Lorsque le mieux est l`ennemi du bien
Contents
1. D ontologie Stagiaires Mme V Sirjacobs Juriste Mr E Van Rossomme Ma tre en Gestion fiscale La recherche d informations juridiques sur internet Le guichet d entreprise et la Banque Carrefour des Entreprises Faut il Et comment cro tre M G Kahn Les apports d universalit ou de branche d activit s M G Delvaux R viseur d entreprises Expert comptable Les Normes IAS et les petites et moyennes entreprises administratives Il renvoie galement vers des sources plus sp ci fiques L accent est particuli rement mis sur ce qu un non sp cia liste qui veut se familiariser avec cette mati re doit savoir avant de faire appel un fiscaliste La nouvelle dition 2003 est enti rement coordonn e et mise jour au ler janvier 2003 Elle tient compte des modifications qui font suite la r forme des l imp t des soci t s Le Manuel de Droit fiscal Tiberghien est aussi disponible sur support informatique Le CD Rom reprend l ensemble des textes de la version papier jour au 1er janvier 2003 Prix Version papier 215 EUR 182 75 EUR avec abonnement Version informatis e 168 EUR Prix indicatif d une mise jour 120 EUR Pour commander Acc s Fond Jean P ques 4 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 25 00 Fax 010 48 25 19 E mail acces cde deboeck com APC BNL Tel 071 88 6160 Fax 071 88 81 96 IFB Tel 02 626 12 00 Fax 02 626 12 01 AJPCL ASB2. employeur n a pas transmis les d clarations ou a introduit une d claration incompl te ou inexacte l ONSS a le droit de r tablir ou de corriger d office cette d claration IT CONCLUSION La d claration imm diate de l emploi et la g n ralisation de la d cla ration lectronique multifonctionnelle r volutionnent incontestable ment la pratique administrative de la transmission des donn es aux organismes concern s Elles visent essentiellement une simplifica tion et terme la modification de la tenue des autres documents sociaux avec comme corollaire l all gement des charges adminis tratives et partant financi res y aff rentes Cette rationalisation administrative postule cependant une rigueur accrue dans les modalit s et les d lais de communication des d cla rations Cette rigueur est d autant de plus de mise que les sanctions civiles et ou administratives peuvent s av rer relativement lev es m me si on peut esp rer une certaine souplesse dans leur applica tion dans les premiers temps de l entr e en vigueur des nouvelles r glementations Ma tre STRONGYLOS Avocat au barreau de Li ge Elegis Hannequart amp Rasir m strongylos elegis be 24 Comme par exemple la d claration de nouvelles donn es salariales 25 Comme la rectification des donn es relatives aux prestations de travail IAS 17 Contrats de location Cette norme IAS 17 concerne tous les contrats de location sauf e l
3. e le paiement recevoir en remboursement du principal et en produits financiers Exemple il n est pas tenu compte de la TVA Achat du mat riel en vue de sa location 6040 Achats de marchandises 22 000 00 4400 Fournisseurs 22 000 00 Signature du contrat 2900 Cr ance plus d un an 20 000 00 4000 Clients 5 000 00 7000 Vente 25 000 00 R ception du paiement 550 Banque 5 400 00 7510 Produits financiers 400 00 4000 Clients 5 000 00 Dans les contrats de location simple les biens donn s en location seront comptabilis s suivant la nature de l actif Contact Les revenus locatifs sont comptabilis s en produit dans le compte de r sultat sur une base lin aire pendant toute la dur e du contrat moins qu une autre base ne soit plus repr sentative de l che lonnement dans le temps de la diminution de l avantage retir de l actif lou Exemple il n est pas tenu compte de la TVA 4000 Clients 7000 Vente 5 400 00 5 400 00 Transactions de cession bail Une transaction de cession bail est une op ration par laquelle le propri taire d un bien le c de un tiers pour le reprendre en bail Le paiement au titre de location et le prix de vente sont g n rale ment li s car ils sont n goci s ensemble La comptabilisation d pendra de la cat gorie du contrat de loca tion Contrat de location financement L exc dent des produits de cession par rapport la valeur co
