Du nouveau sur l`analgésie postopératoire
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1. pour Patient Controlled Analgesia _ naa Signifie Analg sie Contr l e par le Patient Anesth sie loco r gionale avec cath ter pos avant ou pendant l intervention Une pompe contenant une r serve de morphine ou d un d riv de la morphine est reli e un bouton poussoir Une pression r alis e par le patient provoque l injection d une Kin sith rapie aide la respiration la toux mobilisation avec dose programm e l avance Son utilisation est sans lev e pr coce massage danger gr ce aux r glages de s curit pr vus par le m decin Il existe une p riode d interdiction pendant laquelle une nouvelle demande du patient n est pas prise en compte Cette technique permet de maintenir une concentration de Cath ter p ri cicatriciel Posture et confort Diff rentes classes m dicamenteuses morphine dans l organisme adapt e au niveau de douleur Cette concentration est obtenue initialement gr ce une Antalgique de diff rentes classes du parac tamol la morphine titration r alis e en salle de r veil et ses d riv s La PCA permet un contr le actif du patient sur sa Ces antalgiques sont d but s avant et pendant l intervention La douleur Elle s adapte chaque chaque patient Elle est salle de r veil ou salle de surveillance post utilis e associ e d autres techniques apr s une chirurgie interventionnelle SSPI permet d adapter plus finement le niveau de2. Du nouveau sur la douleur postop ratoire Pourquoi la douleur postop ratoire La douleur est traditionnellement per ue comme un signal d alerte de l organisme qui pr vient d une l sion tissulaire Mais ce n est pas un message binaire Le message douloureux d pend de syst mes de contr le et il est int gr diff rents niveaux dans le cerveau Les syst mes de contr le r sultent aussi d un quilibre entre des syst mes facilitateurs et des syst mes inhibiteurs de la douleur Lorsqu un message douloureux arrive l quilibre entre les syst mes facilitateurs et inhibiteurs est rompu Si le message persiste dans l organisme le syst me nerveux se modifie On parle de plasticit neuronale Pour une m me stimulation la sensation de douleur est major e On parle d hyperalg sie Elle r sulte d une cascade de r actions chimiques complexes Ces r actions rendent les neurones plus facilement excitables Ils fabriquent galement des prot ines et modifient leurs connexions Un r cepteur membranaire appel NMDA joue un r le dans cette cascade d activation Saviez vous que la morphine et ses d riv s que lon utilise pour calmer les douleurs fortes pendant et apr s l op ration sont aussi responsables du ph nom ne d hyperalg sie Ces ph nom nes sont responsables de la sensibilisation de organisme un nouveau message douloureux Ils peuvent conduire des douleurs persistantes Pourquoi pr veni
3. douleur moyen lev traitement en fonction de l valuation de la douleur administration de Co antalgiques et ou titration en morphine ou ses d riv s e utilisation de la PCA apr s titration en salle de r veil Anti inflammatoire Anti naus eux Adapt es au patient et l valuation r p t e de sa douleur Qu est ce qu une titration Une titration en morphine consiste faire des injections r p t es de fa on atteindre la dose minimale efficace pour calmer la douleur de l estomac Quelles sont les perspectives d avenir Les techniques existantes sont d une grande efficacit Il faut maintenir ce haut niveau de qualit en maintenant les bonnes pratiques actuelles de l analg sie multimodale et en diffusant les techniques nouvelles anesth sie loco r gionale avec rep rage par chographie infiltrations p ricicatricielles bonne utilisation des mol cules antalgiques et antihyperalg siques Les techniques non m dicamenteuses doivent aussi tre encourag es D autres mol cules antihyperalg siques sont l tude Quant aux nouveaux m dicaments contre la douleur ils pourraient avoir pour cible d autres voies de r gulation de la douleur comme le syst me anti opioide D partement d Anesth sie du CHIPS Octobre 2009
