CHLEF MEDICAL N°32.pub
Contents
1. Une tude faite aux USA universit de l Utah en 11 1996 montre les niveaux d absorption des RF chez un adulte un enfant de 5 ans et 10 ans 7 84 W Kg pour l adulte 19 77 W Kg enfant de 10 ans 33 12 W Kg enfant de 5 ans vitez de le rapprocher des ventres des femmes enceintes et des organes sensibles du corps t te c ur yeux rate rein testicules vitez de le laisser aupr s de vous en dormant ou en r veil gt viter le port de lunettes m talliques lors des appels gt vitez les longues communications moins de cinq minutes par appel gt R sister au d sir de t l phoner dans les lieux clos et ou souterrains m tro gares a roports immeu bles car la puissance n cessaire pour mettre est alors plus importante aq JSS ssog JO e dommage ADN affecte des cellules Une tude a m diter le test de la com te Objectif de l tude Deux tudes sont lanc es en paral l le elles visent d terminer si le sanguines humaines expos es aux rayonnements des portables et si oui par quel processus Des conditions r elles et exactes d exposition ont t r alis es Les r sultats Le test de la com te n avait pas montr de preuve de rupture d ADN dans les globules blancs mais le test du micro noyau avait mis en vidence de telles ruptures au sein des chromosomes Pas de rupture d ADN quand le sang est expos trois heures piles ou 24 heures Pas de d2. Publication trimestrielle dit e par l association N 32 Janvier 2005 du corps m dical priv de la wilaya de Chlef 7 ann e Dossier Formation m dicale continue Reprise des colloques du jeudi m dical de Chlef Le 5 forum national de FMC Une dition r ussie Th rapeutique La notion de m dicament de pr dilection Journ e mondiale de lutte contre le SIDA D une peine l autre La th rapie g nique 2005 Meilleurs voeux UHOJIPA Pr occupations cologiques Pas plus loin qu au mois de ramadhan dernier la ville de Chlef se trouvait envelopper dans un brouillard de fum e tr s incommodante d s la tomb e de la nuit l exhalaison manant de la mise feu de la d charge publique de Chegga Par qui Personne ne le saura A l APC on dit que ce probl me sera d finitivement r solu avec la mise en service du nouvel incin rateur en construction X loin de la ville Est ce que pour autant les tracas cologiques et sanitaires engendr s par la combustion des d chets m nagers vont dispara tre parce que va se faire dans une usine Pas s r A ce propos les faits suivants m ritent d tre rappel s L incin ration est une technique d pass e On l utilise de moins en moins dans les pays avanc s eux qui ont exp riment avant nous cette m thode d limination des d chets m nagers et qui la rej tent aujourd hui En fait l incin ration ne r sout pas v ritablemen
3. t le mieux effets secondaires contre indica tions posologies interac tions Et cest tant mieux pour nos patients ll m dicaments de pr dilection et m dicaments essentiels Nous savons tous que les m dica ments mis sur le march et ceux figurant sur la liste nationale des m dicaments essentiels sont bien plus nombreux que ceux qu on prescrit couramment Selon l OMS quelques 40 ou 60 m dicaments au plus cons tituent tout l arsenal th rapeutique de la plupart des cliniciens Nous avons donc int r t pr voir le notre de fa on rationnelle en dressant notre propre liste de m dicaments essentiels Et ce sont pr cis ment les produits port s sur cette liste usage personnelle qui seront nos m dicaments de pr dilection lll m dicaments de pr di lection et recommandations internationales Dresser cette liste personnelle de m dicaments essentiels plus connus d sormais sous le nom m dicaments de pr dilection quivaut se r f rer aux recommandations labor es par les soci t s savantes internationales dont l OMS concernant les affections les plus couramment rencontr es MST HTA affections respiratoires pathologies infectieuses Ces re commandations se fondent sur des conclusions scientifiques dignes de foi unanimement approuv es par les diff rents sp cialistes IV les tapes du choix du m dicament de pr dilection Il nous arrive de poser le bon dia gn
4. El Hamma laboration du premier num ro de la revue p riodique de la soci t alg rienne d histoire de la m decine Tarikh Ettib Composition du bureau actuel de la SAHM Pr sident d honneur Pr Chibane Pr sident actif Dr Mahmoud Aroua Vice p sident Dr Ahmed Amrouche Secr taire g n ral Dr Abderahmane Guellab Tr sorier Dr Mohamed Tchikou Sa d Pour contacter la SAHM s adresser son secr taire g n ral Dr Abderahmane Guellab BP 332 Ferhat Boussad ex Meissonnier Alger Fax 021 36 49 63 E mail a guellab caramail com 4 Ibn Sina
5. de patients hauts risques chez qui ces effets s expriment le plus exigeant de notre part la plus grande vigilan ce ce sont les enfants les vieil lards la femme enceinte les insuffi sants r naux et h patiques etc L ad quation On est sur de lef ficacit dun m dicament de pr di lection chez un patient souffrant d u ne pathologie donn e mais on ne peut le prescrire du fait de l existen Suite su sujet en page 13 5 STE TTITITITITITIITITTI III AHAHAHAH HYAY AHHH Y HYAY AHAAA AY AJAA YAY ourn e mondiale de la Sant 2005 Femmes et enfants a l honneur Donnons sa chance chaque m re et chaque enfant Voici le th me de la Journ e mon diale de la Sant 2005 qui se d rou lera comme chaque ann e le 7 avril En effet trop souvent la condition des femmes et des enfants est n glig e La v ritable trag die commente le Dr Lee Jong wook Directeur g n ral de l OMS c est que des milions de femmes et d enfants meurent Et nous ne faisons rien pour les sauver Dans les pays en d veloppement la grossesse et l accouchement comptent parmi les premi res cau ses de d c s chez les femmes en ge de procr er Et un enfant sur 12 meurt avant ses cinq ans Pourtant lorsqu elle a d fini les objectifs du Mill naire pour le d ve loppement OMD la communaut internationale s est engag e r dui re les d c s maternels des trois quarts et la m
6. efficacit notamment l art misine une plante m dicinale donn e en association avec d au tres mol cules Mais ces traite ments co tent dix fois plus cher que les traitements standard Ac tuellement aucun m dicament g n rique n existe dans ce secteur et les vaccins en sont au stade de l exp rimentation Au Mozambique un essai clinique a montr une efficacit dans 30 des cas D ici cinq neuf ans nous devrions tre en possession d un vaccin efficace dans la grande majorit des cas estime le Dr Schapira D cembre 2004 AP ETTTTTTTTTTTTITTITTITTITTITTITTETTTETIITTITIITIITIIIITIIIIT Le th c est bon mais quand en prendre Le th en voil une boisson qui n a rien envier la renomm e de l eau Populaire ce produit pr pa r partir de feuilles a bien des qualit s mais aussi un d faut il bloque l absorption du fer au niveau de l intestin Explications Cette boisson nous vient de Chi ne Connu pour ses effets re laxants le th est devenu au fil des ans quasiment indissociable de l identit anglaise De la culture arabe aussi Au Liban par exemple il fait partie int grante du d ner tra ditionnel quel moment doit on en boire Avant pendant ou apr s le repas En fait les feuilles de th contiennent des polyph nols des compos s qui poss dent d impor tantes propri t s anti oxydantes Dans l organisme ces derniers se m langent au fer pr
7. et son quipe demeurent convaincus que les t l phones porta bles sont dangereux Alors Wheeler s en prend Carlo Ce dernier abandonne son projet de recherche pour d noncer la toute puissante industrie Il se r signa crire un livre pour d noncer les m faits du t l phone portable de premi re g n ration En 2000 Wheeler pr sente lors de l exposition WIRELESS 2000 des t l phones High tech qui ne fonc tionnent plus selon le principe de relais d une cellule ou station une autre La nouvelle g n ration se nomme syst me de communication personnelle les appareils transportent outre la voix des donn es style fax mail et se connectent Internet Thomas Wheeler a m me fait basculer l expo dans un new age faisant assister le pr si dent Bush et des chanteurs stars et a fait envoyer au monde un message mill naire par la voix du c l bre Bill Gates Microsoft et le tr s c l bre Steve Case Am rica on line Il a fini par gagner Mais je persiste dire que le t l phone portable est dangereux pour la sant Dr George Carlo Thomas Wheeler SAR DAS Specific Energy Absorption Rate Il consiste en une mesure complexe de la quantit de rayonnement absorb par les tissus pendant un temps donn Dans la plupart des pays les limites d exposition aux radio fr quences impos es par les gouvernements repo sent sur des standards de fait qui ont fini par tre approu v es comme normes l exis
