Avis en matière de bancs solaires et rayonnement UV
Contents
1. 11 Norme standard europ enne EN 60335 2 27 12 Welzijn op het werk Provinciaal Veiligheidsinstituut Antwerpen 1999 13 J Peeters UV medische gevaren meteorologische voorspelling en klimatologische frequenties aspecten Proefschrift lic Aardrijkskunde KUL 1996 1997 14 J A Parrish R Rox Anderson F Urbach and D Pitss UV A Biological effects of ultraviolet radiation with emphasis on Human responses to longwave ultraviolet Plenum Press New York and London 1978 15 Concise encyclopedia of science and technology Mc Graw Hill US 1984 16 J P C sarini UV and the skin the biological effects of UVA and UVB IRPA9 1996 Int Congress en Radiation Protection Vienna Austria April 14 19 1996 pp 1 339 344 17 J P C sarini and D H Sliney Ultraviolet radiation the eye IRPA9 1996 Int Congress on Radiation Protection Austria April 14 19 1996 18 W Van Loock Gezondheid en Elektromagnetisme ISBN 90 382 0212 1 Academia Press Gent 2000 blz 145 158 19 Colin Roy Sources and physical characteristics 4th Int Workshop on Non lonizing Radiation Executive Summary Kyoto Japan May 22 25 2000 pp 73 76 20 J R C sarini Biological effects and health consequences pp 77 80 21 K Sasaki Solar UV induced ocular diseases Epidemiologic proof of the scenario ibid p 81 22 F R de Gruijl Guidelines on limiting exposure ibid pp 83 84 ibid 23 Colin Roy2. que l usage des bancs solaires est d conseill aux moins de 18 ans que l usage de bonnes lunettes de protection est conseill avec un facteur de protection lev et une protection lat rale 6 Approche scientifique Il faut mesurer les appareils afin de surveiller les d fauts et l usure Il est ventuellement recommander de laisser un dermatologue le soin de d terminer la dose d ryth me minimale DEM avant d entamer une cure de bronzage Des recherches scientifiques sont souhaitables aussi en Belgique Ces recherches doivent se baser sur et servir de suppl ment aux recherches effectu es ailleurs au monde Quelques suggestions de priorit s dans les recherches Le d veloppement et la validation de dosim tres pratiques aussi bien pour mesurer de mani re efficace l exposition UV que pour d terminer la sensibilit biologique Une tude pid miologique sur la relation entre l exposition au rayonnements UV dans les centres de bronzage et les risques de sant Des recherches sur le degr r el de protection des cr mes solaires contre le cancer de la peau et ce qui y pr c de 7 Annexes cet avis a Avis provisoire 5783 relatif au rayonnement UV formul par la section 11 4 du Conseil Sup rieur d Hygi ne le 09 06 2000 et approuv en s ance suite aux notes du Cabinet 00 CVL MA PDM2000 53 P 1658 dd 26 04 2000 du Ministre Aelvoet Le texte du Prof Walter Van Loock du 28 11 2000 c L
3. Public information using the UV index ibid pp 85 87 24 Nederlandse Gezondheidsraad Rapport 1993 09 Optische Straling Gezondheidskundige advieswaarden voor blootstelling aan elektromagnetische straling met golflengten tussen 100 nanometer en 1 millimeter Den Haag 1993 ANNEXE AU TEXTE DU PROF W VAN LOOCK NOTE SUR LES ULTRAVIOLETS 18 1 Qu est ce que les UV Le rayonnement ultraviolet est constitu d nergie lectromagn tique avec une longueur d onde Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 14 of 16 qui varie entre les 4 et 400 nanom tres Les fr quences de cette nergie invisible s l vent plus de 7 9 1014 Hz Les ultraviolets UV sont r partis en trois groupes Cette classification est bas e sur les diff rences observ es parmi les effets biologiques UVA 315 400 nm UVB 280 315 nm UVC 4 280 nm La litt rature reprend parfois d autres limites p ex les UV extr mes 20 200 nm les UV lointains 200 300 nm et les UV proches ou UV longues ondes 300 400 nm Il faut remarquer que les UVA contiennent une partie de lumi re violette L nergie des photons ultraviolets s l ve plus de 5 lectron volt et peut provoquer une ionisation ind pendamment de la densit de puissance Les UV constituent une limite entre les ondes ionisantes et non ionisantes Il a t convenu de fixer cette limite une longueur d onde de 0 3 mm ou 300 nanom tres Les effets b
4. Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 7 of 16 repris dans le tableau suivant Type 1 ryth me tr s rapide ne bronze jamais 2 ryth me rapide bronze lentement 3 ryth me rare bronze facilement 4 jamais d ryth me bronze rapidement 5 pigment mongolo de 6 de couleur n gro de Les coups de soleil ryth mes et le bronzage sont des m canismes diff rents Il existe une diff rence entre un ryth me provoqu par les UVB et les UVA le plus souvent il s agit d une combinaison des deux mais les UVB sont les plus importants 9 18 Le compte rendu du 4 e Workshop International sur les Rayonnements non ionisants de Kyoto au Japon en May 22 25 2000 donne un bon aper u des constatations scientifiques r centes 19 231 Il a t consult lors de la r daction du pr sent document 5 COMMENTAIRES 5 1 Le RGST Le nombre de sources UV dans notre soci t ne fait qu accro tre et ce aussi dans l lectrom nager les simples lampes halog nes etc C est pourquoi il est int ressant de savoir ce que le R glement G n ral pour la Protection au Travail mentionne au sujet du rayonnement ultra violet Selon la r f rence 12 p 507 le RGST met en garde sans donner de pr cisions contre le rayonnement actinique UV B du chalumeau de soudage lectrique et contre l exposition directe aux rayons intenses du soleil notamment le travail l ext rieur la construction Etant donn
