L`atelier du médicament
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1. Dans ce cas de figure le taux de criticit obtenu est gal 8 2X4 L avant derni re tape a consist prioriser les risques en fonction de leur taux de criticit 16 et 12 risque majeur 9et8 risque lev Get4 risque moyennement ma tris 3 2 1 risque ma tris Enfin des regroupements d Unit s Fonctionnelles UF en fonction de la nature du risque et du taux de criticit ont t r alis s Le prochain travail qui d butera en septembre verra la mise en place de groupes de travail r unis sant les membres de la Commission de Soins Infirmiers et de R ducation M dico Technique CSIRMT l encadre ment et les professionnels des UF concern es afin de mettre en uvre les solutions propos es dans le projet de soins 2006 2010 voire m me de les enrichir L ensemble de cette r flexion a fait l ob jet d un crit consultable aupr s des membres de la CSIRMT de la Direction qualit et de l encadrement NOUVEAUT _ t J Prise de fonctions Mr La titia Navy Directeur Adjoint a pris ses fonctions la Direc tion des Relations Humaines et de la For mation Continue le 3 septembre 2007 Elle a occup les fonctions de chef d tablissement la Maison de retraite d Hondschoot puis de Direc teur des Services conomiques et logistiques au CHU de Pointe Pitre Durant cette p riode elle a gale ment assur l int rim de la DRH pen dant 2 ans Son attrait pour2. 51 Inauguration Unit s Tourquennoises de Psychiatrie Espaces innovants en sant mentale Une architecture d di e aux soins le ctobre 2007 en pr sence de M Dominique Deroubaix M Joseph Halos D Christine Lajugie D Catherine Thevenon Gignac D Nicolas Lalaux Directeur de publication J Halos Directeur Responsable de publication Communication Membres du comit de r daction Technicienne de l Information M dicale P Delagrande Directeur des Soins Adjoint B Deleplancque M decin V Dessenne Chef de bureau DPEIMP S Duborper Cadre de Sant 59G16 M Dumetz Adjoint des Cadres DAFCI D Duthoit Cadre de Sant Direction des Soins D Fournier Infirmier 59G25 B Gevaert Cadre de Sant 59G16 P Grajda Cadre de Sant 59G16 L Jakubiak Ing nieure Qualit Souplet du Travail EPSM Lille M tropole Directrice Qualit Secr tariat de r daction Service Communication Mise en page K Drode Photos M Gomber Illustrations G Scotte J F Devos R alisation Service Communication Impression Kubis Print Ce num ro a t tir 3200 exemplaires N ISSN 1266 2186 E PS M BP 10 59487 Armenti res cedex T l 03 20 10 20 O2 L EPSM Mag est imprim sur papier recycl EPSM Mag consultable sur le site internet S Weill Responsable V Carpentier Valeurs et strat gie de la Direction des Soins La direction des
3. d Armenti res environ 10 des mamans sont vues par l quipe d intervention en maternit Pour une articulation globale les praticiens hospitaliers de cette Le rapport de la HAS est disponible sur l Intranet Pour toute information vous pouvez consulter le site suivant http ifr69 vif inserm fr compaqh EPDS Edinburgh Postnatal Depression Scale quipe ont form les quipes de la maternit la relation d aide EPSM Mag Novembre 2007 n 51 Isabelle Souplet Sylviane Duborper St phanie Weill Ve Dore c ur 2 mt dater CREME Eute term mes ED E ie Dee at saute sem Naes Aunis Patate CAD Tonies oua heu ae une Porc muets Mer termmgr n eroro m a camera ss Ms Bimari Puet V ronique Carpentier Didier Duthoit EPSM Mag Novembre 2007 n 51 Formateurs Om ga France Les 11 formateurs Om ga France de l EPSM Lille M tropole viennent d obtenir leur recertification par l Association paritaire pour la Sant et la S curit du Travail du Secteur Affaires Sociales ASSTSAS Cette recertification programm e tous les 2 ans a t d livr e par 2 profession nels qu b cois de l ASSTSAS lors dela session organis e Armenti res du 2 au 13 octobre 2007 Chantier Reliance W Les uvres collectives r ali s es par de jeunes adultes des villes de Tourcoing et Neuville en Ferrain ont t expos es au local culturel et citoyen de Tourcoing en septembre 2007 C
