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Guide de l`observation sociale territorialisée. ORIV

1. TAILLE DES LOGEMENTS ET NOMBRE DE PERSONNES PAR LOGEMENT Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 Donn es par NB Genre Nationalit ge Le ratio taille des logements nb de personnes Population de r f rence permet de pointer les cas de surpeuplement M nages chelle Communale et infracommunale Organisme fournisseur et source NB Insee Recensement de la population Un logement vacant est un logement inoccup chell se trouvant dans l un des cas suivants propos miel i la vente ou la location d j attribu un Communale et infracommunale acheteur ou un locataire et en attente d occu pation en attente de r glement de succession conserv par un employeur pour un usage futur au profit d un de ses employ s gard vacant et sans affectation pr cise par le propri taire exemple un logement tr s v tuste Ce chiffre ne signifie pas que ces logements soient n ces sairement disponibles pour l habitation Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 Ces indicateurs fournissent des donn es sur l tat du parc de logement priv et social sur les conditions de peuplement et sur la vacance Concernant le confort des logements l Insee distingue cinq crit res bas s sur les installations sanitaires D apr s l enqu te logement de 2002 97 5 des logements b n fic
2. d identifier les instances et les partenaires sur lesquels s appuyer pour mener cette d marche de rep rer les acteurs en pr sence et les structures d inscrire le territoire dans la dur e et dans son contexte Ces l ments sont utiles pour disposer d un cadre d analyse des volutions mais aussi pour aller recueillir les informations pertinentes hematique 2 aphique tio Conna tre les caract ristiques de peuplement d un territoire et son volution est le pr alable toute r flexion En effet les besoins les probl matiques ou les potentiels ne eront pas les m mes selon que l on se trouve dans un quartier forte majorit de jeunes ou de personnes niveau de pr carit et ou uelles sont les conditions de nationalit de Quelle est la structure demographique 2 POPULATION TOTALE ET R PARTITION PAR TRANCHES D GES PART ET PROFIL DES FAMILLES MONOPARENTALES Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation Organisme fournisseur et source chelle Insee Recensement de la population Annuelle partir de 2009 CAF Fichiers de gestion Communale et infracommunale Donn es par NB Donn es par Fr quence d actualisation Genre Nationalit ge La population peut tre crois e avec Genre Nationalit ge Annuelle Population de r f rence le genre homme femme l ge et la nationalit Population de r f rence NB Tous les habit
3. 7 d gtion Quels sont les movens NOMBRE DE STRUCTURES ET DE PLACES AGR ES EN CLSH HALTE GARDERIE CRECHES Organisme fournisseur et source NB VCAF Fichiers de gestion MI s agit de tous les quipements Donn es par financ s par la CAF Genre Nationalit ge chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle Les pages pr c dentes proposent quelques indicateurs relatifs aux conditions d enseignement au niveau scolaire et la mixit l cole N anmoins si l enseignement scolaire rel ve de l ducation nationale l ducation des enfants concerne de nombreux acteurs W Trois approches peuvent tre privil gi es l accompagnement la scolarit Les activit s p riscolaires et extra scolaires voire pr scolaires Le soutien la parentalit Pour chacune d entre elles il s agira de recenser les activit s existantes le nombre d enfants touch s et les impacts pour ces derniers am lioration des r sultats scolaires changements comportementaux panouissement dans des activit s extrascolaires Concernant le soutien la parentalit il n existe pas d indicateurs directs pour quantifier le nombre de bons parents et identifier des besoins d actions La notion m me de parentalit est tr s floue et pointe de nouvelles probl matiques red finition de la notion de parent parentalit d finie tour tour c
4. Vous trouverez sur le site www sig ville gouv fr des informations l chelle des Zones urbaines sensibles et des territoires prioritaires politique de la ville sur le profil g n ral des habitants l emploi l activit conomique l ducation la s curit et les niveaux de vie Par exemple l ONZUS a dit des fiches l chelle des ZUS sur la base du recensement g n ral de la population de 1999 et de donn es administratives ANPE minist res Education nationale Notez que l acc s complet aux donn es existantes est limit et n cessite une inscription aupr s de l ONZUS cf p 106 matique 1 Avant de d marrer une d marche d observation territoire il convient de d crire le territoire de r f renc afin de disposer d l ments permettant d appr cier le texte et d inscrire les volutions relev es dans leu environnement Non pas dans une approche pure de g ographe mais en s interrogeant sur la construction du ritoire son histoire ses principales caract ristiques Quelles sont les caract ristiques IDENTIFIER LES PRINCIPAUX TRAITS DU TERRITOIRE Place du quartier territoire au sein de la commune espace urbain principales voies de liaisons vers le centre et les autres quartiers pistes cyclables voies routi res transports en commun et fr quence des passages am nagements pi tons Caract ristiques des espaces ext rieurs des espaces verts des lieux centrau
5. mod liser les r sultats afin de pouvoir les comparer dans la dur e Plusieurs pr conisations peuvent tre faites afin de cr er les conditions de la participation des habitants s assurer du bon fonctionnement des structures notamment au niveau de leur politique de communication et de la condition d exercice du b n volat faire prendre conscience aux habitants de leur valeur et de leurs apports la soci t en les sollicitant et en les accompagnant reconna tre chaque citoyen un pouvoir d action sachant que cette r affirmation est aujourd hui d autant plus importante que la majorit des habitants en particulier ceux r sidant dans des territoires s gr g s not n y croient plus Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 91 Attractivit et mixit L attractivit et la mixit sont des enjeux pr gnants pour tout acteur visant intervenir sur un territoire en rupture que ce soit en milieu rural ou urbain L observation et la quantification de ces aspects ne peuvent se faire sur la base d une seule donn e ou d une seule th matique En effet ces enjeux ne sont pas directement mesurables et n cessitent une approche transversale et cumulative mise en perspective des donn es inh rentes aux diff rentes approches th matiques Les diff rentes facettes de ces enjeux doivent tre prises en compte en croisant les approches l attractivit et la
6. ce ssa ac strasbourg fr MISSIONS G N RALES L Observatoire r gional de la sant en Alsace a pour objet de participer l observation aux tudes conseils et valuations ainsi qu l information dans les domaines sanitaire et social en Alsace L ORS Alsace g re une base d indicateurs Isstal renseign e par 17 structures en Alsace pour le compte du Groupement r gional de sant publique Cette base permet de disposer d indicateurs sanitaires et sociaux divers chelons infra d partementaux cantons zones de proximit territoires de sant arrondissements zones d emploi mais pas un niveau infra communal pour l instant L ORS Alsace participe galement au d veloppement et la mise jour de la base Score sant base commune des Observatoires r gionaux de sant ORS et de la F d ration nationale des ORS qui rassemble des indicateurs r gionaux et d partementaux issus d une cinquantaine de sources www fnors org Score accueil htm Elle compte une dizaine de salari s DONN ES PRODUITES L ORS Alsace r alise des tudes r guli res qui peuvent porter sur les th matiques sanitaire ou sociale dont en particulier l tat de sant de la population r gionale tat de sant g n ral suivi de pathologies particuli res les d terminants de sant de la population r gionale comportements sant environnement sant travail situation sociale des valu
7. culturel et d mographique sachant que les territoires o l on souhaite favoriser la mixit ont souvent une composition sociod mographique tr s diversifi e La concentration de faibles revenus et de revenus moyens dans un m me espace r sulte g n ralement du mode d attribution des logements en particulier sociaux et des logiques de s gr gation Les bailleurs sont les seuls pouvoir fournir des donn es qualitatives pertinentes pour travailler sur ce sujet E Mettre en lien avec l approche sociod mographique de la population et la situation li e l emploi POUR EN SAVOIR PLUS Observatoire de l habitat du Bas Rhin Adeus Les b n ficiaires des aides au logement dans le d partement du Bas Rhin en 2005 Strasbourg ADEUS octobre 2007 42 p Woriv Mixit et peuplement Strasbourg Oriv 2006 3 p WoOriv Le rapport au logement des trangers et des personnes issues de l immigration Strasbourg Oriv 2007 5 p Oriv La mobilit r sidentielle des trangers en Alsace Strasbourg Oriv juin 1996 99 p Collection Les Cahiers de l Observatoire n 19 52 Habitat Prendre en compte la th matique habitat dans une d marche d obser vation suppose de s int resser aux caract ristiques des logements aux conditions de logement et la situation sociale et conomique des r sidents Toute approche sur les conditions de logement et l tat du parc doit associer les bailleurs ce qui n est pas a
8. f rence Population de r f rence Tous les enseignants Idem l ves scolaris s en poste NOMBRE ET PART D ENSEIGNANTS EN POSTE DEPUIS 2 ANS OU MOINS La mobilit des enseignants et le manque d anciennet professionnelle mettent en avant les difficult s des tablissements dans leurs conditions d enseignement et rendent galement compte de l attractivit Organismes fournisseurs et sources Fr quence d actualisation professionnelle des territoires par exemple si les enseignants en poste sont de jeunes professionnels 1 Rectorat 1 et 2 et 3 Annuelle qui n ont pas pu choisir leur lieu d affectation A f d acad mies NB Dans cette partie il conviendra galement de recenser les tablissements b n ficiant d un zonage L ONZUS fournit galement des donn es sp cifique comme les R seaux d ducation prioritaire ou Ambition r ussite Population de r f rence r sur la part d enseignants de moins de 30 ans 1 et 2 et 3 El ves scolaris s E Ces donn es sont mettre en lien avec les moyens mis en uvre voir pp 62 63 chelle POUR EN SAVOIR PLUS 1 et 2 tablissement scolaire Collectif ZEP en d bat in Diversit n 144 mars 2006 207 p 3 ZUS 7 Ed tion j PROPORTION D ELEVES EN RETARD Quel est le niveau B TA TA A scolaire PART DES L VES SORTIS DU SYST ME SCOLAIRE SANS DIPL ME Organismes fournisseurs 1 Rectorat 2 Inspections d acad
9. ficiaires de minima sociaux allocataires et leurs ayant droits chelle Communale et infracommunale D PENDANCE AUX PRESTATIONS Fr quence d actualisation Annuelle NB Le taux peut tre calcul par rapport la population l gale ou l ensemble des allocataires CAF Organisme fournisseur et source CAF Fichiers de gestion Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Allocataires de la CAF chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle NB MI s agit de la part des prestations sociales dans la totalit des ressources de la famille il y a fragilit si le taux est sup rieur 50 Il existe aujourd hui un flou statistique autour de la pr carit Des indicateurs mon taires existent mais la difficult est r elle pour mesurer les conditions de vie N anmoins il n y a pas eu d augmentation massive ces derni res ann es mais plut t une transformation elle s est urbanis e concentr e et rajeunie Par ailleurs il existe des formes diff rentes de pr carit selon les ges par exemple pour les plus jeunes les difficult s d acc s l autonomie l emploi ou encore au logement pour les personnes g es l isolement et l invalidit Une mani re de mesurer l volution des situations sociales est d inter viewer les travailleurs sociaux du territoire CCAS CMS PMI ducateurs Rd EEE Organisme fournisseur et sou
10. li la difficult reconna tre et faire reconna tre les discriminations incite proposer d autres moyens pour les mesurer L appr ciation de la discrimination peut se faire en comparant les taux relev s pour un m me indicateur entre deux types de population la population fran aise et la population immigr e population trang re pour les discriminations li es l origine r elle ou suppos e des personnes les hommes et les femmes pour les discriminations li es au sexe etc Ce diff rentiel de situation s il n est pas expliqu par une diff rence sociale est attribu une discrimination Les enqu tes par testing ou test de situation permettent de pointer ces situations Dans la mesure o les discriminations sont toujours r f r es sur le plan l gislatif l acc s un bien ou un service on s interrogera plus particuli rement sur les discriminations dans le domaine de l emploi de la formation et du logement Pour chacun de ces th mes il est possible de croiser les donn es avec le genre l ge et la nationalit Par exemple si on s int resse la r partition de la population immigr e dans le logement on va v rifier sur un territoire la r partition des Fran ais et des immigr s en fonction de diff rents crit res l ann e et la nature du parc de logement La surrepr sentation des immigr s dans le logement social construit dans les ann es 50 70 peut amener penser
11. s bon g Nombre c Sentiment i et qualit de s curit Par exemple en noir d s sorvic s la repr sentation d un habitant en rouge celle d un travailleur social f Capacit r d Qualit d initiative de la cohabitation Source AURG METRO Universit Pierre Mend s France des habitants e Ouverture attractivit du quartier 16 Les principales sources de donn es Le secret statistique s applique tous les renseignements individuels collect s Ses modalit s varient selon que les renseignements ont trait des comportements ou des informations d ordre priv ou s ils sont de nature conomique et financi re Par exemple la Caisse d allocations familiales ne diffuse ses analyses qu partir de 100 allocataires l chelle infracommunale soit environ 500 habitants et aucune donn e n est fournie si elle ne concerne pas au moins cinq individus Les enqu tes de recensement annuelles Insee Le recensement de la population permet de conna tre la population de la France dans sa diversit et son volution Il fournit des statistiques sur le nombre d habitants et sur leurs caract ristiques Depuis 2004 le recensement est annuel et le comptage traditionnel est remplac par des enqu tes de recensement annuelles Il repose d sormais sur une collecte d infor mations annuelle concernant successivement tous les territoires communaux au cours d une p riode de cinq ans Les communes de moins de 1
12. Contrat local de s curit CLSH Centre de loisirs sans h bergement CMS Centre m dico social CMU Couverture maladie universelle CUCS Contrat urbain de coh sion sociale DDASS Direction d partementale des affaires sanitaires et sociales DIV D l gation interminist rielle la ville DRE Direction r gionale de l quipement NB Nota bene PLIE Plan local pour l insertion et l conomie PMI Protection maternelle et infantile REP R seau d ducation prioritaire SGARE Secr tariat g n ral des affaires r gionales et europ ennes SIG Syst me d information g ographique SRU Loi solidarit et renouvellement urbains ZUS Zone urbaine sensible ZEP Zone d ducation prioritaire Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 117 118 Bibliographie indicative MM D l gation interminist rielle la ville DIV F d ration nationale des agences d urbanisme FNAU D finition d un syst me d observation dans les quartiers des agglom rations fran aises Paris DIV janvier 2001 76 p annexes W D l gation interminist rielle la ville DIV F d ration nationale des agences d urbanisme FNAU Observation locale de la politique de la ville guide m thodologique Paris DIV Parution lectronique en juin 2008 www i ville gouv fr E D l gation interminist rielle la ville DIV Insee Tableaux de bord sociod mographiques des quartiers guide m
13. acad mique d information et d orientation Nous avons fait le choix volontaire de parler de niveau scolaire et non de r ussite Au coeur de tous les dispositifs la notion de r ussite scolaire semble difficile appr hender travers des donn es Si la r ussite se mesure l aune du dipl me obtenu ou de l acc s un emploi r mun r il ne faudra pas oublier de s int resser aux conditions de vie et de travail E Mettre en lien avec les niveaux de formation les cat gories socioprofessionnelles et les conditions de logement POUR EN SAVOIR PLUS statistiques En effet quel moment une personne aura t elle r ussi Le degr d exigence sera fonction du contexte familial et social et ce qui pourra para tre comme une brillante r ussite pour certains ne sera qu un r sultat m diocre pour d autres Collectif La notion de r ussite in Diversit n 152 mars 2008 211 p N Quelle est la mixit POURCENTAGE D L VES PLUT T D FAVORIS S l cole NOMBRE DE D ROGATIONS SCOLAIRES DANS LES TABLISSEMENTS DU QUARTIER Organismes fournisseurs 1 Rectorat 2 Inspections d acad mies 3 ONZUS Donn es par 1 Genre ge 2 et 3 Population de r f rence 1 et 2 et 3 l ves scolaris s PART D L VES BOURSIERS chelle 1 et 2 tablissement scolaire 3 ZUS Fr quence d actualisation 1 et 2 et 3 Annuelle NB Ce chiffre est fourni sur la
14. base des cat gories socioprofessionnelles des parents Organisme fournisseur Inspections d acad mies Population de r f rence El ves scolaris s chelle tablissements scolaires Fr quence d actualisation Annuelle NB Ce chiffre est peu fiable car tous les l ves pouvant b n ficier de bourses n en font pas forc ment la demande m connaissance du dispositif notamment NOMBRE DE CLASSES D ACCUEIL PAR TABLISSEMENTS ET NOMBRE D L VES PAR CLASSES Organisme fournisseur Inspections d acad mies Population de r f rence El ves scolaris s chelle tablissements scolaires Fr quence d actualisation Annuelle NB Cet indicateur permet d valuer la pression l entr e des tablissements ou au contraire l vitement de certains Toutefois il faudra faire attention l interpr tation un d ficit de demandes ne signifie pas forc ment un probl me d image ou d attractivit NOMBRE D L VES CHANGEANT DE SECTEUR A LA SORTIE DE LA MATERNELLE ET DU PRIMAIRE Organisme fournisseur Inspections d acad mies Population de r f rence El ves scolaris s chelle tablissements scolaires Fr quence d actualisation Annuelle E Organismes fournisseurs Rectorat Inspections d acad mies Population de r f rence l ves primo arrivants Idem chelle tablissement scolaire Idem Fr quence d actualisation Annuelle Id
15. compl ter l analyse Attention la liste des indicateurs n est pas exhaustive Il s agit de certains indicateurs de contexte qui peuvent tre compl t s avec les donn es produites par les acteurs de terrain Une approche par organismes qui comprend toutes les informations pratiques pour entrer en contact avec eux et acc der aux donn es produites Un glossaire o sont d finis les termes marqu s du signe x ainsi que les principaux sigles et partenariale Ce travail a t accompagn par un comit de suivi compos de repr sentants du service d tudes du SGARE des Caisses d allocations familiales du Bas Rhin et du Haut Rhin du Conseil g n ral du Bas Rhin de la Pr fecture du Haut Rhin de l Agence de d veloppement et d urbanisme de l agglom ration strasbourgeoise ADEUS et de l Agence d urbanisme de la r gion mulhousienne AURM W Le contenu de toutes les fiches th matiques a t valid par les organismes producteurs ou fournisseurs de donn es concern s Comment mettre en place et mener une d marche d observation Qu est ce que l observation L observation consiste en une action de suivi attentif des ph nom nes sans volont de les modifier ou de les influencer l aide d enqu tes d tudes ou de donn es quan titatives C est une d marche qui permet de recueilli de cr er et de traiter des donn es quantitatives et qualitatives pour arriver une meilleure conna