5. Avis de l Acad mie Royale de M decine de Belgique Le Conseil Sup rieur d Hygi ne tient galement r f rer au texte The French regulations for ultraviolet radiation sunbeds J P C sarini Radiation Protection Dosimetry Vol 91 Nos 1 3 pp 205 207 2000 Nuclear Technology Publishing Ce document est important d une part parce qu il affirme clairement que pour plus de 50 des appareils en fonctionnement d importants d fauts sont constat s et d autre part parce qu il donne un aper u des normes internationales existantes du contr le des applications UV pour le public par les autorit s d hygi ne de la protection et de la s curit du consommateur de la formation des op rateurs et des avantages li s une l gislation Annexe a Avis provisoire 5783 en mati re de rayonnements UV formul par la section Ill 4 radiations du Conseil Sup rieur d Hygi ne le 09 06 2000 et approuv en s ance suite au notes du Cabinet 00 CVL MA PDM2000 53 P 1658 dd 26 04 2000 de Madame le Ministre Aelvoet Il a t constat que la Loi du 11 janvier 1999 portant sur le r glement de l exploitation de centres de bronzage pr sente quelques erreurs ainsi que des lacunes De mani re g n rale Il s agit de rayonnement ultraviolet et non de rayons ultraviolets Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 4 of 16 L Art 5 Toute personne qui dans un centre de bronzage s occupe de la gestion jo
6. qu il y a surtout un danger pour les yeux et la peau le RGPT recommande les mesures de pr vention suivantes Pour les yeux Lunettes de soleil adapt es ou lunettes de protection avec un degr de protection adapt la longueur d onde du rayonnement UV protection de la source UV gr ce des crans absorbants ou filtrants ad quats Pour la peau V tements cr me ou huile solaire au d but s exposer mod r ment au soleil et prolonger ensuite en laissant la peau le temps de former des pigments bronzage qui agissent comme un filtre Eviter de prendre des bains de soleil l heure de midi ou lorsque l on prend certains m dicaments consulter un m decin Pour les travailleurs on utilise ici le terme bains de soleil 5 2 ACADEMIE ROYALE DE MEDECINE DE Belgique recommandations http acad roy med belg org Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 8 of 16 La plupart des recommandations sont reprises ci dessous de fa on concise Le public doit tre bien inform A lachat ou lors de l utilisation d appareils solaires un document doit tre sign Chaque ann e des examens cutan s doivent tre effectu s Pour l exploitation de centres de bronzage un permis est exig Les bancs solaires doivent tre inspect s annuellement 5 3 Le cours de formation STEZON centre de formation n erlandais pour les conseillers solaires 3 Selon VIZO 2 le Ministre VAN
7. 2 heures dans le soleil en soir e Attention certains m dicaments et certains cosm tiques induisent une hypersensibilit aux UV Pour les m dicaments c est simple il suffit de suivre les conseils de la notice Pour les cosm tiques si les caract ristiques UV ne sont pas connues il vaut mieux ne pas en utiliser avant d appliquer des cr mes solaires Les personnes ayant subi une op ration de l oeil sont tenues de porter des lunettes de protection suppl mentaires comme p ex des lunettes de ski ou des lunettes avec protections lat rales Annexe 3 RECOMMANDATIONS EMANANT D UNE COMMISSION CONJOINTE DE L ACADEMIE ROYALE DE MEDECINE DE BELGIQUE ET DE LA KONINKLIJKE ACADEMIE VOOR GENEESKUNDE VAN BELGI CONCERNANT LES MESURES DESTINEES A PREVENIR LES EFFETS SECONDAIRES DE L EXPOSITION SOLAIRE La lumi re solaire provoque l ryth me actinique aigu et favorise long terme le vieillissement cutan et l apparition de cancers de la peau Ces effets sont cumulatifs et dus aux rayons UVA et UVB Il est admis actuellement qu la suite de coups de soleil r p t s l incidence des tumeurs malignes de la peau et principalement du m lanome s accro t La lumi re solaire est particuli rement nuisible pour les enfants Une exposition solaire exag r e au cours de l enfance accro t le risque de tumeurs l ge adulte surtout chez les sujets type de peau claire La protection naturelle de la peau contre
8. la lumi re solaire consiste d une part en un paississement de l piderme et d autre part en une augmentation de la m lanine Son efficacit d pend toutefois largement du type de peau d termin par la carnation la sensibilit au coup de soleil et l efficacit du bronzage Le type est caract ris par une peau claire tr s sensible au soleil et r calcitrante au bronzage tandis que le type V d aspect fonc r agit peu ou pas la lumi re solaire et se pigmente ais ment Les types II III et IV sont des formes interm diaires entre ces deux extr mes La protection naturelle tant souvent insuffisante il a t longtemps fait usage de cr mes solaires filtrant les UVB pour viter les effets nocifs de la lumi re solaire Il a toutefois t d montr r cemment que l usage prolong de telles cr mes qui permettent l action r p t e des UVA sur le t gument peut favoriser le d veloppement du m lanome Les Acad mies estiment qu tant donn les effets nocifs graves des expositions solaires Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 16 of 16 exag r es elles se doivent d attirer l attention des ministres concern s par ce probl me de sant Elles pr conisent d s lors un ensemble de mesures permettant la pr vention des effets secondaires long terme de lirradiation exag r e par les U V dont surtout les n oplasies savoir 1 Mettre en garde le public sur les da
