n° 223 - Mars - Chambre d agriculture du Calvados
Contents
1. ventuels paiement acomptes Modalit de r vision et O NE Pe E Avenant sign par les 2 parties en cas de r vision Pr avis de rupture de 12 mois de r siliation du contrat D Un projet de d cret sur les organisations de producteurs OP qui devrait donner la possi bilit aux agriculteurs de n gocier collectivement leurs contrats Pas avant fin 2011 du fait de l attente d un d cret europ en sur les modalit s de n gocia Date de parution pr vue tion des contrats et sur les OP R 500 leveurs et ou 250 millions de litres avec d rogations pour la bio 50 producteurs ou Taille minimum a l i y 15 millions de litres et pour les produits sous signes de qualit ou de l origine Dur e Adh sion de l agriculteur 5 ans minimum Propri t du lait Avec ou sans transfert de propri t lait de l agriculteur l OP Moyens Au moins un salari NB Informations provisoires restant confirmer apr s parution du d cret d finitif D Un 3 d cret sur les processus de m diation est annonc Les CDOA lait laissent place 9 bassins laitiers Afin d accro tre la mobilit des quotas et pr parer leur suppression un projet de d cret pr sent le 23 novembre 2010 annonce qu partir d avril 2011 9 bassins laitiers seront en place Les chelons d partementaux et nationaux seront supprim s et une conf rence de bassin assurera la gestion des quotas Pr sid e par l2. leur date de modification Rappelons que ces r gles ne remettent pas en cause celles de la Directive nitrates qui inter UNE NOUVELLE IDENTIT POUR UN NOUVEL LAN L agriculture fran aise traverse un moment A particuli rement conjoncture qui met en danger la survie m me de nombreuses exploitations c est une phase de mutation profonde qui est engag e difficile Au del d une Dans ce contexte les Chambres d agriculture revisitent leurs actions et leurs organisations AGRICULTURES amp TERRITOIRES CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS pour mieux accompagner l adaptation du secteur agricole aux enjeux conomiques sociaux et environnementaux nouveaux La r forme Terres d Avenir ainsi red fini leur engagement contribuer la performance durable de l agriculture initi e d s 2005 a Aujourd hui avec une nouvelle identit visuelle plus moderne et r solument orient e vers l avenir les Chambres d agriculture affirment leur positionnement fond sur l implication et la proximit et leur volont d tre activateur de toutes les agricultures et de tous les territoires CHAMBRE CALVADOS Cultivons autrement 2011 D AGRICULTURE CO Limousine Pr sence de nombreux stands E LE ns i d 4 s ue La dit le retournement des prairies en ZPPN et le long des cours d eau ou l int rieur d un p rim tre de captage en zone vuln rable Barbara Lebrun T l 02 3
3. sileuse automotrice de la CUMA du Mesnil a commenc sillonner les routes du Bocage avec aux commandes les salari s du GEVR de la Souleuvre Les deux salari s du GEVR se remplaceront une semaine sur deux afin d effectuer l affourragement des 5 fermes engag es dans le projet Dans un premier temps la machine effectuera son trajet de 17 km avec les cinq stations en 2h30 3 heures pr cise James Louvet Nous pouvons encore accueillir quelques leveurs int ress s par la d marche car nous cumulons aujourd hui un quota de 2 millions de litres et le mat riel n est pas pleine capacit Nous pouvons objectivement assurer l affourrage ment pour un cheptel quivalent 3 millions de litres La machine affourrage principalement des vaches laiti res Avec un investissement hauteur de 120 000 le service nous revient actuellement 16 par 1000 litres Les atouts d un tel quipement sont nom _ _ fo z x CHAMBRE breux Chacun peut y trouver son compte Pour les exploitations du groupe qui sont un peu justes en main d uvre la d l gation de l affourragement peut leur faire gagner envi ron une heure de travail par jour De plus l as treinte de la distribution dispara t Ce type de mat riel est compl tement adapt pour diversifier les rations sur le plan four rager Nous allons pouvoir passer d un sys t me o le ma s repr sentait la majorit du fourrage distr
4. une nouvelle conomie de proximit ce jour nous accompagnons 4 projets l chelle du Calvados CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 7 n d cret du 1 octobre 2010 est venu apporter des modifications la proc dure devant le tribunal paritaire U Ces modifications concernent notamment la repr sentation devant ce tribunal le mode de saisine la mission de conciliation ou encore les d lais de communication des jugements Sur la repr sentation des per sonnes aux audiences la nouveaut r side dans le fait que d sormais les parties peuvent se faire assister ou repr senter sans avoir invoquer un motif l gitime Jusqu alors en effet le principe tait la comparution personnelle aux audiences de conciliation et de jugement sauf motif l gitime Le d cret est donc venu assouplir ces r gles mais uniquement LA LES GONSEILS DE LA Uisu R FORME DE LA PROC DURE DEVANT LE TRIBUNAL PARITAIRE DES BAUX RURAUX pour les audiences de jugement La comparution personnelle reste obligatoire pour les audiences de conciliation sauf invoquer un motif l gitime autorisant la repr sentation Les r gles de saisine du tribunal sont ga lement modifi es pour remplacer la lettre recommand e avec avis de r ception qui tait un des deux modes de saisine avec l acte d huissier de justice adress au greffe par une d claration
5. Calvados organise le 6 avril prochain 14 h 30 Tr vi res l espace culturel une r union d information pour lever le voile sur les c t s m connus de ce que l on appelle commun ment la vente directe cette occasion un tour d horizon des pratiques d marches et exp riences avec notamment un t moignage d un exploitant du Bessin sera pr sent sans omettre bien s r le volet des d bouch s qu ils soient directement li s au consommateur final ou une organisa tion collective locale fournisseur de la restau ration hors domicile St phane Berzinger T l 02 51 51 66 51 s berzinger calvados chambagri fr Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 10 CALVADOS PAYS D AUGE T l 02 31 31 31 85 Alimentation en eau potable Huit bassins versants la loupe Le mardi 15 f vrier dernier s est tenue Lisieux une r union d information sur le travail men par la Mairie pour la restauration de la qualit de l eau dans les bassins d alimentation de la ville Dans les 8 bassins d alimentation le cap tage de Bourguignolles est class Grenelle Ce classement a conduit la mairie de Lisieux missionner le bureau d tudes LITHOLOGIC pour synth tiser et actualiser le travail d j r alis depuis 2004 par la Chambre d Agriculture du Calvados v finaliser les objectifs du programme d actions d terminer les moyens mettre en uvre et valuati
