COMPTE RENDU DU SEMINAIRE DU 20 NOVEMBRE
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1. lev que cela pourrait entra ner Le march fait l objet d une proc dure n goci e sans publicit Les 15 fournisseurs habituels ont t consult s 8 ont fait offre qui ont toutes t analys es Au moment du s minaire les march s 40 lots n avaient pas encore t octroy s Des fournisseurs pr sentent leurs d marches Des changes fructueux suivirent entre fournisseurs et collectivit s publiques int ress es s orienter vers des produits issus de meilleures conditions de production Ces changes ont permis aux fournisseurs de prendre connaissance des difficult s que peuvent rencontrer les collectivit s publiques face ce type de march Il a galement permis aux collectivit s de se rendre compte que des fournisseurs taient capables de r pondre prix comp titifs leurs demandes Henk Vandendriessche de l entreprise Utexbel fabricant de tissus sp ciaux destin s notamment la confection de v tements de travail et EPI et r alisant 2 de sa production partir de coton labellis commerce quitable a montr qu alors que le co t de production d 1 m tre de tissu normal revient 4 euros la m me longueur de tissu revient 4 3 euros s il est fabriqu en coton labellis commerce quitable et 4 6 euros pour un coton bio et quitable La diff rence s av re donc tr s faible Certes la mati re premi re ne compte que pour 8 du prix final du v tement et sa certification n au2. leurs v ux une meilleure coordination entre fournisseurs qui d sirent r pondre des cahiers des charges int grants des crit res cologiques et sociaux La f d ration d entreprises FEDUSTRIA a mis en place un workshop sur les aspects environnementaux li s au bois SAW B chapeaute les initiatives d entreprises sociales notamment en mati re de blanchisserie quand une initiative cr dible autour du v tement de travail et promotionnel du conseil l ac coconso actions consommateurs travailleurs Place de l Universit 16 Rue Nanon 98 1348 Louvain la Neuve 5000 Namur achacteurs achact be info achatsverts be T l 010 45 75 27 T l 081 730 730 Visionnez les pr sentations des intervenants e Le march des v tements ses fili res et ses enjeux environnementaux sociaux sanitaires Catherine Mar chal coconso et Carole Crabb achACT e Quels crit res pour un v tement durable Les labels et outils de contr le L a Champon coconso et Carole Crabb achACT e Que permet la loi La l gislation en mati re d int gration de crit res environnementaux et sociaux Julie Bockourt Elegis e Exp rience de la commune d Anderlecht Christophe Bourgois Organismes certificateurs e Le label Oeko Tex confiance textile Marc Gochel Centexbel e Textiles certifications For a green amp ethical fashion Vincent Duret ECOCERT D marches de fournisseurs distributeurs e Utexbel Henk Va
3. lioration et de dialogue social Par contre des syst mes multipartites impliquant notamment des repr sentants des travailleurs et d veloppant avec l entreprise un processus d am lioration continue portent des fruits C est notamment le cas de la Fair Wear Foundation qui ne se revendique pas comme un label qui refuse d assurer 100 de conformit ses crit res mais qui garantit l engagement de ses membres sur base de plans de travail et de rapports publics Ceci n est pas une conclusion Ce ne fut heureusement pas la conclusion de la journ e mais Marc Gochel de Centexbel a voulu soulign que le principal objet du march public restait de r pondre des crit res techniques il en va parfois de la s curit de l utilisateur et qu il ne faudrait pas que des crit res environnementaux ou thiques se substituent ceux ci Dirk Piret r pondra que ce n est pas parce qu un produit est Fair Trade issu d une entreprise membre de la FWF ou GOTS qu il n est pas de bonne qualit technique La liste indicative des fournisseurs potentiels pouvant r pondre des crit res environnementaux et sociaux incluse dans le Mode d emploi le montre souhait elle comprend des marques internationalement reconnues de v tements de travail et des fournisseurs et imprimeurs de v tements promotionnels parmi lesquels des leaders europ ens A quand un r seau de fournisseurs engag s Boucler la boucle Pour cela les acheteurs appellent de
