MODE D`EMPLOI DU SCOT À L`USAGE DES PLU
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1. e des sites fort potentiel d extension et de mutation r pertori s par le SCOT Lyon 7 Sud Grand Cl ment Villeurbanne Saint Jean V nissieux l Arsenal Lyon Sud Est Mi plaine Parcs d affaires du Val d Ozon Saint Germain au Mont d Or Genay Amp re porte Sud gt En termes de phasade les PLU prennent en consid ration le caract re prioritaire de ces sites Dar rapport aux autres espaces susceptibles d accueillir des activit s conomiques sans nar ailleurs de prendre en compte leur niveau d quipement et de desserte Le DOG renvoie page 33 au Sch ma d accueil conomique du Grand Lyon en cours d laboration et aux volets conomiques des projets territoriaux de la CCEL et de la CCPO qui restent formaliser pour d finir une hi rarchisation temporelle court terme moyen terme long terme des zones d activit de l agglom ration effectivement en uvre sur chaque territoire l offre attendue en mati re d accueil conomique LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN sg LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS IPN A 8 ET a EN MATI RE DE RAYONNEMENT LL ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 4 LES ORIENTATIONS SP CIFIQUES CERTAINES ACTIVIT S Le SCOT distingue pages 18 et 19 du DOG e une offre immobili re de niveau international qu il localise sur 9 sites e une offre immobili re de niveau d agglom ration qu il localise dans les 22 polarit s urbaines e une offre de proximit qui a sa2. gt D clinaison Les PLU adoptent pour ces secteurs des valeurs guide d intensit urbaine identiques celles des polarit s urbaines cf fiche Intensit du d veloppement r sidentiel page 19 ainsi que des dispositions favorables une mixit fonctionnelle Ils justifient des adaptations de ce principe en fonction du contexte local et du tissu urbain morphologie localisation RENFORCER L URBANISATION R SIDENTIELLE DANS LES SECTEURS BIEN DESSERVIS gt VOIR DOG PAGE 48 LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN na _ LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 2 LA LOCALISATION DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL Une vingtaine de sites de projets urbains embl matiques de la dynamique de d veloppement de l agglom ration et porteurs d une grande qualit urbaine et environnementale cf carte page 50 du DOG e 9 sites de projet urbain m tropolitains destin s accueillir de mani re privil gi e les grandes op rations d urbanisme Part Dieu Confluence Gerland Gratte Ciel Givors Carr de Soie Puisoz Porte des Alpes Montout Peyssilieu gt Ces sites n cessitent des tudes sp cifiques gt D clinaison Sur la base de ces tudes les PLU pr voient la r alisation de ces grandes op rations d urbanisme en fonction du projet et du phasage retenu par la collectivite e 7 sites d agrafes urbaines permettant un d veloppement r sidentiel dive
3. Ces p rim tres PENAP s imposent aux PLU qui doivent les classer obligatoirement en zone agricole ou naturelle et les joindre en annexe au PLU TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU MAILLE DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 1 LA PR SERVATION DE L ARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES LIMITES Du fait de son caract re non renouvelable le SCOT fait de l conomie du foncier naturel et agricole un objectif prioritaire qui n est pas quantifi de maniere pr cise mais indiqu titre d ordre de grandeur dans le DOG page 55 de l ordre de 35000 ha de zones naturelles et agricoles dans les PLU l horizon 2030 Pour que cet objectif ambitieux soit atteint cela suppose que les PLU soient particuli rement vigilants sur la consommation du foncier naturel et agricole et notamment que si on considere que le temps du SCOT 20 ans quivaut deux PLU deux fois 10 ans la premi re g n ration de PLU veille ne pas consommer int gralement l enveloppe urbaine pr vue par le SCOT Les analyses environnementales et les analyses agricoles destin es accompagner les projets d extension urbaine peuvent aussi tre utilis es pour r guler la consommation du foncier naturel et agricole en proposant de revoir la baisse les p rim tres des zones d extension urbaine AU cf fiche Analyses environnementales en amont des op rations 1 3 5 TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN
4. ation d espaces publics de qualit troitement li s aux ambiances fluviales l instar des projets Berges du Rh ne et Rives de Sa ne TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU BLEU FICHE 2 2 3 LE D VELOPPEMENT DE L USAGE DE LA VOIE NAVIGABLE Pour permettre le d veloppement du trafic fluvial au sein de l agglom ration et sans attendre les conclusions et le contenu du Sch ma Portuaire M tropolitain que doit laborer l Etat a partir de 2012 le SCOT pr voit e le maintien du Port Lyon douard Herriot dans son emprise actuelle e le maintien de la fonction portuaire du site CNR de Solaize S r zin Ternay dans la Vall e de la Chimie e le renforcement de la fonction portuaire du site industrialo portuaire de Givors Loire e la cr ation d une nouvelle plateforme portuaire au Nord de l agglom ration sur le site de Genay Les PLU concern s devront pr voir pour ces diff rents sites sur la base des pr conisations du futur Sch ma Portuaire e un zonage adapt la fonction portuaire e un r glement autorisant voire privil giant les activit s utilisatrices de la voie d eau e Le cas ch ant des emplacements r serv s pr servant la faisabilit moyen ou long terme de cr ation de nouvelles plateformes ou de quais de chargement et d chargement pour le transport de mat riaux Le r seau des transports collectifs Le r seau viaire TRO
5. gr es dans le PADD et dans les orientations d am nagement propres aux zones concern es PARTIE TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN DEVELOPPEMENT URBAIN EQUILIBRE PARTIE 2 1 1 r 1 m3 r a me A d is LAS ph Orra Py LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU MAILLE DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES LA a mm gt lt T LL Y LL aa Fiche 2 1 1 La pr servation de l armature verte le traitement des limites Fiche 2 1 2 La valorisation de l armature verte le traitement des fonctions Fiche 2 1 3 La mise en r seau de l armature verte le traitement des liaisons vertes TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU MAILLE DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 1 LA PRESERVATION DE L ARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES LIMITES la diff rence du SDAL qui comprenait une carte Pra de destination g n rale des sols permettant Sn x de traduire pr cis ment dans les PLU la limite entre espace urbanis et espace non urbanis le SCOT y compris travers sa carte de coh rence territoriale se contente de localiser les grandes entit s naturelles cf carte DOG page 84 laissant le soin aux PLU de les d limiter pr cis ment la parcelle en se fondant sur leur valeur agricole environnementale et paysag re Le DOG fait le choix de localiser les territoires appartenant a Uarmature verte sans en fixer les limites de mani re pr cise sauf
6. l chelle intercommunale pour ces grands sites Les parcs d agglom ration et les forts identifi s par le SCOT cf carte DOG page 96 font l objet dans les PLU d un zonage adapt leur fonction de loisir Du fait de leur r le de t te de pont du r seau de loisirs et d couverte de l agglom ration les PLU pr voient des dispositions pour les relier entre eux par un syst me de liaisons vertes cf ci apr s fiche 2 1 3 Dans l ensemble de la trame verte les PLU s efforcent en prenant appui sur les projets conduits par les collectivit s voire en les suscitant de rendre les grandes entit s de la trame verte accessibles aux habitants de l agglom ration comme lieux de repos et de d tente de proximit cf DOG page 98 R SEAUX ET ESPACES DE LOISIRS ET DE D COUVERTE gt VOIR DOG PAGE 96 Fr F Ti PTE ne TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU R SEAU MAILL DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 3 LA MISE EN R SEAU DE L ARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES LIAISONS VERTES Le DOG d finit un ensemble de liaisons vertes Les liaisons permettent aux grandes composantes de l armature verte d agglom ration de former un syst me coh rent Ces liaisons vertes sont le support d une ou plusieurs fonctions cologiques paysag res agricoles de loisirs et de d couverte Leur dimensionnement vise assurer efficacement ces diff rentes fonctions Les P
7. rations d am nagement la r alisation d une tude de faisabilit sur le potentiel de d veloppement en nergies renouvelables de la zone en particulier sur l opportunit de la cr ation ou du raccordement un r seau de chaleur pourrait tre appliqu un certain nombre de zones urbaniser AU Cela permettrait de d cliner les orientations du SCOT portant a la fois sur le raccordement des coquartiers aux r seaux de chaleur page 63 et sur le raccordement aux r seaux de chaleur qui doit tre syst matiquement recherch pour les zones d activit s et les quipements publics ou priv s gros consommateurs d nergie page 71 LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 4 LA QUALIT DE VIE LA SANT ET LA S CURIT DES HABITANTS GESTION DES RISQUES ET R DUCTION DES NUISANCES Risques inondations Les PLU respectent les PPRNI et prennent en compte les risques d inondation g n r s par des ruisseaux non couverts par les PPRNI Risques de ruissellement Les PLU identifient les zones de production amont afin d assurer la pr vention des risques naturels gt Les PLU comportent un zonage pluvial pour les secteurs pr sentant les plus forts enjeux cf DOG page 75 Risques g ologiques Les PLU prennent en compte les al as port s a connaissance soit sous la forme d interdictions soit sous la forme de conditions Risques indu
