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Sociétés d`Exercice Libéral: mode d`emploi

1. ORDEI DES M DECINS 34 ann e OCTOBRE 2005 EXCEPTIONNEL a PARIS PORTE DE CHARENTON Assurez vous un revenu compl mentaire GARANTI avec la r sidence services SUITES HOME Constructeur EIFFAGE Gestionnaire Pierre amp Vacances Gestrim Economie de la totalit de la TVA sur l acquisition 19 60 du prix H T ou 16 38 du T T C Achat direct au prix Hors TVA Loyers garantis 100 par bail de 11 ann es et 11 mois fermes et reconductible gt Entretien et gestion locative assur s gt Revenus g n r s r actualis s et non fiscalis s sur un tres long terme IL E R glementation de la location meubl e j p dd pse Priorit de location pour vous m mes et vos enfants sur plus de 250 r sidences tudiantes et de tourisme d affaires r parties sur toute la France Livraison 3 ME trimestre 2007 Exemple pour l acquisition d un studio de 20 m Prix du studio TTC mobilier 142 463 te Gain fiscal imm diat conomie de la TVA sur studio mobilien 23 346 Ure opp Ye sur Prix d achat du studio mobilier au prix hors TVA 119 117 exce o N cem Montant du pr t avesse 119117 exo Apport gt 0 gt 0 de Y WTN e Mensualit Ass D c s comprise SSS 856 sl Loyer mensuel net de d part HT garanti 3 435 Co t mensuel moyen sur les 10 premi res ann es environ 390
2. compte tenu d une hypoth se de r actualisation annuelle des loyers de 2 94 soit 2 493 F FINANCEMENT POSSIBLE AVEC OU SANS APPORT Exemple d un studio de 20 m au 2 tage dans la limite des stocks disponibles et hors frais d acquisition Exemple d un financement avec un pr t immobilier au taux indicatif de 3 15 au 1 sept 2005 en taux r visable cap 2 points Taux Euribor 12 mois Co t total du cr dit pour un pr t de 119 117 sur 15 ans capital accessoires 153 915 TEG 3 59 sous r serve d acceptation du dossier de pr t L emprunteur dispose d un d lai de r flexion de 10 jours pour accepter l offre de pr t La vente est subordonn e l obtention du pr t et si celui ci n est pas obtenu le vendeur doit rembourser les sommes vers es Hors incidence des taxes fonci re et professionnelle et des charges non r cup rables sur le locataire SARL au capital de 7 622 45 DOCUMENT NON CONTRACTUEL RCS DIJON B 401 787 783 Q CABINET CHODES 44 rue Monge 75005 PARIS 01 43 26 49 90 Nous souhaitons rencontrer le cabinet CHODES sans engagement de notre part Nom et pr nom Adresse T l prof T l dom Conform ment la loi informatique et libert n 78 17 du 6 janvier 1978 vous disposez d un droit d acc s et de rectification aux donn es personnelles vous concernant orroraL Unicit de la M decine et M decine multiple a M decine
3. C est le Conseil d partemental de l Ordre des m decins qui d livrera chaque m decin inscrit au tableau l attestation validant l va luation de ses pratiques professionnelles Dans les r gions une Commission sp ciale plac e aupr s des Conseils R gionaux de l Ordre dont la composition est fix e l article D 4133 0 2 valide le respect par les m decins de leurs obligations d valuation recoit les recommandations qui ont pu tre formul es leur gard par le m decin habilit ou l organisme agr article D 4133 0 3 et est destinataire pour suite donner des faits ou manquements mettant en jeu la s curit des patients relev s l occasion de l valuation Le Conseil national de l Ordre des m decins pour sa part sera sollicit par la Haute Autorit de Sant HAS sur les actions de forma tion mener l gard des m decins habilit s article D 3133 0 5 et participe avec l ensemble des autres partenaires sous l gide de la HAS aux r flexions permettant d am liorer le dispositif Les m decins valuateurs sont habilit s par la HAS et figurent sur une liste nationale publi e apr s avis du Conseil national de l Or dre des m decins Le dispositif d valuation est cens entrer en vigueur le ler juillet 2005 en application de l article 3 du d cret du 14 avril 2005 Objectif L valuation vise am liorer la qualit des soins m dicaux et le service rendu aux patients dans le respect des r
4. les SELCA Soci t d Exercice Lib ral de Commandite par Actions les SELAS Soci t d Exercice Lib ral par Action Simplifi e Apr s un certain t tonnement les structures se multiplient et on constate que ce sont les SELARL qui constituent le plus grand nombre Les textes qui r gissent ces soci t s sont d une part le droit commun des soci t s commerciales loi n 66537 du 24 juillet 1966 la loi pr cit e du 31 d cembre 1990 qui contient les r gles de base de cette soci t d exercice lib ral et plus particuli re ment pour les m decins le d cret n 94 680 du 3 Ao t 1994 Les membres des soci t s d exercice lib ral de m decins exer cent donc la m decine au sein d une soci t de capitaux Le l gis lateur a voulu d finir de mani re stricte les conditions de constitution d une telle soci t afin de pr server les r gles fonda mentales li es la D ontologie des professions lib rales et en ce qui concerne le d cret du 3 Ao t 1994 les r gles d ind pendance de la profession m dicale 7 COMMENT CONSTITUER UNE SEL 1 Les dispositions mentionn es ci dessus nous fournissent la r ponse aux questions fondamentales qui doivent tre pos es lorsqu une soci t est constitu e I L objet social C est l exercice d une profession m dicale 2 2 La d nomination sociale La d nomination doit obligatoirement rappeler la forme de SEL choisie Le nom de cette SEL peut tre compos e d
5. A INVESTIGATION Lorsque la DDASS a identifi une situation de cas group s l investigation doit tre mise en place au plus vite e Recherche active des cas Les m decins lib raux g n ralistes p dia tres et hospitaliers services d urgence p diatres et infectiologues les m decins de PMI et de l ducation nationale les responsables de laboratoires d analyses m dicales et des laboratoires hospitaliers doivent tre contact s afin de signaler la DDASS tous les cas qui r pondent la d fi nition d un cas clinique ou celle d un cas confirm Les mesures pr ventives autour des cas seront galement rappel es Analyse des donn es L analyse doit tre faite localement et rapi dement pour identifier et d crire les popu lations risque et localiser d ventuelles chaines de transmission cr che cole 7 MESURES G N RALES L existence de cas group s t moigne de la circulation du virus de la rougeole dans une communaut Les principales mesures de pr vention visent limiter la propagation de notamment m decins de cr che de PMI et m decins traitants des enfants concern s v rifie aupr s des m decins de la collectivit que la mesure d viction du malade est appli qu e et intervient galement entre autres pour la mise jour de la politique vaccinale des enfants expos s Cas survenant en tablissement scolaire Les mesures d crites ci apres ne seront prises qu en cas
6. gles d ontologiques M thodologie La m thode utilis e sera valid e par la Haute Autorit de Sant HAS Elle repose sur le principe d une d marche volontaire du m decin et organise l accompagnement de cette d marche par un m decin habilit qui aura suivi une formation adapt e Elle differe selon le mode d exercice du m decin le m decin lib ral l EPP est organis e par l Union r gionale des m decins lib raux URML qui met disposition du m decin int ress la liste des m decins habilit s le m decin lib ral exercant dans un tablissement priv URML et conf rence m dicale d tablissement le m decin hospitalier commission m dicale d tablissement la commission m dicale ou la conf rence m dicale le m decin salari m decin habilit ou organisme agr par la Haute Autorit de Sant R sultats L accomplissement de la proc dure d EPP donnera lieu la d livrance d un certificat qui sera valable 5 ans Des recommandations peuvent tre propos es l issue de chaque valuation et porter notamment sur le suivi d actions de forma tion m dicale continue S il est constat au cours de l valuation des manquements ou des faits risquant de mettre en jeu la s curit des patients des obser vations sont formul es Des mesures correctives sont propos es et un suivi assur En cas de rejet par le m decin concern de ces mesures ou si le suivi fait apparaitre la persista
7. inscrits un club sportif pour 45 6 76 d entre eux avec une pr pond rance de gar ons 55 9 76 d entre eux vs 35 7 76 chez les filles La moyenne de s den tarit est de 16 heures par semaine Les statuts pond raux des jeunes de troi si me nous montrent que 14 3 sont ob ses ll n y a pas de diff rence signi ficative entre les sexes pour les statuts pond raux Pour l ob sit il y a 15 1 de filles pour 3 5 76 de gar ons en moyenne 14 3 76 On retrouve davantage d obese chez les redoublants 16 ans et plus soit 20 4 76 versus 13 76 La mauvaise r partition journali re des repas chez les jeunes est un facteur de risque d ob sit de facon significative p lt 0 05 La pr dictibilit pour l ob sit a 6 ans des jeunes de 3 est de 75 76 L insuffisance pond rale concerne 2 1 des jeunes Le grignotage a un effet sur la prise de poids par l augmentation de la prise ner g tique totale qui y est associ e CONCLUSION Les facteurs responsables de la pr va lence lev e de l ob sit en Seine Saint Denis ne peuvent pas tre ais ment identifi s Cependant les caract ris tiques de ce d partement tant dans le domaine socio conomique que dans sa dimension d accueil des populations sont une premi re explication A la lumi re des r sultats de l enqu te et de l action de sensibilisation pour la prise en charge le Service de Promotion de la Sant en Faveur des El ves doit poursu
8. tre mis fin si les conditions fix es aux alin as pr c dents ne sont plus r unies Les recours contentieux contre les d cisions de refus de retrait ou d abrogation d autorisation ainsi que ceux dirig s contre les d cisions explici tes ou implicites d autorisation ne sont recevables qu la condition d avoir t pr c d s d un recours administratif devant le Conseil national de l ordre La notion de cabinet principal et par voie de cons quence celle de cabinet secondaire disparait Elle est rempla c e par celle du lieu ou du site d exercice terme qui d signe aussi bien la r sidence professionnelle vis e a l ar ticle L 4112 1 du code de la sant publique et qui conditionne l inscription au tableau du Conseil d partemental dans le ressort duquel se trouve cette r sidence que les sites sur lesquels le m decin consulte ou intervient par ailleurs et ce quelle que soit l importance en temps qu il y consacre INFORMATIONS NATIONALES Evaluation des pratiques professionnelles Circulaire n 2005 038 Section Formation et Comp tences M dicales Mots cl s D crets concernant les modalit s de l EPP des m decins Le d cret concernant les modalit s de l valuation des pratiques professionnelles EPP des m decins pr vu par la loi du 13 ao t 2004 relative l Assurance Maladie a t publi au JO du 15 avril 2005 sous le n 2005 346 Le r le de l institution ordinale dans cette proc dure a t tabli