4. JONNELS PONSABLES TS DE TRAVAIL ET PROMOT V TEMEN CIALEMENT RES COLOGIQUES ET SO Le mardi 20 novembre 2012 COMPTE RENDU DU SEMINAIRE DU 20 NOVEMBRE 2012 dl si erts be Achat Public cologique et socialement responsable V tements de travail et promotionnels Retour sur le s minaire du 20 Novembre 2012 Bouge Les march s publics de v tements de travail ou promotionnels sont valu s quelque deux milliards d euros par an l chelle europ enne Les achats publics repr sentent d ailleurs environ la moiti du march des v tements de travail C est dire le levier d influence que constitue l engagement des collectivit s publiques en faveur de meilleures conditions de production De la production la fin de vie le secteur textile est en effet source d e impacts sociaux dans la majorit des cas confection dans des pays bas salaires o les droits fondamentaux des travailleuses et des travailleurs ne sont pas contr l s ne sont pas respect s ou parfois m me ne sont pas garantis par la loi e impacts environnementaux utilisation intensive de pesticides la production consommation excessive d eau douce pollution des sols et des eaux missions de gaz effet de serre lors des transports Par leurs achats les collectivit s publiques ont en main un moyen concret d orienter l offre vers une meilleure durabilit conomique sociale et environnementale Une d marche d a
5. act avec achACT l occasion du passage du Petit Train citoyen en juillet 2012 l acheteur communal a modifi le cahier des charges r dig pour l acquisition de v tements de travail La principale modification a port sur l intitul du march comme propos dans le mode d emploi Cela a permis d annoncer la couleur aux fournisseurs et d int grer de nouvelles clauses Objet du march Acquisition pour l ann e 2012 de v tements de travail de chaussures de protection et d quipements de protection fabriqu s dans le respect de l environnement et dans des conditions de travail respectueuses des droits fondamentaux des travailleurs employ s dans les usines de confection Clause d exclusion Engagement obligatoire au respect des 8 conventions de base de l OIT autres normes habilitantes Moyen de preuve d claration sur l honneur Pr f rences d attribution Prix principal crit re d attribution Pr f rence pour des produits disposant soit d un label environnemental ou quivalent soit d un label social ou quivalent Pr f rence d attribution pour des fournisseurs soit disposant d une certification SA8000 ou quivalent soit adh rant un syst me de v rification multipartite FLA FWF Remarque Il s agit de clauses de pr f rence et pas d obligation car c est la premi re ann e que cette d marche est effectu e et la commune exprimait des craintes par rapport au co t plus
6. gage s approvisionner 90 au moins aupr s d entreprises membres de la FWF Quant la toute neuve entreprise bruxelloise Stanley amp Stella elle a voulu d embl e se positionner comme producteur responsable tant sur le plan cologique que sur le plan social Outre son engagement au sein de la FWF Stanley amp Stella propose des produits certifi s GOTS Bruno Van Steenberghe mentionne cependant que cette certification ne peut pas s appliquer aux T shirts 50 coton 50 polyester car le pourcentage de fibres bio est dans ce cas inf rieur aux standards C est la raison pour laquelle Stanley amp Stella envisage d obtenir le label OE 1100 et OE Blend d s 2013 Trucs et astuces des acheteurs Du c t des acheteurs publics a galement t mise en vidence l importance d analyser le march pr alablement l appel d offres Cette analyse permet de confronter les exigences de l acheteur l offre effectivement disponible Coupl e en interne une concertation entre les diff rents services concern s et une identification des besoins l analyse du march est d terminante pour assurer un march durable fructueux Elle permet non seulement d valuer si le march peut trouver soumissionnaire mais galement comme l a montr Christophe Bourgois coordinateur Agenda 21 de la Commune d Anderlecht d envisager une r partition du march en lots afin d optimaliser les crit res environnementaux et sociaux Michel Wanet