9. 6 une concertation avec des scientifiques au sujet de l utilisation justifi e de bancs solaires Une premi re r union de pr sentation entre un groupe de concertation scientifique et le secteur des bancs solaires a eu lieu en juin 1997 Entre temps M CHARLIER avait introduit une proposition de loi portant sur la r glementation de l utilisation de bancs solaires Les membres du groupe de concertation ont tudi la proposition de M Charlier et les remarques rassembl es ont t transmises au Ministre vers la seconde moiti de septembre 1997 La derni re r union du groupe de concertation a eu lieu le 10 f vrier 1998 Dans le cadre de la discussion au sujet de normes acceptables pour l exposition des appareils solaires deux experts fran ais ont alors t interrog s Il en est apparu que la loi en France est beaucoup plus rigoureuse que p ex aux Pays Bas La position du groupe de concertation a clairement t d crite en vue de la prochaine s ance d audition sur la proposition de loi CHARLIER La partie requ rante donnait plut t impression de pr f rer les positions et la m thode des Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 6 of 16 Pays Bas en ce qui concerne l exploitation de bancs solaires Les s ances d audition sur la proposition de loi ont eu lieu en mars 1998 Le 17 d cembre 1998 la proposition de loi a t approuv e par la Chambre de Repr sentants 1 Apr s la publi
10. Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 1 of 16 Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV formul suite aux notes du Cabinet 00 CVL MA PDM2000 53 P 1658 dd 26 04 2000 de Madame le Ministre Aelvoet par la section Ill 4 radiations du Conseil Sup rieur d Hygi ne le 28 11 2000 et approuv par crit le 19 12 2000 Le Conseil Sup rieur d Hygi ne r f re ce sujet l Avis provisoire 5783 en mati re de rayonnements UV formul par la section Ill 4 radiations du Conseil Sup rieur d Hygi ne le 09 06 2000 et approuv en s ance suite aux notes du Cabinet 00 CVL MA PDM2000 53 P 1658 dd 26 04 2000 de Madame le Ministre Aelvoet D 1 Introduction Le CSH est d avis que l usage de bancs solaires et d appareils similaires n est certainement pas n cessaire Par le biais d une campagne de sensibilisation il est possible de signaler les dangers qu impligue une exposition au rayonnements UV Au cas o ces appareils sont quand m me utilis s il faut tenir compte des mesures de pr caution suivantes cf 8 2 2 Recommandations 2 1 Les mesures standards internationales p ex CEE 83 189 IEC International Standard 335 2 27 1995 norme europ enne NF EN 60335 2 27 doivent tre respect es au minimum Les appareils de rayonnements UV sont r partis en 4 cat gories 1 Type UV 1 avec une mission lev e de UVA Ce type d appareils ne peut tre utilis qu des fins professionne
11. IONS S ance du 28 novembre 2000 PREMIER POINT DE L ORDRE DU JOUR Avis BANCS SOLAIRES ET RAYONNEMENTS UV 6605 Pr paration avis BANCS SOLAIRES ET RAYONNEMENTS UV DOCUMENT DE TRAVAIL Rapporteur Prof Dr ir Walter Van Loock UG VUB 1 INTRODUCTION Le 09 06 2000 la sous section III 4 a formul un avis provisoire relatif aux lacunes et erreurs Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 5 of 16 figurant dans la loi Charlier du 11 01 1999 portant r glement de l exploitation des centres de bronzage Voir ANNEXE 1 Etant donn qu il n y avait pas de secr tariat scientifique disposition cette note constituait une r ponse provisoire la demande du Ministre afin que le CSH puisse formuler un avis tay au sujet des bancs solaires et du rayonnement UV Suite la r union du 31 10 2000 antennes GSM le Ministre AELVOET a demand verbalement d acc l rer la proc dure pour formuler l avis cause des nombreux accidents qui surviennent avec les bancs solaires cause galement du facteur cancer de la peau qui s accro t consid rablement et cause de l usage erron de produits de protection avec un facteur de p ex 30 ou plus qui donnent aux personnes la fausse impression qu elles peuvent prendre des bains de soleil prolong s sans risques Le Ministre souhaite que pour la fin de l ann e cette question soit encore trait e au niveau politique par cons quent un avis du CSH tay sur l
12. MECHELEN a donn l autorisation d utiliser ce cours provisoirement pour la formation avec certificat d exploitant de centres de bronzage La mat riel pour les cours de formation pour les conseillers solaires Zonneconsulent de STEZON comprend 4 parties modules Communiquer Conseiller Appliquer et Entretenir La partie Conseiller est subdivis e en 6 chapitres le rayonnement optique la peau les appareils solaires bronzer prudemment les moyens de protection et les risques les affections et les aspects positifs Ce cours constitue un document consid rable Selon VIZO il aurait t tudi fond en Flandre par des m decins repr sentants de l Association Royale de Belgique de Dermatologie et de V n rologie ainsi que de la Ligue flamande du cancer et leurs coll gues du monde m dical 2 VIZO 2 affirme qu en septembre 1999 le cours a t valu comme suit Cours de bonne qualit et tr s bien tay sur le plan scientifique L Acad mie Royale de M decine de Belgique y a ajout 27 03 1999 Etant donn l effet cumulatif du rayonnement UV l ARMB recommande que la dose totale annuelle en UVA ne d passe en aucun cas la dose requise pour obtenir une pigmentation agr able du point de vue social Cela correspond deux s ries de rayonnements de chacun 10 DME Ces propos de l ARMB sur le cours STEZON peuvent tre consult s dans le document manant de VIZO 2 Ils impliquent donc notammen
