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1. ducateur direction sur la mani re dont chacun se risque dans ce travail et sur les im plications et les diverses fa ons de g rer ces risques dans nos interventions au sein de l institution travail ducatif et th rapeutique individuel ou en groupe mais aussi dans notre travail de collaboration avec les familles et le r seau en particulier avec les mandants les coles et le secteur psychiatrique Gr goire Nyssens est docteur en psychologie psychoth ra peute Graziella Menegalli est psychologue psychoth ra peute responsable clinique du Tamaris Anne Pascale Mar quebreucq est psychologue psychoth rapeute et directrice du Tamaris Centre d Accueil Sp cialis pour adolescents Bruxelles gt gt Laurent SERVAIS et Siegi HIRSCH jeudi 27 16h30 Prise en charge d adolescents d linquants pr sentant des troubles psychiatriques risques et traumatismes tous les tages l heure o la vieille Europe voit redresser la t te de ses d mons identitaires qui ont enfant les deux conflits les plus meurtriers du si cle dernier une part du monde politico m diatique de contre v rit s en contre v rit s les alimente abondamment par la stimulation des peurs de l autre principalement autour de th mes s curitaires travers des discours r ductionnistes conduisant la stigma tisation de la diff rence et l exclusion des plus fragilis s Ouvrir et faire vivre une unit de prise en char2. la question des trou bles s v res de l attachement que pr sentent ces enfants Son apport a t sollicit pour conceptualiser et structurer davan tage l analyse des situations familiales et l intervention offerte aux familles afin d viter les situations de d laissement et la multiplication des brisures relationnelles chez les enfants gt gt Anne Pascale MARQUEBREUCQ Gr goire NYSSENS et Graziella MENEGALLI jeudi 27 15h00 au choix Entre le d sir et la peur le go t du risque Mod le d intervention et de prise en charge d adolescents difficiles et de leurs familles La clinique en institution avec des adolescents difficiles implique toujours la confrontation Face des adoles cents en d sappartenance face leurs familles en crise nos mod les sont mis mal et nous sommes d fi s dans nos capacit s les adapter afin de maintenir le lien et de poursuivre notre travail Cest l que nous sommes amen s Nous exposer comme professionnels avec nos mod les et nos formations mais aussi comme personnes avec nos valeurs nos croyances nos histoires nos motions Face aux troubles s v res de l attachement la premi re mis sion de l quipe est de pr server sa propre sant mentale Cette assertion un peu provocatrice inverse les r les Et pourtant quand la peur des adolescents rencontre la n tre juqu o allons nous Nous proposons une r flexion mul tidisciplinaire psychologue
3. qu il sait et dans ce qu il peut transmettre ses enfants ses pairs et aux profes sionnels Maurice Titran est p diatre praticien hospitalier Roubaix Il est l auteur de plusieurs ouvrages t moignant de son tra vail engag avec des familles touch es par le ch mage l al coolisme la violence l extr me pauvret dont sa sant Pour une prise de conscience des dangers de l alcool pendant la grossesse Paris Editions Albin Michel 2005 Collection La cause des b b s et avec Florence Quille Un p diatre au charbon Paris Buchet Chastel 2006 gt Andr CIAVALDINI Ven 28 11h30 La prise en charge de l auteur de violences sexuelles entre risques et n cessit La prise en charge d auteurs de violences sexuelles judi ciairis s confronte le soignant de multiples contraintes dont la notion de risque de r cidive n est pas la moindre Ces contraintes rel vent autant de l histoire de la construc tion des configurations psychiques des auteurs que des potentialit s des institutions charg es d assurer la prise en charge de tels sujets judiciaire d accompagnement social soignante que du socius lui m me Apr s avoir d din ces diverses contraintes l orateur d montrera combien une r elle connaissance de ces sujets loin des pr ts penser m diatiques n cessite de la part des intervenants mais surtout des soignants dans une culture du soin huma niste o la notion de sujet reste
4. sent peut il r crire le pass Cloisonnement manque d coute des parents d s la gros sesse retards aux tayages logiques institutionnelles riva lit s et substitutions dans les interventions Si l on regarde en arri re il est clair que nous avons offert aux familles vul n rables un dr le de mod le depuis la maternit jusqu l adolescence Alors la prise de risque est un imp ratif Rencontrer l autre est toujours une prise de risque Des efforts doivent tre faits pour organiser une meilleure coute pr coce et surtout pour apprendre penser ensem ble afin d offrir un collectif humain coordonn continu structurant surtout pour les familles d structur es C est le seul outil de travail la psychoth rapie classique n tant pas d actualit dans ce genre de situation o du lien humain fiable n a pas encore fait ses preuves pp Nico TROCME jeudi 27 14h00 au choix Trouver le juste milieu le ons tirer des succ s et exc s des 45 derni res ann es de protection de la jeunesse en Am rique du Nord La publication en 1962 de l article du Dr Kempe sur le syn drome de l enfant battu a marqu en Am rique du Nord le d but d une expansion extraordinaire des services pour enfants maltrait s Allant de quelques milliers d enfants signal s aux services de protection de la jeunesse au d but des ann es 70 nous sommes pass s plus de 3 millions d enfants signal s aux tats Unis
