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les annexes () - Bruxelles Environnement

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1. 58
2. Lambris Bois divers Palette de stockage Plastiques Films plastiques Emballages Tube et profils Ch ssis PVC Isolants Laine de roche Laine de verre Polystyr ne extrud Polystyr ne expans Polyur thanne Mousse de PVC Cellulose Chanvre Li ge Papier carton Emballages Sacs de ciment Papier Divers Colle animale Colle v g tale Mastic l huile de lin Peintures et vernis en phase aqueuse 36 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Batteries et accumulateurs S ches au mercure Batterie au plomb Accumulateurs et piles Classe 1 rechargeables Piles alcalines Piles salines Emballages Emballages de pesticides Emballages souill s Produits de protection Protection du bois Peintures Peintures synth tiques Peintures solvants Peintures vinyliques Colles Colles synth tiques thermoplastiques Colles synth tiques thermodurcissables Colles tapisser Huiles Huile de d coffrage Huile de d polissage Huile de forage ou d coupe Solvants Solvants chlor s Solvants oxyg n s ther ac tone Solvants p trochimique white spirit Solvant d origine v g tale Mat riel souill Amiante D bris et terres
3. Prix sp cifique de la chaudi re moindre mais il faut tenir compte des co ts de chemin e et de distribution et d encombrement On peut compter un surco t total de 600 logement tout compris entre 150 et 975 Igt en fonction de l ampleur des r seaux Au milieu de cette vari t de surco t le surco t d une chaudi re condensation ne se sent pas 57 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Chauffage individuel gaz Avec circuit commun Avec circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distribution commune Confort ECS Il faut g rer les risques li s la l gionelle du fait du stockage et de la boucle de distribution Mais ce risque semble faible dans les immeubles appartements La production sanitaire instantan e pr sente un confort d utilisation moindre besoin d un d bit minimal de puisage temp rature fluctuant avec le d bit mais ne pr sente pas de perte de stockage Une am lioration du confort est apport e par les chaudi res modulantes C est la puissance n cessaire la production instantan e deau chaude sanitaire qui impose une surpuissance de la chaudi re en mode chauffage voir ci dessus Distribution d ECS Pertes de la boucle de distribution et du stockage
4. D chets assimil s aux d chets m nagers D chets provenant de la construction de la d molition ou de la r paration de b timents de routes et d ouvrages d art l exception des d chets d amiante d asphalte de bois et de mati res plastiques D chets non dangereux de nature chimique organique D chets de parc jardins Mati res d terr es non pollu es sable argile terre gravier D bris et d chets provenant de la d molition asphalte D bris et d chets combustibles provenant de la d molition bois plastique Tableau d taill Classe 3 Inertes structure B ton arm B ton non arm Blocs de ma onnerie Briques Gravats m lang s Inertes autres Tuiles Fa ence C ramique Mortier Pierre naturelle Pierre reconstitu e Terres de d blais Terre non pollu e Sable non pollu Gravier non pollu 35 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Classe 2 M tal structure Poutre et colonne acier Armatures M tal parach vements Aluminium Fer Zinc Cuivre Inox Bois structure Poutre et colonne en bois plein Poutre et colonne en lamell coll Bois parach vement El ments en bois plein Panneaux particules Plancher parquet
5. La dur e de vie de l tanch it ne pourra donc qu tre prolong e avantage non n gligeable puisqu une toiture verte se caract rise par un complexe d tanch it 24 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs inaccessible ou difficilement accessible une fois la mise en place des diff rentes couches constitutives de la toiture verte Remarque L tude du CSTC montre effectivement la fluctuation journali re de la temp rature atteinte au niveau de l tanch it par rapport la fluctuation de la temp rature ambiante Ces r sultats permettent d envisager la prolongation de la dur e de vie de l tanch it sans toutefois pouvoir pr ciser celle ci sur une chelle de temps Q Inconv nients 00 01 01 02 A l chelle du b timent Surcharge structurelle La v g talisation des toitures implique un apport plus ou moins cons quent de drainage de substrat et de v g tation La surcharge inh rente cette masse suppl mentaire ainsi qu au poids de l eau en cas de forte pluie doit tre r partie sur l ensemble de la structure du b timent Toiture v g talis e de 30 100 kg m de surcharge Toiture jardin l g re de 100 400 kg m de surcharge Toiture jardin gt 400 kg m de surcharge Surcharge moyenne pr vue pour toiture plate traditionnelle est de 100kg m 2 Au niveau du projet de construction les cons quences de cette surcharg
6. Pinaceae Epic a Pinaceae D veloppement trop important D veloppement trop important Thuja g ant Cupressaceae D veloppement trop important Cat gorie des arbustes et plantes ligneuses Am lanchier Malaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Bambou Poaaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Budl a Buddileiaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Palommier Ericaceae Renou e Polygonaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Sureau Caprifoliaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Spartine Poaceae Syst me radiculaire perforant ou tr s tendu Cat gorie des plantes herbac es Chiendent Poaceae D veloppement envahissant Herbe aux goutteux Apiaceae D veloppement envahissant Lyseron Convolvulaceae D veloppement envahissant Renoncule rampante Ranunculaceae D veloppement envahissant Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs ANNEXE 7 CLASSIFICATION DES D CHETS Tableau g n ral Annexes Classe 1 Classe 2 Classe 3 D chets dangereux pr trait s D chets d origine m nag re D chets strictement inertes D chets dangereux contenant de l amiante
7. et ne demandant aucun apport d eau et d engrais 2 esth tique Le type de v g tation autoris limite la diversit et l esth tique de ces espaces Afin de diversifier davantage le type de v g tations on peut combiner une toiture v g tation extensive avec des plantations en pots 3 accessibilit L acc s la toiture v g talis e n est pas autoris les mousses et s dums ne r sistant pas au pi tinement Toutefois un am nagement dalles sur plots peut tre pr vu pour permettre la circulation sur la toiture 4 entretien La toiture verte v g tation extensive demande tr s peu d entretien contr le annuel des vacuations d eau la fin de l automne suppression des plantes non pr vues initialement et apparaissant ventuellement par la suite 5 surcharge Vu la faible paisseur du substrat lt 10cm la surcharge est peu importante et varie entre 30 et 100 kg m2 La toiture v g talis e peut donc tre r alis e en r novation sur quasiment tous les types de support 19 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Q R sum Toiture jardin Toiture jardin l g re Toiture v g talis e paisseur gt 0 25 m Entre 0 1 et 0 25 m lt 0 im surcharge gt 400 kg m 100 400 kg m 30 100 kg m r alisation r novation souvent non selon type de support oui construction tudier tudier o
8. molition traditionnelle n cessite en g n ral une quipe de 2 4 personnes et un chef de chantier 49 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Photos du chantier D pose de la laine de roche Entreposage des d chets bois Les conteneurs 50 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Bilan conomique gt Co t total de la d construction 554 914 gt D composition des d penses nettoyage 1 d montage 13 abattage 22 concassage 33 traitements des d chets 23 d samiantage 8 gt Comparatif avec une d molition traditionnelle En tenant compte des b n fices obtenus par la revente de certains mat riaux m tal menuiseries pav s le surco t de l op ration est de 12 par rapport une d molition traditionnelle 51 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 11 COMPARAISON ENTRE LE CHAUFFAGE INDIVIDUEL ET LE CHAUFFAGE COLLECTIF 52 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Chauffage individuel gaz Avec circuit commun Avec circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distr
9. ou laine de roche sont consid rer comme fibres respirables au m me titre que les fibres d amiante Le caract re respirable d une fibre d pend de Ald hyde formique ou formol Petit Robert Le formald hyde est une substance chimique servant divers emplois il permet de coller lier durcir conserver et d sinfecter Le formald hyde entre dans la composition de nombreux produits et est principalement utilis pour la fabrication de r sines synth tiques r sine ur e formald hyde r sine m lamine formald hyde r sine ph nol formol Ces r sines sont utilis es comme liants pour les panneaux particules et le contreplaqu Le formald hyde est une substance organique simple compos e de carbone d hydrog ne et d oxyg ne Dans l air il se d compose rapidement en dioxyde de carbone et en eau sans produire de d chets toxiques Si cette transformation s effectue dans le corps humain elle n est pas sans cons quence selon la concentration et le temps d action le formald hyde peut provoquer des irritations des muqueuses des troubles chroniques des voies respiratoires des bronchites chroniques De plus sous contact direct avec la peau le formald hyde peut provoquer des r actions allerg nes INSTALLATION D INCINERATION Tout quipement ou unit technique fixe ou mobile destin sp cifiquement au traitement thermique des d chets avec ou sans r cup ration de la chaleur p
10. pende pas uniquement des produits de construction l utilisation de mat riaux faible mission de COV participe l am lioration de l environnement int rieur Pr sence de m taux lourds Certains mat riaux dont les peintures les vernis et les produits de traitement du bois peuvent contenir des m taux lourds plomb titane Ceux ci sont nocifs pour la sant de l homme Emission d ozone ou autre gaz La fabrication de certains mat riaux peut engendrer l mission de gaz toxiques ou nocifs pour la sant des tres vivants et pour l environnement Il s agit notamment de COZ d ozone Radioactivit Tous les mat riaux provenant de l corce terrestre contiennent des l ments radioactifs naturel dont l uranium 238 le thorium 232 et le potassium 40 Le taux de radioactivit l int rieur d un b timent est r glement directive europ enne 90 143 du 21 f vrier 1990 14 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Cette analyse est effectu e au cours des diff rentes tapes du cycle de vie savoir a b 9 la fabrication la mise en uvre la dur e de vie dans le b timent l limination en fin de vie Le tableau reprend les colonnes suivantes Le type de mat riaux suivant son utilisation dans le b timent Quelques caract ristiques constructives du mat riau Une analyse succincte en terme de d veloppement durable Les avantages sant du