8. s e Le raccordement des zones d activit s aux r seaux de chaleurs e La pr servation de la ressource en eau et la limitation des imperm abilisations e La desserte par des modes alternatifs la voiture gt Les Rapports de pr sentation des PLU justifient de ces anal des zones d activit s int grent tout ou partie des conditions environnementales pr conis es ses cf fiche 1 3 4 e Un r f rentiel tertiaire e Un r f rentiel pour la qualit environnementale des zones d activit s et les b timents d activit s e Une charte Interscot pour un urbanisme commercial durable Ces r f rentiels n ont pas de valeur juridique Ils ont une valeur d usage pour les collectivit s qui les utilisent pour les op rations qu elles r alisent et une valeur p dagogique l attention des op rateurs qui travaillent sur le territoire de l agglom ration Ils ont vocation tre actualis s en permanence pour int grer les progres techniques et Les nouveaux proc d s constructifs gt En tout tat de cause les PLU ne comportent pas de dispositions contraires la mise en uvre de ces bonnes pratiques LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE Fiche 1 2 1 Le principe de la multipolarit Fiche 1 2 2 La localisation du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 3 La quantification du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 4 L intensit du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 5 L
9. La qualit de vie la sant et la s curit des habitants Gestion des risques et r duction des nuisances Fiche 1 3 5 Les analyses environnementales en amont des op rations Z LL 2 LL Z Z O gt Z LLI LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 1 LA PLACE DE L ENVIRONNEMENT DANS LES PLU M me s il n est pas un SCOT Grenelle sur le plan juridique le SCOT de l agglom ration lyonnaise est un SCOT Grenelle dans ses attendus et dans ses orientations a l heure o la demande sociale en faveur d un environnement respectueux de la sant et du confort des habitants ne cesse de se renforcer C est la raison pour laquelle le SCOT place la pr occupation environnementale au c ur du projet d agglom ration et invite donc les PLU a renouveler les logiques d am nagement territorial en pla ant l environnement au c ur des projets de d veloppement communaux et des projets d am nagement urbain LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 2 LA PR SERVATION DES RESSOURCES NATURELLES Principe de proportionnalit Les PLU pr voient des sch mas d alimentation en eau potable et des sch mas d assainissement qui justifient que le niveau du d veloppement urbain est adapt aux capacit s des syst mes locaux d alimentation en eau et la capacit des syst mes d a
10. Pt Symphorien d Ozon St Pierre Charly de Chandieu ZA S r zin Chaponnay du Rh ne Marennes Simandres Grigny Ternay Communay Communaut de Communes du Pays de l Ozon Givors N MODE D EMPLOI DU SCOT Rea L USAGE DES PLU SEPAL Immeuble Porte Sud 4 rue des Cuirassiers 69003 Lyon T l 04 26 99 34 02 Fax 04 26 99 34 07 www scot agglolyon fr sepal me de pour le d veloppement SYOBIESFMREE H EES f PIE de l agglom ration lyonnaise et de programmation de l agglom ration lyonnaise M DIACIT Juillet 2012
11. RES R LES O CELNE ET OE CO E OI DOC A NE capacit s d accueil pour Uactivit conomique TNI SA dans les tissus urbains situ s proximit des picentres des p les d excellence et 8 de comp titivit dont la liste et la carte de la page 25 ne doivent pas tre consid r es comme limitatives a demi k E Desr E ar ds ep E lia reirte jan E ibid ihram Le DOG pr voit page 129 des conditions a torenencao d urbanisation sp cifiques chaque site Saint Exup ry Portes du Dauphin A rodrome de Corbas H pitaux Sud avec comme invariant un plan d organisation d ensemble garantissant la qualit d am nagement du site gt Les PLU doivent e e soit pr voir leur r alisation comme condition d ouverture l urbanisation d une zone AU n fonction de l avancement de ces plans e soit int grer le contenu de ces plans dans les reales d une zone urbaine ou dans une orientation d am nagement sp cifique Le DOG formule pour ce territoire page 25 les orientations suivantes e Affirmation d un p le conomique de premier plan au niveau national associant recherche et industrie et permettant le d veloppement d activit s compl mentaires e Pr servation de la place de l conomie dans une ville plus urbaine et plus dense e Ancrage du p le d excellence et de comp titivit sur la chimie et l environnement et des projets qui lui sont li s e Meilleure utilisation de la trimodalit fer fleuve
12. assurer la p rennit de l activit agricole dans l agglom ration Ils exposent et motivent dans le Rapport de pr sentation la consommation d espaces agricoles pr vue par le PLU Les PLU concourent au maintien d outils de production agricole coh rents lls prennent en compte la coh rence des unit s d exploitation l accueil de nouveaux si ges d exploitation la circulation des engins agricoles la commercialisation des produits dans la d finition des zones agricoles et l criture de leur r glement cf DOG page 89 Les PLU accompagnent les projets d extension urbaine portant sur des espaces agricoles d analyses agricoles destin es mesurer leur impact sur l agriculture et rechercher des solutions d am nagement de nature r duire cet impact cf DOG page 79 Les Rapports de pr sentation pr sentent ces analyses et Les PADD int grent leurs conclusions Ils veillent ce que le changement de destination des b timents agricoles situ s en zone agricole ne porte pas atteinte la p rennit des exploitations environnantes ou n entrave pas la reprise d un si ge d exploitation cf DOG page 85 TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU R SEAU MAILL DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 2 LA VALORISATION DE L ARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES FONCTIONS Les PLU pr servent de toute urbanisation zonage N ou A les noyaux de biodiversit identifi s par le SCOT
13. conomiques dans une logique de mixit fonctionnelle DOG page 33 gt Les PLU appliquent ce principe l ensemble des zones urbaines dont le r glement pas exclure par principe les activit s conomiques mais il doit bien s r tre appliqu avec discernement en fonction des types d activit s notamment en fonction de leurs nuisances et de leur dangerosit et du contexte urbain notamment en fonction des conditions d accessibilit Les sites conomiques d di s Le SCOT lesa localis s l ca rt du d veloppement L ENVELOPPE FONCI RE DU D VELOPPEMENT CONOMIQUE gt VOIR DOG PAGE 32 r sidentiel et r pertori s en bleu sur la carte de la page 32 du DOG Les PLU leur conf rent une vocation conomique exclusive et pr voient la possibilit d accueil de services et d quipement AN de nature renforcer leur attractivit et leur 7 1 370 fonctionnalit DOG page 33 F AA ll RTE des conditions d quipement et des choix politiques Les sites mixtes dominante conomique A Pour ces sites a forte dominante conomique identifi s en hachur bleu sur la carte de la page 32 un quilibre des fonctions doit tre recherch en r ponse aux processus de mutation DOG page 33 m Y A Y mt Selon les cas de figure il convient donc Soit de pr server un tissu conomique contre une pression r sidentielle forte ex Gerland gt Les PLU utilisent en fonction du contexte local des mi
14. dans certains secteurs DOG page 85 Pour 13 secteurs le DOG pr cise les limites la parcelle entre le territoire urbain et l armature verte sur la base de l article R122 3 du Code de l Urbanisme Les 13 coupures vertes d limit es par le SCOT qui ont fait l objet d une information syst matique des communes concern es et d un accord des maires de ces communes sont r pertori es et repr sent es sur les orthophotoplans parcellaires r pertori s de la page 132 la page 142 du DOG Elles s imposent aux PLU qui les reprennent sur la base d un principe de conformit Pour les Vallons de l Ouest Vallons de Serres de Planchers de Ribes de Charbonni res les Bains du Ratier et de l Yzeron et pour les Monts d Or Vallons de Rochecardon de l Arche etcoupure entre Saint Romain au Mont d Or et Collonges au Mont d Or les limites d urbanisation figurant dans le PLU du Grand Lyon en d cembre 2010 doivent tre conserv es a minima cf DOG page 87 Les cartes des pages 146 a149 jointes en annexes a titre indicatif ont te labor es de la mani re suivante e int gration des zones N1 et N2 a l exclusion des zones indic es N2b et N2h e exclusion des zones A Pour les p rim tres PENAP instaur s par le D partement ils doivent tre compatibles avec le SCOT article L143 1 du Code de l Urbanisme c est dire qu ils ne devraient pas en r gle g n rale inclure d espaces appartenant l enveloppe urbaine du SCOT
15. des orientations fix es par le SCOT et laisse donc des marges de man uvre aux communes Le pr sent mode d emploi constitue un guide technique pour les intercommunalit s les communes et leurs bureaux d tudes confront s l exercice de traduire dans chaque PLU les grandes orientations du SCOT en les adaptant la sp cificit de chaque territoire Ce guide n a pas de valeur juridique Il ne dispense donc pas de lire le DOG dont seules l criture et la cartographie sont porteuses de cette valeur Ce guide a une vocation p dagogique qui est e de rappeler la mani re d un aide m moire les orientations essentielles devant trouver une d clinaison dans les PLU e de proposer a la mani re d un catalogue des pistes pour traduire lesdites orientations en r gles d urbanisme opposables aux permis de construire et aux projets d am nagement Ce guide technique se pr sente sous la forme de fiches class es pour la commodit de lecture selon le m me plan que le DOG les trois choix puis les trois r seaux N anmoins il importe d attirer l attention des lecteurs sur le fait que la fiche portant sur le principe de multipolarit fiche 1 2 1 constitue une clef d entr e indispensable pour l laboration des PLU des communes identifi es comme des polarit s du SCOT Ce guide technique est pr sent sous la forme d un classeur parce qu il a vocation a tre volutif et int grer progressivement des l ments compl mentaires so
