Home

Formation santé social

1.
2. CGT FO pr sidente de l Observatoire Recueillir un tel mat riau dans un moment o les volutions sont tr s fortes est essentiel II nous permet d abord de mettre en lumi re les grandes volutions en termes d em plois En temps de crise il est impor tant de comprendre comment le sec teur se comporte et ce d autant que plusieurs tudes montraient l arr t de la croissance L Enqu te permet ga lement de bien caract riser l emploi dans la Branche un emploi dur e ind termin e forte majorit f mi nine et temps plein et bien s r un emploi de qualit auquel nous tenons beaucoup C est aussi une opportunit de s attarder sur la structure de ces m tiers de voir si les efforts que la Branche via son OPCA a faits pour qualifier de nouveaux professionnels se concr tisent C est enfin l occasion de mettre le doigt sur des enjeux de ressources humaines majeurs comme l attractivit de notre Branche la pour suite de l insertion dans l emploi de jeunes professionnels ou encore la gestion des secondes parties de car ri re Florence Leduc Unifed Fehap pr sidente adjointe Les organisations de la Branche sont un tournant avec plusieurs d fis relever celui de la prise en charge des personnes malades g es en situation de handicap La Branche a une particu larit tr s belle d ailleurs celle d tre articul e sur la question de la fragilit et de la vuln rab
3. senior la diff rence des emplois d avenir le contrat de g n ration s adresse tous les jeunes quel que soit leur niveau de qualification Les jeunes concern s doivent tre g s d au moins 16 ans et de moins de 26 ans ou de moins de 30 ans s il s agit d un travailleur handicap tre embauch s en contrat dur e ind termin e temps plein ou temps partiel si leur situation le justifie L employeur qui b n ficie d une aide financi re de l tat doit s engager maintenir dans l emploi pendant trois ans et jusqu son d part en retraite soit un salari de 57 ans ou plus soit un salari g d au moins 55 ans au moment de son recrutement soit un salari d au moins 55 ans s il s agit d un travailleur handicap Le dispo sitif vaut aussi en cas d embauche simultan e d un jeune et d un senior Le minist re du Travail table sur 100 000 contrats de g n ration par an soit 100 000 embauches de jeunes en CDI et sur le plan qualitatif un meilleur accompagnement des salari s proches de la retraite Avril 2013 Formation Sant Social N 27 lire _ Travailler ensemble un d fi pour le m dico social Alain Depaulis avec Jean Navarro et _ Gilles Cervera ditions Er s Collec tion Empan 2013 208 pages 23 Invitation repenser la pluridisciplinarit Travailler ensemble FORMATION PROFESSIONNELLE a cet essai dessine les La nouvelle fe
4. aux besoins et dans cet change l Enqu te Emploi est un formidable outil Jean Pierre Delfino Directeur g n ral d Unifaf Les partenariats entre l OPCA et les territoires Conseils r gionaux prin cipalement sont aujourd hui une tendance lourde du d veloppement de l offre de service de l OPCA Experts de notre secteur d activit nous avons une connaissance sp cifique au plus pr s des besoins et les r sultats de l Enqu te Emploi d clin s r gionale ment l illustrent C est d autant plus important que nous sommes pr sents dans l ensemble des bassins d emploi une caract ristique singuli re de notre secteur d activit En 2007 on notait une tension majeure sur l emploi avec une pro bl matique autour du recrutement En 2012 la probl matique des res sources humaines est transverse et pose des questions de gestion des carri res de p nibilit de recrute ment de construction de parcours professionnels Entre ces deux dates notre m tier d OPCA a chang Nous Conf rence Enqu te Emploi 09 Avril 2013 tions principalement gestionnaires de fonds nous participons d sormais l accompagnement des politiques de ressources humaines de notre sec teur d activit Dans ce cadre nous avons notam ment d velopp une prestation conseil pour tous nos adh rents et principalement nos petites associa tions Il s agit de mettre leur dispo sition des outils simples mobiliser avec
5. l architecture de nos formations pour qu elles permettent aux professionnels de satisfaire leur obligation C est d autant plus vrai pour les stagiaires ext rieurs l tablissement phar maciens infirmi res ou m decins lib raux pour qui l EPP est aujourd hui rarement formalis e Nous allons devoir inventer de nouveaux formats poursuit Josiane Marrel Par exemple des modules successifs pour permettre aux lib raux d analyser leurs pratiques et de revenir au Centre faire le point ou alors des grilles d valuation distance avec un suivi d axes d am lioration si besoin Une chose est certaine le dispositif aura aussi un impact sur la d marche de formation de chaque professionnel Am lioration des soins Chacun devra pr ciser la raison de son implication dans un programme pr cise milie Germeaux gestionnaire RH Quelle pratique veut il am liorer Qu attend il pr cis ment de la forma tion Vaste chantier l adaptation de l offre de formation du Centre Paul Strauss au DPC n en est qu ses Dossier 2 5 Formation Sant Social N 27 Avril 2013 d buts Mais d j les plus values de la d marche sont sensibles Le DPC nous oblige une plus grande mise en coh rence des formations avec les pra tiques professionnelles conclut Serge Th obald Au del de son int r t intel lectuel chaque formation devra avoir un impact v rifiable sur la qualit des soin
6. ll s agit d un maillage sur l ensemble du territoire d un tricotage humain Branche et nos organisations de vivre et d voluer maillage sur l ensemble du territoire d un tricotage humain qui permet notre Branche et nos organisations de vivre et d voluer Chaque jour au quotidien c est un travail de l ombre qui est r alis par ces hommes et ces femmes qui accom pagnent des per sonnes en souffrance soit plus d un million de b n ficiaires C est dans ce cadre que de nouvelles formes de solidarit sont trouver Il va falloir innover permettre l volution et l adaptation des comp tences indi viduelles mais aussi collectives pour proposer des parcours adapt s aux diff rentes situations Annie L cul e CGT membre du Bureau de la CPNE FP L Enqu te Emploi avec des donn es qui sont encore pr ciser donne une l gitimit tr s importante la Branche professionnelle et au r le que jouent ses associations et ses profession nels aupr s des publics accueillis parce qu elle apporte une r elle ex pertise montre les savoir faire en action et permet de la prospective Nos enjeux aujourd hui sont des en jeux de territoire Notre place est d tre dans cette interaction avec l ensemble des partenaires institutionnels et lo caux La pr sence politique en r gion assur e par les d l gations r gionales de la Commission paritaire nationale de l emploi et de la formation profes
7. s en prenant en charge 100 des co ts p dagogiques et de la r mun ration dans certains cas Particuli rement adapt es pour des jeunes embauch s via des emplois d avenir dans les ta blissements ces formations participent l insertion durable de ces nouveaux professionnels dans le secteur Pour plus d infos contactez votre service r gional Une hausse de 3 en 2012 386 millions d euros ont t collec t s par Unifaf au titre du financement de la formation professionnelle pour 2012 Un r sultat en hausse de 3 par rapport l an pass destin servir les priorit s formation de la Branche et des tablissements qui la composent Cette croissance est particuli rement soutenue sur les fonds du plan de for mation qui connaissent une volution de 8 7 millions d euros soit 3 65 l heure de la reconfiguration du tissu associatif sur les territoires les fonds vers s Unifaf par ses adh rents constituent une garantie pour l avenir du secteur Int gration des jeunes peu ou pas qualifi s via les emplois d ave nir renouvellement g n rationnel des quipes accompagnement RH Face ces enjeux Unifaf labore et vous propose des solutions individuelles et collectives Pour plus d infos contactez votre service r gional Avril 2013 Et aussi On vous en parlait dans le dernier num ro l Action prioritaire nationale sur l autisme est sur les rails Cette APN d di e l ac
8. sidente de l organisme gestionnaire conventionnel OGC de la formation professionnelle conventionnelle des m decins lib raux FPC Monique Weber est l une des architectes du DPC Depuis le 1 juillet 2012 elle assure la direction de l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu OGDPO u est ce qui carac t rise le DPC par rapport aux dispo sitifs classiques de formation continue Le DPC est une d marche qui s inscrit dans le temps et engage personnel lement chaque professionnel Avec la FMC la notion de continuit n existait pas Le DPC lui s inscrit tout au long de la vie professionnelle Cette notion de continuit se retrouve d ailleurs dans l architecture m me des pro grammes puisque chacun doit com prendre trois tapes l valuation des pratiques l apprentissage et le suivi des actions d am lioration de la qua lit et de la s curit des soins Le DPC est donc vraiment l pour am liorer la qualit des pratiques et la s curit des soins Autre l ment cl le DPC est une d marche commune tous les professionnels de sant quel que soit leur mode d exercice Avoir mis en place un syst me commun tous et un seul organisme gestionnaire n est pas anodin c tait la condition sine qua non pour engager une d marche vraiment collective Quelles sont les missions de l OGDPC Pour l ensemble des professionnels de sant l OGDPC a d abord une mis sion de
9. sionnelle articul e avec la pr sence des administrateurs de l OPCA est une force Elle donne des leviers sur des sp cificit s notamment territoriales pour mieux r pondre aux missions qui nous sont confi es les d velopper Mais aussi soutenir l emploi l heure o les tablissements doivent faire face des contraintes de gestion en m me temps qu une explosion de besoins dans une soci t qui volue et qui met en difficult voire exclut de nombreuses personnes ces experts et la question de l usure professionnelle Les strat gies de re groupement peuvent permettre de mieux r pondre chacune de ces pro bl matiques Il est ainsi plus facile de recruter un psychologue ou un mas seur Kin sith rapeute temps plein mais en r partissant son activit sur plusieurs sites De la m me mani re le rapprochement peut aider des salari s renouveler leurs pratiques notam ment quand les personnes accueil lies restent longtemps parfois aussi longtemps que les professionnels qui les accompagnent Ma conviction sur tout est que travailler avec d autres avoir des conventions faire partie d un groupement de coop ration ce n est pas forc ment perdre son me et ses valeurs En revanche entrer dans ces dynamiques est une garantie de meilleure p rennit Jean Marc Le Grand Directeur g n ral de l association Anais Nos associations quelle que soit leur taille sont confront e