4. la fonc tion la volont de travailler en quipe et l envie de d couvrir l univers de la sant mentale l ont naturellement conduite l EPSM Lille M tropole Les orientations de la DRHFC se d cline ront en 4 axes La valorisation par le travail valuation des professionnels promotions professionnelles forma tion continue int grations par Concours La reconnaissance dans la souffrance accompagnement des professionnels victimes d accidents de travail d agression o de difficul t s financi res suivi des accidents de travail Le d veloppement de la com munication par un travail en quipe au sein de la DRHFC et avec le corps m dical l encadrement et chaque professionnel Aller la rencontre des professionnels et tre disponibles proposer une DRHFC ouverte Les relations humaines privi l gier l humain l coute la transpa rence et l quit Dons du sang A l EPSM Lille M tropole de 8h 11h30 et de 14h 16h30 11 d cembre 2007 18 mars et 17 juin 2008 EPSM Mag Novembre 2007 n 51 Avenir prometteur pour CARIATIDES Le Dossier Patient Informatis avec le logiciel CARIA TIDES se met en place progressivement D abord depuis janvier 2007 par l enregistrement des donn es du Recueil d Information M dicalis en Psychiatrie RIM P puis depuis octobre par prescriptions m dicamenteuses pour l informatisation des les patients hospitalis s aux Unit s Tourquen
5. la situa tion comment garder un semblant d objectivit politique dans un contexte o simplement habiter Na plouse avec les Palestiniens est en soi un geste politique Je me ferai un plaisir de rencontrer et de r pondre aux questions de qui conque en exprimera l envie Pour Plus d infos Voici un lien vers le site M decins du Monde qui d crit bri vement les activit s dont j tais coordonnatrice http www medecinsdumonde org fr nos_missions etranger terri toires_palestiniens Mon blog http marifnaash blog lemonde fr 2007 03 15 gazala sortie t l 03 20 10 23 75 Catherine Dugarin DOSSIER RP NOUVEAUT ne Les interventions concernant la relation pr coce m re enfant Score EPDS transmis au m decin g n raliste Si la maman rel L originalit de cette d marche r side dans le d pistage syst matique par auto questionnaire D Robert Jeanson Praticien Hospitalier p le 59G07 Mode d emploi Auto questionnaire EPDS remis la maman par la sage femme et r cup r 2 3 heures plus tard t Si l EPDS met en vidence un risque de d pression l quipe psychiatrique rencontre la maman le lendemain lors de son intervention quotidienne La maman est inform e de la rencontre par la sage femme Entretien entre la maman et ou le papa avec un membre de l quipe d intervention t t ve du secteur Date de Cr ation janvier 2
6. soins a labor son projet de soins pour la p riode 2006 2010 Il se d clinera au travers de 7 th matiques et 200 actions a l gitimit du projet de soins est rappel e dans l ordonnance 2005 406 du 02 mai 2005 simpli fiant le r gime juridique des tablisse ments de sant L article L 6146 9 du d cret du 26 D cembre 2005 dispose que la Com mission des Soins Infirmiers de R du cation et M dico Techniques CSIRMT est consult e sur 1 L organisation g n rale des soins infirmiers de r ducation et m dico techniques et de l accompagnement des malades dans le cadre du projet de soins infirmiers de r ducation et m dico techniques 2 La recherche dans le domaine des soins infirmiers de r ducation et m dico techniques et l valuation de ces soins 3 L laboration d une politique de formation 4 L valuation des pratiques profes sionnelles 5 La politique d am lioration conti nue de la qualit et de la s curit des soins 6 Le projet d tablissement et l orga nisation interne de l tablissement S agissant du projet de soins 2006 2010 il se d cline en EPSM Mag Novembre 2007 n 51 v 7 th mes 45 objectifs 200 actions Un travail associant les membres de la Commission des Soins Infirmiers de R ducation et M dico Techniques les Cadres Sup rieurs de Sant les Cadres de Sant et l ensemble des quipes sous la responsabilit de la Direc