8. mieux la physiopatholo gie de son affection celle ci d termi ne le lieu d action possible du m di cament choisir il nous sera alors plus ais de faire le choix de notre m dicament de pr dilection tape 3 r pertorier les groupes de m dicaments efficaces Le premier crit re de s lection est l efficacit Il existe sur le mar ch comme soulign plus haut des dizaines de milliers de produits diff rents Ceux ci ne forment au total que quelque soixante dix groupes pharmacologiques distincts Tous les m dicaments ayant un m canisme d action pharmacodynamie identi que et dont la structure mol culaire est similaire appartiennent un groupe bien d fini ex les p nicilli nes les IEC les b tabloquants On s int ressera donc en 1 lieu aux groupes de m dicaments Reconna tre les groupes de m dica ments efficaces consiste 1 Consulter soit les formulaires et directives existant au sein de notre syst me de sant soit les recom mandations des soci t s savantes internationales soit la liste des m di caments essentiels de l OMS celle ci b n ficie d une mise jour tous les deux ans 27 Examiner l index d un bon ouvrage pharmacologique de r f rence ex le Vidal pour d terminer quels sont les groupes r pertori s correspon dant notre objectif th rapeutique tape 4 opter pour un groupe efficace en fonction des crit res applicables Afin de pouvoir com
9. seule chose avoir le plus large consensus possible sur des produits donn s Nous acculer faire ce choix au milieu de toute cet te foire en un temps record et que n ont pu faire des soci t s savantes qu apr s des ann es d tude et de r flexion rel ve du surnaturel Nous avons peut tre sch matis mais l essentiel pour nous m decins g n ralistes est de faire compren dre que nous ne sommes pas le r ceptacle ou le fourre tout que l on a tendance croire C est pour cette raison d ailleurs que d minents Professeurs en m deci ne et en pharmacologie ont labor notre intention la notion de m dica ments de pr dilection dans un ouvrage dit par l OMS voir r f rence que l on ne pourra suspecter de partialit C est quoi La notion de m dicament Dr GHRIS au juste l la notion de m dicament de pr dilection Elle va nous tre tr s utile dans notre t che quotidienne dans la mesure o ce sont des m dicaments que l on conna t le mieux et que l on prescrit de pr f rence d autres des situa tions cliniques similaires sans h si tation aucune lls constituent notre premi re r ponse th rapeutique L avantage est de gagner certes en rapidit dans la prescription mais le but vis est d viter la recherche tout bout de champs quoi prescrire Un autre avantage ind niable est que plus on prescrit r guli rement les m mes produits plus on les conna
10. voisine de Lignes lectriques Radio AM Radio FM a Four micro onde celle des portables En plus clair le spectre des portables se situe entre celui des fours micro ondes et celui des postes de t l vision Les rayonnements qu ils mettent ne sont pas ionisants mais peuvent pro voquer des effets thermiques Les photons ont une force insuffisante pour d crocher un lectron de l ato me autour duquel il gravite par contre les nergies ionisantes tels les rayons X causent g n ralement de s rieux d g ts aux tissus vivants Dans le cas du t l phone cellulaire les fr quences utilis es peuvent pro voquer des perturbations biologiques par le biais d autres m canismes ondes sonores forces exerc es sur les membranes cellulaires mais les analyses quantitatives montrent que ces perturbations ne se produisent d une mani re perceptible qu des 8 10 12 14 niveaux d exposition tr s lev s bien plus lev que les normes autoris es aux USA et dans la plupart des pays occidentaux o la r glementation prot ge les utilisateurs contre les risques connus des radio fr quences A l heure actuelle la seule menace connue reste l chauffement excessif des tissus En fait ce danger reste invraisemblable car les t l phones mobiles mettent sur des fr quences puissance tr s faible 600milliWatts Max pour les appareils analogiques anciens et 125 milliWatts pour les postes cellulaires num rique
11. IDA la tuberculose et le paludisme en voil une bonne id e Surtout qu il s agissait de rassembler les nergies notamment financi res des pays riches A l heure de la r union en Tanzanie des admi nistrateurs du fameux Fonds mondial beaucoup font grise mi ne Finies les envol es lyriques des d buts quand les Etats Unis l Europe et le reste du monde devaient se liguer pour parts gales verser chaque ann e 3 milliards de dollars au service de la Cause Les Etats Unis qui n avaient en fait pris d engage ments qu hauteur de 500 mil lions viennent d effectuer un re cul spectaculaire Ils ont annonc qu ils r duisaient leur contribution 150 millions Du coup la Fran ce qui avec ses 150 millions tait le deuxi me plus important contri buteur du Fonds vient de faire savoir par son ambassadrice SIDA qu elle voulait galement souffler un peu Ajoutons ces coups le fait que 18 antir troviraux g n riques ont t retir s des listes de pr qualification de l OMS soit volon tairement soit par la contrainte et l on comprendra que les fronts s assombrissent L initiative 3 en 5 au terme de laquelle l OMS esp re traiter en 2005 trois mil lions de personnes atteintes par le VIH SIDA en sera tr s affec t e Aux mauvaises langues qui accusent les Etats Unis de vou loir ainsi favoriser le programme PEPFAR labor par l Adminis tration Bush ses d fenseurs r pondent qu ils
12. La charge virale sera limin e assez ais ment par la suite pass s les six heures fati diques Voil pour le principe maintenant au c l bre professeur et son quipe de passer lacte avec le souhait de tout le monde du plein succ s inchallah dans leurs uvres en ce d but d ann e de l re tant H girienne que Gr gorienne et de Yennayer Bonne ann e pour la recherche et tous Dr Mahieddine GHRISS DS ES D D D Di is Os D D D D Ds D D D D D is D D D DE D EE ES D D D D D D D D is D D D D Activit s de l ACMPC formation m dicale continue Reprise des colloques du jeudi m dical de Hypertrophie b nigne de la prostate L ACMPC a entam son cycle de formation m dicale continue pour la saison 2004 2005 d s le d but du mois d octobre dernier par l organisation d un colloque sur l hypertrophie b nigne ou ad nome de la prostate Cette pathologie constitue un motif de consultation fr quent chez les hommes au del de la cinquantaine En effet pass cet ge pr s d un homme sur deux pr sen terait une augmentation plus ou moins importante du volume de sa prostate qui peut tre l origine d une symptomatologie urologique criarde et incommodante dysuries h maturie insomnie L l ment le plus important dans la d marche diagnos tique c est de confirmer le caract re b nin liminer un 15 cancer de l hypertrophie de la prostate Ce colloque qui s est d roul l institut de Dr
13. Le co t du traitement est un crit re toujours im portant que ce soit dans les pays d velopp s ou en voie de d velop pement qu il soit pris en charge par l tat organismes de s curit socia le ou par le patient lui m me Il nous faut toujours valuer le co t du traitement dans sa totalit plut t que le co t unitaire du m dicament cas des malades chroniques Prescrire un m dicament de pr di lection efficace ad quat et effets secondaires minimes mais assez on reux est un non sens chez un patient aux ressources limit es Alors une alternative s offre nous Soigner un petit groupe de malades avec un m dicament cher ou en traiter beaucoup avec un m dica ment qui n est pas id al bien qu ac ceptable Situation assez embar rassante laquelle la plupart des prescripteurs sont t t ou tard confront s Et enfin il y a lieu de sa voir de quoi il retourne en mati re de remboursement et de veiller le plus possible ne prescrire que les pro duits indispensables disponibles et un prix abordable en l absence de remboursement le patient risque de ne pas acheter ses m dicaments tape 5 choisir le m dicament de pr dilection La d cision finale dans le choix d un m dicament de pr dilection est l aboutissement du processus d crit plus haut en plusieurs tapes mais dont on peut en sauter certaines selon les cas rencontr s Il faut se rappeler seulement de noter toutes les inf
14. Si le rap port exclut tout risque sur la sant par voisinage avec les antennes relais de t l phonie mobile il fait tat de probl mes avec les combi n s t l phoniques utilis s sans oreil lette Il est possible d tablir un lien entre maux de t te chauffement dilatation des vaisseaux du cerveau et le champ lectromagn tique pro duit par l antenne du t l phone GSM portable Les tudes n ont pas le recul suffisant pour se prononcer avec certitude La prudence est donc de mise Il convient donc d viter l utilisation prolong e notamment en cas de migraine et d utiliser un kit main libre qui permet de tenir le t l phone loign Affirmer que l exposition un champ magn tique haute fr quence n a pas d effet sur les cellules humaines n est pas s rieux Si incertitude il y a elle porte seulement sur la d finition d un seuil d exposition au dessous duquel on peut tre s r de l innocuit du t l phone portable Les ondes ayant un effet toxique sur le corps humain sont mal connues On sait que des fr quences du rayonnement solaire peuvent provo quer des cancers de la peau En dehors de la nature m me du rayon nement il convient de consid rer la dur e d exposition et l intensit du courant ou du champ lectromagn tique pour d finir sa nocivit L0000000200000000 00000 000 000 00 0 0 0 0 01 Docteur George Carlo contre Thomas Wheeler le scientifique Qui est le Dr Carlo C es