4. actif doit tre amorti totalement sur la plus courte dur e de la dur e d utilit ou de la dur e du contrat Les paiements de la dette seront ventil s entre la charge financi re et l amortissement du solde de la dette Exemple il n est pas tenu compte de la TVA Signature du contrat 2520 Mat riel d tenu en location 25 000 00 172 Dette de location financement 20 000 00 422 Dette ch ant dans l ann e 5 000 00 3 16 NOVEMBRE 2003 Paiement 422 Dette ch ant dans l ann e 5 000 00 650 Int r ts sur dette 400 00 550 Banque 5 400 00 Amortissement 630 Dotation aux amortissements 5 000 00 2529 Amortissements du mat riel 5 000 00 Les contrats de location simple sont comptabilis s en charge dans le compte de r sultat sur une base lin aire pendant toute la dur e du contrat moins qu une autre base ne soit repr sentative de l chelonnement dans le temps des avantages qu en retirera Puti lisateur Exemple il n est pas tenu compte de la TVA 5 400 00 5 400 00 61113 Location de mat riel 4400 Fournisseurs 2 CHEZ LE BAILLEUR Le bailleur doit comptabiliser e les actifs en les pr sentant comme des cr ances pour un mon tant gal l investissement net dans le contrat de location e les revenus financiers sur base d une formule traduisant un taux de rentabilit p riodique constant e les co ts directs initiaux en charge au commencement du contrat de location
5. de emploi a adapt l arr t royal n 5 du 23 octobre 1978 relatif la tenue des documents sociaux ainsi que la loi du 30 juin 1971 relative aux amendes administratives applicables en cas d infraction certaines lois sociales En outre l arr t royal du 25 f vrier 2003 a modifi l arr t royal du 8 ao t 1980 relatif la tenue des documents sociaux de mani re assurer la coh rence de la tenue desdits documents en suite de la g n ralisation de la d claration imm diate de l emploi I 1 Le champ d application personnel de la DIMONA En principe tous les travailleurs doivent faire l objet d une d clara tion imm diate de l emploi Il s agit e Des personnes occup es dans les liens d un contrat de travail Des personnes qui autrement qu en vertu d un contrat de travail ex cutent des prestations sous l autorit d une autre personne Moniteur belge du 20 novembre 2002 Moniteur belge du 5 f vrier 2003 Moniteur belge du 5 mars 2003 On pensera notamment ici au personnel statutaire dans le secteur public Aa NN 2003 o PACIOLI N 152 IPCF BIBF PACIOLI Des personnes qui ne travaillent pas sous l autorit d une autre personne mais qui sont assujetties en tout ou partie la s curi t sociale des travailleurs salari s e Des apprentis Restent toutefois exclus du champ d application de la d claration imm diate notamment les travailleurs qu
6. nombre de personnel doit se faire de mani re pr f rentielle par l envoi de d clarations sous la forme de fichiers file transfer ou ftp ou en utilisant les r seaux existants tels que Cobonet ou le r seau interbancaire Isabel 23 Des exceptions administratives sont n anmoins envisageables pour les situations particuli res 2003 PACIOLI N 152 IPCF BIBEF Il peut ainsi communiquer des donn es compl mentaires 2 ou rec tifier certaines donn es existantes C9 Ces modifications ou rectifica tions devront cependant tre effectu es en ligne c est dire directe ment dans la banque de donn es de l ONSS L employeur ou le secr tariat social ne pourra d s lors plus se r f rer aux donn es originales qu il a lui m me transmises mais celles qui ont t valid es enregistr es et conserv es par l ONSS l office tant devenu la source authentique desdites donn es II 5 Sanctions Le d faut de transmission de la d claration multifonctionnelle L ONSS dans le d lai pr vu peut donner lieu la d bition par l em ployeur d une indemnit forfaitaire de 495 79 augment e de 247 89 par tranche de 24 489 35 de cotisations dues au del de 49 578 70 LONSS peut toutefois renoncer l application de cette indemnit lorsque la d claration trimestrielle a t introduite avant la fin du tri mestre qui suit celui auquel elle se rapporte En outre lorsque l
