Home

PDF_methodo_2007_intrigants visiteurs

1. Bilan des enqu tes men es aupr s du public des expositions en 2003 Roland Barthes Philippe Starck Nicolas de Sta l Jacques Henri Lartigue Alors la Chine Jean Cocteau Centre Pompidou 2003 On note que 6 des personnes interrog es ne se pronon aient pas sur cette question 7 Hana Gottesdiener Jean Paul Ameline Le public du mus e national d art moderne une enqu te sur la r ception des collections permanentes Les cahiers du MNAM n 38 hiver 1991 p 117 Je me suis ennuy e je ne me sens pas concern e j tais pas dans le coup je n avais pas le papier aussi je crois qu il y avait plein de gens qui se baladaient avec un mode d emploi je me suis sentie d branch e moi je ne suis pas une intello Figure de profane il s agit d une enseignante exer ant en banlieue Il faut pr ciser qu il est parfois bien difficile au moyen d observations ou m mes d entretiens d avoir une vision nette de ce que pensent vraiment les visiteurs ou de ce qu ils ressentent eux m mes n ayant pas forc ment les id es tr s claires sur le sujet Les visiteurs de l exposition Vienne Paris qui par exemple se d claraient insatisfaits des modalit s d accompagnement et de m diation taient souvent ceux qui pouvaient se passer de cet accompagnement parce qu ils connaissaient d j les uvres et les sujets expos s les autres rejetaient leur incompr hension ou leu
2. le s dentaire familier du Centre qui y vient pour un motif pr cis presque toujours le m me l amateur clectique venu souvent pour une exposition ou pour le mus e et qui y pr l ve au gr de sa d ambulation ce qui lui para t le plus int ressant l amateur extatique enfin qui entre express ment pour une uvre particuli re ou un artiste et qui tout sa concentration fait abstraction du reste du Centre Ce type de d coupage qui peut sembler d sincarn premi re vue correspond une r alit de terrain L extrait d entretien qui suit en t moigne il est recueilli aupr s d un tudiant en histoire de l art amateur extatique faisant preuve d un rapport singulier l institution et ses tr sors Tu vas voir l uvre comme si tu allais voir ton docteur c est vrai qu aller voir par exemple le bleu d Yves Klein C est r confortant c est pratiquement m dical c est proche c est ce que je disais c est proche de l ordonnance du docteur c est que a te donne un change dont on ressort apais z Plus sp cifique une typologie de parcours au sein des expositions qu on pourrait qualifier d thologique a galement t produite et r utilis e sur d autres terrains avec profit Un s miologue Elis o Veron a ainsi identifi quatre familles de visiteurs dans l exposition Vacances en France r alis e la Bpi en 1982 des fourmis qui s
3. moins vrai qu avec le temps l impact la fois quantitatif et social du Centre Pompidou n a pas cess de cro tre Une enqu te r alis e en 1997 l chelon national tablissait d j ainsi que plus de quatre fran ais sur dix g s de 15 ans et plus d claraient s tre d j rendus au Centre depuis son ouverture pas moins de trois personnes sur quatre r sidant en r gion parisienne c tait le cas respectivement de 37 5 des employ s et de 29 des ouvriers interrog s On peut donc dire que l assise publique du Centre Pompidou semble relativement large m me si cet tablissement ne touche pas tout le monde Ce type Enqu te Cr doc juillet 1997 Une enqu te encore plus r cente r alis e en 2005 au t l phone par M diam trie aupr s de 2500 personnes g es de 16 ans et plus r sidant dans de grandes agglom rations avance pour sa part le chiffre de 60 d individus ayant d j visit le Centre Pompidou d information montre bien par ailleurs que les donn es ponctuelles m ritent d tre compl t es par des donn es de fr quentation sur le temps long et l chelle nationale Pass s certains caps on doit rappeler par ailleurs que les petits ruisseaux finissent par gonfler les rivi res 2 seulement d artisans commer ants et chefs d entreprises parmi les publics du Centre hors Bpi selon les chiffres de 2003 c est au niveau d un tablissement d une telle envergure environ 200 pe