15. a pr vention Eviter ou interdire l implantation des relais base proxi mit des coles h pitaux et regroupements sociaux Le consommateur devrait tre informer des d bits d ab sorption sp cifique DAS ou SAR compar aux diff rents portables du march ceci n est que le minimum ou principe de pr caution prudent avoidance ou vi tement prudent pour les Etats Unis En attendant les nouvelles technologies modifiant les signaux UMTS uti lis s pour les portables de troisi me g n ration beau coup plus puissants alors l le principe de pr caution supposera une bonne valuation du risque inconnu pour le moment Dossier pr par par Dr DEHABA Tew 12 La notion de m dicaments de pr dilection ce d une autre affection associ e qui le contre indique Chez une femme enceinte ou qui allaite on doit tenir compte du bien tre de son enfant De m me l interaction avec l alimen tation ou d autres produits pharma ceutiques peut renforcer ou att nuer l effet attendu de notre m dicament de pr dilection Il faut donc pr voir des solutions de rechange un 2 ou m me un 3 m dicament de pr dilection pour faire face de pa reilles situations Le choix des for mes gal niques a aussi son impor tance si on a un souci concernant l observance notamment chez len fant et le sujet g ici les pr para tions liquides passent mieux que les comprim s par exemple Co t du traitement
16. a peau devient fine et fragile car elle est moins bien nourrie par le sang Ainsi les pieds peuvent ils tre bless s par un simple frotte ment dans une chaussure Et c est l que la neuropathie entre dans la danse La neuropathie c est une perte plus ou moins importante de la sensibilit nerveuse dans les pieds Le malade ne sent plus la douleur provoqu e par la formation de couches successives de corne sous les pieds Il court donc un risque important de d velopper une plaie d abord invisible mais chronique la plaie du pied diab tique Elle peut provoquer des blessures tr s graves qui n cessitent l amputation Or tout cela est vitable si le diab tique veille l quili bre quotidien de sa maladie Chaque jour il doit minu tieusement doser ses apports alimentaires en gluci des et la teneur en sucre de son sang la glyc mie Si vous tes vigilants il n y a pas de raison particuli re que vous ayez des complications au niveau des pieds Mais dans le cas contraire attention Faites examiner r guli rement vos pieds et optez pour des chaussures larges hautes et ferm es Le but c est d viter les frottements Source C ur amp Sant novembre d cembre 2004 L000000 0 0000 0000 0 000 00 0 00 0 0 0 00 0 0 0 01 Accoucher ou mourir en donnant la vie Chaque ann e dans le monde 500 000 femmes meurent en couches Un chiffre scandaleux que l OMS veut r duire
17. chance ou plut t qui ont saisi l opportunit de participer une de ses ditions C est certainement le plus grand rassemblement de prati ciens g n ralistes dans notre pays La 5 dition de ce forum qui s est d roul e du 11 au 13 octobre 2004 dans la superbe Biblioth quenatio nale d Alg rie d El Hamma a t la hauteur de nos esp rances gt un programme de communica tions traitant de sujets en prise avec l exercice quotidien du g n raliste gt et des enseignants comp tents et sympathiques Le d roulement du forum Le 11 10 2004 La s ance inaugurale s est d rour l e dans une salle archi comble L invit d honneur du forum le s na teur Pr Feghoul s est dit tr s r joui de cette participation forte du corps m dical et rel ve l occasion l int r t grandissant que prend le forum en proposant son promoteur le Dr B Merad Boudlia de l organiser an prochain au stade du 5 juillet Cette s ance a t galement rehauss e par la pr sence du Pr Fiessinger chef de clinique de cardiologie l h pital europ en George Pompidou Paris qui a fait tat dans une br ve prise de parole de son immense plaisir de venir en Alg rie de ses h sitations par le pass s y rendre en raison de consid rations s curitaires de sa disponibilit tisser et confor ter des liens solides de coop ration avec ses confr res alg riens Le prix Histoire de
18. dans le cadre de cette campagne outre celui programm avec les tudiants universi taires la table ronde qui s est d roul e l cole de police de Guelaftia a connu une participation remarquable de jeunes int ress s par le sujet abord Ces deux rencontres sont celle qui ont drain le plus de monde Ces manifestations qui ont t anim es par des membres du bureau de l association ont pour objectif d informer et de sensibiliser les citoyens propos de ces pathologies infectieuses fr quen tes chez les jeunes et aux cons quen ces d sastreuses aussi bien pour l individu que pour la collectivit RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR de lutte contre le SIDA SIDA La th rapie g nique A l occasion de la c l bration de la journ e mondiale du SIDA la TV alg rienne a organis un forum consa cr au th me l intention du monde de la presse et dont l invit de marque tait le c l bre chercheur alg rien le professeur SANHADJI Ce dernier a gratifi son assistance de beaucoup de d tails int ressant la recherche notamment les nouveaut s en mati re de traitement de ce fl au plan taire D embl e il pr cisera que la piste du vaccin anti sida qui nourrissait des espoirs fous tait une impasse pour le moment vu les capacit s de mutations assez rapides et impr visibles du virus il change constamment de g nes de surface La solution m dicamenteuse Les choses ne sont pas plus
19. des deux tiers d ici 2015 C est l un des Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD Mais la t che est rude Avec la Conf d ration internationale des sages fem mes ICM et la F d ration internationale de gyn colo gie et d obst trique FIGO l OMS veut obtenir notam ment la pr sence syst matique de personnels m di caux qualifi s lors des accouchements Ce qui suppose d en former au moins 333 000 pour les pays les plus d favoris s Car aujourd hui la mortalit maternelle repr sente un vrai fl au Il est urgent de l endiguer Un probl me qui touche particuli rement les pays en d veloppement En 16 Afrique orientale peine une naissance sur trois se fait en pr sence de soignants qualifi s Et il en va de m me pour l Asie centrale etm ridionale avec seulement 37 A tite de comparaison l Am rique du Sud arrive aujourd hui encadrer plus de huit accouchements sur dix L Europe plus de neuf sur dix Des chiffres que l OMS veut g n raliser l ensemble de la plan te Car ainsi que le souligne Joy Phumaphi sous directeur g n ral charg de la sant familiale et communautaire pour la m re comme pour son nouveau n la pr sence de personnel qualifi signifie souvent la diff rence entre la vie et la mort En effet des complications potentielle ment mortelles sont susceptibles de se produire dans 15 des naissances Un accouchement sur huit D o l importance d un encadremen
20. des risques li s l utilisation du portable r clamant l occasion 800 millions de dollars de dommages et int r ts ce jour aucune suite n a t donn e cette affaire mais cela a servi relancer le d bat sur les lignes lectriques de haute tension qui a fait la une des revues sp cialis es il y a 34 ans et qui s est estomp apr s Le champ lectromagn tique a t incrimin dans la gen se de cancers du cerveau des habitants vivants sous les lignes de haute tension faute de preuves scientifiques la pol mique a fini par s cher les plumes Dossier pr par par Dr DEHABA Tew oc JASS oq JASS Les ondes et les champs lectromagn tiques c est Les r seaux de t l communication sans fil occupent g n ralement plu sieurs bandes de fr quence dans le spectre lectromagn tique Aux USA les t l phones cellulai res utilisent deux bandes les plus anciens utilisent les ban des avoisinant les 850 Mhz tandis que les plus r cents une bande proche des 1900 Mhz De son c t l Europe a d velopp le GSM Global Syst me for Mobil une technologie diff rente de celle de la plupart des r seaux am ricains Elle op re sur deux bandes l g re ment d cal es par rapport aux fr quences am ricaines proches res pectivementdes 900Mhz et 1800 Mhz Il faut aussi noter que bon nombre d appareils usage domestique mettent eux aussi de l nergie dans la bande de fr quence
21. e du patient hypertendu avec un volet pr ventif et un autre curatif Les m dicaments anti hypertenseurs doi vent tre prescrits bon escient selon les recommandations et des protocoles valid s Avec l ouverture du march alg rien du m dicament sur le monde nos m decins sont assaillis chaque jour par des repr sentants de laboratoires pharmaceutiques vantant chacun son produit et m disant parfois l gard des mol cules concurrentes Pour mettre de l ordre dans les id es de nos confr res ce propos nous avons jug utile de faire appel des membres de la soci t alg rienne de l hypertension art rielle SAHA Et comme le Pr Salim Benkhedda du CHU Mustapha ne refuse jamais l invita tion de ses amis de l ACMPC et venir Chlef clairer les confr res sur la th rapeuti que consensuelle de l HTA en dehors de la pression publicitaire des labos Et effective ment un colloque consacr au traitement de l HTA a t organis par l ACMPC le jeudi 2 d cembre 2004 l institut de Droit de luni versit Hassiba Benbouali de Chlef Outre la communication du Pr Salim Benkhedda l assistance a cout le Dr Foughali Moha med causer de son exp rience profession nelle en mati re d echo doppler dans la st nose de l art re r nale Dr BENKHALED Ahmed o Wa Le 5 forum national de formation Une dition La m decine comme toute scien ce d ailleurs viten perp tuelle volu tion C
