complet
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1. la production de plusieurs r acteurs nucl aires Mais cela restait un peu lointain et j avais le sentiment que ma petite chelle individuelle cela ne devait quand m me pas repr senter grand chose Erreur Certaines choses ne deviennent r elles l esprit que par les chiffres ce qu on imaginait tre une souris se r v le tre un l phant Le physicien que je suis s en est rendu compte cet t apr s s tre d cid mesurer l aide d un wattm tre la consommation de ses appareils en veille Cette bonne r solution a t inspir e par la lecture d un petit ouvrage intitul Un ing nieur indign uvre de Jacques Vroonen 78 Un transformateur branch dans une prise consomme tou jours de l lectricit m me s il n alimente aucun appareil On s en rend compte par le fait qu il chauffe l g rement Dans mon cas un des l phants d nich s correspondait 3 petites lampes halog nes L interrupteur de ces lampes se trouvant apr s leur transformateur ce dernier est tou jours branch R sultat ces lampes qui consomment 15 W lorsqu elle sont allum es continuent consommer pr s de 3 W lorsqu elles sont teintes Vu que ces lampes ne sont pas allum es plus d une demi heure par jour en moyenne pas plus de 2 du temps donc on peut en conclure que leur consommation est tr s majoritairement due la phase teinte sur une ann e la consommation teinte est 102. est ali ment e que 3h par jour ce qui suffit fournir l autonomie pour la journ e M me principe avec le modem son alimen tation est coup e automatiquement de minuit sept heures du matin Bien s r ces appareils continuent pouvoir tre branch s manuellement tout moment si besoin Au final apr s avoir fait le tour de mes appareils j arrive conomiser 15 de ma consommation lectrique en suivant une proc dure somme toute assez l g re de r organisation d un nombre limit de branchements R sum des conseils 1 d brancher les appareils qui ne sont utilis s qu occa sionnellement 2 brancher sur une prise avec interrupteur les appa reils souvent utilis s qui ont un transformateur lampes halog nes four micro condes machine laver 3 brancher sur minuteur les appareils dont l alimen tation peut tre interrompue tranche horaire fixe modem base mettrice de t l phone sans fil chargeur d ordinateur portable base de robot aspirateur s E a Dans mon cas grille pain robot mixeur chauffe biberon n ont pas de transformateurs et ne consomment rien quand ils ne fonctionnent pas 8 La F d ration Inter Environnement Wallonie organise trois conf rences sur le th me des nergies fossiles Les informations sur le cycle complet de ces conf rences sont disponibles l adresse www iew be spip php article5950 Voici les d tails concernant l
3. Dans un v hicule changement de vitesse automatique on pourrait penser que pour enclencher la marche avant il faudrait pousser le levier vers l avant et que pour la marche arri re il faudrait tirer le levier vers l arri re Et bien c est exactement le contraire quand on pousse le levier vers l avant on s lectionne la marche arri re e Deuxi me d faut c est l ambiguit Autrement dit on ne comprend pas tr s bien Exemple Dans les toilettes publiques de plus en plus de lavabos sont lectroniques Comment obtenir un peu de savon liquide Comment faire couler l eau Ne sachant pas o se trouve l il lectronique qui va d tecter les mains ni quoi correspondent les boutons les gens cherchent et il arrive que certains appuient sur les pictogrammes qui indiquent les fonctions et non pas sur les boutons correspondants il y a ambigu t 76 e Troisi me d faut c est la complexit L exemple qui suit est v ridique Voici ce qu il fallait faire pour d clencher un rin age suppl mentaire dans une machine laver dont nous tairons la marque Maintenir simultan ment la touche de fonction additionnelle trempage et la touche de fonction additionnelle hydro plus Enclencher la touche de mise en marche la diode lavage clignote Tourner le s lecteur de programme sur rin age la diode arr t cuve pleine s allume Enfoncer plusieurs fois la touche d
4. fois sup rieure la consommation allum e J ai d sormais d branch deux de ces lampes rarement utilis es et j ai branch la troisi me sur un multiprise avec interrupteur Je n utilise plus l interrupteur de cette lampe mais bien celui du multiprise ce qui a l avantage de couper le courant aussi dans le transformateur Cette simple modi fication m a permis de r duire de 4 ma consommation d lectricit Un design nergivore sur une ann e la consommation teinte de ma petite lampe halog ne Ikea est 10 fois sup rieure la consommation allum e l S Le kit de survie du chasseur de gaspillages lectriques 3e 2 I le wattm tre permet de mesurer la puissance F3 consomm e par tout appareil y compris en mode veille 3 2 la prise interrupteur permet de couper facilement et f compl tement l alimentation d un appareil 3 la prise programmable permet d alimenter 3 automatiquement un appareil certaines heures pr alablement choisies et de couper automatiquement l alimentation le reste du temps Ces trois accessoires sont gt disponibles dans tous les bons magasins de bricolage ou d lectronique pour respectivement environ 20 2 et 5 euros 79 Calcul d conomie d lectricit Consommation annuelle totale 1662 9 kWh Appareil puissance conso fraction utilisation conomie en veille annuelle conso journali re W kWh totale h en modem ADSL 11 4 99 9 6 0 i7 1 8 ba