7. 003 Missions Principales d pister les troubles pr coces des interactions m re enfant et l ensemble des troubles psychopa thologiques d pression post natale troubles psychiques troubles anxieux fournir un accompagnement psychologique aux quipes en maternit suivi des grossesses forma tion la relation d aide Nombre d interventions par an environ 150 Composition de l quipe 3 praticiens hospitaliers 1 interne et 1 infirmi re Lieux d intervention et fr quence intervention de l quipe la maternit d Armen ti res 5 jours sur 7 Compte rendu oral et crit la Maternit Quelques Chiffres Si la ol ne rel ve pas du secteur temps de r ponse interminables et de bugs r currents Les aides la saisie avec CARIATIDES permettent un gain de temps non n gligeable Les inter venants enregistrent de plus en plus eux m mes leur activit noter que le DIRM se tient la disposition de l en semble des intervenants qui souhai tent enregistrer directement leur acti vit dans CARIATIDES Actuellement la gestion des mouve ments se poursuit toujours sur Axigate en attendant que CARIATIDES int gre cette fonctionnalit D veloppement pr vu pour d but 2008 L envoi des donn es RIM P des 1 et 2 trimestres l Agence R gionale de l Hospitalisation a t r alis avec succ s fin ao t L envoi suivant ayant eu lieu fin octobre 2007 CARIATIDES et la prescriptio
8. INFORMATIONS HOSPITALI RES e L atelier du m dicament Le traitement m dicamenteux occupe une place essentielle du dispositif de soins en sant mentale pendant et apr s l hospitalisation la demande d information crois ante des patients tant vis vis des effets ind sirables des m di caments que des propri t s th rapeu tiques Cette activit est int gr e par l quipe soignante dans la d marche de soins des patients L atelier du m dicament a pour objectifs de donner aux patients l opportunit d exprimer librement leur v cu et leurs questions au sujet des m dica ments donner des informations simples aux patients effets du traitement b n fice th rapeutique Des fiches d in formation leur sont propos es v rep rer et aider faire la diff rence entre effets ind sirables et sympt mes d dramatiser les psychotropes tout en favorisant l observance l Atelier du m dicament r pond Convivialit et partage Les s ances se d roulent dans un climat de convivialit Elles sont anim es par le pharmacien qui veille solliciter le point de vue de chaque patient favorisant ainsi le t moignage et le partage des exp riences v cues Le patient se sent cout compris et accompagn De plus il se rend compte qu il n est pas seul avoir cette maladie et ressentir ses effets ou du traitement En structure ext rieure la constitution d un groupe fixe 8 10 patien
9. MPAOH impuls par le minist re de la Sant l INSERM et la Haute Autorit en Sant Le but de cette d marche qui servira de base de travail pour la troisi me certification la V3 ou 2010 est de d velopper des indicateurs de qualit des soins Elle s int grera donc parfaitement la politique men e par l EPSM tant pour r pondre aux attentes des r f rentiels de la HAS que pour am liorer les pratiques via la certification ISO 3 actions exemplaires Date de Cr ation Septembre 2003 Missions Principales Accueil des adolescents hors des murs Adapter une offre de soins un mode d interpel lation sp cifique au monde des adolescents R pondre au plus pr s la demande Nombre d interventions par an depuis janvier 2007 410 Composition de l quipe 3 M decins 1 Interne 6 Infirmiers 1 Psychologue 1 assistante sociale Lieux d intervention Les services de p diatrie du CH d Armenti res et de Tourcoing Les Centres de Sant Mentale Les services de psychiatrie g n rale de l EPSM Lille M tropole Les cabinets des m decins g n ralistes Dans les familles en pr sence du m decin traitant A 40 de leur temps Quelques Chiffres 4 0 i me _ ee L quipe mobile de prise en charge des adolescents Nous tenons ensemble les situations c est la situation qui est difficile pas l adolescent D V Garcin Chef de P le 59103 Mode d emploi Demande