16. de suivi diff renci s exemples tableaux de bord pour les donn es quantitatives grille d analyse pour les entretiens Vous trouverez p 13 quelques conseils et outils pour mener une d marche de terrain Pourquoi observer L observation des territoires est un outil de connaissance du territoire de sa situation actuelle de son volution d aide la d cision pour la d finition des politiques mettre en uvre d animation du territoire en tant que support une dynamique partenariale dans le cadre d un diagnostic partag de pr vention en d tectant et en anticipant les volutions WA ce titre l observation fait partie int grante des processus d valuation En effet toute valuation vise mesurer les impacts d une action d une politique d un dispositif Ces actions ont souvent t d finies sur la base d un diagnostic Il appara t donc n cessaire d actualiser et de suivre ces donn es afin de savoir ce qui a pu changer et d identifier les impacts des actions mises en uvre Les proc dures d valuation reposent sur des Afin de contourner ces limites il est n cessaire de ne pas se satisfaire d une seule analyse d une seule source ou d un seul chiffre Il est recommand de croiser les regards et les sources utilis es en sollicitant aussi bien des acteurs de terrain que des structures productrices de donn es pour obtenir une image du territoire la plus fiable possible Les
17. des trangers les faits port s sur la main courante et les infractions constat es par d autres institutions douanes inspections du travail r pression des fraudes L analyse des donn es issues de l tat 4001 doit faire l objet d une attention particuli re Les faits commis ne sont pas tous de m me ampleur et la localisation des faits n est pas forc ment pertinente l infracommunal les centres commerciaux ou centres des villes connaissent souvent une surrepr sentation de faits Par ailleurs l exploitation des donn es concernant les personnes mises en cause n est que peu repr sentative dans la mesure o environ 80 des vols ne sont pas lucid s Le Syst me d information g ographique de l Observatoire national des zones urbaines sensibles DIV Le Syst me d information g ographique SIG de l Observatoire national des zones urbaines sensibles ONZUS vise diffuser de l information statistique territorialis e sur les quartiers relevant des dispositifs politique de la ville travers une grille d indicateurs appropri s l observation des territoires au service des acteurs de la politique de la ville consolider cette information tous les niveaux territoriaux afin de permettre l accompagnement des politiques publiques et l valuation des dispositifs mis en place Avec la mise en place des Contrats urbains de coh sion sociale 2007 2010 ces deux missions sont appel es se renforcer
18. des coll ges Niveau V CAP ou BEP Niveau IV baccalaur at g n ral technologique ou professionnel Niveau III dipl mes de niveau Bac plus 2 DUT BTS DEUG coles des formations sanitaires ou sociales Niveaux II et I dipl mes de second ou troisi me cycle universitaire ou dipl mes de grandes coles Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Tous les habitants du territoire chelle Communale et infracommunale NOMBRE D ACTIFS ET TAUX D ACTIVIT Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 NB La nomenclature des Professions et cat gories socioprofessionnelles PCS classe la population selon une synth se de la profession ou de l ancienne profession de la position hi rarchique et du statut salari ou non Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation Insee D claration annuelle de donn es sociales Annuelle Donn es par NB Genre Nationalit ge Ne sont pas r f renc s les salari s de la fonction publique d tat et les particuliers employeurs Concernant les activit s temps partiel il est possible de conna tre le nombre d heures r alis es par p riode de travail mais pas l ensemble des situations de multi activit s Population de r f rence Salari s du priv de la fonction publique territoriale et de la fonction pu
19. des donn es sur les Zones urbaines sensibles et sur les quartiers des Contrats urbains de coh sion sociale produites par des partenaires institutionnels ou des organismes sp cialis s l Insee pour le Recensement de la population ou encore le fichier SIRENE l ANPE pour les demandeurs d emploi le minist re de l Int rieur pour l tat 4001 le minist re de l ducation nationale pour le profil des l ves etc Les donn es territoriales collect es sont mises la disposition des acteurs locaux de la politique de la ville et plus g n ralement du public dans le respect des r gles de diffusion sur le site Internet SIG Ville Les informations mises disposition d crivent les territoires prioritaires et les situent au sein de leurs territoires englobant communes agglom ration d partements r gion France enti re Ces l ments sont disponibles sous la forme de tableaux de documents num ris s et de cartes statiques et dynamiques ACCESSIBILIT AUX DONN ES L Oriv produit r guli rement des travaux ou des notes la demande de ses financeurs sur des sujets relevant de ses domaines de comp tences Par ailleurs l Oriv r alise chaque ann e une analyse des donn es quantitatives relatives la population primo arrivante en Alsace ainsi qu une analyse sp cifique des donn es relatives la population trang re sur la base du recensement de la population Les travaux de l Oriv ont une vocation informative et se v
20. du surendettement des locataires ou propri taires pouvant cr er des difficult s dans certaines copropri t s La concentration de logements sociaux sur certains territoires est l origine d une diff renciation socio conomique des espaces de la ville Pour y rem dier les pouvoirs publics incitent promouvoir la mixit sociale Dans la soci t fran aise la mixit est vue comme un rem de un objectif atteindre inscrit d ailleurs dans la loi dans la mesure o elle est consid r e comme une alternative la s gr gation urbaine et sociale La loi Solidarit et renouvellement urbains SRU a fait de la notion de mixit sociale un principe directeur sans toutefois en donner les modes d utilisation et de mise en uvre Elle consiste favoriser et valoriser la cohabitation dans un m me espace de personnes de sexes de g n rations de cat gories socioprofessionnelles et d origines nationales diff rentes Mais la cohabitation impos e ne g n re pas forc ment des liens entre les personnes et peut tre porteuse de tensions de conflits de voisinage etc Avant de s int resser la mixit ou non d un territoire il convient de d finir de quelle mixit on parle sociale culturelle ethnique g n rationnelle conomique et quel niveau g ographique elle serait souhaitable la cage d escalier quelques immeubles le quartier la ville ll s agit davantage de rechercher un quilibre social
21. eaoa a a 03 Institut national de la statistique et des tudes conomiques 104 Observatoire de l habitat du Haut Rhin 105 Observatoire national des zones urbaines sensibles L 106 Observatoire r gional de l int gration et de la ville 07 Observatoire r gional de la sant en Alsace 08 El APAL EA N E A N A 09 Union r gionale des structures d insertion par l conomique d Alsace 110 IG o e a e a O E 114 Liste des sigles nn 117 Bibliographie indicative rriren 118 Index des indicateurs et th mes rrr 119 Remerciements 20 W Observer un territoire ses caract ristiques sociod mographiques son volution celle a A A a de la population est un enjeu important pour l action court et long terme En effet seule la connaissance fine des sp cificit s locales et la mise en perspective dans le temps permettent la mise en uvre d actions adapt es et l ajustement de celles d j ZE en place Mais observer est une d marche qui n cessite la mobilisation de comp tences et de techniques per ues souvent comme complexes par les lus et les acteurs institutions associations WI en r sulte fr quemment une d marche d observation rapide bas e sur quelques indicateurs ou le recours des
22. existantes peuvent tre des leviers pour mener une d marche partag e d observation du territoire avec des acteurs sp cialistes qu ils soient habitants b n voles ou salari s associatifs repr sentants de collectivit s locales services de I Etat Services publics et quipements de proximit poste police mairie agences locales bailleur centre m dico social biblioth que centre socioculturel quipement sportif et quipements d accueil des enfants cr ches centres de loisirs sans h bergement halte garderie lieux d accueil parents enfants etc On peut aussi s interroger sur la fr quentation de ces quipements Commerces de proximit ou zone de chalandise plus large Cette approche permet d identifier le niveau d quipement du territoire et son attractivit L objectif est de savoir s il existe une offre de service pour les habitants sur le territoire ou de bonnes conditions d accessibilit aux services situ s ailleurs dans la ville ou encore si les quipements du territoire attirent des habitants d autres secteurs Kuban VU A LLLA i Monographie urbaine if WI est n cessaire de conna tre les principales caract ristiques d un territoire avant de s int resser ses habitants Cette tape constitue un pr liminaire la d marche d observation dans la mesure o elle va permettre d identifier les points forts et les points faibles d un territoire
23. financier de l tat de l ACS Agence nationale pour la coh sion sociale et l galit des chances de collectivit s locales ainsi que des moyens issus des cotisations des adh rents de l association Les diff rentes missions de l Oriv Rendre accessible l information et les ressources via son centre de documentation MW Produire de la connaissance des analyses afin de combler des carences sur des sujets particuliers rendre accessibles les donn es existantes et permettre une meilleure compr hension des processus W Favoriser les changes de connaissances et la diffusion des pratiques et exp riences MW Accompagner les acteurs dans leurs missions Cet accompagnement porte aussi bien sur le fond apport de connaissances sur des sujets en lien avec les travaux de l Oriv que sur la forme appui m thodologique Pr sentation du guide Un guide m thodologique W L Observatoire r gional de l int gration et de la ville en tant que centre de ressources politique de la ville en Alsace m ne des missions d accompagnement aupr s des acteurs notamment des collectivit s b n ficiant de dispositifs de d veloppement social urbain savoir des Contrats urbains de coh sion sociale CUCS travers ces missions l Oriv a identifi des besoins manant des professionnels de la politique de la ville en mati re d observation et de connaissance des territoires Par ailleurs deux circulaires de juillet 2007 ont
24. fournies sont celles de cat gorie 1 c est dire sans emploi la recherche d un emploi temps plein NOMBRE ET PART DES DEMANDEURS D EMPLOI DE FAIBLE NIVEAU DE FORMATION Organisme fournisseur et source Insee ANPE ONZUS Donn es par Genre Nationalit ge Idem Population de r f rence Tous les DEFM inscrits l ANPE Vldem chelle Commune et ZUS Idem Fr quence d actualisation Trimestrielle Annuelle NB Le nombre de demandeurs d emploi peut tre crois avec le niveau de formation Est consid r comme faible niveau de qualification l infra V cf p 36 NOMBRE PART ET NIVEAU DE FORMATION DES DEMANDEURS D EMPLOI DE MOINS DE 25 ANS ET DE PLUS DE 50 ANS Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation Insee ANPE Trimestrielle Donn es par NB Genre Nationalit ge Permet d identifier les demandeurs d emploi A de longue dur e Population de r f rence sea Tous les DEFM inscrits l ANPE chelle Commune et ZUS Ces indicateurs permettent de rendre compte des diverses r alit s du ch mage Le taux de ch mage est le rapport en entre une estimation du nombre de ch meurs et la population active estim e au lieu de r sidence La population active comprend les personnes occupant un emploi et les ch meurs Il est calcul trimestriellement par l INSEE et s appuie sur l enqu te emploi Les taux de ch mage dits l
25. int gration statistiques ethniques enqu tes sur les patronymes mesure de la diversit barom tre de l int gration Avis Monsieur le Premier ministre Paris HCI janvier 2007 57 p Oriv trangers et immigr s en Alsace guide pour comprendre et agir dition 2006 Strasbourg Oriv d cembre 2006 2 volets 63 fiches Michele Tribalat Faire France Une enqu te sur les immigr s et leurs enfants Paris La D couverte 1995 225 p WJulie Bourgoint et Elisabetta Salvioni Mesurer l int gration des trangers vivant en Europe in Hommes et migrations n 1272 mars avril 2008 9 p TITI A Int gra ont discrithin nt Quelle est la r alit La notion de discrimination est plus facile appr hender car elle fait l objet d une d finition juridique En effet les discriminations consistent en toute action ou attitude qui conduit situation de d part identique un traitement d favorable de personnes du fait d un crit re ill gitime qu une intention discriminante soit ou non l origine de cette situation Le d lit de discrimination est inscrit dans le Code p nal art 225 1 QUI EST CONCERN PAR LES DISCRIMINATIONS B TA des discriminations DES INDICATEURS DE DISCRIMINATION Les personnes discrimin es ne constituent pas un groupe stable dans le temps Le fait d tre discrimin r sulte d un comportement d favorable refus d un bien ou d un service reposa
26. la ville Par ailleurs il existe un fort cart entre le sentiment d in s curit et la r alit statistique mesur e par le d nom brement des plaintes d pos es L impact m diatique de certains crimes et d lits peut tre particuli rement fort m me s ils sont assez rares ou qu ils ne donnent pas lieu un d p t de plainte Il conviendra alors de s interroger sur deux points la r alit de la d linquance et des violences urbaines et les moyens mobilis s en mati re de pr vention Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 73 Quelle est la r alit de la d linquance NOMBRE DE FAITS CONSTAT S Organismes fournisseurs et sources Contrats locaux de s curit ONZUS chelle Communale et intercommunale 1 ZUS Fr quence d actualisation Mensuelle Annuelle NOMBRE DE FAITS LUCID S NB II s agit de tous les faits ayant donn lieu un d p t de plainte et de toutes les infractions constat es consommation ou trafic de stup fiants personnes en situation irr guli re sur le territoire Organisme fournisseur et source Contrats locaux de s curit chelle Communale et intercommunale Fr quence d actualisation Mensuelle D LINQUANCE DE PROXIMIT NB MI s agit de tous les faits pour lesquels les coupables ont t identifi s Pour conna tre les caract ristiques sexe ge des auteurs prendre contact avec le Parquet Org
27. les familles concilier vie professionnelle vie familiale et vie sociale Soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents enfants Accompagner les familles dans leurs relations avec l environnement et le cadre de vie Cr er les conditions favorables l autonomie l insertion sociale et au retour l emploi des personnes et des familles Ces missions se traduisent par le versement de prestations aux familles et aux personnes en situation pr caire ainsi que par une offre de services dans les champs de l action sociale DONN ES PRODUITES Direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement DREAL Coordonn es 2 route d Oberhausbergen BP 81005 67200 Strasbourg Cedex t l 03 88 13 05 00 www alsace developpement durable gouv fr Statut de la structure Service d concentr de l tat Personne r f rente Jean Fran ois Schmitt responsable de la diffusion au service de l information statistique t l 03 88 13 06 45 mail jeanfrancois schmitt developpement durable gouv fr MISSIONS G N RALES Les donn es sont produites partir des fichiers des clients allocataires b n ficiaires des diff rentes aides de la CAF ce qui repr sente une couverture totale de 45 de la population r gionale et jusqu 80 des habitants sur certains territoires CUCS La CAF dispose galement de donn es relatives aux col lectivit s locales et aux associations qui
28. les maires et les pr fets L habitat insalubre est insalubre tout immeuble b ti ou non vacant ou non dangereux pour la sant des occupants ou des voisins du fait de son tat ou de ses conditions d occupation L insalubrit s analyse au cas par cas et apr s visite des lieux par la DDASS Organisme fournisseur et source NB DRE Fichiers de gestion Pour cet indicateur il est pr f rable chelle de se baser sur les d cisions de financement de are Les dates de d marrage des travaux et de livraison manquent de fiabilit Fr quence d actualisation Les communes b n ficiant d un programme Annuelle de r novation urbaine ANRU disposent de ces donn es suivi des conventions en cours l chelle infracommunale E Mettre en lien avec les revenus des habitants ES POUR EN SAVOIR PLUS Fondation Abb Pierre L tat du mal logement en France Rapport 2007 Paris Fondation Abb Pierre 251 p WE Quelle est la situation sociale PART DES LOCATAIRES EN LOGEMENT SOCIAL Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Nationalit Population de r f rence M nages chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 NB Les donn es relatives au type de logement occup priv social sont peu fiables recueil sur la base du d claratif lors du recensement de la population Il est p
29. livr es gratuitement mais leur transmission fait l objet d une convention entre la structure demandeuse et la CAF De plus en vertu de l accord CNIL actuel l acc s aux donn es CAF est limit aux organismes charg s de l valuation des politiques publiques collectivit s locales entre autres Les donn es produites par la DREAL sont des statistiques concernant le logement le transport et l am nagement Les donn es ont pour but d alimenter en information le d bat public et d aider la prise de d cision interne Elles sont produites travers diverses sources administratives et par enqu tes aupr s des centres instructeurs bailleurs promoteurs lotisseurs ACCESSIBILIT AUX DONN ES Les donn es font l objet d un devis Selon les sources elles peuvent tre soumises au secret statistique pour les donn es n cessitant un traitement statistique particulier voir conditions aupr s de la personne referente Leur transmission peut faire l objet d une convention ou d un acte d engagement entre la structure demandeuse et la DREAL Les publications sont en acc s libre sur le site internet de la DREAL LULU X X X XXXXXX 2 A Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi DIRECCTE Personne r f rente Clement Hecht chef du service tudes et statistiques t l 03 88 15 43 31 mail clement hecht direccte gouv fr Coordonn es 6 rue Gu