13. cation de la loi CHARLIER sans r solutions d ex cution un manque de clart au sujet de l exploitation de centres de bronzage s est install Fin octobre 1999 une proposition de r solutions d ex cution est introduite par le VIZO l Institut flamand pour les Entrepreneurs Ind pendants et transmise au Ministre flamand Dirk Van Mechelen comp tent en mati re de Formation des Classes Moyennes 2 En attendant les r solutions d ex cution le VIZO a re u la permission d organiser des formations pour exploitants de centres de bronzage Le d veloppement et l organisation de ces formations se sont r alis s en troite collaboration avec GERAS et avec le soutien de l approche et de l exp rience des Pays Bas La publication Zonneconsulent Conseiller solaire du Centre de formation n erlandais pour conseillers solaires Stichting Educatieve Zonnebranche STEZON 3 est utilis e comme cours polycopi 4 SITUATION ACTUELLE Les m dias attirent r guli rement l attention sur le probl me du bronzage et des bancs solaires Il existe bon nombre de recommandations et de directives en voici quelques unes Recommandation de l Acad mie Royale de la M decine de Belgique ARMB 4 5 D pliants divers articles et un Disque solaire 6 8 Une publication de la F d ration belge pour le cancer 9 Des pages Web comme 10 et http www cancer be Une norme europ enne standard EN 60335 2 27 bas e sur la nor
14. e plan scientifique est requis d urgence Avis relatif aux bancs solaires l exposition excessive aux rayonnements UV dans les centres de bronzage l usage de bancs solaires priv s et l exposition normale au soleil Ensuite l attention devrait se diriger vers une brochure informative l attention du public traitant ladite question 2 SITUATION DU PROBLEME Depuis une dizaine d ann es la pr occupation augmente en ce qui concerne les risques des rayonnements ultra violets pour l homme et l environnement L attention est surtout ax e sur les probl mes caus s par la diminution constat e de l paisseur de la couche d ozone qui prot ge contre les ultra violets et sur les risques de sant lors de l exposition aux rayonnements ultra violets du soleil de tous types d appareils et d appareils pour le bronzage artificiel 3 BREF COMPTE RENDU Dans nos pays voisins des avis ont d j t formul s par des instances publiques et des brochures ont t distribu es L utilisation de bancs solaires y est r gl e par la loi et certaines normes notamment pour la lumi re solaire artificielle ont t tablies D j en juillet 1997 le secr tariat scientifique du CSH avait transmis au Ministre de l poque Marcel COLLA une note finale suite sa question au sujet des risques de sant li s l utilisation de bancs solaires Le GERAS Groupement national d exploitants et revendeurs d appareils de soins sollicitait depuis 199
15. ectivement 5 3 Le probl me de la DME Apr s avoir re u une dose suffisante d UV la peau va rougir apr s 8 24 heures La dose minimale n cessaire pour que la peau qui n a pas subi de rayonnement commence visiblement rougir est la DME Il s agit de la dose minimale ryth me DME n cessaire pour qu un coup de soleil soit visible Il n est pas fr quent de trouver la d finition de ce qu est une peau non irradi e dans la litt rature Du point de vue s curit et sant il devrait s agir de la peau la plus sensible qui n a pratiquement pas t expos e la lumi re du jour Le cours de STEZON parle de la peau avant le bain de soleil sans faire mention de la partie du corps expos e La valeur de la DME d pend du type de peau Par type de peau la valeur de la DME pr sentera un talement 13 Pour les types 1 4 la valeur de la DME moyenne correspond la valeur standard de DME sDME ou DES savoir 21 mJ cm2 ou 210 J m2 valeur normalis e 270 nm et souvent arrondie 250 J m2 peau non irradi e Pourtant l chelle internationale aucun consensus n a pu tre obtenu pour cette valeur L effet des UV est maximal 270 nm pour les autres longueurs d onde il faut tenir compte d un facteur d efficacit du fonctionnement relatif du spectre ou du spectre actif 11 La valeur moyenne reprise comme valeur standard est trop approximative pour chaque peau individuelle En tudiant la litt rature on remar
16. iologiques des UV ont t tudi s fond ces dix derni res ann es dans le cadre du bronzage et des bancs solaires 2 GRANDEURS ET UNITES 3 SOURCES NATURELLES 4 SOURCES ARTIFICIELLES 5 L APPLICATION DES UV 6 LES EFFETS BIOLOGIQUES 7 L APPLICATION DES UV POUR LE BRONZAGE 8 EFFETS BIOLOGIQUES 8 1 Rayonnement solaire 8 2 Effets sur la peau et les yeux 8 3 Rayonnement UV artificiel 8 4 Eviter les effets nocifs 8 5 Sensibilit s particuli res 9 DIRECTIVE 10 PROTECTION 11 DIFFERENCE AVEC LES RAYONNEMNTS IONISANTS 12 SYNTHESE Les effets UV varient ils sont r partis dans 3 groupes 1 coups de soleil ou ryth me etc Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 15 of 16 2 bronzage de la peau formation de la vitamine D vieillissement de la peau 3 inflammation des yeux cataracte conjonctivite c cit des neiges c cit Un rayonnement intensif et prolong occasionne des probl mes Les rayonnements prolong s m me faible dose constituent un risque de cancer Il est facile de se prot ger contre les UV ne pas rester au soleil Utiliser des visi res porter des lunettes de soleil qui prot gent des UV utiliser des cr mes solaires efficaces Il faut rester extr mement prudent dans les montagnes pr s de l eau de la neige et de la glace des endroits o il y a un trou dans la couche d ozone lors d un s jour prolong dans le soleil midi et lorsqu on passe environ plus de
