Conseil participatif du projet de territoire
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1. de mani re tr s p dagogique Notre volont tait de nous adresser tous et que le message soit bien compris Ce document est compos de 17 fiches voire 18 Ce nombre n est pas encore fix car nous sommes dans un processus de relecture assez intense et tr s fructueux Cet exercice force la collectivit se positionner sur de vrais enjeux d am nagement en mobilisant plusieurs comp tences Nous avons ainsi r ussi r unir cinq directeurs pour en d battre car les visions peuvent diff rer selon le champ d action Il est apparu possible de d gager une vision d partementale et institutionnelle Ce travail complexe est en cours en vue de la livraison d un r f rentiel en septembre Le document doit permettre d embrasser une probl matique en un regard Il est la fois tr s r dactionnel et tr s imag Nous avons voulu placer l image au service de l crit et ne sommes pas partis sur une image fantasm e ou bucolique mais sur une image minimaliste qui donne voir rapidement ce que pourrait tre un acte d am nagement marqu par le D partement Nous avons voulu pr senter une vision alternative de l am nagement parfois audacieuse int gr e dans le syst me francilien tout en tant sp cifique A toutes les tapes de production du R f rentiel d Am nagement nous sommes rest s concentr s sur le fait que nous travaillions sur le d partement de la Seine et Marne De ce point de vue le prestataire a rempli sa2. trouver des exp rimentations pour les mobilit s innovantes C est effectivement difficile car elles impliquent souvent des infrastructures qu il faut pouvoir exp rimenter Nous avons donc vu appara tre avec l appel initiatives un certain nombre de propositions qui r pondraient ce d sir notamment sur les transports domicile en milieu rural dans des v hicules propres lectriques Le chantier n 2 est r orient sur le covoiturage sans avoir r pondu la question de l ex cutif tout en ayant vu merger des exp rimentations potentielles mais sans faire le lien avec l ex cutif pour prendre des d cisions Y a t il un dysfonctionnement Anne Marie NUITENS Nous avons t labellis s et c est assez sympathique Une petite initiative peut ainsi devenir connue dans le d partement J ai t surprise par cette d marche Nous avons eu beaucoup de retours car tout le monde lit Seine et Marne Magazine Pour rejoindre la probl matique du chantier n 4 nous produisons des mat riaux en tant confront s un probl me de metteurs en uvre Nous avons eu beaucoup de retours mais avons peu de solutions apporter aux personnes qui nous posent des questions mis part la distribution de mat riel Jacques DROUHIN Lorsqu on labellise une initiative les retomb es sont int ressantes Pour les v hicules lectriques nous avons mis contribution le monde de l entreprise tr s sensible la valorisation de l nergi
3. consolider En interne le R f rentiel d Am nagement nous servira de base pour les documents d urbanisme Comme je vous l ai dit il a t en partie l origine de l laboration du document Nous voulons aussi l utiliser pour accompagner nos processus d identification des actions par bassin de vie Le projet de territoire a t labor l chelle du d partement et l enjeu est d sormais de le d cliner sur les territoires De fait cet outil r f rentiel nous aide apporter des r f rences et des visions L id e est aussi de d accompagner des op rations embl matiques en Seine et Marne Le travail de partenariats reste conforter La DATAR est relativement attentive notre travail car son originalit comme elle le rappelle est qu il soit men par le D partement Il existe des r f rentiels dans d autres d partements mais ils sont souvent labor s sous la ma trise d ouvrage d agences d urbanisme La Gironde notamment a men un travail similaire en le confiant l agence d urbanisme de Bordeaux m me s il a vocation tre d partemental le cg l ayant cofinanc La DATAR juge int ressant le fait que le D partement se porte ma tre d ouvrage de l laboration du R f rentiel d Am nagement car ce n est pas n cessairement l une de ses comp tences premi res Cela lui conf re une originalit L objectif est galement de contribuer la vision du mod le d am nagement de la Seine et Marne qu
4. d organiser un v nement d partemental sur ces sujets sous la forme par exemple d assises d partementales de l co construction Apr s r flexion il est envisag d aborder la question de l co r novation car l co construction est un sujet souvent abord en colloques et pourrait tre redondant En outre l co r novation est un enjeu encore plus important dont on parle moins notamment en Seine et Marne o 60 des immeubles d habitation datent d avant 1975 Cet v nement serait organis en novembre ou du moins avant la fin de l ann e en partenariat avec les nombreux acteurs qui se sont mobilis s sur le chantier 4 et en lien avec les services du d partement et du SMD co porteur de ce chantier Cet v nement n aurait pas vocation avoir un rayonnement national ou international mais structurer la fili re en Seine et Marne mobiliser les acteurs et aboutir des avanc es concr tes sur la base des r flexions men es par la commission depuis 18 mois 3 Point sur les travaux des commissions relance des C1 C2 C5 M Yves LICHTENBERGER La commission 1 poursuit ses travaux en se centrant sur la question de l accessibilit des services sociaux aux usagers les plus loign s en engageant notamment un travail avec le Labex laboratoire d excellence Futurs Urbains sur les Maisons D partementales des Le 3 juillet 2013 15 Z SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoi
5. eau routes transports Nous avons souhait lancer un travail transversal pour s assurer de la prise en compte d une approche transversale dans les avis que nous rendons sur les PLU SCOT et ZAC et de la coh rence de la vision du Conseil g n ral Le Projet de territoire a t mis en uvre alors que nous d veloppions cette r flexion Il a t l opportunit de croiser les visions techniques et politiques Nous voulions donner du sens et du contenu dans le projet d am nagement propos pour le d partement de Seine et Marne Nous avons t rattrap s par une actualit d bordante sur ces questions Au del du Projet de territoire lacte IIl de la D centralisation dont les textes ne sont pas encore aboutis pr voit de reconna tre aux Conseils g n raux une comp tence d assistance Le 3 juillet 2013 3 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire technique renforc e dans le champ de l am nagement du territoire Au del de l acte Ill de la D centralisation sont arriv s le Grand Paris et la r vision du SDRIF En tant que personnes associ es nous avons d mettre un avis sur ce dernier et porter une vision d un mod le d am nagement Au del des documents d urbanisme une r flexion est en cours au Conseil g n ral pour poser les bases d une nouvelle forme d aide aux territoires Celle ci nous a conduits r former nos politiques d accompagnement aux
6. puisqu il s est nourri de tous les autres chantiers Ce ne doit pas tre une fin mais plut t un d but Nous revenons au fait que ce n est pas un r f rentiel ni une animation qui conduit de la d cision mais un outil s approprier pour les d cisions que chacun prendra M St phanie BASCOU Je vous remercie pour cette pr sentation tr s int ressante qui permet d inscrire les territoires dans un ensemble Je me permets de rebondir sur la question de l co quartier de la plaine de Montaigu Il vise l ambition de r pondre des besoins d habitat en quilibrant la n cessit d une urbanisation et d une p riurbanisation et des besoins sup rieurs Le transport en commun en site propre vient desservir l co quartier qui comprend la plaine de Montaigu mais aussi le quartier existant la plaine et le p le hospitalier Il ne se limite pas l outil op rationnel de la ZAC En r alit il est un ensemble et r pond une conurbation importante au niveau du territoire M Jacques DROUHIN Je suis maire de Flagy et pr sident de l association des maires ruraux de Seine et Marne Notre r le est aussi d enrichir ce document Je pense que nous devrions le faire sur deux points en commen ant par imaginer une commission d accompagnement Nous partons d un constat et d un travail de plusieurs mois pour l enrichir par un accompagnement Il faudrait d terminer les participants de cette commission en veillant ce qu ils ne soien
7. sujet de la concertation Le terme est mal choisi car ce document n a pas t labor en concertation En revanche il a t travaill avec plusieurs acteurs Ce n est cependant pas la concertation au sens o nous l entendons ici Avant de publier le document nous avions d ores et d j imagin qu il y aurait besoin de b ta testeurs Il faut aller au del Je retiens l id e qu il est indispensable de constituer un petit groupe pour le d clenchement officiel de la commission n 5 qui pour des raisons diverses na pas pu r ellement se d velopper avec les personnes qui seront volontaires pour s y engager Sans vouloir exclure les associations elle comptera mon avis un nombre cons quent des lus locaux car ils sont la cible privil gi e en raison de leur pouvoir de d cision Il est utile d avoir le regard des maires sur le sujet La commission sera aussi la possibilit de compl ter ce document d en v rifier la lisibilit et la compr hension et d identifier les questions qui restent sans r ponse Nous pouvons prendre le temps de publier ce document l essentiel tant sa compr hension et sa publication C est la raison pour laquelle nous avons souhait vous le pr senter ce soir M Yves LICHTENBERGER Les fiches seront rapidement disponibles sur le site Internet du conseil participatif Vous pouvez sugg rer les fiches qui manqueraient Nous avons par ailleurs toujours annonc que la commission n 5 d m
8. territoires Le lien nest pas direct puisque le r f rentiel porte sur les questions d urbanisme alors que les politiques portent davantage sur les questions de d veloppement local Cependant les questions de d veloppement d quipement d urbanisme et d am nagement sont li es partir du moment o nous portons une vision d un territoire et en crivons l histoire Au sein du Conseil g n ral et du d partement de Seine et Marne une r flexion plus large est men e par la DATAR Territoires 2040 Elle soul ve des questions similaires celles du Conseil g n ral mais l chelle nationale Elle s interroge sur les nouvelles formes de d veloppement d am nagement et d urbanisme dans une France en mutation consid rant qu il est int ressant de rechercher des perspectives de ce que serait la France en 2040 La DATAR est int ress e par nos travaux et suit notre d marche car elle l assimile une mise en application des r flexions qu elle m ne l chelle du territoire Fran ais La Seine et Marne est un d partement particuli rement int ressant sur ces questions C est le plus grand d le de France et il symbolise lui seul de nombreux types de d veloppement fin de la ville de l agglom ration de la m tropole mais aussi entre deux campagne nouvelle campagne et d but de la province Ces caract ristiques ont conduit la Seine et Marne rechercher un mod le de d veloppement propre En conclusio