7. tait obligatoire que pour le secteur de la construction o elle n tait d ailleurs plus d application depuis le Ter janvier 1999 3 16 NOVEMBRE 2003 3 16 NOVEMBRE L6 Les sanctions Les m mes amendes administratives sont applicables en cas d in fraction la tenue du registre du personnel et en cas d infraction aux obligations en mati re de d claration imm diate de l emploi Une amende administrative d un montant de 1 875 6 250 peut tre inflig e l employeur ses pr pos s ou mandataires qui n a pas communiqu les donn es en mati re de d claration imm diate n a pas tabli ou compl t de registre g n ral ou sp cial du personnel ne conserve pas ces documents au lieu indiqu pendant les p riodes prescrites omet de les d livrer au travailleur dans les d lais impos s n a pas pris les mesures n cessaires pour que ces documents soient tenus la disposition de l Inspection n a pas respect toute autre modalit d ex cution prescrite par les disposi tions l gales et r glementaires Il La d claration multifonctionnelle l ONSS II 1 Principes Depuis le 1er janvier 2003 la traditionnelle d claration l ONSS est remplac e par d autres modalit s de d nonciation l office enti rement et exclusivement lectroniques d claration aussi appel e multifonctionnelle 9 La multifonctionnalit se cristallise dans la mise disposition de tout
8. BULLETIN DE L INSTITUT PROFESSIONNEL DES COMPTABLES ET FISCALISTES AGR S Selon la loi du 17 juillet 1975 relative la comptabilit des entreprises les livres journaux doivent d abord tre vis s par les greffes des Tribunaux de Commerce avant leur utilisation Selon une note adress e aux guichets d entreprises il appara t cependant que depuis l entr e en vigueur de la loi relative la Banque Carrefour le 1er juillet 2003 cette disposition serait inapplicable dans la pratique En effet les soci t s commerciales ne sont plus inscrites aupr s des registres du commerce mais aupr s des guichets d entreprises et le registre sp cifique pour les soci t s civiles a t int gr au registre g n ral des personnes morales de la Banque Carrefour La Ministre de l Economie Fientje Moerman a confirm la Chambre que l agence pour la simplification administrative pr pare actuellement un arr t royal en vue de la suppression d finitive de l obligation du visa Madame Moerman souligne galement qu il y a peu encore deux instances visaient les livres comptables pour les entreprises commerciales c tait les registres de commerce et pour les professions lib rales il s agissait des fonctionnaires du Minist re des Finances Pour les professions lib rales aucune d cision n a encore t prise Le principe d invariabilit de la comptabilit doit bien tre pris en compte dans la l gislation La Commiss
9. L Tel 0477 84 73 84 Fax 04 264 94 96 IFB Tel 02 626 12 00 Fax 02 626 12 01 UPCHO Tel 069 890010 Fax 069 890020 UPCHO Tel 069 890010 Fax 069 890020 GFPC Tel 071 40 4760 Fax 071 40 4750 AF Tel 0479 87 69 91 Fax 02 612 50 04 Actualit s en droit des soci t s M J P Riquet 01 12 2003 Charleroi 02 12 2003 Libramont D ontologie Stagiaires N 152 1PCF BIBF TT APC BNL Tel 071 88 6160 Fax 071 88 81 96 3 16 NOVEMBRE 2003 S minaires 03 12 2003 Tournai 04 12 2003 Bruxelles 05 12 2003 Mont Saint Aubert 08 12 2003 Bruxelles 11 12 2003 Marche en Famenne 12 12 2003 Charleroi 12 12 2003 Tournai 13 12 2003 Centre Pme Gilly 15 12 2003 Bruxelles 16 12 2003 Mons 17 12 2003 Angleur Li ge 18 12 2003 Uccle 19 12 2003 Tournai 19 12 2003 Tournai 20 12 2003 Charleroi Comment appr hender un contr le fiscal Ma tre Forestini M R Rosoux Les sp cificit s de la r forme fiscale M R Rosoux Comment appr hender un contr le fiscal Ma tre Forestini M R Rosoux Relier les chiffres et les Hommes dans les missions comptables et fiscales M R Remouchamps Le contentieux de la d duction des charges professionnelles Ma tre Littanie Tous les aspects du passage en soci t M J P Riquet Comptable fiscaliste agr Les liquidations de soci t Ma tre Blondiau La r forme fiscale suite M R Ros
