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LQ 222

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1.
2. NUMERO 222 Je n aurais manqu un S minaire pour rien au monde PHILIPPE SOLLERS Nous gagnerons parce que nous n avons pas d autre choix AGNES AFLALO www lacanquotidien fr Lacan Quotidien La Mairie de B gles organise des conf rences destin es au grand public au sein du Campus solidaire Le mercredi 30 mai sur proposition de Fran ois Gonon Nadia Macalli invitait David Cohen psychopharmacologue et Carole Dewambrechies La Sagna changer leurs consid rations sur l usage contemporain des psychotropes Effets secondaires et prescription de psychotropes Carole Dewambrechies La Sagna propos des travaux de David Cohen psychopharmacologue Miami Mon exp rience est diff rente de celle du chercheur puisque si je pratique la psychanalyse j exerce aussi comme psychiatre dans un service dont je m occupe Je prescris donc et j ai un rapport aux psychotropes marqu par le commerce quotidien que j entretiens avec la m lancolie le risque suicidaire la schizophr nie ou la parano a J ai aussi affaire aux prescriptions des autres patriciens puisque quand les patients arrivent dans mon service ils ont le plus souvent d j un traitement et en ont eu plusieurs De plus ils ont d j un avis sur les mol cules avis fait d exp rience personnelle de conseils divers et de ce qui se v hicule dans les media C est ce qui met au premier plan la question du diagnostic J ai dit r cemment Bue
3. pas de l ordre de la connaissance ni de la repr sentation Le psychanalyste ne pr che pas un savoir total totalement imaginaire pourrait on dire il ne cherche pas professer et son discours public s en ressent Quant au temps de la haine dont parle Lacan en 1954 soit moins de dix ans apr s la fin de la seconde guerre mondiale on peut consid rer qu il n a plus cours aujourd hui N anmoins la pr valence de l image dans notre soci t la mont e au z nith de l objet a comme l a formul Jacques Alain Miller sans compter le bouleversement de l ordre symbolique doivent veiller notre vigilance quant la pouss e des discours en forme d injonction un mod le Le r el et l imaginaire font rarement bon m nage lorsqu ils sont d li s du symbolique Les recherches montrent que l autisme fait nigme et c est pourquoi une approche plurielle est n cessaire Ainsi contre l omnipr sence des savoirs pr ts l emploi symptomatiques de notre poque contre leurs applications sans m diation sur l autisme je prendrais le parti d une politique de l ignorance en psychanalyse qui laisse place au savoir in dit de chaque sujet Les notes du texte se trouvent la fin de ce num ro Claire Zebrowski a pr sent cette intervention lors du FORUM POUR UN ABORD CLINIQUE DE LAUTISME qui s est tenu Angers ce jeudi 14 juin Pour une information sur l ensemble des forums organis s dans toute la France http w
4. a fernandes POUR LIRE LES DERNIERS ARTICLES SUR LESITE CLIQUEZ ICI e l attention des auteurs Les propositions de textes pour une publication dans Lacan Quotidien sont adresser par mail ou directement sur le site lacanquotidien fr en cliquant sur proposez un article Sous fichier Word Police Calibri Taille des caract res 12 Interligne 1 15 Paragraphe Justifi Notes manuelles dans le corps du texte la fin de celui ci police 10 e l attention des auteurs amp diteurs Pour la rubrique Critique de Livres veuillez adresser vos ouvrages NAVARIN DITEUR la R daction de Lacan Quotidien 1 rue Huysmans 75006 Paris Notes du texte de Claire Zebrowski Laetitia Belle Du mode d emploi l usage du sympt me Le petit journal du colloque ACF VLB n 6 26 mars 2012 2Fran ois Leguil La politique du sympt me Mental n 6 NLS octobre 2005 pp 65 79 3Sylvie Dagnino Une semaine avec ABA Lacan Quotidien n 197 16 avril 2012 4Jacques Lacan Le S minaire Livre 1 texte tabli par Jacques Alain Miller Paris Points Seuil 1975 chapitre XXI paragraphe 2 page 413 SJacques Lacan op cit chapitre XIII paragraphe 2 page 261 6lbid 7Jacques Lacan op cit chapitre XXII paragraphe 2 page 422 8Jacques Lacan Ibid Jacques Lacan Le S minaire Livre XVII texte tabli par Jacques Alain Miller Paris Seuil 1991 chapitre II paragraphe 1 page 32