9. CUNY ANNE CATHERINE Clinique du Pr St Gervais 10 rue Simonot 93310 LE PRE ST GERVAIS DR LAM TRINH ISABELLE 101 Rue de Meaux 93410 VAUJOURS DR SFEDJ DENIS Clinique de l Estr e 35 Rue d Amiens 93240 STAINS DR TAYEBJEE ONE ALY SEL CENTRE D IMAGERIE MEDICALE DU BLANC MESNIL 7 Avenue Henri Barbusse 93150 LE BLANC MESNIL EU EIE ELS MEDECINS Retrait s au ler avril 2005 DR ACHARD FRAN OIS DIRECTEUR DE LA PUBLICATION DR BAGARRY PHILIPPE DR TRAN CONG PHAT Le Pr sident du Conseil D partemental de l Ordre des M decins de la Seine Saint Denis Docteur Edgard FELLOUS DIRECTEUR DE LA R DACTION MEDECINS D c d s Docteur Jacques PIQUET R GIE PUBLICITAIRE DR TAVERGNIER DOMINIQUE 1 03 05 DR CARIDROIT PIERRE 12 03 05 Impressions Digitales DR PETIT BERNARD 20 03 05 T l 01 49 88 45 70 Fax 01 49 88 45 80 DR SEGAULT JEAN MICHEL 13 04 05 DR LEPETIT CATHERINE 27 04 05 CONCEPTION R ALISATION IMPRESSION DR PONTHIEU JACQUES 27 05 05 Ve DR HERBIERE ALEXANDRE 14 06 05 p TS DR CLAUDE NINA 18 06 05 216 rue de Rosny 93100 MONTREUIL DR ALADENISE JACQUES 30 07 05 T l 01 49 88 45 70 Fax 01 49 88 45 80 CI A TOYOTA Venez b n ficier de conditions privil gi es sur une gamme de Qualit E ut NOUVELLE TOYOTA AVENSIS LA QUALITE PARLE D ELLE MEME GX Groupe G rard Troubl Automobiles G T A 1er Distributeur TOYOTA de l Est Parisien Nos quipes de Lagny sur Marne et Villemomble v
10. avec un service hospitalier p diatrie ou infectiologie value au cas par cas l int r t de l administration d immunoglobulines IG polyvalentes en post exposition un cas confirm Elles peuvent tre efficaces si elles sont admi nistr es au cours des 6 jours qui suivent le contage Leur administration se fait par voie intraveineuse et n cessite une courte hospi talisation Les indications recommand es par le CSHPF dans ce contexte sont La femme enceinte non vaccin e et sans ant c dent de rougeole Le sujet immunod prim Les enfants de moins de 6 mois dont la m re pr sente une rougeole Les enfants g s de 6 mois non vaccin s en post exposition Apr s avoir recu des IG pour une exposi tion la rougeole une vaccination avec le vaccin trivalent est recommand e aux ges pr vus par le calendrier vaccinal Un d lai d au moins 3 mois apr s l administration des IG sera respect 7 MESURES PRENDRE POUR LES CONTACTS EN COLLECTIVITE Etant donn le nombre de personnes potentiellement concern es et compte tenu de la plus faible valeur pr dictive positive du diagnostic clinique les mesu res suivantes ne sont prises que si le cas est confirm biologiquement La DDASS en lien avec les m decins des services concern s m decins de l ducation nationale m decins du travail quipes op ra tionnelles d hygi ne s informe de l existence d ventuels autres cas dans la
11. chez les m decins lib raux francais pouvant atteindre jusqu 22 dans le Vaucluse Les cons quences de ce ph nom ne en terme de co ts ont t directe ment observ es par la CARMF c est dire que les arr ts de travail de plus de 3 mois pour les m decins ont fait un bond de 12 en 2001 et de 6 5 76 en 2002 De m me les causes psychia triques arrivent en premi re place 40 76 des causes d invalidit des m decins devant les causes cardiovas culaires 17 75 et les cancers 8 76 Le m decin qui d bute le burnout est seul et commence boire des alcools durs s autom dique hypnotiques anxiolytiques antid presseurs Il faut briser ce cercle infernal avant le crash Les causes principales sont connues charges administratives croissantes horaires hebdomadaires de 58 heures gardes la nuit en semaine le samedi le dimanche les d parts en retraite non remplac s le d ficit des rempla cants la mont e en charge de la violence Devant ces faits apr s l tat des lieux l action Et c est dans ce but que l Association d Aide Professionnelle aux M decins Lib raux AAPML association loi 1901 est cr e gr ce des fonds FAQSV Fonds d Aide la Qualit des Soins de Ville L AAPML met disposition de nos confr res franciliens en diffi cult une plate forme t l phonique accessible 24 heures 24 7 jours 7 et anim e exclusivement par une quipe de psychologues clinicien
12. d Oncologie93 2 rue de Lorraine 933000 BOBIGNY Tel 01 41 50 50 10 E mail coordination oncologie93 com Site http www oncologie93 com La Direction d partementale des Affaires Sanitaires et Sociales de la Seine Saint Denis nous communique LE PLAN NATIONAL D LIMINATION DE LA ROUGEOLE Ce plan a fait l objet d une circulaire N DGS SD5C 2005 303 du 4 juillet 2005 relative la transmission obligatoire de donn es individuelles l autorit sanitaire en cas de rougeole et la mise en uvre de mesures pr ventives autour d un cas ou de cas group s En voici les l ments essentiels En 1998 les pays membres de la R gion Europ enne de l Organisation mondiale de la sant OMS se sont engag s dans une politique d limination de la rougeole qui doit aboutir d ici 2010 L limination de la maladie dans une zone g ographique donn e correspond une situation o la transmission end mique du virus dans la population a t interrompue et o la transmission secondaire un cas import est limit e et cesse d elle m me Dans la perspective de son limination la rougeole est redevenue en 2005 une maladie d claration signalement et noti fication obligatoire d cret n 2005 162 du 17 f vrier 2005 modifiant la liste des maladies faisant l objet d une transmission obligatoire de donn es individuelles l au torit sanitaire et arr t du 24 juin 2005 relatif la notification d
13. dans les salles d attente par exemple liste ci jointe La DDSP Direction D parte mentale de la S curit Publique a communiqu galement les l ments suivants Mise en place dans chaque commis sariat de chaque commune d une boite aux lettres lectronique destin e aux victimes et aux intervenants exemple pour Pantin commissariat pantin aideauxvictimes interieur gouv fr Cr ation dans chaque commissariat d un poste de r f rent aide aux victimes Guichet unique quel que soit le lieu d habitation toute plainte peut tre d pos e Dans le cas des violences intra fami liales le certificat n est pas un pr alable obligatoire au d p t de plainte la femme est prot g e quel que soit son statut juridique mariage pacs si la victime ne veut pas d poser plainte il existe un suivi syst matique par les forces de police L Education Nationale a diffus dans les tablissements scolaires la mise jour de novembre 2004 de la brochure VIOLENCES SEXUELLES PRISE EN CHARGE ET PREVENTION EN MILIEU SCOLAIRE Des actions de pr vention et de forma tion des personnels sont en cours Enfin il existe d sormais un Plan Global de Lutte Contre les Violen ces Faites aux Femmes Rappelons les 10 Mesures pour L Au tonomie des Femmes l accueillir h berger loger 2 proposer des aides financi res 3 accompagner professionnellement 4 assurer la protection des v
14. de confirmation biolo gique du cas La DDASS en lien avec le service de promo tion de la sant en faveur des l ves v rifie aupr s des m decins de l ducation natio nale que la mesure d viction du malade est appliqu e et demande d informer les familles et les membres du personnel de l tablisse ment ayant fr quent les m mes locaux que le malade des risques de contracter la rougeole et recommande une mise jour de leur vaccination Cas hospitalis s La DDASS demande gt l information de l quipe op rationnelle d hygi ne de l tablissement cas afin qu elle mette en place les mesures d isolement septique adapt es pour le malade voir le guide Isolement septique de 1998 dit par le minist re en charge de la sant l information du m decin du travail de l tablissement afin qu il puisse v rifier le statut des personnels de l tablissement ayant t en contact avec le cas et si n cessaire effectuer les vaccinations recommand es par le calendrier vaccinal Le rattrapage vaccinal s il est r alis dans les 72 heures qui suivent le contact avec un cas peut viter la surve nue de la maladie la maladie et viter qu un tel pisode ne se reproduise Ces mesures sont les m mes que celles d crites autour d un cas confirm RETOUR D INFORMATION Un retour d information par la DDASS sur la situation pid mique doit tre faite aux professionnels de sant de la zone g ogra
15. de guerre de compresses et en bourre la plaie Le bless ne mourra que deux jours plus tard On comprend pourquoi tant de pertes ont t dues moins la blessure qu la lenteur des soins des vacuations et l infection On estime que le I Juillet 1916 premier jour de l attaque alli e sur la Somme jour le plus meurtrier de la guerre plus de 20 000 morts en une seule journ e un tiers aurait pu tre sauv s ils avaient t pris en charge temps Enfin en 1917 Laby est affect une auto chirurgicale h pital militaire mobile de campagne comme le docteur Martin son a n Le docteur A Martin 47 ans en 1914 chirur gien l h pital de Rouen avant la guerre dirige une ambulance cest dire un h pi tal militaire de campagne fixe en arri re du front le plus souvent prot g des bombar dements Il aura pour assistant le docteur Georges Duhamel chirurgien lui aussi plus connu comme grand crivain Ses fonctions consistent op rer des bles s s que lon a pu vacuer vers son service mais trop gravement touch s pour tre transport s vers les h pitaux de l arri re Il doit appr cier rapidement uniquement clini quement la possibilit de sauver un bless en l op rant I dispose cependant d un labo ratoire de bact riologie Il estime qu un chirurgien vigoureux ne peut faire plus de 20 25 op rations graves en 24 heures Un de ses coll gues a d en pratiquer 35 dans le
16. du Raincy 93250 VILLEMOMBLE DR BISMUTH MARTINE Laboratoire ZERAH TAAR PFEFFER 7 Rue Raymond Lefevbre 93170 BAGNOLET DR DELAGE YVES 23 Av Jean Jacques Rousseau 93190 LIVRY GARGAN DR IBNZAKOUR NOUREDDINE SARL NOUVELLE LES PRESLES 35 Rue d Amiens 93240 STAINS DR KRID SORAYA 19 Av des Beaudottes 93270 SEVRAN DR OULMEKKI MOHAMED SEL OULMEKKI 18 Rue Danton 93700 DRANCY DR RICHARD JEAN CHARLES 10 Avenue d Alembert 93190 LIVRY GARGAN DR SCHEBAT CLAUDE 14 Rue Lucien Sportiss 93270 SEVRAN DR STCHEPINSKY PHILIPPE Clinique Vauban 135 Avenue Vauban 93190 LIVRY GARGAN DR RAHMOUN NOUR EDDINE Rue de B thune 93800 EPINAY SUR SEINE DR BABOU FADILA H pital Intercommunal 10 Rue du G n ral Leclerc 93370 MONTFERMEIL DR GRANIER EMMANUELLE Ctre Hospitalier de St Denis 2 Rue du Docteur Delafontaine 93200 SAINT DENIS DR JANEAULT FOUBERT ESTELLE 22 Avenue Hector Berlioz 93270 SEVRAN DR MICHEL CELINE 27 All e du Jardin Anglais et de Finchley 93340 LE RAINCY DR NICOLAS SERGE 10 Avenue du G n ral Leclerc 93370 MONTFERMEIL DR PHILIPPE ALAIN 75 Avenue Gambetta 93190 LIVRY GARGAN DR ZAIER KHALED Clinique CCN Porte de Paris 10 Bd Anatole France 93200 SAINT DENIS DR DENNINGER PATRICK Clinique d Aulnay Av de la R publique 93600 AULNAY S BOIS DR SAADA DAVID 55 Av du Mar chal Leclerc 93190 LIVRY GARGAN DR MULUALA SYLVAIN IO B Av de la R publique Appt 24 93800 EPINAY SUR SEINE DR ATTAR CHICHE CORINNE Clinique du Pr St Gervais 10 rue Simonot 93310 LE PRE ST GERVAIS DR