5. tr s pr gnante des mo difications de certains de nos paradigmes th rapeutiques C est au prix de ces changements que les risques inh rents la prise en charge d auteurs de violences sexuelles pour ront tre consid r s comme des outils participant la construction ou la reconstruction de ces identit s bless es d s l origine Andr Ciavaldini est docteur en psychologie dinique psycha nalyste SPP IPA Directeur de recherches au Laboratoire de psychologie clinique et de psychopathologie de l Univer sit Paris 5 Ren Descartes Directeur de programme CRIAVS Rh ne Alpes Auvergne PA R I centre de recherches et de traitements psychanalytiques CH de Saint Egr ve France Auteur de Violences sexuelles Le soin sous contr le judi ciaire Paris In Press Eds 2003 et avec Catherine Chabert Actes et d pendances Paris Dunod 2006 gt gt Xavier POMMEREAU La prise en charge des jeunes suicidants comment pr venir la r cidive Ven 28 14h00 au choix Quarante pour cent des jeunes qui font une tentative de suicide TS r cidivent dans l ann e suivant leur geste Dix pour cent en meurent Au del des soins physiques leur prise en charge initiale doit donc tenter de r duire ces risques enjeu la fois m dicopsychosocial et parfois juri dique L auteur dirige une quipe hospitali re ayant quinze ann es d exp rience dans ce domaine l aide de nom breux exemples pratiques il
6. L association P ar i Ti ole d ENN Organise son grand Congr s inte i rnation l Pa al lais des Congr s de Versailles VOYAGE AUX FRONTIERES DU POSSIBLE 2N La place du risque 5 N dans nos interventions x nos d cisions i nos innovations www parole be info parole be Tavole A Fr nS Association sans but lucratif gt Activit s cliniques formations colloques En France 57 rue d Amsterdam e F 75008 Paris T l 0800 90 18 97 Fax 00 32 4 223 15 56 En Belgique 7c boulevard d Avroy B 4000 Li ge e T l 32 0 4 223 10 99 Fax 32 0 4 223 15 56 8h30 9h30 10h00 11h00 11h30 12h30 14h00 15h00 16h00 16h30 18h00 accueil Claude SERON Ouverture Serge TISSERON L enfant et la famille aux risques des nouvelles technologies pause caf Roland COUTANCEAU Amour violence passions le couple au risque de la vie pause d jeuner libre Nico TROCM Trouver le juste milieu le ons tirer des succ s et des exc s Suzanne RAINVILLE L volution de la pratique qu b coise dans les situations familiales risque pause Laurent SERVAIS et Siegi HIRSCH Prise en charge d adolescents d linquants pr sentant des troubles psychiatriques risques et traumatismes tous les tages fin PROGRAMME DU JEUDI 27 NOVEMBRE 2008 Fran oise MOL NAT Le pr sent peut il r crire le pass Yves STEVENS Le risque de l inachev la f
7. approfondis nombre de participants limit par ordre d inscription Q Je souhaite participer l atelier de Nico TROCME Q Je souhaite participer l atelier de Suzanne RAINVILLE Date et signature ivit s en faveur de l enfance en s d veloppe diff rents p les d act a relation d aide sensibilisation du grand public t de professionnels del de contribuer am liorer les syst mes d aide e uels t des enfants victimes d abus sex e en 1996 Parole d Enfant danger recherches actions formations des et publications d ouvrages sp cialis s sont autant de moyens soin au b n fice des enfants en difficult et particuli remen Association fond la fin du mois de novembre l r unit des orateurs ternational est organis du Luxembourg et du Qu bec ngr s in Igique de Suisse Chaque ann e UN grand co e France de Be et des participants VENUS d Association sans b ut lucratif gt Activit s clini En France 57 rue d ctivit s cliniques formati m 2 En Belgique 7 one F 75008 Paris T l 0800 90 18 4 ar eu vroy B 4000 Li ge T l 32 0 4 223 109 i 00324223 15 56 www parole be info parole be e Fax 32 0 4 223 15 56 www scalp be
8. de chacun Enfin pour favoriser l espoir et l optimisme n cessaires un travail de qualit ce congr s r servera un espace important la pr sentation d intiatives nouvelles porteuses de changement Chaque participant pourra y puiser des id es pour enrichir sa pratique ou y pr senter une activit originale d velopp e personnellement ou dans soninstitution dans un esprit d change constructif gt Claude SERON Ouverture du congr s Voyage aux fronti res du possible la place du risque dans nos interventions jeudi 27 9h30 nos d cisions nos innovations Claude Seron directeur de Parole d Enfants psychologue th rapeute familial et formateur dans le secteur de l Aide la Jeunesse pp Serge TISSERON jeudi 27 10h00 L enfant et la famille aux risques des nouvelles technologies Le d veloppement des nouvelles technologies engage de plus en plus t t les nouvelles g n rations dans une nouvel le relation au monde t l phone mobile Internet violence du paysage audiovisuel pornographie univers virtuel etc Il en r sulte des bouleversements consid rables dans la re lation de chacun ses proches sa famille soi m me et la connaissance Comment comprendre le succ s des mondes virtuels notamment aupr s des adolescents Quels crit res peuvent nous alerter quant un risque de d pendance ou d addiction Quelles ressources ces nou veaux mondes peuvent ils constituer pour la vie