11. r cu p ra tion Toit plat recouvert de gravier 60 Toit plat recouvert de mati res 80 synth tiques ou bitume Toit plat v g tation extensive 2 50 10cm 70 Toit plat v g tation intensive peu 30 labor e 10 25cm 40 Toit plat v g tation intensive 10 labor e gt 25cm 20 Source Ademe et KUL Il est galement noter que la surface de toiture disponible est galement un facteur important En effet pour un m me rendement une toiture v g tation extensive n cessite une surface de toit de 100m toiture v g tation intensive peu labor e n cessite une surface de toit de 171m toiture v g tation intensive labor e n cessite une surface de toit de 400m 2 Accessibilit la toiture verte v g tation extensive L accessibilit de la toiture verte d pend de la nature de la v g tation toiture v g tation intensive La toiture verte v g tation intensive tant comparable un jardin traditionnel l acc s et la circulation pi tonne y sont autoris s Elle permet dans le cas de construction en zone de forte densit de recr er des espaces verts l usage du public toiture v g tation extensive La toiture verte v g tation extensive est constitu e de s dums de mousses et de plantes vivaces ne r sistant pas au pi tinement Il est donc exclu de circuler r guli rement sur la surfa
12. s en int rieur et uniquement lorsqu ils s av rent r ellement n cessaires en ext rieur COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS Annexes Is ont la particularit de s vaporer et de se transformer en gaz ou en vapeur la temp rature moyenne des logements Il existe de nombreux COV parmi la centaine de COV connus une cinquantaine est fr quemment mesur e dans les b timents Le plus connu est le formald hyde Les COV sont produits par diff rentes sources de pollution notamment l ext rieur du b timent par le trafic routier et l int rieur du b timent par les activit s humaines fum e de tabac produits de nettoyage d sodorisants par l ameublement par les sources de combustion chauffage cuisson et par les produits de construction Les effets des COV sur la sant sont aussi vari s que leurs natures chimiques Certains COV ne g n rent qu un l ger inconfort d autres peuvent provoquer des maladies graves Les cons quences sur la sant d pendent essentiellement de leur nature et de leur concentration dans lair ambiant int rieur Les effets sur la sant selon le taux de concentration et la toxicit des COV sont les suivants g ne olfactive irritation inflammation yeux nez gorge et peau allergies respiratoires signes neurologiques troubles h patiques digestifs et r naux effets canc rig nes L mission de COV au niveau des mat riaux de construction es
13. La toiture jardin l g re constitue l interm diaire entre la toiture v g tation intensive labor e et la toiture v g tation extensive Ce type de toiture peut tre r alis sur un support dont la pente varie entre 2 57 Pour des pentes importantes des dispositifs de retenue des terres doivent tre pr vus Composition La toiture jardin l g re est compos e d une dalle de structure d un b ton de pente d un pare vapeur d un isolant thermique d une tanch it d une protection m canique d une couche de drainage d une couche filtrante d un substrat entre 10 et 25 cm et de v g tation 17 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Caract ristiques 1 type de v g tation Les v g tations extensives et intensives de petites tailles gazon plantes basses petits buissons lichen mousses peuvent y tre plant es 2 espace esth tiquement d velopp Le type de v g tation autoris sur ces toitures permet de r aliser des espaces esth tiquement int ressants et vari s 3 accessibilit L acc s et la circulation sont autoris s sur une toiture jardin l g re La toiture verte v g tation intensive peut tre utilis e comme espace de d tente et de jeux 4 entretien L entretien d une toiture jardin l g re est comparable celui d un jardin traditionnel tonde taillage enl vement des mauvaises he
14. d eau obtenir est de 29 m Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 4 BILAN ENVIRONNEMENTAL DES MAT RIAUX Remarque pr alable Ce tableau est le r sultat de 6 mois de recherche Il na pas la pr tention d tre abouti et d finitif Ce n est qu un premier jet qui m riterait plusieurs ann es de recherche vu la difficult actuelle de rassembler des informations suffisamment objectives que pour tre prises en compte Cependant gr ce une demande de plus en plus importante de la part des auteurs de projets et des ma tres d ouvrage voulant s inscrire dans une d marche durable et une l gislation europ enne qui tend se renforcer ce tableau va nous l esp rons dans les ann es venir s toffer et voluer rapidement MODE D EMPLOI DU TABLEAU Les mat riaux sont class s en fonction de leur utilisation dans le b timent structure parois ext rieure isolation Les diff rentes colonnes reprennent L origine du mat riau gt Locale la provenance ne d passe pas les fronti res de la Belgique gt Europ enne la provenance ne d passe pas les fronti res de l Europe gt Mondiale la provenance d passe les fronti res de l Europe Les impacts g n r s par la fabrication du mat riau gt La pollution g n r e par la fabrication fabrication peu polluante fabrication polluante fabrication tr s polluante gt
15. du bois Ent 40 km 2 940 km 57 Longeville Les St Avold E Energ tique GIREV 88 Chatenois H8km gt 944 km Vere Valorisation mati re FARRAIRE SA 88 StMenge 129 km 258 km ner ak recyclage M taux ne Valorisation mati re Ets WITTMANN 57 Basse Ham 36km 3600 km Re vi recyclage Structures m talliques R utilisstion 1 agriculteur 1 garagiste Neos Valorisation mati re C R D T 54 Domj vin 114 km 998 km Un 2 recyclage DTOD fots citemes Traitement des CEDILOR 57 Malancourt 24 km L 96km e O E AL iquides B tons souill s par CET France D CHETS 54 Jeandelaincourt 35 km 70 km es hydrocarbures z DIB y compris CETS l ESPAC 57 F vy 17km 1734 km tanch it Laine de verre CET 9 ESPAC 57 F vy 17 km 1734 km Polystyr ne Papier i Amiante C E T 3 Aminte ciment BARISIEN 54 Conflans t 30 km 240 km E C E F 1 quipements France DECHETS 54 Jeandelaincourt 30 km 240 km Moyens mis en uvre lors du chantier de d construction gt Moyens mat riels une pelle quip e d une pince trier un chargeur une pelle Un concasseur gt Total d heures prest es d montage 2586 heures gestion des d chets sur chantier et leur vacuation 1241 heures d pose des pav s 100 heures abattage des structures et cloisons 757 heures tri compl mentaire 206 gt Nombre d ouvriers sur le chantier de d construction 10 ouvriers une d
16. pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs L utilisation et l entretien du mat riau Cette colonne donne un aper u sur la capacit de mat riau s inscrire dans la dur e en conservant ses performances physiques dans le temps gt Capacit du mat riau s inscrire dans la dur e Peu durable dur e de vie lt 25 ans Durable 25 ans lt dur e de vie lt 50 ans Tr s durable gt 50 ans gt Entretien du mat riau demande pas ou peu d entretien entretien gt 10 ans demande un entretien mod r 5ans lt entretien lt 10 ans demande un entretien r gulier entretien lt 5 ans La dur e de vie du mat riau Cette colonne donne un aper u chiffr de la dur e de vie d un mat riau Elle est mettre en relation directe avec la colonne nergie grise Exemple le b ton arm dur e de vie gt 50 ans le vinyle dur e de vie gt 25 ans Les possibilit s de recyclage Cette colonne donne un aper u des possibilit s de recyclage et des diff rentes fili res Tous les mat riaux ne pouvant tre recycl s une information est galement donn e sur l limination envisager __ incin ration avec valorisation thermique mise en d charge limination probl matique ou dangereuse R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES DU TABLEAU Livres Le Guide de l Habitat Sain Suzanne et Pierre DEOUX ditions MEDIECO 2002 _ L Ecologie dan
17. s ou de mat riaux comme mati re secondaire En principe le recyclage n cessite un traitement minimal et permet la r utilisation des mat riaux respectivement des l ments dans leur secteur d origine Valorisation consistant en la r cup ration de mati res premi res ou de produits de d chets l exclusion de l nergie RECYCLAGE EN DOWNCYCLING Mati re respectivement mat riau usag r utilis une seconde fois comme mati re premi re La valorisation des d chets et notamment le recyclage permet d obtenir des mati res secondaires La d finition et les crit res de qualit de ces mati res doivent faire l objet de normes techniques MISE EN DECHARGE Le downcycling est un terme anglo saxon qui d signe un recyclage dans des applications faible valeur ajout e Ce proc d permet de recycler un mat riau pour la production de biens d exigence technique moins contraignante REUTILISATION D p t autoris de d chets dans une d charge contr l e Les caract ristiques des d chets d pos s d pendent du type de d charge OZONE Forme allotropique de l oxyg ne contenant trois atomes dans la mol cule gaz bleu et odorant qui se forme dans l air Petit Robert L ozone est un gaz essentiel dans la stratosph re pour nous prot ger des rayons du soleil C est un gaz tr s toxique respirer qui poss de une odeur acre et qui est tr s r actif C est un polluant d
18. valeur quelqu un ou quelque chose Utilisation de d chets comme mati re premi re Annexes Prise en compte s par e des d chets provenant de la production et de la consommation en vue d un traitement permettant la r introduction dans les circuits de production La valorisation permet d utiliser les d chets comme mati res premi res secondaires La valorisation des d chets r duit la consommation de mati res premi res ainsi que les besoins en capacit de transformation et en volume de d charge Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 2 CHASSE WC DOUBLE COMMANDE AVEC AMPLIFICATEUR CHASSE DOUBLE COMMANDE AVEC AMPLIFICATEUR Les chasses wc double commande 2 5 4 litres exigent dans leur utilisation une cuvette appropri e et une adaptation de la conception des conduites d vacuation afin d viter les probl mes d obstruction et plus particuli rement dans les conduites horizontales En effet dans ce type de chasse le faible volume d eau vacu n atteint pas toujours un d bit suffisant pour entra ner les mati res f cales lesquelles vont d s lors se d poser dans la conduite et augmenter sensiblement le risque d obstruction Pour rem dier cet inconv nient un amplificateur de d bit est plac au pied des colonnes d vacuation ou sur un branchement d une conduite horizontale Cet amplificateur de d bit a