16. disposition rejoint le principe pos par la Loi Grenelle sur l inopposabilit des r gles d urbanisme constituant des freins l utilisation de mat riaux renouvelables ou de mat riaux ou proc d s de construction permettant d viter l mission de gaz effet de serre l installation de dispositifs favorisant la production d nergie renouvelable article L111 6 2 du Code de l Urbanisme LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 3 LA R DUCTION DES GAZ EFFET DE SERRE ET LA QUALIT DE L AIR e Le PLU doit ensuite tre porteur d incitation faire travers notamment la reprise des r f rentiels mis en avant dans le DOG R f rentiel Habitat du Grand Lyon cf DOG page 63 R f rentiel Tertiaire du Grand Lyon cf DOG page 36 R f rentiel Qualit environnementale des zones d activit s et des b timents labor par le Sepal en cours de test et en voie de finalisation cf DOG page 36 Ces r f rentiels n ont pas de valeur juridique Ils ont une valeur d usage pour les collectivit s qui les utilisent pour les op rations qu elles r alisent et une valeur p dagogique incitatrice pour les op rateurs qui travaillent sur le territoire de l agglom ration Ils ont vocation tre actualis s en permanence pour int grer les progr s techniques et Les nouveaux proc d s constructifs gt En tout ta
17. le cas ch ant inscription d emplacements r serv s pour lever les points de blocage e En zone urbaine statut d inconstructibilit non adapt minima inscription graphique du trac le cas ch ant inscription d un emplacement r serv pour pr parer une mise en uvre op rationnelle La pr servation de la valeur cologique des cours d eau La mise en valeur des espaces en eau Le d veloppement de l usage de la voie navigable TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU BLEU FICHE 2 2 1 LA PR SERVATION DE LA VALEUR COLOGIQUE DES COURS D EAU Le SCOT consid re que la fonction environnementale des cours d eau paysag re conservation de la biodiversit alimentation en eau et protection contre les crues est primordiale pour le fonctionnement des cosyst mes En cons quence Les PLU pr servent voire restaurent le lona des cours d eau par un zonage protecteur de type N les l ments de nature sauvage br tillods l nes ripisylves vorgines constituant des cosyst mes et maintiennent ainsiles continuit s biologiques n cessaires a la conservation de l agglom ration La Sa ne Les PLU pr servent et g rent par un zonage PR SERVER LA RESSOURCE EN EAU gt VOIR DOG PAGE 68 et un r glement adapt les les de la Sa ne TES JE Ile Roy lle du Rontand T Le Rh ne e Grand Parc Les PLU assurent sur cet espace la
18. mettent en uvre cette volution des formes d habitat et lada caracteristiques des communes et aux sp cificit s des tissus urbains qui les composent Le renouvellement au sens du SCOT correspond au tissu urbain constitu c est dire aux zones U centrales et p ri centrales ainsi qu aux dents creuses au sein de ces zones L extension au sens du SCOT correspond au tissu urbain pavillonnaire plus r cent c est dire aux zones U p riph riques ainsi qu aux zones AU d extension urbaine sur le territoire naturel Les valeurs guides fix es par le SCOT ne constituent pas des minima par zones ce sont des moyennes permettant donc chaque commune de d finir dans son PLU en fonction des sp cificit s de son territoire et de ses diff rents quartiers des zones plus denses et des zones moins denses Les Rapports de pr sentation des PLU exposent les dispositions adopt es par les PLU pour mettre en uvre ces orientations et justifient le cas ch ant de leur adaptation en se fondant sur l identit et la sp cificit du territoire communal Les valeurs guides de logements par hectare fix es par le SCOT sont traduites par le PLU en r gles d urbanisme applicables l chelle des terrains supports des op rations c est dire hors espaces publics LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN A a Aj j J al i LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 4 L INTENSIT DU D VELOPPE
19. sur l ensemble des cours d eau de ces ruisseaux les PLU concern s pr voient une protection des berges coh rente entre les diff rentes communes concern es TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU BLEU FICHE 2 2 2 LA MISE EN VALEUR DES ESPACES EN EAU Renforcer l accessibilit des berges Les PLU favorisent l accessibilit aux cours d eau notamment par la cr ation de liaisons vertes au sein de l armature verte cf fiche 2 1 3 Dans la perspective long terme d un am nagement de l ensemble du lin aire des cours d eau en espaces de loisirs et de d couverte les PLU pr voient de facon concert e l am nagement progressif de cheminements de loisirs et de d couverte assurant la continuit d usage public des berges de cours d eau cf DOG page 110 Deuxi me principe RENTE gt VOIR DOG PAGE 108 D velopper le tourisme fluvial et les activit s nautiques Les PLU sur la base du Plan Fleuves du Grand Lyon pour le Rh ne et la Sa ne r servent les emprises n cessaires a la r alisation de nouvelles haltes fluviales cf carte dog page 108 Tourner les espaces publics et les projets urbains vers les berges Les PLU pr voient des prescriptions urbaines et architecturales permettant de faire profiter les zones r sidentielles situ es a proximit des cours d eau des ambiances li es l eau Ils int grent galement sous des formes appropri es la cr
20. B nite Saint Genis Laval Givors Saint Fons V nissieux Saint Priest Bron D cines Charpieu Meyzieu Vaulx en Velin Chassieu Genas Saint Pierre de Chandieu Saint Symphorien d Ozon Chaponnay Pr cision La notion de polarit qui est principalement fonctionnelle permet d identifier dans le SCOT les lieux privil gi s du d veloppement urbain Elle doit tre distingu e de la notion de centralit qui est la fois morphologique et fonctionnelle qui ne fait pas l objet d orientations particuli res dans le SCOT et qui rel ve donc d un traitement adapt par chaque PLU en fonction du contexte communal LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN na LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 1 LE PRINCIPE DE LA MULTIPOLARIT Principe 1 Les polarit s urbaines constituent Les secteurs privil gi s du d veloppement urbain et sont les lieux d accueil pr f rentiels des grandes op rations d habitat DOG page 47 Les polarit s urbaines doivent atteindre une masse critique de population et d emplois a m me de justifier l implantation d quipements et de services structurants DOG page 47 que les objectifs quantitatifs du SCOT portent sur un pas de temps de 20 ans sup rieur celui des PLU et en fonction de leur niveau de desserte par les transports en commun notamment Dour les polarit s relais moins structur es que sont Chassieu Genas Saint Symphorien d Ozon Chaponnay et S
21. D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU MAILLE DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 2 LA VALORISATION DE LARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES FONCTIONS Le DOG affiche en sym trie de la mixit fonctionnelle du territoire urbain un principe de mixit fonctionnelle de larmature verte associant fonction cologique fonction paysag re fonction conomique et fonction loisirs qui le conduit a ne pas cr er la diff rence du SDAL de hi rarchie au sein de l armature verte entre des zones plus ou moins prot g es L ensemble des espaces de l armature verte est pr serv de toute urbanisation cette fin les PLU les classent selon leur vocation en zone agricole ou en zone naturelle La localisation de ces zones prend en compte la coh rence la qualit la valeur agricole et la sensibilit paysag re et environnementale caract ristiques de l armature verte d agglom ration DOG page 85 Les am nagements possibles au sein de larmature verte sont d finis page 85 du DOG de fa on g n rale Les PLU peuvent autoriser en fonction des conditions locales les constructions et les am nagements n cessaires aux fonctions environnementales productives agricoles ou sylvicoles de loisirs et de d couverte compatibles avec la vocation et la fragilit des espaces localis s au sein de l armature verte Les PLU mettent en uvre le principe g n ral d conomie des terres agricoles en vue d
22. Ei TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS ET DU RESEAU VIAIRE FICHE 2 3 2 LE R SEAU VIAIRE Sur la base de la cartographie du r seau de voirie projet figurant page 120 du DOG o ne figure pas le r seau de proximit et des porters connaissance op r s par l Etat les PLU doivent comporter des dispositions de nature e en l absence de trac s pr server des fuseaux e au fur et mesure de la production des trac s par les ma tres d ouvrage concern s les int grer sous la forme d emplacements r serv s Sur la base de la hi rarchie fonctionnelle du r seau d crite page 121 du DOG r seau m tropolitain r seau d agglom ration r seau de proximit les PLU int grent les fonctionnalit s des diff rentes voies dans les choix d am nagement qu ils op rent pour les quartiers limitrophes de ces voies Notamment les sections de voirie identifi es pee sur la carte de la page 120 comme devant faire 4 TAV l objet d un renforcement de l int gration urbaine font l objet d examens sur leur volution possible dans le temps du PLU et le cas ch ant font l objet d tudes urbaines approfondies notamment sur les sites d agrafes dont les r sultats sont int gr s dans le PLU sous une forme appropri e par exemple OAP Sur la base des orientations nouvelles port es par le SCOT r duction des vitesses partage de l
23. IEL Le SCOT ne fixe pas de limite quantitative au d veloppement r sidentiel l int rieur du territoire urbain Le SCOT fixe des objectifs globaux de production l chelle de l agglom ration pour la p riode 2010 2030 e pour les logements 150000 e pour les logements sociaux 50 000 a 60 000 e pour les logements tudiants 20000 Il faut noter que les objectifs portent sur un pas de temps sup rieur celui des PLU et PLH et constituent des minima qui peuvent en cons quence tre d pass s Les objectifs du SCOT en mati re de production de logements sont fix s l chelle des Territoires sauf pour les logements tudiants qui concernent essentiellement la Ville centre qui regroupent plusieurs bassins de vie Objectif de logements Objectif de logements sociaux Centre 60000 26000 a 29000 Sud 23000 5000 a 7000 Ouest 7 000 9000 Nord 12500 5000 a 6000 Territoire Centre Ville centre Lyon Villeurbanne Territoire Nord Bassin de vie Val de Sa 0ne plateau Nord Territoire Est Bassin de vie Rh ne Amont Porte des Alpes CCEL Territoire Sud Bassin de vie Portes du Sud CCPO Givors Territoire Ouest Bassin de vie L nes et Coteaux du Rh ne Val d Yzeron Ouest Nord LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN pa LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 3 LA QUANTIFICATION DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL IL appartient aux intercommunali
24. IS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR E x LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS ET DU RESEAU VIAIRE FICHE 2 3 1 LE R SEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS Les attendus du SCOT vis vis des PLU sont de deux ordres e permettre la r alisation des infrastructures qui doivent accompagner le d veloppement de l agglom ration e d cliner territorialement la relation fonctionnelle urbanisme transport collectif fix e par le SCOT cf fiche 1 2 2 La localisation du d veloppement r sidentiel R seau national e Lyon Turin e Rhin Rh ne e Paris Orl ans Clermont Lyon R seau express Carte du DOG page 116 au del des extensions pr vues il importe particuli rement de prendre en compte les am nagements n cessaires a la d saturation du n ud lyonnais notamment sur les sections Saint Clair Guilloti re et Grenay Saint Fons VERS UN R SEAU EXPRESS DE L AIRE M TROPOLITAINE gt VOIR DOG PAGE 116 r KE k F TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR Pi SEEN IAE COLLECTIFS ET DU R SEAU VIAIRE DU R SEAU DES TRANSPORTS CR So FICHE 2 3 1 LE R SEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS R seau d agglom ration Carte du DOG page 118 les extensions visent assurer une desserte TC satisfaisante des zones de d veloppement r sidentielles et conomiques et notamment la connexion des polarit s et des p les d emplois avec le r seau express VE
25. LESCARIERS HARY DE LA MISE EN UVRE _ N MODE D EMPLOI DU SCOT rre L USAGE DES PLU E i ni 11 NE D E x F iid B gt _ mE i I j TTi Il em SE Se E a l h UN i AN ER A lu Y FA p F i IEH nn l f a E o gt i b F H i a al i s j d q MF j i F L D Her j i 4 Mann k r Y A a ha i d a i 1 y Eu izy E es L a k L a e TEL e e E E gt pa A e l a j i as a N i L mr A j l a a Role A e i i ana nsn m A de 17 E 4 mnt ner i x i FT i S Fa i ue ul r sans E 4 3 Pt e Es sa 4 f ES q y a i 7 Le me 1 a 7 AE pus ms S f J i ne k tas LS k Le En x a a Er i pn k D pere 1 1 1 pour le d veloppement E syndicat mixte d tudes de l agglom ration lyonnaise et de programma tion de l agglom ration lyonnaise sepal ac dune B 1 INTRODUCTION NN PARTAGER ET RELAYER LE PROJET Le SCOT est un document strat gique qui d finit des orientations cadres suffisamment g n rales pour pouvoir tre appliqu es sur l ensemble des territoires et des communes composant l agglom ration C est aussi un document r glementaire opposable juridiquement aux PLU qui doivent les d cliner sur le terrain de mani re concr te selon un principe de compatibilit qui la diff rence du principe de conformit autorise des adaptations pour peu qu elles soient respectueuses
26. LU dimensionnent et assurent la protection des liaisons vertes identifi es par le DOG Ils prot gent de toute urbanisation les terrains correspondants et pr cisent les limites du d veloppement urbain de part et d autre DOG page 87 Au del des grandes liaisons vertes d agglom ration identifi es par le SCOT il est souhaitable que les PLU identifient sur la base de l Etat Initial de l Environnement d autres liaisons vertes d chelle plus locale que celles d finies par le SCOT Le SCOT ne d termine pas de trac se contentant de d finir une entit de d part et une entit d arriv e C est donc aux PLU qu il incombe de choisir le trac permettant de donner corps cette liaison Dans la mesure o les liaisons vertes concernent le territoire de plusieurs communes le choix du trac implique une concertation l chelle intercommunale garantissant la coh rence et la continuit du trac d une commune l autre Le SCOT ne fixe pas de norme concernant la consistance et la largeur des liaisons vertes se contentant de fournir pour la r alisation des cheminements de loisirs et de d couverte cf DOG page 89 un certain nombre de recommandations diff renci es selon qu elles se situent au sein du territoire urbain ou au sein de la trame verte La transcription d une liaison verte dans le PLU peut s op rer de plusieurs mani res e En zone naturelle a minima inconstructibilit recommand inscription graphique du trac
27. MENT R SIDENTIEL e D une mani re g n rale les PLU ne fixent des coefficients d occupation des sols maxima article 14 que lorsqu il existe des raisons sp cifiques de limiter l accueil de nouveaux logements d ficit d quipements ou de pr server l identit et la forme d un tissu urbain sp cifique e D une mani re g n rale les PLU veillent ne pas comporter de r gles de surface minimale des parcelles d implantation des constructions de hauteur des constructions et d emprise en sol des constructions de nature emp cher la mise en uvre des valeurs guides d intensit urbaine fix es par le SCOT e De mani re sp cifique les PLU peuvent pr voir des secteurs qu ils d limitent dans lesquels les projets de construction devront respecter une densit minimale proximit des transports collectifs Art L bis du Code de l Urbanisme Au sens du SCOT les territoires potentiellement concern s par cette disposition sont les suivants Lyon Villeurbanne les 21 polarit s en fonction de leur niveau de desserte par les TC les quartiers autour des gares du R seau Express et les corridors desservis par les r seaux des transports collectifs d agglom ration la vingtaine de sites de projets urbains embl matiques cf fiche 1 2 2 e De mani re sp cifique en se fondant sur l analyse du tissu urbain local et ses possibilit s de mutation les PLU peuvent pr voir des orientations d am nagement et de progra
28. NNEMENT ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 4 LES ORIENTATIONS SP CIFIQUES CERTAINES ACTIVIT S Le SCOT pr voit une organisation du d veloppement commercial selon trois chelles de r f rence auxquelles correspondent des pratiques d achats et de d placements diff rentes DOG page 37 Pour le commerce de proximit Le DOG pr conise page 38 de garantir au niveau de chaque quartier de chaque commune une offre commerciale et de services aptes satisfaire les besoins de premi re n cessit boulangerie picerie pharmacie presse et achats du quotidien r alisables en modes doux Le DOG pr cise que cette offre est localis e de mani re privil gi e dans les centres des communes dans les centres des quartiers et dans les quartiers politiques de la ville Lyon se fonder sur la r f rence que constitue le SDUC Pour le commerce de bassin de vie Le DOG pr voit page 38 que pour les besoins d achats plus occasionnels en alimentaire quipement de la maison et de la personne culture et loisirs chaque bassin de vie doit se rapprocher d une situation d autosuffisance et d un quilibre entre l offre commerciale propos e et le potentiel de consommation des m nages afin de r duire les d placements automobiles li s aux actes d achat En mati re de localisation le DOG fixe les orientations suivantes e Implantation privil gi e dans les polarit s urbaines les mieux desservies et les plus accessible
29. OT a repris explicitement les objectifs de ces documents et notamment les objectifs chiffr s du PCET du Grand Lyon 0 j 20 A d mission de gaz effet de serre Y gt 20 de consommation nerg tique 0 20 ye part des nergies renouvelables Si bien que l on peut dire pour les PLU que Compatibilit SCOT compatibilit SRCAE PCET PPA Le mod le de d veloppement retenu par le SCOT multipolarit ville des courtes distances priorit TC densification et qui doit tre d clin dans les PLU est en lui m me porteur d conomie d nergie et de r duction de la production de gaz effet de serre Cet l ment m ritera d tre analys dans le Rapport de pr sentation et d velopp dans le PADD des PLU Il devrait conduire r interroger le programme des emplacements r serv s pour les voiries sur la base d une nouvelle conception des voiries urbaines laissant plus de place aux TC aux modes doux et limitant la vitesse des automobiles e Le PLU doit tout d abord ne pas emp cher de r aliser les dispositifs techniques de nature am liorer l isolation des b timents ou produire de l nergie renouvelable aussi bien pour le neuf que pour la r habilitation de l ancien cf DOG page 71 Les PLU veillent favoriser et ne pas emp cher la construction de b timents qui mettent en uvre des nergies renouvelables et qui sont concus selon une architecture haute qualit environnementale Cette
30. PRODUCTION DE LOGEMENTS PAR SECTEURS gt VOIR DOG PAGE 45 urbanis s l int rieur du territoire urbain localis par le SCOT Le d veloppement r sidentiel mobilise en priorit les capacit s en renouvellement au sein du tissu urbain constitu avant de solliciter les capacit s en extension gt D clinaison Les Rapports de pr sentation a la prise en compte de ce principe et justifient la n cessit et le dimensionnement des projets d extension urbaine zones AU et 30 de l accueil de nouveaux logements sous la forme d extensions LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN y pa LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 2 LA LOCALISATION DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL Prioriser le d veloppement r sidentiel dans les secteurs bien desservis par les transports en commun Ces secteurs sont au nombre de trois Les polarit s urbaines gt D clinaison cf fiche Multipolarit 1 2 1 Les quartiers autour des gares du R seau Express de l Aire M tropolitaine et les corridors desservis par le R seau des transports collectifs d agglom ration cf carte DOG page 48 La r vision des PLU doit tre l occasion de conduire des r flexions urbaines approfondies notamment sur les quartiers de gare permettant d appr cier leurs potentialit s d accueil et d adopter des orientations d am nagement m me de tirer parti de ces potentialit s
31. QUE FICHE 1 1 1 LES PRINCIPES G N RAUX Le d veloppement de l activit conomique constitue un choix fondamental du projet d agglom ration port par le SCOT e il va de pair avec le d veloppement r sidentiel e il conditionne la production de richesse dont l agglom ration a besoin pour se d velopper e il conditionne la solidarit dont le SCOT est porteur en contribuant fournir un emploi pour tous prendre comme point de d part que les PLU ne doivent le d veloppement des activit s conomiques mais plut t orienter ce d veloppement vers certains lieux et le soumettre certaines conditions Ensuite cette orientation g n rale doit tre compl t e par trois principes e le d veloppement des activit s doit contribuer la multipolarit de l agglom ration travers la recherche d un meilleur quilibre habitat emplois au sein des bassins de vie e le d veloppement des activit s doit contribuer la mixit urbaine travers une diversification des fonctions des diff rents tissus urbains e Le d veloppement des activit s doit s accompagner d une recherche de performance environnementale LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN NC 5 E LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS ANRU ONIA A AE Ta EN MATI RE DE RAYONNEMENT ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE FICHE 1 1 2 LA LOCALISATION DES ESPACES CONOMIQUES L ensemble du territoire urbain du SCOT a vocation accueillir les activit s
32. RS UN R SEAU DE TRANSPORT COLLECTIF D AGGLOMERATION MAILLE gt VOIR DOG PAGE 118 EX IL faut consid rer que les repr sentations graphiques du SCOT constituent des principes d extension et non des trac s et que la liste des projets identifi e par le SCOT ne doit pas tre regard e comme limitative Il est attendu des PLU e en l absence de trac s de pr server des fuseaux e au fur et mesure de la production des trac s de les int grer sous la forme d emplacements r serv s Les PLU des polarit s adaptent le niveau de leur d veloppement r sidentiel au niveau effectif de leur desserte par les transports en commun cf DOG page 47 Les rapports de presentation de ces PLU justifient de cette relation C est notamment le cas pour les polarit s relais moins structur es que sont Chassieu Genas Saint Symphorien d Ozon Chaponnay et Saint Pierre de Chandieu Les PLU adoptent pour les quartiers de gare et les corridors urbains desservis par les transports en commun des valeurs guides d intensit urbaine identiques celles des polarit s urbaines cf fiche L intensit du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 4 La r vision des PLU doit tre l occasion de conduire des r flexions urbaines approfondies notamment sur les quartiers de gare permettant d appr cier leurs potentialit s d accueil et d adopter des orientations d am nagement m me de tirer parti de ces potentialit s E Y E F kine ja
33. TRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN CL me E LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 4 L INTENSIT DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL Afin de pr server la trame verte et d atteindre les objectifs de d veloppement d mographique et r sidentiel Le SCOT fixe comme orientation g n rale un d veloppement r sidentiel plus intensif au sein du territoire urbain DOG page 56 Pour y parvenir le DOG fixe des orientations diff rentes en termes de niveaux d intensit de l urbanisation entre les sites pr f rentiels d accueil du d veloppement r sidentiel cf fiche La localisation du d veloppement r sidentiel 1 2 2 et Le reste du territoire urbain Sites pr f rentiels Renouvellement 60 70 logements ha polarit s Sites de projet Gares Corridors Extension 30 35 logements ha Renouvellement 30 35 logements ha Reste du territoire urbain Extension 15 20 logements ha l chelle de l agglom ration la prise en compte de ces niveaux d intensit implique de faire voluer la r partition des formes d habitat e Forme 1 individuelle r duction de la part dans les constructions neuves ordre de grandeur de 13 a5 e Forme 2 interm diaire progression de la part dans les constructions neuves ordre de grandeur de 7 10 e Forme 3 collectif progression de la part dans les constructions neuves ordre de grandeur de 80 85 gt Les PLU
34. U s efforcent de limiter et de compenser les imperm abilisations n cessaires LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 2 LA PR SERVATION DES RESSOURCES NATURELLES Principe g n ral Le SCOT ne comporte pas d orientations excluant la possibilit d exploiter les mat riaux au sein de l armature verte gt Les PLU conservent la possibilit de le faire en fonction des conditions locales paysage nuisances dessertes etc gt Les PLU pr voient la possibilit et les conditions d une exploitation des mat riaux sur la base de sous zonages N ou A dans les p rim tres de richesse du sol ou du sous sol Cas particulier de la plaine d Heyrieux Les PLU concern s int grent dans leur zonage et dans leur r glement les dispositions contenues dans le dispositif de gestion co labor avec l tat et notamment les conditions pr voyant la remise en tat au niveau du sol naturel en fin d exploitation de mani re permettre l am nagement du site conomique m tropolitain pr vu par le SCOT ou la r utilisation des terrains pour l activit agricole LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT FICHE 1 3 3 LA R DUCTION DES GAZ EFFET DE SERRE ET LA QUALIT DE L AIR Dans le contexte institutionnel d une multiplicit de documents traitant de cette question SRCAE PCET PPA le SC
35. a qualit du d veloppement r sidentiel LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN al Ji LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE i x DE L HABITAT AMBITIEUSE Y A j pe T L HE oa FICHE 1 2 1 LE PRINCIPE DE LA MULTIPOLARIT La multipolarit retenue par le SCOT comme grand principe d am nagement du territoire de l agglom ration lyonnaise est fond e sur deux principes DOG pages 10 amp 11 e la reconnaissance d une douzaine de bassins de vie qui constituent le cadre privil gi pour la vie quotidienne des habitants et que le SCOT fait le choix de conforter de telle sorte qu ils contribuent en fonction de leur identit et de leur potentiel respectif au d veloppement global de l agglom ration e l identification d une vingtaine de polarit s urbaines au sein de ces bassins de vie qui du fait de leur poids d mographique de leur niveau d quipements et de services de leur desserte en transport collectif et de leur potentiel de d veloppement constituent des lieux pr f rentiels mais non exclusifs du d veloppement urbain Les bassins de vie doivent tre structurellement con us comme pluri fonctionnels PADD page 44 e fournissant aux habitants distance mod r e la gamme compl te des quipements et services structurants ces bassins de vie e jouant un r le de filtre dans la mobilit i Fs PEA d agglom ration f CRE gt 4 wo e servant de cadre de mise en coh r
36. ainsi que les corridors cologiques d chelle d agglom ration qui les relient cf carte DOG page 92 Les PLU s efforcent par un traitement adapt des points de blocage de r tablir la continuit des corridors cologiques d chelle locale r pertori s par le SEPAL sur une cartographie de 2008 actualis e en 2012 tenue la disposition des communes Les PLU pr servent de toute artificialisation a minima les zones humides figurant sur la carte de la page 68 du DOG le cas ch ant les zones humides r pertori es dans le cadre de l tat Initial de l Environnement propre chaque PLU CONTINUIT S ET CORRIDORS COLOGIQUES gt VOIR DOG PAGE 92 PR SERVER LA RESSOURCE EN EAU gt VOIR DOG PAGE 68 TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU MAILLE DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES FICHE 2 1 2 LA VALORISATION DE L ARMATURE VERTE LE TRAITEMENT DES FONCTIONS Les grands sites de nature identifi s par le SCOT Balmes Viennoises Grand Parc Miribel Jonage Vallons de l Ouest Monts d Or sont localis s par le SCOT au sein de U armature verte Leur vocation est d offrir aux habitants de l agglom ration de grands espaces propices la d tente et la pratique des activit s de loisirs Les PLU prennent en compte les orientations sp cifiques des quatre grands sites de nature identifi s par le SCOT cf DOG page 97 98 et s efforcent d adopter des dispositions coh rentes
37. aint Pierre de Chandieul Principe 2 Les polarit s urbaines constituent les secteurs privil gi s du d veloppement urbain et sont les lieux d accueil pr f rentiels des quipements interm diaires cin mas lyc es centres nautiques p les commerciaux quipements sanitaires quipements culturels gt D clinaison Les PLU des polarit s pr voient les emplacements n cessaires le cas ch ant sous la forme d emplacements r serv s l implantation de nouveaux gui structurants dans le cadre des politiques intercommunales d finies l chelle des bassins de vie Principe 3 Du fait de leurs caract ristiques les polarit s doivent faire l objet d un d veloppement r sidentiel plus intensif gt D clinaison Les PLU des polarit s disposent de r glements et d orientations du reste du territoire urbain cf fiche Intensit du d veloppement r sidentiel page 19 LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN na _ LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 2 LA LOCALISATION DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL L ensemble du territoire urbain cf carte page 12 a vocation accueillir le d veloppement r sidentiel Cependant Le niveau de construction ne peut tre homog ne sur l ensemble de l agglom ration chaque territoire y contribue hauteur de ses potentialit s DOG page 45 Privi l gier la restructu ration des espaces d ja OBJECTIFS DE
