La Chirurgie ambulatoire - Centre Hospitalier de l`Arrondissement
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1. Arriv es des m decins gt Dr LAWSON Diane en Court S jour G riatrique gt Dr KHALED Asmaa en Anesth sie gt Dr SALAMEH Maha au Laboratoire gt Dr DETAVE Mathieu en R animation gt Dr FLORVAL Nathalie en G riatrie gt Dr BECART Thierry aux Urgences compter du 1 juillet gt Dr HUBERT Elsa en Psychiatrie compter du 1 juillet gt Nomination au titre de Praticien Hospitalier du Dr HELAINE Florence du service des urgences Arriv es de personnel gt DANILO Aur lie Directrice adjointe en charge du syst me d information et direction de projets gt SCREVE Catherine ing nieur qualit gt PERU Francine cadre de sant EHPAD les Myosotis D parts de personnel gt BERNARD Nicole infirmi re en chirurgie gt FAUQUEMBERT V ronique aide soignante en chirurgie gt FOURNIER Catherine aide soignante en chirurgie gt BRICHEZ Line aide soignante EHPAD les Myosotis gt VALENTINI Aicha aide soignante EHPAD les Myosotis gt ROUSSEL Elisabeth aide soignante en m decine gt REGNAUT Andr technicien hospitalier s curit incendie gt SAISON Jean Claude aide soignant en unit de surveillance continue gt MARIETTE Christine ASH USLD les Opalines Carnet du Cham Accueil des internes gt POULAIN Anne Sophie en p diatrie gt COUTECUISSSE Perrine en gyn cologie gt GAOUI Zahia en p diatrie gt PRUVOST Louis en gyn cologie gt HARLY Victor en psychiatrie gt KERB2. tre o tout le monde se retrouve A pleurer de rire Un temps d change avec les professionnels de sant du territoire M decins sages femmes pu ricultrices psychologue qui ont r pondu aux questions du public Objectif D culpabiliser les parents les rassurer Le r seau PAULINE Il regroupe l ensemble des professionnels impliqu s dans la prise en charge des femmes enceintes des nouveaux n s et des jeunes enfants du littoral et de l Audomarois Ces professionnels de sant h pitaux m decins de ville sages femmes pharmaciens pu ricultrices quipe de p dopsychiatrie et de psychiatrie de la Maison du d partement solidarit MDS avec la protection maternelle et infantile PMI du Centre d action m dico sociale pr coce CAMSP se coordonnent autour de 7 maternit s du Littoral au service de 800 000 habitants de 400 000 femmes et de 11 000 nouveaux n s par an cham chirurgie Vie des p les La chirurgie ambulatoire Vous devez b n ficier d une intervention chirurgicale Vous voulez tre pris e en charge de mani re simple rapide et s curis e La chirurgie ambulatoire se d veloppe au CHAM l intervention a lieu dans la journ e et le retour au domicile le soir m me Contrairement aux id es re ues le mode ambulatoire nest pas r serv aux seules interventions de type amygdales Aujourd hui la chirurgie ambulatoire concerne un
3. gyn cologie obst trique 30 p diatrie 18 urgences lit portes 6 r animation 8 unit de surveillance continue 6 Hospitalisation compl te Psychiatrie 45 Soins de Suite et R adaptation 40 Unit de vie Alzheimer Le jardin des Oyats 14 Urgence 26 995 passages soit une volution de 3 87 par rapport 2011 sorties SMUR 1 509 P EE Consultations g9 51064 soit une volution de 4 38 par rapport 2011 1 298 chimioth rapies nombre de B Bloc op ratoire 4 7 6 1 interventions x 2 D N O m 17 5 en ambulatoire 472 24 3479 interventions mf 28319 Imagerie radiologie conventionnelle 28 000 970 mammographies 9 500 scanners 14 836 692 actes 5 63 5 45 repas patients 6 47 0 repas personnel Interventions techniques Les chiffres IT places psychiatrie hospitalisation de jour 60 accueil de jour Alzheimer Horizon 15 chirurgie ambulatoire 8 LI h bergement EHPAD Les Oyats 80 lits EHPAD Saint Walloy 120 lits EHPAD Les Myosotis 76 lits EHPAD Les Pl iades 75 lits EHPAD Les Opalines 20 lits USLD Les Opalines 30 lits Foyer de Vie Victor Morel 65 lits FAM Victor Morel 36 lits FAMPHV Victor Morel 30 lits Laboratoire s jours M decine chirurgie obst trique 18 142 dont 940 en court s jour g riatrique Soins de suite et r a
4. HPST Lutte contre Qualit les infections nosocomiales de la prise en charge MCO W ma AI i J L Oai Ola Donni IOL r QI USE Iar Lil r TE E Uonn es Juli Qualit _ Qualite de la prise en charge SSR de la prise en charge en Mise jour 01 03 2013 Donn es 2011 Sant Mentale Adulte Udar 2 ULS Donn es ZUL 1 Cham diffusion n 38 Vous avez t nombreux participer aux d monstrations r alis es dans l tablissement du 29 avril au 6 mai dernier dans le cadre du projet de renouvellement du Dossier Patient Informatis DPI et de la Gestion Administrative des Patients GAP et nous vous en remercions La mobilisation des acteurs de terrain et la pluridisciplinarit des participants t moignent de la motivation des quipes de notre institution pour ce projet porteur d avenir Organis es en parall le sur le CHAM et le CH de Boulogne les d monstrations ont permis pr s de 1000 futurs utilisateurs environ 500 sur chaque tablissement d appr cier l ergonomie et les fonctionnalit s des solutions propos es par les 5 diteurs retenus par le Comit de Pilotage Intersystems McKesson Medasys le Syndicat Interhospitalier de Bretagne SIB et Softway Medical Cham diffusion n 38 CA P S S Projet Dossier Patient Informatis forte participation lors des journ es de d monstration A l issue de cette premi re phase le COPIL du groupement de commandes CAPSI