19. 4 FONDERIE MANUFACTURE METAUX 111 Rue Paepsem 1070 BRUXELLES 02 346 28 52 1000 BRUXELLES HENSMANS 188 Rue de l Obus 02 523 98 38 1070 BRUXELLES MAYERS 30 40 Rue d Anethan 02 215 90 33 1030 BRUXELLES MULTISERV 100 Rue A Maes 02 728 02 11 1130 BRUXELLES RECUPERMAT 42 Rue de la Pr voyance 02 511 02 73 SERCK METALS RECYCLING 28 36 Rue Vanderstraeten 1080 BRUXELLES 02 410 53 32 SOGEM 31 Rue du Marais 1000 BRUXELLES 02 227 77 58 STEVENS amp co 31 Rue Sainte Marie 1080 BRUXELLES 02 411 58 00 TRIBEL METALS 158 Rue Saint Denis 1190 BRUXELLES 02 346 39 39 41 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Valorisation des mati res plastiques Annexes 1600 SINT PIETERS LEEUW Nom de l entreprise Adresse T l phone EUROCYCLING 6 Avenue V sale 010 24 26 20 1300 WAVRE INDUPLAST 424 Chauss e de Mons 02 377 85 18 RAFF PLASTICS 49 Kaaskantmolenstraat 1840 LONDERZEEL 052 30 13 22 Valorisation du papier et carton Nom de l entreprise Adresse T l phone ALLARD amp FILS 15 19 Rue des Fleuristes 1000 BRUXELLES 02 512 70 88 ANDRE RECYCLING 15 Boulevard Industriel 1070 BRUXELLES 02 523 06 50 1210 BRUXELLES DUPONT 202 204 Chauss e de Roodebeek 02 771 79 31 1200 BRUXELLES ETATHOME 100 Digue du Canal 02 216 18
20. 80 1130 BRUXELLES GEREC 13 Quai des Mat riaux 02 426 22 20 MARGHEM M amp F 193 Rue de Verdun 1130 BRUXELLES 02 216 11 69 FRESHCLEAN 1 Place Saint Lazare 02 687 69 66 1210 BRUXELLES Valorisation laine de roche Nom de l entreprise Adresse T l phone ROCKWOOL 8 Imperialstraat 02 715 68 00 1930 ZAVENTEM 42 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 9 EXEMPLES DE GESTION DES D CHETS DOMESTIQUES G N RALIT S Ensemble de logements Cherbourg comprenant gt 11 b timents R 5 mis en service en 1960 et r nov s en 1995 gt 277 logements 28 cages d escalier gt 700 habitants population faible revenus taux de rotation important D ai AP j N N e f Q Commune de Cherbourg 43 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs GESTION DES D CHETS COLLECTIFS 1 Stockage individuel gt Les cuisines sont de tr s petite taille 6m gt Un meuble compos de 3 poubelles s lectives a t install dans la cuisine iab lables O x Nv e f uels M Sri gt Commie trs des quipements collectifs de Cherbourg 44 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs 2 Stockage collectif gt Agrandissement des locaux de stockage existants sous sol Stockag
21. ACTEUR SANT Remarque pr alable Ce tableau est le r sultat de 6 mois de recherche Il na pas la pr tention d tre abouti et d finitif Ce n est qu un premier jet qui m riterait plusieurs ann es de recherche vu la difficult actuelle de rassembler des informations suffisamment objectives que pour tre prises en compte Cependant gr ce une demande de plus en plus importante de la part des auteurs de projets et des ma tres d ouvrage voulant s inscrire dans une d marche durable et une l gislation europ enne qui tend se renforcer ce tableau va nous l esp rons dans les ann es venir s toffer et voluer rapidement MODE D EMPLOI DU TABLEAU Le tableau facteur sant analyse les diff rents mat riaux de finition selon les param tres suivants Humidit et bio contaminants La r action des mat riaux de construction face aux diff rentes conditions d humidit et de temp rature est un facteur important afin d viter leur contamination par des micro organismes dont notamment les moisissures Pr sence de particules et de fibres Selon leur nature et leur mode d utilisation les mat riaux peuvent lib rer des particules ou des fibres Les particules sont essentiellement pr sentes sous forme de poussi res ou de fibres Les fibres selon leur dimension sont susceptibles d tre pathog nes inhalation Emission de compos s organiques volatils Bien que la qualit de l air int rieur ne d
22. IMENSIONNEMENT Surface et nature du complexe de toiture La quantit d eau de pluie pouvant tre r cup r e sur une toiture d pend la fois de la surface de la toiture et de sa nature Type de toiture Taux de r cup ration Toit plat recouvert de gravier 60 Toit plat recouvert de mati res synth tiques ou bitume 80 Toit plat recouvert de v g tation extensive 50 70 Toit plat recouvert de v g tation intensive peu labor e 30 40 Toit plat recouvert de v g tation intensive labor e 10 20 Toit en pente recouvert de panneaux ou de tuiles 75 95 Donn es climatiques En r gion bruxelloise la pluviosit moyenne mensuelle est de Mois de l ann e Pluviosit Janvier 66 9 mm m soit 67 litres m F vrier 53 7 mm m soit 54 litres m Mars 73 3 mm m soit 73 litres m Avril 57 2 mm m soit 57 litres m Mai 70 3 mm m soit 70 litres m Juin 78 2 mm m soit 78 litres m Juillet 75 mm m soit 75 litres m Ao t 62 7 mm m soit 63 litres m2 Septembre 58 7 mm m soit 59 litres m 2 Octobre 70 8 mm m soit 71 litres m2 Novembre 78 3 mm m soit 78 litres m D cembre 76 1 mm m soit 76 litres m2 Source www m t o be Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Volume d eau pouvant tre r cup r sur la surface de toiture La quantit d eau r colt e sur une toit
23. L nergie demand e la fabrication fabrication peu nergivore nergie lt 1GJ tonne fabrication mod r ment nergivore nergie lt 10GJ tonne fabrication nergivore nergie lt 50 GJ tonne fabrication tr s nergivore nergie gt 50GJ tonne L nergie grise demand e la fabrication du mat riau Cette colonne donne un aper u de la consommation en nergie du mat riau lors de sa fabrication Exemple la fabrication d une tonne d acier consomme de 32 100 GJ selon le processus de fabrication la fabrication d une tonne de b ton arm consomme 2 14 GJ 10 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs L cobilan du mat riau L cobilan d un mat riau est une analyse complexe qui prend en compte sur toute la dur e de vie d un mat riau les crit res suivants l conomie des ressources la consommation en nergie l mission de polluants les risques au niveau sant et environnement le devenir en fin de vie L cobilan est donn par cat gorie de mat riaux suivant une chelle chiffr e Chaque mat riau a obtenu un score qui est consid rer en fonction de l unit la plus ad quate Exemple l unit consid rer pour les mat riaux de structure est la tonne ou le m l unit consid rer pour les mat riaux de rev tements de sol est le m Plus le score est lev plus le mat riau peut tre consid r co
24. Logements collectifs M gt pour les concepteurs GUIDE CONSEIL ANNEXES Version mai 2006 Plus d infos www bruxellesenvironnement be gt entreprises gt energie facilitateur logement collectif facilitateur logement collectif ibgebim be 0800 85 775 BRUXELLES ENVIRONNEMENT IBGE INSTITUT BRUXELLOIS POUR LA GESTION DE L ENVIRONNEMENT SOMMAIRE ANNEE LO UE SR Re ere 1 Annexe 2 Chasse WC double commande avec amplificateur 5 Annexe 3 Dimensionnement de la citerne de r cup ration d eau de PUE E LT S E O 7 Annexe 4 Bilan environnemental des mat riaux 10 Annexe 5 Tableau facteur sant 14 Annexe 6 Toiture verte Note technique 16 Annexe 7 Classification des d chets 29 Annexe 8 Fili res de valorisation 33 Annexe 9 Exemples de gestion des d chets domestiques 38 Annexe 10 Exemple de d construction 41 Annexe 11 Comparaison entre le chauffage individuel et le ChaurrasecolectiT ans Re a ct rar 47 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs ANNEXE 1 LEXIQUE BIO CONTAMINANT Bio vient du grec bios qui signifie vie Contamination souillure r sultant d un contact impur envahissement d un objet d un milieu ou d une surface p
25. age individuel gaz Avec circuit commun Avec circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distribution commune Intermittence suite _ L intermittence individuelle avec un chauffage collectif n est possible efficacement que si une surpuissance est pr sente pour remonter la temp rature n importe quel moment ce qui implique d augmenter en permanence la temp rature du circuit de distribution Et donc c est la porte ouverte aux surchauffes volontaires que peut combattre la r gulation centrale et la d gradation des performances des chaudi res condensation L intermittence individuelle est possible sans d gradation des performances de la production centralis e Comptage des consommations Calorim tres avec toute la m fiance que cela suscite aupr s des locataires Calorim tres ou compteur de chaleur Il faut comparer le co t du comptage de chaleur aux conomies r alisables principalement par l intermittence Le bilan n est pas n cessairement positif pour le locataire Compteur gaz par appartement Facilit de gestion Entretien organiser par la SISP mais possibilit d externaliser la maintenance un coup individuel pour le locataire moindre Moins d intervention en cas de panne pour la SISP Entretien la charge du locataire mais risque li l absence d entretien Pas de course
26. ar des micro organismes pouvant causer une infection pollution Petit Robert La diminution d apports en air neuf et un exc s d humidit peuvent favoriser le d veloppement de moisissures souvent l origine d allergies respiratoires Ces moisissures peuvent se d velopper partir de poussi res de poussi res bois papier tissus BIOCIDES Produit qui d truit les tres vivants g n ralement utilis s contre les micro organismes Petit Robert Les biocides sont des substances chimiques ajout s certains vernis ou peintures afin de prot ger les l ments de construction contre les attaques de champignons fongicides d insectes insecticides ou de bact ries bact ricides On retrouve galement des agents actifs biocides dans les produits de conservation du bois et dans les produits de peintures pour le traitement de la surface du bois Les biocides appartiennent aux substances dangereuses pour l environnement et pour la sant Ils ont la propri t de tuer des organismes vivants ou d emp cher leur croissance ou leur prolif ration Les biocides sont toujours toxiques parfois extr mement toxiques et sont en partie constitu s de compos s contenant des m taux lourds En raison des nombreux risques actuellement encore difficiles valuer qu ils pr sentent pour l environnement et la sant les produits de peintures contenant des biocides ne doivent en principe pas tre utilis
27. aux impay s pour la SISP 55 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Chauffage individuel gaz Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Avec circuit commun Avec circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distribution commune S curit Si l installation est compos e de 2 chaudi res 50 50 de puissance on peut couvrir plus d approvisionnement de 80 de la saison de chauffe en cas de panne d une des deux chaudi res Un seul appartement touch en cas de panne Nombre de pannes plus lev d multiplication des mat riels Distribution de chaleur Pertes en chaufferie et dans les gaines techniques de distribution mais limit es avec une isolation correcte et un fonctionnement en temp rature glissante Pas de pertes de distribution Dans un appartement isol central le d bit d eau n cessaire pour 2 4 KW est de 85 170 litres heure Il n existe pas de circulateur fournissant ce d bit en r gime Au mieux a t on un circulateur vitesse variable mais qui partira d un mauvais rendement On a donc toujours un surdimensionnement in vitable des circulateurs dans les logements avec la cl des probl mes de bruit et une surconsommation lectrique de plus le rendement des toutes petites pompes est tr s mauvais 3 10 L individualisatio