10. un programme de DPC individuel o collectif annuel o pluriannuel voir ci contre QU EST CE QUI CARACT RISE UN PROGRAMME DE DPE Les exigences d un programme de DPC sont les suivantes Comporter au moins une phase d approfondissement des connais sances et une phase d analyse des pra tiques professionnelles tre conforme une orienta tion nationale ou r gionale de DPC Comporter une des m thodes et des modalit s valid es par la HAS tre mis en uvre par un orga nisme DPC enregistr par l OGDPC et valu favorablement par la commis sion scientifique ind pendante CSI correspondante de la profession ou la commission scientifique du Haut conseil des professions param dicales HCPP QUI L OBLIGATION BE DPC INCOMBE T ELLE L obligation de DPC concerne chaque professionnel de sant titre per sonnel Dans un tablissement l employeur est tenu de prendre les dispositions n cessaires permettant ses salari s de remplir leur obligation formations externes et ou mise en place de programmes DPC en interne Avril 2013 COMMENT CHOISIR VN ORGANISAE PE DPC Les organismes de DPC peuvent tre Haute autorit de sant HAS Si un des tablissements ou des organismes de formation obligatoirement enre gistr s aupr s de l OGDPC et valu s favorablement par la commission scientifique ind pendante CSI com p tente Les modalit s p
11. annuelle et insiste cette ann e sur la n cessaire adaptation des modes de prise en charge de ce public inscription dans la fili re g rontologique d veloppement des solutions de maintien domicile adaptation des Ehpad l augmen tation de certaines pathologies Il souligne l norme d fi qui attend les professionnels du secteur dans les ann es venir et que la Branche s emploie d ores et d j relever avec le concours de ses partenaires voir notamment Formation Sant Social n 25 page 6 lire sur www kpmg com fr 1 tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes Gii accueillies dans les tablissements _ m dico sociaux n cessitent les soins _ psychologiques ou sociaux en prin ensemble collectivement bases d une clinique en partenariat Le traitement et l accom pagnement des personnes fragiles salip el de services diff rents m dicaux cipe compl mentaires Il est souvent difficile de r aliser un ensemble coh rent qui pr serve la sp cificit de chacun Sans d naturer les singu larit s l ouvrage d gage des points de convergence pour mieux travailler l H pital Rapport de l IGAS 2012 La documenta tion fran aise 2013 295 pages 16 Conform ment aux textes le chef de l Ins pection g n rale des af faires sociales pr sente chaque ann e un rap port au pr sident de la R publique a
12. ce qui leur vitera de constituer eux m mes un rapport d ex cution pour l OGDPC 2 4 Dossier Formation Sant Social N 27 1 Josiane Marrel 2 milie Germeaux 3 Serge Th obald Avril 2013 STRASBOURG se jette l eau Le Centre r gional de lutte contre le cancer Paul Strauss Strasbourg et son unit de formation en canc rologie se mettent en ordre de bataille pour adapter leurs programmes l obligation de d veloppement professionnel continu Un exemple suivre gr comme organisme de formation depuis plus de vingt ans le Centre de lutte contre le cancer Paul Strauss Strasbourg sait ce que for mer veut dire La canc rologie est un domaine dans lequel les connaissances voluent tr s rapidement souligne Serge Th obald directeur des affaires m dicales Nos quipes ont donc une attente forte en mati re de formation continue D s 1988 le Centre Paul Strauss s est ainsi dot d une unit de formation en canc rologie int gr e qui accueille ses propres quipes mais aussi des professionnels de sant issus d autres tablissements de cabinets lib raux et d officines En janvier 2013 l unit a d pos un dossier aupr s de l OGDPC et obtenu son agr ment transitoire comme organisme de DPC ODPC jusqu au 30 juin 2013 Remise plat de l offre Au del de l aspect administratif l en tr e en vigueur du nouveau dispositif oblige revoir en
13. challenge velyne Dufour accepte Elle y travaille durant deux ans au verre souffl 1998 C est le d part pour la Tunisie Elle accompagne son mari appel l bas pour raisons professionnelles Mais pas question de cesser toute activit pour autant L encore l envie de se lancer dans un nouveau projet l emporte Elle cr e alors une soci t d export sp cialis e dans des objets d art inspir s de l artisanat local Cette parenth se tunisienne prend fin en 2006 son retour en France velyne Dufour ne met pas longtemps revenir dans le secteur m dico so cial Ce sera la t te d un EHPAD en r gion parisienne avant de rapide ment rejoindre en 2007 la Touraine o un poste de manager Qualit et communication sur deux cliniques l attend puis deux ans plus tard les Pays de la Loire avec la direction du centre du Bodio Et d j la retraite qui se profile d ici quatre ou cinq ans La directrice s appr te suivre une formation d valuateur externe expert avec d autres managers du secteur social ou m dico social Car cette mordue de formation pense toujours demain Pourquoi ne pas mettre profit mon exp rience de terrain et proposer du conseil H l ne Le Courtois Parcours 1977 Dipl me d tat d infirmi re 1983 cole des cadres 1990 DESS de gestion et d conomie 2007 Manager qualit et communi cation 2013 Formation d valuateur externe expert
14. dentistes par exemple il existe encore peu de m thodes Dans ce cas les tablissements ne doivent pas h siter se rapprocher de la HAS En effet la liste n est pas fig e et est amen e voluer au contact des professionnels Certaines m thodes qui n taient pas pr sentes au d part ont ainsi t ajout es par la HAS comme le e learning ou la publi cation d articles scientifiques Certains tablissements craignent la lourdeur Dossier l 9 Avril 2013 de gestion du dispositif Que leur r pondez vous Le passage d un dispositif un autre implique toujours une phase d adap tation et nous sommes l coute des tablissements et des professionnels pour les rencontrer les accompagner et les aider passer le cap s ils ont des difficult s Cette premi re tape franchie ils constateront que la ges tion administrative du DPC est beau coup plus l g re que celle de la FMC notamment parce que nous avons beaucoup r duit le nombre de jus tifcatifs fournir Autre atout les tablissements ou les professionnels peuvent d sormais consulter l ensemble des programmes propos s via notre site ce qui ouvre consid rablement le choix des pro grammes de DPC Formation Sant Social N 27 w UGDPC 1 M decins chirurgiens dentistes pharmaciens sages femmes infirmiers masseurs kin sith rapeutes orthopho nistes orthoptistes p dicures podolo gues et salari s des
15. des accompagnements assur s par des experts Nous avons s lec tionn des prestataires sp cialistes de la probl matique de gestion des ressources humaines dans notre secteur d activit et install s au plus pr s des territoires capables d apporter des r ponses des pro bl matiques locales de GPEC La pres tation propose une premi re journ e de diagnostic et jusqu cinq jours d accompagnement qui permettent chaque structure de travailler sur sa propre probl matique gestion des ges recrutement usure profes sionnelle Cet accompagnement est enti rement gratuit et nous permet de prendre le relais d accompagner nos structures dans l laboration de leur plan de formation bref de les aider r fl chir avant d agir Formation Sant Social N 27 de la troisi me dition de l Enqu te Emploi men e par l Observatoire Le r le de l OPCA est maintenant de fournir les moyens pour que les orientations d finies par la CPNE puissent tre concr tis es pour les adh rents et les salari s L OPCA prend sa part dans la bataille pour l emploi en ai dant l insertion durable la mobilit et la s curisation des parcours professionnels Notre inscription dans le champ de l conomie sociale et solidaire nous conduit favoriser une dynamique d emplois solidaires Des actions en direction des publics fragiles sont mises en uvre L OPCA se mobilise sur les questions d illettrisme et de maintie
16. en cours d instruction sur la POE indivi duelle 1 Fonds paritaire de s curisation des parcours professionnels 2 Fonds social europ en 3 Pr paration op rationnelle l emploi Avril 2013 Formation Sant Social N 27 Journ es des adh rents 16 mai 2013 Centre Lieu H tel Mercure 28 Quai Saint Jean 41000 Blois Contact Unifaf Centre T l 02 38 42 08 44 centre unifaf fr 29 mai 2013 Champagne Ardenne Lieu Lyc e Oehmichen 220 avenue du G n ral Sarrail 51000 Ch lons en Champagne Contact Unifaf Champagne Ardenne T l 03 26 65 81 49 champagne ardenne unifaf fr 4 juin 2013 Franche Comt Lieu IRTS 1 rue Alfred de Vigny 25000 Besan on Contact Unifaf Franche Comt T l 03 81 88 21 40 franche comte unifaf fr 6 juin 2013 Picardie Lieu ESIEE 14 Quai de la Somme 80082 Amiens Cedex 2 Contact Unifaf Picardie T l 03 22 22 34 90 picardie unifat fr 11 juin 2013 Alsace Lieu Bischenberg 17 rue Raiffeisen 67870 Bischoffsheim Contact Unifaf Alsace T l 03 90 22 22 30 alsace unifaf fr 13 juin 2013 le de France Lieu Cit internationale universitaire 17 boulevard Jourdan 75014 Paris Contact Unifaf le de France T l 01 46 00 41 29 Ile de France unifat fr 18 juin 2013 Haute Normandie Lieu Conseil r gional de Haute Normandie 5 rue Robert Schuman 76174 Rouen cedex 1 Contact Unifaf Haute Normandie T l 02 32 31 25 23 haute normandie u
17. rence Leduc conseill re technique Unifaf Unifed Fehap Nous les encou rageons par ailleurs vivement se faire enregistrer comme ODPC pour viter d emboliser leur plan de formation et d velopper des outils de suivi pour comptabiliser les actions DPC Parall lement la Branche travaille avec l OGDPC pour la mise en place d une convention permettant le financement du DPC des m decins salari s Des discussions sont gale ment en cours avec la DGEFP pour autoriser le financement par l OPCA des actions de DPC relevant de l ana lyse de pratiques et all ger ainsi les charges li es au plan de DPC dans les tablissements qui ne r alisent pas de programmes en interne Car le DPC soul ve aussi la question du finan cement global de la formation On ne peut pas tre contre la formation et l analyse de pratiques pour faire vo luer les professionnels de sant conclut Jo lle Loussouarn Peron conseill re technique Unifaf CGT Mais nous de vons rester vigilants pour nous assurer que les programmes nationaux cor respondent effectivement aux besoins des salari s et ceux des tablissements De plus le DPC n tant pas financ par une enveloppe suppl mentaire il ne doit pas cr er de discrimination dans les tablissements le plan de formation doit rester ouvert tous Avril 2013 GRAND T MOIN Pour la qualit et la s curit des soins Pharmacienne de formation et ancienne pr