10. bres des quipes afin de s approprier ce nouvel outil Les formations se sont d roul es de fa on satisfaisante Cette phase pilote va permettre aux quipes de se familiariser avec le produit de mettre en vidence d ventuels dysfonctionnements et enfin de valider l ensemble du circuit avant le d ploiement de ce module sur l ensemble de l tablissement Les quipes sont accompagn es dans l utilisation de ce nouvel outil par les r f rents l encadrement la Direction des soins le DIRM et La Direction du Syst me d Information Hospitalier Inconfort thique en Palestine ACTUALIT st Apr s 10 mois pass s en Palestine pour M decins du Monde Catherine Dugarin cadre sup rieure de sant nous livre ses r flexions personnelles sur cette exp rience R cits Les quipes de M decins du Monde s attachent am liorer la prise en charge des troubles psychiques en lien avec le minist re de la Sant pales tinien et en partenariat avec plusieurs structures locales travers la campagne de d stigmatisation aupr s de la population palesti nienne brochures spots missions TV et radio la supervision d une activit de rep rage des troubles psychiques chezles enfants th tre dans les coles transf r e un partenaire local le soutien aux activit s th rapeu tiques comprenant l animation des EPSM Mag Novembre 2007 n 51 caf s litt raires les point
11. centralis e par le cadre de sant du dispositif t Organisation et planification du d placement du bin me La r activit de l quipe mobile est de 24h maximum t Intervention du bin me pas de m decins en premi re intention Validation des propositions par le m decin de l quipe mobile contact t l phonique 7 Rendez vous planifi a sur le Centre de Sant Mentale le plus proche 2 passage 24H avec un m decin La politique de d ve he sur le CATTP P loppement des struc 43 places d appartements th ra sur le secteur d appartenance Pa tures socio sanitaires et peutiques ee d de resocialisation Relais envisag Hospitalisation nombre et qualit des struc 111 places d h bergement dans avec RV planifi Nicolas de Sta l gt tures alternatives l hospitali la fili re logement apparte Un suivi r gulier par les quipes mi sation mises la disposition iia n ments r serv s dans le parc e a Chaque semaine se tient une synth se reprenant toutes les de soins des patients h berg s des patients locatif social ou priv maison situations Ce temps de r flexion froid va donner lieu une et une participation aux activit s communautaire h bergements Ca seconde validation ou un r ajustement des r ponses apport es Berne Bree iesen th rapeutiques provisoires EPSM Mag Novembre 2007 n 51 EPSM Mag Novembre 2007 n 51
12. d sign par la CME en son sein Un secr taire est choisi parmi les repr sentants du personnel Si gent galement le m decin du travail et le service de s curit Enfin le CHSCT peut faire appel titre consultatif toute personne de l tablissement qui lui para t qualifi e infirmi re respon sable technique etc Peuvent gale ment tre invit s l Inspecteur du Travail et le repr sentant du service pr vention de la CRAM Quels sont les r les de chacun Le pr sident et le secr taire tablis sent conjointement l ordre du jour qui sera adress responsabilit du pr sident tous les membres au moins quinze jours avant la r union l issue de celle ci le pr sident et les repr sentants du personnel votent des propositions sur les sujets d bat tus les autres membres ne disposent EPSM Mag Novembre 2007 n 51 que d une voix consultative Le secr taire a la responsabilit de l tablissement du proc s verbal qui fera foi sur un plan juridique Les membres voix consultative m decin du travail responsable du service s curit ou toute autre personne qualifi e sur un point abord apportent un avis d expertise Y a t il un mode de fonctionnement pr cis Le CHSCT se r unit au moins tous les trimestres l initiative du chef d ta blissement il peut aussi se r unir exceptionnel tons e h ae vessie s ms uintiin e Lee e PEEP v r Oore leme