9. tropolitaine celle des nouveaux mod les d am nagement dans lesquels transpire la nature Rappelons que 80 de l espace du d partement est agricole et forestier Il semblait donc int ressant d adopter cette premi re approche e La mobilit pour associer les territoires et les r seaux Notre d partement est profond ment inscrit dans le fonctionnement francilien et la question des mobilit s y est centrale Nous restons la porte d entr e est de l le de France et cette question des mobilit s et des circulations est essentielle Le 3 juillet 2013 6 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire e La proximit pour r inventer la qualit des espaces collectifs Le projet de territoire rappelle dans son manifeste qu au cours des quarante derni res ann es s est d velopp un urbanisme sectoriel galopant traitant davantage la question du lotissement que de l espace public trait e de fa on fonctionnelle L id e est d inverser la tendance et de se r f rer aux proximit s pour r inventer la qualit de vie et de travail C est un troisi me enjeu fort pour la Seine et Marne Sur la base de ces trois principes nous avons d clin 17 fiches sur des th matiques propres la Seine et Marne Je vous propose de nous attarder sur l une d entre elles pour vous illustrer la conception du document M Xavier MESSAGER Le R f rentiel d Am nagement est pens
10. Conseil G n r Direction g n rale des services Mission projet de territoire Conseil participatif du projet de territoire 3 juillet 2013 Salle des s ances H tel du D partement Le 3 juillet 2013 1 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire Ordre du jour l Pr sentation par la Direction de l Am nagement et du D veloppement des Territoires puis mise en discussion du R f rentiel d Am nagement labor par le Conseil g n ral dans le cadre du Chantier 5 3 Il Commissions 14 1 C3 retour sur la r union Fontainebleau 14 2 C4 organisation d un v nement autour de l Eco R novation comment capitaliser durablement les synergies cr es 15 3 Point sur les travaux des commissions relance des C1 C2 C5 15 Ill Appel Initiatives retour sur exp rience et lancement de la deuxi me dition 16 1 Bilan chiffr 16 2 Retomb es 17 IV Questions diverses 18 1 Fonctionnement du Conseil participatif 18 Le 3 juillet 2013 2 Z Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire La s ance est ouverte heures sous la pr sidence de M Yves LICHTENBERGER pr sident du Conseil participatif M Yves LICHTENBERGER Le point important de notre r union est la pr sentation du R f rentiel d Am nagement Nous ferons ensuite le point sur les commissions et notre plan de travai
11. LICHTENBERGER Trois dossiers ont t labellis s sur quatre Un intervenant Effectivement il y a une erreur dans mes chiffres Parmi les satisfecit citons la diversit et la qualit des dossiers re us ainsi que la communication Chaque mois quatre initiatives labellis es sont pr sent es dans Seine et Marne Magazine Trajectoires etc Monsieur Gastaud il me semble que Opti V lo a b n fici de cette publicit ainsi que Plan te Chanvre qui a constat des commandes suppl mentaires Quelques difficult s administratives ont pu mailler l envoi des dossiers Nous allons renouveler l exp rience et lancer une campagne de communication sur la saison 2013 2014 avec l objectif galement de r valuer les porteurs de projet Nous Le 3 juillet 2013 16 Z Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire v rifierons qu ils s inscrivent toujours dans la d marche du Projet de territoire avant de renouveler leur labellisation Enfin nous voulons donner voir ces initiatives labellis es en proposant au Conseil participatif et aux lus de visiter les porteurs de projet sur place notamment les moins connus ou les plus embl matiques du Projet de territoire pour promouvoir l initiative seine et marnaise 2 Retomb es Vincent GASTAUD Jai t acteur et observateur de cette d marche Le chantier n 2 doit r pondre la commande suivante de l ex cutif
12. OT et des PLU lorsque nous sommes associ s leur d marrage Il arrive que nous ne soyons sollicit s qu la fin de l laboration d un document et n ayons plus qu mettre un avis Nous demandons aux communes de nous associer en amont pour apporter des l ments concrets et une vision du d partement sur ce porter connaissance Nous nous appuierons sur le r f rentiel galement con u dans ce but pour apporter des exemples concrets et des propositions M Yves LICHTENBERGER En conclusion la cible principale du R f rentiel d Am nagement est les professionnels de l am nagement avec la possibilit de d cliner des discussions largies La commission n 5 pourrait jouer un r le dynamisant cet gard IL Commissions 1 C3 retour sur la r union Fontainebleau Antoine METER Pr sident de la Commission 3 La commission 3 a t fid le son mode de travail c est dire qu elle s est d localis e partir de Melun pour rejoindre des zones d excellences Nous avons choisi Fontainebleau pour cette r union La commission s est d roul e en deux temps un premier temps consacr la pr sentation du tourisme dans les locaux de l IUT Fontainebleau et un second temps de visite du ch teau et de ses expositions Cette commission s est av r e tr s riche et a permis de d couvrir l Institut Fran ais du Tourisme que les membres de la commission ne connaissaient pas ainsi que le P le Le 3 ju