5. de vue p dagogique que si elle bien comprise de l ensemble des participants elle doit tre pour cela pr c d e d un contrat fictionnel le briefing et faire suite de fa on syst matique et incontournable un d briefing de simulation L objectif du briefing est de cr er un environnement favorable l apprentissage Il permet de rassurer sur l objectif de la simulation limiter les obstacles techniques assurer la s curit affective en rappelant que pendant la simulation on a le droit l erreur pas de pr jug s des comp tences hors s ance une garantie de la confidentialit en bref essayer d impliquer les tudiants ou les apprenants dans l action Deux sc narii propos s l un bas sur la prise en charge d une crise d asthme aigu au domicile par une quipe de SMUR l autre mettant en sc ne un interne des urgences et un infirmier exp riment prenant en charge une intoxication m dicamenteuse Dans la conduite de la s ance le formateur proc de par ajustements permanents du sc nario afin de maintenir les apprenants en situation de r solutions de probl mes et peut si n cessaire intervenir pour aider les apprenants en particulier quand ceux ci se trouvent bloqu s dans une situation ou pour viter d voluer vers une situation d chec Ces techniques permettent de favoriser la r alisation des objectifs p dagogiques Dans ces sc narii le formateur entre galement dans un r le de pe
6. grand nombre d actes Avec plusieurs avantages gt Ce mode de prise en charge est moins contraignant et plus confortable gt Les vies familiale et professionnelle sont peu perturb es gt L intervention est moins traumatisante Les risques infectieux li s un s jour hospitalier sont divis s par 3 gt En acceptant la proposition du chirurgien d un s jour en ambulatoire vous contribuez la r duction des d penses de sant Les interventions chirurgicales en ambulatoire au CHAM e chirurgie vasculaire chirurgie des varices e chirurgie traumatologique et orthop dique arthroscopie du genou canal carpien e chirurgie digestive chol cystectomie hernie abdominale e chirurgie urologique gestes sur la vessie sur l ur tre e chirurgie gyn cologique chirurgie de l ut rus tumorectomie sein Secr tariat chirurgie ambulatoire 03 21 89 45 85 Le CHAM dot d une nouvelle colonne d arthroscopie L arthroscopie est une technique peu agressive permettant d effectuer un certain nombre d interventions chirurgicales sur le genou Elle est parfois utilis e pour une simple exploration diagnostique de cette articulation L arthroscope est un tube de quelques millim tres de diam tre muni d un syst me optique et d un syst me d clairage il est coupl une cam ra vid o miniaturis e elle m me reli e un cran de t
7. les DPI des trois fournisseurs retenus dans la deuxi me phase du dialogue comp titif le CH de Maubeuge qui utilise Sillage le CH de Troyes o est install DxCare le Groupe Hospitalier de l Institut Catholique de Lille GHICL qui a choisi TrakCare Le point sur Processus de s lection Synth se Elimination Choix Provisoire 2 candidats Offres finales COPIL du 28 mai J Pin b N Visite de sites es A DIECI ITS i P DN R ception Offres Finales Juin Juillet Auditions A R ception Offres Provisoires R daction PFD Juillet D monstrations Envoi PFD Analyse Offres Analyse Offres Provisoires fin Juillet Finales Pour toute information compl mentaire sur le projet DPI n h sitez pas contacter la Direction du Syst me d Information et de la conduite de projets Aur lie DANILO Directrice adjointe T l 03 21 89 69 51 Elodie VASSEUR Assistante T l 03 21 89 38 69 Cham diffusion n 38 Vie Hospitali re 7 Ea Lions Club remise de ch que op ration des tulipes contre le cancer Le projet du CHAM pour la canc rologie Offrir des mallettes chaque patient pris en charge l h pital de jour pour les chimioth rapies comportant Des produits de cosm tologie non rembours s par la s curit sociale d une utilit majeure compte tenu de la toxicit cutan e des chimioth rapies savon sans savon la