22. e l urologie nous reconnaissons avoir appris beaucoup de choses en la mati re en participant cet atelier qui a dur pr s de cinq heu res encadr par des enseignants tr s dynamiques et convaincants Nous tenons exprimer notre gra tiude tous les professeurs qui ont anim ce forum Nous souhaitons au Dr Bachir Merad Boudia beaucoup de coura ge et de r ussite pour poursuivre cette magnifique entreprise Nos souhaits de bonne sant et de bonheur vont galement aux autres membres de l quipe de RMP nous pensons particuli re ment aux professeurs Brouri Joucdar et Guermaz Dr BENKHALED Ahmed 19 MMM MMM M M M M M M M M M D M M M M M D M M DL A A DL DL ME EE ML DE DL LME ME L EE AL LME DE LOMME LL LME AL LOMME LOMME EL LME DL AL LOMME LME AARAA DL ML A A A LL ommage au Pr Abdelkader Boukhroufa Le Pr Abdelkader Boukhroufa est n en 1932 Sensibilis jusqu l aversion extr me vis vis de la pr sence coloniale sur le sol de son pays d s son enfance il milite un ge relativement jeune pour la cause de l ind pendance nationale A l universit d Alger il active au sein de l UGEMA et d s le lancement de l appel la gr ve des tudes en mai 1956 il est parmi les premiers tu diants arr ter leur scolarit et rejoin dre le maquis de la wilaya 3 o il va assumer le r le de responsable sani taire Mais il est aussit t fait prisonnier A sa lib ration en 1960
23. eur C est de la modestie certes mais doubl e d une qualit devenue rare de nos jours la sagesse tout simplement Il s agit bien s r de l honorable Professeur Salim Benkhedda qui malgr son jeune ge est en train de gagner sa place parmi les grands Qu il sache ici que nous lui serons toujours recon naissants et redevables pour sa bont sa g n rosit et surtout sa grande disponibilit qui est en passe de devenir du moins ici Chlef l gendaire Dr GHRIS Mahieddine Ti Ti Pe Ve Ve Vi P Pr Ve Ve V Pr Pr Ve Ve V Va Pr Ve Ve Ve Pa Vr Va Ve Va Pr Va Va Va V Pr Pr Va Va Ve Pr Pr Ve Ve Ve Va Pi Vr Ve N 010101010107 0107 01 01 Sommaire N 32 Janvier 2005 ditorial Pr occupations cologiques Dr BENKHALED A ereere page 2 Reconnaissance Salut professeur Dr GHRISS M Th rapeutique La notion de m dicament de pr dilection Dr GHRISS M CRE Revue trimestriel dit e par l Association du Corps M dical Priv de la wilaya de Chlef Adresse CHLEF MEDICAL CLUB Ha Zeboudij Route de Radar 02 000 CHLEF Tel 027 77 70 44 Fax 027 77 18 63 e mail chlef medical yahoo fr Responsable de publication Dr Ahmed BENKHALED Comit scientifique e Dr A ARA BI e Dr M GHRIS e Dr A BENKHALED e Dr N ZIDANE e Dr B BOUGHARI e Dr T DEHABA Sant du monde Paludisme plus d un million de morts chaque ann e Di t tique Le th Dossier T l phone portable am
24. haque jour apporte son lotde connaissances nouvelles perfec tionnement des approches pid miologiques et diagnostiques inno vations en mati re d investigation para cliniques et de th rapeutique Il est imp ratif pour le praticien de suivre le cours de cette volution la mise jour de ses connaissan ces m dicales est une exigence intellectuelle pour viter l expres sion d obligation morale suscepti ble d tre mal accept e A d faut d un cadre institutionnalis officiel d volu la formation m di cale continue toute opportunit de perfectionnement qui s inscrit dans cette optique serait bonne saisir A l chelle locale des associations de praticiens l image de l ACMPC multiplient les efforts dans ce sens avec plus ou moins de r ussite L initiative lanc e par la revue RMP d organiser annuellement un forum national de FMC Alger et des forums r gionaux S tif et Tlemcen en 2003 Gharda a en 2004 B jaia en 2005 est saluer et soutenir gt en premier lieu par les m de cins g n ralistes eux m mes en participant en masse ces mani festations scientifiques gt par le collectif des professeurs en encadrant volontairement la FMC par les pouvoirs publics en contribuant financi rement l or ganisation de ces rencontres En effet le forum national de formation m dicale continue est devenu l v nement annuel le plus attendu par les m decins qui ont eu la
25. i bibliographique est r alis par le Dr Cheikh Bouamrane Effort du bureau pour que l histoire de la m decine soit enseign e Mal gr des chos favorables les cursus n ont pas pu s ouvrir l int gration de l histoire de la m decine En avril 1980 s est tenue une r union de la SAHM la biblioth que de la clinique ophtalmologique de l h pital Mustapha Le Dr Cheikh Bouamrane a pr sent une commu nication sur Gilbert Dreyfus et la m decine arabe et une autre sur Moussa Ibn El Maymoun Le Dr Abou El Kacem Saadallah pr sente une communication su Rihlat Ibn Hamadouche El Djaza ri aspect m dical 1990 La suspension Une nouvelle loi sur les associa tions vient de sortir L Union M dica le Alg rienne retrouve son autono mie et les associations qui en d pendaient devraient se g rer elles m mes La SAHM a suspendu ses activit s tandis que ses membres continu rent leurs recherches titre individuel 2000 La r animation Le 8 juin 2000 au rectorat de la facult centrale d Alger se sont r unis autour du Pr Sa d Chibane aid Dr Mohamed El Amine 20 par le Dr Ahmed Amrouche et le Dr Mahmoud Aroua une vingtaine de membres pour refonder la SAHM 2003 2004 Les activit s Premi re rencontre scientifique de la SAHM sous le th me Histoire de la m decine Pourquoi program m e pour le 29 janvier 2004 la biblioth que nationale d Alg rie d
26. i pour votre compr hension Salut professeur Ses amis disent de lui qu il a une m moire ph nom nale Mais ce qui frappe le plus chez lui est que cette derni re n a d gale que sa grande modes tie On l a v rifi lors des derni res journ es scientifi ques organis es par l ACPMC et dont la toute derni re consacr e l HTA Il a toujours honor ses h tes ainsi que toute la r gion en fait de sa pr sence et sa prestance malgr les mille et un imp ratifs de sa vie familiale et professionnelle Il a ce don d animer les rencontres et d bats avec une aisance d concertante ainsi qu un savoir faire peu commun non sans nous gratifier de temps au tre de quelques anecdotes par ci et quelques subtili t s par l soulevant des r actions de toute l assis tance et d tendre ainsi l atmosph re de fort belle mani re De nombreux m decins qui l ont c toy un moment donn de leur vie notamment durant leurs stages d externat ou d internat ont eu l agr able surprise de savoir qu il les a reconnu apr s tant d ann es vingt ans pour certains Pour quelqu un de tr s sollicit il n est pas toujours vident de pouvoir l accoster si facilement Et pour tant c est ce qui se passe chaque fois qu on le croi se Notre homme a cette magnifique et habile mani re de communiquer et une si touchante familiarit dans les propos qu il vous fait oublier jusqu son statut de profess
27. il rejoint la base d appui Ouest au Maroc o il demeure au service de lALN jusqu l ind pendance Apr s la lib ration il revient Alger terminer ses tudes m dicales puis opte pour la sp cialit en cardiologie jusqu l agr gation qu il passe avec succ s en 1972 Il est alors affect comme chef de service de cardiologie au CHU d Oran o il s occupe de formation m dicale En 1978 il revient de nouveau Alger pour assurer la chefferie du service de cardio de l h pital Parnet En sus de ses activit s hospitalo universitaires le Pr Boukhroufa a t successivement pr sident de l Union M dicale Alg rienne pr sident de la Soci t de M decine d Alger pr si dent du Croissant Rouge Alg rien membre du conseil national des moud jahidine et membre de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des Droits de l Homme Le Pr Boukhroufa est d c d le 23 mars 2004 Dr BENKHALED Ahmed W N S1 SNIII UPP INUDOSSL puow gt La soci t alg rienne d histoire de la m de La soci t alg rienne d histoire de la m decine SAHM a pour r le de promouvoir le d veloppement de l histoire de la m decine de susciter et d encourager la recherche dans ses diff rents domaines d tudier et de faire conna tre le patrimoine m dical national d valuer la m decine populaire traditionnelle de d velop per et de renforcer la coop ration avec les soci t s si