30. pos un cadre r glementaire nouveau rendant n cessaire le recours des indicateurs pour les communes b n ficiant d un CUCS du fait de l valuation des CUCS bilans annuels des effets des actions et impacts structurels sur les territoires trois ans la red finition de la g ographie prioritaire et la demande de b n ficier d l ments d appr ciation de la situation et de l volution de tous les territoires CUCS sur le mod le de l observatoire des ZUS Partant de ces constats et en lien avec le Secr tariat g n ral aux affaires r gionales et europ ennes SGARE l Oriv a r alis e Guide de l observation sociale territorialis e Ce guide est un outil m thodologique pour observer et analyser les volutions des territoires Il propose les indicateurs de contexte les plus courants et non des donn es chiffr es pour observer tous les territoires MW Sa vocation premi re est l observation des territoires pour l valuation des Contrats urbains de coh sion sociale Par extension toute d marche d observation territoriale peut s appuyer sur la m thode propos e Ce guide s adresse tous les acteurs d sireux de mener une d marche d observation de leur territoire chefs de projets charg s de missions associations travailleurs sociaux etc Exemples d utilisation Un chef de projet coh sion sociale souhaite laborer un tableau de bord pour suivre et mesurer les volutions du terri
31. qualit des relations de voisinage ou d identifier l existence de r seaux amicaux forts cf p 14 de lien social W La participation des habitants est pos e comme un enjeu des dispositifs de d veloppement social urbain voire une condition de r ussite Mais les d marches participatives sont multiples et renvoient des formes et des modalit s tr s diff rentes la consultation la concertation la cogestion ou cod cision De m me les lieux ou instances dans lesquelles les habitants peuvent participer sont tr s divers Si les structures institutionnalis es type conseil de quartier mobilisent peu de personnes l implication dans la vie associative ou l organisation d animations donnent une image diff rente de la volont d expression et d engagement des habitants Sherry R Arnstein 1969 a mis au point une chelle permettant de mesurer et de mod liser le degr de participation des habitants aux projets les concernant Niveau 1 Manipulation Niveau 2 ducation Ces deux premiers niveaux supposent un public passif qui on fournit des informations pouvant tre partiales et partielles Niveau 3 Information Le public est inform sur ce qui va se produire sur ce qui est en train de se produire et sur ce qui s est d j produit Niveau 4 Consultation Le public a la parole mais n a aucun pouvoir dans la prise de d cision iveau 5 Implication Les opinions du public ont quelques influences mais ce
32. sont encore es d tenteurs du pouvoir qui prennent les d cisions Niveau 6 Partenariat Le public peut commencer n gocier avec les d cideurs incluant un accord sur les r les les responsabilit s et les niveaux de contr le iveau 7 D l gation de pouvoirs D l gation partielle des pouvoirs Niveau 8 Contr le des citoyens D l gation totale dans la prise de d cision E Mettre en lien avec les quipements publics et les caract ristiques de la population POUR EN SAVOIR PLUS Za r Kedadouche Synth se du rapport sur la participation des habitants dans les op rations de renouvellement urbain Paris IGAS avril 2003 12 p Pierre Yves Cusset Centre d analyse strat gique Les volutions du lien social un tat des lieux in Revue Horizons strat giques n 2 octobre 2006 16 p Oriv La Participation des habitants r flexions et questionnements Strasbourg Oriv mars 2000 28 p Oriv Comprendre les obstacles la participation citoyenne Contribution une autre reconnaissance du citoyen Strasbourg Oriv d cembre 2004 44 p 90 Lien social et proximit Il est assez difficile de mesurer quantitativement le lien social les relations et interactions entre individus ou l implication civique qui va au del de la participation lectorale sur un territoire L approche qualitative de terrain permettra de renseigner ces questions Reste
33. ville Elle est devenue un axe d intervention part enti re dans les Contra urbains de coh sion sociale et est reconnue dans diff rentes lois comme l une des composantes de la lutte re les exclusions i tudes il appara t que les in galit s de aines sont plus importantes que les in ines Le ch mage et la pr carit dans nt les conditions de vie et les jale sont des facteurs majeurs Quel est l tat de sant NOMBRE DE PRATICIENS M DICAUX ET PARAM DICAUX Organismes fournisseurs et sources 1 Union r gionale des caisses d assurance maladie URCAM C rtosant 2 ONZUS chelle 1 Commune 2 ZUS CONSOMMATION DE SOINS Fr quence d actualisation 1 Annuelle 2 Annuelle NB Pour un zonage plus fin effectuer la recherche dans l annuaire Site www urcam assurance maladie fr Organisme fournisseur et source URCAM C rtosant chelle Commune Fr quence d actualisation Annuelle NB Ce chiffre rend compte d une tendance g n rale il ne permet pas d identifier la raison des soins Site www urcam assurance maladie fr NOMBRE DE B N FICIAIRES UTILISATEURS DE LA CMU COMPL MENTAIRE Organisme fournisseur et source URCAM Ameli chelle D partement Fr quence d actualisation Annuelle BILANS DE SANT SCOLAIRE NB La Couverture maladie universelle CMU est une garantie offerte toutes les personnes r sidant r guli rement en France depui
34. 0 000 habitants r alisent une enqu te de recensement portant sur toute la population raison d un cinqui me des communes chaque ann e Les communes de 10000 habitants ou plus r alisent tous les ans une enqu te par sondage aupr s d un chantillon repr sentant 8 de leur population Ainsi chaque ann e l enqu te annuelle constitue un chantillon de 14 des personnes vivant en France Ce n est donc qu partir de 2008 que l ensemble des habitants des communes de moins de 10000 habitants et que 40 de la population des communes de 10000 habitants ou plus auront t pris en compte dans le nouveau recensement En Alsace les donn es infra r gionales ne seront pas disponibles avant 2009 2010 Les derni res donn es disponibles l infracommunal datent de 1999 dernier recensement g n ral de la population W Concernant certaines donn es sensibles comme la nationalit ou l origine lieu de naissance pour les trangers le seuil requis pour l exploitation des donn es est de 5 000 habitants De fait l analyse portera sur des regroupements d Iris lots infracommunaux de 2000 habitants environ on parle alors de Triris 2 Pour en savoir plus www cnis fr ou wwwr cnil fr D claration annuelle de donn es sociales Insee La D claration annuelle des donn es sociales DADS est une formalit d clarative que doit accomplir toute entreprise employant des salari s Dans ce document commun aux administrations fiscales e
35. 3 p Collectif Guide m thode valuation des programmes de r ussite ducative Evry CRPV Essonne 2007 40 p W Profession banlieue Familles et professionnels quelle coop ration 7 in Les Cahiers de Profession banlieue juin 2006 130 p Francis Lebon Les strat gies ducatives des familles et l encadrement du temps libre des enfants in Diversit n 141 juin 2005 pp 169 178 PR D 07 72 64 Education Observer les volutions sur le plan scolaire n cessite la mobilisation de donn es quantitatives au niveau du Rectorat et ou de l Inspection acad mique mais aussi aupr s des acteurs de terrain En effet l ducation rel ve de diff rents acteurs ducation nationale parents animateurs Si les donn es prises isol ment fournissent des l ments de cadrage il est important de mettre en perspective les conditions d enseignement les moyens de l ducation en g n ral dedans et hors l cole le niveau scolaire La compr hension des enjeux de mixit l cole et la question de la parentalit passe par la mobilisation d indicateurs quantitatifs mais aussi le recours des donn es qualitatives entretiens observation participation des groupes de r flexion Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 65 thematique 6 a th matique sant a connu une mont e en puissance dans le champ de la politique de la
36. DS gestion de r pertoires nationaux SIRENE Etat civil ACCESSIBILIT AUX DONN ES L ODH 68 produit Un diagnostic d partemental de la situation du logement Se loger dans le Haut Rhin Une enqu te annuelle relative au niveau des loyers de mise en location pratiqu s dans le parc priv haut rhinois Le bulletin d information de l Observatoire Habiter le Haut Rhin dit deux fois par an Une tude annuelle sur le parc locatif social dans le Haut Rhin Une note de conjoncture annuelle sur la connaissance des besoins en logement des populations en difficult s dans le Haut Rhin Les donn es produites permettent de disposer progressivement d une meilleure connaissance des besoins locaux en logements dans une logique d aide la d cision pour les acteurs locaux Conseil g n ral EPCI professionnels de l immobilier Ces tudes sont produites par l ODH 68 sur la base de donn es recueillies aupr s des principaux d tenteurs de donn es et dans le cadre d un partage de l analyse et des travaux avec les acteurs locaux partenaires de l Observatoire ACCESSIBILIT AUX DONN ES Site Internet www insee fr Par contact t l phonique 09 72 72 40 00 mail insee contact insee fr L ensemble des publications est consultable et t l chargeable sur le site Internet de l ADIL68 ODH www adil org 68 rubrique travaux de l Observatoire x Pa 2 al X X X al X
37. IA L grace au soutien financier de l int gration et de la ville dd 1 rue de la Course 67000 Strasbourg t l 03 88 14 35 89 fax 03 88 21 98 31 mail oriv alsace 2wanadoo fr www oriv alsace org
38. SPONIBLES Organisme fournisseur et source DRTEFP ANPE chelle D partement Fr quence d actualisation Mensuelle EMBAUCH ES ET PROFIL DES SALARI S NB Attention il s agit des offres ANPE qui ne repr sentent qu environ 40 des offres existantes De nombreux secteurs disposent de leurs propres r seaux de recrutement ex cadres professions m dicales et param dicales CONNAISSANCE DE L OFFRE D INSERTION PAR L CONOMIQUE NOMBRE DE STRUCTURES TYPE D ACTIVITE NOMBRE DE PERSONNES OS implant e sur le territoire ENTREPRISES ET COMMER ANTS PR SENTS SUR LE TERRITOIRE CARACTERISTIQUES TAILLE ACTIVIT DATE DE CR ATION Organisme fournisseur et source URSIEA Fichiers de gestion Donn es par Genre ge pour les salari s Population de r f rence Toutes les Structures d insertion par l activit conomique SIAE de la r gion et leurs salari s chelle D partementale et sur demande par zone d emploi Fr quence d actualisation Annuelle NB Les donn es sont localis es partir de l adresse de la structure Il n est pas possible de conna tre le lieu de r sidence des salari s un salari ne travaille pas forc ment dans son quartier On regroupe sous le terme de Structure d insertion par l activit conomique SIAE les Entreprises d insertion El Entreprises de travail temporaire d insertion ETTI Associations interm di
39. T DES LOGEMENTS chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 Organismes fournisseurs et sources 1 Insee Recensement de la population 2 DRE Enqu te bailleurs chelle 1 Communale et infracommunale 2 Commune et ZUS Fr quence d actualisation 1 Annuelle partir de 2009 2 Annuelle NB Les donn es de l Insee peuvent tre crois es avec les caract ristiques des r sidents ge nationalit La Direction r gionale de l quipement DRE fournit des donn es relatives aux logements sociaux Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation DRE enqu te bailleurs Annuelle chelle NB Commune et ZUS En Alsace les logements sociaux hors habitat collectif repr sentent environ 3 90 du parc NES La structure du parc de logement est assez bien connue gr ce au croisement des donn es entre l Insee et la DRE L volution du parc est plus difficile suivre notamment pour le parc priv Les Observatoires de l habitat ADEUS dans le Bas Rhin ODH dans le Haut Rhin m nent r guli rement des enqu tes sur les prix de vente des logements priv s ainsi que les niveaux de loyers Ces indicateurs permettent de pointer la mixit ou son absence des formes d habitat Ils fournissent par cons quence un premier l ment d explication sur la composition sociale du territoire Mais ces donn es ne permettent pas de conna tre le profil d
40. a situation dans l emploi l tat de sant l int gration des populations trang res le lien social et les changes locaux Elle renseigne sur les besoins en infrastructures et en activit s mettre en place Elle permet de dresser un profil des habitants du territoire population jeune vieillissante de relever les situations de fragilit population pauvre isol e ou au contraire ses atouts h matique 3 Emploi insertio et developpement L emploi le d veloppement conomique et l insertion professionnelle occupent une place centrale dans la poli tique de la ville Le taux de ch mage est un des principaux l ments de iagnostic des difficult s d un territoire Mais la situatio oi d pend d un contexte beaucoup plus large tie d appr hender la r alit du identifier les risques de pr ca Oriv Guide de NIVEAUX DE FORMATION Quel est le profil RS de la population active NOMBRE DE SALARI S EN CDD INTERIM EMPLOIS AID S STAGES Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Tous les habitants du territoire chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 CAT GORIES SOCIOPROFESSIONNELLES NB L Insee identifie 5 niveaux de dipl mes et de formations Niveau VI sans dipl me ou Brevet
41. able Dans le domaine conomique et social la pr carit est l absence des conditions et des s curit s permettant une personne une famille ou un groupe d assumer pleinement leurs responsa bilit s et de b n ficier de leurs droits fondamentaux Surpeuplement Un m nage est dit en situation de surpeuplement si le logement qu il occupe ne comporte pas un nombre de pi ces suffisant compte tenu du nombre de personnes dont il se compose Selon les conventions de l Insee sont n cessaires une pi ce de s jour une pi ce pour la personne de r f rence et son ventuel conjoint une pi ce pour chaque couple n incluant pas la personne de r f rence une pi ce pour les autres personnes de 19 ans et plus ne vivant pas en couple une pi ce par enfant dans le cas g n ral une pi ce pour deux enfants s ils sont du m me sexe ou ont moins de 7 ans Avec cette d finition une personne seule habitant un studio est en situation de sur peuplement Office fran ais de protection des r fugi s et apatrides OFPRA tablissement public charg de l application des textes fran ais et des conventions europ ennes et internationales relatives la reconnaissance de la qualit de r fugi d apatride et l admission la protection subsidiaire Liste des sigles ANRU Agence nationale pour la r novation urbaine CCAS Centre communal d action sociale CLAS Contrat local d accompagnement la scolarit CLS
42. acun remplit sa propre d claration de revenus compte pour deux foyers fiscaux Les donn es de l ann e 2005 sont disponibles pour tous les territoires sur le site internet de l Insee L ONZUS fournit cette donn e l chelle des Zones urbaines sensibles DISTRIBUTION DES REVENUS PAR UNIT DE CONSOMMATION DES RESSOURCES LR pr carit des habitants PART DE LA POPULATION COUVERTE PAR LES MINIMA SOCIAUX RMI API AAH Organismes fournisseurs et sources Insee DGI CAF Fichiers de gestion Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Foyers fiscaux Allocataires de la CAF chelle Communale 1 Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle Annuelle NB Le revenu fiscal par unit consommation UC est le revenu du m nage rapport au nombre d unit s de consommation qui le composent 1 adulte 1 UC 2 personne de plus de 14 ans et suivants 0 5 UC moins de 14 ans 0 3 UC Ce mode de calcul prend en compte la composition des m nages et les conomies d chelle li es la vie en groupe permet de comparer le niveau de vie de m nages de tailles et de comportements diff rents L ONZUS fournit cette donn e l chelle des Zones urbaines sensibles TAUX DE POPULATION SOUS LE SEUIL DES BAS REVENUS Organisme fournisseur et source CAF Fichiers de gestion Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence B n
43. aires AI R gies de quartier RQ Ateliers et chantiers d insertion ACI Les SIAE sont conventionn es par le Pr fet de d partement Organismes fournisseurs et sources NB Insee SIRENE ONZUS Le tissu conomique et sa variation P d une ann e sur l autre fournit un bon indice Echelle Nr se de l attractivit conomique du territoire Commune ZUS Fr quence d actualisation Annuelle Annuelle Pour en savoir plus sur l insertion socioprofessionnelle des jeunes sur un territoire il s av re pertinent de contacter la mission locale ou les Permanences d accueil d information et d orientation pour conna tre le nombre de personnes suivies Concernant les contrats en alternance il n existe pas de donn es l chelle infra d partementale Par ailleurs il n existe pas de donn es exhaustives pour conna tre quantitativement ou qualitativement le march du travail et la nature des offres d emplois W Concernant l activit conomique il existe de nombreux dispositifs visant encourager l implantation ou la p rennisation d entreprises Zones franches urbaines ZFU et Zone de redynamisation urbaine ZRU programmes de la Caisse des d p ts et des consignations programmes de l Etablissement public national d am nagement et de restructuration des espaces commerciaux et artisanaux EPARECA etc Par ailleurs la question du d veloppement conomique et des emplois existants doit tre p
44. aissance par l tat du droit individuel un minimum de ressources Il existe 8 minima sociaux l Allocation d insertion AI l Allocation veuvage l Allocation suppl mentaire d invalidit l Allocation de parent isol API l Allocation de solidarit sp cifique ASS l Allocation aux adultes handicap s AAH l Allocation suppl mentaire de vieillesse ASV le Revenu minimum d insertion RMI Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 115 116 Glossaire Mixit Elle consiste dans son acceptation actuelle favoriser et valoriser la pr sence et la cohabitation dans un m me espace de personnes diverses c est dire de sexes de g n rations de cat gories socioprofessionnelles et d origines nationales diff rentes Observer Cela consiste chercher comprendre analyser et organiser des faits mesurables suivre leur volution dans le temps et dans l espace Pauvret Il existe trois approches pour d finir la pauvret Institutionnelle population b n ficiant d un minimum social Mon taire population sous le seuil de bas revenus Par les conditions de vie examen des apports susceptibles d am liorer le confort et all ger l effort financier des m nages les plus d munis ex aides au logement CMU Pr carit La pr carit est l tat de ce qui est pr caire c est dire qui n offre aucune garantie de dur e qui est incertain sans base assur e r voc
45. andicap s d acc s ou de retour l emploi des demandeurs d emploi de qualification professionnelle et de VAE inciter les entreprises et les branches professionnelles travailler l adaptation des comp tences de leurs salari s et veiller aussi favoriser l am lioration des conditions de travail et de relations sociales pr server d velopper le tissu conomique r gional de proximit industrie commerce artisanat tourisme am liorer la comp titivit conomique des entreprises en les incitant d velopper l innovation l ouverture sur l international leur vigilance en mati re d intelligence et de s curit conomique DONN ES PRODUITES Les inspecteurs d acad mies dirigent les services d partementaux de l ducation nationale Ils veillent l application des objectifs nationaux et acad miques dans le d partement et repr sentent le ministre et le recteur Ils ont autorit sur l ensemble des personnels de l ducation nationale du d partement et ont pleine comp tence pour tout ce qui concerne l enseignement du premier degr coles maternelles et l mentaires Les inspections g rent les personnels du premier degr instituteurs et professeurs des coles ainsi que les Auxiliaires de vie scolaire pour l accompagnement individuel des l ves handicap s AVSi Elles organisent par ailleurs l enseignement du premier degr et proc dent aux ouvertures et fermetures de classes en fonction des besoin