8. signe de la joie et de la bonne humeur Que d enthousiasme ce Mardi la SEGPA du coll ge du Bras d Or En effet les l ves de 3 me recevaient les personnes g es des maisons de retraite St Walloy La Pl iade et les Myosotis de l arrondissement de Montreuil Dans le cadre du projet Cuisinons autour des fromages financ par l Education Nationale et le Conseil G n ral tous se sont retrouv s autour des fourneaux pour promouvoir cette action Epaul s par Mme Marianne Rolland enseignante du coll ge et par deux animatrices des maisons de retraite du CHAM Val rie Delcuse et Isabelle Soulet les r sidents et les l ves ont chang toute la journ e L objectif g n ral tait avant toute chose d organiser une rencontre interg n rationnelle afin d tablir un lien de plaisir de savoir et de connaissances C tait galement l occasion de rompre l isolement de certaines personnes g es Aussi d s le matin les changes en cuisine taient fructueux lors de l laboration du menu du jour Tartes au maroilles pizzas aux trois fromages poulet au ch vre fonds d artichaut au fromage Quant aux desserts succ s garanti avec les verrines au fromage blanc et les nombreuses tartes aux fruits Lors du d jeuner la d gustation fut un change privil gi favorisant les dialogues Bien qu intimid s au d but les l ves ont pris un peu plus d assurance Il est vrai que le personnel encadrant sait instaurer un cl
9. sous l angle physique psychique et psychosocial D veloppement des vigilances de la s curit sanitaire et en particulier de la gestion des risques Gestion des nombreux d chets hospitaliers gestion de l eau et des nergies qualit de l air ambiant Plan de mobilit des personnels et des visiteurs utilisation des ascenseurs Ma trise des d penses politique d achat et d approvisionnement co responsable R novation et transition nerg tiques certification environnementale des b timents HQE Haute Qualit Environnementale et HPE Haute Performance Energ tique Cham diffusion n 38 Cest quoi le D veloppement g Durable en sant La prise en compte de l impact sur la sant des risques environnementaux est une priorit de l Organisation Mondiale de la Sant OMS pour un monde de la sant durable Le Comit pour le D veloppement Durable en Sant C2DS pr conise e une Agence de Recherche en Sant ARDS charg e de l valuation de la promotion de la mutualisation de l innovation quand elle permet de minorer les impacts sanitaires conomiques cologiques et sociaux e La fusion des minist res de la Sant et du D veloppement Durable L h pital a par sa vocation ses missions ses activit s ses co ts sa grande fr quentation humaine personnels personnes hospitalis es ou consultantes visiteurs fournisseurs tudiants une plus grande responsa
10. IRIOU Guillaume aux urgences gt SANOGO Marina aux urgences gt DUBEAUX Jos phine aux urgences gt PASQUALINI Loren aux urgences Cham diffusion n 38 28 mars tie Les quipes du CHAM mobilis es pour une journ e d information sur le d pistage du cancer colorectal S r E k M m me Be Le Dr D Watrin galement s nateur du Pas de Calais en visite au CHAM Assembl e G n rale de l Amicale du CHAM pour une pr sentation des bilans et l annonce de l adh sion de l Amicale la F d ration des Amicales Hospitali res Les nouveaut s 2013 ouverture du site Internet mise en place de nouvelles offres locales festival Rock en stock laby par du Touquet Et un nouveau bureau lu Pr sidente Tirlois Sylvie Vice Pr sidente Gall Christiane 2 me Vice Pr sidente Fran ois R gine Tr sori re Call Charline Tr sori re adjointe Sailly Nathalie Secr taire Bourguignon Paule Secr taire adjointe Sall Christine Les autres membres Kaczmarek Diana Leroy Val rie Lehmann Ang lique Marquant Anita Sur les sites annexes sont nomm s membres relais A Campagne Deligny C line Hingrez Fran oise Boitel Franck A Montreuil Demilly Nathalie Maillet Laurence Les Blouses Roses offrent du muguet aux patients du service de Soins de Suite et R adaptation P Cham diffusion n 38 summ oaie aik a 2 is Ce Coll ge du Bras d Or Rencontre plac e sous le
11. S devait carter deux diteurs et en autoriser trois poursuivre le dialogue comp titif La d termination de ce choix s est fond e sur l analyse des offres provisoires des diteurs et sur l valuation des logiciels durant les d monstrations notamment sur la base des r sultats des questionnaires remplis par les participants Une note a t attribu e chaque candidat selon les crit res pond r s suivants Couverture fonctionnelle et contraintes techniques 35 points 100 dont 5 points sont constitu s par la note issue des questionnaires d valuation des d monstrations Q Co ts d investissement et d exploitation 30 points 100 Gestion de projet formation strat gie et d lai de d ploiement modalit s de conduite du changement 20 points 100 Ergonomie et mobilit 15 points 100 dont 10 points sont constitu s par la note issue des questionnaires d valuation des d monstrations Le classement ainsi obtenu des candidats a permis aux membres du COPIL lors de la s ance du 28 mai dernier de retenir les trois solutions ayant obtenu les meilleures notes e TrakCare DPI et Clinicom GAP Intersystems e DxCare DPI et DxBilling GAP Medasys e Sillage DPI et Pastel GAP Le Syndicat Interhospitalier de Bretagne A la suite de cette s lection des visites seront organis es au d but de l t dans des centres hospitaliers utilisant