6. contr ler le chargement de ses animaux la par celle pour viter le surp turage et veiller limiter voire supprimer l apport d engrais C est plus sur l aspect administratif que a change un peu Mais a ne demande pas une charge de travail trop importante ajoute t 1l en pr sentant son cahier d enregistrement tenu Jour Comme le souligne Pierre BRISSET les MAET permettent aussi de valoriser des parcelles en d prise pour limiter l enfrichement des coteaux En effet les parcelles en pente int ressent de moins en moins les agriculteurs et sont laiss es l abandon J ai d ailleurs t surpris qu il n y ait pas davantage de personnes qui s engagent en MAET pr cise l leveur Selon lui c est un atout financier non n gligeable pour entretenir les parcelles A ce jour 11 agriculteurs se sont port s volon taires sur environ 129 ha dont 14 ha concernent directement des habitats d int r t europ en A cela s ajoutent quelques 700 m tres de haies Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 4 PIERRE BRISSET S EST ENGAG SUR DES MESURES AGRI ENVIRONNEMENTALES Mesures Agro Environnementales Territorialis es MAET Gestion extensive des grandes cultures avec fertilisation limit e Gestion extensive des grandes cultures avec fertilisation limit e et raisonnement de la rotation 43 ta p Entretien de h
7. de formation vous b n ficierez d un cr dit d imp t de 14 x 9 soit 126 Ce cr dit est plafonn lt 40 heures par an Chaque associ du GAEC b n ficie de ce plafond lt Conservez vos justificatifs facture et ou attestation de pr sence La d claration est faire au moment de la d claration fiscale avec l imprim CERFA 1263504 2011 aeni Reine Mathilde REINE A C est le nom de code M AT HILDE de l op ration visant renforcer la fili re lai ti re bio en Basse Normandie Le projet b n ficie d un financement original puisque c est le fond Ecosyst me de Danone qui intervient pour une dur e de 5 ans Cependant les actions concernent tous les leveurs laitiers quelle que soit leur laiterie ainsi que leur environnement technique Pour rep re Danone transforme dans son usine du Molay Littry du lait bio pour le compte de sa filiale Stonyfeld Le champ couvert est large et les actions se mettent concr tement en place Par exemple le financement du diagnostic de faisabilit de la conversion en fait partie Un s minaire sur la fili re biologique pour les enseignants d tablis sements agricoles est programm Des journ es pour les leveurs sur la finition des animaux bio sont pr vues dans le Calvados les 5 et 19 avril 2011 Des cycles de formation pour les v t ri naires ont d but en f vrier Une ferme vitrine avec
8. des concours d par temental race Limousine et d arrondissement race Normande organis s par l association des concours et exposition agricole du Pays d Auge vous pourrez assister la pr senta tion d animaux sp cialement s lectionn s pour l v nement et d une vente de reproducteurs en race Charolaise D fil s des animaux le samedi 26 mars de 9 h 18 h remise des prix le dimanche 27 mars partir de 15 h C dric Tribolet T l 02 31 31 87 65 c tribolet calvados chambagri fr PLAINE DE CAEN T l 02 31 53 55 00 Des oignons de Normandie pour les DOM TOM Lors de la derni re r union de la Sica Copa elc le Pr sident Nicolas Marie a pr sent l en semble des coop rateurs M Michel Lorpin le nouveau responsable de site Ce dernier a pris ses fonctions au d but du mois de f vrier 2011 Ce fils d agriculteur est origi naire de la commune de Basly dans le nord de la Plaine de Caen Il a travaill de nombreuses ann es dans la commercialisation de fertilisant sur le Grand Ouest A la t te d une quipe de douze salari s permanents il assurera au sein de l entreprise la commercialisation La SICA COPAFELC est implant e dans la Plaine de Caen sur la commune de Fontenay le Marmion depuis les ann es 1960 suite la volont des quelques agriculteurs qui souhai taient se regrouper dans un objectif de com mercialiser leurs pommes de terre et oignons Aujourd hui c est
9. des essais v g taux et des d monstrations prend place pr s de Villers Bocage Thierry M tivier T l 02 31 51 66 32 t metivier calvados chambagri fr Certiphyto Fin du dispositif exp rimental en juin L exp rimentation du dispositif Certiphyto a t pro long e par d cret jusqu au 31 juillet 2011 pour les chefs d exploitation et les salari s d ETA Dans ce dispositif vous pouvez obtenir gratuitement votre Certiphyto pour une dur e de 10 ans Les nouvelles conditions du dispositif dur e co t et validit du cer tificat ne sont pas encore connues Il vous suffit de participer l une des formations organis es par la Chambre d agriculture du Calva dos avec le concours de la Mutualit Sociale Agri cole MSA des C tes Normandes des Centres de Formation Professionnelle et de Promotion Agricoles CFPPA de Vire et de la F d ration D partementale des Coop ratives d Utilisation du Mat riel Agricole du Calvados FDCUMA 14 Afin de respecter les d lais n cessaires pour l dition des certificats la fin des derni res sessions de formation CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS faisable sur votre Lait bio exploitation Avec le diagnostic GRATUIT de faisabilit Lait Bio propos par les Chambres d Agri culture de Basse Normandie c est simple rapide concret e 1 RDV de 3 h maximum sur votre exploita tion avec l un de nos conseillers sp cialis en Agriculture Biologique e parcel
10. en phase avec la demande pour ne pas fragili ser les jeunes r cemment install s B atrice Rodts T l 02 31 31 87 65 b rodts calvados chambagri fr Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 2 CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS Exploitation cherche repreneur gt Secteur Bessin Petite structure cherche preneur Suite au d c s de l exploitant souhait de c der le corps de ferme 1 porcherie d saffect e r orientable les M terres 16 ha dont 14 ha O de labours le mat riel _ et la maison Structure A id ale pour un projet diversifi gt Secteur Bocage Petite exploitation horticole c der La reprise comprend une serre chauff e Verre et plastique de 800 m2 le mat riel et 6 ha env Selon le souhait du preneur location ou vente int grale Outil en horticulture seule qui pourrait tre d velopp vers la p pi ni re Cession pour cause de retraite gt Secteur Pays d Auge Exploitation lait transfo vente directe c der La reprise comprend les b ti ments le mat riel le cheptel et les stocks Location de l ensemble du foncier et de la maison d habitation vente si d sir e par l acqu reur Contrat de parrainage pour un transfert de la client le souhaitable Candidat cherche exploitation gt Canton de Thury et alentours JH cherche 15 ha minimum pour s instal ler en soci t Terres porteuses de lait herbages et labours Possibilit de reprise d un
11. t transmis aux agricul teurs de la commune ayant leur si ge ou non sur Saint Aubin sur Mer afin de recueillir des informations telles que leur statut leur ge le type de cultures etc Une r union de travail a galement t organis e afin de r unir les agri culteurs et les lus communaux dans le but de localiser les si ges de chacun les b timents les terres de chaque participant et d analyser les probl matiques li es aux d placements sur la commune Cette r union a mobilis au total 4 agriculteurs et 6 questionnaires ont t r col t s Ainsi l tude a permis de mettre en avant la structure majoritairement c r ali re de l agri culture locale et de cartographier les terres forts enjeux celles situ es proximit des corps de ferme existants celles pouvant poten tiellement accueillir des plans d pandage Ces l ments devront donc tre int gr s dans la r flexion communale lors de la r daction du Projet d Am nagement et de D veloppement Durable PADD Maud Quetelet Renon T l 02 31 70 25 42 m quetelet renon calvados chambagri fr BOCAGE T l 02 31 68 11 16 Fourrages D sileuse automotrice en CUMA et de 3 Apr s une premi re d sileuse automotrice achet e en CUMA dans le Pays d Auge en 2008 c est au tour de la CUMA du Mesnil dans le Bocage et la de la CUMA du Laizon dans le secteur de Falaise de se lancer dans l aventure Le 7 janvier 2011 la d