4. partag e On se situe ici au niveau des repr sentations et non plus au niveau des pratiques mais on sait quel point la part du symbolique est d cisive dans le domaine des pratiques culturelles La richesse et la complexit du Centre Pompidou en termes de d coupage institutionnel de programmation et d offre de collection provoquent immanquablement une forme de brouillage et de d sorientation parmi les publics Ce brouillage est susceptible d avoir des effets n gatifs mais galement positifs L tablissement est ainsi pens par beaucoup comme une sorte de vaste machine provocante un cam l on susceptible de changer au fil du temps et des manifestations A ce titre l appellation Beaubourg peut tre consid r e comme un indice Ce n est pas une appellation par d faut un nom faute de mieux c est au contraire un condens de repr sentations particuli rement signifiantes et positives qui t moignent d une appropriation forte du lieu L attachement au Centre se nourrit forc ment de cette imagerie et il est bien vident qu un tel sentiment participe activement au processus de socialisation de l tablissement et de ses collections par les publics La marque imprim e 8 Les immat riaux au Centre G Pompidou en 1985 Etude de l v nement exposition et de son public Expo M dia 1986 p 13 et p 112 Nathalie Heinich Michael Pollak Vienne Paris Portrait d une exposition Bpi Cent
5. Biblioth que Centre publique d information Pompidou Intrigants visiteurs Christophe Evans 2007 ORE Service tudes et Recherche Bpi Sommaire Un public des puissions sndisrtsosianipnns nations liuiisies 3 Les publics par le nombre et par les cat gories sociales 000000 ss 4 Fourmis et sauterelles s ssg i avais asiassa ssssssis asinna kasaaidaaedidss asins iosa saisai 5 Satisfaction g n rale et pourtant sssssscsssssveissenrs sserivesteessse sie Beaubourg un lieu de vie sise Ras Ei sT La culture est une pratique signifiante Elle consiste non recevoir mais poser l acte par lequel chacun marque ce que d autres lui donnent de vivre et de penser Michel de Certeau Le compte rendu id al de ce qui se passe depuis trente ans c t publics au Centre Pompidou devrait pouvoir tenir compte tout de ce qui a t vu lu entendu dit pens ressenti et fait par ses visiteurs m mes La somme de toutes les exp riences capitalis es en quelque sorte un catalogue raisonn des attitudes des discours et des repr sentations Ce compte rendu n est pas possible Du moins il n est pas envisageable partir du point de vue sociologique qui sera d velopp ici D naturaliser sans d naturer tel pourrait tre le mot d ordre de ce type d approche objectivante qui se propose d articuler donn es quantitatives et donn es qualitatives d enqu tes de terrain ou p
6. d entre eux par exemple sont cadres ou sont fortement dipl m s Mais ces recoupements partiels ne peuvent en aucune fa on tre consid r s comme une sorte de formule unique qui permettrait elle seule de d crire l ensemble des publics Pour tout dire les seuls v ritables points communs que partagent la grande majorit des usagers du Centre Pompidou rel vent surtout de la contingence il s agit d une part de leur cohabitation temporaire au cours de leur visite et d autre part de leur participation individuelle un ph nom ne de masse Depuis son ouverture Beaubourg comme se plaisent l appeler la plupart de ses habitu s s est en effet taill une place forte dans l espace culturel fran ais et international Les pol miques du d but l architecture repoussoir ont c d la place d autres pol miques utopie ass ch e sans que le succ s public mesur l aune de la fr quentation ne se soit pour ainsi dire jamais d menti Si les flux de visiteurs demeurent stables d ici la fin de l ann e 2007 c est plus de 180 millions d entr es qui auront t totalis es aux portes de l tablissement en 30 ans d existence Pour comparaison la Tour Eiffel avait cumul en 2004 plus de 216 millions d entr es depuis son ouverture en 1889 On va voir toutefois que la dimension num rique qui a trop souvent occup l essentiel des discours sur les publics du Centre appelle une analyse appro