17. impose donc 6 Responsabilit des associ s Afin de prot ger son patrimoine personnel le m decin peut en faisant apport de son cabinet une SEL distinguer ainsi son patri moine personnel de son activit conomique Lorsque la responsabilit du m decin sera mise en jeu la soci t sera d clar e solidairement responsable avec celui ci que ce soit sur le plan civil ou sur le plan p nal 7 R mun ration des m decins Sur le plan du principe un m decin peut tre salari d une SEL mais ce syst me de salariat engendre des difficult s pratiques d ap plication en ce qui concerne la future retraite des praticiens puisque les tribunaux consid rent que pour tre assujetti la CARME il faut exercer une profession lib rale au sein de la soci t Aussi dans ces conditions la quasi totalit des SEL est compos e d associ s qui conservent leurs statuts de m decins lib raux La soci t d exercice lib ral encaisse les honoraires des associ s qui la composent Ces sommes sont r parties entre les associ s selon les r gles pr vues par les statuts ll convient d tre particuli rement atten tif dans la r daction de cette r partition afin d viter d ventuel les frictions entre associ s dans le fonctionnement de la soci t Lorsque les statuts seront r dig s ceux ci devront tre d pos s au registre du commerce en vue de l immatriculation de la soci t et les m decins devront demander au Co
18. m decins associ s de la SEL aujourd hui en retraite cette possibilit n existe que pendant dix ans les ayants droit de personnes physiques des personnes mention n es ci dessus dans les cinq ans apr s leur d c s une soci t de salari s constitu s en vue du rachat de la SEL L ensemble de ces r gles particuli rement strictes entend ainsi prot ger le principe de l ind pendance de la profes sion m dicale et viter toute ing rence de lobbies dans le fonctionnement de ces soci t s de capitaux 5 Le siege social Le si ge social de la SEL est d termin par les associ s dans les statuts Il correspond dans la majorit des cas au lieu d exercice de la SEL mais il peut tre diff rent l est n anmoins n cessaire que ce si ge social soit situ dans le m me d partement que le lieu d exercice de la soci t puisque la SEL sera inscrite au Conseil D partemental de l Ordre des M de cins dont d pend le si ge social et le Conseil de l Ordre doit assu rer le contr le des m decins qui exercent sur son d partement Le principe de l unicit du lieu d exercice est affirm par le d cret du 3 Ao t 1994 article 14 Mais une exception est pr vue dans cet article puisque la SEL peut exercer dans 5 lieux au maximum condition que se trou vent r unis deux crit res d une part elle doit utiliser des quipements implant s en des lieux diff rents ou mettant en ceuvre des techniques sp ci
19. m me temps lors des combats de Verdun On rappelle que le Baron Larrey chirur gien de la Grande Arm e de Napol on d sarticulait une cuisse en 22 secondes sutu res vasculaires comprises Le d lai pour amener un bless grave du front son ambulance tait de 10 Il heures vacuations g n es par les tirs le jour marche difficile dans les tranch es troites remplies d obstacles au sol souvent boueux Ses interventions consistent en cr niecto mies amputations de membres ligatures art rielles nucl ations d yeux laparotomies les bless s de l abdomen arrivent lors de Verdun en moyenne ll heures 50 apr s les blessures peu survivent Les anesth sies avaient lieu l ther ou au chloroforme faciles faire mais avec de nombreuses complications cardiaques La premi re cause de mortalit tait Th morragie Le docteur Lostalleau en 1914 1914 1918 France 1 400 000 morts 900 morts par jour de guerre en moyenne Allemagne 1 800 000 morts 1 300 morts par jour de guerre en moyenne Pour l arm e fran aise 3 594 000 blessures pour 2 800 000 bless s Ce qui signifie que la moiti des soldats ont t bless s deux fois et que 100 000 d entre eux l ont t trois quatre fois ou plus L crivain allemand Ernst Junger ancien combattant l avait t ll fois et est mort un ge tr s avanc pratique la premi re transfusion sanguine de bras bras Heureux hasard le do
20. phique concern e dans les meilleurs d lais Institut de veille sanitaire 12 rue du Val d Osne 94415 Saint Maurice cedex T l 01 41 79 67 00 standard Fax 01 41 79 67 67 D D A S S de SEINE ST DENIS 93 M decin Inspecteur de sant publique T l phone 01 41 60 70 00 T l copie 01 41 60 70 0I Adresse 8 22 rue du chemin vert 93016 BOBIGNY CEDEX INFORMATIONS NATIONALES Exercice professionnel sur plusieurs sites Circulaire n 2005 049 Mots cl s exercice professionnel sur plusieurs sites nouvel article 85 du code de d ontologie m dicale article R 4127 85 du code de la sant publique Le Conseil national a adopt une nouvelle r daction de l article 85 du code de d ontologie m dicale permettant d apporter plus de souplesse dans l exercice des m decins et un meilleur service aux patients dans les zones souffrant d un d ficit d mographique Ce texte article R 4127 85 du code de la sant publique vient d tre publi au Journal officiel D cret n 2005 481 du 17 mai 2005 JO du 18 mai 2005 et est d sormais applicable Article R 4127 85 Le lieu habituel d exercice d un m decin est celui de la r sidence professionnelle au titre de laquelle il est inscrit sur le tableau du Conseil d partemental conform ment l article L 41 1 2 1 du code de la sant publique Dans l int r t de la population un m decin peut exercer son activit professionnelle sur un ou plusieurs sites dis
21. unions m dicales et administratives ont t organis es dans les d parte ments 78 92 et 93 APPLICATION DANS LE D PARTEMENT DE LA SEINE SAINT DENIS cr ation de REPOP 93 Dr Alain Zaluski Lancement de l action Ire r union d information REPOP 93 17 juin 2004 contact des divers partenaires Plusieurs r unions de formation pr vues dans les mois venir avec les diverses associations de m decins lib raux du 93 Constitution du comit de pilotage REPOP 93 en octobre 2004 compos de Deux repr sentants des m decins lib raux Un repr sentant du Conseil d partemental de l Ordre des m decins Une repr sentante de la M decine Scolaire Une repr sentante de la PMI Une repr sentante des Centres hospitaliers Un repr sentant des Centres municipaux de sant Une repr sentante de la DDASS Le REPOP se met activement en place au niveau de notre d partement Le comit de pilotage se r unit la Domus Medica qui lui apporte un soutien et facilite les contacts avec tous les intervenants de la petite enfance l adolescence La Seine Saint Denis pr sente d importants probl mes socio conomiques qui ne font que rendre l engagement des diff rents acteurs plus dynamique et profond Du fait du lien important entre pr carit et ob sit le d partement pr sente en effet une pr valence importante CF l enqu te de l Education Nationale ci jointe L existence du REPOP 93 doit permettre aux enfant
22. 23 PSYCHIATRIE GOUZIEN GERARD 10327 STOMATOLOGIE TCHANDJOU NGOKO 7612 OPHTALMOLOGIE QUALIFICATIONS S ance du 30 Juin 2005 Docteurs BAUWENS MARIE CHRISTINE 8542 SANTE PUBLIQUE ET MEDECINE SOCIALE BILLOT NICOLAS 10345 CHIRURGIE GENERALE CLEC H CHRISTOPHE 9347 REANIMATION MEDICALE DULMAN JEAN LAURENT 10347 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE ELBAZE ROBERT 3624 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE EZZEDINE PIERRE 9247 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE POURREYRON DAMIEN 10354 CHIRURGIE GENERALE MEDECINS ayant demand leur transfert ou mutation MANAOU DANIELLE 9912 Hauts de Seine 25 02 05 LITINETSKAIA Marina 9071 Paris 19 04 05 DURIEUX THUIN M J 3180 Paris 25 02 05 RESS Natacha 9870 Morbihan 26 04 05 BOUILLAGUET Sophie 9343 Val de Marne 23 02 05 DESPLANQUES Laurence 9021 Paris 26 04 05 GUIGNON Val rie 8509 Essonne 23 02 05 UZZAN Philippe 9322 Hauts de Seine 26 04 05 LEGROUX Eric 3211 Val d Oise 28 02 05 DAMMANN Monique 5994 Paris 03 05 05 LEGER Bruno 9660 Gironde 28 02 05 SCHIMEK Francois 9810 Aisne 03 05 05 GRIFFATON WALLON 10179 Etranger 28 02 05 KAZEMI Farhad 9497 Loir et Cher 04 05 05 HINTZY Marie C line 10083 Paris 28 02 05 BRIGAUD Thierry 8186 Pas de Calais 09 05 05 GEDOUX MAURY Marie Pierre 5706 Hauts de Seine 28 02 05 THIEBAUT Jean Fran ois 4453 Val de Marne 17 05 05 VERDIER Carine 10138 Val d Oise 01 03 05 LOCQUET Jean Paul 2585 Seine et Marne 17 05 05 VARGUES G rard 9674 Seine et Marne 07 03 05 HERAIL Jo lle 2937 Paris 17 05 05 COHEN JUDITH 8774
23. 9 6 ans et de 14 3 15 ans valeurs sup rieures aux donn es nationales Nous retrou vons par ailleurs un pourcentage de 5 15 76 d enfants en insuffisance pond rale 6 ans Dans notre tude les enfants dont l in dex de masse corporelle IMC est sup rieur ou gal au 97 percentile sont consid r s en ob sit degr et 2 Les questionnaires exploitables sont au nombre de 1339 en maternelle pour 20 769 enfants scolaris s et de 822 en coll ge pour 16 228 jeunes de troisi me Quelques r sultats Les l ves de grande section de mater nelle GSM Les enfants d jeunent pour 65 d entre eux la cantine ZEP 59 7 non ZEP 68 3 Les statuts pond raux des enfants de GSM nous montrent que 13 9 des enfants sont ob ses ll y a une tendance l ob sit plus nette chez les filles que chez les garcons en ZEP La mauvaise r partition journali re des repas c est dire un ou deux repas quotidiens et le grignotage ont un lien avec l ob sit de facon plus nette chez les filles L insuffisance pond rale correspond aux enfants ayant un IMC inf rieur au 3 percentile soit 5 15 76 Pour les garcons la non fr quentation de la cantine est un facteur de risque de l insuf fisance pond rale 8 6 76 versus 4 2 76 p 0 01 Les l ves de troisi me lls d jeunent pour 27 4 d entre eux la cantine Le temps moyen par semaine d activit physique est de 5 h Ces jeunes sont
24. AND 201 All e de Montfermeil 93390 CLICHY SOUS BOIS Secr taires G n raux Adjoints Docteur Jean Luc GAILLARD REGNAULT H pital Jean Verdier Avenue du 14 Juillet 93140 BONDY Docteur Guislain RUELLAND 90 Bd Jean Jaur s 93190 LIVRY GARGAN Tr sorier Docteur Gilbert LECLERCQ H pital Avicenne 125 rue de Stalingrad 93000 BOBIGNY Tr sorier Adjoint Docteur Dominique LANDRIN TIXIER 93 rue de Meaux 93410 VAUJOURS COMPOSITION DU CONSEIL Membres Titulaires AOUSTIN G rard BOUET Patrick FARCILLI Bernard FAUCHER Daniel FELLOUS Edgard FOURNIER Patrice GAILLARD REGNAULT Jean Luc GRINBERG Daniel HUA Georges LANDRIN TIXIER Dominique LECLERCQ Gilbert MARLAND Xavier NATHANSON Mireille PIQUET Jacques REY Jean Paul RUELLAND Guislain SALA Jean Pierre SEBTON Alfred SIAVELLIS Georges SOHET Marie Catherine VIALLE Christian Membres Suppl ants ALLIOT Jacques AMANE Fabienne BAUX Fr d ric BLONDEL Dominique BOURGUIGNON Jacques CHAHED Hedi DAVID Jacques DOUKHAN Serge GASCH Pierre LARTIGUE Jean LE CLESIAU Herv LENCZNER Jean Bernard PALOMBO Jacques PATERON Dominique RAHME Tony ROZAN Marc Alain SESTIE Pierre Marie TRAN Thi Mai VOLDMAN Claude WEILL Etienne COMMISSION CONTRATS QUALIFICATIONS REMPLACEMENTS Pr sident Docteur Alfred SEBTON 2 COMMISSION LITIGES ET PLAINTES Pr sident Docteur G rard AOUSTIN 3 COMMISSION EXERCICE PROFE