12. 1 53 55 03 b lebrun calvados chambagri fr Tout savoir sur la transformation et la vente la ferme Le 10 mai 2011 Nous vous proposons de d couvrir quatre ateliers de transformation de valorisation et de vente de produits la ferme Avec la participation du Conseil G n ral Contact Jean Claude Delange T l 02 31 70 25 55 Le mardi 7 juin de 10h 17h Saon Journ e d information pour tout savoir sur l adaptation des pratiques agricoles pour mieux produire demain Ateliers exp rimentation d monstration de mat riels Contact S Berzinger T l 02 31 51 66 51 Foire gourmande de Lisieux Pays d Auge Du 25 au 27 mars 2011 Lisieux Parc des expositions Espace gourmand regroupant de nombreux producteurs du terroir d monstrations culinaires ateliers gastrono miques concours d animaux Contact C dric Tribolet T l 02 31 31 87 65 Festival des AOC Les 30 avril et 1 mai 2011 Cambremer L invit d honneur sera la r gion Midi Pyr n es Le th me des journ es professionnelles l Union europ enne et la politique de qualit des produits agricoles Contact C dric Tribolet T l 02 31 31 87 65 Le b uf en f te Le dimanche 15 mai Maltot 12 m dition de cette manifestation qui chaque ann e fait se rencontrer le Grand Public et les acteurs de l Agri culture leveurs et producteurs de c r ales Contact G Laignel T l 02 31 26 94 98 Festival de l E
13. Lettre d information mensuelle de la Chambre d Agriculture du Calvados Mars 2011 N 223 Installation transmission LE GE EUIRE D PART R il I TAL I LATION B6 ET 7 a RESTAURATION CONECTE N l EEE EEE Ti ss BR mme _ ZMO DEP EM 3 Dnm D mE Em E LETTRE 4 Listnns h bikia iii DACGRICULTURE W Directeur de la publication Michel Legrand B R dacteur en chef Philippe Le Panse W Maquette Jacques Venisse WE D p t l gal parution ISSN 1145 1270 E Si ge social Chambre d Agriculture du Calvados 6 promenade Madame de S vign 14050 Caen cedex 4 BK T l phone 02 31 70 25 25 E Fax 02 31 70 25 70 W Web Agri 14 www webagril4 com E communication calvados chambagri fr MK Imprimerie Anquetil WE J ai toujours affirm ne pas tre oppos la contractualisation si elle s inscrivait dans un partenariat gagnant comme c tait pr vu dans l esprit louable de la Loi de Modernisa tion de l Agriculture En effet le ministre de l Agriculture souhai tant redonner de la lisibilit une profession en pleine tourmente apr s plusieurs ann es de crise avait affirm que ces contrats permet traient aux leveurs d inscrire un volume un prix et donc un revenu La contractualisation ayant galement pour objectif de renforcer le pouvoir de n gociation des producteurs afin de r tablir un juste q
14. N T l 02 31 51 66 33 Agriculture et territoires S appuyer sur un diagnostic agricole Le d partement du Calvados est un d parte ment o la place de l agriculture occupe une majeure partie du territoire en terme d espace et galement au regard du nombre d emplois qu elle g n re Ainsi la prise en compte des particularit s de l activit agricole en pr alable la mise en uvre de projet d am nagement ou des outils de planification est un l ment essentiel pour le maintien du dynamisme de l agriculture La r alisation d un diagnostic agricole est importante pour prendre en consid ration l activit agricole au sein de documents pros pectifs comme les Plans Locaux d Urbanisme ou Cartes Communales C est la raison pour laquelle la Chambre d Agriculture propose aux collectivit s qui laborent ou r visent leur document d urbanisme la r alisation d une tude pr alable Cet outil d aide la d cision vise r aliser un tat des lieux de l espace agricole et des projets des agriculteurs Cette analyse aboutit l identification des principaux enjeux agricoles du territoire Dans le but d avoir une meilleure lisibilit de l activit agricole sur son territoire et de renforcer son Projet d Am nagement et de D veloppement Durable la commune de Sant Aubin Sur Mer s est engag e dans une d marche de diagnostic agricole pilot e par la Chambre Agriculture Un questionnaire a
15. TE AVEC LA PROTECTION L unit B timents Etudes d impact de la Chambre d Agriculture du Calvados vous accompagne dans vos d marches r glementaires en relation avec vos projets ans le cadre de projets de d veloppe D ment de construction de b timent ou de cr ation d une nouvelle activit d levage l exploitant est dans l obligation suivant l importance de l atelier de d clarer ou de demander une autorisation aupr s des services de la Pr fecture concernant son Instal lation Class e pour la Protection de l Environ nement ICPE Des d marches diff rentes selon la taille de l exploitation En fonction du type d animaux et des effec tifs l exploitation peut tre amen e r aliser et d poser une d claration ou une demande d autorisation d Installation Class e pour la Protection de l Environnement noter que la r glementation est en perp tuelle volu tion janvier 2011 d cret pr cisant le carac t re notable ou non des volutions courant 2011 volution des seuils d installations class es Ces d marches sont r aliser d s lors qu il y a augmentation des effectifs d animaux cr ation d un nouveau b timent modifications des b timents d levage chan gement des modes d exploitation diminution ou augmentation du plan d pandage ETC La demande d autorisation d Installation Class e pour la Protection de l Environnement La de
16. ables de restauration collective comme un frein important un approvisionnement local de qualit Celui ci ne repr sente que 18 du co t total moyen d un repas servi Le surco t mati re ventuel n augmente que peu le co t global du repas Des marges de man uvre existent sur les autres postes de charges il faut raisonner co t de revient l assiette pour ma triser le co t mati re et favoriser ainsi l achat de produits alimentaires locaux gt Initier l approvisionnement local une chelle de test Modifier les pratiques d approvisionnement et l organisation des cuisines n est pas simple accepter que la d marche soit mise en place progressivement en prenant le temps est un gage de r ussite gt Travailler avec la restauration collective le plan alimentaire et les menus De mani re compl mentaire l identification de l offre et au rep rage de sa disponibilit saisonni re il est indispensable que la restauration collective formalise ses besoins annuels produits demand s caract ristiques quantit s et p riodes d in aurs troduction programmation des achats pour les faire conna tre aux producteurs locaux rnes Etat Le plan alimentaire est un outil utile pour s curiser un march dans la mesure o il permet de quantifier collectivit s globalement les besoins anticiper les achats raisonner l introduction des produits selon leur disponi N bilit saisonni re programmer les menus l ava