7. gure en rien des conditions de travail et de respect de l environnement au cours des autres tapes de production Mais Henk Vandendriessche s tonne n anmoins des grandes diff rences de prix parfois pratiqu es Si Utexbel reste d pendante des organismes certificateurs pour assurer la qualit de ses mati res premi res le respect de normes environnementales ou sociales passe aussi par les pratiques inh rentes de l entreprise Ainsi Utexbel affirme ne pas se fournir en viscose hors d Europe car faute de l gislation contraignante et contr l e les impacts environnementaux de la production de viscose peuvent tre normes A l autre bout de la cha ne et en mati re cette fois de v tements promotionnels le distributeur imprimeur ACP et le producteur de T shirts imprimables Stanley amp Stella sont venus t moigner de leur adh sion la Fair Wear Foundation FWF Ce syst me de v rification est jug le plus cr dible par achACT pour le respect des droits des travailleurs l tape de la confection du fait de son code de conduite complet de la d marche progressive et contractualis e de la mise en uvre du code dans les fili res d approvisionnement de son mode de contr le notamment bas sur la participation effective des travailleurs concern s et par sa transparence travers des rapports annuels concernant chaque entreprise disponibles en ligne Dirk Piret d ACP expliquera qu en tant qu ambassadeur de la FWF il s en
8. l label environnemental GOTS a t pr sent par Vincent Duret de l organisme de certification Ecocert Le label GOTS a l ambition de recouvrir quatre domaines fibre bio environnement sant et crit res thiques Il ne se focalise pas seulement sur la fibre mais sur tout le processus de fabrication Carole Crabb d achACT mettra cependant en vidence que l acheteur d un produit labellis est en droit d exiger une conformit 100 du produit et le cas ch ant de son processus de fabrication avec les standards du label Si cela peut sembler possible en mati re environnementale c est bien plus hasardeux en mati re sociale Ayant particip des visites d usines dans le cadre d un projet de l Organisation Internationale du Travail au Bangladesh poursuivant l objectif d radiquer le travail d enfants dans l industrie de l habillement Carole Crabb signale que m me impromptus ces contr les ne permettaient pas de d celer ou non la pr sence d enfants L attente la porte de l usine avant d acc der aux lieux de production laissait tout loisir la direction de dissimuler les ventuels enfants employ s dans les ateliers Que penser de l effectivit de contr le r alis ponctuellement En mati re sociale et l exception de quelques rares produits niches provenant de fili res courtes ou d tenues en propri t par le fournisseur socialement engag la labellisation ne remplace pas un processus continu d am
9. mettaient en avant le fait que les entreprises sont pr tes r pondre ce nouveau type de march Tracer le cadre enjeux et crit res Catherine Mar chal L a Champon d coconso campagne Achats Verts et Carole Crabb d achACT auteures du Mode d emploi de l achat public cologique et socialement responsable Sp cial v tements de travail et v tements promotionnels ont trac le cadre de la journ e en pr sentant le march les fili res et les principaux enjeux environnementaux sociaux et sanitaires Elles ont poursuivi en d veloppant les crit res prendre en compte pour un v tement durable et en pr sentant les labels et syst mes de contr le existants Des cahiers des charges et des proc dures confort s par la jurisprudence La pr sentation tr s compl te de Julie Bockourt avocate experte en march s publics au bureau juridique El gis et les changes auxquels elle a donn lieu ont galement permis de rassurer les collectivit s pr sentes Ils ont notamment mis en vidence la jurisprudence europ enne favorable la prise en compte de crit res environnementaux et sociaux et l importance cl d int grer les crit res retenus dans l objet du march afin de ne pas limiter leur prise en compte aux crit res d ex cution mais de pouvoir l tendre aux crit res de s lection voire de cotation des offres Anderlecht premier essai d achat durable de v tements en cours Suite une prise de cont