25. Hauts de Seine 09 03 05 BUREAU Michel 2163 Valde Marne 17 05 05 DELETTRE Marie Dominique 3531 Paris 09 03 05 BICHET Fr d ric 10164 Val de Marne 23 05 05 GARRIGUE Jean Luc 7348 Hauts de Seine 10 03 05 LAURENT Silvana 8420 Essonne 23 05 05 THOYER Xavier 2137 Paris 10 03 05 MARCHAT Christine 10219 Paris 23 05 05 ABRIKA HADDA Marianne 8642 Oise 14 03 05 HERBELIN Catherine 9541 Hauts de Seine 23 05 05 CHOUCHAN Walid 10063 Paris 15 03 05 GUILLOT Marie 9561 Val d Oise 23 05 05 LAVIN Lionel 5610 Val d Oise 15 03 05 BOISGUERIN Louis 783 CN 26 05 05 MILLET Pascale 8374 C te d Armor 15 03 05 DE LA PORTE Christian 9376 Tarn 26 05 05 POITTEVIN Xavier 9922 Paris 24 03 05 TESSIER Marjorie 10194 Moselle 25 05 05 DIB Elias 9490 Val d Oise 24 03 05 BASSILIOS Nader 10024 Paris 02 06 05 MOKHTARI DEFER Ch rifa 9105 Val d Oise 01 04 05 TABO Sandrine 8486 Paris 13 06 05 SAIVE FREY Nathalie 9352 Hauts de Seine 04 04 05 SITRUK Thierry 7635 Essone 13 06 05 MEMAIN Nathalie 9031 Val de Marne 04 04 05 IRRMANN RAVEYR Florence 10047 Yvelines 13 06 05 LAMBERT Pierre 511 Hauts de Seine 04 04 05 DIDIER Bereng re 9379 Tarn 17 06 05 TRINQUART JACOBS Judith 9508 Val d Oise 08 04 05 CHAROUSSET Christophe 9203 Paris 17 06 05 MERLE Francoise 8923 Paris 13 04 05 EAR Albert 9396 Paris 27 06 05 TIMSIT G rard 3451 Val de Marne 13 04 05 21 TABLEAU D PARTEMENTAL MEDECINS Changements d adresse DR AMAR URI 30 Av de la R sistance 93100 MONTREUIL DR BAUX FREDERIC 4 Avenue
26. RONG 10322 NUNES PATRICK 10334 DRAIN ELISE 10323 PAZIAUD OLIVIER 10335 EL ABED SALAH 10324 ROUSSOT JEAN CLAUDE 10336 EUDES MARIE LAURE 10325 SCHEUBLE ALIOCHA 10337 EYCHENNE CATHERINE 10 326 SERGENT AGNES 10338 GOUZIEN GERARD 10327 SITBON KATIA 10339 LAVERSIN SABINE 10328 SY OUMAR 10340 LEBORGNE PHILIPPE 10329 TISSIER MARIE HELENE 10341 INSCRIPTIONS S ance du 30 Juin 2005 Docteurs AMMELOOT JEAN MARC 10342 EL BRAKS ROLAND 10349 AOUCHICHE ELODIE 10343 GRUNEMWALD THOMAS 10350 BELORGEY GRAIN ANNE 10344 HAMOUI AHMED 10351 BILLOT NICOLAS 10345 MOREAU CORINNE 10352 DOUAY CELINE 10346 OPPER OLIVIER 10353 DULMAN JEAN LAURENT 10347 POURREYRON DAMIEN 10354 DUPUPET JEAN LUC 10348 STERDYNIAK JEAN MICHEL 10355 Association des COnjoints de MEDecins Loi de 1901 J O du 13 11 71 120 Avenue Charles de Gaulle 92522 NEUILLY SUR MARNE Cedex T l phone 01 46 40 38 85 T l copie 03 85 48 58 94 Site Internet http www ordmed org E mail acomed fr europost org QUALIFICATIONS S ance du 31 Mars 2005 Docteurs BOUCHAUD OLIVIER 9935 MEDECINE EXOTIQUE HENRY CAROLE 10286 NEUROLOGIE KHELIL NACIRA 9804 MEDECINE EXOTIQUE KRAMEISEN HERVE 10287 OPHTALMOLOGIE REZZINE ZOUBIDA 8900 PEDIATRIE VLAD AMALIA IRINA 10014 MALADIES DU SANG QUALIFICATIONS S ance du 21 Avril 2005 Docteur REBECCHI SIMONA 10315 PEDIATRIE QUALIFICATIONS S ance du 26 Mai 2005 Docteurs CHOUAHNIA ABDEL 9794 ONCOLOGIE MEDICALE DRAIN ELISE 103
27. SSIONNEL Pr sident Docteur Patrice FOURNIER 4 COMMISSION BULLETIN ET COMMUNICATION DU CONSEIL Pr sident Docteur Jacques PIQUET 5 COMMISSION TR SORERIE Tr sorier Docteur Gilbert LECLERCQ Tr sorier adjoint D L GATION A L ENTRAIDE Docteur Dominique LANDRIN TIXIER D L GATION RAPPORT AVEC L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ET CARTES C PS Docteur Georges HUA RESPONSABLE DELEGATION PROFESSIONNELS DE SANTE Docteur Bernard FARCILLI RESPONSABLE DELEGATION ETABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVES Docteur Marc Alain ROZAN CONSEILLER NATIONAL Docteur Patrick BOUET 25 Av du Raincy 93250 VILLEMOMBLE CONSEILLER NATIONAL pour l Ile de France Docteur G rard LAGARDE 6 rue Car me Prenant 95100 ARGENTEUIL CONSEILLERS R GIONAUX Pr sident de la chambre B du Conseil R gional d Ile de France Docteur Dominique ST RIN H pital Avicenne 125 rue de Stalingrad 93009 BOBIGNY Cedex Titulaire de la chambre et membre de la section des assurances sociales Docteur Pierre GASCH 26 Grande Rue Charles de Gaulle 94130 NOGENT SUR MARNE Suppl ant Docteur Mireille CHAPELLE 31 rue Emeriau 75015 PARIS ADMINISTRATION SECR TAIRE DE DIRECTION Mme TOULAT Annie ACCUEIL R CEPTION BULLETIN Mme COLLINET Martine CONTRATS LITIGES ET PLAINTES Melle LAURENT Monique TR SORERIE FICHIER Mme LAVERGNE Mich le CONVENTIONS RAPPORTS AVEC L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE REMPLACEMENTS Mme MEYRAN Patricia Les bureau
28. US BOIS Gardien de la Paix CROMLIN Fr d ric O1 48 19 30 35 BAGNOLET Gardien de la Paix MERLIN Dominique OI 41 63 26 40 BOBIGNY BONDY Brigadier Chef MERZEREAU Jean Pierre OI 48 50 30 45 LES PAVILLON SOUS BOIS DRANCY Capitaine de Police GOUDINOUX Gilles OI 41 60 81 66 EPINAY SUR SEINE Lieutenant COUGNIOT Fabien OI 49 40 17 74 VILLETANEUSE GAGNY Capitaine de Police AREND Norbert 0I 43 01 33 35 MONTFERMEIL LA COURNEUVE Brigadier Major REINA Jean Michel O1 43 II 77 8l LE BOURGET DUGNY LE BLANC MESNIL Lieutenant MARTIN Olivier OI 48 14 29 38 LE RAINCY Capitaine de Police THOMAS Gilles OI 43 01 35 14 CLICHY SOUS BOIS LES LILAS Capitaine GAUTHEUR Jean Jacques OI 41 83 67 41 ROMAINVILLE LE PRE SAINT GERVAIS LIVRY GARGAN Capitaine de Police SANTAIS Thierry Ol 41 70 I8 54 COUBRON VAUJOURS MONTREUIL Commandant de Police fonctionnel TRAVAILLE Jean Paul 0 49 88 89 84 NEUILLY SUR MARNE Lieutenant TASSIN OI 56 49 10 46 NEUILLY PLAISANCE Brigadier Major BUSSINGER OI 56 49 10 37 NOISY LE GRAND Gardien de la Paix MASSELLES Fr d rique Ol 55 85 80 I2 GOURNAY SUR MARNE NOISY LE SEC Capitaine de Police FOULON Fr d ric OI 48 IO I2 70 PANTIN Capitaine de Police RIVET Nicole OI 41 83 45 29 ROSNY SOUS BOIS Capitaine de Police EUSTACHE Christophe OI 48 12 28 30 VILLEMOMBLE SAINT DENIS Commandant de Police fonctionnel TRICOTEL G rard O1 49 71 80 51 SAINT OUEN Lieutenant GRANGER OI 41 66 27 18 SEVRAN Lieutenant COLIN Ga l OI 41 52 l6 70 STAINS Comma
29. a pour objectif de soigner soulager anticiper pr venir toujours au service du patient Mais pour atteindre ces objectifs les voies sont multiples et ce bulletin le montre bien b Le President Dr Edgard Fellous Certains praticiens ont choisi l exercice Lib ral avec dans cette orientation une multitude de varian tes Nous pr sentons dans ce bulletin les SEL Soci t d Exercice Lib ral nouvelle forme juridique d exercice qui prend de l essor attrayante pour certains mais qui n est pas sans inconv nient Notre Conseil Juridique en fait une ex g se D autres confr res ont consid r que la mise en R seau des moyens des informations et des exp riences am liore leur pratique et permet une action plus forte plus efficace tant dans le domaine pr ventif que dans le soin ce sont les exp riences qui se mettent en place dans notre d partement avec le r seau REPOP 93 et Oncologie 93 lesquels s ajoutent aux r seaux d j existants en Seine Saint Denis Enfin d autres actions m dicales se concoivent dans l analyse et l tude des moyens d am liorer et de d fendre les patients dans le cadre de la protection de la Personne Humaine C est aussi la mission du m decin et on ne peut que se f liciter de l implication des professionnels de sant dans les commis sions de d fense contre les violences faites aux personnes violences conjugales violences enfants Ces actions d aujourd hui ne doivent
30. ation SOS VICTIMES prend en charge essentiellement des femmes victimes de violences qui ont souvent d j port plainte Il existe 15 permanences sur le d partement une permanence t l phonique et une permanence au tribunal De plus en plus d avocats du Barreau de Seine Saint Denis se sont impliqu s dans l aide aux femmes victimes de violence Une permanence t l phonique assur e par des avocats du Barreau de la Seine Saint Denis est assur e depuis le 3 juin 2005 tous les vendre dis de 10h 18 hau OI 48 96 20 95 Des affichettes peuvent tre appos es dans les salles d attente des cabinets m dicaux De nouvelles dispositions juridiques permettent aussi d agir dans l urgence s il y a notion de danger r f r violence loi du 29 mai 2004 vic tion du domicile du conjoint agresseur La loi permet ainsi maintenant de lais ser la femme chez elle au domicile conjugal en cas de violence conjugale apr s d p t de plainte et pr sentation d un certificat des UMJ Urgences M dico Judiciaires L viction du conjoint violent doit tre organis e contr le judiciaire socio ducatif La loi a chang le divorce faute n existe plus ou s il veut tre utilis il y a alors une exigence tr s impor tante pour la pr sentation des preu ves Le divorce peut tre demand pour alt ration du lien conjugal C est dire avec deux ans de s para tion de fait La sensibilisation du corps m
31. collectivit demande que l information des personnes ayant fr quent les m mes locaux que le malade ou leurs parents s il s agit d enfants sur les risques de contracter la rougeole soit effectu e ainsi qu une mise jour de leur vaccination voir tableau Dans la mesure du possible une v rification du statut vaccinal de l ensemble des person nes ayant fr quent de mani re concomi tante les m mes locaux que le malade classe cantine dortoir bureau est r alis e par les services concern s et la mise jour de leur vaccination est recommand e A SITUATIONS SP CIFIQUES Cas survenant en cr che ou en halte garderie Lorsqu un cas cas clinique ou cas confirm biologiquement survient dans une collecti vit d enfants le MISP de la DDASS en colla boration avec les m decins concern s Les recommandations suivantes visent identifier et d crire des poches de circulation du virus rougeoleux afin de mettre en ceuvre des mesures de contr le adapt es reposant notam ment sur la vaccination et interrom pre la transmission du virus A CONFIRMATION DE L EPISODE Une situation de cas group s est d finie par la survenue de 3 cas ou plus de rougeole avec ou sans lien pid miologique parmi lesquels au moins un cas a t confirm biologique ment dans une m me zone g ographique commune arrondissement d partement sur une p riode de temps limit e quelques jours voire quelques semaines
32. de l adapter votre demande Nous vous remercions de votre participation tes vous globalement satisfait de ce bulletin Tr s satisfait Assez satisfait Moyennement satisfait Plut t insatisfait Tr s insatisfait 2 Combien de temps passez vous lire le bulletin L Moins d une minute 15 minutes 10 minutes L Plus de 10 minutes 3 Ci dessous figure une liste num rant d ventuels sujets d articles Pour r pondre choisissez l une des propositions suivantes en cochant l index qui vous convient le mieux D Tout fait d accord Plut t d accord 3 Sans opinion 4 Plut t pas d accord 5 Absolument pas d accord faut davantage d articles de fond faut davantage d articles juridiques faut davantage d interviews faut davantage d articles de Sant Publique faut davantage d articles sur les nouvelles recommandations pour une pathologie x OOo 0000 OO Oeo Geo eoo OO 6666 6060 000G faut davantage d illustrations 4 Comment jugez vous la qualit de ces diff rents points Excellente Bonne Moyenne A am liorer La couverture E LJ L m e Les photos les illustrations E L L L La mise en page Lj Lj E L 5 Le bulletin du Conseil de l Ordre comporte 22 pages trouvez vous que cela soit LI Correct L Insuffisant gt Si vous r pondez insuffisant pourquoi 6 La p r