5. Argerich est sauvage secr te et n aime pas les interviews Cette extraordinaire pianiste reste une nigme pour ses admirateurs et m me le livre d Olivier Bellamy ne nous renseigne pas beaucoup Quelle agr able surprise alors de d couvrir dans ce film le c t humain du monstre sacr le clan de Martha et de ses trois filles son immense trac avant ses concerts ses r flexions face la vieillesse ses caprices et la musique qui est partout Il est bien regrettable que ce film reste aussi confidentiel pour des raisons de distribution Sorti en Suisse en f vrier sous le nom d Argerich ce film do cumentairenesera pas diffus chez nous faute de distributeur Deux chances de le voir malgr tout sur la cha ne ARTE le 18 d cembre 2013 22h30 avec pourtitre Bloody Daughter il est galement disponible en DVD BLOODY DAUGHTER Apr s deux autres prix BLOODY DAUGHTER vient de recevoir le Prix Italia 2013 dans la cat gorie Documentaires Musique et Arts 85 Publi dans le bulletin n 446 de Science et Culture de novembre d cembre 2013 Les nouveaux auditoires du complexe op ra de l ULg La rentr e acad mique de l Ulg se tenait cette ann e non plus au Sart Tilman mais dans le plus grand des auditoires du nouveau complexe op ra dont la r novation est due l ing nieur architecte Daniel Dethier A cette occasion le Recteur Bernard Rentier a pr cis le nom que l on
6. avait attribu chacun des 5 nouveaux amphi th tres de 500 253 232 135 et 90 places cinq noms qui sont inscrits dans l histoire li geoise Henri Pousseur Marcel Thiry Rita Lejeune Berthe Bovy et Lambert Henri Noppius 1 Henri Pousseur 1929 2009 Henri Pousseur est l un des composi teurs europ ens majeurs de la seconde moiti du XX si cle Apr s s tre impo s comme l un des repr sentants les plus radicaux de la musique s rielle il s est int ress toutes les orien tations musicales de son temps musique lectronique musique mixte uvres mobiles Il est aujourd hui consid r comme l un des fondateurs du mouvement postmoderne en musique entre autres avec R pons 1960 et Votre Faust 1961 1968 dont l ex cution est bas e sur des choix chaque fois renouvel s des interpr tes et dans le cas de la derni re y compris du public Th oricien et p dagogue hors pair Henri Pousseur a t directeur du Conservatoire royal de Li ge et professeur l Universit de Li ge il a aussi enseign Paris en Allemagne et aux Etats Unis 86 2 Marcel Thiry 1897 1977 Po te et crivain li geois docteur en droit de l universit de Li ge Marcel Thiry est l auteur notamment de Toi qui p lis au nom de Vancouver 1924 Statue de la fatigue 1934 Vie po sie 1961 Echec au temps roman 1945 Nouvelles du grand possible 1960 Son uvre p
7. lie FUMEL Marcel GUILLAUME Claude HOUSSIER Martine JAMINON Emmanuel JEHIN Audrey LANO TTE Claude MICHAUX Luc NOIR Robert OCULA Comit de r daction B MONFORT R CAHAY C HOUSSIER et R MOREAU Veuillez envoyer vos suggestions et projets d articles bmonfort ulg ac be LEM B7 ULg Sart Tilman B 4000 Li ge amp 04 366 35 99 Mise en pages et traitement des images Aude LEMAIRE et Bernard GUILLOT Chronique Science et Culture Notre expo 2013 un nouveau succ s complet Au cours de la quarantaine de s ances de d monstrations qui ont t propos es nous avons accueilli pr s de 8 000 professeurs l ves et visiteurs individuels ou en groupes qui ont particip pendant 2 heures des dizaines d exp riences spectaculaires et parfaitement r ussies qui font la r putation de notre asbl Le th me retenu cette ann e a recueilli tous les suffrages En PHYSIQUE comme en CHIMIE l nergie est partout Gr ce une parfaite collaboration avec les D partements de Chimie et de Physique de l ULg les rh toricien ne s ont pu constater que les sciences la physique et la chimie en par ticulier peuvent donner lieu des spectacles passionnants Nous tenons remercier tout sp cialement le D partement du D veloppement Technologique du Service Public de Wallonie qui nous a notamment permis de distribuer tous les visiteurs un livret guide de 48 pages en quadrichromie lequel a re u de tr s nombreux com