13. Seine et Marne Il ne sera pas n cessaire de r aliser toutes les actions Nous veillerons tre p dagogiques Notre but est de montrer le panel d actions possibles face une situation en fonction des caract ristiques du secteur Nous avons sch matis de nombreuses solutions mais elles ne sont pas reproduire toutes sur le terrain Ce sera bien expliqu dans le document Ce n est donc pas un mode d emploi mais un outil de m diation avec les territoires Le 3 juillet 2013 8 Z Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire La finalisation du document est pr vue en septembre octobre pour la rentr e de 2013 Ensuite l objectif est de le faire vivre avec un r seau de professionnels autour du r f rentiel d am nagement Ce sont aussi des sujets que nous pouvons voquer avec vous et le Conseil participatif comment faisons nous vivre ce document Organisons nous des colloques Faisons nous venir des professionnels Nous savons qu il faudra le faire vivre et qu il ne suffit pas de donner un tel document L animation du r seau la promotion et le partage autour des lus peuvent prendre de nombreuses formes auxquelles nous pouvons r fl chir ensemble Nous sommes ouverts la discussion ce sujet Parmi les pistes envisag es nous pr voyons des s quences de formation et de r flexion pour les Conseillers g n raux et les lus de Seine et Marne qui restent
14. arrerait apr s les autres en raison de son caract re transversal Sa feuille de route est en train de s laborer Le 3 juillet 2013 13 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire Mme Coralie DESHAIES Concernant l laboration la concertation et la destination du document il faut tre conscient de sa complexit Il faut en d terminer la cible et vous savez que nous ne pouvons pas pr voir le m me document pour des techniciens des lus du grand public C est impossible car nous nous retrouverons dans la m taphore du couteau suisse qui veut servir tout mais dont les fonctions sont finalement peu utiles Nous avons tent d laborer un document qui s adresse la fois des techniciens avec un message clair pour les lus Il v hicule un message politique dans le cadre du Chantier n 5 tout en descendant un niveau technique sur l urbanisme C est un compromis qui n est pas simple La cible n est pas le grand public En revanche pour le faire vivre se l approprier et le d velopper les possibilit s sont vastes Pour d battre d une vision il faut en poser les bases ce que font les fiches L enjeu du document est de savoir s il faut d battre de grands principes ou d l ments d j identifi s qui permettent d illustrer le d bat et d ouvrir les discussions Dans le cadre du Conseil g n ral nous tentons de travailler sur le sujet des SC
15. du d veloppement conomique et du grand projet d am nagement Bertrand CAPARROY Vice pr sident charg des territoires ruraux du num rique et du d veloppement des nouveaux usages et Patrick SEPTIERS Pr sident de la commission 5 du projet de territoire Le 3 juillet 2013 5 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire Enfin un comit scientifique compos de 17 universitaires et experts de l am nagement s est r uni trois reprises g ographes architectes urbanistes paysagistes chercheurs en sciences sociales et du CNRS agronomes cologues docteurs en science de gestion La plupart avaient travaill sur la d marche de la DATAR Territoires 2040 et nous ont apport un clairage national tout en ayant l opportunit de travailler sur un cas concret et de rapporter leurs recherches aux r alit s territoriales Nous tions honor s de leur pr sence et leur regard nous a beaucoup apport dans la d marche Ces universitaires venus de la France enti re ont pu constater la dynamique de la Seine et Marne et la mise en place du Projet de territoire Ce sont autant de personnes qui peuvent voquer la d marche de notre D partement l ext rieur Trois visites ont t effectu es sur site avec le groupe de travail et l accompagnement des experts Nous avons d cid de retenir trois parcours reprenant le sch ma du projet de territoire vall es m
16. e d ploy e sur un territoire rural ERDF et EDF nous ont fait part de retours positifs et cest une vitrine pour eux lls y voient une mani re de travailler intelligemment avec des lus et des collectivit s en envisageant ventuellement de reproduire l exp rience sur un territoire identifi Le 3 juillet 2013 17 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire M Yves LICHTENBERGER Ces exp riences d montrent l int r t d un label qui n est pas accompagn de moyens financiers Il stimule malgr tout les nergies et apporte une visibilit importante C est aussi une ressource pour les commissions qui peuvent rep rer ainsi des initiatives innovantes les stimuler et les accompagner en tant que porteuses de transformations sur le territoire Fran ois VERRET Depuis deux ans je demande que nous traitions en assembl e pl ni re le point IV de l ordre du jour sur le fonctionnement du Conseil participatif Je constate une nouvelle fois qu il risque de ne pas tre abord Serait il possible de l inscrire l ordre du jour en d but de r union pour que nous puissions nous exprimer sur la raison d tre du Conseil participatif Apr s deux trois ans de fonctionnement j ai de nombreuses questions et je m interroge sur l impact de nos avis M Yves LICHTENBERGER J allais conclure sur ce point Notre prochaine r union sera consacr e au bouclage des trois p