33. des enfants 168 proc dures pour viol ou agres sion sexuelle sur femmes majeures 28 proc dures pour viol ou agres sion sexuelle sur femmes mineures m existe encore de grands d calages entre les violences d clar es et celles non d clar es surtout en mati re de viol m De janvier juin 2005 on d nombre d j 4 homicides de femmes m Dans les services d accueil d urgence on constate que les violences augmen tent par leur nombre et par leur stade de gravit Une campagne contre les violen ces faites aux femmes est en cours avec des slogans modernes et forts qui s adressent tout particuli rement aux hommes sous forme d affiches de cartes postales et avec les num ros de t l phone des associations L association SOS FEMMES du 93 a un r le multiple e accueil de I0h 13 h acc s libre le matin sans rendez vous rendez vous l apr s midi SYNDROME D PUISEMENT PROFESSIONNEL OU BURNOUT SYNDROM D apr s un audit men en Bourgogne et en Champagne Ardennes par les diff rentes URML plus de 47 des m decins pr sentent diff rents niveaux un syndrome d puisement professionnel qui est un syndrome d puisement motionnel de d per sonnalisation et de r duction de l ac complissement personnel qui apparait chez les individus impliqu s person nellement aupr s d autrui Une tude du Dr L opold m decin du CNOM en 2003 r v le un taux de d c s par suicide de 14
34. di cal est essentielle aux UM de l H pital Jean Verdier il existe une convention pour am liorer la prise en charge des victimes pour une meilleure organisation notamment un accueil s par auteur victime Dans le cas d une victime gravement traumatis e par la violence ce n est plus la victime de se rapprocher d une association mais c est l association qui est pr ve nue par le Parquet et qui se rappro che de la victime Le r le du m decin dans les violences faites aux femmes est important m me dans les violences verbales il est essentiel de noter dans le dossier m dical de la patiente les l ments recueillis de conseiller de photocopier le volet de l arr t de travail confi dentiel r serv au m decin conseil avec par exemple la mention syndrome d pressif que la patiente pourra produire pour son dossier Le Dr LAZIMI et le Dr PIET proposent une formation pour les m decins sur les violences conjugales avec pour prin cipaux chapitres abord s historique des violences envers les femmes pid miologie tol rance sociale histoires des violences conjugales lois et cadre juri dique probl mes de sant publique Les modalit s de cette formation seront tr s prochainement tablies La D l gation D partementale aux Droits des Femmes et l Ega lit met gratuitement disposition des documents et du mat riel d informa tion plaquettes d information qui peuvent tre plac es
35. e rup tion maculo papuleuse et d au moins un des signes suivants conjonctivite coryza toux signe de Koplik Cas confirm biologiquement Un cas confirm biologiquement ne r pond pas obligatoirement la d finition d un cas clinique D tection en l absence de vaccination dans les deux mois pr c dent le pr l vement s rologique ou salivaire d lgM sp cifiques de la rougeole S roconversion ou l vation en l absence de vaccination dans les deux mois pr c dent le pr l vement de quatre fois au moins du titre des IgG s riques entre la phase aigu et la phase de convalescence D tection du virus par PCR sur pr l vement s sanguin rhino pharyng salivaire ou urinaire Culture positive sur pr l vement s sanguin rhino pharyng salivaire ou urinaire Cas confirm pid miologiquement Cas qui r pond la d finition d un cas clinique et qui a t en contact dans les 7 18 jours avant le d but de l ruption avec un cas de rougeole confirm A CONFIRMATION BIOLOGIQUE DES CAS Compte tenu des donn es pid miologiques la confirmation biologique des cas cliniques est maintenant un l ment essentiel de la surveillance A l h pital La s rologie sur un pr l vement sanguin est la m thode de r f rence et la technique diagnostique la plus appropri e l h pital En dehors de l h pital La s rologie pr f rentiellement la d tection d IgM sur un pr l vement sa
36. es cas de rougeole et la confirmation biologique des cas cliniques est maintenant un l ment essen tiel de la surveillance Les mesures de pr vention et principale ment la mise jour de la vaccination contre la rougeole dans l entourage des cas visent limiter la propagation de la maladie et pr venir la r surgence ult rieure du virus dans la communaut Ceci impose une mobilisation de tous les acteurs des clini ciens et des biologistes des DDASS m de cins inspecteurs de sant publique MISP et infirmi res des m decins et infirmi res de l Education nationale des m decins de cr che de protection maternelle et infantile Le calendrier vaccinal a t modifi en 2005 pour tenir compte des donn es pid miologiques dans l objectif d limination de la RECOMMANDATIONS G N RALES GE DE LA VACCINATION VACCIN lre dose du vaccin trivalent rougeole A 12 mois Entre 13 et 24 mois Enfants de plus de 24 mois n s en 1992 et apr s g s de 24 mois 13 ans en 2005 Personnes n es entre 1980 et 1991 g es de 14 25 ans en 2005 GROUPE RISQUE VACCIN Nourrissons entrant en collectivit avant 12 mois Voyageurs n s avant 1980 g s de plus de 25 ans en 2005 non vaccin s et sans ant c dents de rougeole Professionnels de sant n s avant 1980 g s de plus de 25 ans en 2005 non vaccin s sans ant c dents de rougeole ou dont l histoire est douteuse et do
37. es identit s des mem bres qui la composent mais la libert est la r gle et les associ s peuvent choisir un nom de fantaisie Aussi la SEL peut s identifier en faisant r f rence un lieu g ographique tel que par exemple le nom de la rue le nom de l immeuble o est situ le si ge social de la SEL Par contre afin de respecter les r gles d ontologiques qui inter disent toute forme de publicit la jurisprudence a condamn toute d nomination qui pourrait entrainer une confusion dans l esprit des patients laissant croire par exemple que la SEL est la seule dans la commune exercer cette sp cialit Il faut garder pr sents l esprit les principes de dignit de la profes sion et de prohibition de toute publicit Enfin la d nomination doit galement comprendre l nonciation du capital social et le num ro d inscription de la SEL au Tableau du Conseil D partemental de l Ordre des M decins J L exercice de la m decine De mani re g n rale il est constat que la grande majorit des membres de SEL exercent la m decine au sein de cette structure mais l article 3 du d cret du 3 Ao t 1994 permet un m decin d exercer parall lement la m decine titre individuel mais dans un cas exceptionnel o l exercice de la profession est li des techniques m dicales n cessitant un regroupement ou un travail en quipe ou l acquisition d quipement de mat riel soumis autorisation et qui justifie des
38. fiques d autre part l int r t des malades doit justifier l implantation de sites compl mentaires En lle de France le nombre des sites ne peut d passer cinq Le Conseil D partemental de l Ordre des M decins exerce un contr le tr s strict sur les conditions d implantation de ces sites compl mentaires puisque ces dispositions ne doivent pas servir contourner la r glementation des cabinets secondaires dit e par le Code de D ontologie Et lorsqu une soci t d exercice lib ral souhaite exercer en plusieurs lieux que ce soit sous forme d un cabinet de consulta tion ou d une extension d un plateau technique il est n cessaire de pr voir l existence de ces sites compl mentaires dans les statuts Le Conseil D partemental de l Ordre des M decins dont d pend le lieu o est implant ce site doit examiner si les conditions requises par l article 4 sont bien r unies en l esp ce Lorsqu une SEL souhaite implanter un site compl mentaire elle devra four nir toutes les pi ces justificatives permettant au Conseil de contr ler si les conditions de l article 4 sont bien r unies l est essentiel d attirer l attention du lecteur sur la rigueur des exigences pr vues par les textes et ainsi une SEL ne se verra pas obligatoirement accorder un site compl mentaire constitu par le cabinet d un de ses associ s m me si ce site tait aupara vant le lieu d exercice individuel dudit m decin La plus extr me vigilance s
39. ictimes 5 rep rer les situations de violence 6 renforcer le soutien financier aux associations et le partenariat entre les acteurs 7 accro tre l effort de communication envers le grand public et la sensibi lisation des professionnels 8 mesurer le ph nom ne de la violence au sein du couple valuer son co t conomique 9 pr venir les violences d s l cole 10 agir en Europe et dans le Monde Docteur Marie Catherine Sohet Conseiller Ordinal INFORMATIONS DEPARTEMENTALES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS Le R seau de Sant autour de l Ob sit REPOP lle de France R seau pour la prise en charge et la pr vention de l ob sit en p diatrie en lle de France La pr valence de l ob sit infantile en constante augmentation dans notre pays fait penser qu c t de tout le travail de recherche et de compr hension du ph nom ne une n cessaire r flexion sur l organisation des soins s impose C est dans cet esprit que le PNNS Programme National Nutrition Sant a dans ses recommandations propos la structuration de r seau de sant sur ce th me et ceci dans trois r gions pilotes en France que sont Toulouse Lyon et l lle de France Devant un tel niveau de pr valence l id e est de mobi liser l ensemble des acteurs de sant concern s par cette pathologie tant sur le plan pr ventif et du d pistage q
40. intervention urgente notamment des mesu res vaccinales en situation de cas group s ou lors de la localisation d une chaine de transmission une double proc dure signale ment notification est mise en place e Le signalement article R 3113 4 code de la Sant publique Les cliniciens et les biologistes qui diagnos tiquent un cas de rougeole cas clinique ou cas confirm doivent le signaler sans d lai et par tout moyen appropri t l phone t l copie au MISP de la DDASS de leur lieu d exercice Le signalement permet la DDASS de r ali ser une enqu te afin de rechercher d autres cas et de prendre les mesures pr ventives appropri es Ce signalement peut s effectuer avec la fiche de notification obligatoire Cette fiche est alors fax e la DDASS m me si tous les items ne peuvent pas tre renseign s Le MISP rappellera ensuite le d clarant afin de compl ter la fiche notamment en ce qui concerne les r sultats des examens biologiques e La notification articles R 3113 1 3 du code de la Sant publique et circulaire DGS SD5C SD64A n 2003 60 du 10 02 03 Le signalement est suivi par l envoi d une fiche sp cifique de notification obligatoire moins que cette fiche n ait d j t adress e la DDASS au moment du signalement comme cela est propos au paragraphe pr c dent La DDASS transmet les fiches valid es l InVS ment septique de 1998 dit par le minis t re en charge de la