9. e un Service d Accrochage Scolaire SAS Le jeune pourra y apprendre se red couvrir et changer ses repr sentations de l cole et de l autorit Outre le suivi scolaire diff rents media sont utilis s pour atteindre ces objectifs le th tre les jeux de r le la pr paration d une locution la r alisation d un projet la participation un camp de plusieurs jours sont autant de moyens offerts au jeune de d passer sa peur de l inconnu Une concertation troite est galement organis e avec la famille et le r seau afin de mobiliser toutes les forces autour d un jeune en difficult Cet atelier pr sentera l histoire de ce projet novateur sa naissance et son fonctionnement ainsi que les risques en courus par rapport au jeune au personnel l cole et au syst me Dominique Chandelle est responsable de Rebonds Service d Accrochage Scolaire en r gion li geoise Belgique Rejoignez notre espace pratiques innovantes Comment la cr ativit peut elle se d velopper pour innover ou am liorer des pratiques existantes dans un cadre suffi samment s r pour observer le principe du primum non nocere du soignant Quel contexte la soci t le monde associatif et les b n ficiaires peuvent ils construire pour encourager de tels efforts e Vous travaillez avec des enfants des adolescents ou des adultes en difficult e Vous avez ressenti la n cessit ou l envie d innover de r inventer vot
10. es la vie de l outil th rapeutique En miroir du travail accompli avec les jeunes r server une attention constante au climat dans lequel se d ploie ce dernier est une condition sine qua non pour laborer et donner un sens aux difficult s et trau matismes endur s par chacun Laurent SERVAIS est psychiatre au Centre Hospitalier Jean Titeca Bruxelles responsable de l unit pilote Karibu qui accueille des adolescents masculins g s de 12 18 ans sur base d un mandat judiciaire manant du Tribunal de la Jeu nesse Situ l interface entre les r seaux communautaires de l Aide la Jeunesse et le secteur de la Sant ce projet pilote propose une aide m dico psychologique et ducative sp cia lis e aux adolescents souffrant de troubles psychologiques s v res et de troubles du comportement Siegi HIRSCH est th rapeute familial et formateur en th ra pie familiale Il fut ducateur d s 1946 puis directeur d ins titutions de l AIVG aide aux lsra lites Victimes de Guerre jusqu en 1958 Ensuite il travailla aux Pays Bas avec de jeunes d linquants institutionnalis s puis en France o il d veloppa une s rie de formations s adressant aux magis trats aux ducateurs aux psychologues et aux psychiatres Depuis une dizaine d ann es il exerce une pratique priv e ambulatoire et continue d assurer une s rie de formations et de supervisions Pierre Fossion et Marie Carmen Rejas lui ont consacr un ouvrage Siegi H
11. es derniers rejouant leur insu leurs trau matismes r p tant ainsi des processus psychiques int rio ris s tels que la confusion des places et des g n rations la dualit maltrait maltraitant le passage l acte etc Risque pour les professionnels de trop d identification l enfant maltrait et son corollaire le rejet permettant de se prot ger des retours sur soi et de l envahissement de l histoire de l autre Risque pour le partenariat qui peut rejouer en miroir les processus d crits plus haut Chantale Parret est psychologue psychanalyste th rapeute familiale co fondatrice et directrice durant 15 ans d une consultation th rapeutique destin e aux familles en diffi cult s ainsi qu aux enfants aux adolescents et aux adultes ayant subi des mauvais traitements La particularit de la probl matique de la violence et les risques quelle comporte a conduit les professionnels d velopper leur cr ativit pour mettre en uvre des protections qui garantissent la bien traitance des patients mais aussi celle des professionnels engag s dans l accompagnement Co auteur avec Jacqueline Iguenane de l ouvrage Accompagner l enfant maltrait et sa famille Paris Dunod 2006 gt gt Christophe ANDRE Le risque en psychoth rapie cognitivo comportementale Ven 28 15h00 Impose ta chance serre ton bonheur et va vers ton risque te regarder ils s habitueront Ren Char Tout changement en psyc
12. est notre actualit Une d gradation spectaculaire de notre s ret une terrible augmentation des risques qui nous menacent Ou plut t une sourde inqui tude qui nous ronge de l int rieur un d faut du sentiment de s curit Les r ponses ces questions sont complexes Le suicide deuxi me cause de mortalit chez les adoles cents ainsi que les d pressions les addictions les troubles alimentaires les conduites d chec les automutilations t moignent de profonds d fauts de s curit interne largement sous valu s et presque absents des m dias contrario des faits divers ou des accidents les plus specta culaires Comment peut on repenser nos approches diniques ou ducatives pour permettre aux adolescents de se construire un sentiment de s curit durable qui tienne compte du lien social Un sentiment de s curit qui ne peut pas correspon dre l vitement du risque tout prix Didier Robin est psychologue psychanalyste et syst micien si d quipes et formateur au Service de Sant Men tale Chapelle aux Champs Bruxelles INNOVER C EST RISQU Pour viter que le th me du risque soit uniquement trait sous l angle de la prudence nous souhaitons laisser une large part au dynamisme et l originalit qui peuvent exister dans notre secteur C est pourquoi nous souhaitons c t des expos s ex cathedra traditionnels donner une large place la pr sentation d initiatives
