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Novembre/Décembre
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1. LES i OS Un automne fort dynamique J ACF Restonica qui d veloppe des liens sur le territoire insulaire une participation des d bats organis s autour du film Les Apaches de Thierry de Peretti Bastia et Ajaccio la tenue du Colloque Quoi faire avec mon corps Bastia avec un public de 70 personnes une initiative dirig e vers des universitaires crivains et artistes locaux pour faire r sonner le signifiant trauma et qui prendra la forme d un courrier sp cial dans la perspective des prochaines Journ es de l Ecole Les traumatismes dans la cure analytique des 16 et 17 novembre 2013 Paris ur ile cit z LL i S aa 2013 s ach ve ainsi dans un mouvement d ouver ture d cid la fin de l ann e auront lieu les permutations Nous adressons au prochain bureau qui entrera en fonction en janvier 2014 tous nos v ux pour poursuivre avec le style qui sera le sien Marie Rosalie Di Giorgio a Samedi 12 octobre Mus e de la Citadelle Bastia Il est des samedis o le citoyen peut r ellement se cultiver s interroger et progresser dans ses r flexions Hier c tait le cas au colloque de l association de la Cause freudienne Restonica et du Programme psychanalytique de Bastia Pas de panique Les psychanalystes abordaient un sujet que toute la population conna t Quoi faire avec mon corps Une probl matique riche en actualit s notam
2. E mail j p denis wanadoo fr 45 XLIII JOURN ES DE L COLE DE LA CAUSE FREUDIENNE 16 et 17 novembre 2013 Les traumatismes dans la cure analytique Bonnes et mauvaises rencontres avec le r el Les 43 mes journ es de l Ecole de la Cause Freudienne auront lieu les 16 et 17 novembre au Palais des Congr s Paris Cette association fond e par Jacques Lacan en 1981 et dont l enseignement de Jacques Alain Miller anime l orientation lacanienne a choisi comme th me de travail de cette ann e Les traumatismes dans la cure analytique Bonnes et mauvaises rencontres avec le r el De nombreux psychanalystes de diff rentes nationalit s tenteront de cerner cette notion qui touche de multiples aspects de la vie actuelle et d en faire ressortir toutes les implications tant au niveau personnel que professionnel Divers t moignages seront apport s et enrichiront ces journ es La psychanalyse mais pas seulement La question sera abord e du point de vue de la psychanalyse mais dans des domaines appliqu s tels que les urgences d briefing intervention des psychanalystes dans les cellules d urgence la guerre et la science clinique des traumas de guerre dans la litt rature ou dans l art cin ma th tre A cette occasion un blog a t cr Les diff rentes rubriques incitent d crypter les traumas o qu ils soient Dans la litt rature le cin ma et les arts en g n ral dans la rubrique a
3. d chirure traumatique le petit enfant de six ans et demi qu il tait a labore une recette il suffisait de ne pas dire le mot pour tre autoris vivre Puis en se racontant l histoire de ce qui lui tait arriv en crivant il a remani cette repr sentation de l horreur Pourtant ajoute t il a n est pas une recette pour certains l criture peut entretenir la blessure La psychanalyse s int resse cela ce qui peut faire recette pour l un mais pas recette pour l autre Ces 43 mes Journ es de l ECF seront l occasion de l entendre 45 XLIII JOURN ES DE L COLE DE LA CAUSE FREUDIENNE Les traumatismes dans la cure analytique Bonnes et mauvaises rencontres avec le r el Inscription personnelle o 120 R glement par carte bancaire s curis sur le site de EGF www causefreudienne net ou par ch que bancaire l ordre de l ECF ECF Journ es 1 rue Huysmans 75 006 Paris Tarifs tudiant et demandeur d emploi o 50 tarif tudiant moins de 25 ans o 80 tarif demandeur d emploi R glement uniquement par ch que bancaire l ordre de l ECF accompagn d un justificatif ECF Journ es 1 rue Huysmans 75 006 Paris T l 33 01 45 49 02 68 Inscription en ligne www causefreudienne net y cole de la Cause Freudienne 1 rue Huysmans 75 006 Paris www causefreudienne net wwWw journeesecf fr Bulletin d inscription Pr nom Inscription au titre d