41. iodicit du bulletin vous parait elle satisfaisante 7 Si vous tes globalement satisfait e de ce bulletin quels en sont les points positifs 20 TABLEAU D PARTEMENTAL INSCRIPTIONS S ance du 31 Mars 2005 Docteurs BENACERRAF GALIBERN SOPHIE 10278 MAQUARRE ELIANE 10289 BREDOUX HELENE 10279 MARIEL DAVID 10290 CAUCAT BENEDICTE 10280 MINZ MARIE 10291 COHEN ALBERT 10281 MOURAH ZINE EDDINE 10292 DEBBAH NASSERA 10282 NASR GLORIA 10293 DEBIEN OLIVIER 10283 PANCHERI SYLVIE 10294 DES GUETZ GAETAN 10284 PRADIN VERONIQUE 10295 FERRY CHRISTIANE 10285 QUINTANEIRO SYLVIE 10296 HENRY CAROLE 10286 RIBEAUCOUP LUC 10297 KRAMEISEN HERVE 10287 SAIFI SAMIRA 10298 LORMEAU CHRISTIAN 10288 TISON PIRAUX CHRISTINE 10299 INSCRIPTIONS S ance du 21 Avril 2005 Docteurs ABAD SEBASTIEN 10300 KACI LOUNIS MALIKA 10309 AUBAC OURIDA 10301 LEOPOLD CATHERINE 10310 BOUBLIL PAUL 10302 OROUDJI BIJANE 10311 BOUCHEREAU FRANCOIS 10303 PERCOT PEDRONO MAGALI 10312 CLER COLLOMBET FRANCOISE 10304 PESSIONE FABIENNE 10313 DELCOMINETTE CAROLE 10305 POULAIN ELISABETH 10314 GRIMALDI RAFFAELE 10306 REBECCHI SIMONA 10315 HUE SALMON ANNE MARIE 10307 ROUABEHI HOUSSINE 10316 IOOS VINCENT 10308 SCHAUER FLORENCE 10317 INSCRIPTIONS S ance du 26 Mai 2005 Docteurs AUPECLE BERTRAND 10318 LOUISON JEAN BAPTISTE 10330 BELLAL NASSIMA 10319 MAHAUT JEAN MICHEL 10331 BENKHATAR FATIMA 10320 MANAOUIL OMA 10332 BENSAID DOMINIQUE 10321 NOBLET SYLVIE 10333 BUI T
42. ivre le travail engag cette ann e Ce travail pourrait se d cliner en quatre axes l La poursuite du rep rage et de la prise en charge individuelle du surpoids au cours de tous les bilans de sant m dicaux ou infirmiers durant la scola rit 2 Le d veloppement des partenariats dans la prise en charge de l ob sit et l ducation pour la sant participa tion au r seau REPOP implication des services du Conseil g n ral PMI Servi ces sociaux et de la Caisse Primaire d assurance maladie 3 Une r flexion sur les pratiques alimentaires l cole avec les quipes p dagogiques les collectivit s territo riales et les familles notamment sur les collations et la restauration scolaire en application de la circulaire de l du cation nationale et des recommanda tions de l Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Aliments 4 La mise en place d un d pistage actif des enfants et adolescents en insuffi sance pond rale et la poursuite du travail pid miologique engag es INFORMATIONS DEPARTEMENTALES Les Soci t s d Exercice Lib ral sont des structures qui ont t institu es par la loi n 90 1258 du 31 d cembre 1990 qui permet toutes les professions lib rales d exercer leur profession sous la forme d une soci t commerciale il en existe 4 les SELAFA Soci t d Exercice Lib ral Forme Anonyme les SELARL Soci t d Exercice Lib ral Responsabilit Limit e
43. nce des faits ou manquements de m me nature l organisme agr transmet imm diatement un constat circonstanci au Conseil r gional de l Ordre des m decins Le Conseil r gional de l Ordre sollicite un avis selon le cas de l union r gionale des m decins lib raux de la commission m dicale d tablissement de la commission m dicale ou de la conf rence m dicale concern e Sanctions pr vues Le m decin qui n aurait pas fait l tat de son valuation au bout de 5 ans sera mis en demeure de produire des justificatifs Des sanc tions peuvent tre prises en cas de manquement qui peuvent aller de l avertissement jusqu l interdiction d exercice Mise en application Le texte peut tre Pour les m decins actuellement en exercice dans un d lai de 5 ans compter du ler juillet 2005 consult sur le site Pour les m decins qui commenceront exercer au del du le juillet 2005 dans un d lai de 5 ans compter de la date du d but du Journal Officiel de leur activit m dicale www journal officiel gouv fr 7 m B i MEL sd el E d Dr Patrice Fournier M DECINE ET CULTURE LORS que les tout derniers anciens Poilus de la guerre 1914 18 dispa raissent nous allons rappeler ce que v curent les m decins militaires auxquels ils eurent recours lors de cet inimaginable massacre Ces confr res ne sont pas sans nous ton ner par leur abn gation leur courage hors du commun mais avaien
44. ndant de Police JAMES Jean Paul O1 49 71 33 70 PIERREFITTE VILLEPINTE Commandant de Police LEROY Catherine 0 49 63 46 38 TREMBLAY EN FRANCE INFORMATIONS DEPARTEMENTALES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS COMMISSION D PARTEMENTALE D ACTION CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES Avec un partenariat multidisciplinaire des groupes de travail se sont form s et ont permis de faire le point sur les structures et actions existantes et de faire avancer un peu les choses Voici un rapide bilan de la derni re r union pl ni re du 22 juin 2005 Le ph nom ne de violences faites aux femmes est malheureusement cons tamment d actualit les chiffres pour 2004 communiqu s par la DDSP Direction D partementale de la S cu rit Publique sont tr s parlants femme sur 10 en Seine Saint Denis est victime de violences 36 000 en 2004 dont 000 violences graves et tr s graves 7 homicides de femmes dont 4 en intra familial dont 3 par le conjoint e 2 tentatives d homicide envers des femmes e 3 892 violences volontaires dont ayant entrain la mort e 5676 proc dures pour vols et violen ces sans arme sur la voie publique 3 634 infractions dont les femmes sont les victimes 2 000 interventions de la police dans le cas de violences intra familiales 900 plaintes pour violences entre poux ou concubins dont 488 concernant la garde
45. nguin reste la m thode de confirmation biologique de r f rence La recherche d lgM sur pr l vement salivaire gratuite pour le patient est une tech nique diagnostique alternative Devant un cas il est recommand au m de cin lib ral de prescrire ce malade une s ro logie sur pr l vement sanguin Le m decin pourra galement l occasion du signalement de ce cas demander des kits de pr l vement salivaire la DDASS par t l phone t l copie ou par l interm diaire de la fiche de notification obligatoire afin de permettre la confirmation biologique d ven tuels cas ult rieurs Pour cette recherche d IgM salivaires l In VS enverra aux DDASS des kits de pr l vement salivaire contenant le mat riel n cessaire au pr l vement une fiche de renseignements l emballage et l enveloppe affranchie pour l envoi au Centre National de R f rence de la rougeole afin que celles ci puissent les relayer vers les m decins qui en feront la demande SIGNALEMENT ET NOTIFICATION La rougeole tant une maladie potentiel pid mique qui n cessite localement une 7 D FINITION DES SUJETS CONTACTS Parmi les personnes ayant c toy le malade pendant la p riode infectieuse c est dire depuis la veille de l apparition de la fi vre jusqu 5 jours apr s le d but de l rup tion sont pris en compte Les contacts proches entourage familial personnes de la famille vivant sous le m me
46. nneur et le receveur taient compatibles Puis se posa le probl me de la conservation du sang qui fut r solu en 1917 par l utilisation du citrate de soude On a qualifi la Grande Guerre de premiere guerre moderne Qu en f t il r ellement en ce qui concerne la m decine de guerre Ceci est une autre histoire Docteur Patrice Fournier Conseiller Ordinal POUR EN SAVOIR PLUS 14 18 Retrouver la guerre AUDOIN ROUZEAU St phane et BECKER Annette Gallimard 2000 1 Souvenirs d un chirurgien de la Grande il Guerre H Les Carnets de l Aspirant Laby m decin dans 1 les tranch es Bayard 2001 1 M decins Dien Bien Phu j ACCOCE Pierre Presses de la Cit 992 f Civilisations DUHAMEL Georges Mercure de i France 1993 K 1 La pes e des mes DUHAMEL Georges Mercure de France 1949 f j Vie des martyrs DUHAMEL Georges Omnibus 2005 i Ceux de 14 GENEVOIX Maurice Omnibus 1993 E 4 Le feu Orages d acier JUNGER Ernst Livre de Poche MARTIN Albert Bertout 1996 BARBUSSE Henri Livre de Poche ENQU TE ge Sexe MI F Mode d exercice M decine g n rale Sp cialiste Hospitalier E Salari Lib ral Et Nous avons concu ce questionnaire afin de conna tre votre opinion concernant notre Bulletin du Conseil de l Ordre et vos attentes afin
47. nseil D partemental de l Ordre des M decins dont d pend le si ge social d inscrire la SEL au Tableau de l Ordre C est cette inscription au Tableau qui va donner vie la soci t Le d cret du 3 Ao t 1994 pr voit un contr le du Conseil D partemental non seulement sur la conformit des statuts avec le Code de D ontologie mais avec les dispositions l gislatives et r glementaires en vigueur C est donc un contr le tr s complet qui incombe au Conseil D partemental qui devra galement examiner les contrats avenants r glement int rieur permettant la soci t de fonctionner On constate depuis les derni res ann es une augmentation crois sante des SEL la courbe des inscriptions dans les Conseils D par tementaux est exponentielle 180 SEL inscrites sur l ensemble des d partementaux en 2002 663 en 2004 ces soci t s d exer cice lib ral se r partissent essentiellement en trois r gions l Ile de France la r gion Rh ne Alpes et PACA Par contre si le l gislateur avait cr ces soci t s d exercice lib ral en songeant en priorit aux sp cialit s n cessitant de lourds investissements et qui ne pouvaient se d velopper sans l apport de capitaux ext rieurs on s aper oit que cette forme d exercice est adopt e en nombre important par des m decins individuels qui cr ent des soci t s unipersonnelles AFEM L A F E M Association d Entraide aux Femmes et Enfants de M decins qui a soute
48. nser Celui ci lui parle tr s distinctement avec un h misph re c r bral hors du crine que le m decin tient avec une compresse dans sa main Tout ceci nest qu un bref apercu de son t moignage Que faire dans ces conditions de travail atroces Ramasser les bless s les vacuer souvent pendant la nuit en silence faire un tri sommaire un bless de l abdomen sera ramass apr s les autres car ce type de plaie laisse peu d espoir c est ainsi que nombre d entre eux agoniseront des jours et des nuits entre les lignes conscients de leur tat appe lant au secours des camarades impuissants Un de ces postes m dicaux avanc s a t bombard et est devenu un trou dans un entonnoir tr s vaste dans lequel on est oblig de se laisser glisser sur le dos et o on ne peut panser les bless s couch s On est oblig d aller les soigner d couvert sous le feu en attendant la nuit pour les vacuer Il Jui arrive de ne pas dormir pendant quatre jours de porter son linge sale sur lui pendant 25 jours Il va compter jusqu 105 poux sur un de ses soldats Parfois il examine et panse de nuit l aveugle sans clairage pour ne pas tre rep r s avec des mains pleines de boue et de sang Son travail consiste surtout poser des pansements compressifs sur les h morragies mais nullement de trai ter r ellement les blessures atroces pour arr ter une h morragie de la sous clavi re EIC il entoure deux biscuits
49. nt la s rologie est n gative parmi les suivants professions de sant en formation l embauche ou en poste en priorit dans les services accueillant des sujets risque de rougeole grave 2 dose du vaccin trivalent respecter un intervalle d au moins mois entre les 2 doses re et 2e dose du vaccin trivalent Deux doses de vaccin trivalent pour les enfants n en ayant pas d j b n fici respecter un inter valle d au moins mois entre les 2 doses Au moins une dose du vaccin trivalent pour ceux qui n ont pas t vaccin s contre la rougeole auparavant lre dose du vaccin trivalent d s 9 mois Une 2 dose de vaccin trivalent doit tre administr e entre 12 et 5 mois et suffit Une dose de vaccin trivalent Le risque doit tre valu par le m decin vaccinateur en fonction de la dur e des conditions du voyage et du niveau d end micit de la rougeole dans le pays Une dose de vaccin trivalent La vaccination antirougeoleuse est d conseill e pendant la grossesse cependant une vaccination r alis e accidentellement chez une femme enceinte ne doit pas conduire un avis d interruption m dicale de grossesse L autorisation de mise sur le march des vaccins contenant une valence contre la rougeole a t modifi e en 2005 si i EE E LLEE x mmm d a _ n INFORMATIONS DEPARTEMENTALES 7 D FINITIONS Cas clinique Association d une fi vre 38 5 C d un