13. est signal e la Protection de la jeunesse les intervenants ont le devoir d valuer et d intervenir rapidement afin d ap porter aux familles l aide qui assurera l enfant un milieu de vie permanent et lui permettra de d velopper un senti ment d appartenance et des liens d attachement essentiels son bon d veloppement Une r flexion sur notre pratique nous conduits laborer une pratique plus structur e quant l valuation des situations familiales aux services offerts aux familles et aux balises qui guident nos d cisions de maintenir ou non un enfant dans sa famille d origine Un processus clinique des outils cliniques d valuation et une programmation d activit s ont t construits afin d am lio rer nos services d aider les intervenants assurer une va luation et un suivi plus rigoureux de la situation familiale Psychologue au Centre jeunesse de Montr al institut univer sitaire Madame Rainville est consultante aupr s des interve nants psychosociaux et ducateurs qui offrent des services d aide aux familles qui pr sentent les plus grandes difficult s Elle apporte un soutien clinique dans la compr hension des situations familiales ou individuelles des parents et des en fants dans l laboration des plans d intervention et dans les prises de d cisions quant au devenir de ces enfants Elle s est int ress e particuli rement aux enfants qui vivent des situa tions de d laissement ou d abandon et
14. et plus de 200 000 au Ca nada Cette expansion inclut les d couvertes red couver tes des abus sexuels de la n gligence et de la maltraitance psychologique On a ainsi assist au d veloppement de pratiques d valuation du risque de pr servation familiale family preservation et les projets de vie permanency planning Des scandales ont clat mettant l accent tour tour sur le manque d intervention la suite de morts tragiques ou la sur intervention associ e au ballotage d en fants plac s Utilisant les r sultats de ses recherches sur le profil des enfants et familles signal s la protection de la jeunesse le Professeur Trocm sugg re que la protection de la jeunesse en Am rique du Nord doit passer au del du pa radigme de l enfant battu pour d velopper des politiques et des pratiques qui sont mieux adapt es l h t rog n it des probl matiques auxquelles font face les services de protection Nico Trocm est titulaire de la Chaire Philip Fisher en Travail social l cole de Travail social de l universit McGill Mon tr al et il est le directeur scientifique du Centre d excellence pour le bien tre des enfants Apr s avoir travaill cinq ans comme travailleur social pour la protection et la sant men tale des enfants Nico Trocm s est tourn vers la recherche Il a dirig les deux tudes Canadiennes sur l incidence des signalements de cas de violence et de n gligence envers les enfant
15. et une analyse structur e de neuf dimen sions essentielles des capacit s parentales l aspect socio familial la sant et le d veloppement de l enfant l attache ment les habilet s parentales le contr le des pulsions les facteurs de la personnalit pouvant affecter les capacit s parentales la reconnaissance de la responsabilit le r seau social et l histoire de l utilisation des services Par la suite une intervention rapide et intensive est offerte aupr s des parents afin de r tablir la situation familiale pour une re prise ou une poursuite du bon d veloppement de l enfant Des d lais sont pr vus quant la d cision de poursuivre le travail aupr s des familles ou de s parer l enfant de ses parents L volution et l application de ce programme le processus clinique et les outils cliniques utilis s les balises cliniques de d cisions et les enjeux affectifs reli s aux d ci sions seront pr sent s L volution et les enjeux de la mise en application de ce programme seront abord s COUT DE L INSCRIPTION Avec paiement avant le 15 juin 2008 e Individuelle 130 EUR e Par convention 220 EUR Avec paiement partir du 15 juin 2008 e Individuelle 165 EUR e Par convention 265 EUR e Groupe de 5 personnes et plus gt 20 e Etudiants sans emploi et demandeurs d emploi gt 50 sur pr sentation d une attestation pas de tarif de groupe L inscription est ferme d s r ception du bulletin d inscription et du
16. familiale et le travail du soignant Serge Tisseron est psychiatre psychanalyste docteur en psy chologie directeur de recherche l Universit Paris X Nanterre auteur d une trentaine d ouvrages personnels dont Secrets de famille Mode d emploi Paris Marabout 2007 Psycha nalyse de l image Paris Dunod 2005 Dernier ouvrage paru Virtuel mon amour Paris Albin Michel 2008 CONFERENCES pp Roland COUTANCEAU jeudi 27 11h30 au choix Amour violence passions le couple au risque de la vie Pourquoi l amour et le couple secr tent ils de la violence Comment expliquer que certains passent l acte l o d autres s arr tent temps Passion exacerb e d ni fusionnel jalousie possessivit tentation d emprise peur de la perte comprendre les conditions et les m canismes de la violence dans la vie du couple Comment soigner un conjoint violent Comment aider une victime se confier Apprendre mieux vivre dans le respect et l galit ou ac cepter de se s parer sans harceler l autre Vivre ensemble est un bonheur mais aussi un d fi le d fi de l intimit Roland Coutanceau est psychiatre des h pitaux pr sident de la Ligue Fran aise de Sant Mentale Auteur de Amour et violence le d fi de l intimit Paris Odile Jacob 2006 et Vivre apr s l inceste Ha r ou pardonner Paris Descl e de Brouwer 2004 pi Fran oise MOL NAT jeudi 27 11h30 au choix Le pr