4. est ce que le traumatisme Quelque chose arrive un point d impact re u par chacun continue d tre prouv Quelque chose fait effraction et rien n y est comprendre Le corps re oit 1l accuse le coup des sc nes ou des phrases prononc es restent et s inscrivent Les mots manquent La pens e peine int grer ce qui s est pass Il y a du reste de l indicible de l incompr hensible De l impossible Quelque chose s imprime sans qu aucun mode d emploi pour savoir comment le lire ni comment y faire avec ne soit d livr Ce peut tre une phrase prononc e qui a l insistance de la litanie un sympt me qui entrave et dont la lecture reste obscure un v nement qui demeure gel dans le temps Ce peut tre comme dans le film Full metal jacket un discours militaire d shumanisant vid de tout sens de l honneur martel ces marines qui ne savent qu en faire poussant l un d eux au passage l acte Ce peut tre la phrase d un parent accueillant le dire de son enfant de la sorte Elle a dit cela mais bon ce n est pas une parole prendre au s rieux Ce peut tre la destruction des tours jumelles l ouragan Sandy l attentat de Boston trois effractions du r el qui ne laissent pas en paix pour certains Ou ce peut tre sa propre venue au monde marqu e du sceau du secret et de la clandestinit Dans tous les cas quelque chose ne cesse pas d insister Et le sujet va dans le monde avec ce paquet ou ce trou c
5. est selon Que peut en dire la psychanalyse De quelle mani re chacun se d brouille avec les traumatismes qui ont jalonn sa vie Quel est le fantasme qui a t tiss pour recouvrir ce vide cr par le trauma Quels sont les sympt mes qui accompagnent le sujet et dont 1l ne veut parfois pas d mordre En d autres termes quelle est la petite histoire que chacun se raconte et qui se raconte en chacun pour aller dans le monde La psychanalyse s int resse de pr s aux inventions singuli res Elle ouvre des possibles ceux qui veulent savoir quelque chose de ces outils et de ces entraves Qui parle du trauma l occasion des 43 mes Journ es de l ECF Des psychanalystes viendront parler du trauma qui les ont men s en analyse ou du trauma rencontr au cours de leur cure Dans les deux cas l v nement toujours contingent peut continuer produire une jouissance indicible laquelle chacun reste attach ou bien tre cern jusqu ce que surgisse un nouveau plaisir une nouvelle fa on de d ambuler dans le monde Sur le blog des Journ es http www Journeesecf fr crivains scientifiques cin astes historiens psychana lystes ou artistes ont bien voulu raconter ce qui a pu faire trauma pour eux et de quelle mani re ils s en sont d brouill s d cal s Boris Cyrulnik raconte ainsi que pour lui la d chirure traumatique insidieuse fut le mot juif qui le condamnait mort Autour de ce qu il nomme
6. tifs qui tentent de r 4 RO Bollentatre sors gt eu cerner le nouvel fs homme moderne m M trosexuel ubersexuel novocasual etc Te Mais qw est ce que SK tous ces changements ont eu comme effets au plus intime du couple Comment les rapports de s duction ont ils volu En quoi le d sir masculin s est 1l trouv bouscul modifi Marie Jos e Raybaud C est ces questions que se propose de r pondre le film de G rard Miller et Ana s T l 06 10 09 87 06 Feuillette qui recueille les t moignages de sept hommes parmi lesquels Philippe Geluck Philippe Caub re Rapha l Enthoven et Philippe Besson y COMMENT LES RAPPORTS DE ra A S DUCTION ONJJLSEVOLU Entr e libre Renseignements E mail mjraybaud gmail com Mardi 19 novembre 2013 14h Centre Culturel Universitaire Universit Pascal Paoli Corte ts b aarete boD Vyeo INSTITUT PSYCHANALYTIQUE DE L ENFANT UNIVERSIT FOFULAIRE JACQUES LACAN Diagonale francophone du NRC Cien Le groupe a criatura Le laboratoire L enfant auquel vous avez pens Mardi 5 novembre 2013 20h30 Jeudi 7 novembre 2013 18h au Centre de psychoth rapie de l enfant et de la famille au Centre Culturel Una Volta rue C Campinchi Bastia Ancien H vital de T Basti Rens Marie Jos e Raybaud 06 10 09 87 06 ncien Hopital de loga bastia Rens Jean Pierre Denis 04 95 33 92 52 E mail mjraybaud gmail com