17. aible niveau g n tique avec un r gime haut niveau d intrants soit une conomie possible d 1 tonne de concentr par vache laiti re et par an en Prim Holstein comme en Normande vu la ferme exp rimentale du Pin au Haras V ma triser les quantit s r aliser des pes es ajuster selon les niveaux de production V trouver le bon quilibre des rations pour bien valoriser les concentr s distribu s Et une r flexion sur la conduite du troupeau s impose si je baisse mon niveau de concen tr quelle r percussion sur ma production lai ti re les effectifs etc niveau de production quasi gale les consommations d aliments varient de 1 2 5 Par exemple pour une pro duction de 8 000 litres VL an un levage uti lise 130 g de concentr litre alors qu un autre monte 320 g litre David Delbecque T l 02 31 68 11 67 d delbecque calvados chambazgri fr Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 8 CALVADOS p K y AGRIGULTURE BIOLOGIQUE LAIT BIO CHOS DU CALVADOS Diversit des besoins en lait bio selon les transformateurs cr ation d asso ciations de producteurs par laiterie gratuit du diagnostic de conversion lancement de l op ration Reine Mathilde sont les principales nouvelles pr s 2 ann es d effervescence dans le rythme des conversions en lait bio le calme semble revenir Pourquoi ce coup de frein sur les conversions alors que la consommation
18. aies d un seul c t 0 19 ml an Entretien de haies des 2 c t s 0 34 ml an Gestion extensive des prairies avec fertilisation limit e 197 ha an Gestion extensive des prairies sans fertilisation 261 ha an europ en sur le site Natura 2000 Gestion des pelouses Nard et pelouses maigres de fauche Vall e de l Orne et ses affluents uniquement Restauration des pelouses en cours d enfrichement d un entretien r gulier De nouveaux contrats peuvent tre souscrits puisque les surfaces agri coles sur la vall e de l Orne repr sentent envi ron 800 hectares En plus du site Natura 2000 Vall e de l Orne et affluents des Mesures Agro Environne mentales Territorialis es sont propos es sur le Bassin de la Souleuvre et le Bassin de la Druance Le CPIE des Collines normandes est op rateur pour chacun de ces sites Natura 2000 du Calvados Les d marches de contractualisation sont assez simples et sont accompagn es par le CPIE des Collines normandes en coop ration avec la Chambre d Agriculture La date limite Race normande de d p t des dossiers est le 16 mai avec le dossier PAC Le descriptif de chacune des mesures ainsi qu une cartographie des zones concern es sont accessibles sur les sites inter net d di s chacun des sites adresse mail ci dessous Pour tout renseignement sur le Bassin de la Souleuvre conta
19. augmente Les r ponses sont diversifi es Tout d abord toutes les laiteries ne s inscrivent pas dans cette dynamique cer taines veulent plus de lait bio et affichent des incita tions fortes mais elles ne trouvent pas les candidats dans leurs rangs C est le cas de Danone D autres laite T4 vi H res ne prospectent pas mais prendraient des producteurs en conversion surtout si ces nouveaux ratio nalisent leur circuit de collecte Coop rative d Isigny Triballat Ces m mes disent avoir besoin de conna tre au terme des 2 ann es de conversion n cessaires sur les exploitations quel sera l accueil r serv ces nouveaux volumes arrivant sur le march en 2011 et 2012 pour ne pas reproduire la crise de 2003 Globalement les exploitations bio ont b n fici en 2009 2010 d une bonne conjoncture avec un prix moyen du lait bio observ dans les 8 fermes du R seau Lait de 443 1000 litres Les producteurs bio ont mont des associa tions par laiterie Ces associations veulent devenir un lieu de discussion du prix du lait bio et des futurs contrats Cr dit d imp t formation Vous tes chef d entreprise et au b n fice lt r el d imposition vous pouvez b n ficier de ce cr dit d imp t Son montant est gal au nombre d heures de formation multipli par le taux horaire du SMIC soit au 1er jan lt vier 2011 9 00 heure Par exemple pour 14 heures soit 2 jours
20. cter Marie Deville 02 33 96 69 94 m deville cpie61 fr Site internet http souleuvre n2000 fr Pour tout renseignement sur le Bassin de la Druance et Vall e de l Orne et ses affluents contacter Aurore DUVAL 02 33 96 69 92 aduval cpie6l fr Site internet http druance n2000 fr DEUX VISITES D LEVAGE EN MAYENNE Elles auront lieu le jeudi 7 avril Au programme l exploitation de Albert Johan Larchamp avec un troupeau 86 points de morphologie et plus de 9 000 kg suivi de la visite du GAEC de la Rousselaie Couesmes Vauc Particularit gestion d un grand troupeau de 130 vaches laiti res en paill sur le principe des logettes avec roto A noter les principales manifestations d levage en race normande V 26 27 MAIS concours d arrondissement dans le cadre de la foire de Lisieux J 15 MA B uf en f te Maltot V 18 et 19 juin concours r gional Briouze 61 27 AO T nn concours d arrondissement de Vire 23 24 25 septembre concours d partemental durant la foire de Caen Contact Marie Laure Leroutier au 02 31 51 66 38 CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS VENT DE R FORME SUR LE SECTEUR LAITIER La suppression des quotas laitiers est programm e en avril 2015 Cette d cision a t prise un niveau europ en par les ministres de l agriculture des Etats membres en 2003 La Loi de Moderni sation de l Agriculture et de la P che impose la contractualisati
21. de plusieurs races locales dispose de deux haras nationaux d un p le national de comp titivit reconnu et affiche une pr sence remarquable sur les diff rents terrains de comp tition Toutes ces caract ristiques conf rent la fili re quine r gionale un poids cons quent tant sur le plan conomique que sur le plan du territoire Depuis plus de 20 ans les Chambres d Agri culture normandes se sont investies pour partie dans l accompagnement des acteurs de la fili re notamment via l laboration et la publication de r f rences le conseil li la conception de b timents l alimentation la gestion du p turage l installation et la mise en uvre de projets l assistance aux d marches administratives comme au Centre de Forma lit s des Entreprises ou l appui aux ma tres d apprentissage D s f vrier 2011 les Chambres d Agriculture normandes d veloppent leur offre de services et mettent votre disposition un conseiller sp cialis fort d une exp rience de 17 ans Un projet Une pr occupation Nous vous invi tons le solliciter Il interviendra en particulier pour tout accom pagnement de projet information r f rences technico conomiques et tudes de faisabilit appui r glementaire PAC conditionnalit outils cartographiques conseil sp cialis en lien avec les diff rentes comp tences exis tantes au sein du r seau des Chambres ali mentation et syst mes f
22. e partie du mat riel et de cheptel Etudie toute proposition gt Pays d Auge Couple cherche structure laiti re aux normes pour se r installer Id al serait 450 000 de quota SAU environ 80 100 ha dont 30 labours Dispose d apports suite cession de leur exploitation gt Calvados JH cherche une exploitation en VA BV pour son installation Possibilit achat du corps de ferme cheptel mat riel Terres en location Candidat form et exp ri ment s rieux E Contactez milie Legros au 02 31 31 87 64 si vous vous installez dans la Plaine ou le Pays d Auge ou Denis Decaen au 02 31 51 66 35 si vous vous installez dans le Bessin ou le Bocage PAC 2011 UN POINT DE VOCABULAIRE chaque r forme de la PAC ses change ments de r gles et son vocabulaire sp ci fique Ainsi certains termes importants jusqu ici n ont plus lieu d tre tandis que d autres deviennent essentiels Terres primables oublier On parlait de terres primables pour d signer les hectares qui pouvaient b n ficier des aides coupl es Cela concernait toutes les surfaces en labours et en gel sur la d clara tion PAC de 2003 Ces aides coupl es ont t supprim es en 2010 Par cons quent l expression hectares primables n a plus de signification gt Terres admissibles retenir On dit qu un hectare est admissible quand il peut recevoir un DPU taient alors concern es les surfaces en cul