5. aire pour dire que c est de peu d importance Je trouve que c est un grand m rite de David Cohen que d ouvrir l int r t pour ce champ des choses n glig es Freud a d ailleurs d couvert la psychanalyse en d cr tant int ressantes les scories les rebuts de la psychologie les actes manqu s les r ves ces choses sans signification et n glig es par le corps m dical Alors dans mon service j ai dit mes patients cette semaine que nous avions cette causerie ce soir avec un professeur de Miami Floride Et je leur ai demand de bien vouloir pr ter une attention particuli re aux effets secondaires de leur traitement ME A me dit qu il n y a pas d effets secondaires car il n y a pas d effet th rapeutique tout est poison l Haldol a un go t bizarre et l infirmi re brune qui le lui a donn veut l empoisonner M L me dit coutez je suis parfaitement bien comme je ne l ai pas t depuis un an date de la mort de mon p re Ce patient a fait une tentative de suicide grave il y a quinze jours Je note ce qu il dit et l ve les yeux sur lui il pr sente un grand tremblement de tout le corps y compris la paroi abdominale Je lui dis Ce tremblement Ah me dit il ce n est pas un effet secondaire ma grand m re paternelle avait le m me c est la griffe de la famille et il m a donn un papier sur lequel il avait crit Aucun effet secondaire remarquer Diminution pro
6. c est l interdiction pure et simple du Mediator qui a fait que les sujets n en ont plus pris D j des patients r clament avec insistance le Baclof ne pour traiter leur d pendance l alcool alors que l on ne connait pas les effets long terme de la mol cule et qu ils peuvent tre catastrophiques pourquoi non Les autorit s sanitaires l ont cependant autoris en France On distingue deux effets dans un m dicament l effet th rapeutique qui est celui qui est recherch et les effets secondaires encore appel s ind sirables car ils peuvent exister alors qu ils ne sont pas recherch s Mais l histoire des psychotropes montre que les choses ne sont pas aussi tranch es le Largactil a t d couvert comme effet s datif effet de d sint ressement non souhait des antihistaminiques jusqu ce qu Henri Laborit pense l appliquer aux tats d agitation observ s en psychiatrie les antid presseurs ont t d couverts par hasard parce que des patients tuberculeux trait s pr sentaient une euphorie qui a attir l attention de ceux qui avaient en charge des m lancolies etc Je veux dire que les psychotropes ont chang la pathologie mentale dans un sens que personne ne penserait regretter L agitation les cris l immense douleur les agressions ont disparu de l h pital psychiatrique pour en faire un lieu plut t calme et les psychotropes ont sans doute aid ce mouvement Cela me para t ind
7. e le langage a t ject et que seuls l imaginaire et le r el s emm lent La psychanalyse ne dit pas chaque probl me il y a une solution elle n affirme pas qu toute situation correspond un savoir pr t l emploi Elle soutient que le rapport n existe pas et que face l nigme il s agit de se questionner et non pas d abord de r pondre C est cette position questionnante du sujet qui d termine le vrai et le faux nous dit Lacan Et j en viens donc la politique de l ignorance Politique de l ignorance Toujours dans le S minaire Lacan pose la question Qu est ce que l ignorance C est une notion certainement dialectique puisque c est seulement dans la perspective de la v rit qu elle se constitue comme telle Ignorance et v rit vont donc de pair En ce qui concerne le psychanalyste l ignorance est une posture elle fonde son thique Lacan poursuit ainsi En d autres termes la position de l analyste doit tre celle de l ignorantia docta ce qui ne veut pas dire savante mais formelle Selon Le Petit Robert est formel ce qui est d une part pr cis et assur le psychanalyste a tre pr cis exigeant Et d autre part est formel ce qui concerne la forme le psychanalyste a faire avec la structure du savoir Or la structure du savoir c est pr cis ment qu il existe une b ance un non rapport au c ur de tout savoir Le savoir du psychanalyste n est pas t