7. e institu par le programmateur et l espace restitu par le visiteur Satisfaction g n rale et pourtant Le but initial d une offre de collection qu il s agisse d uvres d art ou de livres pour citer les supports les plus repr sent s au Centre Pompidou est de rencontrer des publics voire de susciter une forme d adh sion premi re vue les nombreuses enqu tes de satisfaction men es par le Centre indiquent que cet objectif est atteint On sait que les visiteurs appr cient globalement leur visite et se montrent volontiers reconnaissants envers l institution Le bilan des enqu tes r alis es en 2003 montrait ainsi que pas moins d un visiteur sur deux en moyenne estimait que les expositions taient tout fait conformes ses attentes un peu plus d un sur trois estimait qu elles taient en partie conformes ses attentes un sur dix seulement pas du tout Hana Gottesdiener et Jean Paul Ameline notaient toutefois en 1991 que si la plupart les personnes interrog es la sortie des salles d expositions permanentes du Mnam ayant dit venir pour apprendre et ressentir d claraient que ces objectifs avaient t atteints certains reconnaissaient ne pas avoir compris d autres n avoir pas envie de revenir la dur e moyenne observ e de leurs visites pouvait par ailleurs para tre relativement courte tant donn l ampleur de l offre M me si un nombre imp
8. fondie et critique Les publics par le nombre et par les cat gories sociales 180 millions d entr es totalis es aux portes du Centre d ici 2007 c est pr s de trois fois la population fran aise En faisant cette comparaison tentante on risque d entretenir la confusion largement r pandue entre entr es et entrants Un peu moins seulement d une personne sur cinq interrog e en 2003 la sortie du Centre d clarait par exemple venir pour la premi re fois contre une sur deux au Louvre ce qui sous entend bien que la majorit des visiteurs l avaient d j fr quent Et ce ph nom ne de r it ration de visite est videmment beaucoup plus fort encore la Biblioth que publique d information puisque un usager sur deux interrog la m me poque la sortie de ce d partement du Centre d clarait y tre venu plus de 10 fois dans l ann e et un sur cinq plus de 50 fois L cart entre le mus e et la biblioth que est donc important en termes de rythmes de fr quentation il t moigne bien d un usage social diff renci de ces deux institutions On doit toutefois surtout retenir que l une et l autre re oivent massivement des publics d habitu s voire d assidus La grande masse des entr es on le voit ne doit donc surtout pas tre confondue avec le total brut des visiteurs M me en tenant compte des r serves que l on vient de faire quant au volume r el des publics il n en reste pas
9. lus pr cis ment approches descriptives et approches compr hensives La connaissance des publics ne se limite pas toutefois des probl mes de m thode Les cons quences de l exposition des individus l art contemporain ou la culture dans le cadre institutionnel du Centre Pompidou exigent un double questionnement qu est ce que le Centre fait aux publics en tant qu institution et en tant que dispositif Qu est ce que les publics font au Centre Sous entendu quelle marque y impriment ils Les visiteurs des tablissements culturels ne sauraient tre consid r s comme de simples effets de l offre ou de la programmation Il participent au contraire activement au processus de socialisation du ph nom ne artistique et culturel dans son ensemble m me quand il s agit de contourner les propositions qui leur sont faites ou de les d tourner Mettre l accent sur les interactions visiteurs institutions refuser les analyses tronqu es les g n ralisations abusives c est pr cis ment depuis l origine ce que se sont efforc s de faire les sp cialistes qui se sont relay s au chevet des usagers du Centre Pompidou C est sur une s lection de ces diff rents r sultats d enqu te et d analyse que nous allons revenir dans les pages qui suivent soit un retour sur environ 30 ans de recherche et de production de donn es Un public des publics Pour commencer on doit revenir sur le fait que le public du Centre Pompidou