17. lles et ne peut par cons quent pas tre vendu des particuliers 2 Type UV 3 avec une mission UVA et UVB limit e Ce type d appareils est galement utilis des fins professionnelles mais peut aussi tre vendu des particuliers 3 Les appareils du type UV 2 et UV 4 sont strictement limit s une application m dicale et ne peuvent pas tre vendus des particuliers En somme seuls les appareils du type UV 3 peuvent tre vendus des particuliers mais l mission d nergie UVB doit toujours tre inf rieure ou gale 1 5 de l mission d nergie totale 2 2 Le Conseil recommande la mise en place d une administration organis e de fa on efficace et comp tente en mati re d tude des risques d octroi de permis pour les centres de contr le et d inspection des appareils d valuation de l exposition et de surveillance sur le fonctionnement sans risques des divers appareils Cette administration devrait en outre disposer de la comp tence n cessaire pour sanctionner Les centres et appareils n ayant pas obtenus de permis doivent tre interdits 3 Campagnes de sensibilisation l attention de la population Les campagnes de sensibilisation doivent en premier lieu d conseiller le bronzage artificiel Elles sont ax es tant vers l usager que vers les fabricants et les exploitants de centres de bronzage Le CSH recommande une campagne bas e sur une diffusion de brochures informatives et de panneaux dans les ce
18. lutions d ex cution relatives la vente d appareils UV Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 12 of 16 le contr le de ces appareils les d tails sur le qui et le comment de l inspection des centres de bronzage l enregistrement obligatoire des exploitants dans un registre la formation et les certificats pour les responsables de centres de bronzage information obligatoire l gard de la client le les dangers que repr sentent les UV les noms de m dicaments provoquant une sensibilit la question des cosm tiques les responsables la r alisation d une fiche individuelle 6 2 Les bancs solaires et les appareils UV usage priv La loi Charlier se rapporte aux centres de bronzage La limitation des risques li s aux UV consiste notamment limiter la vente des appareils UV Seuls les appareils jug s sans risques appareils qui ne g n rent que des UVB avec une faible puissance en watts etc pourraient encore tre vendus Mode d emploi obligatoire avec tous les appareils 6 3 Autres mesures La mise en place d une proc dure d valuation de la DME individuelle L interdiction de recommander de bronzage artificiel L obligation de mettre en garde contre les dangers La r alisation d une brochure informative Les lunettes de soleil 6 4 La brochure informative l attention du public 7 REFERENCES 1 11 janvier 1999 Loi portant sur le r glement de l exploita
19. me CIE Comit Internat lectrotechnique Cette norme standard a trait aux conditions auxquelles les appareils rayonnement ultra violet et infra rouge doivent r pondre pour le traitement de la peau appareils lectrom nagers et autres 11 Au sujet des travailleurs il existe un avertissement g n ral dans le RGST R glement g n ral de la s curit du travail maintenant Codex 12 La loi Charlier 11 jan 1999 publi e le 20 02 1999 1 A pr sent l exposition excessive aux rayonnements ultra violets est reconnue comme cause principale de l augmentation des cancers de la peau m lanomes malins carcinomes basocellulaires spinocellulaires L exposition intense de courte dur e semble la plus dangereuse Certainement lorsqu elle a lieu un jeune ge et aupr s de personnes ayant un teint de peau clair Les ultra violets provoquent galement un vieillissement pr coce de la peau et une cataracte anticip opacit diminution de la transparence du cristallin affection touchant surtout les personnes plus g es 14 17 La sensibilit individuelle de la peau aux ultra violets est un degr de r action de la peau aux rayonnements UV Les divers types de peau chez l homme ont t divis s en cat gories en fonction d un jugement subjectif sur la capacit d une personne de contracter un ryth me coup de soleil et d activer la pigmentation Le classement a t accept au niveau international et est
20. ne diff rence entre une peau jeune et une peau mature Par ailleurs la sensibilit peut galement se modifier L nergie UV diffus e peut tre mesur e gr ce de simples moyens afin de contr ler de fa on rudimentaire le traitement sur le plan technique avant d entamer le bronzage Bien que le cours mentionne de temps autre supposer que nous effectuions des mesures dans des tunnels etc il est rarement question de la mesure et du contr le du rayonnement Il est fait r f rence aux fabricants de lampes et aux fabricants d appareils UV Gr ce aux contr les ces derniers sont en mesure de calculer des cures pour le bronzage raisonn qui doivent tre reprises dans les modes d utilisation des appareils concern s la page 9 Appareils UV et la page 9 Bronzer intelligemment Les fabricants d appareils UV sont tenus de fournir des instructions d utilisation correctes avec leurs appareils afin que les utilisateurs potentiels soient bien avis s pour d terminer le type de peau et l efficacit de l appareil livr Cela semble effectivement logique Afin de garantir la s curit et la sant de la population les instructions d utilisation doivent tre contr l es Il faut galement certifier que l exploitant d un centre de bronzage interpr te correctement les avis repris dans le mode d utilisation des appareils UV qu il elle est en mesure de les appliquer convenablement et qu il elle les applique eff