17. e des services Mission projet de territoire situations dam nagement et d urbanisme qui am nent d velopper nos territoires comment pouvons nous r pondre aux enjeux Quelles solutions pouvons nous d velopper L objectif du r f rentiel est aussi d apporter une aide l analyse de situations concr tes et sp cifiques d am nagement volutif Lorsque nous vous d taillerons le contenu du document vous verrez que nous avons voulu tre tr s op rationnels Le document ne recense pas l exhaustivit des projets de la Seine et Marne mais reprend des cas pratiques illustr s L objectif est galement de rappeler les documents disponibles pour mieux agir Nous nous sommes ainsi attach s rappeler les documents de r f rence disponibles sur les questions d am nagement Il apporte aussi des recommandations pratiques et pr sente les orientations d am nagement souhait es par le Conseil g n ral de Seine et Marne Il affirme de nouveaux principes pour faire autrement et invite poursuivre l effort collectif de conception Le R f rentiel d Am nagement n est pas un mode d emploi pour des projets cl s en main un ensemble de normes pour construire et am nager selon un mod le unique seine et marnais un nonc r glementaire ou conditionnel ni un sch ma d am nagement du territoire Ce document a t r alis dans le cadre d une large concertation puisque nous souhaitons en faire un outil de m diation avec les territoi
18. ectivit s des experts des agents locaux des lus et encore des experts Ils sont nombreux Lorsque je viens au Conseil participatif je suis interpel par le d veloppement des co quartiers dans les bois et les espaces non urbains qui le deviennent sous cette nouvelle tiquette J aimerais savoir comment r agira le R f rentiel sur ces am nagements dont certains figurent dans la visite Tournant Melun Je pense notamment au quartier Montaigu que je trouve loign des transports en commun La prise en compte du rapport la nature est un magnifique apport de cette r flexion C est effectivement une caract ristique de notre d partement et il est souhaitable de porter cette id e dans le r f rentiel de m me que l am nagement de nos territoires a m a fait penser la porte d entr e pour les d chets Le mod le de fiche est quant lui int ressant et m riterait d tre tudi pour des travaux dans d autres domaines Concernant les finalit s les perspectives et l animation du r seau du professionnel un grand absent est l habitant Pour les op rations innovantes je reviens sur les quartiers qui n ont d co que l conomie Mme Monique BELLAS association RENARD Je repr sente Renard une association de d fense de l environnement Je ne disposais pas de la pr sentation visuelle et n ai pas pu l analyser Je suis venue en pensant que le chantier 5 d marrait enfin je r alise qu il est pres
19. fs sur le territoire aupr s de cat gories d acteurs tr s diverses int ressera beaucoup le conseil participatif Avant de passer aux changes avec la salle jai deux questions comment ce r f rentiel sera t il diffus Comment pouvons nous nous le r approprier Mme Coralie DESHAIES Nous pr voyons une diffusion classique du document Il sera mis en ligne sur le site Internet et diffus sous format papier aupr s des maires et pr sidents d intercommunalit s de Seine et Marne Nous r fl chissons galement l organisation d un temps d change autour de son lancement M Yves LICHTENBERGER L apport du Conseil participatif pourrait porter sur sa diffusion et son appropriation par les acteurs Mme Coralie DESHAIES Tout fait Comme je vous le disais il reste encore beaucoup de points travailler ensemble sur ces questions M Xavier MESSAGER A l issue des trois visites sur site nous avons identifi de nombreuses probl matiques relevant de l am nagement dans lesquelles le D partement aurait pu peser Nous avons d prendre des d cisions difficiles pour limiter le R f rentiel d Am nagement 17 fiches Nous avons fini par un exercice financier ne pouvant aller au del car l enveloppe budg taire ne nous le permettait pas N anmoins ces 17 fiches correspondent 17 probl matiques embl matiques de la Seine et Marne mais il en reste beaucoup aborder Le R f rentiel d Am nagement est un document vivan
20. i sera port e dans les instances comme le Grand Paris Il permettra de faire entendre une voix forte et de l illustrer Nous serons amen s en rediscuter ensemble M Yves LICHTENBERGER Pr sident du Conseil participatif Je vous remercie pour la pr sentation de ce document et de l insistance avec laquelle vous veillez viter le malentendu que pourrait entrainer le terme r f rentiel Il renvoie g n ralement une norme partir de laquelle un contr le est tabli Vous soulignez bien qu il s agit d un outil d action et non de contr le Je vous remercie galement d insister sur le fait que cet outil permet de reprendre les grands axes du projet partir de points d application Les fiches sont en r alit des points d application trame verte lisi res inter modalit s gares pavillons zones d activit Le 3 juillet 2013 9 Z Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire c urs historiques Elles reprennent partir d eux la mise en coh rence d aspects urbains de voirie d habitat etc et cet ensemble est un outil d appropriation et de coh sion IIl me semble que vous avez conclu sur ce fait c est un outil p dagogique qui permet de polariser l action de chacun sur des r f rences partag es C est pourquoi il est d nomm r f rentiel C est un outil d animation et de d bat La mani re dont il permettra de diffuser de grands objecti