38. cro zonages Ul des orientations d am nagement et de programmation l obligation de r alisation d une proportion minimale de surfaces de plancher vocation conomique des droits construire pour des constructions a vocation conomique plus favorables que pour l habitat Soit d introduire une part significative de r sidentiel dans un tissu conomique monofonctionnel ex 1 couronne Est gt Les PLU utilisent toute la gamme des zones urbaines mixtes sur des secteurs d limiter en fonction des opportunit s fonci res et de l volution du march D JF i LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN sg LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS EE M EN MATI RE DE RAYONNEMENT i ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 3 LA PRIORISATION DES ESPACES D ACTIVIT La requalification et la densification des zones d activit s existantes sont prioritaires DOG page 33 gt Les PLU pr voient que les r glements des zones Ul correspondantes ne contrarient pas leur renouvellement et leur adaptation aux nouvelles attentes du march Le DOG identifie page 33 des sites prioritaires d di s ou mixtes en termes d investissements de projets et de desserte par les TC Il s agit e des sites m tropolitains r pertori s par la DTA Saint Exup ry Part Dieu Confluent Gerland Porte des Alpes Vaise p le conomique Ouest Vall e de la Chimie Montout Peyssilieu Carr de Soie Givors Loire Portes du Dauphin
39. cteur de Saint Exup ry plateforme et Sud Saint Exup ry dans le cadre du sch ma de r f rence en cours d laboration gt Les PLU des secteurs concern s doivent d une mani re g n rale permettre ce type d implantations Une implantation possible dans les sites d di s l activit conomique sous r serve d une adaptation des acc s routiers et d un contingentement de ce type d activit s gt Les PLU doivent d une mani re g n rale s efforcer de limiter ce type d activit s dans les zones d activit s g n ralistes en fonction du contexte local ou des choix op r s Dour le territoire du Grand Lyon Un sch ma sp cifique de distribution des marchandises en ville laborer dans le cadre de la r vision du PLU et du PDU du Grand Lyon gt Les PLU concern s doivent d une mani re g n rale identifier des sites favorables a la localisation de plateformes urbaines de distribution des marchandises et le cas ch ant en pr server l utilisation Ces sites sont localis s dans le tissu urbain de la ville centre et de la premi re couronne proximit du r seau ferroviaire du r seau des transports collectifs et des fleuves LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN id LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS TAE o E q EN MATIERE DE RAYONNEMENT ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 5 LES ORIENTATIONS SP CIFIQUES CERTAINS LIEUX Le DOG pr voit que les PLU maintiennent des ECEE
40. e les espaces privatifs gt Les PLU identifient dans leur Rapport de pr sentation travers les Etats initiaux de l environnement qu ils comportent les morceaux de nature pr server au sein du tissu LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN na LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE LHABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 5 LA QUALIT DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL gt Les PLU identifient dans leur Rapport de pr sentation travers les Analyses Environnementales r alis es pour la cr ation de nouvelles zones urbaines sous la forme d extension les morceaux de nature conserver dans le cadre du d veloppement urbain de nouveaux quartiers cf DOG page 79 Les PLU traduisent cette orientation selon les modalit s les plus adapt es chaque commune et chaque quartier travers les outils suivants orientations d am nagement e terrains urbains cultiv s Art L123 1 5 9 du Code de l Urbanisme e diff rents articles des r glements des zones U et AU 9 11 12 13 e emplacements r serv s pour les quipements en faveur des espaces verts squares jardins publics liaisons et coul es vertes e espaces bois s class s LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT Fiche 1 3 1 La place de l environnement dans les PLU Fiche 1 3 2 La pr servation des ressources naturelles Fiche 1 3 3 La r duction des gaz effet de serre et la qualit de l air Fiche 1 3 4
41. ence de habitat et des activit s travers un meilleur quilibre entre les emplois et les actifs Le SCOT ne d limite pas pr cis ment la douzaine de bassins de vie qu il identifie sur son territoire il se contente de les localiser carte DOG page 16 D clinaison Les p rim tres des bassins de vie du SCOT sont pr cis s par les intercommunalit s concern es Grand Lyon CCEL et CCPO de fa on compatible avec la repr sentation du SCOT figurant dans le DOG carte page 16 gt Dans les PLU les bassins de vie du SCOT font l objet d une analyse dans le Rapport de presentation notamment au regard de leur fonctionnement de leur niveau d qui de leur r le dans la mobilit d agglom ration et de leur ratio emploi actif gt Dans les PLU les bassins de vie du SCOT font l objet dans la mesure du possible de l criture d un PADD intercommunal ou d faut de l insertion dans le PADD communal d un chapitre exposant dans quelles conditions le projet communal s int gre de facon coh rente dans le projet intercommunal l chelle du bassin de vie LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN T i lt j LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 1 LE PRINCIPE DE LA MULTIPOLARIT Le DOG d finit au del de la Ville centre 21 polarit s urbaines Neuville sur Sa ne Rillieux la Pape Caluire et Cuire cully Tassin la Demi Lune Oullins Pierre
42. espace public favorable aux pi tons et aux v los la r vision des PLU doit tre l occasion d un r examen syst matique de l ensemble des emplacements r serv s voirie figurant dans les anciens PLU de mani re les adapter ces nouvelles exigences et aux nouveaux besoins engendr s par le d veloppement de l urbanisation Le PLU doit travers les r gles qu il dicte faciliter le stationnement des v los au sein de l espace public dans la construction r sidentielle et dans les b timents d activit Le SCOT pr conise cf DOG page 122 la r alisation d un Sch ma cyclable d agglom ration Les PLU devront a minima reprendre les pr conisations de ce Sch ma lorsqu il aura t labor TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS ET DU RESEAU VIAIRE FICHE 2 3 2 LE R SEAU VIAIRE Principe G n ral Les PLU adaptent les regles de stationnement dans la construction neuve dans les secteurs les mieux desservis en TC Concretement dans le cadre de la r glementation en vigueur cela signifie e pour les bureaux r vision a la baisse des niveaux plafond actuels dans un p rimetre de 400 m tres autour des lignes fortes e pour les logements impossibilit juridique de fixer des niveaux plafond donc r interrogation des niveaux planchers et le cas ch ant abaissement de ces niveaux planchers Cas particulier des parcs relai
43. ions 2e TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR 2 1 LA PRISE EN COMPTE DU R SEAU MAILL DES ESPACES NATURELS ET AGRICOLES Fiche 2 1 1 La pr servation de l armature verte le traitement des limites Fiche 2 1 2 La valorisation de l armature verte le traitement des fonctions Fiche 2 1 3 La mise en r seau de l armature verte le traitement des liaisons vertes Es 2 2 LA PRISE EN COMPTE DU R SEAU BLEU Fiche 2 2 1 La pr servation de la valeur cologique des cours d eau Fiche 2 2 2 La mise en valeur des espaces en eau Fiche 2 2 3 Le d veloppement de l usage de la voie navigable 2 3 LA PRISE EN COMPTE DU R SEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS ET DU R SEAU VIAIRE Fiche 2 3 1 Le r seau des transports collectifs Fiche 2 3 2 Le r seau viaire PARTIE LA STRUCTURATION DU DEVELOPPEMENT URBAIN 2 Z O O LL LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS EN MATIERE DE RAYONNEMENT ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE Fiche 1 1 1 Les principes g n raux Fiche 1 1 2 La localisation des espaces conomiques Fiche 1 1 3 La priorisation des espaces d activit Fiche 1 1 4 Les orientations sp cifiques certaines activit s Fiche 1 1 5 Les orientations sp cifiques certains lieux Fiche 1 1 6 La conception des espaces d activit LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN id PEEB E EN i iil N VU E LA NANO DES ORIENTATIONS EN MATIERE DE RAYONNEMENT NEON ET DE D VELOPPEMENT ECONOMI
44. mmation qui comportent des sch mas d am nagement prescriptifs en mati re de densit minimale et de forme urbaine attendue e De mani re sp cifique en se fondant sur le potentiel d accueil du tissu urbain les PLU peuvent d finir au sein des zones urbaines ou urbaniser les secteurs au sein desquels est institu par d lib ration un seuil minimal de densit en deca duquel un versement pour sous densit est acquitt par les constructeurs ne le respectant pas Art L 331 36 du Code de l Urbanisme LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN ONE D ra i E LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE LHABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 5 LA QUALIT DU D VELOPPEMENT R SIDENTIEL L intensification du d veloppement r sidentiel est indissociable d une am lioration de la qualit globale du cadre de vie pour permettre au territoire de rester attractif DOG page 61 Le SCOT pr cise ce qu il entend par qualit globale du cadre de vie DOG page 31 promouvoir des formes urbaines diversifi es et imaginatives b n ficiant d un bon niveau de services transport et commerces et r pondant tant aux exigences collectives d conomie du foncier qu aux aspirations individuelles des habitants am nit s pr sence de la nature d am nagement des secteurs comportant les plus forts enjeux Adapter les projets urbains l ambiance sonore Dans les zones expos es des nuisances phoniques fortes toute urbani