7. 2014 le s minaire de lecture s attachera l tude du S minaire VI de Jacques Lacan Le d sir et son interpr tation r cemment paru Nous nous appuierons pour ce faire sur les deux interventions de Jacques Alain Miller l une au Congr s de la NLS L Autre sans Autre en mai l autre au Congr s de Pipol6 Une r flexion sur l dipe et son au del en juillet Samedi 7 d cembre 2013 10 h 12h Universit Pascal Paoli Corte Rens 04 95 31 47 49 E mail mr digiorgio wanadoo fr Apr s midi i des cartels Fos Qu est ce que le produit de cartel q p Apr s midi des cartels PA Nous avions dans notre ACF Restonica soutenu la constitution des cartels dits d tude plut t ax s sur les s minaires de Jacques Lacan en lien avec le th me de l ann e Ces cartels avaient un fonctionnement classique tant sur la dur e que sur le nombre de participants et sur la fonction du plus un Un intercartels en fin d ann e venait scander le travail en pr sence d un invit L automaton tait au rendez vous ce qui tait rassurant et confortable Mais la nouvelle politique des cartels au sein de l Ecole a mis en valeur une fonction dite fulgurante du cartel De tr s nombreux cartels a et l ont accompagn un v nement ont pr par une activit ont mis en place une r flexion autour d un film etc Nous avons saisi cet usage en con
8. commande librairie de P ACF Restonica henry bellone gmail com
9. e provocatrice mais n anmoins tr s vraie de notre hypermodernit et de ce nouveau ph nom ne roticocommercial de la marchandisa tion des corps Une r flexion de Marie H l ne Brousse ressort de cette matin e savoir que la femme et l enfant sont depuis longtemps des objets de commerce et que le probl me est ailleurs peut tre autour de la th matique qui d borde tous les champs et des interventions de la matin e la fragmentation Fragmentation des rep res fragmentation des lois des discours et des corps L apr s midi a t r serv e notre invit e Marie H l ne Brousse psychanalyste membre de P ECF et de AMP ma tre de conf rences au D partement de Psychanalyse de Paris 8 et qui est intervenue avec une conf rence intitul e Le corps entre trauma et plaisir exquis et qui nous a ainsi mis sur les rails des prochaines Journ es de l cole les 16 et 17 novembre prochains Il s agissait pour elle dans un premier temps de redonner sa place au corps dans la psychanalyse le corps ce n est pas la m me chose que l organisme le corps classiquement on le r duit une image consistante certes mais toujours au del de moi On court toujours apr s son image ou l inverse on la fuit Dans l image pourtant c est l o l on entrevoit l objet et a introduit au commerce l change Aujourd hui ce qui se produit c est la mont e au z n
10. e l Ecole de la Cause Freudienne met en valeur une fonction dite fulgurante du cartel Ces cartels express ou fulgurants font surgir la fonction de la h te et en m me temps donnent un certain relief la notion de produit de cartel Nous interrogerons cette notion de produit de cartel partir des diff rents expos s 14h30 Introduction Des produits au produit de cartel Marie Jos e Raybaud d l gu e aux cartels 15h00 Expos s des cartellisants Marie Laurence Bajon Henry Bellone Am lia Martinez Discussion 17h00 Constitution des cartels Rens 06 10 09 87 06 E mail mjraybaud gmail com Conf rence i D