28. averses La v g talisation des toitures sur des grandes surfaces agit comme un bassin d orage et permet donc en cas de forte pluie de d lester le r seau d gouttage gr ce un stockage provisoire et un coulement diff r et progressif et d ainsi diminuer la fr quence des inondations dans les parties risque du r seau L tude du CSTC a valu sur une p riode donn e et pour une m me surface la quantit d eau pluviale vacu e par une toiture traditionnelle et l a compar e avec les r sultats obtenus pour les toitures vertes Toiture traditionnelle Toiture verte intensive 14 Toiture verte intensive 20cm cm Quantit d eau 8371 m2 439 l m 412 m2 20 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Source CSTC ll est galement noter que pendant certaines p riodes de l tude les deux toitures vertes n ont pas d bit d eau du tout de fin ao t d but octobre et de mi mars mi mai Qualit de l eau pluviale rejet e par la toiture verte En zone urbaine l eau pluviale se charge de divers polluants contenus dans l air ambiant CO benz ne poussi res La toiture verte gr ce ses diff rentes couches constitutives et sa v g tation permet de d polluer l eau de pluie en filtrant une grande partie de ces polluants De plus lors de son infiltration dans les diff rentes couches de la toi
29. ce de toiture La toiture verte extensive ne peut donc pas servir d espace ext rieur accessible au public terrasse jardin Cependant elle peut tre rendue accessible via une zone de terrasse am nag e ou un sentier am nag 27 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Q Conception et composition d une toiture verte Ce chapitre est principalement issu du projet de note d informations techniques du CSTC El ment porteur Lors de r novation en cas de r alisation d une toiture verte il a lieu de v rifier si la structure est apte supporter la surcharge inh rente la toiture verte toiture v g talis e r alisables sur tout type de support toiture jardin vu les surcharges importantes il faut dans certains cas pr voir cet am nagement en phase de conception et calculer les fondations et la structure en tenant compte des surcharges Pente Afin d viter des stagnations d eau sur le complexe d tanch it et des risques d infiltrations en cas de fuite au niveau de l tanch it une pente de minimum 2 doit en r gle g n rale tre pr vue La r tention d eau doit tre r alis e dans les diff rentes couches de la toiture verte proprement dite Pare vapeur Dans le cas d une toiture chaude tanch it au dessus de l isolant un cran pare vapeur doit tre plac avant la pose de l isolant afin d viter l humidification de
30. celui ci Dans le cas d une toiture verte le pare vapeur est indispensable car il faut viter que l isolant ne s humidifie constituant alors un p le d attraction pour les racines Isolation Dans le cas de toiture verte l isolant doit tre caract ris par une r sistance la compression adapt e la surcharge des diff rentes couches constitutives de la toiture verte 1 Toiture chaude tanch it sur isolant Tous les isolants peuvent tre envisag s except le polystyr ne extrud 2 Toiture invers e tanch it sous isolant Dans le cas d une toiture invers e l isolant est directement en contact avec les diff rentes couches constitutives de la toiture verte Il doit donc avoir une haute r sistance l eau une haute r sistance aux attaques chimiques du sol Seul le polystyr ne extrud r pond ces caract ristiques et peut tre utilis De plus il faut pr voir une sur paisseur d isolant de mani re palier aux effets n gatifs d une humidit quasi constante au niveau de l isolant un g otextile servant de couche de s paration entre l isolant et l ensemble des couches constitutives de la toiture verte 28 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Etanch it 1 G n ralit s Les diff rents types d tanch it sont les suivants bitumes polym res pose en monocouche ou bicouche bitumes m
31. circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distribution commune Intermittence Seule une intermittence centralis e est possible sauf par la fermeture manuelle des vannes de corps de chauffe Par exemple une intermittence du chauffage de 22 8h permet une conomie de 2 9 en fonction du degr d isolation et de l inertie du b timent Intermittence individuelle possible Donner la possibilit d intermittence individuelle est un message positif en faveur des conomies d nergie Par exemple une intermittence du chauffage de 22 8h permet une conomie de 2 11 pour l appartement en fonction du degr d isolation et de l inertie du b timent en fonction de la position de l appartement centrale ou coin Soit une conomie financi re de 5 130 an appartement Cependant plus un locataire diminue sa consommation plus celle de ses voisins augmente et plus il y transfert de chaleur entre les logements L intermittence et l individualisation des consommations n ont r ellement un sens que si une isolation est pr sente entre les logements en r gime il faut une surpuissance de chaque metteur si un logement est entour de logements au ralenti 54 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Chauff
32. contamin s 37 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 8 FILIERES DE VALORISATION FILI RES DE VALORISATION Fractions Types de mat riau Valorisation Traitement Inertes B ton arm Granulat pour b ton recycl Concassage Couche de fondation B ton non arm Granulat pour b ton recycl Concassage Couche de fondation Blocs de ma onnerie Granulat de stabilisation Concassage Couche de fondation Briques Granulat de stabilisation Concassage Couche de fondation Gravats m lang s Granulat de stabilisation Concassage Couche de fondation Pierre de taille Pierre bleue R emploi Revente Mati re premi re gravier Concassage Mati re premi re pierre reconstitu e Marbres R emploi Revente Mati re premi re gravier Concassage Mati re premi re pierre reconstitu e Schiste R emploi Revente Mati re premi re gravier Concassage Mati re premi re pierre reconstitu e Autres pierres R emploi Revente Mati re premi re gravier Concassage Mati re premi re pierre reconstitu e M taux Aluminium Mati re premi re Valorisation mati re R emploi Zinc Mati re premi re Valorisation mati re R emploi Cuivre Mati re premi re Valorisation mati re R emploi 38 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Acier Fond
33. de la toiture par un effet d vapotranspiration Augmentation du confort acoustique L augmentation de la masse de la toiture verte par m de surface au minimum 30kg m2 laisse envisager une augmentation du confort acoustique puisque selon la loi de masse si l on double la masse de la toiture on obtient une am lioration acoustique th orique de 6dB Dans le cas d une toiture lourde structure b ton l apport d une toiture verte v g tation intensive labor e gt 400kg m ne pr sente qu une l g re am lioration acoustique Celle ci est r ellement int ressante dans le cas de construction o le niveau d isolation acoustique demand est lev Dans le cas d une toiture l g re structure bois ou m tal l apport d une toiture verte v g tation extensive gt 30kg m permet d am liorer fortement l isolation acoustique Comportement de l tanch it Dans le cas d une toiture verte gr ce aux diff rentes couches constitutives l tanch it est prot g e du rayonnement solaire et subit des conditions climatiques plus cl mentes qu une toiture sans protection moins froid en hiver et moins chaud en t En effet l ensemble des diff rentes couches limite les gradients de temp rature gr ce une masse thermique accrue et limite aussi les transferts d humidit De plus les diff rentes couches constitutives de la toiture verte forment une protection m canique de la membrane d tanch it
34. e des recyclables hors verre locaux quip s de passe paquets Etat existant Apr s am nagement Hall d entr e Hall d entr e Cave Acc s caves d Trappe passe paquets et bacs recyclables d chets r siduels gt Cr ation de locaux suppl mentaires au riez de chauss e proche de la cage d escalier locaux quip s de passe paquets Etat existant Apr s am nagement Local v los Hall d entr e Local v los Stockage bacs z ST passe paquets et bacs recyclables d chets r siduels 3 Signal tique soign e gt Affichage de consignes de tri sur chaque trappe passe paquets gt Panneau illustrant les tapes de la collecte s lective et de la valorisation pr s de chaque local gt Utilisation de couleurs 45 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 10 EXEMPLE DE D CONSTRUCTION G N RALIT S R novation de l ancienne gare de marchandises avec d construction de certains b timents Metz gt Les b timents d construire dataient de diff rentes poques bureaux et halles construits au d but du 20 si cle bureaux et entrep ts construits dans les ann es 60 80 une station carburants des quais r alis s entre 1905 et 1980 gt Composition des b timents les b timents les plus anciens sont constitu s de fa ades et de murs de refend porteurs en ma onnerie de
35. e sont les suivantes difficult d int grer une toiture jardin dans un projet de r novation augmentation du volume des mat riaux mis en uvre au niveau de la structure portante qui doit tre sur dimensionn e Co t A Co t la construction une toiture plate traditionnelle constitu e d un b ton de pente d un complexe isolant d un complexe d tanch it et d une protection en gravier roul co te en moyenne 110 m b ton de pente 80 m isolation 20 m tanch it 2 m lestage en gravier 8 m 25 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs une toiture verte v g tation extensive constitu e d un b ton de pente d un complexe isolant d un complexe d tanch it et de drainage d une fine couche de substrat et d une couverture v g tale co te de 130 m 160 m selon la superficie b ton de pente 80 m2 isolation 20 m tanch it 2 m syst me complet avec v g tation de 50 20 m une toiture verte v g tation intensive constitu e d un b ton de pente d un complexe isolant d un complexe d tanch it et de drainage d une fine couche de substrat et d une couverture v g tale co te en moyenne 185 m 2 b ton de pente 80 m 2 isolation 20 m tanch it 2 m syst me complet avec v g tation 75 m La toiture verte extensive impli