28. iques actuelles et malgr les centaines de pro grammes de recherche sur la t l phonie mobile de par le monde et les incertitudes qui entourent leurs r sul tats ni confirmatif ni infirmant quelque danger qu il soit nous devons nous r signer sagement accepter la cho se portable qui nous a t impos sans AMM Vu la rapidit d adoption par le consommateur qui repr sen te chez nous en moins de cinq ans plus de quatre mil lions d utilisateurs dix millions en 2010 le mobil se po pularise alors que faire la sagesse et la prudence se veulent m re de s curit et plus que le principe de pr caution elles pourront g rer le risque et agir en temps opportun Aussi suivre scrupuleusement les conseils dict s plus haut serait salutaire Nous avons une lon gueur d avance sur les Etats Unis et les Europ ens vu notre retard dans l introduction du t l phone portable et si mal il y a nous le saurons assez t t pour r agir mais je pense qu il y a du pain sur la planche pour les res ponsables qui devraient anticiper pour prendre des dis positions afin d obliger les op rateurs Mobilis Djezzy et Nedjma financer l information sur les m faits du portable pour les enfants sensibiliser le consommateur utiliser les Kits main libre financer la pub des dangers du portable au volant les op rateurs en France payent un pourcentage pour la recherche et comme nous ne faisons pas de la recherche autant le faire pour l
29. la m decine Le meeting d ouverture a t suivi par la c r monie de remise du prix Histoire de la m decine s ins crivant dans le cadre de la comm moration du 50 anniversaire de la r volution arm e Le pr sident du jury le Pr Dif a d clar qu une vingtaine de travaux ont t remis au comit de jury du prix que ce dernier n a pas t en 18 fait embarrass pour d signer le laur at car parmi les m moires concurrents un expos se d tache nettement par sa consistance et sa qualit Nous avons trouv dit il le travail r alis par le docteur Benkhaled Ahmed excellent Le prix a t par cons quent d cern ce dernier sous les applaudissements nourris de l assistance Hommage l ACMPC Le Pr Brouri pr sent parmi les membres du comit d honneur a demand la parole pour f liciter le gagnant du prix et encha ner ce lui ci est le pr sident d une asso ciation l ACMPC qui m rite tous les honneurs par le travail excep tionnel qu elle r alise sur le terrain dans la wilaya de Chlef tant dans le domaine de la formation m dicale continue que sur le plan humanitai re C est une association qui s impo se comme un exemple suivre par le s rieux et la volont de ses membres une exp rience incontes tablement positive qui m rite d tre g n ralis e d autres wilayas Aussit t la c r monie d ouverture termin e le cycle des conf rences a co
30. le four micro ondes Les fours micro onde sont blind s de fa on prot ger l utilisateur du rayonnement lectromagn tique car le danger est bien r el L agitation mol culaire des cellules humaines soumises un champ lectromagn tique favorise la production de radi caux libres et de certaines maladies Mais peut on comparer les deux technologies Le t l phone GSM d veloppe une puissance d un niveau beaucoup plus faible que le four micro onde Dans l aide m moire n 183 dat e de 1998 l Organisation Mondiale de la Sant fait le point I a t signa l que l exposition des champs de radio fr quence trop faibles pour provoquer un chauffement pouvait tout de m me perturber l activit lectrique du cerveau chez le chat ou le lapin Cet effet a galement t d crit dans des tissus et des cellules isol es D autres tudes laissent supposer que les champs de radio fr quence agjiraient sur le taux de prolif ration des cellules l activit oc JASS oq JASS des enzymes ou les g nes de l ADN cellulaire Il faut poursuivre les recherches pour dresser un tableau plus complet des risques sanitaires notamment des risques ventuels de cancer r sultant de l exposition des champs de radio fr quence de faible intensit Le dernier avis sur la question vient d tre publi en France par l Agence de S curit Sanitaire et Environne mentale le 17 avril 2003
31. lics commencer par ouvrir un d bat s rieux et serein entre esprits responsables non pour culpabiliser telle ou telle autre partie dans la gen se du malaise environnemental non pour s changer les invectives et les menaces mais pour approfondir la r flexion examiner avec toute la rigueur voulue toutes les donn es du probl me puis d cider ensemble d un programme d action allant dans le sens d une prise de conscience r elle permanente et collective ce sujet Dr Ahmed BENKHALED Sinc rement d sol s Notre association est trop souvent sollicit e par des particuliers pour le financement de traitements m dicaux ou chirurgicaux C est vrai lACMPC s est engag e plus d une fois dans des actions humanitaires et caritatives A ce jour plus d u ne quinzaine de malades ont t op r s ses frais Ce sont des patients chez qui a t pos e l indication d un trai tement chirurgical par un m decin de l association lors d une sortie de volontariat m dical ou dans le cadre de l ac tion sociale men e aupr s de certaines cat gories sociales coles de malvoyants d enfants handicap s lors que cela est possible L association fonctionne gr ce aux largesses de ses membres elle n a jamais b n fici de subvention de l tat Par cons quent ses moyens sont donc limit s Et de ce fait elle ne peut pas malheureusement r pondre positivement aux demandes de financement de soins qui lui parviennent Merc
32. milaires nationa les et trang res Dans ce but la SAHM envisage d organiser des congr s nationaux et internationaux en fonc tion de ses possibilit s et de ses moyens de publier deux fois par an la re vue Tarikh Ettib qui traite de l histoire de la m decine et des sciences bio m dicales Historique de la SAHM 1972 les pionniers C est l occasion de la r union internationale sur l Histoire de la m decine islamique Milan le 21 septembre 1972 que l id e de cr er la soci t alg rienne d histoire de la m decine a germ chez le Pr Sa d Chibane le Dr Ahmed Aroua et le Dr Mahfoud Benhabylles encourag s alors par le Pr Omar Boudijellab Ministre de la Sant l poque 1979 La fondation La SAHM est fond e au mois de janvier 1979 sous l gide de l Union M dicale Alg rienne UMA Composition du bureau ex cutif Pr sident d honneur Dr Amir Mohamed Pr sident actif Pr Sa d Chibane 1 vice pr sident Dr Ahmed Aroua 2 me vice pr sident Dr Nour Oussedik Secr taire g n ral Dr Amar cine Benadouda Secr taire g n ral adjoint Dr Cheikh Bouamrane Tr sorier Missoum Tr sorier adjoint Dr Zina puis remplac par Dr Ahmed Amrouche 1980 Les premiers pas Constitution d une biblioth que au sein de la clinique ophtalmologique de l h pital Mustapha d Alger achats de livres gr ce aux subventions de FUMA et de la cotisation des mem bres Un essa
33. mmenc Le Pr Nafti sans doute enthou siasm par l insigne honneur de donn le coup d envoi a d velop p avec beaucoup d aisance et de punch les broncho pneumopathies constrictives obstructives Dans l apr s midi du 1 jour du forum les participants taient ap pel s faire un choix difficile opter soit tudier les plaies et br lu res de l il puis couter l minent Pr Fiessinger traitant d un sujet tr s d licat Thrombose veineuse profonde soit prendre part dans une autre salle au symposium anim par le m dicale continue r ussie Pr Laraba CHU de Bab El Oued consacr l int r t des probioti ques dans la prise en charge des diarrh es infectieuses puis l atelier encadr par le Pr Dif EHS El Kettar sur les infections sexuellement transmissibles Le 12 10 2004 Le programme est entam par une communication sur la maladie d Alzheimer pr sent e avec brio par le Dr Bendib n e Abada CHU de Bab El Oued Le Pr Ammar Khodja CHU Mustapha lui embo te le pas en d battant de la place de la cos m tologie en dermatologie Les infections urinaires de l enfant sujet trait par le Pr Maoudj CHU de Bab El Oued a suscit beaucoup de questions c est normal c est une pathologie rencontr e en fr quemment consultation p diatrique L apr s midi a t consacr au diab te et ses complications volutive
34. oit de l universit Hassiba Benbouali de Chlef a t anim par les Drs Mokrani et Bernaoui du service d urologie du CHU Mustapha d Alger Hypertension art rielle L HTA touche 34 de la population adulte en Alg rie et une personne sur deux au del de 50 ans C est on le sait bien un facteur de risque majeur de morbidit et de mortalit cardio vasculaires Il existe une corr lation troite entre la valeur de la pression art rielle surtout de la pression puls e diff rentielle entre pression systolique et pression Suite du sujet en page 17 TOME 29SS9Jd P MVY Le pied diab tique Chaque ann e il est l origine travers le monde d un million cinq cent cinquante deux mille amputations des membres inf rieures Il ne s agit ni d un type de muni tions ni d accidents de la route Ce faucheur l n est autre que le diab te Il fait plus de 3 millions de morts chaque ann e dans le monde Pour ne consid rer que l Europe plus de 5 5 de la population est atteinte soit 32 millions de femmes et d hommes En Am rique du Nord cette proportion d passerait les 7 8 Un vrai fl au donc qui se r percute sur nos pieds Car cette maladie lorsqu elle est mal quilibr e provo que des complications graves Notamment l art rite et la neuropathie diab tique L art rite provoque dans les art res des membres inf rieurs la formation de d p ts qui bloquent le passage du sang R sultat l