18. surveillant de nuit ma tresse de maison aide soignant aide m dico psychologique stages de remise niveau action prioritaire nationale sur le socle de comp tences cl s for mations professionnalisantes visant l adaptation au poste de travail la connaissance des publics et des m tiers Afin de d multiplier ses possibili t s de prise en charge Unifaf mobilise galement ses partenaires r gionaux conseils r gionaux conseils g n raux Direccte ARS et nationaux FPSPP DGEFP CNSA Son objectif financer toutes les demandes de for mation concernant un emploi d avenir Quant aux jeunes une fois embauch s ils seront ligibles l ensemble des dispositifs de formation ouverts tout salari Plan de formation p riode de professionnalisation DIF et pour ront b n ficier prioritairement des fonds de l OPCA Fonds d intervention et Professionnalisation Enfin la r mun ration des jeunes en emploi d avenir fait l objet d un finan cement par l tat hauteur de 75 du Smic si ceux ci sont recrut s par des entreprises du secteur non marchand Bon savoir Via sa prestation conseil RH Unifaf propose un appui sp cifique et personnalis aux em ployeurs int ress s par l embauche de jeunes en emplois d avenir pour les aider d finir les besoins en com p tences et en formation de ces nou veaux embauch s Pour plus d infos contactez votre service r gional
19. L apos ai Di l Le l unifd Le Fonds d Assurance Formation de la Branche sanitaire sociale et m dico sociale priv e but non lucratif n 27 Avril 2013 Formation SANT SOCIAL ENQU TE EMPLOI EMPLOIS D AVENIR COLLECTE n entretien avec 6 000 parcours ne hausse Beno t Hamon de formation pr vus de 3 en 2012 D VELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU Le dispositif prend ses marques 02 Formation Sant Social N 27 Sommaire Le message des pr sidents Conf rence Enqu te Emploi Entretien avec Beno t Hamon En route pour de nouveaux d fis Au service de la coh sion sociale et du d veloppement des territoires Se transformer pour durer Attractivit et gestion des carri res Conclusion T moignages Quoi de neuf Unifaf lection des nouveaux Bureaux Ilettrisme Unifaf soutient la grande cause nationale 2013 Collecte Une hausse de 3 en 2012 Emplois d avenir Unifaf table sur 8 000 parcours de formation FPSPP Un partenariat pour un emploi durable Dossier Depuis le 1 janvier 2013 l ensemble des professionnels de sant quel que soit leur mode d exercice est soumis une obligation commune le d veloppement professionnel continu DPC Pourquoi ce dispositif Quels en sont les b n fices attendus et comment les tablissements et les professionnels se l approprient ils Formation Sant Social fait le point Actualit s de la formation ANI Signatu
20. Objectif financer toutes les demandes de formation concernant un emploi d avenir Unifaf vous soutient dans votre projet Unifaf vous propose Pour les cursus de formation certifiants une aide hauteur de 25 du Smic brut compl tant ainsi le financement par l tat Pour l ensemble des cursus de formation Une prise en charge 100 des frais p dagogiques pour toutes les formations y compris non qualifiantes 50 pour les structures d insertion par l activit conomique Une prise en charge des frais annexes transport h bergement repas selon le bar me de l enveloppe A du Fonds d intervention 1 Sous condition qu aucune aide ne soit per ue ce titre par un autre financeur Le FPSPP n partenariat pour un emploi durable 80 des salari s dipl m s la suite d un CIF CDD financ par Unifaf en partenariat avec le FPSPP et le FSE sont aujourd hui en CDD de plus de six mois voire en CDI En 2013 Unifaf a demand le soutien financier du FPSPP hauteur de 1 9 millions d euros pour des formations aux dipl mes d tat d auxiliaire de vie sociale d aide m dico psychologique d aide soignant et d auxiliaire de pu riculture Par ailleurs Unifaf a sollicit le FPSPP sur deux autres pro jets illettrisme pour un soutien de 6 millions du FPSPP l enveloppe de 12 millions pr vue par Unifaf et emplois d avenir pour un soutien de 12 5 millions Une demande est galement
21. atiquement il existe deux op tions valoriser et enrichir les actions d EPP d j r alis es en interne en faisant enregistrer l tablissement comme organisme de DPC ODPC ou si le nombre de salari s concer n s ne le justifie pas se tourner vers des organismes de formation ODPC externes pour tre en mesure de proposer aux salari s des pro grammes adapt s noter certaines actions participer en tant que forma teur un programme de DPC publier des articles scientifiques etc lire p 20 permettent de satisfaire l obligation de DPC Accompagnement La Branche son OPCA mais aussi les groupements d tablissements sont naturellement investis dans la d marche Nous effectuons une veille juridique sur le DPC depuis 2009 et or ganisons r guli rement des s minaires sur le sujet o nous convions la Haute autorit de sant la DGOS et Unifaf souligne S bastien Bosch adminis trateur Unifaf Unifed FFCLCO Nous avons galement constitu un Formation Sant Social N 27 Formation Sant Social N 27 00 r seau de responsables for mation inter tablissements qui s est retrouv le 21 mars dernier pour un premier retour d exp riences M me souci d accompagnement du c t de la Fehap Nous aidons nos adh rents y voir plus clair dans ce qui est r glementaire et ce qui rel ve des bonnes pratiques car il y a aujourd hui une certaine confusion indique Flo
22. atre acteurs de l emploi et de la formation r pondent JEAN LOUIS ZANDA Charg de mission P le emploi 66 e focus que proposent ici Unifaf et l Observatoire va nous permettre de disposer d une analyse plus fine des m tiers de la Branche et de la comparer d autres En tant qu op rateur de recrutement P le emploi s int resse particuli rement l analyse des m tiers avec une vision panoramique C est un avantage de pouvoir livrer une cartographie g n rale mais aussi un inconv nient On ne peut pas tout savoir sur tout Le focus que proposent ici Unifaf et l Observatoire va nous permettre de disposer d une analyse plus fine des m tiers de la Branche et de la comparer d autres Les premiers r sultats montrent par exemple combien la question du vieillissement est au c ur des pr occu pations du secteur Mais ce n est pas le cas partout La restauration rapide fait face la situation inverse avec une population extr mement jeune Nous allons pouvoir ainsi confronter des r alit s diff rentes Et surtout chercher adapter des solutions en fonction de ces r alit s diverses VIRGINIE LOUISE Responsable Connaissance clients l ANFH 66 Ces donn es l gitiment nos projets de coop ration sur la VAE des aides soignantes et la formation des assistants de soins en g rontologie Les r sultats de l Enqu te Emploi confirment la perti nence des actions de partenariat engag
23. centres de sant conventionn s 2 www mondpc fr Formation Sant Social N 27 Avr 2013 LE SAVIEL VOUS Vous pouvez r pondre votre obligation de DPC si vous Pr parez un dipl me universitaire DU ou inter universitaire DIU valu favo rablement par la CSI comp tente Participez en qualit de formateur un programme de DPC Publiez un article scientifique Pratiquez une approche int gr e de l analyse professionnelle comme par exemple un groupe d analyse de pratiques une r union d quipe m dico soignante un groupe de pratiques r flexives tes accr dit pour une sp cialisation ou une activit dite risque tes engag dans une d marche de formation professionnelle tout au long de la vie Attention Les dispositifs pr c dents doivent cependant r pondre aux crit res de la HAS consultables en ligne www has sante fr La participation un programme de DPC n exclut pas la possibilit de suivre d autres actions de formation au titre de la FPC P DAGOGIE Le DPC en questions QUI EST CONCERNE 7 Tous les professionnels de sant m dicaux et param dicaux assimil s sont soumis l obligation de DPC quel que soit leur mode d exercice hospitalier salari ou lib ral priv ou public LOMMENT SATISTFAIRE SON OBLIGATION DE DPC En participant chaque ann e au moins
24. compagnement des troubles autistiques s adresse l encadrement et aux quipes duca tives m dicales et param dicales des tablissements concern s Plus d infos contactez votre service r gional Formation Sant Social N 27 Formation Sant Social N 27 1 Agence r gionale de sant 2 Fonds paritaire de s curisation des par cours professionnels 3 D l gation g n rale l Emploi et formation profes sionnelle 4 Caisse nationale de solidarit pour l autonomie Avril 2013 EMPLOIS D AVENIR Tay Be an Fik Unifaf table sur 8000 parcours de formation N D un c t un potentiel de cr ations d emploi notamment dans le champ de la personne g e et du handicap De l autre un nouveau dispositif d insertion professionnelle et sociale Pour r pondre ces besoins de recrutement Unifaf se saisit des emplois d avenir et engage 17 millions d euros dans la prise en charge du volet formation de ces nouveaux parcours ette enveloppe permettra de financer la formation des jeunes int grant ce nouveau dispositif 15 millions d euros le soutien l exercice de la fonction tutorale et la formation des tuteurs dans les tablissements 2 millions d euros Diff rents types de parcours r pondant aux besoins des tablissements ont d ores et d j t identifi s par Unifaf et seront propos s aux jeunes en emploi d avenir actions visant l obtention d une certification
25. dagogiques propos es doivent tre valid es par la organisme n est pas valu positive ment les programmes de DPC qu il propose ne permettront pas aux pro fessionnels de valider leur obligation de DPC La liste des ODPC est disponible sur le site de l OGDPC yY A T IL UN SUIVI M x en p Du DISPOSITIF Oui Dans un tablissement le suivi de l obligation de DPC des salari s incombe l employeur Quand un salari participe un programme de DPC il re oit une attestation de participation Parall lement un exemplaire est adress son employeur Si l tablissement est ODPL il doit galement transmettre l OGDPC un bilan annuel d activit Pour les lib raux l ODPC transmet les attestations au conseil de l Ordre et en remet un exemplaire aux professionnels concern s Pour les professions lib rales qui ne disposent pas d instances ordinales l ARS assure le suivi de l obligation QUI FINANCE En fonction des professionnels concern s les modalit s de financement sont diff rentes Pour les professionnels de sant li b raux ou exer ant dans les centres de sant conventionn s le financement sera assur directement par l OGDPC Pour les m decins salari s le finan cement sera assur par l OGDPC hauteur d un forfait d fini annuelle ment La prise en charge pourra tre compl t e par Unifaf sous r serve que l action concern e remplisse les E pre crit res d imp