12. TIN Le D partement d Information M dicale R alisation CAPTUR 15 rue de l Europe 62250 Landrethun le Nord T l 03 21 87 82 25 www captur tv Photos Stevens FIEVET Fotolia Imprimeur Imprimerie du D troit Cham diffusion n 38 j Ji 1 1L il TAAA ETAT AUTUA i Le LL LI m iii Lari T piar J Il TIMIN Sommaire UW N Nl A a A 10 11 12 13 14 15 16 Edito Vie hospitali re Remerciements ARS Vie des p les Action r seau Pauline Vie des p les La chirurgie ambulatoire Actu Cartographie des risques Actu Indicateurs de qualit et de s curit des soins Le point sur CAPSIS Vie hospitali re Lions Club remise de ch que op ration des tulipes contre le cancer Les 2 Rencontres de la communaut m dicale Les chiffres Activit 2012 Zoom sur Alternance int grative entre l IFSI de Berck sur mer et le CHAM Zoom sur Sant et d veloppement durable Carnet du Cham En bref Remerciements ARS E g DES ul D kee R ponse de Sat Nont Pas de Catais Bey Le Directeur G n ral Le Directeur G n ral A Lille le 20 mars 2013 Mesdames et Messieurs les Directeurs f Objet Mobilisation des tablissements de sant lors des intemp ries exceptionnelles des 12 et 13 mars 2013 Mesdames et Messieurs les Directeurs je souhaite remercier l ensemble des professionnels des tablissements sanitaires et m dico sociaux po
13. avail important d une nouvelle organisation n cessaire du travail c est un changement oblig des habitudes c est une remise en cause profonde du travail m dical qu il faut saluer Tout comme en consacrant deux pages sur le projet du Syst me d Information Hospitalier c est aussi apporter la preuve d un personnel pr t se mobiliser sur un projet ambitieux qui va modifier norm ment les comportements d aujourd hui C est un projet de grande importance avec des enjeux forts Les personnels qui participent cette d marche en ont pris conscience lors des d monstrations Je voudrais remercier les 500 personnels qui ont assist un moment ou un autre ce travail Pour l avenir d un CHAM modernis je suis tr s attach ce projet forte technologie et pratiques nouvelles Cette forte mobilisation est encourageante Si le soleil n est pas toujours au rendez vous ces derniers temps la dynamique du CHAM est l vidence beaucoup plus optimiste Philippe Boucey directeur BP8 62180 Rang du Fliers T l 03 21 89 45 45 www ch montreuil fr Directeur de publication Philippe BOUCEY Directeur Coordinatrice de r daction Laetitia BELLEVAL Charg e de communication Ont contribu l laboration de ce num ro Aur lie DANILO directrice adjointe Philippe MARECHAL responsable cologie et d veloppement durable Catherine SCREVE ing nieur qualit Eric DREUILLET formateur IFSI Dr David PA
14. bilit et un devoir d exemplarit dans la mise en place d une politique de D veloppement Durable Construire r nover acheter manager soigner SANS NUIRE sont autant de missions des professionnels de sant qui doivent se vivre en prenant en consid ration les impacts sanitaires conomiques cologiques et sociaux L avenir durable de l Humanit passe parl volutionindispensabledesmodes de vie de production de r partition de consommation de transport et des services nerg tiques La lutte contre le r chauffement climatique est non seulement une cause plan taire mais peut aussi tre le levier d un nouveau mod le de croissance la fois intelligent durable et solidaire Conf rence Environnementale d cembre 2012 Comme pour le changement climatique cet avenir ne peut s entrevoir sans une prise de conscience citoyenne et mondiale du grave recul de la biodiversit l interface des domaines eau douce et milieux marins levage agriculture infrastructures paysages amp for ts Comment s y mettre Le D veloppement Durable est une action citoyenne de tous les instants d autant plus facilit e par la transposition des bonnes habitudes prises la maison vers le lieu de travail et vice versa L approche de sujets cibl s et la diffusion prochaine de guides p dagogiques et pratiques dans notre tablissement d montreront l int r t individuel et collectif de cette interaction