50. nu 300 familles dans la d tresse recueille des dons MERCI D AGIR AVEC NOUS PAR VOS DONS Adressez vos dons exclusivement l A F E M 168 rue de Grenelle 75007 PARIS C C P 8162 82 U Paris INFORMATIONS DEPARTEMENTALES 7 QUELS SONT LES AVANTAGES E ET LES INCONV NIENTS DE LA SOCI T D EXERCICE LIB RAL Comme indiqu ci dessus certaines sp cialit s comme les cardio logues ou radiologues par exemple peuvent avoir un int r t finan cier certain se regrouper sous forme de soci t d exercice lib ral et pouvoir ainsi donner une dynamique leur structure d exer cice par l apport de capitaux ext rieurs offrant ainsi une s curit financi re plus grande et permettant d obtenir des cr dits de mani re plus ais e pour l acquisition de mat riel de pointe Qu en est il pour un m decin individuel Beaucoup d exemples de SEL unipersonnelles sont constitu es par des m decins qui apportent leur client le la SEL qui va sous crire un emprunt pour financer cette acquisition Ainsi alors que les cessions de cabinet se r v lent de plus en plus al atoires en raison de la chute de la d mographie m dicale un m decin en exercice pourra tout en continuant exercer sa profes sion au sein de cette nouvelle structure percevoir avant d avoir atteint l ge de la retraite la contrepartie financi re de son cabi net Mais il convient d tre particuli rement circonspect afin d viter q
51. on article 3 la cr ation de SEL associ unique Nous rappelons que le site www conseil national medecin fr Espace m decin section Exercice de la m decine Rubrique l exercice au quotidien sous rubrique contrats vous donnera tous les textes concernant la proc dure d inscription d une SEL ainsi que les textes de loi B ci fcologie Selon les recommandations de l ARH d Ille de France et les objectifs du Plan Cancer le r seau Oncologie 93 a t cr au prin temps 2004 l a pour objectif la prise en charge pluridisciplinaire globale et continue des malades du cancer de la Seine Saint Denis I vise promouvoir une activit coordonn e de l oncologie au sein de ce d partement et regroupe actuellement 20 tablissements de soins priv s et publics La mise en place d Oncologie 93 a contribu harmoniser les R unions de Concertation Pluridisciplinaire pour chaque sp cialit valider des R f rentiels de bonnes pratiques cliniques communes d velopper une prise en charge globale et de proximit du patient tout au long de son parcours th rapeutique Il a maintenant pour mission de faciliter la communication entre les m decins hospitaliers et les m decins g n ralistes afin d am liorer la continuit des soins h pital ville domicile et de favoriser le maintien domicile Pour tout renseignement compl mentaire et ou adh sion n h sitez pas contacter la cellule de coordination
52. ous r serveront le meilleur accueil et les services adapt s vos attentes TOYOTA MARNE LA VALLEE TOYOTA VILLEMOMBLE Gare SNCF de Lagny 77 84 Grande Rue 93 01 64 12 77 99 01 48 94 65 23 EXCEPTIONNEL a PARIS PORTE DE CHARENTON Assurez vous un revenu compl mentaire GARANTI avec la r sidence services SUITES HOME Constructeur EIFFAGE Gestionnaire Pierre amp Vacances Gestrim gt Economie de la totalit de la TVA sur l acquisition 19 60 du prix H T ou 16 38 du T T C Achat direct au prix Hors TVA gt Loyers garantis 100 par bail de 11 ann es et 11 mois fermes et reconductible Entretien et gestion locative assur s gt Revenus g n r s r actualis s et non fiscalis s sur un tres long terme 3 R glementation de la location meubl e E E pro Priorit de location pour vous m mes et vos enfants sur plus de 250 r sidences tudiantes et de tourisme d affaires r parties sur toute la France Livraison 3 ME trimestre 2007 Exemple pour l acquisition d un studio de 20 m Prix du studio TTC mobilier 142 403 Gain fiscal imm diat conomie de la TVA sur studio mobilie 23 346 Prix d achat du studio mobilier au prix hors TV 119 117 Montant du pr t aue 1523 119 117 Apport 0 Mensualit As
53. pas nous faire oublier notre Histoire et il n est pas inutile que des confr res se penchent sur notre M decine d Antan Dans tous ces domaines notre Conseil se veut tre omnipr sent soutien actif ou conseil r gulier Cet clectisme m dical se refl te dans notre activit Ordinale pour accompagner le corps m dical au service de la population C est notre r le et notre devoir Cette M decine multiple est une richesse pour tous Patients M decins Institutions D partementa les et de plus traduit le dynamisme des praticiens de Seine Saint Denis Bien confraternellement Le Pr sident Dr Edgard Fellous 000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 BUREAU ET COMMISSIONS COMPOSITION DU BUREAU Pr sidents d honneur Docteur mile QUINQUENEL 7 All e de Longchamp 92150 SURESNES Docteur Patrick BOUET 25 Av du Raincy 93250 VILLEMOMBLE Pr sident Docteur Edgard FELLOUS 22 Avenue Edouard Vaillant 933000 BOBIGNY Vice Pr sidents Docteur G rard AOUSTIN CMS 2 rue de la R publique 93700 DRANCY Docteur Daniel FAUCHER 19 rue de Grez 77690 MONTIGNY SUR LOING Docteur Jean Pierre SALA 135 137 Avenue Vauban 93190 LIVRY GARGAN Docteur Georges SIAVELLIS 78 rue de Br ment 93130 NOISY LE SEC Secr taire G n ral Docteur Xavier MARL
54. roit d acc s et de rectification aux donn es personnelles vous concernant
55. s Cette prise en charge psychologique est r alis e selon des principes thiques clairs respect de la confidentialit respect de l anonymat et respect de l int grit et des valeurs propres des appelants Actuellement en phase de rodage ce dispositif sera ensuite tendu en France enti re et deviendra p renne Ce texte a t r alis par l Associa tion d Aide aux M decins Lib raux AAPML Pr sident Dr R gis Mouries cr e dans le but de mettre en place en lle de France un dispositif op ra tionnel d accompagnement et de soutien aux m decins lib raux en diffi cult s psychologiques sous forme d un service d appel Le num ro de t l phone est le suivant 0826 004 580 permanence juridique une fois par semaine le mercredi matin permanence t l phonique de 4 h 7 h Cette association rencontre des femmes victimes de violences tout moment de leur parcours soupcon sans tre pr te aller au del violence d j confirm e d marche de s para tion mise la porte besoin d une aide urgente pour construire la suite d part volontaire besoin d un accompagne ment dans cette situation de violence L association explique les d marches la permanence t l phonique permet aussi d aborder les questions juridiques explique les termes des avocats parfois compliqu s ou douloureux enten dre dirige vers le CIDF Centre d Information du Droit de la Famille L associ
56. s D c s comprise 5 0 856 Loyer mensuel net de d part HT garanti 435 Co t mensuel moyen sur les 10 premi res ann es environ 390 compte tenu d une hypoth se de r actualisation annuelle des loyers de 2 soit 2493 F FINANCEMENT POSSIBLE AVEC OU SANS APPORT Exemple d un studio de 20 m au 2 tage dans la limite des stocks disponibles et hors frais d acquisition Exemple d un financement avec un pr t immobilier au taux indicatif de 9 15 au 19 sept 2005 en taux r visable cap 2 points Taux Euribor 12 mois Co t total du cr dit pour un pr t de 119 117 sur 15 ans capital accessoires 153 915 TEG 3 59 sous r serve d acceptation du dossier de pr t L emprunteur dispose d un d lai de r flexion de 10 jours pour accepter l offre de pr t La vente est subordonn e l obtention du pr t et si celui ci n est pas obtenu le vendeur doit rembourser les sommes vers es Hors incidence des taxes fonci re et professionnelle et des charges non r cup rables sur le locataire SARL au capital de 7 622 45 DOCUMENT NON CONTRACTUEL RCS DIJON B 401 787 783 X CABINET CHODES 44 rue Monge 75005 PARIS 01 43 26 4990 Nous souhaitons rencontrer le cabinet CHODES sans engagement de notre part Nom et pr nom Adresse T l prof T l dom Conform ment la loi informatique et libert n 78 17 du 6 janvier 1978 vous disposez d un d
57. s du d partement porteurs d une surcharge pond rale de b n ficier rapidement d une prise en charge adap t e la pathologie et d un suivi multidisciplinaire L objectif est galement d vi ter les nouveaux cas au moyen de la pr vention Association regroupant les COnjoints des Professionnels de SANT ACOPSANTE UNACOPL Courrier ACOPSANTE UNACOPL Maison des Professions Lib rales 46 Boulevard La Tour Maubourg 75007 PARIS T l 01 44 11 31 50 Fax 01 44 1 1 31 51 Email acopsante free fr http acopsante free fr INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS DIVERSES INFORMATIONS Focus sur la m decine scolaire dans le d partement de Seine Saint denis Pr valence de l ob sit chez l enfant et l adolescent en Seine Saint Denis Enqu te en milieu scolaire r alis e par les m decins de l ducation nationale coordonn e par les Dr C Ginioux J Grousset S Mestari et F Ruiz En France l augmentation de la pr va lence de l ob sit chez l enfant consti tue une v ritable pid mie Les m decins de l ducation nationale de Seine Saint Denis au cours de l ann e scolaire 2003 2004 ont r alis une enqu te de pr valence de l ob sit chez les enfants de grande section de mater nelle et de troisi me associ e une sensibilisation individuelle pour une prise en charge des l ves d pist s Les r sul tats montrent une pr valence de l ob sit de 13
58. sant 7 MESURES PRENDRE POUR L ENTOURAGE FAMILIAL LES CONTACTS PROCHES LES CONTACTS EN CRECHE ET EN HALTE GARDERIE Le m decin en charge du malade prend les mesures concernant l entourage familial Le MISP de la DDASS est charg en liaison avec les m decins des services concern s des mesures concernant les contacts extra fami liaux Les mesures suivantes sont a mettre en place qu il s agisse d un cas confirm ou d un cas clinique non confirm Recherche d autres cas par l interro gatoire Recommandations pour la confirma tion biologique des cas de rougeole Les examens biologiques sont inutiles pour les contacts asymptomatiques Identification des sujets contacts Dans l entourage familial et contacts extra familiaux enfants gard s par la m me assis tante maternelle assistante maternelle enfants et adultes de la m me section de cr che ou de halte garderie V rification du statut vaccinal et vacci nation si n cessaire des sujets contacts proches des contacts en cr che et en halte garderie Le statut vaccinal doit tre document sur le carnet de sant ou le carnet de vaccina tion sinon la personne est consid r e comme non immunis e potentiellement r ceptive la rougeole Pour les indications des vaccins se r f rer au tableau e immunoglobulines IG polyvalentes en post exposition avec un cas confirm Le m decin traitant des sujets contacts en liaison