46. anisme fournisseur et source Contrats locaux de s curit chelle Communale et intercommunale Fr quence d actualisation Mensuelle VIOLENCES URBAINES NB VII s agit de tous les vols cambriolages d gradations de biens publics Ces faits sont comptabilis s dans le nombre de faits constat s Organisme fournisseur et source Contrats locaux de s curit chelle Communale et intercommunale Fr quence d actualisation Mensuelle NB VII s agit du nombre de feux de v hicules d outrages et violences agents publics rod os de voitures Ces faits sont comptabilis s dans le nombre de faits constat s DO o et des violences urbaines La d linquance au sens large du terme est une infraction la loi p nale qu il s agisse d un crime d un d lit ou d une contravention Certains actes consid r s comme des incivilit s ne sont pas toujours recens s Ainsi les d gradations du b ti ne faisant pas n cessairement l objet de plaintes il peut tre utile de prendre contact directement avec les bailleurs Concernant les sources les Pr fectures centralisent l ensemble des donn es Cependant il sera souvent plus pratique de s adresser aux repr sentants des Contrats locaux de s curit au sein des collectivit s locales Par ailleurs l appr hension et la compr hension de ph nom nes de violences ne peut se limiter une approche statistique li e aux faits re
47. ant Les donn es ne sont pertinentes que sur des territoires assez grands et une dur e assez longue environ 10 ans W La solution pour observer les volutions en mati re de sant r side dans la mise en uvre d une d marche locale et qualitative bas e sur la prise en compte de la parole des usagers et des professionnels En effet la connaissance des probl matiques territoriales doit se faire travers une d marche locale de partenariat sur la base d un diagnostic partag Diff rents organismes comme l Orsal p 108 peuvent accompagner m thodologiquement ce type de d marche Certains territoires ont galement exp riment une approche de sant communautaire Cette notion implique une d marche de sant favorisant la participation des membres de la communaut entendue comme un groupe d individus ayant en commun un ensemble de caract ristiques la gestion de leur sant individuelle et collective Les usagers les acteurs les politiques les diff rents partenaires doivent tre associ s la d marche h matique S curit et pr de l delina La s curit et la pr vention jouent u dans les dispositifs de la politique de la ville Le de l t 1981 aux Minguettes aux v nements de l a tomne 2005 ont fait voluer l ensemble des dispositifs de d veloppement social urbain et la prise en compte de cette th matique dans le champ de la politique de
48. ants du territoire Parmi les allocataires de la CAF toutes Le taux peut tre calcul par rapport chelle les personnes c libataires divorc es veuves l ensemble des allocataires CAF een ot avec enfants ainsi que les couples mari s ou de la population l gale dont un seul conjoint vit au foyer situation d incarc ration travail l tranger NOMBRE ET TAILLE DES M NAGES SOLDE NATUREL ET NOMBRE DE NAISSANCES Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation Organisme fournisseur et source NB Insee Recensement de la population Annuelle partir de 2009 Insee tat civil Le solde naturel rend compte de la diff rence entre le nombre de naissances et le nombre de d c s Le nombre de naissances est mettre en lien avec l axe sant prise en charge chelle des petits enfants et des femmes enceintes Communale et infracommunale Donn es par NB Population de r f rence Genre Nationalit ge pour le chef Cet indicateur porte sur la composition Tous les habitants du territoire de m nage familiale familles nombreuses couples sans enfants et permet d identifier des situations Population de r f rence x d isolement personnes seules Tous les habitants du territoire Fr quence d actualisation chelle Annuelle Communale et infracommunale CARACT RISTIQUES DES ALLOCATAIRES DE LA CAF La structure d mographique constitue un l ment d appr ciation du dyna
49. ations r seaux de soins actions de promotion de la sant le syst me de soins et m dico social offre r partition g ographique flux g ographiques des usagers activit s acc s financier a situation sanitaire et sociale de populations sp cifiques personnes en situation de pr carit personnes g es m re enfant migrants personnes handicap es es diagnostics locaux de sant ACCESSIBILIT AUX DONN ES Au sein du rectorat ce service a pour mission de contribuer l am lioration de la connaissance de la gestion et de l valuation du syst me ducatif dans l acad mie gr ce la production d informations adapt es aux besoins nationaux et locaux en assurant le maximum de fiabilit aux donn es collect es dans le respect des calendriers fix s l exploitation de bases de donn es pour r pondre aux demandes d informations statistiques qu elles soient internes ou externes a r alisation d tudes dans une perspective d aide la d cision et de pilotage a diffusion de l information et des tudes disponibles a coordination et l harmonisation des donn es statistiques produites dans l acad mie DONN ES PRODUITES Les donn es produites concernent les l ves scolaris s et les tablissements Chaque tablissement scolaire renseigne la base acad mique des l ves qui est ensuite centralis e au niveau du Rectorat pour les tablissements du secondaire coll ge
50. blique hospitali re chelle Commune WI faut souligner qu avoir un emploi n emp che pas les situations de pauvret ou de pr carit aujourd hui environ 3 personnes pauvres sur 10 ont un emploi Dans ce contexte une analyse des conditions d emploi type de contrat dur e de travail et du niveau de formation permet d identifier les risques de fragilisation W Par ailleurs il est pertinent de s int resser la situation des femmes et des jeunes moins de 25 ans ainsi que des trangers qui sont g n ralement plus durement touch s par le ch mage Les cat gories socioprofessionnelles niveaux de formation et taux d activit sont des indicateurs de mixit sur un territoire E Mettre en lien avec les revenus des m nages la structure de l habitat le niveau de pr carit des habitants Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Tous les habitants du territoire chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 NB Le taux d activit est le rapport entre le nombre d actifs actifs occup s et ch meurs et la population totale correspondante POUR EN SAVOIR PLUS MW Serge Auvray Retrouver un emploi in Chiffres pour l Alsace revue n 41 novembre 2007 pp 7 10 Quelle est l activit conomique NOMBRE ET NATURE DES OFFRES D EMPLOIS DI
51. bservations de terrain via des grilles d observation Cette m thode permet d tudier les v nements tels qu ils se produisent et de compl ter les autres m thodes d analyse Les enqu tes compl mentaires permettant de produire des donn es non existantes par questionnaire ou par entretiens collectifs ou individuels sous forme de r cits de vie ou de micro trottoir aupr s des habitants ou des professionnels du territoire etc cf p 13 Dans chacun des cas il faudra veiller V rifier la pertinence des donn es recueillir c est dire l ad quation entre le type d informations que l on recueille et l objectif recherch V rifier la validit des informations recueillies Un outil n est valide que s il mesure ce qu il est suppos mesurer V rifier la fiabilit des proc dures de recueil les informations seraient elles les m mes si elles taient recueillies par une autre personne ou un autre moment 4 Constater analyser et interpr ter ses observations Une fois les donn es recueillies il faudra les analyser c est dire constater un ensemble de faits de tendances de disparit s de nouveaut s L interpr tation des donn es consiste mesurer la signification des chiffres et de ce qu on a pu observer Pour cela il sera utile de comparer les chiffres une population de r f rence statistiques l chelle de la commune du d partement ou de la r gion Il s agit galement de chercher
52. comprendre les tendances par exemple en se demandant pourquoi la situation a volu dans ce sens en v rifiant que le mode de recueil ou de calcul des donn es n a pas chang W5 Communiquer ses observations Avant de communiquer ses observations il faudra veiller tablir des constats tay s Prendre en compte les attentes et les logiques des destinataires Transformer les informations de terrain en informations strat giques Adopter un langage compr hensible par tous Par ailleurs il est important de pr ciser les sources des donn es utilis es Quelques recommandations pour compl ter l approche statistique L approche statistique ou quantitative qui sera d clin e tout au long de l approche th matique pp 21 95 n cessite souvent d tre compl t e par une approche de terrain observations enqu tes par questionnaire entretiens individuels et ou collectifs Cette derni re permet de donner du sens aux donn es chiffr es et de compl ter ou de palier aux limites statistiques Elle permet galement de prendre en compte le point de vue des habitants et ou des professionnels de terrain La m thode adopter sera fonction d une part des donn es existantes et disponibles aupr s des producteurs de donn es et d autre part des questionnements qui auront guid la d marche Nous ne d taillerons pas ici la m thodologie de ces approches Vous trouverez dans la bibliographie p 118 quelques
53. des politiques publiques dans les domaines de la politique de la ville du logement et de l habitat des d placements urbains de l am nagement et de l conomie L AURM est compos e d une quipe d environ quinze salari s DONN ES PRODUITES L ADEUS pilote plusieurs observatoires th matiques L Observatoire de l habitat diff rentes chelles territoriales volution des loyers du parc priv demande de logements sociaux b n ficiaires des aides au logement rapport annuel sur le march du logement etc L Observatoire des d placements L Observatoire des zones urbaines sensibles qui s inscrit dans le cadre de la loi du 1 ao t 2003 et qui aborde six grandes th matiques habitat et cadre de vie d veloppement conomique et emploi sant r ussite scolaire s curit et tranquillit publiques mobilisation des services publics Cet observatoire a vocation tre absorb dans un observatoire soci tal en cours d installation Les donn es produites ont vocation informer et tre un guide pour l action des partenaires de l agence Les tudes sont produites sur la base des donn es fournies par les partenaires exemple CAF DREAL ACCESSIBILIT AUX DONN ES L AURM produit des tudes en lien avec sa fonction d observatoire sur les th mes suivants Observatoire du programme de r novation urbaine Observatoire des zones urbaines sensibles Observatoire des quartiers pol
54. difficult s qui ne rel vent pas proprement parler d un d ficit d int gration mais de ph nom nes de discriminations Le lieu de r sidence ne fait pas partie des crit res prohib s par la loi Cependant la discrimination territoriale est une r alit v cue par de nombreux habitants de quartiers d habitat populaire Ajout e la discrimination li e l origine suppos e ou r elle il peut y avoir un ph nom ne de double discrimination voire triple pour les femmes thematique 9 La question du lien social c est dire les relations e interactions entre individus des changes locaux et de la participation des habitants ne se satisfait pas d une seule analyse sur la base de donn es statistiques ll n existe pas d chelle de citoyennet mais des mar queurs peuvent tre identifi s comme le b n volat associatif la participation aux lections pour les personnes de plus de 18 ans et de nationalit fran aise etc L approche de terrain et des enqu tes r guli res aupr s des habitants et des professionnels peuvent rendre compte de la situation sur un territoire de mani re fine Oriv l Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 87 Quelles sont les formes TAUX DE PARTICIPATION ELECTORALE Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation Mairie ou journaux locaux chaque lection Population de r f rence NB Fran ais de 18 ans et pl
55. dividuels et ou collectifs W L utilisation de l entretien est adapt e lorsqu on veut travailler sur des attitudes des perceptions des comportements individuels L entretien permet de saisir le sens que les acteurs donnent leurs pratiques ou aux faits de reconstituer un processus d action ou un v nement d analyser un probl me pr cis Il existe diff rentes techniques d entretiens plus ou moins dirig s Dans tous les cas il s agit de prendre en compte le point de vue des personnes donc ce qui fait sens pour eux qui sert de support leurs interventions Avantage Cette technique permet une connaissance en profondeur des points de vue des acteurs habitants tout en respectant leurs cadres de r f rence inconv nient Cette m thode peut tre consid r e comme produisant des contenus trop subjectifs et n cessite une certaine technicit pour leur r alisation l enqu teur risque d influencer les propos de l interview comme pour l analyse WUn exemple d application locale de la m thode de l entretien Le barom tre des habitants et des professionnels Grenoble La communaut d agglom ration grenobloise la METRO avec l appui de l Agence d urbanisme de la r gion grenobloise AURG et l universit Pierre Mend s France a mis en place un syst me de barom tre de profes sionnels et d habitants partie int grante de la d marche d valuation du CUCS Ce syst me repose sur les perceptions des p
56. donn es doivent tre mises en relation en perspective et interpr t es donn es d observation on parle alors d indicateurs de contexte Les tapes d une d marche d observation Les limites de l observation Cinq tapes ont pu tre identifi es dans la construction d une d marche d observationi La d marche d observation comporte un certain nombre de limites dans l interpr tation des donn es quantitatives et leurs modes de productions mais aussi dans l approche qualitative 1 Poser le cadre de la d marche Cette tape est le pr alable indispensable la d marche Il s agit de Designer le porteur de la d marche une personne physique et par extension un organisme de rattachement sachant qu il est le garant de la m thode et du sens Mettre en place un groupe de suivi mener une d marche d observation territoriale peut tre l opportunit de nouer ou de renforcer des partenariats locaux autour d une dynamique commune de partage d objectifs des modalit s de mise en uvre collective du projet recueil d information analyse communication S assurer que la d marche soit reconnue au sein de l institution par la hi rarchie et ou le niveau politique La limite principale concernant les donn es quantitatives est leur fiabilit et leur non exhaustivit En effet les structures ne recensent que les donn es qu elles sont en capacit d appr hender dans leurs dispositifs C est le cas
57. e s rie statistique d au moins dix ans pour relever des tendances De m me les donn es pid miologiques et de sant mentale ne peuvent tre quantifi es l chelle du quartier ou de la ville Au del des in galit s de sant infra urbaines se pose la question de la vuln rabilit de publics cumulant diff rentes difficult s comme les immigr s En effet la migration peut cr er une rupture dans les trajectoires de vie traumatisme de l exil L attention port e la sant peut tre moindre dans la mesure o des difficult s d ordre administratif conomique social sont souvent prioritaires De plus certains immigr s sont fragilis s sur le plan psychologique et physique par des ant c dents de violence dans le pays d origine comme les r fugi s et demandeurs d asile victimes de torture ou les femmes victimes de mutilation sexuelle La vuln rabilit li e la migration ou l exil est renforc e par une surexposition la pr carit revenus et niveau de vie inf rieurs taux de ch mage plus lev conditions de logement moins favorables Pour toutes ces raisons seule une approche qualitative fine via un diagnostic territorial peut apporter une r elle connaissance de l tat de sant des habitants et pointer des in galit s infra urbaines La m thodologie des Ateliers sant ville permet de cr er les conditions de r alisation d un diagnostic partag des probl matiques locales trait
58. ectif principal de l Ursiea est de promouvoir et d velopper les actions d insertion par l conomique en Alsace Elle est un lieu ressource pour les adh rents et leurs partenaires en termes d information de conseil de formation de suivi et de recherche L Ursiea est une organisation d employeurs et a une fonction d observatoire des Structures d insertion par l activit conomique SIAE Ses missions sont les suivantes faire conna tre les buts et moyens des structures d insertion membres et les repr senter d une fa on commune aupr s des instances locales et internationales faire circuler les informations locales et nationales relatives au secteur apporter ses membres des services cr ation de modules de formation ou de dossiers techniques organiser des changes entre les SIAE et les partenaires de l insertion par l conomique afin de constituer des r seaux et susciter une r flexion commune exprimer des avis et faire des propositions aux pouvoirs publics ou aux collectivit s L quipe de l Ursiea est compos e de 6 personnes DONN ES PRODUITES Les donn es produites portent sur toutes les Structures d insertion par l activit conomique d Alsace ainsi que sur tous les salari s en insertion Elles sont un outil d aide la d cision pour les financeurs Elles permettent galement de mettre en avant l volution des situations et d orienter les porteurs de projet Les donn es sont recueillies a
59. ectronique aux responsables des diff rents services de l IA qui recueillent des donn es et suivent des dossiers correspondant leur mission Pour le Bas Rhin DIVEL Division des l ves DIPERS Division du personnel DID Division du 1er degr D2D Division du second degr MPSFE Mission de la promotion de la sant en faveur des l ves SSE Service social en faveur des l ves Pour le Haut Rhin Division du premier degr et Division du second degr 2e LE Organisme DC DC DC XX XX XX D OX XX Institut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE Statut de la structure Administration publique Coordonn es Cit administrative Gaujot 14 rue du G n ral Juin 67084 Strasbourg Cedex t l 03 88 52 40 40 www insee fr alsace Personne r f rente Secr tariat Etudes diffusion t l 03 88 52 40 85 mail alsace insee fr MISSIONS G N RALES Observatoire de l habitat du Haut Rhin oh 68 Statut de la structure Association Coordonn es ODH 68 ADIL 68 31 avenue Cl menceau 68000 Colmar t l 03 89 21 53 55 www adil org 68 Personne r f rente Alexandre Probst directeur t l 03 89 21 75 36 mail adil68directeur wanadoo fr MISSIONS G N RALES kv L Insee collecte produit analyse et diffuse des informations au niveau national r gional et pour certaines donn es jusqu l chelle infra communale Ses domaines de comp tences sont la d mograph