26. de la fonction publique hospi tali re Avril 2013 3 QUESTIONS Formation Sant Social N 2 EE Jean Pierre Delfino Directeur g n ral d Unifaf 1 Comment Unifaf accompagne t il ses adh rents vers le DPC Notre strat gie est d abord une stra t gie d appropriation ce jour deux actions prioritaires nationales APN viennent d tre lanc es et seront d ploy es simultan ment dans nos 22 d l gations r gionales tout au long de l ann e 2013 La premi re est une action de sensibilisation globale pour aider les tablissements mettre en uvre le dispositif La seconde est destin e sp cifiquement aux ta blissements qui souhaitent r aliser des op rations de DPC en interne et leur donne toutes les cl s pour se faire enregistrer comme organisme de DPC ODPC En effet beaucoup d tablissements r alisent d ores et d j en interne des actions de for mation et d analyse de pratiques qui s apparentent au DPC etil est essentiel qu ils puissent les valoriser dans le cadre d un programme de DPC la demande de notre Conseil d adminis tration paritaire ces deux actions sont ouvertes la fois aux responsables d tablissements et aux repr sentants du personnel Quelles sont les autres orientations Ne le cachons pas le DPC est un sujet complexe Notamment parce que beaucoup de professionnels de sant travaillant dans nos associations sont multi statuts et multi employeurs C est
27. e coh rence autour des m tiers et une coh rence partenariale De haut en bas Jean Marie Poujol et Annie L cul e 1 Commission paritaire nationale de l emploi et de la formation professionnelle 1 Agence r gionale de sant 2 L association Anais regroupe 80 ta blissements et accueille 3400 b n ficiaires dans le domaine du handicap mental et de la d pendance sur 13 d partements Formation Sant Social N 27 Avril 2013 De haut en bas B atrice N grier et Jean Pierre Delfino To De haut en bas Xavier Dondey et Jean Baptiste Plarier S QUENCE 3 Attractivit et sestion des carri res la question des ressources humaines au centre du devenir associatif L Enqu te Emploi s est largement pen ch e sur les conditions d emploi Si le taux de CDI est comparable celui de 2007 87 des salari s des diff rences sectorielles existent le champ des adultes en difficult affichant ainsi le taux le moins important Autre constat les tensions sur le recrutement se rel chent avec une baisse de 8 points tous tablissements confondus en cinq ans Mais l encore on note des diff rences selon les sec teurs d activit et selon les territoires Un tablissement sur deux dans le champ de la personne g e d clare conna tre des difficult s de recru tement et les emplois du soin sont particuli rement recherch s Autre r alit le vie
28. e la liste des m thodes et des modalit s de DPC Les conseils de l Ordre Contr lent l obligation de DPC pour les profes sions ordre m decins chirurgiens dentistes sages femmes pharma ciens et certains para m dicaux lib raux Les commissions scientifiques ind pendantes CSI Il existe quatre CSI repr sentant les m decins les pharmaciens les chirurgiens dentistes les sages femmes et une commission scientifique du Haut Conseil des pro fessions param dicales CSHCPP Ces instances Formulent un avis sur les orientations nationales et r gionales et les m thodes et modalit s de DPC valuent les pro grammes de DPC des organismes sur la base d un cahier des charges tablissent la liste des dipl mes universi taires DU consid r s comme quivalents un programme de DPC L Formation Sant Social N 27 Les dates cl s de la formation m dicale continue Avant 1996 la formation m dicale conti nue est une obligation d ontologique pour toutes les professions m dicales 1996 Obligation l gale de formation m dicale continue FMC pour tous les m decins en exercice 2004 Obligation d valuation des pratiques professionnelles EPP pour tous les m decins en exercice 2006 Premier rapport de l IGAS sur la FMC 2008 Second rapport de l IGAS sur la FMC et l EPP 2009 La loi H pital patients
29. e pas accompli constitue un pas de plus vers la reconnaissance des employeurs de la Branche comme des partenaires sociaux part enti re Les tapes comme la perspective d ensemble l horizon 2013 sont tr s claires dans mon esprit Je sais qu elles sont partag es par mon col l gue ministre du Travail de l Emploi de la Formation professionnelle et du Dialogue social Michel Sapin Je suis galement attentif aux propositions que devrait faire le Medef sur la repr sentativit patronale conform ment l engagement pris lors de la grande conf rence sociale 1 tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes 2 Fonds paritaire de s curisation des par cours professionnels 3 Conseil national de la formation profes sionnelle tout au long de la vie 4 Contrat de plan r gional de d velop pement des formations professionnelles Conf rence Enqu te Emploi 05 Avril 2013 Formation Sant Social N 27 E Estelle Bacher Chauvin Directrice Recherche tudes et D veloppement d Unifaf NNN W MX si k A Wy Feu l f ANANE AAT EE OUVERTURE En route pour Marie France Guthey Perrot CGT FO pr sidente de l Observatoire prospectif des m tiers et des qualifications de la Branche et Florence Leduc Unifed Fehap pr sidente adjointe ont ouvert cette conf rence voquant tour tour les d fis qui attendent la Branche Marie France Guthey Perrot
30. es depuis plu sieurs ann es par l ANFH et Unifaf De fait nos adh rents partagent de nombreuses probl matiques comme dans le secteur des personnes g es les enjeux d attractivit et de professionnalisation de la prise en charge des r si dents atteints de la maladie d Alzheimer Ces donn es l gitiment nos projets de coop ration sur la VAE des aides soignantes et la formation des assistants de soins en g rontologie Elles vont aussi permettre de nourrir le dialogue engag avec nos partenaires r gionaux on est plus solides quand on arrive ensemble et chiffres l ap pui Sur le plan op rationnel nous allons nous inspirer de la m thodologie de l Enqu te Emploi pour construire les indicateurs de nos cartographies r gionales des m tiers Nos donn es respectives pourront ainsi plus facilement alimenter les r flexions territoriales AA BRUNO MARS Chef de bureau en charge de l emploi et de la politique salariale la DGCS L Enqu te Emploi est passionnante parce qu elle offre une vision globale d un secteur tr s h t rog ne et propose en m me temps une approche analytique pouss e Pour d finir la politique publique de l emploi la DGCS a besoin d outils de diagnostic pr cis ce titre l Enqu te Emploi est passionnante parce qu elle offre une vision globale d un secteur tr s h t rog ne et pro pose en m me temps une approche analytique pouss e Elle compl te nos donn es sta
31. es qui travaillent aupr s des personnes g es Nous avons besoin de ce dialogue permanent Quelles recommandations Xavier Dondey Unifed Fegapei pr sident de la CPNE FP La CPNE partir des r sultats de l Enqu te va d finir un certain nombre de recommandations pour la Branche dans le domaine de l emploi et de la formation pour les cinq ans venir Parmi nos priorit s d action va demeurer la lutte contre le ch mage Le secteur a t cr ateur de nombreux emplois Cette croissance forte marque le pas mais le secteur va continuer cr er de l activit Autre priorit l emploi des jeunes Promoteur d une conomie solidaire la Branche doit poursuivre son r le essentiel dans l insertion professionnelle des jeunes g n rations et le d veloppement des emplois d avenir Elle doit aussi travailler la s curisation des parcours des professionnels les pr parer aux volutions futures et les garder dans le secteur ce titre nous avons une obligation de maintien de l employabilit L Enqu te Emploi montre tr s bien la n cessit de d velopper l attractivit notamment dans le soin et de r fl chir aux moyens permettant une gestion diff renci e des deuxi mes parties de carri re Jean Baptiste Plarier CGE CGC pr sident d Unifaf Les r sultats et les diff rentes interventions convergent donnant ainsi tout leur poids aux l ments statistiques avec les OPCA pour pouvoir r pondre
32. et comptez de nombreux professionnels de sant Pour valoriser vos actions et r duire l impact financier du dispositif vous avez tout int r t vous positionner comme ODPC Pour cela il faudra Identifier des personnes ressources en interne Commission m dicale d tablissement DRH responsable de formation responsable qualit gestionnaire de risques directeur des soins Mettre en place un comit de pilo tage qui va porter et animer le projet de positionnement comme organisme de DPC Effectuer un diagnostic de l exis tant recenser l ensemble des actions de formation et d analyse des pra tiques professionnelles d j r alis es en interne revue de mortalit et de morbidit groupes d analyse de pra tique suivi d indicateurs etc et les besoins non satisfaits D clarer l activit de formation en pr fecture Mettre en place un comit de d onto vigilance pour garantir l impartialit des informations conte nues dans les programmes gt Formaliser un programme type par profession en vue de l valuation par les commissions scientifiques ind pendantes gt Vous enregistrer aupr s de l OGDPC UA OPTION 2 Votre tablissement compte peu de professionnels de sant et vous ne pratiquez pas d actions de formation EPP ou FMC en interne Recenser les professionnels de l ta blissement soumis l obligation de DPC gt V rifier que ces pr
33. gamme de services aux usagers en les aidant dans leur quotidien Le dernier d fi en date pour cette femme de conviction anim e par son envie de toujours avancer cr er innover Du sanitaire Quand j tais plus jeune je r vais de faire des tudes pour devenir m decin ou avocat La vie en a d cid autrement mais a finalement bien fait les choses 58 ans le regard d Evelyne Dufour sur son parcours est plus que positif J ai eu la chance de multiplier les exp riences Tout d marre avec le dipl me d infirmi re d tat d croch en 1977 Quelques ann es d exercice et tr s rapidement la jeune professionnelle int gre l cole des cadres de Caen et r fl chit au bout de quelques ann es cr er son propre tablissement Elle se lance en 1987 et ouvre un centre de r adaptation cardiaque qu elle dirige pendant six ans Pendant cette p riode elle suit en parall le un DESS de gestion et d conomie de la sant la facult de Montpellier L envie de prendre du recul par rapport au secteur l am ne prendre la direc tion quelques ann es plus tard d un parcr sidentiel de loisirs en Touraine Mais je savais que je reviendrais t t ou tard mes racines professionnelles Le syndicat des tablissements hospi taliers priv s but lucratif la rappelle bient t pour lui proposer la direction d un centre de convalescence L tablissement est en difficult S duite par ce nouveau