10. de photocopies ou sous toute autre forme sans autorisation pr alable crite de l diteur La r daction veille la fiabilit des informations publi es lesquelles ne pourraient toutefois engager sa responsabilit Editeur responsable Marcel Jean PAQUET I PC F Avenue Legrand 45 1050 Bruxelles e T l 02 626 03 80 Fax 02 626 03 90 E mail info ipcf be Internet www ipcf be R daction Val rie CARLIER Geert LENAERTS Jos PATTYN Comit scientifique Professeur P MICHEL Ecole d Administration des Affaires de l Universit de Li ge Professeur C LEFEBVRE Katholieke Universiteit Leuven o 3 16 NOVEMBRE 2003 PACIOLI N 152 IPCF BIBF
11. eil d Etat Cet article 14 stipule que la loi d avril 1994 ne s applique qu aux autorit s administratives contre les actes desquelles un recours peut tre introduit aupr s du Conseil d Etat Cela signifie que les d cisions prises par les Directeurs r gionaux ne tombent pas sous le coup de la loi du 11 avril 1994 puisqu un recours peut tre intro duit aupr s des Tribunaux de Premi re Instance Ce point de vue vient d tre confirm par un arr t de la Cour d Appel de Gand du 3 juillet 2003 Donc puisque l article 374 al 3 CIR 92 a t modifi et que la loi de 1994 sur la publicit des actes administratifs n est pas applicable le contribuable ne dispose plus d aucun droit de consultation de son dossier dans la phase de proc dure de r clamation classique aupr s de la Direction r gionale Effet pervers auquel le l gislateur n avait certes pas pens D s lors il ne reste plus qu un seul recours pour pouvoir consulter son dossier administratif c est faire appel l article 32 de la Constitution Avant que le l gislateur dissipe le brouillard qui entoure ces disposi tions et lorsque vous devrez introduire une r clamation ainsi qu tout autre niveau de proc dure si vous voulez tre certain de pouvoir consulter le dossier administratif de l un de vos clients il est n ces saire de faire r f rence la loi du 11 avril 1994 bien s r mais aussi et surtout l article 32 de la Constituti
12. en fait la demande dans sa r clamation il sera entendu et pourra obtenir communication sans d placement des pi ces relatives la contestation dont il n avait pas connaissance A cet effet il sera invit se pr senter dans un d lai de trente jours e Lorsque le mieux est l ennemi du bien 1 e La d claration imm diate de l emploi DIMONA et la nouvelle d claration multifonctionnelle l ONSS DMFA 3 IAS 17 Contrats de location 5 e Contact 6 e Lu pour vous 7 e S minaires 7 3 16 NOVEMBRE 2003 3 16 NOVEMBRE Aujourd hui le pouvoir du Directeur r gional n est plus juridiction nel mais simplement administratif et le l gislateur a estim que le droit de consultation et d obtenir copie de son dossier administratif devenait superflu Il a modifi cet article 374 al 3 qui s nonce d sor mais comme suit Si le r clamant en fait la demande dans sa r clamation il sera entendu A cet effet il sera invit se pr senter dans un d lai de tren te jours Le contribuable conservait n anmoins un droit de consultation de son dossier administratif sur la base de la loi du 11 avril 1994 relati ve la publicit des actes administratifs L Administration ne contes tait pas ce droit Et puis le pire est arriv La Cour de Cassation dans un arr t du 23 octobre 2000 a d cid que la loi du 11 avril 1994 devait tre lue en m me temps que l article 14 des lois coordonn es sur le Cons
13. erv aux employeurs qui ont d j un num ro m me provisoire d immatriculation l ONSS et qui connaissent les donn es contenues dans la carte SIS 9 www securitesociale be avec l ONSS 4 Le texte ne souffle mot de la mani re dont le travailleur doit tre inscrit N 152 1PCF BIBF O Il existe certaines exceptions notamment si la date de fin de contrat pour un contrat dur e d termin e la date de fin d ex cution d un contrat d occupation d tu diant ou la date de fin de mise disposition pour l utilisateur d un travailleur int rimaire ne diff re pas de la date indiqu e dans la d claration imm diate d entr e 1 Ce document devra cependant tre conserv pendant une dur e de 5 ans partir du ler janvier 2008 2 L ONSS enregistre chaque d claration d un employeur dans un fichier lectronique du personnel qui lui est sp cifique l employeur peut consulter son fichier lectro nique du personnel pour obtenir un nom d utilisateur et un mot de passe il lui suffit de d signer un gestionnaire dans son entreprise qui sera la personne de contact 3 A l exception entre autres de l employeur qui occupe habituellement ses travailleurs moins de 5 jours par semaine cons cutifs en un m me lieu de l employeur qui occupe ses travailleurs des travaux de construction de l employeur qui ressortit de la commission paritaire du travail int rimaine pour ses travailleurs int rimaires Cette carte n