45. place sur tout le territoire urbain Cette hi rarchisation porte moins sur le volume de l offre en m que sur la qualit de l offre sur le plan architectural et fonctionnel gt Les r glements des PLU pr voient l accueil de cette offre de mani re ada des tissus urbains locaux et a leur desserte par les Transports Collectifs Le SCOT pr voit que l ensemble du territoire urbain peut accueillir des capacit s h teli res nouvelles DOG page 19 gt Les PLU peuvent orienter les implantations h teli res vers certains secteurs en fonction du contexte local et des orientations du Sch ma de d veloppement de l h bergement h telier qui constitue la r f rence sur le territoire du Grand Lyon Le SCOT pr voit que les PLU organisent le maintien et le d veloppement de l artisanat et des services de proximit dans le territoire urbain en g n ral et dans celui de la Ville centre en particulier DOG page 37 gt Les PLU comportent des dispositions veillant a la pr servation de la vocation des locaux occup s par des ateliers ou des commerces et le cas ch ant pr voient de r server des terrains Dour la cr ation de nouveaux villages d entreprise ou de p les d activit de services de proximite Ils utilisent selon le cas les lin aires d activit s sp cialis es LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN on HU LAN ji A LA DECLINAISON DES ORIENTATIONS HER PIE LL UE a MP SA AN EN MATIERE DE RAYO
46. pr servation de la nappe phr atique la protection de l agglom ration contre les inondations la pr servation de la faune et de la flore ainsi que la fonction d ducation l environnement e Rh ne Aval Les PLU pr servent par un zonage protecteur les les et parties d les non urbanis es de toute construction TROIS R SEAUX AU SERVICE D UN D VELOPPEMENT URBAIN QUILIBR LA PRISE EN COMPTE DU RESEAU BLEU FICHE 2 2 1 LA PR SERVATION DE LA VALEUR COLOGIQUE DES COURS D EAU L Ozon Sur la base d un tat initial de l environnement global portant sur l ensemble du cours de la rivi re les PLU concern s pr voient une protection des berges coh rente entre les diff rentes communes concern es et portant notamment sur les zones humides qui accompagnent les cours d eau minima celles figurant sur la carte de la page 68 du DOG R seau hydrographique de l Ouest La pr servation des Vallons de l Ouest pr vue par le SCOT pour l armature verte cf fiche 2 1 1 doit permettre de prendre en compte simultan ment la pr servation de la valeur cologique de ce r seau hydrographique Pour UYzeron et le Garon sur la base d un tat initial de l environnement global portant sur l ensemble du cours de ces rivi res les PLU concern s pr voient une protection des berges coh rente entre les diff rentes communes concern es Affluents de la Sa ne Sur la base d un tat initial de l environnement global portant
47. route dont l interface reste organiser notamment dans la partie Sud pour l accueil d activit s logistiques en lien avec la vocation conomique de ce territoire La Vall e de la Chimie constitue en outre un territoire de projet du SCOT sur lequel le Grand Lyon a engag l laboration d un plan directeur gt Le contenu de ce plan directeur devra tre int gr dans les PLU LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN sg LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS ME a AB EN MATI RE DE RAYONNEMENT ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 6 LA CONCEPTION DES ESPACES D ACTIVIT Exprim page 35 du DOG les espaces d activit ne constituent pas des urbanisations isol es mais participent au contraire a la qualit du d veloppement urbain gt Les PLU utilisent ce message comme guide principal dans l nonc des r gles d urbanisme travers les orientations des pages 35 et 36 du DOG Un message d conomie du foncier e Une plus forte densit des programmes immobiliers dans les zones d activit s e Une r duction des surfaces de stationnement gt Les PLU veillent a dicter des r gles art 9 10 12 14 du r glement pour les zones d activit s coh rentes avec ce message Un message de qualit environnementale e Des analyses environnementales pr alables a la cr ation de nouvelles zones d activit s sous forme d extension e Une am lioration des performances nerg tiques des b timents d activit
48. rs organis s autour d hypermarch s g n ralistes lex Porte des Alpes Givors 2 Vall es r orientation au profit du commerce non alimentaire et stabilisation des surfaces au profit d une r partition g ographique plus quilibr e e Les grands p les sp cialis s ex RD306 Est Porte de Lyon renforcement de la sp cialisation intensification et int gration urbaine la r f rence que constitue le SDUC Cas particulier des zones d activit s L orientation port e par le SCOT d une meilleure insertion urbaine des quipements commerciaux et d une plus grande mixit fonctionnelle doit conduire en r gle g n rale les PLU ne pas autoriser les activit s commerciales dans les zones d activit s surtout lorsqu elles sont loign es des tissus urbains sauf pour les besoins propres la zone LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN H LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS U LTTE Ni S i A EN MATIERE DE RAYONNEMENT ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 4 LES ORIENTATIONS SP CIFIQUES CERTAINES ACTIVIT S Le DOG pr voit page 29 Une implantation pr f rentielle dans les sites de l agglom ration b n ficiant d une desserte effective par un autre mode de transport que la route a savoir e la Vall e de la Chimie Sud dans le cadre du projet directeur en cours d laboration e la ZI Lyon Sud est e les plateformes portuaires d douard Herriot de Givors Loire et Le secteur de Genay e le se
49. rsifi et dont l am nagement vise a r duire ou limiter l effet de coupure g n r par une infrastructure ou un obstacle naturel Bonnevay Parilly A43 Sud Bonnevay Moulin Vent Saint Fons Gerland Confluence Oullins Vaise Tassin la Demi Lune Vaise Duch re cully gt Ces sites n cessitent des tudes sp cifiques gt D clinaison Sur la base de ces tudes les PLU pr voient des dispositions de nature permettre la r alisation de ces liens urbains en fonction du projet et du phasage retenu par la collectivit e 7 sites de grands projets de ville qui sont des lieux privil gi s de renouvellement urbain pour lesquels le SCOT fixe comme orientation un largissement du processus de renouvellement urbain permettant de mieux les relier au tissu urbain et d affirmer leur capacit conjuguer qualit et intensit urbaine en premi re couronne Vaulx en Velin V nissieux Rillieux la Pape La Duch re Bron Givors Saint Priest gt Ces sites n cessitent des tudes sp cifiques gt D clinaison Sur la base de ces tudes les PLU permettent l aboutissement de ces grands projets et leur insertion dans les tissus urbains environnants en fonction du projet et du phasage retenu par la collectivit LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN TUE j J gt LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE FICHE 1 2 3 LA QUANTIFICATION DU D VELOPPEMENT R SIDENT
50. s gares et stations du r seau express La r vision du PLU doit tre l occasion de r interroger le PDU sur la localisation et le dimensionnement de ces parcs relais En fonction des r ponses apport es parcs relais de proximit parcs relais m tropolitains les PLU pr voient les orientations d am nagement et les emplacements r serv s correspondant la r alisation de ces parcs relais LESCAHIERS SIT EE DE LA MISE EN UVRE Genay t Germain Neuville au Mt d Or s Sa ne C ris auMt d Or Montanay Cailloux Albigny Fleurie s Fontaine s 5 0ne s Sa ne Lissieu PIRE Couzon Fontaines au Mt d Or St Martin Rochefaill e Sathonay St Romain 5 Sa ne Village Limonest au Mt d Or i MTS Communaut Collonges urbaine idi Sathona ma ar au Mt d Or Camp Y Rillieux de Lyon La Tour St Cyr la Pape de Salvagny Dardilly au Mt d Or 4 ART a Jons pi MP a DA Caluire et Cuire Jonage aA el Fali Communaut arbonni res les Bains Lyon 4 Yaul E y munes en Velin e L Est lyonnais Lyon 92 Lyon 1 Lyon 6 Villeurbanne D cines Meyzieu St Genis les Olli resi Tassin la Demi lune Lyon 5 Lyon 3 Pusignan Lyon 2 Craponne i Ste Fo e Francheville Rs En Lyon 7 Le isis La Mulatiere Colombier Saugnieu Oullins Pierre St Fons B nite V nissieux St Priest St Genis UE Laval St Laurent de Mure Irigny FE Corbas Mions Toussieu Vernaison Solaize
51. s par les transports collectifs e D veloppement ma tris des p les commerciaux de bassin de vie identifi s par le SCOT en p riph rie du tissu urbain DOG page 40 e Accueil possible au niveau des gares du R seau Express de l Aire M tropolitaine des lors qu elles sont situ es en proximit Imm diate du tissu urbain gt Les PLU fondent l criture des r gles volumes et nature d activit s autoris es sur des motifs relevant de l am nagement du territoire En outre ils peuvent utiliser sur le territoire du Grand Lyon les analyses conomiques LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN H LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS U LTTE Ni S i EAN EN MATIERE DE RAYONNEMENT ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE FICHE 1 1 4 LES ORIENTATIONS SP CIFIQUES CERTAINES ACTIVIT S Pour le commerce d agglom ration Le DOG pr voit page 39 que l offre commerciale d agglom ration qui se caract rise par l importance de son chiffre d affaires la vari t d une offre exceptionnelle et La puissance de son attractivit d passant largement l chelle du bassin de vie doit tre confort e pour contribuer au rayonnement de l agglom ration et doit participer par sa localisation a la construction de la multipolarit du territoire Le DOG pr voit des orientations distinctes pour e les p les de l hypercentre Lyon Villeurbanne pas de limitation pour ce type de commerce exceptionnel e les p les commerciaux majeu