13. e projet du p le 59G16 a obtenu le soutien de la d l gation r gionale Nord Pas de Calais Picardie de la Fondation de France dans le cadre du projet Agir ensemble Amicale L amicale sportive et culturelle du personnel reprend ses activit s Elle comprend les sections p che VTT cyclotourisme jogging badmin ton informatique piscine volley ball expression corporelle foot en salle p tanque retrait s tennis de table Pour tous renseignements vous pou vez contacter son nouveau pr sident M Michel Gomber Poste 2007 DOSSIER fn Certification HAS un bilan tres positif DOSSIER a En octobre dernier l tablissement recevait les experts visiteurs de la Haute Autorit de Sant dans le cadre de la deuxi me visite de certification Quel bilan peut on tirer de cette tape importante Quelles seront les actions qui devront tre men es dans les ann es venir pour que l tablissement conserve sa place de pr curseur en mati re de qualit out d abord il convient de noter que l tablissement est entr parmi les premiers dans ce que l on appelle commu reren la V2 En effet seuls 300 des 3800 h pitaux et cliniques soit 8 toutes sp cialit s confondues s taient soumis cette proc dure avant l EPSM Lille M tropole Un bilan extr mement positif Fort de sa politique Qualit reconnue par l ensemble de ses homologues l tablissement se devait d avoir des r sultats extr me
14. l autre la tenue d une r union exceptionnelle de l obser vatoire de la violence et l ouverture des Unit s Tourquennoises de Psychiatrie UTP Le hasard du calendrier permet de s interroger sur les succ s obtenus et les moyens pour les obtenir L ouverture des Unit s Tourquen noises de Psychiatrie est plus qu un succ s bravo aux quipes hospita li res soignants gestionnaires m decins qui ont men ce chantier terme Les passages flash sur France 3 le 6 novembre donnent une image valorisante de notre dis cipline psychiatrique Architecture et humanisme au b n fice des malades et de leurs proches pour rions nous d nommer fi rement cette op ration La performance ne serait cependant pas au rendez vous sans l engagement des professionnels de tous les professionnels Il convient de leur assurer des condi tions de travail exemplaires Nous nous y attacherons et la mission de l observatoire va dans ce sens C est ainsi que sont clair s les deux premiers des trois piliers de notre politique de gestion par la qualit Rappelons les Am lioration de la qualit des pprestations servies au client usa ger du service public Am lioration de la qualit de vie au travail pour les professionnels Am lioration du rapport co t qua lit Nous devons poursuivre cette politique qui nous donne des r sul tats extr mement positifs Joseph Halos EPSM Mag Novembre 2007 n
15. ment positifs II n a pas failli sa r putation puisque 91 des 213 crit res sont class s A ou B par la Haute Auto rit de Sant et que trois actions exemplaires ont t reconnues Seule une action d am lioration est pr conis e savoir la red finition de la politique relative la restriction de la libert de circulation et tout particuli rement la pratique de la contention L EPSM Lille M tropole se situe donc au premier rang de tous les tablissements de soins publics et priv s ayant fait l objet d une certification HAS V2 Quelle politique Qualit pour les ann es venir Afin de perp tuer la dynamique engag e la Direction des Relations avec les Usagers et de la Qualit a r dig un Plan d Actions Qualit pluriannuel qui regroupe les actions d am lioration issues v dela politique qualit d finie dans le projet d tablissement du rapport de la Haute Autorit de Sant de mars 2007 de l auto valuation r alis e au printemps 2006 du document unique sur les risques professionnels de la gestion des risques Les principaux axes de travail concerneront l valuation des pratiques professionnelles l am lioration des conditions de travail l optimisation de la politique de gestion des risques et la responsabilisation des acteurs la consolidation de l coute clients De plus afin de conserver son statut de pr curseur en mati re de Qualit l tablissement s est engag dans le projet CO