17. ge d adoles cents d linquants pr sentant des troubles psychiatriques constitue un d fi au quotidien Autour de principes d mocratiques fondamentaux l outil th rapeutique partant de multiples cadres de r f rence pour devenir expression ch re Siegi Hirsch irr f rencieux s est co construit tra vers un processus invitant tous les professionnels du service contribuer au fil des prises en charge l adaptation des modes d intervention En particulier les attaques du cadre th rapeutique ont t consid r es d embl e comme devant tre int gr es dans la prise en charge et n tre jamais sauf violence extr me un motif d interruption du processus th rapeutique Quant aux risques ils sont omnipr sents et ubiquitaires multiples attaques du cadre th rapeutique quotidiennement transgressions diverses menaces insul tes etc risque permanent de passages l acte tant entre jeunes que vis vis de membres du personnel jusqu aux tentatives d meutes risques quotidiens d auto agressivi t jusqu au suicide risques de fugues et de r cidives aux quels s ajoutent les tsunamis politico m diatiques qui peu vent accompagner ces derni res pour citer les principaux Il va de soi que dans un tel projet le respect et la solidarit entre les membres de l quipe comme la libert de parole permettant chacun d exprimer ses difficult s ses peurs et ses d ceptions voire son puisement sont indispensabl
18. hoth rapie suppose de faire bouger un syst me l quilibre m me si cet quilibre est bancal douloureux insatisfaisant toxique Et provoquer ainsi un d s quilibre est toujours une prise de risque en vers le patient risque de le faire souffrir ou d aggraver sa situation Mais ne rien faire peut repr senter un risque plus grand encore l immobilisme en psychologie comme en politique est parfois tol rable comme n cessit ponctuel le ou transitoire mais ne peut tre rig en r gle assum e ou dissimul e L expos proposera des exemples de risques propres au champ des th rapies comportementales et cognitives TCC comme les expositions in vivo et les mises en situations di tes behavioral experiments et montrera aussi comment la derni re vague des TCC par exemple la Th rapie cogni tive bas e sur la pleine conscience introduit un nouveau regard sur ce qui doit tre consid r comme un risque Christophe Andr est m decin psychiatre au Centre Hospita lier Sainte Anne Paris Auteur de plusieurs ouvrages dont Imparfaits libres et heureux Paris Odile Jacob 2006 et Psychologie de la peur Paris Odile Jacob 2005 gt gt Jean Pierre ROSENCZVEIG Le signalement protection ou parapluie Ici comme ailleurs face aux violences aux enfants sinon aux personnes vuln rables nous sommes parvenus imposer un devoir d ing rence Il faut oser parler la maltraitance enfants crivait
19. in de la prise en charge des adolescents auteurs d abus sexuels Anne Pascale MARQUEBREUCQ et coll Entre le d sir et la peur le go t du risque Prise en charge d adolescents difficiles et de leurs familles INNOVER C EST RISQUE Espace pratiques innovantes 9h00 10h00 11h00 11h30 12h30 14h00 15h00 16h00 16h30 17h30 Jean Paul MUGNIER Mise en danger ou prise de risque passage l acte ou passage l action Maurice TITRAN Le pari de la bientraitance pause caf Andr CIAVALDINI La prise en charge de l auteur de violences sexuelles entre risques et n cessit pause d jeuner libre Xavier POMMEREAU La prise en charge des jeunes suicidants comment pr venir la r cidive Christophe ANDR Le risque en psychoth rapie cognitivo comportementale pause Jean Pierre ROSENCZVEIG Le signalement protection ou parapluie fin VENDREDI 28 NOVEMBRE 2008 Chantale PARRET La maltraitance une violence qui prouve les professionnels et met en risque leur pratique Didier ROBIN Les conduites risque des adolescents comment r agir en vitant les r ponses trop s curitaires INNOVER C EST RISQUE Espace pratiques innovantes k Paro Le 2 CHA nts Une intervention psycho socio ducative au b n fice d enfants et d adolescents en danger et en difficult n cessite un subtil m lange d exp rience de maturit de l
20. irsch au c ur des th rapies Toulouse Er s 2001 gt gt Jean Paul MUGNIER Ven 28 9h00 Mise en danger ou prise de risque passage l acte ou passage l action la question Qu est ce que le risque un lyc en se serait content de r pondre Le risque c est a lors de l preuve de philosophie du baccalaur at Rendant une copie pres que blanche tait il pass l acte ou l action S agissait il d un exploit ou d un aveu d ignorance Qu en est il du risque pris par des th rapeutes interpell s par des patients qui voudraient les pousser agir ou au contraire ne pas s alarmer alors que tous les clignotants signalant la pr sence d un danger sont allum s Une at titude interventionniste ou au contraire attentiste serait elle r v latrice de leur engagement ou d un aveu d impuis sance Les id es suicidaires les situations de maltraitances po tentielles ou av r es les situations de violence conjugale quand la victime refuse la protection des intervenants certains d sirs de meurtre exprim s lors de l annonce d un handicap confrontent les professionnels un choix doulou gt gt gt gt reux la scansion du temps voir comprendre agir cens e garantir une action r fl chie doit elle n cessairement laisser la place cet autre ordre logique voir prot ger comprendre Toute th orie g n ralisatrice d une pratique ne pouvant se raconter qu partir d histoi