15. d ateliers pratiques avec les professionnels pour s exercer des techniques sp cifiques KT intra osseux intubation difficile ventilation de l enfant et du nourrisson pr vus le 18 juin 2013 e Publication sur ces travaux d alternance int grative et de travail collaboratif concret entre l IFSI de Berck sur mer et le Centre Hospitalier de l Arrondissement de Montreuil sur mer participation au prix ANFH 2013 D velopper une alternance partenariale et int grative entre l h pital et l IFSI Encore une fois la simulation r alis e in situ dans le service des urgences a t un succ s dans son objectif d am liorer les comp tences de chacun des professionnels pr sents Cela va nous amener continuer ce travail ensemble par des ateliers pratiques en juin et une nouvelle simulation en septembre avec comme objectif de former les internes de m decine g n rale en stage sur la prise en charge de l arr t circulatoire en quipe avec le personnel infirmier Au sein de l IFS des situations plus complexes seront propos es en juin la promotion 2010 2013 afin de se pr parer leur entr e dans le milieu professionnel D velopper la simulation haute fid lit au sein de l IFSI pour la formation initiale mais aussi pour le d veloppement professionnel continu et faire d couvrir cet outil formidable pour accro tre et d velopper nos comp tences Eric Dreuillet IADE Formateur l IFSI 7 Savoldelli George
16. daptation 415 Psychiatrie 890 dur e moyenne de s jour 3 9 jours 34 5 jours m decine soin de suite et chirurgie r adaptation obst trique 31 8 jours 9 6 jours psychiatrie court s jour g riatrique journ es d hospitalisation 24 m decine chirurgie obst trique Ce 70659 24 soins de suite et r adaptation 14330 psychiatrie Cham diffusion n 38 Zoom sur Alternance int grative entre l IFSI D apr s Mucchielli la simulation consiste r p ter en s ance c est a dire sans risquer les cons quences d une erreur les paroles les gestes qu il faudra ma triser dans les situations de travail futures c est la technique reine de l apprentissage de proc dures complexes laissant peu de place l improvisation Pour la seconde ann e cons cutive les quipes du CHAM et de l IFSI de Berck sur mer ont r it r l exp rience de la simulation permettant de travailler sur l am lioration des comp tences en situation professionnelle Il s agit l aussi d une occasion pour les formateurs de lIFSI de maintenir le lien avec l h pital et de cr er de vraies unit s d int gration et situations probl mes au cours des Unit s d Enseignements UE des tudiants Le rapport de HAS de 2012 pr conisait la simulation en sant pour diff rentes raisons e jamais la premi re fois sur le patient e s curit des soins e Coo
17. ification des dangers et des risques associ s La mise disposition d outils comme les grilles de criticit gravit et fr quence de survenue des risques permet aux groupes de travail qui oeuvrent cette d marche de classer et de se focaliser sur les risques les plus importants de fa on proposer par la suite des pistes d am lioration et de r duction des risques Le r sultat de ce travail entrepris depuis 2012 offrira tout d abord aux professionnels une meilleure compr hension du risque l analyse d taill e de chaque situation permettra ensuite de mettre en place et de valider un programme d actions d am lioration pragmatique et concret dont on mesurera ensuite l efficacit Pour l Etablissement c est une fa on d avoir une vision globale de poursuivre une strat gie de pr vention en mettant l accent sur telle ou telle probl matique parce que la s curit est une composante essentielle de la qualit des soins d livr e aux usagers Le travail se poursuit avec pour objectif de finaliser la cartographie durant le second semestre 2013 Indicateurs de qualit et de s curit des soins Depuis le 30 d cembre 2009 les tablissements de sant publics ou priv s ont l obligation d afficher leurs indicateurs de qualit et de s curit des soins En application de l article 5 de la loi du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires
18. imat de confiance Les s niors appr cient norm ment ces moments car ils renouent avec le monde actif qui leur chappe parfois Et les coll giens eux profitent des anecdotes des a n s livr es avec nostalgie et motion Et la magie op re la barri re des g n rations s estompe Les jeunes n appr hendent plus le monde de la vieillesse et les seniors prouvent beaucoup de plaisir ce rapprochement Une tr s belle initiative qui devrait se r pandre au vu des retomb es r ellement enrichissantes pour chacun Projet financ 50 par le Conseil G n ral A 27 aout Pianos Folies 15h Hall d accueil du CHAM Animations dans le hall du CHAM d s 14h 19 septembre Journ e Alzheimer 20h30 salle du Kursaal Berck sur Mer Spectacle d bat Post it un possible regard sur la maladie d Alzheimer propos par la troupe La Belle histoire