sirs masculins P Universit LR Dans le cadre des conf rences l Universit Jean Pierre Denis Marie Jos e Raybaud membres de l cole de la Cause freudienne et de l Association Mondiale de Psychanalyse animeront une rencontre d bat partir du film d Ana s Feuillette et de G rard Miller En obtenant une plus grande ind pendance en revendiquant une meilleure r partition des t ches et en investissant la sph re du travail les femmes ont malmen un mod le mis en place pour et par les a hommes Du coup l identit masculine qui semblait une vidence pendant des si cles se voit mis mal aujour d hui comme l indique l apparition de toute une s rie de qualifica F o ia C a O a a
11. ith de l organisme mais l organisme du XXIe si cle ce n est plus l unit cause de la science il n y a plus d unit mais fragmentation d o un certain malaise voire un malaise certain C est ici qu intervient la question du trauma que Marie H l ne Brousse a pr cis ment d clin e Qu est ce que le trauma C est quand on est confront l opacit du d sir de l Autre On ne comprend pas ce que l Autre veut et on l interpr te par le fantasme Autre proposition n est traumatique que ce qui r veille un trauma infantile Le traumatisme c est une exp rience de l extr me les soldats de la 1 guerre mondiale n taient pas des simulateurs ils taient authentiquement malades Mais de quoi taient ils malades sinon d un en trop de perceptions bruits assourdissants agitation extr me Autrement dit un en trop sensoriel de type hors discours D un autre c t les t moignages voir celui de Boris Cyrulnik blog des Journ es 43 confirment que ce qui fait trauma c est une exp rience de parole un mot Un mot dont l opacit r siste au sujet qui g n re un moment de sid ration c est dire de d sappropriation de l univers du discours et qui va ramener le sujet l exp rience de morcelle ment inaugural Concluons ce bref compte rendu du Colloque en disant que ce fut une belle journ e qui a su allier rigueur du travail chaleur et convivialit Et
12. ment pol mique et passionnante Ce n est donc pas un hasard si l auditorium du mus e tait bond avec pr s de 80 personnes attentives Voil comment Christophe Laurent journaliste Corse matin a rendu compte de ce colloque intitul Quoi faire avec mon corps et o les questions de droit au mariage entre personnes du m me sexe droit l enfant pour tous droit de disposer de son corps choisir son sexe sa mort ont t abord es et d battues avec des juristes et des m decins et en pr sence de Marie H l ne Brousse La matin e tait r serv e aux intervenants locaux En ouverture Jean Pierre Denis psychanalyste membre de l ECF et de l ACF a rappel les tapes qui ont suscit ce colloque savoir le d bat sur le mariage pour tous en Janvier dernier notre motion devant l assimilation de notre doxa par les adversaires au mariage pour tous et l engage ment de Jacques Alain Miller puis de l Ecole de la Cause freudienne Et dans chaque ACF se sont tenus des forum visant dissiper les malentendus suscit s par ces nouvelles questions de soci t o loi d sir usages et jouissance sont maintenant en ballotage voire en crise ouverte Dans la premi re s quence il a t question de la procr ation m dicalement assist e Nous avons entendu Mme Bastien magistrat ancien professeur l Universit de Corse sur la question Que fait la loi de mon c