21. nouvelles origina les et dynamisantes qui apportent un r el plus aux syst mes traditionnels d aide et de soin Lorsque les dispositifs existants ne permettent pas de r pondre aux probl mes des enfants ou des adolescents quelle est la prise de risques n cessaire pour trouver de nouvelles r ponses Quels risques cela repr sente t il d oser innover Dans quel contexte cela est il possible Avec quelles pr cautions n cessaires pp Heloise MIEVILLE et Isabelle LAMM jeudi 27 11h30 Le bonheur est dans le pr le risque juste c t L association de la Belle Toile organise depuis plus de 20 ans des camps d t caract re int gratif Chaque t campent dans un champ une soixantaine d enfants de 3 14 ans dont un quart sont porteurs de diff rents handicaps phy sique psychique social ou encore maladie chronique En cadr s par une vingtaine de moniteurs b n voles certains actifs dans le domaine de la sant et de la relation d autres provenant de milieux professionnels tr s vari s Cette activit est en d calage avec les pratiques habituel les de par la constitution de l quipe le contexte d activit et la diversit s des enfants accueillis Cela expose t il plus certains dangers Prendre des risques c est sortir de la routine c est laisser entrer la vie avec tout ce qu elle peut amener d impr vus Chaque ann e des risques sont pris par exemple en emmenant des enfants pr sentant des
22. on en 1983 aujourd hui il faut tre convaincus de l imp rieuse n cessit de mobiliser tous les moyens disponibles pour faire en sorte que les violences cessent Obligation de moyens et non de r sultat mais il importe d j de ne pas passer son chemin Il ne s agit pas de se prot ger car le signalement n exon re pas de rester mobilis sur la situation mais de mobiliser les moyens qui paraissent pertinents Bien videmment on sera plus exigeant l gard du professionnel que du simple quidam mais l un comme l autre doivent parler d faut de pouvoir agir Reste mettre en place un dispositif d interpr tations des informations pr occupantes qui soit lui m me perfor mant Reste encore une fois bien analys e la situation r unir les moyens pour r agir intelligemment La loi du 5 mars 2007 sur la protection de l enfance cr e en th orie les conditions d une meilleure circulation des informations et d un meilleur traitement Reste voir ce qu il en advient Jean Pierre Rosenczveig est Pr sident du Tribunal pour en fants de Bobigny Co initiateur de l Appel des Cent pour la reforme de la loi sur la protection de l enfance 2005 Ven 28 16h30 au choix Ven 28 16h30 au choix pp Didier ROBIN Les conduites risque des adoles cents comment r agir en vitant les r ponses trop s curitaires Un monde o les adolescents se suicident plus qu ils ne poignardent Quelle
23. paie ment ou d une attestation de prise en charge fournie par l employeur Frais administratifs en cas d annulation avant le 10 novembre 25 euros Aucun remboursement pour tout d sistement annonc notre secr tariat apr s le 10 novembre e Pour les participants fran ais nous avons introduit une demande aupr s de PROMOFAF pour que le congr s b n ficie d un accord pour une prise en charge d rogatoire au b n fice des professionnels concern s sous r serve des conditions habituelles requises pour les remboursements des actions de formation des adh rents e Pour les m decins belges nous avons introduit une demande de reconnaissance de cette activit aupr s du Comit d Accr ditation de M decine G n rale LIEU ET DATES Jeudi 27 novembre 2008 gt de 9h30 18h00 e Vendredi 28 novembre 2008 gt de 9h00 17h30 Palais des Congr s de Versailles peine 30 min du centre de Paris Place du Ch teau 10 rue de la Chancellerie 78000 Versailles RERC D part Paris M tro Saint Michel par ex Arriv e Versailles Rive gauche Versailles Ch teau D part Paris Gare Saint Lazare Arriv e Versailles Rive Droite D part Paris Gare Montparnasse Arriv e Versailles Chantier H bergement Paris www parisinfo com Versailles www versailles tourisme com et www nethbba com Train Inscriptions Par internet www parole be Avec le bulletin ci dessous renvoyer par courrier o
24. probl matiques jamais rencontr es comme le diab te la psychose grave l autisme Diff rents moyens sont alors mis en place afin de r duire le risque au minimum formation pr paration am nagement du cadre Chaque jour de petits risques sont pris qui ne n cessitent pas de bravoure ou de courage exceptionnel mais qui peuvent changer la vie de certains enfants et de leur famille En s offrant la possibilit de prendre des risques petits ou plus grands avec courage mais sans t m rit les interve nants constatent souvent qu ils repr sentent un potentiel d enrichissement consid rable Ils ont choisi de consid rer ces impr vus tout comme les obstacles les difficult s com me autant de chances de d velopper leur imagination leur ouverture au monde et leur acceptation de ce qui diff re _ de la norme Isabelle Lamm est membre fondateur de l association la Bel le Toile et animatrice dans une maison de quartier Gen ve H lo se Mi ville Marcad est ducatrice sp cialis e s cr taire et monitrice la Belle Toile gt gt Dominique CHANDELLE jeudi 27 14h00 Pratique innovante au sein d une Structure d Accrochage Scolaire risque mesur Qu un l ve soit souvent absent qu il soit d motiv indis ciplin r volt par rapport l cole ou m me exclu d fi nitivement d un tablissement scolaire il peut tre aid reprendre une place plus ad quate l cole par ce que l on appell