16. n m dicamenteuse L EPSM Lille M tropole poursuit donc la mise en uvre du Dossier Patient informatis l aide de CARIATIDES avec la mise en place du module de prescription m dicamenteuse pour les Unit s Tourquennoises de Psychiatrie Les praticiens hospitaliers les profes sionnels soignants de ces unit s et les professionnels de la pharmacie ont b n fici d une formation ce mo dule d but octobre A cette occasion les praticiens hospitaliers ont enregis tr les ordonnances des patients suivis point de d part de cette nouvelle aventure Et puis D but 2008 G n ralisation des prescriptions m dicamenteuses sur l ensemble de l tablissement Mise en place du dossier de soins Gestion des patients et des mouve ments adieu Axigate Gestion de la bureautique Et bien d autres fonctionnalit s pour le courant de l ann e 2008 Dowwe Busiskiie mn Bose Ghare Poenos Dolain Code Memidoditte Sera Araneta I strar apem i re CA AA AAE A ele Ra SE COTE gt Petuperes Morean Suivi au Centre de Sant Mentale Erasme Prise en charge pluridis ciplinaire psychoth rapie aide la parentalit visite domicile massage b b t Le p le 59G07 appelle le 7 Centre de Sant Mentale dont rel ve la maman e pour transmission H ae des informations et relais La d pression postnatale concerne 10 15 des mamans Sur 1500 accouchements par an la maternit
17. noises de Psychiatrie la recherche d un logiciel perfor mant pour prendre la rel ve AXIGATE qui a atteint rapide ment ses limites c est l h pital de Rouffach que l EPSM Lille M tropole a trouv une r ponse en ad quation avec ses besoins Apr s un premier contact concluant les concepteurs de CARIATIDES aujourd hui GIP Symaris sont venus plusieurs reprises pr sen ter aux professionnels de l tablisse ment les diff rentes fonctionnalit s du produit Des groupes de travail se sont constitu s permettant de tester de ma ni re effective ces fonctionnalit s C est au terme d un rapport d valuation tr s positif et des r ponses apport es par le GIP Symaris sur les volutions souhai t es par l EPSM Lille M tropole que les instances de l tablissement ont ent rin le choix de CARIATIDES CARIATIDES et le RIM P Apr s les d boires connus avec Axigate les secr taires retrouvent le sourire avec CARIATIDES Plus de 59G16 et 59G17 Cariatides Dans le cadre du projet d ouverture des Unit s Tourquennoises de Psychiatrie la mise en uvre du module Cariatides circuit du m dica ment de la prescription l administration a d but en octobre 2007 pour les unit s d hospitalisation des p les de psychiatrie 59G16et59G17 Des r f rents infirmiers de chaque structure concern e ont t form s l utilisation de cette fonctionnalit du logiciel pour ensuite accompagner les autres mem
18. nt lors d un accident de travail grave ou qui aurait pu l tre ou la demande motiv e de deux de ses repr sentants Le CHSCT contribue la protection de la sant et de la s curit des salari s et l am lioration des conditions de travail Il est consult avant tout changement majeur d activit ou de technologie modifiant l hygi ne la s curit ou les conditions de travail ce titre le CHSCT doit tre associ aux tudes re latives l organisation mat rielle et physique du travail l am nagement des lieux et des postes de travail la dur e et aux horaires de travail Le CHSCT est galement impliqu dans la pr vention des risques profes sionnels Il proc de des inspections r gu li res afin de v rifier le respect des textes r glementaires et des mesures de pr vention pr conis es le comit peut r aliser des tudes et effectuer des enqu tes par exemple en cas d accident de travail maladie profes sionnelle ou incidents r p t s ayant r v l un risque grave D Benoit Deleplancque par les services de soins Le 28 juin 2006 l EPSM Lille M tropole cr e un Comit Vigirisques et avec lui met en place un programme de gestion des risques Nous vous proposons de d couvrir concr tement comment les services de soins ont proc d ss programme concerne l en semble des professionnels et comporte 4 volets essentiels Y L identification des risque