23. e pr fet de la plus grosse r gion laiti re cette conf rence se r unira au moins 3 fois par an et sera compos e de 14 professionnels ayant droit de vote 6 produc teurs 3 coop ratives 3 industriels 1 consommateur 1 distribution et de 14 personnes publiques ne votant pas les pr fets de r gions des collectivit s territoriales des services d concentr s des d partements un ou des pr sidents des Chambres d agriculture ou leurs repr sentants Son r le sera de d finir les cat gories de producteurs prioritaires d arr ter les attributions de quotas de mettre en oeuvre les aides la cessation ACAL les rachats de quotas sans terre TSST et de d finir le taux d allocations provisoires autoris avec un plafond national NB Il est prudent de ne pas proc der la signature des contrats avant une concertation collec tive laquelle n est pas possible actuellement le cadre juridique n tant pas stabilis Julien Daurios T l 02 31 53 55 05 j daurios calvados chambagri fr D apr s les travaux du Groupe Eco Prospective des Chambres d Agriculture normandes CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS Fili re quine Une comp tence nouvelle au service des leveur Avec plus de 100 000 quid s et plus de 11 000 emplois la Normandie est la premi re r gion d levage de chevaux en France 1 exploitation sur 5 d tient des quid s Terre prestigieuse d levage la Normandie est le berceau
24. eillers installa tion transmission de la Chambre d Agriculture bas s sur votre secteur pour en discuter RECUL DU NOMBRE D INSTALLATIONS EN 2010 Les effets de la crise laiti re se r percutent sur le nombre d installations 63 installations aid es en 2010 le nombre le plus faible depuis cinq ans L ge moyen l installation est de 28 8 ans Un quart des jeunes install s sont des femmes Les candidats sont plut t mieux form s 30 de BTS et 25 en 2009 partir de 2011 les candi dats l installation seront tous titulaires au moins d un dipl me de niveau 4 Bac pro BPREA L installation soci taire est en retrait 46 d installations individuelles en 2010 30 en 2009 Deux raisons peuvent tre invoqu es le recul des projets d installation en levage plus propices aux projets d association et les difficult s rencontr es par les soci t s existantes Un net recul de l installation en production laiti re Le fait le plus significatif est incontestablement le recul de l installation en production lai ti re seulement 27 installations contre 49 en 2009 soit un nombre de projets en recul de 45 On note galement la multiplication des projets mara chers 7 installations toutes en vente directe et majoritairement en mode biologique En deux ans 11 jeunes se sont install s en mara chage 80 ont cr leur activit Il faudra observer attentivement ce d veloppement l offre devra rester
25. faite remise ou adress e au greffe La saisine faite par d claration aupr s du greffe devra contenir les m mes indica tions que celles qui taient demand es dans la lettre recommand e Les informations obligatoires indiquer sont d finies l ar ticle 58 du code de proc dure civile pour un demandeur personne physique nom pr nom date et lieu de naissance domicile profession et nationalit pour un demandeur personne morale d no mination forme juridique si ge social et nom de l organe ayant le pouvoir de repr Energies indirectes en levage laitier DE 75 G 316 G DE CONCENTR S POUR PRODUIRE UN LITRE DE LAIT L aliment achet contribue la consom ai re opi mation d nergie sr Et ans les levages r z T 7 ae 4 w gaa au r z Avec l engrais c est la principale source d nergie indirecte Dans les groupes d changes lait du Bocage 32 exploitations l tude des performances tech nico conomiques confirme la grande variation des quantit s de concentr De nombreux fac teurs peuvent expliquer ces chiffres niveau de production pratiques d levage structure d ex i i ploitation g n tique type de concentr s L analyse des co ts alimentaires indique une relation troite avec les quantit s de concen tr s raison de plus pour y r fl chir en p riode de prix lev des aliments Les points creu ser sont v la quali
26. groalimentaire Sur le territoire de la Communaut de communes du Pays de l Orbiquet la Chambre Agriculture du Calvados a recens l offre potentielle de pro duits alimentaires laquelle a t consign e dans un registre d taill la disposition de la restauration collective D autres initiatives peuvent tre enga g es pour d terminer l offre dispo Act Exte Agriculteur Producteurs Transformateurs Restau Consommaleur se lourne de nible telles que des rencontres entre colle i acheteurs restauration collective et een 5 plus en plus vers des produits fournisseurs producteurs locaux indi Re Soci hospitali re restau authentiques attach s au terroir profitons de cette tendance pour viduels ou groupement Acheteurs d velopper les circuits courts Grossistes chelle du d partement S assurer de la qualit E des produits S approvisionner en dehors des circuits traditionnels d approvisionnement de la restauration collective et se tourner vers des producteurs locaux va exiger des restaurants de reconna tre et de s assurer de la qualit des produits propos s ou achet s modes de production et de fabrication signes de qualit s curit sanitaire Au m me titre que la restauration collective les producteurs locaux doivent r pondre galement certaines exigences gt R diger un cahier des charges qualit des produits alimentaire
27. ibu en p riode hivernale des rations compos es de 2 ou 3 fourrages diff rents De plus avec le syst me de pes e sur la machine la proportion de chaque composant de la ration et les quantit s distribu es aux animaux sont tr s pr cises Pour les exploi tations qui passent d un syst me de distribu tion classique une ration m lang e un des objectifs peut tre galement de voir la pro ductivit des animaux augmenter Avec un tel quipement les leveurs vont tre en mesure d ajuster leur syst me fourrager afin de produire un maximum de lait par les fourrages introduction d ensilage d herbe l gumineuse betterave m teil fibre Face l envol e du prix des mati res premi res cette nouvelle organisation devrait nous per mettre de contenir les co ts alimentaires Il a t n cessaire dans certaines exploitations de r aliser quelques am nagements b timents afin de permettre une bonne circulation du mat riel Il faut aussi penser la panne et donc la solu tion mettre en uvre Certaines exploitations vont pour l instant garder une vieille d sileuse amortie Si une autre CUMA d silage se met en place dans le secteur 1l sera facile de jouer la solidarit entre les groupes Antoine Herman T l 02 31 68 65 71 a herman calvados chambagri fr Rencontre circuits courts et de proximit En lien avec le Pays du Bessin au Virois la Chambre d Agriculture du