25. re pratique de prendre des risques calcul s pour am liorer votre offre de soin e Vous tes pr t prendre le risque de partager avec d autres professionnels vos convictions vos doutes l originalit de votre mod le d intervention Saisissez l occasion de notre congr s off Ecrivez nous et proposez nous un projet d interven tion titre et r sum du contenu envisag accompagn de votre curriculum vitae avant le 1er septembre 2008 Nous reprendrons contact avec vous au mois d octobre pour formaliser l organisation catherine denis parole be ATELIERS A l occasion de notre congr s nous avons la chance d accueillir deux grands professionels de la pro tection de l enfance de Montr al Leur venue constitue une occasion exceptionnelle de d couvrir les mod les de protection nord am ricains et de nous familiariser une d marche d valuation et de rigueur mal connue en Europe Chacun d entre eux articule une d marche de recherche dans un cadre universitaire avec une r elle connaissance de la complexit des r alit s de terrain Les deux ateliers ci dessous permettront aux respon sables de service aux d cideurs aux chercheurs aux travailleurs de terrain int ress s par leur approche de b n ficier d un moment approfondi de r flexion et d change avec ces orateurs Attention le nombre de places pour chaque atelier est limit R servez votre place sur le bulletin d inscription r
26. res singuli res de nombreux exemples cliniques illustreront cet expos Jean Paul Mugnier est ducateur sp cialis th rapeute fa milial directeur de l Institut d tudes Syst miques auteur de diff rents ouvrages dont Les strat gies de l indiff rence Paris Editions Fabert 2002 La promesse des enfants meurtris Paris Editions Fabert 2005 Le silence des en fants Paris Editions L Harmattan 1999 gt gt Maurice TITRAN Le pari de la bientraitance exp rience du Centre d Action M dico Sociale Pr coce de Roubaix Le C A M S P de Roubaix intervient aupr s d enfants de moins de 6 ans souffrant de diff rents troubles du d velop pement Ces enfants grandissent dans des familles commu n ment appel es risques Avec leurs parents qui ont connu une grande mis re co nomique affective et sociale des troubles neurologiques ainsi que des ruptures et des errances il est n cessaire d in venter de nouvelles strat gies pour leur donner confiance en eux m mes en leurs enfants et en la capacit des pro fessionnels de les aider Ces actions passent par la cr ation d un r seau qui int gre le savoir faire de diff rentes structures et de diff rents intervenants psychosociaux et associatifs Cela implique galement de respecter les limites des familles comme on reconna t celles des professionnels Enfin cela n cessite de parier sur l avenir et sur la capacit de chacun tre reconnu dans ce
27. s ECI de 1998 et 2003 Il est galement impliqu dans la recherche sur le d veloppement et l valuation de mod les exhaustifs de traitement domicile dans des situations de n gligence chronique Il a men l enqu te sur les risques et la r silience de jeunes recevant des services de protection de l enfance pp Yves STEVENS jeudi 27 14h00 au choix Le risque de l inachev oser proposer la fin du suivi dans la prise en charge d adolescents auteurs d abus sexuels Dans la d linquance juv nile la transgression sexuelle re vet un caract re particulier dans la mesure o elle heurte motionnellement autrui et met l avant plan la question du risque de r cidive D s lors une prise en charge rigoureuse et coordonn e s impose Par ailleurs le fait que l auteur soit un adolescent rappelle que nous avons affaire un tre inachev en cours de d veloppement et qui a besoin de retrouver confiance en lui m me Il a tout autant besoin de regagner la confiance de ses proches quant ses capacit s devenir un adulte responsable un mec bien malgr les gestes pos s Pouvoir proposer la fin apr s une prise en charge coh rente est aussi un message important adress l adolescent et ses proches quant au fait qu il peut poursuivre son d velop pement en confiance Cette notion de confiance renvoie au travail que l adolescent a pu faire sur le sens du passage l acte tant dans sa trajectoire personnelle q
28. se propose d exposer comment tablir une relation de confiance r ciproque avec les jeunes suicidants pour les aider comprendre le sens de leur TS et par l m me r duire au maximum le risque de r cidive Xavier Pommereau est psychiatre chef de service responsa ble du P le aquitain de l adolescent centre Abadie CHU de Bordeaux Auteur de Quand l adolescent va mal Paris J ai Lu 2003 L adolescent suicidaire Paris Dunod 2005 l ado fleur de peau Ce que r v le son apparence Paris Albin Michel 2006 gt gt Chantale PARRET Ven 28 14h00 au choix La maltraitance une violence qui prouve les professionnels et met en risque leur pratique S impliquer dans l accompagnement d enfants d adoles cents d adultes ayant subi des mauvais traitements S inter roger sur la violence de l tre humain induit n cessairement des prouv s pour les professionnels Cet prouv s il est n cessaire pour ressentir de l empathie pour ceux et celles qui comptent sur nous pour tre entendus reconnus aid s soutenus accompagn s peut conduire les professionnels prendre des d cisions des options et mettre en uvre des actions inadapt es et ou contraires la bien traitrance des int ress s et d eux m mes C est cet prouv indispensable mais risqu que l oratrice se propose de r fl chir et ce partir d exemples Risque pour la nature des liens tablis avec l enfant l ado lescent l adulte C