10. n existe pas en tant que tel pas plus d ailleurs que le visiteur mod le de cet tablissement Sous un m me toit se trouvent en effet r unis un mus e d art moderne une grande biblioth que publique un institut de recherche musicale des salles de cin ma de spectacle et de d bats des espaces d activit s ducatives et ne l oublions pas une vaste piazza qui contribue enraciner le b timent dans le tissu urbain parisien et dans l imaginaire collectif Comme il se doit une mosa que aussi h t roclite d espaces et d activit s est la source d un grand m lange parmi les usagers On croise ainsi beaucoup de touristes et d amateurs d art contemporain dans les salles d exposition des tudiants des actifs occup s et des chercheurs d emploi dans les espaces de travail et de consultation de la Bpi des musiciens amateurs et professionnels l Ircam des troubadours et des badauds sur la Piazza Difficile en l tat de pr senter ces diff rents publics sous la forme d une communaut homog ne aux contours pr cis et r guliers Evidemment il est possible de rencontrer des personnes qui au cours de l ann e coul e ont fr quent la biblioth que plusieurs reprises visit une ou plusieurs expositions et assist au moins une fois un d bat organis en soir e il est possible galement de rep rer certaines r gularit s parmi les caract ristiques socioculturelles des visiteurs beaucoup
11. r sentiment d garement sur eux m mes ou sur la complexit de l exposition mais ne se plaignaient pas des modalit s d accompagnement les premiers taient insatisfaits sur ce plan et les seconds satisfaits Beaubourg un lieu de vie Chaque spectateur est un intrigant peut on lire sur l un des billets dada stes r dig s par Tristan Tzara expos s r cemment au Centre Le fait est que la panoplie compl te des usages de cet tablissement d passe le cadre des diverses programmations Ainsi on peut dire que si les choses ne se passent a priori pas toujours comme elles avaient t pr vues il se passe beaucoup de choses au Centre Pompidou ce qui ne lasse pas d intriguer les sociologues qui sont loin d avoir r pertori toutes les occurrences C est sans doute le privil ge des institutions qui au del de leur rayonnement institutionnel sont autant des lieux de vie que des lieux de culture proprement parler l appropriation du lieu qu elle soit symbolique ou effective est aussi intense que l appropriation des collections Malgr leurs diff rences il est par cons quent tout fait significatif qu une grande partie des publics se rejoignent dans leurs discours propos de l vocation d un lieu tr s ouvert moderne cosmopolite surprenant aux collections surabondantes Beaucoup d entretiens r alis s aupr s des visiteurs t moignent par ailleurs d un sentiment fort d exp rience
12. re Pompidou 1989 par ces derniers sur le Centre est donc chercher de ce c t autant que du c t de l aspect particuli rement visible des foules qui se pressent ses entr es Le retour sur l accumulation des donn es d enqu te en l espace de trente ans laisse appara tre certains carts carts entre l offre et les usages carts entre la rigidit l obstination des donn es quantitatives elles voluent peu d une ann e sur l autre comparativement la richesse la contradiction parfois des donn es qualitatives lesquelles se rapprochent des exp riences v cues des visiteurs mais peuvent aussi contribuer r enchanter la question des pratiques culturelles C est sans doute dans ce domaine qu il reste encore beaucoup faire au Centre Pompidou L enqu te qualitative consacr e aux usagers hyper assidus de la Bpi ceux qui d clarent venir tous les jours ou presque a bien montr quel point l ancrage dans la biblioth que et l usage de ses ressources tait porteurs de sens et d effets b n fiques pour les personnes concern es aussi bien au niveau intellectuel qu au niveau de leur image sociale ou m me de leur tat d esprit voire de leur tat mental On trouve des traces de ce ph nom ne dans les discours de certains visiteurs d exposition ce dont t moigne l extrait qui suit qui montre bien pour terminer que les grandes institutions culturelles ne font pas s
