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Ophtalmo - DSB Communication sa

1. Vaccination antipneun a t on pu glaner dans DOSSIER OPHTALMO Allergie oculaire foc allergiques EXPERTS DU MOIS p 54 Monique Lot pharmaciens D marche quali p 55 S curisation mode d emploi EVASION ae Les Thermes marins de Aux petits soins des CONCOURS Gense der p 62 Que la gr ce p 63 In gaux face Repenser la sc AGENDA ee nee eee RATES LE COUP DE PATTE DE Semper est en vacan SemperGDL Retrouvez sur www mediquality lu notre dernier num ro en ligne les anciens num ros en t l chargement l agenda des v nements m dicaux luxembourgeois l actu socio professionnelle Semper Luxembourg Semper Luxembourg juillet 2015 En bref fonctionnelles 1 m decin adjointe et ation des adolescents rie g n rale des H pitaux HUG tait l invit e Jeoise de P diatrie ites fonctionnelles Ine conf rence qui s est Experts du mois D marche qualit l officine Nous rencontrons ce mois ci Monique Lorang pharmacienne titulaire de la Uelzechtdallapdikt Hesper et son coll gue Akram Barrak qui a r fl chi avec elle une solution pour appr hender l chelle d une officine une donn e premi re vue anodine que Monique Lorang r sume en une formule lapidaire Rien ne ressemble plus une poudre blanche qu une autre poudre blanche Les Thermes marins de Saint Mal
2. du centre de thalassoth rapie et spa tamment le coulis de betterave pour g res et gourmandes Dans l air un m lange d odeur iod e Semper Luxembourg juin 2015 EVASION et d algues marines nous nargue le tarin on embarque Premiere visite des lieux avec la th rapeute parcours Aquatonic compl tement r nov il rouvre cet t piscine d eau de mer chauff e hammam sauna salle de muscu et salle de brouillard marin que l on teste volontiers dans une pi ce obscure et embu e tr nent des transats on s y installe on hume et on profite des effets d congestionnants pour les sinus et voies respiratoires 14h30 c est l heure des soins rai son de 4 par jour ils s encha nent le personnel en blouse des thermes est d une redoutable ponctualit Nous sommes attendue au salon Solidor pour un bain jets au salon Algues pour un bioc algues au salon Chau sey pour un ondorelax et au salon Conch e pour un modelage sous affu sions C est la cure vis e relaxante r g n rante et d contracturante pour un plein de vitalit et tonus cf cadre Semper a test c t de la pisci ne le bar o nous retrouverons notre amie pour une tisane d tox et pour changer nos premi res impressions lesquelles saluent franco l amabilit le savoir faire et le professionnalisme des quipes Des curistes visiblement d tendus confortant notre analyse Mi Y ALL
3. Dr Claude Bi va h r ditaire ou acquise de l enzyme ADAMTS13 A Disintegrin and Metallo protease with Thrombospondin type 1 Les taux de certaines fractions du compl ment sont caract ristiques un taux lev de C5a et C5b 9 associ une activit ADAMTS13 normale voque plus un SHUa qu un PTT Sur le plan pid miologique l incidence des formes idiopathiques du PTT est estim e environ 5 cas million an et celle des formes associ es un d ficit s v re d ADAMTS13 lt 10 environ 2 cas million d habitants an Le dia gnostic de PTT doit tre voqu devant 5 signes pathognomoniques que sont l an mie la thrombop nie la fi vre les atteintes r nale et neurologique La clinique d un PTT La clinique est h t rog ne traduisant l atteinte multi organes qui fait que le patient peut tre vu par un h mato logue un n phrologue un infectiolo gue un interniste un neurologue et m me tre admis en r animation Dans cette s rie de 27 patients on note une maladie auto immune associ e du type lupus ryth mateux syst mique un syndrome de Gougerot Sj gren un PTI avec rechutes it ratives voire m me une cryoglobulin mie mixte sur h patite C chronique Les anoma lies neurologiques vont de mod r es c phal es confusion transitoire s v res signes de focalisation pilep sie AVC troubles de la conscience L imagerie c r brale tomodensitom trie IRM montre parfois
4. ethinylestradiol Dans la majorit des cas ces l vations des ALAT ont t transitoires et valu es comme tant li es au m dicament Les l vations des ALAT n taient g n ralement pas associ es des l vations de la bilirubine La cirrhose n tait pas un facteur de risque d l vation des ALAT voir RCP rubrique 4 4 l vations des taux s riques de bilirubine Des l vations transitoires des taux s riques de la bilirubine majoritairement indirecte ont t observ es chez les patients trait s par Viekirax et dasabuvir avec la ribavirine en lien avec l inhibition des transporteurs de bilirubine OATP1B1 1B3 par le paritapr vir et avec l h molyse induite par la ribavirine Les l vations de la bilirubine sont survenues apr s l initiation du traitement avec des valeurs maximales la Semaine 1 de l tude et ont g n ralement disparu en cours de traitement Les l vations de la bilirubine n taient pas associ es aux l vations de l aminotransf rase La fr quence des l vations de la bilirubine indirecte tait inf rieure chez les patients n ayant pas recu de ribavirine Patients transplant s h patiques Le profil de s curit d emploi global chez les patients infect s par le VHC ayant subi une transplantation h patique et ayant re u Viekirax et le dasabuvir et la ribavirine en addition leur traitement immunosuppresseur tait similaire celui des patients ayant t trait s par Viekirax et le dasabu
5. ou tout vaccin contenant une anatoxine dipht rique l administration de PREVENAR 139 est contre indiqu e Chez des adultes de 18 49 ans non pr c demment vaccin s contre les pneumocoques les pourcentages de r actions locales et syst miques taient en g n ral plus importantes que chez des personnes plus ag es 50 59 et 60 64 ans Le seuil de concentration en anticorps li a la protection n a pas t d fini La signification clinique des differences en termes de titres fonctionnels d anticorps entre les s rotypes ou entre PREVENAR 13 et le vaccin polysaccharide pneumococcique est inconnue Des donn es limit es sur l innocuit et l immunog nicit du PREVENAR 139 sont disponibles pour les patients atteints de dr panocytose transplantation de cellules souches h matopo tiques allog niques ou d infection par le VIH mais ne sont pas disponibles pour les autres groupes de patients immunocompromis Lefficacit effectivit n a pas encore t d termin e La vaccination doit tre envisag e au cas par cas Les personnes immunocompromises ou celles qui pr sentent un d ficit immunitaire cause d un traitement immunosuppresseur pourraient pr senter une r ponse immunitaire plus faible Les tudes n ont pas t d velopp es pour identifier les diff rences de r ponses immunitaires entre des groupes de patients sp cifiques et ceux qui ne pr sentaient pas de comorbidit sous jacente Des donn es limit es sur l innocuit
6. 800 Fr en r alit Monnerich F r den Armenarzt wer den im Budget 800 Fr vorgesehen Luxemburger Wort du 26 12 1936 La question des salaires d clencha une vraie bataille rang e au sein du coll ge chevinal de la ville de Luxembourg le 25 juillet 1925 Bez glich der Reorganisation des Armenarztdienstes werden vom Aerztesyndikat Vorschl ge zur Nor mierung leichter und schwerer chi rurgischer F lle verlangt Hr Fettes ger t heftig mit Hrn Galles anein ander der ihm vorwirft er verteidige die Interessen des Aerztesyndikates Hr Fettes verlangt Aufhebung des Verbots nach dem die Aerzte des Gemeinderates die Armen nicht be handeln d rfen Escher Tageblatt du 26 7 1925 Die Pauschalentsch digung der rz te f r den st dtischen Armendienst betrug bisher 7 000 Franken Der Sch ffenrat schl gt die Erh hung auf 14 000 Franken vor Bei dieser Summe ist die gro e Chirurgie nicht einbegriffen Herr Wehenkel ver langt genaue Definition der Begriffe gro e u kleine Chirurgie Herr Fet tes schl gt vor diese Frage zwischen dem Sch ffenrat und dem Syndicat medical entscheiden zu lassen Herr Galles wirft Herrn Fettes vor hier die Interessen des Aerztesyndikates zu verteidigen Es kommt zu heftigen Auseinandersetzungen zwischen den Herren Fettes und Razen einerseits und Herrn Galles anderseits Herr Fettes bittet den Sch ffenrat bei der Regierung die Ab nderung der falschen Interpretation
7. Les avantages d une plus grande im plication des pharmaciens seraient multiples A commencer par l acc s bien plus ais pour les patients si tu s loin des grands centres sans compter le fait que les pharmaciens assurent un service de garde Mais la voie du pharmacien permettrait aussi de faire le tri des patients et d viter un surdiagnostic pour des patholo gies b nignes avec recours pour des incidents b nins aux urgences ou a l imagerie Enfin les anomalies de rembourse ment sont point es du doigt Ainsi actuellement en compression vei neuse des produits identiques font l objet de remboursements diff rents dans les deux fili res Pour la soci t qui sait de quoi elle parle le rembour sement forfaitaire actuel est suffisant en pharmacie pour les pathologies dorsales abdominales les pidondyli tes ou les cervicalgies mais insuffisant pour les pathologies de la cheville du a EL ms ACTU AOS MAS De gauche droite Christophe Chillotti business developper Gwennaelle Petit kin sith rapeute et d l gu m dicale et Fabian Hirtz general manager genou du poignet ou de l paule Rien d tonnant dans ces conditions que 75 des premi res visites de patients sont renvoy es vers les ban dagistes orthop distes Or estime OrthoMedix dans un schema ideal le bandagiste ortho p diste ne devrait tre indiqu que pour l orthop die sur mesure et ma nufactur
8. Vianden en vain puisque ce poste ne fut pas cr de son vivant A la campagne l attitude des autorit s changea avec la r forme de 1841 Quand une com mune tardait organiser son assistan ce sociale le gouvernement lui mit les poucettes Le gouvernement a d cid en principe qu aucune commune ne recevrait de subsides sur le fonds affect au service de la bienfaisance publique si elle ne prouvait que le service des pauvres est organis r guli rement Courrier du gr d de Luxembourg du 16 2 1865 Mais o et comment recruter tous ces medecins dans un pays ne comptant en tout que 38 docteurs en m decine Se limiter a un m decin par canton En mettant un m decin dans cha que canton a la disposition des pauvres la section centrale a pens qu on ne satisfaisait pas r ellement aux besoins Courrier du gr d de Luxembourg du 16 2 1865 C eut t insuffisant Le mod le suis se bien que plus r cent tonne Armengesetz des Kantons Luzern Dr Henri Kugener von 1889 Die Armen rzte wurden aus den frei praktizierenden rz ten vom Regierungsrat ausgew hlt und bestimmt Eine Ablehnung der Wahl war nicht m glich es galt Amtszwang Impensable chez nous cette d cision autoritaire vous obligeant traiter des pauvres alors que vous aviez assez de travail et de revenu avec une clientele priv e ais e Comme l exprimait mali cieusement le d put Norbert Metz Mon voisin
9. e Les corticoides topiques collyres et voies nasales ne doivent pas tre utilis s en routine et l avis de l ophtalmologiste est toujours requis e Utilis e de fa on prudente l immunoth rapie sp cifique peut don ner de bons r sultats suffisante pour justifier l utilisation de cortico des par voie nasale La place de l immuno th rapie sp cifique Bien qu il s agisse du seul traitement susceptible de modifier le cours volu tif de la maladie allergique la place de limmunoth rapie sp cifique est enco re mati re discussions et a d ailleurs fait l objet d un d bat pro contra lors de l EAACI 2015 opposant Jean Luc Fauquert p diatre allergologue et Serge Doan ophtalmologue L objectif de ce traitement est d agir sur le systeme immunitaire de facon a induire une tol rance vis a vis de l allerg ne responsable des manifesta tions cliniques Cela se fait en administrant r guli re ment des doses d extrait allerg nique par vole sous cutan e ou sublinguale de facon a habituer progressivement l or ganisme a la pr sence de l allergene Une m ta analyse de la Collaboration Cochrane r alis e en 2011 a t mise en avant par les deux protagonistes du d bat Le premier pour montrer que la conclusion g n rale tait que l immunoth rapie sp cifique sublin guale permettait de r duire les scores symptomatiques oculaires concernant rougeur prurit et larmoiement et le score symptomatique total des p
10. e comme peu probable Puisque le d s quilibre num rique des tumeurs du sein de la vessie et de la prostate doit tre consid r avec attention il sera plus amplement investigu dans les tudes post commercialisation Population sp cifique Patients g s 2 65 ans Chez les sujets de gt 65 ans des effets ind sirables li s une atteinte ou insuffisance r nale ont t rapport s chez 7 7 des sujets trait s par la dapagliflozine et 3 8 des sujets trait s par placebo voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi L effet ind sirable li la fonction r nale le plus fr quemment rapport tait l l vation de la cr atinin mie La majorit de ces effets ont t transitoires et r versibles Chez les sujets de gt 65 ans les effets ind sirables li s la d pl tion vol mique les plus fr quemment rapport s comme I hypotension ont t observ s chez 1 7 et 0 8 des sujets trait s par la dapagliflozine et par le placebo respectivement voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via Belgique Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigil
11. e du 3 traitement par l olaparib chez les patientes qui ont d velopp un SMD LAM variait de moins back de 6 mois plus de 2 ans Les cas taient typiques de SMD secondaire LAM li e la e th rapie anticanc reuse Toutes les patientes pr sentaient des facteurs potentiels favorisant le d veloppement de SMD LAM la majorit des cas taient des patientes porteuses de mutation gBRCA et certaines de ces patientes avaient des ant c dents de cancer ant rieur ou de dysplasie de la moelle osseuse Toutes ces patientes avaient re u auparavant une Lynparza has a proven statistically significant benefit in the maintenance setting for BRCA mutated BRCA m chimioth rapie base de sels de platine et beaucoup avait galement re u d autres agents platinum sensitive relapsed ovarian cancer patients with a median progression free survival PFS of 11 2 months endommageant l ADN et de la radioth rapie Si le SMD et ou la LAM sont confirm s pendant vs 4 3 months with placebo HR 0 18 95 CI 0 10 0 31 p lt 0 00001 le traitement par Lynparza il est recommand que la patiente soit trait e de fa on appropri e Si un traitement anticanc reux suppl mentaire est recommand Lynparza doit tre interrompu et ne doit pas tre donn en association avec un autre traitement anticanc reux Pneumopathie Des cas de pneumopathie ont t rapport s chez un petit nombre de patientes recevant l olaparib et certains de ces cas ont eu
12. entr es parall les simplifie la pr sentation une comparaison directe entre les essais n tant pas possible au vu des diff rents sch mas d tude Voir le RCP pour le tableau complet El vations des taux s riques d ALAT Dans une analyse combin e des tudes cliniques de Viekirax et du dasabuvir avec et sans ribavirine 1 des patients ont pr sent des taux s riques d ALAT sup rieurs 5 fois la limite sup rieure de la normale LSN apr s le d but du traitement L incidence de ces l vations ayant t de 26 chez les femmes prenant des m dicaments concomitants contenant de l thinylestradiol ces m dicaments sont contre indiqu s avec Viekirax avec ou sans dasabuvir Aucune augmentation de l incidence d l vations des ALAT n a t observ e avec les autres types d oestrogenes couramment utilis s dans le traitement hormonal substitutif par exemple estradiol et strog nes conjugu s De mani re generale les l vations des ALAT ont t asymptomatiques sont survenues au cours des 4 premi res semaines de traitement d lai moyen 20 jours intervalle 8 57 jours et se sont r solues dans la plupart des cas avec la poursuite du traitement Deux patients ont arr t le traitement par Viekirax et le dasabuvir en raison de taux lev s des ALAT dont une patiente prenant de l thinylestradiol Trois patients ont interrompu le traitement par Viekirax et dasabuvir pendant un sept jours dont une patiente prenant de l
13. et l immunog nicit du PREVENAR 139 sont disponibles pour les adultes immunocomp tents de 18 49 ans avec des comorbidit s sous jacente La production de cellules m moire B gr ce au PREVENAR 13 n a pas t tudi e chez les adultes Les r ponses en anticorps au PREVENAR 13 en combinaison avec le vaccine trivalent contre la grippe sont diminu es compar au PREVENAR 139 seul L importance clinique de ceci est inconnue cedeme facial dyspn e bronchospasme Affections du syst me nerveux Peu fr quent Convulsions y compris convulsions f briles Rare pisode d hypotonie hypor activit Affections gastro intestinales Tr s fr quent Perte d app tit Fr quent Vomissement diarrh e Affections de la peau et du tissu sous cutan Frequent Eruption urticaire ou ruption de type urticarienne Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tr s fr quent Fi vre irritabilit ryth me induration tum faction ou douleur sensibilit au site de vaccination somnolence sommeil de mauvaise qualit Eryth me ou induration tum faction au site de vaccination de 2 5 cm 7 0 cm apres la dose de rappel et chez les enfants plus g s g s de 2 5 ans Fr quent Fi vre gt 39 C alt ration des mouvements au site de vaccination due la douleur ryth me ou induration tum faction au site de vaccination de 2 5 cm 7 0 cm apr s vaccination chez le nourrisson Peu fr quent Erytheme induration
14. la rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi pour plus de d tails concernant la prise en charge du patient en cas de suspicion de reaction d hypersensibiit avec Tiumeq Hypersensibilite au dolut gravir Les sympt mes ont inclus des ruptions cutan es des sympt mes g n raux et parfois des dysfonctionnements d organe comme des atteintes h patiques s v res Hypersensibilt l abacavir Les signes et sympt mes associ s une reaction d hypersensibilt l abacavirsontist s ci clessous Ceux ci ont t identifi s au cours des essais cliniques ou lors du suivi apr s commercialisation Les effets ind sirables rapport s chez au moins 10 des patients pr sentant une reaction d hypersensibiit apparaissent en gras Chez la quasi totalit des patients pr sentant une reaction d hypersensibilt le syndrome comporte de la fi vre et ou une ruption cutan e habituellement maculopapuleuseou urticarienne cependant certains patients ont pr sent une r action sans fi vre ni ruption cutan e D autres sympt mes vocateurs d une hypersensiblit comprennent des sympt mes gastro intestnaux respiratoires ou g n raux tels que l thargie et malaises Affections de la peau et du tissu sous cutane Eruption cutan e habituellement maculopapuleuse ou jurticarienne Affections gastro intestinales Naus es vomissements diarrh e douleurs abdominales ulc rations buccales Affections respiratoires thoraciques et m diastinal
15. la vaccination par le Prevenar 13 dans l tude CAPITA Professeur Marc Bonten Les princi pales d couvertes tay es par l tude CAPITA sont d une part la diminution de 45 du risque de pneumonie due a une infection pneumocoque que ce pathog ne soit ou non pr sent ga lement dans la circulation sanguine D autre part la diminution de 75 du risque d infection invasive a pneu mocoque est videmment aussi im pressionnante Enfin je suis convaincu qu il est tr s rassurant que l effica cit du Prevenar 13 reste maintenue pendant toute la p riode de suivi de l tude CAPITA quatre ans Ces r sultats s av rent tr s importants pour de nombreux cliniciens en raison du besoin lev d un vaccin antipneumo coccique efficace chez le sujet g f Selon la plupart des scientifiques et des autorit s le vaccin polysacchari FOCUS ETS dique 23 valent ne r pond pas cet important besoin 7 C est pourquoi dans divers pays notamment aux Pays Bas o nous avons r alis l tude CAPITA le vaccin polysaccharidique pneumococcique 23 valent n a pas t recommand par le conseil de la sant dans une population g e Le programme de vaccination p dia trique antipneumococcique conf re naturellement une immunit de grou pe chez les sujets g s Dans l tude CAPITA nous avons cependant pu d montrer que nous pouvons gr ce une protection vaccinale directe avec le Prevenar 13 obtenir
16. leurs sympt mes Dr Marianne Caflisch D marche clinique Le Dr Marianne Caflisch insiste La d marche m dicale face aux plaintes fonctionnelles d un adolescent doit rester clinique D une part il faut toujours garder l esprit la possibi lit d une pathologie organique sans multiplier les examens compl men taires D autre part il ne s agit pas d un diagnostic d exclusion Une anamn se approfondie doit in clure une description de l pisode des prodromes ou encore des facteurs d clencheurs ll faut aussi rechercher certains param tres psycho sociaux m me si il est pr f rable que cette d marche ne soit pas effectu e initia lement partir du moment o les parents et l enfant sentent que l on essaye d expliquer leurs sympt mes par des facteurs psychosociaux ils ont l impression d tre incompris D s lors ils se ferment tout change ver bal Par cons quent le m decin doit se donner du temps avant d aborder les facteurs pr cipitants les stresseurs avec les personnes concern es souli gne le Dr Marianne Caflisch doit se poser la question de savoir pourquoi la maladie se d clenche ce moment pr cis C est pourquoi la p riode en tourant l apparition du sympt me doit tre investigu e dans le cercle familial une maladie chronique un alcoolisme un d c s un d racine ment culturel ajoute t elle Pour terminer des examens compl mentaires pourront
17. r 100 Franken bernehmen zu wollen mit acht Stimmen gegen eine abgelehnt wurde Luxembur ger Wort du 14 5 1888 Jean Baptiste Dietz 1829 1893 essaya t il vraiment de surench rir l offre de son rival Fr d ric Clasen 1840 1918 Les communes du plat pays Les villes du bassin minier avaient vi demment leurs m decins des pauvres m me si la presse est plut t taciturne leur propos Esch Eine Anfrage des Dr Pen ning um als Armenarzt eingereiht zu werden wird mit allen Stimmen angenommen und zwar schon f r n chstes Jahr Der arme Teufel du 10 12 1905 Ernennung eines Armenarztes Mit 8 Stimmen gegen 3 weisse Zettel wird Herr Dr Schaeftgen als Armen arzt f r das Jahr 1907 ernannt Lu xemburger Wort du 17 1 1907 Kayl Der Schul und Armenarzt Herr Dr P Meisch wird mit 7 Stim men bei 2 Enthaltungen f r eine weitere Dauer von 3 Jahren in sei nem Amt best tigt Luxemburger Wort du 12 7 1921 Ces donn es contredisent un peu le rapport du m decin inspecteur du canton de Esch M morial 83 1915 scheint die freie rztewahl f r Bed rftige immer mehr Anklang zu finden indem dieselbe in den Ort schaften wo sie bereits seit Jahren besteht bisher zu keinen Mi br u chen gef hrt hat A Esch un roulement mensuel se mit en place quand le confr re JOERG se retira Diesj hriger Armenarzt war Hr Joerg er tritt jedoch zur ck und bittet f r die 3 bleiben
18. sous forme de sodium monohydrat Excipient effet notoire chaque comprim pellicul contient 44 9 mg de lactose sous forme de monohydrate Pour la liste compl te des excipients voir RCP rubrique 6 1 FORME PHARMACEUTIQUE COMPRIM PELLICUL COMPRIM COMPRIM PELLICUL BEIGE DE FORME OVALE DE 14 0 MM X 8 0 MM DE DIMENSIONS ET PORTANT LA MENTION AV2 SUR UNE FACE INDICATIONS TH RAPEUTIQUES EXVIERA EST INDIQU EN ASSOCIATION AVEC D AUTRES M DICAMENTS DANS LE TRAITEMENT DE L H PATITE C CHRONIQUE HCC CHEZ LES ADULTES VOIR RCP RUBRIQUES 4 2 4 4 ET 5 1 POUR L ACTIVIT EN FONCTION DU G NOTYPE DU VIRUS DE L H PATITE C VHC VOIR RCP RUBRIQUES 4 4 ET 5 1 POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION LE TRAITEMENT PAR EXVIERA DOIT TRE INSTAUR ET SURVEILL PAR UN M DECIN EXP RIMENT DANS LA PRISE EN CHARGE DE L H PATITE C CHRONIQUE Posologie La dose recommand e de dasabuvir est de 250 mg un comprim deux fois par jour matin et soir Exviera ne doit pas tre administr en monoth rapie Exviera doit tre utilis en association avec d autres m dicaments pour le traitement de l infection par le VHC voir RCP rubrique 5 1 Se r f rer aux R sum s des Caract ristiques du Produit des m dicaments utilis s en association avec Exviera Les m dicament s co administr s recommand s et la dur e de traitement pour Exviera en association sont indiqu s dans le Tableau 1 Tableau 1 M dicament s co administr s rec
19. ves anormaux d pression cauchemars troubles du sommeil Affections du syst me nerveux T s fr quent C phal es Frequent sensations vertigineuses somnolence l thargie Tr s rare neuropathie p riph rique paresth sie Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Frequent tour symptomatologie nasale Affections gastro intestinales Tr s frequent naus es diarrh es Frequent vomissements flatulences douleur abdominale douleur abdominale haute 7 distension abdominale gene abdominale reflux gastro cesophagien dyspepsie Rare pancr atite Affections h patobillaires Peu frequent h patite Affections de la peau et du tissu sous cutan Frequent rash prurit alop cie Tr s rare ryth me polymorphe syndrome de Stevens Johnson syndrome de Lyell Affections musculo squelettiques et syst miques Frequent arthralgies troubles musculaires Rare rhabdomyolyse Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tr s frequent Fatigue Frequent asthenie fi vre malaise Investigations Frequent Elevation de la cr atine phosphokinase CPK l vation des enzymes h patiques ALAT ASAT Rare Elevation de l amylase Cet effet ind sirable n a pos t observ au cours des tudes cliniques de phase Ill que ce soit pour Tiumeq dolut gravir abacovir lomivudine ou pour le dolut gravir seul mais a t observ au cours des tudes cliniques ou apr s commerciali
20. A l heure qu il est sous le r gime des id es d mocratiques la tendance g n rale est vers le libre choix du m decin L int r t du malade doit dans ces questions primer tous les autres salus aegroti suprema lex Il est certain qu un m decin librement choisi et r mun r pour chaque pel ne qu il prend court son malade avec plus d empressement et plus d enthousiasme qu un m decin sa lari in globo qui ne gagne pas plus s il r pond la nuit a l appel de son malade que s il reste dans son lit Rapport du Coll ge m dical Me morial 49 1905 Pour qui veut approfondir le sujet voi cl le compte rendu du rapport du Col lege m dical publi dans la presse In den St dten des Grossherzog tums ist der Dienst der rztlichen Ar menpflege seit langen Jahren durch feste Normen geregelt und er ar beitet regelm ig wie jeder andere kommunale Verwaltungszweig Die Ausgaben die dieser Dienst bean sprucht wachsen in der Regel von Jahr zu Jahr Die Ursache davon ist zu suchen im Strom des Proletariates nach den Stadtzentren und im be st ndigen Anwachsen des Alkoho lismus Gewisse Aerzte verschreiben beraus teuere Spezialit ten die vor den gew hnlichen medizinischen Formen und Mitteln nichts voraus haben Es w re gut sie daran zu erinnern da es eine Pharmakopoe der Armen gibt In den Landgegen den kann man eher das Gegenteil dieser Erscheinung wahrnehmen Die Zahl der Personen welche sich
21. Des la naissance Lu 0 10 20 30 40 Mois Pour les nourissons et les enfants en bas ge L rhamnosus GG Sels Sucre Min raux et plus Egalement dans notre gamme Bfobiotica Pfobiotical D Aliment di t tique de S t A Syst me immunitaire Contient du zinc qui contribue au fonctionnement normal du syst me immunitaire ASTEL Medicas Innovation fe or your health Ce document est exclusivement r serv a l information des professionnels de la sant FLASH Fibrose pulmonaire idiopathique FPI nouvelles donn es sur le nintedanib C est lors de la conference 2015 de l American thoracic Society ATS qui s est tenue Denver aux Etats Unis qu ont t pr sent es de nouvelles donn es long terme sur le nintedanib OFEV m dicament rembours au Luxembourg depuis le 1 juillet pour le traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique FPI FPI est une maladie pulmonaire invalidante et mortelle dont la sur vie m diane est de 2 3 ans apr s le diagnostic Dr Bondue Pr De Vuyst H pital Erasme Les patients souf frant de FPI doivent prendre un traite menta vie pour ma triser cette maladie volutive et potentiellement mortelle Il est important d valuer et de conti KAIM OLEC ULE Le nintedanib est un inhibi teur de la tyrosine kinase d ve lopp par Boehringer Ingelheim L OFEV raison d une g lule deux fois par jour r
22. Fr quent Palpitations Rare Angine de poitrine Tachycardie Affections vasculaires Fr quent Bouff es vasomotrices Peu Fr quent Bouff es de chaleur Rare Hypertension Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Fr quent Congestion nasale Peu Fr quent Congestion des sinus Dyspn e d effort Rare Rhinorrh e Congestion des voies respiratoires sup rieures Affections gastro intestinales Peu Fr quent Dyspepsie Naus es Vomissements G ne gastrique Rare S cheresse de la bouche Gastrite basses Diarrh e Affections de la peau et du tissus sous cutan Rare ruption Affections muscu lo squelettiques et syst miques Peu Fr quent Douleurs dorsales Rigidit Douleurs Douleurs abdominales musculaire Rare aux flancs Myalgie Spasmes musculaires Affections al war af du rein et des voies urinaires Rare Pollakiurie Affections des organes de reproduction et du sein Rare Troubles p niens p nienne spontan e Prurit g nital Troubles g n raux et anomalies au site d adminis tration Peu Fr quent Fatigue Rare Asth nie Douleur dans la rection poitrine Sympt mes grippaux d me p riph rique Investigations Peu Fr quent Augmentation des enzymes h pa tiques lectrocardiogramme anormal Augmentation du rythme cardiaque Rare Augmentation de la pression art rielle Pr sence de sang dans les urines Murmure cardiaque Augmentation de l an tig ne sp cifiq
23. Info www chl lu Mercredi 22 07 de 13h 14h S minaires du mercredi Lieu Kannerklinik Th me s L enfant maltra t au Grand Duch de Luxembourg Orateur Dr Idoya Perez Info www chl lu Mercredi 29 07 de 13h 14h S minaires du mercredi Lieu Kannerklinik Th me s La gastro ent rite lesquel les faut il traiter avec des antibioti ques Orateur Dr Isabel de la Fuente Info www chl lu FORZATEN HCT AOUT Mercredi 05 08 de 13h 14h S minaires du mercredi Lieu Kannerklinik Th me s Le syndrome de Guillain Barr Orateur Dr Julien Charlier Info www chl lu SEPTEMBRE Jeudi 17 09 15h S minaires du jeudi en chirurgie g n rale Lieu CHL 4 rue Barbl 1210 Luxem bourg Th me s Lymphadenectomies dans les cancers de l ovaire quand com ment et pourquoi Orateur Dr L Arru Info www chl lu Mercredi 23 09 de 17h 19h30 Colloque m dico sportif d Eich Lieu Salle de conf rence centre m dical de la Fondation Norbert Metz 76 rue d Eich 1460 Luxembourg Th me s 1 Vortrag Sportverletzung im Kindes und Jugendalter D 2 Praktischer Teil Orthop dische Untersuchung im Kindesund Jugendal ter D F Orateur s Dr Christian N hrenb r ger Dr Nicolien Van Giffen Prof Dr Romain Sell Info med sport chl lu Jeudi 24 09 de 14h30 a 18h30 Lecture series amp workshops Infection 8 Immunity Lieu Amphith tre CHL Lecture de 14h30
24. Jahren keine Ausgaben f r Behandlung der Armen gehabt Die Hebamme erh lt eine Entsch digung von 20 Franken 9 Gemeinde B gen Diese Gemeinde mit 32 Armen hat eine j hrliche Aus gabe von 150 Franken f r rztliche Behandlung Die Hebamme erh lt 10 Franken fur jede Entbindung 10 Gemeinde Niederbesslingen Der belgische Arzt Dr Bosch aus Limerl ist als Armenarzt angestellt und wird tarifm ssig honorirt Die Hebammen erhalten 7 50 Franken f r jede Entbindung Quelque 200 pauvres a charge de l office social au canton de Clervaux A remarquer le belge Emile BOSET 1860 1920 exercant comme m de cin des pauvres dans la commune de Bas Bellain A Mertert on maintenait le poste du m decin des pauvres unique Arzt gesucht von Gemeinde Mertert mit Wohnsitz Wasserbillig Zuschuss wird von der Gemeinde bewilligt Durch das Ableben des fr heren Kassenarztes sind die Posten eines Kassenarztes in der Mosaikplatten fabrik an den Wilhelm Luxemburg und Prinz Heinrich Bahnen sowie der eines Armenarztes der Gemein de Mertert f llig Bewerber wollen sich schriftlich vor dem 1 April 1925 melden Aufschl sse erteilt der Un terzeichnete Mertert den 18 Marz 1925 Der Burgenneister Trierweiler Escher Tageblatt du 20 3 1925 Une faveur bien curieuse Gem Beschlu des Regierungs Conseils vom 16 September 1892 findet die Bef rderung der telepho nischen Mittheilungen zwischen den Verwaltungen der mit
25. L 2120 Luxembourg Site internet http www ms public lu fr activites pharmacie medicament index html TITULAIRE DE PAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE AbbVie Ltd Maidenhead SL6 4XE Royaume Uni NUM RO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH EU 1 14 983 001 DATE DE REVISION DU TEXTE 01 2015 SUR PRESCRIPTION M DICALE Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu DIAGNOSTIC A quoi reconnait on un purpura thrombotique thrombocytop nique C est facile vous r pondront les h matologues Il suffit de rechercher les 5 signes pathognomoniques une an mie h mo lytique une thrombop nie une fi vre une insuffisance r nale et des signes neurologiques sauf qu ils sont rarement pr sents 5 11 des cas et peuvent faire penser entre autres au syn drome h molytique et ur mique une autre microangiopathie Un point sur les certitudes et les incertitudes du diagnostic qui ne peut tre diff r sous peine de voir s aggraver le pronostic purpura thrombotique thrombo cytop nique PTT et le syndrome h molytique et ur mique atypique SHUa sont deux formes de microan giopathies thrombotiques MAT aux pr sentations cliniques et biologiques parfois proches Le PTT se distingue par le fait qu il r sulte d un d faut de clivage prot olytique du facteur de von Willebrand en raison d une d ficience
26. Viekirax et dasabuvir avec ribavirine chez les patients infect s par une h patite C de g notype 1 incluant des patients avec une cirrhose compens e Chez les patients trait s par Viekirax et dasabuvir avec ribavirine les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s chez plus de 20 des patients taient de la fatigue et des naus es La proportion de patients ayant d finitivement arr t le traitement pour cause d effets ind sirables tait de 0 2 5 2 044 0 2 5 2 044 des patients ont interrompu leur traitement en raison d effets ind sirables 4 8 99 2 044 des patients ont eu une reduction de la dose de ribavirine en raison d effets ind sirables l exception de l augmentation des taux d hyperbilirubin mie transitoire le profil de s curit d emploi de Viekirax et du dasabuvir associ s la ribavirine chez les patients avec une cirrhose compens e a t comparable a celui observ chez les patients sans cirrhose Viekirax et dasabuvir sans ribavirine chez les patients infect s par une h patite C de g notype 1 Aucun patient n a arr t d finitivement ou interrompu son traitement en raison d effets ind sirables Liste tabul e des effets ind sirables Le Tableau 3 liste les effets ind sirables pour lesquels un lien de causalit entre le paritapr vir ombitasvir ritonavir en association avec le dasabuvir et ou la ribavirine et l v nement ind sirable est possible La plupart des effets ind sirables pr sen
27. at taque membranaire C5b 9 Son ef ficacit a t initialement d montr e dans l h moglobinurie paroxystique nocturne et il est aujourd hui indiqu dans le SHUa une autre microangio pathie thrombotique Dans une tude pivotale 80 des patients trait s ont une normalisation des parametres h matologiques On note aussi une reduction statistiquement significative du nombre d amp changes perfusions de plasma et nouveaux cas de dialyse et une am lioration de la fonction r nale Semper Luxembourg juillet 2015 DIAGNOSTIC Pr sence de shizocytes et thrombocyto p nie caract ristique d une an mie h molytique par microangiopathie Galliivan CD et al BMC Hematol 2014 et de la qualit de vie L culizumab est souvent l option de la derni re chance dans des MAT post greffe r nale cardiaque ou de cellules souches Les messages Le PTT est une microangiopathie thrombotique avec atteinte viscerale syst mique dont la mortalit est le v e Le diagnostic reste difficile a po ser Les signes pathognomoniques sont rarement pr sents signifiant qu un ta bleau purement h matologique doit d j suffire voquer le diagnostic et demander en urgence un dosage de l activit ADAMTS13 d cisif en cas de taux lt 10 Le caract re m canique de l h molyse est affirm par la pr sence de schizocytes dans la plupart des cas 93 La thrombop nie est toujours pr sente et le plus souvent profonde Le t
28. atteinte vasculaire p riph rique doppler caroti dien mesure de l indice bras jambe Quant au traitement il s agit avant tout de sceller l alliance entre le patient et le m decin insiste le Dr Boisant Ce n est qu une fois ce contrat pass MEETING ECS tiologies rechercher e st nose de l art re r nale an gio IRM e maladies r nales polykystose e ph ochromocytome biologie e hyperaldost ronisme primaire jusqu 20 des HAR e syndrome de Cushing e syndrome d apn e du sommeil labo de sommell e jatrogene m dicamenteuse dysplasie Causes m dicamenteuses e anti inflammatoires non st roi diens e corticoides et EPO e coca ne amph tamines e contraception orale e cyclosporine tacrolimus e r glisse avec le patient que l on pourra arr ter les m dicaments inefficaces et choisir un traitement s appuyant sur trois piliers diur tique thiazidique inhibi teur calcique et inhibiteur du systeme r nine angiotensine IEC ou sartan Si ce traitement est insuffisant a dose maximale on peut associer un anti aldost rone faible dose un diur tique de l anse en cas d insuffisance r nale ou une autre classe telle que b ta bloquant alpha bloquant ou antihypertenseur a action centrale Enfin en dernier recours les m tho des invasives peuvent tre envisag es comme la d nervation r nale ou la stimulation des baror cepteurs caroti diens Mais soulig
29. avec la mention 80 grav e sur une face et ATVsur l autre DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques Hypercholest rol mie Lipitor est indiqu en compl ment d un r gime alimentaire adapt pour diminuer les taux lev s de cholest rol total total C de LDL cholest rol LDL C d apolipoproteine B et de triglyc rides chez les adultes adolescents et enfants g s de 10 ans ou plus pr sentant une hypercholest rol mie primaire incluant une hypercholest rol mie familiale h t rozygote ou une hyperlipid mie mixte correspondant aux types lla et Ilb de la classification de Fredrickson lorsque la r ponse au r gime et aux autres mesures non pharmacologiques est inad quate Lipitor est galement indiqu pour diminuer les taux de cholest rol total et de LDL cholest rol chez les adultes pr sentant une hypercholest rol mie familiale homozygote en compl ment d autres traitements hypolip miants notamment l aph r se des LDL ou lorsque de tels traitements ne sont pas disponibles Prevention des maladies cardiovasculaires Prevention des v nements cardiovasculaires chez les patients adultes estim s risque lev de survenue de premier v nement cardiovasculaire voir rubrique 5 1 en compl ment de la correction des autres facteurs de risques 4 2 Posologie et mode d administration Posologie Avant de commencer un traitement par Lipitor le patient doit suivre un r gime alimentaire hypocholest rol miant stan
30. conjonctivite allergique saison ni re et pr s d une fois sur deux en cas de conjonctivite allergique peran nuelle Il s agit dans la plupart des cas d affections b nignes mais dont l im pact conomique et le retentissement d l t re sur la qualit de vie sont loin focus sur les conjonctivites allergiques d tre non n gligeables Ces deux formes de conjonctivite allergique qui repr sentent globale ment les trois quarts des cas sont en relation avec une hypersensibilit im m diate de type m di e par les IgE et caract ris e par une d granulation des mastocytes sensibilis s Il existe galement deux autres ty pes de conjonctivites heureusement beaucoup plus rares en Europe dans lesquelles l atteinte conjonctivale est coupl e une atteinte corn enne qui en fait toute la gravit Il s agit d une part de la k ratoconjonctivite vernale cf encadr surtout fr quente sous les tropiques qui frappe pr f rentiel lement les jeunes gar ons et qui r gresse le plus souvent sans s quelle apr s la pubert ou plus rarement volue vers la k ratoconjonctivite KETAROCONJONCTIVITE VERNALE Une tude r trospective bas e sur les donn es de 251 patients fait tat e d un ratio homme femme de 3 9 1 e d un d but des sympt mes en moyenne 5 7 2 9 ans m diane 5 ans e d autant de formes perannuelles que de formes saisonni res e L atteinte conjonctivale principale tait palp
31. contr l es ayant compar l effet de l atorvastatine un placebo chez 16 066 patients 8755 patients trait s par Lipitor 7311 patients recevant un placebo trait s pendant une dur e moyenne de 53 semaines 5 2 des patients trait s par atorvastatine ont arr t le traitement en raison d effets ind sirables contre 4 0 des patients recevant un placebo Les effets ind sirables pr sent s ci apr s observ s avec l atorvastatine sont issus d tudes cliniques et de l importante exp rience acquise depuis la commercialisation du produit Les fr quences estim es des effets ind sirables sont class es selon la convention suivante fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Infections et infestations Fr quent nasopharyngite Affections h matologiques et du syst me lymphatique Rare thrombocytop nie Affections du syst me immunitaire Fr quent r actions allergiques Tr s rare anaphylaxie Troubles du m tabolisme et de la nutrition Frequent hyperglyc mie Peu fr quent hypoglyc mie prise de poids anorexie Affections psychiatriques Peu fr quent cauchemars insomnie Affections du syst me nerveux Fr quent c phal es Peu fr quent vertiges paresth sies hypoesth sie dysgueusie amn sie Rare neuropathie p riph
32. d guster directement au port avec un bon verre de Muscadet pour souligner le c t iod du mollusque Le Mont Saint Michel un lot rocheux entour d une magnifique baie tous deux class s au Patrimoine mondial de l Unesco depuis 1979 L abbaye se visite galement les soirs d t sauf le dimanche de 19h minuit et c est tout bonnement f rique www ot montsaintmichel com Y Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nou velles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable sus pect Voir rubrique 4 8 du RCP pour les modalit s de d claration des effets ind sirables D NOMINATION DU M DICAMENT Spedra 50 100 amp 200 mg comprim s COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE 50 mg Chaque comprim contient 50 mg d avanafil 100 mg Chaque comprim contient 100 mg d avanafil 200 mg Chaque comprim contient 200 mg d avanaf l Pour la liste compl te des excipients voir rubrique 6 1 du RCP FORME PHARMACEUTIQUE Comprim 50 mg Comprim s jaune p le de forme ovale avec 50 grav en creux sur une des faces 100 mg Comprim s jaune p le de forme ovale avec 100 grav en creux sur une des faces 200 mg Comprim s jaune p le de forme ovale avec 200 grav en creux sur une des faces DONN ES CLINIQUES INDICATIONS THERAPEUTIQUES Traitement de la dysfonction rec tile ch