29. servations par ordre d arriv e dans le cadre de l inscription l ensemble du congr s pl Nico TROCME jeudi 27 16h30 Mieux comprendre pour mieux servir strat gies pour valuer l impact des services de protection Suite sa pr sentation pl ni re le Profes seur Trocm pr sentera plusieurs strat gies Ss de monitorage et d valuation des prati ques notant en particulier l importance de d velopper une thique et une culture d intervention qui reconnaissent la tension entre les deux principes fondamentaux de primum non nocere d abord ne pas nuire et de primum succerrer d abord venir au secours gt gt Suzanne RAINVILLE Vendredi 28 9h00 Le programme A chaque enfant son projet de vie permanent Programme d valuation et d intervention aupr s des familles de jeunes enfants qui risquent de subir de multiples brisures relationnelles si une aide n est pas propos e rapidement leurs parents Ce programme vise identifier les enfants g s entre 0 5 ans signal s la Protection de la jeunesse et qui sont les plus risque de vivre de multiples d placements et des si tuations de d laissement dont les cons quences sur le d veloppement de l enfant sont reconnues Dans un premier temps une grille de d pistage des situations risque est utilis e Dans un deuxi me temps un guide d valuation des capacit s parentales est compl t Il s agit d un guide clinique qui perm
30. u fax Parole d enfants Paris ou Li ge L inscription est ferme d s r ception d un bulletin d inscription et du paiement ou d une attestation de prise en charge fournie par l employeur NOM PRENOM ADRESSE PRIVEE rue ville pays T L E MAIL QI J effectue un versement de QI J effectue un versement de Q J effectue un versement de U J envoie un ch que de Q Je d sire recevoir une facture tablie au nom de INSTITUTION ADRESSE PROFESSIONNELLE rue ville pays T L E MAIL sur le compte 775 5905658 28 depuis la Belgique sur le compte CCP n 40 688752 4 Bern depuis la Suisse sur le compte IBAN BE37 7755 9056 5828 BIC GKCCBEBB depuis la France et le Luxembourg l ordre de Parole d Enfants depuis la France Qi Mon organisme envoie une attestation de prise en charge et r gle par mandat administratif inscription par convention en France n d agr ment 11 75 3459 875 mon adresse CI priv e L prof QI Je d sire recevoir les informations pratiques mon adresse L priv e L prof Mes pr f rences pour les conf rences au choix Jeudi 27 novembre 2008 11h30 gt CI Roland COUTANCEAU 14h00 gt CI Nico TROCME 15h00 gt L Suzanne RAINVILLE Vendredi 28 novembre 2008 14h00 gt U Xavier POMMEREAU L Chantale PARRET 16h30 gt L Jean Pierre ROSENCZVEIG L Didier ROBIN U Fran oise MOLENAT U Yves STEVENS L Anne Pascale MARQUEBREUCQ et coll Ateliers
31. ucidit ainsi qu une indispensable dose d optimisme et d ouverture vers un espoir de changement Comment s laborent les d cisions des professionnels lorsqu elles impliquent une prise de risque pour des personnes d j vuln rables en particulier les enfants Quel peut tre leur bien fond mais aussi leur degr d inconscience dans le sens d une m connaissance des cons quences La responsabilit des professionnels n est elle pas de prendre des risques r fl chis dans l espoir de susciter un changement plut t que d annoncer un pronostic n gatif en ne prenant aucun risque de se tromper Comment peut on am liorer la d marche d valuation des situations risques et l impact des pratiques professionnelles sur la situation objective des b n ficiaires Quelles sont aujourd hui les pratiques innovantes audacieuses et prometteuses qui osent sortir des sentiers battus Ce congr s poursuit l objectif de permettre aux professionnels de l enfance et de la relation d aide ducateurs assistants sociaux psychologues m decins infirmiers juristes etc de mieux s quiper pour identifier et valuer les risques multiples auxquels ils sont confront s avec les enfants les adolescents et les adultes avec lesquels ils travaillent Il vise galement pr senter aux participants des d marches utiles pour sortir de l isolement qui paralyse et ainsi d velopper un travail en r seau respectueux des r les comp tences et limites
32. ue familiale Cet expos balisera les axes de travail dans la prise en charge de ces adolescents et r fl chira par cons quent la question de la part d acceptable dans la prise de risque de proposer la fin au regard des dimensions travaill es dans l accompagnement psychosocial de l adolescent et de sa famille Yves Stevens est psychologue psychoth rapeute et formateur llest intervenant au service Kal idos de prise en charge des si tuations d abus sexuels intrafamiliaux initialement d velopp au sein de l association Parole d Enfants Il est galement psychologue dans un centre de consultation o il rencontre de nombreux auteurs d infractions caract re sexuel gt gt Suzanne RAINVILLE jeudi 27 15h00 au choix L volution de la pratique qu b coise dans les situations familiales risque les constats et les enjeux d une valua tion et d une intervention structur e Le travail aupr s des familles qui pr sentent de grandes difficult s engendre bien des d bats et des enjeux sociaux conomiques et affectifs qui peuvent teinter la pratique des intervenants Le syst me de protection de l enfance au Qu bec est r gi par la loi de la Protection de la jeunesse qui balise la pratique des intervenants L int r t de l enfant est au c ur de cette loi Les parents ont des droits mais aussi des obligations Ils doivent assurer la sant et le d veloppe ment de leur enfant Lorsque la situation d un jeune enfant
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