14. es contrats de location portant sur l exploration ou l utilisation de ressources naturelles telles que le p trole le gaz le bois de construction les m taux et autres droits miniers e les accords de licences portant sur des films cin matogra phiques des enregistrements vid o des pi ces de th tre des manuscrits des brevets et des droits d auteur Le contrat de location est un accord par lequel le bailleur c de au preneur pour une dur e d termin e le droit d uti lisation d un actif en change d un paiement ou d une s rie de paiements Contrat de location financement Ce contrat transf re au preneur la totalit des risques et des avan tages inh rents la propri t de l actif Le transfert de propri t peut intervenir ou non in fine Contrat de location simple Tout contrat qui n est pas un contrat de location financement PACIOLI N 152 1PCF BIBF 5 COMPTABILISATION 1 CHEZ LE PRENEUR Les contrats de location financement sont comptabilis s l actif et au passif pour des montants gaux la juste valeur du bien lou ou si celle ci est inf rieure la valeur actualis e des paiements au titre de location Le taux d actualisation doit tre le taux d int r t du contrat de loca tion L actif sera amorti suivant les r gles utilis es pour les autres immo bilisations de l entreprise Si l entreprise n en devient pas pro pri taire in fine l
15. es les informations communiqu es par l employeur l ONSS au profit de l ensemble des institutions de s curit sociale via le r seau de la banque carrefour La d claration doit tre tablie par tous les employeurs qui occu pent du personnel salari d s l instant o une d claration DIMO NA a t introduite La nouvelle d claration servira au calcul et la perception des coti sations sociales mais galement la d termination des droits et au calcul des allocations dues aux assur s sociaux La plupart des institutions de s curit sociale reli es la banque carrefour pour ront collecter les informations n cessaires et ne devront d s lors plus r clamer celles ci s par ment un moment pr cis et par d finition diff renci Afin d analyser le but d uniformisation et de simplification poursuivi certaines notions utilis es ont t unifi es Ont ainsi notamment t harmonis es les notions de r mun ration de p riode de tra vail de journ e de travail de travailleur temps plein ou temps partiel de vacances l gales ou conventionnelles II 2 Modalit s de la d claration multifonctionnelle A partir du ler trimestre 2003 la d claration multifonctionnelle consiste en une d claration sans relev du personnel ni cadre comp table ni autres relev s Par ailleurs une seule d claration est tablie par employeur 9 celle c
16. i accomplissent un travail occasionnel les travailleurs qui accomplissent des prestations qui ne d passent pas 25 journ es de travail par ann e pour des activit s sportives et ou socio culturelles les travailleurs b n voles occup s dans les ASBL qui ne sont pas assujettis la s curit sociale les tra vailleurs occasionnels occup s dans le secteur de l horticulture durant les jours d intense activit les travailleurs suppl mentaires occup s dans le secteur de l horeca les travailleurs qui sont d tach s en Belgique dans le cadre de prestations de services I 2 Les modalit s de la d claration imm diate Au plus tard au moment o le nouveau travailleur commence ses prestations l employeur doit faire une d claration imm diate de l emploi appel e d claration d entr e La d claration peut tre effectu e selon les modalit s suivantes e Soit par t l phone via un serveur local il convient de composer le num ro du serveur e Soit par internet via le site portail de la s curit sociale e Soit par file transfer tous les fichiers transmis par ftp doivent por ter une signature digitale A l issue de la relation de travail d butant le premier jour ouvrable qui suit la fin de l emploi d clar l employeur devra faire une d claration de sortie selon les m mes modalit s que la d claration d entr e 9 En contrepartie de la d claration imm diate de l emploi les emplo