8. qui ne trouve son champ d application sp ci fique du lithium dans les batteries l indium dans les crans en passant par le tantale dans les capacit s 73 Baignant quotidiennement dans un tel univers d abondance nous en oublions d o proviennent ces ressources et nous ignorons souvent que des dizaines de mines ont d tre ouvertes pour assouvir notre besoin de consommation Depuis que la Chine en 2009 a menac de ne plus exporter ses fameuses terres rares l Europe s inqui te au plus haut point de la d pendance de son industrie vis vis de mati res premi res devenues critiques Pour l Europe cela signifie concr tement qu il est temps de relancer la prospection du sous sol et de d velopper une culture du recyclage intelli gente et cologique Par la nature des exemples et l accent mis sur le recyclage cette conf rence vient en compl ment de celle consacr e Ressources dans le Rouge pour les Energies Vertes qui est disponible en PodCast sur le site www reflexions ulg ac be rubrique D cryptage Au travers de quelques exemples choisis cet expos pr sen tera l volution des technologies et la nature des mati res premi res utilis es 2 Mati re trange par Rudi CLOOTS Doyen de la Facult des Sciences Profes seur ordinaire l Universit de Li ge Vous serez invit s au travers de cette conf rence d couvrir les secrets de mat riaux tr s particuliers dot s de pro
9. Bulletin bimestriel n 446 Novembre D cembre 2013 Bureau de d p t 4031 Angleur N ISSN 0773 3429 N d agr ment P001593 Se Chronique Science et Culture e Notre expo 2013 un nouveau succ s complet 145 e Le canard buveur un mouvement apparemment perp tuel 146 e L hiver approche Une source de chaleur transportable et r g n rable 149 e Un ph nom ne analogue la surfusion IS e Notre prochaine exposition La science dans tous les sens 153 Automne malade po me de Guillaume Apollinaire 154 La nouvelle chimie 14 matin e de conf rences d couvertes organis e par la Section des Sciences et des Techniques de l Emulation de Li ge 155 Les d fauts des commandes lectroniques 158 Comment en 2 heures j ai r duit ma consommation lectrique de 15 N Lecocq 160 Conf rence Li ge Charbon l illusion d un bon filon 164 Concours de croissance cristalline 2014 Guy Van den Bossche 165 Suppl ment au voyage de Bougainville de Diderot au th tre Stine Langevin Li ge 166 Argerich Bloody Daughter Un rendez vous t l ne pas manquer A Lux 167 Les nouveaux auditoires du complexe op ra de ULg 168 Le canard buveur photographi l aide d une cam ra IR p 146 ww Publi gr ce l appui du Service g n ral Jeunesse et ducation permanente Direction g n rale de la Culture de la Communaut F
10. a conf rence qui aura lieu Li ge le mercredi 27 novembre 2013 de 19h 21h30 Universit de Li ge Salle Wittert place du XX ao t 4000 Li ge CHARBON L ILLUSION D UN BON FILON e 1 expos en anglais The unpaid health bill how coal power plants make us sick par Julia Huscher Health Environment Alliance e 2 me expos Le captage et stockage du carbone rendra t il le charbon propre par No Lecocq Inter Environnement Wallonie e 3 me expos Banques et charbon qui finance le changement climatique par Yann Louvel Bank Track e Table ronde avec les trois orateurs et questions r ponses avec le public 82 Concours de croissance cristalline 2014 par Guy Van den Bossche guy vandenbossche ulg ac be Ce concours ayant d j t pr sent dans le num ro 441 janvier f vrier 2013 du bulletin pour son dition 2014 nous nous contenterons de mentionner quelques dates Inscriptions jusqu au 31 janvier 2014 envoi des r actifs partir du 17 f vrier 2014 pr sentation de l preuve par les enseignants leurs l ves partir du 24 f vrier 2014 concours du 10 mars au 4 avril 2014 envoi des cristaux aux coordinateurs locaux avant le 11 4 14 proclamation 21 mai 2014 Tous les d tails se trouvent l adresse www chem kuleuven be bcc index frhtml Ann e Internationale de Cristallographie 2014 a t proclam e par les Nations Unies Ann e Internatio nale
11. aisser refroidir lentement sans le moindre choc II s agit d une belle transformation r versible d nergie chimique en nergie thermique L quation correspondant la r action s crit CH COONa 3H 0 aq CH COONa 3H 0 s solution sursatur e Un ph nom ne analogue la surfusion L exp rience de l ac tate de sodium rappelle un autre ph nom ne savoir un changement d tat o l eau maintenue liquide une temp rature plus basse que son point de soli dification se transforme spectaculairement et brusquement en glace Curzio MALAPARTE 1898 1957 a brillamment d crit ce ph nom ne dans son ouvrage majeur Kaputt publi en 1943 Dans ce roman l auteur raconte son exp rience de corres pondant de guerre l Est lors de la Seconde Guerre mon diale Son r cit oscillant entre autobiographie et fiction teint d humour froid et de descriptions criantes de r alisme constitue un t moignage de guerre cruel et parfois morbide Dans son livre L heure de s enivrer paru aux ditions du Seuil en 1986 Hubert Reeves s appuie lui aussi sur ce fait v ridique pour expliquer le ph nom ne physique de la surfusion 69 La trag die du Lac Ladoga extrait de Kaputt Le troisi me jour un immense incendie flamba dans la for t de Raikkola Fous de terreur les chevaux de l artille rie sovi tique ils taient presque mille se lan ant dans la fournaise bris rent l assaut d