21. illet 2013 14 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire d Excellence Touristique Paris Est de Fontainebleau C est l un des huit p les d excellence touristiques cr s par l Etat Il a d marr en 2009 et vient d arriver dans cette ville Son objectif est de mailler le territoire local y compris en mati re de formation Le tourisme repr sente 60 000 emplois en Seine et Marne dont 34 000 directs et 26 000 indirects Ces 60 000 emplois am nent galement des formations Nous avons travaill avec les deux universit s pr sentes Paris Est Marne la Vall e et Paris Est Cr teil le P le d Excellence Touristique l IFT et le CNAM sur des formations que nous pourrions mettre en place en commun Une premi re r union a eu lieu la suite de la commission 3 et une seconde r union est pr vue en septembre Marne la Vall e pour mailler le territoire en formations la fois qualifiantes et diplomantes pour r pondre aux besoins du tourisme dans le d partement M Yves LICHTENBERGER Je vous remercie pour ces travaux et vous invite les poursuivre 2 C4 organisation d un v nement autour de l Eco R novation comment capitaliser durablement les synergies cr es Nicolas DELAUNAY La commission 4 est tr s dynamique et se r unit de fa on d localis e pour suivre les questions des co mat riaux et de l co construction Elle a notamment pour finalit
22. l Je remercie Coralie DESHAIES directrice de l am nagement et du d veloppement des territoires du Conseil G n ral et Xavier MESSAGER chef du service am nagement et strat gie qui vont nous pr senter le R f rentiel d Am nagement l un des l ments du chantier 5 du projet de territoire l Pr sentation par la Direction de l Am nagement et du D veloppement des Territoires puis mise en discussion du R f rentiel d Am nagement labor par le Conseil g n ral dans le cadre du Chantier 5 Mme Coralie DESHAIES Directrice de l Am nagement et du D veloppement des Territoires Comme l a voqu le Pr sident du Conseil participatif le travail sur le R f rentiel d Am nagement s inscrit pleinement dans le Projet de territoire Ce dernier comprend cinq chantiers dont le cinqui me s intitule un nouveau mod le d am nagement pour la Seine et Marne La mise en uvre de ces chantiers a t confi e plusieurs directions au sein du Conseil g n ral La direction de l am nagement a re u pour mission de travailler et de r fl chir la mise en uvre du chantier n 5 Le D partement d tient une comp tence en mati re d am nagement et d urbanisme dans ce cadre il est amen rendre des avis sur les SCOT et les PLU et se poser des questions sur les aspects de d veloppement et d am nagement Au del de notre direction plusieurs directions sont impact es par les questions d urbanisme environnement
23. mission puisque la Seine et Marne revient sans cesse dans les crits et les approches Je ne reviendrai pas sur les trois th matiques voqu es par ma coll gue Rappelons simplement qu un code couleur est associ chacune e vert pour la nature e bleu pour les mobilit s e rouge pour les proximit s Sur chaque th matique plusieurs fiches ont t labor es Sur les espaces de l eau et la trame bleue par exemple nous posons la question du paysage de la route mais aussi Le 3 juillet 2013 7 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire des lisi res des interstices agricoles des itin raires et des modes de d placement actifs de la travers e d un bourg ou d un village de la densification pavillonnaire le c ur historique les atouts les dents creuses et zones d activit Actuellement la question de la mutabilit des zones d activit existantes se pose beaucoup dans la politique d partementale logement geste architectural constructions cologiques La fiche se pr sente sous la forme suivante e un chapeau introductif avec une photographie de Seine et Marne e un message global pr sentant la probl matique e les constats et enjeux en non ant des tendances des chiffres et des prospectives sans voquer d embl e une r ponse e les bonnes pratiques et l exemple suivre qui ne sera pas seine et marnais e les
24. n nous avons souhait travailler sur un outil de m diation con u l origine comme un outil de m diation interne Le projet politique nous a conduits l tendre aux territoires et partager en interne pour convaincre en externe Tels taient les l ments fondateurs de notre d marche Le R f rentiel d Am nagement a pour vocation d tre un document qui fait vivre le Projet de territoire en portant les sp cificit s de l am nagement de la Seine et Marne vis vis du Grand Paris et de Paris M tropole Il est con u comme un outil de m diation avec les territoires d ing nierie et de d monstration pratique utile aux lus pour aider la conception de r ponses nouvelles surtout l o l ing nierie manque tre dans l audace plut t que dans le mod le et ne pas s interdire de d finir des r gles am nagistes Cependant la conviction doit primer Le message se veut de nature politique C est une interpellation quant aux modes de faire aux principes revisiter aux cultures faire voluer Ce sont aussi des propositions pour faire voluer ces modes de faire Le R f rentiel d Am nagement n est pas LA r f rence Nous n avons pas voulu recr er un document similaire un guide des pratiques exclusives de toute autre Nous avons voulu un outil p dagogique simple et volutif Aujourd hui nous sommes confront s des Le 3 juillet 2013 4 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n ral