34. hie et la psychanalyse pour clairer sa pratique alors que la loi de 2007 r formant la protection de l enfance a notamment introduit le mot affectif et invite galement y r fl chir L aiei ti etla protection de antante Le processus de cr ation dans le travail ducatif Jacques Marpeau ditions Er s 2013 216 pages 25 l heure des proc dures et des r f ren tiels de tous ordres la cr ation est difficile cerner et identifier au quotidien en par ticulier dans les situa tions de crise chez des enfants et des adolescents en grande difficult Elle est pourtant au c ur de la probl matique du travail ducatif Jacques Marpeau docteur en sciences de l ducation et formateur aupr s d ducateurs sp cialis s poursuit ici sa r flexion sur la sp cificit du travail ducatif qu il diff rencie du travail d enseignement ou du travail social Il aborde la cr ativit ducative tant en termes de compr hension th orique que de modes de mise en uvre Avril 2013 ANI Signature du nouvel accord L accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 pour un nouveau mod le conomique et social au ser vice de la comp titivit des entreprises et de la s curisation de l emploi et des parcours professionnels des salari s vise pr server et d velopper l emploi r duire sa pr carit et cr er de nou veaux droits individuels et collectifs pou
35. ilit Cette r alit nous donne norm ment de responsabilit s Second d fi celui du territoire o nos organisations sont de v ritables leviers de la vie locale et cr ent de l activit conomique du d veloppement de l emploi des coles de l administra tion de l agriculture Dans le m me temps il nous faut prendre en compte l environnement r glementaire extr mement contraignant avec son cor t ge de normes et d injonctions finan ci res En parall le nous apprenons que nous repr sentons 30 de l co nomie sociale et solidaire Cette d fi nition par le chiffre pour notre champ qui a souvent du mal se d finir par son versant conomique est remar quer souligner enfin le d fi de l inno vation dont notre secteur est porteur par nature car il faut en permanence s adapter aux nouveaux besoins des populations mais aussi aux n cessit s de l organisation des structures Sur ce point notre secteur est me semble t il v ritablement au rendez vous OO conf rence Enqu te Emploi Formation Sant Social N 27 Avril 2013 S QUENCE 1 de la coh sion sociale et du d veloppement des territoires PSE em ES ESTONE MEMNU Directrice Recherches ETU AT V CIO ement DRED d Unifaf introduit les trois s quences de cette Oa Die AU eG L r a Ta e E qa C o i ut HU A 5 700720 salari s qui voluent dans aux volutions rapides et ma
36. illissement des salari s de la Branche 18 d entre eux ont plus de 55 ans avec en filigrane la CONCLUSION question de l usure professionnelle Comment accompagner les structures associatives sur ces enjeux B atrice N grier vice pr sidente du Conseil r gional de Languedoc Roussillon t moigne de son exp rience en r gion tandis que Jean Pierre Delfino revient sur le d veloppement par l OPCA d une offre de service adapt e ce nouveau besoin B atrice N grier Vice pr sidente de la R gion Languedoc Roussillon d l qu e la formation professionnelle et l apprentissage Avec Unifaf Languedoc Roussillon nous allons regarder de tr s pr s les chiffres de la nouvelle Enqu te Emploi qui int ressent notre terri toire D ores et d j des actions sont men es au plus pr s du terrain en Loz re par exemple o nous avons qualifi un grand nombre de sala ri s pr s de 3 000 dans les Pyr n es Orientales o la formation se d place aujourd hui sur les plateaux montagneux aupr s de personnes qui avaient le niveau de qualification le plus faible niveau V et infra V Nous soutenons financi rement l action d Unifaf sur ces territoires pour une meilleure s curisation des parcours L id e est de continuer travailler en semble mettre en place des actions tr s efficaces accompagner ici les salari s faire de l auto diagnostic soutenir l la mont e en qualification de personn
37. jeures SAn a e Sec enei 20 450 tablissements L Enqu te un nombre de salari s multipli par aa a a e Emploi d crit une Branche aux vi deux dans les Ehpad entre 2007 et EC I sa NPA INR CEA NE 7 p P H sages divers 88 cat gories d emploi 2012 au poids conomique certain A D r parties sur trois secteurs d activit 3 de l emploi salari en France re TAQ N I Ta DYA QA T p AN 4 l 1 y AN 1 a TA AQ m a E fon S iC Y T i C C J Ul I C JE r E A N S NAA L LL LE E LA E les associations Pics des rapprochements et du d veloppement des comp tences L Enqu te Emploi refl te des muta associatifs d clarent avoir un projet apport leur t moignage en faveur de tions du c t des structures associa de regroupement et celui ci est en ces nouvelles formes de coop ration tives mais aussi du c t de l emploi gag dans 4 cas sur 10 Cette r alit Les 20450 tablissements de la ser percute du c t de la dirigeance Marie Sophie Dessaulle Branche sont ainsi g r s par un associative Dans le sch ma d orga Directrice g n rale peu moins de 8000 organisations nisation des si ges apparaissent des de l ARS Pays de la Loire employeurs directions plus techniques avec de Au sein du projet r gional de sant Un processus de reconfiguration est l expertise mise au service des diff nousincitons au rapprochement entre en marche particuli remen
38. le cadre des orientations nationales et reprennent les m thodes d finies par la HAS Pour un tablissement quel est l int r t d tre ODPC tre enregistr comme ODPC permet aux tablissements qui faisaient d j des formations en interne de pour suivre cette d marche sans tre obli g s d externaliser les programmes de DPC ce qui grande chelle serait extr mement co teux Ils peuvent par exemple adapter les formations cognitives qu ils proposaient d j en y ajoutant une dimension analyse de pratiques ou inversement Ce qui ne les emp che pas de sous traiter une partie des formations l ext rieur quand c est n cessaire tre ODPC laisse donc une plus grande marge de man uvre aux tablisse ments dans la gestion de leur plan de formation C est aussi un moyen de favoriser les d marches interpro fessionnelles en interne Quels conseils donner aux tablissements qui souhaitent se faire enregis trer Ils doivent d abord s interroger en amont sur le public pour lequel ils sou haitent d velopper des programmes en interne En effet au del de la partie strictement adminis trative ils devront pour tre valu s d poser un dos sier et donc pr senter un programme vitrine par profession Dans un second temps il est essentiel qu ils s approprient les m thodes du DPC en se reportant aux fiches techniques de la HAS Pour certaines professions comme les chirurgiens
39. n des savoirs de base et s engage pour les emplois d avenir Unifaf se doit pour ses adh rents et les salari s de poursuivre les efforts de certification de qualification et d adaptation pour faire face dans de bonnes conditions aux volutions importantes que connaissent les modes d inter vention Dans le mouvement maintenant bien install de reconfiguration de l offre de services des actions visant soutenir les associations sont propos es Ces volutions sont mettre en corr lation avec l augmen tation du nombre d arr ts maladie d accidents du travail et de licenciements pour inaptitude Cela conduit s inter roger sur les dispositions prendre pour accompagner les secondes parties de carri re L int gration des jeunes et le maintien dans l emploi constituent un d fi de taille pour la Branche Il en va de notre attractivit et de notre capa cit fournir la qualit de prestation que les usagers sont en droit d attendre C est au triple enjeu de changement technique gestionnaire et manag rial que les actions de formation doivent r pondre L Enqu te Emploi ne doit pas tre consid r e comme un travail achev mais comme le d but d une appropriation renouvel e des besoins et des n cessit s de formation Formation Sant Social N 27 10 conf rence Enqu te Emploi Avril 2013 T MOIGNAGES Comment l Enqu te Em ploi est elle per ue par les partenaires de la Branche Qu
40. nifaf fr 20 juin 2013 Rh ne Alpes Lieu Les Terrasses du Parc 115 boulevard Stalingrad 69100 Villeurbanne Contact Unifaf Rh ne Alpes T l 04 72 07 45 30 rhone alpes unifaf fr Formation Sant Social N 27 Avril 2013 24 S e 18 Entretien avec Monique Weber 20 P dagogie Le DPC en questions 22 M thode DPC mode d emploi i A l Lu NS A Li TANN AiR j a l MANS ER LE LUE De Strasbourg Le Centre Paul Strauss se jette l eau NE ESS ARSEN iaia La mise jour des comp tences et des r alis par B reng re Ducloux pratiques est une question cl Alors Reportage 5 4 photo p 1425 que les connaissances m dicales pro Thibaut Voisin gressent continuellement en France une minorit des professionnels de sant se forme chaque ann e Changement d chelle Pour les m decins la formation m di Sant Social fait le point cale continue FMC est une obligation l gale depuis 1996 et l valuation des u est ce que le d ve perfectionnement des connaissances pratiques professionnelles EPP de loppement profes l am lioration de la qualit et de la puis 2004 mais les rapports produits sionnel continu DPC s curit des soins ainsi que la priseen par l Inspection g n rale des Affaires Quelle diff rence par compte des priorit s de sant publique Sociales IGAS en 2006 et 2008 ont rapport au dispositif de formation et de la ma trise m dicalis e des soins montr que les deux obligation
41. ns interprofessionnelles et contribuera galement d cloisonner les diff rents modes d exercice entre le sanitaire et le m dico social D ores et d j Unifaf est en ordre de marche pour relever le d fi Deux actions prioritaires nationales vont tre d ploy es sur l ensemble des territoires pour pr parer les acteurs concern s mettre en uvre le DPC au sein des structures Pour ceux qui disposent d une organisation et de ressources internes suffisantes ils seront accompagn s dans leur d marche pour comprendre les enjeux les impacts et les modalit s leur permettant de devenir organisme de d veloppement professionnel continu ODPC Conscient de l importance de ces nouveaux enjeux Unifaf saura remplir sa mission de conseil pour accompagner les structures dans la mise en place de ce nouveau dispositif en laborant des r ponses p dagogiques et financi res adapt es aux besoins de ses adh rents Jean Baptiste Plarier CFE CGC Pr sident d Unifaf Jean Marie Poujol Unifed Syn as Pr sident adjoint d Unifaf Lo A NF NOIA Conf rence Enqu te Emploi 03 Avril 2013 n mn V mA D SAS g en 3 reconna tre et faire conna tre our quelles raisons avez vous souhait introduire la conf rence de pr sen tation des r sultats de l Enqu te Emploi 2012 En tant que ministre d l gu en charge de l conomie sociale et soli daire je tenais