12. de Cristallographie i YT Parmi les nombreuses ac tivit s pr vues un timbre sera mis cette occasion et il sera probablement HE pr sent officiellement le jour de la remise des prix international year of international Union le 21 mai 2014 crystallography ST http www iycr2014 org 83 2014 Suppl ment au voyage de Bougainville de Diderot Au th tre Stine Langevin Li ge l occasion du 300 anniversaire de la naissance de Diderot le th tre du Gai Savoir pr sente la pi ce Suppl ment au voyage de Bougainville dans laquelle Diderot relate avec beaucoup d humour l escale tahitienne du navigateur et explo rateur fran ais Louis Antoine de Bougainville Un des textes les plus importants de la pens e des Lumi res Une mise en sc ne pleine d inventivit aide les com diens donner du relief ce passionnant dialogue entre Diderot et D Alembert Ne manquez pas ce spectacle qui se donne encore trois fois Les 15 et 16 novembre 20h30 et le 17 novembre 15h00 T ut ME di yi Ei e CN Ti H D E iie 1 D cor de la pi ce Contact Th tre du Gai Savoir Tel 04 342 58 32 info comediedeliege be www comediedeliege be 84 Argerich Bloody Daughter Un rendez vous t l ne pas manquer par Aline Lux St phanie Argerich a r alis un film sur ses parents Martha Argerich et Stephen Kovacevich deux g ants de la musique Martha
13. ds Des animations didactiques et spectaculaires pr sent es par des guides scientifiques gt l ctricit statique azote liquide optique son transformations d nergie polym res g n tique v lo de l nergie Plan tarium de Cointe gt visites guid es pour groupes scolaires pr sent es par les animateurs de La Maison de la Science gt Stages d veil scientifique SAS 3 pour Les 9 12 ans durant Les vacances scolaires EXPO MOBIL HOMME T 26 04 2013 gt 28 02 2014 gt Ateliers p dagogiques pour les l ves du primaire Dans le cadre de l v nement i Innovations scientifiques amp techniques au service des transports Emigrations amp immigrations en Belgique La mobilit ses d fis amp ses enjeux gt Formations continu es pour enseignants du fondamental EXPO VERS LA LUNE AVEC TANIA octobre 2013 gt avril 2014 Hologrammes illusions d optique w T r EOE A Quand le Pierrot lunaire flirte avec les phases multim dia min raux galerie du P Ei P x p p r la sa PREET 4 PN e a W syt me solaire divers instruments vrir la Lun imaginair ience FAL a Ayci s RE PPO UNTIE ta NERO A d SGIENCE ee W de mesure anciens Di lune an unndra ANLAN 1ILIN O 19kn Du lundi au vendredi 10h00 12h30 amp 13h43 TT PA i iran f ria 1 RAN ends amp jours f ri s 14h00 Juillet amp ao t gt tous les jours de 13h30 18h00 ari
14. fs individu 5 E l groupe min 9 pers 00 Gratuit pour Les membres de Science et Culture Maison de La Science e ISavoir Culture Scientifique et Tenue S Ki Quai Van Beneden 22 B 4020 LI GE T 32 0 4 3665004 maison sciencefdulg ac be www maisondelascience be amp Fils Metalco SAJ Mr D 2 dou Mme Baudo Ramolux sy oin Interior sa Mr Sels 4 Chez nous vous n tes pas un num ro Seul un vrai contact vous assure un bon contrat Depuis plus de 100 ans F d rale Assurance sait combien il est important pour vous de pouvoir compter tout moment sur un vrai contact en plus d un bon contrat 4000 Li ge Boulevard de la Sauveni re 31 B t l 04 230 53 81 04 230 53 82 FEDERALE A ss uran ce Plus d info Pour rencontrer le conseiller ou le g rant de bureau de votre r gion www federale be L assureur qui partage ses b n fices avec vous 1
15. gressivement une stalagmite La cristallisation s accompagne d un d gagement de chaleur on rel ve une temp rature d une cinquantaine de degr s La mise au point de cette exp rience pr sent e ici par Rapha l Closset est due Ren Linard qui l a pr sent e lui aussi de nombreuses fois d s 1992 lors de l expo sur la Physique de l atmosph re et lors des diverses expositions sur l Energie L nergie sous toutes ses formes 29 octobre 2004 Ren Linard CF BOHREN Clouds in a Glass of Beer Simple Experiments in Atmospheric Physics p 1 2 New York John Wiley 1987 67 Cette r action chimique exothermique offre une application pratique tout fait de saison La pochette chauffante une source de chaleur transportable et r g ne rable On trouve dans le com merce des pochettes qui sont des sources de chaleur transportables et r g n rables Elles sont bas es sur l exp rience qui vient d tre d crite la cristallisation d une solution aqueuse sur ressort solution sursatur e satur e d ac tate de sodium hydrat En pliant le ressort qui baigne dans la solution sursatur e on initie la formation de microcristaux au voisinage du res sort avec pour cons quence la cristallisation imm diate de l ac tate celle ci tant accompagn e d un d gagement de chaleur 68 Pour r g n rer le syst me il suffit de placer la pochette dans de l eau chaude puis de la l