28. la troisi me g n ration qui est aux commandes La SICA COPAFELC regroupe environ 20 producteurs de pomme de terre et oignons de la Plaine A l origine la coop rative avait pour mission dans les ann es 1960 le conditionne CHAMBRE D AGRICULTURE CALVADOS ment et la commercialisation des productions l gumi res de plein champ de ses adh rents C est toujours sa mission premi re Actuelle ment plus de 6 000 tonnes d oignon et 5 000 tonnes de pommes de terre sont commerciali s es par an L ensemble de la production b n ficie du suivi de la Chambre d Agriculture du Calvados De nombreux essais conduits par Val rie PATOUX et St phane LOISEAU sont orient s sur le choix des vari t s et les conduites conomes en intrants et phytosanitaires et le respect des cahiers des charges nationaux Les pommes de terre sont produites suivant le cahier des charges de la norme AFNOR de Pro duction Raisonn e de pomme de terre et les cultures d oignons sont conduites suivant une charte qualit d finie suivant le code national des Bonnes Pratiques Agricoles Chaque ann e le Conseil d Administration provisionne des investissements hauteur de 100 000 dans un objectif de maintenir les performances tech nique et commerciale de la coop rative Apr s une derni re campagne difficile en pomme de terre ces deux productions l gu mi res b n ficient de l envol des mati res pre mi res agricoles La co
29. laire conduite des fourrages p tu rage cultures sant du troupeau ali mentation tous les postes de votre exploitation sont expertis s e l issue du RDV nous vous remettons un bilan complet et objectif vous connaissez votre potentiel d exploitation pour passer en Bio e vous avez toutes les cl s pour donner librement suite ou non votre projet Ce service fait l objet d un soutien finan cier int gral dans le cadre de l op ration Reine Mathilde II est donc enti rement gratuit pour les leveurs laitiers attention nombre de prestations gratuites limit Contact Thierry M tivier au 02 31 51 66 32 dispens es par les centres habilit s a t fix e au 15 juin 2011 partir de fin mai les formations red marrent avec des sessions pr s de chez vous H rouville Creully Falaise Bayeux Vire e 08 06 et 15 06 e 31 05 et 07 06 e 25 03 et 01 04 e 01 06 et 08 06 e 10 06 et 14 06 Bayeux H rouville St Clair Inscrivez vous vite aupr s de V ronique Hardoin au 02 31 70 25 33 Une formation est galement pr vue pour les horti culteurs et p pini ristes les 10 06 et 15 06 Contact Vincent Calvarin au 02 31 47 22 10 Co t pris int gralement en charge par VIVEA et les fonds europ ens du FEADER Pour tout rensei gnement compl mentaire vous pouvez galement contacter Dominique Larralde au 06 73 86 36 82 Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 9 BESSI
30. levage Le samedi 21 mai de 10h 18h au Centre Equestre de Vire Calvados Terre d Elevage se d roulera avec les concours de bovins des races Prim Holstein Blonde d Aquitaine et Contact Thierry Chanu T l 02 31 68 50 16 Vall e de l Orne et ses affluents La d marche engag e par Natura 2000 est encore difficile cerner Comme le confirme Pierre Brisset agriculteur et maire de la commune du Vey il y avait une certaine r ticence de la part du monde agricole lors de la mise en place du site Natura 2000 sur la Vall e de l Orne Les r unions de concertation et d information ont permis une meilleure compr hension du projet Depuis 2009 les agriculteurs de la vall e de l Orne peuvent s impliquer au travers des Mesures Agro Environnementales Territoria lis es MAET Il s agit d un contrat agricole d une dur e de 5 ans qui permet d obtenir une contrepartie financi re venant de l Etat et de l Europe pour la mise en place de pratiques plus respectueuses de l environnement C est ainsi que Pierre Brisset a engag une tren taine d hectares de son exploitation travers deux mesures de gestion extensive des prairies limi tation ou suppression de la fertilisation Menant son exploitation de mani re raisonn e depuis son installation il y a une vingtaine d ann es les adaptations li es au cahier des charges des MAET n ont pas t trop contraignantes pour lui Il faut
31. mande d autorisation est une d marche longue onze mois minimum partir du d p t de dossier et complexe Signalons que cette d marche implique une enqu te publique Tableau des seuils d ICPE en vigueur au 1 f vrier 2011 7 R glement sanitaire Installation Class e Installation Class e Rubrique Type d levage re on ot d partemental soumise d claration soumise autorisation DD ER a o 0 49 50 100 101 troupeau mixte 2101 3 Vaches allaitantes 0 99 100 Non concern 2101 1 Bovins viande 0 49 50 400 401 2102 Elevages porcins 0 49 50 450 451 2111 ten 0 4 999 5 000 3 0000 30 000 volailles 2120 Elevage de chiens 0 9 10 50 51 partir d un certain seuil l exploitation est soumise au contr le p riodique les animaux sont comptabilis s en quivalents animaux y Dossier de d claration y Demande d autorisation Arr t compl mentaire Le dossier de demande d autorisation en tant que tel comprend les plans d ensemble de l ins tallation l tude d impact l tude des dangers et la notice d hygi ne et s curit du personnel le plan d pandage l tude agrop dologique des sols pr vus pour l pandage et une valua tion des incidences Natura 2000 La Chambre d Agriculture vous accompagne Nous vous proposons de r aliser le dossier de demande d autorisa tion conforme aux exigences r glementai
32. nce et laborer des calendriers de besoins achats gt Tenir compte de la saisonnalit pour certains produits bruts Tenir compte de la saisonnalit des produits permet de respecter les cycles naturels de produc Organisation tion et de r colte de limiter les consommations d nergie et d intrants et les transports et professionnelles favorise les possibilit s de r pondre un march donn pour des entreprises de proximit et les producteurs locaux gt D finir ensemble de nouvelles modalit s de livraison et de stockage gt Impliquer les cuisiniers dans la d marche d approvisionnement local gt Participer la sensibilisation des consommateurs Il est indispensable d accompagner les convives sur la d marche d introduction des produits locaux et de qualit dans la restauration collective gt Travailler la r daction et l organisation des march s publics La r daction et l organisation d un march public de produits alimentaires ne peuvent pas tre faites uniquement par un responsable des march s publics de la collectivit qui est le plus souvent un juriste 1l doit imp rativement travailler conjointement avec un res ponsable des achats alimentaires ou un intendant un gestionnaire un nutritionniste charg de l quilibre des menus un cuisimier des fili res locales et les institutions professionnelles telles que la Chambre d agriculture du Calvados en lien direct avec les producteurs l
33. ocaux ration Ctif Associations t de ration Parents d l ves Interm diaires L L Q Q Q Q Passer d un approvisionnement marginal un approvisionnement significatif La d marche d approvisionnement local r ussie et significative en volumes rassemble tous les acteurs locaux concern s de l lu l enfant du responsable juridique des achats aux parents d l ves des cuisiniers aux gestionnaires jusqu aux producteurs locaux VA L implication se doit d tre collective partag e par tous Il s agit bien d un projet de territoire une dynamique locale dont le r le est de parti ciper au d veloppement de l conomie locale Les lus les producteurs les ventuels interm diaires les groupements de producteurs sont tous partenaires dans une telle d marche ils doivent interagir entre eux et s organiser en r seaux pour garantir la p rennit du projet La d marche d approvisionnement local en restauration collective demande un investissement tr s important en temps en nergie en r flexion en remises en cause Du temps aussi pour m rir avant d agir d essayer petite chelle puis de travailler en mode projet pour d velopper plus Significativement ses approvisionnements locaux et ainsi offrir une plus value l agriculture du territoire La Chambre d Agriculture du Calvados propose aux collectivit s de r fl chir conjointement la cr ation d