42. nvironnement juri dique des tablissements je pr pare un projet de loi relatif l conomie sociale et solidaire qui sera pr sent en Conseil des ministres avant l t Afin que d cideurs publics et finan ceurs puissent mieux identifier et sou tenir les acteurs de l conomie sociale et solidaire cette future loi d finira ce que sont ces structures et pourra pr ciser dans quelles conditions cer taines d entre elles b n ficieront d un soutien particulier L conomie La Branche est engag e dans le d ploiement de nombreuses politiques pu bliques dans les domaines de l emploi emplois d avenir contrats de g n ration et de la sant publique DPC Alzheimer autisme Ehpad Comment le Gouvernement peut il l aider r ussir Je sais que votre Branche a besoin du soutien de la puissance publique C est tout le sens de mon action gou vernementale et de la cr ation d un minist re d di l conomie sociale et solidaire Dans le cadre de la poli tique de l emploi que je conduis pour le secteur votre Branche est un levier fondamental Le dispositif des em plois d avenir est particuli rement adapt vos structures Ces contrats de trois ans minimum initialement r serv s aux jeunes non qualifi s sont exceptionnellement ouverts aux Bac 3 pour les jeunes r sidant dans les quartiers de la politique de la ville et les territoires ruraux en d sh rence conomique En 2013 la moi
43. obligation du DPC l ensemble des professionnels de sant Ayant la fois pour but d am liorer la prise en charge des patients et d accompagner les volutions du syst me de sant il a repris dans un concept commun des th matiques qui se vivent au c ur des structures de la Branche la formation m dicale continue FMC et l analyse et l valuation des pratiques professionnelles EPP L objectif du DPC est de revoir l ensemble de ces pratiques en profondeur en termes de perfectionnement des connaissances au profit de l am lioration de la qualit et de la s curit des soins Ce dispositif nous concerne donc tous car il va impacter la plupart des structures de la Branche notamment le sanitaire et le m dico social Qu il s agisse des troubles du vieillissement de la relation aux familles des formations sp cifiques destin es aux encadrants de l autisme et des troubles envahissants du d veloppement de la d marche palliative et de l accompagnement des personnes en fin de vie tous ces enjeux soci taux traversent la vie de nos tablissements au quotidien Face ces d fis le DPC repr sente donc une opportunit saisir pour les structures et les professionnels qui n taient pas auparavant concern s Il s agira pour eux de s emparer de la question de la qualit des pratiques professionnelles et d inscrire leur am lioration dans ce nouvel environnement l gal Cette ouverture favorisera le d veloppement de coop ratio
44. ofessionnels ne remplissent pas d j leur obligation de DPC travers l un des dispositifs sp cifiques qui en tiennent lieu Cf l encadr p 20 Int grer le DPC des professionnels concern s au plan de formation de l tablissement gt Consulter le site de l OGDPC pour identifier les organismes et les pro grammes ODPC correspondant aux besoins Le conseil de Nathalie Derozier Charg e de mission Soutien aux Innovations et DPC l Agence r gionale de sant ARS d le de France Les gros tablissements peuvent tre l gitimement des organismes de DPC part enti re Les petits tablissements ont int r t travail ler en r seau S ils appartiennent Une association gestionnaire de plusieurs tablissements il peut tre int ressant pour elle de se faire en registrer comme ODPC Si tel n est pas le cas ils peuvent se rapprocher d autres tablissements ayant le m me profil qu eux pour d finir des actions communes a Anne Dardel Charg e de mission la Direction g n rale de l offre de soins DGOS Le DPC n est pas une d marche complexe mais il oblige changer les habitudes Il permet aux tablis sements de travailler de fa on plus transverse et aux diff rentes cat gories de professionnels d changer davantage Il faut privil gier les approches pluridisciplinaires ou pluri professionnelles 1 HAS Haute autorit de sant 2 ANFH OPCA
45. oi sans en avoir la qualification a diminu de moiti en cinq ans Enfin en termes de structu ration des acteurs le mouvement est la mutualisation Une association sur six est aujourd hui engag e dans des logiques de coop ration avec d autres acteurs Cette dynamique positive et transformatrice je souhaite l accompagner et l approfondir encore davantage Les tablissements de la Branche continuent de porter des projets mais l environnement juridique et budg taire de plus en plus contraint menace la survie d un certain nombre de structures Comment le Gouvernement peut il desserrer l tau Le Gouvernement a d ores et d j mis en uvre des mesures favorables aux tablissements de la Branche En mati re de fiscalit j ai obtenu une hausse de l abattement sur la taxe sur les salaires pour les associa tions abattement port de 6000 20 000 euros Cela correspond un effort de 314 millions d euros pour le budget de l tat Au total un tiers des associations ne paiera plus cette taxe et plus de la moiti d entre elles verront leur pr l vement divis par deux De plus de nouveaux finance ments seront disponibles puisque Avril 2013 sociale et solidaire apporte beaucoup la richesse nationale mais cela reste m connu 500 millions d euros de la future Banque publique d investissement seront consacr s aux structures de l conomie sociale et solidaire En ce qui concerne l e
46. oite Jean Baptiste Plarier Annie L cul e Jean Marie Poujol et Alain Carr e Avril 2013 Election des nouveaux Bureaux UNIFAEF Depuis le 1 janvier 2013 la composition du Bureau national d Unifaf est la suivante Jean Baptiste Plarier CFE CGC Pr sident Ancien directeur de maison d enfants aujourd hui d tach au profit de la f d ration Sant Social CFE CGC Mandats Membre de l Observatoire la CPNE FP la CPC la CPB le Comit national d organisation sanitaire et social le Conseil sup rieur du travail social le Comit d orientation stra t gique de l Anesm l ARS Nord Pas de Calais Jean Marie Poujol Unifed Syn as Pr sident adjoint Ancien directeur d association dans le domaine de la protection de l enfance et enseignant universitaire Mandats Vice pr sident de la Sauve garde de l Essonne administrateur et membre du Bureau du Syn as Sup pl ant au Conseil sup rieur du travail social Alain Carr e Unifed Fehap Tr sorier Ancien directeur d IME et de Sessad apr s une carri re d enseignant sp cialis notamment en IMPro Mandats Vice pr sident de la Fehap Pr sident d Unifed Pr sident d OETH Annie L cul e CGT Tr sori re adjointe Directrice du service de pr vention sp cialis e Feu vert Mandats Membre du Bureau de la CPNE FP administratrice d Unifaf le de France L OBSERVATOIRE Les membres du nouveau Bureau de l Observa
47. ouvelles connaissances que si on les met en pratique au quo SN NS is 5 re WANA WA LR a NS LA LA NUL i LE NS EAU Le 2 s ETS O M ANR tidien D o l id e d associer troite ment dans un m me programme l analyse des pratiques telle qu elle est d j pratiqu e dans certains ta blissements revue de mortalit et de morbidit RMM revue de dossiers et analyse de cas suivi d indicateurs etc et la d livrance de connaissances durablement N cessaire adaptation Dans la Branche plus de 185 000 salari s sont soumis l obli gation de DPC les plus nombreux tant les aides soignants les infirmiers et les m decins Et la mise en uvre du dispositif au sein de chaque tablissement demande un effort d adaptation significatif d autant que les professionnels de sant sont souvent multi employeurs ou multi statuts Les salari s ne doivent pas tre rendus responsables du non respect de leur obligation de DPC souligne Marie France Guthey Perrot administra trice Unifaf CGT FO II appartient aux employeurs de tout mettre en uvre pour leur permettre de s y conformer en tablissant un plan de DPC conjoin tement au plan de formation ass is W Flati id s wa T a On n assimile de nouvelles connaissances que si on les met en pratique au quotidien Avril 2013 l R si 17 671 NA Ai il T il b Sch m
48. pilotage Concr tement nous enregistrons et faisons valuer tous les organismes de DPC ODPC pu blions les programmes et r alisons un compte rendu annuel de l avanc e du DPC et des difficult s rencontr es pour chaque profession Parall lement nous assurons le financement du DPC pour neuf professions lib rales et par le biais des OPCA pour les m decins hospitaliers Dans ce cadre nous g rons les fonds et sommes charg s de contractualiser avec les OPCA En plus de ces deux missions principales nous accompagnons les ODPC et les profes sionnels de sant dans la d marche et exer ons une mission de contr le avec la possibilit de d senregistrer les organismes qui ne respecteraient pas leurs engagements Pourquoi avoir mis en place une p riode transitoire Pour les organismes et les tablisse ments qui faisaient d j de la FMC et de l EPP la p riode transitoire permet d assurer la continuit entre l ancien et le nouveau syst me Aujourd hui pr s de 1 600 organismes sont d j enregistr s titre provisoire partir du 30 juin il ne leur restera plus qu compl ter leur dos sier pour tre enregis tr s de fa on p renne et valu s par la ou les commissions scientifiques com p tentes Si l valua tion est positive les programmes de DPC qu ils auront d livr s depuis le d but de l ann e seront reconnus r troactivement sous r serve qu ils s inscrivent dans
49. pourquoi pour accompagner au mieux nos adh rents nous avons souhait travailler sur le terrain en collaboration avec les diff rents orga nismes impliqu s dans le dispositif Plusieurs de nos d l gations ont d j organis des r unions d adh rents avec l OGDPC la DGOS la HAS l ARS ou l ANFH Ces interventions vont se poursuivre notamment dans le cadre de journ es th matiques Parall lement nous sommes en rela tion troite avec l OGDPC pour d finir les modalit s de prise en charge et de suivi du DPC par notre OPCA et signer une convention qui permet tra notamment le financement des actions de DPC des m decins salari s de nos tablissements Nous poursui vons par ailleurs nos discussions avec la DGEFP pour red finir de fa on plus large la notion de formation profes sionnelle continue et tre ainsi en mesure de prendre en charge des actions d valuation des pratiques professionnelles EPP En mati re de gestion du dispositif quelle offre de services allez vous d ployer Pour faciliter la gestion et le suivi du DPC nous faisons actuellement voluer les Webservices Concr te ment une cat gorie sp cifique DPC a d j t cr e dans notre logiciel de gestion pour permettre de tracer et de consolider les actions de DPC Pour ceux de nos adh rents qui ne r aliseront pas d actions de DPC en interne nous serons ainsi en mesure d tablir un bilan annuel des actions DPC