59. t ils le choix leur h roisme leur patriotisme exacerb confinant la haine verbale de l adversaire mais sans jamais oublier leur mission de porter secours tous les bless s quels qu ils soient Ainsi le docteur B rillon publie en 1915 un opuscule sur la Bromidrose f tide de la race allemande ouvrage pr sent lors d une s ance de l Acad mie de M decine On y aborde le probl me de l odeur sp cifique attribu e l ennemi de la diff rence irr ductible entre les odeurs corporelles des Fran ais et des Alle mands La malignit fondamentale de l adver saire sexplique chez celui ci par des pratiques de d f cation anormalement abondantes associ es l exhalaison d odeurs corporelles via la suda tion dont l conomie d ensemble tait compa rable celle du putois L Allemand est incapable d liminer suffisamment par ses urines il y ajoute la sudation plantaire il urine par les pieds Ces propos qui nous paraissent maintenant monstrueux mais qu1 apparemment taient r pandus dans l opinion fran aise furent prononc s devant l Acad mie loin du front On comprend qu on pourra en retrouver de semblables dans la bouche de combattants en souffrance totale sous les projectiles enne mis Ainsi le m decin aspirant Laby sur le front voque la consistance des corps enne mis dans les tranch es jonch es de cadavres il trouve que le sol est d une lasticit remarq
60. tincts de sa r sidence profession nelle habituelle lorsqu il existe dans le secteur g ographique consid r une carence ou une insuffisance de l offre de soins pr judiciable aux besoins des patients ou la permanence des soins ou lorsque les investigations et les soins qu il entreprend n cessitent un environnement adapt l utilisation d quipements particuliers la mise en oeuvre de techniques sp cifiques ou la coordination de diff rents intervenants Le m decin doit prendre toutes dispositions et en justifier pour que soient assur es sur tous ces sites d exercice la r ponse aux urgences la qualit la s curit et la continuit des soins La demande d ouverture d un lieu d exercice distinct est adress e au Conseil d partemental dans le ressort duquel se situe l activit envisag e Elle doit tre accompagn e de toutes informations utiles sur les conditions d exercice Si celles ci sont insuffisantes le Conseil d partemental doit demander des pr cisions compl mentaires Le Conseil d partemental au tableau duquel le m decin est inscrit est inform de la demande lorsque celle ci concerne un site situ dans un autre d partement Le silence gard par le Conseil d partemental sollicit vaut autorisation implicite l expiration d un d lai de trois mois compter de la date de r ception de la demande ou de la r ponse au suppl ment d information demand L autorisation est personnelle et incessible Il peut y
61. toit pour les enfants gard s par une assistante maternelle les enfants et adultes expos s au domicile de garde de l enfant Les contacts en collectivit Toute personne enfant ou adulte ayant partag la m me collectivit notamment cr che et halte garderie enfants et adul tes de la m me section cole coll ge lyc e internat lieu de travail personnes ayant fr quent de mani re concomitante les m mes locaux que le malade classe cantine dortoir bureau 7 MESURES PRENDRE POUR LE MALADE C est le m decin en charge du malade qui prend les mesures suivantes Signalement notification du cas et confirmation biologique Identification de la source de conta mination Recherche par l interrogatoire si le malade a c toy un cas de rougeole dans les 7 18 jours avant le d but de l ruption notion d un contage Eviction de la collectivit du malade Elle est recommand e pendant toute la p riode de contagiosit savoir jusqu 5 jours apr s le d but de l ruption voir notamment le guide des conduites tenir en cas de maladies transmissibles dans une collectivit d enfants du CSHPF du 14 03 03 site Internet http www sante gouv fr En cas d hospitalisation les soignants mettent en place des mesures d isolement septique adapt es durant une phase catarrhale suspecte de rougeole et jusqu 5 jours apr s le d but de l ruption voir le guide Isole
62. u un montage juridique et fiscal s duisant ne se r v le en d fi nitif tre un pi ge Cet avantage fiscal est d autant plus int ressant si la cr ation de la SEL s effectue avant le 31 d cembre 2005 conform ment aux dispositions de la loi n 200 804 du 9 ao t 2004 art 13 et 14 qui pr voit l exon ration des plus values de cession si celle ci intervient avant le 31 12 2005 si la valeur du fonds lib ral n ex c de pas 300 000 et si la SEL prend l engagement de mainte nir son activit pendant au moins cinq ans RESEAU ONCOLOGIE93 Mais il ne faut pas oublier que la SEL n est pas un gadget La gestion d un cabinet m dical sous forme de SEL engendre des contingences juridiques comptables et fiscales l est essentiel de s entourer de conseils de praticiens du droit comp tents avant de constituer une soci t d exercice lib ral Si cette cr ation n est pas le reflet d un v ritable besoin du ou des m decins pour un exercice adapt son cas la solution propo s e risque d tre d cevante voire illusoire Maitre Sylvie WARET 1 Nous traiterons exclusivement de la SELARL qui est le mode de SEL le plus fr quemment adopt 2 Initialement le d cret du 3 Ao t 1994 pr voyait l exercice en commun d une profession lib rale Compte tenu de la contrari t entre ce d cret et les termes g n raux de la loi du 31 d cembre 1990 le l gislateur d cida par la loi 99 515 du 23 6 1999 d autoriser dans s
63. uable le Boche fait ressort Ce m me Laby m decin de 22 ans en cours d tudes l Ecole du Service de Sant de Lyon est affect dans l infanterie comme m decin de bataillon cest dire au front aupr s des troupes combattantes I sera charg de 1914 1917 des premiers soins et des vacuations dans des postes de secours g n ralement soumis aux bombardements juste derri re les premi res lignes Comme ses coll gues du front il fut jet Le d lai pour amener un bless grave du front son ambulance tait de 10 Il heures M decine d antan d embl e dans une violence inou e inflig e aux corps sans protection Tous les m de cins nont pas support ce qu ils ont vu et subi lui fa pu I voque les ventrations accompagn es d visc rations comme pour un de ses amis le sacrum arrach les intestins pendants Il voit un soldat qui prend son couteau et ach ve lui m me de se couper la jambe qui ne tient plus que par des chairs meurtries I se trouve devant un soldat allemand qui atrocement mutil lui tend son porte monnaie pour qu il veuille bien T achever Un jeune lieutenant est d capit par un projectile ses c t s 1a t te d un c t le corps de l autre un autre moment il note que seule une boue rouge demeure du corps de ses bran cardiers ll voit des maxillaires enlev s I fait asseoir devant fui un caporal bless pour e pa
64. ue sur celui de la prise en charge L outil qui devait tre cr devait l tre autour du patient et de sa famille rapprochant au maximum les lieux de prise en charge de ceux ci et favorisant la prise en charge ambulatoire par la m decine de ville A Structuration d un outil Dans la r gion lle de France un noyau initial compos de m decins commu nautaires m decins de ville p diatres et g n ralistes et m decins hospita liers centr au d part sur la Ville de Paris a impuls les bases d une action de sant publique autour de la pr ven tion le d pistage et la prise en charge de ces patients A Etat des lieux Le r seau s est organis dans un premier temps au niveau de Paris avec l implication de trois centres hospita liers experts H pital Armand Trous seau H pital Necker Enfants Malades H pital Robert Debr Extension L extension r gionale du r seau dans les d partements de la r gion lle de France en dehors de la Ville de Paris est un des grands chantiers mis en place pour 2004 2005 suite la struc turation de l activit du r seau en 2003 2004 Une r flexion est men e quant la strat gie adopter et les acteurs d partementaux sont sollici t s pour participer cette dynamique La commission Extension a ceuvr tisser des liens avec les interlocuteurs locaux int ress s par le d veloppe ment du r seau dans leurs d parte ments C est ainsi que plusieurs r
65. utilisations multiples 4 Le capital social Le capital social d une SELARL doit tre au minimum de 7 642 25 La loi du 31 d cembre 1990 fixe des r gles extr mement stric tes sur la r partition du capital social afin d viter que des capi taux ext rieurs ne prennent le contr le de cette structure afin de pr server le principe de l ind pendance C est ainsi que par le jeu cumul de l article 5 de la Loi du 31 12 1990 et des articles 12 et 13 du d cret du 3 ao t 1994 le capital social d une SELARL de m decins se d compose de la mani re suivante Plus de 50 d tenu par des m decins qui exercent au sein de la soci t Parmi les 49 76 maximum du reste du capital 25 au plus pourra tre d tenu par un tiers l exclusion formelle de toute personne physique ou morale exer ant sous quelque forme que ce soit une autre profession m dicale ou param dicale la profession de pharmacien d officine ou de v t rinaire de direc teur ou directeur adjoint de laboratoire d analyses de biologie m dicale l activit de fournisseur distributeur ou fabricant de mat riel ayant un lien avec la profession m dicale et de produits pharma ceutiques ou de prestations de services dans le secteur de la m decine Ces 49 au maximum doivent tre d tenus par des personnes dont la liste exhaustive est fournie par la loi du 31 12 1990 des m decins exer ant l ext rieur de la soci t d anciens
66. x sont ouverts du lundi au vendredi de9h I2hetde I4ha I7h 2 rue Ad le 93250 Villemonble T l 01 45 28 08 64 Fax 01 48 94 35 50 E mail seine st denis 93 medecin fr Le conseil d partemental de l Ordre des m decins souhaite faire du bulletin d partemental l organe privil gi de communication avec les confr res inscrits dans notre d partement Toute proposition toute forme d change seront tudi es avec la plus grande attention par la Commission du Bulletin INFORMATIONS DEPARTEMENTALES S curit des m decins LIFRET DE amp ErT WHITE ors d une rencontre avec les repr sentants de la Direction D partementale de la n S curit Publique il nous a t fourni la liste r actualis e des fonctionnaires de police z r f rents m decins de la Seine Saint Denis Elle remplace la liste qui tait incluse dans le livret de s curit qui vous avait t fourni il y a quelques ann es exemplaires votre disposition au si ge du Conseil d partemental de l Ordre LISTE DES R F RENTS M DECINS DE LA SEINE SAINT DENIS Cette liste a t tablie afin de permettre chaque m decin qui en a besoin de s adresser un interlocuteur privil gi La mission de ces fonctionnaires est de conseiller les confr res et le cas ch ant de faciliter leur d p t de plainte COMMUNES GRADES NOMS PRENOMS TELEPHONES AUBERVILLIERS Commandant de Police GLEVER Jean Yves OI 48 II 17 64 AULNAY SO

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