60. em NB Pour les l ves nouvellement arriv s en France ENA il existe diff rentes classes d accueil les Classes d initiation CLIN pour l cole primaire et les Classes d accueil CLA pour le second degr Mais le syst me peut varier selon les d partements contacter l IA concern e La mixit l cole au sein d un l tablissement scolaire porte sur trois aspects le genre gar ons filles les origines et les niveaux socio conomiques Travailler sur la mixit c est prendre en compte les processus qui sont l uvre en terme de s gr gation Mais il est tr s difficile de mesurer l vitement scolaire intentionnel Il peut d marrer avant la scolarisation obligatoire Par ailleurs une demande de d rogation peut tre motiv e par des raisons pratiques comme la proximit avec le lieu de travail des parents E Mettre en lien avec la part de population trang re les cat gories socioprofessionnelles et les revenus des habitants POUR EN SAVOIR PLUS Anne Marie Bardi et Dominique Borne Comment va l cole in Probl mes politiques et sociaux n 928 septembre 2006 120 p Francis Delarue Les structures d accueil pour les enfants trangers non francophones en ge d tre scolaris s in Diversit n 141 juin 2005 pp 119 120 Collectif La mixit dans l cole un nouvel enjeu social et urbain 7 in Probl mes politiques et sociaux n 929 octobre 2006 pp 73 95
61. en France et n ayant pas la nationalit fran aise primo arrivants et trangers n s en France m me si les enjeux d int gration ne sont pas les m mes pour ces deux publics De mani re indirecte le processus d int gration concerne l ensemble de la population S int grer dans un groupe n cessite de la part de ce dernier de laisser la possibilit un autre de le faire DES PUBLICS DIFFICILES COMPTER WI est actuellement impossible en France compte tenu de la l gislation et des textes en vigueur de disposer de donn es statistiques relatives aux personnes d origine trang re ou issues de l immigration La loi du 6 janvier 1978 modifi e par la loi du 6 ao t 2004 relative l informatique aux fichiers et aux libert s pr cise qu il est en effet interdit de collecter ou de traiter des donn es caract re person nel qui font appara tre directement ou indirectement les origines raciales ou ethniques les opinions politiques philosophiques ou religieuses ou l appartenance syndicale des personnes article 8 De ce fait seul le nombre d trangers ou d immigr s est comptabilis la connaissance de la nationalit tant autoris e ainsi que celle du pays de naissance des migrants WI est galement possible sous certaines r serves de disposer de donn es administratives sur les primo arrivants par le biais du Contrat d accueil et d int gration ou sur les demandeurs d asile et r fugi s per
62. ence ou son patronyme Indicateurs de contexte Ils servent tablir des constats poser des l ments de diagnostic Ils ont un caract re descriptif comme par exemple le taux de qualification dans une classe d ge la proportion de b n ficiaires des minima sociaux sur un quartier le taux d alphabetisation etc de r alisation Ils servent v rifier si les actions pr vues ont t r alis es Ce sont par exemple les indicateurs de suivi des actions du contrat urbain de coh sion sociale d impact Ils servent mesurer les effets des programmes d actions Ils ont une port e plus g n rale et permettent d appr cier les volutions moyen et long terme am lioration ou d gradation de la situation initiale Iris Un Iris est un lot infracommunal de 2000 habitants environ C est l chelle la plus fine utilis e par l Insee pour le recensement de la population M nage Un m nage au sens statistique du terme d signe l ensemble des occupants d un m me logement sans que ces personnes soient n cessairement unies par des liens de parent en cas de cohabitation par exemple Un m nage peut tre compos d une seule personne Le chef de m nage est g n ralement l homme du couple ou le parent dans le cas d une famille monoparentale Dans les autres cas c est la personne active la plus g e Minima sociaux Prestation sociale vers e par l tat au nom du principe de l assistance reconn
63. ens e l chelle de l agglom ration voire du bassin de vie La mixit fonctionnelle est importante sur un territoire mais il faut rappeler qu on ne travaille pas forc ment dans sa commune de r sidence enqu te INSEE de 1999 60 des actifs avaient un emploi dans une autre commune que celle de leur lieu de r sidence E Mettre en lien avec les caract ristiques socio conomiques de la population POUR EN SAVOIR PLUS Guillermo Martin Marc Br ant D veloppement conomique et qualification des territoires Saint Denis Profession banlieue juillet 2006 67 p W DIV D veloppement conomique local et politique de la ville Rep res pour l action Saint Denis DIV 2001 90 p Quelles sont les caract ristiques NOMBRE ET PART DES DEMANDEURS D EMPLOI EN FIN DE MOIS DEFM DANS LA POPULATION TOTALE TGS des demandeurs d emploi NOMBRE ET PART DES DEMANDEURS D EMPLOI DEPUIS 1 AN ET PLUS INSCRITS L ANPE Organismes fournisseurs et sources Insee ANPE ONZUS Donn es par Genre Nationalit ge Idem Population de r f rence Tous les DEFM inscrits l ANPE Idem chelle Commune et ZUS ZUS Fr quence d actualisation Trimestrielle Annuelle NB Les demandeurs d emploi en fin de mois sont les personnes inscrites l ANPE et ayant une demande en cours au dernier jour du mois ll existe plusieurs cat gories de demandeurs d emploi Le plus souvent les donn es
64. er l adoption et la mise en uvre de programmes d actions concert es la r alisation et l valuation r guli re des r sultats obtenus L Atelier sant villeest un outil destin rapprocher acteurs et professionnels de la sant afin d laborer des programmes adapt s au niveau local et si possible avec la participation des habitants E Mettre en lien avec les quipements publics les caract ristiques de la population les conditions de logement et la situation dans l emploi POUR EN SAVOIR PLUS Collectif Ateliers sant ville une d marche locale pour la r duction des in galit s sociales et territoriales de sant Paris DIV septembre 2007 286 p Collection Rep res W Pierre Chauvin Jacques Lebas In galit s et disparit s sociales de sant en France Paris DIV octobre 2007 11 p Observatoire r gional de la sant d Alsace Les Indicateurs et in galit s sociales de sant en France Pr sentation rapide Strasbourg Orsal septembre 2002 19 p MW Michel Joubert sous la direction de Sant mentale ville et violences Ramonville OBVIES ERES 2003 340 p Collection Questions vives sur la banlieue lodie Aina Stanojevich Arnaud Ve sse Rep res sur la sant des migrants in La Sant de l homme n 392 novembre d cembre 2007 pp 21 24 PVR EE WI existe une r elle difficult d finir des indicateurs de contexte communaux voire infra communaux dans le domaine de la s
65. ermis de r aliser ce projet TT1TTT81T8T8T8185888S8S8S858 58585858 88888 A Rudi Wagner PT President de l Oriv Presentation de l Oriv W L Observatoire r gional de l int gration et de la ville est un centre de ressources inter venant dans les champs de l immigration de l int gration des populations trang res et ou immigr es de la pr vention des discriminations et de la coh sion sociale et terri toriale ce titre il est con u comme un outil de connaissance de qualification et d appui au service des acteurs et des d cideurs intervenant dans ces domaines MW Les activit s men es visent permettre le recueil la mise disposition la production l analyse la diffusion l change de ressources et de connaissances Concr tement il s agit de les mettre disposition d un tiers susceptible de les utiliser pour am liorer sa connaissance du domaine trait orienter son intervention sa pratique professionnelle L Oriv vise galement par son action de veille et d analyse des processus anticiper les volutions et alerter les acteurs Tout en tant implant Strasbourg l Oriv intervient sur l ensemble de l Alsace et participe deux r seaux nationaux le r seau des Centres de ressources intervenant dans le domaine de la politique de la ville CRPV et le r seau Ressources pour l galit des chances et l int gration RECI MW L Oriv fonctionne sous statut associatif et b n ficie du soutien
66. ersonnes interrog es Le barom tre des quartiers s int resse aux habitants silencieux ceux qui ne se retrouvent pas dans les associations ni dans les instances de participation Dans un premier temps des entretiens individuels sont r alis s aupr s d une quinzaine d habitants Ils sont r unis dans un second temps lors d un entretien collectif L analyse globale de la situation du quartier est faite sur la base des donn es recueillies lors de ces diff rents entretiens Le barom tre des professionnels est r alis sur le m me mod le aupr s de professionnels de terrain Dans les deux cas la trame d entretien est la m me d finition du quartier caract ristiques de la population fonctionnement du quartier vivre ensemble relations sociales et de voisinage rapports aux institutions initiatives des habitants Chaque r union collective est cl tur e par un vote partir de huit th mes cl s les habitants et les profes sionnels sont amen s donner leur avis de tr s mauvais tr s bon Le vote aboutit une repr sentation en graphe toile d araign e par quartier Cette repr sentation graphique si elle est r alis e intervalles r guliers peut donner une image de l volution du territoire d apr s les v cus des habitants et des professionnels de terrain a Qualit 5 du logement h Poids 4 des jeunes en difficult s b Qualit des espaces publics 1 tr s mauvais 5 tr
67. es habitants E Mettre en lien avec les revenus des habitants POUR EN SAVOIR PLUS Les Rapports de l Observatoire de l habitat du Bas Rhin ADEUS Le march du logement dans la CUS bilan 2005 2006 mars 2007 La demande en logements sociaux dans le Bas Rhin au 1 janvier 2007 ao t 2007 l accession sociale la propri t dans le Bas Rhin bilan 2003 2005 septembre 2007 L volution des loyers dans la CUS en 2006 octobre 2007 Les diff rents diagnostics territoriaux de l Observatoire d partemental de l habitat 68 autour du th me Se loger dans le Haut Rhin et ses d clinaisons l chelle des EPCI CAMSA Cernay Colmar abita 77 Quelles sont les conditions NOMBRE DE LOGEMENTS PRIVES SUBVENTIONNES PAR L ANAH i O de logement 2 NOMBRE DE LOGEMENTS VACANTS Organisme fournisseur et source NB VANAH ou d l gataire L Agence nationale pour l am lioration de l habitat Conseil g n ral 67 Conseil g n ral 68 ANAH et ses d l gataires fournissent des aides Communaut d agglom ration Mulhouse aux propri taires priv s qui souhaitent r aliser Sud Alsace Communaut urbaine des travaux d am lioration des logements s curit de Strasbourg confort isolation acoustique salubrit quipement accessibilit et adaptation aux personnes handi cap es et favorisent les conomies d nergie Les aides de l ANAH peuvent fournir des informations sur l tat du parc priv
68. es mis en uvre et d en valuer les effets par rapport aux objectifs et aux indicateurs de r sultats du secr tariat permanent que la loi mentionne en annexe L quipe de l ONZUS est compos e de 8 personnes DONN ES PRODUITES L Observatoire r gional de l int gration et de la ville est un outil de connaissance de qualification et d appui au service des acteurs et des d cideurs intervenant dans les champs de l int gration des popula tions trang res et ou issues de l immigration de la lutte contre les discriminations et des politiques de coh sion sociale et territoriale Tout en tant implant Strasbourg l Oriv intervient sur l ensemble de l Alsace ainsi que sur le territoire national dans le cadre d un travail en r seau R seau des centres ressources politique de la ville R seau ressources pour l galit des chances et l int gration Depuis 2009 l Oriv intervient aussi en Lorraine dans le cadre de ses missions de centre de ressources politique de la ville et de pr vention des discriminations Les activit s men es par l Oriv visent permettre le recueil la production l analyse la diffusion l change et ou la confrontation de connaissances dans ses domaines d intervention Ces missions se situent dans une double perspective une dimension de veille et une dimension d alerte d anticipation rep rage des difficult s L quipe compte 6 salari s DONN ES PRODUITES L ONZUS mobilise
69. eulent tre un outil d aide la d cision pour les acteurs locaux et ses financeurs ACCESSIBILIT AUX DONN ES L ONZUS recueille et diffuse les donn es l chelle des Zones urbaines sensibles sur le site Internet le SIG Ville http sig ville gouv fr Pour obtenir vos codes d acc s contactez l quipe en charge du site sigcivOville gouv fr Les notes r alis es sont mises disposition gratuitement consultation au centre de documentation ou en t l chargement partir du site Internet Le centre de documentation de l Oriv est ouvert sur rendez vous gt X X X X X X al X Fa x 2 ES Observatoire r gional de la sant en Alsace ORS Alsace Coordonn es H pital civil Ancienne clinique ophtalmologique 1er tage 1 place de l H pital 67091 Strasbourg Cedex t l 03 68 85 54 40 WWW orsal org Statut de la structure X Association Personne r f rente Madame Assani secr taire mail orsal orsal org MISSIONS G N RALES Rectorat Coordonn es Division de l valuation de la prospective et de la performance DEPP Inspection acad mique du Bas Rhin 65 avenue de la For t Noire 67083 Strasbourg cedex t l 03 88 23 37 23 www ac strasbourg fr Statut de la structure Service de l tat Personne r f rente Marie Laure Kayali adjointe au chef de service DEPP t l 03 69 20 93 12 mail marie laure kayali ac strasbourg fr service statistique
70. i x U N 72 Observatoire national des zones urbaines sensibles oNzus Personne r f rente Patrick Sillard charg de la sous direction des tudes statistiques de l valuation et de la prospective en charge du secr tariat permanent de l Observatoire national des zones urbaines sensibles t l 01 49 17 46 46 mail patrick sillard ville gouv fr Coordonn es 194 avenue du Pr sident Wilson 93217 Saint Denis La Plaine t l 01 49 17 46 28 www ville gouv fr Statut de la structure Organisme plac aupr s du ministre de la Ville dot d un conseil d orientation dont le secr tariat permanent est assur par le Secr tariat g n ral du Comit interminist riel des villes SGCIV MISSIONS G N RALES Observatoire r gional de l int gration et de la ville oRiv Statut de la structure X Association Personne r f rente Diane H ssig charg e de l information et de la documentation t l 03 88 14 35 89 mail documentation oriv wanadoo fr Coordonn es 1 rue de la Course 67000 Strasbourg t l 03 88 14 35 89 www oriv alsace org MISSIONS G N RALES 4 L Observatoire national des zones urbaines sensibles a t cr par la loi du 1er ao t 2003 Il est charg de mesurer l volution des in galit s sociales et des carts de d veloppement dans les zones urbaines sensibles de suivre l application des politiques publiques en leur faveur de mesurer les moyens sp cifiqu
71. ie l conomie l emploi les conditions de vie et la connaissance des territoires Tous les acteurs collectivit s locales services de l tat entreprises associations peuvent utiliser les informations de l Insee notamment pour prendre des d cisions et tablir des pr visions La direction r gionale r alise des tudes sp cifiques qui permettent d clairer des questions d int r t g n ral Cette activit d analyse vocation publique est engag e soit l initiative de l Insee Alsace soit en partenariat avec des acteurs publics L Insee Alsace compte environ 100 salari s DONN ES PRODUITES L ODH 68 r pond au double objectif de constituer un centre de ressources habitat et un outil de capitalisation des connaissances un lieu d changes entre les acteurs publics et priv s sur les questions li es l habitat Ses principales missions sont am liorer l aide la d cision en permettant d affiner les politiques locales d habitat constituer un outil d aide l valuation des politiques men es accompagner les acteurs DONN ES PRODUITES L Insee produit des donn es r guli res sur la population via les enqu tes annuelles de recensement ou des enqu tes th matiques ex logement emploi sur les entreprises et les collectivit s locales Elles sont recueillies par enqu tes traitement de fichiers administratifs et sociaux URSSAF CAF ANPE DA
72. ient au moins d eau courante et de WC douche ou baignoire Ces crit res sont peu op rants actuellement Si la notion de logement inconfortable n a plus beaucoup de sens cela ne signifie pas pour autant que les conditions de logement soient optimales pour tous les habitants La Fondation Abb Pierre dite depuis 13 ans un rapport annuel rendant compte de la d gradation du logement Elle s inqui te du d veloppement du mal logement c est dire du d veloppement des situations de pr carit amenant certaines personnes recourir des habitats refuges comme le camping alors qu elles ne sont pas forc ment des exclues travailleurs pauvres Par ailleurs l invisibilit du non logement abris de fortune cabane camping squat correspond souvent l invisibilit des personnes qui y recourent car ne rentrant plus dans aucun circuit de prise en charge De ce fait la r alit des situations est difficilement appr hendable Les pouvoirs publics se sont galement inqui t s de la d gradation de certains logements et differencient NOMBRE ANNUEL DE LOGEMENTS SOCIAUX R HABILIT S CONSTRUITS D MOLIS L habitat indigne cette notion recouvre l ensemble des situations d habitat qui sont un d ni au droit au logement et portent atteinte la dignit humaine c est un concept politique et non juridique La suppression ou la r habilitation de ces logements rel vent des pouvoirs de police administrative exerc s par
73. iers de police que ce soit l tat 4001 ou le recensement des violences urbaines comportent de nombreuses limites Les Contrats locaux de s curit peuvent affiner selon les territoires l approche de la d linquance et des diff rentes formes de violences Rendre compte de l ensemble des formes de violences n cessite de croiser les approches statistiques entretiens De m me pour le sentiment d ins curit il s agira d analyser le niveau de l ins curit ressentie par les habitants et d en identifier les causes nematique 8 et discrin L int gration des populations immigr es la lutte contre les discriminations et l galit des chances ont t retenu comme des axes transversaux des Contrats urbains de coh sion sociale Proposer des indicateurs d int gration et de discrimination est complexe plus d un titre De par la difficult disposer d une d finition claire de ces notions En raison des objets mesurer savoir l int gration et les discriminations Du fait de la difficult de compter sur le plan statistique les publics concern s Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 79 Quelles sont les conditions L int gration est une notion polys mique et fortement connot e Dans le domaine de la politique publique d int gration le cadre de r f rence est celui pos par le Haut conseil l int gratio
74. is car il n existe pas de syst ma tisation des donn es de gestion g r es par ces derniers Il est donc n cessaire de s inscrire dans une d marche partenariale et qualitative Pour autant la connaissance de l habitat ne permet pas une analyse des situations des r sidents D autant qu il est tr s difficile de rendre compte de la diversit des situations par l interm diaire de chiffres La question du logement est li e aux parcours de vie et le ressenti du logement est une donn e minemment subjective Ainsi il n est pas rare de voir des locataires appr cier leur logement mais regretter sa locali sation et son environnement La notion de mixit joue un r le particulier et reste incontournable pour toute approche li e l habitat Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 53 thematique Education Les quartiers prioritaires de la politique de la ville se caract risent par des carts importants de niveau scolaire avec le reste de l agglom ration D s 1981 les Zones d ducation prioritaire ZEP ont t cr es permettant le d veloppement de moyens suppl mentaires pour mettre en uvre une logique de projet ducatif et de partenariat l chelle de la zone En 1999 un plan de relance a abouti une restructuration de l ducation prioritaire y a plus de ZEP au sens de zone mais des tablisse travaillant en R seau d ducation prioritaire REP Dep
75. issance du sujet trait et aider la prise de d cision pour les pouvoirs publics et ou les acteurs du territoire Ainsi observer consiste comprendre analyser et organiser des faits mesurables suivre leur volution dans le temps et dans l espace L observation est une d marche permettant de rendre compte de la complexit d un territoire W Toute observation peut donc relever de deux approches L approche quantitative se base sur l analyse de donn es pr existantes souvent li es au fonctionnement d une structure par exemple la Caisse d allocations familiales ou d un dispositif par exemple l insertion professionnelle Elles peuvent galement tre recueillies via des fichiers de gestion ou sur la base d enqu tes sp cifiques par exemple le recensement de la population r alis par l Insee La quantification est la base de l observation elle permet de d passer les impressions et de se baser sur des donn es objectives L approche qualitative repose sur le recueil d informations d l ments de connaissance aupr s de personnes partir d entretiens ou par l analyse de documents archives r cits de vie Elle se fonde sur des techniques li es l analyse du discours de l crit Cette approche permet de donner du sens aux donn es quantitatives recueillies de v rifier la pertinence des hypoth ses pos es et de compl ter l analyse Ces deux approches sont compl mentaires et n cessitent des outils
76. itique de la ville dans le cadre du CUCS de la m2A Observatoire local de l habitat en partenariat avec l Observatoire d partemental de l habitat pour l enqu te loyers Observatoire du tram train Observatoire du tram de Mulhouse Observatoire de l emploi conomie et formation en lien avec la Maison de l emploi et de la formation du Pays mulhousien Observatoire du TGV en collaboration avec l ADEUS Contribution l Observatoire local dynamique de la sant dans les quartiers prioritaire de Mulhouse ACCESSIBILIT AUX DONN ES Les productions sont consultables sur place au centre de documentation tous les mardi et jeudi de 9h 12h et de 14h 17h30 Les travaux peuvent tre consult s sur place sur rendez vous X X X X 2 X al X X F x Caisses d allocations familiales cAF CAF du Haut Rhin 26 avenue Robert Schuman 68084 Mulhouse Cedex Brigitte Meyer charg e d tudes et de statistiques t l 03 89 46 98 64 mail brigitte meyer cafmulhouse cnafmail fr www caf fr Statut de la structure Organisme priv assurant une mission de service public CAF du Bas Rhin 18 rue de Berne 67092 Strasbourg Christine Benad responsable du bureau tudes statistiques et sociologiques t l 03 88 37 75 44 mail christine benad cafstrasbourg cnafmail fr www caf fr MISSIONS G N RALES Les missions des Caisses d allocations familiales sont les suivantes Aider
77. le de personnes une s rie de questions relatives leurs situations leurs opinions leurs attentes etc Il s agit g n ralement de questions ferm es oui non plusieurs r ponses possibles au choix afin de faciliter le traitement ult rieur Le questionnaire est dit d administration indirecte lorsque l enqu teur renseigne lui m me le questionnaire partir des r ponses des enqu t s ou d administration directe lorsque l enqu t le remplit lui m me remise du questionnaire en main propre envoi domicile Ce syst me d enqu te permet une quantification des donn es condition que les enqu t s soient assez nombreux question de la repr sentativit Avantage Elle permet de v rifier des aspects particuliers et de compl ter les donn es quantitatives qui peuvent tre fournies par des organismes ext rieurs Inconv nient Cette approche est g n ralement assez lourde et co teuse Elle n cessite galement une grande rigueur m thodologique technique d chantillonnage formulation des questions adaptation des questions aux enqu t s formation des enqu teurs et une connaissance au pr alable du sujet pour construire les r ponses possibles aux questions Une alternative peut tre l administration d un questionnaire l ger par le biais d un micro trottoir l issue d une action ou des points de passage ventuellement avec un magn tophone ou une cam ra Les entretiens in
78. lev s par les forces de l ordre Au del de la quantification des actes de d linquance et de violence qui compte de nombreuses limites cf tat 4001 p 18 se pose la question des moyens et de la pr sence humaine sur le territoire comme le nombre d ducateurs sp cialis s d agents de m diation de policiers la pr sence ou non d quipements d di s l acc s au droit et la justice ainsi que leur fr quentation la pr sence de gardiens dans les immeubles Le vocable violence urbaine regroupe quant lui des actes de violence en milieu urbain souvent commis par des jeunes La focalisation sur ces violences fortement visibles de par les formes qu elles prennent et les effets m diatiques qui en r sultent a tendance faire passer sous silence les autres formes de violence notamment les violences contre soi recours aux stup fiants mutilations suicides Cette forme de violence est tr s difficile cerner l aide de donn es statistiques Par ailleurs des travaux ont point que la majorit des acteurs mineurs des meutes de l automne 2005 n taient pas connus des services de police et que les 20 suivis par l autorit judiciaire le sont dans la moiti des cas au titre de l enfance en danger Seuls les acteurs de terrain ducateurs enseignants animateurs travailleurs sociaux etc peuvent apporter un clairage sur la situation locale Par ailleurs les habitants peuvent faire tat d u
79. loi Les demandeurs d emploi sont les personnes qui s inscrivent l Agence nationale pour l emploi ANPE Ces demandeurs sont enregistr s dans diff rentes cat gories de demandes d emploi en fonction de leur disponibilit du type de contrat recherch et de la quantit de temps de travail souhait Les demandeurs d emploi en fin de mois DEFM sont les personnes inscrites l Agence nationale pour l emploi et ayant une demande en cours au dernier jour du mois Il existe huit cat gories de demandeurs d emploi tranger Est trang re toute personne r sidant en France et n ayant pas la nationalit fran aise Une personne d origine trang re est n e en France d un parent ou d un grand parent ayant immigr en France Fonds solidarit logement FSL La cr ation et le financement de ce fonds sont assur s par les d partements qui accordent des aides financi res aux personnes et aux familles en difficult s afin de leur permettre d acc der un logement ou de s y maintenir Genre Dans le guide il s agit du sexe homme femme Immigr Est immigr e toute personne n e trang re dans un pays tranger et qui vit en France qu elle ait ou non acquis la nationalit fran aise Le terme issu de l immigration renvoie au fait que la personne ait dans sa filiation des personnes ayant immigr Elle peut tre utilis e mauvais escient pour rendre compte de la migration suppos e d une personne eu gard son appar
80. mies 3 ONZUS Donn es par 1 et 2 Genre ge 34e Population de r f rence 1 et 2 et 3 l ves scolaris s TAUX D ACC S DE LA 6 LA 3 chelle 1 et 2 tablissement scolaire 3 ZUS Fr quence d actualisation 1 et 2 et 3 Annuelle Organismes fournisseurs Rectorat ONZUS Donn es par Genre ge l Population de r f rence l ves scolaris s l ves scolaris s chelle tablissement scolaire ZUS Fr quence d actualisation Annuelle Annuelle TAUX DE R USSITE AU BREVET DES COLL GES ET AU BAC Organisme fournisseur Rectorat Donn es par Genre ge Population de r f rence l ves scolaris s PART DES 15 ANS ET DIPL M S chelle Acad mie Fr quence d actualisation Annuelle Organisme fournisseur Rectorat Donn es par Genre ge Population de r f rence l ves scolaris s chelle tablissement scolaire Fr quence d actualisation Annuelle Organisme fournisseur Rectorat Donn es par Genre ge Population de r f rence l ves scolaris s chelle Acad mie Fr quence d actualisation Annuelle WI faudra tre vigilant dans l analyse ne pas stigmatiser certains tablissements Pensez mettre en lien avec les autres questions du th me sur les conditions et les moyens de l ducation Pour avoir des donn es sur les orientations apr s la 3 prendre contact avec le Service
81. misme et de la mixit du territoire population jeune enfants etc Elle permet apr s une mise en perspective avec les quipements Organisme fournisseur et source Fr quence d actualisation pr sents de d duire les besoins en infrastructures garde d enfants coles loisirs et le type d actions CAF Fichiers de gestion Annuelle mettre en uvre par exemple pour des personnes seules a TA Donn es par NB E Mettre en lien avec la taille des logements et les conditions d int gration de la population Genre Nationalit ge Les fichiers de la CAF apportent un clairage trang re compl mentaire aux enqu tes annuelles de recensement de l Insee notamment pour les populations b n ficiaires de minima chelle sociaux ge composition familiale Communale et infracommunale ressources Population de r f rence Tous les allocataires UE Quel est le niveau de NOMBRE DE FOVERS FISCAUX ET PART DES MENAGES IMPOSES Organisme fournisseur et source Insee Direction g n rale des imp ts DGI Population de r f rence Tous les m nages chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle pour les communes Une ann e sur deux l Iris NB Le foyer fiscal d signe l ensemble des personnes inscrites sur une m me d claration de revenus Il peut y avoir plusieurs foyers fiscaux dans un seul m nage par exemple un couple non mari o ch
82. mixit sociale sur un territoire vont souvent de pair Il est de ce fait peu per tinent de cloisonner les approches Dans cette perspective voici un r capitulatif des principaux indicateurs d attractivit et de mixit identifi s dans le cadre des approches th matiques Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 93 Cerner l attractivit W Les quartiers prioritaires de la politique de la ville tout comme certains espaces ruraux souffrent souvent d une image d grad e l attractivit des territoires est complexe cerner pour diff rentes raisons Tout territoire s inscrit dans un espace urbain en l occurrence plus large qui influence le quartier Il est difficile de savoir si le d ficit d attractivit est li au territoire infra communal ou l ensemble de la zone commune r gion Les causes d attractivit ou de non attractivit sont rechercher aussi bien dans les repr sentations m dias discours politiques imaginaire collectif que dans les faits par exemple le niveau d quipement en structures d accueil de la petite enfance Il s agit d l ments subjectifs et objectifs Selon les territoires les objectifs poursuivis ne seront pas les m mes Dans certains cas la finalit sera d attirer des entreprises dans d autres cas des personnes des classes moyennes et sup rieures par exemple W N anmoins certains indicateurs permettant de mesurer le niveau d a
83. n HCI L int gration y est consid r e comme un processus qui s inscrit dans la dur e Elle consiste en une participation effective de l ensemble des personnes appel es vivre en France la construction d une soci t rassembl e dans le respect de valeurs partag es libert des personnes la cit de la vie publique solidarit telles qu elles s expriment dans des droits gaux et des devoirs communs Elle demande un effort r ciproque une ouverture la diversit qui est un enrichissement mais aussi une adh sion et une volont responsable pour garantir et construire une culture d mocratique commune Ainsi l int gration rel ve la fois d aspects objectivables mais aussi d aspects subjectifs qui am nent un individu se consid rer comme int gr et tre consid r comme tel La r flexion propos e ci dessous s int resse seulement l aspect objectivable QUI EST CONCERN PAR L INT GRATION ET d int gration DES INDICATEURS D INT GRATION Les publics concern s par le processus d int gration sont les immigr s c est dire des personnes n es trang res dans un pays tranger et qui vivent en France double crit re g ographique de par le lieu de naissance juridique de par la nationalit actuelle ou ant rieure Or souvent par simplification on consid re que l int gration concerne les populations trang res c est dire toute personne r si dant
84. n de solidarit Revenu minimum d insertion Allocation parent isol Allocation adulte handicap Certaines cat gories de la population sont de ce fait sur repr sent es dans les fichiers CAF familles avec 2 enfants ou plus et les populations faible revenus La CAF couvre en moyenne 40 des habitants du territoire national et jusqu 80 dans certains quartiers d habitat populaire W Concernant la variable nationalit des fichiers CAF une distinction pourra tre faite entre Fran ais et trangers Espace conomique europ en et autres nationalit s 18 L enqu te bailleurs DRE La Direction r gionale de l quipement DRE r alise chaque ann e une enqu te aupr s des bailleurs sociaux Elle permet de conna tre le nombre de logements leur taille les niveaux de loyers l anciennet les travaux en cours les conventionnements etc Les donn es sont disponibles l chelle communale et au niveau des Zones urbaines sensibles ZUS L tat 4001 minist re de l Int rieur MI s agit d une source administrative recensant les crimes ou d lits port s la connaissance ou d couverts par les services de police ou de gendarmerie L tat 4001 concerne exclusivement les faits faisant l objet d une proc dure judiciaire transmise au parquet la suite d une plainte ou d une enqu te de police pour les faits les plus graves Il exclut les contraventions et les d lits routiers les infractions au s jour
85. n ressenti d ins curit sans lien apparent avec des faits de violence ou de d linquance II s agit d une donn e purement subjective mais qui joue beaucoup sur les liens sociaux entre habitants et le climat sur un territoire Le sentiment d ins curit pour tre mesur doit se baser sur des enqu tes r guli res aupr s des habitants E Mettre en lien avec les quipements du territoire POUR EN SAVOIR PLUS Laurent Mucchielli Violences urbaines r actions collectives et repr sentations de classe chez les jeunes des quartiers rel gu s de la France des ann es 1990 in Actuel Marx 1999 n 26 pp 85 108 Sylvie Boutereau Tichet Dani le Jourdain Menninger Christophe Lannelongue Inspection g n rale des affaires sociales IGAS Le travail social aupr s des jeunes en difficult s dans leur environnement Paris La Documentation fran aise juillet 2005 227 p Fran ois Dieu Bruno Domingo Partenariat et valuation le cas des contrats locaux de s curit in Revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique Tir part n 1 2003 22 p Observatoire national de la d linquance La criminalit en France Rapport de l OND 2007 Paris CNRS ditions 2008 573 p s curit et pr ventif S curit et pr vention de la d linquance La s curit et la pr vention sont des th mes tr s sensibles de la politique de la ville Les donn es statistiques des fich
86. nt sur des repr sentations au regard d un certain nombre de crit res consid r s comme ill gitimes prohib s par la loi comme l apparence le patronyme l origine r elle ou suppos e des personnes mais aussi le genre Par exemple une personne noire peut tre assimil e un tranger la couleur renvoyant pour la personne un caract re externe la France alors que la personne est fran aise La construction des discriminations repose sur les repr sentations qui s alimentent d un ensemble d l ments imaginaire collectif de l immigration peur de l tranger pr sence trang re C est le m me processus de repr sentation qui est l uvre pour les publics dits issus de l immigration d origine trang re et en particulier les jeunes Ils sont souvent renvoy s une origine ou une appartenance suppos e plus souvent que r elle au regard de leur trajectoire qui peut dans certains cas les exclure d un travail ou d un service Ces discriminations marquent des personnes non au regard de leur nationalit mais sur leur apparence et leur appartenance suppos e ou r elle une cat gorie faisant l objet de discriminations Un premier indicateur pourrait tre les plaintes pour discrimination li e l origine aupr s de la Haute autorit de lutte contre les discriminations et pour l galit HALDE des services de police ou du Procureur de la R publique Mais le faible nombre de plaintes
87. ocalis s r gional d partemental et zone d emploi exprim s en moyenne sur le trimestre sont coh rents avec ceux publi s au niveau national L volution du ch mage se mesure galement en observant la demande d emploi inscrite l ANPE et r pertori e dans huit cat gories Bien souvent seule la demande d emploi en fin de mois de cat gorie 1 en recherche d un emploi temps plein dur e ind termin e et disponible imm diatement est prise en compte dans le travail d observation laissant l cart les autres cat gories de demandeurs d emploi les travailleurs pr caires en emploi aid ou les ch meurs en formation Pour rendre compte de la pr carit dans l emploi ou le non emploi il est important de croiser les chiffres et les sources CAF pour les minima sociaux ANPE pour les demandeurs d emploi inscrits Mission locale pour les jeunes PLIE pour les personnes en insertion professionnelle WLONZUS fournit galement des informations sur les motifs d inscription l ANPE la r currence du ch mage et les m tiers recherch s Organisme fournisseur et source Insee ANPE Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Tous les DEFM inscrits l ANPE chelle Commune et ZUS Fr quence d actualisation Trimestrielle NB Pour le public jeune les donn es peuvent tre crois es avec les donn es produites par les structures d insertion pour les jeunes Mis
88. omme l expression de la diversit des configurations parentales ou de l inqui tude sur les transformations de la famille d mission des parents vis vis de l ducation de leurs enfants Un certain nombre de marqueurs peuvent tre retenus comme l absent isme scolaire les mesures d Actions ducatives en milieu ouvert AEMO la d linquance juv nile Ces donn es un peu r ductrices ne peuvent elles seules rendre compte des difficult s r elles v cues par certains parents Il est n cessaire de les compl ter par une approche de terrain au plus pr s du v cu des familles Pour les territoires b n ficiant d un Programme de r ussite ducative la d marche d observation pourra galement s appuyer sur les connaissances produites par les professionnels accompagnant les familles fi Autre indicateur pertinent le taux de fr quentation des quipements culturels comme les biblioth ques ou les m diath ques E Mettre en lien avec les quipements du territoire et la structure d mographique ATA GA mis en ceuvre hors cole 2 POUR EN SAVOIR PLUS W Claude Martin La parentalit en questions perspectives sociologiques rapport pour le Haut conseil de la population et de la famille Paris Haut conseil de la population et de la famille 2003 58 p Collectif Parents migrants faire grandir son enfant en France in Actualit s sur l int gration et la ville n 34 novembre d cembre 2007
89. ont d velopp des services financ s par l action sociale de la caisse La vocation premi re des donn es est de conna tre la client le b n ficiaire des aides de la CAF pour alimenter la r flexion interne et aider au pilotage La diffusion de donn es en externe a une vocation d information et d analyse partag e Elle d pend des politiques partenariales et de diffusion propres chaque caisse Les donn es produites sont extraites des applicatifs de gestion de la CAF En vertu du secret statistique les analyses ne sont r alis es et diffus es qu partir de 100 allocataires l chelle infracommunale soit environ 500 habitants Aucune donn e n est fournie si elle ne concerne pas au moins 5 individus ACCESSIBILIT AUX DONN ES WLa Direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement assure quatre grandes missions l am nagement et le d veloppement durable du territoire r gional tudes prospectives dans les domaines de l habitat des transports et de l am nagement la ma trise d ouvrage des investissements dans les infrastructures de transport notamment les infra structures routi res ferroviaires et fluviales ainsi que les quipements contribuant l intermodalit l animation des professions du BTP et la r gulation du transport routier l animation de la politique de l habitat et la programmation des aides au logement DONN ES PRODUITES Les donn es sont d
90. onville charg d tudes t l 03 89 45 90 08 mail sebastien dassonville aurm org MISSIONS G N RALES L ADEUS est une association regroupant les acteurs de l urbanisme et de l am nagement du territoire En tant qu agence d urbanisme elle assure le suivi des tudes urbaines participe la d finition des politiques d am nagement et de d veloppement et labore des documents d urbanisme dans un souci d harmonisation des politiques publiques Elle remplit 4 missions principales La d finition de politiques publiques aide la d cision pour les pouvoirs locaux Les projets urbains r alisation de projets d am nagement et de d veloppement durable dans le cadre de SCOT ou de PLU par exemple La planification r alisation de POS PLU pour les communes La connaissance du territoire via des atlas des bases de donn es ou des observatoires th matiques L agence g re galement un fonds documentaire rapports tudes et publications accessible au public L ADEUS compte environ 52 salari s ETP DONN ES PRODUITES L AURM est une association regroupant les acteurs de l urbanisme et de l am nagement du territoire de la r gion mulhousienne Elle a pour missions l observation et l valuation des politiques publiques la planification urbaine et l tude de projets urbains pour des collectivit s locales Dans le champ de l observation sociale l agence est amen e valuer les effets
91. par exemple pour les demandeurs d emploi ne sont pris en compte dans les chiffres de l ANPE que les personnes inscrites en tant que demandeur d emploi L actualisation des donn es peut aussi remettre en question leur fiabilit si elles sont trop dat es exemple le dernier recensement g n ral de la population date de 1999 Par ailleurs un chiffre est une construction complexe qui met en jeu des personnes et des institutions Un chiffre doit tre interpr t il n tablit jamais de rapport direct avec la r alit WI existe galement des limites territoriales dans l analyse des donn es En effet chaque 2 D limiter le champ de l observation donn e est produite l chelle d un territoire commune canton bassin d emploi pavs Ces p rim tres se chevauchent et peuvent rendre les chiffres difficilement comparables entre eux Observer ne consiste pas uniquement g rer des indicateurs ll s agit d une d marche de questionnement sur la base d hypoth ses et d une probl matique Ainsi pour mener bien une d marche d observation il faut pouvoir r pondre ces questions Observer quoi 2 Par rapport quel public Comment Sur quel territoire Pendant quelle dur e Les donn es qualitatives quant elles souffrent de leur non exhaustivit et du fait qu elles reposent sur des ressentis individuels du subjectif Elles rendent compte de points de vue La collecte de donn es quali
92. ponse au risque de s gr gation urbaine De fait cet enjeu rel ve de diff rentes dimensions mixit de genre homme femmes mixit sociale niveau socioprofessionnel ou mixit culturelle li e aux origines et nationalit s et s apprehende travers diff rents th mes MIXIT DE LA POPULATION R partition de la population par tranche d ge par genre homme femme Part de population trang re immigr e r partition par nationalit ou pays d origine Composition familiale Distribution des revenus des m nages par unit de consommation Cat gories socioprofessionnelles MIXIT DANS L HABITAT Diversit des formes d habitat Diversit des statuts d occupation des logements MIXIT L COLE Nombre d l ves en classes d accueil Diversit des cat gories socioprofessionnelles AN LIL U Attractivit et mixit Agence de d veloppement et d urbanisme de l agglom ration strasbourgeoise ADEUS Statut de la structure Association Coordonn es 9 rue Br l e 67000 Strasbourg t l 03 88 21 49 00 WWW adeus org Personne r f rente Vincent Flickinger charg d tudes principal t l 03 88 21 49 26 mail v flickinger adeus org MISSIONS G N RALES Agence d urbanisme de la r gion mulhousienne AURM Statut de la structure Association Coordonn es 33 Grand rue 68100 Mulhouse t l 03 89 45 90 00 WWW aurm org Personne r f rente S bastien Dass
93. r f rable de se baser sur les chiffres de la DRE pour conna tre le nombre de logements sociaux PART ET PROFIL DES B N FICIAIRES DES AIDES AU LOGEMENT AGE COMPOSITION FAMILIALE TYPE DE LOGEMENT OCCUPE Organisme fournisseur et source CAF Fichiers de gestion Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence Allocataires de la CAF percevant une aide au logement chelle Communale et infracommunale MOBILIT R SIDENTIELLE DEPUIS 5 ANS Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 NB Voir d finition des aides au logement dans le glossaire Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Genre Nationalit ge Population de r f rence M nages chelle Communale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 NB Cet indicateur permet d aborder de mani re partielle la question de la rotation des populations sur un territoire ou au contraire de relever les risques de fermeture absence de mobilit i et conomique des residents 2 L volution des interventions du Fond solidarit logement FSL titre indicatif 25 6 90 entre 2005 et 2006 dans le Bas Rhin montre les difficult s croissantes de certains m nages acc der un logement y rester ou payer les factures d nergie Nombre d acteurs rel vent une tendance la paup risation ou au d veloppement
94. r f rences d ouvrages pour vous guider dans la d marche Il s agit plut t de pr senter ce qui existe les avantages et les inconv nients de chacune des m thodes L observation de terrain WI s agit moins de comprendre l autre dans le partage d une condition commune Alain Touraine que d observer directement et visuellement ce qui se passe sur le terrain C est l unique m thode qui permet de capter les comportements ou les faits sans l interm diaire d un document ou d un t moignage WUne fois d fini le champ de l observation directe sur quoi va t elle porter il est n cessaire de mettre en place une grille de suivi qui permettra de structurer les informa tions relev es L observation de terrain convient particuli rement pour ce qui rel ve du non verbal codes comportementaux modes de vie organisation spatiale et de l analyse des processus de transformation sociale rep rer des comportements dans les lieux publics par exemple la pr sence ou non de familles dans les espaces ext rieurs de jeux les d gradations de mobilier urbain etc Avantage Elle saisit directement des v nements spontan s et permet une relative authenticit des comportements par rapport aux paroles Inconv nient Elle n cessite une retranscription des ph nom nes observ s dans des grilles formalis es risquant de faire perdre de l information 14 L enqu te par questionnaire Elle consiste poser un ensemb
95. rce chelle CAF Fichiers de gestion Communale et infracommunale Donn es par Fr quence d actualisation Genre Nationalit ge Annuelle Population de r f rence NB Allocataires de la CAF hors tudiants Le seuil bas revenus 60 de la m diane et personnes de plus de 65 ans de distribution des revenus des fran ais dont les ressources sont connues source enqu te revenus fiscaux de l Insee ainsi que leurs ayant droits Ce taux peut tre rapport la population l gale ou aux personnes couvertes par la CAF E Mettre en lien avec la situation par rapport l emploi l tat de sant et aux conditions de logement POUR EN SAVOIR PLUS WSGARE Territorialisation de la pauvret et de la pr carit en Alsace Strasbourg Pr fecture de la r gion Alsace SGARE d cembre 2006 70 p TAE Approche sociod mographique de la population WI existe deux sources principales pour conna tre les caract ristiques sociod mographiques de la population l Insee via les enqu tes annuelles de recensement et la Caisse d allocations familiales via ses fichiers de gestion C est sur cette base que l Observatoire national des zones urbaines sensibles ONZUS fournit des donn es g n rales sur la population l chelle des territoires prioritaires de la politique de la ville MW L approche sociod mographique de la population est relier la connaissance des r sidents du parc social l
96. re le territoire et d termine fortement le profil socio conomique des habitants parc ocial priv pavillonnaire collectif Les quartie d habitat populaire sont souvent marqu s par une forte concentration de logements sociaux Toute action en faveur du d senclavement des territoires aussi bien phy sique que psychologique doit s interroger sur les formes habitat et les politiques d attribution des logemen ique habitat fournit quelques indicateurs relatifs l attractivit du territoire ainsi qu aux Quelles sont les caract ristiques NOMBRE DE LOGEMENTS ET PART DES R SIDENCES PRINCIPALES Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population chelle Communale et infracommunale Fr quence d actualisation Annuelle partir de 2009 PART DE LOGEMENTS EN IMMEUBLES COLLECTIFS ET PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DES RESIDENTS ne des logements STATUT D OCCUPATION DES LOGEMENTS LOCATAIRE PROPRI TAIRE Organisme fournisseur et source chelle Insee Recensement de la population Communale et infracommunale Donn es par Fr quence d actualisation Genre Nationalit ge Annuelle partir de 2009 Population de r f rence M nages NOMBRE DE LOGEMENTS SOCIAUX Organisme fournisseur et source Insee Recensement de la population Donn es par Genre Nationalit ge pour le chef du m nage Population de r f rence M nages ANCIENNE
97. s du Bas Rhin et du Haut Rhin l Observatoire d partemental de l habitat du Haut Rhin l Observatoire r gional de la sant en Alsace l Union r gionale des structures d insertion par l conomique d Alsace le Rectorat l Union r gionale des caisses d assurance maladie Les organismes rencontr s lors de la d marche l AREAL la Chambre de commerce et d industrie du Bas Rhin la Direction r gionale des affaires sanitaires et sociales l Observatoire haut rhinois de l action sociale l Union d partementale des associations familiales du Bas Rhin Dans notre soci t en mouvement constant l observation des territoires et des populations y r sidant est devenue une n cessit pour les acteurs locaux dans une logique de prospective et de connaissance Ce besoin est renforc par une injonction l valuation pour la plupart des politiques publiques Ce guide est un outil m thodologique pour la construction d une d marche d observation des territoires Vous y trouverez galement certains indicateurs de contexte pertinents ainsi que leur mode d emploi des r f rences biblio graphiques pour vous aider dans vos r flexions et des conseils pour viter les principaux pi ges inh rents toute d marche d observation Libert o Egalit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE 5 PREFECTURE z a ren DE LA R GION O R l Vv ALSACE Observatoire r gional Ce guide a t pi
98. s et lyc es et l Inspection d acad mie pour les tablis sements du primaire maternelles et primaires Les r sultats aux examens constituent une autre source de donn es Le Rectorat g re la base des apprentis Il r alise annuellement Les enqu tes d insertion dans la vie active En interne les productions ont pour but d valuer les moyens d ployer pour la scolarit des l ves et de mettre en uvre la politique ducative l externe les donn es ont une vis e informative ACCESSIBILIT AUX DONN ES L acc s aux rapports d tudes est gratuit via le site Internet ou sur place au centre de documentation ouvert uniquement sur rendez vous Wi L acc s la base de donn es Isstal est r serv aux partenaires de la d marche La base Score est libre d acc s et gratuite Solliciter l ORS Alsace pour mener une approche de terrain de l tat de sant des habitants n cessite dans la plupart des cas une contractualisation L accessibilit aux donn es se fait via une convention 3 Organisme DC DC DC XX XX XX D OX Union r gionale des structures d insertion par l conomique d Alsace URSIEA Coordonn es Statut de la structure 68 avenue des Vosges Association 67000 Strasbourg t l 03 90 22 12 72 WWW ursiea org Personne r f rente Sandrine Bianchi d l gu e r gionale de l URSIEA t l 03 90 22 12 72 mail accueil ursiea org MISSIONS G N RALES L obj
99. s plus de trois mois de la prise en charge des soins par les r gimes obligatoires de la S curit Sociale La CMU com pl mentaire CMU C est accord e sous condition de ressources et permet en th orie de b n ficier d une prise en charge 100 des d penses de sant sans avoir faire l avance des frais Organisme fournisseur et source Rectorat service m dical Donn es par Genre ge Population de r f rence l ves scolaris s chelle Commune Fr quence d actualisation Annuelle des habitants Compte tenu des donn es existantes l appr hension de l tat de sant de la population peut porter sur les moyens existants d mographie m dicale quipements actions de pr vention le niveau d attention port l tat de sant par les habitants du territoire partant de l analyse des soins auxquels ils ont eu recours Les donn es statistiques sur les quipements et l tat de sant des habitants l chelle communale voire infracommunale sont peu pertinentes Il n existe pas de recensement des permanences de sant ou des quipements sanitaires l chelle infracommunale seule une approche de terrain pourra renseigner cet indicateur Il en est de m me pour conna tre les actions de pr vention Les indicateurs de sant publique ont pour chelle de r f rence la plus fine le canton il y a 12 cantons territoires de sant en Alsace et n cessitent un
100. s recens s Les Inspections d acad mies assurent le suivi de la performance de tous les tablissements du second degr coll ges et lyc es contrats d objectifs valuation des projets r sultats des l ves DONN ES PRODUITES La Direccte collecte et exploite les donn es statistiques relatives ses champs de comp tence Elles sont recueillies sur la base des fichiers de gestion ou de suivi des mesures mises en uvre par les ser vices ou les organismes associ s Les donn es sont produites et diffus es dans un but d information publication mensuelles des chiffres des demandeurs d emploi inscrits et offres collect es par P le emploi en Alsace rep res chiffres annuels tudes du service des tudes des statistiques et de l valuation par exemple insertion profession nelle l issue d un contrat de professionnalisation ou le suivi des contrats de professionnalisation en Alsace en 2008 ACCESSIBILIT AUX DONN ES Toutes les donn es disponibles sont en ligne sur le site Internet Les Inspections d acad mies produisent des donn es sur la base de leurs fichiers de gestion Ces donn es portent sur les postes les personnels les effectifs les r sultats aux examens les performances en mati re d orientation Les donn es produites ont vocation informer les familles et permettre le pilotage p dagogique des tablissements ACCESSIBILIT AUX DONN ES Courrier l
101. sion locale Permanences d accueil d information et d orientation PAIO POUR EN SAVOIR PLUS W Oriv Quartiers urbains et rapport l emploi Strasbourg Oriv 2006 12 p Emploi insertion et developpement conomique Appr hender la r alit de l emploi sur un territoire est complexe Par exemple le lien n est pas m canique entre la pr sence d entreprises et l augmentation de l offre d emploi pour les habitants des territoires d autant plus quand ceux ci sont per us comme pr sentant des difficult s UI faut prendre garde la tentation de tout vouloir chiffrer Les chiffres du ch mage font r guli rement pol mique car ils ne comptabilisent qu une cat gorie des demandeurs d emploi et ne prennent pas en compte les conditions de travail par exemple les temps partiels subis W De ce fait la prise en compte de donn es qualitatives peut s av rer pertinente ce titre il sera utile de consulter les nombreux ma tres d uvre PLIE Mission locale des mesures visant favoriser le retour ou le maintien dans l emploi Enfin les dispositifs mis en uvre dans le cadre de la politique de la ville comme les CUCS n ont que peu d impacts directs sur le march du travail et la situation conomique compte tenu de leurs chelles d interventions certains quartiers des agglom rations et de leurs moyens financiers propres h matique 4 Habita Le parc de logement structu
102. sonnes ayant obtenu l asile Mais ces donn es pr sentent un certain nombre de limites rendant difficile toute comparaison ou mise en perspective En effet elles manent d organismes diff rents et sont labor es dans des contextes sp cifiques donn es administratives li es l obtention d un statut dans le cas de l OFPRA par exemple et donn es d claratives dans le cadre du recensement de la population Deux approches peuvent tre retenues celle prenant en compte le processus d int gration et celle identifiant l enjeu d int gration en quoi un territoire est il ou non concern 2 La prise en compte de l enjeu d int gration est appr ci e partir d l ments sur la composition de la population part de la population trang re et immigr e dans la population totale diversit des nationalit s pourcentage de primo arrivants Insee recensement de la population la participation la vie locale cf pp 88 89 L appr ciation du processus d int gration est encore plus complexe compte tenu des indicateurs disponibles Deux aspects du processus peuvent tre pris en compte une dimension individuelle on estime que le processus d int gration est ponctu par un certain nombre de faits que l on peut consid rer de mani re un peu r ductrice comme des marqueurs d int gration acquisition de la nationalit fran aise donn es disponibles aupr s du minist re de la Justice volu
103. sp cialistes bureau d tudes Les r sultats produits sont souvent consid r s comme insatisfaisants par rapport aux attendus initiaux rarement en ad quation avec les possibilit s effectives d observation Dans une soci t en volution rapide comme la n tre l observation prend un sens encore plus accru Ce besoin est renforc par l injonction l valuation int gr e aujourd hui dans la plupart des politiques en Co On cn publiques Mais l valuation ne peut se faire sans cette observation initiale et n cessite un recours des indicateurs d observation pertinents ee Au contact des acteurs de terrain l Oriv a pu relever des demandes r currentes sur le sujet rnamenenne BE ana mano anne pee annese san de ae es ea a EEE parer RE un manque de connaissance des indicateurs disponibles et des possibilit s d analyse une m connaissance des analyses produites E EEN E A Av C est pourquoi l Oriv a jug opportun de concevoir cet outil e Guide de l observation sen sociale territorialis e pour apporter des r ponses aux questions touchant l observation Il doit permettre de s approprier les instruments d une meilleure connaissance des territoires E E E dans le souci d une action plus pertinente mieux ajust e aux besoins des populations 2 Le soutien financier des partenaires de l Oriv et notamment de l tat par le biais de la Pr fecture de la R gion Alsace a p
