Petit-déjeuner du
Contents
1. titre d exemple l audit nerg tique d un b timent d une SHON Surface hors uvre nette de 1 000 2500 m est factur 3075 euros hors taxes Il s agit d un march bons de commandes chaque collectivit d cide des prestations dont elle a besoin et y a recours son rythme sur la base des prix n goci s par le Sipperec La r habilitation du patrimoine aujourd hui Traditionnellement il y a deux mod les de r habilitation nonce Marc B nard directeur d Equateur la r habilitation de prestige pour valoriser une architecture digne d int r t patrimonial et une r habilitation caract re plus technique avec quelques l ments de d coration pour les b timents plus ordinaires Mais cela commence changer la r novation vise ainsi retrouver les qualit s du neuf On voit ainsi des barres transform es en petits lots ou encore des logements des ann es 1900 r nov s pour tendre des logements nergie positive Dans certains cas comme pour les b timents des ann es 1960 compte tenu de la surface et des clairages il est m me possible de faire mieux que dans le neuf Marc B nard Directeur d Equateur Avant toute d cision il est important de se poser diverses questions tel difice dont l architecture est pass e de mode sera sans doute appr ci demain pour ses qualit s architecturales Il faut aussi valuer ce qui ressor2. F NT Nouveau march du groupement de commandes Audit nerg tique dans les b timents lectricit et ma trise de l nergie Pour des r novations basse consommation P725 Energie la hausse des tarifs continue P 425 Audit nerg tique dans les b timents mode d emploi P 6 7 Groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie march d audit nerg tique dans les b timents P 8 Cas pratique L exemple du conseil g n ral de Seine Saint Denis Les lois Grenelle 1 et 2 ainsi que l volution de la r glementation thermique imposent de nouvelles normes bien plus exigeantes pour les b timents cela s ajoute la hausse durable des prix de l nergie conjugu e aux difficult s financi res des collectivit s locales Ces derni res doivent se pencher sur leurs consommations ce titre la connaissance du patrimoine et de ses co ts nerg tiques est non seulement une priorit mais bient t un pr alable n cessaire pour remplir des obligations l gales Face ces enjeux le groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie apporte aux collectivit s et tablissement publics des solutions concr tes imm diatement utilisables Il met disposition des outils adapt s Sa formule permet d agir au rythme de chaque collectivit en optant pour des prestations dont les prix et la qualit ont t n goci s apr s
3. ont t diagnostiqu s en un an gt Audit nerg tique dans les b timents Nouveau e Attribu en juillet 2010 Alterea Equateur ce lot est un outil d aide la d cision destin aux collectivit s ma tres d ouvrage Il permet de pr parer des projets de r novation ou des travaux lourds partir de pr conisations tendant atteindre le niveau BBC b timent basse consommation e Des prestations compl mentaires sont pr vues tude de simulation thermique dynamique tude de faisabilit d approvisionnements en nergies renouvelables test d tanch it lair assistance ma trise d ouvrage Un suivi affin de ses consommations nerg tiques Con u d abord pour suivre sa consommation d lectricit l outil de suivi des consommations et des A co ts est d sormais multi fluides J r me Winterholer explique J r me Winterholer Consultant associ consultant associ Intuitus Conseil Intuitus Conseil Chaque collectivit peut donc d tecter des axes d am lioration condition de renseigner la base de donn es le Sipperec se chargeant de collecter aupr s d EDF celles relatives l lectricit Les donn es peuvent tre appr ci es de diff rentes mani res consommation co ts missions de gaz effet de serre et se traduisent en tableaux ou graphiques Il est aussi possible de d finir des ratios propres identifier les principales sources de consomma