13. ns cette impasse l offre lui est faite d entrer dans le discours analytique afin de formuler sa demande travers laquelle aurait chance de r sonner une nonciation Deux autres rendez vous vous seront propos s 2e rendez vous Le d sir et le manque samedi 15 mars 2014 14h 18h 3e rendez vous La formation du d sir chez l enfant samedi 14 juin 2014 14h 18h Nous vous attendons nombreux pour ces trois rencontres de travail Renseignements cpct formation yahoo fr Retrouvez le CPCT sur Facebook et sur Twitter HAN Le savoir del enfant t a Le volume 2 de la petite Girafe Le savoir de l enfant qui inclut entre autre les travaux L 4 de la deuxi me h journ e de l Institut de l Enfant sera en I vente en avant premi re la librairie des journ es de l ECF F IE Po Lorsque l enfant questionne Pr face de Bruno de Halleux H l ne Bonnaud PHILIPPE LACAD E CINCONSCIENT E purs VI DE L ENFANT o C DU SYMPT ME AU D SIR DE SAVOIR LE DESIR Pr face de Jacques Alain Miller FO U D R OY E prise de parole SORTIR DU TRAUMATISME FAR LA PSYCHANALYSE AEEA MER Ke PHILIPPE De G fi GES La vraie V al cole LA PSYCHANALYSE LA RENCONTRE DES PROFESSEURS ET DE L COLE a l achat librairie en ligne de l cole de la Cause freudienne www ecf echoppe com Sur
14. orps Elle a ainsi d pli les cons quences des avanc es de la science sur les lois bio thiques et le fait que si l on peut dissocier procr ation et filiation 1l y a mainte nant un d calage entre ce que la biom decine offre et ce que la loi permet Quels risques y a t il laisser toutes ces questions dans les seules mains des experts m dicaux Marie Jos e Raybaud psychanalyste membre de PECF et de l ACPF a abord la question d un en fant pour tous sur son versant clinique en repartant du contexte historique pour nous amener au point o nous sommes aujourd hui chacun attendus savoir que si la technique m dicale ouvre des possibles l o la nature mettait de l impossible cela n est pas sans effets sur les sujets et cela n est pas sans amener de nouvelles questions dans les cures analytiques Enfin Marie Laurence Bajon conseill re d orien tation psychologue membre de l ACF s est appuy e sur le roman d Aldous Huxley Le meilleur des mondes pour mettre en valeur comme le disait d j Jacques Lacan en 1974 que La seule science vraie s rieuse suivre c est la science fiction Dans la deuxi me s quence il a t question de la fin de vie Le docteur Rocher m decin en soins palliatifs au Centre hospitalier de Bastia a bien voulu r pondre notre invitation de fa on nous clairer sur ce qu il en est de la loi Leonetti dans un tex
15. ph Culioli Aziz El Haddachi Hamza Meziani Joseph Ebrard Maryne Cayon Il fallait d clare Thierry de Peretti me confronter d abord des questions qui sont centrales aujourd hui en Corse la question du rapport la violence la question du meurtre Et par extension celle de Ph ritage De quoi h rite t on quand on na t dans tel ou tel endroit avec telle ou telle histoire Le r alisateur ayant propos de d battre du film nous avons souhait participer aux rencontres Bastia d abord puis Ajaccio pour expliciter en quoi nous partagions son approche singuli re qui prend soin de ne pas recouvrir le point aveugle du meurtre par une explication toute faite ils avaient peur ils ont fait a pour se prot ger par immaturit ou par identification aux groupes maffieux Non comme le souligne le r alisateur Dans le cas pr sent ce meurtre cette imitation d ex cution ce n est pas un meurtre de droit commun mais l expression d une pulsion de quelque chose de tr s profond qui chappe presque notre avis ce qui chappe est une illustration de la pulsion de mort freudienne insaisissable pour autant qu elle chappe au bon sens une notion certes tr s abstraite mais dont nous avons besoin pour nous orienter avec ces adolescents qui vivent de plain pied dans un monde o l ordre symbolique est soumis au multiple et o l clairage de l Id al du moi s est progressivement effac au