21. ngers court et long termes li s l exposition solaire exag r e principalement chez les enfants peau claire de type ou II 2 Insister sur les mesures ad quates pouvant diminuer ou viter ces effets comme par exemple la protection vestimentaire l abstention d exposition solaire entre 11h00 et 15h00 l utilisation de cr mes solaires appropri es et l abstention de bancs solaires 3 R glementer la commercialisation de produits anti solaires et interdire les pr parations inadapt es qui ne prot geraient pas l utilisateur simultan ment contre les UVA et les UVB et exiger des producteurs que la composition de leurs produits soit clairement indiqu e sur l emballage 4 Insister sur l importance d un examen cutan r gulier annuel des sujets risques s exposant r guli rement au soleil Adresse de correspondance Minist re des Affaires Sociales de la Sant Publique et de l Environnement Conseil Sup rieur d Hygi ne Adresse C A E Quartier Esplanade 718 Boulevard Pach co 19 Bte 5 B 1010 BRUXELLES Fax 02 210 64 07 E mail guy devleeschouwer health fgov be x Site monitored by WebGuide Hitwatchers Light
22. ntres de bronzage et dans les divers points de vente de cr mes solaire Ceux ci doivent indiquer les dangers ventuels li s une exposition aux Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 2 of 16 rayonnements UV La brochure informative doit signaler de fa on explicite la diff rence entre une exposition aux rayonnements UV et un coup de soleil Ne pas contracter un coup de soleil ne signifie pas qu il n y a pas de risque quelconque A ce sujet il faut signaler que les cr mes solaires sont souvent tort pr sent es comme offrant une protection contre le cancer de la peau En utilisant une cr me solaire on pr vient les coups de soleil et un sentiment injustifi de s curit s installe S en suit une possible exposition excessive aux rayonnements UV qui n est pas arr t e par la cr me L utilisation d une cr me m me avec un facteur de protection lev ne change donc rien au probl me Au contraire le terme facteur de protection provoque un faut sentiment de s curit 4 Recommandations au sujet des centres de bronzage et des bancs solaires usage priv 4 1 Centres de bronzage La loi Charlier doit tre compl t e avec des conclusions relatives la vente d appareils solaires cf 2 1 au contr le des appareils p ex tous les deux ans vu le fait qu en France des sondages ont montr que 50 des appareils pr sentaient de s rieux d fauts apr s 1 ou 2 ans aux d tails au sujet de
23. nts et cosm tiques Certains m dicaments mais aussi certains cosm tiques induisent une hypersensibilit aux rayonnements UV En ce qui concerne les m dicaments il suffit de suivre les conseils repris dans la notice Pour les cosm tiques si leurs caract ristiques UV sont inconnues il vaut mieux ne pas les utiliser avant d appliquer de la cr me protectrice Il faut r glementer les produits solaires et interdire les produits qui ne prot gent pas la fois contre les UVA et les UVB Il faut par ailleurs exiger que les emballages des produits cosm tiques mentionnent les ventuels probl mes relatifs au bronzage par exemple enlever avant tout bain de soleil S il existe des probl mes la mention doit tre obligatoire dans les notices mais galement sur les emballages 5 5 Lunettes Les personnes ayant subi une op ration de l il sont tenus d utiliser des lunettes de protection sp ciales comme des lunettes de ski ou des lunettes pourvues de protections lat rales A notre connaissance il n est pas ou presque pas indiqu si des lunettes prot gent contre les UV ou non Si les lunettes de soleil n offrent pas de protection contre les UV interdiction de vente ou label avertisseur la vente 5 6 Vente d appareils UV uniquement des appareils certifi s pour usage priv vente interdite sauf les appareils avec une faible puissance en watts 6 AVIS 6 1 La loi CHARLIER Cette loi doit tre compl t e par des r so
24. quera que cette valeur moyenne est accept e pour le type caucasien existe dans de nombreuses langues en anglais Caucasian white Caucasian Nulle part il n est fait mention d une explication claire indiquant ce type humain Il s agirait de peuples autour de la M diterran e mais le Caucase se trouve entre la mer Noire et la mer Caspienne par cons quent les Ecossais aux cheveux roux et les Irlandais ne sont certainement pas concern s En tenant compte du type Caucasien il faut diminuer la valeur standard belge afin de pouvoir assurer la s curit et la sant Le bronzage raisonn naturel ou artificiel doit notre avis tre bas sur la valeur de la DME individuelle cutan e Le bronzage raisonn exige donc une connaissance du type de peau et plus particuli rement du type de peau individuel et de la sensibilit individuelle ou de la DME qui devraient pouvoir tre tablis par une clinique de dermatologie Etant donn que dans les centres de bronzage cette routine est absente le type de peau des clients est provisoirement valu par le biais d un questionnaire STEZON La cure est ensuite d termin e en tenant compte ou pas de certaines directives et avis provenant notamment du Conseil d Hygi ne n erlandais Ce dernier conseille de limiter la premi re dose de rayonnement pour une cure 0 5 DME En ce qui concerne la dose totale annuelle il est conseill de la limiter 100 DME par exemple 50 DME pour le bron