4. OUVRAGE e R aliser la synth se patrimoniale e R diger les CCTP de travaux et la programmation pluri annuelle et les pi ces graphiques e Expertiser les contrats d exploitation e tablir le dossier de consultation des entreprises e Thermographier les b timents e Assurer le suivi de chantier e Etudier la faisabilit des Contrats de Partenariat nerg tique e Accompagner le ma tre d ouvrage dans les phases de r ception TUDES TECHNIQUES e Obtenir une premi re vision e Op rer une diversification de son patrimoine nerg tique introduire p l les nergies renouvelables e Respecter la r glementation en vigueur e D poser un permis de construire AUDIT NERG TIQUE e Collecte des donn es e Diagnostic thermique du b timent et des installations techniques e Visite sur site e Analyse des consommations orenergig e Diagnostic lectrique e Analyse des conditions d exploitation et d utilisation e Am liorer le confort climatique et visuel du b timent e Concevoir ou r nover un B timent Basse Consommation e Synth se architecturale e Simulations d intervention en co t global e Hi rarchisation des solutions et montage financier e Diagnostiquer concevoir et mettre en oeuvre les travaux e Sensibiliser les entreprises e R ceptionner les travaux e tablissement des programmes de r habilitation e R daction du rapport e Pr sentation des r sultats n nous a pr
5. RT 2012 Issue de l article 4 de la loi Grenelle 1 la future r glementation thermique RT 2012 pose que toutes les constructions neuves faisant l objet d une demande de permis de construire d pos e compter de la fin 2012 et par anticipation compter de la fin 2010 s il s agit de b timents publics et de b timents affect s au secteur tertiaire pr sentent une consommation d nergie primaire inf rieure un seuil de 50 kilowattheures par m tre carr et par an en moyenne Attributaires du march Audits nerg tiques dans les b timents ALTEREA Alterea est un cabinet de conseil sp cialis dans les conomies d nergie l int gration des nergies renouvelables QUATEUR l am lioration de la performance environnementale Parmi ses r f rences figurent la ville de Paris DPE de 1 500 quipements publics la r gion Champagne Ardenne audit nerg tique de 100 b timents le conseil g n ral des C tes d Armor co r habilitation du coll ge Gwer Halou Alterea est galement titulaire du lot DPE am lior du groupement de commandes du Sipperec plus de 35 collectivit s ont d j eu recours ses services quateur est une agence d architecture cr e en 1999 Riche de 10 collaborateurs quateur a marqu d s ses origines un int r t soutenu pour la consommation en nergie des b timents L agence intervient en construction comme en r habilitation ASSISTANCE MA TRISE D
6. appel d offres Apr s le diagnostic de performance nerg tique un nouveau march vient d tre attribu l audit nerg tique dans les b timents C est un v ritable outil d aide la d cision pr alable des travaux de r habilitation voire de r novation environnementale qui est propos nous de l utiliser en ayant notamment en t te l enjeu des b timents nergie positive c est dire produisant plus d nergie qu ils n en consomment Catherine Peyge Pr sidente du Sipperec Maire de Bobigny PEREC rcommunal de la P riph rie de Paris icit et les R seaux de Communication nergie la hausse des tarifs continue Engag e en ao t 2009 la refonte des tarifs r glement s de vente de l lectricit s est poursuivie en 2010 avec la clef de fortes augmentations Sur les seuls tarifs vertet jaune les collectivit s adh rentes au groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie du Sipperec sont impact es hauteur d 1 5 million d euros L impact de la hausse des tarifs d ao t 2010 1 5 million d euros Le 24 novembre l Assembl e nationale a adopt en 2 lecture le projet de loi portant nouvelle organisation du march de l lectricit NOME Cette loi a t publi e au Journal Officiel du 8 d cembre 2010 Ce texte pr voit la cession d une partie de la production d lectricit d origine nucl aire par EDF ses concurrents Le ta
7. et groupement de commandes Un audit nerg tique permet un ma tre d ouvrage d valuer son parc de b timents pour d finir sa strat gie de ma trise des consommations d lectricit et le cas ch ant d entreprendre les travaux de r habilitation L id e c est de parvenir un lien troit entre architecture et ing nierie nerg tique pr cise Alban Lapierre Un audit se d cline en quatre phases e examen et description de l existant cela passe par des visites de sites des entretiens avec les occupants ou gestionnaires d immeubles e explication et traitement des donn es collect es e pr conisations et arbitrages e synth se finale avec tablissement des programmes de r habilitation et pr sentation d un rapport d taill la collectivit Dans le cadre du groupement de commandes outre l audit nerg tique dans les b timents Alterea et Equateur proposent plusieurs prestations annexes utilisables en phase de programmation ou de travaux tudes de simulation thermique de faisabilit des approvisionnements en nergies renouvelables DPE am lior test d tanch it air Dans ce dernier cas il s agit d identifier les pathologies du b timent ce qui est tr s important notamment pour la r ception des travaux Les prestations peuvent aller jusqu l assistance ma trise d ouvrage durant la phase de travaux ou une mission de conseil d di e