16. profit des forces obscures du Surmoi Se r f rer la pulsion de mort n a rien de d faitiste au contraire a nous permet de prendre la mesure des nouvelles modalit s de jouissance avec ces passages l acte parfois assassins Ce meurtre semble inimaginable souligne Thierry de Peretti Il est comme je l ai toujours pens la fois tr s rapide et tr s lent anti spectaculaire Il semble durer une ternit et pourtant tout va tr s vite Il y a une vraie tranget Quelque chose d hallucin mais il s est r ellement pass Pour mes personnages 1l est plus facile de tuer l un d entre eux que d assumer un petit larcin Comme si on tait dans un endroit o l impunit tait telle qu ils se disent on peut le faire Cette derni re formule devrait ne pas nous laisser tranquille Elle me fait dire que ce film s inscrit de plain pied dans l orientation analytique sur le r el lacanien r el sans loi noyau de hors sens traumatique et qui vient trouer le champ de la r alit qui elle est organis e par les lois du discours C est pour a que Les Apaches reste un film grave voire traumatisant la Corse vue de dos selon la formule du r alisateur mais c est un film r ussi qui est fait avec beaucoup de talent et avec un final qui vous laisse pantois Jean Pierre Denis on dt Le s minaire de lecture est r serv aux membres de PACF fde lectibe Pour l ann e 2013
17. stituant lors de la venue de Catherine Lacaze Paule pour sa Conf rence sur l angoisse un cartel qui s est tenu sur quatre s ances Un autre cartel fulgurant s est constitu au sein du Programme psychanalytique de Bastia pour pr parer la derni re s ance du s minaire th orique Ces cartels express ou fulgurants font surgir la fonction de la h te et en m me temps donnent un certain relief la notion de produit du cartel Nous interrogerons lors d une Apr s midi des cartels qui aura lieu le samedi 7 d cembre Corte cette notion de produit de cartel partir des diff rents expos s qui auront lieu Rens 06 10 09 87 06 E mail mjraybaud gmail com Bureau de ACF 2012 2013 Pour s abonner gratuitement Secr taire Marie Rosalie Di Giorgio notre courrier lectronique Secr taire adjointe Martine Torre ml baj on aspe sfr fr D l gu e aux cartels Marie Jos e Raybaud Responsable du courrier Marie Laurence Bajon Responsable de la librairie Henry Bellone LEALE LE VALIN ILE ILE Pour consulter le blog de I ACF Restonica Marie Jos e Raybaud Laure Naveau o Pierre Gilles Gu guen Marie Rosalie Di Giorgio acf restonica free fr Qu est ce qu un produit de cartel APR S MIDI DES CARTELS ORGANIS E PAR L ACF RESTONICA gt Samedi 7 D cembre 2013 Universit Pascal Paoli Corte La nouvelle politique des cartels au sein d
18. te qu elle a intitul R flexions autour de la fin de vie Il s agissait de montrer que cette loi si m connue aussi bien du grand public que des soignants r affirme le droit ne pas souffrir et ne pas subir d acharnement th rapeutique Pourquoi cette loi passe t elle encore si difficilement en France Nous avons ensuite cout Marie Rosalie Di Giorgio psychanalyste Bastia membre de l ACF qui a d pli les questions et les r flexions que soul ve l aide active mourir plus commun ment appel e euthanasie dans un texte qu elle a intitul Des usages de la vie et qui mettait en valeur l appui d exemples que si la r ponse reste toujours d faillante au regard du r el en jeu elle peut tre plus en accord avec l poque Ces travaux ont donn lieu une s rie de questions et de r flexions en particulier autour de la diff ren ciation que les analystes soutiennent entre demande et d sir et autour de la question du suicide savoir que si le suicide reste dans notre champ de l ordre de l acte peut on parler pour la demande d euthanasie de suicide assist Enfin dans la troisi me s quence de la matin e la marchandisation des corps Martine Torre psycholo gue et Henry Bellone psychiatre psychanalyste tous deux membres de l ACF sont all s chercher dans un roman chinois contemporain Brothers de l crivain chinois Yu Hua une version romanes qu
