion du renouvellement triennal jai pu choisir un nouveau rapport et substituer au rapport du budget des Anciens Combattants celui de la D fense Il s agit du 2 budget par ordre d impor tance en volume apr s l ducation Au sein des quelques 40 milliards de ce budget Jai en charge la partie fonctionnement soit 30 milliards ce titre Je pourrai entre autres suivre le contrat de redynamisation des sites de d prise militaire qui concerne notamment notre d partement Outre cet aspect local la politique de d lense dans la strategie de Securite nationale vit actuellement des modifi cations profondes Notre Arm e se reformate pour s adapter des objectifs compatibles avec l volution du monde et la place que nous entendons y tenir Les menaces ont volu la rapidit des crises exige d autres qualit s les risques ont chang de nature ainsi que le cadre des interventions ext rieures Tout cela s articulera autour de cinq fonctions Travaux parlement D signations l occasion du renouvellement s natorial
14. ix s sur la faisabilit du projet et surtout de son acceptation car les conservatismes en la mati re d passent les clivages politiques traditionnels Le fiscaliste que je suis est convaincu que le syst me actuel ne pourra tenir longtemps sur des modalit s techniques incompatibles avec l volution des mentalit s Ce passage d licat d une re l autre n cessitera la tenue temporaire d une comptabilit double compte En tout cas je crois que l chec de ce projet serait lourd de cons quences pour l avenir des lus et leur relation avec la Nation Avec Christine Lagarde au minist re de l Economie de l Industrie et de l Emploi lors de la p paration du budget septembre 2008 La CCEN en action Ainsi que je vous en avais avis dans mon dernier bulletin la Commission consultative d Evaluation des Normes CCEN ayant pour objet d associer les collectivit s territoriales l laboration des projets de textes les concernant a t mise en place et j ai t d sign pour y si ger par le Comit des Finances Locales CFL La consultation de la CCEN sur l impact financier et technique des mesures cr ant ou modifiant des normes caract re obligatoire concernant les collectivit s territoriales leurs groupements et leurs tablissements publics est d sormais devenue une r alit Durant le dernier semestre j ai particip plusieurs r unions o nous avons tudi 63 projets de t
15. s uniforme 8 10 m tropoles seraient constitu es avec statut sp cial et on distinguerait les zones tr s urbanis es o les conseils g n raux s effaceraient au profit des communaut s d agglom ration des zones rurales o le d partement pourrait voir son r le renforc en change d un peu de gouvernance l ch e au profit des communaut s de communes D autre part on pourrait en profiter pour faire de la grande toilette en fusionnant quelques R gions ou D partements et des petits toilettages au niveau cantonal si cette entit survit Lorsque tout cela sera bien cal il ne restera plus qu discuter des finances attribu es chacun bien s r en fonction de ses comp tences ce stade certains dont je suis plaident pour une grande r forme en sp cialisant au maximum les imp ts par niveau en attribuant les imp ts locaux r form s au couple commune intercommunalit et en affectant des parts d imp ts nationaux au couple D partement R gion Cette nouvelle architecture reposerait sur un nouveau partage des responsabilit s entre l Etat et les collectivit s et la mise en place d une nouvelle gouvernance compatible avec les obligations d quilibre budg taire au niveau europ en et accepterait que la fiscalit soit globalement li e l volution du PIB et pas plus Vers une conclusion Lors de la parution de mon bulletin de mi 2009 il est tr s probable que nous serons f
16. urs bien connu des Haut Marnais puisqu il fut l invit d honneur de l Association des Maires au Congr s d partemental 2002 Chaumont alors qu il n tait que Pr sident de la Commission des affaires conomiques Da j Avec G rard Larcher juin 2008 photo S nat Du lundi au vendredi de 9 h 12 hetde14h 18h Assistantes Chaumont 10 rue du Dr Michel 52000 Chaumont T l 03 25 31 90 50 Fax 03 25 32 10 59 charlesguene wanadoo fr Assistant Paris 15 rue de Vaugirard 75291 Paris Cedex 06 T l 01 42 34 32 60 Fax 01 42 34 41 90 c quene senat fr Remise de la L gion d Honneur Pierre Jean Thomas avec Ren Protoy llloud d cembre 2008 q BS w lt t Loue ia h Remise de m dailles communales Busson en novembre 2008 avec Jacky G rard Bruno Sido Bernard Aubert Guy Depoisson Guy Roux et Fran ois Cornut Gentille Inauguration de la Yf zone des 6 oliennes mA d Is en Bassigny septembre 2008 AN avec Sophie Delong Fran ois Moisson et Yves Guillot
17. usses contre le niveau qui d cide pr l ve l imp t et distribue Le grondement qui progresse autour de la hausse du co t des ordures m nag res est cet gard symptomatique I faut responsabiliser le consommateur faire en sorte que le contribuable demeure acteur et devienne arbitre des choix Sinon plus personne ne souhaitera s aventurer g rer la cit N ana ma la maV daua voyeii ns na Cum nf e Aalan jo DED Le cadre Le Pr sident de la R publique a confi Edouard BALLADUR la direction d un Comit de R forme qui doit lui remettre au 1 trimestre 2009 une tude arr tant les principes d une rationalisation de l organisation territoriale qui en mutua lisant les moyens devrait permettre plus d efficacit des conomies et de la lisibilit pour nos concitoyens Le Comit r alise des auditions aupr s de personnes qualifi es et s appuie sur plusieurs structures ou missions temporaires e A l Assembl e Nationale la mission Cop e Au S nat la mission Larcher dont je suis Vice pr sident et pr sid e par mon coll gue Claude BELOT S nateur de Charente Maritime qui r unit 36 S nateurs de la majorit et de l opposition parit Par ailleurs au sein des parlementaires de l UMP quatre ateliers ont t constitu s sur les th mes International Comp tences Gouvernance et Finances Je co pr side l atelier Finances avec mon coll gue D
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