36. erie Aci rie Valorisation mati re Ferraille M tallurgie Valorisation mati re Fonderie Bois El ments en bois R emploi Revente R utilisation apr s Valorisation mati re r paration Recyclage en downcycling D chets de bois non trait s Recyclage en downcycling Valorisation mati re Valorisation thermique Incin ration D chets de bois trait s Valorisation thermique Incin ration Mati res plastiques Films plastiques Recyclage en downcycling Valorisation mati re HDPE Recyclage en downcycling Valorisation mati re LDPE Incin ration D charge classe 2 PVC Recyclage possible mais Incin ration peu ou pas de fili res D chane casse a PP Incin ration D charge classe 2 Isolants Laine de roche Recyclage Valorisation mati re Laine de verre Recyclage Valorisation mati re Polystyr ne Incin ration Polyur thane Incin ration Flocons cellulose Recyclage Valorisation mati re Divers Pl tre cartonn D charge classe 3 Fa ence carrelage Gravats de fondation Concassage Verre Recyclage en downcycling Valorisation mati re 39 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs CARNET D ADRESSES Les fili res suivantes se trouvent toutes soit en R gion bruxelloise soit en Brabant Flamand ou en Brabant Wallon Installations de concassage Annexes Nom de l entreprise Adresse T l phone ABR All Be
37. es de terre cuite Murs en agglom r de ciment Murs en briques pleines de laitier Murs en moellons Structures Charpente m tallique Cbanees bois i Planchers bois Plancher ourdis de terre cuite Plancher hourdis en agglom r Dalles b ton Structures b ton Fondations Fondations 47 Annexes Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs gt L analyse des fili res de valorisation s est concentr e sur la r gion lorraine limitation des transports _ favoriser conomie locale gt Les fili res de valorisation ont t recherch es selon la gradation suivante la r utilisation la valorisation mati re lincin ration avec r cup ration d nergie la mise en d charge La gestion des d chets Bois poutres Structure m tallique Pav s Sable M taux Verre plat Bois N ons Mat riaux inertes DIB Divers Laine de verre Polystyr ne Plastique Etanch it Amiante 48 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Plan de gestion Sri ili f Destination i Distance Kilom tres at riaux ieres Chantier Cente parcourus Mat te Recyclage Ville de Metz 57 Metz SRE de d molition E R utilisation Ville de Metz 57 Metz A R utilisation Ville de Metz 57 Metz y 4 Valorisation L V T B valorisation et traitement
38. ibution commune Chauffage des communs Possible mais ce n est en principe pas n cessaire Impossible Prix du combustible Le prix le plus bas soit gr ce au fuel soit parce que le tarif gaz collectif est plus avantageux que le tarif individuel soit parce que la SISP dispose d un poids plus grand face la lib ralisation du march et la n gociation redevance de comptage calcul e actuellement par nombre d appartement mais ce syst me devrait dispara tre avec la lib ralisation du march R gulation centrale Le chauffage collectif permet une r gulation de la puissance fournie l ensemble de l immeuble La r gulation centrale peut ainsi servir de garde fou pour les occupants voulant surchauffer volontairement Mais l inverse comme il faut r gler la courbe de chauffe pour le plus demandeur il y aura th oriquement surchauffe individuelle si les occupants n ont pas de VT ou ne ferment pas manuellement leurs radiateurs Pas de limite la surchauffe volontaire R gulation locale Vannes thermostatiques Thermostat d ambiance agissant sur une vanne de zone et vannes thermostatiques Thermostat d ambiance agissant sur la chaudi re et vannes thermostatiques Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Chauffage individuel gaz Avec circuit commun Avec
39. it secondaire qui r sulte de la transformation sous l effet du rayonnement solaire de polluants essentiellement produits par les v hicules Fait de r utiliser nouvelle utilisation Emploi de mat riaux usag s en vue de r duire la production de d chets La r utilisation est le moyen le plus efficace et le plus cologique pour diminuer les quantit s de d chets Le crit re d terminant pour la r utilisation d un mat riau est sa capacit de maintenir ses performances techniques dans la dur e SOLVANT Substance le plus souvent liquide qui a le pouvoir de dissoudre d autres substances Petit Robert Les solvants sont principalement utilis s au niveau de la construction dans les peintures les vernis et les produits de protection du bois Les solvants servent dissoudre le liant les pigments et les adjuvants et les r partir uniform ment la surface Ils rendent les produits faciles taler Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs lls doivent ensuite s vaporer le plus rapidement possible apr s la pose Les solvants peuvent se pr senter sous diff rentes formes peintures ou vernis dispersion aqueuse c est l eau qui joue le r le de solvant peintures et vernis traditionnels solvants synth tiques organiques issus de mati res premi res non renouvelables peintures et vernis aux r sines naturelles so
40. itume Taux de r cup ration 80 Surface de toiture 480 m Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs On obtient donc le tableau suivant Mois de l ann e Pluviosit P Volume r cup rable Surplus 0 8 x 480 m x P Janvier 67 litres m2 25 7 m3 F vrier 54 litres m2 20 7 m3 Mars 73 litres m2 28 0 m3 Avril 57 litres m2 21 9 m3 Mai 70 litres m 2 26 9 m3 Juin 78 litres m 2 30 0 m8 Juillet 75 litres m 2 28 8 m3 Ao t 63 litres m2 24 2 m8 Septembre 59 litres m 22 7 m8 Octobre 71 litres m2 27 3 M Novembre 78 litres m 2 30 0 m8 D cembre 76 litres m2 29 2 m3 gt Evaluation du tableau La surface de toiture ne permettant pas d obtenir un volume d eau de pluie de 43 m5 on dimensionnera la citerne en fonction du volume d eau r cup rable le plus important savoir entre 25 et 30 m3 Remarque En cas de construction neuve si l on place des chasses de wc double commande 3 6 litres on obtient une consommation moyenne de 20litres hab jour gt Consommation mensuelle Par habitant la consommation moyenne mensuelle est de 20 litres hab jour x 30 jours mois 600 litres hab mois soit 0 6 m hab mois Dans un immeuble de 18 appartements 60 personnes la consommation moyenne mensuelle est de 36 m La citerne devant r pondre 80 des besoins en eau de pluie le volume
41. lang s des polym res et arm s d un voile PES hauts polym res pose en monocouche produits synth tiques lastom res plastom res ou lasto plastiques tanch it s liquides 2 Accessibilit de l tanch it La toiture verte se distingue de la toiture traditionnelle par une accessibilit l tanch it moins ais e voir difficile Il est donc important lors des travaux de r aliser cette tanch it et ses recouvrements avec le plus grand soin 3 Pr sence et d veloppement des racines Le choix du type d tanch it ainsi que la r alisation soigneuse des raccords d tanch it sont deux l ments importants pour pr server le complexe de toiture du d veloppement des racines En effet en p riode hivernale la vapeur d eau migre de l int rieur du b timent vers l ext rieur traversant l enti ret de l ensemble des couches constitutives de la toiture Si le syst me de r tention d eau n a pas t pr vu ou est ass ch les plantes sont la recherche d eau Les racines risquent alors de p n trer le complexe de toiture soit en traversant une membrane d tanch it ou un raccord d fectueux soit en traversant une membrane d tanch it ne r sistant pas aux racines Protection de l tanch it Il est indispensable de prot ger m caniquement l tanch it et les relev s d tanch it pour viter les d g ts caus s par la circulation sur la toiture les ou
42. le colmatage du drainage Il est galement noter que les mat riaux de drainage et de filtration doivent tre r sistants au gel et la pourriture R tention d eau La couche de r tention d eau doit assurer une r serve d eau suffisante pour la survie et la croissance de la v g tation La r tention d eau peut tre assur e par la couche de substrat la couche de drainage une couche ind pendante Substrat Le substrat est la couche dans laquelle les plantes de la toiture verte peuvent s enraciner et se d velopper Le substrat est plus l ger que la terre de jardin permettant ainsi de limiter les surcharges sur la toiture Le substrat rempli les fonctions suivantes fixation des plantes stockage d eau d air d l ments min raux et organiques d oligo l ments tous n cessaires au d veloppement de la v g tation transfert de ces l ments aux plantes Le type de v g tation est fortement li l paisseur et la nature du substrat 1 Terre de jardin La terre arable ne convient pas pour les toitures vertes et ce pour les raisons suivantes elle se compacte et s acidifie facilement sa capacit de stockage d eau et d air diminue avec le temps apr s un dess chement complet il est difficile de l humidifier masse volumique importante 1600kg m sec 2 Substrats base de terre de jardin pour v g tation intensive Il existe diff rentes formule
43. le poumon profond zone alv olaire diam tre inf rieur 8 5um et longueur maximum de 200 250um Une fibre est dite inhalable si elle se d pose sur les voies respiratoires sup rieures nez trach e pharynx diam tre sup rieur 3 5um Les isolants tels que les laines de verre ou laine de roche sont class es par la directive europ enne de 5 d cembre 1997 dans la cat gorie 3 effets canc rig nes possibles mais insuffisamment valu s FORMALDEHYDE D chets dont au moins 90 de leur poids est constitu de pierres ou de mati res min rales b ton gravats d blais Les d chets inertes de construction doivent en premier lieu tre valoris s DECONSTRUCTION D molition par tapes et avec tri des mat riaux constitutifs d un ouvrage et d montage des l ments de construction r utilisables ENERGIE GRISE L nergie grise est l nergie n cessaire la transformation de mati res premi res dans le but de fabriquer des mat riaux ou produits de construction lacheminement des mati res premi res jusqu au lieu de production L nergie grise est donn e soit en GJ m ou en GJ tonne FIBRES RESPIRABLES Fibre formation l mentaire v g tale ou animale d aspect filamenteux se pr sentant g n ralement sous forme de faisceaux Petit Robert En terme de construction les fibres min rales contenues dans les isolants tels que laine de verre