13. ressionnant de visiteurs se pressent aux portes des diff rents d partements du Centre on doit rappeler ainsi que certaines choses ne sont pas vues faute de temps mal per ues pas comprises ou m me franchement ignor es Postuler comme cela a t fait en introduction l inexistence d un visiteur mod le c est donc rappeler aussi l cart important entre les initi s et les profanes Les deux extraits qui suivent incarnent leur fa on ces deux figures de visiteurs et permettent en creux de mesurer quel point l attitude neutre curieuse et bienveillante laquelle de nombreux concepteurs d exposition font parfois r f rence est une attitude construite sans doute difficile adopter dans une institution d di e l art contemporain et l actualit J ai parcouru l exposition Les Immat riaux comme j ai appris le faire l Expo 67 de Montr al c est dire en cherchant moins comprendre ce que l on tentait de me dire qu en me laissant p n trer par ce qui m atteignait et en essayant de voir ce que je pouvais faire avec ce qui m tait offert Figure d initi il s agit d un professeur d universit canadien sp cialis en communication Elis o V ron Martine Levasseur Ethnographie de l exposition L espace le corps et le sens Editions Bpi Centre Pompidou 1989 C est une formule emprunt e Alain Marie Bassy premier responsable des tudes de public la Bpi
14. rsonnes par jour Combien au bout de trente ans S1 la cat gorie Cadres et professions intellectuelles sup rieures est sur repr sent e parmi les publics du Centre depuis l ouverture on doit pr ciser que la structure par sexe montre pour sa part qu une inversion s est produite on comptait 59 d hommes pour 41 de femmes en 1986 alors que la balance s tablit aujourd hui 49 51 Au del de la parit relative affich e par cette balance il faut surtout retenir que les publics du Centre se sont sensiblement f minis s en l espace d une vingtaine d ann es On doit rappeler sur ce point que le ph nom ne n est pas particulier au Centre Pompidou puisque ce sont la plupart des sorties culturelles qui d une mani re g n rale ont connu le m me processus en France Fourmis et sauterelles En plus des segmentations courantes la question des publics du Centre a fait l objet de cat gories quant aux cheminements des usagers dans les diff rents d partements de l tablissement et parmi les collections Une typologie g n rale labor e au cours des ann es 80 proposait ainsi cinq grandes familles de visiteurs le promeneur qui visite la fois par dehors attir par l architecture pour le dehors attir par la vue sur Paris et qui se limite une circulation en surface le boulimique qui veut voir tout et d faut tout percevoir pour tre s r de n avoir rien n glig
15. uivent scrupuleusement l ordre chronologique propos par l exposition et se situent une distance r duite des panneaux devant lesquels elles s arr tent visite proximale des papillons qui zigzaguent entre les panneaux et les uvres mais respectent tout de m me l ordre chronologique propos visite pendulaire des poissons caract ris s par une trajectoire 2 Jean Fran ois Barbier Bouvet Le visiteur et son double Centre Pompidou 1987 Christophe Evans Agn s Camus Jean Michel Cretin Les habitu s le microcosme d une grande biblioth que Bpi Centre Pompidou 2000 p 238 entre deux eaux capables de faire de grandes boucles sans marquer beaucoup d arr ts visite de glissement enfin des sauterelles qui progressent par bonds quand elles sont attir es par quelque chose qui les int ressent au loin indiff rentes galement l ordre chronologique visite punctum dynamis e par l attirance d un l ment ponctuel M me g n rales et sans doute lacunaires ces deux typologies ont le m rite de renforcer le constat ayant trait l h t rog n it des publics qui se diff rencient autant par leurs profils sociaux que par leurs projets ou les modalit s concr tes de leurs visites Au del de leur aspect parfois un peu trivial on peut noter que les profils mis jour 1c1 permettent galement de prendre conscience de la marge susceptible d exister entre l espac
16. yst matiquement l objet d une fr quentation distraite et convenue Dans cette salle en contrebas il y avait une grande toile peinte comme un pantalon immense avec un effet de miroir Ca m avait fascin e mais je me suis dit il faut que je m en aille parce que j ai l impression que c est une drogue Si on s y int resse on peut aller tr s loin Dans l imaginaire j ai vu des choses folles Christophe Evans Bpi Service Etudes et recherche 10 L image du Centre op cit

PDF_methodo_2007_intrigants visiteurs

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents