Modèle de présentation Adoma
Contents
1. L origine subsaharienne g n re une demande temp rature de chauffage plus lev e que la moyenne e SESE NZ Bei gon d Le 2 PRESENTATION DU DIAGNOSTIC SOCIAL La r ceptivit des op rations de r habilitation nerg tique Les r sidants interrog s tout comme les personnels Adoma interview s se disent r ceptifs des op rations de r habilitation St notion energetique floue sans et cela pour plusieurs raisons explications fournies Q Le fait que les conomies g n r es pourraient tre r investies dans les r sidences pour le bien tre de ses occupants sous la forme de services ou d quipements et ou pourraient servir limiter l augmentation de la redevance Q La perspective gr ce aux travaux entrepris d un surcro t de confort d hygi ne et de s curit Q Une facilitation et valorisation du travail des ouvriers maintenance Q Une volution potentielle des comportements des r sidants noter que usage de chauffages d appoint n est pas condamn les r sidants car pas avoir froid est per u par eux comme un droit et d Q Une contribution la protection de l environnement un argument secondaire semble que le meilleur levier pour l ensemble des r sidants au del b n fices concrets soit l image que la d marche de r habilitation est susceptible de conf rer2. e 1 Qualit d usage e 2 Performance nerg tique e 3 Ventilation et renouvellement dar e 4 Gestion durable 5 Confort acoustique e 6 Qualit sanitaire e 7 S curit et risques e 8 9 Ascenseurs e 10 Eclairage et lectricit e 11 Qualit des espaces collectifs e 12 Image du b ti 13 Impact du projet et insertion urbaine e 14 Accessibilit personnes mobilit r duite et adaptation au vieillissement Consortium ADORER 8 La Calade Hanrovz 5 Jannenu Architectes 3 DIAGNOSTIC ET EVALUATION DES PROGRAMMES DE REHABILITATION La m thode d analyse RECORES Installation obsol te absence de tableau de r partition avec protection fusible et disjoncteur S curit lectrique des parties Liaison terre revoir communes Mise aux normes du reseau EDF S curit lectrique des logements Une grille d analyse structur e autour S curit lectrique 14 th mes d compos s en 43 indicateurs puis en 315 questions Une valuation de l tat initial Eclairage qualit de D Be VT et l clairage et hormis 7 Une valuation de l tat final escompt acc s nature des clairage public lampes Plafonnier pas de protection anti vandales niveau qualit gt Une grille qualitative d clairement Fonctionnement permanent la nuit pas de la
3. B TIMENT vs FONDATION COLE ER S minaire des contractants i de l nergie recours aux nergies renouvelables et r duction des gaz effet 29 septembre 2010 de serre par la r habilitation nerg tique des b timents tertiaires d h bergement Projet ADORER ADOma R habilitation Energ tique des R sidences Une strat gie patrimoniale durable vers le facteur 4 afa Jd eDF La Calade RE vie WW Gate D A0 24 169 te EneRconcept mm D SENZO 4 Hannouz Janneau Consortium ADORER angers aaa 7 a SOMMAIRE 1 ETAT D AVANCEMENT GENERAL DU PROJET 2 DIAGNOSTIC SOCIAL 3 DIAGNOSTIC OUTIL 4 DIAGNOSTIC TECHNIQUE ENERGETIQUE 5 DIFFUSION DES RESULTATS ET SUITE DE LA RECHERCHE Consortium ADORER 2 1 D AVANCEMENT GENERAL DU PROJET Recueil de donn es Elaboration d une typologie Echantilllon de 10 sites S lection des b timents repr sentatifs sites d tudes Etudes sociologiques Diagnostic des sites Etudes des contraintes architecturales Evaluations techniques sociologiques urbanistiques et environnementales r glementaires Diagnostics techniques et Simulation Thermique dynamique nerg tiques des sc narios Mod lisation thermique des sites Elaboration de sc narios de r habilitation et validation en co t Evaluation
4. de la structure des consommations conso_gaz fonction 200 000 R partition de la consommation sur le b timent initial R partition des consommation lectrique sur le 180 000 1 KWhEF an b timent initial KWhEF an 160 000 140 000 L 2007 ew 120 000 _ __ 2008 5 100000 4 9 Mod le r parti sur ann es 80 000 9 Lin aire Mod le r parti sur 3 5 60 000 ann es y 12159x 207278 40 000 R 0 8472 20 000 0 vw Guyancourt Temp rature ext rieure moyenne conso_gaz fonction 35 000 0 2007 30 000 0 2008 25 000 0 2 2009 Mod le r parti sur 3 ann es Cit Lin aire Mod le r parti sur 3 KW h an S 150000 annees E Factures moyenne kWh an 395 257 1 100000 y 1384 1x 26710 R 0 6396 Calculs kWh an 371 493 5 000 0 0 0 Temp rature ext rieure moyenne C Consortium ADORER 15 EDF R amp D Cr er de la valeur et pr parer 4 DIAGNOSTIC ENERGETIQUE ET TECHNIQUE Simulation thermodynamique Optimisation Isolation ext rieure des parois 200 de polystyr ne R 5 13 m2 K W fa ade et R 3 85 2 en all ge Remplacement calorifuge dans les caves Isolation en faux pl
5. la r sidence et par ricochet aux r sidants ceux ci aspirent pouvoir tre grace aux actions men es peu plus comme tout le monde voire caressent l espoir d tre la pointe Consortium ADORER 6 2 PRESENTATION DU DIAGNOSTIC SOCIAL Les principales attentes de mise en uvre des op rations de r habilitation nerg tique Les attentes de nature technique La g n ralisation de qui est entrepris par Adoma notamment le remplacement des appareils de chauffage des m langeurs par des mitigeurs des ampoules incandescence et des n ons par des ampoules basse consommation La modernisation des installations d eau en vue de r duire les probl mes de fuites de coupures de pression d eau chaude Une meilleure isolation thermique une vidence propos des fen tres et des portes quand des courants sont ressentis une moindre vidence per ue concernant les murs sols et plafonds car la qualit de l isolation est difficile valuer que la temp rature souvent non mesur e convient Une rationalisation de l clairage collectif faire en sorte que cela ne reste pas allum quand cela n est pas n cessaire souhait des personnes g es notamment d un clairage plus appropri dans les logements Consortium ADORER 7 L quipement des cuisines collectives notamment en fours et micro ondes afin de limiter l usage d appareils personnels
6. souvent l origine de coupures d lectricit et parfois dangereux La mise en place de compteurs individuels valider selon les modalit s envisag es le cas ch ant L installation de panneaux solaires Les attentes en termes d information gt Une information essentiellement orale notamment dans le cadre de r unions avec des experts des gens de terrain gt Des bilans pr cis et lisibles de consommation d montrant les sources de r duction des gaspillages les marges de man uvre possibles gt Les b n fices concrets gt Un discours de valorisation et non de stigmatisation le d sir ou Adoma donne l exemple dans les espaces collectifs 3 DIAGNOSTIC ET EVALUATION DES PROGRAMMES REHABILITATION La m thode RECORES pour une REhabilitation COh rente des REsidences Sociales Origines de la m thode gt Elaboration par La Calade Philippe Outrequin et Catherine Charlot Valdieu gt 2007 m thode RECOBAT pour une REhabilitation COh rente des BATiments la demande de l ANRU gt 2008 simplification de la m thode pour l valuation d op rations exemplaires de r habilitation de bailleurs sociaux de la r gion Nord Pas de Calais Exemples d analyse dans Ecoquartier mode d emploi Ed Eyrolles 2009 2010 application au projet ADORER pour l valuation des r sidences sociales Les 14 th mes du diagnostic de l valuation RECORES
7. HP rencontre de r sidants leaders Phase 2 mai juillet 2010 r alisation de 30 entretiens individuels aupr s des r sidants Panachage des profils selon la nationalit fran ais maghr bins sub sahariens autres lt 35 ans 35 59 ans 60 ans la CSP actifs allocataires et demandeurs d emploi retrait s tudiants le sexe 4 femmes la situation familiale 2 familles l anciennet lt 1 an 1 3 ans 4 10 ans 10 24 ans gt 25 ans la superficie chambres de 7 5 2 9 2 11 2 12 2 15 2 2 et le niveau d autonomie du logement lavabo douche cuisine Consortium ADORER 4 SE Feit re pankin d Le ve 2 PRESENTATION DU DIAGNOSTIC SOCIAL Les d terminants majeurs des attitudes et comportements en mati re d nergie et d eau Jouent un r le favorable Le fait de payer par ailleurs ou d avoir pay des charges d nergie et d eau une attitude plus responsable Un parcours de difficile en partie dig r la volont d effacer les errements ou les difficult s pass s en ayant un comportement irr prochable La pratique de religion musulmane le souci pr gnant de ne pas gaspiller La raret des ressources dans son pays d origine un r flexe d conomie de l eau chez les r sidants africains Le fait d tre actif moins de consommation La motivation des personn
8. afond de toiture 100 mm de polystyr ne 2 5 m2 K W Isolation des planchers sur cave 150 de FibraXtherm R 3 75m2 K W Changement des vitrages Double vitrage 4 16 4 Uw 1 4 W m2K Traitement des ponts thermique Isolation par l ext rieur avec retour d isolant sur les acrot res Type HYGRO B Bouches d extraction hygror glables Consommation de gaz KWhEF 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 4 conso_gaz fonction T_ext_moy 3 ann es conso r el vs STD 11827 199917 0 8531 Conso gaz conso par STD avec h Lin aire Conso gaz Lin aire conso STD avec h 2 4 6 8 10 12 14 Temp rature ext rieure moyenne Guyancourt Consortium ADORER 16 Consommation de gaz KWhEF et entr es hygror glables conso_gaz fonction T_ext_moy 3 ann es conso r el vs STD avec h 350000 0 11608 192749 See 5 B timent 3000000 SUMEN conome an 1 Consommation gaz chauffage 1 D conso STD 250000 0 Lin aire Consommation gaz chauffage Lin aire conso STD avec 200000 0 150000 0 4 100000 0 50000 0 DD Jee 0 2 4 6 8 10 12 14 16 Temp rature ext rieure moyenne Trappes nergivere afa J eDF EDF R amp D Cr
9. els Adoma conscients des enjeux notamment conomiques et de confort sont dispos s tre mobilis s au travers d une d marche de plus grande ampleur encore plus formalis e chiffres pr cis de consommation l appui Jouent un r le mineur la sensibilit cologique Sensibilisation et de l anciennet dans la r sidence les m dias Consortium ADORER 5 Jouent un r le d favorable Les priorit s des r sidants l nergie et l eau p sent pas lourd face aux pr occupations majeures largent la s curit le confort et la propret l hygi ne La redevance son caract re forfaitaire et m connaissance de l existence de charges n incitent pas faire attention sa consommation Les jeunes g n rations semblent moins accoutum es que les plus g s faire attention leur consommation La sur occupation contrairement aux personnels Adoma les r sidants n entrevoient pas clairement l incidence sur la consommation d nergie et d eau mais se plaignent en revanche de ses cons quences en termes de bruit et d ins curit Le refus d ing rence n incite pas les r sidants les plus vertueux essayer de faire voluer les comportements des r sidants qui le sont moins La tendance s isoler du fait d un repli sur soi de la peur d autrui les r sidants consomment plus individuellement que collectivement
10. er de la valeur et pr parer lavenir 5 DIFFUSION DES RESULTATS SUITE DE LA RECHERCHE Retour sur le colloque Maintenance et Exploitation de l Immobilier du 30 06 2010 IMIS Universit d Angers l honneur La Valorisation Energ tique et Environnementale du Patrimoine immobilier http wwyw colloque maintenance itbs imis 2010 fr pour retrouver le programme des interventions de la journ e e 2 th mes Strat gie nerg tique durable d un patrimoine de r sidences sociales Projet ADORER Qualit environnementale et sanitaire des b timents tertiaires en exploitation de la qualit environnementale la certification Le octorant e 83 Participants 4 1 Gestionnaires ESH 31 USH Pays de la Loire Gestionnaires d tablissements de la d fense St FM et conseil en maintenance Professionnels 35 Enseignants Professionnels ADORER 1490 chercheurs Intervenants 12 Colloque 790 Consortium ADORER 17 angers 5 DIFFUSION DES RESULTATS ET SUITE DE RECHERCHE Retour sur le colloque Maintenance et Exploitation de l Immobilier de l IMIS Universit d Angers du 30 juin 2010 Un colloque et une table ronde qui d montrent Une probl matique partag e par tous types de propri taire et de gestionnaire Des enjeux compris et int gr s Un verrou que l on peut d passer Comment prendre en compte l aspect social prise en com
11. global conomique environnementale pour optimisation en co t global Application de la m thodologie dans une op ration pilote Extrapolation Recommandations pour une strat gie patrimoniale de r novation nerg tique durable Magazine Horizon 6500 exemplaires Sensibilisation gestionnaires r sidants Capitalisation et diffusion des r sultats Diffusion D liverable 1 Colloque IMIS Consortium ADORER 3 2 PRESENTATION DU DIAGNOSTIC SOCIAL Les objectifs et la m thodologie de l tude sociologique gt Dresser un tat des lieux de la situation nerg tique et de l eau de 10 tablissements gt Mettre plat la mani re dont la r habilitation nerg tique du parc est envisag e rm pm pm rm pen rem pm rm em rem rem rm em rem rem rm rem em rm em rem em rm rem em rm rem em rm rem rem rem DEER 3 sites Ile de France Phase 1 f vrier mars 2010 r alisation 34 entretiens individuels aupr s du personnel Adoma 2 sites Sud est s Agence 8 directeurs d agence 1 directeur d partemental 5 responsables d entretien maintenance 1 site dans l Ouest site Nord est statut SCH maison relais profil des Par r sidence 1 responsable de r sidence 1 ouvrier es GES EE 7 r sidants sp cifique anciens de maintenance visite de logements occup s et ou SDF ex