4. ion de l hyperalg sie e Utilisation mod r e des d riv s de la morphine Infiltration de la cicatrice et du site op ratoire une technique en progression Technique simple e Injection d un anesth sique local sous la peau ou sous les muscles Elle peut tre compl t e par la mise en place d un cath ter p ri cicatriciel qui permet une injection continue apr s la chirurgie Technique efficace Dans la chirurgie superficielle Mais aussi dans la chirurgie majeure digestive gyn cologique ou orthop dique B n fices av r s e Diminution de la consommation de morphine Am lioration des suites op ratoires Acc l ration de la convalescence en chirurgie digestive Anesth sie locor gionale continue pour chirurgie du genou Une pompe lastom rique est reli e au cath ter laiss proximit du nerf f moral Cette pompe peu encombrante d livre l anesth sique local en d bit continu Cette technique assure une maitrise de la douleur pendant toute la dur e de la perfusion La patiente peut se mobiliser plus facilement et peut b n ficier d une kin sith rapie active pr coce Le mat riel de perfusion est identique pour les cath ters p ricicatriciels D partement d Anesth sie du CHIPS Octobre 2009 Du nouveau sur la douleur postop ratoire Apr s l op ration L analg sie multimodale associe Quel est le principe d une PCA Diff rentes techniques Ce sigle anglo saxon
5. r la douleur et l hyperalg sie La bonne gestion de la douleur postop ratoire assure le confort de l op r Elle pr vient les complications respiratoires et cardiaques des patients fragiles On pense qu elle pr vient aussi la formation de douleurs chroniques plus difficiles prendre en charge par la suite Quelle strat gie autour de l op ration Une prise en charge moderne de la douleur postop ratoire consiste bloquer le plus t t possible le message douloureux et pr venir la formation de l hyperalg sie On utilise pour cela des mol cules antalgiques et antihyperalg siques pendant l op ration et m me avant d s la pr m dication Actuellement on limite l utilisation des d riv s de la morphine leur strict n cessaire On comprend que l anesth sie locor gionale qui consiste bloquer le message sur le trajet des nerfs soit aussi un moyen efficace utiliser largement On peut administrer les anesth siques locaux en injection unique ou en perfusion continue pour prolonger leur action Enfin des moyens non pharmacologiques contribuent aussi pr venir la douleur On utilise donc diff rentes cibles pour ma triser la douleur et pr venir lhyperalg sie Cette pratique s appelle l analg sie multimodale L efficacit des techniques s additionne ou se multiplie permettant ainsi de diminuer les doses des m dicaments ayant des effets secondaires comme la morphine Avant l op ration Informe
6. r le patient B n fices et risques de diff rentes techniques Principe de l valuation de la douleur Principe d une titration en salle de r veil Mode d emploi d une PCA pompe morphine Anticiper l analg sie post op ratoire par e Des m dicaments antalgiques parac tamol Des m dicaments antalgiques et anti hyperalg siques e Gabapentine c est un anti pileptique dont le r le anti hyperalg sique t r cemment mis en vidence e C l coxib cest un anti inflammatoire sp cifique tr s efficace contre la douleur e D autres m dicaments diminuent lanxi t et tamponnent l acidit gastrique Pendant l anesth sie Anticiper l analg sie post op ratoire par Anesth sie loco r gionale seule ou associ e l anesth sie g n rale e Sur les troncs nerveux ce sont les blocs nerveux e Au niveau de la moelle pini re c est l anesth sie p ridurale ou la rachianesth sie Possibilit de prolonger l effet de l anesth sie locor gionale laide d un cath ter p rinerveux bloc f moral sciatique poplit axillaire e infiltration d anesth sique local par le chirurgien Position soutien cervical pour la chirurgie de la thyro de R chauffement syst matique avec couverture air puls e Traitements m dicamenteux e antalgiques e anti naus eux comprenant des corticoides qui ont aussi une action contre la douleur e K tamine qui a un effet anti NMDA en pr vent
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