33. de s curit d emploi d Exviera et de l ombitasvir paritapr vir ritonavir avec la ribavirine chez les patients avec une cirrhose compens e a t comparable celui observ chez les patients sans cirrhose Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir sans ribavirine Aucun patient n a arr t d finitivement ou interrompu son traitement en raison d effets ind sirables Liste tabul e des effets ind sirables Le Tableau 3 liste les effets ind sirables pour lesquels un lien de causalit entre le dasabuvir en association avec l ombitasvir paritapr vir ritonavir avec ou sans ribavirine et l v nement ind sirable est possible La plupart des effets ind sirables pr sent s dans le Tableau 3 ont t de s v rit de grade 1 avec Exviera et les sch mas contenant l ombitasvir paritaprevir ritonavir Les effets ind sirables sont list s ci dessous par classe de syst mes d organes et par fr quence Les fr quences sont d finies comme suit tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 ou tr s rare lt 1 10 000 Tableau 3 Effets ind sirables identifi s avec Exviera en association avec l ombitasvir paritapr vir ritonavir et la ribavirine N 2 044 Affections h matologiques et du syst me lymphatique Frequent An mie Affections psychiatriques Tr s fr quent Insomnie Affections gastro intestinales Tres fr quent Nausee
34. der Liste angeh rt ausserstande sein aus el genen Mitteln sich die nothwendige rztliche Hilfe zu verschaffen so muss dieser bei dem erbetenen Arzte die Berechtigung durch eine von der Ge meindebeh rde ausgestellte speziel le Erm chtigung nachweisen welche sodann f r die Dauer des besondern Krankheitsfalles g ltig ist Durch die ses Verfahren werden manche Sche rereien und Streitigkeiten beseitigt Die Entsch digung an Hebammen f r Entbindung und Wochenbetts pflege d rftiger Frauen wurde allge mein auf 10 Fr festgesetzt falls die Hebamme f r diese Verrichtungen nicht ein j hrliches festes Gehalt be zieht Es w re nicht sonderlich ver fr ht das Los dieser Wartefrauen noch um ein Merkliches aufzubes sern Das Widerstreben so mancher Gemeinder the gegen eine Erh hung der Entsch digung in Verken nung der von den Hebammen ge leisteten Dienste wird hoffentlich allgemach verschwinden Gemeinderatsberichte Mersch 13 Okt Als Armenarzt wird Hr Dr Zet tinger einstimmig f r die Periode von 1914 bis 1916 einschlie lich gew hlt Luxemburger Wort du 14 10 1913 Les m decins des pauvres du canton de Clervaux amp taient pay s a l acte 1 Gemeinde Clerf Diese Gemein de kann man in dieser Hinsieht als Mustergemeinde betrachten F r rztliche Behandlung der 50 Hilfsbed rftigen bezahlt dieselbe etwa 750 Franken oder 15 Franken f r jeden Armen Die beiden Heb ammen erhalten 75 resp 5
35. des Gesetzes von 1843 zu erwirken wonach es den Aerzten die Gemeinderatsmit glieder seien verboten werde im Armendienst t tig zu sein Fr her habe eine gewisse Inkompatibil tat in dieser Hinsicht bestanden da es nur einen von der Gemeindeverwal tung zum Armendienst bestellten Arzt gegeben habe Heute sei dies nicht mehr der Fall Luxemburger Wort du 27 11 1925 FETTES et WEHENKEL taient tous les deux m decins et membres du parti de droite Nicolas GALLES tait em ploy des chemins de fer et membre du parti radical liberal des mentali t s inconciliables qui s affrontaient HISTOIRE DE LA M DECINE JE Fusion avec le m decin scolaire La situation volua au d but du 20 siecle Les charges du m decin des pauvres en d perdition de vitesse fu rent peu a peu associ es a celles du m decin des coles en plein essor Luxemburg Gemeinderatssitzung vom 28 Febr Hr Probst bringt die Klagen eines Familienvaters ber mangelhafte Reinlichkeit in den Pri m rschulen vor und fragt ob die n tigen Ma regeln gegen das Schar lachsieber getroffen feien dessen Auftreten in den Schulen gemeldet wurde Hr B rgermeister erkl rt der Armenarzt sei mit den n tigen Mahregeln betraut Luxemburger Wort du 2 3 1903 Differdingen 24 Jan Hr Pinth In unsern Schulen herrschen anschei nend Krankheiten man sollte die Leute aufkl ren und dadurch beru higen Hr Conzemius Der Armen arzt kann die
36. des images d isch mie vasculaire Les anomalies n phrologiques sont une insuffisance r nale aigu mod r e ou s v re avec une prot inurie sup rieure 0 3 gr 24 heures D autres organes peuvent tre touch s avec un tiers des patients qui pr sentent une atteinte gastro intesti nale mod r e naus es vomissements douleurs diarrh es ou s v re pan cr atite aigu h morragie digestive La biologie d un PTT Le bilan biologique montre une throm bop nie une an mie h molytique et une schizocytose au frottis sanguin Les tests de coagulation taux de prothrom bine temps de c phaline activ e sont quasiment toujours normaux except en cas d atteinte h patique ou lors d un traitement anticoagulant pr exis tant En particulier un syndrome in flammatoire avec une CRP lev e est rarement pr sent et minime L atteinte biologique h patique est pr sente chez quasiment la moiti des patients de m me que l atteinte myocardique objectiv e par une augmentation des troponines Le crit re diagnostique est un taux d ADAMTS13 lt 10 qui permet de s affranchir des diagnostics diff rentiels des autres MAT un SHUa un syndrome des anti phospholipides ou autres Ce dosage est rarement disponible en urgence et son r sultat ne doit pas retarder la mise en route d un traitement Dans le cadre des PTT acquis la recherche d anticorps anti ADAMTS13 doit tre demand e m me si elle est rarement contrib
37. dical des pauvres fonctionna merveille en croire le rapport du Coll ge m dical de 1911 ll n y a rien de particulier signaler au sujet de ce service L ann e 1910 s est coul e sans que nous ayons pris connaissance d une plainte quelconque soit d un malade in digent qui aurait t n glig par son m decin soit d un m decin l gard duquel aurait failli l autorit charg e des soins de l assistance publique Memorial 66 1911 R mun ration des m decins Un mot sur la r mun ration annuelle de ces messieurs Souvenons nous que le revenu moyen vers 1900 tour nait autour de 1000 1500 Fr Diekirch Gehalt des Armenarztes 250 Fr Der W chter an der Sauer du 28 1 1857 Le Conseil communal de la ville de Luxembourg dans sa s ance du 2 avril 1862 d cida Le traitement du m decin des pau vres est l unanimit des voix lev de 1000 1200 frs Courrier du gr d de Luxembourg du 5 4 1862 Luxemburg Gehalt des Armenarz tes 1200 Fr Luxemburger Wort du 11 6 1863 D une commune l autre les honorai res variaient du simple au quintuple selon les effectifs des pauvres Bettembourg Armenarzt 800 Fr Luxemburger Wort du 29 5 1909 Vianden Die j hrliche Entsch di gung des Hrn Dr Sch tz als Armen arzt betr gt 375 Fr Luxemburger Wort du 21 7 1915 Schifflingen Das Gehalt des Armen arztes wird auf 100 Fr festgesetzt Luxemburger Wort
38. faibles augmentations du taux de PHT s rique ont t observ es avec des augmentations plus importantes chez les sujets ayant des concentrations initiales de PTH lev es L ost odensitom trie chez les sujets ayant une fonction r nale normale ou l g rement alt r e n a pas montr de perte osseuse durant une p riode de traitement de deux ans Tumeurs malignes Lors des essais cliniques la proportion globale de sujets pr sentant des tumeurs malignes ou non sp cifi es tait similaire entre les sujets trait s par la dapagliflozine 1 50 et ceux trait s par placebo comparateur 1 50 et il n y a pas eu de signal de carcinog nicit ou de mutag nicit dans les donn es animales voir rubrique Donn es de s curit pr clinique du RCP En prenant en compte les cas de tumeurs survenant dans diff rents syst mes d organes le risque relatif associ la dapagliflozine tait sup rieur 1 pour certaines tumeurs vessie prostate sein et en dessous de 1 pour d autres par exemple sang et syst me lymphatique ovaires voies r nales n engendrant pas d augmentation globale du risque de survenue de tumeur associ la dapagliflozine Le risque accru diminu n tait statistiquement significatif dans aucun syst me d organes Compte tenu de l absence de cas de tumeur dans les tudes non cliniques ainsi que le d lai court entre la premi re exposition au m dicament et le diagnostic des tumeurs une relation causale est consid r
39. faire bouger les choses depuis pr s d une ann e Nous faisons le point avec son General Manager Fabian Hirtz mplant e Rodange depuis 2014 OrthoMedix est active sur les mar ch s belge francais et luxembour geois Un de ses axes d activit majeurs est l orthop die et la trauma tologie de l appareil locomoteur avec des produits de haute technologie destination de la chirurgie implants et substituts osseux notamment mais aussi des attelles et ortheses orthop diques C est a ce titre que la soci t a introduit en 2014 un dossier aupres de la CNS Un systeme viol et tronqu Dans ce dossier que l on peut qua lifier de tendu le mot est faible OrthoMedix d nonce une s rie de failles du systeme de remboursement aupres des artisans orthop distes En cause un remboursement bas sur une liste tarifaire octroyant une sup pl mentation de 90 sur la base de cette liste aux bandagistes orthop dis tes En d autres termes explique Fabian il Hirtz plus cher est le produit plus le bandagiste orthop diste s enrichit tandis que le patient et la CNS sont appauvris Et ce alors que 80 des produits sont pr fabriqu s et ne n cessitent donc pas de main d oeuvre Mais il y a pire selon le patron d OrthoMedix la pratique courante consisterait dans le secteur de la ban dagisterie orthop die a encourager la fourniture de listes tarifaires lev es de la part des fournisseurs pour
40. frontispice d un livre classique Christian Franz Paullini Heylsame Dreck Apothecke 1748 demander la non adh sion la caisse d un autre c t les familles d ouvriers les apprentis pouvaient se faire assu rer sur base volontaire Pouvaient tre exclues des personnes souffrant d une maladie chronique Luxemburger Wort du 6 12 1902 Einem groBen Teil der minderbe mittelten Schichten unseres Volkes die nicht das Geld haben den frei en Arzt zu bezahlen wurde durch die Versicherung ausreichende rztliche Versorgung gesichert und ihnen gleichzeitig das niederdr ckende Gef hl des Almosens das der Behandlung durch Armen rzte anhaftet genommen Die Kranken hatten ferner das Recht den Arzt ihres Vertrauens frei zu w hlen Escher Tageblatt du 3 1 1935 En fin de compte un tiers de la popula tion profita de la protection l gale en cas de maladie en 1933 un chiffre demon trant l actualit de l office social malgr une assurance maladie en place Libre choix du m decin Nous avons vu plus haut que les com munes avaient deux possibilit s d or ganiser le service des pauvres ou en d terminant un m decin des pauvres ou en laissant le libre choix du m de cin aux malades concern s Convient il d engager les commu nes nommer un m decin des pau vres traitement fixe ou bien faut il abandonner au malade le libre choix du m decin en r mun rant celui ci pour chaque service qu il rend
41. hrend der Cholerazeit in seiner Qualit t als Ar menarzt f r die Gemeinde bei uns bewies sind noch bei allen denen die seine Pflege genossen in zu le bhafter Erinnerung als da man ihn so leicht vergessen m chte Herr Clasen th te daher wohl die ihm noch zu machenden Examen sobald als m glich zu bestehen Luxem burger Wort du 22 12 1867 Le m decin des pauvres dans chaque commune resta utopique pendant de longues ann es trotz aller Bem hungen haben die meisten Gemeinden keinen Arme narzt Dr Aschman D lib rations de la Chambre des D put s cit Luxemburger Wort du 6 1 1879 F r die Armenbureaus der Ge meinden ist der Kantonalarzt der bestellte Armenarzt Luxemburger Wort du 14 3 1895 A defaut de m decin des pauvres cette charge retombait sur le m de cin cantonal ce qui importait c tait que les m decins de la commune ou ceux du canton ne n gligeaient pas au profit d une clientele plus riche la visite des indigents Dans les communes rurales tout com me Luxembourg Ville les lections du m decin des pauvres d g n raient parfois en batailles de boue en rivali t s indignes entre confr res Grevenmacher 13 Mai In seil ner Sitzung von 11 ct hat der Gemeinderath von Grevenmacher den bisherigen Armenarzt Herrn A Clasen mit seinem fr heren Gehalt von 300 Franken wieder angestellt w hrend das Gesuch unseres Can tonalarztes Herrn Fr Deitz dieselbe Stelle f
42. im Falle von Krankheit auf Kosten der Gemeinde rztlich behandeln HISTOIRE DE LA M DECINE XXE lassen sinkt jedes Jahr Dieses tritt im Oesling ebenso klar zu Tage als im Gutland Mehrere slinger Ge meinden welche 200 500 Fr per Jahr f r die rztliche Pflege ihrer Kranken verausgaben mussten ha ben jetzt dieserhalb seit mehreren aufeinanderfolgenden Jahren kei nen Centime mehr zu verausgaben Der Wohlstand dieser braven Bev l kerung steigt zusehends dank den bessern Verh ltnissen die durch die m chtigen Neuerungen der mo dernen Zeiten geschaffen wurden Und mit diesem Wohlstand w chst auch jenes heilsame Selbstbewusst sein das die H lfe der Gemeinde nicht beanspruchen mag Letztere braucht nur dann einzuspringen wenn der Hauptern hrer der Familie auf l ngere Zeit krank f llt Auch die neuen Kranken und Unfallversiche rungskassen die durch die sozialen Gesetze der letzten Jahre eingef hrt worden sind haben dazu beige tragen den Gemeinden die Lasten der Armenpflege zu erleichtern Dementsprechend nimmt auch der Widerstand der Gemeinder te ge gen die Ausgabeposten der ffent lichen Armenpflege immer mehr ab Es gibt allerdings noch welche die sich n tigen lassen so gewisse Ge meinden des Kantons Kapellen die f r die Armen rzte kein festes Ge halt auswerfen sie erm chtigen das Hinzuziehen eines Arztes nur nach wiederholten Bitten oder sie geben diese Erm chtigung einfachhin gar nicht
43. les effets ind sirables sont pr sent s par ordre de gravit d croissante Effets ind sirables dans les tudes cliniques Daklinza en association au sofosbuvir ribavirine Affections h matologiques et du syst me lymphatique fr quent an mie Troubles du m tabolisme et de la nutrition fr quent app tit diminu Affections psychiatriques fr quent d pression anxi t insom nia Affections du syst me nerveux tr s fr quent c phal e fr quent sensations vertigineuses migraine Affections vasculaires fr quent bouff e de chaleur Affections respiratoires thoraciques et mediastinales fr quent toux dyspn e dyspn e d effort congestion nasale Affections gastro in testinales tr s fr quent nausea fr quent diarrh e douleur abdominale haute constipation fla tulence reflux gastro oesophagien bouche s che vomissement Affections de la peau et du tissue sous cutan fr quent prurit s cheresse cutan e alop cie rash Affections musculo squelettiques et syst miques fr quent artharalgie myalgie Troubles g n raux et anomalies au site d adminis tration tr s fr quent fatigue fr quent irritabilit Quatre vingt dix 43 des 211 patients ont re u de la ribavirine en plus de Daklinza et du sofosbuvir Dans cette tude il n y a eu aucun cas d an mie dans les groupes de traitement d pourvus de ribavirine Anomalies biologiques Dans l essai clinique associant Daklinza au sofosbuvir avec
44. me fait observer qu on ne pourrait pas obliger les m decins a tre toujours chez eux pour enten dre les pauvres Courrier du gr d de Luxembourg du 16 2 1865 Au Luxembourg le choix du m decin des pauvres tait affaire des com munes le m decin pr sentant sa de mande le conseil communal faisant son choix Plus le m decin avait de ti tres plus ses chances taient grandes d tre nomm Ce qui amena les pairs de Grevenmacher de pr f rer l hom me aux titres Jean Baptiste DIETZ 1829 1893 l homme de c ur Fr d ric CLASEN 1840 1918 Charles Corlet Beauvillard Le m decin des pauvres 1931 Wormeldingen 19 Dec In seiner gestrigen Sitzung hat unser Ge meinderath einen Armenarzt f r die Gemeinde ernannt es waren 2 Kandidaten vorhanden Herr Doctor Dietz aus Grevenmacher und der im verflossenen Monat zum Doctor der Medizin promovirte Herr Friedrich Clasen ebenfalls aus Grevenma cher Herr Dietz wurde mit 7 Stim men und 2 Abstentionen zum Ar menarzt gew hlt Der Grund dieser Wahl mag wohl haupts chlich darin bestehen da der Titular nicht allein Doctor der Medizin sondern auch der Chirurgie und der Geburtsh lfe ist Bedingungen ohne welche die Aus bung der dem Herrn Dietz an vertrauten Mandate nur unvollst n dig sein k nnte Herr Clasen m ge sich daher durch die Beseitigung seiner Kandidatur nicht entmuthi gen lassen denn die Th tigkeit und die Kenntnisse die er w
45. mit einer Entsch digung von 3000 resp 1000 Franken Luxemburger Wort du 1 9 1931 Bekanntmachung Die Gemein de Bettemburg w nscht die Nie derlassung eines zweiten Arztes in der Ortschaft Bettemburg Das Amt des Schul und Armenarztes wird demselben ab 1 Januar 1934 bertragen N here Details sind im Gemeindesekretariate zu erfragen Bettemburg den 25 September 1933 Der B rgermeister Foetz Escher Tageblatt du 5 10 1933 Apres la premiere guerre mondiale la ville de Diekirch d clara tous les m decins m decin des pauvres Jedem der hiesigen 4 Aerzte werden 500 Fr zuerkannt als Ar menarzt Escher Tageblatt du 23 7 1929 Diekirch Den Schul sowie Armen rzten werden 9000 Fr bewilligt Escher Tageblatt du 13 2 1935 D autres communes comme Luxem bourg Eich Esch Monnerich Vian den ou Wormeldange maintenaient le principe du m decin des pauvres Eich 24 Nov Hr Dr Scholtes wird f r eine weitere Periode zum Ar menarzt ernannt Luxemburger Wort du 24 11 1919 Gemeinderatsverhandlungen Monnerich 14 Februar Zum Ar menarzt wird Herr Dr Steichen aus Esch bezeichnet Er erh lt eine Jahresentschadigung von 2500 Fr Luxemburger Wort du 14 2 1935 Was nun den Armenarzt anbe langt so verlangten die derzeitigen Zust nde dass beispielsweise in der Stadt Luxemburg den Leistungen eine Grenze gesetzt werden musste Im vergangenen Jahr hat die Stadt Esch an Leistung
46. pauvres qui avaient le droit de solliciter l aide gratuite sans produire le susdit billet Gemeinderatsverhandlungen Vi anden 4 Juli Die Familien und ein zellebenden Personen welche der Armenarzt w hrend der Zeit vom 1 Juli 1919 bis 1 Juli 1920 gratis zu behandeln hat wurden vom Ge meinderate bezeichnet Luxembur ger Wort du 5 7 1919 Auf die Aufforderung des Armen arztes des Herrn Dr Thurm Wormel dingen wird eine Liste der d rftigen Einwohner die zur Gratisbehand lung zugelassen sind aufgestellt Gemeinderatssitzung der Gemein de Wormeldingen du 13 4 1933 cit Escher Tageblatt du 15 4 1933 Gemeinderatssitzung der Gemein de Wormeldingen vom 22 Apr l Armenliste pro 1938 Die diesbe z gliche Liste wird nach l ngerer Beratung aufgestellt und dem Ar menarzt Hrn Dr Thurm und dem Apotheker Hrn Weis aus Wormel dingen bermittelt Escher Tage blatt du 28 4 1938 Le temps tait la d mocratisation et le libre choix fit finalement la course des systemes Lisez le rapport du m decin cantonal BOEVER canton Diekirch Vianden Bei freier Aerztewahl fanden die d rftigen Kranken immer schnelle und ausgiebige Behandlung Me morial 06 1933 En r sum les petites communes favorisaient le libre choix les gran des agglom rations pr f raient un ou deux m decins attitr s Ind pen damment du syst me adopt libre choix ou m decin attitr le ser vice m
47. perannuel les Il faut d buter avec de tr s faibles do ses augmenter tr s progressivement et rester aux m mes doses lors de la saison pollinique Les r sultats du vote des partici pants l issue du d bat penchent nettement en faveur de cette option th rapeutique 64 de pour mais ils ne font que refl ter le fait que globalement les allergologues prin cipaux participants au congr s de l EAACI sont en g n ral satisfaits des r sultats de l immunoth rapie sp cifique ce qui n est toujours le cas des ophtalmologues et des pa tients U Source D apr s une interview de Jean Luc Fauquert Clermont Ferrand France et les commu nications de L onard Bielory Springfield NJ Etats Unis Virginia Calder Londres Royaume Uni Serge Doan Paris France et Andrea Leonardi Padoue Italie lors de l EAACI 2015 Barcelone 6 10 juin Planches anatomiques Inflammation Cardiologie Uro Gynecologie Sant mentale Pfizer or PROFESSIONALS www pfizerpro lu ESIOSI sloz Menga Semper Luxembourg juillet 2015 DOSSIER M DICAL T O amp 7 A SE mee A Log DU wn p DER O us lice gt 5 Os Ove Sy SZ O E gt S Experts du mols D marche qualit l officine Lorsque l on parle de tra abilit des m dicaments on pense aux sp cialit s et la lutte contre les contrefa ons qui constitue une priorit dans toute la cha ne de l industrie ph
48. prendront la d cision de ne pas se coucher D apporter leur secours ou simplement de ne pas fuir des destinations frapp es par l ignominie Ceux l en n abandonnant pas nos amis de Tunisie et des autres r gions meur tries rach tent une part des responsabilit s de l Occident dans les d s quili bres qui embrasent le monde Ceux l font aussi le choix de vivre debout et en mouvement comme nous exhortait Brel Fixons le m me horizon t te haute Dr Eric Mertens Colophon en page 65 Semper Luxembourg juillet 2015 O A THIPLIXAIV COVERAM COVERSYL PLUS COVERSYL gt y p gt semen dd Dans ce num ro 10 FLASH Fibrose pulmonaire idiopathique FPI nouvelles donn es sur le nintedanib p 12 Bandagistes orthop distes versus pharmaciens p 14 Le Centre Antipoisons Belge au service des Luxembourgeois MEETING p 15 Les plaintes fonctionnelles l adolescence p 18 Hypertension art rielle r sistante 2 O PORTRAIT Worldline solutions adapt es services personnalis s 2 2 RECHERCHE LIH Pr Saverio Stranges Nouveau directeur scientifique du d partement de Sant de la Population 2 HISTOIRE Les m decins des pauvres du Luxembourg 2 partie 36 DIAGNOSTIC Microangiopathie thrombotique A quoi reconnait on un purpura thrombotique thrombocytop nique Sy 46 54 D 62 64 66 Megi www mediquality net FOCUS HA
49. prescrites En confor mit avec la dur e de conservation de ces pr parations il est donc possible de pr parer certaines pr parations l avance pour ensuite les attribuer au patient au moment de la d livrance pour assurer la tra abilit Et si c tait refaire Nous laisserons le mot de la fin aux pharmaciens d Hes p range Si le param trage du programme la formation du personnel et l introduction du changement au sein de l quipe sont des d marches chronophages n cessitant un engagement personnel de l ensemble de l quipe et un suivi r gulier des pratiques la s curisation du circuit des pr parations et la tra abilit obtenue reste un objec tif prioritaire dans la pratique officinale L informatisation permet d imposer un contr le l uti lisation des mati res premi res rentrant dans la compo sition de la pr paration et un second contr le la pes e des mati res premi res celle ci tant r alis e par une balance connect e informatiquement au syst me de suivi de la pr paration Cette exp rience a permis de mettre plat le processus de la pr paration magistrale de d tecter les points critiques mati res utilis es pes e tiquetage et de proposer des actions correctives et ou pr ventives contr le initial pes e assist e par informatique contr le pharmaceutique Enfin parmi les avantages de notre d marche toute notre quipe est aujourd hui davantage sensibili
50. r cu perer ensuite d importantes ristournes sur chiffre d affaire En clair selon Fabian Hirtz les bandagistes ortho p distes se font rembourser par la CNS sur la base de factures gonfl es artificiellement Ou pour reprendre la formule utilis e par la soci t traient la CNS comme une vache a lait Et le systeme para t juteux au vu du nom bre de bandagistes orthopedistes relativement restreint en comparaison de la population r sidente Un pays modele la Suisse En mati re de soins de sant il est toujours interessant de s int resser aux mod les existant dans les diffe rents pays Et estime Fabian Hirtz la Suisse a montr que si l on pluralise et am liore l acc s au remboursement on potentialise l utilisation de celui ci bon escient De plus on responsabi lise tous les acteurs intervenant dans les protocoles de soins et on tende rendre les patients plus autonomes dans leur approche th rapeutique Et pour pluraliser l acc s aux soins de bandagisterie le dossier remis la CNS propose des adaptations qui pourraient mieux r partir les droits Fabian Hirtz Les bandagistes orthop distes se font rembourser par la CNS sur la base de factures gonfl es artificiellement la couverture sociale 1 conferer davantage de comp ten ces aux pharmaciens 2 mieux rembourser les patients en pharmacie 3 modifier le systeme actuel de remboursement en bandagisterie orthop die
51. r ponse virologique qui s appliquent l association du Daklinza avec le sofosbuvir Arr t du traitement chez les patients ayant une r ponse virologique insuffisante pendant le traitement par Daklinza peg interf ron alfa et ribavirine est peu probable que les patients pr sentant une r ponse virologique insuffisante durant le traitement parviennent une r ponse virologique soutenue RVS ainsi l arr t du traitement est recommand chez ces patients Daklinza daclatasvir Les seuils des taux d ARN du VHC qui conduisent l arr t du traitement c est dire les r gles d arr t du traitement sont pr sent s dans le tableau 2 Tableau 2 Regles d arr t du traitement chez les patients recevant Daklinza en association au peg interf ron et la ribavirine ayant une r ponse virologique insuffisante sous traitement Taux d ARN du VHC Action Semaine 4 du traitement Arr ter le traitement par Daklinza peg interf ron alfa et ribavirine gt 1000 Ul ml Semaine 12 du traitement Arr ter le traitement par Daklinza peg interf ron alfa et ribavirine gt 25 Ul ml Semaine 24 du traitement Arr ter le traitement par peg interf ron alfa et ribavirine gt 25 Ul ml la semaine 24 correspond la fin du traitement par Daklinza Recommandations posologiques pour les m dicaments concomitants Inhibiteurs puissants de l enzyme 3A4 du cytochrome P450 CYP3A4 La dose de Daklinza doit tre r duit
52. son traitement ce qui d pend a la fois de son observance et de l inertie th rapeutique du prati cien Il s agit donc a la fois de s duire de convaincre le patient d tre a son coute et de r agir a temps lorsque les objectifs ne sont pas atteints Simplification Nous avons voqu plus haut la no tion de traitement optimal au moins 3 classes dont un diur tique et ce a doses optimales mais souligne le Dr Boisante le traitement doit n an moins tre simplifi au maximum r duire le nombre de pilules d o l int r t des combinaisons si possible opter pour une action prolong e tout en veillant ma triser le co t HAR quelle pr valence Lorsque l on respecte toutes ces conditions et que malgr tout l hy pertension n est pas contr l e on peut parler d hypertension art rielle r sistante HAR La pr valence exacte est Inconnue en raison du nombre de param tres ing rables mais on consi d re que 15 des patients ont en apparence une HAR Cependant une partie non n gligeable est en fait une fausse HAR de sorte que la pr valen ce probable tombe moins de 10 si on limine les cas de non compliance mauvaise mesure hypertension de la bouse blanche etc Du bilan au traitement Une fois le diagnostic pos il est impor tant de proc der a un bilan de l atteinte des organes hypertrophie des parois cardiaques ECG cho r tinopathie fond d oeil fonction r nale
53. suis inform sur les axes de recherche et les possibilit s de finan cement au Luxembourg j ai d cou vert un paysage de recherche dyna mique et en plein essor explique t il Le pays offre plus d opportunit s pour lancer de nouveaux projets et engendrer des collaborations scien tifiques que le syst me de recherche britannique bien plus rigide C est cela qui m a attir Le Prof Stranges esp re pouvoir pas ser de l approche traditionnelle de la recherche ax e sur les maladies une approche qui englobe le bien tre g n ral et se concentre plus particuli rement sur le vieillissement en bonne sant Je suis tr s confiant qu il sera possible de r aliser cette vision car le d partement avec ses diff rentes uni t s de recherche poss de l expertise multidisciplinaire qui est requise pour une telle approche explique t il Sa priorit red finir et renforcer le d partement Le D partement de Sant de la Po pulation est rest pendant plusieurs ann es sans v ritable leadership scientifique Accepter le poste de directeur scientifique du d partement repr sente donc un grand challenge Le Prof Stranges a d sormais la res ponsabilit de d finir les domaines de recherche prioritaires et d unir le d partement en incitant la coop ration entre les diff rentes unit s de recher che qui le composent Ma premiere initiative sera de mettre en place un programme de formation pour les doc
54. t rol sild nafil lorsqu il est utilis dans le traitement de l hypertension art rielle pulmonaire ticagr lor L administration concomitante de Viekirax avec ou sans dasabuvir et de m dicaments qui sont des inducteurs enzymatiques puissants ou mod r s peut diminuer les concentrations plasmatiques de l ombitasvir du paritapr vir et du ritonavir et r duire leur effet th rapeutique et ne doivent pas tre co administr s voir RCP rubrique 4 5 Exemples d inducteurs enzymatiques puissants ou mod r s Carbamaz pine ph nytoine ph nobarbital Efavirenz n virapine travirine enzalutamide mitotane rifampicine millepertuis Hypericum perforatum est attendu que l administration concomitante de Viekirax avec ou sans dasabuvir et de m dicaments qui sont de puissants inhibiteurs du CYP3A4 augmente les concentrations plasmatiques du paritaprevir et ne doivent pas tre co administr s avec Viekirax voir RCP rubrique 4 5 Exemples d inhibiteurs puissants du CYP3A4 contre indiqu s cobicistat indinavir lopinavir ritonavir saquinavir tipranavir itraconazole k toconazole posaconazole voriconazole clarithromycine t lithromycine conivaptan EFFETS IND SIRABLES R sum du profil de s curit d emploi Le profil de s curit d emploi repose sur les donn es cumul es a partir des tudes cliniques de phases 2 et 3 chez plus de 2 600 patients ayant recu Viekirax et dasabuvir avec ou sans ribavirine
55. tre poursuivi pendant au moins 2 jours apr s le d but du traitement par AVK Apr s 2 jours de co administration d Eliquis et de L AVK l INR doit tre mesur avant la dose suivante d Eliquis Poursuivre la co administration d Eliquis et de AVK jusqu ce que INR soit gt 2 0 Patients pr sentant une insuffisance r nale Aucun ajustement posologique n est n cessaire chez les patients pr sentant une insuffisance r nale l g re ou mod r e Chez les patients pr sentant une insuffisance r nale s v re clairance de la cr atinine de 15 29 mL min les recommandations suivantes s appliquent pour le traitement de la TVP le traitement de l EP et la pr vention d une r cidive de TVP et d EP tETEV apixaban devra tre utilis avec pr caution pour la pr vention de l accident vasculaire c r bral et de lembolie syst mique chez les patients atteints de FANV les patients doivent recevoir la dose faible d apixaban soit 2 5 mg deux fois par jour Les patients pr sentant une cr atinine s rique gt 1 5 mg dL 133 micromoles L associ e un ge de gt 80 ans ou un poids corporel lt 60 kg doivent galement recevoir la dose faible d apixaban soit 2 5 mg deux fois par jour En l absence de donn e clinique chez les patients pr sentant une clairance de la cr atinine lt 15 mL min et chez les patients dialys s apixaban n est pas recommand chez ces patients Patients pr sentant une insuffisance h patique Eliquis est contre i
56. tre r alis s bilan sanguin examens radiologiques ECG et EEG Par exemple en cas de malal ses d origine ind termin e syncope vasovagale ou cardiaque le screening s appuiera sur une anamn se positive pour des syncopes a l exercice une anamnese familiale positive un exa men pathologique clinique et ou un ECG pathologique Compr hension des plaintes La somatisation peut tre comprise comme e Une fa on pour l adolescent de com muniquer ses craintes Le sympt me physique remplace ainsi l expression des motions ou des peurs des maux la place des mots e Un agenda cach derri re les sympt mes il y a bien une ou des cause s sous jacente s e Un langage culturel parl en famille D apr s la th orie de P Marty sur la pens e op ratoire Ecole psychosoma tique de Paris L organisation psychi que est caract ris e par une pens e centr e sur l imm diat le concret et la description du sympt me Le pa tient parait incapable d voquer son histoire personnelle il semble coup de son inconscient de sa vie fantas matique il a une difficult mobiliser POSTURAL ORTHOSTATIC TACHYCARDIA SYNDROME POTS Ce type de syndrome est de plus en plus d crit chez les adolescents davan tage chez les gar ons que les filles C est une condition de dysautonomie et plus pr cis ment d intol rance orthostatique En effet un changement de la position allong e la verticale provoq
57. un effet protecteur suppl mentaire en termes de pneumonie et d infection invasive pneumocoque chez les adultes ages La r f rence m dicale Devons nous adapter la politique de vaccination antipneumococcique sur la base des r sultats obtenus dans l tude CAPITA Professeur Marc Bonten La d cision de certains pays d adapter leur politi que de vaccination sur la base des r sultats de l tude CAPITA d pendra selon moi non seulement des r sul tats probants d tudes cliniques mais aussi du rapport co t efficacit de la vaccination par le Prevenar 13 Pour ce qui est des Pays Bas une analyse de co t efficacit a d j t effectu e sur la base des r sultats de l tude CAPITA Il ressort que la vaccination par le Prevenar 13 pr sente un tr s bon rapport co t efficacit chez les adultes g s Je concois n anmoins que les syst mes de sant diff rent d un pays l autre et que cet exercice devra donc tre r it r dans certains pays Entre temps aux tats Unis l ACIP Advisory Committee on Immu nization Practices recommande sys t matiquement la vaccination par le Prevenar 13 depuis septembre 2014 a tous les adultes de 65 ans et plus En Belgique galement le Consell Semper Luxembourg juillet 2015 FOCUS Sup rieur de la Sant a mis un avis favorable concernant l utilisation du Prevenar 13 chez l adulte risque La r f rence m dicale La distribution des s rotypes r
58. vention de r cidive de TVP et d EP est indiqu e la dose de 2 5 mg deux fois par jour sera instaur e l issue de 6 mois de traitement par Eliquis 5 mg deux fois par jour ou par un autre anticoagulant tel qu indiqu dans ci apr s Traitement de la TVP ou de l EP Sch ma d administration 10 mg deux fois par jour durant les 7 premiers jours Dose maximale quotidienne 20 mg suivis de 5 mg deux fois par jour Dose maximale quotidienne 10 mg Pr vention de la r cidive de TVP et ou d EP l issue de 6 mois de traitement pour une TVP ou une EP Sch ma d administration 2 5 mg deux fois par jour Dose maximale quotidienne 5 mg La dur e du traitement global sera personnalis e apr s valuation rigoureuse du b n fice du traitement par rapport au risque d h morragie Oubli d une dose En cas d oubli d une dose le patient doit prendre Eliquis imm diatement et poursuivre son traitement comme avant avec deux prises quotidiennes Relais de traitement Le passage d un traitement anticoagulant par voie parent rale Eliquis et vice versa peut se faire l heure pr vue de la dose suivante Ces traitements ne doivent pas tre administr s simultan ment Relais d un anti vitamine K AVK par Eliquis Le traitement par warfarine ou par un autre AVK doit d abord tre interrompu Le traitement par Eliquis peut d buter d s que l INR international normalized ratio est lt 2 0 Relais d Eliguis par un AVK Le traitement par Eliquis doit
59. 0 tr s rare lt 1 10000 Les effets ind sirables observ s avec l association dolut gravir abacovir lamivudine dans une analyse des donn es pool es issues des tudes cliniques de phase llo Ilo ont t g n ralement coh rents avec les profis d effets ind sirables observes avec chaque composant individue dolut gravir abacavir et lamivudine Quel que soit l effet ind sirable observ aucune diff rence n a t observ e entre la forme combin e et les composants individuels en termes de s v rit R capitulatif des effets ind sirables li s l association dolut gravirsabacavir lamivudine i issus d une analyse des donn es pool es des tudes cliniques de phase lib Ilib et des effets ind sirables li s au traitement par abacavir et lamivudine utilis s avec d autres antir troviraux observ s au cours des tudes cliniques et apr s commercialisation Affections h matologiques et du syst me lymphatique Peu fr quent Neutrop nie an mie thrombocytop nie Tr s rare rythroblastop nie Affections du syst me immunitaire Frequent hypersensiblit voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Peu frequent syndrome de restauration immunitaire voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Troubles au m tabolisme et de la nutrition Frequent anorexie Peu fr quent hypertiglycerid mie hypergiyc mie Affections psychiatriques Tr s frequent Insomnie Frequent r
60. 0 Fran ken Entsch digung Ich glaube dass diese Ungleichheit nicht gerechtfer tigt ist da die beiden Hebammen wohl die gleichen Dienste leisten 2 Gemeinde Hosingen In der Ge meinde Hosingen wird der Armen arzt tarifm ssig bezahlt derselbe erhielt im Jahre 1903 f r 67 Hilfsbe d rftige etwa 50 Franken oder f r jeden Armen Fr 0 73 Die Hebam me erh lt 100 Franken f r die Ent bindung der Armen 3 Gemeinde Asselborn Diese Ge meinde bezahlt f r die 19 Hilfs bed rftigen 400 500 Franken f r rztliche Behandlung oder f r jeden Armen etwa 26 Franken Die Heb amme erh lt eine Entsch digung von 200 Franken 4 Gemeinde Weiswampach Die Armen rzte werden tarifm ssig ho norirt Die Hebamme erh lt eine Ent sch digung von 125 Franken 5 Gemeinde Munshausen Die Ar men rzte und die Hebammen wer den tarifm ssig honorirt Im Jahre 1903 hatte die Gemeinde eine Aus gabe f r rztliche Behandlung von etwa 30 Franken 6 Gemeinde Heinerscheid In dieser Gemeinde sind f nf hilfebed rftige Familien angegeben Der Armenarzt erh lt 125 Franken oder 25 Franken f r jede Familie Die Hebamme erh lt f r jede Entbindung 7 50 Franken 7 Gemeinde Helzingen Die Gemein de hat bloss vier Hilfsbed rftige die selbe verausgabt f r den Armenarzt und f r die Hebamme 100 Franken oder 25 Franken f r jeden Armen 8 Gemeinde Consthum Diese Ge meinde welche 12 Hilfsbed rftige z hlt hat seit mehr als sechs
61. 0 mg Les patientes doivent commencer le traitement avec Lynparza au plus tard 8 semaines apr s la fin de leur sch ma posologique base de platine Il est recommand de poursuivre le traitement jusqu progression de la maladie sous jacente Il n existe pas de donn es sur un re traitement par Lynparza apr s une nouvelle rechute voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques du RCP Oubli d une dose Si une patiente oublie une dose de Lynparza elle doit prendre la prochaine dose normale au moment pr vu Adaptations de la dose Le traitement peut tre interrompu pour prendre en charge des effets ind sirables tels que des naus es des vomissements des diarrh es et une an mie et une diminution de la dose peut tre envisag e voir rubrique Effets ind sirables La r duction de dose recommand e est de 200 mg deux fois par jour soit une dose quotidienne totale de 400 mg Si une nouvelle r duction finale de la dose est n cessaire une diminution de la dose 100 mg deux fois par jour soit une dose quotidienne totale de 200 mg peut tre alors envisag e Patientes g es Aucune adaptation de la dose initiale n est n cessaire chez les patientes g es Les donn es cliniques sont limit es chez les patientes g es de 75 ans ou plus Patientes avec une insuffisance r nale L effet de l insuffisance r nale sur l exposition Lynparza n a pas t tudi Lynparza peut tre administr chez les patientes ayant une insuffisance r
62. 1 Indications th rapeutiques Lynparza est indiqu en monoth rapie pour LYNPARZA 50mg 4 x 112 g lules le traitement d entretien des patientes adultes atteintes d un cancer pith lial s reux de haut grade de l ovaire des trompes de Fallope ou p riton al primitif r cidivant et sensible au platine avec une mutation du gene BRCA germinale et ou somatique et qui sont en r ponse r ponse compl te ou r ponse partielle une chimioth rapie base de platine 4 2 Posologie et mode d administration Le traitement par Lynparza doit tre instaur et supervis par un m decin exp riment dans l utilisation des m dicaments anticanc reux Les patientes doivent avoir une confirmation de mutation germinale ou somatique du gene de pr disposition au cancer du sein BRCA avant que le traitement par Lynparza soit initi Le statut mutationnel BRCA doit tre d termin par un laboratoire exp riment utilisant une m thode de test valid e voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques du RCP Les donn es sont limit es chez les patientes ayant des tumeurs avec une mutation du g ne BRCA d origine somatique voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques du RCP Le conseil g n tique pour les patientes porteuses de mutations du gene BRCA doit tre effectu conform ment aux r glementations locales Posologie La dose recommand e de Lynparza est de 400 mg huit g lules prise deux fois par jour soit une dose quotidienne totale de 80
63. ER Le Grand H tel des Thermes Grande Plage du Sillon Saint Malo www le grand hotel des thermes fr www thalassotherapie com DANS LES ENVIRONS UNE QUIPE M DICALE INTEGREE AUX HERMES On peut compter sur eux pour un encadrement personnalis 3 m decins sp cialis s r ducation et ou m decine du sport 10 kin sith rapeutes et un nutritionniste associ s a 45 hydroth rapeutes et 9 ducateurs sportifs Une visite m dicale approfondie identifie les ant c dents m dicaux et les probl matiques de chaque curiste pour tablir un programme sur me sure On y soulage diverses pathologies articulaires et musculaires li es l ge une mauvaise posture une blessure sportive etc Capital sant Particuli rement appr ci par les seniors le s jour mer et capital sant de 6 jours 24 soins comprend visite m dicale 3 massages kin de 20 25 minutes et chaque jour une s ance encadr e en piscine sous la conduite d un kin sith rapeute ou d un hydroth rapeute plus 12 soins d hydroth rapie All maman b b Serge Raulic DG des Thermes marins de Saint Malo fut le premier y penser les cures Maman B b et en 20 ans ce s jour sur mesure n a cess d voluer Le plus des s ances de massage d veil encadr es par un kin sith rapeute qui montre la maman et ou au papa les bons gestes pour masser son enfant Cancale on y mange des hu tres bien charpent es toute l ann e A