17. i doit englober tous les travailleurs occup s Le travailleur occup pour lequel une d claration DIMONA aura t effectu e n appara tra qu une seule fois par trimestre sur une ou plusieurs ligne travailleur La diff rence principale par rapport l ancien syst me se marque d s lors par le calcul des cotisations effectu individuellement par tra vailleur et non plus de mani re globale et collective IL3 D claration globale de certaines donn es du per sonnel Par exception ce qui pr c de la d claration reste globale savoir au niveau de l entreprise en ce qui concerne les donn es suivantes e La cotisation de solidarit de 7 5 due en raison de l occupation d un jeune dans le cadre d un contrat d occupation d tudiant e La retenue de 13 07 sur le montant total des doubles p cules de vacances e La cotisation de 13 07 sur certaines participations aux b n fices e La cotisation sp ciale de s curit sociale pour les pr pensionn s e La cotisation patronale de 8 86 sur les pensions extral gales II 4 D lai et transmission de la d claration multifonc tionnelle La d claration doit tre transmise PONSS au plus tard le dernier jour du mois qui suit le trimestre civil coul Pour un employeur affili un secr tariat social la date ultime pour la transmission de la d claration reste fix e au vingti me jour ouvrable du deuxi me mois qui suit le trimest
18. ion des Normes comp tables laborera les normes techniques en ce sens 6EE6OEd X4 e NSUELLIG e u j y W 008Z 19d9p p nbang Lorsque le mieux est lennemi du bien La loi du 15 mars 1999 a profond ment modifi le paysage de la proc dure fiscale notamment en introduisant un niveau de recours suppl mentaire puisque d sormais apr s la d cision directoriale il est pos sible d introduire un recours aupr s du Tribunal de Premi re Instance alors qu auparavant l affaire tait directement trait e par la Cour d Appel Par la m me occasion le pouvoir du Directeur r gional des Contributions directes a galement t modifi en mati re de r clama tion Auparavant il disposait d un pouvoir juridictionnel savoir qu il devait trancher en quit sur une demande pr cise d un contribuable et ren dons C sar ce qui appartient C sar dans la quasi totalit des cas les d cisions prises par ces fonctionnaires n taient pas prises unilat rale ment en faveur de l Administration Du fait de ce pouvoir juridictionnel le principe de la publicit de l administration pr vu par la loi du 11 avril 1994 qui permet tout citoyen de consulter son dossier administratif et den obtenir copie ne pouvait plus tre appliqu et d s lors le l gisla teur avait justement ajout un alin a 3 l article 374 CIR 92 aux termes duquel PACIOLI N 152 I1PCF BIBF Si le r clamant
19. mp table du bien doit tre diff r et amorti sur la dur e du contrat de location Contrat de location simple Prix de vente juste valeur tout profit ou perte doit tre comp tabilis imm diatement Prix de vente lt juste valeur tout profit ou perte doit tre comp tabilis imm diatement Perte non compens e par des paiements futurs inf rieurs au prix du march la perte est comptabilis e imm diatement Perte compens e par des paiements futurs inf rieurs au prix du march la perte est diff r e et amortie sur la dur e d utilisation de l actif Prix de vente gt juste valeur exc dent diff r et amorti sur la dur e d utilisation de l actif IASB 167 Fleet Street LONDON EC4A2ES ANGLETERRE Site internet http www iasc org uk Fran oise PHILIPPE Comptable fiscaliste agr e Membre de la CNC e Comptable agr IPCF habitant Nivelles retrait partir du mois de f vrier 2004 d sire effectuer des travaux comptables pour confr res et fiduciaires quelques heures par semaine en activit compl mentaire r gion Nivelles Wavre Charleroi Bruxelles Assujetti la TVA Carri re de 31 ans en comptabilit aupr s d une grande soci t d nergie sous r gime employ R f 152 01 3 16 NOVEMBRE 2003 5 PACIOLI N 152 IPCF BIBF PACIOLI Lu pour vous Manuel de droit fiscal 2003 Tiberghien Bruxelles Larcier 2003 1233p Depuis plus de q