25. propositions d objectifs d clin s plusieurs niveaux des principes forts innovants et audacieux au fait de simplement poser le d bat e le titre de la fiche avec un code couleur rappelant le th me e l illustration volontairement minimaliste destin e servir le propos Sur le dessin des bulles items accompagnent le geste d illustration et d taillent plus ou moins l intention Sur les lisi res et interstices agricoles et forestiers est ainsi voqu l am nagement des lieux d acc s en for t am nagement d un parking l enrichissement de la lisi re agroforesti re par des esp ces v g tales agroforesterie chemins pi tons et v lo liens entre les espaces naturels et centre bourgs r invention d un paysage de transition plantation de vergers et prairies Nous serons parfois dans la continuit parfois dans l audace Des propositions alternatives peuvent tre avanc es qui peuvent pr ter sourire ou au moins interpeler Mme Coralie DESHAIES Le principe d un code couleur sera maintenu mais les couleurs ici pr sent es peuvent changer Le bleu des mobilit s est per u par beaucoup de personnes comme d signant des rivi res et des cours d eau L objectif tant un document aussi lisible que possible il peut encore voluer Pour terminer je tiens pr ciser qu une fiche repr sente le maximum de situations possibles et d actions r alisables Il est vident qu elle ne repr sente aucun cas en
26. que termin et que vous avez fait tout le travail sans nous C est mon inqui tude majeure J entends qu il contient de nombreux l ments avec les nuances exprim es par M Vincent GASTAUD et que nous avons beaucoup travaill es entre temps Je m tais inscrite au Chantier n 5 et j ai particip tous les autres parce qu il n tait pas ouvert et que j attendais Plut t que d tre sollicit s la fin du R f rentiel d Am nagement n aurions nous pas d tre consid r s comme des experts L association le Renard en fait aussi partie Qu est devenu notre niveau d expertise du v cu qui nous a t tant vant au d marrage des chantiers Le 3 juillet 2013 11 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire Par ailleurs quels sont les rapports qu tablissent ces r f rentiels avec le SDRIF 2030 les SCOT etc J imagine que vous avez recueilli une parole d experts ce sujet et que vous pouvez nous donner votre avis en tant que Direction du Conseil g n ral Il existe certainement des interf rences entre ce r f rentiel et votre action au quotidien Quant aux perspectives ce Chantier n 5 pourrait devenir un regard a posteriori sur un r f rentiel d experts C est un bel outil qu il faut faire vivre et prendre en main en sachant qu il serait tonnant que nous l appr cions int gralement M Yves LICHTENBERGER Le Chantier n 5 est bien commenc
27. re Solidarit s Elles sont lune des exp rimentations phares lanc es par la Seine et Marne et suivies au niveau national avec int r t La commission 2 va se centrer sur la question du covoiturage La commission 5 a t largement voqu e ce soir Elle accompagnera la mise en uvre du r f rentiel et son animation En l absence d autres questions sur le fonctionnement des commissions et leur lien avec le conseil participatif je vous propose d aborder le dernier point l ordre du jour II Appel Initiatives retour sur exp rience et lancement de la deuxi me dition 1 Bilan chiffr Aur lien BERNICCHIA L appel initiatives a t lanc en 2012 avec un premier jury qui s est r uni en octobre 2012 Sur 62 dossiers re us 28 ont t labellis s en premi re instance Le jury s est r serv la possibilit de r tudier d autres initiatives quelques mois plus tard apr s une p riode de maturation Le nombre d initiatives labellis es a ainsi t port 35 Chaque chantier est repr sent mais le premier sur l accessibilit des services suscite davantage d enthousiasme 22 dossiers d pos s et 11 labellis s soit pr s du tiers des dossiers d pos s et labellis s Le second chantier sur la mobilit est plus complexe mettre en uvre pour les porteurs d initiative Il n a re u que quatre dossiers dont un a t labellis Vincent GASTAUD Inaudible intervention hors micro M Yves
28. remi res ann es du conseil et sera l occasion de red finir le mode de fonctionnement Comme pour la commission 5 certains points sont transversaux Nous avons voqu le sujet du fonctionnement mais ce n est pas suffisant Plusieurs questions ont t pos es l une sur la participation d un noyau dur fid le que nous avons r ussi largir l autre sur le fonctionnement des commissions que nous avons largies d autres membres et non membres Nous devons aussi tirer un bilan de l apport du Conseil participatif au conseil g n ral et ses actions IV Questions diverses 1 Fonctionnement du Conseil participatif Ce point est report au prochain Conseil participatif Le 3 juillet 2013 18