8. opos trois sc narios de r habilitation d taill s es b timents du conseil g n ral de Seine Sai Denis repr sentent plus d un million de m tres carr s de surface hors uvre nette SHON explique Sophie Genu Saed ef du bureau d tudes g n rales dont 120 coll ges Nous avons choisi d auditer an b timent r cemment acquis par le d partement le but tait travers il d un architecte de disposer de propositions pertinentes Ce b timent consomme quelque 200 kilowattheures par m tre carr et par an d tudes g n rales Conseil g n ra de Seine Saint Deni rois sc narios nous ont t propos s Le premier un sc nario de base vise l isolation et les ouvrants ext rieurs permettant un gain nerg tique d environ 20 0 e deuxi me permet de viser 40 d conomies d nergies en agissant sur les menuiseries isolation les syst mes d missions de chaleur Le troisi me enfin est celui d une solution de type BBC avec un investissement relativement cons quent Il faudrait am liorer la sous station du r seau de chaleur es ventilations et l enveloppe du b ti Outre ces trois sc narios ce qui nous a int ress s c es i le thermicien et l ar
9. r le neuf ne suffira pas Attention aux id es re ues le patrimoine ne se renouvelle qu hauteur de 1 chaque ann e Il faut donc travailler sur l existant En revanche sur les b timents neufs la R glementation thermique RT 2012 n aura aucun impact Ce travail suppose de d finir pr alablement les enjeux majeurs valorisation des b timents p rennes propositions ambitieuses m me si le programme de r habilitation n est pas complet vision de long terme et ma trise d usages sp cifiques comme l clairage le chauffage tout ce qui n est pas facilement compressible Audit nerg tique dans les b timents Il convient aussi de tenir compte d autres param tres telle l nergie grise c est dire celle qui est int gr e dans les mat riaux l nergie consomm e pour les produire Sur un b timent qui fait 150 200 kilowattheures par m tre carr et par an l nergie grise est en g n ral assez faible pr cise Alban Lapierre Mais pour des b timents plus performants de type BBC b timent basse consommation elle sera bien plus Alban Lapierre l Directeur d Alterea importante en raison des choix pr alables de process et mat riaux aussi bien en construction qu en r habilitation L nergie grise peut s valuer avec des outils de mesure mis au point par le CSTB centre scientifique et technique du b timent Audit nerg tique
10. re les donn es n cessaires Or les collectivit s auront besoin de ces l ments pour tablir leur budget 2011 et proc der une d cision modificative pour 2010 Tarifs jaune gt Si l augmentation moyenne est de 3 46 elle s tablit entre 2 82 pour le tarif longue utilisation 2 et 8 95 pour le tarif effacement jours de pointe le tarif moyenne utilisation 2 grimpant de 4 01 L impact de la hausse d ao t 2010 peut tre valu 900 000 euros pour les collectivit s adh rant au groupement de commandes Tarifs vert gt La hausse moyenne est de 3 81 Les carts entre options tarifaires sont ici moins sensibles entre 2 82 et 5 78 0 mais l impact sur la facture des collectivit s adh rentes reste lev il est valu a 600000 euros Hors tarifs bleu pour les communes du groupement de commandes l impact de la hausse d ao t 2010 est d environ 1 5 million d euros sur un budget global de 42 7 millions Cette ann e encore la hausse n a t ni pr c d e ni suivie d explications Le Sipperec a demand aux pouvoirs publics et la Commission de r gulation de l nergie CRE la publication de la structure des co ts de production et des comptes de r sultat par cat gorie et option tarifaire de la fourniture d lectricit au tarif r glement de vente d EDF Christian Poncelet March s attribu s Le Sipperec demande galement de rendre p
11. rif de cession fera l objet d un d cret EDF revendique un niveau minimal de 42 euros le m gawattheure Selon la CRE cela conduirait m caniquement une hausse des tarifs r glement s de 15 En 2009 la hausse constat e tait de 1 9 0 en moyenne en 2010 de 3 avec chaque fois de fortes disparit s selon la puissance souscrite et la consommation La hausse des tarifs devrait se poursuivre dans une d cision en date du 1 juillet 2010 le Conseil d tat a annul partiellement les tarifs vert et jaune d ao t 2008 ne les estimant pas assez lev s pour couvrir les co ts d EDF Le rattrapage est en cours les tarifs affectant les gros consommateurs ont subi de fortes hausses en ao t 2010 5 pour les tarifs vert et 4 5 pour les tarifs jaune ces derniers concernant largement les collectivit s locales Dans tous les cas la hausse est d sormais sup rieure l inflation Tarifs bleu gt Depuis 2009 les hausses affectent notamment les petits consommateurs puissance souscrite de 3 et 6 KVA et ceux dont les tarifs sont vertueux Tempo heures creuses heures pleines Dans le cas des collectivit s elles subissent des hausses sur leurs abonnements en base et aussi sur leur consommation heures creuses heures pleines de mani re plus sensible que les particuliers Le Sipperec n a pu proc der a une simulation tarifaire d taill e dans le cadre du groupement EDF refusant de transmett