44. les gains thermiques r ellement obtenus r side dans le fait que la plupart du temps les valeurs de la conductivit thermique des diff rentes couches ne sont connues avec pr cision Le CSTC pr conise d utiliser par d faut les valeurs suivantes Hiver Et Dimensionnement des A 3W mK 2 2W mK syst mes de chauffage refroidissemen Consommation d nergie et 2 2W mK 2 1 5W mK confort thermique Source CSTC dans le cas de la toiture verte v g tation intensive le gain thermique de 16 peut tre r cup r en pla ant 2 cm suppl mentaires d isolant thermique 23 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Couche Epaisseur Valeur Dalle de 15cm EF structure b ton B ton de 10cm pente Isolant 12cm 0 03 PUR Etanch it 0 7 cm 0 23 Lestage Sem 0 20 en gravier roul En p riode estivale de mars octobre L apport b n fique de la toiture verte en t d pend la fois du type de v g tation du et de la nature du substrat du drainage et du support de la toiture verte C est cependant la toiture verte v g tation intensive qui est la plus efficace puisque outre une r sistance thermique et une masse thermique accrue elle permet une r duction des gains solaires gr ce l ombrage apport par les diff rents types de plantes et d arbres et un refroidissement naturel la surface
45. lgian Recycling 81A Westvaardijk 1850 GRIMBERGEN 02 251 45 44 ALWEBO AMACRO 89 Westvaardijk 1850 GRIMBERGEN 54 Heideveld 1650 BEERSEL 052 37 07 04 02 356 96 27 1341 CEROUX MOUSTY BRC Brussels Recycling Center Zaventemsesteenweg 02 720 41 79 1831 DIEGEM CELIS ANDRE 119 Staatsbaan 016 62 10 41 3210 LUBEEK CROES Bedieningsweg 011 58 94 64 3300 TIENEN DESMEDT Westvaardijk 02 252 07 14 1850 GRIMBERGEN HAULOTTE 130 Avenue des Trois Vall es 010 61 16 73 RECYCLAGE EN 28 Aardebrug 016 73 48 35 3200 AARSCHOT STORTBEDRIJF 3210 LUBEEK VALOREM 65 rue des Trois Burettes 010 65 05 58 1435 MONT ST GUIBERT VAN LOO 69 Ter Heidelaan 016 56 68 66 VANTILT alg ond 50 Leuvensesteenweg 3190 BOORTMEERBEEK 015 51 74 74 WEGEBO Processiesstraat 3000 LEUVEN 016 29 67 41 40 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Valorisation des m taux ferreux et non ferreux Annexes Nom de l entreprise Adresse T l phone 1070 BRUXELLES BRUFER 11 Quai L on Monnoyer 02 242 71 38 1210 BRUXELLES BRUMETAL 6 Rue Le Lorrain 02 420 70 80 1080 BRUXELLES CONTIMET 89 Avenue Louise 02 534 92 92 1050 BRUXELLES DE KNOP 20 Quai de Mariemont 02 410 43 36 1070 BRUXELLES DUPONT 202 Chauss e de Roodebeek 02 770 24 75 1200 BRUXELLES ELOY amp co 20 rue Charles Parent 02 521 88 0
46. lvants naturels d origine v g tale Tous les solvants organiques naturels ou synth tiques contribuent la destruction de la couche d ozone et peuvent porter atteinte l environnement Les solvants sont des compos s organiques volatils et cet gard peuvent provoquer des r actions allergiques TRANSFORMATION Action de rendre quelque chose diff rent de le faire changer de forme de modifier ses caract res g n raux Action de modifier l tat physique de quelque chose Larousse D signation g n rale pour le traitement des d chets par proc d s chimiques ou physiques en vue de leur mise en d charge par opposition la valorisation Les proc d s de min ralisation et de compactage appartiennent en autre au conditionnement TRI Action de choisir parmi plusieurs certains l ments en les s parant du reste Action de s lectionner Action de r partir des objets selon certains crit res Larousse Traitement des d chets consistant les s parer en fractions adapt es aux diff rentes fili res de valorisation ou de transformation ult rieure Le tri comprend aussi bien l identification de d chets d termin s que la s paration de mat riaux en fractions Le tri peut se faire sur le lieu de production sur le chantier m me ou dans un centre de tri Un tri soign facilite le traitement ult rieur des d chets VALORISATION Action de donner de la valeur ou plus de
47. mat riau Les inconv nients sant du mat riau 15 Annexes Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 6 TOITURE VERTE NOTE TECHNIQUE Cette note consiste r tudier la toiture verte sur ses diff rents aspects et impacts qu elle peut avoir au niveau de la ville de l lot urbain et du b timent proprement dit Cette note vise tablir de mani re claire l int r t de la toiture verte dans le cadre d immeubles collectifs en R gion bruxelloise Q D finition de la toiture verte Une toiture verte est une toiture plate ou versants recouverte de v g tation et des couches n cessaires au bon d veloppement de celle ci On peut classer les toitures vertes selon leur aspect et usage ou selon leur composition Q Classification selon l aspect et l usage La toiture jardin ou toiture v g tation intensive labor e La toiture jardin est en tous point comparable un jardin traditionnel except le fait qu elle est r alis e sur un support plus ou moins plane pente comprise entre 2 et 10 Composition La toiture jardin est compos e d une dalle de structure d un b ton de pente d un pare vapeur d un isolant thermique d une tanch it d une protection m canique d une couche de drainage d une couche filtrante d un substrat gt 25 cm et de v g tation Caract ristiques 1 utilisation de v g tatio
48. mme int ressant en terme de construction durable Cet cobilan est le r sultat d une recherche sur le programme ENVEST Il www envestv2 bre co uk Certains mat riaux ne sont pas encore repris dans le programme ENVESTII et n ont donc pas de score dans le tableau Le bilan financier du mat riau Le bilan financier du mat riau sur toute sa dur e de vie est donn par cat gorie de mat riau et est repr sent par une montant en euros Ce montant est consid rer en fonction de l unit la plus ad quate Exemple l unit consid rer pour les mat riaux de structure est la tonne ou le m l unit consid rer pour les mat riaux isolants est le m Ce bilan financier est le r sultat d une recherche sur le programme ENVEST ll www envestv2 bre co uk La norme NIBE La norme NIBE est une norme hollandaise classant des mat riaux selon les crit res suivants Crit res Poids du crit re dans l analyse La consommation en nergie Facteur 4 L puisement des ressources Facteur 4 L impact sur le paysage Facteur 6 La modification de la cha ne mol culaire Facteur 2 Les missions de polluants Facteur 8 Le facteur sant Facteur 8 La dur e de vie Facteur 2 Le recyclage Facteur 6 Pour chaque crit re un score de 1 7 est donn Plus le score est lev plus le mat riau peut tre consid r comme int ressant en terme de construction durable 11 Guide conseil
49. n du circuit de distribution ne peut perturber les performances de la chaudi re condensation Attention donc la conception hydraulique viter les by pass Le surdimensionnement des circulateurs peut n cessiter la pr sence de by pass dans l installation Il y a donc un risque de retour de temp rature plus lev vers les chaudi res condensation avec une perte de rendement 56 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Crit re Chauffage collectif gaz ou fuel Chauffage individuel gaz Avec circuit commun Avec circuits individuels exemple un circuit par appartement avec r gulation par vanne 2 voies raccord sur une distribution commune Production de chaleur Chaudi re condensation optimale Possibilit de cog n ration Chaudi re condensation domestique Il faut tre attentif aux sch mas hydrauliques propos s par les fabricants pour assurer un d bit dans la chaudi re et en cas de production d eau chaude sanitaire Dans un immeuble neuf bien isol la puissance installer dans un appartement central est de l ordre de 2 4 KW ce qui implique que m me avec une modulation la chaudi re sera surpuissante surtout si elle produit aussi de l ECS Chemin e N cessite une ou 2 chemin es Les chaudi res sont ventouse individuelle ou via un conduit commun Investissement
50. n intensive Toutes les plantes d un jardin traditionnel peuvent y tre plant es gazon plantes basses arbustes et arbres condition de pr voir une couche de substrat suffisante minimum 25 cm Il est noter que certaines plantes pr sentent un d veloppement de racines dangereux pour l tanch it voir tableau plantes d conseill es 16 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs 2 espace esth tiquement d velopp Le choix quasi illimit des plantes permet de r aliser des espaces esth tiquement int ressants et vari s 3 accessibilit L acc s et la circulation sont autoris s sur une toiture jardin La toiture verte v g tation intensive peut tre utilis e comme espace de d tente et de jeux 4 entretien L entretien d une toiture jardin est comparable celui d un jardin traditionnel tonde taillage enl vement des mauvaises herbes renouvellement des plantes 5 surcharge L utilisation de substrat d paisseur importante qui peut en cas de forte pluie se charger d eau cr e une surcharge lev e au minimum 400kg m Cette surcharge importante a pour cons quences en cas de nouvelle construction surcharge pr voir en phase de conception au niveau des fondations et de la structure peu de r alisation possible en r novation La toiture jardin l g re ou toiture v g tation intensive peu labor e
51. on de 10cm 0 3 pente Isolant 10cm 0 03 PUR Etanch it 0 7 cm 0 23 Drainage 2cm 0 21 Substrat 8cm 0 42 une toiture verte intensive bien isol e a un coefficient thermique de 0 21 22 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs Annexes Couche Epaisseur Valeur Dalle de 15cm 1 7 structure b ton B ton de 10cm 0 3 pente Isolant 10cm 0 03 PUR Etanch it 0 7 cm 0 23 Drainage 12cm 0 21 Substrat 20 cm 0 42 En p riode hivernale de novembre f vrier toiture verte v g tation extensive la demande en nergie caus e par la d perdition de chaleur est r duite de 4 par rapport une toiture traditionnelle bien isol e Ceci s explique d une part par la faible paisseur des diff rentes couches constitutives et d autre part par la r duction des caract ristiques thermiques due la haute contenance en eau du substrat et du drainage toiture verte v g tation intensive la demande en nergie caus e par la d perdition de chaleur est r duite de 16 par rapport une toiture traditionnelle bien isol e Ceci s explique par l paisseur plus importante des diff rentes couches constitutives La toiture verte v g tation intensive permet galement de r duire les pointes de consommation durant les jours les plus froids Il est cependant noter que la difficult de mesurer
52. pierre avec parement de fa ade en gr s les charpentes de toitures sont m talliques avec une sous face en bois pour les halles de stockage les b timents plus r cemment construits sont en ma onnerie b ton et charpentes m talliques la majeure partie des aires de circulation est pav e 45 000m forte proportion de bois au niveau des composants gt Superficie 16 ha 46 Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs ETUDES PR ALABLES L audit gt Etude men e sur base de relev s sur site afin de d finir les mat riaux constitutifs des b timents structure couverture de toiture menuiseries ext rieures chauffage et lectricit parach vements faux plafond menuiseries int rieures gt R alisation du m tr Plaques d amiante ciment Rev tement de sol amiant aux plafonds amiant Appareils sanitaires Chauffe eau Appareils de chauffage Radiateurs fonte Radiateurs en acier Convecteurs Tuyauterie fonte Tuyauterie acier Chaudi res Appareils lectriques N ons Luminaires Armoires lectriques Filerie Plinthes lectriques Portes int rieures Portes int rieures en bois Portes int rieures sectionnelles en bois Portes int rieures en acier Portes int rieures sectionnelles en acier Portes int rieures en aluminium Faux plafonds Faux plafond pl tre sur lattis de bois Faux plafond BA 13 Faux plafond Isorel Faux plafond Fri