20. on Bonne chance La d claration imm diate de l emploi DIMONA et la nouvelle d claration multifonctionnelle l ONSS DMFA Depuis le 1er janvier 2003 les employeurs doivent tablir et trans mettre une d claration imm diate de l emploi en abr g DIMONA pour la majorit de leurs travailleurs Depuis cette m me date la d claration trimestrielle PONSS que doit remplir et envoyer tout employeur concernant les donn es salariales et le temps de travail du personnel occup dans l entreprise a t remodel e en profondeur Cette d claration a d sormais acquis un caract re multifonctionnel et doit s effectuer exclusivement sous forme lectronique Cette g n ralisation de la d claration multifonctionnelle DMFA fait partie d un des trois volets de l e government de la s curit sociale I La d claration imm diate de l emploi L arr t royal du 5 novembre 2002 instaurant la d claration imm diate de l emploi en application de l article 38 de la loi du 26 juillet 1996 portant modernisation de la s curit sociale et assurant la via bilit des r gimes l gaux des pensions g n ralise partir du 1er janvier 2003 la d claration imm diate tous les travailleurs et les employeurs soit la DIMONA d claration imm diate onmiddelijke aangifte Par ailleurs la loi du 24 janvier 2003 portant des dispositions rela tives la g n ralisation de la d claration imm diate
21. oux Expert au Cabinet de M D Reynders Ministre des Finances TPE mode d emploi M G Kahn Les charges professionnelles MR Winand Les critures de fin d exercice M M J Paquet Comptable Fiscaliste Agr Pr sident de PIPCF Social update 01 01 04 comment cr er mon entreprise dans la pratique En partenariat avec PARTENA Les conditions de d ductibilit des charges r elles M R Wynand Tax Advisor Les frais professionnels non d ductibles D N A Ma tre Nyst Avocat au Barreau de Namur Actualit s TVA M J P Riquet APCH Tel 069 23 63 24 Fax 069 84 25 65 CRECCB Tel 0475 250 681 Fax 09 231 21 20 APCH Tel 069 23 63 24 Fax 069 84 25 65 IFB Tel 02 626 12 00 Fax 02 626 12 01 CRECCB Tel 0475 250 681 Fax 09 231 21 20 AF Tel 0479 87 69 91 Fax 02 612 50 04 APCH Tel 069 23 63 24 Fax 069 84 25 65 GFPC Tel 071 40 4760 Fax 071 40 4750 IFB Tel 02 626 12 00 Fax 02 626 12 01 UHPC Tel 065 34 64 91 Fax 065 84 79 42 AJPCL ASBL Tel 0477 84 73 84 Fax 04 264 94 96 ACTIFS Tel 0475 79 66 86 Fax 02 673 37 38 UPCHO Tel 069 890010 Fax 069 89 00 20 UPCHO Tel 069 890010 Fax 069 89 00 20 AF Tel 0479 87 69 91 Fax 02 612 50 04 Aucun extrait de cette publication ne peut tre reproduit introduit dans un syst me de r cup ration ou transf r lectroniquement m caniquement au moyen
22. oyeur reste par ailleurs tenu d tablir les documents pr vus l arr t royal n 5 du 23 octobre 1978 Il en est ainsi De l tablissement du compte individuel pour chacun des tra vailleurs De l tablissement en double exemplaire d un contrat d occupa tion d tudiant De l tablissement d un contrat d occupation d un travailleur domicile e De l tablissement d une convention d immersion professionnelle en cas de recours ou stage en entreprise I 5 La suppression de certaines obligations l gales La loi relative la g n ralisation de la d claration imm diate de l em ploi a abrog certaines dispositions ant rieures et les obligations y aff rentes charge de l employeur C est ainsi qu est abrog e la carte d identit sociale La loi sup prime de m me l obligation de communiquer l Inspection des lois sociales une copie du contrat d occupation d tudiant 5 C est dire un travail effectu pour les besoins du m nage de l employeur et de sa famille et pour autant que ce travail ne d passe pas 8 heures par semaine chez un ou plusieurs employeurs Pour autant que leur employeur se conforme au r gime simplifi en mati re de documents sociaux organis par la loi du 5 mars 2002 l identification du travailleur doit tre en principe effectu e au moyen de la carte SIS 8 N 02 511 51 51 Centre de contact Eranova Cette possibilit est cependant r s