12. local v lo poussette TS PS PI TI er TS PS PI TI pou une qual Ite de base Qualit d usage pour ocal PENSENLES certains locaux et quipements et vide ordures accessibilit Garages collectifs tat correct des portails stationnement des v hicules TS PS PI TI Co qualit moyenne des portails des garages individuels autres locaux collectifs salle de r union S I buanderie lit dui Tres Satisfaisant tr s bon ne qualit EE rev tements TS PS PI TI bon tat 9 ite qualit quipements sanitaires et Etat moyen des baignoires bon tat des TS PS PI TI rev tements des salles bain et WC placards qualit de l clairage naturel TS PS PI TI EG so Une valuation pour chacune des 5 menuiseries d origine en bois DV qualit des SE portes TS PS PI TI TI questions puis pour les 43 indicateurs Mauvais tat des persiennes et des so TS PS PI TI g n ralement pourvues d occultations Etat logements Es q rou pe nt les q uestions de fa on qualit des occultations des menuiseries LS ps ext rieures volets man uvres de volets roulants m diocre bois alt r et pbs r currents pertinente moyenne moyenne pond r e EN i H atima H des TS PS PI TI C rrecl d infiltration capacit thermique faible Une pond
13. mpe basse consommation Permanence de l clairage et Eclairage du hall nature des et entr e lampes minuterie situ e sur le syst me de tableau commande lectrique des temporis services g n raux Consortium ADORER 9 Calade Hannouz 5 Janneau Architectes 3 DIAGNOSTIC ET EVALUATION DES PROGRAMMES REHABILITATION L valuation de la qualit technique ou d usage Exemple du th me 1 sur la qualit sans objet sans objet pour le b timent Qualit d usage Description de l tat initial Qualit technique du cheminement TS PS PI I SO clairage Cheminement principal RS a Tr s Insuffisant Etat 2 24 D D di ENER EE qualit paysag re so TI meuble TS PS PI TIJ 5 absolument une Cheminement de l entr e qualit technique TS PS PI TI 1 2 l immeuble jusqu aux TS PS PI TI logements hors escaliers Intervention r g lementai ou GE trait s par entretien propret TS PS PI TI SE existence et qualit technique TS PS PI TI de s curit ou de confort de Cheminement du parc de clairage SSSR 1 3 stationnement aux TS PS PI TI logements TS PS PI TI distance satisfaction des usagers TS PS PI TI Sant utot Insuffisant Etat i escaliers PODRE qualit d usage requ rant une intervention
14. pte profil journalier avec la SimThermDyn Un r el besoin d outils d aide la d cision et d optimisation afin de pas passer un niveau n importe quel prix Une demande de bailleurs sociaux pour des projets et des applications outils de simulation thermique comme moteur d optimisation des projets de r habilitation nerg tique Consortium ADORER 18 angers 5 DIFFUSION DES RESULTATS ET SUITE DE LA RECHERCHE Travaux et de liverables suivre dans les mois suivre 11111 Ier Rapport d avancement sur phase de diagnostic du patrimoine immobilier Analyse crois e des conclusions des tudes techniques thermiques sociologiques pour la proposition de solutions nerg tiques Corr lations Simulation Thermique Dynamique Outil d analyse conomique en co t global outil SEC Sustainable Energy Cost pour l estimation des gains nerg tiques et calage de l outil SEC Mise au point des scenarios de r habilitation types pr visions thermiques et faisabilit architecturale et sociologique Analyse court global des sc narios et int gration dans un programme de r habilitation exp rimental Eclairages compl mentaires sur des cas d tude par les tudiants 5 Consortium ADORER 19
15. ration entre les indicateurs EE EECHER pour pr senter une synth se par th me EE Consortium ADORER 10 La Calade Hannouz Janneau Architectes 3 DIAGNOSTIC D USAGE Exemple sur un site Thonon les Bains Clarines photos radars La Calade Hannouz 5 Janneau Architectes Consortium ADORER 11 4 DIAGNOSTIC ENERGETIQUE ET TECHNIQUE Simulation Thermodynamique VALIDATION du mod le partir de trois ann es de donn es ESTIMATION des gains nerg tiques d un bouquet de travaux ns tt Consortium 12 guef EDF R amp D Cr er de la valeur et pr parer Al rer 2 cu x Spl Temp rature Ail Temp ralurc an Ari Temp ralurc an Al Temp rature 2 Temp rature 8 Al Temp rater eux Air Temp ear 1 Tampa Ail Tetpi pa Arl Temp rater Ari Temp raur Consortium ADORER 14 Isolation Temp rature ext rieure int rieure Locaux non 8 5 chauff s 2 8 9 9 gt S ka e Mur en all ge Ext rieur B ton 15 Int rieur Polystyr ne expans 2 16 0 412 0 450 Plancher sur sous sol Plancher sur SCH EDF R amp D Cr er de valeur et pr parer 4 DIAGNOSTIC TECHNIQUE Etudes
Download Pdf Manuals
Related Search