64. FR g PRE N u aj ras a Globalement les v nements ind sirables et les effets ind sirables chez les sujets trait s par l avanafil taient plus fr quents chez les sujets avec un indice de masse corporelle IMC inf rieur 25 sujets IMC normal Dans tude clinique de longue dur e le pourcentage de patients ressentant des effets ind sirables diminuait lorsque a dur e de l exposition s allongeait Liste des effets ind sirables voir tableau dans le RCP effets ind sirables observ s dans les tudes contr l es contre placebo selon la convention MedDRA en mati re de fr quence tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 et fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Dans chaque groupe de fr quences les effets ind sirables sont pr sent s par ordre d croissant de gravit Infections et infestations Rare Grippe Rhinopharyngite Affections du syst me immunitaire Rare Allergie saisonni re Troubles du m tabolisme et de la nutrition Rare Goutte Affections psychiatriques Rare Insomnie jaculation pr coce Affect inappropri Affections du syst me nerveux Fr quent Maux de t te Peu Fr quent Vertiges Somnolence Sinusite Rare Hyperactivit psychomotrice Affections oculaires Peu Fr quent Vision trouble Affections cardiaques Peu
65. ITATIVE Chaque comprime pelicul contient 50 mg de dolut gravir sous forme sodique 600 mg d abacavir sous forme sulfate et 300 mg de lamivudine Indications th rapeutiques Thumeq est indiqu dans le traitement de l infection par le virus de l immunod fcience humaine VIH chez les adultes et adolescents partir de 12 ans pesant au moins 40 kg voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Avant de d buter un traitement contenant de l abacavir le d pistage de l all le HLA B S701 doit tre r alis chez tout patient infect par le VIH quelle que soit son origine ethnique voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi L abacavir ne doit pas tre utilis chez les patients porteurs de I all le HLA 8 5701 Posologie et mode d administration Triumeq doit tre prescrit par un m decin exp riment dans la prise en charge de l infection par le VIH Posologie Adultes et adolescents pesant au moins 40 kg La posologie recommand e de Triumeq est d un comprim une fois par jour Tiumeq ne doit pos tre administr aux adultes ou adolescents pesant moins de 40 kg car c est une association fixe ne permettant pas de r duction de la posologie Tiumeq est un comprim d une association fxe et ne doit pos tre prescrit chez les patients n cessitant un ajustement posologique Chaque substance active dolutegravi abacavir ou lamivudine est disponible s par ment au cas o une interruption du traitement ou un aj
66. M X 10 0 MM DE DIMENSIONS PORTANT LA MENTION AV1 SUR UNE FACE INDICATIONS TH RAPEUTIQUES Viekirax est indiqu en association avec d autres m dicaments dans le traitement de l h patite C chronique HCC chez les adultes voir RCP rubriques 4 2 4 4 et 5 1 Pour l activit en fonction du g notype du virus de l h patite C VHC voir RCP rubriques 4 4 et 5 1 POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Le traitement par Viekirax doit tre instaur et surveill par un m decin exp riment dans la prise en charge de l h patite C chronique Posologie La dose orale recommand e de Viekirax est de deux comprim s de 12 5 mg 75 mg 50 mg une fois par jour avec de la nourriture Viekirax doit tre utilis en association avec d autres m dicaments pour le traitement de l infection par le VHC voir Tableau 1 Tableau 1 Medicament s co administr s recommand s et dur e de traitement pour Viekirax en fonction de la population de patients Population de patients Traitement Dur e G notype 1b sans cirrhose Viekirax dasabuvir 12 semaines G notype 1b avec cirrhose compens e Viekirax dasabuvir ribavirine 12 semaines G notype 1a sans cirrhose Viekirax dasabuvir ribavirine 12 semaines G notype 1a avec cirrhose compens e Viekirax dasabuvir ribavirine 24 semaines voir RCP rubrique 5 1 Genotype 4 sans cirrhose Viekirax ribavirine 12 semaines G notype 4 avec cirrhose compensee Viekirax ribavirine 24 semai
67. Mensuelpour medecinff m decins dentistes et pharmaciens N 71 JUILLET 2015 ee M dd i i i m fe us ye bn pa ur J MIiCroangiopatniern a k E u u T F a ae IP E AA 4 PAL FOIRE Ly DEC gt Les m decins des pduvres 4 du Luxe Ourg ff ry ii FI y dl de u 3 sl Letter RECHERCHE d Pr Saverio Stranges u 22 Nouveau directeur pa yi oe scientifique du Departement de Sant de la Population CA J CE a N r AVANTAGES E 1 W Wr oh gt Ni mre Pa ET Coffrets 4 CD Conco rs Reine Elisa on 2015 DVD The Be adook un f LE egos Exemplaires des livres Morsure de Nick Lou het Il tait une fois dans le m tro A A EN A ri AIM ID SF Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir RCP rubrique 4 8 pour les modalit s de d claration des effets ind sirables 1 DE NOMINATION DU MEDICAMENT COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Daklinza 30 mg comprim s pellicul s Chaque comprim pellicul contient du dichlorhydrate de daclatasvir quivalent 30 mg de daclatasvir Excipient s effet notoire Chaque comprim pellicul de 30 mg contient 58 mg de lactose sous forme anhydre Daklinza 60 mg comprim s pellicul s Chaque comprim pel licul contien
68. ON ET DE DELIVRANCE M dicament soumis prescription m dicale E R VIV Healthcare e Site Apollo Avenue Pascal 2 4 6 ViiV 1300 Wavre BELGIUM e Contact 32 10 85 65 00 2014 Viiv Healthcare group of companies Healthcare BE TRIM 0015 15 Avril 2015 DOSSIER M DICAL DOSSIER Ophtalmo S 7 A ay Ww amp EE IN a i E Ea TE a nn 5 Le tissu conjonctival est une cible fr quente des pneumaller genes acariens pollens phan res d an maux essentiellement plus rarement moisissures et l on estime que la conjonctivite al lergique CA concerne actuellement 15 a 20 de la population g n rale dans les pays d velopp s Sa fr quence semble cepen dant augmenter au fil du temps le principal coupable d sign tant la pollution environnementale es deux formes les plus fr quen tes sont la conjonctivite allergique saisonni re qui r cidive chaque ann e la m me p riode et la conjonctivite allergique perannuelle dont les mani festations existent toute l ann e avec toutefois de fr quentes recrudescen ces saisonni res qui compliquent le diagnostic Ces deux formes de conjonctivite al lergique sont souvent associ es Dr Jean Claude Lemaire d autres manifestations atopiques comme l asthme ou l ecz ma et sur tout la rhinite qui est retrouv e globa lement environ deux fois sur trois en cas de
69. Prevenar 13 Chez les personnes ayant b n fici d une greffe de cellules souches h matopoi tiques GCSH le sch ma vaccinal recommand comprend quatre doses de Prevenar 13 de 0 5 ml chacune La primovaccination comprend trois doses la premiere dose tant administr e 3 6 mois apr s la GCSH et avec un intervalle d au moins 1 mois entre les doses Une quatrieme dose rappel est recommand e 6 mois apr s la troisi me dose Mode d administration Le vaccin doit tre administr par voie intramusculaire Les sites recommand s sont la face ant rolat rale de la cuisse muscle vaste externe chez les nourrissons ou le muscle deltoide du bras chez les enfants et les adultes CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit aux substances actives ou l un des excipients ou l anatoxine dipht rique Comme pour les autres vaccins administration de Prevenar 13 doit tre diff r e chez un enfant pr sentant une maladie f brile aigu s v re En revanche une infection mineure telle qu un rhume ne doit pas conduire diff rer la vaccination EFFETS INDESIRABLES L analyse des taux de d claration depuis la commercialisation sugg re un risque potentiel accru de convulsions accompagn es ou non de fi vre et d pisodes d hypotonie hypor activit EHH en cas d administration concomitante de Prevenar 13 et d Infanrix hexa par rapport l administration de Prevenar 13 seul Les effets ind sirables rapport s lors des tudes cliniqu
70. Schulen besuchen Luxemburger Wort du 24 1 1911 Kayl F r den Armen und Schul arzt wird f r die beiden n chsten Jahre die Jahresentsch digung von 1500 Fr beibehalten Luxembur ger Wort du 25 11 1916 Die Gemeinde Mertert w nscht el nen Arzt mit Wohnsitz Wasserbillig Als Knotenpunkt zweier Eisenbahn linien einem Industriezentrum als Schul und Armenarzt w re seine Existenz gesichert Ein eventueller Zuschuss aus der Gemeindekasse kann f r das erste Jahr bewilligt werden F r n here Auskunft wen de man sich an den Unterzeichne ten Der B rgermeister Trierweiler Luxemburger Wort du 23 4 1919 Kayl Der letzthin f r ein Jahr er nannte Schul und Armenarzt wird auf ein Schreiben der Oberbeh rde La ville de VIANDEN demande un medecin Traitement fixo comme m decin des pauvres et des coles primaires 2703 Luxemburger Wort du 12 12 1929 Semper Luxembourg juillet 2015 HISTOIRE DE LA M DECINE hin f r drei Jahre ernannt Escher Tageblatt du 12 7 1921 Kayl Die Stelle eines Schul u Ar menarztes wird auf Vorschlag des Hrn B rgermeisters ausgeschrieben Luxemburger Wort du 19 12 1929 Finalement l id e du m decin des pauvres fut rejetee a Kayl Kayl F r den Armenarzt bleibt freie Aerztewahl Escher Tageblatt du 5 4 1930 Gemeinderatsverhandlungen Mertert 1 Sept Der in der Ortschaft Wasserbillig ans ssige Arzt wird als Schul und Armenarzt angestellt
71. Soll man die Gemeinden er suchen einen Armenarzt mit fixem Gehalt anzustellen oder soll man es dem Kranken anheimstellen im ge gebcncn Fall seinen Arzt zu w hlen um dann letztern f r jeden einzelnen Dienst den er leistet zu bezahlen Die heutigen demokratischen Ideen dr ngen auf die freie Aerztewahl hin Das Interesse des Kranken mu in diesen Fragen ber alle andern gestellt werden salus aegroti sup rema lex Sicherlich geht ein frei gew hlter Arzt und der f r jeden Semper Luxembourg juillet 2015 HISTOIRE DE LA M DECINE geleisteten Dienst bezahlt wird mit viel gr erer Bereitwilligkeit seinen Kranken aufsuchen als ein Arzt der in globo bezahlt wird und der bei n chlicher Inanspruchnahme nicht mehr verdient wenn er auf Begehr aufsteht und zum Kranken l uft als wenn er im Bette liegen bleibt Man k nnte einwenden die freie Aerzte wahl w rde Mi br uche seitens der Aerzte heraufbeschw ren und ber triebene Ausgaben nach sich ziehen Dem widerspricht die Erfahrung Wir k nnten Gemeinden anf hren die vom n chsten Arzt 9 11 Kilometer weit entfernt sind und die j hrlich bei freier Aerztewahl 50 200 Fr zu bezahlen hatten macht 125 Fr durchschnittlich Ein Globalkontrakt mit einem Arzt w re jedenfalls nicht billiger zu stehen gekommen Wir empfehlen also den Landgemeinden dem erkrankten Armen die Wahl sei nes Arztes frei zu geben und letztern f r jeden seiner geleisteten Dienste zu hono
72. a tients atteints de rhino conjonctivite Le second pour souligner que dans cette m ta analyse il n y a qu une seule tude concernant les conjonc tivites seules encadr et que l ana lyse de sous groupe indiquait un effet symptomatique net pour les formes saisonni res mais pas pour les formes perannuelles de rhino conjonctivites li es une allergie aux acariens dans lesquelles l am lioration du score symptomatique oculaire total n atteint pas le seuil de significativit L orateur a cependant reconnu que la tendance allait dans le bon sens et que ce r sul tat pouvait sans doute s expliquer par le caractere limit des donn es 6 tu des 219 patients L tude conjonctivite allergique perannuelle B Mortemousque et al Clin Exp Allergy 2003 33 4 464 9 e Etude randomis e contr l e ver sus placebo men e en double aveugle e Deux fois 30 patients traitement de 24 mois e Evaluation par test de provocation conjonctivale TPC e Diminution du score symptomati que oculaire total e Augmentation progressive des do ses tol r es au TPC mals e 24 de non r pondeurs au TPC e Efficacit tr s variable selon les patients DOSSIER M DICAL EE En d pit de ce manque de preuves formelles la prise de position 2012 de l EAACI a cependant t de recom mander cette modalit th rapeutique dans les conjonctivites allergiques saisonni res polliniques et dans les conjonctivites allergiques
73. a 16h et Workshop de 17h 18h30 Theme s Shaping immune responses against HIV towards an HIV vaccine Orateur Dr Nicolas Manel Info www lih lu Samedi 26 09 de 10h 11h30 Porte ouverte au Centre Louis Ganser Lieu Centre Louis Ganser 9 rue Vieille L 3284 Bettembourg Th me s Et maintenant Les as BELSAR pects psychologiques d une blessure c r brale Orateur s Dr Anne Marie Schuller Info www sante public lu OCTOBRE Lundi 05 10 de 16h 18h R union H pital Kirchberg Lieu salle U202 niveau 1 H pital Kir chberg 9 rue Edward Steichen 2540 Kirchberg Theme s Les bons choix alimentaires au quotidien Info diabete hopitauxschuman lu Lundi 19 10 de 8h15 8h45 Chest Consensus Meeting 2015 Lieu CHL 4 rue Barbl 1210 Luxem bourg Theme s D sensibilisation et asthme Orateur Dr M Morisset Info www chl lu Mercredi 21 10 de 17h a 18h30 Colloque m dico sportif d Eich Lieu Salle de conf rence centre m dical de la Fondation Norbert Metz 76 rue d Eich 1460 Luxembourg Theme s Sport und Epilepsie D Orateur Dr S Beyenburg Info med sport chl lu Jeudi 29 10 a 19h Journ e Mondiale de l AVC Les femmes face l AVC Lieu Ch teau de Bettembourg rue du Ch teau 3217 Bettembourg Orateur s Prof Dr Dirk W Droste Dr Annick Conz mius Info www bletz lu NOVEMBRE Jeudi 05 11 de 12h30 17h30 Lecture series amp workshops Infect
74. ae chez les adultes g s de 18 ans et plus et les personnes g es Prevenar 13 doit tre utilise selon les recommandations officielles qui tiennent compte du risque des infections invasives et de la pneumonie dans les diff rentes classes d ge des comorbidit s sous jacentes ainsi que de la variabilit de l pid miologie des serotypes en fonction des zones g ographiques POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Les sch mas vaccinaux avec Prevenar 13 doivent suivre les recommandations officielles Posologie Nourrissons et enfants g s de 6 semaines 5 ans II est recommand que les nourrissons qui ont re u une premi re dose de Prevenar 13 terminent le sch ma de vaccination avec Prevenar 13 Nourrissons g s de 6 semaines 6 mois Primovaccination en trois doses Le sch ma vaccinal recommand comprend quatre doses de 0 5 ml chacune La primovaccination chez le nourrisson comprend trois doses la premi re dose tant g n ralement administr e l ge de 2 mois et avec un intervalle d au moins un mois entre les doses La premiere dose peut tre administr e d s l ge de six semaines La quatri me dose rappel est recommand e entre l ge de 11 et 15 mois Primovaccination en deux doses Comme alternative lorsque Prevenar 13 est administr dans le cadre d un programme de vaccination g n ralis chez le nourrisson un sch ma trois doses de 0 5 ml chacune peut tre utilis La premi re dose peut tre administr e partir d
75. ain de sable photo phobie douleur plus rarement sensa tion d il sec ou fatigue visuelle Photophobie importante avec bl pha rospasme et troubles de la vision pr sence de s cr tions claires ou paisses et yeux coll s le matin sensations de douleurs oculaires non li es l inten site du prurit et baisse de l acuite vi suelle t moignent en g n ral d une atteinte s v re ou compliqu e mais doivent aussi faire envisager la pos sibilit d un autre diagnostic qu une conjonctivite allergique et doivent donc faire r f rer un ophtalmolo giste figure 2 Sur le plan clinique les caract ristiques l allergie oculaire Figure 2 Photophobie S cr tions Douleur oculaire Troubles de la vision dot es de la plus grande sp cificit en faveur du diagnostic de conjonctivite allergique sont le prurit l d me et l as sociation une rhinite o Un ecz ma La d marche allergologique Le mode d installation le rythme et l volution des sympt mes les fac teurs d clenchant ou exacerbant les pouss es les ant c dents allergiques personnels et familiaux ainsi que l exis tence de manifestations allergiques ex tra oculaires et l influence d ventuels traitements ant rieurs constituent une premi re approche pour trancher en faveur d une tiologie allergique Cependant seul le bilan allergologi que permet d affirmer le diagnostic et d identifier le ou les allerg nes res
76. alentit la pro gression de la maladie en r dui sant de 50 le d clin de la fonc tion pulmonaire chez un large spectre de patients atteints de FPI Cela inclut les patients un stade pr coce de la maladie ca pacit vitale forc e CVF gt 90 de la valeur pr dite ceux qui pr sentent une fibrose radiogra phique limit e absence de nids d abeilles sur la tomodensito m trie haute r solution TDM HR et ceux qui pr sentent un emphys me Seul le nintedanib r duit les exacerbations aig es confirm es de la FPI de 68 nuer surveiller l efficacit et la s cu rit de lOFEV chez ces patients Les donn es de la derni re tude publi e sur l OFEV renforcent les l ments de preuve tablissant l efficacit la s cu rit et la tol rance de l OFEV II s agit d une avanc e significative dans la prise en charge de cette affection Les nouvelles analyses descriptives sur le traitement long terme par nintedanib dans l essai de phase I TOMORROW NCTO1170065 r sum n A1019 ont t pr sent es lors de cette conference Apr s les 52 semaines de la phase de traitement contr l e contre placebo de l tude p riode 1 les patients ont eu la pos sibilit de continuer le traitement en aveugle p riode 2 jusqu a ce que les derniers patients aient termin la p riode de traitement de 52 semaines Dans l ensemble les analyses sur les deux p riodes ont montr e l volut
77. ance EUROSTATION Il Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be Luxembourg Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments Villa Louvigny All e Marconi L 2120 Luxembourg Site internet http www ms public lu fr activites pharmacie medicament index html 5 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE BAstraZeneca AB SE 151 85 S dert lje Su de 6 NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 13 900 001 Xigduo 5 mg 850 mg 14 comprim s EU 1 13 900 002 Xigduo 5 mg 850 mg 28 comprim s EU 1 13 900 003 Xigduo 5 mg 850 mg 56 comprim s EU 1 13 900 004 Xigduo 5 mg 850 mg 60 comprim s EU 1 13 900 005 Xigduo 5 mg 850 mg 60 x 1 comprim unidose EU 1 13 900 006 Xigduo 5 mg 850 mg 196 2 x 98 comprim s conditionnement multiple EU 1 13 900 007 Xigduo 5 mg 1000 mg 14 comprim s EU 1 13 900 008 Xigduo 5 mg 1000 mg 28 comprim s EU 1 13 900 009 Xigduo 5 mg 1000 mg 56 comprim s EU 1 13 900 010 Xigduo 5 mg 1000 mg 60 comprim s EU 1 13 900 011 Xigduo 5 mg 1000 mg 60 x 1 comprim unidose EU 1 13 900 012 Xigduo 5 mg 1000 mg 196 2 x 98 comprim s conditionnement multiple STATUT LEGAL DE DELIVRANCE M dicament soumis prescription m dicale 8 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 12 2014 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu Le
78. ant Semper a test il y a peu une cure mer et remise en forme l cher prise assur On respire pleinement la vie L t sera zen C e n est pas toujours vident de res ter une r f rence dans le secteur de la thalassoth rapie Dans ce do maine aussi tout va tr s trop vite Il faut sans cesse devancer innover penser et peaufiner des programmes cibl s Etre la pointe de la techno logie Fid liser aussi Alors le Grand H tel des Thermes sort le grand jeu face a la mer il impose son temple Evy Werber Art d co a 10 minutes de promenade des remparts de la ville corsaire Invite a d couvrir a room with a view la n tre est poustouflante qui embras se la bale de Saint Malo S duit avec un restaurant tout r cemment r nov la Verriere un mur v g tal a l entr e et d imposantes colonnes en forme d arbre conf rant a l endroit un cachet nature zen des plus r ussis Voil qui d embl e augure un s jour de r ve On pose nos bagages le sourire aux l vres Dehors le soleil a rendez vous avec la mer La Terrasse la Verri re et le Cap Horn c est ici qu officient les chefs Patrice Dugu et Pascal Pochon La Terrasse c est l ambiance bord de mer le Cap Horn l antre gastronomique la Ver ri re son pendant di t tique pour gourmets pr cise Patrice Dugu Di t tique et gourmandise ne sont plus incompatibles il suffit en effet de repenser la cuisi
79. apr s autorisation du m di cament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect en Belgique via l Agence f d rale des m dica ments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION ll Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be et au Luxembourg via la Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des m dicaments Villa Louvigny All e Marconi L 2120 Luxembourg Site internet www ms public lu fr activites pharmacie medicament index html MODE DE DELIVRANCE m dica ment soumis la prescription m dicale TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH Menarini International Operations Luxembourg S A 1 avenue de la gare L 1611 Luxembourg NUM RO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH 50 mg EU 1 13 841 001 003 100 mg EU 1 13 841 004 007 200 mg EU 1 13 841 008 010 DATE DE PREMI RE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT DE L AUTORISATION Date de premi re autorisation 21 juin 2013 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 22 janvier 2015 rev 2015 03 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu Ceci est la version courte du RCP Les rubriques ne sont pas reprises dans leur int gralit Pour avoir plus d info
80. armaceutique au patient en passant par le grossiste et bien s r l officine sous le contr le des autorit s Qu en est il pour les pr parations magistrales C est ce que nous avons explor avec la pharmacie d Hes p range l origine d un projet pilote novateur Ce n est pas la premi re fois que nous avons l occasion de mettre en lumi re l engagement professionnel des pharmaciens luxembourgeois Avec Alain de Bourcy de la Pharmacie du Cygne nous avons ainsi pu d couvrir le regard du pharmacien d officine sur la compliance th rapeutique et l ducation du patient Et pour le versant hospitalier Gr gory Gaudillot pharmacien g rant du CHL avait partag avec Semper son engagement dans la pharmacovigilance et dans la pharmacie clinique Dans la lign e hospitaliere L exp rience de la pharmacie hospitali re est aussi un point commun unissant Monique Lorang pharmacienne titulaire de la Uelzechtdallapdikt Hesper et son collegue Akram Barrak qui a r fl chi avec elle une solution pour Monique Lorang Une poudre blanche c est une poudre blanche appr hender l chelle d une officine une donn e pre mi re vue anodine que Monique Lorang r sume en une formule lapidaire Rien ne ressemble plus une poudre blanche qu une autre poudre blanche C est en effet certainement cette culture du risque im pl ment e en milieu hospitalier qui a amen les pharma ciens d Hesp range d velopper pou
81. as indiqu s pour la prise en charge de l obesite Le changement de poids tait un critere d valuation secondaire dans les essais cliniques http www cns lu prestataires liste positive oto seso 1 e R duction significative et durable de l HbA1c gt e Effet additionnel de la perte de e L efficacit prouv e de 2 traitements pour le diab te de type 2 dans un seul comprim Sur 1 tude de 52 semaines avec des p riodes d extension de 52 semaines et de 104 semaines d fl N d dur e totale de l tude de 208 semaines apag 0ZI N an NS 746701 rev date 04 2015 Y Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives a la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir rubrique Effets ind sirables pour les modalit s de d claration des effets ind sirables INFORMATIONS ESSENTIELLES 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT Xigduo 5 mg 850 mg comprim s pellicul s Xigduo 5 mg 1000 mg comprim s pellicul s 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Xigduo 5 mg 850 mg comprim s pellicul s Chaque comprim contient du propyl ne glycol monohydrat de dapagliflozine quivalent 5 mg de dapagliflozine et 850 mg de chlorhydrate de metformine Xigduo 5 mg 1000 mg comprim s pellicul s Chaque comprim contient du propyl ne glycol monohydrat de dapagliflozine qu
82. ase CPK principalement associ es une activit physique ont galement t rapport es lors du traitement par le dolut gravir Infection concomitante par le virus de l h patite B ou C Des patients co nfect s par le virus de l h patite B et ou C ont t autoris s participer aux tudes de phase Ill du dolut gravir sous reserve que les valeurs l inclusion des tests de la fonction h patique aient t inf rieures ou gales 5 fois la limite sup rieure de la normale LSN Globalement le profil de s curit chez les patients co nfect s par le virus de l h patite B et ou C tait similaire celui observ chez les patients non co infect s par le virus de l h patite B ou C bien que les taux d anomalies des ASAT et ALAT aient t plus lev s dans le sous groupe de patients co infect s par le virus de l h patite B et ou C au sein de tous les groupes de traitement Population p diatrique Il n existe pas de donn e clinique sur les effets de Triumeq dans la population p diatrique Chaque composant de Tiumeq a t tudi individuellement chez les adolescents de 12 17 ans Sur la base des donn es imit es disponibles chez les adolescents de 12 17 ans trait s avec la formulation individuelle du dolut gravir en association avec d autres antir troviraux il n y a pas eu d autres effets ind sirables que ceux observ s dans la population adulte Les formulations individuelles de l abacavir et de la lamivudine ont t tu
83. ation infection s v re choc maladie aigu ou chronique pouvant provoquer une hypoxie tissulaire telles que insuffisance cardiaque ou respiratoire infarctus du myocarde r cent choc insuffisance h patique voir rubriques Posologie et mode d administration Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques du RCP intoxication thylique aigu alcoolisme voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions du RCP 4 4 Effets ind sirables La bio quivalence de Xigduo a t d montr e en cas d administration conjointe de dapagliflozine et de metformine voir la rubrique Propri t s pharmacocin tiques du RCP Aucun essai clinique th rapeutique n a t r alis avec les comprim s de Xigduo Dapagliflozine associ e la metformine R sum du profil de s curit Dans le cadre d une analyse de 5 tudes contr l es comparant la dapagliflozine au placebo en association avec la metformine les r sultats de tol rance taient similaires a ceux obtenus lors de l analyse pool e pr sp cifi e des 12 tudes contr l es comparant la dapagliflozine au placebo voir Dapagliflozine R sum du profil de tol rance ci dessous Aucun effet ind sirable suppl mentaire n a t observ dans le groupe trait par la dapagliflozine et la metformine par rapport ceux signal s pour chacun des composants Dans l analyse pool e sp cifiq
84. ation la mesure doit tre effectu e apr s 3 5 minu tes de repos deux reprises au moins et au moyen d un manchon adapt hauteur du coeur Lors de la premi re consultation on mesurera toujours la pression aux deux bras et chez le pa tient g on proc dera une mesure couch et assis A noter qu en cas de fibrillation auri culaire la pression variera selon la dur e de la diastole ll faudra donc tout particuli rement en ce cas effec tuer plusieurs mesures et estimer la moyenne Classes de recommandations Classe accord g n ral Classe Il divergence d opinion lla doit tre envisag Ilb peut tre envisag Classe Ill n est pas recommand Niveaux d vidence A multiples tudes randomi s es B une tude randomis e C avis d expert ou petites tu des Et la mesure ambulatoire Compl ment de la mesure au cabi net la mesure ambulatoire a plusieurs atouts S effectuant dans l environne ment habituel du patient elle permet de supprimer le stress de la consulta tion blouse blanche et de d tecter les hypertensions masqu es Deux techniques existent l auto mesure peu co teuse et permettant au pa tient de participer a l valuation de son hypertension et le Holter de pres sion art rielle A noter que ces mesu res ambulatoires sont mieux corr l es avec le risque de survenue d accidents cardiovasculaires Valeurs maximales de la pression art rielle normale c
85. brale dans 34 des cas limbique dans 30 et mixte dans 36 e L atteinte corn enne concernait 38 des malades DOSSIER M DICAL Experts du mois e Le bilan allergologique g n ral retrouvait un terrain atopique dans 62 des cas et une sensibilisation sp cifique dans 75 avec une for te proportion de patients polysensibilis s et sans diff rence notable de type de sensibilisation entre les 3 types d atteinte conjonctivale e Une allergie conjonctivale tait document e dans 66 des cas Monique Lorang et Akram Barrak pharmaciens Uelzechtdallapdikt Hesper Hesp range dont 39 de positivit des tests de provocation conjonctivaux ce qui atteste de la relation entre sensibilisation syst matique et sympt mes oculaires e Les formes mixtes et palp brales de k ratoconjonctivites taient plus souvent associ es a un terrain atopique a une allergie conjonc tivale et des formes s v res de la maladie D apr s la th se de doctorat en m decine Profil pid miologique et bilan allergo logique dans la k ratoconjonctivit vernale soutenue par Claire Paulon Taudou en 2013 Clermont Ferrand atopique prenant la forme d une in flammation chronique corticod pen dante avec pouss es inflammatoires voluant sur un terrain fortement ato pique asthme et surtout dermatite et pouvant entra ner la c cit et diverses complications iatrogenes glaucome cataracte Les deux formes de k ratocon
86. c dent taient plus susceptibles d avoir une infection r currente Augmentation de la cr atinine Les effets ind sirables li s une augmentation de la cr atinine ont t regroup s par ex diminution de la clairance de la cr atinine r nale alt ration de la fonction r nale augmentation de la cr atinin mie et diminution du d bit de filtration glom rulaire Ce groupe d effets ind sirables a t rapport respectivement chez 3 2 des patients recevant la dapagliflozine 10 mg et chez 1 8 des patients recevant le placebo Chez les patients avec une fonction r nale normale ou une alt ration l g re de la fonction r nale valeur initiale du DFGe 60 ml min 1 73m2 ce groupe d effets ind sirables a t rapport chez 1 3 des patients recevant la dapagliflozine 10 mg et chez 0 8 des patients recevant le placebo Ces r actions ont t plus fr quentes chez les patients avec une valeur initiale du DFGe 30 et lt 60ml min 1 73m2 18 5 dapagliflozine 10 mg vs 9 3 placebo Des valuations compl mentaires des patients qui avaient pr sent des v nements ind sirables li s un trouble r nal ont montr que la plupart des patients avaient des modifications de la cr atinin mie inf rieures ou gales 0 5 mg dl par rapport la valeur initiale Les augmentations de la cr atinine ont t g n ralement transitoires lors d un traitement continu ou r versibles apr s l arr t du traitement Hormone parathyro dienne PTH De
87. c la ribavirine en lien avec l inhibition des transporteurs de bilirubine OATP1B1 1B3 par le paritapr vir et avec l h molyse induite par la ribavirine Les l vations de la bilirubine sont survenues apres l initiation du traitement avec des valeurs maximales la Semaine 1 de l tude et ont g n ralement disparu en cours de traitement Les l vations de la bilirubine n taient pas associ es aux l vations de lPaminotransf rase La fr quence des l vations de la bilirubine indirecte tait inf rieure chez les patients n ayant pas recu de ribavirine Patients transplant s h patiques Le profil de s curit d emploi global chez les patients infect s par le VHC ayant subi une transplantation h patique et ayant re u Exviera et l ombitasvir paritaprevir ritonavir et la ribavirine en addition leurs m dicaments immunosuppresseurs tait similaire a celui des patients ayant t trait s par Exviera et l ombitasvir paritapr vir ritonavir et la ribavirine dans les tudes cliniques de phase 3 bien que la fr quence de certains effets ind sirables tait augment e 10 patients 29 4 ont eu au moins une valeur d h moglobine inf rieure 10 g dl apr s inclusion 10 patients sur 34 29 4 ont eu une modification de la dose de ribavirine en raison d une diminution de l h moglobine et 2 9 1 34 ont interrompu le traitement par la ribavirine La modification de dose de ribavirine n a pas eu d impact sur les taux de RVS 5 on
88. clairance de la cr atinine lt 30 ml min les patients ayant une perte de vision un il due une neuropathie optique isch mique ant rieure non art ritique NOIAN que cet pisode ait t associ o non une exposition ant rieure un inhibiteur de la phos Goldstein et al J Sex Med 2012 9 4 Spedra ment de la dusfonction rectile chez l homme adulte 1122 1133 Belkoff LH et al Int Clin Pract 2013 67 4 333 341 Kedia GT et al Ther Adv Urol 2013 5 1 35 41 Licensed by Vivus Inc and Mitsubishi Tanabe Pharma Corporation in Phodiest rase de type 5 voir rubrique 4 4 e tifs connus de la r tine les patients uti N du RCP les patients pr sentant des troubles h r ditaires d g n ra isant des inhibiteurs puissants du CYP3A4 notamment les suivants k toconazole ritonavir atazanavir clarithromycine indinavir itraconazole n fazodone nelfinavir saquinavir et Q t lithromycine voir rubriques 4 2 4 4 et 4 5 du RCP EFFETS INDESIRABLES R sum du profil de s curit S Le profil de s curit de Spedra a t va iA d veloppement clinique Les effets ind si u chez 2 436 sujets expos s l avanafil pendant le programme de rables les plus fr quents rapport s dans les tudes cliniques taient 3 des maux de t te des bouff es vasomotri ces une congestion nasale et des sinus et une douleur dans le dos a de 7
89. cune donn e n est disponible Mode d administration Les comprim s pellicul s sont prendre par voie orale Les patients doivent tre inform s qu ils doivent avaler le comprim entier c d les patients ne doivent pas m cher casser ou dissoudre le comprim Afin d optimiser leur absorption les comprim s de Viekirax doivent tre pris avec de la nourriture ind pendamment de la teneur en mati re grasse et en calories voir RCP rubrique 5 2 CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit aux principes actifs ou l un des excipients mentionn s la rubrique 6 1 du RCP Insuffisance h patique s v re Child Pugh C voir RCP rubrique 5 2 Utilisation de m dicaments contenant de l ethinylestradiol tels que la plupart des contraceptifs oraux combin s ou des anneaux vaginaux contraceptifs voir RCP rubriques 4 4 et 4 5 Les m dicaments dont la clairance est fortement d pendante du CYP3A et pour lesquels des concentrations plasmatiques lev es entrainent des v nements graves ne doivent pas tre co administr s avec Viekirax voir RCP rubrique 4 5 Exemples de substrats du CYP3A4 chlorhydrate d alfuzosine amiodarone Ast mizole terf nadine cisapride colchicine chez les patients avec une insuffisance r nale ou h patique ergotamine dihydroergotamine ergonovine m thylergom trine acide fusidique lovastatine simvastatine atorvastatine midazolam oral triazolam pimozide qu tiapine quinidine salm
90. d e dans l infection par le genotype 4 Une dose plus faible de ribavirine l instauration du traitement peut tre appropri e Dans l tude men e chez des patients transplant s h patiques la posologie de la ribavirine tait individualis e et la plupart des patients recevaient 600 a 800 mg par jour voir RCP rubrique 5 1 Pour les recommandations posologiques concernant les inhibiteurs de la calcineurine voir RCP rubrique 4 5 Sujets ag s Aucun ajustement posologique de Viekirax n est recommand chez les patients g s voir RCP rubrique 5 2 Insuffisance r nale Aucun ajustement posologique de Viekirax n est n cessaire chez les patients atteints d insuffisance r nale l g re mod r e ou s v re voir RCP rubrique 5 2 Insuffisance h patique Aucun ajustement posologique de Viekirax n est n cessaire chez les patients avec une insuffisance h patique l g re Child Pugh A La s curit et l efficacit de Viekirax n ont pas t tablies chez les patients infect s par le VHC et pr sentant une insuffisance h patique mod r e Child Pugh B cependant aucun ajustement posologique ne devrait tre requis d apr s les tudes pharmacocin tiques Viekirax est contre indiqu chez les patients pr sentant une insuffisance h patique s v re Child Pugh C voir RCP rubriques 4 3 et 5 2 Population p diatrique La s curit et l efficacit de Viekirax chez les enfants g s de moins de 18 ans n ont pas t tablies Au
91. d s le d but de l valuation e Travailler les liens entre l histoire per sonnelle et les sympt mes e tre attentif aux b n fices secondai res pour l enfant o l enfant et le parent e Introduire des carnets d auto va luation e Eviter la chronicisation des plaintes fonctionnelles e Permettre une porte de sortie hono rable a l adolescent e traitement de magn sium s ances de physio th rapie examens compl mental res e Travailler avec les r sistances du pa tient et de sa famille e Travailler avec ses propres limites en les signalant au patient e Travailler en r seau Adresser l adolescent a un p dopsy chiatre peut tre n cessaire Dans ce cas la prise en charge bifocale p diatre psychotherapeute sera privil gi e Le psychologue pourra ainsi valuer les cons quences psychologiques des sympt mes somatiques et donner son avis sur le suivi global du patient Sans oublier que l administration d un trai tement antid presseur peut parfois soulager certains adolescents note le Dr Marianne Caflisch E Source Pr sentation visuelle du Dr Marianne Caflisch Semper Luxembourg juillet 2015 MEETING Hypertension arterielle r sistante Ce 10 juin le Docteur Louis Boisant tait l orateur invit par I AEPU Association d Enseignement Post Universitaire pour faire le point sur une question souvent difficile en m decine generale savoir l hypertension a
92. daires a t Groupe de vaccination Valeur de p Efficacit IC 95 Placebo n 42 256 45 56 0 0006 45 00 0 0067 41 43 90 78 28 75 00 0 0005 d montr e d une part par une dimi nution de 45 du premier pisode de pneumonie pneumocoque non bac t ri mique et non invasive due un s rotype vaccinal et d autre part par une diminution de 75 du premier pisode d infection invasive pneu mocoque due un s rotype vaccinal pr cise le Professeur Marc Bonten Entretien avec le Professeur Marc Bonten Le Professeur Bonten est chef du ser vice de microbiologie m dicale de UMC Utrecht La r daction de La r f rence m dicale a pu discuter longuement avec le Professeur Marc Figure 3 Professeur Marc Bonten LA 1000 1500 Figure 4 Crit re d valuation principal de l tude CAPITA nombre cumul de cas de pneumonie pneumocoque due un s rotype vaccinal dans le groupe placebo et le groupe Prevenar 13 T Jd a A RE 7 m E A gy 14 IEC 194 I9F 23F F Figure 5 Premier pisode de pneumonie a pneumocoque due a un s rotype vaccinal dans l tude CAPITA Prevenar 13 versus placebo en fonction du s rotype Bonten par ailleurs investigateur principal de l tude CAPITA des r sultats de cette tude a grande chelle La r f rence m dicale Pouvez vous commenter brievement les principaux r sultats obtenus avec
93. dapagliflozine en association la metformine ou en association la sitagliptine avec ou sans metformine la fr quence des pisodes mineurs d hypoglyc mie s est av r e similaire lt 5 entre les groupes de traitement y compris le placebo jusqu 102 semaines de traitement Dans toutes les tudes les v nements majeurs d hypoglyc mie ont t peu fr quents et comparables entre les groupes trait s par la dapagliflozine ou le placebo Les tudes en association l insuline avaient des taux plus lev s d hypoglyc mie voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions du RCP Lors d une tude r alis e en ajout de l insuline allant jusqu 104 semaines des pisodes majeurs d hypoglyc mie ont t signal s chez 0 5 et 1 0 des sujets sous dapagliflozine 10 mg et insuline aux semaines 24 et 104 respectivement et chez 0 5 des sujets trait s par placebo et insuline aux semaines 24 et 104 Aux semaines 24 et 104 des pisodes mineurs d hypoglyc mie ont t signal s respectivement chez 40 3 et 53 1 des sujets ayant re u de la dapagliflozine 10 mg et de l insuline et chez 34 0 et 41 6 des sujets ayant re u le placebo et l insuline D pl tion vol miqueDes effets associ s une d pl tion vol mique y compris des cas de d shydratation d hypovol mie ou d hypotension ont t rapport s chez 1 1 et 0 7 des patients ayant re u respectivement la dapaglifl
94. dard ce r gime sera ensuite continu pendant toute la dur e du traitement par Lipitor La posologie doit tre adapt e individuellement en fonction des taux initiaux de LDL cholest rol de l objectif th rapeutique et de la r ponse au traitement du patient La posologie initiale usuelle est de 10 mg une fois par jour L adaptation posologique devra tre effectu e en respectant un intervalle minimum de 4 semaines La posologie maximale est de 80 mg une fois par jour Hypercho lest rol mie primaire et hyperlipid mie combin e mixte Une dose de 10 mg d atorvastatine en une seule prise est suffisante chez la majorit des patients Un effet th rapeutique est observ apr s deux semaines de traitement l effet maximum tant atteint apres 4 semaines de traitement L effet se maintient en cas de traitement prolong Hypercholest rol mie familiale h t rozygote Le traitement par Lipitor doit d buter une posologie de 10 mg par jour La dose sera ensuite adapt e individuellement toutes les quatre semaines jusqu 40 mg par jour Par la suite la posologie peut tre augment e jusqu 80 mg par jour au maximum Un ch lateur des acides billaires peut tre galement prescrit en association avec une posologie de 40 mg d atorvastatine une fois par jour Hypercholest rol mie familiale homozygote Les donn es disponibles sont limit es voir rubrique 5 1 Chez les patients pr sentant une hypercholest rol mie familiale homozygote la po
95. de Jennifer Kent A Film In gaux face a la maladie Les maladies qui tuent dix millions de pauvres par an ne m int ressent pas d clara le directeur de la compagnie Trouve mol un truc qu tue dix mille riches par an et on en reparle Nick Louth a t journaliste a l agence Reuters avant de travailler pour le Wall Street Journal et le Financial Times Dans les an n es 90 alors qu il assistait une conf rence sur la malaria il se rendit compte qu il tait le seul journaliste pr sent C est en d couvrant les raisons financi res de cette indiff rence qu il eut l id e d crire Morsure pre sp cialiste des maladies tro picales doit pr senter les r sultats de ses travaux lors d une conf rence aux Pays Bas une d couverte qui pourrait r volutionner la lutte contre la malaria Mais a la veille de son in tervention elle disparait Max Carver son petit ami part sa recherche dans la nuit d Amsterdam Au m me moment le P DG de Pharmstar est KAREN MERRAN IL TAIT UNE FOIS DANS LE M TRO SL E AE eT CNO Evy Werber hospitalis dans un tat critique Le mal dont il souffre ressemble a la malaria en pire et r siste a tous les traltements Alors que la fievre se r pand et que la police le soupconne Max se lance dans une course contre la montre et la mort Nick Louth signe un thriller CONCOURS ME NICK LOUTH THRILLER CRAD Morsure de Nick Louth aux ditions Miche
96. de a la fois des actions anti Semper Luxembourg juillet 2015 DOSSIER M DICAL allergiques anti inflammatoires et stabilisatrices des mastocytes pi nastine k totifene olopatadine e les corticoides topiques oculaires qui ne devraient tre utilis s que dans les formes s v res et ou r fractai res et apr s avis ophtalmologique L usage inconsid r et prolong de ces agents th rapeutiques expose en effet les patients un risque de complications majeures cataracte hypertonie oculaire glaucome in fection conjonctivale ou corn enne retard de cicatrisation oculaire A noter que les collyres de cyclosporine 1 a2 permettent une pargne de corticoides et sont donc particuliere ment indiqu s lorsque la pathologie impose une corticoth rapie ou qu il existe une cortico d pendance Les antihistaminiques H1 oraux consti tuent la pierre angulaire du traitement syst mique des conjonctivites allergi ques la pr f rence sera donn e aux compos s de seconde g n ration bas tine mizolastine des loratadine l vo c tirizine rupatidine dont l action est souvent plurifocale et qui engendrent relativement peu d effets secondaires Il importe de souligner qu il existe peu d tudes valuant la prise en charge des conjonctivites allergiques dans leur globalit tant sur le plan symptomati que que sur le plan allergologique Le cas de la corticoth rapie nasale Les manifestat
97. de la thrombose veineuse profonde TVP et de Pembolie pulmonaire EP et pr vention de la r cidive de TVP et d EP chez l adulte voir rubrique 4 4 pour les patients ayant une EP hemodynamiquement instables 4 2 Posologie et mode d administration Posologie Prevention de AVC et de l embolie syst mique chez les patients en fibrillation auriculaire non valvulaire FANV La posologie recommand e d Eliquis est de deux prises orales quotidiennes de 5 mg Diminution de dose La dose recommand e d Eliquis est de 2 5 mg par voie orale deux fois par jour chez les patients atteints de FANV et pr sentant au moins deux des caract ristiques suivantes ge gt 80 ans poids corporel lt 60 kg ou cr atinine s rique gt 1 5 mg dL 133 micromoles L Le traitement doit tre poursuivi long terme Traitement de la TVP traitement de l EP et pr vention de la r cidive de TVP et d EP tETEV La dose recommand e d Eliquis pour le traitement de la TVP aigu et le traitement de EP est de 10 mg par voie orale deux fois par jour durant les 7 premiers jours suivis de 5 mg par voie orale deux fois par jour Selon les recommandations actuelles une dur e de traitement courte au moins 3 mois sera fond e sur des facteurs de risque transitoires par exemple une chirurgie r cente un traumatisme une immobilisation La dose recommand e d Eliquis pour la pr vention de la r cidive de TVP et d EP est de 2 5 mg par voie orale deux fois par jour Lorsqu une pr
98. de vaccination douleur sensibilit importante au site de vaccination tr s fr quente chez les adultes g s de 18 39 ans limitation des mouvements du bras limitation importante des mouvements du bras tr s fr quente chez les adultes g s de 18 39 ans Fr quent Fi vre tr s fr quente chez les adultes g s de 18 29 ans Peu fr quent Lymphad nopathie localis e la r gion du site de vaccination Troubles musculo squelettiques et syst miques Tres fr quent Arthralgies myalgies Globalement aucune diff rence significative n a t observ e dans les fr quences des effets ind sirables quand Prevenar 13 a t administr des adultes d j vaccin s avec le vaccin pneumococcique polyosidique Informations suppl mentaires dans les populations particuli res Des adultes ayant une infection VIH pr sentent des fr quences similaires d effets ind sirables l exception de la fi vre et des vomissements qui taient tr s frequents et des naus es qui taient fr quentes Des adultes ayant b n fici d une greffe de cellules souches h matopol tiques pr sentent des fr quences similaires d effets ind sirables l exception de la fi vre et des vomissements qui taient tr s frequents Des fr quences plus lev es de certaines r actions syst miques ont t observ es lorsque Prevenar 13 a t co administr avec le vaccin grippal inactiv trivalent compar es au vaccin grippal inactiv trivalent administr se
99. dem Staats Telephonnetz verbundenen Gemein den und den an das Telephonnetz angeschlossenen Gemeinde Ar men rzten geb hrenfrei statt Lu xemburger Wort du 27 9 1892 L arriv e des caisses de maladie Le 1 d cembre 1902 entra en vigueur la loi de l assurance maladie obligatoi re L assurance tait obligatoire pour les salari s Force est de constater qu une partie importante de la population tait exclue le personnel gagnant plus de 3000 Fr par an les bonnes les do mestiques les gar ons de ferme Les employ s les techniciens pouvaient XIGDUO combine l efficacit de la dapaglitlozine Forxiga le seul SGLT 2i avec des donn es d efficacit et de s curit sur 4 ans et la metformine HCI mol cule de r f rence pour le traitement du diab te de type 2 2 actions compl mentaires pour des b n fices multiples gt poids References L 1 XIGDUO Summary of product characteristics latest version 2 Bailey CJ et al Lancet 2010 375 2223 33 3 Bailey CJ et al BMC Med 2013 11 43 4 FORXIGA Summary of product characteristics latest version 5 Del Prato et al Diabetes Obes Metab 2015 Mar 4 doi 10 1111 dom 12459 La bio quivalence de Xigduo a t d montr e en cas d administration conjointe de dapagliflozine et de metformine Aucun essai clinique th rapeutique n a t r alis avec les comprim s de Xigduo m etfo rm n Cl FORXIGA et XIGDUO ne sont p
100. den Monate f r je ei nen Monat einen anderen Arzt zu er nennen es werden ernannt die HH Dr Penning Ries und Schaeftgen Luxemburger Wort du 4 10 1909 La commune de Hollerich soucieuse de ne pas d favoriser un m decin d doubla le nombre des m decins des pauvres Hr Daubenfeld beantragt auch Hrn Dr Welter der schon Jahre lang in der Gemeinde wohnt als Armen arzt anzustellen es sei genug zu tun f r zwei Aerzte Hr Gehlen Allein will Hr Weiter es nicht haben er m chte seinen Kollegen Hrn M l ler nicht verdr ngen Der Antrag gelangt zur Abstimmung Die Stim mengleichheit besteht so entschei det der Hr B rgermeister zu Guns ten des Antrages Bisher erhielt der Armenarzt 780 Fr in Zukunft jeder derselben 500 Fr B rger und Be amtenzeitung du 24 1 1907 HISTOIRE DE LA M DECINE IRE Hollerich Anstelle des Hrn Dr Welter wird Hr Gantenbein auf die Dauer eines Jahres zum Armenarzt der Gemeinde ernannt Luxembur ger Wort du 28 12 1912 Deux m decins galement dans le canton de Wiltz Wiltz 25 Sept Gemeinderatssit zung Die HH Bohler und Bauler wurden zu Armen rzten ernannt Luxemburger Wort du 27 9 1905 Le M morial N 45 1905 nous rensei gne sur la situation dans le canton de Mersch ll en ressort e a un service des sage femmes pay es par les com munes Canton de Mersch Gesundheits dienst der Armen Soweit bekannt haben die Gemeinden in ausrei ch
101. di es s par ment et en association associ un traitement antiretroviral chez des patients p diatiques infect s par le VIH naifs de tout traitement antiretroviral et pr alablement trait s par des antiretroviraux les donn es disponibles sur l utiisation de l abacavir et de la lamivudine chez le nourrisson de moins de trois mois sont imit es Aucun type d effet ind sirable suppl mentaire n a t observ par rapport ceux observ s dans la population adulte Declaration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via le systeme national de d claration Belgique Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION II Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site intenet www afmpsibe e mail adversedrugreactons fagg afmps be Luxembourg Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments Villa Louvigny All e Marconi L 2120 ee Site internet htto www ms public lu fr activites pharmacie medicament index htmi TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE VV Healthcare UK Limited 980 Great West Road Brentford Middlesex TW8 9GS Royaume Uni DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 01 09 2014 version 1 CONDITIONS DE PRESCRIPTI
102. doit pas d passer 100 mg avec un in tervalle d au moins 48 heures entre les doses voir rubrique 4 5 du RCP Mode d administration Voie orale Si Spedra est pris avec des aliments le d but de l activit peut tre retard par rapport une prise jeun voir rubrique 5 2 du RCP CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit au principe actif ou l un des excipients mention n s la rubrique 6 1 du RCP Patients qui utilisent une forme quelconque de d riv s nitr s ou des donneurs de monoxyde d azote comme le nitrite d amyle voir rubrique 4 5 du RCP Les m decins doivent tenir compte du risque cardiaque potentiel de l activit sexuelle chez les patients pr sentant une maladie cardio vasculaire pr existante avant de prescrire Spedra L utilisation de l avanafil est contre indiqu e chez les patients qui ont eu un infarctus du myocarde une crise cardiaque ou une arythmie engageant le pronostic vital au cours des 6 derniers mois les patients souffrant d hypotension au repos pression art rielle lt 90 50 mmHg ou d hy pertension pression art rielle gt 170 100 mmHg les patients pr sentant un angor instable une angine de poitrine pendant les rapports sexuels ou une insuffisance cardiaque congestive de classe 2 ou sup rieure de la classification NYHA New York Heart Association les patients pr sentant une insuffisance h patique s v re Child Pugh C les patients pr sentant une insuffisance r nale s v re
103. douche sous marine une baignoire d eau de mer chaude et une th rapeute qui dirige le jet d eau sur le corps en d clarant la guerre aux capitons Il y a des combats qu il faut se donner les moyens de gagner L ondorelax nous sommes couch e sur un matelas d eau l int rieur duquel un jet se d place des chevilles aux cervicales Quand l onde arrive aux cervicales d cupl e par un grand bruit de vagues nous on l che carr ment prise Oui le bonheur est port e de jet donner du peps ses plats Quant Pascal Pochon il r ussit le pari d all ger les desserts sans nier qu ils sont une source de r confort L affichage des calories de facon bien visible sur le menu la toute bonne id e du duo Les hu tres de Cancale Abusez en elles sont riches en prot ines magn sium calcium zinc iode et pauvres en lipi des Un pav de bar vapeur gingem bre 240 calories personne Un pain perdu l abricot et au romarin 230 calories peine la mode Pochon Nous voil rassur e D autant que les bons conseils pour allier gourmandi Entre les mains de pros se et di t tique Patrice et Pascal les sont r alis es partir de l gumes dispensent lors d ateliers cuisine aux Du Grand H tel des Thermes on ac Du concret On mange aussi avec les Thermes et dans un beau livre intitul cede au 5 000 m d espace de soins yeux Patrice le sait qui privil gie no Escapades di t tiques Recettes l
104. du 29 1 1916 Eich Herr Dr Scholtes wird als Ar menarzt ernannt Entsch digung 625 Fr Luxemburger Wort du 5 6 1916 Bettembourg die Entsch digung des Armenarztes wird von 375 auf 800 Fr erh ht Luxemburger Wort du 16 11 1920 Dudelange Die Entsch digung des Armenarztes pro 1925 wird auf 1000 Fr festgesetzt Luxemburger Wort du 19 1 1927 Dudelange Die zwischen Sch ffen rat und Armen rzten getroffene Kon vention wird einstimmig gutgehel Ben Gem dieser wird den Aerzten pro Jahr und pro Haushalt eine Pau schalsumme von 100 Fr zugestan den Unter diese Ma nahme fallen die Arbeitslosen und die D rftigen Luxemburger Wort du 11 12 1932 Un mode de r mun ration bien origi nal imagin par le conseil communal de Dudelange et les m decins par foyer pauvre Bettembourg Da augenblicklich in Bettemburg nur mehr ein Arzt prak tiziert beschliesst der Gemeinderat dessen Entsch digung die bisher 1000 Franken betrug auf 2000 Franken zu erh hen Diese Ent sch digung ist provisorisch denn sobald sich in Bettemburg wieder ein zweiter Arzt niedergelassen hat wird auch dieser als Armenarzt hin zugezogen Escher Tageblatt du 31 12 1934 Monnerich Zum Armenarzt wird Herr Dr Steichen aus Esch bezeich net Er erh lt eine Jahresentsch di gung von 2500 Fr Luxemburger Wort du 14 2 1935 une prime puisque son revenu com me m decin des pauvres ne s levait qu
105. e a 30 mg une fois par jour en cas de co administration avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 Inducteurs mod r s du CYP3A4 La dose de Daklinza doit tre augment e 90 mg une fois par jour en cas de co administration avec des inducteurs mod r s du CYP3A4 Voir RCP rubrique 4 5 Oubli de doses Les patients doivent tre inform s que s ils oublient une dose de Daklinza la dose oubli e doit tre prise d s que possible dans les 20 heures suivant l heure de prise habituelle Cependant si l oubli est constat plus de 20 heures apr s l heure de prise habituelle la dose doit tre omise et la dose suivante sera prise l heure pr vue Populations particuli res Sujets g s Aucune adap tation posologique de Daklinza n est n cessaire chez les patients gt 65 ans voir RCP rubriques 4 4 et 5 2 Insuffisance r nale Aucune adaptation posologique de Daklinza n est n cessaire chez les patients en insuffisance r nale quelqu en soit le stade voir RCP rubrique 5 2 Insuffisance h patique Aucune adaptation posologique de Daklinza n est n cessaire chez les patients pr sen tant une insuffisance h patique l g re Child Pugh A score 5 6 mod r e Child Pugh B score 7 9 ou s v re Child Pugh C score gt 10 Daklinza n a pas t tudi chez des patients atteints de cirrhose d compens e voir RCP rubriques 4 4 et 5 2 Population p diatrique La s curit et l efficacit de Daklinza chez les enfants et adolescents
106. e h patique s v re Child Pugh C voir RCP rubrique 5 2 Population p diatrique La s curit et l efficacit du dasabuvir chez les enfants g s de moins de 18 ans n ont pas t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Les comprim s pellicul s sont prendre par voie orale Les patients doivent tre inform s qu ils doivent avaler le comprim entier c d les patients ne doivent pas m cher casser ou dissoudre le comprim Afin d optimiser leur absorption les comprim s d Exviera doivent tre pris avec de la nourriture ind pendamment de la teneur en mati re grasse et en calories voir RCP rubrique 5 2 CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit aux principes actifs ou l un des excipients mentionn s a la rubrique 6 1 du RCP Utilisation de m dicaments contenant de l thinylestradiol tels que la plupart des contraceptifs oraux combin s ou des anneaux vaginaux contraceptifs voir RCP rubriques 4 4 et 4 5 L administration concomitante d Exviera et de m dicaments qui sont des inducteurs enzymatiques puissants ou mod r s peut diminuer les concentrations plasmatiques du dasabuvir et r duire son effet th rapeutique voir RCP rubrique 4 5 Exemples d inducteurs enzymatiques carbamazepine phenytoine ph nobarbital favirenz n virapine travirine enzalutamide mitotane rifampicine millepertuis Hypericum perforatum Les m dicaments qui sont de puissants inhibiteurs du CYP2C8 peuvent a
107. e l ge de 2 mois puis une deuxi me dose 2 mois plus tard La troisi me dose rappel est recommand e entre l ge de 11 et 15 mois Pr matur s lt 37 semaines de gestation Chez les pr matur s le sch ma vaccinal recommand comprend quatre doses de 0 5 ml chacune La primovaccination chez le nourrisson comprend trois doses la premi re dose tant administr e l ge de 2 mois et avec un intervalle d au moins un mois entre les doses La premi re dose peut tre administr e d s l ge de six semaines La quatri me dose rappel est recommand e entre l ge de 11 et 15 mois Nourrissons et enfants non vaccin s g s gt 7 mois Nourrissons g s de 7 11 mois Deux doses de 0 5 ml chacune avec un intervalle d au moins un mois entre les doses Une troisieme dose est recommand e au cours de la deuxieme ann e de vie Enfants g s de 12 23 mois Deux doses de 0 5 ml chacune avec un intervalle d au moins 2 mois entre les doses Enfants g s de 2 17 ans Une seule dose de 0 5 ml Sch ma vaccinal de Prevenar 13 pour les nourrissons et enfants pr alablement vaccin s par Prevenar 7 valent serotypes 4 6B OV 14 18C 19F et 23F de Streptococcus pneumoniae Prevenar 13 contient les 7 m mes serotypes que ceux inclus dans Prevenar et utilise la m me prot ine vectrice CRM fe Les nourrissons et enfants qui ont commenc la vaccination par Prevenar peuvent passer Prevenar 13 tout moment du sch ma Jeune
108. ect s par un HCV de g notype 1 et ayant recu le traitement selon la posologie recommand e Viekirax Exviera RBV Les patients cirrhotiques dans Turquoise ll taient Child Pugh A La s curit et l efficacit de Viekirax et Exviera n ont pas t tablies chez les patients infect s par le VHC et pr sentant une insuffisance h patique mod r e Child Pugh B cependant aucun ajustement posologique ne e devrait tre requis d apres les tudes pharmacocin tiques Viekirax et Exviera sont contre indiqu s chez les patients pr sentant une insuffisance Ob OVi h patique s v re Child Pugh C 1 RCP Viekirax janvier 2015 2 RCP Exviera janvier 2015 AbbVie SA NV BEHC V150196 05 2015 VW Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir RCP rubrique 4 8 pour les modalit s de d claration des effets ind sirables D NOMINATION DU M DICAMENT VIEKIRAX 12 5 MG 75 MG 50 MG COMPRIM PELLICUL COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE CHAQUE COMPRIM PELLICUL CONTIENT 12 5 MG D OMBITASVIR 75 MG DE PARITAPR VIR ET 50 MG DE RITONAVIR POUR LA LISTE COMPLETE DES EXCIPIENTS VOIR RCP RUBRIQUE 6 1 FORME PHARMACEUTIQUE COMPRIM PELLICUL COMPRIM COMPRIM PELLICUL ROSE DE FORME OBLONGUE BICONVEXE DE 18 8 M
109. edanib dans le ralentissement de la progression de la maladie a t maintenu jusqu a 76 semaines dans le cadre de l essai TOMORROW Le traitement long terme par nintedanib dans l extension de l tude INPULSIS ON confirme un profil de s curit et de tol ran ce acceptables sur une dur e de 33 mois Les analyses combin es confirment l efficacit du nintedanib chez des patients pr sentant une FPI un stade pr coce capacit vitale forc e CVF gt 90 de la valeur th orique l tat initial Le nintedanib est le premier traitement cibl contre la FPI qui prou ve syst matiquement son efficacit dans deux tudes de phase Ill de mod le identique et les analyses combin es long terme confir diff rents sch mas radiologiques lors des tests d imagerie initiaux absence de nids d abeille et biopsie pulmo naire ne confirmant pas le diagnostic vs presence de nids d abeille et ou biopsie confirmant le diagnostic Les r sultats pr sent s soulignent l importance de la d tection pr coce et du traitement rapide des patients pr sentant une FPI En outre les don n es pr sent es lors de la conf rence concernent un large spectre de pa tients repr sentatifs des patients ren contr s en pratique clinique Lors d une analyse post hoc des essais INPULSIS le nintedanib a montr un effet syst matique sur la r duction de la vitesse annuelle de d clin de la CVF une mesure de prog
110. elative au nombre de cas de pneumonies et d infections invasives a pneumocoque dans l tude CAPITA tait la plus lev e pour les s rotypes 3 7F et 19A Cela vous a t il surpris Figure 5 Professeur Marc Bonten Cela n a rien d tonnant Nous ne devons ef fectivement pas oublier que le nom bre de s rotypes pneumococciques circulants qui sont contenus dans le vaccin pneumococcique utilis pour la vaccination p diatrique diminue aussi fortement chez les adultes g s sous l effet de l immunit de groupe Aux Pays Bas le VPC10 Synflorix est uti lis pour la vaccination p diatrique et ce vaccin ne contient ni le s rotype 3 ni le s rotype 19A Il n est donc pas tonnant que dans le groupe place bo de l tude CAPITA ces s rotypes pneumococciques pr sentent l inci dence la plus lev e tant de pneumo nie que d infections invasives a pneu mocoque Bonne nouvelle la vaccination par le Prevenar 13 fait significativement baisser le nombre d infections dues ces s rotypes pneumococciques chez les personnes g es Entretien avec le Professeur Joe Schmitt Le Professeur Joe Schmitt est p diatre et l un des chercheurs de Pfizer qui sont impliqu s dans le d veloppement de l utilisation du Prevenar 13 chez l adulte La r f rence m dicale Quels sont selon vous les l ments les plus probants pour convaincre les agences sanitaires et les m decins des avantages Figure 6 Professe
111. en fur Armenarzt allein 84 412 Franken verausgabt Escher Tageblatt du 20 8 1936 Gemeinderatssitzung der Gemein de Monnerich vom 23 Dezember 1936 Fur den Armenarzt werden im Budget 800 Fr vorgesehen Lu xemburger Wort du 26 12 1936 R melingen Die Entsch digung der Armen rzte wird auf 8000 Fran ken erh ht Luxemburger Wort du 17 4 1937 D autres encore plaidaient pour l abo lissement pur et simple de ce poste Gemeinderatssitzung der Gemeine Mecher vom 18 August 1937 Ar menverwaltung Der Vorschlag des Sanit tsinspektors einen Armenarzt zu ernennen wird abgelehnt well in diesem Falle die Ausgaben f r die Gemeinde h her w rden ale sie es schon bisher sind Escher Tageblatt du 23 8 1937 Gemeinderatssitzung der Gemein de Mecher vom 23 M rz Der Posten eines Armenarztes f r die Gemein de wird am 1 April aufgehoben Escher Tageblatt du 28 3 1938 Epilogue Wasserbillig tait parmi les derni res commune du pays a avoir recours au m decin des pauvres l apr s guerre ayant aggrav les probl mes li s la pauvret Gemeinde Wasserbillig Arzt ge sucht bei freier Wohnung und Ge meindezuschuss sowie Anstellung als Schul und Armenarzt Luxem burger Wort du 12 7 1945 Joseph REULAND 1915 1972 avait l honneur d tre ce dernier des mo hicans il vint s tablir en septem bre 1945 mais quitta Wasserbillig en 1946 d ja pour aller s installer Gre venmac
112. ender und zufriedenstellender Weise die F rsorge f r die D rftigen beth tigt In sammtlichen Gemein den sind ein oder mehrere Aerzte mit der Behandlung der Armen be traut entweder gegen eine feste j hrliche Entsch digung oder ge gen eine Verg tung der einzelnen Dienstleistungen nach aufgestellter Rechnung Um den D rftigen wel che der rztlichen Pflege ben thi gen die beschwerlichen G nge zur Einholung der Erm chtigung auf Gemeindekosten zu doktern zu erlassen sowie um den Aerzten deren Hilfe in diesem Sinne be ansprucht worden nachtr gliche Abweisungen ihrer Forderungen seitens der Gemeinde weil die D rf tigkeit sodann oft bestritten wurde zu ersparen hat die am 7 Oktober 1904 tagende Versammlung des Hilfskomitees des Kantons Mersch beschlossen in jeder Gemeinde sei zu Anfang des Jahres aufzustellen und zur Verf gung der betreffen den Medizinalpersonen eine Liste zu halten welche namentlich anf hrt 1 jene Familien und Personen de nen ausser Geld oder Naturalien unterst tzung rztliche Behand lung auf Gemeindekosten zusteht Semper Luxembourg juillet 2015 HISTOIRE DE LA M DECINE 2 jene Familien und Personen welche keine zeitweiligen Unter st tzungen beziehen denen aber angesichts ihrer beschr nkten Ver m genslage im Bedarfsfalle gestat tet ist rztliche Hilfe auf Rechnung der Gemeinde nachzusuchen Sollte berdies durch unerwartetes Ungl ck jemand der nicht
113. ent e Reconna tre la souffrance de l adolescent e e Exclure une cause organique e Eviter le diagnostic par exclusion et centrer le diagnostic sur les aspects MEETING POURQUOI PROPOSER UNE PRISE EN CHARGE Des tudes scientifiques d montrent qu a l ge adulte les patients ayant souffert de somatisation l adolescence ont une pr valence augment e pour Les troubles obsessionnels compulsifs La d pression La somatisation chronique Les troubles anxio d pressifs Les troubles de la personnalite On peut donc affirmer que la somatisation est un signe pr coce d une souffrance psychique qui risque de s aggraver Le d crochage scolaire de ces adolescents est tr s inqui tant En particulier pour l aspect social gu apporte la scolarit Dr Marianne Caflisch fonctionnels e Rassurer le patient et l entourage sans vouloir les convaincre e D crire la normalit e Expliquer les sympt mes par le biais de fiches th matiques et de photos illustratives e Pouvoir entendre les demandes pa rentales qui sont parfois excessives sans forc ment vouloir agir a tout prix Le Dr Marianne Caflisch propose d autres recommandations pour la prise en charge des plaintes fonction nelles e Fixer un plan de prise en charge avec des consultations r guli res aupr s d un m me m decin et viter les consultations en urgence e Evoquer la dimension affective motionnelle de stress
114. eproduction et du sein Prurit vulvo vaginal Prurit g nital El vation de la cr atinin mie P El vation de lur mie Perte de poids Investigations Augmentation de l h matocrites Diminution de la clairance r nale de la cr atinine Dyslipid mie Le tableau pr sente les effets ind sirables observ s partir de donn es recueillies jusqu 24 semaines court terme ind pendamment de l intervention glyc mique l exception de ceux marqu s du symbole 8 pour lesquels les cat gories d effets ind sirables et de fr quence sont bas es sur les informations contenues dans le r capitulatif des caract ristiques du produit de la metformine disponibles au sein de l Union europ enne Voir paragraphe correspondant ci dessous pour plus d informations La vulvovaginite la balanite et les infections g nitales associ es incluent par exemple les termes recommand s pr d finis infection mycosique vulvo vaginale infection vaginale balanite infection g nitale fongique candidose vulvo vaginale vulvovaginite balanite candidosique candidose g nitale infection g nitale infection g nitale masculine infection p nienne vulvite vaginite bact rienne abc s vulvaire L infection du tractus urinaire inclut les termes pr f r s suivants mentionn s par ordre de fr quence rapport e infection du tractus urinaire cystite infection du tractus urinaire par Escherichia infection des voies g
115. ernational Reine Elisabeth Seuls avec leurs d mons Babadook de Jennifer Kent a glan plus de 30 prix dans le mon de ce conte onirique l gant et visuellement saisissant sur le d sarroi d une m re et de son fils est d ores et d j un classi que du genre E E melia a toutes les peines du monde lever seule son fils Sa muel un enfant perturb qui vit dans la peur panique des monstres qui hantent ses cauchemars Au moment o la situation semble devenue in contr lable Samuel fait la d couver te d un myst rieux livre intitul Mr Babadook l histoire d un monstre qui se cache dans les recoins les plus sombres de la maison Une fois la lecture commenc e la r alit se met ressembler de plus en plus trangement ce qui est crit MED AVANTAGES vemper LUXEMBOURG GAGNEZ gt 2 coffrets 4 CD Concours Reine Elisabeth violon 2015 Merci a Be Culture gt 5 exemplaires du DVD The Babadook un film de Jennifer Kent laur at de plus de 30 prix dans le monde Merci a A Film Pour participer envoyer un email avantages dsb lu Seuls les gagnants tir s au sort seront personnellement avertis dans le livre Se sentant harcel e par une pr sence mal fique Amelia d cide de le d truire Amelia et Samuel r ussiront ils chapper au pi ge tendu par le livre ou auront ils le m me funeste sort que les personna ges de Mister Babadook M Babadook
116. es g s de 18 29 ans et fr quente dans les autres groupes d ges Une douleur sensibilit importante au site de vaccination ainsi qu une limitation importante des mouvements du bras ont t rapport es tr s fr quemment chez les adultes de 18 39 ans et fr quemment dans tous les autres groupes d ges Effets ind sirables au cours des tudes cliniques Des r actions locales et des effets syst miques ont t recherch s quotidiennement apr s chaque vaccination pendant 14 jours dans 6 tudes et pendant 7 jours dans tude restante Les fr quences suivantes sont bas es sur les effets ind sirables consid r s comme lies la vaccination avec Prevenar 13 chez l adulte Troubles du m tabolisme et de la nutrition Tr s fr quent Diminution de l app tit Affections du syst me nerveux Tres fr quent C phal es Affections gastro intestinales Tr s fr quent Diarrh e vomissement chez les adultes g s de 18 49 ans Fr quent Vomissement chez les adultes g s de 50 ans et plus Peu fr quent Naus e Affections du syst me immunitaire Peu fr quent R action d hypersensibilit incluant oedeme de la face dyspn e bronchospasme Affections de la peau et du tissu sous cutan Tr s fr quent Eruption Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tr s fr quent Frissons fatigue ryth me au site de vaccination induration gonflement au site de vaccination douleur sensibilit au site
117. es Dyspn e toux maux de gorge syndrome de d tresse respiratoire de l adulte insuffisance respiratoire Effets divers Fi vre l thargie malaise oedeme Iymphadenopathie hypotension art rielle conjonctivite anaphylaxie Affections du syst me nerveux Affections psychiatriques C phal es paresthesie Affections h matologiques et du systeme lymphatique Lymphop nie Affections hepatobiliaires Perturbations du bilan h patique hepatite insuffisance h patique Affections musculo squelettiques et syst miques Myalgie rarement rhobdomyolyse arthralgie l vation de la creatine phosphokinase Affections du rein et des voies urinaires Elevation de la cr atinine insuffisance r nale Les sympt mes li s cette r action d hypersensiblit s aggravent avec la poursuite du traitement et peuvent menacer le pronostic vital dans de rares cas ils ont t fatals La reprise du traitement par abacavir apr s une r action d hypersensibiit entra ne une r apparition rapide des sympt mes en quelques heures Cette r cidive est g n ralement plus s v re que l pisode initial et peut entra ner une hypotension mena ant le pronostic vital et conduire au d c s Dans de rare cas des r actions similaires sont galement apparues chez des patients apr s reprise du traitement par abacavir alors que ceux ci n avaient pr sent qu un seul des sympt mes vocateurs d une r action d hypersensibilte voir ci dessus pr alablement l arr t du t
118. es de dapagliflozine et de metformine que celles pr c demment re ues ou la dose appropri e de metformine la plus proche th rapeutiquement Populations sp ciales Insuffisance r nale Aucune adaptation de la dose n est recommand e chez les patients pr sentant une insuffisance r nale l g re Ce m dicament ne doit pas tre utilis chez les patients pr sentant une insuffisance r nale mod r e s v re patients pr sentant une clairance de la cr atinine CICr lt 60 ml min ou un d bit de filtration glom rulaire estim DFGe lt 60 ml min 1 73 m2 voir rubriques Contre indications Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Effets ind sirables Propri t s pharmacodynamiques du RCP et Propri t s pharmacocin tiques du RCP nsuffisance h patique Ce m dicament ne doit pas tre utilis chez les patients pr sentant une insuffisance h patique voir rubriques Contre indications Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques du RCP Patients g s 2 65 ans La metformine tant limin e en partie par le rein et les patients g s tant plus susceptibles de souffrir d une r duction de la fonction r nale ce m dicament doit tre utilis avec prudence chez les patients plus g s La fonction r nale devra tre surveill e pour pr venir une acidose lactique associ e la metformine en particulier chez les patients g s voir rubriques Con
119. es ou depuis la commercialisation sont list s dans cette rubrique pour tous les groupes d ge par classe d organe en ordre d croissant de fr quence et de gravit La fr quence est d finie comme tr s fr quent 21 10 fr quent 21 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 rare 21 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 et non d termin ne peut tre estim partir des donn es disponibles Nourrissons et enfants g s de 6 semaines 5 ans La s curit du vaccin a t valu e lors d tudes cliniques contr l es au cours desquelles 14 267 doses ont t administr es 4 429 nourrissons en bonne sant g s d au moins 6 semaines lors de la premi re vaccination et 11 16 mois lors de la dose de rappel Dans toutes les tudes chez les nourrissons Prevenar 13 a t co administr avec les vaccins p diatriques habituels La s curit chez 354 enfants g s de 7 mois 5 ans non pr alablement vaccin s a galement t valu e Les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s chez les enfants g s de 6 semaines 5 ans ont t des r actions au site de vaccination de la fi vre de l irritabilit une perte d app tit et une hypersomnie et ou un sommeil diminu Dans une tude clinique portant sur des nourrissons vaccin s l ge de 2 3 et 4 mois une augmentation des cas de fi vre gt 38 C ont t signal s chez les nourrissons vaccin s avec Prevenar 7 valent de man
120. ez gt 1 des sujets avec au moins 3 sujets de plus dans le groupe trait par la dapagliflozine 10 mg par rapport au groupe placebo Rapport s par l investigateur comme possiblement reli probablement reli ou reli au traitement de l tude et rapport s chez gt 0 2 des sujets et chez gt 0 1 des sujets avec au moins 3 sujets de plus dans le groupe trait par la dapagliflozine 10 mg par rapport au groupe placebo Description de certains effets ind sirables Dapagliflozine plus metformine Hypoglyc mie Lors d tudes r alis es avec la dapagliflozine en association la metformine des pisodes mineurs d hypoglyc mie ont t signal s des fr quences similaires chez le groupe trait par la dapagliflozine 10 mg et la metformine 6 9 et chez le groupe recevant le placebo et la metformine 5 5 Aucun pisode majeur d hypoglyc mie n a t observ Dans une tude en association la metformine et un sulfamide hypoglyc miant conduite jusqu 24 semaines des pisodes mineurs d hypoglyc mie ont t rapport s chez 12 8 des sujets qui ont re u la dapagliflozine 10 mg plus metformine et un sulfamide hypoglyc miant et chez 3 7 des sujets qui ont re u un placebo plus metformine et un sulfamide hypoglyc miant Aucun pisode majeur d hypoglyc mie n a t rapport Dapagliflozine Hypoglyc mie La fr quence de l hypoglyc mie d pendait du type de traitement initial utilis dans chaque tude Pour les tudes de la
121. ez l homme adulte Une stimulation sexuelle est requise pour que Spedra soit efficace POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Posologie Utilisation chez l homme adulte La dose recommand e est de 100 mg prendre selon les besoins environ 15 30 minutes avant l activit sexuelle voir rubrique 5 1 du RCP En fonc tion de l efficacit et de la tol rance individuelles la dose peut tre augment e jusqu 200 mg au maximum ou diminu e 50 mg La fr quence maximale de prise du m dicament recommand e est de une fois par jour Une stimulation sexuelle est requise pour obtenir une r ponse au traitement Populations sp ciales Hommes plus g s de 65 ans ou plus Aucun ajustement posologique n est n cessaire chez les patients plus g s Des don n es limit es sont disponibles pour les patients plus g s de 70 ans et plus Insuffisance r nale Aucun ajustement posologique n est n cessaire chez les patients pr sentant une insuffisance r nale l g re mod r e clairance de la cr atinine gt 30 ml min Spedra est contre indiqu chez les pa tients atteints d insuffisance r nale s vere clairance de la cr atinine lt 30 ml min voir rubriques 4 3 et 5 2 du RCP Chez les patients at teints d insuffisance r nale l g re mod r e clairance de la cr ati nine gt 30 ml min mais lt 80 ml min qui ont t inclus dans les tudes de phase 3 il a t obser v une diminution de l efficacit par rappo
122. ez les patients pr sentant une r action d hypersensiblit l abacavir Par cons quent chez les patients pr sentant un de ces sympt mes la pr sence d une reaction d hypersensibilit doit tre soigneusementrecherch e voir rubrique Mises en garde sp ciales et precautions d emploi Des cas d Erytheme polymorphe de syndrome de Stevens Johnson ou de syndrome de Lyell pour lesquels l hypoth se d une r action d hypersensibilit l abacavir n a pu tre exclue ont t tr s rarement rapport s Dans ces cas les m dicaments contenant de l abacavir doivent tre d finitivement arr t s l v nement ind sirable le plus s v re possiblement reli au traitement par le dolut gravir et l association abacavir lamivudine observ chez des patients a t une reaction d hypersensibiit caract ris e notamment par une ruption cutan e et une atteinte h patique s v re voir rubrique Mises en garde sp ciales et precautions d emploi et le paragraphe Description de certains effets ind sirables dans cette rubrique Tableau r capitulatif des effets ind sirables Les effets jee consid r s comme a au moins En Qu en en les ON de en issus des tudes cliniques et des donn es apr s commercialisation sont list s par classe de syst mes d organes et fr quence Les fr quences sont d finies de la mani re suivante t s frequent 2 1 10 frequent 21 100 a lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 0004 lt 1 100 rare gt 1 100004 lt 1 1 00
123. fets ind sirables les plus fr quemment rapport s ont t fatigue c phal es et naus es Aucun effet ind sirable de grade 3 ou 4 n a t rapport Deux patients ont arr t leur traitement pour cause d v nements ind sirables qui taient consid r s comme non li s au traite ment tudi Daklinza en association au peg interf ron alfa et la ribavirine Les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s ont t les suivants fatigue c phal e prurit insomnie syndrome pseudo grippal s cheresse cutan e naus es app tit diminu alop cie rash asth nie irritabilit myalgie an mie fi vre toux dyspn e neutrop nie diarrh e et arthralgie Les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s ayant une s v rit d au moins de Grade 3 fr quence sup rieure ou gale 1 ont t la neutrop nie l an mie et la lymphop nie Le profil de s curit du dacla tasvir en association au peg interf ron alfa et a la ribavirine tait similaire a celui observ avec le peg interf ron alfa et la ribavirine seuls y compris pour les patients avec cirrhose Liste r capitu lative des effets ind sirables Les effets ind sirables pr sent s sont class s par systeme organe et par fr quence tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 et tr s rare lt 1 10 000 Dans chaque groupe de fr quence
124. g s de moins de 18 ans n ont pas encore t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Daklinza doit tre pris par voie orale avec ou sans nourriture Les patients devront tre inform s qu ils devront avaler le comprim en entier Le comprim pellicul ne doit pas tre croqu ni cras en raison du go t d sagr able de la substance active 4 3 Contre indications Hypersensibilit au principe actif ou l un des excipients mentionn s la RCP rubrique 6 1 Co administration avec des m dicaments inducteurs puissants du cytochrome P450 3A4 CYP3A4 et du transporteur de la glycoprot ine P P gp qui sont susceptibles d entra ner une diminution de l exposition et une perte d efficacit de Daklinza Ces substances actives incluent notamment la ph nytoine la carbamaz pine l oxcarbaz pine le ph nobarbital la rifampicine la rifabutine la rifapentine la dexam thasone syst mique et le mil lepertuis Hypericum perforatum 4 8 Effets ind sirables R sum du profil de s curit Le profil de s curit global du daclatasvir repose sur les donn es de 798 patients atteints d infection VHC chronique ayant re u un traitement par Daklinza 60 mg une fois par jour en association au sofos buvir avec ou sans ribavirine n 211 ou en association au peg interf ron alfa et la ribavirine n 587 donn es pool es issues de huit tudes cliniques au total Daklinza en association au sofosbuvir Les ef
125. g de bromure d aclidinium soit 322 ug d aclidinium correspondant une dose mesur e de 400 ug de bromure d aclidinium soit 343 ug d aclidinium Excipient s effet notoire chaque dose mesur e contient 12 6 mg de lactose monohydrat Pour la liste compl te des excipients voir rubrique 6 1 du RCP FORME PHARMACEUTIQUE Poudre pour inhalation Poudre blanche ou quasi blanche dans un inha lateur blanc avec un compteur de doses d livr es int gr et un bouton d administration vert DONNEES CLINIQUES Indications th rapeutiques Bretaris Genuair est indiqu comme traitement broncho dilatateur continu destin soulager les sympt mes chez les patients adultes pr sen tant une broncho pneumo pathie chronique obstructive BPCO Posologie et mode d administration Posolo gie La dose recommand e est l inhalation de 322 ug d aclidinium deux fois par jour En cas d oubli d une prise la dose suivante doit amp tre admi nistr e des que possible sauf si l heure de la dose suivante est proche auquel cas il n est pas n cessaire d administrer la dose oubli e Population g e Aucun ajustement de la dose n est requis chez les patients ges voir rubrique 5 2 du RCP a la ic Insuffisance r nale Aucun de la j el ajustement de la dose n est 1 ER ons requis chez les patients insuf fisants r naux voir la rubrique 5 2 du RCP Insuffisance h patique Aucun ajustement de la dose n est requis chez les patients ins
126. her Le m decin Philippe BASTIAN postula la cr ation d un office social respec tant la dignit humaine d s 1933 Luxemburger Wort du 14 7 1933 Un projet de loi concernant la r orga nisation de l assistance publique fut de fait d pos en 1938 la guerre a emp ch la poursuite Luxemburger Wort du 22 12 1947 Dans l apr s guerre un office social moderne avec assistance palliative curative pr ven trice et constructive fut a nouveau revendiqu par le parti socialiste Es cher Tageblatt du 30 11 1946 Ainsi le conseil chevinal de Differdange d clara fin 1946 Punkt 14 Armenb ro Das Armen b ro wird ersetzt durch ein Office social dessen Aufgabe darin be stehen soll nicht die Armen zu un terst tzen sondern zu suchen die Armut zu verhindern Escher Tage blatt du 1 2 1946 Debut mars le m me conseil r affirma que la nouvelle approche faisait partie du programme de la p riode de man dat en cours Die bisherige Wohlt tigkeitsver waltung sei durch ein office social zu ersetzen Luxemburger Wort du 9 3 1946 A la m me poque m me changement de paradigme Luxembourg Ville Cela n est plus nomm bureau de bienfaisance mais office social as sistance sociale ce nom moins vi lain doit tre plus rassurant pour les solliciteurs Luxemburger Wort du 20 12 1947 Depuis le temps ou il n y a plus de pauvres tout au plus des cas sociaux personne n ose plus parler d
127. hez l adulte Au cabinet 140 90 Par auto mesure 135 85 Par Holter tension jour 135 85 nuit 120 70 Valeurs maximales de la pression arterielle normale chez le patient g Avant 80 ans 140 90 Apres 80 ans en bonne sant systolique lt 140 150 patient fragile Si traitement bien tol r poursuivre au del de 80 ans IIA pas de r gle Cas particuliers e jeune adult y lt ou 140 90 surtout en pr sence de facteurs de risque si HTA blouse blanche conseils simples La femme viter l hormonoth rapie oestrog nique femme enceinte traiter si PA gt 160 110 risque de grossesse viter IEC et sartans Le diab tique m me limite systolique gt 140 mm Hg diastolique lt 85 mm Hg pas de pr f rence sauf si prot inurie bloqueurs du syst me r sine angiotensine pas d utilisation simultan e de 2 classes Qu est ce qu un patient compliant Un patient compliant le patient id al du Dr Boisant est un patient qui adopte les changements de mode de vie IA restriction a 5 6 g de sel par jour 20 a 30 g d alcool par jour 10 20 chez la femme consomme des fruits et l gumes et limite sa consommation de graisses atteint un BMI de 25 avec un tour de taille de 102 88 pratique une activit physique dynamique mo d r e pendant 30 minutes 5 jours sur 7 et accepte une aide a l arr t du tabac Mais c est aussi un patient qui prend
128. i re concomitante avec Infanrix hexa 28 3 42 3 par rapport ceux vaccin s avec Infanrix hexa seul 15 6 23 1 Apr s une dose de rappel administr e entre l ge de 12 et 15 mois le taux de fi vre gt 38 C tait de 50 0 chez les nourrissons vaccin s simultan ment avec Prevenar 7 valent et Infanrix hexa contre 33 6 chez ceux vaccin s avec Infanrix hexa seul Ces r actions taient g n ralement mod r es temp rature gale ou inf rieure 39 C et transitoires Une augmentation des r actions au site de vaccination a t rapport e chez les enfants g s de plus de 12 mois par rapport aux taux observ s chez les nourrissons au cours de la primovaccination par Prevenar 13 Effets ind sirables au cours des tudes cliniques Au cours des tudes cliniques le profil de s curit de Prevenar 13 a t comparable celui de Prevenar Les fr quences suivantes sont bas es sur les effets ind sirables issus des tudes cliniques Prevenar 13 et consid r s comme lies la vaccination Affections du syst me immunitaire Rare R action d hypersensibilit dont 1 PREVENAR 13 Summary of Product Characteristics 2 http Amww chip be Marque d pos e Veuillez vous r f rer a la notice ci jointe pour les donn es de s curit du produit 150094 Janvier 2015 O 2015 Pfizer Tous droits r serv s frevenar 13 Preumococcal polysaccharide conjugate vaccine 13 valent adsorbed Le premier et se
129. iere la pharmacie tant le lieu de d livrance id al pour les sup ports orthop diques pr ts a porter OrthoMedix va d ailleurs plus loin dans sa d marche en proposant aux offici nes des formations officielles et cer tifi es parall lement a une informa tion scientifique au corps m dical de mani re mettre en place les moyens d un v ritable filtrage des patients en premiere ligne urgences polyclini ques ou m decine g n rale BR Dr E Mertens d apres un entretien avec Fabian Hirtz General Manager d OrthoMedix Semper Luxembourg juillet 2015 f AD Ts 1 ACTU Le Centre Antipoisons Belge au service des Luxembourgeois La Belgique et le Grand Duch de Luxembourg collaborent une nouvelle fois En jeu cette fois ci la mise a disposition des services du Centre Antipoisons Belge pour les citoyens luxembourgeois L accord de coop ration a t sign le 2 juin 2015 en pr sence des ministres belge et luxembourgeoise de Ja Sant publique Maggie De Block et Lydia Mutsch Sho a Bruxelles le Centre Anti poisons Belge est aujourd hui ais ment accessible aux citoyens et m decins luxembourgeois En cas d urgence sanitaire il suffit simple ment de composer le num ro gratuit 8002 5500 En 2014 54 207 appels furent trait s par le Centre Antipoi sons Belge Et parmi ceux ci 140 appels manaient de m decins luxembourgeois Selon les estima tio
130. ilis es si n cessaire Tnumeq n est pas recommand chez les patients pr sentant une insuffisance h patique mod r e et s v re voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Population p diatrique La s curit d emploi et l efficacit de Tiumeq chez les enfants g s de moins de 12 ans n ont pas encore t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Voie orale Tiumeq peut tre pris avec ou sans nourriture Contre indications Hypersensibilt au dolutegravir l abacavir ou la lamivudine ou l un des excipients Voir les rubriques Mises en garde sp ciales amp pr cautions d emploi et Effets ind sirables Administration concomitante de dof tilde Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Transmission du VIH Bien qu il ait t d montr que l efficacit virologique d un traitement antir troviral r duise sensiblement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle un risque de transmission ne peut tre exclu Des pr cautions doivent tre prises conform ment aux recommandations nationales afin de pr venir toute transmission R actions d hypersensiblit voir rubrique Effets ind sirables L abacavir et le dolut gravir sont tous deux associ s un risque de r actions d hypersensibilt voir rubrique Effets ind sirables qui pr sentent quelques caract ristiques communes telles que la fi vre et ou une ruption cutan e ainsi que d autres sympt mes traduisant une atteinte
131. ill regimen built with dolutegravir The most frequently reported adverse reactions with TRIUMEQ were nausea insomnia diarrhea headache and fatigue a AA Before initiating treatment with abacavir containing products screening for carriage of the HLA B 5701 allele should be performed in any HIV infected patient irrespective of racial origin Abacavir should not be used in patients known to carry the HLA B 5701allele or for E whom the HLA B 5701 status is unknown 1 TRIUMEQ Summary of Product Characteristics In studies supporting TRIUMEQ DTG 50 mg ABC 600 mg 3TC 300 mg were used Bioequivalence has been demonstrated RESUME ABREGE DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT Veuillez vous r f rer au R sum des Caract ristiques du Produit pour une information compl te concernant Pusage de ce m dicament Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir rubrique Effets ind sirables pour les modalit s de d claration des effets ind sirables DENOMINATION DU MEDICAMENT Tiumeq 50 mg 600 mg 300 mg comprim s pelicul s EU 1 14 940 001 Classe pharmacoth rapeutique Antiviraux usage syst mique antiviraux pour le traitement des infections par le VIH associations d antiretroviraux Code ATC JO5AR13 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANT
132. ion amp Immunity Lieu Amphith tre CHL Lecture de 12h30 a 14h et Workshop de 15h30 a 17h30 Th me s Therapeutic vaccines against HIV Infection a functional cure strategy Orateur Dr Felipe Garcia Info www lih lu Lundi 09 11 de 17h 19h R union H pital Kirchberg Lieu salle U202 niveau 1 H pital Kir chberg 9 rue Edward Steichen 2540 Kirchberg Th me s Faire quand voyage d ca lage horaire vaccins maladies infec tieuses examens divers Info diabete hopitauxschuman lu Genuair Samedi 14 11 de 8h30 a 12h Colloque m dico sportif d Eich Lieu Salle de conf rence centre m dical de la Fondation Norbert Metz 76 rue d Eich 1460 Luxembourg Th me s 30 anniversaire de l Asso cation Luxembourgeoise des Groupes Sportifs pour Cardiaques F Orateur s Dr Ch Delagardelle Dr P Feiereisen Info med sport chl lu Samedi 14 11 de 9h 18h30 3 journ e m dicale d tude sur les maladies tiques Lieu Espace Seforex 97 rue Jean Jau r s 92300 Levallois Perret Orateur s Dr Chapy Dr Djonouma Pr Perronne Dr Raymond Dr Teuli res Pr Trouillas Info www francelyme fr Lundi 23 11 de 8h15 8h45 Chest Consensus Meeting 2015 Lieu CHL 4 rue Barbl 1210 Luxem bourg Th me s Nouveaut s 2015 Radio protection et poumons Orateur Dr V Lens Info www chl lu Vendredi 27 et samedi 28 11 Colloque m dico sportif d Eich Lieu CHL Amphith tre Th
133. ion 2 x our Y da ee et de 2 www goldcopd org Recommended first choice for patients in group B C D Long acting anticholinergic among other drugs ind sirables est d finie selon la convention suivante tr s fr quent 21 10 fr quent 21 100 lt 1 10 peu fr quent 21 1 000 a lt 1 100 rare 21 10 000 a lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 et fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Classe de syst mes d organes Infections et infestations Sinusite fr quent Nasopharyngite fr quent Affections du syst me immunitaire Hypersensibilit rare Oed me de Quincke fr quence ind termin e Troubles du syst me nerveux C phal e fr quent Vertiges peu fr quent Troubles oculaires Vision trouble peu fr quent Troubles cardiaques Tachycardie peu fr quent Palpi tations peu fr quent Troubles respiratoires thoraciques et m diastinaux Toux fr quent Dysphonie peu fr quent Troubles gastro intestinaux Diarrh e fr quent Nausees fr quent S cheresse buccale peu fr quent Stomatite peu fr quent Affec tions de la peau et du tissus sous cutan Eruption cuta n e peu fr quent Prurit peu frequent Troubles r naux et des voies urinaires R ten tion urinaire peu fr quent Lin cidence des naus es lors des essais cliniques tait moins le v e pour l aclidinium que pour le placebo 43 9 par rapport 48 3 par 1000 ann es pa
134. ion moyenne observ e du d clin de la capacit vitale forc e CVF ou volume maximum d air expuls apr s une inspiration com pl te une mesure de la progression de la FPI tait syst matiquement plus faible dans le groupe ninteda nib 150 mg 2x jour par rapport au groupe de comparaison 3 1 vs Ne IN N NE 6 3 entre la valeur initiale et la semaine 76 e Une plus faible proportion de pa tients dans le groupe nintedanib 150 mg 2x jour par rapport au grou pe de comparaison a connu au moins 1 exacerbation aig e de la FPI une aggravation soudaine et grave de la FPI 4 7 vs 19 5 des patients e La s curit et la tol rance du ninte danib 150 mg 2x jour taient simi laires en p riode 1 et en p riode 2 Pas si rare La FPI touche pas moins de 14 43 personnes sur 100 000 dans le monde g n ralement apr s 50 ans Dr Martin Kolb directeur de recherche du service de m decine respiratoire de I Universit de m decine McMaster au Canada Les donn es uniques Issues des analyses post hoc des sous grou pes des essais cliniques INPULSIS com bin s ont montr l effet syst matique de l OFEVS chez des patients diff rents stades d alt ration de la fonction pulmonaire et des patients pr sentant FLASH MIC OFEV nintedanib est rembours au Luxembourg depuis le 1 juillet pour le traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique FPI Le r le du nint
135. ions de PTT une non r ponse au traitement ou un d c s On sait aussi qu une activit ADAMTS13 initiale de moins de 10 combin e a un titre d anti corps inhibiteurs d ADAMTS13 lev plus de 2 unit s de Bethesda est associ e un mauvais pronostic et signe un risque plus lev de r cidive R f rence 1 Wu N et al Diagnostic and prognostic values of ADAMTS13 activity measured during daily plasma exchange therapy in patients with acquired thrombotic thrombocytopenic purpura Transfusion 2015 Jan 55 1 18 24 doi 10 1111 trf 12762 Epub 2014 Jun 23 EP associ ventuellement une corticoth rapie a 1 mg kg j avec une diminution progressive sur 6 semaines Dans les cas de maladies auto immu nes associ es la corticoth rapie est maintenue vie Le nombre de s an ces de EP est laiss au choix du clini cien avec tant t un arr t la normali sation des plaquettes tant t un relais par du plasma frais congel Une autre option est le rituximab un anticorps monoclonal anti CD20 donn en quatre fois indiqu en cas de rechu tes entre les s ances de EP ou pour un PTT r fractaire ou une persistance des anticorps anti ADAMTS13 malgr une normalisation biologique L volution est en g n ral favorable avec toutefois un taux de mortalit estim 15 Plus r cemment est apparu le traite ment par culizumab un anticorps monoclonal qui bloque la fraction C5 et donc la synth se du complexe d
136. ions oculaires tant fr quentes dans les rhinites allergiques la question de l impact de la cortico therapie nasale sur la symptomato logie oculaire est tout a fait l gitime Elle l est d autant plus que la r ponse oculaire a l allergie est la m me que la r ponse au niveau nasal et qu il existe de nombreux travaux montrant que l exposition nasale des allerg nes r ponses engendre des r ponses coupl es du nez et des yeux Ce r flexe naso oculaire serait la r sultante d envoi de signaux centripetes vers le ganglion de Gasser d o mergent les trois branches terminales du nerf triju meau nerfs ophtalmique maxillaire et mandibulaire lesquelles v hiculeraient les r ponses effectrices au stimulus Ind pendamment du m canisme im pliqu il est clair que l administration intra nasale de corticoide a le plus L ESSENTIEL souvent un effet favorable sur les ma nifestations oculaires des rhinites et des authentiques rhino conjonctivites Ces effets b n fiques concernent globalement l ensemble des manifes tations oculaires et ont t d montr avec de tr s nombreux agents sans qu il y ait tendance un impact plus marqu de l un d entre eux La vraie question n est donc pas l ef ficacit mais la s curit d emploi et dans ce domaine il est n cessaire de rappeler que les collyres de cortico st ro des constituent la premiere cause de glaucome latrog ne et que nous ne disposons malhe
137. is for Regulatory Action Silver Spring MD US Food and Drug Administration December 29 2011 DENOMINATION DU MEDICAMENT Prevenar 13 suspension injectable Vaccin pneumococeique polyosidique conjugu 13 valent adsorb COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE 1 dose 0 5 ml contient Polyoside pneumococcique s rotype 1 2 2ug Polyoside pneumococcique s rotype 3 2 21g Polyoside pneumococcique s rotype 4 2 219 Polyoside pneumococcique s rotype 5 2 21g Polyoside pneumococcique s rotype 6A 2 2ug Polyoside pneumococcique s rotype 6B 4 4ug Polyoside pneumococcique s rotype 7F 2 2ug Polyoside pneumococcique s rotype 9V 2 2ug Polyoside pneumococcique s rotype 14 2 2119 Polyoside pneumococcique serotype 18C 2 210 Polyoside pneumococcique s rotype 19A 2 2ug Polyoside pneumococcique serotype 19F 2 2ug Polyoside pneumococcique serotype 23F 2 2119 conjugu a la prot ine vectrice CRM et adsorb sur phosphate d aluminium 0 125 mg d aluminium FORME PHARMACEUTIQUE Suspension injectable Le vaccin se pr sente sous la forme d une suspension homogene blanche INDICATIONS TH RAPEUTIQUES Immunisation active pour la pr vention des infections invasives pneumonie et otite moyenne aigu caus es par Streptococcus pneumoniae chez les nourrissons les enfants et les adolescents g s de 6 semaines 17 ans Immunisation active pour la pr vention des infections invasives et de la pneumonie caus es par Streptococcus pneumoni
138. ivalent 5 mg de dapagliflozine et 1000 mg de chlorhydrate de metformine Pour la liste compl te des excipients voir rubrique Liste des excipients du RCP 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim pellicul comprim Xigduo 5 mg 850 mg comprim s pellicul s Comprim s pellicul s marrons biconvexes ovales 9 5 x 20 mm avec 5 850 grav sur une face et 1067 grav sur l autre face Xigduo 5 mg 1000 mg comprim s pellicules Comprim s pellicul s jaunes biconvexes ovales 10 5 x 21 5 mm avec 5 1000 grav sur une face et 1069 grav sur l autre face 4 DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques Xigduo est indiqu chez les adultes g s de 18 ans et plus atteints de diab te de type 2 en compl ment du r gime alimentaire et de l exercice physique pour am liorer le contr le glyc mique chez les patients contr l s de mani re inad quate par la metformine seule la dose maximale tol r e en association avec d autres m dicaments hypoglyc miants incluant l insuline chez les patients contr l s de mani re inad quate par la metformine et ces m dicaments voir rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions du RCP et Propri t s pharmacodynamiques du RCP pour les donn es disponibles sur les diff rentes associations chez les patients d j trait s par l association dapagliflozine et metformine so
139. joncti vites conjuguent hypersensibilit im m diate de type m di e par les IgE et hypersensibilit non imm diate de type IV non m di e par les IgE La bl pharoconjonctivite de contact n a Tableau 1 LES DIFF RENTES FORMES D ALLERGIE OCULAIRE Hypersensibilit de type IV non m di e par les IgE Bl pharoconjonctivite de contact K ratoconjonctivite vernale K ratoconjonctivite atopique Hypersensibilit de type m di e par les IgE Conjonctivite allergique Salsonniere et perannuelle K ratoconjonctivite vernale K ratoconjonctivite atopique Monique Lorang Une poudre blanche c est une poudre blanche pour sa part pas de composante m di e par les IgE Les conjonctivites gigantopapillaires ne sont pas a proprement parler des CA elles se rencontrent chez les su jets porteurs de lentilles souples et r sultent de l irritation m canique de la surface oculaire qui peut encore tre renforc e par une hyperr activit conjonctivale non sp cifique Votre partenaire en formation continue Le tableau 1 reprend les diff rentes entit s d allergie oculaire en fonction de leur physiopathologie Semper Luxembourg juillet 2015 DOSSIER M DICAL Diagnostic clinique Il se base sur l interrogatoire du pa tient les ant c dents familiaux et personnels d allergie et le cas ch ant le bilan allergologique existant sur la symptomatologie et les ventuels exa mens ophtal
140. l Lafon palpitant qui d nonce une r alit glacante M Repenser la soci t Karen Merran livre un r cit po tique qui donne r fl chir sur sa vie Un premier roman r ussi qui plaira aux fans de Katherine Pancol C e que Maya pr f re dans la rou tine m tro boulot dodo c est le m tro Cette chef de produit dans une quipe marketing aime observer les gens et imaginer leur vie Un ma tin elle fait la connaissance de Roger un SDF qui gagne sa vie en vendant Le Guide des restos pas chers Elle d cide alors de l aider en laborant une strat gie marketing L objectif qu elle s est fix trouver une id e originale pour que les gens lui donnent un peu plus d argent et lui permettent de se sortir de l impasse o Il se trouve pas de logement pas de travail pas de travail pas de logement U Il tait une fois dans le m tro de Karen Merran aux ditions Michel Lafon AVANTAGES Ser LUXEMBOURG GAGNEZ gt 5 exemplaires du livre Morsure de Nick Louth gt 5 exemplaires du livre Il tait une fois dans le m tro de Karen Merran Merci aux ditions Michel Lafon Pour participer envoyer un email avantages dsb lu Seuls les gagnants tir s au sort seront personnellement avertis Semper Luxembourg juillet 2015 AGENDA JUILLET Mercredi 15 07 de 13h 14h S minaires du mercredi Lieu Kannerklinik Th me s Le choc anaphylactique Orateur Dr Fanny Morel
141. la popula tion g n rale des plaintes physi ques concernent principalement les filles avec une pr dominance pour les c phal es les dorsalgies les maux de ventre les douleurs arti culaires les troubles du sommeil et l acn Une tude en milieu hospitalier datant de 2003 montre qu on retrouve ces sympt mes flous chez les adolescents sous forme de douleurs abdomina les maux de t te fatigue chronique vertiges malaises et c phal es Je suis convaincue que si nous r ali sions une tude identique l heure actuelle nous retrouverions davan tage de fatigue chronique et de ma laises au sein de la population adoles cente analys e Cette tude a mis en exergue un l ment int ressant 30 des adolescents pr sentaient un mi nimum de trois plaintes indique le Dr Marianne Caflisch Une tude effectu e dans un service de p diatrie g n rale Paris dans lequelle travaillait le Dr Marianne Caflisch a montr que sur 500 jeunes patients hospitalis s pour maladie chronique ob sit anorexie mentale tentative de suicide les patients ob ses se plaignaient le moins de plaintes physiques alors que 75 des adolescents ayant fait une tentative de suicide exprimaient une accumu lation de plaintes c phal es troubles du sommeil Semper Luxembourg juillet 2015 MEETING Donnez vous du temps et surtout offrez du temps aux adolescents afin qu ils puissent agir activement sur
142. lant voir rubrique 4 2 ou lorsque l HNF est administr e des doses n cessaires pour maintenir la perm abilit d un cath ter veineux ou art riel central 4 8 Effets ind sirables R sum du profil de tol rance La s curit d apixaban a t tudi e dans 4 tudes cliniques de Phase Ill incluant plus de 15 000 patients plus de 11 000 patients dans des tudes portant sur la FANV et plus de 4 000 patients dans des tudes portant sur le traitement d ETEV tETEV pour une exposition moyenne totale de 1 7 ans et 221 jours respectivement Les effets ind sirables fr quents ont t les suivants h morragie contusion pistaxis et h matome Dans les tudes chez les patients atteints de FANV l incidence globale des effets ind sirables h morragiques sous apixaban tait de 24 3 dans l tude apixaban vs warfarine et de 9 6 dans l tude apixaban vs aspirine Dans l tude apixaban vs warfarine l incidence de saignements gastro intestinaux majeurs d finis selon les crit res de PISTH y compris un saignement du tractus Gl sup rieur Gl inf rieur et du rectum sous apixaban tait de 0 76 par an l incidence des saignements intraoculaires majeurs d finis selon les crit res de l ISTH sous apixaban tait de 0 18 par an Dans les tudes tETEV l incidence globale des effets ind sirables h morragigues sous apixaban tait de 15 6 dans l tude apixaban vs enoxaparine warfarine et de 13 3 dans l tude apixaban vs placebo Lis
143. le Date de cr ation Septembre 2014 SVIT WITH DAKLINZA THE FIRST NS5A INHIBITOR AS YOUR ALLY YOU CAN ACHIEVE CURE 1 Daklinza daclatasvir Summary of Product Characteristics insert local details Bristol Myers Squibb Company March 2014 2 Sulkowski MS Gardiner DF Rodriguez Torres M et al Daclatasvir plus sofosbuvir for previously treated or untreated chronic HCV infection N Engl J Med 2014 370 211 221 3 EASL Clinical Practice Guidelines Management of hepatitis C virus infection J Hepatol 2014 60 392 420 4 Swain MG Lai MY Shiffman ML et al A sustained virologic response is durable in patients with chronic hepatitis C treated with peginterferon alfa 2a and ribavirin Gastroenterology 2010 139 1593 1601 2014 Bristol Myers Squibb Company ME 1392BE15PR01789 DAKLINZA is a registered trademark of Bristol Myers Squibb and its affiliates BR0036 FR 01 06 15 v Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l iden tification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir rubrique 4 8 du RCP pour les modalit s de d claration des effets ind sirables D NOMINATION DU M DICAMENT Bretaris Genuair 322 microgrammes poudre pour inhalation COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose d livr e la dose d livr e l embout buccal contient 375 u
144. le toutes les causes d il rouge sont liminer bl pharites k ratites et uv ites infec tieuses ou inflammatoires scl rites et piscl rites sans oublier le glaucome aigu ainsi que les plaies et traumatis mes les br lures les corps trangers y compris les lentilles Il faut galement songer aux diff ren tes causes du syndrome de l il sec lequel r sulte d une diminution de pro duction de larmes ou d une anomalie de stabilit du film lacrymal appr ci e par la mesure du temps de rupture BUT Break Up Time Or l allergie ocu laire chronique engendre une instabilit lacrymale responsable d une s cheresse oculaire la confusion est donc possible avec une s cheresse oculaire et les deux coexistent d ailleurs souvent Il faut galement voquer une rosa c e oculaire qui donne le m me type de manifestations que la conjonctivite mais en relation avec une obstruction des glandes de Meibomius qui sont res ponsables de la production de la subs tance huileuse qui entre dans la compo sition de la couche lipidique des larmes La couche lipidique tant de moins bonne qualit l vaporation des larmes s intensifie d o des yeux plus secs et le cort ge symptomatique qui va de pair La rosac e oculaire peut s inscrire dans le contexte clinique vocateur d une rosac e cutan e association sur le visage d une couperose de papu les ou pustules et d une hyperh mie avec acc s d rubescence
145. les patients ayant une insuffisance h patique mod r e s v re voir rubrique Posologie et mode d administration Les patients ayant des troubles pr existants de la fonction h patique y compris une h patite chronique active pr sentent une fr quence accrue d anomalies de la fonction h patique au cours d un traitement par association d antr troviraux et doivent faire l objet d une surveillance appropri e Chez ces patients en cas d aggravation confirm e de l atteinte h patique l interruption ou l arr t du traitement devra tre envisag Patients atteints d une h patite chronique B ou C Les patients atteints d une h patite chronique B ou C ettraites par association d antiretroviraux pr sentent un risque accru de d velopper des effets ind sirables h patiques s v res et potentiellement fatals En cas d administration concomitante d un traitement antiviral de l h patite B ou C veuillez consulter le R sum des Caract ristiques du Produit RCP de ces m dicaments Tiumeg contient de la lamivudine qui est une substance active contre l h patite B L abacavr et le dolutegravir ne pr sentent pas cette activit La lamivudine utilis e en monotherapie n est g n ralement pas consid r e comme un traitement ad quat de l h patite B le risque de d veloppement d une resistance du virus de l h patite B tant lev Si Triumeq est utilis chez des patients co nfect s parle virus de l h patite B un traitement antiviral suppl mentai
146. linza doit tre arr t la semaine 24 et le peg interf ron alfa et la ribavirine doivent tre poursuivis pour une dur e totale de 48 semaines Daklinza peg interf ron alfa ribavirine Pour le traitement Daklinza sofosbuvir les donn es relatives une dur e de traitement de 12 semaines sont seulement disponibles chez les patients na fs de traitement infect s par le g notype 1 Pour Daklinza sofosbuvir avec ou sans ribavirine les donn es sont disponibles chez les pa tients ayant une maladie h patique avanc e gt F3 sans cirrhose voir RCP rubriques 4 4 et 5 1 L utilisation recommand e de Daklinza sofosbuvir dans le g notype 4 est bas e sur une extrapo lation partir du g notype 1 Pour un traitement par Daklinza peg interf ron alfa ribavirine les donn es sont disponibles chez les patients na fs de traitement voir RCP rubrique 5 1 La dose de ribavirine en cas d association avec Daklinza est calcul e en fonction du poids 1000 ou 1200 mg respectivement chez les patients lt 75 kg ou gt 75 kg Modification posologique interruption de traitement et arr t n est pas recommand de modifier la posologie de Daklinza pour la prise en charge des effets ind sirables Si l interruption des m dicaments co administr s est n cessaire en raison d effets ind sirables Daklinza ne doit pas tre utilis en monoth rapie Il n y a pas de r gles d arr t de traitement bas es sur la
147. lts Dans cette amp tu Tableau 1 L tude CAPITA objectifs primaires et secondaires Crit re d valuation Prevenar 13 Me 12240 Premier pisode d montr de pneumonie pneumocoque due a un s rotype vaccinal 49 Premier pisode d montr de pneumonie a pneumocoque non bact ri mique et non in vasive due a un s rotype vaccinal 33 Premier pisode d mon tr d infection invasive pneumocoque due un s rotype vaccinal La pneumonie est associ e une importante morbidit et mortalit chez le sujet g de en double aveugle contr l e par placebo les 84 496 volontaires sains ges de 65 ans et plus ont t ran domis s pour recevoir une vaccination par le Prevenar 13 n 42 240 ou par placebo n 42 256 Le critere d valuation principal de l tude CA PITA tait l efficacit du Prevenar 13 en termes de pr vention du premier pisode d montr de pneumonie pneumocoque due un s rotype vac cinal pneumonie TV Dans notre tude nous avons re lev un premier pisode d montr de pneumonie pneumocoque due a un s rotype vaccinal chez 49 personnes du groupe Prevenar 13 contre 90 per sonnes du groupe placebo Tableau 1 Le Prevenar 13 est donc associ a une efficacit significative et cliniquement pertinente pour le crit re d valuation principal de plus de 45 L efficacit du Prevenar 13 par rapport aux cri t res d valuation secon
148. m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via Agence f d rale des m dicaments et des produits de ant Division Vigilance EUROSTATION II Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be 7 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Bristol Myers Squibb Pfizer EEIG Bristol Myers Squibb House Uxbridge Business Park Sanderson Road Uxbridge Middlesex UB8 1DH Royaume Uni 8 NUM RO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH EU 1 11 691 006 12 EU 1 11 691 014 9 DATE DE PREMIERE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT DE UAUTORISATION Date de premi re autorisation 18 Mai 2011 10 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE Juillet 2014 DELIVRANCE Sur prescription m dicale Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site Internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu FA fibrillation auriculaire R f rences 1 ELIQUIS apixaban R sum des Caract ristiques du Produit 2 Granger CB et al N Engl J Med 2011 365 981 992 AA Date de pr paration avril 2015 Code mat riel 432BE15PRO4405 150448 E U S gt Bristol Myers Squibb Pfizer E d piXa Da N la prot ine cationique des osinophiles sa pr sence signe l existence d une at teinte corn enne et en dosant le
149. me s Luxemburger osteotomi ekongress EN Orateur s Prof D Pape Prof R Seil Info med sport chl lu Dimanche 29 11 de 10h 11h30 Porte ouverte au Centre Louis Ganser Lieu Centre Louis Ganser 9 rue Vieille L 3284 Bettembourg Theme s Les recommandations am ricaines actuelles dans le domaine de la pr vention primaire et secondaire des AVC Orateur Prof Dr Dirk W Droste Info www sante public lu E Retrouvez l agenda Semper d taill sur Medi 0 www mediquality net www mediquality lu AGENDA EE semper LUXEMBOURG R dacteur en chef Dr Eric Mertens drmertens dsb lu Secr taire de r daction Francoise Moitroux fmoitroux dsb lu Directrice artistique Nathalie Ruykens nruykens dsb lu Redaction web Celine Buldgen cbuldgen dsb lu Photographe Semper Luc Deflorenne www lucphoto lu Ont collabor amp ce num ro Dr C Bi va Dr A Chioti Dr Dehesbaye Dr J C Lemaire Dr H Kugener Samuel E Werber Production et impression Sacha Design s a r l contact sacha lu Semper Luxembourg est imprime sur du papier certifie issu de la gestion responsable des for ts FSC C017655 www dsb lu Les articles photos dessins et autres illustrations de la partie r dactionnelle de Semper ne comportent pas de pu blicit Les mentions d entreprises ou de produits figurent a titre documentaire Les articles photos et dessins ainsi que les opinions et les publicit s s
150. ment expos s Les patients risque lev devront faire l objet d une troite surveillance Lipodystrophie Les traitements par association d antiretroviraux ont t associ s chez les patients infect s par le VIH une redistribution de la masse grasse corporelle ipodystrophie Les cons quences long terme de ces v nements ne sont actuellement pas connues Le m canisme l origine de ces anomalies n est pas compl tement lucid L hypoth se d une relation entre lipomatose visc rale et inhibiteurs de prot ase P d une part et Ipoatrophie et inhibiteurs nucl osidiques de la transcriptase inverse INT d autre part a t mise Le risque de lipodystrophie est major par des facteurs individuels tels qu un ge plus avanc et par des facteurs li s au traitement tels qu une plus longue dur e du traitement antir troviral avec les anomalies m taboliques qui lui sont associ es L examen clinique doit comporter une valuation des signes physiques de redistribution des graisses Une attention particuli re devra tre port e aux dosages effectu s jeun des lipides plasmatiques et de la glyc mie Les troubles lipidiques devront tre pris en charge en clinique de mani re appropri e voir rubrique Effets ind sirables Atteinte h patique La tol rance et l efficacit de Tiumeq n ont pos t tablies chez les patients pr sentant des troubles de la fonction h patique sousjacents significatifs Tiumeq est contre indiqu chez
151. mococcique Chez les enfants et adolescents g s de 6 17 ans les effets ind sirables les plus fr quents taient Affections du syst me nerveux Fr quent C phal es Affections gastro intestinales Tr s fr quent Diminution de l app tit Frequent Vomissement diarrh e Affections de la peau et du tissu sous cutan Fr quent Eruption cutan e urticaire ou ruption type d urticaire Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tr s fr quent imitabiit ryth me au site de vaccination induration gonflement ou douleur sensibilit au site de vaccination somnolence sommeil de mauvaise qualit sensibilit au site de vaccination dont limitation des mouvements Frequent Fi vre Il est possible que d autres effets ind sirables pr alablement observ s chez des nourrissons et des enfants g s de 6 semaines 5 ans soient applicables cette classe d ge Cependant ils n ont pas t observ s dans cette tude peut tre en raison de la petite taille de l chantillon Informations suppl mentaires dans les populations particuli res Les enfants et les adolescents ayant une dr panocytose une infection VIH ou ayant b n fici d une greffe de cellules souches h matopol tiques pr sentent des fr quences similaires d effets ind sirables except s pour c phal es vomissements diarrh e fi vre fatigue arthralgies et myalgies qui taient tr s fr quents Adultes g
152. mologiques compl men taires qui s av rent n cessaires Les quatre manifestations cardinales de l allergie oculaire correspondent l acronyme PLCER figure 1 ce qui phon tiquement quivaut PLEUR Prurit dont l absence doit faire douter du diagnostic et dont la s v rit est un facteur important de d gradation de la qualit de vie Larmoiement qui est inconstant et non sp cifique et qui se manifeste le plus souvent sous la forme de larmes claires ou de rhinite aqueuse les lar mes tant vacu es par le canal lacry monasal plus rarement sous forme de s cr tions paisses qui t moignent de la gravit de l atteinte mais qui doivent aussi faire voquer d autres diagnostics que la conjonctivite aller gique Edeme le plus souvent palpebral plus ou moins important pouvant aller jusqu a la fermeture complete Figure 1 Signes cardinaux de des paupi res et parfois conjonctival ch mosis visible la lampe fente voire l il nu dans les formes les plus graves Rougeur conjonctivale li e l hyper h mie et la vasodilatation et pou vant aller jusqu un ceil rouge en totalit avec des vaisseaux difficile ment individualisables Ces manifestations cardinales qui sont bilat rales mais pas forc ment d in tensit gale dans les deux yeux en gendrent des plaintes tr s diversement rapport es par les patients d man geaison g ne br lure picotement sensation de gr
153. morbi mortalit chez le sujet g Le nombre annuel de cas de pneumonie est estim 18 2 sur 1000 dans le groupe des 65 69 ans et peut s lever 52 3 sur 1000 chez les personnes de 85 ans ou plus Streptococcus pneumoniae est la cause la plus fr quente de pneumonle chez l adulte et est isol e dans envi ron 35 des cas de pneumonie en Europe Figure 2 l agent causal ne peut toutefois pas tre mis en vidence chez la moiti des patients et il se peut donc que le pourcentage r el d infections S pneumoniae soit encore beaucoup plus lev dans la pratique La pneu monie d bouche sur une hospitali sation dans 27 a 64 des cas et se r v le m me fatale dans environ 10 des cas Pour toutes ces raisons une pr vention efficace de la pneumonie pneumocoque et des infections in vasives pneumocoque constitue une priorit de sant publique La vacci nation active pour la pr vention des infections invasives et de la pneumo nie pneumocoque chez l adulte et le sujet g repr sente une option s dui sante affirme le Professeur Antoni Torres Hospital Clinic of Barcelona Espagne L tude CAPITA Commu nity Acquired Pneumonia Trial in Adults vaccination antipneumococcique chez l adulte Le Professeur Marc Bonten UMC Utrecht Pays Bas a pr sent en sa qualit d investigateur principal les r sultats de l tude CAPITA Commu nity Acquired Pneumonia Immuniza tion Trial in Adu
154. morragie buccale FANV Peu fr quent H matoch zie FANV Peu fr quent tETEV Peu fr quent H morragie rectale h morragie gingivale FANV Fr quent tETEV Frequent H morragie r trop riton ale FANV Rare Affections de la peau et du tissu sous cutan Eruption cutan e FANV Peu fr quent Affections du rein et des voies urinaires H maturie FANV Fr quent tETEV Frequent Affections des organes de reproduction et du sein Hemorragie vaginale anormale h morragie urog nitale FANV Peu fr quent tETEV Peu fr quent Troubles g n raux et anomalies au site d administration Hemorragie au site d administration FANV Peu fr quent Investigations Sang occulte positif FANV Peu fr quent tETEV Peu fr quent L sions intoxications et complications li es aux proc dures Contusion FANV Fr quent tETEV Frequent H morragie traumatique h morragie post proc durale h morragie au site d incision FANV Peu fr quent tETEV Peu fr quent L utilisation d Eliquis peut tre associ e une augmentation du risque de saignement occulte ou ext rioris de tout tissu ou organe ceci pouvant entra ner une an mie post h morragique Les signes les sympt mes et la s v rit varieront en fonction de la localisation et du degr ou de l tendue du saignement D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du
155. mult organe II n est pas possible d un point de vue clinique de d terminer si une r action d hypersensibilit avec Triumeq est li e l albacavir ou au dolut gravir Les reactions ai hypersensibiit ont t observ es plus fr quemment avec l abacavir certaines d entre elles ont mis en jeu le pronostic vital du patient et dans de rares cas ont t fatales lorsqu elles n ont pas t prises en charge de fa on appropri e Le risque de d velopper une r action d hypersensibiit l abacavir est lev chez les patients porteurs de l all le HLA B 5701 Cependant des r actions d hypersensiblit ont t rapport es chez des patients non porteurs de cet all le mais avec une fr quence faible Par cons quent les recommandations suivantes doivent toujours tre respect es Le statut HLA B 5 01 du patient doit toujours tre recherch avant de d buter le traitement Un traitement por Triumeq ne doit jamais tre d but chez les patients ayant un statut HLA B 5701 positif ni chez les patients ayant un statut HLA B 5701 n gatif qui ont pr sent une suspicion de r action d hypersensibilit l abacavir au cours d un traitement pr c dent contenant de l abacavi Le traitement par Triumeg doit tre imm diatement interrompu si une reaction d hypersensibilt est suspect e m me en l absence de l all le HLA B 5701 Retarder l arr t du traitement par Tiumeg apr s l apparition d une r action d hypersensibilit peut entra ner
156. nale l g re clairance de la cr atinine gt 50 ml min Les donn es sont limit es chez les patientes ayant une insuffisance r nale mod r e clairance de la cr atinine lt 50 ml min ou une insuffisance r nale s v re clairance de la cr atinine lt 30 ml min et la s curit d emploi et l efficacit n ont pas t tablies Par cons quent l utilisation de Lynparza n est pas recommand e chez ces patientes insuffisantes r nales Lynparza peut seulement tre utilis chez les patientes ayant une insuffisance r nale mod r e ou s v re si le b n fice l emporte sur le risque potentiel et la fonction r nale de la patiente et les v nements ind sirables devront tre surveill s troitement Patientes avec une insuffisance h patique L effet de l insuffisance h patique sur l exposition Lynparza n a pas t tudi Par cons quent l utilisation de Lynparza n est pas recommand e chez les patientes ayant une insuffisance h patique bilirubin mie sup rieure 1 5 fois la limite sup rieure de la normale car la s curit et l efficacit n ont pas t tablies Pafientes non caucasiennes Les donn es cliniques disponibles chez les patientes non caucasiennes sont limit es Cependant aucune adaptation de la dose n est n cessaire sur la base de l appartenance ethnique voir rubrique Propri t s pharmacocin tiques du RCP Patientes avec un indice fonctionnel compris entre 2 et 4 Les donn es cliniques disponibles son
157. nce avec ses coll gues int ress s et par d finition confront s a la m me probl matique Ce point aussi m rite d tre soulign S curisation et tracabilit mode d emploi Depuis son ouverture en d cembre 2011 la phar macie Uelzechtdallapdikt s est engag e dans une d marche qualit incluant tous les processus de travail au sein de l officine L objectif est de s curiser le circuit des produits pharmaceutiques de la r ception la d livrance aux patients et d am liorer la qualit des actes pharmaceutiques associ s Parmi les domaines d activit concern s le secteur des pr parations magistrales a retenu une attention particu liere au sein de la pharmacie de Monique Lorang L enjeu tait de repenser entierement les pr parations magis trales afin de se conformer aux bonnes pratiques de pr paration en terme de tracabilit mais aussi de g rer au mieux le stock des mati res premi res nous explique Akram Barrak DOSSIER M DICAL ES En avance sur les requis r glementaires Dans un premier temps et sans attendre le M morial en date du 31 d cembre 2012 imposant l laboration d une fiche de pes e les pharmaciens ont donc mis en place une fiche de fabrication un document papier l an cienne reprenant les mati res premi res utilis es lots dates de p remption les pes es effectu es et les interve nants concern s pharmaciens pr parateurs Avant que la pr
158. ndiqu chez les patients pr sentant une atteinte h patique associ e une coagulopathie et un risque de saignement cliniquement significatif voir rubrique 4 3 Il n est pas recommand chez les patients pr sentant une insuffisance h patique s v re Il doit tre utilis avec pr caution chez les patients pr sentant une insuffisance h patique l g re ou mod r e Child Pugh A ou B Aucun ajustement posologique n est n cessaire chez les patients pr sentant une insuffisance h patique l g re ou mod r e Les patients ayant un taux d enzymes h patiques lev ALAT ASAT gt 2 x LNS ou un taux de bilirubine totale gt 1 5 x LNS ont t exclus des tudes cliniques Par cons quent Eliquis doit tre utilis avec pr caution dans cette population Avant initiation du traitement par Eliquis la fonction h patique doit tre valu e Poids corporel tETEV Aucun ajustement posologique n est n cessaire FANV Aucun ajustement posologique n est n cessaire sauf si les crit res de diminution de dose sont atteints voir Diminution de dose au d but de la rubrique 4 2 Sexe Aucun ajustement posologique n est n cessaire Sujets g s tETEV Aucun ajustement posologique n est n cessaire FANV Aucun ajustement posologique n est n cessaire sauf si les crit res de diminution de dose sont pr sents voir Diminution de dose au d but de la rubrique 4 2 Cardioversion FANV Les patients peuvent rester sous apixaban lorsqu il
159. ne Nous n utilisons ni beurre ni cr me juste des huiles crues ou riches en Om ga 3 On a opt pour un po lage sans mati re grasse une cuisson la vapeur et nos sauces EVASION MEF Le bioc algues nous sommes couch e sur une table chauffante le corps enduit de cr me d algues ti de au pouvoir antioxydant et la g n reuse texture Notre hantise tre saucissonn e dans du cellophane Il n en sera rien l enveloppement est ample ouf C est m me un vrai cocon de douceur dans lequel on finira par s assoupir Les affusions manuelles ce protocole exclusif Thermes marins de Saint Malo de 25 est un mode lage g n ral du corps sous une fine pluie d eau de mer chaude r alis par une hydroth rapeute Elle s attarde sur chaque tension de notre corps attentive aux douleurs cervicales et dorsales imputables notamment au travail devant l ordinateur Mais quel bonheur C est bien simple ce soin devrait tre reconnu d utilit publique L affusion dynamique couch e sur une table de massage des jets doux balayent notre corps On pr f re les affusions manuelles de loin plus pr cises Le bain jets une baignoire d eau de mer chaude riche en sels min raux et oligo l ments et des jets qui massent de la plante des pieds aux paules Aromath rapie huiles essentiel les aux vertus d sintox amincissantes relaxantes ou tonifian tes au choix et th rapie par les couleurs compl tent le soin La
160. ne le Dr Boisant par des op rateurs exp riment s et au sein de centres de r f rence en hypertension W Dr Eric Mertens d apres la presentation du Dr Louis Boisante Conference organis e le 10 juin 2015 par l AEPU avec le soutien des laboratoires Servier Informations www aepu lu Semper Luxembourg juillet 2015 INTERVIEW Worldline solutions adaptees services personnalises Le leader europ en de paiements et services transactionnels arrive au Luxembourg avec des offres in dites et un ventail de possibilit s Radu Vasile Pop Country Sales Manager expli que en quoi Worldline change la donne et peut r pondre aux besoins sp cifiques de chaque m decin m decin dentiste et pharmacien Worldline est pr sent en Europe depuis longtemps pourquoi ouvrir un bureau au Luxembourg maintenant Avec plus de 40 ans d exp rience Worldline est le leader en Europe dans le secteur des paiements et des services transactionnels Nous som mes ainsi pr sents depuis de nom breuses ann es dans la plupart des pays europ ens Notre objectif premier en ouvrant un bureau au Luxembourg est la proxi mit Nous sommes persuad s qu en ayant une quipe locale nous pour rons encore mieux r pondre aux de mandes de chaque client prendre en compte tous ses besoins et offrir les solutions les plus adapt es son cas particulier Nous proposons en effet un tr s grand choix de terminaux et de configuratio
161. nelles ont montr une association entre l infarctus du myocarde et la prise d abacavir Les sujets tudi s taient principalement des patients pr alablement trait s par antir troviraux Les donn es issues des essais cliniques ont mis en vidence un nombre limit d infarctus du myocarde et ne permettent pas d exclure une l g re augmentation de ce risque Dans l ensemble les donn es disponibles issues des cohortes observationnelles et des essais randomis s pr sentent un manque de coh rence dans leurs r sultats et de fait ne permettent ni de confirmer ni de r futer un lien de causalit entre le traitement par abacav r et le risque d infarctus du myocarde A ce jour aucun m canisme biologique expliquant une ventuelle augmentation de ce risque n a t identifi La prescription de Triumeq doit s accompagner de mesures visant r duire tous les facteurs de risque modifiables par exemple tabagisme hypertension et hyperlipid mie Ost on crose Bien que l tiologie soit consid r e comme multifactoriele ncluantl utillsation de corticoides des biphosphonates la consommation d alcool une Immunosuppression s v re un indice de masse corporelle lev des cas d ost on crose ont t rapport s en particulier chez des patients un stade avanc de la maladie li e au VIH et ou ayant un traitement par association d antr troviraux au long cours ll est conseill aux patients de solliciter un avis m dical s ils prouvent des do
162. nes Remarque suivre les recommandations posologiques pour le genotype 1a pour les patients infect s par un sous type inconnu du g notype 1 ou par differents sous type du g notype 1 Pour plus d informations concernant les posologies specifiques de dasabuvir et de la ribavirine y compris les modifications de dose se r f rer aux R sum s des Caract ristiques du Produit respectifs Oubli de doses En cas d oubli d une dose de Viekirax la dose prescrite peut tre prise dans les 12 heures Si plus de 12 heures se sont coul es depuis l heure habituelle de prise de Viekirax la dose oubli e NE DOIT PAS tre prise et le patient doit prendre la dose suivante conform ment au sch ma posologique habituel Les patients doivent tre inform s qu ils ne doivent pas prendre une dose double Populations particuli res Co infection par le VIH 1 Suivre les recommandations posologiques pr sent es dans le Tableau 1 Pour les recommandations posologiques concernant les agents antiviraux contre le VIH se r f rer la rubrique 4 4 du RCP Traitement des patients co infect s par le VIH et la rubrique 4 5 Pour des informations suppl mentaires voir la rubrique 5 1 du RCP Patients transplant s h patiques Un traitement par Viekirax et le dasabuvir en association avec la ribavirine est recommand pendant 24 semaines chez les patients transplant s h patiques infect s par un VHC de g notype 1 Viekirax en association avec la ribavirine est recomman
163. nito urinaires py lon phrite trigonite ur thrite infection r nale et prostatite La d pl tion vol mique regroupe par exemple les termes recommand s pr d finis suivants d shydratation hypovol mie hypotension La polyurie inclut les termes pr f r s pollakiurie polyurie augmentation de l excr amp tion urinaire La variation moyenne par rapport la valeur initiale de I h matocrite tait de 2 3 pour la dapagliflozine 10 mg versus 0 33 pour le placebo Des valeurs de l h matocrite gt 55 ont t rapport es chez 1 3 des sujets trait s par dapagliflozine 10mg versus 0 4 des sujets recevant le placebo Un traitement au long cours par la metformine a t associ une r duction de l absorption de vitamine B12 tr s rarement susceptible d entra ner une carence en vitamine B12 cliniquement significative par exemple une an mie m galoblastique Les sympt mes gastro intestinaux tels que les naus es les vomissements les diarrh es les douleurs abdominales et la perte d app tit apparaissent plus fr quemment au d but du traitement et disparaissent spontan ment dans la plupart des cas La variation moyenne en pourcentage par rapport la valeur initiale pour la dapagliflozine 10 mg versus placebo respectivement tait cholest rol total 2 5 versus 0 0 HDL cholest rol 6 0 versus 2 7 LDL cholest rol 2 9 versus 1 0 triglyc rides 2 7 versus 0 7 Rapport s chez gt 2 des sujets et ch
164. ns pr s de 2 500 appels par ann e pourraient d sormais provenir du territoire du Grand Duch La directive europ enne UE 1272 2008 C line Buldgen exige que tout tat membre de l Union europ enne puisse disposer d un Centre Antipoisons au sein de son territoire national Or cette re qu te s est av r e extr mement diffi cile mettre en place au Luxembourg Comme le pr cise Lydia Mutsch a taille r duite du pays emp cherait le fonctionnement d un tel centre 24h sur 24h en sachant qu il serait diffi cile de collecter la somme de rensel gnements n cessaires pour rendre op rationnel un Centre Antipoisons Luxembourgeois La collaboration entre les deux pays amp tait donc indis pensable Concr tement le Centre Antipoisons Belge offrira les services suivants e Une prise en charge des appels t l phoniques concernant les em poisonnements provenant des pro fessionnels m dicaux et ou de la population du Grand Duch du Luxembourg Une tenue jour des donn es re latives aux m dicaments m langes dangereux produits phytopharma ceutiques et biocides pr sents sur le march du Grand Duch du Luxem bourg Les minist res luxembour geois de la Sant et de l Environne ment fourniront ces Informations au centre belge Le Centre antipoisons Belge est d sign comme organisme charg de recevoir les informations sp cifiques concernant la sant au sens de l ar ticle 45 du r glement eu
165. ns diff rentes ce qui permet aussi une personnalisation des services Nous d veloppons les terminaux nous m mes nous propo sons toujours des produits la poin te de la technologie et en parfaite ad quation avec les exigences du Bonjour L tzebuerg Worldline est arriv dans votre r gion Epinglez votre commerce sur la carte avec nos solutions de paiement 0000090 an atos company march Notre quipe locale a ainsi pour objectif de proposer chaque client luxembourgeois la meilleure solution pour son activit Vous mentionnez les exigences du march en pensant vos outils multicanaux Oui mais pas uniquement Il est vi dent qu aujourd hui il faut adopter une approche multicanaux et offrir toutes les solutions qui existent en ce domaine ce que nous faisons bien s r Toute personne veut pouvoir payer travers un large ventail de canaux de paiement par terminal en ligne par t l phone portable mais le commer ant aussi des exi gences de mobilit et de fonctionna lite modulables Nous avons des solutions pour cha que cas de figure Qu il s agisse d un magasin un cabinet ou au domicilie du patient chacun a besoin de dispo sitifs diff rents en plus de connexions fiables et s curis es Pour les pharmaciens Worldline of fre galement d autres outils qui les aident dans la relation avec leurs clients comme des cartes de fid lit ou des cartes cadeaux Nous pou
166. ns un environnement o une assistance m dicale est rapidement accessible Acidose lactique Une acidose lactique associ e habituellement une h patom galie et une st atose h patique a t rapport e apr s administration d analogues nucl osidiques Les sympt mes pr coces hyperlactatemie symptomatique incluent des troubles digestifs benins naus es vomissements et douleurs abdominales une sensation de malaise g n ral une perte d app tit une perte de poids des sympt mes respiratoires respiration rapide et ou profonde ou neurologiques incluant un d ficit moteur L acidose lactique entraine une mortalit lev e et peut tre associ e une pancr atite une insuffisance h patique ou une insuffisance r nale L acidose lactique appara t g n ralement apr s quelques voire plusieurs mois de traitement Le traitement par analogues nucl osidiques devra tre interrompu en cas d hyperlactat mie symptomatique et d acidose m tabolique lactique d hepatomegalie volutive ou d l vation rapide des transaminases L administration d analogues nucleosidiques se fera avec une prudence particuli re chez tous les patients notamment les femmes ob ses ayant une h patom galie une h patite ou tout autre facteur de risque connu d atteinte h patique et st atose h patique y compris certains m dicaments ou l alcool Les patients co infect s par l h patite C et trait s par un interf ron alpha et la ribavirine sont particuli re
167. ntes trait es par Lynparza en monoth rapie Leur fr quence est pr sent e selon la classification CIOMS III Council for International Organizations Of Medical Sciences des fr quences puis list s par Classe de Syst mes d Organes SOC MedDRA et termes pr f r s Les fr quences de survenue des effets ind sirables sont d finies de la facon suivante tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1000 et tr s rare lt 1 10 000 Cette partie inclut uniquement les donn es provenant d tudes termin es pour lesquelles l exposition des patientes est connue Tableau 1 Liste tabul e des effets ind sirables Effets ind sirables Classe de syst mes d organes selon MedDRA Fr quence des effets ind sirables tous grades CTC Fr quence des effets ind sirables de grade CTC 3 et plus Troubles du m tabolisme et de la nutrition Tr s fr quent Diminution de l app tit Peu fr quent Diminution de l app tit Affections du syst me nerveux Tr s fr quent C phal es Sensation vertigineuse Dysqueusie Peu fr quent Sensation vertigineuse C phal es Affections gastro intestinales Tr s fr quent Naus es Vomissements Diarrh e Dyspepsie Fr quent Douleur abdominale haute Stomatite Fr quent Naus es Vomissements Diarrh e Peu fr quent Douleur abdominale haute Stomatite Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tr s fr quent Fatigue y compris a
168. ntes trait es par de et ou des r sultats biologiques d an mie de lymphop nie g n ralement l g re ou mod r e Terminologies Standards pour les Ev nements Criteria for Adverse Events Les patientes ne tant que la toxicit h matologique induite par pas r solue les taux d h moglobine de compris dans l intervalle des valeurs normales initiale de la num ration formule sanguine compl te suivie par une surveillance mensuelle est recommand e au cours des 12 premiers mois de traitement puis de facon p riodique ii z ensuite afin de rechercher des modifications cliniquement significatives de ces param tres ol a d fl D au cours du traitement Si une patiente d veloppe une toxicit h matologique s v re i D el fel te ou un besoin r p t de transfusions sanguines le traitement par Lynparza doit tre interrompu et des examens h matologiques appropri s doivent tre initi s Si les param tres capsules ap Mg sanguins restent cliniquement anormaux apr s 4 semaines d interruption du traitement par Lynparza il est recommand de pratiquer un my logramme et ou une analyse cytog n tique du sang Syndrome my lodysplasique leuc mie aigu my loide Des cas de syndrome my lodysplasique leuc mie aigu my loide SMD LAM ont t C3 N hel her rapport s chez un petit nombre de patientes qui avaient recu Lynparza seul ou en association avec d autres m dicaments anti canc reux la majorit des cas ont t fatals La dur
169. nts d une hepatite chronique B ou C et voir galement la rubrique Effets ind sirables Dysfonctionnement mitochondrial a t d montr que les analogues nucl osidiques et nucl otidiques entrainent in vitro et in vivo des atteintes mitochonaniales plus ou moins s v res Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont t rapport s chez des nourrissons non infect s parle VIH expos s in utero et ou en p riode post natale des analogues nucl osidiques Les effets ind sirables principalement rapport s sont des atteintes h matologiques an mie neutrop nie et des troubles m taboliques hyperlactat mie hyperipas mie Ces effets ind sirables sont souvent transitoires Des troubles neurologiques d apparition tardive ont t rapport s hypertonie convulsions troubles du comportement Le caract re transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n est pos tabli ce jour Tout enfant expos in utero des analogues nucl osidiques ou nucl otidiques y compris les enfants seronegatifs pour le VIH devra faire l objet d un sum clinique et biologique et d un bilan approfondi la recherche d un ventuel dysfonctionnement mitochondrial devant tout signe ou sympt me vocateur Ces donn es ne modifient pas les recommandations actuelles nationales quant lutiisation d un traitement antiretroviral chez la femme enceinte dans la pr vention de la transmission materno fostale du VIH Infarctus du myocarde Des tudes observation
170. o Qu on s y rende pour braver le stress apaiser des tensions se ressourcer o pour soulager des pathologies articulaires et musculaires il y a TINS des DQUVIes toujours une bonne raison de se faire du bien aux Thermes marins du Grand H tel de Saint Malo Cet tablissement historique fraichement r nov peut Tr s tot un de nos m decins de en effet se targuer de plus de 50 ans d expertise au campagne sollicita la cr ation du service du bien tre et de la sant Semper a teste il y poste de m decin des pauvres en a peu une cure mer et remise en forme l cher prise 1787 le docteur Jacques VOGEL assur On respire pleinement la vie L t sera zen demanda sa nomination comme physicien des pauvres de la ville de Vianden en vain puisque ce poste ne fut pas cr de son vivant attitude des autorit s changea avec la r forme de 1841 24 32 Se AVANTAGES Semper Concours Semper Luxembourg vous offre des coffrets 4 CD Reine Elisabeth violon 2015 des exemplaires du DVD The Babadook un film de Jennifer Kent des exemplaires du livre Morsure de Nick Louth et des exemplaires du livre Il tait une fois dans le m tro de Karen Merran 6 2 6 3 IL TAIT LME FOIS DANS LE M TRO VOMISSEMENTS DIARRHEE RISQUE DE DESHYDRATATION Vos patients ont ils a la maison une solution pour viter la d shydratation Probiotical 985 Go t neutre
171. oduction puisse tre lanc e un contr le initial par le pharmacien des mati res premi res et les calculs effec tu s est requis Et la fin de la pr paration un contr le final est effectu permettant ou non la lib ration de la pr paration finale Chaque tape est bien entendu document e et suivant une proc dure bien rod e une copie de l ordonnance ainsi que le ticket de pes e sont jointes la fiche de fa brication permettant d assurer une r activit en cas de besoin rappel de lots des mati res premi res d claration d v nements ind sirables retour d information etc D veloppement impl mentation et formation Parall lement la d finition de ces proc dures la phar macie a ensuite labor un cahier des charges puis lanc un appel d offre trois prestataires informatiques pour la mise en place d une solution logicielle permettant la gestion du secteur des pr parations Akram Barrak Durant plusieurs mois nous avons test les solutions propos es au regard de nos besoins r gle mentaires tra abilit des produits et sp cifiques gestion Semper Luxembourg juillet 2015 DOSSIER M DICAL informatique du stock compatibilit avec les appareils valeur de l investissement service apr s vente Nous avons ensuite opt pour le programme qui r pond au mieux nos besoins Nous avons param tr plus de 600 mati res premi res libell nature de la substance condi
172. ofesseur Saverio Stranges Expert en sant publique m decine pr ventive et pid miologie des maladies chroniques et auparavant professeur la Medical School de l Universit de Warwick en Grande Bretagne il a rejoint l institut au 1 avril 2015 Ensemble avec le Dr Anna Chioti directrice op rationnelle du d partement le Prof Stranges d veloppera une nouvelle strat gie de recherche Celle ci devrait favoriser la coop ration entre les diff rentes unit s de recherche accro tre la reconnaissance du Luxembourg en tant que site de recherche pour le domaine de la sant publique et avoir un r el impact sur les comportements de la population en mati re de sant et d hygi ne de vie Son expertise la sant publique et la m decine pr ventive Apr s des tudes en m decine finalis es en 1996 et l obtention d un doctorat en pid miologie en vironnementale en 2004 en Italie son pays d origine le Prof Stranges a poursuivi sa carriere scientifique a la State University of New York a Buffalo aux Etats Unis Il a ensuite travaill pendant neuf ans en recher che et enseignement la Medical School de l Universit de Warwick en Grande Bretagne avant de rejoindre le D partement de Sant de la Po pulation Department of Population Health du Luxembourg Institute of Health LIH pour un nouveau d fi professionnel Lors de son parcours le Prof Stran ges a acquis de solides connalssan ces en sant publi
173. ommand s et dur e de traitement pour Exviera en fonction de la population de patients Population de patients Traitement Dur e G notype 1b sans cirrhose Exviera ombitasvir paritaprevir ritonavir 12 semaines G notype 1b avec cirrhose compens e Exviera ombitasvir paritapr vir ritonavir ribavirine 12 semaines G notype 1 a sans cirrhose Exviera ombitasvir paritapr vir ritonavir ribavirine 12 semaines G notype 1a avec cirrhose compens e Exviera ombitasvir paritapr vir ritonavir ribavirine 24 semaines voir RCP rubrique 5 1 Remarque suivre les recommandations posologiques pour le g notype 1a pour les patients infect s par un Sous type inconnu du g notype 1 ou par diff rents sous type du g notype 1 Oubli de doses En cas d oubli d une dose d Exviera la dose prescrite peut tre prise dans les 6 heures Si plus de 6 heures se sont coul es depuis l heure habituelle de prise d Exviera la dose oubli e NE DOIT PAS tre prise et le patient doit prendre la dose suivante conform ment au sch ma posologique habituel Les patients doivent tre inform s qu ils ne doivent pas prendre une dose double Populations particuli res Co infection par le VIH 1 Suivre les recommandations posologiques pr sent es dans le Tableau 1 Pour les recommandations posologiques concernant les agents antiviraux contre le VIH se r f rer aux rubriques 4 4 et 4 5 du RCP Pour des informations suppl mentaires voir RCP rubrique
174. ont publi s sous la seule responsabilit des auteurs ou annonceurs Tous droits de traduction d adaptation et de reproduction par quelque proc d que ce soit sont r serv s pour tous pays dsb communication DSB Communication s a Soci t anonyme au capital de 31 000 Adm responsable Dr Corinne Rosman 15 17 avenue Guillaume 1651 Luxembourg Fax 352 26 25 61 63 R C S Luxembourg B 110 223 Autorisation d etablissement N 123743 Chargee de relations Micheline Legrand Tel 352 27 86 01 89 mlegrand dsb lu Directeur general Dr Eric Mertens Tel 352 27 86 01 87 drmertens dsb lu Semper Luxembourg juillet 2015 LE COUP DE PATTE DE SAMUEL INFORMATIONS ESSENTIELLES Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir rubrique Effets ind sirables pour les modalit s de d claration des effets ind sirables 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT Lynparza 50 mg g lules 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque g lule contient 50 mg d olaparib Pour la liste compl te des excipients voir rubrique Liste des excipients du RCP 3 FORME PHARMACEUTIQUE G lule G lule blanche opaque de taille 0 portant la mention OLAPARIB 50 mg et le logo AstraZeneca imprim l encre noire 4 DONNEES CLINIQUES 4
175. ou sans ribavirine un patient a pr sent une diminution d h moglobine de Grade 3 ce patient tait dans le groupe de traitement de la ribavi rine Les anomalies biologiques parmi les patients trait s par Daklinza le peg interf ron alfa et la ribavirine tait similaires celles des patients trait s par placebo le peg interf ron et la ribavirine Population p diatrique La s curit et l efficacit de Daklinza chez les enfants et adolescents g s de moins de 18 ans n ont pas encore t tablies Aucune donn e n est disponible D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via l Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance Eurostation Il Place Victor Horta 40 bo te 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be 7 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Bristol Myers Squibb Pharma EEIG Uxbridge Business Park Sanderson Road Uxbridge UB8 1DH Royaume Uni Repr sentant local du titulaire de l autorisation de mise sur le march BRISTOL MYERS SQUIBB BELGIUM N V 8 NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 14 939 003 EU 1 14 939 004 M dicament sous prescription m dica
176. ozine 10 mg et le placebo Des r actions graves sont survenues chez lt 0 2 des sujets et se sont r parties de mani re quilibr e entre les sujets trait s par la dapagliflozine 10 mg et le placebo voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Vulvovaginite balanite et infections g nitales associ es Des cas de vulvovaginite de balanite et d infections g nitales associ es ont t rapport s respectivement chez 5 5 et 0 6 des sujets ayant re u la dapagliflozine 10 mg et le placebo La plupart des infections taient l g res mod r es et les sujets ont r pondu un traitement standard et ont rarement arr t le traitement par la dapagliflozine Ces infections ont t plus fr quentes chez les femmes 8 4 et 1 2 pour la dapagliflozine et le placebo respectivement et les sujets avec un ant c dent taient plus susceptibles d avoir une infection r currente nfections des voies urinaires Les infections des voies urinaires ont t plus fr quemment rapport es chez les sujets ayant re u la dapagliflozine comparativement au placebo respectivement 4 7 versus 3 5 voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi La plupart des infections taient l g res mod r es les sujets ont r pondu un traitement standard initial et ont rarement arr t le traitement par la dapagliflozine Ces infections ont t plus fr quentes chez les femmes et les sujets ayant un ant
177. parentes Au d part les v nements ind sirables de grade CTC 0 concernaient 90 des patientes et ceux de grade CTC 1 concernaient10 Description d effets ind sirables s lectionn s Les toxicit s gastro intestinales sont fr quemment rapport es lors d un traitement par l olaparib et sont g n ralement de bas grade grade CTCAE 1 ou 2 intermittentes et peuvent tre prises en charge par une interruption du traitement une diminution de la dose et ou un traitement concomitant par exemple un traitement anti m tique Une prophylaxie anti m tique n est pas requise L an mie et les autres toxicit s h matologiques sont g n ralement de bas grade grade CTCAE 1 ou 2 toutefois des v nements ind sirables de grade CTC 3 et plus ont t rapport s La d termination initiale de la num ration formule sanguine compl te suivie par une surveillance mensuelle est recommand e au cours des 12 premiers mois de traitement puis p riodiquement afin de rechercher des changements cliniquement significatifs de ces param tres au cours du traitement qui pourrait n cessiter une interruption ou une diminution de la dose et ou un traitement suppl mentaire Population p diatrique Aucune tude n a t men e chez les patientes p diatriques Autres populations sp ciales Des donn es de s curit limit es sont disponibles chez les personnes g es ge gt 75 ans et les patientes non caucasiennes D claration des effets ind sirables suspect s La d cla
178. ponsables on peut donc s tonner du fait qu il ne soit pas toujours prescrit et r alis en particulier dans les for mes perannuelles La recherche du ou des allerg nes res ponsables se fait par tests cutan s prick tests une m thode simple indolore bien tol r e peu co teuse sensible et dont les r sultats sont reproductibles On a galement souvent recours au do sage sanguin des IgE sp cifiques Il faut se souvenir que sensibilisation syst matique n est pas synonyme d al lergie oculaire ce qui fait que dans 10 a 20 des cas les tests syst miques ne sont pas pertinents Il faut alors envisager une recherche locale en re cherchant dans les larmes la pr sence d osinophile il n y en a normalement pas dans le liquide lacrymal en dosant ELIQUIS LE CHAINON MANQUANT Choisissez ELIQUIS le seul inhibiteur de facteur Xa ayant d montr une r duction sup rieure du risque d AVC embolie syst mique ET significativement moins de saignements majeurs vs warfarine ELIQUIS apixaban un inhibiteur oral direct du facteur Xa indiqu dans la pr vention de l AVC et de l embolie syst mique chez les patients adultes atteints de FA non valvulaire et pr sentant un ou plusieurs facteur s de risque tels que ant c dent d AVC ou d accident isch mique transitoire AIT ge gt 75 ans hypertension art rielle diab te insuffisance cardiaque symptomatique classe NYHA 2 I1 Veuillez consul
179. portante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via Belgique Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION Il Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be Luxembourg Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments Villa Louvigny All e Marconi L 2120 Luxembourg Site internet http www ms public lu fr activites pharmacie medicament index html TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE AbbVie Ltd Maidenhead SL6 4XE Royaume Uni NUM RO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 14 982 001 SUR PRESCRIPTION DATE DE REVISION DU TEXTE 01 2015 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu VW Ce m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir RCP rubrique 4 8 pour les modalit s de d claration des effets ind sirables D NOMINATION DU M DICAMENT Exviera 250 mg comprim pellicul COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim pellicul contient 250 mg de dasabuvir
180. pr vir ritonavir Aucune augmentation de l incidence d l vations des ALAT n a t observ e avec les autres types d oestrogenes syst miques couramment utilis s dans le traitement hormonal substitutif par exemple estradiol et strog nes conjugu s De mani re g n rale les l vations des ALAT ont t asymptomatiques sont survenues au cours des 4 premi res semaines de traitement d lai moyen 20 jours intervalle 8 57 jours et se sont r solues dans la plupart des cas avec la poursuite du traitement Deux patients ont arr t le traitement par Exviera et l ombitasvir paritapr vir ritonavir en raison de taux lev s des ALAT dont une patiente prenant de l ethinylestradiol Trois patients ont interrompu le traitement par Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir pendant un sept jours dont une patiente prenant de l ethinylestradiol Dans la majorit des cas ces l vations des ALAT ont t transitoires et valu es comme tant li es Exviera et l ombitasvir paritapr vir ritonavir Les l vations des ALAT n taient g n ralement pas associ es des l vations de la bilirubine La cirrhose n tait pas un facteur de risque d l vation des ALAT voir RCP rubrique 4 4 l vations des taux s riques de bilirubine Des l vations transitoires des taux s riques de la bilirubine majoritairement indirecte ont t observ es chez les patients trait s par Exviera et l ombitasvir paritaprevir ritonavir ave
181. pu Traitement Dur e lation de patients G notype 1 ou 4 sans Daklinza sofosbuvir 12 semaines cirrhose Une prolongation de la dur e de traitement jusqu 24 semaines est envisager pour les patients ayant t trait s par une anti pro t ase NS3 4A voir RCP rubriques 4 4 et 5 1 24 semaines Une dur e du traitement plus courte de 12 semaines peut tre envisag e chez les pa tients naifs de traitement cirrhotiques et ayant des facteurs pr dictifs de bonne r ponse tels que IL28B CC et ou une charge virale basse l initiation du traitement L ajout de la ribavirine est envisager chez les patients avec une maladie h patique avanc e ou ayant des facteurs pr dictifs de mauvaise r ponse tels que l chec un pr c dent traitement 24 semaines G notype 1 ou 4 avec Daklinza sofosbuvir cirrhose compens e Daklinza sofosbuvir ribavirine G notype 3 avec cirrhose compens e et ou en chec un pr c dent traitement G notype 4 24 semaines de Daklinza en association avec le peg interf ron alfa et la ribavirine pendant 24 48 semaines Si le patient pr sente un taux d ARN du VHC ind tectable la fois aux semaines 4 et 12 du traitement les 3 m dicaments du traitement doivent tre poursuivis pendant une dur e de traitement de 24 semaines Si le patient a une charge virale ind tectable mais que l ARN VHC est d tectable aux semaines 4 ou 12 du traitement Dak
182. puisse faire des cono mies sans que cela se ressente sur la qualit des services Ajoutons qu en plus du large choix de terminaux et de solutions adaptables notre package de service et de sup port technique est int gr Nos clients nous voient comme un partenaire fia ble et s r et ils appr cient les avanta ges que nous leur offrons De m me ils savent que nous serons l long terme Worldline poss de une exp rience in gal e de 40 ans dans le secteur des paiements et cela au niveau europ en U Choisir Worldline c est avoir ses c t s une quipe fiable et forte de 40 ans d exp rience dans le domaine des paiements lectroniques Durables et de qualit les terminaux Worldline acceptent toutes les cartes et auront de nouvelles interactions avec vos clients Pachat ou en location vous de choisir Contactez nous 352 26 029 505 info luxembourg worldline com Surfez sur masolutiondepaiement lu Maestro Master ard a DISC VER American 01177107 PAY Mister Cash Diners Club ERE worldline e payment services RECHERCHE Rubrique sous la direction du Dr Chioti responsable du Centre d Investigation et d Epid amp miologie Clinique au LIH Le d partement de Sant de la Population un nouveau directeur scientifique pour un nouvel lan Le Luxembourg Institute of Health vient d accueillir son nouveau directeur scientifigue du Departement de Sant de la Population le pr
183. que et m decine pr ventive en particulier dans le do maine de l pid miologie des mala dies cardiovasculaires et chroniques Il a conduit de nombreuses tudes scientifiques sur les habitudes ali mentaires les cons quences de la consommation d alcool sur la sant le r le des oligo l ments comme le s l nium dans la pr vention des ma ladies cardio m taboliques ou encore l effet des troubles du sommeil sur l tat de sant Il s int resse gale ment la recherche en sant publi que un niveau global Ainsi a t il contribu des projets sur les ma ladies chroniques dans des pays en voie de d veloppement au sein d un r seau de recherche pour l Afrique sub Saharienne Jusqu pr sent le Prof Stranges a publie plus de cent articles scientifi ques revues et chapitres de livres et a recu un nombre de prix internatio naux dans le domaine de la recherche Ma premi re initiative sera de mettre en place un programme de formation pour les doctorants autour du th me du vieillissement en bonne sant d voile le Prof Stranges cardiovasculaire Sa recherche a main tes fois retenu l attention des m dias nationaux et Internationaux Son choix le paysage de recherche dynamique du Luxembourg Pour une nouvelle tape dans sa car ri re le Prof Stranges tait la re cherche d un poste avec davantage de responsabilit s manag riales mais plus de libert scientifique Quand je me
184. qui se tenait cette an n e Copenhague quelques experts de renom ont donn un aper u des toutes nouvelles donn es de l impact de la vaccina tion antipneumococcique dans une population p diatrique et dans une population adulte Efficacit de la vaccination antipneumococcique chez l enfant Streptococcus pneumoniae est la cause la plus r pandue de maladies infectieuses bact riennes s v res dans le monde Selon une estimation de l OMS les infections pneumocoque sont responsables chaque ann e du deces de 1 4 million d enfants Apres l introduction dans le calen drier vaccinal p diatrique du vaccin polysaccharidique conjugu 7 valent Prevenar en 2000 et du vaccin polysaccharidique conjugu 13 va lent Prevenar 13 en 2009 une baisse marqu e des infections inva sives pneumocoque a t obser v e chez les enfants de moins de 2 ans La vaccination avec un vaccin pneumococcique conjugu r duit le portage nasopharyng carriage des s rotypes pneumococciques pr sents dans le vaccin appel s s rotypes vaccinaux Cette baisse de pr valen ce du portage induit galement une diminution importante des infections pneumocoque caus es par les s ro types vaccinaux dans d autres grou pes d ge en raison de la transmis sion limit e des s rotypes vaccinaux Cet effet indirect de la vaccination par le vaccin conjugu chez les jeu nes enfants a t observ dans di vers pays et est a
185. r exemple la mise en place d une cohorte nationale d enfants servant a evaluer les facteurs de risques cardio m taboliques d s le jeune ge Avec une telle cohorte le Luxembourg pourrait rejoindre des tudes euro p ennes comme l tude IDEFICS identification and prevention of dietary and lifestyle induced health effects in children and infants qui implique d j sept pays europ ens La communication des travaux de recherche au grand public est gale ment tr s importante pour le nouveau directeur Les sujets de sant publi que sont des sujets tr s attrayants et pas trop compliqu s vulgariser souligne t il La communication est essentielle pour sensibiliser une meilleure hygi ne de vie permettant de pr server durablement la sant Dans l avenir le d partement sera plus proactif en mati re de commu nication et de promotion de la culture scientifique Le Prof Stranges est confiant que les futurs r sultats de recherche auront un r el impact socio conomique et pourront influer sur les comporte ments de sant et les styles de vie de la population Mi Eperzan albiglutide gt Semper Luxembourg juillet 2015 HISTOIRE DE LA M DECINE Les m decins des pauvres du Luxembourg Tres t t un de nos m decins de campagne sollicita la cr ation du poste de m decin des pauvres en 1787 le docteur Jacques VOGEL demanda sa nomination comme physicien des pauvres de la ville de
186. r les pr parations magistrales une proc dure informatique permettant de tracer toute mati re premi re entrante avec dition d un num ro de lot sp cifique Un syst me qui permet pour toute pr paration sortant de la pharmacie d identifier la date d entr e des mati res premi res l origine le num ro de lot mais aussi les donn es de pes e le pr parateur responsable de la pr paration le pharmacien qui l a va lid e la date de d livrance au patient ou encore le nom du m decin prescripteur Une r ponse mod le une obligation l gale Cette tra abilit est impos e toutes les pharmacies luxembourgeoises depuis fin 2012 La sp cificit de la d marche de la pharmacie d Hesp range est d avoir combin un suivi informatique de l entr e la sortie une gestion de stock ce qui allait au del de l exigence r glementaire Monique Lorang tait important pour nous de pou voir anticiper d une facon syst matique les commandes de mati res brutes en fonction de la consommation du stock Au final le projet que nous d crivons plus avant dans cet article est donc interessant a plus d un titre Il montre en effet une fois de plus l engagement soci tal des phar maciens de terrain Luxembourg qui comme souvent s adaptent a des demandes sp cifiques du l gislateur pour d velopper des solutions novatrices et confrater nelles Car videmment Monique Lorang est pr te partager son exp rie
187. r rapport aux patients sous placebo e Le nintedanib a r duit de mani re significative le risque d exacerbations aig es confirm est de 68 dans l ensemble des donn es combin es e Le nintedanib a montr un avan tage significatif par rapport au pla cebo du point de vue de la modifi cation du score total au SGRQ dans INPULSIS 2 mais pas de difference significative entre les deux groupes dans INPULSIS 1 Source Communiqu des laboratoires Boehringer Ingelheim R f rences RCP Ofev pr sentations ATS 2015 et r f rences fournies dont e Richeldi L et al Efficacy and Safety of Nintedanib in Idiopathic Pulmonary Fibro sis N Engl J Med 2014 370 2071 82 e Selman M et al Idiopathic pulmonary fi brosis prevailing and evolving hypotheses about its pathogenesis and implications for therapy Ann Intern Med 2001 134 136 Si e Hilberg F et al BIBF 1120 triple angio kinase inhibitor with sustained receptor blockade and good antitumor efficacy Cancer Res 2008 68 4774 4782 Semper Luxembourg juillet 2015 ACTU 2 a _ Bandagistes orthopedistes versus pharmaciens Au Grand Duch les soins orthop diques sont bien rembours s pour les patients Mais ils co tent anormalement cher la C N S En cause des interventions largement insuffisantes en pharmacie et un syst me de remboursement d s quilibr au seul b n fice des bandagistes orthop distes La soci t OrthoMedix essaie de
188. raitement de premi re ligne fait ap pel aux changes plasmatiques et cor ticoides Le rituximab et l culizumab sont deux options consid rer en cas de non r ponse une premi re ligne et dans les formes graves rapidement vo lutives Un diagnostic et un traitement pr coce sont la cl du succ s W R f rences 1 Deroux A et al Rev Med Int 2015 in press 2 Veyradier A et al Med Sci 2011 27 1097 105 3 Froissart A et al Crit Care Med 2012 40 104 11 4 Schmidtko J et al Am J Kidney Dis 2013 Feb 61 2 289 99 5 Noone D et al Am J Transplant 2012 Sep 12 9 2546 53 Cas clinique Un purpura thrombotique thrombocytop nique r fractaire Ce patient de 64 ans avec des ant c dents de diab te et d hypertension pr sente une faiblesse gauche des crises pileptiques et des c phal es La s rologie virale VIH VHB VHC est n gative L h moglobine est 9 gr dL les plaquettes a 13K UL les LDH 954 IU L l haptoglobine est lt 30 mg dL et l eGFR 50 Au frottis on d tecte 4 5 schizocytes champ L activit ADAMTS13 est lt 5 avec un taux d inhibiteurs de 1 1 BU Le C4 est in ferieur 10 mg dL et le taux de C3 est abaiss 75 3 mg dL Le patient est trait par prednisone per os 1 mg kg j et 6 changes plasmatiques suivis de rituximab 375 mg Au vu de complications neurologiques et de l aggrava tion clinique de sa microangiopathie il est mis sous culizumab 900 mg avec dans les heu
189. raitement par l abacavi tr s rarement des r actions ont galement t observ es chez des patients pour lesquels le traitement a t r introduit alors qu ils ne pr sentaient au pr alable aucun sympt me d hypersensibiit c est dire des patients pr c demment consid r s comme tol rants l abacavir Acidose lactique Des cos d acidose lactique parfois fatals associ s g n ralement une h patom galie importante et une st atose h patique ont t observ s apr s administration a analogues nucl osidiques voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Lpoaystrophie Les traitements par association d antiretroviraux ont t associ s chez les patients infect s par le VIH une redistribution de la masse grasse corporelle lipodystrophie incluant une perte du tissu adipeux sous cutan p riph rique et facial une augmentation de la masse grasse intro clodominale et viscerale une hypertrophie mammaire et une accumulation de la masse grosse au niveau t tro cervical bosse de bison Anomalies m taboliques Les traitements par association d antir troviraux ont t associ s des anomalies m taboliques telles que des hypertigiyc rid mies hypercholest rolemies r sistances l insuline hyperglyc mies et hyperlactat mies voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Ost on crose Des cas d ost on crose ont t rapport s en particulier chez des patients pr sentant des facte
190. ralement au cours des six premi res semaines de traitement par l abacavir le d lai m dian de survenue est de 11 jours bien que ces r actions puissent survenir tout moment au cours du traitement La quasi totalit des r actions d hypersensibilit abacavir comporte de la fi vre et ou une ruption cutan e Les autres signes et sympt6mes observ s dans le cadre de r actions d hypersensibilt l abacavir sont d taill s dans la rubrique Effets ind sirables Description de certains effets ind sirables notamment les sympt mes respiratoires et gastro intestinaux Attention de tels sympt mes peuvent conduire une erreur diagnostique entre r action d hypersensibilit et affection respiratoire pneumonie bronchite pharyngite ou gastro ent rite Les sympt mes li s cette r action d hypersensibiit s aggravent avec la poursuite du traitement et peuvent menacer le pronostic vital Ces sympt mes disparaissent g n ralement l arr t du traitement par l abacavir Dans de rares cas des patients qui avaient arr t un traitement par l abacavir pour des raisons autres que des sympt mes de r action d hypersensibiit ont galement pr sent des r actions mettant en jeu le pronostic vital dans les heures suivant la r introduction d un traitement par l abacavir voir rubrique Effets ind sirables Description de certains effets ind sirables La reprise de l abacavir chez ce type de patients doit tre effectu e da
191. ration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via le syst me national de d claration voir d tails ci dessous Belgique Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION II Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be Luxembourg Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments Villa Louvigny All e Marconi L 2120 Luxembourg Site internet http www ms public lu fr activites pharmacie medicament index html 5 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH AstraZeneca AB SE 151 85 S dert lje Su de 6 NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH EU 1 14 959 001 7 STATUT LEGAL DE DELIVRANCE M dicament soumis prescription m dicale 8 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 12 2014 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu A D livr et prise en charge 100 en milieu hospitalier Ast ra Zene ne 1 Ledermann J et al Lancet Oncol 2014 15 852 861 NS Approval ID 799105 Revision date 06 2015 A Pradaxa dabigatran etexllate
192. re est par consequent g n ralement n cessaire Il convient de se r f rer aux recommandations th rapeutiques Si le traitement par Tiumeq est interrompu chez des patients co infect s par le virus de l h patite B VHB il est recommande de proc der une surveillance r guli re de la fonction h patique et des marqueurs de la r plication du VHB l interruption de la lamivudine pouvant entrainer une exacerbation s v re de l h patite L abacavir et la ribaviine partageant les m mes voies de phosphorylation une interaction intracellulaire entre ces deux m dicaments n est pas exclue celle ci pourrait conduire une diminution des m taboltes phosphoryi s intracellulaires de la ribaviine et donc potentiellement une reduction des chances d obtenir une r ponse virologique soutenue RVS pour l h patite C VHC chez des patients co infect s par le VHC et trait s par association interferon p gyl roaviine RBV I existe dans la litt rature des donn es cliniques contradictoires sur la co administration de l abacavir et de la nloavirine Certaines donn es sugg rent que des patients co nfect s parle VIH et le VHC recevant un traitement antiretroviral contenant de l clacavir peuvent pr senter un risque de diminution de la r ponse au traitement par interferon p gyl rioavirine La co administration de m dicaments contenant de l abacavir et de la ravine devra se faire avec une prudence particuli re Syndrome de restauration immunitaire Chez le
193. res qui suivent une am lioration de ses plaquettes de 8 K uL 21 K uL puis 47 K uL 12 heures plus tard Apr s une deuxi me dose les plaquettes sont 117 K UL et continuent de s lever Platelets Bm 711 76 45 FF I 113 Figure 2 Platelet trend over the days Days gt L culizumab 900 mg est poursuivi 1x semaine pendant 4 semaines L acti vit ADAMTS13 remonte 75 L culizumab est conserv jusqu normalisation de tous les autres param tres LDH C3 C4 Pourquoi l culizumab Les changes plasmatiques sont la pierre angulaire du traitement du PTT l inhibition du compl ment par l culizumab est le traitement de choix du SHUa Chez ce patient le choix s est port sur l culizumab en postulant un PTT avec un dysfonction nement de la voie alterne du compl ment qui ne semble pas sp cifique du SHUa2 A signaler que l arr t de l culizumab a t associ une r cidive du PTT et le traitement a d tre repris jusqu normalisation C est le premier cas de PTT confirm qui est trait avec succ s par l culizumab avec une r mission persistante au del de 3 mois apr s arr t du m dicament R f rences 1 Kaur H et al ASH 2014 2794 2 Sinkovits G etal Prilozi 2077 351 115 22 FOCUS EM Vaccination antipneumococcique quelles nouvelles a t on pu glaner dans le cadre de l ECCMID 2015 A l occasion du 25 European Congress of Clinical Microbio logy and Infectious Diseases ECCMID
194. ression de la maladie quel que soit le degr d alt ration de la fonction pulmonaire des patients c d CVF gt 90 de la va leur th orique ou lt 90 de la valeur th orique Les patients un stade pr coce de la maladie ont b n fici du traitement par nintedanib de la m me mani re que les patients un stade plus avanc de la maladie ment et renforcent sa valeur pour les patients atteints de FPI Autres donn es Deux autres r sum s d tude ont t pr sent s lors de la conf rence com prenant e Une analyse de l extension en ouvert de la phase Ill des essais INPULSIS INPULSIS ON NCT01619085 r su m n A1020 qui a confirm le profil de s curit et de tol rance accepta bles du nintedanib chez des pa tients expos s au nintedanib pour une dur e allant jusqu 33 mois e Une analyse post hoc des es sais INPULSIS NCTO1335464 et NCTO1335477 r sum n A1022 qui a montr l effet syst matique de nintedanib sur la r duction de la vitesse annuelle de d clin de la CVF une mesure de la progression de la maladie chez des patients pr sentant diff rents sch mas radiologiques ini tiaux la condition qu ils remplissent les crit res de diagnostic de la FPI n cessaires pour participer a l essal Principaux r sultats e Le nintedanib a ralenti la progres sion de la maladie en cas de FPl en r duisant le d clin annuel de la fonc tion pulmonaire de 50 pa
195. rieren F r die St dte ist das System der Armen rzte vorzuziehen da die Zahl der Aerzte stets erheblich zunimmt Allerdings m te da zur Bedingung gestellt werden da eine gen gende Anzahl von Armen rzten angestellt und dass die Funktionen eines jeden auf eine gewisse Anzahl von Jahren beschr nkt w rde Die ses deshalb da alle Aerzte die es w nschen daran kommen und da man diejenigen entfernen k nne die bei ihrer Amtswaltung nicht den geh rigen Flei an den Tag legen Luxemburger Wort du 21 8 1905 Voici quelques exemples tir s de la presse locale Ettelbr ck 11 Juni Ein besonderer Armenarzt wurde nicht mehr ernannt Statt dessen wurden 600 Fr f r Ar menbesuche f r die verschiebenen rzte votiert es bleibt also den Ar men frei sich einen Arzt zu w hlen Luxemburger Wort du 12 6 1907 im Sanit tsbericht des Kantons Lu xemburg heisst es In den einzelnen Gemeinden ist teils ein Arzt oder zwei angestellt teils besteht f r die Armen pflege freie rztewahl Luxemburger B rgerzeitung du 2 11 1912 Le principe du libre choix du m decin devint ce point important aux yeux de la population que les offices so claux abandonnaient peu peu leur politique restrictive et vous remettaient un billet vous autorisant a consulter le m decin de votre confiance Qui plus est pour pargner au malade le d tour par le bureau de l office social des lis tes circulaient num rant les
196. riph rique fatigue pyrexie Investiga tions Frequent anomalies des tests de la fonction h patique augmentation du taux sanguin de la cr atine phosphokinase Peu fr quent leucocyturie Comme avec les autres inhibiteurs de HMG CoA r ductase des augmentations du taux s rique des transaminases ont t rapport es chez des patients recevant Lipitor Ces modifications ont t habituellement l g res et transitoires et n ont pas n cessit d interruption du traitement Des augmentations cliniquement significatives gt 3 fois la limite sup rieure de la normale du taux des transaminases s riques ont t observ es chez 0 8 des patients trait s par Lipitor Ces augmentations taient dose d pendantes et r versibles chez tous les patients Une augmentation du taux s rique de la cr atine phosphokinase CPK de plus de trois fois la limite sup rieure de la normale a t observ e chez 2 5 des patients sous Lipitor proportion similaire celle observ e avec les autres inhibiteurs de HMG CoA r ductase au cours d tudes cliniques Des taux s riques sup rieurs dix fois la limite sup rieure de la normale ont t constat s chez 0 4 des patients trait s par Lipitor voir rubrique 4 4 Population p diatrique La base de donn es clinique de pharmacovigilance comprend des donn es de s curit pour 249 patients p diatriques ayant re u de l atorvastatine parmi lesquels 7 patients taient g s de moins de 6 ans 14 patien
197. rique Affections oculaires Peu fr quent vision floue Rare troubles visuels Affections de l oreille et du labyrinthe Peu fr quent acouph nes Tr s rare perte d audition Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Fr quent douleur pharyngolaryng e pistaxis Affections gastro intestinales Fr quent constipation flatulences dyspepsie naus es diarrh e Peu fr quent vomissements douleurs abdominales hautes et basses ructation pancr atite Affections h patobiliaires Peu fr quent h patite Rare cholestase Tr s rare insuffisance h patique Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent urticaire ruption cutan e prurit alop cie Rare oed me angioneurotique dermatose bulleuse dont ryth me polymorphe syndrome de Stevens Johnson et syndrome de Lyell Affections musculo squelettiques et du tissu conjonctif Fr quent myalgies arthralgies douleur des extr mit s spasmes muscu laires gonflement des articulations douleur dorsale Peu fr quent douleur cervicale fatigue musculaire Rare myopathie myosite rhabdomyolyse tendinopathie parfois compliqu e d une rupture Fr quence ind termin e myopathie n crosante m diation auto immune voir la rubrique 4 4 Affections des organes de reproduction et du sein Tr s rare gyn comastie Troubles g n raux et anomalies au site d administration Peu fr quent malaise asth nie douleur thoracique oed me p
198. rmations se r f rer la version compl te du RCP CONCOURS Que la gr ce soit avec vous Le coffret 4 CD Concours Musical International Reine Elisabeth c est un r v lateur de talents Une invitation couter ceux et celles qui arpenteront les grandes sc nes de demain dont la violoniste cor enne Lim Ji Young laur ate de cette dition 2015 etenez bien ce nom Lim Ji Young A tout juste 20 ans elle vient de remporter le Concours Reine Elisa beth 2015 consacr au violon apr s avoir s duit le jury avec une interpr tation magistrale du Concerto en r majeur op 77 de Johannes Brahms Elle tait accompagn e de l Orchestre National de Belgique plac sous la direction de Marin Alsop Les deuxi me et troisi me prix ont t attribu s respectivement l Ukrainien Oleksii Semenenko et l Am ricain William Hagen Tobias Feldmann Allemagne Stephen Waarts Etats Unis et Mohri Fumika Japon compl tant le tableau Evy Werber des six laur ats du Concours Le coffret 4 CD reprend des extraits des prestations des six laur ats dans les concertos avec orchestres et leurs prestations de musique de chambre en demi finales Une place dans le coffret est galement r serv e aux coups de coeur choisis par Les Six parmi les in terpr tations des laur ats 2015 La prochaine dition du Concours Reine Elisabeth qui aura lieu en mai 2016 sera consacr e au piano U Coffret 4 CD Concours Musical Int
199. rop en UE 1272 2008 A noter galement que le Centre Antipoisons Belge tiendra jour une liste de quels antidotes ou contre poisons sont disponibles dans quels h pitaux luxembourgeois M Source http www sante public lu Pour cette aide le Luxembourg a vers 198 000 euros au Centre Antipoisons Belge La convention a t sign e pour une dur e de 5 ans et est renouvelable uniquement en cas d accord des deux parties MEETING EMB Le Dr Marianne Caflisch m decin adjointe et responsable de la consultation des adolescents au service de p diatrie g n rale des H pitaux Universitaires de Gen ve HUG tait l invitee de la Soci t Luxembourgeoise de P diatrie Elle a abord les plaintes fonctionnelles a l adolescence lors d une conf rence qui s est tenue ce 12 juin 2015 a la KannerKlinik CHL Apercu Constats Les plaintes fonctionnelles se d cli nent sous diff rentes appellations somatisation troubles somatofor mes sympt mes flous plaintes psychosomatiques Le Dr Marianne Caflisch explique Ces manifesta tions sont ressenties par le patient comme tant des maladies r elles et pour lesquelles la m decine ne peut rapporter une pathologie or ganique Les plaintes fonctionnelles sont fr quentes g n ralement tran sitoires et parfois chroniques Selon C line Buldgen une grande tude suisse SMASH 2002 r alis e sur plus de 10 000 adolescents au sein de
200. rt celle constat e chez les patients dont la fonction r nale tait normale Insuffisance h pa tique Spedra est contre indiqu chez les patients atteints d insuffi sance h patique s v re Child Pugh classe C voir rubriques 4 3 et 5 2 du RCP Les patients pr sentant une insuffisance h pa tique l g re mod r e Child Pugh classe ou B doivent com mencer le traitement avec la dose efficace minimale et ajuster la po sologie en fonction de la tol rance Utilisation chez l homme souffrant de diab te Aucun ajus tement posologique n est n ces saire chez les patients diab tiques Population p diatrique n y a pas d utilisation justifi e de Spedra dans la population p dia trique dans l indication de dys fonction rectile Utilisation chez les patients prenant d autres m dicaments Utilisation _concomi tante d inhibiteurs du CYP3A4 La co administration de avanafil avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 notamment les suivants k toconazole ritonavir atazanavir clarithromycine indinavir itraco nazole n fazodone nelfinavir sa quinavir et telithromycine est contre indiqu e voir rubriques 4 3 4 4 et 4 5 du RCP Chez les patients recevant un traitement concomitant par des inhibiteurs mod r s du CYP3A4 notamment les suivants rythromycine am prenavir apr pitant diltiazem fluconazole fosampr navir et v rapamil la dose maximale d avanafil recommand e ne
201. rt rielle r sistante Un diagnostic que l on ne peut poser qu apr s une s rieuse introspection th rapeutique L hypertension art rielle r sistante est un sujet la fois simple et compliqu pr cise d embl e le Dr Boisant qui profite de l occasion pour rappeler la signification des clas ses de recommandations et les niveaux d vidence qui accompagnent les gui delines mais dont on oublie parfois de tenir compte voir encadr De quoi parlons nous Pour consid rer que l on a affaire une hypertension art rielle r sistante trois conditions doivent tre remplies Premi rement l incapacit atteindre les valeurs tensionnelles cibles c est dire l incapacit atteindre le but du traitement La deuxi me condition est que les patients soient compliants et respectent les recommandations d hy gi ne de vie qui lui sont prodigu es Cette compliance est videmment un l ment important du dialogue et de la prise en charge du malade Enfin la troisi me condition pour que l on puisse parler d hypertension art rielle r sistante est que le patient soit trait de fa on optimale par trois m dica ments de classe th rapeutique diff rente dont un diur tique et ce des doses optimales c est dire au moins 50 de la dose maximale Bonnes pratiques au cabinet En ce qui concerne la mesure de la pression art rielle le Dr Boisant rap pelle qu en consult
202. s Affections de la peau et du tissu sous cutan Tr s fr quent Prurit Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tres fr quent Asth nie Fatigue Tableau 3 Effets ind sirables identifi s avec Exviera en association avec l ombitasvir paritapr vir ritonavir N 588 Affections de la peau et du tissu sous cutan Frequent Prurit L ensemble des donn es inclut tous les patients infect s par un VHC de g notype 1 des phases 2 et 3 des essais y compris les patients cirrhotiques Remarque pour les anomalies biologiques se r f rer au Tableau 4 Description de certains effets ind sirables Anomalies biologiques Les variations de certains param tres biologiques sont d crites dans le Tableau 4 Un tableau entr es parall les simplifie la pr sentation une comparaison directe entre les essais n tant pas possible au vu des diff rents sch mas d tude Voir le RCP pour le tableau complet l vations des taux s riques d ALAT Dans une analyse combin e des tudes cliniques d Exviera et de l ombitasvir paritaprevir ritonavir avec et sans ribavirine 1 des patients ont pr sent des taux s riques d ALAT sup rieurs 5 fois la limite sup rieure de la normale LSN apr s le d but du traitement L incidence de ces l vations ayant t de 26 chez les femmes prenant des m dicaments concomitants contenant de l ethinylestradiol ces m dicaments sont contre indiqu s avec Exviera et l ombitasvir parita
203. s e aux contrain tes de tra abilit et de la qualit des pr parations W Dr E Mertens d apr s un entretien avec Monique Lorang et Akram Barrak Reduction puissante du LDL C Protection CV DENOMINATION DU MEDICAMENT Lipitor 10 mg comprim s pellicul s Lipitor 20 mg comprim s pellicules Lipitor 40 mg comprim s pellicul s Lipitor 80 mg comprim s pellicul s COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim pellicul contient 10 mg 20 mg 40 mg ou 80 mg d atorvastatine sous forme d atorvastatine calcique trihydratee Excipients effet notoire Chaque comprim pellicul de Lipitor 10 mg contient 27 25 mg de lactose monohydrat Chaque comprim pellicul de Lipitor 20 mg contient 54 50 mg de lactose monohydrat Chaque comprim pellicul de Lipitor 40 mg contient 109 00 mg de lactose monohydrat Chaque comprim pellicul de Lipitor 80 mg contient 218 00 mg de lactose monohydrate Pour la liste complete des excipients voir rubrique 6 1 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim pellicul Lipitor 10 mg comprim s pellicules blancs et ronds avec la mention 10 grav e sur une face et ATVsur l autre Lipitor 20 mg comprim s pellicul s blancs et ronds avec la mention 20 grav e sur une face et ATV sur l autre Lipitor 40 mg comprim s pellicul s blancs et ronds avec la mention 40 grav e sur une face et ATV sur l autre Lipitor 80 mg comprim s pellicul s blancs et ronds
204. s 4 8 et 5 1 Patients transplant s h patiques Un traitement par Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir en association avec la ribavirine est recommand pendant 24 semaines chez les patients transplant s h patiques Une dose plus faible de ribavirine l instauration du traitement peut tre appropri e Dans l tude men e chez des patients transplant s h patiques la posologie de la ribavirine tait individualis e et la plupart des patients recevaient 600 800 mg par jour voir RCP rubrique 5 1 Pour les recommandations posologiques concernant les inhibiteurs de la calcineurine se r f rer la rubrique 4 5 du RCP Sujets ag s Aucun ajustement posologique d Exviera n est recommand chez les patients g s voir RCP rubrique 5 2 Insuffisance r nale Aucun ajustement posologique d Exviera n est n cessaire chez les patients atteints d insuffisance r nale l g re mod r e ou s v re voir RCP rubrique 5 2 Insuffisance h patique Aucun ajustement posologique d Exviera n est n cessaire chez les patients avec une insuffisance h patique l g re Child Pugh A La s curit et l efficacit du dasabuvir n ont pas t tablies chez les patients infect s par le VHC et pr sentant une insuffisance h patique mod r e Child Pugh B cependant aucun ajustement posologique ne devrait tre requis d apr s les tudes pharmacocin tiques Exviera ne devrait pas tre utilis chez les patients pr sentant une insuffisanc
205. s IgE totales dans le liquide lacrymal En cas de concordance des r sultats de ces diff rents tests le diagnostic d allergie oculaire est acquis dans le cas contraire on aura recours au test de provocation conjonctival examen qui consiste instiller dans le cul de sac conjonctival des doses progres sivement croissantes des allerg nes suspect s et qui est consid r comme l examen de r f rence en mati re de diagnostic de conjonctivite allergique Les principaux diagnostics diff rentiels La majorit des manifestations oculai res tant relativement peu sp cifiques il faut en th orie envisager toutes les autres causes de conjonctivites en particulier e Les conjonctivites d origine infec tieuse par bact ries classiques par germes atypiques chlamydia et syndrome de Fiessinger Leroy Reiter dans un contexte de contamina tion sexuelle avec plus ou moins constamment ur thrite et douleurs articulaires ou par virus e Les conjonctivites toxiques par expo sition des fum es irritantes tabac cannabis o projection de produits chimiques e Les conjonctivites m dicamenteuses dont une s rie espagnole de 76 cas a t pr sent e Barcelone r v lant la part tr s importante des subs tances interf rant avec le syst me r nine angiotensine aldost rone in hibiteurs de l enzyme de conversion n 46 sartans n 23 et inhibi teurs directs de la r nine n 2 De fa on plus g n ra
206. s de 18 ans et plus et personnes g es La s curit du produit a t valu e dans 7 tudes cliniques incluant 91 593 adultes g s de 18 101 ans Prevenar 13 a t administr 48 806 adultes 2616 5 4 g s de 50 64 ans et 45 291 92 8 g s de 65 ans et plus L une des 7 tudes incluait un groupe d adultes n 899 g s de 18 49 ans ayant re u Prevenar 13 et n ayant pas t vaccin s pr c demment par le vaccin 23 valent pneumococcique polyosidique Parmi les adultes vaccin s par Prevenar 13 1916 avaient d j t vaccin s par le vaccin 23 valent pneumococcique polyosidique au moins 3 ans avant l tude de vaccination et 46 890 n avaient pas t vaccin s par le vaccin 23 valent pneumococcique polyosidique Une tendance une fr quence plus faible des effets ind sirables a t associ e un ge plus lev les adultes g s de plus de 65 ans quel que soit leur statut de vaccination pneumococcique ant rieur ont pr sent moins d effets ind sirables que les adultes plus jeunes avec des effets ind sirables plus courants chez les adultes les plus jeunes g s de 18 29 ans Globalement les cat gories de fr quence taient similaires dans tous les groupes d ges l exception des vomissements tres fr quents gt 1 10 chez les adultes g s de 18 49 ans et frequents entre 1 100 et 1 10 dans les autres groupes d ges et de la fi vre tres fr quente chez les adult
207. s enfants 12 59 mois compl tement immunis s avec Prevenar 7 valent Les jeunes enfants qui sont consid r s comme compl tement immunis s avec Prevenar 7 valent doivent recevoir une dose de 0 5 ml de Prevenar 13 afin d induire une r ponse immunitaire vis vis des 6 s rotypes additionnels Cette dose de Prevenar 13 doit tre administr e au moins 8 semaines apr s la derni re dose de Prevenar 7 valent Enfants et adolescents g s de 5 17 ans Les enfants g s de 5 17 ans peuvent recevoir une seule dose de Prevenar 13 s ils ont pr alablement t vaccin s avec une ou plusieurs doses de Prevenar Cette dose de Prevenar 13 doit tre administr e au moins 8 semaines apr s la derni re dose de Prevenar 7 valen Adultes g s de 18 ans et plus et personnes g es Une seule dose La n cessit de revaccination avec une dose suppl mentaire de Prevenar 13 n a pas t tablie Ind pendamment du statut de primo vaccination pneumococcique si utilisation du vaccin polyosidique 23 valent est consid r e appropri e Prevenar 13 doit tre administr en premier Populations particuli res Les personnes ayant des affections sous jacentes les pr disposant des infections invasives a pneumocoque comme la dr panocytose ou une infection VIH y compris celles qui ont t vaccin es ant rieurement avec une ou plusieurs doses de vaccin 23 valent pneumococeique polyosidique peuvent recevoir au moins une dose de
208. s paroxysti ques mais ce n est pas le cas le plus fr quent Le traitement consiste en des soins de paupi res et le port de lunettes chauffantes pour liqu fier la substance huileuse et d sengorger les glandes de Meibomius DOSSIER M DICAL EYE La prise en charge th rapeutique Le traitement repose sur l viction des allerg nes d sign s comme res ponsables lors du bilan allergologique gr ce la mise en uvre de mesures globales et personnalis es et sur la prescription de divers traitements vis e symptomatique rin age oculai re larmes artificielles compresses froi des sur les paupi res et vis e anti allergique locaux ou syst miques visant soulager les manifestations ressenties par les patients A noter que la s cheresse oculaire est aggrav e par les antihistamini ques oraux et l utilisation r guli re de lubrifiants est donc un atout th ra peutique car ils contribuent simulta n ment l limination des allerg nes et au soulagement des sympt mes Les traitements m dicamenteux lo caux incluent e les collyres qui stabilisent les mas tocytes emp chant ainsi leur d gra nulation cromoglycate de sodium l ac tylaspartylglutamate de sodium le n docromil et le lodoxamide e les collyres dont le principe actif blo que s lectivement des r cepteurs l histamine de type 1 az lastine l vocabastine madastine eles collyres dont le principe actif posse
209. s patents infect s parle VIH et pr sentant un d ficit immunitaire s v re au moment de l instauration du traitement par association d anti troviraux une reaction inflammatoire des infections opportunistes asymptomatiques ou r siduelles peut apparaitre et entrainer des manifestations cliniques graves ou une aggravation des sympt mes De telles r actions ont t observ es classiquement au cours des premi res semaines ou mois suivant l instauration du traitement par association d antr troviraux Des exemples pertinents sont les r tinites cytomegalovirus les infections mycobacteriennes g n ralis es et ou localis es et les pneumonies a Pneumocystis carnii Tout sympt me inflammatoire doit tre valu et un traitement doit tre instaur si n cessaire Des maladies auto immunes telle que la maladie de Basedow ont galement t rapport es dans le cadre de la restauration immunitaire toutefois le d lai de survenue rapport est plus variable et les manifestations cliniques peuvent survenir plusieurs mois apr s l initiation du traitement Des l vations des tests h patiques compatibles avec un syndrome de restauration immunitaire ont t rapport es chez certains patients co infect s par le virus de l h patite B et ou C au d but du traitement par dolut gravir La surveillance des tests h patiques est recommand e chez ces patients co infect s par le virus de l h patite B et ou C Voir la pr c dente rubrique Patients attei
210. s sont soumis une cardioversion Population p diatrique La s curit et l efficacit d Eliquis chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n ont pas encore t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Voie orale Eliquis doit tre aval avec de l eau pendant ou en dehors des repas 4 3 Contre indications Hypersensibilit la substance active ou l un des excipients Saignement volutif cliniquement significatif Atteinte h patique associ e une coagulopathie et un risque de saignement cliniquement significatif L sion ou affection si consid r e comme un facteur de risque significatif d h morragie majeure Ceci peut inclure ulcere gastro intestinal actif ou r cent pr sence d une affection maligne risque h morragique lev l sion c r brale ou rachidienne r cente chirurgie c r brale rachidienne ou ophtalmologique r cente h morragie intracr nienne r cente varices cesophagiennes connues ou suspect es malformations art rioveineuses an vrisme vasculaire ou anomalies vasculaires intrarachidiennes ou intrac r brales majeures Traitement concomitant avec d autres anticoagulants par exemple h parine non fractionn e HNF h parine de bas poids mol culaire noxaparine dalt parine etc d riv de l h parine fondaparinux etc anticoagulants oraux warfarine rivaroxaban dabigatran etc sauf dans les cas sp cifiques d un relais de traitement anticoagu
211. sation pour l abacavir ou la lamivudine utilis s avec d autres antir troviraux Cet effet ind sirable n a pas t identifi comme pouvant tre raisonnablement rel Tiumeq dolut gravir abacavir lamivudine au cours des tudes cliniques ainsi la cat gorie de fr quence prise en compte est celle la plus lev e des composants individuels mentionn e dans le RCP par exemple pour le dolut grovir l abacavir et ou la lamivudine Description de certains effets ind sirables R actions d hypersensibilt L abacavir et le dolut gravir sont tous deux associ s un risque de r actions d hypersensibiit qui ont t plus fr quemment observ es avec l abacavir Les reactions d Ba A observ es pour chacun de ces m dicaments d crites ci dessous pr sentent quelques caract ristiques communes telles que la fi vre et ou une ruption cutan e ainsi que d autres sympt mes traduisant une atteinte mult organe Le d lai d apparition de ces r actions a t g n ralement de 10 14 jours que ce soit pour les reactions associ es abacavir ou au dolut gravir bien que les reactions li es l abacavir puissent survenir tout moment au cours du traitement Le traitement par Triumeg doit tre arr t imm diatement si une reaction a hypersensibiit ne peut tre exclue sur la base de la clinique Le traitement par Tiumeg ou par tout autre m dicament contenant de l abacavir ou du dolut gravir ne doit jamais tre r introduit Se r f rer
212. se de Lynparza voir rubrique Fertilit grossesse et allaitement du RCP Interactions L administration concomitante d olaparib avec des inducteurs ou inhibiteurs puissants du CYP3A doit tre vit e voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions du RCP Si une patiente recevant d j l olaparib n cessite un traitement par un inhibiteur du CYP3A ou un inhibiteur de la P gp une surveillance troite des effets ind sirables li s l olaparib et une prise en charge de ces effets par une r duction de dose est recommand e 4 5 Effets ind sirables R sum du profil de s curit Le traitement par olaparib en monoth rapie a t associ des effets ind sirables d intensit g n ralement l g re ou mod r e grade CTCAE 1 ou 2 ne n cessitant g n ralement pas l arr t du traitement Les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s au cours des essais cliniques chez les patientes recevant de l olaparib en monoth rapie gt 10 taient des naus es des vomissements des diarrh es une dyspepsie une fatigue des c phal es une dysgueusie une diminution de l app tit des sensations vertigineuses une an mie une neutrop nie une lymphop nie une augmentation du volume corpusculaire moyen et une augmentation de la cr atinine Liste tabul e des effets ind sirables Les effets ind sirables suivants ont t identifi s au cours des tudes cliniques conduites chez des patie
213. sologie d atorvastatine varie de 10 80 mg par jour voir rubrique 5 1 Chez ces patients l atorvas tatine doit tre administr e en compl ment aux autres traitements hypolip miants notamment l aph r se du LDL cholest rol ou lorsque de tels traitements ne sont pas disponibles Pr vention des maladies cardiovasculaires Dans les tudes de pr vention primaire la posologie utilis e tait de 10 mg jour Une posologie plus lev e peut tre n cessaire pour atteindre les objectifs cible du LDL cholest rol LDL fix s par les recommandations en vigueur Patients atteints d insuffisance r nale Aucune adaptation posologique n est n cessaire voir rubrique 4 4 Patients atteints d insuffisance h patique Lipitor doit tre utilis avec pr caution chez les patients pr sentant une insuffisance h patique voir rubriques 4 4 et 5 2 Lipitor est contre indiqu chez les patients pr sentant une affection h pa tique volutive voir rubrique 4 3 Utilisation chez le sujet g Chez les patients g s de plus de 70 ans trait s aux doses recommand es l efficacit et la s curit d emploi sont similaires celles observ es dans la population g n rale Population p diatrique Hyper cholest rol mie L utilisation p diatrique doit tre mise en oeuvre seulement par des m decins exp riment s dans le traitement de l hyperlipid mie p diatrique et les patients doivent tre suivis r guli rement pour valuer les progr s Po
214. ssoci a un b n fice clinique et conomique consid ra ble En Norv ge la vaccination p dia 2006 2004 2005 2007 trique par le vaccin conjugu a ainsi entra n une baisse significative des infections invasives pneumocoque chez les enfants de moins de 2 ans passant de 77 pour 100 000 en 2005 a 8 1 pour 100 000 en 2012 1 Une diminution significative de l inciden ce des infections invasives a pneumo coque a par ailleurs t not e chez les enfants de 2 4 ans et chez les adultes de 65 ans et plus Figure 1 d clare le Dr Mark van der Linden University Hospital Aix La Chapelle Allemagne 2010 2011 2008 009 2012 AA EUT Pis Figure 1 Incidence annuelle li e l ge des infections invasives pneumocoque provoqu es par tous les s rotypes dans les diff rents groupes d ge en Norv ge Prevenar introduit en juillet 2006 et Prevenar 13 introduit en avril 2011 ial LT BL et Legionella ap ae LE PAG che Bucilles palhog na Coni Pe UA S preumon ME A errang E sGramn ostit MINS Diamond so 1 D Hier er virus Tu 5 10 15 20 25 30 35 40 T rmb FOUT AE Move Figure 2 En Europe Streptococcus pneumoniae est le pathog ne le plus souvent isol dans la pneumonie Semper Luxembourg juillet 2015 FOCUS La pneumonie a pneumocoque chez l adulte La pneumonie est associ e une importante
215. sth nie Fr quent Fatigue y compris asth nie Investigations Tr s fr quent An mie diminution de l h moglobine Neutrop nie diminution du nombre absolu de neutrophiles ab Lymphop nie diminution des lymphocytes Augmentation de la cr atinin mie Augmentation du volume corpusculaire moyen Fr quent Thrombocytop nie diminution des plaquettes Tr s fr quent An mie diminution de I h moglobine Lymphop nie diminution des lymphocytes a b Fr quent Neutrop nie diminution du nombre absolu de neutrophiles Thrombocytop nie diminution des plaquettes Peu fr quent Augmentation de la cr atinin mie Repr sente l incidence des r sultats biologiques et non des v nements ind sirables rapport s Les diminutions taient de grade CTCAE 2 ou plus pour l h moglobine le nombre absolu de neutrophiles les plaquettes et les lymphocytes Augmentation du volume corpusculaire moyen par rapport la valeur initiale jusqu une valeur sup rieure la LSN limite sup rieure de la normale Les niveaux semblaient revenir la normale apr s l arr t du traitement et ne semblaient pas avoir de cons quences cliniques Les donn es d une tude en double aveugle contr l e versus placebo ont montr une augmentation m diane jusqu 23 en pourcentage par rapport la valeur initiale restant constante avec le temps et revenant la valeur initiale apr s l arr t du traitement sans s quelles cliniques ap
216. t he PIE Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne des m dicaments http www ema europa eu Ceci est la version courte du RCP Les rubriques ne sont pas reprises dans leur inte gralite Pour avoir plus d informations se r f rer la version complete x lt zZ i Il y a toujours un peu partout Des feux illuminant la terre Cava Les hommes s amusent comme des fous Aux dangereux jeux de la guerre Cava L Europe r p te l Avare Dans un d cor de mil neuf cent Ca fait des morts d inanition Et l inanition des nations Ca va Jacques Brel Le diable 1954 Torpeurs estivales Comme beaucoup d entre vous l quipe de Semper Luxembourg marque une pause Le temps pour chacun de prendre une respiration voire de reculer pour mieux bondir sur de nouveaux projets Le temps souvent de retrouver ses pro ches et de faire parfois le m nage dans ses priorit s et ses propres angoisses Dans ces moments il arrive que des litanies s imposent lancinantes tels ces couplets tellement d actualit du Grand Jacques Dans les semaines venir certains s envoleront vers des horizons lointains Certains peut tre d cideront de soutenir des tudiants pas tout fait relax s de leurs peines D autres enfin rendront visite leur famille aux quatre coins du globe cosmopolitisme luxembourgeois oblige Quelques uns m me nous le savons
217. t gories de fr quence adoptent la convention suivante tr s fr quent 2 1 10 fr quent 2 1 100 lt 1 10 peu fr quent 2 1 1 000 lt 1 100 rare 2 1 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Tableau 1 Effets ind sirables des tudes cliniques avec la dapagliflozine et la metformine lib ration imm diate et des donn es de post commercialisation Classe de syst mes Tr s fr quent Fr quent Peu fr quent Tr s rare d organes Infections et infestations Vulvovaginite balanite Infection fongique et infections g nitales associ es Infection des voies urinaires Troubles du m tabolisme et Hypoglyc mie quand D pl tion vol mique Acidose lactique de la nutrition utilis avec SU ou Soif Carence en insuline vitamine B121 Affections du syst me Trouble du go ts nerveux Sensation vertigineuse Affections Sympt mes Constipation gastro intestinales gastro intestinaux S cheresse buccale Affections h patobiliaires Troubles de la fonction h patique H patites Affections de la peau et du Urticaires tissu sous cutan Eryth mes Prurits Affections Douleur dorsale musculo squelettiques et syst miques Affections du rein et des Dysurie Nycturie voies urinaires Polyurie Alt ration de la fonction r nale Affections des organes de r
218. t s dans le Tableau 3 ont t de s v rit de grade 1 avec Viekirax et les sch mas contenant le dasabuvir Les effets ind sirables sont list s ci dessous par classe de systemes d organes et par fr quence Les fr quences sont d finies comme suit tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 a lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 ou tr s rare lt 1 10 000 Tableau 3 Effets ind sirables identifi s avec Viekirax en association avec le dasabuvir avec ribavirine N 2 044 Affections h matologiques et du systeme lymphatique Fr quent An mie Affections psychiatriques Tres fr quent Insomnie Affections gastro intestinales Tres fr quent Naus es Affections de la peau et du tissu sous cutane Tr s fr quent Prurit Troubles g n raux et anomalies au site d administration Tres fr quent Asth nie Fatigue Tableau 3 Effets ind sirables identifi s avec Viekirax en association avec le dasabuvir sans ribavirine N 588 Affections de la peau et du tissu sous cutan Fr quent Prurit ensemble des donn es inclut tous les patients infect s par un VHC de g notype 1 des tudes de phases 2 et 3 y compris les patients cirrhotiques Remarque pour les anomalies biologiques se r f rer au Tableau 4 Description de certains effets ind sirables Anomalies biologiques Les variations de certains param tres biologiques sont d crites dans le Tableau 4 Un tableau
219. t du dichlorhydrate de daclatasvir quivalent 60 mg de daclatasvir Excipient s effet notoire Chaque comprim pellicul de 60 mg contient 116 mg de lactose sous forme anhydre Pour la liste compl te des excipients voir rubrique 6 1 du RCP 4 DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques Daklinza est indiqu en association avec d autres m dicaments dans le traitement de l infection chronique par le virus de l h patite C VHC chez les adultes voir RCP rubriques 4 2 4 4 et 5 1 Pour l activit en fonction du g notype du virus de l h patite C VHC voir RCP rubriques 4 4 et 5 1 4 2 Posologie et mode d administration Le traitement par Daklinza doit tre instaur et surveill par un m decin exp riment dans la prise en charge de l h patite C chronique Posologie La dose recommand e de Daklinza est de 60 mg une fois par jour par voie orale prendre avec ou sans nourriture Daklinza doit tre administr en association avec d autres m dicaments Les R sum s des Caract ristiques du Produit des m dicaments co administr s doivent galement tre consult s avant l instauration du traitement par Daklinza Les m dicaments co administr s et la dur e du traitement recommand s sont indiqu s dans le Tableau 1 ci dessous voir galement RCP rubriques 4 4 et 5 1 Tableau 1 M dicaments co administr s et dur e de traitement recommand s pour le traite ment combin avec Daklinza G notype VHC et po
220. t eu besoin d erythropoietine tous recevaient une dose quotidienne de 1000 1200 mg a l initiation Aucun patient n a re u de transfusion sanguine Patients co infect s VIH VHC Le profil de s curit d emploi global chez les patients co infect s par le VHC et le VIH 1 tait similaire celui observ chez les patients mono infect s Des l vations transitoires de bilirubine totale gt 3 x LSN principalement indirecte sont survenues chez 17 patients 27 0 15 de ces patients recevaient de l atazanavir Aucun des patients ayant une hyperbilirubin mie n avait pr sent d l vations concomitantes des aminotransf rases Population p diatrique La s curit d Exviera chez les enfants et adolescents g s de moins de 18 ans n a pas encore t tablie Aucune donn e n est disponible D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via Belgique Agence f d rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION Il Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adversedrugreactions fagg afmps be Luxembourg Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments Villa Louvigny All e Marconi
221. t tr s limit es chez les patientes avec un indice fonctionnel compris entre 2 et 4 Population p diatrique La s curit d emploi et l efficacit de Lynparza chez les enfants et les adolescentes n ont pas t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Lynparza est utilis par voie orale Compte tenu de l effet de la nourriture sur l absorption de l olaparib les patientes doivent prendre S he h as BRCAM Lynparza au moins une heure apr s la prise de nourriture et s abstenir de manger pendant de pr f rence au moins les deux heures suivantes 4 3 Contre indications Hypersensibilit mentionn s la rubrique Liste des excipients mois apr s la derni re prise voir RCP 4 4 Mises en garde sp ciales h matologique Une toxicit h matologique a l olaparib incluant des diagnostics cliniques neutrop nie de thrombocytop nie et de grade 1 ou 2 valu selon les Crit res de Ind sirables CTCAE Common Terminology doivent pas d buter le traitement par Lynparza une th rapie anti canc reuse ant rieure n est plaquettes et de neutrophiles doivent tre ou tre de grade CTCAE 1 La d termination i Quantit Prix h pital HTVA 0 ope au principe actif ou l un des excipients lati num Cens Iti ve du RCP Allaitement pendant le traitement et un rubrique Fertilit grossesse et allaitement du et pr cautions d emploi Toxicit MA a ced ova rian cancer t rapport e chez des patie