19. s La hi rarchisation des risques v La mise en uvre d actions correc tives L valuation des actions correctives L identification des risques s est faite en restant centr e sur le projet de soins 2006 2010 Chaque objectif d fini dans le projet a t relu sous l angle gestion des risques et reformul si n cessaire Pour exemple l objectif op rationnel Am liorer la confiden tialit le respect de l intimit et les conditions de s jour devient en langage gestion des risques Type de risque Non respect des droits des patients EPSM Mag Novembre 2007 n 51 Ga Nature du risque ou impact Non respect de la dignit absence d infor mation non prise en compte de la vo lont du patient et absence de re cherche de consentement maltraitance La hi rarchisation a quant elle t r alis e par les quipes soignantes au sein m me des structures de soins lors de temps de concertation anim s par les cadres de sant selon la m thode AMDEC Analyse des Modes de D fail lance de leurs Effets et de leurs Criti cit s Cet outil permet d attribuer chaque risque un taux de criticit obtenu en multipliant la fr quence d un risque par sa gravit Exemple un risque dont la fr quence est occasionnelle 1 fois an se voit at tribuer un score de 2 et 4 concernant sa gravit si celle ci peut d boucher sur un d c s une impossibilit de fonc tionner
20. s coute et 2 consultations psychologiques dans une clinique de Naplouse l appui technique aux soignants des centres de sant primaire et aux professionnels de la sant mentale formations et s minaires sur la sant mentale Ma r flexion aujourd hui ll aurait t plus simple de d crire une journ e de travail d crire les horreurs les pleurs et les rires de ces 10 mois pass s dans les Territoires Occup s Plus simple de raconter le travail accompli au sein de mon quipe pales tinienne plus simple de parler des paysages grandioses du d sert et des lieux mythiques o j ai v cu cette derni re ann e Plus confortable aussi Mais mon inconfort intellectuel ne peut rester sous silence Inconfort de moins en moins douloureux au fur et mesure que je me recale la vie d ici mais de plus en plus ancr et immortel L id e de l bas ne me l che pas et j apprends vivre avec Quelles que furent mes motivations pour travailler 10 mois avec M decins du Monde je fus taraud e pendant des semaines voire des mois par cette thique id e de qu est ce que je fais ici en sant mentale dans un territoire occup o les conditions de vie quoti dienne depuis plus de 50 ans sont si pouvantables que n importe quel tre humain deviendrait fou Comment thiquement aider des gens supporter l insupportable com ment les aider aider les autres sans penser que cela normalise
21. ses dans la journ e m dicaments correcteurs L ducation au traitement est une part importante de l accompagnement th rapeutique du patient Cette approche ducative doit tre consid r e d s la sortie de l h pital et poursuivie p riodi quement suivant les besoins des patients Claire POLLET Mouvements Agents Administratits Agents d Entretien Qualifi s Assistante Sociale Directrice infirmiers Ouvrier Professionnel Sp cialis Psychologue Psychomotricienne Agent Administratif Assistante Sociale Attach e d Administration Hospitali re Cadre de Sant Educateur Technique Sp cialis Infirmiers Ouvrier Professionnel Sp cialis Edito La hi rarchisation des risques par les services de soins Avenir prometteur pour CARIATIDES Certification HAS un bilan tr s positif Inconfort thique en Palestine Le CHSCT 1 acteur de la pr vention des risques professionnels Valeurs et strat gie de la Direction des Soins L atelier du m dicament 6 7 Novembre 2007 N 51 0 80 Publication de l Etablissement Public de Sant Mentale Lille M tropole 2 3 10 3 actions exemplaires 1 _ 12 www epsmHille metropole fr Edit o 7 novembre 2003 7 novembre 2007 La date anniver saire de la journ e violence l h pital comment la pr venir est marqu e par deux v nements qui semblent tran gers l un