25. qui se chargera de l inspection et de comment celle ci sera effectu e enregistrement obligatoire des exploitations aux centres sans responsables pr sents qui doivent tre d conseill s la formation des responsables de centres de bronzage l obligation d informer la client le en ce qui concerne les risques la responsabilit l laboration d une fiche individuelle de sant p ex classification du type de peau 4 2 Bancs solaires usage priv Les appareils vendus des fins priv es doivent tre munis d un certificat de normes d mission Seul les appareils jug s sans dangers peuvent tre vendus cf 82 1 Tous les appareils doivent tre munis d un mode d emploi qui r f re aux dangers d exposition 5 Mesures de protection Dans les centres de bronzage une personne comp tente doit toujours tre pr sente Les brochures modes d emploi des appareils et autres communications l attention du public et des exploitants doivent mentionner les risques qu entra nent le rayonnement UV et galement signaler que le sentiment de s curit cr par l usage de cr mes solaires cf 3 est injustifi que les parfums les huiles les cosm tiques les m dicaments et autres produits chimiques Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 3 of 16 peuvent provoquer une hypersensibilit Une liste reprenant de tels produits doit tre la disposition du public
26. rayonnement perpendiculaire et oblique sur la surface Nous estimons qu il n est pas logique que les lois de distance aux sources UV ne soient nulle part mentionn es clairement Car cela signifie qu en pratique en s allongeant p ex les genoux repli s il est possible de se br ler les genoux Il est pourtant conseill de changer de position page 8 La peau autrement vous risquez de ne pas bronzer certains endroits En ce qui concerne la minuterie il est fait mention la page 10 dernier alin a que l horloge ou la minuterie d un appareil solaire constitue une partie essentielle Etant donn que l intensit de rayonnement reste constante et provient toujours des m mes lampes avec un facteur d efficacit connu la dose efficace ne d pend que du temps programm pour la distance de rayonnement prescrite On peut en d duire injustement que la solution r side dans la minuterie D autres aspects importants concernant l exploitation d un centre de bronzage et qui ne sont pas mentionn s sont notamment le fait que les UV peuvent produire de l ozone il est donc n cessaire d assurer une bonne ventilation Il y a galement la question de la dose UV absorb e ou celle de la sensibilit de la peau qui n est pas constante chez l homme il existe en Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 10 of 16 effet une diff rence entre la sensibilit de la peau au niveau du torse et des membres ainsi qu u
27. rent entre elles Introduction des appareils solaires et Technique d un appareil solaire A la page 6 et 7 des Mod les sont d crits Il en ressort clairement que dans les centres de bronzage de multiples types de sources d UV sont utilis s par cons quent c est un art que d tre en mesure d appliquer la dose correcte de rayonnement pour le bronzage En ce qui concerne le point de vue pratique le document manque de dessins et d illustrations Un tableau reprend de fa on concise des types de plafonniers UV tunnels UV combinaisons UV pour le visage et UV partiels etc Mais nulle part le cours de STEZON ne reprend des dessins ou des illustrations de sources UV et de la position que la personne ou le client va prendre lorsqu il va subir un rayonnement En ce qui concerne la distance la source de rayonnement qui selon nous est essentielle lors de l application d une dose de rayonnement il y est fait bri vement r f rence la page 6 Les plafonniers mobiles peuvent tre galement constitu s de lampes haute pression Ce sont des appareils tr s compactes dont les lampes si elles sont d pli es se trouvent 1 m tre au dessus de la personne Evaluer la distance par rapport la personne 1 m tre n est pas r aliste mais trompeur tant donn les diff rences consid rables en poids et en longueur des personnes Aucune attention n est accord e au probl me des faisceaux UV divergeants et aux diff rences avec le
28. t que des personnes pr sentant certaines caract ristiques du type de peau sensible et ne pouvant pas recevoir de dose UV ne refl tent pas un sentiment de bien tre du point de vue social La question est de savoir si les propos de VIZO et ou de l ARMB sont int ressants au niveau de la s curit et de la sant de la population Une formation dans le cadre de l exploitation d un centre de bronzage en Belgique doit tre d velopp e mise en place et suivie par des experts BELGES en diverses disciplines Divers arguments peuvent tre cit s pour ne pas copier aveugl ment l initiative des Pays Bas La Belgique diff re des Pays Bas notamment en ce qui concerne la population la mentalit peut tre etc Des arguments objectifs sont par exemple La Belgique se trouve plus au sud la c te y est moins tendue et le paysage y est plus vallonn Le cours de STEZON est r dig l gard des Pays Bas Cela se constate lorsque l on lit p ex la page 5 de la partie Conseiller Nous nous basons pour cela sur la situation du march aux Pays Bas L indice UV belge 7 13 fourni par l Institut Royal de M t orologie en t durant le bulletin m t o n entre pas en ligne de compte dans le cours de STEZON Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 9 of 16 Le d veloppement d une formation doit r pondre aux normes belges et doit tre r alis de fa on multidisciplinaire Non seulement des exper