19. it hydratant protection solaire pour le visage vernis contenant du silicium Le Lions club de Berck reverse une partie des b n fices de sa vente de tulipes contre le cancer au CHAM Un projet qui va permettre d aider les patients suivis en h pital de jour pour leur chimioth rapie Une somme d environ 4 000 dont le CHAM disposera de fa on p renne Les Rencontres de la Communaut M dicale Dans le but de rapprocher m decine de ville et m decine hospitali re le CHAM organisait pour la seconde ann e les Rencontres de la Communaut M dicale Sur un mode plateau t l tr s concret et direct 3 th mes ont t abord s Les Drs HACCART et LHAF ont pr sent la chirurgie ambulatoire qui se d veloppe dans l tablissement Les Drs MANSOUR et VANCORTENBOSCH ont fait un zoom sur le p le m re enfant et notamment la maternit r cemment class en niveau 2A Enfin les Drs KAHN PARMENTIER et DAMBRINE ont red fini la fili re g riatrique qui se met en place avec les structures et partenaires du CHAM rappelant la n cessit de trouver une alternative au passage des personnes g es aux urgences en l absence d urgence vitale La soir e s est conclue par un cocktail o chacun a pu continuer la discussion de fa on tr s informelle et conviviale Cham diffusion n 38 Activit 2012 Capacit d accueil lits Hospitalisation MCO 226 m decine 102 chirurgie 56
20. l vision Cette intervention est effectu e en salle d op ration sous anesth sie g n rale ou p ridurale Cette technique op ratoire permet gr ce de petites incisions et un mat riel sp cifique d explorer l int rieur de l articulation et de traiter les l sions rencontr es Elle peut ventuellement ne repr senter qu une partie de l intervention les autres gestes pouvant n cessiter une ou des incisions compl mentaires et ventuellement plus importantes Cham diffusion n 38 Cartographie des risques a La s curit des soins c est conna tre et ma triser les risques Un objectif La qualit des soins Un but La s curit du patient Une finalit La confiance et la satisfaction du patient g Cham diffusion n 38 a Les tablissements de sant sont expos s tout un panel de risques susceptibles de menacer leur organisation Mieux les conna tre c est mieux s en pr munir C est l objectif d une cartographie des risques faire un diagnostique de l ensemble des risques li s chaque processus et chaque activit Compl mentaire la r alisation du document unique qui traite des risques professionnels la cartographie met en exergue les activit s les plus sensibles et permet ainsi de hi rarchiser et mettre en place les actions mener pour supprimer viter ou minimiser le risque Le d coupage en processus permet de gagner en efficacit sur l ident
21. le journal du centre hospitalier de l arrondissement de Montreuil sur Mer DE LA COMMUNAUT M DICALE Le Edito Le CHAM un tablissement passionnant la lecture de ce num ro du mois de Juin notre journal interne CHAM Diffusion apporte encore la preuve de toute son utilit pour informer les personnels de l tablissement de l actualit de notre h pital riche et vari e chacun peut un moment se reconna tre dans une action une initiative ou autre N h sitez donc pas nous solliciter pour faire des propositions d articles reportages Support donc de communication interne j ai tenu publier dans les premi res pages de ce num ro la lettre du Directeur G n ral de l Agence R gionale de Sant du Nord Pas de Calais remerciant les personnels hospitaliers chacune et chacun d entre vous pour votre professionnalisme durant la p riode tr s enneig e du d but d ann e Comme je le dis toujours le CHAM est un tablissement passionnant une richesse humaine de son personnel tr s impliqu dans son travail des activit s m dicales importantes et de qualit une structure sans cesse en volution souvenons nous du pass regardons le pr sent En affichant fi rement en premi re page la Chirurgie Ambulatoire c est un t moignage vivant d un h pital qui s adapte au vu de l volution technologique et de la demande des patients notamment Mais pour ce faire c est un tr
22. ons des situations probl mes encore appel es situations embl matiques et au fur mesure de leur avanc e dans leur unit d enseignement les tudiants vont r soudre les probl mes Les unit s d int gration doivent permettre aux tudiants d utiliser des concepts et de mobiliser un ensemble de connaissances connaissances d claratives conditionnelles ou proc durales ainsi que des habilit s techniques et comportementales Rien ne remplace le terrain pour cr er des situations et favoriser les acquisitions La simulation certes mais l alternance entre lPIFSI et les stages fait galement grandir l tudiant Cette confrontation permanente va lui faire acqu rir de plus en plus de comp tences c est ce qu on appelle l alternance int grative ou jit rative Ces connaissances conditionnelles responsables du transfert des situations d apprentissage sont fondamentales pour les comp tences des futurs infirmiers Cest gr ce cette alternance int grative ces allers retours entre l h pital et l IFSI ces confrontations entre diff rentes situations r elles et simul es que l tudiant va affiner et accro tre ses comp tences La notion de parcours d apprentissage se substitue celle de p dagogie par objectifs Elle oriente l apprenant en fonction de ses besoins individuels de formation et son projet professionnel Il labore en collaboration avec son r f rent de suivi p dagogique son parcours d apprenti