53. que un surco t de 16 32 selon la superficie La toiture verte intensive implique un surco t de 40 Au niveau des logements sociaux ce surco t sera r percuter sur les loyers sans pour autant entra ner une r elle r duction des charges locatives B Co t de maintenance Si l on tient compte de la maintenance de la toiture une toiture plate traditionnelle Co t la construction 110 m2 Le renouvellement de l tanch it doit se faire tous 10 ans et revient 20 m main d uvre comprise une toiture verte v g tation extensive Co t la construction de 130 m2 160 m2 Le surco t par rapport la toiture traditionnelle correspond environ 1 2 remplacements de l tanch it une toiture verte v g tation intensive Co t la construction 185 m2 Le surco t par rapport la toiture traditionnelle correspond presque 4 remplacements de l tanch it 26 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Q Autres 1 Gestion de l eau potable En terme de r duction de la consommation d eau potable la r cup ration d eau de pluie est une solution privil gier particuli rement en Belgique o la pluviosit est importante 900 l m2 en moyenne La toiture verte selon sa nature paisseur du substrat et type de v g tation peut aller contre sens de cette solution Type de toiture Taux de
54. rbes renouvellement des plantes 5 surcharge L utilisation de substrat d paisseur variant entre 10cm et 25cm permet de limiter les surcharges de 100 400kg mi Cette limitation de surcharge a pour cons quences la r alisation possible en r novation suivant la nature du support en cas de nouvelle construction surcharge pr voir en phase de conception au niveau des fondations et de la structure o O o O O O o La toiture v g talis e ou toiture v g tation extensive La toiture v g talis e est caract ris e par une faible paisseur de substrat et une v g tation croissance libre et l aspect inorganis Elle peut tre r alis e sur un support ayant une pente comprise entre 2 et 70 au del de 35 des dispositifs sp ciaux d ancrage et d arrosage doivent tre pr vus Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Composition La toiture v g talis e est compos e d une dalle de structure d un b ton de pente d un pare vapeur d un isolant thermique d une tanch it d une protection m canique d une couche de drainage d une couche filtrante d un substrat entre 2 et 10 cm et de v g tation Caract ristiques 1 type de v g tation Des plantes de type mousses s dums et certaines plantes vivaces peuvent y tre plant es Cette v g tation n cessite un substrat de tr s faible paisseur lt 10cm
55. re Suivant leur composition ces substrats ont une masse volumique de 700 1400 kg m sec V g tation La v g tation constitue la partie visible de la toiture verte Le type de v g tation d termine la conception du syst me de la toiture verte ainsi que le niveau d entretien qui devra y tre apport 1 V g tation intensive On distingue deux types de v g tation intensive v g tation intensive labor e v g tation intensive peu labor e De mani re g n rale lors du choix des plantes on examinera les caract ristiques suivantes aspect esth tique rapidit de croissance 31 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs r sistance aux conditions climatiques capacit de concurrence facilit d entretien production ventuelle de feuilles danger d inflammation et de propagation d un incendie ventuel influences techniques et cologiques sur le b timent et ses occupants influence bio cologiques sur la faune et la flore environnantes Dans le cas d une v g tation intensive peu labor e on essaie de r duire les exigences pour le substrat la gestion de l eau et l entretien Le choix des plantes est donc limit et les frais d installation et d entretien moins lev s On devra galement tenir compte des caract ristiques suivantes la capacit couvrir rapidement des surfaces la densit de couvert
56. roduite par la combustion Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs LIANT Qui donne de la consistance souple flexible et non cassant Petit Robert Les liants sont principalement utilis s au niveau de la construction dans les peintures les vernis et les produits de protection du bois Les liants permettent de souder les diff rents l ments constitutifs de la peinture ou du vernis entre eux et permettent l adh sion de la peinture ou du vernis au subjectile Les liants sont compos s de mati res filmog nes et ventuellement de plastifiants Les mati res filmog nes peuvent tre pr sentes sous diff rentes formes r sines et huiles naturelles r sines et huiles synth tiques mati res min rales chaux craie Les liants issus de mati res premi res renouvelables huiles et r sines naturelles et les liants min raux sont moins polluants pour l environnement que les liants issus d huiles ou de r sines synth tiques MATIERE SECONDAIRE Annexes Ses effets sur la sant sont les suivants toux inconfort thoracique et douleur l inspiration profonde irritation du nez et de la gorge RECYCLAGE Action de r cup rer la partie utile des d chets et de la r introduire dans le cycle de production dont il sont issus Larousse Forme de valorisation mettant l accent sur la r utilisation d l ments de construction usag
57. s le b timent Guide ADEME Qualit environnementale des b timents Guide comparatif pour le choix des mat riaux de construction Jutta SCHWARZ Verlag Paul Haupt 1998 L habitat cologique Quels mat riaux choisir Friedrich KUR ditions Terre Vivante 2003 Savoir construire ECO logique nomique Guide pour le Ma tre d ouvrage H R PREISIG W DUBACH U KASSER et K VIRIDEN ditions Werd Verlag The Green Construction Handbook manuel for Clients and Construction Professionals JT Design Build Publication Ove Arup amp Partners 1994 12 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs 1 Articles et normes Norme NIBE Milieuclassificatie Bouwmaterialen Michel HAAS Nederlands Instituut voor Bouwbiologie en Ecologie te Naarden Choix int gr des proc d s et produits de construction Agence R gionale de l Environnement et des Energies nouvelles Ile de France Crit res de D veloppement durable pour la construction de logements EPFL Lausanne 2 Sites internet __ htip www envestv2 bre co uk htip www negawatt objectis net http www ademe fr http www cstb fr _ http www cstc be htip www recyhouse be htip wwvw vibe be htip www vmm be http ecoconso be htip recyclages com htip europa eu int 13 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 5 TABLEAU F
58. s pour am liorer une terre arable destin e une toiture verte et pour cr er un substrat pour une v g tation intensive 30 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs A El ments organiques la tourbe all ge le substrat augmente la teneur en mati res organiques et am liore la capacit de r tention d eau le compost le terreau de feuilles le fumier les engrais organiques les plantes ou l ments d origine marine B El ments min raux l sable du Rhin ou de rivi re augmente la capacit drainante les granulats d argile expans e am liore la capacit de r tention d eau et d air la pierre de lave am liore la capacit de r tention d eau et d air l schiste expans la pierre ponce les d bris de tuile de terre cuite les graviers C El ments chimiques les flocons de polystyr ne les flocons d ur e formald hyde les polym res r tenteurs d eau les engrais chimiques Suivant leur composition ces substrats ont une masse volumique de 700 1400 kg m sec 3 Substrats pour v g tation extensive Dans le cas d une toiture verte v g tation extensive afin de limiter le d veloppement de la v g tation on choisit des substrats avec des composants principalement min raux la pierre de lave la pierre ponce l argile expans e le schiste expans l argile le sable du Rhin ou de rivi
59. se Faux plafond H raklitt Faux plafond Aluminium Faux plafond Quadrette Faux plafond polystyr ne Dalles coll es Faux plafond moquette Sous face de couverture du b timent F Rev tements muraux Rev tement mural textile Rev tement mural frise bois Plinthes bois Rev tements de sol Rev tement de sol moquette Rev tement de sol plastique Parquet Fen tres Fen tres ch ssis bois Fen tres ch ssis acier Fen tres ch ssis aluminium Fen tres ch ssis PVC Les Grilles de d fense Vitrag Cloisons int rieures Cloisons modulaires Cloisons d montables alu vitr es Cloisons m talliques Planches de bois Cloisons en agglom r de bois Cloisons placopl tre sur ossature Cloisons carreau de pl tre Cloisons briques de terre cuite Cloisons agglom r de ciment Cloisons briques de laitier Cloisons b ton Portes de facade Portes de fa ade en bois Portes de fa ades en acier Portes de fa ades sectionnelles en acier Portes de fa ade aluminium lsolants Laine de verre Laine de roche Doublage thermique placopl tre Panneaux type SHEDISOL Couverture Tuiles de terre cuite Bac acier Zinc recouvert de mammouth Bac aluminium Alliage type ondine Plaques ondul es de polyester Etanch it Sous face de couverture bois Zinguerie Bardages Bardage acier simple peau Bardage acier double peau Bardage aluminium Bardage polyester Parois modulaires Murs b ton Murs en briques creus
60. ssure un ES coulement suffisamment intense dans les NT conduites horizontales Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs SCH MA DE PRINCIPE ET DIMENSIONNEMENT L amplificateur de d bit est constitu d un r servoir de 14 18 litres qui collecte les eaux us es et une fois rempli les vacue par effet de siphon de courte dur e 10 15 secondes FONCTIONNEMENT DE L AMPLIFICATEUR Lorsque l amplificateur est enti rement rempli et qu il a un afflux suppl mentaire d eau us e dans le r servoir cette eau s vacue dans la conduite entra nant de l air et cr ant ainsi une d pression La diff rence de pression entre le niveau d eau du r servoir et celui de la conduite provoque un brusque effet de siphon qui aspire tout le contenu du r servoir et vacue ainsi une quantit d eau suffisante pour entra ner les substances solides r servoir Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs ANNEXE 3 DIMENSIONNEMENT DE LA CITERNE DE R CUP RATION D EAU DE PLUIE Remarque pr alable La Vlaamse Milieumaatschappij a dit une brochure intitul e Waterwegwijzer voor architecten dans laquelle une m thode et un graphique de dimensionnement de citerne sont donn s Cette m thode est valable pour des maisons unifamilales DONN ES N CESSAIRES AU CALCUL DE D