35. ommages de chromosomes sanguins non plus pour une exposition de trois heures mais d s lors que le sang est expo s pendant 24 heures alors les chromosomes sont endommag s Et ce dommage s observe par la forma tion de micro noyaux au sein des cellules sanguines les cellules sai nes montrent un seul noyau Tout type de t l phone portable analogique num rique PDA tait capable de causer un dommage un taux d exposition SAR compris entre 5 et 10 W Kg Le bilan a mon tr que les cellules de sang humain expos es pr sentaient quatre fois plus de micro noyaux que les cellu les non expos es l normit de l cart laissait conclure un effet significatif Les micronoyaux marqueur qui tablit le diagnostic des expert en canc rologie La corr lation entre micronoyaux et cancer est si constante que les m decins partout dans le monde recou rent aux tests qui les identifient pour Conclusion diagnostiquer la probabilit de la maladie chez leurs patients et les traiter en cons quence Apr s la catastrophe de Tchernobyl en Ukraine en 1986 les experts in ternationaux d p ch s sur les lieux utilis rent le test des micronoyaux comme outil essentiel de diagnostic des cancers Une tumeur un cancer quels qu ils soient sont caus s par un dommage g n tique La plus part du temps ces dommages impliquent la formation de micronoyaux Compte tenu de l insuffisance des connaissances scientif
36. ont tout faux Is assurent d abord que ce pro gramme PEPFAR est l acrony me de the President s Emergency Plan for AIDS Relief n est pas un comp titeur du Fonds mon dial Bien au contraire il visera it conforter le premier C est en tout cas ce que d clarait le Secr taire am ricain la Sant en mai 20083 II n a pas t d menti ce jour Toujours est il qu une fois encore l accessibilit aux soins d pendra plus que jamais du monde associatif et des indus triels Eux n ont pas la ressource de fermer les robinets Destination Sant 14 M M M A M ME SE A D A DL ML D A DL A DL A DL DL EEE EL EL EE L EL EE L EL EE L EL EE L EL EE L EL EE L EL EE OL OL OL L ACMPC organise une semaine d information et de sensibilisa tion sur les MST SIDA Dans le cadre de la comm moration de la journ e mondiale de lutte contre le SIDA l association du corps m dical priv de la wilaya de Chlef ACMPC a organis une semaine d information et de sensibilisation sur les maladies sexuellement transmissibles et le Sida du 1 au 7 d cembre 2004 consistant en l organisation de rencontres d bats projection vid o exposition photo au niveau de centres de regroupement des jeunes universit lyc es casernes L inauguration de cette op ration a eu lieu dans l apr s midi du mercredi 1 d cembre 2004 l institut de Droit de l universit Hassiba Benbouali de Chlef Parmi les meetings tenus
37. ormations et renseignements capitaux dont les recommandations existants en mati re de traitement Choix d un principe actif et une forme gal nique Il est presque impossible de choisir un principe actif sans s int resser sa forme gal nique Les deux doi vent tre efficaces C est essentielle ment une affaire de cin tique Bien que les m canismes d action des produits d un m me groupe soient identiques des cin tiques diff rentes peuvent se traduire par des innocu it s et des ad quations in gales Les cons quences sur l observance des traitements seront diff rentes formes gal niques dif f rentes sch mas posologiques dif f rents Il faut en tenir compte Choix d un sch ma posologique standard Les sch mas posologiques recom mand s s inspirent d tudes cliniques R sum effectu es sur des groupes de pa tients et ne conviennent un malade donn que si son age son m tabo lisme son absorption et son excr tion correspondent tous des valeurs moyennes et en l absence d autres affections ou m dications Il faut tou jours adapter aux caract ristiques du patient La meilleure solution consis te recopier les diff rents sch mas posologiques dans un formulaire personnel lesquels indiquent les minima et les maxima Choix d une dur e standard de traitement Ceci d pend de la physiopathologie de l affection et son pronostic Cer taines maladies exigent un trai
38. ortalit infantile des deux tiers d ici 2015 Nous sommes encore loin de ces objectifs constate Joy Phumaphi Sous Directeur g n ral la Sant familiale et commu nautaire l OMS Elle voit dans la future Journ e mondiale une occa sion unique de faire prendre cons cience de l ampleur du probl me puow Np JULS Paludisme En d pit de l efficacit des moyens de pr vention et de celle des traitements la paludisme tue annuellement plus d un million de personnes dans les pays les plus pauvres les enfants de moins de cinq ans tant particuli rement expos s Mobiliser toutes les nergies et d bloquer les fonds n cessaires la lutte contre ce fl au c est ce que s emploie faire le partenariat Faire reculer le paludisme fond en 1998 notamment par l Organisation mondiale de la sant OMS Le paludisme ne fait pas l objet de beaucoup d chos au plan inter national regrettait cette semaine devant la presse Paris la Pr Awa Marie Coll Seck secr taire ex cu tive du partenariat 40 de la population mondiale est menac e Nous souhaitons que cette maladie banalis e et n glig e pour laquelle les moyens de pr vention et les traitements existent devienne une maladie prioritaire Le paludisme est une maladie pa rasitaire transmise par des mousti ques potentiellement mortelle dans les cas les plus graves Elle touche les r gions tropicales et subtropica les et est res
39. ostic propos d une affection don n e mais lors de la r daction de lor donnance on bute sur un probl me de taille Que choisir entre tel et tel m di cament Le produit x est tr s efficace mais assez cher le produit y traverse notre pens e mais on se rappelle qu il n est pas recommand dans le cas pr sent le produit z pourrait conve nir parce qu on vient de lire quelque chose son propos mais on ne sait plus quelle dose le prescrire C est de l qu est venue la solution du m dicament de pr dilection Mais pour faire notre choix il nous faut suivre un cheminement en 5 tapes tape 1 poser le diagnostic En choisissant un m dicament de pr dilection on n oubliera pas que ce sera un m dicament de 1 re cours destin traiter une affection commune Et plus on conna t la phy siopathologie d une affection don n e plus il nous sera facile de faire le bon choix Avant de traiter un ma lade on d finira bien sur avec le plus de certitude la nature de son probl me En revanche la 1 tape du choix d un m dicament de pr di lection ne consiste qu d signer un probl me commun tape 2 sp cifier l objectif th rapeutique En d finissant avec exactitude l ob jectif qu on veut atteindre chez un de pr dilection Mahieddine patient donn faire baisser la pres sion systolique une certaine valeur soigner une migraine une crise d asthme un angor et en connaissant
40. ouges avis de douleurs Un travail britannique indique en effet que la consommation de ce type de viande pourrait chez des personnes pr dispos es majorer le risque de polyarthrite rhumato de Alan Silman et Deborah Symmons de l Universit de Manchester se sont appuy s sur l European Prospective Investigation of Cancer Une tude qui portait sur 25 000 femmes et hommes de 45 75 ans Parmi eux 88 pr sen taient un rhumatismedlitinflammatoire Chez40 il s agissait en fait d une polyarthrite rhumato de Les patients qui avaient la plus forte consommation de viande rouge ont vu leur risque de polyarthrite rhumato de multipli par deux Quant au tabac c est confirm il constitue bien lui aussi un facteur de risque Pr s de six polyarthritiques sur dix taient fumeurs contre seulement 15 dans le groupe contr le 17 MMM M M AAA AAAA AAAA AAAA AAA AAIAAAAAA AAA LE ML AAA LOMME EL LME LL LME EL O M O AL ALOM DL LME M LL L AL LOL A LL LME LL Suite du compte rendu sur Les Colloques du jeudi m dical de Chlef diastolique et la probabilit de complications cardio vasculaires Celles ci sont observ es essentiellement au niveau du cerveau du c ur des reins et de la r tine de l il Ce sont donc des complications toujours graves ardues traiter contraignantes sur les plans social et conomique D o l int r t d un d pistage pr coce et d u ne prise en charge th rapeutique efficac
41. ous le nom de mod le d interf rence Il s agit de la vision intuitive selon laquelle l activit lectrique naturelle et essentielle du corps humain interf rerait par suite d exposition aux champs magn tiques induits par les lignes de haute ten sion un peu comme l image d un t l viseur peut subir des interf rences de la part des champs g n r s par un moteur lectrique Les nombreuses personnes qui accep tent cette vision des choses trouvent plausible que des champs lectromagn tiques de faible intensit puissent poser des probl mes de sant Mais ces inqui tudes ne portent que sur les champs magn tiques g n r s par les lignes de haute tension et non sur les nombreux appareils lectrom nagers et domestiques d usage courant Cela refl te le fait que la perception et l acceptation du risque par un individu sont li es l avantage que celui ci compte tirer de la technolo gie concern e L avantage est faible pour la ligne de hau te tension lev pour les appareils lectriques pr f r s Or dans le cas qui nous int resse ici les gens trou vent le t l phone portable tr s utile ce qui pourrait contre balancer les craintes qu ils aient pour leur sant En cons quence les scientifiques qui tentent d valuer les risques du t l phone mobile sont confront s un d fi lls doivent concevoir et mener bien leurs exp riences de fa on r duire au minimum les r sultats faussement positifs pou