23. p ration entre les universit s et les structures de soins ou les instituts de formation e outil de validation des comp tences des professionnels Ce rapport d finit la simulation ainsi Utilisation d un mat riel comme un mannequin ou un simulateur proc dural de la r alit virtuelle ou d un patient standardis pour reproduire des situations ou des environnements de soins pour enseigner des proc dures diagnostiques et th rapeutiques et permettre de r p ter des processus des situations cliniques ou des prises de d cision par un professionnel de sant ou une quipe de professionnels De ce rapport est sorti en d but d ann e 2013 un guide de bonnes pratiques en mati re de simulation en sant En effet la simulation en sant s adresse tous les professionnels de sant et permet la fois e De former des proc dures des gestes ou la prise en charge de situations e Acqu rir et r actualiser des connaissances et des comp tences techniques et non techniques travail en quipe communication entre professionnels e Analyser ses pratiques professionnelles en faisant porter un nouveau regard sur soi m me lors du d briefing e Aborder des situations dites risque pour le patient et d am liorer la capacit y faire face en participant des sc narios qui peuvent tre r p t s e _Reconstituer des v nements ind sirables de les comprendre lo
24. rs du d briefing et de mettre en uvre des actions d am lioration de la qualit et de la s curit des soins C est en essayant de suivre ces recommandations que nous avons propos avec le Dr Patin Praticien Hospitalier en r animation et aux urgences du CHAM Alain Vanbellingen cadre formateur Fl IFSI une simulation dans le service des urgences le 8 f vrier dernier LA SIMULATION Une simulation collaborative avec le Docteur Kahn Chef de service des urgences le Docteur Robin coordinateur de la formation des internes Pierre Marc Cousin Cadre sup rieur du p le et Herv Lemoine Cadre du service des urgences Une formation destin e au personnel des urgences et pour laquelle nous nous sommes essay s cette ann e un travail en interdisciplinarit entre internes infirmi res jeunes recrues et plus exp riment es aides soignants ambulanciers du service Les objectifs e Evaluer des internes par le m decin e Evaluer les infirmiers par leurs pairs e Evaluer les pratiques professionnelles la fois dans les habilit s techniques et non techniques travail d quipe en interdisciplinarit la place de leadership la communication dans l quipe la place du stress et le Crises Ressource Management e R ajuster les sc narii et la programmation des mannequins e Etudier en fin de formation l impact de la simulation sur les participants Cette simulation ne peut tre efficace d un point
25. rsonne suppl mentaire g rer facteur qui entre bien en compte dans l valuation des habilit s non techniques et plus particuli rement du CRM habilit indissociable de la r alit du terrain en situations d urgence Faisant suite au d roulement du sc nario point d orgue d une s ance de simulation le d briefing Pas de simulation sans d briefing de Berck sur Mer et le CHAM Il comporte g n ralement 3 phases e La phase descriptive l apprenant s exprime en confiance et il est invit livrer ses impressions et ce qu il a ressenti motions sentiments le tout sans aucun jugement e La phase d analyse Elle permet d explorer les raisons pour lesquelles les actions ont t r alis es ou non r alis es et d interpr ter ou d expliciter les raisonnements sous jacents aux d cisions prises Pendant cette phase l apprenant active ses connaissances ant rieures il valide les raisonnements corrects et reconstruit les raisonnements erron s r le du conflit cognitif et sociocognitif 8 e Phase d application ou de synth se Les praticiens r flexifs apprennent se corriger et assimiler de nouvelles exp riences pour les utiliser ult rieurement Ils am liorent long terme leur comp tence professionnelle en travaillant leur transf rabilit des apprentissages en simulation vers des situations cliniques quotidiennes La prise en compte de l impact motionnel fait pa