8. echnifi il ne suppose pas que a marche Au contraire ce qu il sait c est que a ne marche pas n cessairement c est dire qu il n y a pas de n cessit que a fonctionne a rate Le psychanalyste prend donc la posture de l ignorant au sens o il a un savoir sur cette b ance C est ce qui fonde son thique car c est partir de l qu il op re et c est l qu il peut entendre ce que chaque sujet a d unique On est tr s loin de la m thode ABA qui profile les personnes autistes des comportements calqu s sur les mod les imaginaires de la normalit A l inverse la psychanalyse fait le pari qu un sujet autiste a quelque chose inventer et pas seulement imiter et que cela ne se mesure pas en termes d efficacit C est en ce sens que l acte analytique peut demeurer un acte thique J en viens au deuxi me type d ignorance dont je voudrais parler une ignorance caract re politique Cette id e me vient la lecture de la suite du S minaire La tentation est grande parce qu elle est dans l air du temps de ce temps de la haine de transformer l ignorantia docta en ce que j ai appel ce n est pas d hier une ignorantia docens Que le psychanalyste croie savoir quelque chose en psychologie par exemple et c est d j le commencement de sa perte L ignorance du psychanalyste doit tre docte au sens de formelle comme nous l avons vu et non docens savante Autrement dit le savoir en psychanalyse n est
9. es de la r daction lacanquotidien fr bertrand lahutte amp marion outrebon la revue de presse armelle gaydon pour babel Lacan Quotidien en argentine et sudam rique de langue espagnole graciela brodsky Lacan Quotidien au br sil angelina harari Lacan Quotidien en espagne miquel bassols responsable de la traduction de Lacan Quotidien au br sil maria do carmo dias batista designers viktor amp william franchoizel vwfchzl gmail com technique mark francboizel amp family amp olivier ripoll lacan et libraires catherine orsot cochard catherine orsot wanadoo fr m diateur patach n vald s patachon valdes gmail com suivre Lacan Quotidien ecf messager yahoogroupes fr liste d information des actualit s de l cole de la cause freudienne et des acf responsable philippe benichou pipolnews europsychoanalysis eu liste de diffusion de l eurof d ration de psychanalyse responsable gil caroz amp uqbar elistas net liste de diffusion de l association mondiale de psychanalyse responsable oscar ventura secretary amp nls org liste de diffusion de la new lacanian school of psychanalysis responsables anne lysy et natalie w lfing EBP Veredas yahoogrupos com br uma lista sobre a psican lise de difus o privada e promovida pela associa o mundial de psican lise amp em sintonia com a escola brasileira de psican lise moderator maria cristina maia de oliveir
10. gressive des angoisses et des id es noires Augmentation du Moral sic sur tous les points Am lioration notable de la qualit du sommeil Pas de coup de fatigue dans la journ e Effet rapide du traitement sur le sommeil prise 22h30 endormissement vers 23h R veil repos sans effet de traces de fatigues BIBLIOGRAPHIE Cohen D Mason J P et Moncrieff J The subjective experience of taking antipsychotic medication a content analysis of Internet data Acta Psychiatrica Scandinavica 2009 120 2 102 111 Cohen D et Hughes S Understanding the assessment of psychotropic drug harms to improve social workers role in medication monitoring Social Work 2010 55 2 105 115 Pour une politique de l ignorance en psychanalyse Claire Zebrowski Je voudrais interroger l orientation du discours et de la posture de la psychanalyse au regard de la question de l autisme dans ces temps o la soci t pousse aux savoirs imaginaires Mon propos ne porte pas sur les choix faits par les familles qui tentent de trouver des mani res d avancer avec leurs enfants autistes mais sur le discours des promoteurs des m thodes de type ABA et de ceux qui excluent la possibilit d un accompagnement vari et librement am nag de chaque personne autiste Le savoir pr t l emploi comme sympt me de notre poque Dans le Petit Journal num ro 6 Laetitia Belle rappelle un article de Fran ois Leguil pa