16. i une des toutes premi res actrices de cin ma belge appa raissant d s 1908 dans Assassinat du Duc de Guise de Calmettes et Le Bargy Elle a ensuite tourn dans un grand nombre de films muets et parlants dont Boule de suif de Christian Jaque 1945 jouant notamment sous la direction de G rard Bourgeois Andr Antoine Marc All gret Roger Leenhardt ou Julien Duvivier 5 Lambert Henri Noppius 1827 1889 Lambert Noppius est un important architecte li geois du XIXe si cle L Universit de Li ge lui doit notamment l ancien Institut de Pharmacie qui abrite aujourd hui une partie de la Facult d Architecture l Institut de Zoologie et celui de Physiologie r alis s dans le style n o classique II construit aussi l Observatoire de Cointe et l Institut d Anatomie dans le style n o m di val C est aussi sous sa direction que seront r alis es les sculptures de la fa ade du Palais provincial qui illustrent le pass prestigieux de la ville 88 Ces b timents ont profond ment remodel le visage de Li ge la fin du XIX si cle Institut de Zoologie Parmi les diff rentes salles seule la salle Berthe Bovy 135 places a encore l aspect d une salle de cin ma Celle ci quip e d un projecteur et d un cran sera r serv e aux cours li s au 7 e art Elle accueillera galement le Cin Club Nickelod on de l ULg qui f te ses 20 ans cette ann e et disposera donc d sormais de deux sal
17. les la traditionnelle salle Gothot et la salle Berthe Bovy http nickelodeon ulg blogspot be Pas d clairage ext rieur pour cette salle alors que tout le reste du b timent est clair naturellement gr ce une architecture privil giant la p n tration de la lumi re A mm du nn a Eda Hermann LA SS D S n 89 Le nom des salles du nouveau th tre de Li ge Au tout nouveau th tre de Li ge qui vient d ouvrir ses portes place du 20 Ao t dans les b timents de l Emulation r nov s par l atelier Hebbelinck et de Wit les salles et les diff rents espaces ont eux aussi t baptis s La grande main grande salle de 557 places La salle de l il vert petite salle de 145 places La Salle des pieds l gers un lieu d exposition La Salle des Forces vives un espace p dagogique PLACEMENTS CREDITS ASSURANCES Eric Dupont SPRL Banque amp Assurances mamn CBFA 100591A cB Rue Saint L onard 314 4000 Li ge amp 04 227 54 34 Rue Saint S verin 40 4000 Li ge amp 04 223 47 85 www fintro be email eric dupont portima be Guichets ouverts tous les jours de 9 13 h et de 14h 16h30 Les vendredis jusqu 18 h les samedis uniquement sur RDV 90 lt La curiosit n est pas un vilain d faut gt Maison de a Science BRENT TG TE aariaa akii la port e de tous petits amp gran
18. me saison que j aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu on les cueille Le vent et la for t qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille feuille Les feuilles Qu on foule Un train Qui roule La vie S coule Guillaume Apollinaire Alcools 1913 72 La nouvelle chimie 14 matin e de conf rences d couvertes organis e par la Section des Sciences et des Techniques de l Emulation de Li ge 13 novembre 2013 de 9h 12h15 Salle de la Grande Main du Th tre de Li ge 16 place du 20 Ao t 4000 Li ge Public cible les classes de sciences du troisi me degr de l enseignement secon daire les hautes coles et le public int ress par le d veloppement scientifique JOURN E D ETUDES SCIENTIFIQUES CHIMIE Participation aux frais 5 par personne Trois conf rences de 35 minutes chacune 10 minutes de questions 1 La tablette de Mendeleiev Exploration l mentaire de nos gadgets lectroniques par Eric PIRARD Professeur ordinaire l Universit de Li ge Facult des Sciences Appliqu es GeMMe G oressources Min rale De l ge de la Pierre l ge du Lithium nous n avons eu de cesse de perfectionner nos technologies Progressant dans la d couverte et la compr hension de notre environnement nous nous sommes mis exploiter toutes les ressources naturelles disponibles Aujourd hui il n y a pratiquement aucun l ment du tableau de Mendele ev
19. mentaires unanimement positifs Le Service des Affaires Culturelles de la Province de Li ge et le Service G n ral Jeunesse et Education Permanente de la F d ration Wallonie Bruxelles nous ont galement apport leur fid le et indispensable soutien Rendez vous est pris pour octobre 2014 Nous avons choisi de rappeler dans les pages qui suivent un sujet de physique le canard buveur et un sujet de chimie la stalagmite qui ont particuli rement suscit la curiosit et des interrogations tr s constructives 63 Le canard buveur un mouvement apparemment perp tuel Le canard buveur maigre oiseau au long cou plonge et replonge son bec d un mouvement lent dans un verre rempli d eau In vent en Chine il a t repris par KHorrasyrcH sorte de P re No l en Russie pour r compenser les enfants sages AN A iN Q TCA 2 Ether T aii Sch ma de fonctionnement du canard buveur La t te C2 du canard est une boule creuse recouverte de feutre Elle fait suite un long tube repr sentant le cou Le corps est constitu d une seconde boule C41 plus grosse moiti remplie d un liquide volatil II s agit ici d ther color en rouge L ther liquide isole l un de l autre les deux compartiments C1 et C2 remplis chacun de vapeur d ther Le choix de l ther n est pas innocent En effet celui ci est volatil c est dire qu il s vapore facilement car sa chaleur latente de vapo