23. re coul 2 La d claration multifonctionnelle ne peut plus tre transmise depuis le ler janvier 2003 que de mani re lectronique Elle s effectue sur le site portail de la s curit sociale La transmission des donn es peut n anmoins continuer s effectuer sur un support magn tique C2 En tout tat de cause il n est plus possible d adresser l ONSS depuis le 1er trimestre 2003 les d clarations sur un support papier Par ailleurs une seule d claration multifonctionnelle devra reprendre l ensemble des travailleurs occup s Il n est d s lors en principe plus possible de scinder la d claration en transmettant par exemple de fa on distincte les donn es pour les ouvriers et celles relatives aux employ s Comme auparavant l employeur peut apporter des modifications la d claration originale 16 DMFA d claration mulifonctionnelle multifonctionele aangifte 17 Citons titre exemplatif les indemnit s d incapacit de travail charge de l AMI les allocations de ch mage etc p p g 18 Voyez cet effet les arr t s royaux du 10 juin 2001 MB du 31 juillet 2001 19 C est dire par n ONSS 20 Aricle 33 2 de l arr t royal du 28 novembre 1969 21 Loi du 24 f vrier 2003 concernant la modernisation de la gestion de la s curit sociale article 5 MB du 2 avril 2003 22 Cassette bande disquette ou autre support la d claration des entreprises occupant un grand
24. uarante ans d j le Manuel de droit fiscal Tiberghien est synonyme de qualit L objectif est toujours demeur le m me fournir une information de base en mati re de droit fiscal Le manuel propose un clairage concis mais complet de la fiscalit belge et internationale y compris les pr l vements de la s curit sociale agr ment de commentaires et d exemples judicieusement choisis Gr ce de nombreux renvois la jurisprudence la doctrine ainsi qu aux circulaires administratives le manuel est devenu un v ri table ouvrage de r f rence utilis et appr ci tant par les fiscalistes exp riment s que par les fiscalistes d butants Le Manuel Tiberghien se veut avant tout une introduction au droit fiscal L objectif des auteurs est de synth tiser les d veloppements l gislatifs et d en rendre compte de la mani re la plus pratique et la plus claire possible Toute personne en charge de la gestion fis cale dans une entreprise y trouvera la solution ses questions Le commentaire maill d exemples judicieusement choisis se r f re sans cesse la jurisprudence la doctrine et aux circulaires S minaires 25 11 2003 Gembloux 25 11 2003 Bruxelles Ma tre Hupin 26 11 2003 Angleur Conseiller PARTENA 28 11 2003 Bruxelles 28 11 2003 Tournai Les normes LAS M H Fronville R viseur d entreprises 28 11 2003 Tournai 29 11 2003 Centre Pme Gilly Mme Fr Philippe Comptable IPCF
25. yeurs sont dispens s de leurs obligations administratives en mati re de tenue de registre du personnel papier D et de l envoi d une copie du contrat de travail d tudiant l Inspection des lois sociales Apr s l tablissement de la d claration imm diate l employeur peut visualiser via le site portail de la s curit sociale le r sultat de ses d clarations 2 I 3 Le registre sp cial du personnel Les employeurs qui sont tenus d adresser la d claration imm diate de l emploi doivent tablir un registre sp cial du personnel lorsqu ils occupent des travailleurs en plusieurs endroits Le registre sp cial du personnel doit contenir plusieurs mentions savoir e Le n ONSS de l employeur e Le lieu de travail e Le n d identification la s curit sociale de chaque travailleur e La date de d but de la mise au travail e La date laquelle le contrat a pris fin Ces mentions doivent tre reprises au plus tard au moment de la mise au travail la date de sortie devant tre inscrite dans les 7 jours qui suivent celui au cours duquel le contrat a pris fin Le registre sp cial du personnel peut tre tenu sur papier ou sur sup port lectronique condition que les inspecteurs sociaux puissent en prendre connaissance tout moment sur le lieu de travail 4 Il doit tre conserv pendant 5 ans partir de la derni re inscription obli gatoire I 4 Les autres documents sociaux L empl
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