11. n centre pour enfants raconte la semaine de formation la m thode ABA qu elle a suivie Durant les deux premiers jours l essentiel de la formation est dit Les jours suivants la formatrice r p te les m mes nonc s et y enjoint des s quences courtes de montage vid o Il y a peu d changes avec les participants peu de place pour les questions La gestuelle marqu e et la hauteur de la voix de la formatrice captivent l attention emp chant toute r flexion personnelle son discours ne laisse pas place l incertitude Ce qui s entend c est que la m thode ABA cette analyse appliqu e aux comportements telle que la nomme la formatrice est donn e comme une v rit efficiente C est un savoir scotch son objet par un c est ainsi ce qui revient quasiment identifier la parole un r el On pourrait s inqui ter du risque encouru par la m thode ABA de d boucher sur un discours de la haine Reprenons avec Jacques Lacan Dans le S minaire Livre il situe les trois passions que sont l amour la haine et l ignorance en regard des trois ordres du symbolique du r el et de l imaginaire A la jonction du symbolique et de l imaginaire cette cassure si vous voulez cette ligne d ar te qui s appelle l amour la jonction de l imaginaire et du r el la haine la jonction du r el et du symbolique l ignorance La haine c est donc ce que l on trouve quand il n y a plus de symbole lorsqu
12. niable Mais en diminuant l expression de la violence et de la douleur ils ont fait dispara tre du champ de notre consid ration la question de la folie comme ils sont peut tre en train de faire dispara tre l h pital tel que nous le connaissons L efficacit des psychotropes car je pense pour ma part que dans leurs indications ils sont tr s efficaces contribuent faire penser que la maladie mentale ou la folie n existent pas Si j ai gu ri avec quelques pilules de cette fa on c est que je n tais pas vraiment malade me dit on l occasion Pour cette raison j ai tendance penser que si un patient arr te son traitement ce n est pas parce qu il n est pas efficace c est au contraire parce qu il l est R action th rapeutique n gative disait Freud Quand un m dicament est mis sur le march c est que ces effets secondaires sont pens s comme inferieurs au gain apport par la mol cule en th orie Actuellement les d s sont pip s Sous l influence de diverses pressions sont mis sur le march des substances dont on ne connait pas les effets secondaires Il y a un effet Minority Report dans tout cela Les effets b n fiques d un traitement sont mis en avant et cela semble normal la contrepartie en est que les effets secondaires sont m connus mais aussi minor s d ni s m pris s pens s comme n gligeables C est d ailleurs ce que dit la langue fran aise c est second
13. nos Aires que c est le discours capitaliste maintenant qui fait les diagnostics de la psychiatrie comme le montrent les DSM successifs L hyst rie a disparu elle tait pourtant l exemple des n vroses puis la m lancolie et pour finir c est l id e de la folie elle m me qui est exclue de la consid ration psychiatrique au titre que tous les consommateurs se valent et ach tent des m dicaments Donc quoi bon de ce point de vue poser un diagnostic qui ne ferait que restreindre le champ de la prescription et donc de la vente Je crois que c est ainsi que la question se pose actuellement Nous avons assist une extension sans limites des indications des m dicaments pendant ces derni res d cennies au point que nous pouvons dire qu il n y plus d indication au sens restrictif et donc plus de diagnostic Il y a par contre et c est une des choses que j ai trouv es int ressantes dans les travaux de David Cohen une extension sans limite des effets secondaires des m dicaments La soci t est dop e comme dit Alain Ehrenberg et c est ce qui fait explosion des effets secondaires Ce n est pas seulement une question de nombre d usagers c est une question de qualit car les sujets qui pr sentent le plus d effets secondaires sont peut tre souvent ceux qui n avaient pas besoin de la mol cule des sujets qui ne sont pas malades mais veulent faire face un certain nombre d exigences de nos soci t s tre