19. tourne Dans l histoire qu elle soit histoire de l art ou histoire de vie d une vedette dans a mord Baltimore Artistes crivains et scientifiques parlent de leurs traumas personnels Sur le blog on trouve entre autres les t moignages de Mazarine Pingeot Boris Cyrulnik Benjamin Stora Magyd Cherfi du groupe Zebda et tr s bient t de Patrick Poivre d Arvor et de Jacques Higelin ainsi que des textes sp cialement crits pour l occasion Dans l ascenseur dans le bus ou dans la rue les traumas du quotidien Dans la rubrique du blog Traumatismes de la vie quotidienne on parle aussi bien de crise financi re que de crime New York de rencontres surprenantes et d exp riences v cues Il y est par exemple question de l v nement ind sirable que constitue un coup d paule dans la rue Agression d un lecteur Navigo r calcitrant Bip d un moment de panique dans un Spa Traumatic Spa ou d un moment de gal re dans un ascenseur GALERE Adresse du blog Site de l Ecole de la Cause Freudienne ECF Coordonn es de l Ecole de la Cause Freudienne ECF 1 rue Huysmans 75006 Paris France t l phone 45 XLII JOURN ES DE L COLE DE LA CAUSE FREUDIENNE 16 et 17 novembre 2013 Les traumatismes dans la cure analytique Bonn Le sujet est l au lieu de cette chose obscure qu on appelle tant t trauma tant t plaisir exquis Jacques Lacan Qu
20. un partenariat tr s pr cieux Et des rencontres authentiques Et une organisation efficace Et gr ce bien s r Marie H l ne Brousse qui a mis en conversation avec le talent qu on lui conna t les approches des uns et des autres et qui su mettre nos questions en perspective avec les 43 Journ es de PECF Un dernier mot pour souligner que c est la premi re fois que l ACF Restonica rassemble autant de monde avec des chos aussi positifs Jean Pierre Denis Rencontre cin matographique al Bastia et a N Aecio Avec This de o Rerergi r alisa tcarsdu film Les Apaches Le film est tir d un fait divers Pendant que des milliers de touristes envahissent les plages les campings et les clubs de l extr me sud Corse cinq adolescents de Porto Vecchio tra nent Un soir l un d eux conduit les quatre autres dans une luxueuse villa inoccup e La bande y passe clandestinement la nuit Avant de partir ils volent quelques objets sans valeur et deux fusils de collection Quand la propri taire de la maison d barque de Paris elle se plaint du cambriolage un petit ca d local de sa connaissance partir de l le groupe en particulier quatre jeunes gens dont deux originaires de Corse et deux autres corses d origine marocaine bascule dans une logique meurtri re qui les am ne ex cuter l un d entre eux et l enterrer dans le maquis c am avec F ran ois Jose
21. une formation o Inscription au titre de la formation m dicale continue 120 o Inscription au titre de la formation permanente 220 Ch que bancaire l ordre d UFORCA pour l UPJL et dossier transmettre avant le 15 septembre 2013 UFORCA pour UPJL Secr tariat g n ral Nom de l institution CPCT PARIS LES RENDEZ VOUS CLINIQUES 92 bis boulevard du Montparnasse 75014 Paris LE FIL DU D SIR Comme l anneau glissant le long de la corde dans le jeu du furet entre signifiant et signifi le d sir court insaisissable et trace sa route souterraine en chacun Cependant 1l arrive qu un sujet soit d borde par la violence de ses pulsions et par une jouissance en exc s La psychanalyse permet d aborder ce r el pour entrer dans les labyrinthes du d sir si toutefois tout son poids est donn la parole ler rendez vous De la demande au d sir samedi 7 d cembre 2013 de 14h 18h Chaque demande est particuli re et la rencontre avec un analyste permet de saisir dans l nonc la place du d sir partir de ce qui se r p te et travers la dimension du ratage Achoppement d faillance f lure sont autant d accrocs de la parole ouvrant la voie au processus de subjectivation N anmoins le sujet peut se trouver embarrass par sa jouissance et par un malaise dont il ne peut cerner les contours Angoiss 1l ne parvient pas rep rer ce qui fait pour lui sympt me Da
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