52. sation est subordonn e la mise en uvre de dispositions contribuant la protection phonique des habitants vis vis de ces nuisances DOG page 77 gt Les PLU pr voient en cons quence dans les secteurs concern s des zonages sp ciaux dans lesquels la conception des op rations et des b timents prend en compte la Am liorer la performance nerg tique des b timents De mani re s inscrire dans l objectif du SCOT et du Plan Climat d atteindre l horizon 2030 une proportion de l ordre de 20 d nergies locales renouvelables dans la consommation globale du territoire les PLU veillent favoriser et ne pas emp cher la construction de b timents qui mettent en uvre des nergies renouvelables et qui sont con us selon une architecture haute qualit environnementale DOG page 71 Les PLU veillent galement favoriser l mergence d co quartiers qui cherchent d s leur conception se raccorder un r seau de chaleur existant ou cr er DOG page 63 Renforcer la place de la nature en ville et du v g tal au sein du territoire urbain Le territoire urbain doit faire l objet de mesures pour renforcer la place des arbres des espaces verts des parcs et des plantations de tous ordres dans les projets urbains et la cr ation d espaces publics afin d embellir le paysage urbain et de maintenir une biodiversit urbaine DOG page 63 Cette orientation concerne aussi bien les espaces publics les voiries qu
53. ssainissement situ s en aval cf DOG page 66 Principe de pr servation PR SERVER LA RESSOURCE EN EAU gt VOIR DOG PAGE 68 Les PLU traduisent en termes de zonage FE et de r glement les trois p rim tres d finis par le SCOT pour la pr servation des ressources en eau de l agglom ration cf DOG page 67 e e P rim tres de protection rapproch s d finis par arr t s pr fectoraux minima nonc des interdictions si possible reconqu te des p rim tres d j urbanis s e P rimetres de protection loign s d finis par arr t s pr fectoraux nonc des conditions cl A lo dia RS gt fix es pour les constructions et les am nagements 1 FN Le AA er ES e Secteurs de vigilance d finis par le SCOT cf Carte DOG page 68 minima identification des zones concern es si possible nonc de r gles de vigilance Dans le p rim tre du SAGE de l Est lyonnais les PLU int grent les p rim tres et les programmes d action des aires d alimentation des captages approuv s par le SAGE Principe de valorisation des eaux pluviales e Dans l Est de l agglom ration le principe d fini par le SAGE est la gestion optimis e des eaux pluviales pour favoriser leur infiltration dans la nappe A cette fin les PLU comportent des sch mas d eaux pluviales e Dans l Ouest de l agglom ration les PLU int grent le principe de favoriser le rejet d bit r gul dans les cours d eau e Dans le Centre les PL
54. striels Les PLU respectent les PPRT INTERVENIR SUR LES ZONES LES PLUS EXPOS ES AUX NUISANCES D SONORES ET PR SERVER DES ZONES CALMES gt VOIR DOG PAGE 76 i ir 5 2 A HY EAN Les zones calmes niveau de bruit inf rieur a 50 dB 7 Les PLU font en sorte que l urbanisation envisag e ne porte pas atteinte ou porte atteinte le moins possible aux zones de calme d finies par le SCOT carte DOG page 76 Les zones bruyantes niveau de bruit sup rieur 68 dB e Les PLU sont l occasion de r interroger les vitesses autoris es sur les diff rentes voiries afin de rechercher leur diminution et la r duction des nuisances phoniques qu elles g n rent e Les PLU fixent des conditions d urbanisation pour les zones concern es de nature prot ger les habitants vis vis de ces nuisances e Les orientations d am nagements concern es pr voient des dispositions cf sch ma DOG page 62 pour d gager des espaces de calme adapter la hauteur des b timents aux conditions de propagation du bruit et utiliser des b timents crans LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 4 LA QUALIT DE VIE LA SANT ET LA S CURIT DES HABITANTS GESTION DES RISQUES ET R DUCTION DES NUISANCES Pour faciliter la mise en uvre des orientations fix es par le SCOT r duire les volumes d velopper le tri et le recyclage les PLU doivent notamment pr
55. t s de d cliner dans leur PLH ou dans leur PLU H les objectifs quantitatifs du SCOT par bassin de vie en coh rence avec les objectifs des autres bassins de vie constitutifs du territoire Ces objectifs constituent un l ment structurant du PADD intercommunal cf fiche Multipolarit 1 2 1 IL appartient aux PLU communaux d exposer dans leur PADD la contribution communale aux objectifs d accueil r sidentiel fix s par l intercommunalit a l chelle du bassin de vie et de pr voir dans le plan de zonage et dans le r glement les conditions permettant l accueil effectif sur le territoire des nouveaux logements notamment sociaux et des nouveaux habitants notamment les quipements et services correspondants Les PLU disposent de deux outils pour mettre en uvre les objectifs du SCOT en mati re de logement social d clin s par les PLH intercommunaux ou les PLU H l chelle des bassins de vie e La d limitation dans les zones urbaines ou dans les zones urbaniser de secteurs dans lesquels en cas de r alisation d un programme de logements un pourcentage de ce programme doit tre affect des cat gories de logements qu il d finit dans le respect des objectifs de mixit sociale Art L123 1 5 16 du Code de l Urbanisme e La d finition d emplacements r serv s en vue de la r alisation de programmes de logements dans le respect des objectifs de mixit sociale qu il d finit Art L123 2 du Code de l Urbanisme LA S
56. t de cause les PLU ne doivent pas comporter de dispositions contraires a la mise en uvre de ces bonnes pratiques Ils ne pr jugent pas des volutions r glementaires B timent basse consommation b timents passifs b timents positifs qu ils ont vocation anticiper et accompagner La r habilitation du parc de logements anciens cf orientations pages 61 et 63 du DOG doit r pondre la fois des objectifs sociaux en mati re de satisfaction de l offre mais aussi des objectifs environnementaux de r duction de la consommation nerg tique Le DOG ne fixe pas d objectifs chiffr s Par contre la mesure d accompagnement pr vue par le SCOT page 61 incite une programmation PLH en la mati re donc chiffr e se fondant le cas ch ant sur des aides financi res accord es aux propri taires e Le PLU peut enfin imposer des r gles Ces r gles pourraient tre de deux sortes Le nouvel article L123 1 5 14 stipule que le r glement du PLU peut Imposer aux constructions travaux installations et am nagements notamment dans les secteurs qu il ouvre l urbanisation de respecter des performances nerg tiques et environnementales renforc es qu il d finit Cela permettrait notamment de d cliner concr tement sur un certain nombre de zones a urbaniser AU l orientation du SCOT nonc e page 63 du DOG de favoriser l mergence d coquartiers L article L128 4 du Code de l Urbanisme qui impose aux op
57. us la forme e d exemples de bonnes pratiques e de jurisprudences e de nouveaux textes l gislatifs ou r glementaires LESCAHIERS DE LA MISE EN UVRE SOMMAIRE 1 LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN 1 1 LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS EN MATI RE DE RAYONNEMENT ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE Fiche 1 1 1 Les principes g n raux Fiche 1 1 2 La localisation des espaces conomiques Fiche 1 1 3 La priorisation des espaces d activit Fiche 1 1 4 Les orientations sp cifiques certaines activit s Fiche 1 1 5 Les orientations sp cifiques certains lieux Fiche 1 1 6 La conception des espaces d activit A 1 2 LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR UNE POLITIQUE DE L HABITAT AMBITIEUSE Fiche 1 2 1 Le principe de la multipolarit Fiche 1 2 2 La localisation du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 3 La quantification du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 4 L intensit du d veloppement r sidentiel Fiche 1 2 5 La qualit du d veloppement r sidentiel 1 3 LA D CLINAISON DES ORIENTATIONS POUR L AM LIORATION DE L ENVIRONNEMENT Fiche 1 3 1 La place de l environnement dans les PLU Fiche 1 3 2 La pr servation des ressources naturelles Fiche 1 3 3 La r duction des gaz effet de serre et la qualit de l air Fiche 1 3 4 La qualit de vie la sant et la s curit des habitants Gestion des risques et r duction des nuisances Fiche 1 3 5 Les analyses environnementales en amont des op rat
58. voir et localiser sous forme d emplacements r serv s bien localis s les emplacements n cessaires l implantation de nouvelles d chetteries l chelle des bassins de vie LA STRUCTURATION DU D VELOPPEMENT URBAIN LA NANO DES ORIENTATIONS POUR LAMELIORATION DE LENVIRONNEMENT FICHE 1 3 5 LES ANALYSES ENVIRONNEMENTALES EN AMONT DES OP RATIONS Au regard des orientations de la page 79 du DOG de telles analyses doivent tre conduites a priori sur l ensemble des zones AU vocation r sidentielle ou d activit s y compris celles figurant d j dans les documents d urbanisme ant rieurs ayant vocation tendre le territoire urbain sur des espaces naturels et susceptibles d tre ouvertes l urbanisation sans volution du PLU Pour les zones AU strictes ces analyses peuvent tre diff r es au moment o elles changeront de statut L objectif de cette orientation est qu au dela des questions traditionnelles pos es par l ouverture l urbanisation de telles zones plan de composition forme urbaine quipements r seaux le PLU soit l occasion de poser les questions environnementales list es page 79 du DOG biodiversit cycle de l eau gestion de l nergie gestion des d placements choix des mat riaux pr vention des risques etc et d y apporter un certain nombre de r ponses y compris en termes de consommation fonci re Elles sont d crites dans le Rapport de pr sentation Leurs conclusions sont int
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