20. mmencer Le canard buveur effectue un mouvement r p titif de balancier vers un r cipient rempli d eau 65 Le mouvement incessant du canard intrigue l observateur qui constate l absence de moteur m canique ou lectrique et qui ne se doute pas qu il s agit d un moteur thermique Le canard buveur photographi l aide d une cam ra infrarouge Ainsi qu on peut l observer gr ce notre nouvelle cam ra infrarouge le canard est une v ritable machine thermique qui poss de deux sources de chaleur une source chaude la temp rature T1 21 C et une source froide la temp rature T2 17 C Le milieu ambiant fournit la chaleur Q41 la vapeur d ther du corps et la vapeur d ther de la t te en restitue la quantit Q la source froide c est dire au feutre humide Pour am liorer le dispositif on peut aussi placer un gla on sur la t te de l oiseau clairer son abdomen apr s l avoir peint en noir _ remplacer l eau dans le verre par de l thanol 66 Voici une des exp riences surprenantes pr sent e au cours de la partie chimie Une stalagmite d ac tate de sodium Sur un verre de montre on d pose quelques cristaux d ac tate de sodium hydrat On laisse couler petit petit une solution sursatur e lim pide d ac tate de sodium sur les cristaux et l on constate qu leur contact il y a cristallisation imm diate de l ac tate de sodium qui forme pro
21. ntaines de t tes de che vaux Les t tes semblaient coup es net au couperet Seules elles mergeaient de la cro te de glace Toutes les t tes taient tourn es vers le rivage Dans les yeux dilat s on voyait encore briller la terreur comme une flamme blanche Pr s du rivage un enchev trement de chevaux f rocement cabr s mergeait de la prison de glace soldats finnois 70 En conclusion de notre chronique nous avons le plaisir de vous annoncer notre prochaine exposition destin es aux 3 me et 4 me secondaire et qui aura lieu dans la deuxi me quin zaine de f vrier 2014 h 13102 gt 27 02 2014 Domaine de l ULg B t B8 eto un asbl LA SCIENCE DANS TOUS LES SENS Renseignements et r servations 5 W 04 366 35 85 www sci cult ulg ac be EDITEUR RESPFONSABL E ROGER MOREAU SCIENCE ET CULTURE AVEC LE SOUTIEN OU SPW DGO6 D PARTEMENT DU D VELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE INSTITUT DE PHYSIQUE OS SART TILMAN Litor 7 Liaison V Alphonse Snoeck 1988 Mus e en plein air du Sart Tilman ULg Automne malade Automne malade et ador Tu mourras quand l ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neig Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits m rs Au fond du ciel Des perviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n ont jamais aim Aux lisi res lointaines Les cerfs ont bram Et que j ai
22. o tique int gre des l ments du monde du com merce et de la science et constitue une synth se originale entre le classicisme et la modernit Son uvre narrative est d inspira tion fantastique et explore les paradoxes du temps Marcel Thiry tait aussi engag politiquement dans la R sistance durant la guerre et au service de la cause wallonne par la suite 3 Rita Lejeune 1906 2009 M di viste de renomm e internationale sp cialiste de Jean Renart membre de l Aca d mie royale de Belgique Rita Lejeune a t une des premi res femmes professeures d universit Elle a enseign Li ge la litt rature m di vale fran aise d oc et d o l et mis l Universi t de Li ge la pointe des tudes occitanes Int ress e galement par l art et par l his toire elle a consacr de nombreuses publi cations l histoire de la culture wallonne et de la litt rature dialectale Son dernier ouvrage est une Anthologie de la Po sie lyrique en wallon Textes dialectaux traduits en fran ais 2004 87 4 Berthe Bovy 1887 1977 L actrice li geoise Berthe Bovy l ve de Sarah Bern hardt la Com die Fran aise s est fait conna tre dans La Voix humaine 1930 pi ce que Jean Cocteau avait crite pour elle En 1941 refusant une tourn e en Allemagne elle quitte pour 10 ans la Com die Fran aise et joue notamment sur les bou levards Arsenic et Vieilles dentelles Berthe Bovy est auss
23. part jusqu ce que la diode rin age s allume e Et enfin la diversit C est le fait qu il n y ait pas pour une fonction d termin e une proc dure standard laquelle on puisse s habituer Le passage l heure d hiver vient d avoir lieu et il s agit d s lors de remettre l heure les diff rentes horloges qui quipent de nombreux appareils four four micro ondes r veil radio horloge murale horloge de la voiture Pour cette unique action il y a autant de proc dures que d appareils Pourquoi est ce comme cela II se trouve que les 4 caract ristiques des commandes vo qu es plus haut sont les caract ristiques des langages Les constructeurs les concepteurs ne font pas de recherches pour am liorer rendre plus ergonomique ces commandes Dans les entreprises la partie ergonomie est peu consid r e et on ne va pas v ritablement s en pr occuper d s le d part Il y a des situations qui sont compl tement hallucinantes L auteur cite le cas d un industriel qui f licitait un concep teur de mode d emploi qui avait r ussi r diger un mode d emploi sans voir le produit Comment s tonner alors que les modes d emploi soient incompr hensibles et d un genre litt raire imp n trable Source mission Service public France inter 24 juin 2013 Pas facile d tre branch L analbhab tisme num rique www franceinter fr emission service bublic bas facile detre branche lanalphabetisme numeri