29. tion des centres de bronzage Moniteur Belge 20 02 1999 pp 3139 3141 2 VIZO Institut Flamand pour les Entrepreneurs information de base sur la formation d exploitant de centre de bronzage lettre au CSH 28 juin 2000 3 Stichting Educatie Zonnebranche STEZON Centre de formation n erlandais pour conseillers solaires Postbus 52 1723 ZH Noord Scharwoude Nederland Beroepsopleiding Zonneconsulent 3 me impression version C novembre 1997 4 Jaarboek en verslagen van de Koninklijke Academie voor Geneeskunde van Belgi Advies over het nemen van maatregelen om de nadelige effecten van het gebruik van zonnebanken te voorkomen LIX 1997 pp 228 229 5 Acad mie Royale de M decine de Belgique Page d accueil Recommandations relatives aux risques lies a l expositions solaire Website http acad roy med belg org Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 13 of 16 6 Kankerinfo De risico s van overmatig zonnen Brussel juni 2000 blz 11 12 7 Informatiegids de gezondheid van de huid in de zon Het Centrum van Zonnepreventie met steun van APB Algemene Pharmceutische Bond KMI Koninklijk Meteorologisch Instituut en VICHY 8 Vlaamse Liga tegen Kanker Zonneschijf mei 2000 9 F d ration belge du cancer Leefmilieu en kanker een praktische preventiegids Brussel 2000 blz 55 61 10 BVBA Gezondheid Melanoma 5 juni Monday 2000 website http www gezondheid be
30. ts en biologie et en m decine doivent y tre repr sent s mais galement des experts en sciences exactes et appliqu es comme des physiciens des sp cialistes de la s curit et des experts sur les rayonnements L application correcte d une dose de rayonnement UV exige une connaissance de l interaction de la physique des sources UV de leurs caract ristiques de rayonnement comme p ex la largeur du faisceau l volution de l intensit dans une section du faisceau les intensit s en fonction de la distance p ex la loi inverse du carr de la distance la loi de la distance lin aire etc la diff rence entre une incidence perpendiculaire et une incidence oblique etc Il faut poss der une ma trise de la physique des UV absorb s afin de pouvoir d terminer en toute certitude la dose exacte de rayonnement lors du traitement cutan Or les facteurs qui influencent l absorption d UV par les yeux et la peau comme l incidence oblique du rayonnement la temp rature de l air le degr d humidit de l air l humidit ou la siccit cutan e ne sont pas trait s dans le cours STEZON Par ailleurs le cours STEZON fait d faut d illustrations l mentaires d une source d UV ainsi que de la position de l homme qui subi un rayonnement entier ou partiel pour un traitement cutan Le chapitre appareils solaires de la partie Conseiller comprend les alin as suivants Introduction Des lampes au lieu du soleil En quoi les lampes diff
31. urnali re de l activit banc solaire doit avoir re u une formation d termin e par les communaut s Cette formation a t elle t d finie Une formation garantie t elle une connaissance suffisante en mati re de s curit et de sant des usagers Est ce que cette connaissance est galement appliqu e Peut on contr ler cela L Art 6 Cet article est contradictoire avec l art 5 concernant l exploitant et la personne qui s occupe de la gestion journali re L exploitant est il celui qui s occupe de la gestion journali re L Art 8 A ajouter et aux personnes qui ont subi une op ration de l il L Art 9 Il n est pas clair ce que l on veut dire par d conseill e aux autres mineurs d ge et A cette phrase il faut galement ajouter apr s fortement d conseill e et aux personnes ayant subi une op ration de l il Le degr de sensibilit de la peau peut tre test de mani re objective par un dermatologue Actuellement on se base plut t sur une classification du type de peau en parcourant notamment un questionnaire En d terminant de mani re objective le degr de sensibilit de la peau il serait possible de d terminer une dose de bronzage sans risques La Loi ne fait pas mention de cette remarque ni ne reprend les diff rents types de peau L Art 10 Quelles sont les conclusions l application de cette loi Annexe b CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE SOUS SECTION III 4 RADIAT
32. zage naturel et 50 DME pour le bronzage artificiel 24 Il est impossible de d finir de fa on pr cise la DME individuelle avec un questionnaire ou avec Avis 5783 en mati re de bancs solaires et rayonnement UV Page 11 of 16 quelques tests incomplets il faut effectuer des tests cutan s particuliers Seuls des dermatologues comp tents devraient tre autoris s r aliser les tests de DME et non les exploitants de centres de bronzage Il faut galement examiner si cette disposition est pourvue de sens et quel degr les dermatologues poss dent la connaissance et la technique appropri es Une simple v rification verbale l h pital universitaire de Gand nous a appris que l valuation d une valeur de DME y est inconnue Dans les centres de bronzage la DME est souvent test e de fa on incompl te ou la valeur est valu e de fa on approximative voir le cours de STEZON gr ce un questionnaire pour tre corrig e par apr s L acte de d finir une valeur DME individuelle fond e sur le plan m dical devrait devenir une proc dure de routine avec comme objectif un bronzage intelligent Sur le plan de la pr vention il est certainement pr f rable d appliquer une valeur DME individuelle pour le bronzage dans les centres en tablissant une fiche individuelle de la client le Le client peut ventuellement garder sa fiche tout comme la carte du groupe sanguin et le livret de vaccinations etc 5 4 M dicame
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