26. rtie de la gestion globale du d briefing par le formateur En effet celui ci doit tre capable de r agir face deux l ments rencontr s fr quemment pendant la simulation e La gestion du stress savoir parler de son stress et identifier la mani re d en abaisser le niveau permet en se raccrochant des arbres de d cision par exemple de mieux y faire face ult rieurement en situation r elle e La gestion du constat d chec l investissement psychologique demand aux apprenants lors des s ances de simulation est important et peut conduire des situations de d briefing difficiles en cas d chec lors du d roulement du sc nario de simulation Le formateur ne doit pas laisser l apprenant sur ce constat et doit avant tout le rassurer et lui apporter des solutions concr tes pour l aider affronter cet instant de doute qui va lui permettre d accro tre ses comp tences Pendant cette phase de d briefing les formateurs et les observateurs ne sont pas l pour juger remettre en question les comp tences professionnelles des personnes qui ont fait la simulation mais bien pour am liorer ensemble ses comp tences s interroger sur l action et r soudre en quipes multi professionnelles des probl mes de situations Ces techniques de r solution de probl mes c est ce que nous faisons avec les tudiants pendant leurs unit s d enseignement dans ce qu on appelle des unit s d int gration Chaque semestre nous leur cr
27. s simulation et formation h pitaux Universitaires de Gen ve mai 2011 8 Secheresse Thierry Le d briefing DU P dagogie active et simulation en sciences de la sant Amiens Mars 2013 RENOU Judith Le d briefing en simulation m dicale Techniques et outils p dagogiques DU de p dagogie des sciences de la sant 2012 1 Concepts Connaissance exp rience ou savoir personnel r sum et condens dans un mot 1t Savoir savoir faire savoir tre et le savoir agir 12 Connaissances conditionnelles r sum es par le quand et le pourquoi 5 Les situations embl matiques formation suivie au sein de l IFSI de Berck par Formaction Partenaires janvier 2013 Cham diffusion n 38 Zoom sur Sant et D veloppement Durable Toute la soci t est concern e par l avenir de notre plan te gouvernements collectivit s territoriales acteurs conomiques associations institutions publiques amp priv es entreprises chacun a un r le jouer Le D veloppement Durable se d cline aussi bien au niveau local que global l chelle du village comme celle de la plan te celle du domicile comme celle de l entreprise Chaque citoyen doit se sentir responsable des progr s accomplir et y participer tant dans ses activit s professionnelles que priv es Prise en compte de la qualit de vie au travail priorit la promotion de la sant des professionnels de sant
28. ssage et dispose du portfolio comme outil de tra abilit DES ACTIONS CONCRETES Les simulations organis es ces deux derni res ann es avec des professionnels du service des urgences vont conduire des actions concr tes e Cr ation au sein de PIFSI de salles de simulation avec salle technique et salle d observation d briefing qui pourra servir en formation initiale pour les tudiants mais aussi dans le cadre du d veloppement Professionnel Continu en valorisant l valuation des pratiques professionnelles et le travail en interdisciplinarit juillet 2013 1 Mucchielli m thodes actives dans la p dagogie d adultes 2 Haute Autorit de Sant Rapport de mission Etat de l art national et international en mati re de pratique de simulation dans le domaine de la sant Dans le cadre du d veloppement professionnel continu DPC et de la pr vention des risques associ s aux soins janvier 2012 page 7 11 3 HAS Guide de bonnes pratiques en mati re de simulation en sant valuation et am lioration des pratiques d cembre 2012 4 Ibidem 3 page 5 gt CPA SimUSant DU de p dagogie active et de simulation en sant CHU d Amiens Universit Jules Vernes mars 2013 6 CRM Crisis Ressource Management Zoom sur e Cr ations de sc narii de formation en collaboration avec des professionnels de terrain sensibilis s ces nouvelles techniques p dagogiques e Mise en place
29. ur leur professionnalisme et leur d vouement dans la gestion d l pisode neigeux que nous avons connu CES derniers jours Dans des conditions particuli rement difficiles la solidarit et la disponibilit des quipes ont permis d assurer la continuit du service public sans pr judice pour la s curit des patients i aucun incident sanitaire majeur n est venu ternir la gestion de ces intemp ries c est en grande partie gr ce aux capacit s d adaptation et de r silience de vos quipes Je vous prie donc de bien vouloir leur transmettre m s remerciements pour leur comportement et leur efficacit face aux conditions m t orologiques d favorables Je vous prie d agr er Mesdames et Messieurs les Directeurs l expression de mes salutations e aar Les wt Cham diffusion n 38 g DM Action R seau Pauline Zi Parce que les pleurs du b b sont une des principales pr occupations des parents qui se sentent le plus souvent d munis le R seau P rinatal Pauline et les professionnels de sant du territoire CHAM PMI IDAC Camiers professionnels lib raux ont organis une animation th trale B b mode d emploi Que faire face aux pleurs de mon b b Cham diffusion n 38 Le jeudi 11 avril au Cin ma le FAMILIA de Berck une action en 2 temps e Une pi ce de th tre o lon retrouve Jean et Sophie dans diff rentes situations face aux pleurs de leur b b Une pi ce de th
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