24. pri t s exceptionnelles capables de faire l viter un corps de d compo ser l eau de produire de l lectricit par des m canismes qui allient d placement d ions structuration auto organisation C est autant par leurs propri t s intrins ques que par la mani re de les construire que ces mat riaux fascinent les chercheurs qui les emploient Ces mat riaux prendront et prennent d j une place importante dans les catalogues d innovations technologiques destination d une soci t o le d veloppement durable est au coeur des pr occupations des citoyens 74 L auditeur sera sans doute surpris de constater que des m mes concepts s appliquent au d veloppement de nouveaux com posants de batteries ou de vitrages intelligents capables de r guler les changes thermiques d un b timent Electrochromisme photo lectrolyse supraconductivit seront donc les ma tresmots de cette conf rence qui se veut avant tout ducative et qui est un plaidoyer pour les vocations scientifiques 3 De l nergie dans nos poubelles La biom thanisation des ordures m nag res par Philippe HERMAND Ir Facilitateur biom thanisation Directeur bureau d tudes IRC L expos propos abordera les points suivants Les principes g n raux de la biom thanisation en ce com pris la d finition de la biom thanisation le principe de la fermentation ana robie en ce compris les diff rentes phases biologiques du
25. processus la description d une installation de biom thanisation de d chets m nagers les d marches suivre pour la mise en place d une instal lation de biom thanisation en ce compris la demande de permis unique les diff rentes fa ons de valoriser le biogaz produit la rentabilit d une installation de biom thanisation en abordant notamment l aide la production sous forme de certificats verts les aides l investissement les avantages fiscaux les avantages de la biom thanisation int r t conomique int r t environnemental int r t social int r t agronomique de la valorisation du digestat r t Libre Pour toute information ou inscription U L TIO T l 32 0 4 223 60 19 ou 62 05 Li ge Courriel emulation liege skynet be EM http www emulation liege be 75 Les d fauts des commandes lectroniques Lors d une mission sur L analphab tisme nu m rique France Inter Christian Morel Socio T logue et auteur de L enfer de l information ordinaire identifiait 4 types de d fauts dans la conception des commandes lectroniques arbitraire l ambiguit la complexit et la diversit En lisant ce petit r sum chacun pourra se reconna tre dans l une ou l autre situation vo qu e e Tout d abord l arbitraire Souvent il n y aurait pas de correspondance logique entre la commande et le r sultat de la commande Exemple
26. que 77 Comment en 2 heures j ai r duit ma consommation lectrique de 15 par No LEcoco Charg de mission nergie Inter Environnement Wallonie En mati re d nergie la premi re recommandation environ nementale est de r duire la consommation La meilleure nergie est celle qu on ne consomme pas a t on coutume de dire Bien conscient de ce principe j ai tou jours essay avec plus ou moins d application de mod rer ma consommation d lectricit et d en limiter les gaspillages Je me suis pourtant r cemment rendu compte que j avais en core une marge tr s appr ciable pour am liorer les choses et que cela pouvait se faire en peu de temps sans frais ni perte de confort Comment En s attaquant s rieusement aux appareils en veille et aux multiples transformateurs qui ont envahi notre quotidien ces derni res ann es Utilisant majoritairement des ampoules conomiques et des appareils lectrom nagers r put s basse consommation teignant depuis longtemps les clairages inutiles j ima ginais que des conomies suppl mentaires d lectricit ne pourraient venir que d une r duction des usages plus ou moins utiles de celle ci moins de micro ondes moins de t l moins d eau chaude Bien s r un peu comme tout le monde j avais entendu dire que beaucoup d appareils consomment m me en veille et qu l chelle de l Europe cette consommation inutile quivaut