12. t de la production ordinaire d un architecte et ce qui appartient ses uvres plus exceptionnelles La r novation ne doit pas faire n gliger l entretien Helsinki lorsqu on entre dans un b timent des ann es 1950 on a l impression qu il est neuf En fait il est simplement entretenu en permanence On entre l dans la notion de r habilitation durable Une approche multi crit res permet d affiner le diagnostic notamment dans la perspective d un b timent basse consommation Cela suppose une investigation compl te lors du diagnostic nergie tanch it qualit de lair Il faut cibler les pathologies Et l on a parfois de mauvaises surprises Celui ci visera valuer la p rennit des installations et du b ti ou encore analyser les consommations d nergie l issue de cet audit nous proposons des sc narios d taill s qui prennent en compte aussi bien l efficacit conomique que les enjeux environnementaux Sans oublier de proposer diff rentes alternatives architecturales tenant compte la fois du caract re du b timent et de l usage souhait parle ma tre d ouvrage conclut Marc B nard soulignant de ce point de vue l importance du travail pr paratoire il faut apporter un soin particulier aux prescriptions afin que le ma tre d ouvrage puisse tre le plus pr cis possible dans l nonc de ses attentes La R glementation thermique
13. tion comme de classer les b timents les plus nergivores Quatre collectivit s participent un travail pilote visant quantifier la charge n cessaire la mise en uvre de l outil mode d emploi Dans le cadre du groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie la commission d appels d offres du Sipperec a attribu Alterea Equateur un march d audit nerg tique dans les b timents orient vers la basse consommation Ce march compl te et prolonge le diagnostic de performance nerg tique IL permet aux collectivit s d engager imm diatement des travaux de r habilitation conformes a la future r glementation thermique 2012 Grenelle des exigences thermiques renforc es Les lois Grenelle 1 et 2 ainsi que l volution de la r glementation thermique imposent de nouvelles normes bien plus exigeantes pour les b timents Il s agit d un changement notoire explique Alban Lapierre directeur d Alterea car dans le parc actuel tr s peu de b timents r pondent aujourd hui ces exigences La performance actuelle du parc tertiaire tourne plut t aux alentours de 150 kilowattheures par m tre carr et par an en moyenne Or l objectif du Grenelle est de r duire la consommation nerg tique du patrimoine de 40 et ses missions de gaz effet de serre de 50 C est ce qu on appelle le facteur 4 Pour r pondre ces exigences agir su
14. ubliques les simulations pr alables aux d cisions prises Dans le cadre du service public de la fourniture d lectricit et plus pr cis ment des contrats de concessions la fourniture d lectricit au tarif r glement de vente est sous la responsabilit des collectivit s La transparence s impose donc ce qui n est pas le cas aujourd hui Responsable du groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie du Sipperec Le groupement de commandes lectricit et ma trise de l nergie Cr en 2004 le groupement de commandes du Sipperec regroupe 128 collec tivit s 100 communes 2 conseils g n raux 3 communaut s d agglom ration 8 OPHLM 9 CCAS 6 syndicats intercommunaux lesquelles comptent 12000 points de livraison pour une consommation de 500 Gwh par an gt Suivi et analyse des consommations et co ts de l nergie e Lot attribu Nextep en avril 2009 pour 3 ans D sormais multi fluides cet outil permet de disposer de toutes les donn es n cessaires pour valuer ses besoins par b timent ou groupes de b timents et obtenir des offres comp titives gt Diagnostic de performance nerg tique DPE am lior e Lot attribu Alterea en f vrier 2009 Par dela l obligation l gale ce DPE donne aux ma tres d ouvrage une vision globale de l tat des lieux d un ou de plusieurs b timents assortie de recommandations chiffr es et de travaux prioris s e 395 b timents
Download Pdf Manuals
Related Search