42. p sant Dr DEHABAT seceirrgiaiinsnssraeuariniaaa pages 7 12 Journ e mondiale de lutte contre le SIDA SIDA d une peine l autre 0 page 14 SIDA la th rapie g nique CHLEF MEDICAL a lu pour vous FMC Le 5 me forum national de FMC une dition r ussie Dr BENKHALED A iii pages 18 19 M decin illustre hommage au Pr A Boukhroufa Dr BENKHALED A Le monde associatif La soci t alg rienne d histoire de la m decine SAHM page 20 JA OJULSSIOUUOD onbnodeJSUL Il nous arrive tous lors de nos consultations quotidiennes d obser ver des haltes d h sitation dans le choix de tel ou tel m dicament pres crire La multitude de nouveaux pro duits qu injecte r guli rement lin dustrie pharmaceutique sur le mar ch a de quoi rendre perplexe pour reprendre la formule du professeur Benkhedda lors de la derni re jour n e m dicale organis e par l ACPMOC Les d l gu s m dicaux pour la plupart ne nous arrangent gu re les choses non plus Ceux ci avancent souvent des arguments th oriques pr sent s comme r sul tats des toutes derni res recherches scientifiques en corsant leurs expo s s par d innombrables tableaux des courbes bizarro des et des chiffres plut t ind chiffrables vous couper le souffle Et chacun conclura que son produit est le meilleur du moment Un m decin de campagne comme la plupart d entre nous n aspire en fait qu une
43. parer des grou pes de m dicaments efficaces il nous faut avoir des informations sur les crit res suivants l efficacit l innocuit l ad quation et le co t L efficacit Les prescripteurs choisissent d habitude les m dica ments en raison de leur efficacit mais ne se soucient trop souvent de leurs effets secondaires qu une fois manifest s En d autres termes on soigne trop de patients avec des m dicaments inutilement puissants ou labor s cas de prescription d antibiotiques large spectre pour des infections banales Il arrive sou vent des laboratoires pour promou voir un m dicament cher de faire valoir certaines de ses propri t s ci n tiques qui en fait ne pr sentent que peu d int r t clinique alors m me qu existent de bonnes solutions meilleur prix se rappeler si besoin est le cas difiant de l hydrochloro thiazide et les Recommandations r centes en mati re de traitement de l HTA rapport es lors de la toute derni re journ e m dicale organis e par l ACPMC L innocuit En principe tout m dicament poss de des effets se condaires qui parfois sont assez gra ves 10 des hospitalisations leur sont imputables d apr s l OMS S il est vrai qu on ne peut les pr venir tous on peut n anmoins en viter beaucoup Surtout si l on sait qu ils sont la plu part du temps une cons quence de choix ou de dosages inappropri s Il existe galement des groupes
44. ponsable chaque ann e de plus de 300 millions de cas de maladies aigu s Plus de 90 des d c s li s au paludisme concernent l Afrique subsaharien ne Danslespays forte end mie le paludisme maternel est un fac teur important de faible poids de naissance l une des principales causes de mortalit n onatale En aggravant la pauvret cette situation a un impact sur le d ve loppement a soulign Awa Marie Coll Seck Pour cette ancienne pus d un mil ministre s n galaise de la sant trois milliards de dollars sont n cessaires chaque ann e pour at teindre l objectif de 2007 et relever le d fi de la r sistance de plus en plus fr quente aux traitements anti palud ens et celui de la recherche Le nombre de morts augmente du fait de la r sistance aux traite ments a soulign le sp cialiste danois Allan Schapira coordina teur du programme contre le palu disme de l Organisation mondiale de la sant OMS La cr ation il y a deux ans du Fonds mondial pour le sida le paludisme et la tuberculose a redonn de l espoir Les subven tions obtenues sont pass es de 60 millions de dollars annuels 500 millions s est f licit Awa Marie Coll Seck Dans le domaine de la pr vention le paludisme b n ficie de mousti quaires impr gn es de longue du r e quatre cinq ans d efficacit et de pulv risations d insecticides dans les logements Des traitements ont par ailleurs prouv leur
45. r viter d affoler le public sans pour autant diminuer leur capacit d tecter toute indication de l existence d un risque r el Et ils doivent viter de s ima giner que les implications de leur science sont videntes les scientifiques ont aussi la responsabilit de participer activement l interpr tation des implications de leurs r sultats pour la sant Paul Slovic Professeur de psychologie l universit d Oregon Pr sident de la soci t Decision Research Il a aussi dirig une soci t d analyse du risque en Virginie Quels sont les dangers pour la sant lors de l utilisation d un t l phone portable Pour les d tracteurs du mobile le principe de pr caution voudrait qu on s abstienne d utiliser une technologie dont les effets long terme sur le corps humain sont mal connus Pour les autres le t l phone GSM ne pr sente aucun danger Face aux critiques les construc teurs ont tr s vite r agi en r duisant les missions lectromagn tiques de leurs appareils et pr cisent aujourd hui sur les contrats qu une utilisation prolong e peut nuire la sant La critique qui revient le plus souvent compare le mobile un four micro ondes En effet les deux technologies utilisent le m me princi pe pour d placer de l nergie en g n rant un champ lectromagn tique tr s haute fr quence 900 Mhz pour le GSM 1 8 Ghz pour le DCS Digital communication system et 2 45 Ghz pour
46. reluisantes du fait de l adaptation du virus et ses performantes r sistances toujours grandissantes aux divers produits th rapeutiques propos s A tel point qu on en est la quadri th rapie Continuer ainsi une course poursuite l issue somme toute incertaine sur le long terme n est pas si int ressante Imaginons d autre part les co ts faramineux engendr s par de telles th ra pies D autant plus qu actuellement 90 des patients atteints du sida qui b n ficient de la tri th rapie sont situ s au Nord de la plan te Alors que pour les sid ens du sud qui forment les 90 du total des malades parler de quadri th rapie rel ve de la science fiction C est alors que les chercheurs se sont tourn s vers la piste g n tique C est la th rapie g nique De quoi s agit il au juste Le professeur fit un petit rappel sur la structure du HIV et la cellule cible infect e le lymphocyte T4 Le HIV est incapable de survivre hors de la cellule plus de 6 heures pr cisa t il De m me il ne pourra la p n trer qu a travers une serrure dont il poss de le code secret Cette serrure est une petite prot ine appel e CD4 Forts de ces d tails qui paraissent assez banaux les chercheurs s activent pr cis ment flouer le HIV en injectant dans le sang du malade de faux CD4 gt ou des CD4 artificiels Le virus va se fixer sur ces derniers des CD4 sans cellules lymphocytaires derri re et va tre ainsi neutralis
47. s le Pr Boudiba CHU Mustapha a expos sur une entit nosologi que nouvellement individualis e le syndrome m tabolique tandis que le Pr Belhadj CHU Oran a d taill la neuropathie diab tique puis au Pr Mimouni CHU Mus tapha d voquer l association diab te et grossesse En parall le le Pr Kacha toujours aussi percutant animait l audito rium un symposium sur la prise en charge de l anxi t Le 13 10 2004 Une fois encore les participants taient mis devant l embarras du choix entre assister aux conf rences sur des th mes dont l int r t n chappe personne S Ulc re gastro duod nal d velopp par le duo Dr Kaddache Pr Boucekine CHU Mustapha S Cancer du col trait par le premier chirurgien oncologue en Alg rie le Pr Bouzid CPMC Alger S La prise en charge du couple st rile d taill e par le Dr Khodja CHU Ba nem O participer l atelier sur l insuf fisance r nale chronique anim e par les Prs Guermaz et Zekri CHU Birtraria et le Dr Dahmoune CHU Beni Messous Pour notre part nous avons opt pour ce dernier choix nous n a vons pas t d us la n phrologie n tant pas enseign e en tant que discipline m dicale distincte dans le cursus pr parant au doctorat en m decine quelques notions de cette sp cialit part enti re sont incluses dans l enseignement d