27. ran aise www sci cult ulg ac be Editeur responsable Brigitte MONFORT Institut de Physique B5 Sart Tilman 4000 Li ge du Service des affaires culturelles de la Province de Li ge SCIENCE et CULTURE asbl Pr sident fondateur H BRASSEUR Science et Culture est une association sans but lucratif a s b qui oeuvre la diffusion des sciences et de la culture pour un public aussi large que possible Parmi ses activit s principales figurent l organisation d expositions scientifiques orient es vers le public des l ves de l Enseignement secondaire et l organisation de conf rences pour le grand public De plus Science et Culture dite des livrets guide de ses expositions ainsi qu un bulletin bimestriel l attention de ses membres A S B L Science et Culture Institut de Physique B5 SartTilman B 4000 Li ge 04 366 35 85 courriel sci cult guest ulg ac be site www sci cult ulg ac be Conseil d Administration Pr sident Herv CAPS Charg de cours au D partement de Physique de l ULg Vice Pr sidente Brigitte MONFORT Labo d Enseignement Multim dia de l ULg LEM Secr taire g n ral Roger MOREAU amp 04 366 35 85 rogermoreau hotmail com Institut de Physique B5 ULg Sart Tilman B 4000 Li ge Tr sorier Jean Marie BONAMEAU rue des Bedennes 105 4032 Ch n e Administrateurs Ren CAHAY Rapha l CLOSSET Joseph DEPIREUX Emma DINON Monique DUYCKAERTS Jean Fran ois FOCANT Aur
28. risation est basse Aux temp ratures ordinaires la pression de vapeur satu rante pression laquelle un substance est en quilibre avec sa phase liquide ou solide d ther est peu pr s 25 fois plus lev e que la pression de vapeur saturante de l eau 64 L oiseau effectue des allers retours vers de l eau dans un verre Si la t te est mouill e de l eau s vapore petit petit puisqu en g n ral l air ambiant est non satur en eau Pour passer de la phase liquide la phase gazeuse il faut fournir de l nergie ce qui provoque une diminution de la temp rature de la t te de l oiseau Or si la temp rature dans la t te diminue un peu de vapeur d ther se condense l int rieur de C gt o la pression de va peur saturante diminue La condensation fait que ce liquide vapor prend moins de place et donc la pression diminue Comme la pression en C gt est plus faible qu en C4 le liquide est aspir dans le tube et le centre de gravit de l ensemble se d place vers le haut Lorsque le centre de gravit remonte l ensemble est d s quilibr et l oiseau se penche vers l avant en se mouillant de nouveau la t te En position inclin e du gaz passe entre la partie inf rieure et la partie sup rieure de l oiseau ce qui r quilibre les pressions La colonne de liquide redescend et l oiseau reprend sa position d quilibre vertical avec son bec de nouveau humidifi le cycle peut reco
29. se robot 4 8 42 0 2 5 2 25 aspirateur base t l phone 3 2 28 0 1 7 3 15 sans fil mini cha ne audio 3 26 3 1 6 1 1 5 lampe halog ne 1 2 8 24 5 1 5 1 1 4 lampe halog ne 2 2 8 24 5 1 5 0 1 5 cha ne audio 2 6 223 1 4 0 1 4 lampe halog ne 3 2 21 9 1 3 0 1 3 metteur t l phone 1 5 13 1 0 8 17 0 2 sans fil transfo portable 1 1 5 13 1 0 8 3 0 7 four micro ondes 0 9 79 0 5 1 0 5 transfo portable 2 0 9 7 9 0 5 3 0 4 machine laver 0 8 7 0 0 4 l 0 4 t l vision 0 8 7 0 0 4 l 0 4 total 39 5 346 0 20 81 15 23 La puissance est mesur e en watt l aide du wattm tre En multipliant par la dur e d utilisation on obtient la quantit d nergie lectrique consomm e Un kilowattheure kWh est l nergie lectrique consomm e par un appareil consommant watt pendant 1000 heures ou 10 watts pendant 100 heures etc Comme on le voit dans le tableau ci dessus d autres co nomies appr ciables peuvent tre obtenues en ne laissant pas branch es en permanence les bases de chargement d ordinateurs portables de t l phone sans fil ou de robot aspirateur L lectricit continue alimenter la batterie de ces appareils m me quand ceux ci sont charg s 100 80 L utilisation de programmateurs permet de r aliser la re charge automatiquement quelques heures pendant la nuit par exemple et de ne rien consommer le reste du temps Ainsi la base de chargement du t l phone sans fil n
30. u feu et des mitrailleuses Beaucoup p rirent dans les flammes mais une grande par tie atteignit la rive du lac et se jeta l eau Le lac cet endroit est peu profond pas plus de deux m tres mais une centaine de pas du rivage le fond tombe pic Serr s dans cet espace r duit entre l eau profonde et la muraille de feu tout tremblants de froid et de peur les chevaux se group rent en tendant la t te hors de l eau Les plus proches de la rive assaillis dans le dos par les flammes se cabraient montaient les uns sur les autres essayant de se frayer passage coups de dents coups de sabots Dans la fureur de la m l e ils furent pris par le gel Pendant la nuit ce fut le vent du Nord descendant de la mer de Mourmansk Le froid devint terrible Tout coup avec un son vibrant de verre qu on frappe l eau gela La mer les lacs les fleuves g lent brusquement l quilibre thermique se brisant d un moment l autre M me l eau de mer s arr te au milieu de l air devient une vague de glace courb e et suspendue dans le vide Le jour suivant quand les premi res patrouilles de sissit aux cheveux roussis au visage noir de fum e s avan ant pr cautionneusement sur la cendre encore chaude travers le bois carbonis arriv rent au bord du lac un effroyable et merveilleux spectacle s offrit leurs yeux Le lac tait comme une immense plaque de marbre blanc sur laquelle taient pos es des ce
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