10. ndendriessche e Stanley amp Stella Bruno Van Steenberghe 2 coconso A du conseil l actior actions t L e PR e LISTE DES PARTICIPANTS Nom Pr nom Organisation Fonction ADAM Jean Paul SPW Premier Assistant BOCKOURT Julie El gis Avocate BOURGOIS Christophe Anderlecht Secr taire d administration CAUDRON Jean Marc achACT Animateur CHAMPON L a coconso Charg e de mission Achats Verts CRABBE Carole achACT Coordinatrice Directri spart t DANS Sophie Anderlecht A Lens tele Pr vention et coh sion sociale A PE Ing nieur Service de l DE CLERCK Dieter Police F d rale Bxl o Equipement individuel DESUENNE Dominique SPW Attach e DRAPS Martine Evere Cellule March s Publics DURET Vincent ECOCERT Textile Department Manager GERARD Danielle Rixensart Employ e d administration GHISLAIN J r me lpalle SCRL Adjoint en communication Market health GOCHEL Marc Centexbel H ts safety amp security GUICHARD Sylvie Anderlecht Coordinatrice au SIPP HENGEL Alexia achACT Collaboratrice juriste Ville de Bruxelles Conseiller adjoint responsable du magasin et des commandes JACOBS Murielle MANCHE David lpalle SCRL MARCHAL Laurent Intradel PAPANE GRO NENEN recyparcs Ville d Ottigni MARCOUX Thierry Nad Oignies LLN MARECHAL Catherine coconso Charg e de mission Achats Verts Ville d Ottig
11. nies MEEUS Yves LLN MOREAU Sylvie Intradel Conseill re Juridique PARMENTIER Catherine achACT Charg e de communication personnel niveau C responsable PUCHOL Alfonso Ville de Bruxelles f habillement REMY Jo lle Anderdechi Assistante Ankore la centrale d achat RIXEN Jean Fran ois coconso Secr taire g n ral VAN HOECK Frieda diede aes A ONR aN E repena du magasin et de l habillement VAN ROMPAEY Julie Ixelles Service Centrale d achat VAN STEENBERGHE Bruno Stanley amp Stella Sourcing amp Sustainability Manager VANBEGGELAER Anne Woluw St lambert Architecte principal FR VANDENDRIESSCHE Henk Utexbel Area manager Woluw St aes VANDER ELST Sven ee Chef de division NL Lambert Chef de service achats v tements Michel Namur a de travail WANET Programme 8h30 9h00 9h00 9h15 9h15 10h00 10h00 1 1h00 11h00 T1h15 11h15 12h00 12h00 13h00 13h00 14h00 14h00 14h15 14h15 16h00 16h00 d ds Accueil et caf Mot d accueil Le march des v tements ses fili res et ses enjeux environnementaux Sociaux Sanitaires coconso et achACT Quels crit res pour un v tement durable Les Labels et outils de contr le coconso et achACT T Pause caf Que permet la Loi La l gislation en mati re d int gration de crit res environnementaux et Sociaux Pause d jeuner Exemples de bonnes pratiques e Du c t des fabricants La conception d un v
12. on March s publics des 19 communes de Bruxelles Capitale largement repr sent lors de notre s minaire Les Agenda 21 a aide Les acheteurs pr sents furent unanimes sur le constat qu il est plus facile de travailler sur des achats durables sur base d un engagement politique de la Commune notamment travers un Agenda 21 Cela conforte le march l galement Mais tout aussi important cet engagement cr e une mulation y compris au sein des travailleurs de la commune parmi lesquels se trouvent les utilisateurs des v tements achet s Obtenir leur soutien est un gage de r ussite du projet qui pourrait occasionner par ailleurs des changements d habitudes d autres r gles d usage etc Vous avez dit label Pour l acheteur public rien de tel qu un label pour garantir la correspondance d un produit aux standards recherch s Encore faut il conna tre ce que recouvre chacun d entre eux pouvoir faire confiance l organisme certificateur savoir si le label correspond effectivement l article qui fait l objet du march et pouvoir v rifier la p riode de validit Marc Gochel de Centexbel a pr sent le label Oeko Tex confiance textile Le label Oeko Tex 100 est de loin le plus usit des labels sur les V tements Il s agit d un label sant de l utilisateur pas de qualit Le label environnemental Oeko Tex 1000 est pour sa part d cern une cinquantaine d entreprises travers le monde Autre principa