48. s mis sur le march actuellement sans oublier que ces m mes t l phones r cents r ajustent en permanence leur puissance celle des antennes relais de fa on mettre le signal le plus faible en garantissant la qualit Radiateur Lampe UV Rayon X lectrique 16 18 20 Fr quence Gamme Exemples d application 0 Hz Champs statiques lectricit statique Fr quences extr mement basses lignes lectri 50 Hz ques et courant domestique 20 kHz ques induction de cuisini res 88 107 MHz Radiofr quences Radiodiffusion FM Micro ondes radio fr quences t l phone 400 800 MHZ analogique t l vision Fr quences interm diaires crans vid o pla 2 45 GHz Micro ondes four micro ondes 3 100 GHz Radars 102 105 GHZ Infra rouge t l commandes 105 106 GHz 800 400 nm Rayonnement visible lasers 400 100 nm Ultraviolet soleil 100 10 nm Rayons X radiologie Moins de 10 nm Rayons gamma physique nucl aire 1900 2200 MHZ Micro ondes radio fr quences UMTS La perception du risque s att nue avec l utilit de Peu d tudes se sont souci es d examiner l attitude des gens vis vis du t l phone cellulaire ou de savoir quelle perception ils s en font Or la peur intuitive que les gens prouvent l gard des champs magn tiques pour rait d couler de ce que Donald Mc Gregor et moi m me avons d crit pour la premi re fois en 1994 s
49. sent dans la nourriture viande oeufs poisson etc et l emp chent d tre absor b dans l intestin Cons quence il peut y avoir un risque d an mie Surtout chez les femmes enceintes les enfants et les v g tariens La solution Ce serait tout simplement de boire du th en dehors des repas En clair aucune remise en question de la consommation du th en tant que telle mais un mode d emploi adapt pour viter tout risque de carence en fer gt S PA anbp 3131 T l phone portable et sante Depuis l av nement du t l phone portable et son extension dans le monde d u ne fa on rapide et brutale une fi vre s est empar e des scientifiques et des chercheurs qui est pour et qui est contre Un brouhaha indescriptible politi se le milieu et les m dias avides de sensationnel se sont engag s pour mieux bruit la chose dans le bon sens parfois mais souvent semant le doute chez les millions d utilisateurs qu ne uell des champs lectroma gn tiques manant des anent s pirat eux m mes jouant ain si sur une fibre sensible de ns lake dou raison Seu les les recherches le diro Aux tats Unis qui ont t intent s contr suite au d c s de sa femmi eau met en cause l utilisa tion du cellulaire portable origi pement du cancer Il a t d bout 3 ans plus tard faute topher Newman atteint d un cancer du ce veau accuse Motorola de n avoir pas pr venu les utilisateurs
50. t le probl me mais le d place les ch lif ens ne seront plus importun s par le br lage de leur d charge publique suite l entr e en fonction de l incin rateur de X Mais les habitants des hameaux plus ou moins proches de celui ci vont subir leur d triment toute sorte de pr judices caus s par la pollution chimique n e de la cr mation d ordures qui ne sont pas les leurs Quelle injustice L incin ration d gage dans l atmosph re des mati res hautement toxiques dioxines furannes etc qui effet canc rig ne qui effet allergisant qui effet t ratog ne sur la reproduction Par ailleurs l incin ration ne fait pas dispara tre les d chets m nagers elle r duit tout juste leur volume Le poids du r sidu de la combustion des cendres repr sente le 1 3 de la masse initiale de d chets m nagers Notre propos n est pas de faire le proc s de l incin ration mais d attirer l attention sur l absence d un d bat au sein de notre soci t sur les probl mes pos s par la d gradation de l environnement Il n y a pas que la d charge publique qui pr occupe d autres contraintes cologiques existent insalubrit du milieu urbain l Oued Tsighaout un grand gout ciel ouvert qui charrie longueur d ann e une boue naus abonde d pr dation continue des espaces verts Des probl mes dont tout le monde doit contribuer leur solution administration assembl es lues citoyens associations organismes pub
51. t qualifi Source OMS novembre 2004 La cocaine reduit le cerveau C est d sormais bien connu la coca ne attaque le cerveau Ce que l on sait moins en revanche c est qu elle cible une zo ne bien particuli re l amygdale Celle l m me qui intervient dans les processus motionnels et comportementaux Gr ce l imagerie par r sonance magn tique IRM Nikos Makris et ses coll gues du Massachusetts General Hospital de Boston ont analys le cerveau de 27 coca nomanes D au tres sujets non consommateurs de ce toxique ont constitu le groupe contr le Leur r sultat est probant Les auteurs ont observ que l amygdale c r brale des personnes d pendantes tait de plus petite taille que celle des autres Son volume n est toutefois pas corr l au niveau de consommation pr cisent ils Dans notre cerveau l amygdale ne pas confondre avec les glandes du larynx qui portent le m me nom fait partie du syst me limbique impliqu dans notre comportement nos motions et notre m moire Plus pr cis ment l amygdale sous tend nos capacit s de jugement et d anticipation de nos actions poursuivent les auteurs Ce constat expliquerait ainsi pourquoi les coca nomanes prouvent des difficult s appr hender les r percussions de tel ou tel comportement Source Neuron vol 44 n 4 Novembre 2004 L exc s de viande rou E a pr judiciable aux articulations Amateurs de viandes r
52. t un expert de la sant publique pid miologiste de renom et juriste Il a dirig pendant plus de 6 ans le programme de re cherche le plus vaste jamais lanc aux Etats Unis en mati re de t l phonie mobile avant de d mission ner afin de ne pas trahir sa conscience et ses convictions scientifiques Quant Monsieur Thomas Wheeler il est pr sident de la CTIA Cellular Telecommunication Industry Association tr s puissant lobbyste de l industrie du t l phone cellulai re de Washington L histoire des deux hommes commence lorsque CNN et Larry King avaient fait une compagne m diatique apr s le proc s de Raynard en 1993 la femme de celui ci d c de des suites d un cancer du cerveau provoqu par l utili sation intensive du t l phone portable selon le mari qui intente un proc s contre le fabricant du portable Les m dias s emparent de l affaire le Los Angeles Times titre sa une Un proc s fond sur les rayonnements des mobiles soul ve la question de leur danger La bourse et Wall Street entrent en jeu Motorola voit ses actions chuter de cinq dollars Wheeler d cide d engager l expert le plus en vu pour diriger la recherche sur les rayonnements et prouver leur Dr George Carlo 10 le lobby innocuit Ce programme va co ter 15 25 milions de dollars la CTIA voulant prouver sa bonne volont Mais apr s six ans de travaux et de contact avec des chercheurs du monde entier Carlo
53. te de ce fait deux normes lun concerne les travailleurs qui installent les mat riels lautre instaure des restrictions plus fortes pour le grand public Il s exprime en Watts par Kg de tissu corporel W Kg calcul sur la moyenne du corps entier Le standard C95 1991 IEEE american est le plus univer sellement reconnu The institut of electrical and electronic engineers Diff rentes normes r glementant l exposition du public aux rayonnements lectromagn tiques des radio fr quences ICNIRP Secteur g ographique Monde Moyen corps entier SAR local 0 08 W Kg 2 W Kg Conseil de l UE ANSVIEEE Europe Etats Unis SAR 0 08 W Kg 0 08 W Kg 2 W Kg 1 6 W Kg Conseils aux inconditionnels du portable gt loigner le plus possible l appareil de l oreille utiliser un kit mains libres gt Choisir un appareil antenne longue ou antenne externe Ne pas rapprocher le t l phone de la t te au moment de la recherche de connexion un maximum de radiofr quence est mis ce moment gt vitez les appels quand le niveau de r ception et le signal est au plus bas c est ce moment que le portable met un maximum de puissance gt N utilisez pas votre portable en conduisant toutes les tudes montrent qu il y a danger de mort imm diat non cause des radio fr quences mais par accident gt Interdire son utilisation par les enfants de moins de 16 ans p n tration des RF plus profonde cet ge
54. tement vie diab te HTA asthme La quantit totale du m dicament prescrire d pend du sch ma posolo gique et de la dur e du traitement de l affection A un patient souffrant d u ne angine un traitement par une P nicilline d une semaine pourrait suffire un autre souffrant d une affection chronique telle une HTA on peut proposer un traitement de deux semaines et lui demander de revenir afin de juger de son efficacit L im portance de la surveillance du traite Dr GHRIS M Poser le diagnostic physiopathologie Il Sp cifier l objectif th rapeutique Il R pertorier les groupes de m dicaments efficaces IV Opter pour un groupe efficace en fonction des crit res applicables Efficacit Groupe Groupe2 Groupe3 Innocuit Ad quation Co t V Choisir le m dicament de pr dilection Efficacit Innocuit Ad quation Co t Principe actif forme gal nique Sch ma posologique standard Dur e standard du traitement 13 onbinodeJou L RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR 1er d cembre Journ e mondiale UONL149199 Le SIDA d une peine l au Au moment o l on c l bre la Journ e mondiale contre le SIDA l heure est l inqui tude Dans le monde associatif comme au sein des agences de l ONU ONUSI DA OMS qui sont les plus im pliqu es dans le Fonds mondial contre les pand mies F d rer les efforts dans une lutte coordonn e contre le S
Download Pdf Manuals
Related Search