29. res Ceux ci ont t associ s en amont dans la r flexion Il a t con u en interne avec l accompagnement d un ma tre d ouvrage notamment pour la partie dessins sans le confier int gralement un prestataire Ce travail a t men par plusieurs directions pour permettre aux agents de s impr gner du mod le qu ils seront amen s ensuite exposer aux lus Se l approprier d s le d but nous semblait important Cinq instances ont assur l encadrement de la d marche Un groupe de travail inter directions Direction de l Am nagement Direction de l Eau et de l Environnement Direction des Transports Direction des Coll ges Direction des Affaires Sociales Mission Projet de territoire et CAUE a constitu l instance de production L instance de concertation tait scind e en un comit technique externe et un comit technique interne Le premier r unissait des repr sentants des territoires urbains ruraux communaut s d agglom ration communaut s de communes en milieu rural EPA des partenaires institutionnels Etat R gions l IAU le PNR du G tinais la chambre d agriculture l AIGP Paris M tropole les ateliers de Cergy Pontoise et l cole d architecture de MLV Le comit technique interne r unissait les Directions du D partement Le pilotage tait assur par les lus du Conseil g n ral Jean DEY Vice pr sident en charge de l environnement et du d veloppement durable G rard EUDE Vice pr sident
30. t pas trop nombreux par souci d efficacit Ensuite nous pourrions l enrichir par des fiches d exp rience reprenant le triptyque nature mobilit et proximit Nous connaissons des exp riences qui font appel ces trois l ments Il serait frustrant de morceler ce travail Sa richesse est de mettre en uvre ce triptyque et de reprendre les exemples existants Je pourrai vous apporter un compl ment d information pour le milieu rural Le 3 juillet 2013 12 EA Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire M Daniel MESVART De quelle mani re pourrons nous tenir compte des fiches dans l laboration des PLU et des SCOT Seront ils port s connaissance Le participant s exprime sans micro et l enregistrement est coup M Jacques STEVENIN Je tiens saluer le travail r alis encore myst rieux Souvent nous connaissons bien les exemples lointains et moins les situations proches de chez nous Cet outil nous permettra aussi de mieux conna tre les exemples de notre environnement proche A S nart nous avons deux co quartiers plut t urbains en Seine et Marne et en Essonne Il existe deux tablissements publics d Etat en Seine et Marne Nous serions ravis de contribuer au d veloppement de ce travail Nicolas DELAUNAY Directeur de Cabinet de Vincent bl L enjeu est la fois l appropriation du document et surtout sa concr tisation Je vous rejoins sur le
31. t qui ne s arr te pas sa livraison en septembre Il s inscrit dans une dynamique dans laquelle les territoires doivent pouvoir susciter des probl matiques que nous pourrons ensuite formaliser Il doit s toffer et s actualiser au cours des ann es car ces probl matiques ne peuvent tre grav es dans le marbre L am nagement d il y a trente ans n est en effet plus celui d aujourd hui Nous devrons imaginer la mani re dont faire voluer le document Le 3 juillet 2013 10 Z Conseil G n r SEINE amp MARNE Direction g n rale des services Mission projet de territoire Vincent GASTAUD Pr sident de la Commission 2 coll ge des Citoyens J appartiens au coll ge citoyen Votre pr sentation est tr s enrichissante Le R f rentiel d Am nagement affiche une v ritable ambition J ai d cel plusieurs l ments dans cette pr sentation dont la r forme des politiques contractuelles et la volont de proposer une politique de d veloppement en d clinant le projet sur dix territoires ou bassins de vie dont on voit bien que la r alit intercommunale s loigne Quant la concertation je rel ve des manques pour la pr sence citoyenne Seine et Marne D veloppement et la Chambre d Agriculture sont pr sentes mais les CCI et les chambres des m tiers les associations professionnelles sont absentes La concertation reste le fait d experts et cela se ressent dans la fin de votre pr sentation Elle r unit des agents des coll
32. tropolitaines territoires de franges et espaces interm diaires territoires ruraux et nouvelles campagnes Nous avons tent d illustrer au mieux l organisation territoriale voqu e dans le projet de territoire Le premier parcours Meaux Marne la Vall e Roissy correspond celui de la vall e m tropolitaine avec un d bord sur les territoires p riurbains autour de l a roport de Roissy Ces territoires fonctionnent ensemble avec des typologies et des physionomies diff rentes Le second parcours Melun Tournant et Brie Comte Robert est celui des franges et des territoires interm diaires Le troisi me parcours Melun Provins le long de la RD213 est plus rural nous partons de la ville et de la vall e pour rejoindre l est de la Seine et Marne ce qui permet de visualiser les transitions paysag res Le comit d experts gr ce son regard ext rieur nous a beaucoup aid s organiser le document d am nagement Le plan a t travaill en lien troit avec ce comit Nous avons retenu trois parties e La nature pour guider l am nagement des territoires Nous nous r f rons la nature sous toutes ses formes et fonctions pour cultiver la sp cificit des territoires Le comit scientifique a en effet soulign que ce rapport se posait dans tous les espaces de la Seine et Marne Dans les campagnes il s agit du rapport aux lisi res dans les espaces interm diaires se pose la question des limites et dans la vall e m
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