13. responsable de la centrale d achats de la ville de Namur a quant lui indiqu que si d aventure un fournisseur choisi en fonction de crit res sociaux ou cologiques peut s av rer plus on reux des conomies peuvent tre r alis es travers une meilleure gestion des achats et de l entretien En l occurrence dans le cas pr sent l abandon du forfait entretien des v tements pour un paiement la pi ce qui a permis 30 d conomie sur ce poste La grande solitude de l acheteur public Christophe Bourgois a suscit bien des connivences dans l assembl e en voquant ce moment d isolement de l acheteur quand il faut v rifier la concordance des offres qu il y a plus de 40 lots truff s de labels et de certificats que l acheteur ne conna t pas et dont la date de validit doit chaque fois tre v rifi e que c est loin d tre le seul march Anderlecht s est dot d un Agenda 21 en 2010 qui int gre la volont de la commune d tre exemplaire en mati re d achats durables Mais les contraintes budg taires impos es par la tutelle ne rendent pas simple l exercice de ce choix La solitude de l acheteur est heureusement et de plus en plus contrebalanc e par la mise en r seau d acheteurs publics qui y mutualisent leurs exp riences La R gion Bruxelles Capitale est pionni re en ce sens avec le R seau d acheteurs durables mis en place par Bruxelles Environnement et le GTI MP BXL Groupe de travail et d informati
14. tement de travail cologi quement et socialement responsable principes et cas concret e Du c t des acheteurs T moignage d une collectivit Pause et r partition des participants en Workshops Workshops 3 th mes e WORKSHOP 1 L ambition des acheteurs rencontre t elle celle des fabri cants Echange avec des fabricants et distributeurs e WORKSHOP 2 Eviter les risques juridiques et la discrimination Echange avec Un juriste sp cialis dans les march s publics e WORKSHOP 3 Quelles sont les opportunit s les difficult s et les Solutions lors de l int gration de crit res durables dans les march s publics Echange avec la les collectivit s Drink de cl ture spw e TE n a iati
15. utant mieux venue qu elle accompagne une prise de conscience grandissante des entreprises et que les dispositions l gales encouragent en ce sens Cette d marche a galement le m rite de d montrer aux citoyens l engagement concret de leurs administrations et mandataires en faveur d un d veloppement durable et de servir d exemple Pour soutenir l engagement des collectivit s publiques achACT et la campagne Achats Verts d coconso ont organis le 20 novembre 2012 un s minaire sur lachat public de v tements de travail et promotionnels cologiquement et socialement responsables Les objectifs de la journ e taient de d couvrir le march et les fili res complexes du secteur des v tements de travail d identifier les enjeux sociaux environnementaux et sanitaires qui y sont li s et d aider les collectivit s publiques dans la conception de march s publics de cahiers de charge et de l valuation des offres r pondant ces enjeux La journ e a rassembl des responsables achats des repr sentants de services techniques des co conseillers issus de collectivit s locales et r gionales int ress es par l int gration du d veloppement durable leurs pratiques d achat public voir la liste des participants en page 8 et 9 Des experts du secteur fabricants distributeurs et organismes certificateurs taient galement pr sents afin d changer leur vision de la probl matique avec les participants Par leur pr sence ils
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