22. tion des Soins a permis gr ce une large concertation de mettre en exergue les valeurs que le service de soins s engage d fendre travers son projet de soins savoir le respect des personnes et de leurs droits fondamentaux y l quit la responsabilit le professionnalisme l autonomie w la cr ativit la comp tence v le travail en synergie v l engagement la solidarit D s janvier 2008 la m thodologie visant l op rationnalit du projet de soins consistera associer le plus grand nombre de professionnels La mobilisation et la reconnaissance des comp tences individuelles et collec tives favoriseront la garantie de qua lit de continuit et de s curit des soins dispens s et des actions de pr vention r alis es ou entreprendre Eliane Bourgeois l R sidence Berthe Morisot La R sidence Berthe W Morisot vient de confirmer sa certifica a_a tion de service lors de l audit de suivi n 2 qui s est d roul les 8 et 9 octobre derniers Ces journ es se sont r v l es riches d changes entre l auditeur et les professionnels de la r sidence p VA D part en retraite Bernard De Paepe cadre sup rieur de sant p le 59103 a salu col l gues et amis lors de son d part en retraite le 4 septembre dernier L j DPHP Y Dans le cadre de recherches de synergies entre les tablissements de sant dela r gion de nombreuses coop rations dans le domaine logistiq
23. ts permet d laborer un programme sur 8 s ances le m di cament comment est il fabriqu tudi pr sentation g n riques effets b n fiques des m dicaments effets ind sirables des psychotropes les antid presseurs et normothymiques m dicaments du sommeil et anxioly EPSM Mag Novembre 2007 n 51 tiques bon usage et risques de d pen dance interaction psychotropes et alcool drogues tabac autom dica tion observance dur e du traitement risque de rechute ainsi que des conseils d hygi ne ou de di t tique En unit d admission le pharmacien est l coute des patients afin de r pondre aux questions pos es et d entamer le dialogue Lors d entretiens pharmaceu tiques individuels le pharmacien ren contre le patient et solidifie l alliance th rapeutique gr ce une prise en charge personnalis e et adapt e son niveau de compr hension Confiance et authenticit Les patients dans leur tr s grande majorit appr cient cet atelier et y par ticipent avec authenticit Ils reconnais sent dans le pharmacien un profession nel du m dicament qui leur permet de v rifier ou compl ter l information re ue par l quipe soignante ce qui renforce leur confiance Cette approche permet de mettre en uvre une meilleure compl mentarit profes sionnelle entre m decins pharmaciens et infirmiers et d adapter au mieux le traitement posologie moment de la prise nombre de pri
24. ue sont possibles De ce fait la Direction des Prestations H teli res et Logistiques devient la Direction des Prestations H teli res et des Parte nariats Cuisine Centrale Des travaux de r novation de la Cuisine Centrale ont d but en novembre et se poursuivront jusqu en mai 2008 Durant cette p riode des locaux pro visoires sont install s pour assurer la continuit des prestations INFOS QUALIT R LA SANT AU TRAVAIL D css Le CHSCT 1 acteur de la pr vention La hi rarchisation des risques des risques professionnels L implication des salari s dans la pr vention des risques professionnels sur leur lieu de travail remonte au d cret du 1er ao t 1947 avec la cr ation des Comit s d Hygi ne et de S curit CHS En 1973 apparaissent dans les entreprises les Commissions d Am lioration des Conditions de Travail CACT CHS et CACT fusionnent en 1982 pour devenir Comit d Hygi ne de S curit et des Conditions de Travail CHSCT Les tablissements occupant au moins 50 salari s ont l obligation de mettre en place ce comit Quelle est la composition du CHSCT Il comprend un pr sident le chef d tablissement ou son repr sentant et une d l gation du personnel d si gn e par les organisations syndicales au prorata des r sultats des lections aux commissions administratives pari taires d partementales Si ge gale ment un repr sentant des personnels m dicaux
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