34. on des co ts Ce travail a t men sur les 8 bassins versants la ville de Lisieux souhaitant une d marche globale avec une participation volontaire forte des acteurs locaux Il en mane un probl me ancien de concentrations au del de la limite r glementaire en atrazine dans les eaux du captage de Bourguignolles et d s thyl atra zine dans celles des captages Bourguignolles et Rouges Fontaines l atrazine est interdit d utilisation depuis 2003 mais peut encore se retrouver dans l eau de m me que son produit de d gradation le d s thyl atrazine Pour ce qui est de l azote les concentrations en nitrates sont relativement loign es de la limite r glementaire des 50 mg l avec des moyennes avoisinant les 20 mg l noter que les eaux d un captage affichent 0 mg l Les propositions agricoles pour maintenir le bon niveau de qualit de l eau hors reliquats d atrazine et d s thyl atrazine seront discut es prochainement avec les agriculteurs concern s Beno t Kerhornou T l 02 31 70 25 61 C dric Tribolet T l 02 31 31 87 65 Foire gourmande de Lisieux La Chambre d agriculture s installe Les 25 26 et 27 mars 2011 la Chambre d agriculture du Calvados et les pro ducteurs du Pays d Auge auront le plaisir de vont accueillir dans l espace terroir de la foire Nous vous proposerons anima tions d gustations et vente de produits du terroir i Par ailleurs l occasion
35. on et la cr ation de bassins laitiers en France Les modalit s de fonctionnement de la fili re laiti re vont en cons quence tre modifi es Le contrat s impose par la loi dans la fili re laiti re La loi de modernisation de l agriculture et de la P che vot e en 2010 se met en uvre par d cret Trois concernent le secteur laitier Un d cret paru le 31 d cembre 2010 rendant obligatoire les contrats pour le secteur lai tier mentionnant au moins les points ci dessous 1 avril 2011 pour les laiteries non coop ratives avec une exception pour les coop ratives Date de mis en oeuvre ne qui devront adapter leur r glement int rieur au d cret avant le 1 juillet 2011 Dur e 5 ans minimum 12 mois de pr avis Collecte Conditions d acc s fr quence de collecte chantillonnage et qualit Fix pour 12 mois voire par sous p riode d un mois en r f rence au quota individuel jusqu Volume M A en la fin des quotas en 2015 Indication des ajustements possibles la hausse ou la baisse R oles Indication des r gles applicables en cas d passement ou de sous r alisation ou bien si l acheteur ne respecte pas ses engagements d achat Prix Description d taill e des crit res de fixation du prix de base en r f rence aux accords interprofessionnels ou tout autres indicateurs Modalit facturation et Modalit s de facturation par l agriculteur de paiement par l acheteur et d
36. op rative est sur un march porteur actuel lement En plus de ses d bouch s aupr s de trois grandes enseignes de la distribution la Sica copa elc d veloppe un march porteur vers les DOMTOM Ce march repr sente plus de 25 de la production de la coop rative La demande en vari t s d oignons rouge est en augmentation Avec la Chambre d Agriculture un travail est men sur la sensibilit la germination des vari t s d oignons Comme le souligne Nicolas Marie les produits ont subir des variations thermiques allant de 4 30 apr s 3 semaines de mer Devant ces march s porteurs la SICA COPA FELC est la recherche de nouveaux pro ducteurs Depuis l automne trois nouveaux producteurs ont rejoint la coop rative Ils b n ficient de l appui et l encadrement de la Coop rative et de la Chambre Agriculture L objectif affich est de passer rapidement 13 000 tonnes de pommes de terre et oignons com mercialis es par an afin de r pondre au march Dominique Larralde T l 02 31 53 55 01 d larralde calvados chambagri fr Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 11 SERVICES SERVICES SERVICES SERVICES SERVICES SERVICES SERVICES FAIT CHAMBRE C AGRICULTURE i j5 PE Ps al LLI H Fs Lu LLEN iL a i i i We i P i fl i J F I ES APPEL i DE ENVIRONNEMENT LA GHAMBRE POUR Hilh D IMPACT POUR UN PROJET AGRICOLE EN CONFORMI
37. ourragers agronomie et fumure conseil b timents formation Votre contact Fr d ric Busnel T l 02 33 31 49 72 Chambr Agri 14 n 223 Mars 2011 page 5 S N MANGER LOCAL b approvisionnement de la restauration collective en produits locaux de qualit constitue un moyen essentiel pour promouvoir les produits alimentaires et maintenir voire d velopper l activit de nos producteurs locaux Le Calvados se caract rise par la diversit de son agriculture et de ses productions Encourager un autre mode de distribution c est p renniser l agriculture du territoire et en particulier les exploitations agricoles taille humaine Aujourd hui le 21 RESTAURATION COLLECTIVE er 5 i Conna tre l offre locale un pr alable incontournable la mise en uvre effective d un approvisionnement local Bien conna tre l offre suppose de recenser les gammes et produits disponibles les grammages et conditionnements les quantit s les qualit s les p riodes de disponibilit les prix les four nisseurs et leurs circuits de distribution groupements de producteurs plates formes inter m diaires possibles Ces circuits logistiques sont souvent d terminants pour permettre des entreprises locales aux producteurs de r pondre une offre ou non et de se faire conna tre aupr s de la restauration col lective souvent d connect e des r alit s de l agriculture et de la
38. rche d une structure La d marche est simple et volontaire C t candidat Rencontre du candidat et du conseiller Installation Transmission Discus sion sur le projet d installation C t c dant Visite de l exploitation agri cole en vue de d terminer les conditions de la reprise et d valuer les potentialit s vis vis d une installation V Les mises en relation sont effectu es apr s rapprochement des souhaits de chacun Au del des mises en relation les c dants et can didats sont accompagn s dans leurs d marches jusqu la transmission proc dures administra tives dossiers d aide la transmission contrat de parrainage parcours l installation Il est important de noter que la d marche RDI n est pas exclusive et n implique pas d obligation de transmission le c dant choi sit de conclure ou non avec les candidats propos s re L encouragement des exploitants Sans successeur s inscrire au r pertoire est une action ins crite au programme PIDIL qui peut b n ficier d une aide financi re Cette aide peut varier de 1 500 3 000 selon la date laquelle le c dant s est ins crit Le c dant peut galement b n ficier d autres aides prime la location des b timents ou de la maison d habitation prime la location des terres s il est propri taire Si vous tes int ress par cette d marche n h sitez pas contacter les cons