50. profondeur l offre de formation et la d finition des plans Pour conduire la r flexion le Centre a mis en place en f vrier 2013 un co mit de pilotage transverse associant l unit de formation les ressources humaines le d partement qualit la conf rence m dicale et la direction des soins infirmiers Premi re mission Recenser les besoins de formation de tous les professionnels de sant de l tablissement et d finir le plan de DPC adapt Parall lement le comit de pilotage est charg de constituer les dossiers qui partir de juillet pro chain lui permettront de proroger son enregistrement comme ODPC et d obtenir l valuation positive de ses pro grammes pour les cinq ann es venir De son c t l unit de formation ne ch me pas remise plat de l offre pour s assurer qu elle correspond aux orientations nationales analyse des m thodes de formation pour v rifier leur conformit avec les recommandations de la HAS mise en place d un outil de suivi Josiane Marrel la responsable de l unit est sur tous les fronts Beaucoup des m thodes pr conis es par la HAS existent d j en interne pr cise t elle Une grande majorit de notre personnel participe des groupes d valuation des pratiques professionnelles EPP et il existe d j des groupes interprofession nels Pour autant l EPP n est pas toujours associ e une d marche d acquisition de connaissances Il faut donc revoir
51. r les salari s L ensemble des orga nisations patronales Medef CGPME et UPA et trois organisations syndicales de salari s ont approuv ce texte la CFTC la CFDT et la CFE CGC La CGT et la CGT FO n ont pas sign Ce nouvel accord souhaite assurer un quilibre entre s curit des salari s et adaptation des entreprises pour maintenir activit et emploi Il pr voit EMPLOI notamment de nouveaux droits pour les salari s portabilit des droits l as surance ch mage g n ralisation du b n fice de compl mentaires sant accords de maintien dans l emploi ou encore renforcement de l articula tion entre la gestion pr visionnelle de l emploi et des comp tences GPEC la formation et les territoires En ma ti re de formation continue l un des points cl s porte sur la cr ation d un compte personnel de formation afin de franchir une tape suppl mentaire en mati re de portabilit des droits la formation L application de ce nouvel ANI n cessite encore l adoption par le Parlement d un projet de loi reprenant son contenu qui devrait tre d pos par le Gouvernement ce printemps Le contrat de sen ration sur les rails C tait l une des promesses du can didat Fran ois Hollande en mati re d emploi le contrat de g n ration est d sormais op rationnel Ce nouveau dispositif vise inciter les employeurs du secteur priv recruter durablement des jeunes tout en conservant un salari
52. re du nouvel accord Le contrat de g n ration sur les rails Formation professionnelle La nouvelle feuille de route de Fran ois Hollande tude Le d fi de la d pendance Portrait Une femme de d fis FORMATION SANT SOCIAL n 27 Avril 2013 31 rue Anatole France 92309 Levallois Perret T l 01 49 68 10 10 Fax 01 49 68 10 39 Publication trimestrielle dit e par Unifaf le Fonds d Assurance Formation de la Branche sanitaire sociale et m dico sociale priv e but non lucratif DIRECTEUR G RANT Jean Pierre Delfino R DACTRICE EN CHEF H l ne Le Courtois helene le courtois unifaf fr R DACTRICE B reng re Ducloux CONCEPTION GRAPHIQUE amp SECR TARIAT DE R DACTION Atelier Marge Design www atelier chevara com ILLUSTRATIONS Cl ment Charbonnier PHOTOGRAPHIES Bernard Lachaud Thibaut Voisin Unifaf IMPRESSION N otypo Tirage 29 500 exemplaires ISSN 1141 8745 LE D VELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU n dispositif performant au service de tous les acteurs de la sant Une d marche innovante et essentielle pour les professionnels de sant qui travaillent au sein des services et des tablissements de nos associations voil bien ce qui caract rise le d veloppement professionnel continu DPC Ce dispositif a t introduit dans le Code de la sant publique par la loi n 2009 879 du 21 juillet 2009 dite HPST H pital patients sant et territoires qui a largi l
53. s deux pro bl mes majeurs la difficult croissante mobiliser l argent public compte tenu des contraintes conomiques et celle li e au renouvellement des militants b n voles engag s dans l action asso ciative pour en assurer la gouvernance La situation est diff rente aujourd hui parce que les exigences techniciennes r glementaires et normatives ont ten dance occuper le terrain de fa on complexe et peut tre faire passer parfois le projet associatif initial au second plan Les rapprochements quelle qu en soit la forme d ailleurs des groupements de coop ration des fusions ou encore par voie convention nelle et autres peuvent de mon point de vue largement contribuer r gler ces probl mes Sur les budgets contraints c est en mutualisant un cer tain nombre d activit s d emplois sup port que l on peut faire des conomies d chelle et favoriser en qualit et en quantit les emplois directement li s l accompagnement des personnes l heure o l enjeu est de proposer des formes alternatives aux grands mod les institutionnels il faut tre en capacit de d velopper de l ing nierie de la recherche de la d marche qualit Et c est par le regroupement des moyens que l on peut les financer Mais et c est souligner il faut bien entendu veiller la taille la limite de ces regroupements en respectant trois principes de coh rence une co h rence de territoire un
54. s C est aussi l occasion de travailler sur l ad quation du plan de formation notre projet d tablissement Une affaire d efficacit en somme Le Centre Paul Strauss en bref Membre du groupe Unicancer le Centre Paul Strauss est sp cialis notamment dans le traitement des cancers du sein de l appareil gyn cologique de l appareil digestif de la sph re ORL et de la thyro de L tablissement qui offre 143 lits emploie 620 salari s L unit de formation en canc rologie propose des programmes destination de nombreuses professions m dicales et param dicales pharmaciens d officine m decins cadres de sant param dicaux lib raux et hospitaliers manipulateurs kin sith rapeutes psychologues ASH et assure chaque ann e une moyenne de 20 25 sessions Formation Sant Social N 27 lire L affectif et la protection de l enfance Christian Allard ESF diteur 2013 140 pages 17 90 Un enfant peut il gran dir en ne se sentant aim que temporaire ment ou transitoire ment Un enfant peut il d velopper ses capa cit s intellectuelles sociales relationnelles en tat d ins curit affective En France 140 000 enfants sont confi s l Aide sociale l enfance Dans son ouvrage destin aux travailleurs sociaux l auteur souligne l impor tance de l affectif durant les tapes du placement de l enfant en famille d accueil Christian Allard mobilise la philosop
55. s m dicale continue FMC Pourquoi En d autres termes l objectif du DPC taient trop souvent remplies sans Erratum Une erreur s est malencontreusement gliss e dans le dernier num ro de Formation Sant Social n 26 Eric Deniset est membre de la CGT FO et non pas de la CFDT FO comme indiqu Le DPC entre en sc ne Depuis le 1 janvier 2013 l ensemble des professionnels de sant quel que soit leur mode d exercice est soumis une obligation commune le d veloppement professionnel continu DPC Pourquoi ce dispositif Quels en sont les b n fices attendus et comment les tablissements et les professionnels se l approprient ils Formation avoir tendu l obligation tous les professionnels de sant Si les questions suscit es par le DPC sont nombreuses l objectif tel qu il est d fini dans la loi H pital patients sant et territoires HPST de juillet 2009 est clair Le d veloppement pro fessionnel continu a pour but l valua tion des pratiques professionnelles le est double am liorer la qualit des soins en largissant l obligation de formation m dicale continue et d analyse de pratiques tous les professionnels de sant mais aussi donner des leviers d action l tat pour orienter la formation en fonction des priorit s de sant publique qu il aura identifi es souci de coh rence Quant l affaire du Mediator elle a mis en lumi re la place excessive occ
56. sant et territoires HPST introduit le concept de d veloppement professionnel continu DPC et en fait une obligation pour l ensemble des professionnels m dicaux et param dicaux 2011 Assises du m dicament suite l affaire du Mediator 2012 Publication au Journal Officiel JO des d crets et de la majorit des arr t s relatifs au DPC 2013 1 janvier entr e en vigueur de l obliga tion annuelle de DPC pour l ensemble des professionnels de sant du 1 janvier au 30 juin p riode transitoire Du 1 au 30 juin et du 1 au 30 octobre d but des proc dures d enregistrement p renne et des valuations des programmes par les commissions scientifiques ind pen dantes pour les organismes de DPC qui demandent leur enregistrement Ne de 2014 Les dossiers d enregistre ment pourront tre d pos s lors de trois p riodes du 1 au 31 janvier du 1 au 30 avril et du 1 au 30 septembre Avr 2013 M THODE DPC mode d emploi nouveau dispositif nouvelle organisation L obligation de DPC passe par le d cloisonnement des quipes en charge de la formation Objectif Recenser tous les besoins et hi rarchiser les demandes pour tablir un plan de DPC qui n oublie personne La m thode varie ensuite selon la typologie d tablissements Deux exemples d options possibles OPTION 1 Vous pratiquez d j en interne des actions d EPP ou de FMC
57. souligner l int r t que je porte la Branche sanitaire sociale et m dico sociale priv e but non lucratif qui repr sente 30 des effectifs de l conomie sociale et solidaire avec 20 000 tablissements et 700 000 professionnels Dans le sec teur de l aide la personne les be soins en main d uvre s accroissent en lien avec le profil d mographique de la France et le vieillissement de la population Le Cr doc dans son tude de janvier 2013 sur les besoins en main d uvre dans l conomie sociale et solidaire value 114000 le potentiel de recrutement annuel pour des jeunes sur des postes peu quali fi s L conomie sociale et solidaire apporte beaucoup la richesse na tionale mais cela reste m connu J ai tenu tre pr sent lors cette conf rence afin de montrer aux acteurs de la Branche que mon action est de la reconna tre et la faire conna tre J ai voulu aussi leur manifester que le Formation Sant Social N 27 Formation Sant Social N 27 minist re de l conomie sociale et solidaire est leur minist re Parmi les r sultats et les ensei gnements de l Enqu te 2012 quels sont ceux que vous rete nez Je constate qu une dynamique ver tueuse est l uvre dans la Branche Tout d abord le secteur continue cr er de l emploi De plus des efforts de formation ont t entre pris puisque l Enqu te 2012 indique que la part de salari s occupant un empl