222. te des effets ind sirables par classe de syst mes d organes et fr quence en utilisant la convention suivante tres fr quent gt 1 10 fr quent 2 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles pour la FANV Pr vention de AVC et de l embolie syst mique chez les patients adultes atteints de FANV pr sentant un ou plusieurs facteurs de risque et les tETEV Traitement de la TVP et de l EP et pr vention de la r cidive de la TVP et de l EP respectivement Affections du syst me immunitaire Hypersensibilit d me allergique et anaphylaxie FANV Peu fr quent Affections du syst me nerveux H morragie c r brale FANV Peu fr quent tETEV Rare Affections oculaires Hemorragie de l il y compris h morragie conjonctivale FANV Fr quent tETEV Peu fr quent Affections vasculaires H morragie h matome FANV Fr quent tETEV Frequent H morragie intra abdominale FANV Peu fr quent Affections respiratoires thoraciques et m diastinales pistaxis FANV Fr quent tETEV Frequent H moptysie FANV Peu fr quent tETEV Peu fr quent H morragie du tractus respiratoire FANV Rare tETEV Rare Affections gastro intestinales H morragie gastro intestinale FANV Fr quent tETEV Frequent H morragie h morroidaire h
223. ter le R sum des Caract ristiques du Produit d ELIQUIS et le Guide pour le Prescripteur pour de plus amples informations et les donn es de s curit du produit Veuillez galement fournir a vos patients la Carte Alerte Patient lorsque vous leur prescrivez ELIQUIS VCe m dicament fait l objet d une surveillance suppl mentaire qui permettra l identification rapide de nouvelles informations relatives la s curit Les professionnels de la sant d clarent tout effet ind sirable suspect Voir rubrique 4 8 pour les modalit s de d claration des effets ind sirables 1 D NOMINATION DU MEDICAMENT Eliquis 5 mg comprim s pellicul s 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim pellicul contient 5 0 mg d apixaban Excipients effet notoire Chaque comprim pellicul 5 mg contient 102 86 mg de lactose 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim pellicul comprim Comprim s ovales roses grav s avec 894 sur une face et 5 sur l autre face 4 DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques Pr vention de l accident vasculaire c r bral AVC et de l embolie syst mique chez les patients adultes atteints de fibrillation atriale non valvulaire FANV et pr sentant un ou plusieurs facteur s de risque tels que ant c dent d AVC ou d accident isch mique transitoire AIT ge gt 75 ans hypertension art rielle diab te insuffisance cardiaque symptomatique classe NYHA gt Il Traitement
224. tients respectivement D cla ration des effets ind sirables suspect s la d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dica ment est importante Elle per met une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les profession nels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect en Belgique via l Agence fede rale des m dicaments et des produits de sant Division Vigilance EUROSTATION Il Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles Site internet www afmps be e mail adverse drugreactions fagg afmps be et au Luxembourg via la Direc tion de la Sant Division de la Pharmacie et des m dica ments Villa Louvigny Allee Marconi L 2120 Luxembourg Site internet www ms public lu fr activites pharmacie medi cament index html MODE DE DELIVRANCE medicament soumis la prescription m di cale TITULAIRE DE LAUTO RISATION DE MISE SUR LE MARCHE AstraZeneca AB SE 151 85 S dert lje Suede Repr sentant local du titulaire de l autorisation de mise sur le march Menarini Benelux NV SA Belgicastraat 4 B 1930 Zaventem T l 32 0 2 721 45 45 NUMERO S D AUTO RISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 12 781 001 EU 1 12 781 002 BRE TARIS Genuair DO PREMIERE AUTORISA TION DE RENOUVELLEMENT DE LAUTORISATION Date de premiere autori sation 20 juillet 2012 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 27 04 2015 eae an ar mic un y na 2 g
225. tion Il Place Victor Horta 40 40 B 1060 Bruxelles website w ns fagg afmps be TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Pfizer SA Boulevard de la Plaine 17 B 1050 Bruxelles Belgique NUMEROS D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Lipitor 10 mg comprim s pelli cules en slacuctt s BE184082 Lipitor 10 mg comprim s pellicul s en flacons BE307727 Lipitor 20 mg comprim s pellicul s en plaquettes BE184073 Lipitor 20 mg comprim s pellicul s en flacons BE307736 Lipitor 40 mg comprim s pellicul s en plaquettes BE184064 Lipitor 40 mg comprim s pellicul s en flacons BE307745 Lipitor 80 mg comprim s pellicul s en plaquettes BE232933 Lipitor 80 mg comprim s pellicules en flacons BE307754 DATE DE PREMIERE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT DE L AUTORISATION Date de premiere autorisation Lipitor 10 mg Lipitor 20 mg et Lipitor 40 mg 23 06 1997 Lipitor 80 mg 11 03 2002 Date de renouvellement de l autorisation 21 01 2008 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 03 2015 de Sain Als y Aux petits soins des curistes Qu on s y rende pour braver le stress apaiser des tensions se ressourcer ou pour soulager des pathologies articulaires et musculaires il y a toujours une bonne raison de se faire du bien aux Thermes marins du Grand H tel de Saint Malo Cet tablissement historique fraichement r nov peut en effet se targuer de plus de 50 ans d expertise au service du bien tre et de la s
226. tionnement fournisseur Cela nous a permis d effectuer la r cep tion informatique des mati res premi res command es et constituer un stock informatique conforme au stock r el note encore le pharmacien Suivait ensuite le volet formatif pour les membres du personnel avec organisation d une formation pour les intervenants concern s par les pr parations magistra les But parfaitement d finir les proc dures et int grer l utilisation du programme dans les tapes classiques suivies pour toute pr paration R sultats un an plus tard Depuis le mois de juin 2014 plus de 350 pr parations magistrales ont t pr par es l aide du logiciel acquis d velopp avec l aide des pharmaciens Un peu moins d une ann e de recul donc au moment o nous rencon trons Monique Lorang et son coll gue Une premi re analyse montre une am lioration dans la gestion du stock En effet la valeur de stock a baiss de pr s de 20 et les pertes ont baiss de 15 Cette am lioration est constat e sur la tra abilit des pr parations d livr es aux patients On estime ainsi que plus de 90 des produits issus du pr paratoire et d livr s au patient ont t trac s informatiquement Ceci permet aussi d tre r actifs en cas de besoin notamment en cas d une demande de renouvellement de pr paration Des statistiques faites sur le type des pr parations montrent en effet qu un certain nombre de pr parations sont r guli rement
227. torants autour du th me du vieillissement en bonne sant d voile le Prof Stranges Pour ceci le d parte ment fera une demande de finance ment en partenariat avec l Universit du Luxembourg le Luxembourg Insti tute of Science and Technology LIST le Luxembourg Institute of Socio Eco nomic Research LISER l Universit Erasme de Rotterdam et le National Institute of Ageing du NIH aux tats Unis pr cise t il Le Prof Stranges aimerait que le d partement qui ne forme que tr s peu de doctorants a l heure actuelle devienne un centre de formation de r f rence pour les jeunes chercheurs en sant publique et en pid miologie Le d veloppement des chercheurs confirm s du d partement est une autre priorit pour le nouveau direc teur Je tiens les soutenir pour leur permettre d accroitre encore leur ni veau et d obtenir plus de reconnais sance internationale Je vais partager mon large r seau professionnel avec eux que j ai construit lors de mes dif f rentes tapes de carri re en Italie aux tats Unis et au Royaume Uni souligne t il Sa vision plus de visibilit grace la collaboration et la communication Le Prof Stranges est convaincu que le d partement pourra obtenir plus de visibilit au sein de la commu naut scientifique internationale RECHERCHE EE avec l initiation de nouvelles colla borations et la participation des consortiums multipartites ll pense pa
228. tre indications et Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Le risque de d pl tion vol mique sous dapagliflozine doit galement tre pris en consid ration voir rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques du RCP En raison d une exp rience th rapeutique limit e chez les patients g s de 75 ans et plus sous dapagliflozine l initiation du traitement au sein de cette population n est pas recommand e Population p diatrique La s curit et l efficacit de Xigduo chez les enfants et les adolescents g s de 0 lt 18 ans n ont pas encore t tablies Aucune donn e n est disponible Mode d administration Xigduo doit tre pris deux fois par jour au cours des repas afin de diminuer les effets ind sirables gastro intestinaux associ s la metformine 4 3 Contre indications Xigduo est contre indiqu chez les patients avec hypersensibilit aux principes actifs ou l un des excipients mentionn s la rubrique Liste des excipients du RCP acidoc tose diab tique pr coma diab tique insuffisance r nale mod r e et s v re clairance de la cr atinine lt 60 ml min DFGe lt 60 ml min 1 73 m2 voir rubriques Posologie et mode d administration Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques du RCP affections aigu s susceptibles d alt rer la fonction r nale telles que d shydrat
229. ts taient dans une tranche d ge de 6 9 ans et 228 patients taient dans une tranche d ge de 10 17 ans Affections du syst me nerveux Fr quent C phal es Affections gastro intestinales Fr quent Douleur abdominale Investigations Fr quent Augmentation de l alanine aminotransf rase augmentation de la cr atine phosphokinase sanguine Sur la base des donn es disponibles la fr quence le type et la s v rit des r actions ind sirables chez l enfant sont attendus identiques ceux chez l adulte L exp rience concernant la s curit long terme dans la population p diatrique est actuellement limit e Les v nements ind sirables suivants ont t rapport s avec certaines statines Troubles sexuels D pres sion Cas exceptionnels de pneumopathie interstitielle particuli rement au cours d un traitement long terme voir rubrique 4 4 Diab te sucr La fr quence d pendra de la pr sence ou l absence de facteurs de risque diab te jeun gt 5 6 mmol l IMC gt 30kg m triglyc rides lev s ant c dents d hypertension D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n icelrsque du en Les rofessionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via l Agence F d rale des M dicaments et des Produits de Sant Division Vigilance Eurosta
230. tum faction gt 7 0 cm au site de vaccination pleurs Effets ind sirables de Prevenar 13 depuis la commercialisation Bien que les effets ind sirables suivants n aient pas t observ s au cours des tudes cliniques chez le nourrisson et l enfant avec Prevenar 13 ils sont consid r s comme des effets ind sirables de Prevenar 13 car ils ont t rapport s depuis la commercialisation Ces effets ind sirables provenant de la notification spontan e les fr quences ne peuvent tre d termin es et sont donc consid r es comme non connues Affections h matologiques et du systeme lymphatique Lymphadenopathie localis e la r gion du site de vaccination Affections du syst me immunitaire Reaction anaphylactique anaphylactoide comprenant le choc angioed me Affections de la peau et du tissu sous cutane Erytheme polymorphe Troubles g n raux et anomalies au site d administration Urticaire au site de vaccination dermite au site de vaccination prurit au site de vaccination bouff e vasomotrice Information suppl mentaire chez les populations particuli res Apn e chez les grands pr matur s n s 28 semaines de grossesse ou moins Enfants et adolescents g s de 6 17 ans La s curit du produit a t valu e chez 592 enfants g s de 6 17 ans et 294 enfants g s de 5 10 ans pr alablement immunis s avec au moins une dose de Prevenar et chez 298 enfants g s de 10 17 ans qui n avaient pas re u de vaccin pneu
231. u m de cin des pauvres W REMBOURS 100 DEPUIS LE 1 MAI 2015 Conditionnement Prix public Prix ex usine f o HTVA La OS 2 m ne Viekirax 4x14 CPR SS BLIST 0 lt 11 960 ombitasvir paritaprevir asabuvir a ritonavir Exviera 4x14 CPR SS BLIST 0 1 040 PATIENTS GT1 et GT4 Haut Taux de Guerison CAR CHAQUE PATIENT COMPTE UN TRAITEMENT ORAL DE 12 OU 24 SEMAINES SANS INTERFERON RIBAVIRINE POUR LE TRAITEMENT DE L H PATITE C CHRONIQUE CHEZ L ADULTE DE GENOTYPE 1 OU 4 A PR el GT1 i 4e fart a a un A tit e y iM rye 97 ae SVR n 1 052 1033 i HAUT TAUX N DE GU RISON ATEN i E i chez les patients GT1 y compris ita les cirrhotiques Li SR PR DRT fr HAUT TAUX Nah DE GU RISON chez les patients GT4 na fs et en chec de traitement GTA de SVR n 91 91 Viekirax Exviera ont des m canismes d action distincts avec un profil de resistance compl mentaire Au Grand Duch de Luxembourg Viekirax et Exviera sont distribu s uniquement en pharmacie d h pital SVR12 r ponse virologique soutenue d finie par l ARN VHC ind tectable 12 semaines apr s la fin du traitement t24 semaines de traitement sont n cessaires chez les patients GT1a et GT4 cirrhotiques Chez les patients ayant recu la posologie recommand e Donn es pool es des tudes de phase Ill chez les patients inf
232. ue associant la dapagliflozine la metformine 623 sujets ont t trait s par la dapagliflozine 10 mg en ajout de la metformine et 523 ont t trait s par placebo et la metformine Dapagliflozine R sum du profil de s curit Dans le cadre d une analyse pool e pr sp cifi e de 13 tudes contr l es versus placebo 2 360 sujets ont t trait s par la dapagliflozine 10 mg et 2 295 par placebo L effet ind sirable le plus fr quemment rapport tait hypoglyc mie qui d pendait du type de traitement initial utilis dans chaque tude La fr quence des pisodes hypoglyc miques mineurs tait similaire entre les groupes de traitement incluant le placebo avec des exceptions pour les tudes en association avec les sulfamides hypoglyc miants SU et en association avec l insuline Un taux plus important d hypoglyc mie a t observ dans les associations th rapeutiques avec les sulfamides hypoglyc miants et l association l insuline voir Hypoglyc mie ci dessous Liste tabul e des effets ind sirables Les effets ind sirables suivants ont t identifi s dans des tudes cliniques contr l es versus placebo avec la dapagliflozine en association la metformine la dapagliflozine seule et la metformine seule et sur l exp rience post commercialisation Aucun ne s est r v l dose d pendant Les effets ind sirables mentionn s ci dessous sont class s par fr quence et par classe de syst mes d organes Les diff rentes ca
233. ue ce syndrome Le syndrome de POTS montre une tachycardie prolong e sans activit physique associ e avec une diminution du d bit sanguin au niveau c r bral La tachycardie posturale est sup rieure 120 bpm avec une augmentation sup rieure ou gale 30 bpm apr s 5 minutes en position debout Une alimentation riche en sel avec parfois l administration de min raux corti coides est propos e aux adolescents porteurs de ce syndrome Si la g ne per siste des bas de contention et la pratique d un sport leur sont recommand s et exprimer ses affects a laborer les conflits ou a les refouler Les d fenses sont d bord es la pens e op ratoire augmente Il y a un effort d adapta tion pour retrouver un quilibre ant rieur et les sympt mes physiques en font partie Dans la majorit des cas les symp t mes apparaissent au moment d une impasse d veloppementale Celle ci peut tre non vidente au d but La somatisation devient pathologique lorsqu elle interf re dans le fonction nement de l adolescent et qu elle perdure Bien souvent des troubles somatoformes chez l adolescent e sont associ s de la fatigue une d pression et des troubles du sommeil C est en quelque sorte une spirale infernale avec souvent l apparition d un absent isme scolaire indique le Dr Marianne Caflisch Quelle prise en charge proposer Face aux plaintes fonctionnelles l adolescence des solutions exist
234. ue de la prostate PSA Prise de poids Augmentation de la bilirubine san guine Augmentation de la cr ati nine sanguine Augmentation de la temp rature corporelle Description de certains effets in d sirables observ s avec d autres inhibiteurs de la PDE5 Une neuro pathie optique isch mique ant rieure non art ritique NOIAN et une perte soudaine de l audition ont t rapport es dans un petit nombre de cas apr s commerciali sation et d tudes cliniques avec d autres inhibiteurs de la PDE5 Aucun cas n a t signal pendant les tudes cliniques portant sur l avanafil voir rubrique 4 4 du RCP Un priapisme a t rapport dans quelques cas apr s commer cialisation et d tudes cliniques avec d autres inhibiteurs de la PDE5 Aucun cas n a t signal pendant les tudes cliniques de portant sur l avanafil Une h matu rie une h matospermie et une h morragie p nienne ont t rap port es dans quelques cas apr s commercialisation et d tudes cli niques avec d autres inhibiteurs de la PDE5 Une hypotension avec d autres inhibiteurs de la PDE5 a t rapport e apr s commerciali sation et des vertiges un symp t me fr quemment d une MENARINI baisse de la pression art rielle ont t signal s dans des tudes cli niques men es avec l avanafil voir rubrique 4 5 du RCP D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s
235. ue le vaccin contre le zona r cemment introduit enregistrent des pourcentages comparables M Dr E Schraepen Article r alis par La reference m di Cale a la demande de Pfizer Les pro pos recueillis par le journaliste n enga gent que l interview 150605 June 2015 1 Steens A et al Prompt effect of replacing the 7 valent pneumococcal conjugate vac cine with the 13 valent vaccine on the epidemiology of invasive pneumococcal disease in Norway Vaccine 2013 31 52 6232 6238 2 Jackson ML et al The burden of community acquired pneumonia in seniors results of a population based study Clinical Infectious Disease 2004 39 1642 1650 3 Welte T et al Clinical and economic burden of community acquired pneumonia among adults in Europe Thorax 2012 67 1 71 79 4 Bonten M et al Polysaccharide conjugate vaccine against pneumococcal pneumonia in adults The New England Journal of Medicine 2015 372 1114 1125 8 S Obaro R Adegbola The pneumococcus carriage disease and conjugate vaccines Journal of Medical Microbiology 2002 51 2 98 104 European Medicines Agency CHMP Variation Assessment Report London United Kin gdom European Medicines Agency 2011 Khoie T et al FDA briefing document Prevnar 13TM PCV13 Pneumococcal 13 valent Conjugate Vaccine Diphtheria CRM197 Protein Available from http tinyurl com np tcge Accessed March 2015 US Food and Drug Administration Summary Bas
236. uffisants h patiques voir la rubrique 5 2 du RCP Population p diatrique n y a pas d utilisation de Breta ris Genuair chez les enfants et les adolescents g s de moins de 18 ans dans l indication de BPCO Mode d administra tion Voie inhal e Les patients doivent recevoir des instruc tions adapt es pour une utilisa tion correcte du dispositif voir RCP Instructions d utilisation CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit au bromure d aclidinium l atropine ou ses d riv s y compris l ipratro pium l oxitropium ou le tiotropium ou l un des excipients mentionn s la rubrique 6 1 du RCP EFFETS INDESIRABLES Synth se du profil de tol rance les effets ind si rables les plus fr quents rapport s avec Bretaris Genuair sont les c phal es 6 6 et les nasopharyngites 5 5 Synth se des effets ind sirables les fr quences attribu es aux effets ind sirables dont la liste figure ci dessous sont bas es sur les taux d incidence bruts des effets ind sirables c est dire les v nements attribu s Bretaris Genuair observ s avec Bretaris Genuair 322 ug 636 patients dans l analyse group e des donn es issues des essais cliniques randomis s contr l s contre placebo l un d une dur e de six mois et les deux autres d une dur e de trois mois La fr quence des effets am lio 1 2 RCP Bretaris Genuair 04 2015 vs placebo re hi as a mpi t mes du Jo etit la nu Y at
237. ugmenter les concentrations plasmatiques du dasabuvir et ne doivent pas tre co administres avec Exviera voir RCP rubrique 4 5 Exemples d inhibiteurs du CYP2C8 contre indiqu s gemfibrozil Exviera est administr avec l ombitasvir paritapr vir ritonavir Pour les contre indications avec l ombitasvir paritaprevir ritonavir se r f rer au Resume des Caract ristiques du Produit de l ombitasvir paritaprevir ritonavir EFFETS IND SIRABLES R sum du profil de s curit d emploi Le profil de s curit d emploi repose sur les donn es cumul es partir des tudes cliniques de phases 2 et 3 chez plus de 2 600 patients ayant recu Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir avec ou sans ribavirine Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir avec ribavirine incluant des patients avec une cirrhose compens e Chez les patients trait s par Exviera et ombitasvir paritapr vir ritonavir avec la ribavirine les effets ind sirables les plus souvent rapport es chez plus de 20 des patients taient de la fatigue et des naus es La proportion de patients ayant d finitivement arr t le traitement pour cause d effets ind sirables tait de 0 2 5 2 044 0 2 5 2 044 des patients ont interrompu leur traitement en raison d effets ind sirables 4 8 99 2 044 des patients ont eu une r duction de la dose de ribavirine en raison d effets ind sirables l exception de l augmentation des taux d hyperbilirubinemie transitoire le profil
238. ul c phal es frissons ruption diminution de l app tit arthralgies et myalgies ou lorsque Prevenar 13 a t administr seul c phal es fatigue frissons diminution de app tit et arthralgies D CLARATION DES EFFETS INDESIRABLES SUSPECT S La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est importante Elle permet une surveillance continue du rapport b n fice risque du m dicament Les professionnels de sant d clarent tout effet ind sirable suspect via le systeme national de d claration par mail au BEL AEReporting pfizer com ou telephone au 08007 8614 gratuit ou 32 2 554 6060 TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Pfizer Limited Ramsgate Road Sandwich Kent CT13 9NJ Royaume Uni NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 09 590 001 EU 1 09 590 002 EU 1 09 590 003 EU 1 09 590 004 EU 1 09 590 005 EU 1 09 590 006 M THODE DE D LIVRANCE sur prescription m dicale DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 02 2015 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de l Agence europ enne du m dicament EMA http www ema europa ev Prix public 72 44 4 a 4 x Conditionnement Prix Public TVAc TRIUMEQ 919 11 50 mg dolutegravir 600 mg abacavir 300 mg lamivudine 1 flacon x 30 comprim s pellicul s O CINIC dolutegravir abacavir lamivudine lerstrength The only single p
239. ul VACCIN nat CONTRE LE PNEUMOCOQUE pour tous les groupes d ge Chez les adultes g s de 18 ans et plus et les personnes g es PREVENAR 139 est indiqu pour immunisation active pour la pr vention des infections invasives caus es par Streptococcus pneumoniae s rotypes 1 3 4 5 6A 6B 7F 9 14 18C 19A 19F et 23F Lapprobation du PREVENAR 139 est bas e sur la r ponse immunitaire fonctionnelle obtenue avec PREVENAR 13 chez les adultes de 18 ans et plus et les personnes g es Chez les adultes PREVENAR 139 ne s est pas av r diminuer la morbidit ou la mortalit suite une infection pneumocoques qu elle soit invasive ou non invasive PREVENAR 138 n offre pas 100 de protection contre les s rotypes vaccinaux et ne prot ge pas contre les s rotypes non vaccinaux Parmi les r actions ind sirables locales et ou syst miques les plus fr quemment signal es sur demande lors d essais cliniques gt 20 portant sur le PREVENAR 13 citons une rougeur une tum faction une sensibilit la pression un durcissement et une douleur au point d injection une limitation du mouvement du bras une perte d app tit des maux de t te de la diarrh e des frissons de la fatigue des ruptions cutan es et des douleurs articulaires ou musculaires nouvellement survenues ou une aggravation de ces douleurs si elles existaient d j En cas d hypersensibilit p ex anaphylaxie l un ou l autre des composants de PREVENAR 13
240. uleurs et des arthralgies une raideur articulaire ou des difficult s pour se mouvoir Infections opportunistes Les patients doivent tre inform s que Tiumeg ou tout autre traitement antiretroviral ne gu rit pas infection parle VIH et que l apparition d infections opportunistes et d autres complications li es l infection par le VIH reste par cons quent possible Les patients doivent donc faire l objet d une surveillance clinique attentive par des m decins exp riment s dans la prise en charge des maladies associ es au VIH R sistance des m dicaments Etant donn que la posologie recommand e de dolut gravir est de 50 mg deux fois par jour chez les patients pr sentant une r sistance la classe des inhibiteurs d int grose l utilisation de Tiumeq n est pas recommand e chez ces patients Interactions m dicamenteuses Etant donn que la posologie recommand e de dolut gravir est de 50 mg deux fois par jour en cas de prise concomitante d favirenz de n virapine de rifampicine ou de l association tipranavir rtonavir l utilisation de Triumeq n est pas recommand e chez les patients trait s par ces medicaments L administration concomitante de Triumeq et d travirine ETR n est pas recommand e moins que le patient ne re oive galement un traitement par atazanavir ritonavir ATV4RTV lopinavirtitonavir LPV RTV ou darunavir ritonavir DRV RTV Tiumeq ne doit pas tre co administre avec des antiacides contenants des cations poly
241. une volution fatale Les cas rapport s de pneumopathie ne pr sentaient pas de profil clinique coh rent et leur interpr tation tait rendue difficile par la pr sence d un certain nombre de facteurs de pr disposition cancer et ou m tastases pulmonaires maladie pulmonaire sous jacente ant c dents tabagiques et ou traitement ant rieur par chimioth rapie et radioth rapie En cas d apparition ou d aggravation de sympt mes respiratoires tels que dyspn e toux et fi vre ou de mise en vidence d une anomalie radiologique le traitement par Lynparza doit tre interrompu et des examens doivent rapidement tre initi s Si la pneumopathie est confirm e le traitement par Lynparza doit tre arr t et la patiente trait e de mani re appropri e Toxicit embryo ostale En raison de son m canisme d action inhibition de PARP l olaparib pourrait nuire au f tus en cas d administration chez la femme enceinte Des tudes non cliniques chez le rat ont montr que l olaparib induit des effets ind sirables sur la survie embryo feetale et des malformations f tales majeures lors d expositions des doses inf rieures la dose recommand e chez l Homme de 400 mg deux fois par jour Grossesse contraception Lynparza ne doit tre pris ni pendant la grossesse ni chez les femmes en ge de procr er qui n utilisent pas de m thode de contraception efficace pendant toute la dur e de leur traitement et pendant un mois apr s avoir re u la derni re pri
242. une r action imm diate mena ant le pronostic vital L tat clinique ainsi que les transaminases h patiques et la bilrubine doivent tre surveill s Apr s l arr t du traitement par Tiumeq li une suspicion de reaction d hypersensibilt Triumeq ou tout autre m dicament contenant de Pabacavir ou du dolut gravir ne doit jamais tre r introduit La reprise d un traitement contenant de l abacavir apr s une suspicion de reaction a hypersensibilt l abacavir peut entrainer une r apparition rapide des sympt mes en quelques heures Cette r cidive est generalement plus s v re que l pisode initial et peut entrainer une hypotension mena ant le pronostic vital et conduire au d c s Afin d viter toute reprise d abacavir et de dolut gravir il sera demand aux patients ayant pr sent une suspicion de r action d hypersensibilte de restituer les comprim s restants de Tiumea Description clinique des r actions d hypersensibilt Des r actions d hypersensiblit ont t rapport es chez moins d 1 des patients trait s par le dolut gravir au cours des tudes Cliniques celles ci taient caract ris es par des ruptions cutan es des sympt mes g n raux et parfois par des atteintes d autres organes comme des atteintes Be s v res Les r actions d hypersensibilit abacavir ont t bien caract ris es au cours des tudes cliniques et lors du suivi apr s commercialisation Les sympt mes apparaissent g n
243. ur Joe Schmitt d une vaccination par le Prevenar 13 Professeur Joe Schmitt Pour r su mer les r sultats de l tude CAPITA J utilise toujours la th se des 45 45 et 75 Comme on le sait le Prevenar 13 entra ne une diminution de 45 du nombre de pneumonies provoqu es par les 13 s rotypes vacci naux pr sents dans le vaccin Plus im portant encore le Prevenar 13 r duit galement le nombre de pneumonies extra hospitali res non bact ri miques de 45 Environ 90 des pneumo nies observ es chez les adultes g s sont des pneumonies non bact ri mi ques On sait que le vaccin pneumo coccique polysaccharidique 23 valent n a quasi aucun effet sur les pneumo nies non bact ri miques Enfin il y a la baisse impressionnante de 75 des infections invasives pneumoco R f rences Dans l tude CAPITA Community Acquired Pneumonia Trial in Adults r alis e aupr s d adultes g s le Prevenar 13 a t associ a une baisse significative de 45 du risque de pneumonie due a un s rotype vaccinal et de 75 du risque d infection invasive a pneumocoque due a un s rotype vaccinal que dans le groupe Prevenar 13 Une r duction de 45 de l incidence de la pneumonie est consid r e com me non optimale par certains mais nous ne devons pas perdre de vue que dans une population g e des pour centages d efficacit d environ 50 sont normaux Tant les vaccins anti grippaux q
244. ur les patients g s de 10 ans ou plus la dose initiale recommand e d atorvastatine est de 10 mg par jour et peut tre augment e jusqu 20 mg par jour Cette augmentation de dose doit tre effectu e en fonction de la r ponse et de la tol rance des patients p diatriques au traitement Les donn es de s curit des patients p diatriques trait s avec une dose sup rieure 20 mg soit environ 0 5 mg kg sont limit es L exp rience est limit e chez les enfants g s de 6 10 ans voir rubrique 5 1 L atorvastatine n est pas indiqu e dans le traitement de patients g s de moins de 10 ans D autres formes pharmaceutiques doses peuvent tre plus appropri es pour cette population Mode d administration Lipitor est destin la voie orale La prise d atorvastatine se fera en 1 prise quotidienne unique quel que soit le moment de la journ e pendant ou en dehors des repas 4 3 Contre indications Lipitor est contre indiqu chez les patients pr sentant une hypersensibilit la substance active ou l un des excipients mentionn s la rubrique 6 1 atteints d une affection h patique volutive ou ayant des l vations persistantes et inexpliqu es des transaminases s riques sup rieures trois fois la limite sup rieure de la normale chez les femmes enceintes allaitantes ou en ge de procr er et n utilisant pas de m thodes contraceptives fiables voir rubrique 4 6 4 8 Effets ind sirables Les tudes cliniques
245. ureusement pas de donn es fiables concernant la s curit d emploi oculaire des cor ticoides topiques par voie nasale les tudes n ayant en g n ral ni mesur la pression oculaire ni utilis la lampe a fente pour examiner le cristallin Dans le doute et tenant compte du fait que les collyres antihistaminiques peuvent donner d aussi bons voire de mellleurs r sultats que les corticoides topiques par voie nasale il ne semble pas que l existence de manifestations oculaires d une rhinite soit une raison e l allergie oculaire concerne des milliers de personnes de par le monde e Les conjonctivites allergiques saisonni res et perannuelles en sont les formes cliniques les plus fr quentes Elles sont fr quemment as soci es une rhinite e Les manifestations cardinales sont r sum es par l acronyme PLCER Prurit Larmoiement d me et Rougeur mais aucune d entre elles n est sp cifique Prurit et rougeur sont les deux dot es de la plus grande sp cificit e Les cas les plus s v res ont un important retentissement sur les acti vit s domestiques et socio professionnelles alt rent profond ment la qualit de vie et peuvent s accompagner d une atteinte corn enne et de troubles de la vision e Le diagnostic allergologique est souvent n glig ce qui aboutit a une prise en charge imparfaite renfor ant le fardeau clinique et conomi que de ces affections e L arsenal th rapeutique est large et efficace
246. urs de risque connus un stade avanc de la maladie li e au VIH ou un traitement par association d antiretroviraux au long cours Leur fr quence de survenue n est pas connue voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Syndrome de restauration immunitaire Chez les patients infect s par le VIH et pr sentant un d ficit immunitaire s v re au moment de l instauration du traitement par une association d antir troviraux une reaction inflammatoire des infections opportunistes asymptomatiques ou r siduelles peut se produire Des cas d affections auto immunes telle que la maladie de Basedow ont galement t rapport s dans un contexte de restauration immunitaire toutefois le d lai de survenue rapport varie davantage et ces v nements peuvent survenir plusieurs mois apr s l initiation du traitement voir rubrique Mises en sp ciales et pr cautions d emploi Anomalies biologiques Des augmentations de la cr atinine s rique ont t rapport es au cours de la premi re semaine de traitement par le dolut gravir puis une stabilisation a t observ e pendant 96 semaines Dans l tude SINGLE une variation moyenne de 12 6 umol L par rapport l inclusion a t observ e l issue des 96 semaines de traitement Ces variations ne sont pos consid r es comme STE significatives car elles ne se traduisent pas par un changement du d bit de fittration glom rulaire Des l vations asymptomatiques de la cr atine phosphokin
247. us la forme de comprim s s par s 4 2 Posologie et mode d administration Posologie Pour les patients contr l s de mani re inad quate par la metformine seule ou par la metformine associ e d autres m dicaments hypoglyc miants y compris l insuline La dose recommand e est d un comprim deux fois par jour Chaque comprim contient une dose fixe de dapagliflozine et de metformine voir rubrique Composition qualitative et quantitative Les patients contr l s de mani re inad quate par la metformine seule ou en association avec d autres m dicaments hypoglyc miants y compris l insuline doivent recevoir une dose totale quotidienne de Xigduo quivalente 10 mg de dapagliflozine plus la dose totale quotidienne de metformine identique celle d j prise ou une dose appropri e la plus proche th rapeutiquement Lorsque Xigduo est utilis en association avec l insuline ou un s cr tagogue d insuline comme un sulfamide hypoglyc miant une dose inf rieure d insuline ou du sulfamide hypoglyc miant peut tre requise pour r duire le risque d hypoglyc mie voir rubriques Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions du RCP et Effets ind sirables Pour les patients passant de comprim s s par s de dapagliflozine et de metformine Les patients passant de comprim s s par s de dapagliflozine dose totale quotidienne de 10 mg et de metformine Xigduo doivent recevoir les m mes doses quotidienn
248. ustement de la posologie de l une des substances actives est n cessaire Dans ces deux cos le m decin devra se r f rer au R sum des Caract ristiques du Produit de chacun de ces m dicaments Omission de doses En cos d oubli d une dose de Triumeq le patient doit prendre Tiumeq d s que possible s il reste plus de 4 heures avant la dose suivante S il reste moins de 4 heures avant la prise suivante la dose oubli e ne doit pas tre prise et le patient doit simplement poursuivre son traitement habituel Sujets g s Les donn es concemant l utilisation du dolut gravir de l abaconir et de la lamivudine chez les patients g s de 65 ans et plus sont imit es Aucun l ment n indique que les patients g s doivent recevoir une dose diff rente de celle donn e aux patients adultes plus jeunes Une attention particuli re devra tre port e en raison de modifications li es l ge telles qu une diminution de la fonction r nale et une alt ration des param tres h matologiques Insuffisance r nale L administration de Tiumeq n est pos recommand e chez les patients dont la clairance de la cr atinine est lt 50 ml min Insuffisance h patique Une r duction de la posologie de l abacavir peut tre n cessaire chez les patients pr sentant une insuffisance h patique l g re Child Pugh grade A Trumeq ne permettant pas de reduction de la posologie les pr sentations individuelles du dolutegravir de l abacavir ou de la lamivudine devront tre ut
249. utive Echec aux MAT Le traitement fait appel en premi re intention aux changes plasmatiques DIAGNOSTIC Purpura thrombotique thrombocytop nique et activit ADAMTS13 Une valeur diagnostique et pronostique confirm e l activit de l enzyme ADAMTS13 n est pas seulement un l ment cl du diagnostic Une tude r cente montre que c est aussi un marqueur pr dictif d une r ponse aux chan ges plasmatiques La d ficience de ADAMTS13 l enzyme prot olytique du facteur de von Willebrand est pathognomonique du purpura thrombotique thrombocyto p nique PTT Elle a pour cons quence une accumulation plasmatique d un complexe anormalement large du facteur de von Willebrand L incidence des formes idiopathiques du PTT associ un d ficit s v re d ADAMTS13 est estim e environ 2 cas million d habitants ann e avec un risque plus lev chez les femmes et dans la population afro am ricaine En plus d un argument diagnostique la mesure de l activit ADAMTS13 a une valeur pronostique Dans cette tude chez des patients avec un PTT acquis les auteurs ont compar des patients avec une remont e gt 10 de l activit et sans remont e au cours de 7 s ances quotidiennes de EP Cette remont e de l activit gt 10 est significativement associ e une r ponse clinique p lt 0 01 En contraste les patients avec moins de 10 d am lioration de l activit en une semaine ont un mauvais pronostic avec des exacerbat
250. valents ll est recommand de prendre Triumeq 2 heures avant ou 6 heures apr s la prise de ces m dicaments ll est recommand de prendre Tiumeq 2 heures avant ou 6 heures apr s la prise de suppl ments en calcium ou en fer ou alors il devra tre pris avec de la nourriture Le dolut gravir peut entrainer une augmentation plasmatique des concentrations de metformine Les patients doivent faire l objet d une surveillance pendant le traitement et une adaptation posologique de la metformine peut tre n cessaire L association de la lamivudine et de la cladrioine n est pas recommand e Tiumeq ne doit pas tre pris avec un autre m dicament contenant du dolut gravir de l abacavi de la lamivudine ou de l emtrcitabine Effets ind sirables R sum du profil de s curit Les donn es Cliniques de tol rance disponibles avec Triumeq sont limit es Les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s consid r s comme tant possiblement ou probablement relies au dolut gravir et l association abacavir lamivudine donn es pool es issues de 679 sujets naifs de tout traitement antiretroviral ayant re u cette association au cours des essais cliniques de phase lll lllo voir rubrique 5 1 ont t des naus es 12 des insomnies 7 des sensations vertigineuses 6 et des c phal es 6 La plupart des effets list s dans le tableau c apr s surviennent fr quemment naus es vomissements diarrh e fi vre l thargie eruption cutan e ch
251. vir et la ribavirine dans les tudes cliniques de phase 3 bien que la fr quence de certains effets ind sirables tait augment e 10 patients 29 4 ont eu au moins une valeur d h moglobine inf rieure 10g dl apr s inclusion 10 patients sur 34 29 4 ont eu une modification de la dose de ribavirine en raison d une diminution de l h moglobine et 2 9 1 34 ont interrompu le traitement par la ribavirine La modification de dose de ribavirine n a pas eu d impact sur les taux de RVS 5 patients ont eu besoin d erythropoietine tous recevaient une dose quotidienne de 1000 1200 mg l initiation Aucun patient n a recu de transfusion sanguine Patients co infect s VIH VHC Le profil de s curit d emploi global chez les patients co infect s par le VHC et le VIH 1 tait similaire a celui observ chez les patients mono infect s Des l vations transitoires de bilirubine totale gt 3 x LSN principalement indirecte sont survenues chez 17 patients 27 0 15 de ces patients recevaient de l atazanavir Aucun des patients ayant une hyperbilirubin mie n avait pr sent d l vations concomitantes des aminotransf rases Population p diatrique La s curit de Viekirax chez les enfants et adolescents g s de moins de 18 ans n a pas encore t tablie Aucune donn e n est disponible D claration des effets ind sirables suspect s La d claration des effets ind sirables suspect s apr s autorisation du m dicament est im
252. vons aussi inclure des publi cit s sur les terminaux proposer un cran couleur y ins rer une image et m me produire un sondage de satis faction dessus Vous proposez galement le service de conversion automatique des monnaies DCC En quoi est ce un avantage Dans le secteur m dical et en plus dans un pays comme le Luxembourg o la client le internationale est im portante la DCC Dynamic Currency Conversion est un vrai atout Le patient peut voir le montant qu il doit payer converti en sa devise tout de suite et peut ainsi choisir s il veut payer en euros ou avec la monnaie dont il a l habitude Le m decin m decin dentiste ou pharmacien quant lui re oit toujours le paiement en euros sur son compte Le taux de change est mis jour plu sieurs fois par jour et il reste comp ti tif sans rajouter des frais pour lui En plus la DDC est facile activer et ne complique en rien la transaction INTERVIEW PX Y a t il d autres choses que vous proposez que les m decins m decins dentistes ou pharmaciens appr cient plus particulierement En plus de la location des terminaux de paiement Worldline offre la possi bilit de les acqu rir et c est un inves tissement plus qu int ressant m me a court terme Cela donne aussi un choix suppl mentaire a nos clients ce qui demeure l un de nos objectifs principaux Nous nous adaptons tou jours la situation financi re de cha cun afin qu il

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