104. stave Adolphe Hirn 67000 Strasbourg t l 03 88 15 43 00 www travail solidarite gouv fr Alsace Statut de la structure Service d concentr de l tat MISSIONS G N RALES Inspections d academies 1A Statut de la structure Service d concentr de l tat Inspection d acad mie du Haut Rhin 21 rue Henner BP 70548 68021 Colmar Cedex Anne Caputi charg e de mission Politique de la ville t l 03 89 21 56 31 mail anne caputi ac strasbourg fr www ac strasbourg fr Inspection d acad mie du Bas Rhin 65 avenue de la For t Noire 67083 Strasbourg Cedex Dominique Boussard Mosser charg e de mission Politique de la ville et ducation prioritaire t l 03 88 45 92 28 mail dominique boussard ac strasbourg fr www ac strasbourg fr MISSIONS G N RALES kv Wi Les quipes de la DIRECCTE Alsace r unissent des comp tences pluridisciplinaires et agissent en synergie pour assurer l effectivit du droit du travail la protection des salari s la sant et la s curit au travail et encourager le dialogue social piloter les politiques de protection conomique ainsi que de s curit des consommateurs et veiller au respect des r glementations relatives au bon fonctionnement des march s et la loyaut des transactions commerciales assurer le contr le des actions de formation professionnelle piloter la mise en uvre des mesures d insertion professionnelle des jeunes des travailleurs h
105. t dispositifs relals CON a Couverture maladie universelle Compl mentaire D linquance faits constat s lucid s de proximit Demandeurs d emploi D rogations scolaires Dipl mes sorties sans part des dipl m s Discriminations DiSpOsIiS ess ducation prioritaire REP AR l ves d favoris s boursiers Emploi offres Enfants scolaris s Enseignants nombre en poste depuis de 2 ans Entreprises rennes une quipements Familles monoparentales Formation niveaux Immeubles collectifs 28 Imposition foyers fiscaux 30 Ins curit sentiment d 75 Insertion par l conomique 38 Int gration 80 Lien social 88 Logement indigne insalubre 49 Logement priv aides 48 Logements sociaux 47 50 Logements sociaux r habilit s construits demolis 48 Logements vacants 49 M nages taille et nombre 26 Mobilit r sidentielle 50 Minima sociaux 31 Mixit sociale 51 Parentalit 63 Participation des habitan
106. t sociales les employeurs y compris les administrations et les tablissements publics fournissent annuellement et pour chaque tablissement la masse des traitements qu ils ont vers s les effectifs employ s et une liste nominative de leurs salari s indiquant pour chacun le montant des r mun rations salariales per ues Le champ de l exploitation des DADS par l Insee couvre actuellement l ensemble des employeurs et de leurs salari s l exception des agents des minist res titulaires ou non des services domestiques division 95 de la NAF et des activit s extra territoriales division 99 de la NAF Syst me informatis du r pertoire national des entreprises et des tablissements Insee W Le syst me informatis du r pertoire national des entreprises et des tablissements r pertoire SIRENE enregistre l tat civil de toutes les entreprises et leurs tablissements quelle que soit leur forme juridique et quel que soit leur secteur d activit situ s en m tropole dans les DOM Guadeloupe Guyane Martinique et R union et Saint Pierre et Miquelon Les entreprises trang res qui ont une repr sentation ou une activit en France y sont galement r pertori es Les fichiers de gestion des Caisses d allocations familiales W Les fichiers des Caisses d allocations familiales CAF contiennent des informations sur tous les m nages qui b n ficient d une prestation familiale d une aide au logement ou d une prestatio
107. tatives est plus lourde car elle n cessite de recueillir des informations ainsi que leur traitement analyse du contenu des discours des entretiens L approche qualitative est souvent utilis e pour l exploration d un terrain d un sujet mais aussi pour compl ter les r sultats fournis par l approche quantitative Elle permet une meilleure interpr tation des donn es chiffr es 3 D finir des m thodes appropri es pour le recueil d informations Toute d marche d observation n cessite la mise en place d outils Le choix entre les diff rentes m thodes de collecte de donn es d pend des th matiques abord es et des donn es existantes et disponibles sur le sujet Par ailleurs se pose la question de la temporalit de la d marche d observation Les politiques publiques sont soumises des temporalit s diverses mais le processus d observation ne peut prendre son sens que sur du long terme pour identifier et tenir compte du changement Il faut veiller cr er des s ries homog nes continues sur la dur e permettant de mesurer les volutions 1 M thodologie de l observation sociale H l ne Hartzfeld Jackie Spiegelstein Paris Dunod 2000 208 p 12 Il existe diff rents modes de recueil des donn es Les tableaux de bord outil synth tique pr sentant une s rie d indicateurs I permet de renseigner les indicateurs de contexte retenus et de cr er des s ries statistiques dans la dur e Les o
108. thodologique Paris Insee juillet 1996 91 p Collection Insee Guides n 4 IM Sophie Duchesne Florence Haegel L Enqu te et ses m thodes l entretien collectif Paris Nathan Universit 2004 126 p Collection 299 Sociologie 128 E Herv Fenneteau Enqu te entretien et questionnaire Paris Dunod 2002 128 p Collection Les Topos E H l ne Hartzfeld Jackie Spiegelstein M thodologie de l observation sociale Comprendre valuer agir Paris Dunod 2000 208 p M Corinne Hommage La d marche de diagnostic territorial au service d une dynamique partenariale et citoyenne in Les sciences de l ducation Pour l Ere nouvelle volume 40 n 1 2007 pp 45 60 E Raymond Quiw Luc Van Campenhoudt Manuel de recherche en sciences sociales Paris Dunod 1995 156 p Ces ouvrages li s un th me sont r f renc s dans les approches th matiques Ces ouvrages sont consultables au centre de documentation de l Oriv Index des indicateurs et th mes Acc s de la 6 la 3 Accompagnement la scolarit AU Sa a a ia ina Aides aux logements b n ficiaires Allocataires de la CAF caract ristiques Anciennet des logements ASSOCiatiONSs Bas revenus Cat gories socioprofessionnelles Ch mage ns Classes nombre et effectifs Classes d accueil Classes e
109. tion du taux de natalit rapport l emploi des femmes part de cr ateurs d entreprises ma trise de la langue une dimension collective la normalisation des comportements est consid r e globalement comme un effet du processus d int gration Les difficult s dans ce domaine sont de d terminer quelle est la norme prendre en compte celle du territoire d habitation des Fran ais et comment en rendre compte sur la base de ressentis ou de repr sentations Plus que pour toute autre th matique ces indicateurs rel vent d une dimension interpr tative et constituent souvent des l ments d appr ciation qu il est n cessaire de mettre en perspective avec d autres donn es croiser les donn es pour viter des interpr tations erron es et s assurer du caract re sp cifique du r sultat Ces limites rendent d autant plus n cessaires les approches qualitatives Le Haut conseil l int gration pr ne comme dans le domaine de la citoyennet la mise en place d un barom tre de l int gration consistant en une enqu te d opinion men e annuellement Une approche de ce type pourrait tre men e localement par des mini sondages ou micro trottoirs POUR EN SAVOIR PLUS Oriv Penser et mesurer l int gration Pour une approche entre th orie et pragmatisme Strasbourg Oriv septembre 2000 115 p Collection Les Cahiers de l Observatoire n 29 Haut conseil l int gration Les Indicateurs de l
110. toire b n ficiant d un CUCS Un charg de mission de quartier souhaite construire une d marche de diagnostic partag avec les partenaires du territoire Un agent de d veloppement local souhaite savoir si les actions r alis es ou financ es par la commune r pondent bien aux besoins des habitants Une collectivit fait appel un prestataire ext rieur pour mener une d marche d observation et souhaite formuler au mieux sa demande fonction rep re du guide par une approche th matique Le champ des volutions sociales et urbaines est vaste et les th mes sont multiples Il est impossible de pouvoir tout recenser L enjeu est donc moins l exhaustivit que la pertinence des indicateurs retenus pour avoir une vision la plus compl te possible Pour rendre lisibles et accessibles les informations le guide est structur en six grandes parties Une introduction sur le sens de l observation et les tapes de la d marche W Des conseils m thodologiques pour mener des enqu tes de terrain compl mentaires de l approche statistique des producteurs de donn es Une pr sentation des principales sources de donn es Une approche par th matique les neuf th mes retenus sont d clin s en questions auxquelles des indicateurs de contexte peuvent r pondre Les indicateurs sont publi s avec leur mode d emploi fiabilit limites des donn es renvoi vers d autres th mes pour
111. ts 89 Population totale 28 Praticiens m dicaux 68 PI CATITR Secret mahian 31 37 R sidences principales 46 Retard des l ves 58 R ussite bac brevet 58 Revenus des m nages 30 Sala aa etes 37 Sant scolaire 68 Soins consommation de 68 Solde naturel 29 Statut d occupation des logements 47 Structures de garde 62 Taille des logements 48 Violences urbaines contre soi 74 Vuln rabilit 69 Zones franches urbaines 39 Oriv Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 E Remerciements LOriv remercie toutes les personnes et structures qui ont particip l laboration de ce guide Les membres du comit de suivi l Agence de d veloppement et d urbanisme de l agglom ration strasbourgeoise ADEUS l Agence d urbanisme de la r gion mulhousienne AURM les Caisses d allocations familiales du Bas Rhin et du Haut Rhin le Conseil g n ral du Bas Rhin la Pr fecture du Bas Rhin la Pr fecture du Haut Rhin le service d tudes du SGARE Les organismes r f renc s dans le guide la D l gation interminist rielle la ville la Direction r gionale de l quipement Vla Direction r gionale du travail de l emploi et de la formation professionnelle l Insee les Inspections d acad mie
112. ttractivit d un territoire ont pu tre identifi s dans les diff rentes approches th matiques Il faut noter que chaque indicateur peut tre con u la fois comme une cause et comme une cons quence de l attractivit pr sence d quipements de centralit m diath que salle de spectacle entreprises et commer ants pr sents sur le territoire cat gories socioprofessionnelles niveaux de loyers dans le parc priv pression des demandes de logements sociaux d mographie m dicale part des enseignants en poste depuis au moins deux ans De par leur visibilit certaines caract ristiques sociod mographiques peuvent tre consid r es comme des facteurs de non attractivit la forte part de familles monoparentales la forte proportion d adolescents la sur repr sentation de populations per ues comme trang res pr sentant des caract ristiques d tranget visibles valuer la mixit W La mixit sociale est une injonction forte de la politique de la ville loi Solidarit s et renouvellement urbain notamment Du fait des politiques d attribution de logements sociaux et du blocage des tra jectoires r sidentielles les quartiers d habitat populaire souffrant d une image d grad e ont vu se concentrer les populations les plus pr caires ou les plus discrimin es sur le march du logement priv La mixit dans ce contexte a t per ue comme une r
113. ui gouvernement souhait renforcer les domaine ducatif en proposant la mise BG GA Quelles sont les conditions d enseignement 2 NOMBRE D ENFANTS SCOLARISES MATERNELLE PRIMAIRE SECONDAIRE NOMBRE DE CLASSES ET EFFECTIFS Organismes fournisseurs Echelle Organismes fournisseurs Echelle 1 Rectorat 1 et 21 tablissement scolaire Rectorat Inspections d acad mies tablissement scolaire Idem Xi tions d acad mies IA 3 ONZUS RENE Donn es par Fr quence d actualisation Fr quence d actualisation Genre ge ge VAnnuelle Idem Donn es par 1 et 2 ta ge Net et AL Annuelle Population de r f rence 3 NB l ves scolaris s Idem Ea Mettre en lien avec le nombre d enfants en Population de r f rence ge d tre scolaris s donn es du recensement 1 et 2 et 3 El ves scolaris s de la population Les donn es du rectorat concernent les l ves du secondaire coll ges et lyc es celles de l inspection d acad mie les l ves du primaire NOMBRE D ENSEIGNANTS POUR 100 L VES DISPOSITIFS RELAIS EXISTANTS ET NOMBRE D L VES CONCERN S Organismes fournisseurs chelle Organisme fournisseur chelle Rectorat Inspections d acad mies tablissement scolaire Idem Rectorat tablissement scolaire Donn es par Fr quence d actualisation Donn es par Fr quence d actualisation ge Idem Annuelle Idem Genre ge Annuelle ET EA SI Population de r
114. une discrimination dans le domaine du logement priv L aussi des indicateurs qualitatifs peuvent compl ter les donn es chiffr es l analyse des repr sentations dans les m dia l analyse des repr sentations des habitants la perception et le v cu du racisme et des discriminations POUR EN SAVOIR PLUS Clapest Oriv Emploi et discriminations raciales en Alsace o s adresser 7 Annuaire des structures qui agissent aupr s des victimes Strasbourg Oriv juin 2007 77 p WoOriv Dossier ressources Discriminations raciales l ments de compr hension et d action Strasbourg Oriv d cembre 2006 45 p HALDE Rapport annuel 2007 Paris HALDE 2008 184 p Gw na le Calv s Le testing contre les discriminations in Horizons strat giques n 5 ao t 2007 TIR CTI Int gra ont diserigi l Int gration et discriminations Le public concern par les discriminations li es l origine r elle ou suppos e n est pas celui stricto sensu concern par le processus d int gration Ainsi les publics discrimin s peuvent tre des personnes n ayant jamais migr Les personnes concern es par le processus d int gration peuvent rencontrer des discriminations li es leur origine r elle ou suppos e mais le lien n est pas automatique Il faut galement pr ciser qu un certain nombre de personnes souvent d sign es comme jeunes issus de l immigration rencontrent des
115. upr s de toutes les structures d insertion par l conomique conventionn es en Alsace ACCESSIBILIT AUX DONN ES L acc s aux donn es est gratuit pour la plupart d entre elles et se fait via une charte d utilisation des donn es statistiques X 7 X DO D TD CN A A B A A a A A A A K N Z n a WA GA MA MA GAD IN AS il AN Annexes Qriv l Guide de l observation sociale territorialis e septembre 08 113 114 Glossaire Actif Une personne active fait partie de la population en ge de travailler qui a un emploi ou qui en cherche un Aides au logement Il existe trois aides au logement l Allocation personnalis e au logement APL pour des logements conventionn s Environ 90 90 des logements sont dans le parc social l Allocation logement social ALS pour les personnes vivant hors logement conventionn APL sans enfants Plus de 80 des b n ficiaires sont dans le parc priv l Allocation logement familiale ALF pour les personnes vivant hors logement conventionn APL avec enfants Plus de 70 des b n ficiaires sont dans le parc priv Des conditions de ressources sont galement pos es Ch mage Le taux de ch mage est le pourcentage de ch meurs dans la population active actifs occup s et ch meurs Le taux de ch mage diff re de la part de ch mage qui elle mesure la proportion de ch meurs dans la population totale Demandeurs d emp
116. us Ce taux permet une tude comparative inscrits sur les listes lectorales au cours d lections successives chelle Bureau de vote Trois autres types d indicateurs de lien social peuvent tre mobilis s mais n cessitent une approche qualitative passant par un recueil d informations sur le terrain Le nombre d associations leur objet et le nombre de membres ces donn es sont disponibles au Tribunal en Alsace Moselle et dans les Pr fectures pour le reste du territoire Cependant les fichiers ne font pas l objet d une mise jour r guli re notamment pour les structures qui ne fonctionnent plus et les associations ne sont pas oblig es de se d clarer sauf pour celles faisant une demande de subvention Le recensement sur le terrain des associations de quartier culturelles sportives etc serait plus fiable Le recensement des activit s propos es sur le territoire f tes et manifestations interculturelles loisirs l aussi le recensement de terrain s impose permet de mesurer le dynamisme des associations les changes interculturels et plus globalement la qualit de la vie sociale La participation aux instances de proximit et aux r unions publiques selon l existence ou non de conseils de quartiers r unions publiques etc W Les enqu tes aupr s des habitants des b n voles ou des intervenants sur le territoire peuvent permettre de mesurer l intensit des liens associatifs la
117. ve i PA CVA nn d A us Ve e Sommaire Ea D E R B Pr sentation de l Oriv nannti 6 Pr sentation du guide EEEE EEEE EEEE 7 Comment mettre en place et mener une d marche d observation 9 Quelques recommandations pour compl ter l approche statistique 13 Les principales sources de donn es 16 Th matiques 1 Monographie urbaine 21 2 Approche sociod mographique de la population 27 3 Emploi insertion et d veloppement conomique 35 AP abitata ee tas retiennent eee 45 Rd O El ie 55 6 1 Sant LL 67 711 S curit et pr vention de la d linquance 73 8 Int gration et discriminations see 79 9 Lien social et proximit earar rarere rarr 87 l Attractivit et mixit 3 Organismes Mise jour 2010 Agence de d veloppement et d urbanisme de l agglom ration strasbourgeoise 98 Agence d urbanisme de la r gion mulhousienne 0 99 Caisses d allocations familiales 100 Direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement 101 Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du trav iletdelemplol esse essais Er 02 Inspections d acad mies aaoi
118. x Type d habitat individuel collectif P riode de construction Cette premi re phase permet de situer le territoire dans son contexte aussi bien historique que g ographique et permet d identifier les probl mes ventuels en mati re d enclavement ou d isolement du territoire par rapport l espace urbain RECENSER LES QUIPEMENTS EXISTANTS fm du territoire 2 RECENSER LES DISPOSITIFS EN COURS LES PARTENAIRES ET LES INSTANCES LOCALES VLes dispositifs existants l chelle du territoire quartier et ou commune Contrat urbain de coh sion sociale CUCS Atelier sant ville ASV Programme de r ussite ducative PRE Contrat local de s curit CLS Programme de r novation urbaine PRU Programme local pour l insertion et l emploi PLIE Contrat enfance jeunesse CEJ etc L existence et le r le des instances de coordination et de partenariat Les forces vives du territoire les acteurs de terrain Recenser l existant en mati re de dispositifs de la politique de la ville ou autres permet d une part de conna tre les partenaires institutionnels qui interviennent directement ou financent des actions sur les territoires et d autre part de rep rer les th matiques qui font l objet d une contractualisation sant emploi habitat Cela permet galement de savoir ce qui a exist ce qui perdure et ce qui est nouveau Les instances de partenariat ou de coordination

Guide de l`observation sociale territorialisée. ORIV

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