39. res d assurer le suivi du dossier tout au long de la proc dure administrative l acc s une quipe pluridisciplinaire juriste conseillers b timents environnement d en treprise agronome cartographie en rela tion avec les r seaux nationaux Pour tout projet ou toute volution n h sitez pas prendre contact avec l unit B timents Etudes d impact de la Chambre d Agricul ture Vous serez ainsi en mesure d valuer l importance de votre projet et les d marches r glementaires pr voir En termes de tarif le montant de la prestation d pend de l impor tance du projet surface du plan d pandage l issue d une rencontre pr alable un devis vous est transmis Sylvain Kientz T l 02 31 70 25 55 s kientz calvados chambazgri fr L AGRICULTURE UNE BELLE ENTREPRISE POUR EA NORMANDIE
40. s de la fili re lait producteurs et transformateurs priv s ou coop ratives A t elle encore assez de poids Son fonctionnement est il revoir Face tant d incertitudes les leveurs ne doivent pas signer de contrat individuel il n y a aucune obligation signer au 1 avril 2011 Par contre ils doivent se r unir au sein d une organisation collective pourquoi pas un Office du lait proposition de la Coordi nation rurale et de l Apli o l on place les producteurs au centre des d bats On y parle d une gestion des volumes en concertation avec les autres pays de l Union Europ enne volumes qui resteraient propri t des pro ducteurs on y parle de co ts de production de prix de revenu pour les producteurs Au sein de cet Office serait r uni l ensemble des producteurs avec une seule volont la solidarit entre leveurs afin d obtenir une juste r mun ration R mun ration devenue urgente si notre Normandie veut garder son potentiel laitier Michel Legrand Pr sident Installation transmission LE R PERTOIRE D PART INSTALLATION Le R pertoire D part Installation RDI est un outil d aide la transmission des exploitations qui n ont pas de preneur dans un cadre familial Cet outil est destin aux c dants sans repreneur ou aux soci t s qui recherchent de futurs col laborateurs remplacement ou d veloppement d activit ainsi qu aux candidats l installa tion en reche
41. s locaux La restauration collective est tenue entre autres de garantir aux consommateurs la qualit des approvisionnements et des repas dans le respect de la r glementation paquet hygi ne en particulier Elle doit avoir une bonne lisibilit de l offre notamment sur le plan de la qualit gt Elaborer des fiches techniques pr cises des produits alimentaires disponibles qualit composition origine condition de production pratiques gt Organiser des rencontres entre producteurs et restauration collective en amont de la d marche et tester les produits C dric Tribolet T l 02 31 31 87 65 J c tribolet calvados chambagri fr Distributeurs CHAMBRE CALVADOS Inciter la restauration collective s engager et s adapter Il serait illusoire de croire que s approvisionner en produits locaux dans une logique de qualit peut se faire sans modifier l organisation et le fonctionnement du restaurant En effet la d marche d approvisionnement local en restauration collective bouscule les sch mas d organisation habituels depuis la r daction des march s publics jusqu la pr paration et au service des repas tout en modifiant galement la conception des menus les livraisons et le stockage Pour ce faire nous proposons d appr hender les points suivants gt Relativiser le co t mati re li l approvisionnement local Le surco t mati re est g n ralement per u par les respons
42. t des fourrages qui permet de limiter la compl mentation production gale V profiter de la p riode p turage V r duire le concentr type production en fin de lactation les enjeux sont pass s et l tat d en graissement reste le crit re suivre avec un objectif de note 3 au v lage Apr s la f con Comment vous situez vous analyse faite sur 32 levages du Bocage Moyenne Mini 1 480 kg pour 7 450 kg pour 5 922 747 litres 7 VL litres 7 VL 188 g 7150 SIE 24 98 81 51 CHAMBRE sentation l gale les nom pr nom domicile de la personne contre laquelle l action est form e ou en cas de personne morale la d nomination et adresse du si ge social l objet de la demande Le d cret du 1 octobre pr voit aussi que la mission de conciliation d volue au tribunal paritaire des baux ruraux peut tre d l gu e avec l accord des parties un conciliateur de justice d sign cet effet La liste des modifications pr sent es n est pas exhaustive Toutes ces nouveaut s sont appli cables depuis le 1er d cembre 2010 C line Dureuil T l 02 31 70 25 43 c dureuil calvados chambagri fr dation le niveau alimentaire peut tre r duit am liorer le niveau de g n tique du troupeau laitier Les vaches d un haut niveau g n tique produisent autant de lait avec un r gime bas niveau d intrants que les vaches de f
43. tures gel prairies temporaires et permanentes Suite la r forme de la PAC de nouveaux couverts sont pris en compte Aussi depuis 2010 toutes les surfaces agri coles deviennent admissibles pour l activa tion des DPU Seules les for ts et les terres affect es une activit non agricole d cla r es en autre utilisation la PAC restent non admissibles Chambres d agriculture gt Terres labourables retenir On entend par surfaces labourables des terres que l on peut labourer non seule ment d un point de vue purement technique mais d un point de vue galement administra tif et c est ce dernier aspect qui volue En effet le bilan de sant de la PAC incor pore un nouveau concept celui de r f rence prairies propre chaque structure et issue des surfaces d clar es en herbe en 2010 L id e est de maintenir non plus au niveau national mais l chelle de l exploitation le nombre d hec tares d herbe Ainsi 2 r f rences sont concern es et connues de chaque agriculteur au travers de leur d cla ration PAC 2010 une relative aux surfaces en prairies tempo raires maintenir au minimum 50 V l autre relative aux surfaces en p turages permanents maintenir 100 En cas de transfert foncier ces r f rences sont mettre jour entre repreneur et c dant et ces volutions doivent tre communiqu es l ad ministration dans un d lai de 10 jours suivant
44. uilibre dans la r partition de la valeur ajout e Qu en est il aujourd hui lire notre article en page 5 Le ministre dans un d cret paru le 31 d cembre 2010 donne tous pouvoirs aux transformateurs en les obligeant proposer un contrat au 1 avril 2011 contrat impos difficilement quitable puisque non n goci avec les leveurs Premi re d sillusion Il nous invitait galement nous regrouper en organisation de producteurs afin de nous d fendre et de n gocier avec les transforma teurs Mais sauf erreur le d cret permettant aux OP de n gocier ne sortira que fin 2011 alors que je le r p te les contrats seront propos s le Ter avril 2011 Deuxi me d sil lusion Enfin troisi me d sillusion aucun crit re de grille de prix n est d fini On ne parle plus de la prise en compte des co ts de produc tion Le flou r gne galement sur la notion de volume contract et on vite de parler CONTRACTUALISATION de pluralit syndicale ce qui avait pourtant t promis On avance la notion de trans fert de propri t du lait que deviendront les terres difficiles sans ei De plus cette contractualisation franco fran aise sans coh rence avec ce qui se passe dans les autres pays europ ens risque une fois de plus de se faire au d triment des produc teurs fran ais L interprofession laiti re aurait pu propo ser des contrats mais elle a t incapable de r unir l ensemble des famille
Download Pdf Manuals
Related Search