58. t marqu rents tablissements associations pour r pondre trois sur certains secteurs d activit la per Acteurs privil gi s de ces nouvelles grands enjeux autour des ressources sonne handicap e par exemple et dynamiques Marie Sophie Dessaulle humaines l expertise croissante pour certains types d tablissements directrice g n rale de l ARS Pays de demand e aux acteurs du syst me les structures de plus de 250 salari s la Loire et Jean Marc Le Grand direc difficile acqu rir quand on est une et plus En 2012 20 des dirigeants teur g n ral de l association Anais ont petite structure le recrutement de Avril 2013 Formation Sant Social N 27 30 de l conomie sociale et solidaire 87 des emplois repr sent s dans le champ de la personne handicap e L tude r v le gale ment des r alit s dif f rentes en fonction des territoires mais affirme la pr sence de la Branche surtous les bassins d emploi qui permet notre Jean Marie Pou jol pr sident adjoint d Unifaf Unifed Syn as et Annie L cul e CGT membre du Bureau de la CPNE FP ont soulign cette dy namique au c ur des territoires Jean Marie Poujol Unifed Syn as pr sident adjoint d Unifaf Notre Branche participe faire soci t Environ 160 000 administra teurs b n voles assurent avec les directions d tablissement la gouver nance de nos associations Il s agit d un
59. ti des 100 000 emplois d avenir program m s par le Gouvernement sera cr e dans le secteur de l conomie sociale et solidaire Les contrats de g n ration permettront galement de r soudre les difficult s li es au renouvellement g n rationnel Au del de ces ques tions d emploi d autres de mes col l gues ministres sont mobilis s pour les domaines qui les concernent Nous sommes collectivement engag s en faveur du secteur La Branche repr sente 30 de l emploi dans le secteur de VESS et 3 de l emploi salari en France Elle est cependant absente de la plupart des lieux de n gociation et ne si ge pas dans les principales instances d di es l emploi et la for mation FPSPP CNFPTLV CPRDF tes vous pr t intervenir sur ce sujet Le Gouvernement a entrepris des actions concr tes Pour la premi re fois des repr sentants des employeurs de l conomie sociale et solidaire ont t invit s une conf rence sociale Par ailleurs le d ploiement des em plois d avenir par l association des Chambres r gionales de l conomie sociale et solidaire au pilotage r gio nal et d partemental ainsi que par la participation des employeurs de l co nomie sociale et solidaire aux comit s de coordination r gionale de l emploi et de la formation professionnelle est une opportunit pour les employeurs de montrer leur capacit s inscrire dans le dialogue social territorial Chaqu
60. tistiques sur les m tiers et les salaires et va permettre d alimenter les travaux pros pectifs que nous souhaitons engager Nous attendons impatiemment les r sultats r gionaux car la politique de l emploi se conduit aussi au niveau territorial terme nous souhaitons renforcer notre partenariat avec l Observatoire pour travailler ensemble sur des enqu tes interm diaires ou th matiques Conf rence Enqu te Emploi IL Avril 2013 TRISTAN KLEIN Chef de projet prospective des m tiers et des qualifications au Centre d analyse strat gique CAS ee C est d abord toujours int ressant de voir une Branche professionnelle se livrer un exercice d auto analyse C est capital de pouvoir tre clair par ses propres diagnostics pour pouvoir engager des actions op rationnelles derri re Ces r sultats particuli rement riches et illustr s sont ensuite tr s attendus des partenaires comme le CAS Nous sommes sur le point de mettre en place un r seau des observatoires prospective emplois comp tences Unifaf doit tre acteur de ces changes D o l int r t d un partenariat renforc entre nous DGCS Direction g n rale de la Coh sion sociale minist re des Affaires sociale et de la Sant ANFH Association Nationale pour la Formation per manente du personnel Hospitalier Formation Sant Social N 27 l 2 Quoi de neuf Unifaf Formation Sant Social N 27 De gauche dr
61. toire prospectif des m tiers et des qualifications de la Branche d sign s pour deux nouvelles ann es sont Pour le coll ge salari s Marie France Guthey Perrot CGT FO pr sidente Patrick Edeline CFTC tr sorier adjoint Pour le coll ge employeurs Florence Leduc Unifed Fehap pr sidente adjointe O Patrick Contois Unifed Syn as tr sorier ILLETTRISME Unifaf soutient la grande cause nationale 2013 Le Premier ministre Jean Marc Ay rault a attribu le label Grande cause nationale pour 2013 au collectif Agir ensemble contre l illettrisme f d r par l ANLCI Agence nationale de lutte contre l illettrisme Une bonne nouvelle pour Unifaf d j signataire de la charte des bonnes pratiques de l ANLCI et tr s engag sur le sujet L OPCA poursuit en effet son action en faveur de l acquisition des comp tences cl s Avec le soutien du Fonds paritaire de s curisation des parcours professionnels FPSPP et du Fonds social europ en FSE Unifaf qui a financ entre 2011 et 2012 plus de 8000 actions de formation a centr sa programmation 2013 sur le d ve COLLECTE loppement des comp tences cl s de la Branche li es l organisation la communication le travail en quipe et la prise d initiatives ou encore la bureautique Par ailleurs avec son action prioritaire nationale Ma trise du socle de comp tences cl s Unifaf soutient des parcours individualis
62. u Parle ment et au Gouverne ment En 2012 l Inspection a choisi L H PITAL _ de consacrer ce rapport l h pital et propose ici une plong e dans cette institution singuli re en mutation _ profonde travers la synth se de 26 missions r alis es entre 2009 et 2012 qui ont mobilis les comp tences m dicales administratives _ juridiques et financi res Le rapport revient sur l volution rapide et consid rable de la m decine des be _ soins de la population et des profes sionnels pose des questions tente d y r pondre et apporte quelques pistes pour la d cision publique D cor Sant Social N 27 Avril 2013 Une femme de d fis velyne Dufour est directrice du centre de soins de suite et de r adaptation du Bodio Pontch teau entre Vannes et Nantes Bretagne Normandie r gion parisienne Touraine Tunisie Ce manager au parcours atypique aura multipli les lieux de r sidence en m me temps que les postes Un itin raire riche et diversifi parsem de formations et guid par un ma tre mot le challenge Ile est Paris pour la jour n e et vient de visiter une clinique qui d veloppe un projet autour de l habitat interm diaire Sa nouvelle id e Son nouveau cheval de bataille s agit d une r sidence destin e aux seniors et ou aux personnes mobilit r duite qui serait construite au sein m me du domaine du Bodio et qui offrirait toute une
63. uille de route de Fran ois Hollande En visite dans un centre de forma tion des apprentis Blois en mars dernier le chef de l tat a confirm l organisation d s le printemps d une concertation entre les partenaires sociaux pour pr parer un projet de loi sur la formation professionnelle et sur l apprentissage Le Gouvernement souhaiterait pouvoir finaliser cette loi pour la fin de l ann e L objectif est no tamment de permettre aux ch meurs et aux salari s qui doivent affronter des mutations technologiques de mieux utiliser les fonds de la forma tion professionnelle Fran ois Hollande TUDE Le d fi veut galement recentrer la formation prioritairement sur les jeunes sortis du syst me scolaire Parmi les pistes voqu es un compte personnel de formation par anticipation Le capital serait ouvert avant m me d avoir t constitu correspondant un qui valent de pr financement Ce capital de formation serait d autant plus lev que la formation initiale aura t courte Le Gouvernement pourrait d finir le contenu du nouveau projet de loi l is sue de la deuxi me conf rence sociale qui doit se tenir en juillet prochain de la d pendance Un tiers des Fran ais auront plus de 60 ans en 2035 et 1 7 millions de personnes g es conna traient une perte d autonomie soit 50 de plus qu en 2010 L Observatoire annuel des Ehpad du cabinet KPMG publie son tude
64. up e par les laboratoires pharmaceutiques dans la formation des m decins Le DPC est un levier pour permettre l ensemble de la communaut des professionnels de sant d assurer la qualit et la s curit des soins aux pa SE 1840217 tients affirme Anne Dardel charg e de mission la Direction g n rale de l Offre de Soins DGOS Non seulement il va permettre de toucher tous les pro fessionnels de sant mais aussi garantir la fois une formation continue et une analyse de pratiques scientifiquement valid es un financement transparent et une tra abilit l chelle nationale En cas de besoin les orientations en mati re de DPC fix es par le minist re de la Sant pourront en outre permettre de mettre l accent sur une question de sant sp cifique pour pr venir une crise sanitaire par exemple Un objectif ambitieux qui pour Anne Dardel jus tifie la mise en place d un organisme gestionnaire unique l OGDPC et les efforts demand s aux tablissements pour se conformer au nouveau dis positif Nouvelles m thodes Mais le DPC est aussi affaire de m thode la diff rence de la FMC et de l EPP le DPC mise sur la compl men tarit entre l enseignement th orique etla pratique Une approche d ailleurs th oris e et mise en uvre de longue date dans les pays anglo saxons mais aussi en Allemagne par exemple Le principe est simple on n assimile du rablement de n
65. utabilit au titre de la formation professionnelle continue Pour les autres professionnels de sant salari s aucun financement sp cifique n est pr vu par l OGDPC Le financement rel ve directement des tablissements Les actions de DPC ligibles la formation professionnelle continue au sens du Code du travail pourront tre prises en charge par Unifaf conform ment l accord de Branche et aux crit res d finis par le CAP U AIT QUO 7 L Organisme gestionnaire du DPC OCDBPO Assure la promotion du DPC Enregistre contr le les organismes de DPC et publie la liste des ODPC valu s favorablement par la commission scien tique ind pendante comp tente Publie la liste des DU et DIU b n ficiant d une valuation favorable Finance le DPC notamment pour les professionnels de sant lib raux les m decins et les salari s des centres de sant conventionn s Conventionne avec les OPCA Le minist re de la Sant Publie chaque ann e par arr t les orienta tions nationales apr s avis des CSI Les Agences r gionales de sant ARS D finissent des orien tations r gionales sp ci fiques en lien avec leur projet r gional de sant publique Contr lent le respect de l obligation de DPC pour les profes sions ne disposant pas d instances ordinales Formation Sant Social N 27 La Haute autorit de sant HAS D finit et valid

Formation santé social

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Formation sant&eacute; social

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Formation santé social