61. t r glement e par une norme europ enne ENV 13419 DECHET Les COV sont des substances organiques compos es de carbone et d hydrog ne Ces sont des hydrocarbures l exception du m thane D bris restes sans valeur de quelque chose Ce qui tombe d une mati re qu on travaille Larousse Biens mobiliers dont le d tenteur veut se d barrasser ou dont la valorisation la neutralisation ou l limination est d int r t public Guide conseil pour la conception nerg tique et durable des logements collectifs DECHET DE CHANTIER D signation de tous les mat riaux r sultant de chantiers de construction ou de d molition et qui doivent tre vacu s et limin s Les d chets de chantier dangereux doivent tre vacu s suivant la r glementation en vigueur DECHET INERTE D chet ne subissant aucune modification physique chimique ou biologique importante Le d chet inerte ne se d compose pas ne br le pas et ne produit aucune r action chimique ou physique n est pas biod gradable et ne d t riore pas d autres mati res avec lesquelles il entre en contact d une mani re susceptible d entra ner une pollution de l environnement ou de nuire la sant humaine DECHET DE CHANTIER INERTE Annexes sa forme la fibre doit tre allong e et sa longueur au moins trois fois plus grande que son diam tre Sa taille une fibre est dite respirable si elle peut se d poser dans
62. tils utilis s pour l entretien de la toiture verte Diff rents mat riaux peuvent tre utilis s en fonction des sollicitations et du niveau de protection recherch notamment un panneau en caoutchouc recycl de 10 20mm d paisseur un g otextile haute r sistance au poin onnement de l asphalte coul du b ton maigre des panneaux de PVC PE ou PP De mani re g n rale une protection d montable permettra d acc der l tanch it dans le cas o l on constate une infiltration d eau dans le b timent 29 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs Drainage et filtration La couche de drainage doit assurer l vacuation de l eau de pluie exc dentaire dont l accumulation peut favoriser les infiltrations dans le b timent Le drainage est traditionnellement r alis au moyen d une couche de gravier Il existe actuellement des mat riaux permettant de r aliser des couches de drainage plus l g res notamment panneaux en mousse synth tique panneaux en polystyr ne extrud granulats d argile expans Le choix de la couche de drainage d pend de la nature de la toiture verte et de la quantit d eau qu il faut y accumuler La couche de drainage est g n ralement accompagn e d une couche de filtration Il s agit d un g otextile non tiss qui a pour fonction d emp cher le passage des fines particules provenant du substrat et d viter ainsi
63. tion nerg tique Annexes et durable des logements collectifs 4 Les plantes d conseill es Nom vernaculai gt Famille gt Motif re Cat gorie des feuillus D veloppement Erable Aceracae trop important Marronnier Hippocastanaceae D veloppement d Inde pp trop important D veloppement Ch taignier Fagaceae pp trop important Cytise Fagaceae Fragilit z D veloppement H tre Fagaceae 7 pp trop important z D veloppement Fr ne Oleaceae Ve OPp trop important Hibiscus Malvaceae Fragilit Kalmia Ericaceae Fragilit boos D veloppement Liquidambar Hamameliaceae trop important Tulipier de Virginie Magnolia Magnoliaceae Fragilit D veloppement Platane Platanaceae trop important Peuplier Salicaceae Craint le vent nEn D veloppement Merisier Amygdalaceae trop important Robini Esp ce oninier Fabaceae pa faux acacia dominante E D veloppement Ch ne Fagaceae EPE trop important D veloppement Saule Salicaceae f trop important Skimmia Rutaceae Fragilit D veloppement Sophora Fabaceae trop important p D veloppement Tilleul Tiliaceae PP trop important Cat gorie des r sineux D veloppement Sapin Pinaceae trop important 33 et durable des logements collectifs Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes Cypr s Cupressaceae D veloppement trop important Pin
64. tion d un immeuble en int rieur d ilot implique obligatoirement une toiture verte St Josse A l chelle du b timent Augmentation du confort thermique et pertes d nergie La d termination des performances thermiques d une toiture verte est complexe car celle ci est sujette non seulement un transfert de chaleur mais galement un transfert d humidit travers ces diff rentes couches 21 Guide conseil pour la conception nerg tique Annexes et durable des logements collectifs La toiture verte permet selon sa nature de r duire la demande nerg tique du b timent et ou d augmenter le confort thermique tant en hiver qu en t et cela gr ce un apport d isolation thermique une inertie thermique accrue toiture verte intensive un processus d vapo transpiration un ombrage fourni par la v g tation toiture verte intensive En terme d isolation thermique si l on se r f re au dernier rapport d tude du CSTC sur les toitures vertes une toiture traditionnelle bien isol e a un coefficient thermique de 0 25 Couche Epaisseur Valeur Dalle de 15cm 17 structure b ton B ton de 10cm 0 3 pente Isolant 10cm 0 03 PUR Etanch it 0 7 cm 0 23 Lestage 5cm 0 20 en gravier roul une toiture verte extensive bien isol e a un coefficient thermique de 0 24 Couche Epaisseur Valeur Dalle de 15cm LF structure b ton B t
65. ture verte l eau pluviale se charge en mati res organiques et min rales Kalium Calcium Magn sium L apport des sels min raux r duit l acidit naturelle de l eau de pluie D veloppement du biotope animal et v g tal Un ph nom ne de disparition des esp ces se produit dans les villes dont la superficie construite augmente de plus en plus et dans lesquelles le pourcentage d espaces verts diminue La cr ation d un nombre suffisant de toitures vertes permettrait de lutter contre ce d peuplement en donnant aux esp ces animales des points de passage et de repos et aux esp ces v g tales des lieux de croissance et prolif ration A l chelle de l lot Confort visuel et aspect esth tique En terme d am nagement d un complexe constitu de plusieurs b timents de hauteurs diff rentes la v g talisation des toitures des b timents bas offre aux occupants des b timents hauts un confort visuel accru La toiture permet donc dans certains cas de r duire l impact visuel de certains b timents ou affectations telles qu un parking semi enterr locaux techniques Cr ation d un biotope naturel Dans le cas d une construction dans un lot de forte densit la v g talisation des toitures permet de recr er un biotope naturel favorisant le d veloppement de la faune et de la flore Remarque Il est galement noter que dans certaines communes de la R gion de Bruxelles Capitale la construc
66. ui pente du support 2 10 2 57 2 70 entretien important moyen faible Q Avantages des toitures vertes A l chelle de la ville Les avantages d crits ci dessous sont consid rer dans un contexte global o les toitures vertes seraient pr dominantes dans la ville R gulation du climat ext rieur et qualit de l air La v g talisation des toitures sur des grandes surfaces compense partiellement le climat rencontr dans les grandes villes temp rature plus lev e humidit minime concentration de pollution et influe positivement sur le microclimat gr ce l vaporation de l eau retenue par les plantes et dans la couche de substrat la toiture verte redonne l air ambiant de l humidit le rafra chit et lie les poussi res gr ce la v g tation et la photosynth se la toiture verte absorbe une grande quantit des gaz polluants CO2 contenus dans l air gr ce la v g tation qui limite le rayonnement de la chaleur la toiture verte permet de diminuer la temp rature ext rieure R gulation de d bit l gout L imperm abilisation des sols au niveau de la ville acc l re l coulement des eaux de pluie en surface et augmente le d bit d eau envoy vers le r seau d gout La toiture verte au niveau de l gouttage est caract ris e par une diminution de la quantit d eau pluviale rejet e et la diminution du d bit de pointe des
67. ure est donn e par la formule suivante Q taux de r cup ration x S x P Avec taux de r cup ration qui d pend de la nature de la toiture S superficie du toit projet horizontalement P la pluviosit La consommation moyenne en eau de pluie alimentation des wc Il faut ce stade d finir les besoins pour lesquelles l eau de pluie va tre utilis e Utilisation Consommation moyenne d eau Chasses de WC traditionnelles 30 litres hab jour 11 m hab an uniquement Lessiveuses robinets ext rieurs 66 litres hab jour 24 m hab an robinets de cave nettoyage et chasses de WC Pour valuer la quantit d eau de pluie n cessaire en fonction des besoins d alimentation il faut effectuer une moyenne mensuelle des consommations sur les cinq derni res ann es et maijorer le r sultat de 15 EXEMPLE DE CALCUL DE DIMENSIONNMEMENT Alimentation des chasses WC uniquement chasse de wc traditionnelle gt Consommation mensuelle Par habitant la consommation moyenne mensuelle est de 30 litres hab jour x 30 jours mois 900 litres hab mois soit 0 9 m hab mois Dans un immeuble de 18 appartements 60 personnes la consommation moyenne mensuelle est de 54 m8 La citerne devant r pondre 80 des besoins en eau de pluie le volume d eau obtenir est de 43 m8 gt Volume d eau mensuel r cup r sur la toiture Nature du toit Toit plat recouvert de mati res synth tiques ou b
68. ures de ces surfaces la r sistance au gel r sistance suffisante la s cheresse 2 V g tation extensive La v g tation extensive artificielle est une imitation des v g tations spontan es que l on rencontre sur des vieux murs ou b timents Elle est constitu e de lichens de mousses de s dums et de certaines plantes vivaces Cette v g tation peut survivre plusieurs dizaines d ann es sans aucune intervention humaine La v g tation extensive se prot ge naturellement contre les plantes ind sirables La v g tation extensive peut tre install e sur des toitures en pente Sur les pentes fortement inclin es et fortement expos es au soleil une installation d irrigation est conseill e De mani re g n rale lors du choix des plantes on examinera les caract ristiques suivantes faible vitesse de croissance capacit lev e de r g n ration r sistante lev e au gel et la chaleur 3 Les types de racines et les dangers pour l tanch it Deux types de racines et de dangers pour l tanch it peuvent tre distingu s syst me radiculaire extr mement dense ou tr s tendu la recherche d eau et de mati res nutritives Ces racines rampent sur l tanch it et sont souvent agressives au niveau des raccords et des relev s syst me radiculaire perforant ou pivotant ou syst me de rhizomes poss dant un pouvoir de p n tration lev 32 Guide conseil pour la concep

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