14. plus performants plus comp titifs etc D o l importance du diagnostic pour faire la part entre ce qui rel ve d un traitement et ce qui n en rel ve pas La psychiatrie comme discipline offre actuellement peu de recours elle est format e aux exigences du DSM dont elle est le prolongement en lien avec l industrie pharmaceutique Ma th se est que l on ne peut pas pratiquer la psychiatrie et la prescription de psychotropes correctement sans l appui th orique de la psychanalyse et de ce qu elle permet dans le champ du diagnostic D j la nosographie freudienne avait fait de l opposition n vrose psychose le pilier de la clinique Lacan a renouvel la th orie des psychoses au point que la seconde moiti du XXe si cle en France lui doit le maintien de la consid ration du diagnostic dans le champ qui est le n tre La psychose se d finit par un trouble du rapport au langage qui se manifeste par un d lire ou un ph nom ne l mentaire qui sont de m me nature et li s l absence de mise en fonction du Nom du p re si ce n est de structure au moins dans les faits Il n est pas certain que nous puissions endiguer la consommation de psychotropes par des sujets qui n en ont pas besoin Dans ce cas les travaux et les recherches du type de ceux de David Cohen sont tr s utiles Ils peuvent amener le public la raison Les accidents qui se produisent aussi pendant un temps rendent plus raisonnable Mais enfin
15. ru dans la revue Mental partir de la formule donn e par Jacques Alain Miller Les usages du sympt me dans son cours L Orientation lacanienne Fran ois Leguil soutient ceci Nous pouvons opposer la notion d usage celle de mode d emploi des modes d emploi plut t si l on songe leur prolif ration quasi pers cutrice prolif ration qui est la ran on des techniques Cette distinction m voque l volution des savoirs dans la soci t capitaliste contemporaine Je parle des savoirs au pluriel et non du savoir au singulier car le savoir ne se manifeste plus tant comme le v hicule des id es politiques sociales religieuses mais plut t comme des v rit s attenantes aux objets des savoirs la mani re des applications pour les iphones Le savoir est technifi directement coll l objet r ifi Il doit tre efficace comme le montrent la r f rence aux experts la g n ralisation des politiques de l valuation ou encore la grille de lecture que les TCC appliquent l humanit et venons y la m thode ABA pr sent e comme seule source du savoir sur l autisme L article Une semaine avec ABA paru dans Lacan Quotidien n 197 montre bien le genre de savoir qu on cherche insuffler ceux qui travaillent aupr s des personnes autistes C est un savoir qui ne laisse pas de place l change qui ne se discute pas C est ainsi que Sylvie Dagnino infirmi re dans u
16. ww causefreudienne net index php agenda evenements forums autisme Clin d oeil LACAN LIT PROUST UN GRAND MOMENT A d couvrir en un clic KKK Samedi 30 juin 10h 13h et 15h 18h la Maison de la Mutualit Paris 5 A l coute des autistes Conversation clinique avec Jacques Alain Miller Des concepts et des cas envoy s l avance par mail aux inscrits les textes sont discut s sur place dans un change improvis avec les auteurs et avec la salle Pour s inscrire on adresse par ch que son r glement de 70 35 pour les tudiants et demandeurs d emploi sur justificatif UFORCA 15 place Charles Gruet 33000 Bordeaux On peut aussi se pr inscrire en adressant un mail uforca wanadoo fr et r gler sur place le montant de l inscription Les textes seront envoy s partir du 18 juin CONVERSATION ORGANISEE PAR UFORCA www lacan universite fr UNION POUR LA FORMATION EN CLINIQUE ANALYTIQUE Lacan Quotidien publi par navarin diteur INFORME ET REFL TE 7 JOURS SUR 7 L OPINION CLAIR E 17 comit de direction pr sidente eve miller rose eve navarin gmail com diffusion anne poumellec annedg wanadoo fr conseiller jacques alain miller r daction kristell jeannot kristell jeannot gmail com dition philippe benichou bertrand lahutte quipe du Lacan Quotidien pour l institut psychanalytique de l enfant daniel roy judith miller membr

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